Déborah et son beau-père.

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 20:33

1ère partie :


Maman a, apparemment, toujours trompé Papa. D’aussi loin que je me souvienne, je ne me rappelle pas avoir vu d’hommes aller et venir à la maison, mais je me souviens que les jours de vacances scolaires, j’étais assez souvent chez la nounou qui habitait dans un autre appartement de l’immeuble. Nous habitions à Metz-Borny dans les HLM, au cinquième sans ascenseur. Un grand appartement de 90 m² avec balcon. À gauche, en entrant, se trouvait la cuisine, les toilettes, une chambre d’ami, ma chambre avec un cabinet de toilette, puis au bout du couloir, la salle de bain, à droite au fond la chambre de Maman et enfin la salle à manger. Le balcon reliait le salon à la chambre de mes parents. Évidemment, caractéristique particulière de ces appartements, des murs en papier à cigarette aux travers desquels on entendait tout comme si on y était.

Maman n’avait pas la jouissance très discrète et c’est assez souvent qu’elle me réveillait la nuit par ses gémissements ou ses cris. Les voisins devaient d’ailleurs en profiter parce que mes copines de l’immeuble me disaient qu’il arrivait à leurs parents d’en parler à table en des termes assez crus.

J’avoue qu’à l’époque ça me dérangeait beaucoup que ma mère passe pour une salope et j’imaginais bien, ce qu’on pouvait dire d’elle dans le quartier.

Tout bascula un soir où Papa est rentré furax. Il vociférait dans le salon après Maman. Je n’entendais pas très bien ce qu’il disait sur le coup, mais il criait tellement fort que rapidement je compris que c’était grave. Les voisins aussi sans doute. Je sortis alors discrètement de ma chambre pour essayer d’entendre se qu’ils disaient. Papa traitait Maman de salope, de pute, de traînée. Il disait qu’elle n’en avait jamais assez, qu’il avait fallu, en plus, qu’elle se tape tout le quartier pendant qu’il travaillait. Qu’il était la risée de l’immeuble, qu’apparemment, les gens le surnommaient « le cocu du cinquième ». Bref ça bardait. Maman ne disait rien.

Comment ça ? « En plus » ! En plus de quoi ?

Papa était, à l’époque, car je ne sais pas ce qu’il est devenu, routier international. Toujours sur les routes, il était souvent absent. Il passait des semaines à l’étranger et ne rentrait finalement que peu. Maman était secrétaire dans un cabinet d’assurance.

Papa était un grand gaillard de 120 kg. Légèrement dégarni, une belle bedaine et un franc parler. Maman, elle, plutôt petite, brune aux cheveux mi-longs, une énorme paire de seins et un fessier assez large. J’ai d’ailleurs hérité de sa forte poitrine. Bien qu’un peu plus fine qu’elle à mon âge, je fais un bonnet de plus. Ce qu’elle a pour elle, c’est un visage d’ange, à qui on donnerait le bon dieu sans confession. Qui l’eût cru ? Pas Papa, qui confirmait ses doutes, bouclait une petite valise et nous quittait sans autre forme de procès. Je me suis toujours demandé comment, ce jour-là, il ne lui avait pas arraché la tête d’une simple gifle.

Bref, Papa parti, Maman pleurait sur le canapé le visage dans les mains. Elle n’était pas vraiment triste, je pense. Juste vexée de s’être fait piquer. Maman m’a eue à 18 ans, Elle a maintenant 54 ans et je ne la vois plus beaucoup. Papa doit quasiment être à la retraite. Bref ! Depuis ce jour-là, je n’ai plus entendu parler de mon père. Ils ont divorcé pour adultère. Maman a touché une toute petite pension, puisqu’elle travaillait et moi, j’ai continué à aller à l’école dans le même quartier.

Mes copines me racontaient, qu’apparemment, Maman ne s’ennuyait pas durant ses congés et que tout le quartier lui passait dessus. J’avais honte pour elle et pour moi. J’étais la fille de la salope du cinquième. Les gens me regardaient d’un air qui en disait long, certains s’imaginaient sans doute que j’étais comme elle. Qu’ils pensent ça, me dérangeait et m’intriguait à la fois. J’avoue même qu’au-delà de la honte que je ressentais, il y avait une part d’excitation, il m’arrivait même de me caresser en imaginant ma mère faire l’amour.

Presque deux ans se sont écoulés depuis ce jour.

Un jour, en rentrant plus tôt que prévu, j’ai entendu du bruit qui venait de la chambre de Maman. Je m’approchai lentement sans faire de bruit. Ça parlait et riait, elle n’était pas seule. Je ne sais pas pourquoi, je décidai d’aller voir. Je passai donc par le balcon et très discrètement, je me suis mise près de la fenêtre qui était entrouverte. Bien plaquée contre le mur, je regardai dans la chambre.

Maman, debout près du lit devant la grande armoire recouverte de glaces, portait un corset porte-jarretelles, seins nus, noir translucide, maintenu par de fines bretelles et agrafé dans le dos. Il lui serrait la taille laissant apparaître son ventre au travers d’une bande de tissu en dentelle et se finissant par un petit voile. Des bas noirs et un string ficelle en dentelles assorti au corset laissant apercevoir ça chatte lisse.

Je n’aurais jamais pensé que maman se rasait la chatte. Dans la glace, je voyais son gros postérieur dont le corset accentuait les courbes généreuses de ses hanches et la ficelle du string avait disparu entre ses grosses fesses.

Sur le lit, j’en suis resté bouche bée, le gardien des HLM. Ce mec immonde, qui me dégoûtait, était là, nu, dans le lit de ma mère. Bedonnant, dégarni et bandant comment un âne. Une grosse queue épaisse au gland violacé. Il avait au moins quinze ans de plus que ma mère et il me dégoûtait parce qu’il portait toujours sur moi un regard libidineux. À chaque fois que je passais devant son local, il trouvait intelligent de me siffler.

Il faut dire que j’avais tendance à m’habiller de façon un peu provocante depuis quelques temps. Peut-être, inconsciemment, pour tenir la dragée haute aux gens du quartier et pour leur montrer que moi aussi, je pouvais être sexy comme ma mère. Maman n’y voyait pas d’inconvénient. Les garçons me collaient toujours aux basques et les filles m’enviaient. Je ne voyais donc pas pourquoi, même si j’essuyais quelques remarques désobligeantes de mes professeurs, j’aurais changé la façon de m’habiller.

J’avais une grosse poitrine, j’en étais fière et j’avais tendance à plus ou moins l’exhiber dans des décolletés profonds ou des chemisiers translucides qui laissaient deviner mes soutiens-gorge. Je portais des jeans serrés qui me moulaient bien les fesses, pas trop grosses encore à l’époque et parfois de petites jupes mi-cuisses. Ma mère, à cette époque, me maquillait légèrement, mais me refusait encore les hauts talons. Je voulais tellement lui ressembler.

Robert, le gardien, se caressait doucement tout en regardant maman.

— Allez ma belle, viens me sucer,

Maman monta à quatre pattes sur le lit et commença à le branler doucement, déposant de petits baisers sur le gland. Puis avec sa langue, elle remonta le long de sa queue pour la prendre dans sa bouche et se l’enfoncer toute entière. Robert poussa un long râle de contentement.

— Hummm, t’es la reine des suceuses.

Je voyais le gros cul de maman s’agiter dans la glace sous les caresses de Robert qui ne tarda pas à lui écarter le string pour lui mettre un doigt dans la chatte, puis deux. Il les ressortait luisant de mouille. Le spectacle était fascinant. Maman le suçait en lui massant ses grosses couilles. Il la branlait sans ménagement et maman avait l’air d’apprécier le traitement puisque je l’entendais gémir, gémissements étouffés par l’engin qu’elle suçait. Parfois, elle relâchait la queue de Robert pour pousser un long râle de contentement.

Rapidement maman monta sur lui et, d’une main, dirigea sa queue à l’entrée de sa chatte. Elle devait avoir du mal à entrer parce qu’elle y allait doucement en poussant de petits soupirs. D’abord face à lui, je voyais son gros cul monter et descendre sur cette hampe de chair gonflée de sang. Puis elle se retourna dos à lui pour reprendre sa chevauchée fantastique. Je voyais les gros seins de maman monter et descendre à un rythme effréné. Il l’insultait copieusement, la traitant de tous les noms et plus il l’insultait plus elle prenait son pied en criant des « oui, oui, oui » à chaque fois qu’elle s’empalait jusqu’à la garde, de tout son poids. Pour finir, après avoir hurlé sa jouissance à en alerter tout le quartier, elle se jeta sur la queue de Robert pour la nettoyer.

J’avais les joues en feu. J’étais dans un état comme jamais. Je me suis enfuie discrètement pour aller chez une amie et rentrai à l’heure habituelle. Maman m’attendait en robe de chambre comme si de rien n’était, fraîche et détendue. Toute la nuit, la scène repassa devant mes yeux, j’étais bouillante, transpirante, ma chatte devenait humide malgré moi. Je me suis caressée doucement découvrant la sensibilité de mon clitoris. Je sentais que quelque chose montait en moi, j’ai dû mordre mon oreiller pour ne pas hurler quand la jouissance m’a terrassée. Je venais de jouir pour la première fois.


Je ne regardais plus Robert de la même façon. Je savais que maintenant, quand Maman ne travaillait pas, c’est Robert qui venait la sauter. Je l’ai surpris une ou deux fois sortant de notre entrée, le sourire aux lèvres.

Maman, m’a offert mon permis de conduire et ma première paire de talons aiguilles, je m’en souviens encore, 7 cm de talons, je trouvais ça énorme à l’époque. Je les ai aussitôt essayés et j’ai failli me péter dix fois la cheville. Mais je n’en démordais pas.

Nous avions, organisé, avec des copains une soirée dans une salle des fêtes réservée. On devait tous dormir sur place dans des sacs de couchage ou dans des tentes plantées sur la pelouse dehors, avec l’accord du maire, à condition de débarrasser le plancher le lendemain avant midi, histoire de ne pas ruiner la pelouse. Nous avons donc planté les tentes puis fait les courses. Beaucoup d’alcool et finalement pas trop de truc à manger. Très tôt, Maman m’a fait prendre la pilule et m’a expliqué comment me servir d’un préservatif, elle me disait qu’on ne savait jamais et qu’à mon âge, on tombait amoureuse comme on attrape un rhume et que mieux valait prévenir que guérir. Elle savait de quoi elle parlait.

Donc nous voilà partit à picoler, danser, chanter. On faisait des jeux idiots : la danse du tapis, le quart d’heure américain, etc. Un garçon, assez mignon d’ailleurs, ne cessait pas de me coller. Gentil, mais un peu encombrant. Il était toujours là, à mater dans mon décolleté. Faut dire que ce soir-là, je portais un tee-shirt blanc moulant en V, sans soutien-gorge. À mon grand regret d’ailleurs, en y repensant, car mes seins me faisait finalement plutôt mal au dos à force de danser et de sauter partout. De plus, ils avaient tendance à faire remonter mon tee-shirt.

Alors que la soirée avançait et que j’étais drôlement attaquée, il m’a invitée à danser un slow. Les couples se formaient doucement, certains s’embrassaient, d’autres se pelotaient gentiment. Lui, avait posé les mains sur mes fesses, et j’ai été surprise qu’il soit finalement si entreprenant, les yeux rivés dans le V de mon tee-shirt, il ne décrochait pas un mot. Pour un bon coup, je l’ai pris par la main, je l’ai entraîné dehors et j’ai relevé mon tee-shirt, libérant du même coup mes seins.

— Tiens, les voilà. Puisque t’en rêve depuis le début de la soirée, mate-les un bon coup, fais-toi plaisir.

Toujours sans rien dire, il les a pris à pleine mains et les a soupesés. Je n’en revenais pas. Puis il m’a entraînée dans sa tente et il m’a fait l’amour. Quand il a eu fini, je suis partie danser le laissant seul avec sa bite. Je n’avais rien ressenti, si ce n’est un profond regret de l’avoir laissé faire car je venais bêtement de perdre ma virginité. J’ai été très déçue de cette expérience, mais il paraît que c’est souvent le cas la première fois. Je repensais à ma mère et à Robert qui prenaient tellement de plaisir à le faire. J’en étais jalouse, je les enviais.

Un mois plus tard, Maman avait préparé une petite fête entre amis. Des copines à moi étaient venues avec des cadeaux (cd, vidéo, maquillage, etc.) et une paire d’escarpins aux talons vertigineux. Nous étions en vacances. Maman travaillait encore. Je demandais à Maman si je pouvais emmener les copines en boîte. Elle dit que oui et me faisait promettre de ne pas boire et d’être prudente.

