Histoires adultères 2

Poussé par la curiosité, il ouvrit la petite armoire où il avait vu sa belle-mère ranger ses affaires un peu plus tôt. Il regarda quel genre de lingerie pouvait bien porter Béatrice. Une pile de petites culottes attira tout de suite son regard. Il y avait surtout des tangas en dentelles, mais aussi quelques shortys, pas de string. Les soutiens-gorge étaient coordonnés aux culottes, ce qui ne le surprit pas. Sa belle-mère était trop raffinée pour ne pas être sensible à ce genre de détail. Il vit qu’elle n’avait apporté aucun collant. Que des bas auto-fixant de la marque Dim. Il y en avait une majorité de noirs, mais aussi quelques-uns dans des teintes plus colorées : bleu ciel, mauve… Il ne put résister à l’envie de toucher les dentelles et prit un des tangas entre ses mains. Il le déplia et essaya d’imaginer les fesses de sa belle-mère dans ce modèle. Il rangea la pièce de lingerie juste à temps car Béatrice arrivait. Il referma l’armoire avec précipitation.
- « Je vérifiais que vous aviez assez de place », déclara-t-il comme pour se justifier.
- « Merci, c’est gentil de vous occuper de votre belle-mère comme cela », répondit Béatrice.
- « Oh mais c’est normal ! » dit-il en lui souriant.
Il sortit et passa tellement près d’elle que sa main frôla ses fesses. Béatrice ne prêta pas attention à ce geste qu’elle pensait être la conséquence de l’exiguïté de ce coin de la chambre, pourtant Gérard l’avait fait exprès. S’il ne s’était pas retenu, il serait même allé beaucoup plus loin…
Quand Céline ressortit de la salle de bains, Gérard était devant l’ordinateur. Il était en train de regarder un film X. Elle s’approcha de lui. Le son était un peu fort et elle lui en fit la remarque.
- « Tu pourrais être un peu plus discret ! » lui dit-elle. « Ma mère n’a pas besoin de savoir que tu es un obsédé ! »
- « Tu crois qu’elle ne va pas s’en rendre compte si elle reste ici ? » demanda Gérard.
- « J’espère que non ! »
- « Je veux bien qu’on l’héberge, mais on ne va pas changer complètement notre façon de vivre parce qu’elle est là… Tiens, en ce moment j’ai envie de lécher ta petite chatte toute propre et encore humide. Tu crois que c’est sa présence qui va m’en empêcher ? »
Joignant le geste à la parole, il ouvrit les pans du peignoir qu’avait enfilé Céline en sortant de la douche et sa main remonta vers le sexe de son épouse. Céline regarda en direction de la porte, inquiète.
- « Ferme au moins la porte », lui dit-elle, car elle avait très envie qu’il s’occupe d’elle.

à suivre...

Gérard se leva et ferma la porte du bureau. Il revint s’asseoir et défit complètement le peignoir. Il la fit asseoir sur le bureau et elle mit ses jambes autour de son cou. Lentement, il commença à lécher sa chatte qui sentait bon le bain moussant. Céline adorait qu’il lui fasse un long cunnilingus quand elle sortait de la douche ou du bain. C’était devenu un peu un rituel et, s’ils n’avaient pas trop le temps la semaine, cela se produisait presque tous les week-ends.
Il s’appliqua, comme d’habitude, et Céline sentir progressivement des vagues de plaisir la submerger. Parfois, il la prenait là, sur le bureau. D’autres fois ils regagnaient le lit conjugal et faisaient l’amour jusqu’à plus soif. En général, elle était bonne pour reprendre une douche après! Cette fois, elle avait envie qu’il la fasse jouir rien qu’avec sa langue. Il le comprit quand, voulant se lever pour la pénétrer, elle lui plaqua le visage contre son sexe en lui demandant de la lécher encore.
- « Continue, jusqu’au bout ! » lui dit-elle.
Gérard obéit à ses envies. Il redoubla d’application et d’ardeur avec sa langue. Céline sentit qu’elle allait jouir, mais elle ne voulait pas alerter sa mère, alors elle se mordit les lèvres pour ne pas crier. Elle jouit, presque en silence, au même moment que l’actrice dans le film que Gérard avait laissé se dérouler sur l’écran de l’ordinateur. Elle jeta un coup d’œil en direction du film et remarqua enfin que l’actrice de porno était une femme assez mature qui ressemblait énormément à sa mère.
- « T’as vu », dit-elle à son mari, « on dirait ma mère ! »
- « Oui, je sais », répondit Gérard ! « J’ai eu du mal à en trouver une qui lui ressemble autant… »
- « Gros cochon ! Tu ne vas pas me dire que tu fantasmes sur ta belle-mère ? »
- « Si, un peu », avoua-t-il.
- « Alors là, je n’y crois pas ! Elle a vingt ans de plus que toi et c’est ma mère ! »
- « Justement… J’essaye de m’imaginer comment je te ferai l’amour dans vingt ans… »
- « Mon pauvre, si cela se trouve, nous ne serons plus ensemble », répondit Céline.
- « Tu crois ? En tous cas, moi je t’aimerai toujours ! »
Elle lui sourit et l’embrassa avec passion, puis ils regagnèrent le salon où Béatrice les attendait. Elle s’était changée et portait une tenue beaucoup plus décontractée. Il s’agissait d’un pantalon moulant et d’un pull qui mettaient bien en évidence ses formes. Céline lut de l’envie dans les yeux de Gérard. Son incorrigible mari était vraiment attiré par toutes les belles femmes et sa mère en était une. D’habitude, cela ne dérangeait pas Céline qu’il regarde les autres femmes, mais là, c’était différent. C’était sa mère, et elle allait vivre sous leur toit !
Pour couper court à toute dérive, elle aborda le sujet des activités du week-end.

à suivre...

- « On va faire quoi, ce week-end ? » demanda-t-elle.
- « Si on allait rendre visite à ta sœur ? » proposa Gérard.
- « C’est une bonne idée », répondit Céline qui n’avait pas vu sa petite sœur depuis longtemps. « T’en penses quoi, Béa ? »
- « Si vous y allez, vous irez sans moi ! Je n’ai pas envie d’aller lui raconter tous mes déboires avec votre père. Elle va encore me poser un tas de questions et je ne saurai pas quoi lui répondre… »
- « Bon, laissons tomber cette idée », dit Gérard.
- « Mais non, allez-y ! Je peux bien rester seule… »
- « Non, il n’en est pas question ! Tu ne dois pas te sentir au mieux après l’engueulade d’hier soir et ce n’est pas le moment de rester seule. On ira une autre fois », reprit Céline. « Dis-nous plutôt de quoi tu aurais envie… »
- « Non, je ne peux pas », dit Béatrice en baissant la tête.
- « Pourquoi ? C’est si incongru ? » questionna Gérard.
- « J’ai envie de vous présenter William ! » dit enfin Béatrice.
- « Ton dentiste ? » s’étonna Céline
- « Oui, il m’a déjà proposé plusieurs fois d’aller le rejoindre dans sa maison le week-end. Il habite dans la vallée de Chevreuse, mais je n’ai jamais osé franchir le pas… »
- « Et tu crois qu’il serait content de te voir débarquer avec ta fille et ton gendre ? Je pense qu’il s’attend plutôt à te voir venir seule et qu’il a d’autres projets qu’une réunion de famille… »
- « Justement ! Tu sais, ma fille, je ne suis pas une femme volage. Si j’ai accepté cette relation avec lui, ce n’est pas pour m’envoyer en l’air, comme on dit vulgairement. Je n’ai pas encore pris ma décision, mais si je ne reviens pas avec ton père, je veux vivre avec lui et peut-être l’épouser ! »
- « Ca alors ! Tu n’y va pas par quatre chemins ! » s’exclama sa fille.
- « Tu comprends, si vous venez avec moi, il comprendra tout de suite que j’attends du sérieux ! »
- « On y va ? » demanda Gérard. « J’ai justement une carie qui me fait un peu mal. Si en même temps il peut jeter un coup d’œil… »

à suivre...

Une dent contre le dentiste.



Une heure plus tard, ils arrivaient devant la propriété de William. Béatrice n’avait même pas voulu le prévenir par un coup de fil. Elle voulait le surprendre et le trouver comme il était. Qu’il n’ait pas le temps de se préparer à sa visite.
La maison était grande. C’était une vieille maison en pierre, un héritage familial, et elle devait valoir une petite fortune, compte tenu de l’évolution du marché de l’immobilier. Béatrice sonna à l’interphone. William vint répondre peu de temps après.
- « William ? C’est Béatrice… Je me suis enfin décidé à passer un week-end. »
- « Ah ! C’est que je n’avais pas prévu… » dit-il l’air embarrassé.
- « J’ai voulu te faire la surprise… Je me suis permis d’amener ma fille et mon gendre », reprit Béatrice, « j’aimerais te les présenter… »
- « Bon, je vous ouvre », dit finalement le dentiste.
La grille s’ouvrit et ils parcoururent l’allée qui conduisait jusqu’au bâtiment principal. William vint les attendre sur le perron.
- « Quelle drôle d’idée de ne même pas me téléphoner ! » dit-il à l’adresse de Béatrice. « Entrez ! »
Ils pénétrèrent dans la luxueuse demeure. Béatrice fit les présentations. William essayait de se montrer courtois et agréable, mais il avait l’air préoccupé. Soudain, une porte s’ouvrit et une femme blonde d’une quarantaine d’années apparut. Elle était en nuisette très transparente et son degré d’intimité avec William ne faisait aucun doute ! Béatrice la reconnut immédiatement. C’était une autre des clientes de William et elle l’avait croisée plusieurs fois dans la salle d’attente. Ainsi, le dentiste couchait avec une autre de ses clientes ! Peut-être même avec presque toutes… Béatrice se sentit terriblement déçue. Elle s’était déjà imaginée refaire sa vie avec le séduisant dentiste et elle le trouvait avec cette blondasse qui sortait de son lit. William essaya tant bien que mal de fournir une explication de la situation.
- « Béatrice, je te présente Marie, une de mes patientes venue me rendre visite. Marie je te présente Béatrice, je lui avais dit de passer un week-end, mais elle ne m’a pas prévenu de sa visite. »
- « Tu ferais bien de demander à ta secrétaire de gérer aussi tes rendez-vous personnels ! » répondit la blonde en ressortant et en claquant la porte.
- « Marie, attends ! » s’écria William.
Béatrice se leva. Elle n’avait plus rien à faire chez ce dragueur impénitent. William s’approcha d’elle et se confondit en excuses.
- « Tu sais, Béatrice, je tiens beaucoup à toi. Les circonstances ont fait que je me suis retrouvé avec Marie, mais ne va pas croire que c’est sérieux avec elle… »
- « Je m’en fous », lui répondit sèchement Béatrice. « J’étais prête à quitter mon mari pour toi, mais je vais devoir changer de dentiste ! »
- « Béa, tu ne vas pas… »
Elle ne le laissa pas finir sa phrase et sortit, furieuse. Sa fille et son gendre ne l’avaient jamais vue comme cela !
Ils rentrèrent à Versailles et Béatrice les invita dans un grand restaurant pour oublier ses déboires. Le repas était excellent et ils passèrent une bonne journée. Finalement, Béatrice se dit qu’elle avait bien fait de rendre cette visite au dentiste. Au moins, elle était fixée sur le sérieux de leur liaison. Elle décida qu’elle ne le reverrait plus. Elle retournerait probablement vivre avec son mari, mais il fallait laisser passer quelques jours. Le temps qu’il galère un peu dans leur appartement et qu’il se rende compte à quel point elle lui était indispensable.

à suivre...

Dans la soirée, Gérard et ses deux femmes à la maison regardèrent la télévision. Il était assis en diagonale par rapport à Béatrice qui s’était mise en chemise de nuit et avait posé les jambes sur la table basse. D’où il était placé, il avait une vue imprenable sur haut de ses cuisses et sur son entrejambe. Elle portait justement le tanga rose pâle qu’il avait pris entre ses doigts dans l’armoire le matin même. La transparence de l’étoffe laissait largement deviner sa toison fournie. Il s’imaginait fouillant dans ces poils à la recherche d’un clitoris qu’il imaginait avide de plaisir. Il ne comprit rien au film, mais passa une bonne soirée.
Le lendemain matin, Gérard se leva le premier. Sans faire un bruit, il se dirigea vers la chambre mise à la disposition de Béatrice. Il ouvrit la porte doucement, se préparant déjà à fournir une explication plausible à sa présence si jamais elle était réveillée. La porte grinça légèrement. Béatrice bougea, mais elle ne se réveilla pas. Elle dormait sur le ventre et sa chemise de nuit était relevée, il avait une vue magnifique sur ses fesses terriblement excitantes. Il resta un moment à la regarder dormir, puis se décida enfin à rejoindre la cuisine. Cette vision et les fantasmes qui l’accompagnaient avaient provoqué chez lui une violente érection.
Quand Céline le rejoignit dans la cuisine quelques instants plus tard, elle ne manqua pas de remarquer cette énorme bosse sous son pyjama.
- « Eh bien, tu es en forme dès le réveil », lui dit-elle.
- « Oui, viens me sucer ! »
- « Ça ne va pas ! Si ma mère se lève… »
- « Eh bien elle verra que sa fille aînée remplit bien son devoir conjugal… »
Céline haussa les épaules et sortit le sexe de son mari. Elle mordilla le gland par jeu, puis enfourna sa queue d’un seul coup. Elle le pompa sans relâche jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche et avala tout le sperme qui se répandit dans sa bouche. Elle l’essora jusqu’à la dernière goutte, puis se releva l’air satisfait.
- « Je peux avoir un café, maintenant ? » lui demanda-t-elle.
Il lui sourit et la servit. Elle but le liquide chaud qui effaça le goût du sperme qu’elle avait dans la bouche. Béatrice les rejoignit un peu plus tard.
Céline alla se laver et s’habiller. Elle avait l’intention d’aller faire un tour au marché. Elle partit un quart d’heure plus tard. Béatrice partit dans la salle de bains à son tour.
Gérard se dirigea vers la chambre de Béatrice. Sur une chaise, il trouva le tanga rose de la veille. Il le prit entre ses mains et le porta à ses narines. Il se délecta des effluves du sexe de sa belle-mère, puis contempla le fond de la culotte maculé de pertes blanches. Il reposa le slip comme à regret et se dirigea vers l’armoire qu’il ouvrit.
A ce moment-là, Béatrice revint dans la chambre. Elle s’était habillée et maquillée. Elle trouva son gendre en train de fouiller dans sa lingerie.

à suivre...

- « Vous avez perdu quelque chose, Gérard ? » demanda-t-elle pour lui signifier sa présence.
- « Non, je m’émerveillais devant vos petites culottes », répondit-il avec une assurance étonnante.
- « Euh, c’est assez personnel », fit remarquer Béatrice qui s’était attendue à le voir ranger précipitamment le shorty qu’il tenait et s’excuser ou trouver un faux prétexte.
- « Je sais, mais nous allons habiter ensemble alors, forcément, une certaine intimité va se créer… »
- « Forcément… »
- « Cette intimité commence peut être par l’arrêt de ce vouvoiement ridicule, tu ne crois pas Béa ? »
- « Oui Gérard, tu as raison… »
Il s’approcha d’elle et sa main effleura ses fesses. Béatrice sursauta. Gérard lui sourit et posa franchement sa main droite sur le fessier de sa belle-mère. Elle ne bougea pas, comme paralysée. Il malaxa ensuite ses seins à travers l’étoffe de son chemisier. Elle frissonna. Son gendre commença à déboutonner le chemisier. La main de Béatrice l’arrêta.
- « Non Gérard, il ne faut pas, ce n’est pas bien ! »
- « Ce n’est pas bien non plus de tromper son mari avec un dentiste », répondit-il.
Béatrice ne trouva rien à répondre. Il reprit le déboutonnage et cette fois, elle le laissa faire. Gérard découvrit la poitrine de sa belle-mère à travers le soutien-gorge noir très transparent qu’elle portait. Jusque-là, il n’avait fait qu’entrevoir ses seins par l’échancrure d’un vêtement, mais il se rendit compte qu’ils étaient splendides. Ils étaient un peu plus petits que ceux de Céline, mais avaient la même forme et les mêmes aréoles brunes. L’hérédité était évidente.
Gérard l’aida à retirer complètement son chemisier, puis posa les paumes de ses mains sur ses omoplates. Il l’attira contre lui et posa ses lèvres sur les siennes. Béatrice ne savait plus où elle en était. La langue de Gérard força le passage entre ses lèvres et elle s’abandonna complètement. Il l’embrassa très tendrement, puis se mit à défaire sa jupe. Au lieu de protester, elle l’aida à la dégrafer.
Gérard contempla le corps de Béatrice qui ne portait plus qu’un tanga noir aussi transparent que le soutien-gorge et des bas gris. Elle était vraiment très belle et faisait au moins dix ou quinze ans de moins que son âge.
Béatrice se dit qu’elle était devenue folle. Elle qui avait reçu une éducation si stricte avait osé tromper son mari, avait même au des attouchements avec sa fille et, à peine arrivée chez elle, elle se retrouvait presque nue en train de se faire tripoter par son gendre !
Quand il entreprit de lui baisser sa petite culotte, elle eut un sursaut de pudeur.
- « Non Gérard, arrête ! Pas ça ! »
- « Là, c’est trop tard ! » répondit Gérard en ouvrant son Jean et en sortant son sexe tout raide. « Regarde dans quel état tu m’as mis… »
Béatrice sentit ses joues s’empourprer. Elle était tellement proche de Céline que celle-ci lui avait souvent fait des confidences assez crues sur la virilité de Gérard et sur son anatomie intime, mais elle pouvait vérifier que sa fille ne lui avait pas menti. Son genre avait un sexe dur comme une barre de fer et c’était elle qui avait provoqué cette érection.

à suivre...

Gérard comprit qu’il fallait un peu forcer les choses. Avec beaucoup d’autorité, il prit la main de Béatrice et la posa sur son sexe. Elle serra ses doigts autour de la hampe et commença à le masturber avec lenteur. Il reprit le déshabillage et fit glisser le tanga jusqu’à ses chevilles. La belle toison brune de Béatrice apparut sous ses yeux.
- « Hum, je vais me régaler », dit-il.
Il la poussa sut le lit et lui écarta largement les cuisses. Avec ses doigts, il fouilla dans les poils sombres à la recherche du clitoris de sa belle-mère. Comme celui de sa fille, il était plutôt petit et bien dissimulé. Gérard la caressa un long moment, puis sa bouche prit le relais de ses mains. Le sexe de Béatrice avait un goût et un parfum sublimes. C’est dingue comme les odeurs et les senteurs peuvent varier d’un sexe de femme à l’autre et, lorsqu’on fait l’amour pour la première fois avec une partenaire, il n’y a rien de plus excitant que de découvrir de nouvelles saveurs.
Gérard aurait eu envie de rester des heures entre les cuisses de Béatrice, de prendre son temps pour découvrir les replis secrets de ce sexe qu’elle lui livrait, mais Céline allait revenir et il voulait la pénétrer. Il se mit sur elle et fit glisser son gland entre ses petites lèvres humides. Béatrice ressentit une excitation indescriptible. Il poussa lentement son bassin et sa queue s’enfonça dans le vagin chaud et étroit. Elle sentit le sexe de son gendre au plus profond d’elle et releva ses jambes pour qu’il puisse aller encore plus loin. Gérard ne s’en priva pas et appuya de toutes ses forces. Il resta un instant immobile, comme s’il voulait la transpercer, puis il se mit à aller et venir en elle. Il caressa ses seins ronds et si fermes pour son âge. Depuis longtemps, il avait rêvé d’être dans cette position, mais il n’aurait osé l’imaginer. Gérard se tendit soudain et jouit en elle. Il trouva la force de continuer à la pénétrer, même après son éjaculation, et elle jouit à son tour. Bien que son plaisir soit immense, elle réussit à avoir un orgasme discret. Gérard l’embrassa sur la bouche puis se retira. Un filet de sperme s’écoula sur le drap.
Ils se rhabillèrent avant que Céline ne revienne. Elle arriva environ dix minutes plus tard, les bras chargés de provisions. Béatrice alla tout de suite l’aider à ranger ses achats. Elle s’en voulait déjà d’avoir cédé à la tentation, mais si proche soit elle de sa fille, elle n’osa pas lui parler de ce qui s’était passé en son absence.

à suivre...

Le reste de la journée se déroula de manière tout à fait ordinaire. Après le repas, ils allèrent tous les trois faire un tour dans les rues de Versailles pour se changer les idées, puis ils revinrent dans l’appartement. Le soir, ils dînèrent tranquillement, puis s’installèrent devant la télévision. Le film qui passait était plutôt ennuyeux. Au bout d’un moment, Gérard se leva. Il se mit devant le téléviseur et baissa son pantalon.
- « Ce film est chiant ! » dit-il. « Si vous me faisiez plutôt une petite pipe ? »
- « Non, mais t’es pas bien ? » s’écria Céline.
- « Pourquoi ? Tu n’aimes plus sucer ? »
- « Je te rappelle que cette femme est ma mère ! » s’exclama son épouse.
- « Oui, je sais… Mais je suis sûr qu’elle suce très bien… »
Béatrice baissa les yeux. Céline le remarqua aussitôt et se douta qu’elle était choquée.
- « Excuse-le », dit-elle. « Il adore faire dans la provoc ! Range ta queue et reviens t’asseoir ! »
- « Non, j’ai envie que Béa la goûte. Elle ne m’a même pas sucé ce matin ! »
- « Quoi ? Il s’est passé quelque chose ce matin ? » s’étonna Céline.
- « Oui, j’ai baisé ta mère ! » dit Gérard.
- « Béa, dis-moi qu’il déconne ? » l’interrogea sa fille.
- « Non ma fille. Je m’en veux terriblement, mais c’est vrai qu’il m’a prise dans la chambre dès que tu étais partie… »
- « Ca alors ! Ma propre mère qui se tape mon mari dès que j’ai le dos tourné ! Mais je n’y crois pas… »
- « Alors, tu me suces Béa ? » demanda Gérard en avançant son sexe vers la bouche de la quinquagénaire.
Béatrice ne dit plus un mot. Elle ouvrit la bouche et le pénis dressé de Gérard s’insinua entre ses lèvres. Céline n’en croyait pas ses yeux. Sous son regard incrédule, sa mère se mit à pomper le sexe de son gendre avec un mouvement régulier.
- « Hum, c’est bon ! » la complimenta Gérard. « Tu suces aussi bien que ta fille. Allez, viens partager ma queue avec ta mère ! »
Céline ne protesta pas. Elle s’installa aux côtés de Béatrice et prit à son tour le sexe de Gérard dans sa bouche. Celui-ci en profita pour retirer à Béatrice les vêtements qu’elle portait. Il lui retira le tanga noir et revit sa toison fournie avec plaisir. Il avait une préférence pour les pubis épilé, mais cette abondante toison l’excitait pourtant au plus haut point.

à suivre...

Céline se déshabilla elle-même. Bientôt, la fille et la mère se retrouvèrent entièrement nues en train de s’occuper du sexe de Gérard.
Au bout de moins de quarante-huit heures de présence de sa belle-mère, il n’en aurait pas espéré autant. Béatrice se laissa aller une fois de plus, malgré ses principes très stricts. Depuis qu’elle s’était encanaillée avec son dentiste et qu’il y avait eu cet épisode inattendu avec sa fille, elle se libérait complètement. Céline aussi était excitée. Elle n’avait pas oublié le jour où elle avait léché la chatte de sa mère et avait envie de recommencer, surtout devant Gérard ! Elle la laissa poursuivre la fellation qui enchantait son mari et se mit entre les jambes de Béatrice. Celle-ci écarta un peu plus les cuisses pour favoriser son passage. Au bout d’un moment, elle abandonna la queue de son gendre pour la chatte de sa fille. Elle mit à son tour sa tête entre les cuisses de celle qu’elle avait engendrée et commença à laper son sexe. Gérard fut obligé de se branler, puisqu’aucune des deux ne s’occupait plus de son sexe. Il ne protesta pourtant pas, le spectacle était trop beau ! Il voyait distinctement Béatrice parcourir de la langue le clitoris et l’entrée du vagin de Céline. De l’autre côté, il avait une vue imprenable sur le cul de sa belle-mère, qu’un doigt de sa propre fille était en train de pénétrer.
Béatrice jouit soudain avec force. Elle venait de vivre un orgasme comme jamais elle n’en avait encore eu. Céline l’imita peu après. Elle mouillait tellement qu’elle barbouillait le visage de Béatrice de cyprine. Gérard était comme fou. Il accéléra le mouvement de son poignet et gicla sur les deux corps entremêlés de sa femme et de sa belle-mère. Il venait de réaliser plusieurs fantasmes d’un coup !
Après cette folle étreinte, Céline vint se lover entre les bras de sa mère et la regarda avec tendresse.
- « Je sais que ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mais qu’est-ce que c’était bon ! »
- « Oui, dit Béatrice, mais il ne faudra pas qu’on recommence, surtout si je retourne vivre avec ton père… »

à suivre...

Zya, la bolivienne.



La cohabitation avec Béatrice ne dura pas très longtemps. Avec ce qui c’était passé entre le couple et elle, il valait mieux. Si proche fut-elle de sa mère, Céline avait du mal à supporter que Gérard lui porte toute son attention. Elle le surprit plusieurs fois en train de l’espionner quand elle prenait sa douche ou qu’elle s’habillait. D’ordinaire, elle n’était pas particulièrement jalouse, mais avec sa mère, c’était différent. Elle avait bien voulu participer à ces ébats improvisés devant la télévision, mais elle ne supportait pas qu’il se passe quelque chose entre Gérard et Béa à son insu. Pourtant, il profitait du moindre croisement dans un couloir pour caresser sa belle-mère. Céline en avait vraiment assez !
Son père n’était pas habitué à se débrouiller seul et il finit par téléphoner à sa fille. Il savait parfaitement que c’était chez elle que Béatrice s’était réfugiée. Il demanda rapidement à parler à son épouse. Très intelligemment, Béatrice avait compris qu’il avait besoin d’elle, mais elle fit un grand numéro, lui assurant que c’était elle qui ne pouvait pas se passer de lui, qu’elle ne verrait plus jamais son dentiste, qu’elle était morte de honte. Comme elle l’avait prévu, il se laissa attendrir et lui demanda de rentrer à la maison. Béatrice ne se fit pas prier, elle aussi trouvait l’atmosphère de plus en plus pesante chez sa fille et son gendre.
Céline et Gérard se retrouvèrent de nouveau en tête à tête et passèrent quelques jours pleins de tendresse, comme une nouvelle lune de miel. Ils faisaient l’amour deux ou trois fois par jour. Gérard la prenait dans toutes les pièces, dans toutes les positions, comme lorsqu’ils étaient jeunes mariés. Il suffisait qu’elle se penche pour mettre du linge dans la machine à laver pour qu’il la prenne par derrière dans la buanderie. Si elle se relevait la nuit pour boire un verre ou manger quelque chose, elle finissait inévitablement en train de jouir avec lui. Un soir, elle avait une fringale et avait sorti un plat de saucisses qui restaient du repas du soir. Il était arrivé sans bruit et l’avait surprise en train de mordre dans une des saucisses.
- « Tu ne préférais pas la mienne ? » avait-il dit en lui présentant son sexe.
- « Si je peux mettre un peu de mayonnaise… » avait répondu Céline, sur le ton de la plaisanterie.
Sans ajouter un mot, il avait trempé sa queue dans le pot de mayonnaise. Elle en était ressortie barbouillée du condiment et Céline s’était mise à la lécher. Gérard n’avait pas attendu qu’elle termine de nettoyer son sexe et l’avait trempé de nouveau dans le pot. Il avait renversé son épouse sur la table de la cuisine et l’avait pénétrée aussitôt. Avec la mayonnaise, sa queue était entrée sans difficulté dans le vagin de Céline. Un clapotis étrange retentissait à chaque coup de rein. Il s’arrêta au bout d’un moment. Il attrapa une des saucisses qui restaient dans le plat et l’enfonça dans la chatte de sa compagne. Il la fit aller et venir dans la mayonnaise puis la ressortit et la fit croquer à Céline. Il en prit ensuite une autre et renouvela l’opération, mais, cette fois, c’est lui qui mangea la saucisse pleine de mayonnaise et de cyprine. Il la trouva délicieuse. Après ce plat principal, il avait encore envie de manger. Avec la carafe d’eau, il nettoya soigneusement la chatte de sa femme, la débarrassant de toute trace de mayonnaise, puis attrapa la corbeille de fruits. Sans hésiter, il prit une banane et la mit dans le sexe de Céline sans l’éplucher. Il la ressortit, enleva la peau et réintroduisit le fruit phallique dans l’intimité de son épouse. Céline commençait à approcher de l’orgasme. Sans retirer le fruit, Gérard voulut ajouter sa queue dans le vagin de Céline. Il dut forcer un peu pour s’introduire à côté de la banane qui s’écrasait de plus en plus. Il continua pourtant à la pilonner et elle finit par s’écraser complètement dans le sexe ouvert. Céline jouit assez fort. Il se pencha et dégusta la banane écrasée à l’intérieur du vagin, satisfait. Le goût était subtil et délicieux. Il nettoya complètement ce sexe qu’il aimait tant et sa bouche s’attarda pour faire jouir une nouvelle fois Céline. Ce petit intermède érotico-gastronomique n’était pas prêt de sortir de leur mémoire.

à suivre...

Au cours des jours suivants, les relations entre Béatrice et son mari redevinrent normales. Elle n’avait de toutes façons plus envie de revoir William, son dentiste, mais elle ne renonçait pas pour autant à se faire plaisir de temps en temps. Sa morale la poussait à redevenir une épouse fidèle, comme elle l’avait été pendant plus de trente ans, mais cette folle expérience avec sa fille et son gendre était difficile à oublier. Pendant quelques temps, elle évita d’aller chez eux, de peur de succomber à la tentation et de se laisser prendre par Gérard.
Céline apprit par les journaux que John Clever, son bel acteur anglais, avait finalement épousé Irina. Elle trouvait qu’ils feraient un beau couple et espérait sincèrement qu’ils seraient heureux ensemble. Pourtant quand le film tourné en Ecosse sortit sur les écrans, elle alla le voir et n’eut d’yeux que pour John. Elle avait envie de crier aux autres spectateurs qu’elle le connaissait, qu’elle avait fait l’amour avec lui et de quelle manière, mais cela ne se faisait pas.
Gérard reprit progressivement ses activités sur internet. Il aimait toujours autant visionner des films X et adorait tchater avec d’autres internautes qui lui parlaient de leur femme et lui de la sienne. Il reprit contact avec Herbert, car il se souvenait de la façon dont il avait fait jouir Céline. Celui qui, le premier, avait fait l’amour avec Céline devant son époux, semblait un peu contrarié de ne pas avoir été recontacté après sa visite chez le couple. A la grande surprise de Gérard, il ne semblait pas très enthousiaste à l’idée de revoir Céline. Pourtant, tout avait si bien fonctionné entre eux…
Gérard décida d’essayer d’en savoir plus et téléphona à Herbert.
- « C’est parce que nous ne t’avons pas recontacté que tu ne veux pas revoir Céline ? » lui demanda-t-il. « Nous avons dû héberger ma belle-mère quelques temps à la maison, expliqua Gérard. Tu comprends que ce n’était pas facile… »
- « Oui, je comprends », fit Herbert, « mais ce n’est pas la raison… »
- « Alors quoi d’autre ? »
- « Eh bien, figure toi que moi, le libertin cocufieur, je suis en train de me caser avec une femme et elle est très jalouse ! »
- « Non, ce n’est pas possible ! »
- « Si, j’étais un peu lassé de ne baiser que la femme des autres, même si cela est terriblement excitant et j’ai fini par mettre une annonce sur un site de rencontre très sérieux. »
- « Je vois… »
- « J’ai rapidement été contacté par une jeune fille qui c’était inscrite. Elle était d’origine étrangère et faisait ses études à Paris. J’ai commencé à la draguer par mail, puis je l’ai rencontrée et je suis tombé sous le charme. »
- « Elle est comment ? »
- « C’est une brune incendiaire. Elle a la peau mate et des cheveux très longs. Elle vient de Bolivie et n’a que vingt ans. »
- « Ben mon cochon ! »
- « Au début, j’ai cru qu’elle cherchait surtout un mec pour l’héberger et ne plus payer de loyer, mais je me suis vite rendu compte que ce n’était pas cela. Elle est orpheline et n’a jamais connu son père. Cela explique qu’elle cherche un homme nettement plus âgé qu’elle… »
- « Elle baise bien ? » demanda Gérard plus intéressé par le côté sexuel de la rencontre.
- « Divinement ! C’est pour cela que j’ai changé. Je lui ai proposé de venir s’installer chez moi et elle a débarqué avec ses affaires hier. J’ai tout de suite compris qu’elle était très jalouse quand j’ai voulu lire mes mails et qu’elle surveillait si je n’avais pas de contacts avec une autre femme… »
- « Cela ne devait pas manquer pourtant ! »
- « Oui, je me suis dit que, si je voulais la garder, il fallait que je mette un terme à mes activités libertines. »
- « Tu veux dire que tu vas te consacrer à une seule femme ? Dommage pour les autres ! »
- « Merci du compliment », fit Herbert, « mais elle est tellement belle ! Pour la première fois, je suis vraiment amoureux… »
- « Et si je te proposais de passer de l’autre côté de la barrière ? » demanda soudain Gérard.
- « Que veux-tu dire ? Quelle barrière ? »
- « Si c’était toi qui devenait le cocu ? Tu n’aimerais pas que j’essaie de la séduire et que je te raconte tout ? »
- « Intéressant… » fit Herbert qui réfléchissait à haute voix. « Tu crois que tu peux réussir ? »
- « Si tu m’aides et que nous préparons bien notre coup… »
- « Banco ! dit Herbert. Mais tu me raconteras tout en détail ? »
- « Comme tu l’as fait pour Céline. »

à suivre...

