Fanny montée par son nouveau jockey (suite)

A minuit, personne. J'avais bien chauffé Fanny en lui disant "qu'est ce que tu crois qu'il va te faire ? et "Qu'est ce que tu voudrais qu'il te fasse ?" Elle avait bu un whisky après le repas, mais comme le temps passait qu'il était en retard elle devenait nerveuse et en avait bu 2 autres. Elle s'était préparée, avec mes conseils: on avait beau être dans un camping naturiste, dans notre bungalow elle voulait être sexy et coquine pour son nouveau fouteur. Son peignoir de soie blanche, transparent, qui ne fermait que par une ceinture inefficace dévoilant un soutif sans bonnets blanc qui lui rehaussait les seins et les offrait d'autant mieux: aréoles assez larges mais d'un rose pâle aux tétons braqués pour un hold up, boucles d'oreilles en argent et ambre jaune pendant à ses oreilles très petites et ourlées, un collier du même métal ouvragé en plastron. Les ongles peints en rouge sang et un string symbolique en filet pourpre. Je lui disait"patience, il viendra, tu lui a bien vidé les couilles ce matin et ça lui a plu"; je l'embrassait doucement sur les épaules et les cheveux qu'elle avait relevé en chignon. Du coup on voyait les suçons qu'il lui avait fait dans le cou. Il arriva vers 1 heure du matin, un peu ivre en disant qu'il avait dû finir une partie de poker et émis un sifflement approbateur devant toute cette féminité érotique "Fanny, Fanny tu es sublime comme ça, quelle jolie surprise!" et se tournant vers moi "Berthold ta femme est si bandante qu'il est pas possible de résister". Je la pris par la mains et la poussais vers lui "elle était impatiente, tu sais". Il la détaillait, en macho sûr de son succès puis l'enlaça en explorant toute sa bouche. Elle se colla à lui qui était nu depuis la ceinture en lui flattant les couilles de nouveau lourdes et pleines." Cette fois, il faut que tu me suces" lui ordonna t il. Il s'assit dans un fauteuil de toile et elle se mit agenouillée entre ses jambes, le cul cambré fesses ouvertes. Devant cette invite je m'agenouillait derrière elle, poussais la ficelle du string et commençait à frotter mon gland contre ses lèvres ourlées de brun et l'introduisit dans son con dégoulinant de cyprine. Malheureusement, c'est tout ce que le diabète me permet, je ne bande plus vraiment. Mais, comme disait Coubertin, l'important c'est de participer ! Elle tortillait du cul en poussant des gémissements de plaisir étouffés, la bouche pleine: elle le suçait avec fougue enroulant sa longue fine et rose autour de la hampe tendue comme un baton avant de le reprendre en entier dans sa bouche aux commissures distendues par l'engin. Lui il avait le souffle court et commençait à se crisper, il cria "ne me fait pas jouir comme ça pipeuse, je veux ta chatte encore cette fois" Je me relevait et eux deux de même, elle rouge et les yeux brillants, excitée pour de bon. "Déculotte toi et enlève le peignoir!" en virant son propre tshirt, ordonna t il. "Je te veux tout de suite" elle sussura en s'asseyant au bord du lit...(et moi dans un fauteuil en cuir avachi et râpé). Il entra en elle beaucoup plus aisément que le matin et elle souriait, les yeux fermés, en extase. Leur baise dura une vingtaine de minutes, lui la motivant à mi-voix, elle criant par saccades et il éjacula brutalement. Elle avait ses jambes autour de ses reins et lui fit le coup du con verrouillable, il n'arrivait plus à partir ! Alors c'est elle qui se mit à donner des coups de reins et elle lui arracha son orgasme, feulant comme une chatte au printemps. Alors seulement il pu sortir du piège !!!!! Il était vanné et estomaqué: "petite vache!" il lui dit, "tu es pleine de ressources!" Et de sperme, pensais-je.