Je mis une jupe mi-cuisse noire, relativement courte, un chemisier avec un soutien-gorge en dentelles et mes talons aiguilles, heureusement, je m’étais bien entraînée sinon je n’aurais pas fait cinquante mètres. Je me maquillais un peu plus que d’habitude et nous voilà parties. Vers quatre heures du matin, alors que j’avais déposé mes copines chez elles et que j’avais quand même légèrement picolé, je bataillais à vouloir rentrer la voiture dans le garage. Soudain, Robert est apparu devant le capot. J’ai failli faire un infarctus tellement j’ai eu peur. Je suis sortie de la voiture, il m’a regardé comme à son habitude et a sifflé.

— Dis donc, tu es drôlement mignonne comme ça, dis donc. Une vrai petite femme. Tourne voir un peu ?

Je n’en fis rien et lui demandai de bien vouloir m’aider à rentrer la voiture. Il accepta en l’échange d’un bisou. J’acceptai. Il rentra la voiture, je lui demandai ce qu’il faisait à cette heure, il me répondit qu’il sortait les poubelles, comme souvent.

— Allez, donne-moi mon bisou maintenant.

Je me suis approchée timidement de lui et j’ai tendu la bouche pour l’embrasser sur la joue. Il se laissa embrasser puis, me prenant par la taille, il me souleva et m’embrassa sur la bouche. Sa grosse langue se fraya un passage entre mes lèvres et nos langues se mêlèrent. Les images de ma mère chevauchant sa grosse queue défilaient dans ma mémoire comme si je les avais sous les yeux. Il me tenait par les fesses sous la jupe. Il se mit à me malaxer les fesses fermement et à me les écarter tout en les pétrissant. J’ai adoré cette sensation. Puis il m’a entraînée dans le local à poubelles, m’a collée contre le mur, j’ai passé mes jambes autour de ses reins, après m’avoir baisée, il a trouvé bon de rajouter :

— Putain, t’es aussi chaudasse que ta salope de mère.

J’ai récupéré mes clefs sans rien dire puis je suis rentrée. J’ai pris une bonne douche et je me suis couchée, fier de m’être fait baisée comme une moins que rien dans ce local à poubelles.

Je ne faisais que penser à Robert, j’avais envie qu’il recommence. Lui ou un autre, peu importe, je voulais me faire prendre. Je voulais sentir un sexe dans mon corps. Un matin, alors que j’étais encore au lit, on frappa à la porte. J’avais sur moi un long tee-shirt de nuit qui descendait un peu sous les fesses et une petite culotte. Pieds nus, j’allais jusqu’à la porte pour ouvrir. Robert se tenait debout devant moi.

— Tiens, t’es là toi ? Ta mère est là ?
— Non, elle travaille aujourd’hui.

Je sentais son regard sur mon tee-shirt sous lequel mes gros seins nus pendaient négligemment. Aussitôt mes tétons se sont mis à bander tendant le tissu de mon tee-shirt.

— T’as froid ?
— Non ! répondis-je comme une idiote, ignorant où il voulait en venir.

Il poussa la porte et la referma du pied.

— C’est que t’es déjà drôlement excitée, dit-il en portant la main sur mes seins. Ça te dirait de remplacer ta mère ce matin ?

Et, joignant le geste à la parole, il m’empoigna un sein et commença à le pétrir. Je n’osais pas bouger surtout que je sentais déjà ma chatte réagir à la situation. Il m’entraîna dans le salon, me poussa sur le canapé et retira ma petite culotte avant de me bouffer la chatte. Je démarrai au quart de tour. Pendant un long moment il me dévora la chatte, le clito et parfois même, me léchait l’anus.

Au-delà de la honte que j’aurais pu ressentir à cela, c’est un intense plaisir que je ressentais et qui remontait au creux de mes reins jusque dans mes entrailles, me faisant gémir et parfois même crier. Comme ma mère, j’avais la jouissance expressive. J’avais souvent entendu maman crier, gémir, soupirer, parfois même hurler. Et aujourd’hui, je me rendais compte que j’étais pareille. Plus Robert me léchait, plus je sentais cette onde de choc monter dans mon ventre, ma poitrine, ma gorge, jusqu’à ce qu’un hurlement de jouissance traverse mes cordes vocales encourageant mon amant de ne pas s’arrêter.

Puis Robert commença à me doigter la chatte et l’anus, je vociférai, hurlai, criai jusqu’à en perde conscience, jusqu’à ce qu’il remonte mes cuisses sur mes seins et qu’il s’enfonce d’une seule poussée dans ma chatte trempée. Il me laboura pendant de longues minutes jusqu’à éjaculer en moi. Je suis restée là, pantelante sur le canapé. Il s’est rhabillé puis à quitté l’appartement. Je suis restée un long moment allongée, à retrouver mes esprits. J’avais encore envie. J’avais encore envie de me faire baiser. Je voulais en savoir plus sur ma mère. Je suis sûre qu’elle me cachait quelque chose.

Deux jours plus tard, ma mère m’annonça qu’elle partait en séminaire toute la semaine. Elle me laissa un peu d’argent pour tenir la semaine, les clefs de la voiture, et me demanda d’être prudente. Je la déposai au train et rentrai directement à la maison. Aussitôt, je me suis mise à fouiller sa chambre avec méthode et beaucoup de délicatesse, replaçant chaque chose exactement à sa place.

J’ouvris chaque boîte à chaussures, chaque tiroir, chaque armoire, chaque recoin, découvrant des toys de différentes sortes, des revues pornos, des livres de rencontre pour échangistes. Jusqu’au moment où, enfin, je trouvai ce que je cherchais. J’ouvris un album photo dans lequel je découvris ma mère en compagnie d’un homme puis d’une femme, un concombre dans la chatte et une carotte dans le cul. Puis mon père, à quatre pattes, la queue bandée. Je le trouvai beau. Enfin, des lettres de couples avec des photos. Je n’en croyais pas mes yeux.

Je venais de découvrir que mes parents avaient été échangistes et que, sans doute, ma mère y avait pris goût et avait pris les devants. Elle était devenue une salope de première et j’en prenais le chemin.


À suivre…
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines


Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 20:35

2ème partie :


Résumé :
Dans le précédent épisode, je vous racontais comment j’ai découvert l’orgasme et mes premières relations avec les hommes.


Depuis la fois où Robert m’a fait l’amour sur le canapé, je ne peux pas m’empêcher de me caresser. C’est psychotique. Le matin, le soir, parfois même entre midi. Je ne pense qu’à une chose, me faire baiser. Quand je sais que maman part travailler, je reste à la maison espérant que Robert passe me voir. Il n’est d’ailleurs jamais revenu. J’ai l’impression que depuis quelques temps il m’évite. Je ne sais pas pourquoi. J’ai bien essayé de lui faire comprendre que j’avais envie, mais rien. Il reste de marbre. J’ai même l’impression qu’il ne vient plus à la maison. Bizarre.

Maman est très tendue ces derniers temps. Elle est d’une humeur de chien. Je ne sais pas ce qui se passe, mais ce n’est plus tenable, il faut vraiment que je change d’air. Mes études ne marchent pas fort alors j’ai trouvé un job de vendeuse de fringue dans une petite boutique. J’ai tendance à me laisser aller. J’ai envie de faire l’amour, mais je me retiens de sauter sur tout ce qui bouge en me caressant très souvent. Trop peut-être même.

Magalie, une amie, fête ses 23 ans. J’en ai maintenant 21. Une soirée d’anniversaire comme je les aime. Je me sens en forme et j’ai très envie de me lâcher. Le rendez-vous est pris pour samedi soir. Au programme, restaurant, boîte de nuit et « after » chez elle et son copain, puisqu’elle vit en couple depuis presque 6 mois. Je me demande comment je vais m’habiller ce soir. Dois-je laisser libre court à mes instincts ? Pourquoi pas, une fois n’est pas coutume et ça fait un bon moment que je ne me suis pas habillée sexy. C’est vrai que depuis quelques temps je refreine mes ardeurs en essayant de me cacher derrières des fringues larges sans trop de forme. Je vous avoue que mon envie de sexe me fait peur.

Bien décidée à faire effet, j’opte pour un chemisier blanc translucide, un soutien-gorge à balconnet en dentelle, une jupe mi-cuisse un brésilien et des talons hauts. J’ai hésité à mettre des bas, mais il fait assez chaud et je préfère encore sentir l’air sur mes jambes nues. Ma mère m’a payé une petite Clio pour me déplacer. Elle tient debout parce que c’est la mode mais me rend bien service. Il est 21h00, j’arrive chez Magalie et Cyril. Difficile de se garer, il y a déjà du monde, je suis en retard comme à mon habitude. Je trouve une place et me dirige à pied vers leur petite maison qu’ils ont pris en location. Je sonne.
Magalie ouvre.

— Ah c’est toi enfin. On a cru que tu ne viendrais pas. Tu es superbe.
— Merci. J’ai fait un effort pour l’occasion.
— Tu as bien fait, Pierre est là et il ne cesse de demander après toi.
— Ah oui ? Bizarre.
— Tu as dû lui taper dans l’œil.

Pierre est un fils à papa. Vingt-huit ans, une belle situation, plutôt beau gosse, sans plus. Ce n’est pas qu’il m’attire réellement, mais il a du charme, il est généreux lorsqu’il aime et accessoirement, il pourrait être un bon parti.

J’entre donc dans le salon, la fête bat déjà son plein. Les verres sont déjà bien remplis et l’alcool coule à flot. Un buffet froid composé de jambons de toutes sortes, de salades, de fromage et de fruits. Assiettes en carton et verres en plastique sont de mise. Si j’ai bien compris, restau et boîte vont se transformer direct en after. La baie vitrée qui donne sur le grand jardin est ouverte. Il fait bon et il est très agréable de boire un verre dehors. Je repère quelques ami (e) s que je salue chaleureusement et soudain quelqu’un me prend par la taille et me glisse un bisou dans le cou. Pierre. Il s’est jeté sur moi comme la pauvreté sur le monde. Je sursaute en me retournant, il me sourit.

— Bonsoir princesse. Je désespérais de te voir ce soir.
— Ah oui et pourquoi ?
— Ne fais pas ta naïve, tu le sais bien. J’aime les femmes réservées, élégantes, sages, la parfaite épouse.
— Oui, enfin, sauf que je ne suis pas mariée.
— Pas encore, mais qui sait…

S’il connaissait mes pensées les plus profondes, les plus enfouies, il se raviserait. Personne ici ne connait ma véritable nature, ni mon histoire et ma relation avec le sexe. Cette relation qui me ronge chaque jour un peu plus et qui me rend folle. J’aurais tellement envie de me faire prendre par tous les mecs qui sont présents rien que pour sentir une queue me transpercer. Mais ça fait combien de temps que je n’ai pas fait l’amour ? Presque un an maintenant. Pourquoi est-ce que je me suis cloisonnée à ne pas vouloir franchir le pas et assumer ma véritable nature ? Je ne sais pas. Sans doute pour paraître respectable. Ne pas finir comme ma mère. Elle que j’admirais tant, que j’enviais, la voir devenir aussi aigrie avec le temps m’a peut-être dissuadée de continuer sur cette voie.

Bref. Pierre ne me lâche pas d’une semelle, il est aux petits soins. Sans vraiment m’agacer, je le trouve un peu collant, mais il est tellement attentionné. Après tout, c’est peut-être l’homme qu’il me faut. Malgré notre différence d’âge, il a sans doute quelques choses à m’apprendre. Et puis enfin j’aurais quelqu’un pour me faire l’amour. Oh oui ! Faire l’amour tous les soirs et même plusieurs fois par jour. Me voilà en train de tirer des plans sur la comète. Je deviens folle, il va vraiment falloir faire quelque chose.

Cette soirée file à la vitesse de la lumière, on papote, on chante, on danse, on rigole. Certains flirtent un peu et mon Pierre qui me colle. Il me fait danser, rire, il s’occupe de moi et surtout de mon verre. Il s’en occupe tellement bien que je le soupçonne d’essayer de m’enivrer pour profiter de la situation. Mais s’il savait qu’il n’en aurait à peine besoin. Qu’un rien suffirait à me transformer en furie. Mais je me retiens. Encore et toujours. Frustrée jusqu’aux bouts des ongles. Non il ne m’aura pas… Pas maintenant. Pas comme ça. Quand il m’aura, il me gardera. Je vais le faire baver jusqu’à ce qu’il craque pour moi pour de bon.

La soirée se termine comme elle a commencé, avec quelques grammes en plus. Je suis très attaquée et incapable de ramener la voiture. Évidement Pierre se propose, il dit qu’il n’a presque rien bu. Je parie qu’il s’est privé dans le simple but de me raccompagner. Finalement, Magalie me supplie d’accepter en me disant que je n’ai qu’à revenir avec Pierre, déjeuner demain midi, pour finir les restes et récupérer ma voiture. Je finis par accepter.

Nous montons dans la voiture de Pierre qui me ramène doucement chez moi. Une fois en bas de l’immeuble, toujours à Borny, alors que je m’apprête à descendre.