Ils prirent rendez-vous et se virent dès le lendemain. Herbert avait apporté une photo de son étudiante bolivienne qui se prénommait Zya. Elle était effectivement splendide avec de longs cheveux très noirs qui lui descendaient jusqu’aux fesses une peau bronzée qui laissait deviner des origines indiennes et des yeux noirs d’une beauté peu commune. Elle était bien proportionnée et avait un visage de toute beauté. Gérard ne regrettait vraiment pas sa proposition !
Ils mirent rapidement au point un plan démoniaque. Gérard, sans doute inspiré par l’histoire «L’ami d’enfance », publiée sur le groupe de discussion qu’il fréquentait, devait passer un soir chez Herbert qui le présenterait à Zya comme un ami de province de passage, histoire de la mettre en confiance. Puis, quelques jours plus tard, Gérard reviendrait lorsqu’Herbert était absent. Elle le laisserait sûrement entrer et ce serait à lui de jouer. Herbert craignait tout de même que Zya se montre trop méfiante, mais Gérard avait confiance en lui et ils étaient prêts à se lancer dans cette expérience nouvelle pour son complice.
Tout se déroula comme ils l’avaient prévu. Un soir, Gérard débarqua chez Herbert et il lui présenta Zya. Elle était encore plus belle que sur la photo. La soirée se déroula tranquillement et Gérard se passionna pour les récits de la belle bolivienne qui leur parla de son pays et de la plus haute capitale du monde, où elle était née, avec passion. Il voulait réussir son opération de séduction et gagner sa confiance et atteignit parfaitement son but.
Deux jours plus tard, Herbert s’était absenté jusqu’au lendemain. Il avait prétexté un déplacement professionnel et dormait en réalité dans un des hôtels de la ville. Comme convenu, Gérard se présenta chez lui dans la soirée. Zya était seule et vint lui ouvrir. En le reconnaissant, elle le fit entrer et lui annonça que, malheureusement, son ami était absent. Gérard fit mine d’être déçu. Il portait un sac de voyage ce qui surprit la jeune femme.
Juste à ce moment-là, Herbert téléphona, selon le scénario qu’ils avaient soigneusement mis au point. Zya le mit tout de suite au courant de la visite de son ami. Herbert prit un air déçu.
- « Pour une fois qu’il était à Paris plusieurs jours ! Je croyais qu’il repartait ce soir », s’étonna-t-il. « Tu peux me le passer chérie ? »
- « Bien sûr », répondit Zya en tendant le combiné à Gérard qui mit le haut-parleur du téléphone.
- « Allo, Herbert ? Je suis un peu déçu que tu ne sois pas là », commença-t-il.
- « Moi aussi, si j’avais su que tu viennes… Mais tu ne devais pas repartir en fin d’après-midi ? »
- « Si, mais j’ai raté mon train. J’ai cherché un hôtel à Paris, impossible de trouver une chambre avec le salon qui a lieu en ce moment ! Alors je me suis souvenu que j’avais un vieil ami qui n’habitait pas trop loin et j’ai pris le RER. »
- « Ah, c’est idiot ! Si j’avais su, j’aurais essayé de différer ce déplacement… En tous cas, tu ne vas pas dormir dehors ! Repasse-moi Zya ! »
La jeune femme reprit le téléphone et sourit à Gérard. Tout se déroulait comme prévu.

à suivre...

- « Mon amour, je ne peux pas laisser Gérard dans l’embarras. Si cela se trouve, il n’a même pas dîné… Je suis un peu gêné de te demander cela, mais j’aimerais qu’il reste pour la nuit. Prépare-lui le canapé… »
- « C’est entendu, mon chéri. Ton ami est très gentil et j’ai beaucoup apprécié nos conversations l’autre soir. Je ne le laisserai pas dormir dehors… »
- « Sois sage quand même ! » ajouta Herbert en pensant tout le contraire.
Zya raccrocha et demanda à Gérard s’il avait dîné. Il répondit que oui, mais qu’il boirait bien quelque chose car le trajet en RER l’avait complètement déshydraté. Elle alla chercher deux verres et les installa sur la table basse du salon, puis désigna le bar.
- « Que veux-tu boire ? » demanda-t-elle à Gérard installé sur le canapé. « Je crois qu’Herbert a à peu près de tout dans son bar ! »
- « Ca dépend, toi tu prends quoi ? »
- « La même chose que toi… »
- « Alors je vais me laisser tenter par un whisky », répondit Gérard.
Zya alla chercher la bouteille et servit deux verres bien remplis. Elle demanda à Gérard s’il voulait des glaçons et il lui répondit qu’il préférait le boire sec. Elle leva son verre et trinqua avec lui. Gérard se mit à lui parler de son pays et elle devint intarissable sur les coutumes incas. Au bout d’un moment, elle alla même chercher un sac à dos qui contenait des objets de sa région d’origine. Il y avait des statuettes dont elle expliqua le rôle protecteur, une robe indienne et des sachets d’herbes séchées.
- « Cette robe doit t’aller à merveille ! » s’exclama Gérard. « Tu ne veux pas la passer ? »
- « Si », répondit Zya. « Attends-moi ici… »
Elle s’éclipsa un moment et Gérard en profita pour lui resservir un grand verre de whisky. Effectivement, la robe lui allait très bien. Elle était bariolée de couleurs vives et mettait en valeur ses yeux noirs et ses formes parfaites. Elle était restée pieds nus et Gérard constata qu’elle avait de tous petits pieds. Elle devait chausser du 35 !
Il la complimenta sur sa tenue et lui demanda quelles étaient les vertus des herbes séchées. Zya se lança dans des explications interminables, dont Gérard retint qu’un des sachets, celui qui contenait la poudre la plus fine, avait un pouvoir aphrodisiaque extraordinaire. Dans un autre sachet, il y avait des plantes hachées plus grossièrement. C’était un mélange de tabac et d’une sorte de marijuana qui ne poussait qu’au-delà de trois mille mètres dans la Cordillère des Andes. Zya lui demanda s’il voulait goûter et il répondit par l’affirmative. Elle alla chercher une pipe, sorte de calumet de la paix et la bourra du mélange qu’elle alluma avec précaution.
Gérard avait profité de sa courte absence pour verser un peu de la poudre, prétendue aphrodisiaque, dans le whisky qu’il lui avait servi. Zya tira plusieurs fois sur la pipe, puis la passa à Gérard. Il aspira un peu de fumée et toussa aussitôt. Le mélange était âcre et devait avoir un sacré effet, car il sentit sa tête commencer à tourner dès la première bouffée.

à suivre...

Zya but son verre, la substance contenue dans la pipe lui avait donné soif. Elle ne se rendit pas compte que le goût du whisky avait légèrement changé…
Environ cinq minutes plus tard, Zya riait et ne pouvait plus s’arrêter. Elle était à la fois ivre et droguée et cela avait des effets euphorisants sur elle. Gérard se dit qu’il était temps de passer à l’action. Il se rapprocha de la belle jeune femme et posa la main sur sa cuisse. Elle eut l’air surprise, mais ne protesta pas. Les effets conjugués au puissant aphrodisiaque, lui firent même trouver ce contact agréable. Gérard en profita et sa main poursuivit son exploration. Elle remonta vers la petite culotte de l’étudiante, qui écarta même les cuisses pour favoriser son passage.
Gérard caressa son entrejambe au travers de l’étoffe, Zya dit « non » pour la forme, mais elle le laissa relever sa robe. Il vit une magnifique culotte brodée de laquelle dépassait une toison abondante. Gérard retira la petite culotte et vit des poils noirs et raides qui ressemblaient à sa chevelure. Avec ses doigts, il caressa cette toison comme il n’en avait encore jamais vue. Zya fit passer sa robe par-dessus sa tête. Elle ne portait rien dessous. Ses seins étaient ronds et fermes avec de minuscules aréoles qui lui donnaient un air de petite fille. Pourtant, elle faisait du 90C, une taille qui n’avait rien de celle d’un enfant. Gérard se jeta littéralement sur elle et l’embrassa comme un fou. Complètement sous l’effet des substances qu’elle avait absorbées, Zya ne savait même plus qui était l’homme qui s’occupait de son corps, mais peu lui importait. Elle avait envie de sexe, et vite !

Elle se leva et le fit allonger sur le canapé. Sans dire un mot, elle vint s’asseoir sur son visage. Il s’enivra du parfum de sa toison et de son sexe, elle avait une odeur inhabituelle et le goût lui parut plus sucré que tous les sexes de femmes qu’il avait goûtés. Le clitoris de Zya était bien caché dans sa toison et il dut le chercher, mais quand il le trouva, sa langue ne le lâcha plus. Zya se mit à onduler sur le visage de Gérard. Ses sécrétions lui barbouillèrent le visage et il n’avait jamais vu une chatte couler de la sorte.
Gérard voulut se relever, mais Zya l’en empêcha. Elle fit glisser son corps en arrière et s’assit sur sa queue dressée. La verge pénétra sans difficulté dans le vagin abondamment lubrifié. Zya était très étroite et Gérard ressentit la sensation était prisonnier d’un étroit fourreau. C’était merveilleux ! Tout en allant et venant sur lui, elle posa ses petits pieds sur son visage et les lui fit lécher. Zya adorait qu’on s’occupe d’eux. Gérard les embrassa, en lécha la plante, puis le talon et passa sa langue entre les orteils avant de les sucer l’un après l’autre. Zya recula encore et la verge de son visiteur resta dressée, luisante de sa mouille. Ses pieds commencèrent à caresser le sexe dur et elle le coinça entre les deux et se mit à le masturber. Le foot job réalisé par la jeune bolivienne était divin. Gérard sentit qu’il n’allait pas tarder à jouir, et il l’arrêta.
Zya comprit que si elle voulait encore profiter de la dureté de cette queue, il fallait qu’elle arrête de l’exciter. Elle cessa provisoirement tout contact, laissant Gérard récupérer, et elle se contenta de balayer tout son corps avec la pointe de ses cheveux. Il ressentit un profond bien être, puis elle lui présenta de nouveau son sexe à lécher, mais dans l’autre sens. Gérard la lécha une nouvelle fois, elle était toujours aussi trempée. Ses poils pubiens étaient devenus collants. Lorsqu’elle avança le bassin en écartant ses fesses, il vit que les poils remontaient dans le sillon fessier, jusqu’à son petit trou. Gérard avait toujours prétendu qu’il préférait les sexes épilés, mais cette vision était terriblement excitante.
Zya le laissa introduire sa langue dans son anus, puis remonta pour qu’il s’occupe de sa chatte. En même temps, elle se coucha sur lui et prit son sexe dans sa bouche. Gérard n’avait jamais connu pareille douceur. Elle le suça longuement, jusqu’à l’extase qu’elle atteignit exactement en même que lui. Ils restèrent un moment, allongés l’un sur l’autre, puis Zya se releva et lui demanda s’il voulait encore un whisky. Gérard avait soif et accepta.
Après ce qui s’était passé sur le canapé, Zya ne lui proposa même pas de déplier le canapé. Elle le conduisit dans la chambre et il passa une nuit inoubliable. Pour le détendre, elle lui fit un massage qui dura plus d’une heure, utilisant toutes les parties de son corps pour s’occuper du sien, ses mains, bien sûr, mais aussi ses fesses, ses seins et ses pieds. Quand il fermait les yeux, Gérard aurait juré qu’elles étaient plusieurs !
Ils refirent l’amour trois fois pendant la nuit. Au petit matin, Gérard était exténué et il comprenait pourquoi Herbert était prêt à pas mal de sacrifices pour ne pas perdre une perle pareille. Le lendemain, il aurait beaucoup de choses à lui raconter…

à suivre...

Partouze finale.



Herbert rencontra Gérard dès qu’il fut sorti de chez lui. Ils prirent le petit déjeuner ensemble à son hôtel. Gérard lui raconta dans le détail tout ce qui s’était passé avec Zya, insistant sur le fait qu’elle était dans un tel état qu’elle n’avait pas mesuré grand-chose de ce qu’elle était en train de faire. Herbert semblait tout de même un peu déçu qu’elle ait cédé à son prétendu ami. Il n’avait pas l’habitude de vivre dans la peau du cocu.
Céline s’était demandé où Gérard avait passé la nuit. Il n’avait pas voulu le lui dire et avait répondu qu’elle aussi avait découché plusieurs fois. Céline était certaine qu’il y avait une autre femme. Ce n’était pas ce qui la gênait. Ce qu’elle ne supportait pas, c’était qu’il ne veuille pas en parler. Peut-être s’agissait-il d’une liaison plus sérieuse qui n’était pas basée que sur le sexe ?
Quand elle rentra du travail, elle décida d’aborder franchement le sujet avec lui. Gérard ne nia pas avoir passé la nuit avec Zya. Il expliqua à Céline que celle-ci était la nouvelle compagne d’Herbert et qu’ils avaient joué le même jeu qu’avec elle, mais dans l’autre sens. Céline essaya de comprendre comment ces deux hommes pouvaient être aussi excités à l’idée de savoir leur compagne prise par quelqu’un d’autre. Cela ne pouvait plus durer ! Elle en avait vraiment assez de toutes ses aventures qui les conduisaient à douter l’un de l’autre. Elle fit le bilan de tous les partenaires sexuels qu’ils avaient eus l’un ou l’autre au cours des dernières semaines. Cela avait commencé avec John Clever. L’acteur anglais était arrivé fortuitement sur sa route, puis il y avait eu cette rencontre avec Herbert. Cet épisode avec Béatrice, sa propre mère, restait gravé dans sa mémoire. Cela ne s’était pas arrangé quand elle était venue chez eux et avait fait l’amour avec son gendre ! Elle n’avait pas non plus oublié les soirées passées avec Sandra et Denis. Maintenant, il y avait cette bolivienne, Zya, dont Gérard semblait garder un si bon souvenir ! Que d’aventures en peu de temps ! Et encore, elle ne comptait pas cet inconnu qui l’avait doigtée dans le métro, ni ce salaud d’Albert qui les avait piégées et encore moins Irina, la belle actrice blonde, le domestique aux allures de Frankenstein ou encore presque tous les techniciens du plateau qui l’avaient baisée ! Cela faisait vraiment trop !
Elle supplia Gérard d’arrêter leurs jeux destructeurs et de revenir à une relation classique, comme au début de leur mariage.
- « J’accepte, mais à une condition ! » répondit-il. « J’aime trop de voir et te savoir prise par quelqu’un d’autre. Je veux que tu t’offres une dernière fois selon mes désirs. »
- « Tu crois que c’est utile ? »
- « Mieux que cela, c’est indispensable ! Je veux que nous organisions une grande soirée et que, tous les invités qui en ont envie se soulagent avec toi… »
- « Mais tu es fou ! »
- « Oui, fou de toi ! Je veux de voir jouir sans discontinuer pendant toute une nuit ! Après, je me résignerai à renoncer à toutes mes idées libertines et je m’occuperai de toi et de toi seule ! De plus je ne chercherai personne d’autre pour te satisfaire. Je deviendrai ton amant dévoué et exclusif ! »
- « C’est tentant », dit Céline. « Mais qui allons-nous inviter et où? »
- « Laisse-moi me charger de tout cela et je te promets que ce sera la dernière fois ! Tu acceptes ? »
- « J’accepte ! » déclara-t-elle.
Gérard ce mit à préparer activement cette soirée. Il ne voulut pas dire un mot à Céline sur les invités qu’il avait contactés. Elle aurait la surprise…

à suivre...

Quand le grand soir fut venu, Céline était morte de trouille. Elle ne savait même pas combien de personnes Gérard avait invitées. Elle ne fut pas surprise par les premiers invités qui arrivèrent : c’étaient Sandra et Denis. Ils entrèrent dans l’appartement et s’installèrent dans le salon. Gérard avait préparé des apéritifs et un buffet. La personne suivante qui arriva était Béatrice. Il avait eu le culot d’inviter sa propre belle-mère ! Herbert arriva un peu plus tard avec Zya, Céline dut reconnaître qu’elle était vraiment splendide. Gérard avait également eu l’audace d’inviter William, le dentiste. Le mettre en présence de Béa dans une soirée qui avait de grandes chances de tourner à la partouze était vraiment du vice! Gérard avait également invité plusieurs personnes que Céline ne connaissait pas. Il y avait un couple et trois hommes seuls. Elle lui demanda discrètement qui étaient ces gens, et il lui expliqua que c’étaient des internautes avec lesquels il tchatait régulièrement. Elle pouvait s’attendre au pire !
La soirée commença comme un cocktail mondain. De petits groupes se formaient, le temps de faire connaissance, puis se dispersaient et d’autres se reformaient. Lorsque les convives eurent bien attaqué le buffet, Gérard qui se comportait en parfait maître de cérémonie, mit de la musique. Il ne l’avait pas fait plus tôt, car il disait que les invités ne devaient plus avoir le ventre vide pour entendre la musique. C’était sa façon un peu particulière d’interpréter le fameux proverbe : « ventre affamé n’a pas d’oreille ! »
Bientôt, des couples se formèrent pour danser dans l’appartement un peu petit pour accueillir tout ce monde. Les premiers à se lancer furent Zya et Herbert. Le couple d’internautes que Gérard avait invités les imita rapidement. Sandra et Denis attendirent un peu plus. Finalement, William se décida à aller inviter Béatrice qui était restée très en retrait jusque-là. Malgré la promesse faite à son mari, elle accepta de danser un slow avec le dentiste.
Le couple d’internautes fit rapidement changer l’ambiance. La femme que Gérard avait invitée avec son mari se prénommait Laurence. Elle était blonde et devait avoir environ quarante ans et son mari en avait sans doute un peu plus. Elle avait mis une tenue particulièrement provocante. Sa robe avait un décolleté dans le dos qui descendait jusqu’à ses fesses. Elle portait des bas noirs et des escarpins de la même couleur, mais il était certain qu’elle n’avait pas de sous-vêtements, sinon on les aurait vus ! Bernard, son mari, semblait fier de voir tous les regards attirés par le haut des fesses de son épouse. En dansant, il avait glissé sa main dans l’échancrure du décolleté et caressait les fesses de son épouse.

à suivre...

Gérard présenta Céline aux trois autres internautes. Elle se rendit compte que c’étaient de véritables obsédés. L’un d’eux, un certain Fabien, fut vite assez entreprenant avec Céline. Il l’invita à danser et la palpa durant tout le slow. Quand Bernard retira la robe de sa femme, elle continua à danser lascivement en bas et escarpins. Les deux autres internautes, Pascal et Marc, s’approchèrent du couple et se mirent à la caresser. Elle les prit par la main et les entraîna dans la chambre d’amis. Son mari les suivit.
Dans le salon, cette exhibition Laurence avait échauffé les esprits. Sandra caressait la queue de Denis à travers son jean et Herbert avait mis sa main sous la robe de Zya pour la doigter. William était en train d’embrasser Béatrice dont la promesse avait volé en éclat. Quand Gérard vit que Fabien caressait les seins de Céline, il s’approcha de lui.
- « Allez dans la chambre », lui dit-il. Vous serez plus tranquilles…
Fabien ne se le fit pas dire deux fois ! Il entraîna Céline dans la chambre à coucher et la déshabilla rapidement. Elle fut nue en moins d’une minute. Il reprit l’exploration de ses seins car il adorait les grosses poitrines. Il faisait d’ailleurs une fixation sur cet endroit du corps féminin et s’occupa à peine de sa petite chatte. Il la chevaucha sur le lit, coinçant sa queue entre les globes de chair volumineux qu’il pressait de chaque côté de son sexe qui était long et fin. Avec obstination, il fit des allers retours jusqu’à ce que le plaisir arrive. Un jet de sperme chaud partit en direction du cou et du visage de Céline. Il ne lui avait même pas dit un mot et quitta la pièce aussitôt soulagé.
Sandra, ne voyant plus son amie Céline, s’inquiéta de son absence auprès de Gérard.
- « Elle est dans la chambre », lui dit-il. Va la rejoindre…
Elle y alla et trouva Céline allongée sur le lit, le visage et le cou couverts de sperme. Sans même se demander qui avait pu laisser ce liquide gluant, elle le lécha avec avidité, puis attira Céline contre elle et l’embrassa fougueusement. Elle se déshabilla ensuite et se mit à lécher la chatte de sa collègue de bureau comme elle n’avait plus l’occasion de le faire durant leur pose de midi. Elle était en train de déguster son fruit intime, lorsque Denis, qui la cherchait arriva. Il ne résista pas longtemps à la croupe offerte de sa compagne et la pénétra dès qu’il se fut déshabillé. Il la défonça avec force, chacun de ses coups de boutoir provoquant des secousses que Céline ressentait sur son clitoris, par la bouche de Sandra interposée. Denis annonça à Sandra qu’il allait jouir.
- « Va jouir dans sa bouche ! » dit-elle à son amant « je veux qu’elle boive ton sperme ! »

à suivre...

Denis changea de côté et vint se vider sur la langue de Céline qui avala le sperme chaud. Sandra la fit jouir peu après avec sa bouche et elle cria si fort que Laurence et les trois hommes qui étaient avec elle s’arrêtèrent de faire l’amour. Denis et Sandra retournèrent dans le salon pour se désaltérer. Les voisins de chambre de Céline les remplacèrent.
Laurence la belle blonde aux cheveux courts, avait un corps qui n’était pas parfait, mais son sexe plaisait énormément aux hommes. Il avait des lèvres d’une longueur incroyable. Elle vint s’asseoir sur le visage de Céline et écartant ses lèvres avec les doigts, elle en recouvrit une bonne partie, lui offrant du même coup l’intérieur de son vagin à déguster. Pendant que Céline lui bouffait la chatte, elle fit monter Gilles sur le lit et se mit à sucer sa queue. Pascal releva las jambes de Céline et la pénétra. Bernard, le mari de Laurence, était surtout voyeur et il se masturbait en se régalant du spectacle de son épouse avec une femme et deux hommes. Céline se montra très adroite et fit jouir Laurence assez rapidement. Celle-ci arrêta de sucer Marc et le branla énergiquement pour que sa semence inonde le ventre de Céline. Un peu plus tard, Pascal sentit qu’il allait jouir à son tour et se retira pour éjaculer lui aussi sur le corps de Céline. Bernard vint compléter le flot de sperme en se vidant sur la bouche de la belle brune. Céline était couverte de sperme !
Tout le monde retourna au salon, la laissant seule, quand Béatrice, sa mère entra dans la chambre. Le spectacle de sa fille gluante de sperme, ne la laissa pas indifférente.
- « Mais tu es folle, ma fille, de te faire baiser par tout le monde ! » lui dit-elle. « Tu n’as pas honte ? »
- « Non, et toi ? Ton dentiste, il baise bien ? »
- « William et moi, nous n’avons fait que flirter », s’offusqua-t-elle.
Le dentiste dont il était question les rejoignit à cet instant précis. Il vit Céline nue et la trouva très belle.
- « Il ne tient qu’à toi que nous allions plus loin, ma chère Béa ! » dit-il en la prenant par les épaules.
- « Franchement, ce n’est pas l’envie qui m’en manque ! » répondit Béatrice. « Quand je vois comment se comporte ma fille, j’aurais tort de me gêner ! »
- « Alors, laisse-toi aller », dit le dentiste en la renversant sur le lit aux côtés de sa fille.
Céline embrassa sa mère à pleine bouche sous le regard surpris de William. Ensuite, ce fut elle qui la déshabilla et qui guida la verge du dentiste dans l’intimité de sa propre mère. Elle tenait à être la complice de cet adultère. Béatrice se laissa prendre par William sous les yeux de sa fille et cela ne fit que décupler son plaisir. Au bout d’un moment, ce fut elle qui lui demanda de prendre Céline. Il se régala autant avec la fille qu’avec la mère et réalisa un fantasme qui le taraudait depuis longtemps : faire l’amour en même temps à deux générations de femmes…

à suivre...

William alterna les pénétrations entre les deux femmes qui lui présentaient leur croupe, tout en s’embrassant. En baisant Céline, il sentit venir le plaisir, mais il voulut réserver la primeur de sa semence à la mère et changea de partenaire juste avant d’exploser. Il jouit dans le vagin de Béatrice. Aussitôt, Céline se précipita pour lécher le sperme qui dégoulinait.
Après cette nouvelle expérience, Céline était fatiguée et avait envie d’aller prendre une douche, tant elle était dégoulinante de sperme. Elle n’en eut même pas le temps.
On sonna à la porte et Gérard alla ouvrir. C’étaient John et Irina Clever, qui avaient promis de passer au moins un moment, car Gérard n’avait pas du tout choisi la date de la réception au hasard. Il avait attendu le jour où tous les acteurs du James Bond tourné en partie au Château de Versailles étaient conviés à un repas en leur honneur dans la galerie des glaces. Ils avaient tenu leur promesse et fait un saut jusque dans l’appartement de Gérard et Céline.
En entrant dans le salon, ils se trouvèrent fortement décalés. John portait un smoking et Irina une robe de soirée, signée par un grand couturier. La plupart des invités étaient nus ou à moitié nus !
- « Il se passe de drôles de choses dans ta soirée ! » fit remarquer l’acteur à Gérard.
- « Oui, les esprits se sont un peu échauffés et chacun a laissé sa libido s’exprimer… Vous n’êtes pas trop choqués, j’espère ? »
- « Oh, tu sais, on en a vu d’autres dans la jetset ! » répondit John.
- « Au fait, je ne vois pas Céline », fit remarquer Irina qui n’avait encore rien dit.
- « Elle est dans la chambre et bien en forme elle aussi ! » rétorqua Gérard. « Elle ne sait pas que vous êtes là… Elle aussi est bien chaude ce soir ! John, tu devrais aller la voir et la prendre comme sur la vidéo, je suis sûr que tu lui ferais plaisir… »
- « Tu oublies que je suis marié, maintenant », répondit l’acteur. « Je ne fais plus rien sans ma femme ! Tu viens Irina ? On y va ? »
- « Oui, répondit celle qui était considérée comme une des plus belles femmes du monde. »
Gérard les suivit discrètement jusqu’à la chambre et profita du spectacle de la magnifique actrice qui se déshabillait pour rejoindre Céline sur le lit. C’était vrai qu’elle était splendide !
- « Salut Céline », lui dit-elle en venant l’embrasser. « Tu sais que c’est grâce à toi si je suis heureuse ? »
- « Je suis contente de vous voir tous les deux », répondit-elle. « J’ai appris votre mariage par les journaux… »
- « Sans toi, il ne m’aurait pas épousée,» dit Irina. « C’est toi qui m’as fait comprendre que je devais lui donner mon cul pour avoir son cœur… »
- « Quelle poésie ! » ironisa John.
- « Je veux que ce soit ton cul qu’il prenne ce soir ! » dit Irina en lui caressant les fesses. « Je veux qu’il plante sa grosse queue dans ton petit trou ! »

à suivre...

Gérard, qui observait la scène depuis la porte de la chambre était ravie. Un des acteurs les plus célèbres du monde du cinéma allait sodomiser son épouse sous ses yeux, dans leur lit conjugal avec les encouragements d’une des plus belles femmes du monde. S’il racontait une chose pareille sur internet, on ne le croirait pas !
John lubrifia sa queue, comme il savait si bien le faire et pénétra le cul de Céline tout en douceur. Irina l’encourageait et caressait la poitrine de sa partenaire. Au bout d’un moment, elle vit Gérard qui les regardait et lui fit signe d’approcher.
- « Alors, vilain petit voyeur, tu n’as pas envie de goûter la chatte de celle qui fait la une de tous les magazines cette année ? » lui demanda Irina avec un sourire coquin.
- « Oh si ! » répondit Gérard, « mais je n’ose pas »
- « Eh bien ose ! » fit-elle en dépliant ses longues jambes parfaites.
Gérard s’avança et mit sa tête entre les cuisses d’Irina. Il se délecta de ce sexe qui faisait fantasmer la moitié de la planète. A côté, le mari de cette beauté, qui était un des acteurs les plus célèbres, était en train de défoncer le cul de son épouse. Tous deux avaient l’impression de vivre un rêve.
Gérard fit jouir Irina qui le complimenta sur sa manière de sucer, puis Céline jouit avec violence. John se retira, se rhabilla et ils repartirent comme ils étaient venus. Cette fois, Céline était bien décidée à aller prendre une douche !
La soirée commençait à tirer à sa fin. Ayant définitivement oublié sa promesse Béatrice partit passer le nuit chez le dentiste. Laurence et Bernard embarquèrent les trois internautes pour finir la nuit chez eux. Elle n’avait pas sa dose !
Sandra et Denis hésitèrent un peu à rester, mais ils étaient venus de Paris en train et ils partirent avant de rater le dernier. Céline et Gérard restèrent seuls avec Zya et Herbert.
Céline n’avait pas vraiment eu le temps de faire connaissance avec la jeune bolivienne, qui avait été une des plus sages de la soirée.
Herbert aussi s’était montré très réservé et c’était tout juste s’il avait un peu profité des charmes de l’insatiable Laurence. Voyant que tout le monde était parti, Herbert proposa de rentrer également. Gérard le prit à part.
- « Tu ne vas pas partir sans avoir fait jouir au moins une fois Céline comme toi seul sait le faire », lui dit-il. « Ce soir, ce sont nos adieux au libertinage. Je voudrais qu’elle reste sur un souvenir merveilleux… »
- « Presque toutes les femmes sont capables d’avoir une éjaculation », avait dit Herbert. « Si on sait s’y prendre… »
- « C’est vrai, intervint Zya qui avait entendu leur conversation. Avant de connaître Herbert, je n’avais jamais ressenti cet orgasme total. C’est quelque chose d’incroyable et il est très doué ! Tu crois que tu pourrais expliquer à Gérard comment faire jouir Céline de la sorte ? » demanda-t-elle à son compagnon.
- « Je peux essayer… »
Ce fut Zya qui alla chercher Céline qui sortait de la salle de bains. Elle avait encore les cheveux humides et fut toute étonnée de voir venir la jeune colombienne vers elle.

à suivre...

- « Il parait que toi aussi tu es une femme fontaine », dit-elle en l’abordant.
- « Oui, mais seulement avec ton mec », répondit Céline comme pour la déstabiliser.
- « Eh bien viens, tout le monde est parti. Il va pouvoir nous faire jouir comme des reines ! »
- « Pourquoi pas ? » dit Céline.