— T’en a pas marre de vivre ici dans cette zone ?
— Si, mais que veux-tu ? J’ai pas d’appart et avec ce que je gagne…
— Si tu venais vivre avec moi tu n’aurais pas besoin de travailler. Tu resterais à la maison. C’est bien aussi femme au foyer.
— Tu crois ? Je ne sais pas si ca me conviendrai.
— J’en suis sur. Tu es faite pour ça. Une femme comme toi c’est très rare. Toutes les autres je trouve que ce sont des salopes.

Je ne réponds pas. S’il savait.

— Bon je passe de prendre demain matin vers 11h00, tiens-toi prête.
— Ok, encore merci.

Je me penche pour lui faire une bise et l’embrasse sur le coin de la bouche puis me sauve. Il me regarde au travers du pare-brise. Je sens son regard se poser sur moi. Je suis sûre que ses yeux brillent.

Je m’engouffre dans la cage d’escalier et monte les cinq étages comme si j’avais le diable à mes trousses. J’entre à la maison. Maman est apparemment absente. Il est pourtant quatre heures du matin. Elle a encore découché. Je file dans la chambre me déshabille et me jette sur mon lit et sans perdre une minute je me mets à me caresser frénétiquement. J’encourage Pierre à me baiser à haute voix comme si ces doigts dans ma chatte pouvaient être sa queue.

— Oui, vas-y, Pierre. Baise moi fort, vas-y, n’aie pas peur de me faire mal, défonce-moi. Ouiiiiii.

Je mets deux doigts dans ma chatte et me branle à fond. Je me sens dégouliner sur mes doigts. L’orgasme arrive à la vitesse de l’éclair comme à chaque fois que je me caresse alors que je suis en manque. Je vais devenir folle. Je pousse un feulement de bête meurtrie et surtout frustrée de ne pas avoir joui comme je l’espérais. Du moins pas aussi intensément que je l’aurais voulu. Il me faut un homme, un vrai, qui me baise. C’est décidé. Je céderai à Pierre à la prochaine occasion.

Je m’endors tant bien que mal et me réveille tout aussi excitée que la veille. Je n’ai dormi que six heures et il me reste une heure pour me préparer. Vite, une douche. Je ne peux m’empêcher de me caresser et de me faire jouir une fois de plus. Rapidement, je me sèche. Il faut que je trouve une tenue pour Pierre. Sage et sexy à la fois. Je ne dois pas le brusquer. S’il pense que toutes les femmes sont des salopes, il faut absolument que je sache ce qu’il attend de la sienne. J’opte pour un petit tailleur beige, un soutien-gorge classique en dentelle, un chemisier blanc et des talons. Une culotte sage et basta.

Onze heures pétantes. J’entends une voiture dans la rue, je regarde par la fenêtre. C’est lui. Je venais juste de finir de me maquiller, j’attrape mon sac à main et descends les escaliers. Une fois en bas, il sort pour m’ouvrir la porte de la voiture.

— Quelle galanterie. Tu es un amour.
— Tu es ma princesse. Tu le sais bien. Tu es ravissante.
— Merci.

Il monte dans la voiture et je lui dépose un baiser sur le coin de la lèvre comme la veille au soir. Il sourit. Une fois arrivés chez Magalie et Cyril qui nous attendaient, nous discutons de choses et d’autres. Puis, en début d’après midi, Pierre me propose d’aller visiter son appartement. Il ne faut pas que je tombe dans le piège de la fille facile. Nous ramenons ma voiture chez moi puis je monte avec lui. Nous voilà en route. Il a une petite maison individuelle de côte de Metz Vallières, un coin très huppé. On se gare sur la monté de garage. Des pavillons tout autour. Un quartier résidentiel. Des maisons magnifiques. Je m’y sens déjà presque comme chez moi.

— Viens, entrons.

Je le suis sans rien dire puis il me fait visiter la maison. Au rez-de-chaussée, le salon salle à manger, puis la cuisine, très bien équipée, des toilettes, un cellier et un accès au garage, enfin un bureau et un cabinet de toilette. À l’étage, quatre chambres, une grande salle de bain avec douche et baignoire et un WC.

— Tu vois, il y a de la place pour toi.
— Oui, je vois ca. Tu as une maison superbe.
— Merci.
— C’est vrai. Tu as beaucoup de goût pour la décoration.
— Tu sais ce qu’il manque ici ?
— Non, mais tu vas me le dire.
— Oui ! dit-il en riant. Il manque une femme comme toi et une ribambelle de petits gamins.
— Qui sait, dis-je en lui souriant.

Il a prit ça comme une invitation. Il me pousse légèrement contre la porte de sa chambre et dépose un baiser sur ma bouche.

— Pierre.
— Oui ?
— Je dois t’avouer quelque chose. Je ne suis pas une salope.
— Non je sais bien Deborah. Pourquoi dis-tu ca ?
— Parce que je ne suis plus vierge et je sais que tu veux une fille bien. Alors…

Pour seule réponse, il dépose un baiser sur mes lèvres tendrement. Je sens sa langue s’insinuer et entrer dans ma bouche. Je me sens déjà fondre comme un morceau de chocolat sur une plaque chauffante. Mes seins pointent instantanément.

— Oh, Pierre ça fait si longtemps que je n’ai pas fait l’amour.
— Je le sens Deborah. C’est pour ça que tu es une fille bien. Que tu ne sois pas vierge importe peu. On fait tous des erreurs dans la vie. Tu n’es pas une salope pour autant. Je veux que tu deviennes ma femme.

Tout en disant ces mots, il passe une main sous la jupe de mon tailleur et la remonte. Il sent ma culotte qui me cache les fesses. Son regard est apparemment content de la découverte.

— Je déteste les femmes qui portent des strings, je trouve que ca fait vulgaire.

Ouf ! J’ai eu le nez fin. Puis il passe sa main sous la culotte pour me toucher les fesses.

— Pierre, mon dieu non, pas comme ça. Pas ici.
— Que tu as les fesses douces, pulpeuses. On dirait celles d’un bébé.
— Pierre, tu es si doux avec moi. Si gentil.
— Oui, je serais doux, attentionné, aimant. Je serais pour toi le mari parfait.
— Humm…

Puis il ouvre la porte de la chambre et m’allonge sur son lit, défait mon chemisier et doucement me caresse les seins. Les pointes sont tendues à m’en faire mal tellement je suis excitée et pourtant je dois retenir mes ardeurs pour ne pas l’effrayer. Il sort un sein du bonnet et se met à le téter doucement. Il me rend folle. Je dois le laisser mener la danse. Il faut absolument que je le laisser faire ce qu’il veut. Prendre ce qu’il me donnera. Puis doucement, il retire ma petite culotte et sort sa queue déjà bandée. Doucement il me pénètre. Je la sens entrer en moi doucement. Je soupire de plaisir. Mon cœur bat la chamade, j’en avais tellement envie. Depuis si longtemps. Lentement, il va et il vient dans ma chatte. Que c’est bon. Puis il accélère de plus en plus vite, c’est bon mais pourtant je reste sur ma faim alors que la fin est proche.

— Oh, Deborah, je suis si excité, je ne peux me retenir plus longtemps. Pardonne-moi.
— Oui, viens mon cœur. Viens, donne-moi tout. Ce n’est rien. Viens.

Mais pourquoi je lui dis ça ? Hein ? Pourquoi je lui que ce n’est rien alors que j’ai envie qui me baise à fond et que je vais encore rester sur ma faim. Je ne saurais vous dire ce qui se passe dans ma tête à ce moment-là. Mais j’ai trouvé le fait qu’il s’excuse tellement mignon. Je lui ai pardonné instantanément.

Je l’ai senti se tendre. J’ai fait semblant de jouir aussi sans savoir pourquoi je faisais ça, mais ca lui a fait plaisir, je pense. Son foutre chaud dans ma chatte m’a réchauffé le corps et m’a laissé espérer des moments meilleurs. Au moment où il a éjaculé il m’a dit :

— Oh ! Deborah. Oui comme je t’aime… épouse moi.

Et j’ai répondu :

— Oui. Pierre je t’aime, prends-moi ! (pas pour femme, mais physiquement pensais-je à ce moment là. Comme quoi parfois les mal entendus.)
— Ouiiiii ! je t’aime Debohhhhh ! Ahhhhh !

Et voilà comment en l’espace d’un instant je me suis retrouvée fiancée à Pierre et à être sa future épouse. Quand j’y repense on se connaissait peu. J’ai annoncé la nouvelle à ma mère. Elle a sourit et m’a félicitée. Tout le monde autour de moi été très content que je me marie avec Pierre. Tous disaient que nous ferions un couple parfait, que nous allions faire de beaux enfants et que j’allais être heureuse. Enfin.

Pourtant tout au fond de moi j’en doutais, mais je voulais tellement quitter la maison familiale que j’aurais accepté n’importe quoi. Y compris de me marier avec Pierre.

Tout a été très vite. Je suis venue habiter chez lui. Il faut dire que j’avais rien et le déménagement à été très vite fait. Les préparatifs de mariage ont commencé sur les chapeaux de roues. En rien de temps les faire-part, les bans, la salle, le traiteur etc. En l’espace de deux mois tout était près. Il ne me restait plus qu’à trouver ma robe de mariée. Magalie, ma seule et unique copine, m’a accompagnée. J’ai choisi la robe que j’ai payée avec la carte bleue de Pierre qui m’avait donné carte blanche. (Bah oui forcement… Carte blanche pour une carte bleue c’est la moindre des choses. Hihi).

Connaissant assez bien Pierre maintenant, je savais qu’il fallait quelque chose de classique. Il rêvait d’un mariage en blanc. Non pas blanc ! EN blanc ! Non mais ! Alors j’ai pris une robe blanche dont j’aimerais vous montrer la photo mais que je vais tenter de vous décrire. La robe, blanche donc, avait de jolis motifs ivoire, ors, mordorés avec une petite traîne. Pas de décolleté plongeant mais simplement, elle s’arrêtait au-dessus de la poitrine sans trop la mettre en valeur. On pouvait quand même voir qu’elle était volumineuse parce qu’elle remplissait bien la robe. Le tout avec un chignon, une petite couronne et un voile. Des brassières qui remontaient jusqu’au coude et pour finir des chaussures à talons de 12 cm.

Entre temps j’avais quand même constaté que Pierre, qui n’aimait pas les salopes, aimait la lingerie sans vraiment l’avouer. Mais attention, la lingerie fine ! Alors j’ai choisi un ensemble de mariée pour la nuit de noce en espérant que ça lui plairait. J’ai donc choisi, seule cette fois, un body porte-jarretelle blanc dont le bonnet contenait difficilement ma poitrine mais qui ne laissait rien voir. Seul le reste de l’ensemble était transparent, sauf à l’endroit du pubis. Des bas blancs pour clore le tout. Voilà j’étais enfin prête. Nous allions pouvoir nous marier.

Question sexe, nous avons fait l’amour deux ou trois fois avant le mariage, pas plus. J’étais un peu frustrée mais il disait qu’il ne fallait pas trop le faire sinon la nuit de noce nous paraîtrait banale. J’étais plus ou moins d’accord avec lui, mais heureusement, je vivais chez lui et j’étais souvent seule puisque j’ai démissionné à sa demande pour que je m’occupe de la maison. Je pouvais, à loisir me caresser et me faire jouir comme je le faisais avant.

Arriva le jour « J ».

Tout était fin près. La mairie, l’église puis la salle des fêtes. Nous étions une bonne trentaine. Surtout des amis de Pierre. Collègues de travail, amis d’enfance, son père, Etienne, un balaise. Il mesure au moins 1m90 et doit peser pas loin de 100 kg. Des yeux verts magnifiques et des mains comme des battoirs, énormes. Chauve, et le regard perçant, il m’impressionnait énormément et me fascinait tout autant. À en entendre parler les gens, il semblerait qu’il soit veuf et que ce soit depuis un chaud lapin. Toujours prêt à sortir danser ou pire. Rien que cette idée me donne déjà chaud aux joues. Il s’était d’ailleurs bien trouvé avec ma mère puisque ces deux là ne se sont pas quittés de la soirée. Son père avait pourtant déjà plus de 55 ans. Mais la différence d’âge importait peu à ma mère. Comme moi avec Pierre. Chose surprenante, il ne se ressemblait pas du tout. Pierre plutôt petit et fin alors que son père… Peut-être tenait-il plus de sa mère. Je le saurai sans doute avec le temps.

Quoiqu’il en soit, j’ai passé une soirée formidable. Je n’ai quasiment pas pensé au sexe et me sentais rassurée pour la suite, finalement heureuse de mon choix. J’ai dansé avec tous les hommes présents y compris son père. Qui danse très bien et j’ai bien dû lui marcher trois ou quatre fois sur les pieds. Tant et si bien, qu’à la fin, il me portait plus qu’il me guidait. Je sentais ses bras puissant autour de ma taille. On aurait dit une plume qu’il soulevait sans le moindre effort, sa musculature tendue sous sa chemise, son regard au plus profond de mes yeux, il n’y a bien qu’à ce moment là où je me suis sentie une petite fourni qu’il aurait pu écraser entre ses doigts et à la fois une femme qui au fond aurait aime être à lui, rien qu’à lui pour cette nuit.

Puis nous nous sommes enfuis pour nous retrouver dans un hôtel réservé à l’avance. Le champagne nous attendait. Pierre avait beaucoup bu, il s’est jeté sur moi, m’a enlevé ma robe, à sifflé en découvrant le body à jarretelle puis après m’en avoir débarrassée m’a baisé à la va-vite pour s’endormir comme une masse. J’ai été obligé de me finir moi-même, aussi déçue que la première fois. Je lui en voulus d’avoir gâché ma nuit de noce. Moi qui pensais pouvoir jouir au-delà de toute espérance et enfin crier mon orgasme à en faire vibrer les vitres de l’hôtel afin que chacun sache comment mon mari me faisait du bien.

Ses amis et collègues sont venus nous réveiller avec le pot de chambre. Ils avaient la clef de la chambre. Ils se sont trouvés tout bêtes en me découvrant nue sur le lit à côté de mon mari qui ronflait, alors que moi je somnolais à peine, je me suis enfouie sous les draps. Morte de honte, alors que Pierre reprenait difficilement ses esprits pour boire l’affreuse mixture qu’ils nous avaient préparée. Puis ce fut mon tour. J’avalai quelques gorgées de champagne mélangé à d’autres choses que je n’ai pas su identifier puis ils sont partis comme ils étaient venus. Personne n’a fait allusion à la vision à laquelle ils avaient eu droit en entrant. Le fait d’avoir été vue par tout ce monde nue le jour de mon mariage m’a beaucoup émoustillée j’ai donc pris l’initiative de caresser mon mari qui m’a fait, cette fois un peu mieux honneur, mais pas encore assez pour m’envoyer au septième ciel.

Les mois ont passé et je prenais toujours la pilule. De toute façon, il était si souvent absent que j’aurais pu difficilement tomber enceinte. Puis je n’étais pas prête. Pierre était adorable, mais vraiment un piteux amant. Je simulais ma jouissance à chaque rapport. Je finissais par déprimer. Je ne voyais plus ma mère depuis presque huit mois. Et Magalie avait déménagé. Je me retrouvais quasiment seule entre ces quatre murs entre lesquels je passais mon temps à faire le ménage et à me caresser en laissant mon esprit vagabonder en me mettant à la place de fille que je voyais sur canal + le soir tard ou sur les chaines du satellite que Pierre avait pris avec toutes les options sans ce soucier des chaines que fournissaient les bouquets. J’avais mis en favoris les chaines de cuisines, de jardinage, de décoration. Il lui arrivait de partir des semaines entières. En revenant il trouvait toujours quelque chose de changé dans le jardin ou dans la maison. Je lui préparais des petits plats et pourtant, je me sentais partir en dépression chaque jours un peu plus.

Une année passa ainsi, puis la seconde commença. Noël avec son père que je revis pour la deuxième fois puisqu’il habitait dans le sud ouest, à Mimizan. Bientôt les vacances. J’ai arrêté la pilule à la demande de Pierre pour que nous puissions faire un enfant pendant les vacances. Je l’avais fait pour lui faire plaisir.

Fin juillet. Nous sommes prêts à partir en vacances alors que Pierre apprend qu’un de ses collègues vient de se suicider. Sa femme l’a quitté, la pression du boulot, il n’a pas supporte et s’est jeté du quinzième par la fenêtre de son appartement. Pierre m’annonce qu’il annule les vacances et là, je pète un câble en lui disant que ce n’est pas possible, que je n’en peux plus d’être seule et que moi aussi je vais faire une bêtise. Complètement affolé, il téléphone à son père et lui demande de venir me chercher pour m’emmener avec lui quinze jours afin que je me détende et qu’il s’occupe bien de moi. J’accepte sans conviction, gênée par l’idée de vivre deux semaines seule avec son père que je ne connais à peine. Lui accepte volontiers et dit qu’il sera là dans deux jours, le temps de monter en voiture.

Voilà comment trois jours plus tard mon beau-père et moi partions en direction de Mimizan. Mimizan, le soleil, les plages, les restaurants. Moi qui n’ai jamais connu autre chose que Metz et sa grisaille, je me sens toute requinquée à cette idée et bizarrement depuis longtemps, excitée comme une puce. Pierre, lui, me fait de grands signes sur le trottoir, je le regarde, à peine le temps de lui faire signe et me voilà repartie à penser à ces quinze jours de vacances. D’ailleurs, en y repensant, c’est la première fois que je pars en vacances depuis que je suis née. Cool.

À suivre.
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 20:38

3ème partie :


Résumé du précédent épisode : dans le dernier épisode je racontais comment je me suis assez rapidement marié à Pierre, un charmant jeune homme raide dingue de son boulot et le début de ma dépression.


Tout excitée par notre départ et sachant que nous allons dans le sud, je choisis une petite robe légère, coupée aux genoux et fermée sur le devant avec dessous un soutien-gorge discret et aux pieds de petites chaussures style spartiate plate. Mon décolleté est raisonnable, il laisse malgré tout deviner ma forte poitrine sans pour autant rien dévoiler.

Metz – Mimizan voila une belle épopée. Il est 4 heures du matin et nous voilà en route. Nous arriverons vers 18 ou 19 heures pour l’apéro. Le trajet est agréable et je fais un peu connaissance avec Étienne. Rapidement je m’assoupis mais je sens parfois son regard sur mes cuisses qui du fait de la légèreté de la robe, se découvrent assez peu, mais sans doute assez à son goût. Je m’en suis rendu compte mais après tout c’est mon beau père et je n’y vois pas de mal, si ce n’est que son regard me rend toute chose. Il essaye de deviner ma poitrine sous ma robe, mon ventre et mes cuisses. Cela me trouble.

Je me souviens avoir légèrement ouvert les yeux et surpris son regard sur moi. Je vois une grosse bosse dans son pantalon. Et quand je dis une grosse bosse, je peux vous dire que c’est une grosse bosse, une énorme bosse. Aussitôt, je referme les yeux avant qu’il ne se rende compte que je ne dors plus. Mon esprit se met à vagabonder en repensant à certaines scènes de films ou certains dialogues que j’ai eu avec des hommes sur internet. Comme je vous l’ai dit je m’ennuyais et souvent je faisais des scénarios très cochons sur internet avec des hommes particulièrement doués. Parfois même pervers et vicieux et j’avoue y avoir pris goût. Leur perversité, leur langage cru, leurs mots, leurs insultes mettaient le feu en moi et j’ai imaginé à un moment qu’Étienne allait faire de même.

Je mets un long moment à me calmer et me rendormir pour de bon. Des milliers d’images toutes plus salaces les unes que les autres défilent dans ma tête et je sens ma chatte s’humidifier. J’ai envie de me caresser.

Nous arrivons sur Poitiers. Le passage d’Orléans n’a pas été simple pour éviter Paris. Étienne me réveille gentiment en posant sa main sur mon épaule.

– Nous allons nous arrêter déjeuner.
– Bonne idée. J’ai aussi très envie d’aller aux toilettes.
– Oui je me doute. Et moi aussi. Ça fait longtemps que nous roulons, il est temps de faire une pause.

Je sors de la voiture toute engourdie. Je m’étire les bras en l’air faisant ainsi relever et bien saillir ma poitrine. Étienne me regarde et a visiblement du mal à contenir un début d’érection. La situation me gène et m’amuse à la fois. Je suis fière d’être encore capable de faire bander un homme. Pierre s’occupe si peu et si mal de moi qu’à certains moments je me suis demandée si j’avais perdu de mon charme et si cette année et demie de mariage avait eu raison de ma beauté. Visiblement non. Je me suis mise à penser que je pourrais peut-être jouer avec lui oubliant ce que j’avais entendu sur sa réputation de tombeur et de baiseur invétéré.

Avant d’aller manger un morceau, je fais un détour par les toilettes. J’ai, comme toutes les femmes, emporté mon sac à main et je me refais une beauté. Pas de maquillage, mais j’insiste un peu plus sur le rouge à lèvre, je défais un bouton de ma robe laissant un peu plus la vue sur mon décolleté, hésite à en défaire un second mais la robe n’en comporte que peu et si j’en défais un de plus je vais me retrouver avec une vue imprenable sur mon soutien-gorge et je ne peux pas me le permettre. J’abandonne donc cette idée. Puis en me penchant devant le lavabo pour me laver les mains, je me rends compte que finalement on peut avoir une vue suggestive de ma grosse poitrine. Sans vraiment la voir on la devine lourde et ferme.

Nous voilà donc à table. Nous échangeons quelques futilités. Il me parle de Pierre, me demande si tout va bien et si je ne m’ennuie pas trop. Si j’ai l’intention de travailler et je lui explique que Pierre s’y oppose et veut une femme au foyer qui s’occupe des enfants. Que d’ailleurs, à ce sujet là, on s’applique à en avoir un depuis prés d’un mois.

Une fois le repas terminé nous remontons dans la voiture et repartons pour finir le périple. Encore quelques heures et nous y serons.

Dans la voiture, nous continuons à discuter et rapidement je me sens en confiance. Étienne est vraiment charmant. Je regarde longuement sa carrure et ses mains de travailleur. De larges battoirs, avec des doigts rugueux et épais, des mains d’hommes. Dans mes pensées j’aimerais qu’elles parcourent mon corps, qu’elles le râpent, le griffent. Voilà que mon corps réagit à nouveau à ces pensées, ma chatte une fois de plus s’humidifie et mes tétons se dressent malgré moi sous ma robe. Je ne pense pas qu’il s’en soit rendu compte et je finis par lui dire que je vais faire une sieste. Il me dit d’en profiter pour me reposer et décompresser.

Dans mon sommeil, je suis encore à la merci d’images pornographiques ou des femmes se font plus ou moins maltraiter par des hommes bien montés. Elles se font prendre debout, assises, couchées. Mon Dieu dans quel état je suis. C’est à force de regarder ce genre d’images sur le net. Je suis une grande malade. Il faut que je me calme.

Le temps passe. Et nous voilà arrivés. Enfin !

J’en pouvais plus de cette voiture. Bien que très confortable, je devenais claustrophobe.

La maison est magnifique, en bordure de Mimizan. On pourrait presque aller à la plage à pied. La ville n’est pas très loin, c’est vraiment superbe. À l’intérieur, un grand salon avec une grande cuisine américaine et un immense canapé avec une méridienne face au téléviseur. À l’étage, quatre chambres, salle de bain avec une douche et une baignoire à bulles. Je me dis qu’il a dû très bien gagner sa vie et que la mort de sa femme a dû lui permettre de finir la maison grâce sans doute aux assurances. Puis derrière, un grand jardin et une piscine relativement grande. Je m’imagine déjà en train de bronzer.

Rapidement nous vidons la voiture et il me donne la chambre à côté de la sienne. Je regrette d’ailleurs un peu parce qu’il va me falloir être discrète et j’ai bien l’intention de pratiquer mon exercice favori : la masturbation. Et cela le plus rapidement possible. Je n’en peux plus, il faut que je jouisse.

Il me dit que nous allons dîner dans un petit restaurant au bord de la plage. Je décide donc d’aller me rafraîchir et de prendre une douche. Il acquiesce en me disant qu’il va ranger la maison en attendant et regarder son courrier.

J’entre dans la salle de bain et me déshabille. Dans la douche, dont le verre est totalement transparent, je fais couler l’eau. Hum l’eau tiède sur ma peau me redonne vraiment un coup de fouet. Je passe la pomme de douche sur mes seins qui réagissent au quart de tour, les images, à nouveau, se bousculent dans ma tête, mon Dieu j’ai tellement envie de jouir, je passe entre mes cuisses arrose mon bouton d’amour, je me sens défaillir au moment même où l’eau frappe mon clitoris, je ferme les yeux, je sens que ça vient, je vais jouir, ma respiration s’affole, j’ai les tétons tendus à m’en faire mal, c’est irrémédiable, je vais exploser là, maintenant.

– Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Mes jambes menacent de céder sous la pression de mon orgasme, il m’a fallu toute la force de mon corps pour ne pas hurler. Mon Dieu que c’est bon !

Je mets un moment à reprendre mes esprits mais je ne suis pas calmée pour autant. Je m’engouffre dans ma robe de chambre et file dans la chambre pour me préparer. Je ne sais pas quoi mettre, je n’ai pas trop de trucs d’été. Mais finalement j’opte pour une autre petite jupe un peu plus courte et un petit chemisier. Effectivement je me regarde dans la glace elle arrive mi-cuisse, voire un peu au-dessus, j’enfile un string blanc en dentelle transparent - il y a bien longtemps que j’en mettais plus à cause de Pierre - et un soutien-gorge pas très efficace en terme de maintien car il laisse ma poitrine balancer plus ou moins naturellement mais il met bien en valeur la profondeur entre mes seins. Le chemisier ne se ferme pas trop haut ce qui permet de laisser un joli décolleté et une vue imprenable sur ma poitrine si je me penche un peu plus que ce qui est raisonnable. Le tout reste quand même correct si on ne fait pas d’acrobatie. Je finis avec une paire de spartiate mais à petits talons cette fois.