Elle suivit Zya jusque dans la chambre, où Herbert et Gérard les attendaient déjà. Zya retira sa robe. Elle ne portait plus de culotte depuis longtemps et ne savait même plus où elle l’avait abandonnée…
Céline était fascinée par cette toison luxuriante et ne put s’empêcher de la caresser quand la jeune bolivienne s’allongea à ses côtés. Herbert s’assit du côté de Céline.
- « Je vais te montrer comment stimuler son point G, dit-il à Gérard. Tu vas faire la même chose que moi avec Zya. Elle te guidera, car elle a parfaitement localisé le siège de ce plaisir extrême.
A ces mots, il introduisit son index et son majeur dans le vagin de Céline et appuya vers le haut avec ses doigts adroits. Gérard en fit autant avec Zya. Herbert entreprit un mouvement circulaire et elle ressentit aussitôt la même sensation que les fois précédentes. Il avait localisé son point G avec précision et il ne restait plus qu’à attendre qu’il le stimule suffisamment pour que le flot magique jaillisse de son sexe.et la trouva très belle
- « Alors, il s’en sort bien ? » demanda Herbert à Zya au bout d’un moment
- « Je crois qu’il a trouvé l’endroit, mais il n’appuie pas assez fort », répondit la jeune femme.
- « Il faut que tu y ailles de toutes tes forces », expliqua Herbert. « N’aie pas peur ! »
Gérard s’appliqua et appuya aussi fort qu’il put en tournant sur le petit endroit, gros comme une pièce de deux euros, qui provoquait autant de plaisir chez certaines femmes. Herbert essaya de lui montrer comment s’y prendre.
- « Hum, ça y est ! Tu le fais bien ! » dit-elle à Herbert. « Je crois que je vais jouir… »
- « Attends ! s’écria Herbert. Retiens-toi ! Je veux que ce soit lui qui te fasse jouir, Céline…
Gérard retira sa main qui remplaça celle d’Herbert. Il reprit le mouvement que celui-ci avait entrepris. Zya poursuivit sa séance masturbatoire avec Herbert. Les deux femmes jouirent en même temps, à quelques secondes près. Des jets de liquide transparent jaillirent de leur sexe. Elles s’étaient rapprochées l’une de l’autre et chacune inonda le ventre de sa voisine. Herbert et Gérard, follement excités par le spectacle, vinrent faire chacun sucer leur bite par leur compagne et jouirent dans sa bouche. Les deux femmes, à peine remises de leur orgasme qui les avait secouées comme un tremblement de terre, échangèrent le sperme de leurs amants dans un baiser interminable.
Tous prirent une douche avant de se rhabiller et cet épisode marqua la fin des aventures libertines de Céline et Gérard.
Désormais, Gérard était capable de procurer à son épouse des orgasmes phénoménaux. Il n’avait plus besoin de personne pour lui donner du plaisir…

FIN

voila, il me reste l'histoire de STEPHANIE...

C'est OLIVIER son mari qui m'a parlé d'elle...

Comme d'habitude, le début est réel. Ensuite, j'ai dérivé...

STEPHANIE, telle que je l'ai imaginée...

Cocu pour la première fois.



Ce matin-là, Olivier se réveilla avec la bouche sèche. C’était toujours comme cela quand il buvait trop la veille. Et encore, lui était resté dans un état à peu près correct, ce qui n’était pas le cas de son meilleur ami !
Eric avait tellement bu qu’il n’était vraiment pas en état de rentrer chez lui et ils avaient dû l’héberger pour la nuit. Il avait couché sur le canapé du salon et, à l’heure qu’il était, il devait encore dormir comme une masse. Stéphanie, l’épouse d’Olivier se réveilla à peine quand il se leva.
- « Tu te lèves déjà ? » lui demanda-t-elle.
- « Oui, je vais aller chercher du pain et des croissants. N’oublie pas que nous avons un invité surprise… »
- « Ah oui, je l’avais oublié celui-là », fit Stéphanie. « Fais attention, la boulangerie est fermée… »
- « Ce n’est pas grave, j’irai jusqu’au centre commercial, une petite promenade à pied ne me fera pas de mal… »
- « T’as raison, moi je dors ! » ajouta-t-elle en se retournant de l’autre côté et en relevant la couette.
Olivier passa un bref instant dans la salle de bains pour s’asperger le visage, puis il traversa le salon, sans trop faire de bruit.
Eric, son meilleur ami dormait toujours. Il alla faire du café dans la cuisine, puis sortit pour aller jusqu’à la boulangerie la plus proche.
La porte d’entrée claqua légèrement, ce qui fit sursauter Eric. Il se réveilla en s’étirant et regarda autour de lui. Pour le moment, il ne reconnaissait même pas l’endroit où il se trouvait. Peu à peu, ses idées s’éclaircirent et il se souvint de la soirée de la veille et de son ami Olivier qui n’arrêtait pas de lui remplir son verre. Il avait bu, beaucoup bu, mais après, il ne se souvenait plus de rien.
Il fit un effort pour se lever, puis se dirigea vers le couloir qui menait aux chambres. Il cherchait son ami Olivier.
En arrivant devant la porte de la chambre entrouverte, il vit que Stéphanie dormait. Elle était seule. Il s’avança vers elle. Elle semblait dormir profondément. Ses cheveux blonds étaient étalés sur l’oreiller et elle était allongée sur le ventre. Lentement, il souleva la couette sans la réveiller. Son dos, puis ses fesses se découvrirent. Il lui trouvait un cul magnifique ! Ses petites fesses bien fermes dépassaient de sa nuisette transparente et il ressentit un début d’érection qui gonfla son caleçon.
Stéphanie bougea légèrement et se mit sur le côté. Ses seins n’étaient pas très gros et on devinait leur forme en poire à travers l’étoffe fine de la nuisette. Les aréoles étaient petites et ils pointaient vers le haut avec une arrogance qui ne fit que renforcer l’érection d’Eric.

à suivre...

Soudain, elle ouvrit les yeux et vit le copain de son mari dans la chambre. Par réflexe, elle tira sur la couette et la vision de ce corps, si plaisant, s’estompa d’un seul coup.
- « Qu’est-ce que tu fais là ? » demanda-t-elle à l’intrus qui la fixait du regard.
- « J’avais froid dans le salon. Tu me fais une place sous la couette? »
- « Non mais cela ne va pas ? » s’insurgea-t-elle. « Et si Olivier revient ? »
- « Ne t’inquiète pas, c’est mon pote ! »
- « Tu déconnes, on ne va pas se mettre au lit pendant qu’il n’est pas là… »
- « Pourquoi ? Tu préfères un plan à trois ? » demanda-t-il avec son humour moqueur.
- « T’es con ! Bon allez viens te mettre un moment au chaud, mais sois sage ! »
- « Ok ! »
Il se glissa sous la couette et profita de la chaleur du lit. Presque immédiatement, il vint se coller contre le corps de Stéphanie. Elle protesta sans grande conviction. Stéphanie avait envie de cet homme, plus jeune, plus grand, plus musclé que son mari. Il l’excitait, était certain, mais elle avait peur qu’Olivier revienne et puis elle était mariée et avait la réputation d’être une femme fidèle. Pourtant, dès qu’il s’installa dans le lit, elle sentit qu’elle commençait à mouiller.
- « Tu n’es pas sérieux », lui dit-elle. « Tu m’avais promis d’être sage… »
- « Je voudrais bien », répondit Eric, « mais ton cul est un appel au viol ! »
- « C’est un compliment, je suppose ? » questionna Stéphanie.
- « Ben oui ! Alors, tu me les montres tes belles fesses ? »
- « C’est bien ce que je disais, tu n’es pas sérieux ! »
- « Non, et en plus je bande comme un âne », dit-il en lui montrant son caleçon tendu.
- « Eh, bel engin on dirait ! » s’extasia Stéphanie.
- « Montre-moi tes fesses et tu pourras le toucher », dit-il.
- « D’accord », s’exclama soudain, contre toute attente, la femme de son copain en descendant brusquement la couette et en relevant sa croupe.
- « Hum, ton cul est splendide ! » s’écria Eric. « Laisse-moi caresser tes fesses… »
Stéphanie ne dit rien, mais elle était de plus en plus troublée. Tout se bousculait dans sa tête et dans son corps. Elle aurait voulu protester, le renvoyer sur son canapé et ne plus en entendre parler, mais elle mouillait de plus en plus. Sa chatte était maintenant trempée et la cyprine commençait à couler vers ses cuisses. Elle le laissa finalement avancer sa main et la poser sur ses fesses nues. Sa paume épousa la forme courbe des globes de chair. Il la caressa avec une douceur infinie.
- « Hum, j’ai envie de les embrasser », dit Eric en joignant le geste à la parole.

à suivre...

ça commence bien. une petite photo en plus serait bien venue

Une fois encore, Stéphanie le laissa faire. Ses lèvres se posèrent sur une des fesses, puis sur l’autre, avant de remonter le long de sa colonne vertébrale. Elle frissonna. Les lèvres du jeune homme embrassaient son dos et sa langue goutait sa peau sucrée. Elle était obligée de reconnaître qu’Eric était vraiment très doux…
Il releva encore la chemise de nuit et la fit passer par-dessus sa tête. Stéphanie se retourna et il aperçut son sexe pour la première fois. Sa toison était recouverte d’un fin duvet blond et ses petites lèvres ressortaient légèrement.
- « Ouah, ta chatte aussi est magnifique ! » s’exclama Eric. « Tiens, regarde comme tu me fais bander ! » ajouta-t-il en retirant son caleçon.
- « Hum, ta queue est plus longue que je ne l’imaginais », lui fit-elle remarquer.
- « Elle est plus grande que celle d’Olivier ? » demanda-t-il.
- « Tu rigoles, presque le double ! »
- « Ah oui ? Mon copain a une petite bite ? Il te fait jouir quand même avec son cure-dents ? »
- « Il est plus doué avec la bouche », confia Stéphanie.
- « Remarque, une chatte pareille, on a forcément envie de la bouffer ! »
- « Eh bien vas-y, bouffe là ! »
Eric plongea entre les cuisses de la belle Stéphanie et passa sa langue sur les lèvres de son sexe. Il découvrit un goût de miel subtil, recueillant les secrétions de la nuit. Sa main droite caressa doucement le pubis de la jeune femme et chercha son clitoris. Il n’eut aucun mal à le trouver car il ressortait nettement. Sa bouche l’aspira lentement et il entama un mouvement de succion que Stéphanie apprécia tout particulièrement.
Juste au moment où il allait la pénétrer, Olivier rentra de la boulangerie. Il avait ouvert la porte d’entrée avec précaution, pensant qu’Eric dormait toujours. Il trouva le canapé vide. Lentement, il s’avança vers la chambre sur la pointe des pieds. La porte était restée entrouverte et le spectacle qu’il vit lui glaça le sang. Eric, son ami Eric, était en train de se taper sa femme ! Il le vit introduire son sexe, qui était de belle taille, dans le vagin de son épouse et il l’entendit gémir de plaisir.
Il hésita un instant sur ce qu’il allait faire. Sa première envie fut d’entrer brusquement dans la chambre et de se mettre à hurler que son copain était un salaud et que sa femme était une pute ! Pourtant, il sut très vite qu’il n’allait pas le faire.

à suivre...

encore une superbe histoire qui commence !!
chouette

Il évalua mentalement le risque. Faire un scandale aurait pu lui faire perdre son meilleur ami et sa femme de surcroit ! Ne valait-il pas mieux s’éclipser discrètement et faire comme s’il n’avait rien vu ? C’est l’option qu’il choisit, mais il n’arrivait pas à détacher son regard de cette queue qui pénétrait l’intimité de sa tendre épouse. Jamais il ne l’avait vue aussi déchainée. Elle se tordait dans tous les sens, ondulant son bassin pour mieux profiter des mouvements du sexe qui la remplissait.
Soudain, elle poussa un cri de jouissance comme Olivier n’en avait encore jamais entendu. Ce salaud d’Eric la baisait, et il la baisait bien ! Après avoir joui longuement, Stéphanie se dégagea de l’étreinte de son amant et sa bouche enfourna le membre turgescent. Elle le pompa avidement, provoquant un orgasme à Eric, dont l’intensité n’était pas loin de celle de sa propre jouissance. Elle avala le sperme du jeune homme, chose qu’elle n’avait jamais faite avec Olivier en cinq ans de mariage.
Olivier était tellement excité par le spectacle, qu’il jouit lui aussi sans même se toucher. Il se recula légèrement dans le couloir, pour ne pas risquer d’être vu par le couple illégitime, puis il ressortit sur la pointe des pieds, prenant au passage le pain et les croissants qu’il avait ramenés quelques minutes plus tôt. Il alla faire le tour du quartier à pieds, leur laissant le temps de reprendre leurs esprits et une attitude correcte. En marchant, il revoyait sa femme en train de jouir comme une folle, puis se précipiter sur ce membre dressé encore luisant de sa mouille, et l’avaler, comme s’il s’agissait d’une friandise.
Olivier attendit cinq bonnes minutes avant de revenir vers l’appartement. Il entra en faisant, cette fois, un maximum de vacarme, pour être bien sûr que le couple l’entendrait.
Eric était revenu sur le canapé, vêtu de son unique caleçon. Il passa la main dans ses cheveux et s’approcha d’Olivier qui s’était dirigé dans la cuisine, disposant des bols sur la table pour le petit déjeuner.
- « Salut mon pote ! » lança-t-il d’un air jovial. « Quelle putain de soirée… Hier soir, j’étais complètement déchiré ! Je ne me souviens même pas du moment où je me suis couché ! »
- « Tu avais trop picolé », répondit Olivier. « Heureusement que tu es resté là… »
- « Ouais, de toute façon, je crois que je ne serais pas allé bien loin… Je vais m’habiller un minimum avant que ta femme arrive », ajouta Eric en allant ramasser son jean qui trainait à côté du canapé.
- « Il vaut mieux », répondit Olivier, « ce ne serait pas correct de déjeuner dans cette tenue… »
Olivier songea un instant au ridicule de la situation. Il avait vu de ses propres yeux son pote en train de sauter Stéphanie et, maintenant, ils discutaient sur le caractère incorrect de la tenue du jeune homme. C’était surréaliste !

à suivre...

Stéphanie arriva peu de temps après, revenant de la salle de bains. Elle n’avait pas remis sa nuisette transparente, mais avait enfilé un long tee-shirt qui lui couvrait les fesses et une culotte dont la marque était visible sous le vêtement attrapé à la hâte. Elle s’avança vers Olivier et déposa un baiser sur sa bouche, comme elle le faisait tous les matins. Sa langue avait encore un goût de sperme, mais son conjoint ne dit rien.
- « Tu as bien dormi ? » demanda-t-il.
- « Oh oui ! » répondit Stéphanie. « Je me sens en pleine forme ! »
- « Moi-aussi », ajouta Eric à qui on ne demandait rien. « Mais j’ai envie d’un bon café et de croissants chauds. Tu nous sers, Olivier? »
Olivier remplit les bols et disposa les croissants sur un plateau. Stéphanie s’installa aux côtés d’Eric et mangea de bon appétit. Tout se déroulait comme s’il ne s’était rien passé entre eux, mais Olivier remarquait tout de même des regards un peu plus appuyés que la veille. Désormais, il était cocu et acceptait ce statut par son silence. Après cinq ans de mariage, il se dit que cela n’avait rien d’exceptionnel, mais il ne s’était pas attendu à ce que cela arrive avec son meilleur ami. Désormais, Stéphanie ne serait plus jamais tout à fait la même à ses yeux. A chaque fois qu’elle croiserait un homme, il ne pourrait pas s’empêcher de penser qu’il l’avait peut-être sautée ou qu’il allait le faire.
Il la regarda tendrement. Ses yeux, entre le bleu et le vert, pétillaient de joie. Elle avait l’air vraiment satisfaite et épanouie. Faire l’amour avec un autre que son conjoint lui réussissait et Olivier accepta définitivement l’idée d’être un mari cocu. Son regard se tourna vers Eric. Il était plus grand et plus musclé que son meilleur ami. Ses cheveux châtain et ses yeux noisette allaient bien avec le reste de son visage et il plaisantait tout le temps. C’était un véritable boute-en-train et cela devait plaire à Stéphanie. Mais Olivier n’était pas dupe, ce n’était pas la carrure d’Eric qui avait décidé sa femme à se laisser faire tout à l’heure dans le lit. C’étaient les dix centimètres de plus qu’il possédait entre les jambes !

à suivre...

bonjour a tous
je suis de retour après avoir purgé ma suspension...

j'avoue que je ne comprends pas ce qui s'est passé car la photo, soi-disant "volée sur internet", je l'ai reçu par mail de Sylvie elle-même...
alors volée ? c'est possible, mais pas par moi...

je trouve dommage d'avoir été exclu sans préavis pour cette raison. En effet, il suffisait de m'envoyer un message en MP et j'aurais immédiatement retiré la photo en question.

Désolé, je ne comprends pas... Par contre, je ne vais plus oser poster de photos désormais.
Je crois que je vais me contenter des textes....

Week-end à la maison.



Après ce qui c’était passé, Eric ne semblait pas pressé de rentrer chez lui. Ce fut Stéphanie qui lui proposa de passer le week-end avec eux. Olivier, fut plutôt surpris. Voir sa femme se faire sauter par son meilleur copain l’avait vraiment excité, et il se disait que, si Eric restait, les choses allaient probablement recommencer. En même temps, cette demande de Stéphanie le rendait jaloux et il se sentait humilié plutôt que content, surtout que c’était Stéphanie elle-même qui avait proposé au jeune homme de passer le week-end dans leur appartement !
La matinée s’écoula vite. Stéphanie avait horreur du désordre et elle embaucha les deux hommes pour ranger le salon. Olivier et Eric remirent tout en place et plaisantaient comme à leur habitude. Olivier se demandait si son copain avait déjà eu des relations sexuelles avec Stéphanie avant ce qu’il avait surpris quelques heures plus tôt. Il ne le sut jamais.
Tout au long de la journée, Olivier s’arrangea pour provoquer des situations dans lesquelles Eric et Stéphanie pouvait se retrouver seuls un moment. Stéphanie avait adopté une tenue très décontractée pour le week-end. Pas du tout le genre de vêtement qu’elle portait quand elle allait travailler, car elle était plutôt BCBG et attachait une grande importance à son look. Son travail de secrétaire n’était pas toujours gratifiant, mais elle avait remarqué, depuis le début de sa carrière professionnelle, que les gens étaient toujours beaucoup plus aimables avec quelqu’un qui était séduisant et bien soigné.
Plusieurs fois, Eric se retrouva donc isolé avec Stéphanie. Olivier n’était jamais bien loin. Il voulait voir comment son copain allait se comporter avec Stéphanie. Il remarqua qu’elle faisait tout pour se rendre désirable. Ses petites fesses étaient bien mises en évidence par la petite robe qu’elle avait choisie et elles ne laissaient pas Eric indifférent. A plusieurs reprises, Olivier vit son ami passer derrière Stéphanie et caresser sa croupe discrètement. Elle ne l’en empêchait pas et semblait apprécier ces palpations furtives.
Olivier avait toujours fantasmé sur la soumission. Il était naturellement excité par tout ce qui tournait autour d’une humiliation psychologique et aimait le caractère autoritaire de son épouse. Il rêvait de la voir le dominer cérébralement et lui infliger une bonne fessée. Depuis qu’il l’avait vue avec Eric, l’idée d’une relation bisexuelle commençait même à lui trotter dans la tête. Il se serait bien vu obligé d’assister à leurs ébats, forcé de se travestir avec les dessous de Stéphanie et obligé de sucer la grosse bite de son copain sous les moqueries de sa propre épouse. Pourtant, tout cela restait dans le domaine de l’imaginaire et il n’avait pas l’intention de révéler au couple qu’il les avait vus en train de faire l’amour le matin même et que cela l’avait tellement excité, qu’il avait joui dans le couloir.
Olivier était cadre supérieur. Il exerçait un métier à responsabilités et avait la réputation d’être plutôt directif dans son travail. A la maison, c’était tout le contraire. L’autorité était incarnée par Stéphanie. Il avait, avec elle, un comportement beaucoup plus timide et lui était assez soumis. Elle était très ordonnée et lui plutôt bordélique. Bien souvent, la question du rangement était un des cadres de l’exercice de l’autorité de son épouse. Quand elle ne retrouvait pas quelque chose qu’il avait mal rangé ou que des affaires à lui trainaient dans un endroit incongru, elle se mettait en colère et le faisait tout remettre en ordre sous la contrainte. Il adorait ces moments où elle se montrait dominatrice.

à suivre...

Dans l’après-midi, Olivier se mit devant son ordinateur. Il avait quelques mails urgents à envoyer et un peu de travail à terminer. Il se dit également que, pendant qu’il était occupé, Eric allait peut être en profiter pour se montrer plus entreprenant avec Stéphanie. Apparemment, les choses ne se déroulaient pas exactement comme l’avait prévu Olivier car, si Stéphanie et Eric restèrent un moment dans la cuisine, son épouse vint le voir au bout d’à peine cinq minutes.
- « Je viens de me souvenir que j’avais promis à une voisine d’aller l’aider à rédiger quelques courriers pour résoudre des formalités administratives », lui dit Stéphanie. « Je vais y aller maintenant. Ne picolez pas trop pendant que je ne suis pas là ! »
- « Ah bon ? Tu fais du secrétariat à domicile maintenant ? » s’étonna Olivier.
- « Non, mais la voisine qui habite au 1er est d’origine étrangère et elle m’a déjà rendu pas mal de services, alors je lui ai proposé mon aide pour ses papiers. Tu sais, ce n’est pas facile pour quelqu’un dont la langue maternelle n’est pas le français… »
- « Je plaisantais », répondit son mari. « Tu as raison, va l’aider… Surtout si elle te rend des services ! »
Stéphanie s’absenta et Eric vint à son tour voir Olivier. Ils bavardèrent un moment, puis le jeune homme se rendit compte que son copain était vraiment très absorbé par le travail qu’il avait à terminer.
- « Puisque tu as du boulot, je vais te demander si tu n’as pas quelques outils à me prêter, j’ai un clignotant qui déconne sur ma voiture. J’aimerais bien aller le réparer avant de repartir. »
Olivier se leva et alla chercher une caisse à outils. Il la tendit à Eric.
- « Tiens, tu dois avoir tout ce qu’il faut là-dedans », lui dit-il. « Tu veux que je vienne t’aider ? »
- « Surtout pas ! Tu oublies que le technicien c’est moi. Toi, tu fais un boulot de chef et tu ne serais bon qu’à me donner des ordres! »
- « Ne te fous pas de moi ! » dit Olivier en esquissant un petit sourire. « De toute façon cela tombe bien, il faut vraiment que je termine ce truc pour mon boulot de chef… «
Eric sortit avec la caisse à outils sous le bras et se dirigea vers l’ascenseur. Il y entra d’un pas décidé et appuya directement sur la touche qui indiquait «-1 ». La cabine descendit au sous-sol et s’immobilisa. Lorsque la porte s’ouvrit, Stéphanie était là et l’attendait.
- « Tu en as mis du temps ! » protesta-t-elle en se collant contre lui.
- « Je ne pouvais quand même pas partir juste en même temps que toi », répondit-il. « Il se serait douté de quelque chose… »
- « Oh tu sais, quand il est absorbé dans un truc pour son boulot, je crois que je pourrais passer à côté de lui à poil avec une plume dans le cul qu’il ne me remarquerait même pas ! »
- « Hum, tu dois être mignonne avec une plume dans le cul », plaisanta Eric. « Remarque, pour le moment, j’y mettrais bien autre chose qu’une plume… »
- « Ah oui ? Et quoi ? Ta grosse bite par exemple ? »
- « Oui ma petite cochonne ! Tu en as envie de ma grosse bite ?
- « Oh oui ! Montre la moi ! »
Eric posa la caisse à outils sur le sol et défit la braguette de son jean. Stéphanie ne lui laissa même pas le temps d’en faire davantage et vint, elle-même, sortir son sexe du caleçon. Elle caressa la verge encore à demi molle avec ses doigts fins et la fit gonfler rapidement. Eric rejeta la tête en arrière, très sensible à ses caresses.

à suivre...

Il prit le visage de Stéphanie entre ses mains et posa sa bouche sur la sienne. Ils échangèrent un baiser passionné, puis il poussa la tête de l’épouse de son copain vers le bas.
- « Tu vas me sucer comme ce matin », lui dit-il.
- « On ne va peut-être pas rester juste en face de l’ascenseur », répondit Stéphanie. « Si un voisin ou une voisine avait la mauvaise idée de descendre au sous-sol, je n’aimerais pas trop qu’il me trouve en train de te faire une pipe ! Mon image de marque en prendrait un coup… »
- « Tu as raison ! Où peut-on aller pour être tranquilles ? »
- « Dans notre cave, j’ai pris la clé en partant… »
- « Tu penses à tout ! »
- « Oui, j’avais envie qu’on puisse être tranquilles… »
Elle le conduisit jusqu’à la porte de la cave et l’ouvrit rapidement. Une foule d’objets hétéroclites étaient entreposés dans le petit réduit et il ne restait pas beaucoup de place. Eric de fraya un chemin entre les cartons et essaya d’éclairer la pièce sombre.
- « Merde, la lumière ne marche pas ! » s’exclama-t-il.
- « Putain ! Cela fait au moins cinq fois que je dis à Olivier qu’il faut qu’il la répare ! Il va m’entendre ! »
- « Attends, je crois que cela vient de l’interrupteur », dit Eric. « Tu veux que je m’en occupe ? » ajouta-t-il en farfouillant dans la caisse à outils.
- « J’aimerais mieux que tu t’occupes d’un autre bouton que celui de la lumière ! » lui répondit Stéphanie en caressant son clitoris à travers l’étoffe de sa culotte. « Et puis qu’est-ce que je dirai à Olivier ? Que je suis venu avec toi à la cave pour te demander de réparer l’interrupteur ? »
- « Tu as raison », dit Eric qui n’avait pas eu le temps de réfléchir à tout cela. « Tiens, il y a une lampe de poche dans la caisse à outils! Elle nous éclairera suffisamment… »
Il l’alluma et la posa sur un des cartons, puis il sortit un tournevis au manche rond et lisse. Lentement, il baissa la culotte de Stéphanie et contempla son sexe à la lueur de la lampe de poche.
- « Tu as vraiment une chatte magnifique ! » lui dit-il.
- « Je sais, tu me l’as déjà dit ce matin », répondit Stéphanie qui s’impatientait. « Elle est peut-être magnifique, mais elle attend que tu t’en occupes. Que veux-tu faire avec ce tournevis ? »
Eric ne répondit pas et fit glisser le manche de l’outil entre les cuisses de Stéphanie. Il poussa légèrement pour que les lèvres de son sexe s’écartent, puis il la pénétra avec cet objet qui avait la forme d’un phallus. Il fit aller et venir le manche du tournevis dans son intimité et se mit à chantonner une chanson ridicule.
- « Ah quel bonheur d’avoir un mari bricoleur… »
- « T’es con ! » s’esclaffa Stéphanie. « Mets-moi plutôt ta queue, elle est encore plus grosse ! Ce petit tournevis me rappelle la bite d’Olivier. Et encore, elle n’est pas aussi large ! »
Il l’attira contre elle et la prit dans ses bras puissants. Il lui retira sa robe et elle se retrouva entièrement nue au milieu de la cave. Il caressa ses cheveux, puis la fit retourner. Elle se pencha en avant et prit appui sur un vieux meuble réformé. Eric se mit derrière elle et, prenant la lampe de poche, il éclaira ses fesses.
- « J’adore tes fesses », lui dit-il. « Elles sont petites et fermes. »
- « Caresse-les ! » répondit Stéphanie.
Eric ne se fit pas prier. Ses mains épousèrent la forme de la croupe de la belle jeune femme et il se mit à les pétrir avec vigueur.

à suivre...

Lentement, il écarta les deux globes de chair presque parfaits et avança son sexe vers l’anus de Stéphanie.
- « Ce n’est pas une plume, que je vais te mettre dans le cul ! » murmura-t-il en faisant allusion à la remarque de tout à l’heure.
- « Non ! » protesta Stéphanie. « Je n’aime pas la sodomie… Même avec la petite bite d’Olivier, je n’ai jamais voulu, alors avec la tienne ! »
- « C’est dommage », fit le jeune homme un peu déçu. « J’avais envie de me sentir bien au chaud en toi… »
- « Tu sais, il y a un autre trou qui ne demande que cela ! Et lui aussi il est bien chaud… »
Eric la fit pencher encore davantage et éclaira son sexe. Il vit ses lèvres luisantes de désir et son clitoris qui pointait fièrement. Il ne put résister et, lui écartant les jambes au maximum, il goûta une fois encore cette chatte délicieuse. Stéphanie poussa un râle de plaisir. Il la léchait vraiment avec beaucoup de savoir-faire, mais elle avait envie qu’il la prenne et elle se retourna, s’asseyant sur le meuble en écartant les cuisses.
- « Viens, prends-moi ! » lui dit-elle.
Il posa le gland de son sexe à l’entrée du vagin de Stéphanie et poussa un grand coup. Elle était tellement humide qu’il s’enfonça en elle sans difficulté. Les mains de Stéphanie se posèrent sur les omoplates de l’athlétique ami de son mari et elle l’attira contre elle. Sa bouche chercha celle de l’homme qui lui faisait tant de bien et elle la trouva immédiatement. Leur baiser fut long et langoureux. Eric commençait à sentir le plaisir monter en lui et il ralentit un peu la cadence. Stéphanie ne l’entendait pas de cette oreille et ce fut elle qui imprima des mouvements à son bassin de plus en plus rapides. Elle sentait qu’elle n’allait pas tarder à jouir et le dit à son partenaire.
- « Moi-aussi », répondit Eric, « je vais jouir ! »
- « Hum, oui vas-y ! Maintenant ! » cria Stéphanie dont le visage se crispa sous la jouissance.
Eric donna un coup de reins rageur et resta enfoncé en elle sans bouger. Elle sentit le sperme envahir le fond de son vagin. Il avait joui en silence et la cajola un moment avant de se retirer. Un flot de sperme gluant s’écoula entre ses lèvres et souilla le vieux meuble. Ils s’embrassèrent une dernière fois, puis Stéphanie annonça qu’elle allait remonter la première pour ne pas trop éveiller les soupçons d’Olivier.
Eric lui dit qu’il allait réparer l’interrupteur en attendant et qu’elle n’aurait qu’à dire à son mari que, lasse d’attendre qu’il s’en occupe, elle avait demandé à un voisin de s’en charger. Stéphanie ne voulut pas le contrarier, mais elle se moquait complètement de l’interrupteur.
Elle prit l’ascenseur et remonta dans l’appartement. Olivier était toujours occupé sur son ordinateur. Elle vint vers lui et l’embrassa.
- « Ça va, mon chéri ? » demanda-t-elle. « Moi j’ai fini les courriers de la voisine. Eric n’est pas là ? »
- « Pourquoi ? Il te manque ? »
- « Non, simple curiosité… »
- « Il est parti réparer un truc sur sa voiture… »
- « Ah bon… Alors, j’ai le temps de faire un petit câlin à mon mari », dit-elle en s’asseyant sur ses genoux.
Olivier embrassa Stéphanie avec beaucoup de tendresse et prit ses petits seins dans les paumes de ses mains. Elle le laissa faire, même si elle n’avait pas envie que leur câlin aille trop loin. Elle n’avait pas envie qu’il découvre que sa chatte était gorgée de sperme et elle l’empêcha de mettre la main dans sa culotte. Pour calmer ses ardeurs, elle ouvrit la braguette d’Olivier et sortit son sexe. Il était vraiment ridicule à côté de celui d’Eric !

à suivre...