Étienne me félicite sur mon choix et me dit que je suis ravissante, je le remercie en rougissant. Et il file sous la douche. Il revient trente minutes plus tard vêtu d’un pantalon en lin et d’une chemise ouverte sur son torse velu et fort. Mon Dieu qu’il est beau cet homme de 60 ans, un homme superbe, une montagne de muscles. J’en mouillerais encore ma culotte. Il faut que je me retienne.

– Allons-y, dit-il.
– Oui j’ai faim.

Au restaurant, nous nous mettons à plaisanter sur le dos de Pierre qui ne sait pas profiter de la vie, qui ne pense qu’à son travail. Puis on parle un peu de sa femme, la circonstance de son décès, ce qu’il a ressenti, la peine, la solitude, puis il se reprend. Bref, après ce petit coup de blues, ça va mieux, il profite du temps qui lui est donné bien décidé à ne rien laisser passer pour se faire plaisir. Je suis complément d’accord avec lui.

Puis nous rentrons. Chacun dans sa chambre. Je me caresse en pensant à lui, j’ai honte mais ne peux m’en empêcher. Je finis par jouir aussi discrètement que possible. J’essaye d’écouter chez lui en posant mon oreille contre le mur mais rien. Pas un bruit. Je suis finalement déçue.

Le lendemain matin quand je me lève, le petit déjeuner est prêt sur la terrasse et il fait un temps superbe. J’ai enfilé quelques habits vite fait, histoire d’être présentable, un soutien-gorge et un slip. Nous déjeunons ensemble et il me dit qu’il a deux ou trois courses à faire et que pendant ce temps je n’ai qu’à profiter de la piscine pour bronzer un peu. N’ayant que des maillots une pièce, je me pense en moi-même que ça ne va pas être facile.

Je me décide quand même d’aller nager un peu, puis je m’allonge sur la serviette. Il fait beau c’est vrai que c’est dommage de ne pas profiter de ce soleil. Je défais donc le haut de mon maillot, le roule sur mes hanches et me couche sur le ventre. C’est le bruit de la voiture dans l’allée qui me fait sursauter et j’ai juste le temps de me réajuster avant qu’il arrive. Je l’aide à ranger les courses. Il a acheté pour nourrir un régiment.

– Ce soir barbecue et sortie en boîte, ça vous tente ?
– En boite ? ça fait bien longtemps que je ne suis pas allé danser.
– Et bien, c’est le moment.
– Oui, vous avez raison, c’est les vacances après tout.
– Demain, on ira faire du shopping, je vous montrerai la ville et on fera peut-être un saut jusqu’à bordeaux ou Arcachon.
– Bonne idée. Merci Étienne de vous occuper de moi, c’est très gentil.
– Tout le plaisir est pour moi, ma chère. Faut que je prenne soin de ma belle-fille quand même, non ! Délaissée qu’elle est.

Je souris en rougissant, imaginant déjà comment j’aimerais qu’il s’occupe de moi.

La soirée barbecue est bien arrosée : apéro, vins rosés et un petit digestif. On se prépare alors pour aller en boite de nuit. Chacun son tour on prend une douche afin de se débarrasser des odeurs de graillon du feu et on se retrouve dans le salon. Lui vêtu d’un jean et d’une chemise, moi d’une petite robe plus courte que d’habitude, un peu au-dessus de la mi-cuisse et des chaussures à talons assez hauts qui font bien ressortir mes mollets et ma chute de reins. En haut la robe est assez largement ouverte afin de laisser un décolleté tout ce qu’il y a de plus suggestif avec un petit soutien-gorge à balconnet en dentelle complètement transparent. Ce sont quelques atours que j’avais acheté pour faire plaisir à Pierre qui s’en est désintéressé si bien que les atours ont fini au fond de l’armoire. À vrai dire j’ai acheté un tas de trucs très coquins que je n’ai jamais eu l’occasion de mettre après quelques échecs cuisants. Sans savoir pourquoi, je les ai amenés.

Étienne ne peut s’empêcher de rester bouche bée quand je débarque dans le salon.

– Et bien dites donc ! Si on m’avait dit que j’avais une belle-fille aussi séduisante. Je ne l’aurais pas cru.
– Merci Étienne. Vous me flattez.
– Non ! Je suis sincère. Il va falloir que je vous surveille si je veux vous ramener à mon fils parce que vous allez faire tourner les têtes.
– Arrêtez ! Vous me gênez.

En vérité, j’adore qu’il me flatte ainsi et si je pouvais, je lui montrerais ma gratitude à ma manière. Mais encore une fois je refreine mes instincts.

Dans la boîte, un monde fou. Nous buvons encore quelques verres, nous dansons, plaisantons puis vient le moment des slows. Beaucoup de mecs tournent autour de moi. Ma robe a tendance à virevolter et dévoile mes cuisses assez largement parfois on doit apercevoir mon string. Aussitôt Étienne prend les devants et m’entraîne sur la piste au grand regret de certains qui auraient certainement aimé profiter de la situation. Un peu alcoolisée, je me sens légère comme une plume, je ris parfois un peu niaisement aux plaisanteries d’Étienne. Je sens parfois sa main frôler subrepticement mes fesses ou un sein, au travers de ma robe. Je laisse faire, lascive. À un moment je sens même qu’il bande, son sexe pèse contre ma jambe ou contre le bas de mon ventre. Je suis en feu, je voudrais qu’il me prenne là, devant tout le monde, comme une bête. Je deviens folle, il faut qu’on me baise, qu’on me défonce, qu’on me déchire et lui a apparemment ce qu’il faut pour me faire hurler de plaisir comme je sais si bien le faire. Je me laisse de plus en plus aller à ses caresses mais la soirée est déjà bien avancée et déjà on annonce la fermeture de la boite. Nous finissons nos verres et partons en me laissant sur ma faim. À peine arrivés nous nous souhaitons bonne nuit et regagnons chacun notre chambre. Là je me masturbe comme une cinglée, en levrette, à m’en faire mal au clitoris, le griffant, le pinçant pour que ça aille plus vite, pour enfin étouffer dans mon oreiller un cri rauque que, j’espère, personne n’aura entendu.

Une fois mes esprits retrouvés, je me suis demandée ce qu’Etienne pouvait bien faire lui qui bandait si fort. Peut-être a-t-il fait de même ? Je l’espère. Quoi qu’il en soit, je veux profiter de mes vacances. Au diable les maillots de bain une pièce, demain je m’achète un deux-pièces et je me ferai bronzer en topless si le cœur m’en dit.

Dans la matinée je décide d’aller faire un petit tour à pied jusqu’au village. Quelques petites boutiques dont une de lingerie, attirent mon attention. J’entre dans un petit magasin de fringues pour voir si je trouve un maillot de bain. Je demande à la vendeuse qui me parait sympathique et qui gentiment commence à déballer ce qu’elle a. Manque de chance, elle n’a pas tout à fait ma taille mais je trouve finalement un maillot de bain qui pourrait me convenir : jaune fluo mais un peu petit. Dans la cabine d’essayage, il me cache difficilement les seins qui débordent de partout de plus comme je ne me rase pas (le sexe) les poils se voient presque en transparence. Décidément, je ne peux pas prendre ce maillot ça fait moche. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je jette mon dévolu sur un autre bikini noir qui cache mieux ma toison mais vraiment trop petit pour mes seins. Il en cache une bonne partie mais les écrase assez pour qu’ils débordent copieusement de chaque coté. C’est un peu vulgaire mais je n’aurai qu’à ne pas mettre le haut.

Après le déjeuner je décide de m’allonger le long de la piscine et Étienne décide d’aller faire une petite sieste. Je prends le temps d’enfiler mon nouveau maillot de bain et me colle sur ma serviette, le soleil brûle et Étienne qui n’est pas encore couché vient me voir.

– Vous devriez mettre de la crème, nous ne sommes pas à Metz, vous allez ressembler à une écrevisse en un rien de temps.
– Oui, je sens que ça me brûle déjà, dis-je en tournant la tête vers lui.

Il est en maillot de bain, torse nu. Une baraque poilue, aux muscles saillants et, mon Dieu, un de ces paquets dans son maillot, j’en reviens pas, ce n’est pas possible, ça ne peut pas exister. J’ai vu des trucs énormes sur le net, jamais je n’ai pensé qu’on puisse en trouver en vrai. Enfin bref vous me comprenez. Je m’arrête de parler tout net devant ce spectacle. Il s’approche avec son tube de crème qu’il avait déjà à la main et commence à m’en mettre sur le dos.

– Vous permettez ?
– Heu… oui, oui, dis-je en bredouillant.

Ses mains rugueuses parcourent mon dos. Mon Dieu, je vais défaillir. Il passe la main sous l’attache de mon haut.

– Vous devriez défaire votre haut, il va laisser une trace ce serait dommage.
– Ah oui ?
– Bien sûr, dit-il en tirant sur la ficelle et la jetant de chaque coté.

Me voilà le dos nu. Puis il s’attaque à mes cuisses. Le maillot est un peu petit et ne cache pas toutes mes fesses. Il en profite pour mettre de la crème dessus tout en resserrant le maillot dans la raie façon string. Je suis dans un état proche de la syncope. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’emballe. Je suis sûre qu’il le sent. Mon Dieu, quelle honte ! Mais ses mains… humm… ses mains sur mon corps. Un homme, un vrai.

– Vous voulez vous retourner ?
– Heu… non, non, ça ira je vais me débrouiller.
– Vous êtes sûre ?
– Oui, oui… non ! Enfin… je pense.
– Très bien.

Il se lève et rentre dans la maison. Je suis en transe. Je sens ma chatte dégouliner entre mes cuisses. Je suis au bord de l’orgasme. Il disparaît de ma vue. Je serre mes cuisses pour maintenir mon excitation. Je me fais des films salaces, d’une violence extrême. Il faut que je jouisse. Ma main s’égare entre mes cuisses passe sous mon maillot, j’appuie sur mon bouton d’amour et en moins de trente secondes je pousse un râle de jouissance que je n’ai pu, cette fois, étouffer. Je retombe sur ma serviette comme une morte, quelques spasmes parcourent encore mon corps. Puis je m’assoupis.

Quand je me réveille, il fait encore chaud c’est la soif qui me sort de ma torpeur. Je me lève seins nus et le haut de mon maillot à la main me dirige dans le salon puis la cuisine pour boire un verre. Je bois tranquillement mais il me semble entendre des bruits bizarres venant de l’étage. Comme si quelqu’un parlait. Il n’est pas seul ? Je remets rapidement mon haut puis monte très doucement l’escalier qui heureusement ne fait pas de bruit. Je m’approche de la porte de sa chambre. Effectivement, il parle.

– Oui ma belle, tu m’excites. Tu aimes ma grosse queue ? Je peux t’appeler Deborah ?

Mon sang ne fait qu’un tour. Il fait quoi ? Qui veut-il appeler Deborah ? Un téléphone rose. Je suis sûre que c’est ça. Je m’approche encore pour mieux écouter ce qu’il dit.

– Vas- y suce bien ma grosse tige, salope.
– Je suis sûr que t’es aussi salope que ta putain de mère. Si tu savais ce que je lui ai mis le jour de ton mariage.

Quoi ? Il a baisé ma mère le jour de mon mariage. La salope. Il a fallu qu’elle se le fasse. Je suis jalouse et hors de moi.

– Elle a pris ma grosse queue bien au fond de sa chatte mais m’a refusé son cul. Mais toi je suis sûr que tu vas la prendre. Tu vas voir je vais te déchirer le fion grosse pute.
– …
– Humm… vas-y, prends-la ! Suce !

J’entends qu’il se masturbe. Je suis à nouveau dans un état incroyable. J’imagine déjà sa grosse queue dans sa main.

– Vas-y plus vite, comme ça, oui… je vais tout te mettre dans la bouche.
– Ahhh !

Je ne sais plus quoi faire. Je l’entends jouir. Rapidement, je redescends prés de la piscine comme si rien n’était mais dans tous mes états. Quand je pense qu’il a baisé ma mère… Décidemment, elle ne me lâchera jamais. Assise dans le transat, j’essaye d’imaginer la scène. Une main se glisse dans ma culotte, j’écarte les cuisses, les yeux fermés sans même me rendre compte qu’il pourrait débarquer d’un instant à l’autre. Une petite jouissance discrète a raison de moi. Quelques minutes plus tard il apparaît, souriant.