Elle se mit à genoux devant lui et prit sa queue dans sa bouche. Pendant qu’elle s’activait sur le membre de son mari, Stéphanie caressait son clitoris encore souillé du sperme d’Eric. Avec une dextérité peu commune, elle le pompa très rapidement et le fit jouir dans sa bouche. Olivier se dit, qu’après tout, cela avait du bon d’être cocu. Plus Stéphanie faisait l’amour, plus elle en avait envie. Il recueillait en ce moment les fruits du plaisir provoqué par son pote. Il avait presque envie de le remercier.
Stéphanie se releva et embrassa Olivier sur la bouche afin qu’il goûte son propre sperme. C’était pour lui le début d’une soumission évidente. A ce moment-là, il se demanda comment il fallait réagir. Allait-il accepter sans rien dire ce qu’elle lui imposait ? Il en avait très envie, mais où cela le mènerait-il ? Son épouse avait été jusque-là plutôt une jeune femme sage. Parfois trop sage, selon lui, mais, cette fois, elle était en train de changer.
Hier, il l’avait surprise au lit avec son meilleur ami, et maintenant, elle venait de lui tailler une pipe, alors qu’il pouvait arriver à tout moment et elle lui imposait de goûter son propre sperme. Quand s’arrêterait-elle? Il se dit qu’il verrait bien et que, pour l’instant, il la laisserait prendre l’ascendant sur lui. Il serait toujours temps de réagir…
Quand Eric remonta du sous-sol. Olivier venait juste de refermer son pantalon et Stéphanie avait repris une posture décente. Il déclara qu’il avait enfin réparé le clignotant, qui n’avait jamais cessé de marcher et ils se mirent à plaisanter tous les trois dans une ambiance parfaitement détendue. La femme, le mari et l’amant s’entendaient comme des larrons en foire…
Le lendemain, Olivier eut l’idée de descendre à la cave avec Eric pour lui montrer quelques bonnes bouteilles de vin qu’il avait achetées et pour en choisir une pour le repas. Stéphanie était un peu inquiète de ce qui risquait de se passer dans Olivier découvrirait que la lumière fonctionnait à nouveau. Elle décida de les accompagner.
Olivier fit choisir à Eric une bouteille parmi les Bourgogne et les grands Bordeaux qu’il possédait dans sa cave. Il ne remarqua même pas que quelqu’un avait réparé l’interrupteur, ne se souvenant sans doute plus de ce dysfonctionnement. Juste avant de partir, il posa la main sur le vieux meuble et eut un mouvement de recul. Ses doigts étaient gluants de sperme.
- « Qu’est-ce que c’est que cela ? » s’étonna-t-il. « On dirait du sperme… Quelqu’un est venu baiser ici ? »
- « Franchement, ça m’étonnerait », répondit Stéphanie. « Il y a plus confortable qu’une cave pour faire l’amour et, si je te trompais, il me semble que je choisirais un autre endroit. »
- « Ta cave est bien fermée ? » demanda innocemment Eric. « Un couple d’adolescents a pu venir se planquer ici… »
- « Non, la porte ferme très bien et elle n’était pas ouverte quand nous sommes arrivés ! » s’exclama Olivier.
- « Laisse tomber ! » reprit Stéphanie. « Ce sont peut-être des chats qui ont fait une partouze, ou alors ce n’est pas du sperme, mais autre chose…. »
- « J’imagine bien plusieurs couples de chats en train de baiser dans votre cave ! » s’esclaffa Eric. « Remarque, s’il y a des chats, c’est qu’il y a de la chatte ! »
- « T’es con, toi alors ! » dit Stéphanie.
Olivier n’insista pas, mais il eut toujours un doute. A qui appartenait ce sperme ? Il aurait parié assez gros que c’était celui d’Eric…

à suivre...

Une soirée très humiliante.



Stéphanie ne revit pas Eric pendant assez longtemps après ce fameux week-end au cours duquel il lui avait si bien fait l’amour. Ce n’était pas l’envie qui lui manquait, mais elle savait que cela aurait risqué de mettre son couple en péril. Non seulement elle aimait Olivier, mais il lui apportait une sécurité matérielle à laquelle elle tenait. Il était cadre supérieur et gagnait bien sa vie, ce qui leur permettait d’habiter un bel appartement de 100 mètres carrés avec une belle terrasse. Elle n’avait pas non plus de souci pour acheter les fringues dont elle avait envie et pour sortir quand cela lui plaisait.
Depuis longtemps, elle avait le fantasme de faire l’amour dans des endroits insolites. Elle l’avait bien fait avec Olivier, depuis qu’ils se connaissaient, dans quelques lieux publics ou inhabituels comme un jardin public, la voiture dans le parking d’un centre commercial ou la forêt de Fontainebleau, mais cela ne c’était pas produit depuis longtemps et, cet épisode dans la cave, avait réveillé son envie.
Son quotidien avec Olivier n’avait pas beaucoup changé. Il passait beaucoup de temps à travailler, beaucoup trop au goût de Stéphanie, et elle se montrait de plus en plus autoritaire avec lui.
Depuis quelques temps, elle aimait provoquer des situations humiliantes pour son conjoint, et il semblait adorer cela.
Le soir, elle rentrait de son travail vers 18 heures. Généralement, il n’était pas encore là. Ce jour-là, ils arrivèrent pratiquement ensemble. Stéphanie se sentait un peu fatiguée et s’assit sur le canapé. Olivier vint l’embrasser et alla poser un dossier qu’il avait apporté sur la table.
- « J’ai un truc à finir », lui dit-il. « Tu prépares le repas pendant ce temps ? »
- « Ah non alors ! » s’exclama Stéphanie. « Ce soir je suis fatiguée. J’ai envie que tu t’occupes de moi ! »
Comme à regret, Olivier s’approcha d’elle et voulut la prendre dans ses bras, mais elle le repoussa aussitôt.
- « J’ai mal aux pieds ! » dit-elle. « Enlève-moi mes chaussures ! »
Il posa un genou à terre et prit un de ses escarpins dans ses mains. C’était un nouveau modèle et il n’avait même pas encore remarqué que Stéphanie les avait achetés. Lentement, il dégagea le talon, puis retira la chaussure complètement. Il fit la même chose avec l’autre pied. Stéphanie remua les orteils à travers ses bas pour mieux se détendre, puis elle regarda Olivier avec un petit air coquin.
- « J’ai envie que tu me lèches les pieds ! » lui dit-elle.
- « Avec tes bas ? » demanda Olivier.
- « Oui, j’ai un peu transpiré avec ces chaussures neuves, mais je suis sûre que tu vas adorer cela. «
Il ne fit aucune objection et commença à embrasser les pieds légèrement odorants de son épouse. Cela ne le rebutait pas et il fit de son mieux pour la détendre, massant le creux du pied pendant qu’il léchait ses orteils prisonniers du nylon.

à suivre...

Stéphanie se laissa faire un long moment, puis elle posa les deux pieds sur son visage.
- « J’aime te voir complètement à ma merci », dit-elle. « Déshabille-toi entièrement ! Je veux te voir à poil en train de branler ta petite queue ! »
Olivier, qui commençait à être bien excité par la situation, retira ses vêtements sans broncher. Il les éparpilla aux quatre coins du salon, ce qui lui valut une remarque désagréable.
- « Tu es toujours aussi bordélique ! » lui reprocha Stéphanie. « Tu me feras le plaisir de ranger tout cela dès que tu auras fini de t’occuper de moi ! »
- « Bien ma chérie, » répondit-il pour bien marquer sa soumission.
Elle le fit remettre par terre et posa à nouveau les deux pieds sur son visage, puis elle lui demanda d’enlever ses bas. Olivier laissa remonter ses mains le long des jambes, puis des cuisses de son épouse et atteignit la jarretière des bas auto fixant. Il les fit glisser, l’un après l’autre, avec beaucoup de sensualité. Il allait les lancer avec le reste des vêtements quand Stéphanie l’arrêta.
- « J’ai envie que tu les portes », lui dit-elle. « Enfile-les ! »
Olivier la regarda d’un air surpris. C’était la première fois qu’elle lui demandait une chose pareille, mais c’était un de ses fantasmes et il n’allait surtout pas la contrarier. Il enfila les bas et les mit bien en place, comme il l’avait vu faire tant de fois par son épouse. Elle le regarda en souriant.
- « Cela te va bien », lui dit-elle, « mais la prochaine fois, il faudra que tu te rases les jambes ! Ton épilation laisse à désirer. Allez, viens m’enlever ma culotte ! »
Olivier releva la jupe de Stéphanie et découvrit un très beau string de la marque « Aubade », le modèle « fleur de pommier », s’il se souvenait bien de ce qu’il avait vu dans le catalogue qu’avait reçu son épouse. Il regarda un instant sa toison blonde bien taillée à travers l’étoffe transparente, puis il prit le string et le fit glisser le long des jambes de Stéphanie. Avec ses doigts, elle écarta ses petites lèvres et lui montra l’intérieur de son vagin.
- « Mets-moi ta langue bien profond », lui dit-elle. « Regarde comme je suis mouillée… Je vais t’inonder le visage ! »
Il fit durcir sa langue et pénétra le sexe moite de sa compagne, Olivier avait quelques défauts sur le plan sexuel, mais sûrement pas celui de mal lécher ! Ses cunnilingus frôlaient la perfection et Stéphanie y prenait à chaque fois un plaisir immense. C’était d’ailleurs un peu là que se situait le problème. Elle trouvait qu’il la léchait tellement bien, qu’à chaque fois qu’il voulait la pénétrer, elle préférait en rester aux caresses buccales
Ce soir-là, elle avait envie qu’il la pénètre, mais pas n’importe comment. Elle se releva au bout de quelques minutes et fit redescendre sa jupe. Sans un mot, elle se dirigea vers la porte fenêtre qui ouvrait sur le balcon et la fit glisser sur ses rails. Elle sortit sur la terrasse et s’accouda à la rambarde. Lentement, elle fit remonter sa jupe et présenta ses fesses au regard d’Olivier en les tortillant.

à suivre...

- « Alors, tu n’as plus envie de mes fesses ? » demanda-t-elle.
- « Si », répondit aussitôt Olivier. « Je m’habille et j’arrive… «
- « Non ! » protesta Stéphanie. « Tu ne t’habilles pas ! Tu viens me baiser sur le balcon comme tu es ! »
- « Mais, je ne peux pas… »
- « Si ! Tu viens te mettre derrière moi et tu me prends en levrette ! Pour une fois que j’ai envie de sentir ta petite queue en moi… »
Olivier pesa le pour et le contre. Bien sûr, il avait une envie folle de pénétrer Stéphanie et l’idée de le faire en portant les bas de son épouse l’excitait encore plus, mais, s’il sortait sur le balcon dans cette tenue, des voisins risquaient de l’apercevoir et c’était le scandale assuré. Stéphanie renouvela sa demande en oscillant à nouveau sa croupe.
- « Alors, tu viens ? »
- « J’arrive », finit-il par répondre en avançant timidement vers elle.
Stéphanie se cambra encore davantage et écarta les jambes en se mettant sur la pointe des pieds. Elle rejeta la tête en arrière et lui murmura.
- « Vas-y, prends-moi ! »
Olivier regarda autour de lui si personne ne se trouvait sur sa terrasse, mais ils avaient heureusement l’air d’être les seuls dehors. Il posa ses mains sur les fesses de Stéphanie et la pénétra en douceur. Elle était tellement excitée qu’elle jouit au bout de seulement quelques allers retours. Cela tombait bien car Olivier, lui aussi follement excité, ne tarda pas à éjaculer en elle. Stéphanie resta quelques instants sans bouger, puis elle se retourna vers Olivier et le regarda d’un air sévère.
- « Tu as encore fait des cochonneries ! » lui dit-elle. « Il va falloir nettoyer tout cela ! Allez, entre dans le salon ! »

Olivier ne se fit pas prier. Il avait tellement peur qu’un voisin où une voisine l’ait aperçu dans cette tenue ridicule et choquante, qu’il avait hâte de retourner à l’intérieur. Stéphanie le suivit et retira sa jupe dès qu’elle fut entrée. Elle retourna s’installer sur le canapé, écartant les cuisses au maximum, et lui présentant son vagin inondé de sperme.
- « Viens lécher tout cela ! » ordonna-t-elle.
Sans un mot, Olivier vint s’installer entre ses cuisses et commença à laper le sperme qui dégoulinait. Un goût âcre envahit sa bouche. Il fut forcé de lécher les moindres recoins du sexe de son épouse, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte de sa semence. La situation était parfaitement humiliante, mais Olivier se dit que cela aurait pu être pire si c’était le sperme d’un autre. Inévitablement, il pensa à Eric. Il s’imagina en train de nettoyer le vagin de Stéphanie, alors que son copain venait de la baiser. Il se voyait, entièrement soumis, au service du couple, exhaussant leurs moindres désirs. Cette situation ne se produirait probablement jamais, mais pourtant elle hantait ses pensées depuis le matin où il avait vu son pote Eric en train de baiser sa femme.

à suivre...

Quand il eut terminé de nettoyer le sexe de Stéphanie, elle se retourna et lui présenta son cul, écartant bien ses fesses pour qu’il accède facilement à son anus.
- « Lèche-moi aussi de ce côté ! » dit-elle.
- « Bien », répondit seulement Olivier en glissant sa langue dans le petit trou tellement inaccessible.
Pendant qu’il dégustait le cul de son épouse, elle se mit à branler son clitoris et jouit une deuxième fois. Olivier recommençait à bander et voulut à nouveau la prendre en levrette, mais elle ne le laissa pas faire. Elle venait de jouir à nouveau et se moquait de son plaisir à lui. Elle reprit la position assise et le fit descendre du canapé.
- « J’ai faim ! » dit-elle. « Tu vas me préparer un petit repas ! »
- « Mais tu sais bien que je ne suis pas doué pour la cuisine », objecta Olivier.
- « Oh je ne te demande pas de me faire le menu d’un grand chef ! Fais-moi des spaghettis avec une boite de sauce bolognaise ! Cela devrait être dans tes cordes ? »
- « Oui », répondit Olivier. « Je peux me rhabiller ? »
- « Sûrement pas ! J’ai envie de te voir cuisiner cul nu avec tes bas… Je t’autorise juste à mettre un petit tablier pour que ta petite queue ne traîne pas dans les assiettes ! »
Olivier alla chercher un petit tablier blanc et le noua autour de sa taille. Avec ses bas noirs, il avait l’air encore plus ridicule ! Il fit chauffer l’eau pour les pâtes et vint ramasser ses vêtements qui trainaient sur le sol, puis il porta dans la machine à laver ce qui était sale et rangea soigneusement le reste. Ce soir-là, Stéphanie l’avait transformé en parfaite petite ménagère.
Quand les spaghettis furent cuits, il versa la sauce qu’il avait préalablement fait chauffer et servit une grande assiette à Stéphanie qu’il lui apporta sur la table basse devant le canapé. Elle mangea de bon appétit et lui demanda de resservir une seconde assiette. Elle n’avait plus faim, mais c’était pour lui.
Quand il apporta l’assiette préparée avec amour, elle la posa sur le sol.
- « Tiens, c’est pour toi », lui dit-elle. « Je veux que tu manges par terre comme un chien ! »
Olivier se mit à quatre pattes et essaya d’attraper les spaghettis avec la bouche, à même l’assiette. Il avait beaucoup de mal et son visage était de plus en plus barbouillé de sauce tomate. Il essaya de se servir de ses doigts, mais Stéphanie le rappela immédiatement à l’ordre.
- « Tu as déjà vu un chien manger avec ses pattes ? Débrouille-toi sans y mettre les doigts ! »
Il reprit la dégustation des spaghettis avec la bouche et, ce qui devait arriver arriva. Il en fit tomber à côté de l’assiette et reçut aussitôt une grande claque sur les fesses.
- « Mange sans faire de saletés, sinon tu dors sur le balcon ! » s’écria Stéphanie. « Je veux bien te prendre au pied de mon lit, mais à condition que tu ne te comportes pas comme un cochon ! Allez, finis ton assiette et tu iras ranger la cuisine ! »

à suivre...

Olivier termina les spaghettis en faisant bien attention à ne rien renverser, puis il ramassa l’assiette vide et alla la mettre dans le lave-vaisselle. Il rangea soigneusement la cuisine, puis revint vers le canapé. Stéphanie avait allumé la télévision et regardait un programme qui n’avait pas franchement l’air passionnant. Elle tourna son regard vers Olivier un instant et lui ordonna de s’allonger par terre.
Pendant tout le film, qu’elle regarda distraitement, il dut s’occuper de ses pieds. Il les caressa, les cajola, les embrassa… Lui, ne regardait pas du tout le film, mais il n’en avait pas envie. Il se demandait ce qui avait pris à Stéphanie de le traiter de la sorte, mais il avait passé une soirée merveilleuse. Les humiliations que lui avait fait subir son épouse répondaient vraiment à ses attentes. Il avait d’abord dû lui lécher les pieds, signe de soumission évident, puis elle l’avait rendu ridicule en lui demandant de porter ses bas et surtout de sortir sur le balcon au risque d’être vu par les voisins. Etre obligé, ensuite, de cuisiner nu, avec un petit tablier qui le transformait en soubrette, lui avait procuré une grande satisfaction. Lui, le cadre supérieur respecté dans son milieu professionnel se transformait en bonniche au service de son épouse infidèle. L’assiette de spaghettis, dégustée sur le sol du salon, l’avait ensuite transformée en un chien. De soubrette, il était passé à animal de compagnie et était resté, tout le film durant, aux pieds de Stéphanie.
Maintenant, elle allait au lit et il voulait voir comment les choses allaient se terminer. Le jeu avait été follement excitant, mais était-ce vraiment un jeu ? Il voulait bien que Stéphanie le domine, l’humilie… Il en redemandait même encore, mais il fallait qu’elle sache s’arrêter à temps. Il entendait rester son époux, respectable et respecté, et il n’était pas question qu’elle le fasse passer pour un minable aux yeux des voisins, de leurs amis ou de quiconque. Il avait sa fierté et l’homme public ne voulait pas voir sa vie privée, pleine de désirs d’humiliation, empiéter sur le reste.
Stéphanie se déshabilla et lui ordonna de se coucher au pied du lit. Il le fit sans rechigner et s’installa, comme un chien aux pieds de sa maîtresse. Dans la nuit, il eut froid et la réveilla. Elle lui sourit enfin et lui demanda de venir se réchauffer sous la couette. Il s’allongea à ses côtés et la prit dans ses bras, s’endormant lentement contre son corps parfumé. Le jeu semblait bien terminé et il redevenait le mari qu’il entendait rester.

à suivre...

Le voisin black.



Pendant plusieurs semaines, Stéphanie redevint une épouse ordinaire avec Olivier. Plus jamais elle ne lui offrit une séance comme celle qu’il n’avait pas oubliée, au cours de laquelle elle l’avait humilié. Un soir, alors qu’elle rentrait chez elle comme d’habitude, la porte de son voisin s’ouvrit. Le voisin, un grand black qu’elle avait souvent croisé, montra sa tête et lui sourit.
- « Je peux vous demander un petit service ? » lui demanda-t-il.
- « Bien sûr » répondit Stéphanie. « Entre voisins, il faut s’entraider… »
- « C’est un peu particulier », ajouta-t-il d’un air à la fois gêné et amusé. « Vous avez le temps d’entrer un moment ? »
- « Oui », répondit Stéphanie tout de même légèrement inquiète car elle savait qu’il vivait seul.
- « Alors, entrez ! » reprit-il en la faisant entrer.
Stéphanie pénétra dans l’appartement, assez similaire au leur du point de vue de sa conception, mais complètement différent dans son ameublement et sa décoration. Tous les meubles étaient en rotin, il y avait des paravents, des malles, des statuettes et des masques africains, qui donnaient à l’endroit une apparence exotique. Le voisin lui apprit qu’il se prénommait Samuel. Elle se présenta à son tour et il aborda le cœur du sujet.
- « Je sais que vous travaillez dans le secrétariat et vous devez être plutôt douée avec un ordinateur », dit-il. « Il y a des photos que j’aimerais publier sur un groupe de discussion et je ne sais pas trop comment m’y prendre… »
- « Oh, vous auriez mieux fait de demander à mon mari ! » s’exclama Stéphanie. « Je crois qu’il est plus doué que moi… »
- « Peut-être », répondit Samuel, « mais il y a certaines photos que je n’avais pas envie de lui montrer… »
Sa réponse continua d’intriguer Stéphanie, qui s’approcha de l’ordinateur qu’il lui désignait. C’était un vieux PC, comme ceux qu’elle avait à son travail cinq ans plus tôt. Il l’alluma et sélectionna un lien dans les favoris du navigateur. Quand il fut enfin lancé,. Stéphanie vit s’ouvrir un groupe de discussion, comme elle en connaissait quelques-uns. Le groupe s’intitulait de manière assez banale « Samuel, sa vie ses amours, ses emmerdes ». Rien de très original, et c’est la traduction d’un égocentrisme assez poussé, se dit Stéphanie. Les gens qui racontaient leur vie sur un blog ou sur un groupe de discussion avaient, selon elle, une existence bien vide ! En être réduit à étaler son existence sur la toile, pour des inconnus qui n’en avaient pas grand-chose à faire, était pour elle la preuve d’un grand vide affectif et social. Elle n’était pas du tout attirée par les réseaux dits « sociaux » et préférait de loin les relations charnelles avec de vrais individus. C’était un des sujets de discussion récurrents entre elle et son mari. Olivier prétendait que l’appartenance à des groupes constituait une ouverture sur le monde et permettait de contacter, et pourquoi pas de rencontrer, des gens qu’on n’aurait jamais connus autrement. Stéphanie répondait que rien ne remplaçait un premier contact humain et que, seuls les frustrés de la communication, avaient besoin de ces réseaux.

à suivre...

Samuel prit la souris et parcourut plusieurs rubriques du groupe. Il y avait des textes, présentant son pays et sa région d’origine, qui semblaient tout droit tirés du site d’une agence de voyage ou de celui d’un office de tourisme.
Une autre rubrique présentait personnellement le voisin de Stéphanie. Elle apprit ainsi qu’il avait 35 ans, qu’il était né à Dakar, qu’il était divorcé depuis trois ans et qu’il mesurait un mètre quatre-vingt-quinze. Le texte ne parlait pas du tout de son activité professionnelle.
Il cliqua sur la rubrique « Photo ». Un message indiquait : « aucun album présent »
- « Voilà, c’est là que je voudrais ajouter des photos », dit-il. « Elles sont toutes rassemblées dans un dossier… »
- « C’est assez facile », répondit Stéphanie en lui prenant la souris. » Il faut d’abord créer un album et lui donner un nom, puis il suffit de cliquer sur « Ajouter des photos », « Utiliser l’outil de téléchargement » et d’aller ensuite les sélectionner en leur donnant un titre. »
- « Je savais que vous pourriez m’apporter une aide précieuse », dit Samuel avec un grand sourire. « Vous voulez que je vous les montre d’abord ? »
- « Pourquoi pas… »
Le grand black posa sa main sur celle de Stéphanie, qui n’avait pas lâché la souris, et il la caressa légèrement avant de prendre sa place. Il ouvrit le dossier, sélectionna une des photos et cliqua sur « afficher un diaporama ». Les clichés s’enchainèrent au rythme d’un toutes les cinq secondes. Les premières images étaient, sans doute, copiées sur le même site que celui dont était tirée la description de la région natale de Samuel. On y voyait uniquement des paysages. Ensuite, plusieurs photos de lui s’enchainaient, dont une où il était en maillot de bain et sur laquelle Stéphanie put apprécier sa musculature puissante.
- « Les suivantes sont un peu plus osées », révéla Samuel à sa voisine.
Effectivement, Stéphanie put apprécier l’anatomie de son voisin sous toutes ses coutures. Sur les premières photos, il était nu, de dos, et elle put apprécier ses fesses musclées. Les clichés suivants le montraient de face, d’abord avec le sexe au repos, puis en pleine érection.
- « Non mais ça ne va pas ? » s’insurgea Stéphanie choquée. « Je ne savais pas que mon voisin était un exhibitionniste notoire ! »
- « Attends un peu avant de t’insurger ! » répondit Samuel qui la tutoyait soudain. « Ce sont les suivantes que je voudrais insérer dans un album. »
Stéphanie regarda de nouveau l’écran et vit apparaître son visage en gros plan. Cinq secondes plus tard, elle apparut en pied, accoudée à la balustrade de son balcon. Le cliché suivant la montrait dans la même position, mais avec la jupe relevée. Elle comprit tout de suite à quel moment Samuel avait pu prendre ces photos. C’était le soir où elle s’était amusée à humilier Olivier.

à suivre...

Sur la photo suivante, le zoom avait été utilisé et on voyait uniquement ses fesses. Deux clichés la montraient ensuite en train de se faire prendre par Olivier, à poil avec des bas noirs. Elle regarda Samuel d’un air affligé.
- « Tu ne vas quand même pas publier ces photos sur le web? » demanda-t-elle.
- « Ca dépend », rétorqua Samuel. « Si tu te montres très compréhensive, peut-être pas… »
Stéphanie comprit qu’elle avait été piégée. Le soir où elle s’était amusée à provoquer cette situation exhibitionniste follement excitante, elle n’avait pas remarqué son voisin caché dans un coin de sa terrasse. Samuel avait eu le réflexe d’aller chercher tout de suite son appareil photo et il avait pris discrètement ces clichés compromettants qu’il avait bien l’intention d’utiliser aujourd’hui pour parvenir à ses fins. Depuis longtemps, sa belle voisine blonde lui plaisait beaucoup, mais il ne la croisait pas très souvent, ou alors en compagnie de son mari. Ce groupe, qu’il avait créé, faisait partie d’un scénario bien préparé. Le but était uniquement d’amener sa voisine à venir chez lui, soi-disant l’aider dans des tâches informatiques, et de lui montrer les photos qu’il avait prises. Après, elle ne pourrait pas lui refuser grand-chose… De toute façon, le groupe qu’il avait créé était un groupe privé et, pour le moment, il n’avait accepté aucune inscription. Mais Stéphanie ne le savait pas…
- « Alors, tu préfères une petite exhib en privé ou la publication de tes photos sur internet ? » demanda Samuel avec un air malicieux.
- « Est-ce que j’ai vraiment le choix ? » questionna Stéphanie.
- « Pas vraiment, si tu ne me montres pas tes jolies fesses, je publie tes photos sur le groupe. Et si tu me les montres, j’aurai peut-être envie d’en prendre d’autres… »
Stéphanie soupira. Elle n’avait en effet pas le choix et dut faire ce qu’il lui demandait. Pour la première fois, il ne se montra pas trop exigeant. Il savait qu’il la tenait avec ces photos et qu’il pourrait y aller progressivement.
- « Tu vas te mettre au milieu du salon et me faire un strip-tease », demanda-t-il. « J’ai envie de faire gentiment connaissance avec ton corps et je ne te demanderai rien. Je veux juste me branler en te regardant… »
Stéphanie se recula un peu et commença à déboutonner son chemisier. Samuel en fit autant avec sa braguette … Elle ouvrit le chemisier et son nombril apparut. Il était rond et bien dessiné. Elle dégagea les épaules du chemisier et Samuel vit apparaître les bretelles de son soutien-gorge. Elles étaient fines de couleur violette. Le chemisier tomba sur le sol et sa poitrine apparut dans son soutien-gorge violet. Samuel adorait ses petits seins qui pointaient vers le haut. Il sortit son sexe et commença à se masturber. Même au repos, la longueur de sa verge était impressionnante.
Stéphanie s’arrêta. Elle avait envie de reprendre son chemisier et de s’enfuir en courant. Après tout, il n’avait qu’à publier ses photos volées! De toute façon, son mari était au courant, il était dessus, et c’était plutôt lui qui se trouvait dans une posture ridicule.

à suivre...

D’un mouvement de la tête, Samuel lui fit signe de continuer. Elle prit cinq secondes pour réfléchir et songea aux conséquences possibles d’une publication. Un de ses collègues ou mieux, un de ses supérieurs risquait de tomber dessus par hasard et alors elles circuleraient dans toute l’entreprise. Elle n’aurait plus qu’à changer de boulot ou à passer pour la salope de service ! Elle se ravisa donc et commença à déboutonner le jean très classe qu’elle portait. Elle le fit glisser le long de ses cuisses fuselées et le lâcha quand il atteignit la hauteur de ses genoux.
Samuel vit son petit string, assorti au soutien-gorge, et passa la langue sur ses lèvres pour les humidifier.
- « Hum, c’est mignon », dit-il en continuant à se masturber. « Attends, je vais te prendre en photo comme ça… »
Il arrêta une minute de se branler et attrapa l’appareil photo numérique qu’il avait préparé sur la table du salon. Il prit deux ou trois clichés de Stéphanie. Elle retira ses chaussures et ne portait désormais que ses petites socquettes blanches et sa lingerie coordonnée. .
- « Continue », dit Samuel en reprenant la masturbation de son sexe qui était maintenant dur et mesurait au moins vingt-cinq centimètres.
Stéphanie dégrafa adroitement son soutien-gorge et l’enleva d’un seul coup. Ses petits seins dont les tétons pointaient étaient arrogants. Les aréoles rosées qui les entouraient étaient plutôt petites.
- « Tu es belle », dit Samuel. « Enlève la culotte, maintenant… »
Elle sembla hésiter et se retourna, lui tournant le dos. Ses mains saisirent l’élastique du string, et elle le fit glisser avec une lenteur calculée. Elle se prenait peu à peu au jeu et avait envie d’exciter son voisin black. Après tout, autant qu’il ne soit pas déçu ! Ses fesses apparurent progressivement. Elles étaient petites et fermes.
Samuel se mit à se branler de plus en plus vite. Il était vraiment excité par le spectacle. Il se leva et prit Stéphanie par l’épaule, l’obligeant à se retourner vers lui.
- « Maintenant, je veux voir ta chatte », dit-il. « Oh comme c’est mignon ces petits poils blonds ! Dans mon pays, les femmes ont toutes de grosses chattes velues… La tienne ressembla à celle d’une adolescente. En plus, avec tes petites socquettes blanches, on dirait une lycéenne… Si tu savais comme tu m’excites, ma petite salope ! »
- « J’ai honte », dit Stéphanie en rougissant.
- « Oh oui ! Joue les petites filles timides, je bande encore plus fort ! »
- « Mais c’est vrai, j’ai vraiment honte… Mon mari va rentrer et il va s’inquiéter… »
Samuel éclata d’un rire gras. Il repensa aux photos qu’il avait prises d’Olivier.
- « Tu ne vas quand même pas me faire croire que tu te soucies de cette tafiole qui te baise avec des bas ? Laisse-le s’inquiéter, tu lui diras que tu as trouvé une queue un peu plus longue que la sienne! »
Stéphanie ne répondit pas. Elle rentrait pratiquement tous les soirs avant Olivier et là, il devait être rentré depuis au moins une demi-heure. Inconsciemment, elle chercha quelle excuse elle allait pouvoir inventer…
Samuel ne la toucha même pas. Il lui demanda de ramasser son string et de le présenter devant sa queue. Soudain, un formidable jet de sperme macula la pièce de lingerie à l’endroit où se trouvait la chatte de Stéphanie quelques minutes plus tôt. Samuel avait l’air satisfait. Stéphanie regarda le liquide gluant qui recouvrait l’étoffe violette.
- « Remets-le ! » ordonna son voisin.
Elle enfila le string délicatement et le remonta avec précaution. Elle sentit l’humidité sur son sexe et n’osa pas protester. Samuel mit la main sur son pubis et frotta le string, comme pour bien étaler sa semence sur ce sexe qu’il n’avait pas touché.
- « C’est bon pour aujourd’hui », dit-il. « Tu peux te rhabiller ! »
Stéphanie ne se le fit pas dire deux fois. Elle remit d’abord son jean, puis enfila ses chaussures pendant qu’elle agrafait le soutien-gorge et elle ramassa enfin le chemisier qu’elle boutonna en toute hâte. Finalement, elle ne s’en sortait pas trop mal…
Son voisin lui envoya un baiser du bout des doigts et la laissa repartir. Elle alla ouvrir sa propre porte d’entrée, sur le même palier. Effectivement, Olivier était rentré depuis longtemps et s’inquiéta de son retard. Elle ne prit même pas la peine de lui répondre et s’enferma dans la salle de bains. Elle avait hâte de se débarrasser de ce string gluant !
Elle revint peu de temps après, toute fraîche et parfumée. Elle embrassa enfin Olivier et lui demanda s’il avait passé une bonne journée. Quand il réitéra sa question sur les raisons de son retard, elle lui répondit sèchement qu’elle n’avait pas de compte à lui rendre.