– Deborah, vous avez pris des couleurs. Vous êtes toute rouge.
– Oui j’ai chaud.
– Il fait beau ici, n’est-ce pas ? Si on dînait en bord de plage ?
– Très bonne idée.
– On y va en maillot, on sera mieux.
– Heu … d’accord. J’emmènerai un petit haut au cas où j’aurais froid.
– Très bien.

Son regard ne quitte pas mes seins. Les tétons rigides auraient pu transpercer le tissu. Mes seins encore gonflés par l’excitation, débordent outrageusement. Il veut qu’on sorte comme ça. Soit, allons-y !

À suivre…
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 20:42

4ème partie :


Résumé : Dans le précédent épisode, nous sommes arrivés à destination et j’ai découvert que mon beau-père avait baisé ma mère le soir de mon mariage.


Nous montons dans la voiture. Je ne porte sur moi que mon bikini et un petit gilet sur les épaules. Mes seins sont encore durs de l’excitation que m’ont procurée les paroles d’Etienne au téléphone. Mes tétons pointent vulgairement au travers de mon haut et ma chatte est trempée. Je suis tellement mouillée que j’ai l’impression d’avoir pissé dans ma culotte. Lui est en maillot aussi et son gros paquet entre les jambes ferait honte à tous les hommes. À peine sommes-nous arrivés qu’il met un caleçon de bain pris dans le coffre. Je suis surprise de ce geste puisque, du coup, je me retrouve seule en bikini alors que lui finalement, fait presque habillé malgré le fait qu’il soit torse nu.

Nous entrons dans un bar à rhum. Beaucoup de jeunes bien bronzés, la vingtaine comme moi. Etienne, apparemment, est bien connu. On s’assoit sur de hauts tabourets au bar. Les mecs me regardent avec insistance. Je me sens un peu gênée. Puis Etienne commande deux rhums-orange bien frais. Nous les buvons rapidement puis deux autres sont déjà servis. C’est trop bon. Je n’en ai jamais bu, mais je sens la chaleur monter en moi. Je me sens bien d’un coup, détendue. Je commence à plaisanter avec Etienne qui souvent passe une main sur mes cuisses ou sur mes épaules. Ses mains parcourent mes cuisses avec délicatesse, tendresse, et douceur.

Au bout d’une heure, nous avons bu quatre ou cinq rhums. J’ai chaud. Je suis en transe, je suis fin excitée. Il me caresse les cuisses et les épaules avec ses mains rugueuses, me susurre dans l’oreille. Puis il m’entraîne sur la piste de danse où l’on se dandine. C’est une biguine. On danse, il passe sa jambe entre les miennes et me fait quasiment asseoir dessus, frottant mon sexe sur sa jambe. On tourne, ça me fait un effet de dingue, j’ai failli jouir sur place. Ses grosses mains en profitent pour me masser les fesses en dansant.

J’en peux plus, je vais devenir folle. Puis la musique cesse, nous retournons au bar. J’ai du mal à marcher, mes jambes flageolent. Entre l’alcool et mon excitation, je suis complètement déboussolée. Je ne sais plus si ce que je suis en train de vivre tient du rêve ou de la réalité. J’ai une espèce de boule dans le ventre qui me rend toute bizarre. Il y a trop longtemps que je n’ai pas fait l’amour. Mes seins me font un mal de chien tellement ils sont gonflés de désir, je ne peux pas rester comme ça. Je vais mourir.

— Déborah ?
— Oui ?
— Voulez-vous que nous rentrions ?
— Oui, dis-je, complètement ailleurs.

Il me prend par la taille et m’entraîne à la voiture, nous nous asseyons. Pendant tout le trajet, il me caresse les cuisses. Parfois jusqu’en haut, frôlant mon bikini. Je ne tiens plus. Quelques minutes plus tard, nous arrivons à la maison. J’ai faim. J’ai faim de sexe, de queues, de grosses queues. À peine entrés dans le salon, il me jette sur la méridienne, m’arrache mon bas de maillot et se jette sur ma chatte trempée. Impossible de résister. J’attends qu’on me baise depuis trop longtemps pour pouvoir lutter contre mon envie éternellement refreinée.

Etienne me fourre la langue à fond, aspirant mes grandes lèvres, un doigt est venu lui prêter main forte et me laboure la chatte. Puis un deuxième. Ma vue se trouble.

— Pierre est un idiot de te délaisser. Il n’y connaît rien en matière de femmes. Je vais bien m’occuper de toi, ma belle.

Joignant le geste à la parole, il me relève et dépose un baiser sur mes lèvres pendant que ses mains s’égarent sur mes fesses. Ses grosses mains les prennent, les pressent, les malaxent, les écartent. Sa langue passe entre mes lèvres que j’ouvre pour lui donner ma langue. Je sens le propre goût de ma chatte. Nous nous embrassons fougueusement, nos langues se mêlent, je le tiens par la taille. Je sens son sexe contre mon ventre, puis doucement, il me retourne pour me mettre dos à lui. Cette fois, je sens son engin entre mes fesses. Il prend mes seins à pleine main et les dégage du maillot. Il les pelote fermement tirant sur les pointes sans trop de ménagement. À ce moment-là, j’ai failli m’évanouir tellement il les a pressé fort et tellement ils étaient tendus.

— Je vais te donner du plaisir, Deborah et je sais que tu n’attends que ça.

Pour seule réponse, je pousse mes fesses plus fort en arrière, contre lui.

— Tu vas voir, je vais bien m’occuper de toi. Sens comme je suis dur pour toi.

Il me doigte la chatte. On entend les clapotis de ses doigts dans ma grotte d’amour. Je suis à point. Doucement, il me pousse sur la méridienne pour me mettre en levrette. J’adore cette position si longtemps abandonnée. J’adore cette sensation de mes gros seins qui pendent et ballottent dans le vide. Il descend lentement le long de mon dos en m’embrassant. Il passe sa tête entre mes fesses qu’il maintient largement écartées.

À l’instant même où il pose sa langue contre ma chatte, il a extirpé mon clitoris de sa cachette, l’a pris entre ses doigts et l’a pressé de toutes ses forces. J’ai joui comme une furie en poussant un cri. Mes mains tiennent un oreiller et ma tête se pose maintenant contre pour mieux me cambrer. Je suis prise de convulsions, mon ventre est secoué de partout, ça faisait si longtemps !

Il continue à me lécher, je sens le plaisir revenir au galop. Il introduit deux doigts dans ma chatte tellement je suis déjà dilatée, je ne rêve que d’une chose : qu’il me déchire avec sa grosse queue et qu’il m’insulte comme il le faisait au téléphone. Puis il remonte vers mes seins tout en me doigtant, il me les malaxe. Mon dieu que c’est bon, je sens que je vais jouir un fois de plus. Je sens que ça monte.

— Ahhhhhh ! Ouiiiii, putain, je jouiiiiiis.
— Vas-y ma belle, jouis, jouis fort, je vais te la mettre, tu vas voir.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Un fois de plus, mon corps est parcouru de spasmes. Incroyable, mon cœur va exploser. Il va me tuer à cette allure-là. Je perds la notion du temps et de l’endroit. Puis soudain, je sens son gland qui me fait l’effet d’un poing à l’entrée de ma chatte. Il pousse doucement, il a du mal à entrer tellement il est gros. Rien que le bout du gland déforme déjà mes lèvres, je sens que ça va être magique.

— Vas-y ! Baise-moi !
— Je vais te faire mal.
— Baise-moi ! dis-je en hurlant.
— Très bien, espèce de salope. T’as envie de te faire déchirer la chatte, ton vœu va être exaucé.

Puis prenant appui sur ses pieds, il force l’entrée de ma chatte qui s’élargit sous la pression. Je me mets à gueuler tellement il me fait mal, mais je ne demande que ça. J’ai envie que sa grosse queue me transperce, qu’elle me ressorte par la bouche, j’ai tellement envie de jouir.

— Ohh putain, oui ! Etienne, Ouiiii !
— Tu la sens, là ? Tu l’aimes ? Que t’es serrée. Je ne vais pas tenir longtemps.
— Ohhh. Si encore. Hummm.
— Ohh, la vache.
— Ahh oui, je l’ai à fond. Ouiiii.
— Non, il en reste encore, tu ne pourras pas tout prendre. Mais je trouverai une solution.
— Oui !

Une fois de plus, je suis tétanisée par l’orgasme qui me foudroie alors que je sens son sperme gicler en moi en longues saccades. Je tressaute comme une carpe hors de l’eau. Bouche ouverte. Complètement déboussolée. Puis il s’effondre à côté de moi. Me laissant, la chatte baveuse et dégoulinante. J’ai encore envie mais je suis épuisée. Doucement, il se relève et m’aide à faire de même. Il m’embrasse tendrement, me caresse les fesses. Sa langue dans ma bouche me fouille et je lui rends son baiser. Nous restons là un moment à nous regarder.

— Tu veux boire quelque chose ?
— Oui ! Un rhum.
— Ok !

Il revient avec deux rhums. On les boit quasiment sans rien dire. Je n’avais même pas remarqué qu’il avait remballé son matériel. Quand je pense qu’il vient de me baiser et que je n’ai même pas vu sa queue. Je suis assise cul nu et les seins à l’air, sans aucune pudeur, sur la méridienne. J’ai encore les tétons pointés, mes seins me font encore mal et j’ai encore envie mais je n’ose rien dire. Nous buvons notre verre sans un mot. Puis je me lève.

— Où vas-tu ?
— Je vais prendre une douche.

Une fois dans la douche, je me lave de partout puis soudain, Etienne entre dans la salle de bain. Je sursaute. Il me regarde en train de me laver. Je perds toute pudeur. Il est nu. Je vois son énorme sexe pendre entre ses jambes. Je coupe l’eau instinctivement. Il ouvre la porte de la douche puis entre. Je remets l’eau tiède en route. Il me lave. Passe ses mains partout sur mon corps, je redémarre. Il bande et cette fois, je la vois. Dure, raide, énorme. Je la caresse, la masse, la branle. Il me chuchote des insanités aux creux de l’oreille.

Puis il me retourne contre la faïence, enduit mon anus de savon et soudain je sens son doigts entre mes fesses sur mon anus. Je sais ce qu’il a en tête. Son doigt entre tout seul, tellement je suis excitée, je pousse pour l’aider à entrer. Il enfonce son doigt et déjà je sens sa main contre mes fesses. C’est qu’il me l’a mis en entier. Il tourne, entre et ressort. J’adore cette sensation de soumission dont le seul but est de me fourrer sa queue dans mon cul. Puis au bout d’un moment, il en met un second qui entre plus difficilement. Mais bientôt, je les ai tous les deux bien profond dans mon fondement. Il les écarte, les tourne, les bouge en rajoutant toujours du savon pour que je sois bien glissante. Je commence à sentir une drôle de sensation me remonter dans les reins et mon ventre. Cette situation est si humiliante. Moi, la tête contre la faïence, en train de me faire doigter l’anus par cet homme. Rien que d’y penser, je mouille comme une folle. Je ne peux m’empêcher de passer, sans qu’il me le demande, une main entre mes cuisses pour me masturber.

— Mais dis-donc. C’est que tu y prendrais goût à te faire ramoner le cul.

Ses paroles me rendent folle. Je pousse un long soupir de plaisir quand mes doigts griffent mon clitoris.

— Avoue que tu aimes ça, que je te prépare ton petit œillet.

Et tout en me parlant, il se met à entrer et sortir ses doigts de plus en plus vite et de plus en plus profonds dans mon cul. Puis il met un troisième doigt qui cette fois me détend fortement l’anus. Je pousse un petit cri de surprise et de douleur.

— Tu vas voir ! Tu vas adorer quand je vais y mettre ma queue.
— Non ! Vous êtes trop gros, vous allez me déchirer.
— T’occupe. Tu vas voir comme je vais bien te défoncer le fion. Tu vas kiffer.
— Non ! Je vous en supplie. Me faites pas ça.
— Ta gueule !

Puis il ressort ses doigt de mon cul et pose son énorme gland son mon anus. D’une poussée, il me pénètre. J’ouvre la bouche, une fois de plus comme un poisson hors de l’eau. Je sens comme un coup d’électricité entre mes reins.

— Voilà, le gland est passé.

Il le ressort, l’enduit de savon et le remet. Il rentre plus facilement. Je gémis.

— Allez ! Maintenant, je vais t’enculer, ma belle. Je vais t’enculer et je vais te donner ce qui te manque depuis si longtemps. Du sexe, en veux-tu, en voilà. On va baiser pendant quinze jours comme des bêtes.
— Ouiii.
— Détends-toi, laisse-toi aller
— Ohhh, Etienne vous me faites mal. Vous allez me déchirer l’anus.
— T’inquiète, je sais comment m’y prendre, c’est le seul endroit où je vais pouvoir te la mettre jusqu’aux couilles. Tu vas voir, tu vas en redemander.