à suivre...

Des relations qui s’installent.



A partir du jour où Stéphanie avait dit à Olivier qu’elle n’avait pas de compte à lui rendre, son emploi du temps devint de moins en moins régulier. Les soirs où elle rentrait plus tard devinrent de plus en plus nombreux. Olivier passa de plus en plus d’heures à l’attendre. Généralement, elle n’était pas très loin. Elle se trouvait chez leur voisin, qui ne s’était pas contenté du strip-tease du premier soir.
Seulement trois jours plus tard, il avait intercepté Stéphanie alors qu’elle arrivait sur le palier.
- « Tu viens ? » lui avait-il dit. « Je vais te montrer les photos de l’autre jour… »
- « Non, j’ai fait ce que tu voulais l’autre soir, avait répondu Stéphanie, mais, maintenant il faut que cela s’arrête ! »
- « Tant pis, si tu ne veux pas venir voir les photos chez moi, je t’enverrai le lien vers le groupe où je vais les publier. Je pense que je vais les envoyer à l’adresse mail de ton boulot. Il y aura bien quelqu’un qui se fera un plaisir de les diffuser à tes collègues… »
- « Bon, je viens ! » avait finalement été obligée de répondre Stéphanie qui avait compris qu’elle ne s’en tirerait pas aussi facilement que cela.
Samuel l’avait fait entrer dans son appartement et lui avait aussitôt demandé de se déshabiller. Ce jour-là, elle portait une robe assez courte et des bas. Elle retira la robe et la posa sur une chaise, puis elle enleva son ensemble de lingerie coordonné blanc et ne conserva que ses bas qui étaient blancs également.
- « Tu me plais comme ça », dit Samuel. « Garde tes bas ! »
- « Comme tu veux », répondit Stéphanie qui commençait à se faire à l’idée de devoir passer s’exhiber régulièrement chez son voisin.
Il lui montra les photos qu’il avait prises quelques jours plus tôt. On la reconnaissait encore mieux que sur celles, volées sur le balcon qui étaient un peu sombres. Elle comprit qu’elle avait mis le doigt dans un engrenage sans fin. Plus elle viendrait chez Samuel, plus il prendrait des clichés compromettants et plus il aurait de clichés, plus il aurait de raisons de la faire revenir.
Cette fois, il se déshabilla complètement et elle put se rendre compte que c’était vraiment un beau gosse. Samuel faisait régulièrement de la musculation et c’était un véritable athlète. Il s’approcha de Stéphanie et commença à la palper vigoureusement. Ses mains étaient immenses et couvraient largement les petites fesses de sa voisine. Il malaxa également ses seins avec une grande vigueur. Bien que ce soit habituellement plutôt elle qui prenait la direction des opérations, Stéphanie apprécia la force de ce colosse qui la dépassait de plus de vingt centimètres. Il la prit sous les aisselles et la souleva de terre. Il amena son visage à la hauteur du sien et l’embrassa sur la bouche. Elle ne refusa pas ce baiser qu’il lui imposait.

à suivre...

Il la reposa ensuite sur le sol et appuya sur sa tête avec autorité, pour qu’elle vienne à hauteur de son sexe qui commençait à durcir. Elle leva les yeux vers lui et lui fit comprendre qu’il n’aurait pas besoin de la contraindre. Elle avait envie de cette grande queue noire et la prit dans sa bouche avidement.
Samuel sentit aussitôt durcir encore sa verge. Sa voisine suçait vraiment très bien. Ce jour-là, il n’avait pas envie d’autre chose et il se contenta de cette fellation divine. Stéphanie le fit jouir assez rapidement et il éjacula sur ses seins. Une fois encore, elle allait rentrer chez elle couverte de sperme !
En partant, ce fut elle qui dit à Samuel qu’elle reviendrait. Pas le lendemain, elle ne pouvait pas, mais le surlendemain. Il comprit qu’il n’aurait plus besoin d’exercer son chantage.
Quand Olivier lui demanda, une fois encore pourquoi elle rentrait en retard, elle le regarda avec un sourire ironique.
- « Pourquoi ? Tu avais envie que je m’occupe de ta petite queue? » demanda-t-elle car elle était rentrée passablement excitée et insatisfaite de chez le voisin.
- « Oui », répondit humblement Olivier. « J’avais envie de te faire l’amour. »
- « Tu sais, je peux trouver des queues autrement plus intéressantes que la tienne », lui répondit Stéphanie d’une manière très blessante. « La tienne, je ne la trouve même pas au milieu des poils ! Tu me feras le plaisir de t’épiler désormais ! »
- « Comme tu voudras », répondit son mari de plus en plus soumis.
- « Bon, je passe dans la salle de bains et tu auras le droit de me baiser ce soir. Je n’ai pas faim. Si tu veux manger, tu te débrouilles avec le frigo ou tu commandes une pizza ! »
Olivier ne fit aucune remarque. Stéphanie semblait se désintéresser de plus en plus des tâches ménagères et le laissait souvent s’en charger. Il était loin le temps où, au début de leur mariage, elle lui préparait des petits plats en attendant qu’il rentre le soir…
Stéphanie passa dans la salle de bains et nettoya le sperme de Samuel dont sa poitrine était recouverte. Sa robe avait été tâchée et elle la mit dans le linge sale. Elle revint vers Olivier entièrement nue.
- « Tu me baises, mais tu fais vite ! » lui dit-elle. « Ce soir, je ressors. Je vais voir une copine que j’ai retrouvée par hasard cet après-midi. »
- « Ah bon ? Tu ne m’en avais pas parlé », dit Olivier.
- « Comment voulais-tu que je sache que je la verrai aujourd’hui ? » demanda-t-elle. « Bon, alors, tu la sors ta petite queue, ou je pars tout de suite ? »
- « Viens plutôt sur le lit », lui dit Olivier.
- « Mon vieux, tu deviens d’un classique ! Je préférais le temps où tu me prenais dans des endroits excitants comme dans cette petite ruelle ou dans le train… »
Olivier repensa à ces expériences qui avaient pimenté leur vie de couple. Il se souvint avec nostalgie du jour où Stéphanie lui avait dit brusquement, en pleine rue commerçante de la capitale.
- « J’ai envie de faire l’amour… Prends-moi maintenant ! »

à suivre...

Ils avaient bifurqué dans une petite ruelle adjacente et s’étaient dissimulés sous un porche, à quelques mètres seulement de la grande rue très passagère. Il l’avait plaquée contre le mur, avait remonté sa jupe et l’avait pénétrée aussitôt, constatant avec surprise qu’elle ne portait pas de culotte ce jour-là. Elle avait joui très vite et s’était mise à crier, risquant d’être entendue par les passants, mais elle s’en moquait. Ce qui comptait, c’était justement le risque de pouvoir être surprise.
L’autre expérience à laquelle elle faisait allusion avait eu lieu un jour où ils prenaient le train tous les deux. Le voyage était long et ennuyeux. Pendant plusieurs heures, ils avaient partagé leur compartiment avec une famille assez bruyante. Stéphanie, qui avait envie de lire, était excédée. Quand ils descendirent enfin à une des gares située sur leur trajet, ils se retrouvèrent seuls dans le compartiment.
- « Ils étaient pénibles », avait dit Stéphanie. « Fais-moi l’amour ça me détendra… »
- « Ici ? » avait demandé Olivier.
- « Ben oui ! Tu veux qu’on demande au conducteur du train de nous arrêter dans un petit hôtel et d’attendre qu’on ait fini ? » ironisa-t-elle.
Olivier s’était alors rendu compte du ridicule de sa remarque. Il avait tiré les rideaux du compartiment et avait commencé à baisser le jean que Stéphanie portait ce jour-là. Cette tenue n’était vraiment pas pratique ! Elle le laissa baiser son jean et sa culotte et releva les jambes pour mieux lui présenter son sexe lisse qu’elle avait épilé complètement avant de partir.
- « Vas-y, viens fourrer mon petit abricot ! » avait-elle dit. « Mais fais vite, le contrôleur va sûrement passer comme après chaque gare… »
Olivier avait, lui aussi, baissé son pantalon et s’était introduit dans le sexe de sa compagne sans aucun préliminaire. Elle mouillait abondamment, comme à chaque fois qu’elle se retrouvait dans une situation ou un lieu insolite. Cela lui provoquait toujours une folle excitation. Olivier la baisa pendant quelques minutes, puis il entendit frapper à la vitre du compartiment. C’était le contrôleur qui, voyant les rideaux tirés, avait eu la prudence de frapper avant d’ouvrir. Tout affolé, Olivier s’était retiré et avait remonté son pantalon en toute hâte. Stéphanie, elle, n’avait pas bougé, restant les jambes relevées et la chatte offerte. Olivier avait attrapé les billets dans sa veste et les avait tendus au contrôleur par la porte qu’il avait à peine entrouverte.
Celui-ci avait pris tout son temps pour les examiner et les poinçonner. Olivier était mort de honte quand l’employé de la SNCF les lui rendit avec un grand sourire en jetant un dernier coup d’œil sur l’intimité de son épouse.
- « Tu crois qu’il m’a vue ? » avait demandé Stéphanie.
- « J’en suis sûr ! » avait répondu Olivier. « De l’endroit où il était placé, il devait avoir une vue magnifique sur ta chatte ! »
- « Tant mieux, cela lui fera un bon souvenir… Allez, tu viens finir de me détendre ? »
Olivier avait repris sa place entre les cuisses de son épouse un brin exhibitionniste et il lui avait fait l’amour sans se soucier cette fois d’une éventuelle autre visite du compartiment. Lui aussi était très excité par la situation. Il jouit dans le sexe de Stéphanie et elle remonta sa culotte et son pantalon sans essuyer le sperme qui la maculait.

à suivre...

Pour l’heure, il était face à son épouse qui lui reprochait son manque de fantaisie et d’originalité. Il avait envie de la surprendre. Il la fit installer sur la table de la cuisine et alla chercher un torchon pour lui bander les yeux. Elle se dit qu’il allait peut être enfin sortir de la routine qui s’installait depuis quelques temps.
Il lui écarta les cuisses et commença à la lécher, comme il savait si bien le faire.
- « Dépêche-toi », dit Stéphanie. Je dois partir.
- « Oui, laisse-moi quand même le temps de te faire jouir » répondit Olivier.
Il la fit glisser vers le bord de la table et la pénétra avec son petit engin, puis il ressortit de son vagin et elle entendit du bruit dans la cuisine. Elle ne voyait plus rien et se demandait ce qu’il pouvait bien faire.
Il prit un concombre dans le bac à légumes du réfrigérateur et revint vers elle. Il la pénétra de nouveau, d’abord avec son sexe, puis avec le concombre. Elle sentit tout de suite la différence. Ses petites lèvres durent s’écarter au maximum pour laisser passer le gros calibre du légume qui s’enfonçait en elle. Sa chatte se dilata progressivement. Elle mouillait de plus en plus, se laissant défoncer par l’objet qu’Olivier manipulait avec dextérité. Soudain, ses mains prirent la place de celles de son époux et elle se mit elle-même à se masturber avec le concombre. Elle y allait encore plus fort et plus vite que lui. Il en profita pour changer de place et vint lui faire sucer sa queue.
Stéphanie se crispa soudain et son corps fut secoué de tremblements. Elle jouissait avec une intensité extrême. Olivier se masturba au-dessus de son visage et fit gicler son sperme sur les lèvres et la joue de Stéphanie qui hurlait de plaisir.
Il attendit que son corps cesse de s’agiter, puis retira le torchon qui lui bandait les yeux. Son visage était plein de sperme et il la trouvait belle.
- « Alors, ça t’a plu ? » demanda-t-il.
- « Pas mal », répondit Stéphanie, « mais maintenant je vais être en retard ! »
Elle essuya le sperme avec le torchon et partit dans la chambre s’habiller. Olivier la vit revenir un peu plus tard, vêtue d’une mini-jupe ultra-courte et d’un chemisier transparent, sous lequel elle n’avait pas mis de soutien-gorge.
- « Tu vas sortir comme ça ? » demanda Olivier.
- « Oui, ma copine adore aller draguer en boîte. Si je l’accompagne, ce n’est pas pour garder son sac ! Allez, tchao ! »
Elle sortit en claquant la porte. Olivier resta seul, comme un con. Il mangea quelques bricoles trouvées dans le frigo, puis s’installa devant son ordinateur, comme tous les soirs. Il n’avait pas envie de travailler et chercha un forum consacré au cocufiage. Il s’inscrivit et se rendit compte rapidement qu’il n’était pas le seul cocu à rester à la maison pendant que sa femme sortait. Il chatta avec plusieurs de ses compagnons d’infortune et sympathisa avec l’un d’eux. Ils finirent par échanger leurs numéros de téléphone et promirent de s’appeler le lendemain, car l’autre n’était pas seul. Olivier finit par aller se coucher. Il n’allait pas attendre la moitié de la nuit que Stéphanie daigne rentrer !

à suivre...

En fait de copine, elle avait rejoint Eric. Elle avait soigneusement évité de le recontacter, de peur de succomber trop vite à son charme, après le week-end qu’il avait passé chez eux, mais c’était lui qui avait rappelé un jour où Olivier n’était pas là. Il était très content d’être tombé sur Stéphanie et lui avait aussitôt proposé de la revoir. Elle n’avait pas résisté à l’envie de sentir à nouveau sa grosse queue en elle et avait accepté ce rendez-vous.
Eric l’attendait, comme convenu, dans un café. Il fut ravi de la voir arriver presqu’à l’heure et la complimenta sur sa tenue particulièrement sexy. Ils burent un verre, puis il l’emmena dîner dans un petit restaurant tout proche, qu’il connaissait bien.
La tenue de Stéphanie ne laissa pas les autres clients et les serveurs indifférents. Eric se monta particulièrement attentionné à l’égard de la femme de son copain et on aurait dit un jeune couple en pleine lune de miel. A la fin du repas, il lui proposa, évidemment, d’aller chez lui. Elle accepta sans aucune réticence.
A peine arrivé dans son petit appartement, Eric se précipita sur Stéphanie. Depuis près de deux heures, il avait envie d’elle. Il l’embrassa goulument et la déshabilla avant de la conduire dans sa chambre. Elle était toujours aussi belle et il se mit nu rapidement. Il l’invita à s’installer sur le lit et s’allongea sur elle. Sans perdre de temps en préliminaires, il la pénétra. Son sexe était toujours aussi gros et aussi dur que la dernière fois. Stéphanie ne bouda pas son plaisir de retrouver le fougueux ami de son mari et le laissa la prendre dans toutes les positions qui lui passaient par la tête. Il avait bien révisé son kamasoutra, car il lui offrit un festival de variété. Il la fit jouir deux fois, sans éjaculer lui-même, ce dont Olivier était bien incapable. Il se libéra enfin en elle et elle sentit le sperme abondant s’écouler le long de ses cuisses, comme la dernière fois.
Après avoir fait l’amour pendant plus d’une heure, Stéphanie était épuisée. Elle se glissa sous la couette et s’allongea sur le côté. Eric caressa ses cheveux blonds légèrement ondulés.
- « Tu es vraiment un sacré bon coup ! » lui dit-il.
- « Toi-aussi », répondit Stéphanie. « J’espère que maintenant on va se revoir souvent… »
- « Oui », répondit Eric. « Mais depuis peu, j’ai une copine et cela risque de compliquer les choses… »
- « Pourquoi ? Moi, j’ai bien un mari ! »
- « C’est vrai, mais ma copine parle de venir habiter ici… »
- « Raconte-moi », lui dit Stéphanie en se retournant vers lui. « Elle est comment ta copine ? »
- « Pas du tout comme toi ! Elle est brune, elle a de gros seins et une chatte bien fournie. Votre point commun, c’est que vous êtes de belles cochonnes ! »
- « Elle s’appelle comment ? »
- « Anita, elle est d’origine espagnole. »
- « Eh bien tu me la présenteras… Entre cochonnes, on va peut-être s’entendre… »
- « Arrête ! Je vous imagine en train de faire l’amour toutes les deux et cela me fait de nouveau bander ! »
- « Tu sais, je n’ai jamais fait l’amour avec une femme », confia Stéphanie, mais je serais prête à essayer…
- « Je ne sais pas si j’oserai lui en parler », dit Eric, « mais vraiment, j’adorerais ! »
- « Ne brusque pas les choses », fit sagement Stéphanie. « Fais-toi inviter par Olivier pour lui présenter ta copine. On verra bien comment se passera le premier contact… »
- « Tu as raison. »
- « Tu crois qu’avec deux femmes dans ton lit tu pourras assurer ? » lui demanda-t-elle.
- « Et comment ! » répondit Eric en se jetant sur elle. « Regarde, je bande comme un âne ! »

à suivre...

Stéphanie enroula ses jambes autour de lui et il la pénétra dans la position classique du missionnaire. Cette fois, il ne lui fit pas prendre des positions étranges ou acrobatiques, mais il la pilonna comme un malade et la fit encore jouir de belle manière. Lui aussi jouit de nouveau en elle, puis il l’embrassa longuement. Elle eut la flemme de se lever pour aller jusqu’à sa salle de bains et resta, inondée de sperme chaud.
- « Je peux rester dormir ici ? » demanda Stéphanie. « Ta copine ne risque pas d’arriver à l’improviste ? »
- « Non, elle est à Barcelone », répondit-il. « Elle règle une affaire familiale. »
- « Alors, bonne nuit ! » dit-elle en éteignant la lumière. « Tes coups de queue m’ont crevée ! »
- « Bonne nuit ma belle cochonne blonde », répondit Eric. « J’ai sommeil aussi. »
Ils s’endormirent l’un contre l’autre. Pour la première fois depuis le début de son mariage, Stéphanie découchait pour passer la nuit avec un autre homme…

Une soirée entre amis.



Stéphanie était partie travailler directement de chez Eric. Elle avait tout de même appelé Olivier pour qu’il ne s’inquiète pas trop, mais ne lui avait rien dit de l’endroit où elle avait passé la nuit. Elle avait juste dit qu’elle n’était pas en état de rentrer.
Sa journée de travail se passa normalement. Plusieurs de ses collègues la draguaient de plus en plus. Leurs efforts pour la séduire la laissaient indifférente. Elle ne voulait pas mélanger sexualité et travail. Pourtant, même son patron ne semblait pas indifférent à son charme. Il venait la voir de plus en plus souvent et se montrait plus agréable que d’habitude, presque affectueux… Avec lui, c’était un peu différent. Ses approches n’avaient pas la lourdeur de celles des collègues de Stéphanie, et elle l’appréciait vraiment. Il avait un charisme évident et un dynamisme à toute épreuve. Elle sentait que, s’il insistait, elle ne tarderait pas à craquer. Pour le moment, il se contentait d’être plus gentil et plus présent.
Le soir, Stéphanie et Olivier avaient invité des amis. Il s’agissait de deux couples qu’ils fréquentaient depuis plusieurs années. Ce soir-là, Samuel la laissa tranquille. Elle l’avait prévenu qu’elle ne serait pas disponible. Stéphanie n’avait pas envie de trop se casser la tête à faire la cuisine et acheta presque tout le repas tout prêt chez un traiteur. Olivier gagnait bien sa vie et, s’il trouvait que la facture était trop élevée, il n’avait qu’à faire la cuisine !
Olivier rentra un peu plus tôt que d’habitude. Il commença par demander quelques explications à son épouse qui n’était pas rentrée de la nuit, mais elle l’envoya balader sèchement.
- « Et toi ? Tu ne sors jamais avec tes copains ? » demanda-t-elle.
- « Oh, ce n’est pas arrivé depuis longtemps », répondit Olivier.
- « Oui, mais c’est déjà arrivé ! » répondit Stéphanie, alors le débat est clos !
Il n’insista pas. Il l’aida à préparer le repas et, quand les premiers invités arrivèrent, tout était fin prêt.
Mélissa et Antoine avaient rencontré Stéphanie et Olivier en vacances. Ils avaient sympathisé avant de se rendre compte qu’ils habitaient seulement à quelques kilomètres de distance. Ils s’étaient revus dans la région parisienne et s’invitaient maintenant régulièrement. Mélissa était une jeune femme brune qui avait deux ans de moins que Stéphanie. Elle était très séduisante et ne laissait pas Olivier indifférent. Antoine, lui, était beaucoup plus âgé que son épouse. Il venait d’avoir quarante-deux ans et avait parfois du mal à suivre la fougue de sa jeune épouse.

à suivre...

L’autre couple, Emma et Arthur, étaient des amis de Mélissa et Antoine. Stéphanie et Olivier les avaient rencontrés chez eux et ils étaient devenus leurs amis. Emma était blonde, comme Stéphanie, mais avec les cheveux plus raides. Elle travaillait dans une agence de voyages et était plutôt coquette. Arthur, son mari, était un artiste. Il avait un look plutôt baba-cool et faisait de la peinture et de la sculpture. Il vendait quelques toiles et quelques statues, mais cela ne lui suffisait pas pour vivre, alors il avait trouvé un travail à mi-temps dans lequel il s’emmerdait profondément. Il avait les cheveux longs et portait des tenues d’une autre époque. Olivier se disait souvent qu’ils étaient mal assortis, mais ils avaient l’air de bien s’entendre. Ils avaient tous les deux trente-cinq ans.
Ils burent l’apéritif au salon, puis Stéphanie fit passer tout le monde à table. Selon une règle qu’ils avaient mise au point au fil de leur rencontres, il était interdit de s’asseoir à côté de son conjoint.
Olivier se retrouva à côté de Mélissa. Stéphanie, elle, était à côté d’Arthur, alors qu’Emma côtoyait Antoine. Ils ne s’étaient pas vus depuis un certain temps et chacun expliqua un peu ce qu’il y avait de nouveau dans sa vie.
Au cours du repas, Mélissa parla à Olivier de sa nouvelle passion pour les objets sexuels du monde entier. Elle avait commencé une collection de godemichets et en avait déjà une dizaine, de toutes tailles et de toutes matières. Elle expliqua qu’elle en avait un en ivoire qui lui avait coûté assez cher et que c’était son préféré. Antoine se sentait un peu gêné par les confidences de sa femme et essaya de détourner la conversation à plusieurs reprises, soit en parlant de son boulot, soit en évoquant leurs prochaines vacances. Pourtant à chaque fois, une des femmes revenait sur le sujet.
- « La prochaine fois que tu nous invites, il faudra que tu nous montre ta collection », avait dit Emma.
- « Oui, et que tu nous la fasses essayer ! » avait ajouté Stéphanie.
- « Vous savez, ce sont des objets très personnels », avait répondu Mélissa. « Je vous les montrerai, mais pas touche ! »
- « Dommage ! » avait dit Stéphanie. « J’espérais pouvoir essayer ton truc en ivoire… Cela doit être long, dur et froid… Tout le contraire du sexe de mon mari ! »
Ils rirent à sa plaisanterie. Olivier n’apprécia pas vraiment l’allusion à la taille de son sexe, mais il ne dit rien, préférant ne pas focaliser l’attention des autres sur lui. Ils se mirent enfin à parler d’autre chose et les conversations reprirent un tour normal, mais, ce soir-là, Stéphanie était déchainée. Quand Arthur parla de ses sculptures, ce fut elle qui ramena le sujet sur le sexe.

à suivre...

Il s’était mis à réaliser des œuvres beaucoup plus concrètes et cela semblait marcher.
- « Un jour, tu devrais te lancer dans la sculpture de sexes », suggéra-t-elle. « Je ne sais pas si tu les vendrais comme œuvres d’art, mais au moins, les plus gros trouveraient sûrement des acheteuses… »
- « Oh oui, ce qui serait amusant, c’est que tu offres à chacune de nous un jeu des reproductions des sexes des trois hommes présents ce soir. Comme cela, on pourrait comparer nos maris », s’amusa Mélissa.
- « Tu as raison, vous allez rire en voyant le sexe du mien ! » s’exclama Stéphanie.
- « Ah bon ? Tu as une petite bite ? » demanda Antoine sur le ton de la plaisanterie.
- « C’est ce que dit Stéphanie », avoua Olivier qui se sentait humilié.

- « Heureusement, il y en a d’autres sur terre ! » intervint Stéphanie, laissant clairement entendre qu’elle avait trouvé son bonheur ailleurs.
- « Moi, je n’ai pas à me plaindre », fit à son tour Mélissa. « Celle d’Antoine est pas mal du tout… »
- « En ce qui concerne Arthur, moi non plus je ne me plains pas », dit Emma. « La sienne est courte, mais très large et cela suffit à mon bonheur… »
- « Vous avez fini de parler de nos bites ! » s’énerva Antoine. « Est-ce nous, on parle de vos chattes ? »
Depuis que les trois couples se connaissaient, c’était la première fois que les conversations tournaient autant autour du sexe. D’habitude, il y avait bien une ou deux allusions grivoises au cours de leurs soirées, mais le ton revenait, en général, plus sérieux assez rapidement. Là, il était sans cesse question de phallus. Quand ils passèrent au salon après le repas, Stéphanie recommença.
- « Bon, alors, tu nous les fabriques pour notre prochaine soirée ces statuettes phalliques ? » demanda-t-elle à Arthur.
- « Chiche ? Mais il me faudrait les dimensions précises et la forme… Je devrais pouvoir travailler d’après une photo. Les nanas, si vous m’envoyez une photo du sexe de votre mec avec ses dimensions précises, je vous fais cela pour notre prochaine soirée… »
- « On ne va pas attendre », reprit Stéphanie. « J’ai un appareil photo et un mètre de couturière. On va te donner les éléments tout de suite ! »
- « Quand même, c’est un peu gênant ! » fit remarquer Antoine qui ne se sentait pas très à l’aise.

- « Ne sois pas vieux jeu ! » protesta Mélissa qui était passablement excitée elle aussi. « Chacune des femmes va prendre les mesures de son voisin de table, ce sera un peu plus excitant… »
- « Allez, on commence par Olivier ! Vas-y, Mélissa ! »
Mélissa s’approcha d’Olivier et lui ouvrit sa braguette. La belle brune avait toujours plu au mari de Stéphanie et il se laissa faire sans rien dire. Le matin même, il avait obéi aux ordres de son épouse et s’était entièrement épilé. Elle baissa son pantalon et son slip, devant tout le monde. La petite queue d’Olivier, débarrassée de toute pilosité, apparut au regard de Mélissa. Il bandait déjà.
- « Oui, je comprends que tu veuilles celle des autres », dit la jeune femme à Stéphanie. « Il a vraiment une petite queue ! »
- « Je ne l’avais pas encore vue depuis qu’il s’est rasé », répondit Stéphanie. « Au moins, comme ça, elle est moins difficile à trouver au milieu des poils ! »

à suivre...

Mélissa prit le mètre de couturière et annonça les dimensions à Arthur qui les notait.
- « Longueur : 10,3 centimètres ; largeur 3 centimètres ; circonférence : 8 centimètres. Toutes mes condoléances Stéphanie… Il arrive à te faire jouir avec ce petit engin ? »
- « De temps en temps », répondit la belle Stéphanie. « Mais heureusement, il a des copains et nous avons des voisins… »
- « Je vois », dit Mélissa, avec un sourire entendu.
Olivier se sentit parfaitement humilié. Non seulement ses amis se moquaient de la taille de son sexe, mais sa femme le trompait et elle l’avouait même à leurs amis. Emma prit plusieurs photos du sexe d’Olivier.
- « Tu peux ranger ton petit engin ridicule », lui dit Mélissa. « Antoine va vous montrer ce qu’est une vraie bite ! »
Flatté par son épouse, Antoine ne fit aucune difficulté pour leur montrer son sexe. Il descendit le pantalon et le slip d’un seul coup. La verge qui apparut aux yeux de tous les invités était beaucoup plus grosse, mais encore un peu molle. Emma passa l’appareil photo à Stéphanie et prit le mètre que lui tendait Mélissa. Antoine avait commencé à se masturber pour que son sexe atteigne ses proportions maximales.
- « Je vais te remplacer », dit Emma en posant la main sur la queue d’Antoine sous le regard incrédule d’Arthur. « Cela ira plus vite… »
Elle le branla vigoureusement et son sexe se durcit très vite. Elle s’arrêta alors et prit les mesures, comme l’avait fait Mélissa avec Olivier.
- « Longueur : 19,2 centimètres ; largeur 4,6 centimètres ; circonférence : 11 centimètres », annonça-t-elle.
Arthur nota et Stéphanie prit des photos. Antoine, bien excité, fut invité à se rhabiller. Il aurait bien aimé qu’Emma aille jusqu’au bout et le fasse jouir, mais il n’osa pas lui demander.
- « A toi Arthur ! » dit Stéphanie en passant l’appareil à Mélissa.
Arthur sortit sa bite à son tour et Stéphanie s’agenouilla devant lui. Elle avait pris le mètre de couturière, mais il ne bandait pas du tout. Il était d’ordinaire très pudique et la situation le paralysait. Stéphanie posa sa main sur son sexe et commença à le masturber, comme Emma l’avait fait avec Antoine. La verge commença à se dresser. Voyant qu’elle n’était pas encore raide, Stéphanie approcha sa tête et prit le gland dans sa bouche.
- « Eh, mais ne te gêne pas ! » s’écria Emma. « C’est la bite de mon mari que tu suces ! »
- « C’est pour la bonne cause », répondit Stéphanie. « Tu vois bien qu’il ne bande pas assez… »
- « D’accord, mais quand même ! »
- « Allez, pour une fois, laisse la faire ! » intervint Mélissa. « Toi, tu as bien branlé mon mec… »
- « Oui, mais je ne l’ai pas sucé ! »
- « Parce que le mien, il bandait assez ! »
Pendant qu’elles parlaient des sexes de leurs maris comme d’objets personnels, Stéphanie avait continué à pomper la queue d’Arthur et, maintenant, il bandait vraiment.
- « Ne vous chamaillez pas ! » leur dit Stéphanie. « J’arrête, il bande! »
Elle prit les mesures d’Arthur et les annonça à son tour.
- « Longueur : 15,8 centimètres ; largeur 6,2 centimètres ; circonférence : 13,3 centimètres », annonça-t-elle. « C’est du concentré de bite ! »
Après cette séance de mesure, la soirée aurait pu tourner à la partouze généralisée, mais il n’en fut rien. Les filles exerçaient une sorte de machisme à l’envers, Chacune révéla quelques anecdotes qui n’étaient pas à la gloire de leur conjoint. Stéphanie expliqua que, ce que faisait encore le mieux Olivier, c’était de lui lécher les pieds. Mélissa avoua qu’Antoine était éjaculateur précoce et que, si elle avait commencé sa collection de godes, c’est parce qu’elle était toujours obligée de se finir avec ce genre d’objet. Emma reconnut qu’Arthur avait souvent des pannes et que ses érections étaient longues à venir.
Les trois hommes écoutaient leurs épouses échanger leurs avis. Ils se sentaient de plus en plus humiliés au fil de la soirée. Cela réconforta un peu Olivier qui n’était plus le seul visé. Pourtant, la seule qui avouait presque ouvertement avoir des relations extraconjugales était Stéphanie. Il était le cocu de la bande !
Les deux couples repartirent assez tard dans la nuit, après que les filles aient décidé qu’ils partiraient, tous ensemble, en vacances dans un village naturiste lors des prochaines vacances d’été. A voir leur excitation ce soir, cela promettait de bons moments !

à suivre...

Tentative de soumission.



Le lendemain, Stéphanie eut du mal à se lever pour aller travailler. Un moment, elle eut envie de téléphoner pour dire qu’elle était malade, mais elle se souvint qu’elle avait rendez-vous avec son patron à 10 heures 30. Il n’avait pas voulu lui préciser quel était l’objet de leur entretien et avait seulement précisé que c’était important et assez confidentiel. Elle ne pouvait pas manquer un tel rendez-vous.
Elle se fit donc violence et se prépara en prenant encore plus soin que d’habitude au choix de sa tenue vestimentaire. Depuis qu’elle avait remarqué que cet homme qui dirigeait le service ne semblait pas indifférent à son charme, elle se doutait qu’il allait, un jour ou l’autre, passer à l’action. Son intuition lui disait que ce rendez-vous en serait peut-être l’occasion…
Elle arriva en retard, mais elle serait là pour le rendez-vous. A ses yeux, c’était l’essentiel. Le patron passa la chercher dans son bureau à 10 heures 30 précises. D’habitude, il avait toujours un bon quart d’heure de retard sur ses rendez-vous et il ne prenait pas la peine de venir chercher ses collaborateurs, se contentant d’un bref coup de fil pour les convoquer. Elle le suivit jusque dans son bureau et il referma la porte.
- « Asseyez-vous, Stéphanie ! » lui dit-il avec un ton aimable.
Elle prit place dans le fauteuil qu’il lui désignait et s’arrangea pour que sa position permette au patron d’avoir une vision assez nette sur ses cuisses gainées de nylon noir. Elle se rendit compte qu’elle aimait de plus en plus provoquer le regard inquisiteur des hommes.
- « Je vous ai fait venir pour un dossier assez confidentiel. Vous vous souvenez de ce courrier que je vous avais demandé de préparer pour le directeur d’un laboratoire suisse dans lequel je disais m’intéresser à leurs travaux sur un médicament révolutionnaire? »
- « Oui, je m’en souviens parfaitement ! » répondit Stéphanie !
- « Je vous avais dit, à l’époque, que cela pourrait révolutionner l’avenir de notre entreprise et que vous ne deviez en parler à personne ? »
- « Oui, soyez tranquille, j’ai gardé le secret… »
- « Eh bien, ce courrier commence à porter ses fruits ! Ils ont mis au point leur médicament et souhaitent le tester dans différents pays. Bien sûr, ils n’ont pas encore d’autorisation de mise sur le marché et tout ceci se ferait de manière complètement occulte. Le mois prochain, le patron du laboratoire m’a invité à venir discuter des conditions de test en France. La rencontre doit se passer sur son yacht en Méditerranée. Il m’a invité pour trois jours avec mon épouse, mais je préférerais y aller avec vous ! »
- « Avec moi ? » s’étonna Stéphanie.
- « Oui, je suis en instance de divorce avec ma femme et je n’ai pas confiance en elle pour cet échange ultrasecret. Je voudrais que vous m’accompagniez et que vous jouiez le rôle de ma femme. »
- « Pourquoi moi ? » s’étonna encore Stéphanie qui avait envie de l’entendre dire qu’elle lui plaisait.
- « D’abord parce que vous êtes la seule à être au courant des contacts avec le laboratoire, et puis parce que je préfère être accompagné d’une belle femme comme vous ! »
- « Merci, c’est gentil… »
- « Vous me donnerez une réponse la semaine prochaine », conclut le grand patron qui lui avait déjà accordé beaucoup de son précieux temps. « Si vous acceptez, vous ne le regretterez pas ! »
Stéphanie le remercia et prit congé de lui. En se relevant du profond fauteuil, elle s’arrangea pour qu’il puisse apercevoir la lingerie affriolante qu’elle portait sous sa jupe. Il ne manqua pas de fixer son petit string transparent pendant quelques secondes.

à suivre...

Elle retourna dans son bureau et passa une grande partie de la journée à rêver. Elle se voyait au bras du patron, passant pour son épouse. Serait-elle obligée de jouer ce rôle également la nuit ? En tous cas, l’idée ne lui déplaisait pas…
Elle rentra chez elle vers 18 heures, comme à son habitude. Comme elle l’avait promis à son voisin, elle se rendit directement chez lui. Samuel l’attendait dans une tenue plus que décontracté. Il ne portait qu’un slip et un tee-shirt. Il la fit entrer et la prit aussitôt dans ses bras pour l’embrasser.
- « Alors cette fois tu es venue toute seule ? » demanda-t-il. « Tu commences à y prendre goût à la queue du grand Black ! »
- « Oui », avoua Stéphanie.
- « Allez, viens dans ma chambre », dit-il en la prenant par la main.
Elle se laissa guider et pénétra dans la pièce qui n’était pas moins exotique que le salon. Des masques sculptés étaient accrochés aux murs et une grande carte de l’Afrique trônait au-dessus du lit. Samuel lui ôta son chemisier et sa jupe et découvrit la belle lingerie qu’elle avait mise pour le rendez-vous avec son patron. Sa lingerie transparente était encore plus excitante que la dernière fois. Il la regarda un moment en se déshabillant, puis lui demanda de tout enlever. Aujourd’hui, il la voulait nue.
Stéphanie retira son soutien-gorge, puis son string et enleva ses bas avec beaucoup de sensualité. Elle s’approcha de lui pour prendre son sexe dressé dans sa bouche, mais il l’en empêcha, la tirant par les cheveux avec vigueur.
- « Aujourd’hui, c’est ton sexe que je veux, pas ta bouche ! Allonge-toi sur le dos et écarte bien les cuisses ! »
Stéphanie fit ce qu’il demandait. Tout se déroulait selon un scénario progressif qu’il semblait avoir préparé de longue date. Il voulait à chaque fois profiter d’une nouvelle partie du corps de sa belle voisine. Il se mit sur elle et fit entrer son gland dans le vagin moite de la belle blonde dont il rêvait dans l’escalier. Cette fois, il allait la baiser pour de bon cette petite salope !
Lentement, centimètre par centimètre, il fit progresser en elle son long pieux de chair sombre. Stéphanie ferma les yeux et attendit qu’il soit au fond de son vagin. Sa verge, encore plus grosse que celle d’Eric, la remplissait complètement. Jamais encore elle n’avait ressenti une telle sensation et pourtant, il poussait encore, voulant introduire complètement sa queue, jusqu’aux couilles !
Samuel lui prit les cuisses avec fermeté et donna un coup de rein rageur, comme pour la transpercer. Elle eut l’impression qu’il allait la déchirer, mais elle ne détestait pas sa force et sa violence. Il commença à aller et venir en elle. Son vagin se dilatait et s’habituait à la taille exceptionnelle de ce sexe. Il accéléra le mouvement. Stéphanie jouit assez rapidement, mais il ne la laissa même pas récupérer. Il continuait à la pilonner avec autant de force et l’entraîna vers un second orgasme qui fut encore plus fort que le premier. Elle se mit à crier son plaisir et Olivier, qui était rentré, entendit cette jouissance à travers la cloison. Il se dit que son voisin devait passer un bon moment, mais il ne savait pas que c’était avec son épouse.

à suivre...

Quand il eut joui en elle, Samuel ne la laissa pas passer dans sa salle de bains et la fit rhabiller, pleine de sa semence. Il voulait qu’elle rentre chez elle dégoulinante de sperme. Stéphanie remit son string qui fut bientôt gluant du liquide qui s’écoulait de sa cavité vaginale. Elle était en train de devenir dépendante des exigences de son voisin africain et elle aimait cela !
Elle rentra chez elle et retrouva Olivier. Une fois encore, il lui fit remarquer qu’elle rentrait bien tard, mais elle ne lui répondit même pas. Elle s’enferma dans la salle de bains et n’en ressortit qu’après avoir pris une bonne douche. Elle vint enfin vers lui posa sa main sur son entrejambe.
- « J’ai envie de ta petite queue », lui dit-elle.
- « C’est vrai ? Après tout ce que tu as dit à nos amis hier soir, tu l’aimes encore ? »
- « Mais oui », dit-elle en l’embrassant. « Tu sais bien que je fais de la provoc ! Tu as une petite bite, mais si tu t’en sers bien, tu me feras jouir quand même ! Allez, ce soir, baise-moi comme tu en as envie ! Je ferai tout ce que tu me demanderas ! »
Olivier n’en croyait pas ses oreilles. Depuis si longtemps qu’elle lui imposait leur manière de faire l’amour, selon ses envies à elle, pour une fois, elle lui laissait l’initiative. Toutes les choses qu’elle lui avait toujours refusées se bousculaient dans sa tête, à commencer par la sodomie.
- « Viens dans la chambre », commença par lui dire Olivier. « Tu sais bien que je suis très classique… »
- « Comme tu veux », répondit Stéphanie qui, pour une fois, semblait soumise à son mari.
- « Mets-toi nue à quatre pattes sur le lit ! » dit-il. « Je vais m’occuper de ton petit cul ! »

à suivre...

Stéphanie se mit dans la position qu’il souhaitait et il la rejoignit sur le lit après avoir retiré ses vêtements. La situation de passivité et de soumission qu’elle venait de vivre avec le voisin lui avait bien plu et elle voulait voir s’il en était de même avec son mari.
Olivier lui écarta les fesses et colla sa bouche sur son anus. Sa langue parcourut la rondelle encore vierge et la lubrifia abondamment. Il prit fermement les petites fesses de Stéphanie et les pétrit avec force.
- « Je vais te la mettre dans le cul ma petite bite ! » lui dit-il survolté.
- « Tu sais bien que je n’aime pas cela », lui répondit-elle.
- « Qu’en sais-tu ? Tu as déjà essayé ? Avec qui ? »
- « Non, je suis encore vierge de ce côté-là », dit Stéphanie. « Mais même quand tu as essayé d’y mettre un doigt, je n’ai pas aimé… »
- « Je sais, mais tu as dit que tu ferais tout ce que je demanderai ! » répondit Olivier. « Alors je vais t’enculer ! »
- « Bon, mais va chercher du gel lubrifiant, il y en a dans ma commode… »
Olivier se leva et alla ouvrir le premier tiroir de la commode il y trouva du gel, des préservatifs et un vibro-masseur.
- « Je ne savais pas que tu avais tout cet arsenal », fit-il remarquer. « C’est pour tes amants ? »
- « Le vibro, c’est pour quand tu es en déplacement » répondit Stéphanie. « Le reste, ce sont des échantillons gratuits que j’ai ramenés de mon boulot… »
- « Tu t’en sers souvent des préservatifs ? » demanda Olivier.
- « En général, quand je me fais baiser pendant mes règles », dit Stéphanie. « La plupart de mes amants réguliers détestent en avoir plein la queue… Quand je baise avec un parfait inconnu aussi, on ne sait jamais, avec les MST… »
- « Tu déconnes j’espère ? » s’exclama Olivier.
- « Mais oui petit con ! Allez sodomise-moi, puisque tu en as tellement envie ! »
Il prit du gel et le fit couler à l’entrée de l’anus de sa compagne. Précautionneusement, il la pénétra avec son petit doigt. Elle se contracta autour de sa phalange.
- « Détends-toi ! » lui dit-il. « Je vais y aller tout doucement. »
Stéphanie essaya de penser à autre chose qu’à cette pénétration anale qu’elle redoutait. Olivier se montra très doux. Il utilisa plusieurs de ses doigts, de taille croissante, pour la pénétrer, avant de présenter enfin son sexe entre ses fesses. Il remit du gel, en enduisant abondamment son membre, puis posa son gland sur la rosette rose dont il avait tellement envie. Il y alla tellement doucement, qu’il ne lui fit pas mal. Sans cesse, il lui demandait.
- « Ça va ? Je ne te fais pas mal ? »
- « Non, baise plutôt ma chatte ! » lui dit Stéphanie.
Il choisit finalement son vagin poussa un peu plus pour que sa verge tout entière pénètre dans l’intimité de la belle blonde. Elle avait maintenant envie qu’il se déchaine, qu’il la baise comme une chienne, mais il faisait toujours attention à ne pas la brusquer.
- « Je ne te fais toujours pas mal ? » demanda-t-il.
- « Mais non ! Baise-moi fort ! » hurla-t-elle. « Défonce-moi de toutes tes forces ! »
- « Je croyais que… » commença Olivier.
- « T’es trop con ! » s’écria-t-elle sans le laisser finir sa phrase. « Passe-moi le vibro ! »
Il attrapa le vibromasseur doré et Stéphanie le mit en marche aussitôt. Elle se dégagea de la queue de son conjoint et s’allongea sur le dos. Elle enfonça l’objet vibrant dans sa chatte sans difficulté. Elle mit la vitesse maximale et le remonta vers le haut de son vagin. Olivier avait laissé passer une occasion qui ne se représenterait pas de sitôt. Il fut réduit à se branler pendant qu’elle se faisait jouir avec le vibromasseur.
Il jouit peu après elle et son sperme gicla sur son clitoris. Stéphanie l’étala avec ses doigts, puis les fit lécher à son conjoint. Elle avait vite abandonné toute idée de soumission à son égard, bien au contraire !
- « Qui t’a autorisé à me gicler dessus ? » demanda-t-elle d’un ton sévère. « Viens lécher ton sperme ! »
Olivier retrouva vite une posture soumise. Il se mit entre les cuisses de son épouse et lapa consciencieusement le sperme qui recouvrait son pubis. Elle lui plaqua le visage contre elle, pour bien étaler le liquide visqueux.
- « Désormais, je t’interdis de jouir sans mon autorisation », dit-elle. « Si je trouve la moindre trace de sperme sans que je t’aie autorisé à te soulager, je te fouetterai ! Je vais acheter un martinet dès demain… »
Il se sentit presque heureux de retrouver les humiliations de son épouse. Il avait craint, une fois l’excitation de sa liberté provisoire passée, qu’elle se désintéresse de lui. Désormais, elle allait mener une sexualité schizophrénique. Elle serait aussi soumise à Samuel qu’elle pourrait être dominatrice avec Olivier.

à suivre...

Exhibe sur le web.



Dès le lendemain soir, Stéphanie retourna chez son voisin. Il savait qu’elle rentrait vers 18 heures et l’attendait. Quand elle sonna à la porte, il lui cria d’entrer. La porte était ouverte. Elle pénétra dans le salon, il était vide.
- « Déshabille-toi et viens me rejoindre dans la chambre », lui dit Samuel.
Prête à faire tout ce qu’il lui demanderait, Stéphanie se dénuda et posa ses affaires sur le canapé. Elle se rendit dans la chambre à coucher et vit le lit vide. Samuel, qui était sur le côté de la pièce, se mit derrière elle et lui banda les yeux avec un foulard sombre. Elle ne voyait plus rien et il dut la guider jusque sur le lit. Il la fit allonger et elle sentit qu’il lui attachait les mains et les pieds avec des cordes.
- « Ce soir, je vais pouvoir faire de toi tout ce qui me plait », lui dit-il.
- « Oui, je suis prête ! » répondit-elle.
Samuel commença par beaucoup de douceur. Il lui massa le corps avec un savoir-faire dont elle ne l’aurait pas cru capable. Ses mains s’attardèrent longuement sur ses petits seins qu’il adorait. Il les caressa d’abord doucement faisant s’ériger les pointes progressivement, puis il se mit à les pétrir avec force. Il les pressa l’un contre l’autre puis pinça les tétons avec violence. Stéphanie poussa un petit cri. Il prit ensuite les poils de son pubis et tira dessus, il en arracha quelques-uns. Elle l’entendit se lever et il revint avec un martinet. Les lanières caressèrent son ventre, puis s’abattirent de plus en plus fort sur ses cuisses. Il fouetta ensuite son sexe, puis planta le manche du martinet dans le vagin de sa prisonnière. Complètement soumise, elle ne bronchait pas.
- « Tu vas sucer ma grosse bite pendant que je te fouette le sexe ! » dit-il avec conviction.
- « Pas trop fort quand même », intervint la jeune femme inquiète.
- « Tais-toi ! C’est moi qui décide ! »
Il lui fourra sa grosse queue noire dans la bouche et se mit à fouetter doucement le sexe de la jeune femme. Il ne frappait pas trop fort, juste assez pour bien la chauffer, comme il disait. Au bout d’un moment, il changea de place et s’installa dans la même position que la veille. Il la pénétra violemment, allant buter directement au fond de son vagin. Elle était déjà plus habituée que la fois précédente et ne ressentit aucune douleur. Il fit de nombreux allers retours en elle, pendant que ses doigts maltraitaient son clitoris. Elle se sentait complètement à sa merci et avait envie qu’il lui fasse mal. Il pinça son bourgeon de chair si fort qu’elle crut s’évanouir. Il continua encore un peu, puis la détacha. Il n’entendait cependant pas la libérer et la fit mettre sur le ventre.
Le martinet cingla sur ses fesses qui se zébrèrent progressivement. Il lui fit relever la croupe et la pénétra en levrette. Sa bite allait encore plus profond dans cette position. Il lâcha le martinet et continua à la fesser à mains nues. Pendant ce temps, il continuait à donner des coups de boutoir terribles. Ses fesses devinrent rouge écarlate. Cela chauffait vraiment, elle avait envie de lui crier d’arrêter, mais elle sentait son orgasme arriver avec une intensité nouvelle. Ce fut plus fort que tout. Elle hurla son plaisir. De l’autre côté de la cloison, Olivier était maintenant presque sûr que c’était sa femme qui se faisait sauter chez le voisin.

à suivre...

Il jouit en elle et l’obligea, une fois de plus, à se rhabiller, pleine de sperme. Avant qu’elle ne sorte, il lui dit qu’il avait vraiment passé un bon moment. Elle s’entendit répondre que, elle-aussi.
En rentrant, elle avait mal aux fesses et aux cuisses. Ce soir-là, elle prit un long bain pour se détendre et enduisit les parties fouettées de crème réparatrice. Olivier vint lui demander plusieurs fois si tout allait bien, mais elle avait fermé la porte à double tour et l’envoya balader.
Il était désormais persuadé qu’elle le trompait avec le voisin, mais il n’osa pas lui en parler. En ressortant de la salle de bains, Stéphanie avait retrouvé toute sa vigueur. Elle annonça d’abord à Olivier qu’elle allait partir plusieurs jours avec son patron. Elle lui dit qu’elle l’accompagnait pour une histoire de médicament à tester à laquelle elle n’avait pas compris grand-chose. Elle dit ensuite à son mari qu’il faudrait qu’il invite Eric. Elle l’avait croisé par hasard et il lui avait dit qu’il avait une nouvelle copine. Elle avait envie de la connaître.
Olivier ne fit qu’acquiescer à tout ce qu’elle disait. Quand elle était rentrée, il avait envie de lui faire une scène, de la pousser dans ses derniers retranchements pour lui faire avouer qu’elle était avec le voisin, mais elle s’était enfermée si longtemps que son adrénaline était retombée et il était à présent à nouveau doux comme un agneau, prêt à faire ses quatre volontés.
Stéphanie n’avait plus vraiment envie de sexe pour ce soir, mais elle voulait continuer à marquer sa domination sur Olivier. Elle ne voulait pas relâcher la pression.
- « Ce soir, c’est moi qui ai envie de t’enculer ! » lui dit-elle soudain. « Va me chercher le vibromasseur. »
- « Non, tu ne vas pas me sodomiser avec ça ! » protesta Olivier.
- « Pourquoi ? Tu préfères que j’aille chercher un concombre dans le bac à légumes ? »
- « Arrête, tu vas me faire mal ! Je veux bien te laisser faire, mais avec quelque chose de plus petit ! Au moins la première fois… »
- « Tu me fais pitié », dit Stéphanie. « Prends ta voiture et va dans un sex-shop acheter un gode à ta taille. En même temps, tu prendras un film X SM, cela peut me donner des idées… »
Olivier lui obéit, ravi d’échapper au vibromasseur qu’il trouvait énorme. Il se rendit dans un sex-shop de la rue Saint-Denis et choisit un gode anal de petite taille. Il passa un long moment à choisir le DVD, si cela devait servir à donner des idées à sa femme, il ne voulait pas quelque chose de trop violent. Il trouva finalement un film qui lui semblait approprié. Le titre était : « humiliations psychologiques conjugales ». Quand il revint chez lui, Stéphanie était en train de chater sur l’ordinateur.
- « Tu es sur le web ? » lui demanda-t-il en venant s’asseoir à côté d’elle.
- « Oui, je viens juste de me connecter. J’ai pris le pseudo couple33-34. Regarde, j’ai déjà plein de messages… »
- « Qu’est-ce que tu cherches ? » demanda Olivier.
- « Rien, j’avais juste envie de les exciter un peu…
Elle lut le premier message. Il venait d’un certain gros-porc-75, le pseudo était évocateur ! Elle lut ce qu’il avait écrit :
- « Salut, vous aimez les gros cochons ? »
- « Salut », répondit-elle. « Ça dépend… »
- « Je m’appelle Hubert, j’ai 52 ans. Je lèche madame pleine du sperme de son mari ou pendant ses règles… »
- « Cela te tente ? » demanda Olivier d’un air dégoûté.
- « Non, je n’ai pas mes règles, et de toute façon, il est trop vieux ! Je vais passer à un autre… »
- « Bye », tapa Stéphanie avant d’activer un bouton qui empêchait à cet interlocuteur de lui écrire de nouveau.

à suivre...

Elle lut un autre message. Il provenait d’un certain romantique92.
- « J’espère que 92, ce n’est pas son âge », plaisanta Stéphanie. « Voyons ce qu’il écrit. »
Elle lut le message :
- « Bonjour, je suis un homme de 31 ans. Je suis dans le 92. »
- « Te voilà déjà rassurée sur son âge », lui dit Olivier que le jeu commençait à amuser lui aussi.
- « Tu es comment physiquement ? » écrivit Stéphanie. ,
- « Châtain, 1,80m, 73kg… Que recherchez-vous ? »
- « Rien de précis… Qu’as-tu à proposer ? »
- « Une belle queue de 19cm bien dure ! »
- « Tu as raison, tu es romantique… Allez bye ! »
Elle n’aimait pas les gens dont le pseudo ne correspondait pas au dialogue. Elle lut le message suivant. Il provenait de couple-45 :
- « Vous êtes un couple ? Nous aussi… »
- « Comment ? » demanda-t-elle aussitôt.
- « 45 ans tous les deux. Madame : brune, 1m58, 53kg, les yeux marrons. Monsieur : brun, légèrement grisonnant, 1m75, 75kg. »
- « Et vous cherchez quoi ? »
- « Un couple pour ce soir. Et vous ? Vous êtes comment ? »
- « Moi : 33 ans, blonde, cheveux long. Lui : 34 ans, brun, plutôt soumis. On se téléphone ? Je réponds si c’est ta femme qui appelle… »
- « Elle n’est pas là ce soir. »
- « Ah oui ? Et c’est avec elle que tu veux rencontrer un couple ? »
- « Ce soir je suis seul, mais la prochaine fois… »
- « Bye, imposteur. »
- « Tu as vu celui-là ? Il est gonflé ! » dit-elle à Olivier.
- « Oui ! Tu veux continuer ? Tu ne préfères pas qu’on regarde le film que j’ai apporté ? »
- « Fais voir », dit Stéphanie en prenant la jaquette du DVD. « humiliations psychologiques conjugales ! Tout un programme ! Toi, je pense que tu as envie de ton gode dans le cul ! Montre ce que tu as acheté… »
Il sortit le gode de la pochette discrète dans laquelle il se trouvait et le tendit à Stéphanie.
- « Tu as vraiment pris un petit modèle », dit-elle. « On dirait ta bite! »
- « J’ai trop peur d’avoir mal…
- « Mais non ! De toute façon, ce soir je n’ai plus envie. Ces cons m’ont mise de mauvaise humeur, dit-elle en désignant l’écran. Prends ma place et trouve-moi un mec qui a une webcam et qui veut se branler devant. J’ai envie de voir gicler du sperme avant de dormir, mais pas le tien ! »
- « Cela ne devrait pas être trop difficile », répondit son mari. « Les exhibitionnistes ne manquent pas sur ce genre de site… »
- « Tu m’appelleras, je vais regarder le film sur le lecteur de DVD… »
- « Tu ne veux pas qu’on le regarde ensemble ? » proposa-t-il.
- « Sûrement pas ! Si je dois trouver de nouvelles idées, je ne veux pas que tu sois au courant… »
- « Comme tu veux », dit-il encore une fois.

à suivre...

En moins de cinq minutes, il trouva un mec qui était prêt à s’exhiber devant sa webcam. Il appela Stéphanie. Elle le fit attendre cinq bonnes minutes, prenant le temps de voir la fin de la séquence en cours.
- « Alors, tu m’as trouvé un beau mec exhibe ? » demanda-t-elle.
- « Oui, je crois… »
- « Pousse-toi ! Laisse-moi le clavier ! »
Elle prit sa place et envoya aussitôt un message à celui qui dialoguait avec Olivier depuis un bon quart d’heure.
- « Salut, c’est Stéphanie… Alors, tu veux me montrer ta belle queue? »
- « A condition que tu me montres ta chatte, répondit exhib-cam ».
- « Si tu veux… »
Olivier fut surpris. Jusque-là, son épouse avait manifesté le désir de jouer les voyeuses, pas les exhibitionnistes. Il la vit allumer la webcam et une nouvelle fenêtre s’ouvrit sur l’écran. Son interlocuteur avait également allumé la sienne.
- « Tu me montre ta bite ? Toi d’abord ! » demanda Stéphanie.
- « Tiens, regarde ! »
Elle vit apparaître sur l’écran un beau sexe de plus de vingt centimètres. L’homme n’avait pas menti. Il était bien monté ! Stéphanie ne cacha pas qu’elle appréciait le spectacle.
- « Belle queue ! Je vais te montrer ma chatte… »
Elle se leva et fit passer la nuisette qu’elle avait enfilée en sortant de la salle de bains par-dessus sa tête.
- « Ouah ! Tu as une chatte splendide ! »
- « Attends, je vais demander à mon mari de zoomer dessus… »
Olivier dut actionner le zoom pour que le sexe de Stéphanie apparaisse en gros plan. Dans la fenêtre affichant la webcam distante, on voyait l’homme qui se masturbait frénétiquement.
La chatte de Stéphanie suintait de désir. Elle écarta ses petites lèvres pour bien lui montrer l’intérieur de son vagin.
- « Putain quelle chatte ! Ton mari te la baise bien, j’espère ? »
- « Pourquoi ? Tu voudrais y mettre ta grosse queue ? »
- « Et comment ! Dommage que je sois loin de Paris… »
- « Tu es où ? »
- « A Nice… »
- « Laisse-moi ton numéro de portable, si je passe dans le coin, on verra ce qu’on peut faire… »
Olivier n’en revenait pas. Non seulement sa femme montrait sa chatte à un parfait inconnu, mais en plus elle venait de noter son numéro de téléphone, envisageant ouvertement de le rencontrer. Il était vraiment cocu jusqu’à la moelle !
Stéphanie dégagea bien son clitoris et le frotta très fort avec son index et son majeur réunis. L’homme qui se masturbait en prenait plein la vue!
- « Viens lui montrer ta petite queue ! » ordonna-t-elle à son mari. « Qu’il comprenne pourquoi j’en suis réduite à me masturber devant un écran ! »
Olivier prit sa place un instant et mit son sexe devant la webcam. Stéphanie se remit vite en face de l’objectif.
- « Tu as vu pourquoi je suis obligée de chercher de belles bites à regarder sur internet ? » demanda-t-elle à l’inconnu.
- « Oui, tu n’es pas gâtée ! Enfonce-toi un truc dans la chatte, tu auras l’impression que c’est ma bite ! »
Elle attrapa le gode anal qu’Olivier venait de ramener du sex-shop et l’introduisit en elle. Il n’était pas plus gros que la queue de son mari !
- « Va me chercher le vibromasseur ! » dit-elle à Olivier.
Il s’exécuta et revint avec l’engin vibrant qu’il lui tendit. Elle le mit aussitôt sur son clitoris, à la vitesse maximale, laissant le petit gode dans son vagin.

à suivre...

- « On dirait que tu as deux queues ! La sienne et la mienne… »
- « Hum, oui… C’est ce que j’aimerais… Deux queues pour moi toute seule ! »
- « Tu vas me faire jouir grosse cochonne ! »
- « Toi aussi… Vas-y, dis-moi des trucs bien cochons ! »
- « Tu aimerais qu’on te baise tous les deux, hein salope ? »
- « Oui… »
- « Que je fourre ma grosse queue dans ta chatte bien baveuse pendant qu’il te lèche le cul... »
- « Oh oui ! »
- « Que je te tartine de sperme et qu’il vienne tout lécher ! »
- « Hum… »
- « Oui, tu me fais jouir, salope… Regarde ! »
Stéphanie vit un flot de sperme jaillir de la queue qu’elle voyait en gros plan. Cela l’excita tellement qu’elle eut un orgasme à son tour. C’était la première fois qu’elle faisait l’amour de manière virtuelle avec un inconnu. Elle avait adoré et la présence de son époux, obligé de la regarder s’exhiber devant un gros cocon qui la traitait de salope, n’avait fait que renforcer son excitation.
- « J’ai ton numéro si je passe à Nice », avait-elle conclu avant de couper.
- « N’hésite surtout pas à m’appeler ! C’était vraiment super ! »
- « Allez, bye ! »
Elle se déconnecta et tendit le gode anal à Olivier.
- « Tiens ! Fourre-toi le dans le cul en regardant le film porno, lui dit-elle. Moi je vais me coucher ! »
Il prit l’objet encore luisant de la mouille de son épouse et le lécha machinalement. Il ne trouva rien d’autre à répondre que :
- « Bonne nuit ! »

à suivre...

Anita.



Olivier avait finalement regardé le film X, mais il ne s’était pas servi du gode. Il était allé se coucher aux côtés de son épouse qui devenait de plus en plus délurée, mais elle dormait déjà et il n’osa pas la réveiller.
Le lendemain, il se souvint qu’elle lui avait parlé d’Eric et de sa nouvelle copine. Depuis qu’il le connaissait, jamais il ne l’avait vu avoir une relation durable. Si cette fois c’était le cas, elle devait être vraiment exceptionnelle. La curiosité le poussa à l’appeler et à l’inviter avec elle, comme l’avait souhaité Stéphanie.
Eric lui dit qu’Anita rentrait justement de Barcelone l’après-midi même et qu’il serait ravi de la leur présenter. Olivier lui répondit qu’il ne fallait jamais remettre au lendemain ce qu’on pouvait faire le jour même et il lui dit qu’ils les attendaient le soir même. Il ne prévint même pas Stéphanie. Il s’attendait à ce qu’elle râle si elle était obligée de préparer un repas pour quatre de manière improvisée et il décida de commander des pizzas. Après tout ce qui était important n’était pas ce qu’ils mangeraient…
Stéphanie rentra à 18 heures, comme tous les soirs. Elle allait passer chez Samuel, comme elle en avait désormais pris l’habitude, mais la porte de son appartement s’ouvrit au moment où elle allait sonner chez le voisin. Olivier apparut sur le palier. Il était rentré plus tôt. Elle se demanda s’il l’espionnait et voulut tout de suite retourner la situation en sa faveur.
- « Comment se fait-il que tu sois déjà là ? » demanda-t-elle. « Tu avais rendez-vous avec ta maîtresse ? »
- « Tu sais bien que je n’ai personne d’autre que toi », se disculpa aussitôt son mari. « J’ai invité Eric et sa copine ce soir et comme tu n’étais pas au courant, je suis rentré pour les accueillir au cas où tu rentres tard… »
- « J’ai hâte de la connaître », dit Stéphanie qui ne semblait pas du tout contrariée par cette invitation surprise. « Il faut que j’aille vite acheter quelques trucs pour ce soir… »
- « Pas la peine », répondit Olivier. « J’ai commandé des pizzas ! »
- « Tu as bien fait ! Bon, on rentre ? »
Elle le suivit dans l’appartement. Elle ne verrait pas Samuel ce soir, mais la venue d’Eric lui faisait plaisir. A condition que se copine ne se montre pas trop jalouse…

à suivre...