Doucement, par à-coups, je le sens me pénétrer. Je n’ai pas vraiment mal, c’est une sensation étrange qui m’envahit. Mi-douleur, mi-plaisir. Une sensation qui me parcourt les reins de long en large, qui me fait un genre de courant électrique et à la fois des chatouillis dans le ventre bien que mon anus me fasse mal et semble se déchirer sous la pression. Ce mélange de sensations me rend complètement folle. J’ai envie de l’encourager à continuer plus fort pour ressentir ce bien-être d’être remplie et de le supplier d’arrêter par honte et douleur de mon anus.

— Tiens ! Prends-la toute. Voilà, regarde comme ça rentre. Il en reste encore un peu, tu vas tout prendre.
— Ouiiii.
— Tu vois que tu aimes déjà.
— Ouiii, vas-y, enfile-la moi à fond…
— Tiens !

Me tenant fermement par les hanches, il enfonce les derniers centimètres qui restaient encore dehors d’une seule poussée dans mon cul.

— AHhHHHhhh !
— Voilà. Te voilà bien emmanchée sur ma queue. Tu me presses la bite, c’est un vrai régal.
— Ouiiii, mon dieu, qu’elle est grosse. J’en ai plein le cul.
— Oui, tu as vu comme je te fourre bien et maintenant je vais bien te limer le fion, tu vas voir tu vas prendre ton pied, salope…
— Oui, vas-y, prends-moi à fond. J’ai envie de jouir.
— Espèce de grosse pute de merde, je vais te casser le cul pétasse.
— Oui, vas-y, continue.
— Putain. Regarde comme ça rentre bien.

Il commence à aller et venir dans mon cul sur toute la longueur de sa tige tout en me labourant les hanches de ses grosses mains rugueuses. Il me lance des insultes, me disant que ma mère est une none à côté de moi et qu’il va faire de moi la dernière des salopes. Que d’ici la fin des vacances, il aura transformé mon anus en un hall de gare. Et toutes ces paroles montent dans ma tête comme une balle et me tuent sur place quand mon orgasme explose. Je hurle dans la douche à m’en rompre les cordes vocales, alors qu’il me défonce le cul à grand coup de reins.

Je suis pleine de son sexe et je le sens gicler en moi. Venir entre mes fesses. Je suis morte, il me tient pour ne pas que je m’écroule comme une merde. Il me tient contre la faïence toujours sa queue raide au plus profond de mon cul. Il finit de se vider dans mon intestin. Puis finit par ressortir. Je suis haletante, pantelante, heureuse mais l’anus en compote. J’ai enfin joui comme j’en rêvais. Quand je reprends plus ou moins mes esprits, il est parti. Je sors de la douche. M’essuie et retourne dans ma chambre, me jette sur le canapé et m’endors quasi instantanément.

Vivement demain.
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 20:46

5ème partie :

Résumé : Dans le précédent épisode, je vous racontais comment Étienne, mon beau-père, a réussi à me posséder lors d’une soirée un peu arrosée.



Petit message aux lecteurs :
Avant de continuer le récit de mes aventures, je vous rappelle que je ne suis pas une professionnelle de littérature et que c’est le plus sincèrement du monde que j’essaye de retranscrire ici les sentiments ainsi que les sensations vécues au cours de mes différentes rencontres. Les mots crus que vous redoutez parfois ont eu un rôle essentiel dans le développement de mes relations et de mon comportement vis-à-vis des hommes que j’ai rencontrés. Surtout au début, avec Étienne, mon beau-père, qui s’est avéré être un beau salaud et un vrai pervers. Pourtant, j’ai adoré vivre ses fantasmes et le suivre dans ses délires. J’espère que certains d’entre vous seront moins sévères et qu’ils prendront mes textes comme ils viennent et pour ce qu’ils sont. Je n’ai malheureusement pas assez d’imagination pour inventer des histoires et les retranscrire. Je vous souhaite à tous bonne lecture.






C’est en sursaut que je me réveille. J’ai la gueule de bois et un mal de tête pas possible. Je suis courbaturée de partout et j’ai l’anus en compote. Soudain, tout me revient. L’alcool aidant, j’avais cru un instant avoir vécu tout ça dans mes rêves, mais je me rends compte que tout est bien réel. Mon Dieu, qu’ai-je fait ? Je suis devenue folle. Je ne prends plus la pilule. Ça fait tellement longtemps que je la prends, que j’avais complètement oublié l’avoir arrêtée. Et si je tombais enceinte ? Comment l’expliquer à Pierre ? J’essaye de me souvenir quand nous avons fait l’amour pour la dernière fois. Plus d’un mois. Jamais il ne sera dupe.

Mon Dieu, quelle horreur ! Enceinte de mon beau-père, vous parlez d’une catastrophe ! Au fur et à mesure que je pense à ça, dans mon ventre une sensation me rappelle le plaisir que j’ai pris hier soir à me faire baiser et sodomiser par lui. Cette douleur dans mes fesses, qui me fait souffrir doucement, finit par m’exciter et me remémorer comment, pour la première fois de ma vie, je me suis fait prendre par-derrière, debout, comme une moins que rien. Je sens mon corps réagir à nouveau. Allez ! Il faut que ça cesse. Il ne faut pas que cela se reproduise.

Je me lève. Quelle heure est-il ? Neuf heures du matin. Il doit déjà être levé. J’ai peur de les croiser, lui et son regard de braise et surtout son… Non ! N’y pense pas, Déborah ! Il faut que tu lui parles. Que tu lui dises que c’est une erreur. Que tu le supplies de ne rien dire à Pierre. J’enfile un tee-shirt assez long, jusqu’à mi-cuisses, et un slip. Puis, pieds nus, je descends pour déjeuner. À chaque pas, je m’attends à le croiser.

Avec le recul, je ne me suis pas rendu compte que la tenue que j’avais mise me rend peut-être encore plus indécente que si j’avais mis de la lingerie fine. Ce tee-shirt laisse mes seins aller librement et balancer lourdement au rythme de mes déplacements. Mes jambes nues, découvertes jusqu’à mi-cuisse sont un appel aux caresses, et mes cheveux bouclés en bataille laissent imaginer une nuit torride. Bref, j’ai tout de la femme disposée à être accessible.

J’arrive donc dans la cuisine sur la pointe des pieds, car le sol est froid. Je me sers un café et le déguste. Il me fait beaucoup de bien. Puis, une fois fini, je me mets devant l’évier afin de laver le peu de vaisselle de la veille. Il n’y a pas grand-chose, je n’en ai pas pour longtemps. C’est alors que je suis en train de nettoyer, que deux mains se posent sur mes hanches. Je sursaute lâchant la poêle dans l’eau.

— Ahhhh !

Mon cœur bat déjà à tout rompre. J’ai failli faire un infarctus. Je le sens, il est là derrière moi. Près. Si près. Tellement proche. Je sens son parfum, son odeur, son envie et il me la transmet instantanément. Je ne pourrais pas me soustraire, je vais me donner avec un plaisir intense, j’en ai trop envie. Ça fait si longtemps que je me retiens. Plus rien ne peut m’arrêter. Il dépose un baiser dans mon cou et ses mains déjà viennent caresser mon ventre.

— Bonjour, Déborah. Tu as bien dormi ? Hummm ! Que tu sens bon. Tu sens bon l’amour. Tu sens le sexe à plein nez. J’adore ton odeur.

Mon cœur s’emballe. Il va traverser ma poitrine et finir dans l’eau de vaisselle. Je pose mes mains sur le rebord de l’évier, tendant la croupe en arrière. C’est une invitation qu’il saisit au vol, alors que je me retiens pour ne pas tomber dans les pommes, tellement la montée d’adrénaline est forte et me tourne la tête. Mon mal de crâne a disparu en un éclair. C’est maintenant une fournaise qui me dévore le cerveau et le ventre. Je suis penchée en avant, mes seins ballotent dans le vide et rapidement ses mains les prennent pour les pétrir sans ménagement. Il les malaxe, les masse, les soupèse, joue avec mes tétons qui sont tendus à m’en faire mal. Puis ses grosses paluches glissent sous mon tee-shirt, le remonte pour libérer mes fesses cachées par la culotte.

— Pourquoi as-tu mis une culotte ? Tu n’en as pas besoin. Tu n’en mettras plus pour moi. Tu as compris ? Réponds !
— Oui ! dis-je dans un souffle. Sans même comprendre ce qu’il m’a demandé.

D’un geste brusque, il déchire les deux pans de ma culotte et la jette dans la cuisine. Je me sens déjà dégouliner. Ses mains caressent mes fesses, les écartent, les pétrissent.

— Non mais, quel cul tu as ! Il est si doux, si lisse, magnifique.

Il glisse un doigt par derrière et me colle un doigt dans la chatte. Mon tee-shirt posé sur mes reins, il me fait cambrer d’avantage. De l’autre main, il sort mes seins pours les mettre à nu. Ils pendent maintenant dans le vide. Il me doigte la chatte avec deux doigts sans vergogne et déjà j’ondule de la croupe pour l’encourager. Je me cramponne au rebord de l’évier. C’est au moment où je sens son énorme gland se placer entre mes lèvres que je pose ma tête sur mes bras afin de m’offrir d’avantage.

— Écarte bien les cuisses, ma belle, je vais te donner ce que tu attends.

J’écarte les cuisses d’avantage et je sens son gland me pénétrer lentement, mais sûrement. Il m’écarte bien les lèvres. Quelle sensation divine. Je me sens élargie, je sens mon sexe s’ouvrir comme jamais. J’adore cette queue qui me coupe en deux. Il pousse.

— Ahhh ouiiii !
— Tiens ! Prends-la bien ! Tiens !

Il s’enfonce finalement d’une longue poussée pour venir buter au plus profond de mon être. Je pousse un feulement de femme en rut. Je ne saurais dire pendant combien de temps il me lime mais j’ai joui au moins deux ou trois fois. C’est incroyable l’endurance qu’il peut avoir à son âge. C’est au moment même où je le sens venir qu’il me retourne et fait mettre à genoux pour tout me mettre dans la bouche. Enfoncé jusqu’à la garde, il faut m’étouffer. C’est avec application que j’avale tout et nettoie son énorme membre que j’aimerais dévorer.

Me laissant une fois de plus épuisée, il sort sur la terrasse et se jette dans l’eau sans même me dire un mot. Je trouve son attitude étrange. Il ne m’avait presque pas parlé. Pourtant je suis raide dingue de cet homme qui a su, par trois fois, me faire jouir comme une folle. J’en veux encore. Prête à tout pour lui plaire et accepter tout ses caprices, car je sais qu’il ne s’arrêtera pas là. J’ai le pressentiment que tout ça va se compliquer d’avantage.

Je retourne dans ma chambre pour prendre une bonne douche. Je n’en reviens pas de ce qui est en train de se passer. J’essaye d’imaginer la suite de ma relation avec Pierre et j’avoue ne pas l’imaginer très bonne. Je redescends un moment plus tard, vêtue de ma petite robe d’été. Étienne est sur le canapé. Il me demande d’approcher.

— Approche-toi Deborah. Viens-voir par ici.

Il est presque midi. Je m’approche. Sur le bar, deux verres avec du champagne.

— Nous allons fêter notre rencontre ma belle. J’adore ton corps. Tu es faite pour l’amour et je vais t’en donner.

Il me tend un verre, nous trinquons les yeux dans les yeux. Puis il nous ressert. Nous vidons finalement la bouteille en discutant de ce que nous allons faire cet après-midi. Il ne sait pas encore mais il en a une petite idée. J’ai chaud, le champagne me tourne la tête. J’ai encore envie de ses grosses mains sur mon corps et de son sexe dans le mien. Doucement, il me met à quatre pattes sur la méridienne puis relève ma robe et tombe nez à nez avec un string.

— Je t’ai dit de ne plus mettre de culotte quand tu es avec moi.
— Je ne pensais pas que c’était sérieux.
— Très ! dit-il en me mettant une grande claque sur les fesses.
— Ahhhhh !
— Ferme-là ! dit-il en recommençant.
— Ahhhhh !
— Je t’ai dit de la fermer. Puis il arrache mon string pour le jeter dans le salon à même le sol.

Des larmes commencent à couler de mes yeux.

— Allonge-toi, je reviens.

Il revient avec une serviette, ce qui semble être un rasoir et de la mousse à raser.

— Je vais te faire toute belle.

Et je vis, là, le plus beau moment de toute ma vie. Il m’enduit la chatte de mousse et commence à me raser. Je me mets à mouiller comme jamais ça ne m’était arrivé, excitée autant par l’humiliation de la scène que par les caresses qu’il me prodigue pendant tout ce temps. Il ne laisse qu’un petit triangle de poils très courts au-dessus de ma chatte puis me fait remettre à quatre pattes pour me raser les poils de la raie des fesses. Quand il a fini, il passe une crème rafraichissante puis commence à me doigter l’anus de plus en plus fermement. Je monte déjà au septième ciel quand il me remet sa queue dans la chatte en fourrant les deux pouces dans l’anus. Enfin il fait ce que j’attendais depuis le soir. Il m’encule à fond avec une force inouïe. Oui, j’adore dire qu’il m’encule. Parce que sodomisée serait un mot trop doux pour la bestialité avec laquelle il me défonce encore l’anus. Durant un long moment, il me laboure le fondement à grands coups de reins. Je hurle mon plaisir à en réveiller tout le voisinage. Je n’ai jamais autant joui, joui à en perdre connaissance. Au bout d’un temps que je ne pourrais quantifier, il finit par jouir dans mon cul, m’inondant de sa semence et me laissant choir sur la méridienne.

Quand je reprends mes esprits il était parti. Le soir même, il vient dans ma chambre et me demande d’enfiler une nuisette qui devait appartenir à sa femme, et il me refait l’amour et il me sodomise à nouveau. Puis une autre fois dans la nuit. Il est increvable. Je me réveille le lendemain matin, à treize heures, complètement vidée, endolorie et l’anus complètement détruit. Je me lève tant bien que mal et vais prendre une douche. Je m’enduis l’anus de crème Nivea fin de l’hydrater, espérant que cela puisse calmer la douleur et le feu qui m’habite. C’est incroyable, cet état d’excitation permanente qui règne en moi depuis que j’ai recommencé à faire l’amour. On dirait que je suis en perpétuelle effervescence et que mon corps réclame sans cesse plus d’attention, de caresses et de douleurs. Comment me sortir de cette situation ? En ai-je seulement envie ? Et si Pierre l’apprenait ? Tant de questions qui, d’un coup, me viennent à l’esprit. Plus je me pose de questions, plus je sais que je ne pourrai résister à l’appel de la jouissance et des sens.

Je reste la journée à glandouiller au bord de la piscine et Étienne ne rentre pas. Je mange donc un morceau et me recouche. Le lendemain matin, c’est une bonne odeur de café et de croissants qui me réveille. Il fait beau, il est tôt et je n’ai plus trop mal partout. Une belle journée s’annonce et la Nivea à fait son effet, je n’ai presque plus mal. Ouf ! Toute guillerette, je descends et trouve Étienne au fourneau.

— Bonjour Deborah.
— Bonjour.
— Tu as bien dormi ? Bien reposée ?
— Oui, très bien. Je suis en pleine forme.
— Tant mieux. On va aller se promener et on faire la visite du coin.
— Cool.
— Je t’ai préparé une petite robe d’été et des petites baskets pour marcher et n’oublie pas ce que je t’ai dis ! Et sans soutien-gorge aussi, stp.

Je reste bouche bée. Il a dit tout ça d’un air complètement décontracté et sans même se retourner, comme s’il avait deviné que je ne m’opposerai pas à sa décision. Il a raison. J’attrape les affaires qui reposent sur le canapé et monte me changer. Je passe donc la robe sur mon corps nu. Elle était blanche et à mi-cuisses. Opaque. Il n’y a que le haut qui est en dentelle transparente et qui laisse deviner que mes seins sont nus en-dessous. Juste une petite veste en jean vient semer le trouble et laisse le doute en suspens. Une fois prête, je redescends. Aux pieds, mes petites baskets. Il est admiratif, saisit les pans de la veste pour me détailler de la tête aux pieds, frôle l’un de mes seins qui se tend immédiatement. Puis nous partons.

Nous roulons un long moment avant d’arriver au pied d’une colline entourée de pins sur laquelle surplombe une espèce de château en ruines. Étienne se gare et nous descendons. Puis nous commençons à marcher. C’est dur, j’ai chaud à mourir. Quel temps ! Il nous faut de longues minutes pour arriver jusqu’au sommet, mais quelle vue ! Une vue magnifique surplombant la mer et le village qui la borde. Appuyés contre le muret, nous regardons le paysage magnifique. Soudain, Étienne Passe derrière moi et se colle à moi. Je sens déjà son sexe à demi bandé contre mes fesses.

— Tu aimes ? Ca te plait ? C’est magnifique n’est-ce pas ?
— Oui, c’est superbe. Vraiment splendide. dis-je en remuant mon cul contre sa queue.

Puis il se recule, et sort un appareil photo de sa poche. Tout naturellement, je prends la pose. Il me mitraille. Puis au bout d’un moment.

— Soulève ta robe.
— Sans même penser à lui demander pourquoi, je la soulève. Il photographie ma chatte rasée.
— Caresse-toi doucement.

Je passe mes doigts entre mes lèvres déjà trempées. J’introduis des doigts dans ma chatte et commence à me masturber profondément. Je m’assieds sur le muret pour être plus à l’aise.

— Sors-moi tes grosses miches, je les adore.

Par-dessus le décolleté de la robe j’extirpe mes gros seins gonflés de désir. Il me les pelote.

— Retourne-toi, montre-moi ton cul.
— C’est bien ! Comme ça, oui. T’as un cul de dingue. J’ai envie de t’enculer.

Moi, jambes écartées, je me caresse la chatte par-devant, glissant de temps en temps un doigt sur mon anus. Il me photographie sans cesse jusqu’à ce qu’il s’approche de moi. Il me fait asseoir sur le muret et sort son gros membre pour me le faire sucer. Il me le fourre dans la bouche sans ménagement. Il me baise la bouche comme un sauvage. Je l’aspire à fond aussi bien que je peux. Puis il me retourne et me fourre un doigt dans le cul qui a lubrifié de ma mouille. Il me dilate bien l’anus pour enfin y pointer son gros gland.

— Je vais te casser le cul, belle salope.

Puis il s’enfonce doucement mais à fond. Je sanglote, gémis, soupir, halète. J’adore cette sensation. Bref ! J’adore me faire enculer comme une chienne. Pendant de longues minutes, il me défonce l’anus jusqu’à ce que je sente son sexe être parcouru de soubresauts et sente sa semence m’inonder les intestins. Il ressort de mon anus m’obligeant à me retourner pour lui nettoyer la verge. Je m’y applique, honteuse et écœurée de l’odeur qu’elle émet. Je sens dans ma bouche mes propres odeurs de sueur et de ma profondeur. C’est humiliant, malsain et pourtant si délectable et excitant, que ma chatte dégouline de cyprine alors que mon cul dégouline de son sperme. Impossible que je puisse prendre autant de plaisir à faire cela, mais je me rends à l’évidence : j’adore ça.

— C’est bien, tu es une bonne fille, nettoie bien tes outils, petite trainée. Tu aimes les photos apparemment. Je vais te présenter quelqu’un de génial, tu verras. Tu vas adorer.




À suivre.
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 20:47

Je tiens à préciser qu'au-delà du récit, cette histoire est purement vraie. ;)
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 22:42

Bon, puisque j'ai reçu quelques message de la même tonalité. Je ne suis pas Déborah, je suis un mec qui l'a côtoyé, c'est tout. Donc inutile de me demander des photos si vous souhaitez parler à elle. ;)
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar colorilo64 » Dim 2 Fév 2014 22:55

vivement la suite je suis complétement accro
Avatar par defaut homme
colorilo64
 
Messages: 5042
Inscription: Lun 14 Mai 2012 00:12
Situation: Homme
Département: Pyrénées-Atlantiques
Ville: bayonne

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar beatman75 » Lun 3 Fév 2014 03:16



Tres sympa le récit. Puis-je demander comment fait tu pour connaître de tels détails si Deborah etait une connaissance, je pose la question par curiosité et non par méfiance. J'aimerais aussi savoir si tu as des nouvelles d'elle aujourd'hui. A-t-elle une vie normale?
Avatar par defaut homme
beatman75
 
Messages: 366
Inscription: Ven 25 Oct 2013 20:13
Situation: Homme
Département: Autre

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Moby » Lun 3 Fév 2014 07:33

Vraie belle histoire ....
Avatar par defaut homme
Moby
 
Messages: 4798
Inscription: Lun 23 Aoû 2010 16:36
Situation: Homme
Département: Oise
Ville: IDF/PICARDIE
Membre certifier

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar cocufieur sensuel » Lun 3 Fév 2014 11:41

très belle histoire...j'attends la suite avec impatience...
cocufieur sensuel
 

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar couplejoueur33 » Lun 3 Fév 2014 18:39

super excitant !!!! merci beaucoup ....
Avatar par defaut homme
couplejoueur33
 
Messages: 47
Inscription: Dim 25 Déc 2011 10:30
Situation: Homme
Département: Gironde
Ville: aquitaine

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar candau parisien » Lun 3 Fév 2014 19:42

Magnifiquement écrit et raconté ....vous avez un réel talent :)

j'attends la suite avec impatience ;-)
candau parisien
 

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar bp64 » Lun 3 Fév 2014 21:18

MOI aussi j'attends la suite !!!
Avatar par defaut homme
bp64
 
Messages: 966
Inscription: Ven 20 Mai 2011 20:12
Situation: Homme
Département: Côte-d'Or
Ville: dijon

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Mar 4 Fév 2014 14:46

Pour répondre à Beatman75, je me suis entretenu avec elle tout simplement. ;)

Today, elle vit du côté de Lyon, a divorcé avec Pierre, n'a plus jamais revu Etienne (malheureusement !) et n'est donc pas tombée enceinte de lui. Elle vit avec un autre homme, je crois qu'elle a eu 2 enfants et vit des relations candaulistes. ;)
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar bp64 » Mar 4 Fév 2014 21:01

vivement la suite !!! et avec photos se serait un plus !!!
Avatar par defaut homme
bp64
 
Messages: 966
Inscription: Ven 20 Mai 2011 20:12
Situation: Homme
Département: Côte-d'Or
Ville: dijon

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar mixsex » Mer 12 Fév 2014 17:49

Oui, la suite trop bon.superbe récit.
Avatar par defaut homme
mixsex
 
Messages: 11
Inscription: Lun 12 Mar 2012 12:39
Situation: Homme
Département: Charente-Maritime
Ville: La Rochelle

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar couple timide » Ven 14 Fév 2014 14:01

Super récit très excitant
Vivement la suite
couple timide
 

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar zarmapowa » Jeu 20 Fév 2014 19:02

Bon bah je crois que c'est foutu pour la suite.....snif :(
Avatar par defaut homme
zarmapowa
 
Messages: 82
Inscription: Lun 25 Juin 2012 05:15
Situation: Homme
Département: Val-d'Oise
Ville: IDF

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Jiss8 » Jeu 20 Fév 2014 19:06

Zarm, je t'invite à lire mes aut' récits, tu aimeras je pense. ;)
Avatar de l’utilisateur
Jiss8
 
Messages: 93
Inscription: Ven 31 Jan 2014 14:10
Situation: Homme
Département: Yvelines

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar st4b » Jeu 13 Mar 2014 02:28

j'ai lu le premier post, super, continue !!!
Avatar par defaut homme
st4b
 
Messages: 80
Inscription: Lun 7 Mar 2011 20:39
Situation: Homme
Département: Ariège
Ville: Alsace

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar albubu » Lun 12 Jan 2015 09:14

bonjour a quand la suite et esque pierre est au courant et etienne t'offre a ses amis
recherche amant attitré de 30 à 50 ans pour ma femme de 56 ans et la rendre salope et si possible l'initiée au gang bang avec moi qui regarde et peut ou pas participer region manosque elle n'est pas au courant de ma recherche donc un sènario a prévoir
Avatar de l’utilisateur
albubu
 
Messages: 44
Inscription: Lun 5 Jan 2015 17:05
Situation: Homme
Département: Var
Ville: vinon sur verdon

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar couplejoueur33 » Lun 21 Aoû 2017 17:41

Oui très belle histoire qui provient du site revebebe.
Avatar par defaut homme
couplejoueur33
 
Messages: 47
Inscription: Dim 25 Déc 2011 10:30
Situation: Homme
Département: Gironde
Ville: aquitaine

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar Mjerome67 » Lun 21 Aoû 2017 21:10

sympa l'histoire de rêvebebe
Avatar par defaut homme
Mjerome67
 
Messages: 133
Inscription: Mer 5 Sep 2012 18:19
Situation: Homme
Département: Bas-Rhin
Ville: Strasbourg

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar couplejoueur33 » Lun 21 Aoû 2017 21:19

tout à fait d'accord, une merveille d'histoire bandante . :D :shock: :lol:
Avatar par defaut homme
couplejoueur33
 
Messages: 47
Inscription: Dim 25 Déc 2011 10:30
Situation: Homme
Département: Gironde
Ville: aquitaine

Re: Déborah et son beau-père.

Messagepar tomhub » Lun 21 Aoû 2017 22:27



oui et authentique en plus ;)
Avatar par defaut homme
tomhub
 
Messages: 1339
Inscription: Ven 12 Avr 2013 19:08
Situation: Homme
Département: Deux-Sèvres
Ville: loudun
Membre certifier


Retourner vers Récits candaulistes

 


  • Articles en relation
    Réponses
    Vus
    Dernier message

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 2 invités