Eric et Anita arrivèrent environ une heure plus tard. L’avion en provenance de Barcelone avait du retard et ils étaient venus directement d’Orly. Eric fit les présentations.
- « Je te présente Olivier », dit-il. « Je le connais depuis plus de dix ans ! Parfois, il est un peu con, mais dans l’ensemble c’est un bon gars… Et puis il a une femme tellement gentille et tellement belle! »
- « C’est vrai qu’elle est mignonne », commenta Anita qui n’avait pas l’air jalouse du tout.
- « Elle s’appelle Stéphanie et elle est toujours souriante… Elle travaille dans le domaine médical, mais je n’ai jamais compris exactement ce qu’elle fait… »
- « Ce n’est pas important ! » le coupa Stéphanie. « Et toi, Anita ? Tu viens de Barcelone ? Tu fais quoi dans la vie ? »
- « Je suis encore étudiante », dit la belle jeune femme espagnole. « Je sais qu’à presque trente ans cela peut surprendre, mais j’ai arrêté mes études à vingt-deux ans et je les ai reprises il y a trois ans, à Paris. C’est là que j’ai connu Eric. »
- « Tu fais quoi comme études ? » demanda Olivier.
- « Des études de pharmacie », répondit Anita. « Jusqu’à vingt-deux ans, j’ai fait des études de commerce et cela ne me plaisait pas vraiment. J’ai tout laissé tomber avant de passer mon diplôme et je suis partie en Amérique du Sud. »
- « Dans quel pays ? » la questionna Stéphanie par pure curiosité.
- « En Equateur, en Colombie, au Pérou, en Bolivie, au Brésil… J’ai pas mal voyagé… »
- « Anita a parcouru tous ces pays à pied ou en stop », crut bon de préciser Eric. « C’est au cours de ces voyages qu’elle s’est découvert une passion pour les plantes et leurs vertus… »
- « Oui, j’ai côtoyé toutes sortes de guérisseurs ou de sorciers qui utilisaient les plantes de la forêt tropicale pour guérir des maladies parfois très graves. Peu à peu, ils m’ont transmis une partie de leur savoir et je voudrais aujourd’hui capitaliser sur ce que je sais… »
- « Tu pratiques la pharmacie naturelle ? » demanda Stéphanie.
- « Oui, mais j’ai eu envie d’avoir une formation théorique solide. Je suis venue la faire en France, car l’enseignement est meilleur qu’en Espagne. »
- « Tu parlais déjà français ? » demanda Olivier.
- « Oui, j’avais appris le français et j’habitais chez une tante qui est française. Elle m’a beaucoup fait progresser, mais j’en ai quand même bavé pour suivre la première année… Aujourd’hui ça va ! »
- « C’est sûr, tu n’as même plus d’accent » fit remarquer Stéphanie.

à suivre...

Les pizzas arrivèrent alors qu’ils étaient encore en train de bavarder. Stéphanie les fit passer à table et ils les mangèrent avec appétit. Eric semblait gêné. Il avait l’air très amoureux d’Anita et, se trouver avec elle en présence de sa maîtresse, n’était pas facile. Surtout que Stéphanie faisait tout pour le troubler. Sous la table, elle avait retiré ses chaussures et laissé remonter ses pieds nus le long de la jambe d’Eric. Son pied droit avait atteint l’entrejambe et commençait à exercer des pressions sur son sexe.
Anita semblait ne rien avoir vu, mais Olivier se rendit bientôt compte de la situation. Son épouse était en train de se livrer à des attouchements sur son meilleur ami devant eux ! Il la regarda d’un air réprobateur, mais elle continua en souriant. Dans la tête d’Olivier, plein d’idées se bousculaient. Il avait envie que Stéphanie aille au bout de sa provocation, qu’elle continue à exciter Eric. Qu’elle sorte sa queue et le branle pour de bon ! Il aurait été cocu devant tout le monde et Anita aussi ! En même temps, il faisait tout pour alimenter la conversation, posant plein de questions à Anita, pour que la jeune femme ne se rende compte de rien.
Quand Stéphanie reposa son pied et reprit une attitude correcte, il éprouva un mélange de soulagement et de déception. Après le repas, ils passèrent au salon, mais Stéphanie s’arrangea pour qu’Eric la suive à la cuisine sous un prétexte futile. Dès qu’ils furent hors de la vue d’Anita et d’Olivier, elle lui mit la main entre les jambes et saisit son sexe à travers le jean.
- « Alors, tu bandes ? » demanda-t-elle à mi-voix.
- « Oui », répondit Eric. « Tu es vraiment une grosse cochonne d’oser faire cela devant ton mari et ma copine ! »
- « J’ai envie de ta queue ! » répondit simplement Stéphanie. « On va s’arranger pour qu’Olivier et Anita aillent faire un tour, j’ai envie que tu me prennes en vitesse ! »
- « Moi-aussi ! » s’exclama Eric, « mais où veux-tu les envoyer ? Il est plus de vingt-et-une heures ! »
- « Justement, je vais les envoyer acheter un dessert… »
Ils retournèrent dans le salon, où Olivier et Anita bavardaient toujours.
- « J’aurais bien mangé un bon dessert », dit Stéphanie, « mais il n’y a plus rien ! Tu ne veux pas aller nous acheter quelque chose ? » demanda-t-elle à Olivier.
- « Mais, les magasins sont fermés », fit remarquer son mari.
- « Pas tous ! Le petit épicier tunisien de la rue Victor Hugo est encore ouvert… »
- « Tu veux que j’aille courir jusque là-bas ? Et je prends quoi ? »
- « C’est vrai que tu es nul pour choisir les gâteaux ! Anita, tu ne veux pas l’accompagner ? »
- « Avec plaisir », répondit la jeune femme en se levant. « Je finirai de lui raconter mes péripéties en Amazonie… »

à suivre...

Ils partirent sur le champ et Eric resta seul avec Stéphanie. Sa copine n’était pas méfiante, ou alors elle se moquait complètement qu’il la trompe. Il ne la connaissait pas depuis assez longtemps pour le savoir.
Stéphanie n’attendit pas longtemps pour assouvir son envie de sexe. Elle se précipita sur Eric et ouvrit sa braguette, sortant son sexe, qu’elle mit aussitôt dans sa bouche.
- « Tu penses qu’ils en ont pour longtemps ? »
- « Un quart d’heure tout au plus », répondit Stéphanie en l’entrainant dans la cuisine. « J’ai envie que tu me prennes là, sur l’évier... »
Il la souleva du sol et la posa sur l’évier froid. Il s’avança et la pénétra sans préliminaire. Stéphanie avait envie depuis longtemps qu’on la prenne sauvagement dans sa cuisine au milieu de la vaisselle, mais ce n’était pas trop le truc de son mari. Eric lui avait agrippé les cuisses et la défonçait sans ménagement. Elle était assise au milieu des assiettes sales que ses fesses faisaient cogner les unes contre les autres de temps en temps. Elle jouit au bout d’un moment et Eric éjacula en elle. Elle n’eut même pas le temps de s’essuyer que déjà, Anita et Olivier revenaient.
Elle sauta de l’évier et rajusta sa jupe pendant qu’Eric refermait sa braguette. Anita vint dans la cuisine avec un petit carton.
- « On a pris des pâtisseries orientales », dit-elle. « Vous aimez cela? »
- « Oui », firent en chœur Stéphanie et Olivier.
- « Vous venez les manger au salon avec un bon thé à la menthe ? » demanda Olivier.
- « Bonne idée », répondit Eric. « On va préparer les assiettes pendant que les filles nous font du thé ! »
Il rejoignit Olivier dans le salon et Anita ferma la porte de la cuisine. Elle s’approcha de Stéphanie.
- « Alors, il a eu le temps de te baiser ? » lui demanda-t-elle.
- « Euh… » balbutia Stéphanie
- « Ne fais pas l’innocente ! Tu crois que je n’avais pas vu ton pied sur sa braguette pendant le repas ? Si j’ai accepté d’accompagner ton mari, c’est pour vous laisser un peu seuls. »
- « Tu es large d’esprit », répondit Stéphanie.
- « Je suis surtout une grosse cochonne, comme toi ! Il t’a prise dans la cuisine ? »
- « Oui, sur l’évier… »
- « Il a joui ? »
- « Merveilleusement, dans ma chatte ! »
- « Salope ! Tu vas me priver de son jus ! »
Stéphanie n’en revenait pas. Ce n’était plus la même Anita que tout à l’heure. La copine d’Eric avait vraiment l’air d’être, elle aussi, très portée sur le sexe.
- « Emmène-moi dans ta chambre ! Je veux te bouffer la chatte pleine de son sperme ! »
- « Viens », dit Stéphanie.
Elles traversèrent le salon, demandant aux garçons de s’occuper également du thé, pendant qu’elles allaient voir « des trucs de filles » dans la chambre. Ils eurent l’air étonnés, mais ne posèrent pas de question. Il y a des choses chez les femmes qu’un homme ne peut pas comprendre…

à suivre...

Une fois dans la chambre, Stéphanie ferma la porte à clé. Elle s’allongea sur le lit et releva sa jupe. Anita se précipita entre ses cuisses et colla sa bouche contre son sexe.
- « Donne-moi le jus de mon mec ! » dit-elle en la léchant avec avidité.
- « Oui, bouffe-le bien ! » répondit Stéphanie. « Tu es aussi salope que moi ! On va bien s’entendre… »
Anita la lécha, essuyant le liquide gluant avec sa langue, et ne négligeant aucun des recoins de ce sexe qu’elle découvrait pour la première fois. Stéphanie, qui avait envie de faire l’amour avec une femme depuis un certain temps, ne s’était pas imaginé que la première fois se passerait comme cela. Elle se rendit compte que c’était encore meilleur de se faire lécher par une femme et voulut rendre la pareille à la copine de son amant. Anita retira sa robe et vint se mettre tête bêche au-dessus de Stéphanie. Elle lui présenta sa chatte brune poilue et reprit l’exploration de la sienne.
Stéphanie découvrit pour la première fois le goût du sexe d’une femme. Celui d’Anita avait une saveur corsée. Elle avait une pilosité caractéristique des femmes du sud et mouillait énormément, autant que Stéphanie. Elle la lécha avec gourmandise, pendant qu’elle se faisait bouffer la chatte. Elles étaient sur le point de jouir toute les deux, quand Olivier vint derrière la porte pour les prévenir que le thé était prêt. Il entendit distinctement les gémissements des deux femmes et comprit ce qu’elles faisaient. Décidément, après le voisin black et son copain, il était cocu de tous les côtés ! Même avec les femmes, maintenant !
Il leur dit que le dessert était prêt et entendit Stéphanie lui crier :
- « Laisse-nous deux minutes, on arrive ! »
Il repartit, les laissant profiter de leur orgasme quasi simultané. Elles s’embrassèrent après avoir joui toutes les deux et se rhabillèrent rapidement.
- « Ne dis pas à Eric ce que nous avons fait », lui dit Anita. « Ni que je sais qu’il t’a baisée… »
- « D’accord. »
- « Par contre, arrange-toi pour te libérer lundi prochain. C’est son anniversaire et je veux lui faire une surprise… Une nuit avec deux salopes ! »
Elles éclatèrent de rire et retournèrent retrouver leurs compagnons.
- « Vous en avez mis du temps ! » s’exclama Eric.
- « Oui, Stéphanie me montrait ses parures de lingerie. Elle en a de magnifiques ! »
- « Tu aimes la lingerie ? » demanda Olivier.
- « Bien sûr ! Toutes les femmes aiment ce qui leur permet de séduire… Même en Amazonie, elles se font des costumes follement érotiques avec des lianes tressées… »
- « Ah bon ? Raconte-nous ! » insista Olivier.
Anita reprit son récit teinté d’exotisme. Elle était redevenue la jeune femme aventurière bavarde et passionnée. Son comportement de salope avide de sexe n’avait été qu’une brève parenthèse dans la soirée.

à suivre...

Leur soirée se termina assez tard et ils rentrèrent en promettant de se revoir assez vite. Olivier avait été conquis par la copine d’Eric. Toute la soirée, il s’était intéressé à ses récits, mais à aucun moment il n’avait songé à la draguer. Son copain se tapait sa femme, il le savait, mais lui ne se sentait pas capable d’en faire autant avec Anita qui devait pourtant être un bon coup.
Une fois qu’ils furent seuls, Stéphanie lui dit qu’elle avait passé une bonne soirée et lui avoua que son copain l’avait baisée pendant qu’ils étaient partis acheter le dessert avec Anita. Olivier prit un choc d’entendre son épouse lui avouer ouvertement qu’elle le trompait. Il le savait depuis maintenant assez longtemps, depuis ce matin où il avait surpris Stéphanie avec Eric en ramenant les croissants. Il se doutait également que c’était avec sa femme que le voisin se payait de bonnes partie de jambes en l’air, mais jusqu’à présent, elle avait au moins eu la décence de le faire en cachette. Il savait que cet aveu n’était qu’une étape avant la suivante : se faire baiser en sa présence. D’ailleurs les paroles de Stéphanie confirmèrent immédiatement cette crainte.
- « La prochaine fois, il faudra que tu regardes comment il me baise. Tu as sûrement beaucoup de choses à apprendre… »
- « Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? » s’offusqua Olivier.
- « Oui, de voir ta femme adorée prendre son pied ! »
- « Avec un autre… »
- « Il le faut bien, ce n’est pas ton cure-dent qui va me provoquer le même plaisir ! »
- « Je sais que j’ai une petite bite ! s’énerva Olivier, mais je t’aime !
- « Alors pense à mon plaisir, si tu m’aimes ! Prouve-le moi en me procurant toutes les occasions d’avoir un orgasme… Trouve des mecs pour me baiser ! Des anonymes, si cela te gêne que ce soit avec tes amis… »
- « Non », répondit Olivier. « Finalement c’est encore mieux que ce soit avec lui… Au moins, par moments il me fait bien marrer ! »
- « Tu vois, tu y trouves ton compte aussi… Et puis tu n’as qu’à te faire sa copine… »
- « Je me faisais la réflexion tout à l’heure que je n’y ai même pas pensé… »
- « Eh bien, c’est que tu es en train de devenir impuissant ! C’est une sacrée cochonne, la copine d’Eric ! »
- « Tu trouves ? »
- « Oh oui alors ! Si tu avais vu la manière dont elle m’a sucé dans la chambre !
- « Tu aimes les femmes, maintenant ? » s’étonna-t-il. « C’est nouveau ? »
- « Oui, c’était la première fois, mais je recommencerai… Rien que d’y penser, je suis toute mouillée ! Viens me lécher ! «
Stéphanie s’installa confortablement sur le canapé et releva les jambes dans une posture totalement impudique. Olivier vit qu’elle ne portait plus de culotte sous sa jupe. Il s’avança vers elle et commença à lécher le sexe qu’elle lui offrait. Il s’appliqua autant qu’il put, craignant que ces instants où elle s’offrait à lui deviennent de plus en plus rares. Maintenant qu’elle lui avait avoué ouvertement qu’elle le trompait, elle n’allait pas se gêner !

à suivre...

Stéphanie apprécia ce cunnilingus que lui fit son époux, mais elle ne voulut pas pour autant qu’il la baise. Lorsqu’il sortit son sexe, qu’elle trouvait de plus en plus ridicule depuis qu’elle avait goûté à celui d’Eric et surtout à celui de Samuel, elle lui ordonna de se branler. Il dut se faire jouir seul, et elle lui permit seulement d’éjaculer sur sa chatte. Elle lui fit, bien sûr, aussitôt lécher son sperme.
Olivier devenait de plus en plus soumis à son épouse et il savait que, la prochaine fois qu’ils recevraient Eric, il serait obligé d’assister à la pénétration de sa compagne par son ami. Pourtant, ce statut de mari cocufié ne lui déplaisait pas. Il lui restait quand même à apprendre le candaulisme, le plaisir de prêter son épouse…


Candaulisme.



Le lundi après son travail, Eric rentra chez lui. Il fut surpris de ne pas entendre un bruit en rentrant dans son appartement. C’était le jour de son anniversaire et, normalement, Anita devait déjà être là. Il posa ses affaires et vit une enveloppe posée sur la table. Il la prit et lut ce qui était écrit dessus : « Bon anniversaire ».
Il l’ouvrit et sortit une carte sur laquelle étaient écrites quelques lignes :
- « Mon chéri, Je te souhaite un joyeux anniversaire. J’aurais dû te faire un gâteau et t’attendre en chantant Happy birthday to you, mais je ne suis pas une compagne classique. Ton cadeau est dans la chambre. Anita ».
Eric relut le texte et appela.
- « Anita, tu es là ? «
Il ne reçut pas de réponse et se dirigea vers la chambre. Il ouvrit la porte et resta bouche bée devant sa surprise. Sur son lit, Anita était allongée entièrement nue aux côtés de Stéphanie. Les deux jeunes femmes, sa nouvelle compagne et sa maîtresse, se mirent à chanter Happy birthday to you. Pour une surprise, c’était une surprise !

Il les vit commencer à se caresser. Ce spectacle ne le laissa pas de marbre et il se déshabilla rapidement. Dans le lit, Anita et Stéphanie avaient commencé à s’embrasser avec une grande tendresse. Il contempla leurs corps si différents avant de les rejoindre. La blonde Stéphanie avait un visage allongé, une bouche très grande et elle était aussi blonde qu’Anita était brune. Sa copine avait un système pileux beaucoup plus abondant que celui de sa maîtresse et des seins beaucoup plus gros. Il se mit entre les deux femmes et s’allongea sur le dos. Tour à tour, elles vinrent caresser son sexe avec leurs cheveux et embrassèrent son gland qui devenait turgescent.

à suivre...

Eric avait envie de les prendre toutes les deux, mais il ne savait par laquelle commencer, de peur de rendre l’autre jalouse. Anita débloqua la situation en lui faisant une demande inattendue.
- « Prends-la devant moi ! » lui dit-elle. « Je veux voir ta queue pénétrer une autre chatte que la mienne. »
Eric n’hésita pas une seconde. Il se mit entre les cuisses de Stéphanie et fit pénétrer sa verge lentement entre les lèvres du sexe de la femme de son copain. Anita se mit juste au-dessus de ce sexe blond que son ami pénétrait. Elle sortit sa langue et commença à lécher le clitoris et la verge qui entrait et sortait. Stéphanie ressentit une excitation intense de voir Anita apprécier à ce point la vision d’Eric qui la prenait. Elle voulait participer à leur jouissance. Cette fille était géniale !
Eric redoubla de vigueur et donna des coups de reins de plus en plus appuyés. Au bout d’un moment, il se mit à caresser le corps d’Anita et lui dit qu’il voulait la prendre, elle-aussi.
- « Non », répondit-elle. « C’est ton cadeau d’anniversaire ! Profites-en au maximum ! Je veux te voir bien baiser sa chatte ! »
Il reprit ses allers retours et Anita se mit au-dessus de Stéphanie, présentant son sexe devant sa bouche. La belle blonde écarta les poils sombres pour lécher le clitoris de la belle espagnole. Anita mouillait abondamment, inondant le visage de Stéphanie. De temps en temps, Eric sortait sa queue du vagin de sa maîtresse et la faisait sucer à sa nouvelle compagne. Il était le plus heureux des hommes et le spectacle de celle qu’il baisait en train de bouffer la chatte de celle qui le suçait était inoubliable. Il se souviendrait de son cadeau d’anniversaire !
Au bout d’un moment, Eric leur annonça qu’il allait jouir. Elles se relevèrent précipitamment et présentèrent leurs visages, côte à côte, devant son sexe. Leurs langues se mélangèrent en un baiser langoureux et il jouit sur la bouche de ces deux femmes qui s’embrassaient. Son sperme gicla sur leurs langues et sur leurs joues et elles se partagèrent le précieux liquide, puis chacune nettoya le visage de l’autre avec sa langue. Quand Eric reprit ses esprits après son orgasme intense, Anita et Stéphanie étaient en train de se masturber mutuellement. Il les regarda immobile et les vit jouir, l’une après l’autre, sous les caresses de leur partenaire. Il vint ensuite se coucher entre les deux et elles le couvrirent de baisers.
Pendant qu’Eric prenait du bon temps avec les deux femmes, Olivier était resté seul à la maison. Sa femme lui avait dit que, ce soir, elle était invitée à un anniversaire et qu’elle rentrerait vers minuit. Elle ne lui avait pas précisé qu’elle se rendait à celui d’Eric, mais lui avait demandé une chose qui l’avait laissé sans voix.

à suivre...

- « Puisque tu es cocu et que cela a l’air de te plaire », avait-elle dit, « je veux que tu me trouves un mec pour quand je rentrerai Je veux qu’il soit là à minuit et qu’il me baise devant toi dès que j’arriverai ! »
- « Mais enfin », avait protesté Olivier.
- « Débrouille-toi pour m’en trouver un » avait exigé Stéphanie. « Et ne m’en choisis pas un qui soit vieux et moche ! » avait-elle ajouté juste avant de sortir.
Olivier était resté sans bouger pendant quelques minutes, puis il s’était mis devant son ordinateur. Sur le web, il savait qu’il n’aurait aucun mal à trouver un gros cochon qui veuille baiser sa femme…
Il se connecta sur un chat qu’il visitait régulièrement et posta un message qui lui valut immédiatement une foule de réponses : «Qui veut baiser ma femme ce soir ? ».
Il reçut une centaine de messages en quelques minutes, auxquels il s’efforça de répondre le plus rapidement possible. Il élimina vite certains de ses contacts qui étaient à l’autre bout de la France ou des mecs dont la description physique n’était vraiment pas attirante. Bientôt, il ne dialogua plus qu’avec cinq interlocuteurs. Tous étaient à une distance très raisonnable de son domicile et avaient entre vingt-cinq et trente-cinq ans. Il leur demanda de lui envoyer une photo par mail et leur numéro de téléphone. Seuls trois répondirent à sa demande. Les autres ne devaient pas correspondre à ce qu’ils prétendaient être. Il décida d’appeler le premier, un certain Antony. Il avait trente ans et lui avait envoyé trois photos de lui. Une sur laquelle on voyait bien son visage et deux autres sur lesquelles il était nu, le sexe en érection.
Il habitait à moins de cinq kilomètres du domicile d’Olivier et son physique devait plaire à Stéphanie. Il était grand, un mètre quatre-vingt-quatre, blond, musclé et avait de beaux yeux bleus. Il disait être professeur d’éducation physique, mais Olivier ce méfiait de ce genre de précision.
Antony répondit à l’appel d’Olivier dès la première sonnerie.
- « Salut, lui dit-il. Alors ? Tu veux que je baise ta femme ? Elle a l’air mignonne d’après la photo que tu m’as envoyée… »
- « Oui, elle est très mignonne », répondit Olivier un peu mal à l’aise.
- « Tu la fais baiser souvent ? » demanda son correspondant.
- « Non, ce sera la première fois… »
- « Ouah ! J’ai de la chance… »
- « Oui, tu peux venir vers minuit ? »
- « Pourquoi pas avant ? Il n’est que vingt-deux heures », répondit l’homme à l’autre bout du fil.
- « Parce qu’elle n’est pas encore rentrée », expliqua Olivier.
- « C’est quoi ce plan foireux ? demanda Antony. Elle est d’accord au moins ?
- « Oui, c’est elle qui m’a demandé de lui trouver un mec !
- « Pourquoi ? Tu ne la baise plus ?
- « Si, mais elle trouve que j’ai une trop petite queue.
- « La mienne fait vingt centimètres ! Elle est cochonne ta femme ?
- « Oui, assez !
- « Bon, je veux bien attendre minuit si elle vaut le coup, reprit-il. Tu m’appelles dès qu’elle rentre…
- « Non, j’aimerais que tu sois là quand elle arrive. Je vais te donner mon adresse…
- « J’espère que tu ne te fous pas de moi, s’exclama Antony. Je te préviens, je ne suis pas pédé !
- « Moi non plus, se crut obligé de répondre Olivier. Tu viens un peu avant minuit et tu la prends dès qu’elle arrive…
- « Ok, file moi l’adresse !

Olivier lui donna son adresse et le code d’entrée de l’immeuble. Après avoir raccroché, il se demanda s’il n’avait pas fait une connerie en acceptant la demande de Stéphanie.

à suivre...

Comme il l’avait dit, Antony arriva un peu avant minuit. Il était bien comme sur la photo. Olivier le fit entrer dans leur appartement. Ils n’avaient pas grand-chose à se dire et parlèrent tout naturellement de Stéphanie. Olivier expliqua qu’il avait découvert que sa femme le trompait, mais qu’elle n’avait pas arrêté pour autant. Elle s’était mise à exercer sur lui une domination psychologique qui, ce soir, atteignait son apogée. C’était elle qui lui avait demandé de lui trouver un mec et elle voulait qu’il la regarde en train de se faire baiser !
Antony lui fit comprendre que ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans ce genre de situation et qu’il avait déjà baisé pas mal de femmes en présence de leur mari. Il espérait juste que Stéphanie n’allait pas trop tarder.
Justement, elle arriva quelques minutes plus tard. Elle avait passé une soirée merveilleuse avec Anita et Eric et serait bien restée toute la nuit avec eux, mais elle avait hâte de savoir si son mari avait obéi à ses exigences. Dans son for intérieur, elle n’y croyait pas trop.
Elle fut donc agréablement surprise en trouvant Antony dans le salon. Olivier lui avait donc trouvé un mec et il n’avait pas mal choisi du tout ! Elle s’avança vers eux avec un grand sourire.
- « Salut ! Tu t’appelles comment ? » demanda-t-elle, ignorant complètement son mari.
- « Antony. »
- « Moi, je suis Stéphanie ! Tu t’en doutes… «
Il se leva et la prit dans ses bras. Sans attendre, il commença à la déshabiller devant Olivier. En moins de cinq minutes, elle se retrouva entièrement nue dans le salon. Antony embrassa ses seins, puis caressa ses fesses. Olivier ressentit un mélange de honte et d’excitation, mais il bandait. Stéphanie offrit sa bouche au visiteur inconnu, puis elle le prit par la main et le conduisit jusque dans leur chambre où il se déshabilla à son tour. Olivier les avait suivis et se mit dans un coin de la pièce pour observer ce qui se passait.
Antony se mit sur le lit avec Stéphanie et lui caressa les cuisses avant de glisser sa main entre elles. Il la pénétra avec son majeur. Il n’était pas très doux ! Il fit aller et venir son doigt dans l’intimité de la jeune femme, cherchant tout de suite son point G.
Elle prit son sexe entre ses mains. Il avait une belle taille…
- « Belle queue ! » lui dit-elle « tu devrais me la mettre… »
- « Tu ne veux pas qu’il mette un préservatif ? » demanda alors Olivier. « On ne le connait pas et il fait beaucoup de rencontres... »
- « Il a raison », admit Stéphanie. « Tu en as un ? »
- « Non, mais il va m’en donner un des siens ! » dit Antony.
- « Mon pauvre, tu aurais tout juste de quoi y mettre ton gland ! » s’exclama Stéphanie en rigolant. « Il va aller t’en chercher un dans le tiroir de la commode. Heureusement, j’en ai en réserve ! Allez, va chercher un « King size » dans le tiroir ! Tu vas lui mettre ! » ajouta-t-elle à l’adresse d’Olivier.
Il se leva et alla chercher un des préservatifs dont il ignorait l’existence jusque-là. Il ouvrit la pochette avec les dents et s’approcha d’Antony. Avec délicatesse, il recouvrit le sexe qui allait pénétrer son épouse. Antony pénétra le vagin de Stéphanie d’un seul coup. Elle ressentit une sensation intense et l’encouragea.
- « Vas-y ! » lui dit-elle. « Baise-moi comme une bête ! Je veux qu’il voie ce que c’est qu’un homme, un vrai ! »
Dans son coin, Olivier vit le grand blond défoncer la chatte de sa femme. Il la retournait dans toutes les positions et la pilonnait avec force. Bientôt, il l’entendit hurler de plaisir. Ses cris étaient exactement les mêmes que ceux qu’il entendait à travers la cloison quand sa femme n’était pas rentrée. Il n’avait plus de doute, c’était elle que le grand black baisait plusieurs fois par semaine !

à suivre...

Antony était très endurant. Il fit jouir Stéphanie une seconde fois avant de sentir monter son propre plaisir. Elle avait envie qu’il jouisse lui aussi et se remit à l’encourager en utilisant des mots qu’Olivier n’avait encore jamais entendu dans sa bouche.
- « Continue ! » lui dit-elle. « Fais-moi éclater la moule ! Bourre-moi l’abricot et crache ton jus dedans ! Je veux que tu gicles au fond de moi, salaud ! »
Ces mots crus finirent d’exciter Antony et il jouit bruyamment. Il se retira du sexe de Stéphanie et retira le préservatif qu’il jeta sur le sol de la chambre.
- « J’ai horreur des choses qui trainent ! » s’exclama Stéphanie. « Viens le ramasser avec tes dents et porte le à la poubelle ! » ordonna-t-elle à Olivier.
Sans protester, il fit ce qu’elle demandait. Il prit délicatement le préservatif, tout gluant du sperme du nouvel amant de sa femme et le porta dans la poubelle, puis il revint s’installer à côté d’eux. Antony récupérait. Stéphanie se mit à jouer avec la verge du beau blond musclé avec ses pieds. Assez rapidement, elle reprit des proportions conséquentes et se remit à durcir. Les pieds de Stéphanie l’avaient coincée et exécutaient un mouvement masturbatoire assez rapide.
Olivier était très excité par ce qui se passait à deux pas de lui et commença à se masturber en regardant son épouse pratiquer un footjob à cet internaute qu’il avait fait venir lui-même. Décidément, sa femme était vraiment une salope et lui un cocu de première ! Il comprit que, maintenant qu’il avait mis le doigt dans l’engrenage, elle ne s’arrêterait plus. Elle se ferait baiser sans cesse par de nouveaux mecs et lui, serait réduit à assister à ses ébats. Il y prenait un grand plaisir, mais sa sexualité risquait de se réduire à la masturbation. Pourtant, il acceptait sa condition et ferait ce qu’elle voudrait. Il l’aimait trop !
Stéphanie continua à branler Antony avec ses pieds jusqu’à ce qu’il connaisse un nouvel orgasme. Il éjacula presque aussi fort que la première fois, et son sperme inonda les orteils de sa partenaire. Elle appela aussitôt son mari.
- « Viens nettoyer mes pieds avec ta langue ! » lui ordonna-t-elle.
Olivier hésita une seconde, puis il se dirigea vers le lit et se mit à lécher les pieds de son épouse, maculés du sperme de son amant de passage. Il en avait plein la bouche et elle le força à avaler.
- « Tu aimes ça, hein, gros cochon ? »
- « Oui », se sentit obligé de répondre Olivier après avoir dégluti.
Il finit de nettoyer les pieds de son épouse, puis elle voulut lui faire lécher la queue de son amant, mais Antony refusa. Il l’embrassa une dernière fois, puis se leva et retourna s’habiller. L’idée de mettre son sexe dans la bouche d’Olivier lui avait vraiment déplu. Il ne le savait pas encore, mais il venait de perdre l’occasion de revoir Stéphanie. Il partit en faisant promettre à Olivier et à Stéphanie de le recontacter. Ils le firent, mais cela était peu probable.
Une fois qu’ils furent seuls, Stéphanie s’approcha d’Olivier et pris son petit sexe dans sa main.
- « Viens, dit-elle, je vais te vider la queue ! »
- « Oui ma chérie, branle-moi ! » répondit Olivier qui savait qu’il en serait réduit à attendre ce genre de récompense.
Elle le masturba rapidement, comme si elle voulait se débarrasser d’une corvée et il jouit sur le carrelage de la cuisine pendant qu’elle dégustait une glace qu’elle avait prise dans le congélateur. Elle s’occupait de moins en moins de lui. En éjaculant, il lui cria tout de même.
- « Je t’aime ! »
Une fois de plus, elle lui fit nettoyer son sperme avec la langue, puis elle lui annonça qu’elle avait sommeil et qu’elle allait se coucher. Olivier resta un moment dans la cuisine à réfléchir à sa condition de cocu, puis il la rejoignit sans faire de bruit. Elle dormait déjà.

à suivre...

Elsa.



En passant devant la porte de Samuel, Stéphanie eut envie de sonner chez son voisin. Elle ne l’avait pas vu depuis plusieurs jours, et sa grosse queue noire commençait à lui manquer. Elle hésita un peu, puis se décida à actionner la sonnette. Son mari ne devait pas rentrer avant au moins une heure. Le voisin mit un certain temps avant de venir ouvrir. Il entrouvrit seulement la porte et elle vit qu’il ne portait qu’un peignoir.
- « Bonjour Samuel, je peux entrer un moment ? »
- « C’est que je ne suis pas seul », répondit-il d’un air embarrassé.
- « Ah, excuse-moi, je ne savais pas… »
- « Je suis avec la sœur d’un ami. Il est possible qu’elle reste quelques jours chez moi… »
- « C’est qui ? » demanda soudain une voix féminine derrière lui.
- « Ma voisine », répondit Samuel.
- « Fais-la entrer, ne la laisse pas dehors ! » reprit la femme qui se trouvait dans son appartement.
- « C’est que… Nous ne sommes pas très présentables », déclara l’africain gêné.
- « Et alors ? Elle n’a jamais vu une paire de fesses, ta voisine ? »
- « Si mais… »
- « Fais-la entrer ! Je serais ravie de faire sa connaissance ! »
Stéphanie pénétra dans l’appartement et vit une ravissante jeune femme à la peau noire qui était entièrement nue dans le salon. Elle s’avança vers la visiteuse, nullement gênée par sa nudité totale et lui tendit la main.
- « Enchantée ! Je suis Elsa. »
- « Moi je suis Stéphanie, la voisine de l’appartement juste à côté. »
- « Samuel a eu la gentillesse de m’héberger », dit-elle. « J’ai été expulsée de mon logement ce matin. J’aurais pu aller chez mon frère, mais il habite de l’autre côté de Paris et il n’y a pas beaucoup de place dans son appartement… Comme je travaille à deux pas d’ici ce sera plus pratique. »
- « Tu veux boire quelque chose Stéphanie ? » demanda Samuel.
- « Je vais vous préparer un cocktail », intervint Elsa sans lui laisser le temps de répondre. « Vous m’en direz des nouvelles ! »
Elle se leva et se rendit dans la cuisine, les laissant seuls dans le salon. Stéphanie ne put s’empêcher de jeter un regard sur les fesses de la belle black. Elle avait un cul bombé comme seules les filles de couleur en ont. Resté seul avec sa voisine, Samuel avait l’air embarrassé. Il savait que Stéphanie venait pour se faire baiser, mais c’était avec Elsa qu’il était en train de faire l’amour quand elle avait sonné. Il avait d’ailleurs bien failli ne pas ouvrir !
Stéphanie ne fit rien pour l’aider et vint se coller contre lui.
- « Tu n’as pas envie de moi ce soir ? » demanda-t-elle en collant sa cuisse contre la sienne.
- « Si ! répondit Samuel, mais il y a Elsa… »
- « Tu as l’air très intime avec elle », fit remarquer Stéphanie.
Il n’eut pas le temps de répondre. Elsa revenait déjà de la cuisine avec un plateau sur lequel elle avait posé trois verres.

à suivre...

- « Goûtez ! » leur dit-elle. « Vous m’en direz des nouvelles… C’est aphrodisiaque, mais il te faudra bien cela, ajouta-t-elle à l’adresse de Samuel. Maintenant que tu as deux femmes à satisfaire… »
Elle vint s’asseoir de l’autre côté de Samuel et se colla également contre lui. Elle était vraiment belle et elle sourit à Stéphanie.
- « Tu disais que nous étions intimes ? Avant ce jour, je n’avais vu Samuel que deux fois… C’est mon frère qui le connaît bien. »
- « Pourtant tu te promènes toute nue dans son appartement… »
- « C’est parce que nous faisions l’amour », répondit Elsa avec une totale innocence. « Il faut bien que je paie mon loyer ! »
- « Samuel est un bon amant », commenta Stéphanie lui faisant comprendre qu’elle aussi avait eu l’occasion de faire l’amour avec lui.
- « On va voir comment il assure avec deux femmes », rétorqua Elsa en ouvrant le peignoir de l’ami de son frère.
Stéphanie regarda en direction du sexe de son voisin qui avait déjà pris des proportions honorables. Elsa prit le membre dans sa main et commença à le branler doucement.
- « Tu devrais le sucer un peu », dit-elle à Stéphanie. « Il n’est pas encore assez dur. »
Sans répondre, Stéphanie se mit à genoux devant lui et prit ce sexe dans sa bouche. Ses cheveux blonds s’étalèrent sur le ventre de Samuel qui laissa échapper un soupir de contentement. Pendant que Stéphanie faisait une pipe à son voisin, Elsa vint se placer derrière elle et releva la robe qu’elle portait. Elle caressa ses fesses, puis fit glisser le string qui les recouvrait à peine. Stéphanie tendit sa croupe en arrière. La jeune femme les écarta et glissa sa langue dans son petit trou. Pour un premier contact, c’était plutôt audacieux !
Après l’avoir léchée, Elsa humecta son index et commença à l’introduire dans l’anus de Stéphanie qui suçait toujours Samuel. Bien que la belle africaine ait fait preuve de beaucoup de douceur, Stéphanie se raidit.
- « Non, je n’aime pas la pénétration anale ! » dit-elle en se retournant.
- « Tu as tort ! Si tu savais comme c’est bon d’avoir une grosse queue dans le cul ! »
- « Je n’ai jamais voulu, même avec une petite ! »
- « Je reconnais que celle de Samuel est plutôt grosse, mais je suis sûre qu’il va te prendre en douceur et te faire du bien. »
- « Non ! » protesta Stéphanie. « Je ne veux pas ! »
- « Mais, si ! » intervint Samuel. « J’ai envie de t’enculer ! »
- « Tu vas voir, on va bien te préparer », insista Elsa en se remettant à lui lécher le cul.
Elle alla chercher un gel lubrifiant et en enduisit ses doigts, puis le sexe de Samuel. Elle remit son index où il se trouvait quelques minutes plus tôt et, cette fois, grâce à l’abondante lubrification, Stéphanie ne sentit presque rien. Elle le remplaça par le majeur, puis inséra les deux doigts ensemble. Elle les écarta progressivement pour dilater l’anus de cette blonde qu’elle voyait pour la première fois.

à suivre...

Samuel vint à son tour se placer derrière Stéphanie. Il posa une main sur chacune de ses fesses et les écarta pour mieux voir les doigts d’Elsa qui allaient et venaient dans le petit cul de sa voisine.
- « Elargis-la bien ! » dit-il « qu’elle soit prête à recevoir ma queue! »
Les doigts élargirent encore la petite rondelle rose. Puis Elsa les retira l’un après l’autre. Samuel posa son gland à l’entrée de cet étroit passage et poussa lentement. Il s’introduisit dans l’anus de Stéphanie qui poussa un petit cri.
- « Détends-toi ma chérie ! » lui dit Elsa. « Si tu étais dans mon pays, tu aurais l’habitude… »
- « Pourquoi ? Toutes les femmes se font sodomiser ? » demanda Stéphanie.
- « Oui, c’est encore le meilleur moyen de contraception que nous ayons trouvé pour ne pas tomber enceintes avant le mariage… Moi, j’avais à peine seize ans la première fois que j’ai pris une bite dans le cul ! Par contre, j’ai attendu d’en avoir vingt-deux avant de laisser un homme pénétrer ma chatte ! »
Stéphanie commença à s’habituer au gros engin qui la pénétrait et la douleur se transforma en plaisir. Elle qui avait toujours refusé la sodomie commençait vraiment avec un gros calibre ! Pendant que Samuel se déchainait entre ses fesses, Elsa vint installer sa tête entre ses cuisses et commença à lécher son clitoris et ses grandes lèvres. De temps en temps, elle passait un coup de langue sur les testicules de l’ami de son frère qui se régalait. Stéphanie, tout en se faisant lécher et sodomiser, se mit à branler le clitoris de la belle black. Elsa adorait qu’une femme s’occupe de sa chatte et elle l’encouragea.
- « Vas-y, pénètre-moi avec tes doigts ! » lui dit-elle. « Enfonce toute ta main ! »
Stéphanie introduisit ses doigts l’un après l’autre dans le vagin dilaté d’Elsa, puis elle fit pénétrer le pouce et ferma la main. Elle serra le poing et la pilonna en faisant tourner son poignet dans son intimité qui coulait de plus en plus. Elle accéléra le mouvement et Elsa se mit à crier de toutes ses forces. Elle expulsa un véritable torrent d’un liquide transparent. Stéphanie n’avait jamais vu une chose pareille !
Stéphanie jouit peu de temps après Elsa, ne pouvant résister à la succion imprimée à son clitoris par la belle jeune femme noire. Samuel sentir venir à son tour l’orgasme et se retira au dernier moment du cul de Stéphanie pour venir déverser son sperme dans la bouche d’Elsa. Elle faillit s’étrangler, tant la quantité de liquide était importante, mais elle le garda en bouche et se releva pour embrasser Stéphanie. Une quantité de salive se mélangea au foutre de Samuel et fut déversée dans la bouche de Stéphanie qui, à son tour, alla embrasser Samuel et lui mit son sperme sur la langue, mélangé à leurs deux salives. Le grand black recracha tout dans la chatte d’Elsa et Stéphanie vint la lécher à son tour. Elle ne laissa rien de ce mélange de liquides corporels en tous genres…

à suivre...

Après s’être remis de cette véritable folie des sens, Samuel et les deux femmes se mirent à bavarder tranquillement. Elsa demanda à Stéphanie si elle était mariée. Elle répondit que oui et que son mari allait justement rentrer et qu’elle allait devoir retourner chez elle.
- « C’est dommage, on passait un bon moment », dit la jeune africaine. « Tu ne veux pas lui dire de venir ? »
- « Tu sais, ce n’est pas sa petite bite qui nous apporterait grand-chose ! » rétorqua Stéphanie.
Juste à ce moment-là, ils entendirent l’ascenseur qui s’arrêtait à l’étage.
- « Ce doit être lui, j’y vais ! » dit Stéphanie en commençant à rassembler ses vêtements.
- « Tu ne vas pas partir comme ça », intervint Samuel. « Je n’ai même pas baisé ta chatte ! »
- « Va le chercher », proposa Elsa. « On va continuer avec lui… »
Stéphanie hésitait. Depuis un moment, elle en avait assez de venir chez son voisin en cachette et voulait qu’Olivier sache qu’elle était sa maîtresse, mais de là à aller le chercher pour lui dire de venir la regarder en train de baiser avec Samuel et son amie… Le choc risquait d’être rude, même après l’expérience de l’autre soir avec l’internaute !
- « Moi je vais aller le chercher ! » reprit Elsa qui voyait que Stéphanie n’arrivait pas à se décider. « Par contre, je vais quand même m’habiller un peu. Je ne vais pas sortir sur le palier comme ça ! »
La jeune femme alla mettre une robe légère aux couleurs chatoyantes. Elle ne mit rien d’autre et resta pieds nus. Sa vision de la décence était très approximative. Samuel et Stéphanie se rhabillèrent eux-aussi pour ne pas faire un choc trop important au cocu qui allait venir.
Olivier se demanda qui pouvait bien sonner à sa porte. Stéphanie avait toujours ses clés ! Il alla ouvrir et se trouva en face d’Elsa qui l’attendait avec un grand sourire.
- « Bonjour », dit-elle. « Je suis votre nouvelle voisine ! Je vais habiter avec Samuel et nous voudrions que vous veniez boire un verre… »
- « C’est que mon épouse n’est pas là », dit Olivier.
- « Je sais, elle est à la maison… Venez, on fera connaissance ! »
Olivier n’osa pas refuser. La jeune femme était charmante et il n’était jamais entré chez leur voisin avec lequel il n’avait d’autre relations qu’un bonjour poli quand il le croisait dans l’ascenseur. Si en plus Stéphanie était déjà là-bas, il ne pouvait pas refuser…

à suivre...

Quand Elsa revint avec Olivier, Stéphanie et Samuel s’étaient rhabillés et avaient retrouvé une apparence décente. Olivier salua son voisin et le remercia de les avoir invités.
- « Je vais préparer des cocktails », dit Elsa en se dirigeant vers la cuisine.
Pendant que la jeune femme préparait de nouvelles boissons aphrodisiaques, Samuel et Olivier essayèrent de faire un peu mieux connaissance. Pourtant, on sentait qu’ils n’avaient pas grand-chose à se dire. Olivier soupçonnait son voisin de baiser régulièrement sa femme et Samuel ne voulait pas paraître trop familier avec le cocu. Il se sentait en position de force et avait envie de garder sa position dominatrice vis-à-vis de Stéphanie qui, elle, ne savait trop quelle attitude adopter en présence de son mari et de son amant.
Une fois encore, ce fut Elsa et son incroyable ingénuité qui détendit l’atmosphère.
- « Ce soir j’ai envie de faire la fête », dit-elle en ramenant les boissons. « Que diriez-vous d’une partouze ? »
- « Eh bien, vous au moins vous ne cachez pas vos envies ! » s’exclama Olivier.
- « Oui, c’est dans la culture de mon pays », répondit la jeune africaine. « Quand le lion a envie de baiser la lionne, il ne l’invite pas au restaurant ! »
- « Jolie image », commenta Stéphanie. « Et tu prends mon mari pour un lion ? »
- « Quand il aura bu ce breuvage, il pourra satisfaire la lionne », reprit la jeune femme en tendant un verre à Olivier.
Amusé par l’attitude de la jeune femme qu’il trouvait très belle, Olivier goûta le cocktail qui était excellent. Il eut à peine le temps de reposer son verre qu’Elsa venait s’asseoir sur ses genoux.
- « Alors, tu te sens capable de satisfaire la lionne ? » demanda-t-elle en mettant les bras autour de son cou ?
- « C’est un peu gênant », dit Olivier en jetant un regard en direction de Stéphanie puis de Samuel.
- « C’est quoi qui te gêne ? » demanda Elsa en reprenant les images de la brousse. « La présence du mâle dominant ou celle de ta femelle ? »
- « Les deux ! »
- « Je crois que si tu voyais l’autre couple faire l’amour cela irait mieux ! Samuel, emmène Stéphanie dans la chambre ! On vous rejoint tout de suite… »
Désireux de montrer sa force physique, Samuel souleva Stéphanie dans ses bras et la porta sur le lit, dans sa chambre. Elsa resta seule avec Olivier et retira sa robe. Elle était entièrement nue. Elle embrassa Olivier sur les lèvres, puis se leva et le prit par la main.
- « Viens », dit-elle. « Tu vas voir ta femme se faire baiser par une grosse queue noire ! »

à suivre...

Ils rejoignirent le couple dans la chambre. Ils étaient déjà entièrement nus et Stéphanie était allongée sur le lit, cuisses largement écartées. Samuel s’était approché d’elle et se masturbait en regardant Olivier.
- « Tu vas voir comme ta salope aime les grosses bites ! » dit-il. « Je suis sûr que tu l’entends crier depuis chez toi quand je la baise… »
Olivier ne répondit pas. Il vit l’énorme queue du grand black s’enfoncer dans le vagin de son épouse et elle poussa un soupir de plaisir. Elsa le déshabilla et prit son petit sexe dans la main. Il bandait très fort en regardant sa femme assaillie par le voisin.
- « Ce n’est pas avec ta petite queue que tu dois lui procurer les mêmes sensations », dit-elle d’un air moqueur. « Moi qui pensais bien me faire baiser, je vais devoir attendre qu’il ait fini ! »
- « Demande-lui de te lécher en attendant », dit Stéphanie. « C’est encore la seule chose qu’il fasse à peu près correctement ».
Elsa s’installa sur le lit à côté de Stéphanie. Elle prit Olivier par les cheveux et plaqua sa sur son sexe béant. Il lécha avec application cette chatte qu’il ne connaissait pas et qui avait encore le goût du sperme de Samuel. Elsa confirma qu’il léchait très bien et embrassa Stéphanie pendant que les deux hommes s’occupaient de leur intimité, chacun à leur manière…
Samuel fit jouir Stéphanie, puis il se retira. Son sexe était plein de la cyprine de sa voisine et il voulait maintenant prendre sa nouvelle colocataire. Olivier la léchait toujours…
- « Pousse-toi ! » lui dit Samuel « ou c’est toi que j’encule ! »
Il lui laissa la place et l’énorme sexe noir vint s’enfoncer dans la chatte qu’il avait lubrifiée abondamment. Olivier regardait Samuel, fasciné par sa vigueur.
- « Viens me lécher les couilles pendant que je la baise ! » ordonna Samuel à Stéphanie. « J’adore sentir une langue dessus, cela me fait bander encore plus fort ! «
Stéphanie vint placer sa tête entre les cuisses de Samuel et commença à lécher ses testicules. Olivier était très surpris de voir son épouse, si dominatrice avec lui, obéir au doigt et à l’œil à leur voisin.
- « Toi, ne reste pas sans rien faire en nous regardant ! » l’invectiva Samuel. « Viens lui bouffer le cul pendant qu’elle me lèche ! »
Olivier vint lécher l’anus de son épouse pendant qu’elle s’occupait des testicules de Samuel qui baisait Elsa avec toujours autant de vigueur. Elsa connut un nouvel orgasme, aussi violent que le premier et elle expulsa, encore une fois, ce liquide transparent qui inondait le ventre de Samuel et coulait vers la bouche de Stéphanie. La belle africaine eut du mal à contrôler les soubresauts de son corps, mais s’immobilisa tout de même au bout d’un moment. Samuel avait fait jouir ses deux femelles, mais il n’avait toujours pas joui. Il regarda Olivier en train de bouffer le cul de Stéphanie et se mit au-dessus de la belle blonde. Il lui releva les jambes à la verticale et pénétra sa chatte, par le dessus, à quelques centimètres du visage d’Olivier. Excitée par ce sexe hors normes qui lui défonçait à nouveau la chatte et par cette langue qui la fouillait, Stéphanie sentit vite de nouveau monter le plaisir. Elsa vint lui faire lécher sa chatte pendant que les deux hommes s’occupaient d’elle et, quand elle jouit une fois de plus, ces cris furent étouffés par les cuisses de la belle black.

à suivre...

Samuel sentit enfin arriver le plaisir. Il jouit à l’entrée du vagin de Stéphanie et son sperme s’écoula lentement vers l’anus que léchait toujours Olivier.
- « Vas-y ! Bouffe mon sperme dans la chatte de ta femme ! » dit Samuel en le prenant par les cheveux et en le forçant à plaquer sa bouche sur les lèvres gluantes de son foutre.
Olivier ne protesta pas et nettoya le sexe de son épouse sous le regard amusé de Samuel qui lui fit ensuite sucer sa queue de laquelle s’écoulait encore un filet de semence.
- « Désormais, je veux que tu m’amènes toi-même ta femelle pour que je la remplisse tous les soirs ! » dit-il à son voisin cocu. « Si je ne suis pas là, c’est Elsa qui s’occupera d’elle ! »
Oliver termina de nettoyer la grosse queue noire, puis il se rhabilla pendant que Stéphanie échangeait un dernier baiser avec Elsa. Samuel, épuisé par sa prestation, était déjà parti prendre une douche quand ils quittèrent l’appartement.
Olivier et Stéphanie rentrèrent chez eux et ils ne reparlèrent pas de ce qui c’était passé de la soirée. Il avait encaissé une fois de plus le choc de son cocufiage et alla se branler dans les toilettes en repensant aux images de cette orgie pendant que Stéphanie prenait un bain pour se détendre. Si le voisin exigeait de baiser Stéphanie tous les soirs, la vie dans l’immeuble allait devenir infernale !

à suivre...

Visite chez le voisin.



Le soir suivant, quand Olivier rentra du travail, Stéphanie était assise sur le canapé en train de lire un magazine. Il vint l’embrasser furtivement et elle ne détourna même pas les yeux de sa lecture.
- « Je suis crevé », dit Olivier en retirant sa cravate. « J’ai eu une journée épuisante au boulot. Je crois que je vais aller prendre un bain… »
- « N’oublie pas que tu dois m’emmener chez Samuel », dit son épouse.
- « Enfin, tu ne parles pas sérieusement ? » répondit Olivier. « Il a dit cela dans le feu de l’action hier soir, mais il n’en est pas question ! »
- « Oh si ! » s’exclama Stéphanie. « Il me l’a rappelé quand je suis passée devant sa porte et de toute façon, j’en ai envie ! »
- « Ecoute, on ne va pas se livrer à ce jeu tous les soirs… »
- « Pourquoi pas ? Au moins tant qu’Elsa est là… J’adore cette fille! »
- « C’est vrai qu’elle est assez exceptionnelle », admit Olivier. Elle a un culot et un aplomb monstres ! Quand je pense qu’elle est venue me chercher ici alors que je ne l’avais jamais vue ! »
- « Et moi alors ? La première chose qu’elle a faite, alors que je n’étais pas encore entrée depuis cinq minutes a été de me lécher le cul ! Tu te rends compte ?
- « Oui, cette fille est une obsédée ! »
- « Et quels orgasmes ! Je n’avais jamais rien vu de pareil… Bon, on y va ? »
Olivier soupira et reboutonna sa chemise. Ils sortirent tous les deux et allèrent sonner chez leur voisin. Ce fut Elsa qui vint ouvrir. Comme la veille, elle était entièrement nue… Elle les fit entrer et alla voir Samuel qui était dans la cuisine.
- « C’est le voisin », dit-elle. « Il a apporté sa femelle… »
- « Dis-lui d’aller la préparer dans mon lit », répondit-il en continuant ce qu’il était en train de faire.
Elsa revint vers Stéphanie et Olivier et s’adressa à l’homme.
- « Va dans la chambre et prépare-la pour qu’il la baise ! » lui dit-elle. « Tu la mets à poil et tu commences à la lubrifier. Ce soir, il va l’enculer ! »
Olivier joua parfaitement le jeu. Il alla dans la chambre avec son épouse et la déshabilla avec précaution. Il incarnait maintenant parfaitement le mari cocu. Non seulement son épouse avait une liaison régulière avec son voisin, mais maintenant, il assistait à ces ébats et devait la conduire lui-même chez son amant et la préparer pour qu’il la baise ! C’était l’humiliation totale, mais il aimait cela. Il appréciait également de voir l’emprise que prenait Samuel jour après jour sur Stéphanie. Elle était en train de devenir son objet sexuel et il la prenait comme il en avait envie. Ce soir, il avait décidé de l’enculer et elle n’avait pas protesté. Olivier se demanda comment la grosse queue noire allait bien pouvoir pénétrer dans le petit cul de sa femme. Même lui, avec sa petite bite, n’avait jamais réussi à la sodomiser…

à suivre...

Il la fit installer sur le lit et la lécha un moment avant de prendre le gel qui se trouvait sur la table de nuit et d’en badigeonner le cul de Stéphanie. Elsa arriva dans la chambre et le regarda en train de lubrifier son épouse.
- « Quand tu auras terminé, tu te foutras à poil toi aussi ! » lui dit-elle. « Samuel veut que je te domine pendant qu’il s’occupe de ta femme ! »
Olivier acquiesça. L’idée d’être soumis à cette beauté noire un peu perverse ne lui déplaisait pas du tout. Depuis longtemps, il avait pris l’habitude d’être dominé et humilié par Stéphanie, mais ce serait la première fois qu’il serait entre les mains d’une autre femme. Il se dévêtit à son tour et Elsa remarqua qu’il bandait.
- « Cela t’excite, hein, de voir ta femme entre les mains d’un grand black ? Tu vas voir comme il va bien lui remplir le cul avec sa grosse bite ! »
Samuel arriva justement. Il était nu lui aussi et regarda la croupe de Stéphanie. Il la flatta de la main, puis lui donna une petite claque pour qu’elle se mette dans la position qu’il préférait : la tête sur l’oreiller et les fesses bien relevées. Il s’adressa alors à Olivier.
« Ta femme a un beau cul pour une blanche ! Dommage que ce soit un mec comme toi avec une si petite bite qui en profite… Plutôt que de me salir les doigts à lui écarter le cul, c’est toi qui va me préparer le chemin… Encule-la ! »
Olivier se mit en position derrière Stéphanie. Elsa prit du gel et en mit sur le petit sexe raide. Il posa son gland sur la rondelle élastique et poussa légèrement. C’était la première fois qu’il allait pouvoir sodomiser Stéphanie qui lui avait toujours refusé ce plaisir. Sa queue pénétra facilement en elle et il se mit à faire des allers retours entre ses fesses. Pendant ce temps, Elsa avait commencé à sucer le membre de Samuel pour qu’il devienne bien dur.
Pour la première fois en dix ans de mariage, Olivier était en train de prendre le cul de son épouse. Il avait envie de jouir en elle, mais il demanda l’autorisation de le faire.
- « Ça ne va pas ! » s’exclama Samuel. « Je n’ai pas envie de me salir la queue avec ton sperme ! Retire-toi tout de suite ! »
Il obéit à son voisin dont l’autorité le surprenait. Samuel le poussa du lit et prit sa place. Elsa remit encore du gel et il s’enfonça tout doucement dans le cul de Stéphanie, comme la fois précédente. Cette fois, elle n’eut même pas mal et poussa tout de suite des gémissements de plaisir. Cette grosse queue qui la remplissait lui faisait autrement plus d’effet que la petite bite de son mari… Olivier vit le sexe immense de Samuel s’enfoncer profondément dans l’anus de son épouse. Il n’aurait jamais cru qu’elle soit capable d’absorber un tel engin sans hurler de douleur…
Elsa avait envie de s’amuser avec le sexe d’Olivier. Elle alla chercher une boîte mystérieuse et l’ouvrit pendant que Samuel continuait à aller et venir entre les fesses de Stéphanie.
- « Tu vas voir, je vais bien m’occuper de ta petite bite ! » dit Elsa en sortant une cordelette blanche de la boîte. « Approche-toi ! »
Il se mit en face de la jeune femme noire qui fit un nœud avec sa cordelette autour de la hampe de son sexe. Elle serra très fort et il sentit la circulation se couper. Elle prit ensuite la longue cordelette et la fit tourner, en serrant bien, jusqu’à ce que sa queue soit entièrement saucissonnée. Seul le gland, gorgé de sang, dépassait encore.

à suivre...

- « Comme ça, elle est plus dure et plus large », dit Elsa. « Tu vas pouvoir me la mettre dans la chatte ! Mais la corde est rêche, mets un préservatif par-dessus ! »
Il prit la pochette qu’elle lui tendait et l’ouvrit. Il enfila le préservatif sur son gland et le déroula par-dessus la corde.
- « Viens me baiser ! » ordonna Elsa en se mettant sur le lit et en écartant les cuisses.
Olivier regarda cette belle chatte noire dont les grandes lèvres étaient immenses. Elsa les écartait et il pouvait apercevoir l’intérieur de son vagin bien rose. Il la pénétra aussitôt et commença à s’activer en elle. Elle le laissa faire, puis se mit à pincer ses tétons avec force. Olivier avait mal ! Elle lui dit que, même avec la corde autour, sa bite était encore trop petite et qu’elle ne sentait rien. Elle lui ordonna de se retirer et il se mit debout, face à elle. Elle prit une grosse pince et l’accrocha à ses testicules. Elle sortit ensuite un poids de cinq-cents grammes qu’elle accrocha à la pince. Olivier sentit immédiatement le poids tirer sur ses couilles qui lui faisaient mal. Elsa sourit et retira le préservatif qui recouvrait la queue ficelée. Elle donna une grande claque sur la bite prisonnière, puis sortit un autre poids de cinq-cents grammes et l’accrocha au précédent. Olivier crut que ses couilles allaient lâcher…
Pendant ce temps, Samuel s’était retiré du cul de Stéphanie et pénétrait maintenant sa chatte. Olivier l’entendait gémir de plus en plus fort. Il savait qu’elle n’allait pas tarder à jouir…
Elsa enleva enfin les poids qui tiraient sur les testicules d’Olivier, puis elle défit la corde. Le sang se remit à circuler normalement. Elle alla dans la cuisine chercher un grand verre et le montra à Olivier.
- « Je vais préparer un petit cocktail », dit-elle en souriant.
Elle mit le verre entre ses cuisses et commença à uriner dedans. Un jet d’urine claire sortit de son sexe et remplit le verre rapidement. Elle le posa sur la table de nuit et fit approcher Olivier. Sans un mot, elle saisit sa verge et se mit à le branler frénétiquement. Après le traitement qu’avait subi son sexe, il mit un moment avant de bander normalement, mais finalement il y parvint et elle continua à le masturber jusqu’à ce qu’il lui dise enfin qu’il allait jouir. Elle prit alors le verre de pisse et vida sa queue dedans. Le sperme se mélangea à l’urine chaude qui s’orna de volutes blanches. Elle tendit le verre à Olivier et lui ordonna de tout boire. Il le porta à ses lèvres et eut un instant d’appréhension. Il n’avait jamais bu de pisse…
- « Bois ! » ordonna Elsa en lui prenant les testicules et en serrant. « N’en laisse pas une goutte ou je t’écrase les couilles ! »
Il trempa les lèvres dans le liquide chaud et lui trouva un goût amer. Elsa serra ses couilles, un peu plus fort, pour l’inciter à continuer. Il leva le verre et le mélange descendit dans son gosier. La belle black lui tenait toujours les couilles et se remettait à serrer à chaque fois qu’il arrêtait de boire. Il vida entièrement le verre et termina d’avaler la dernière gorgée, juste au moment où Stéphanie laissait exploser son orgasme.

à suivre...

Samuel, lui, n’avait pas joui. Pendant que Stéphanie récupérait, il s’allongea sur le lit et Elsa vint s’empaler sur sa queue. Elle lui faisait face et demanda à Stéphanie d’aller faire lécher sa chatte par Samuel. La jeune femme blonde vint se mettre au-dessus du visage du grand black qui la lécha aussitôt. Tout en continuant à chevaucher la queue de Samuel, Elsa commença à caresser les seins de Stéphanie et à l’embrasser. Olivier vit jouir tour à tour Elsa, puis Stéphanie pour la seconde fois. Samuel, lui, n’avait toujours pas joui. Il avait une résistance exceptionnelle.
Les deux femmes se retirèrent l’une après l’autre et Samuel resta seul sur le lit. Elsa s’approcha d’Olivier et le regarda d’un air moqueur.
- « Tu as vu comment il faut s’y prendre pour faire jouir ta femme ? » lui demanda-t-elle.
- « Ou »i, répondit Olivier complètement soumis.
- « Pour le moment, tu es juste bon à tailler des pipes ! Vas-y, régale-toi avec la grosse queue de Samuel… C’est toi qui va le faire jouir ! »
Elle le prit par les cheveux et le força à engloutir le sexe toujours dressé de son voisin noir. Olivier fit de son mieux pour le sucer. Plus il le ferait jouir vite, plus son humiliation se terminerait tôt. Samuel mit tout de même longtemps à jouir et il se vida dans la bouche d’Olivier pendant que Stéphanie et Elsa avaient entamé un soixante-neuf des plus excitants. Olivier fut forcé d’avaler tout le sperme de son voisin qui se releva après avoir bien joui.
- « Tu es une bonne petite pute ! » dit-il à Olivier en lui tapant sur les fesses. « Tu suces presque aussi bien que ta femme ! La prochaine fois, c’est toi que j’enculerai ! »
Olivier se releva à son tour et se rhabilla, terrorisé à l’idée que l’énorme queue noire puisse le pénétrer. Stéphanie et Elsa jouirent une fois encore en se léchant mutuellement. Elles étaient insatiables !
Le couple rentra chez lui et, cette fois encore, ils ne reparlèrent pas de la soirée. Une fois seuls, ils n’avaient plus grand-chose à se dire, mais à chaque fois qu’un léger désaccord naissait entre eux, Stéphanie agitait désormais la menace suprême.
- « Tais-toi ! » disait-elle. « Sinon je te fais enculer par le voisin ! »

à suivre...

L’absence de Samuel.



Le lendemain soir, Olivier fit exprès de rentrer plus tard que d’habitude. Il avait peur que le voisin mette sa menace à exécution et veuille le sodomiser. Quand il arriva, il trouva Stéphanie à la maison. Peu après son arrivée, on sonna à la porte, c’était Elsa.
- « Ce soir, Samuel n’est pas là », leur dit-elle par la porte entrouverte. « Il a été retenu et m’a demandé de vous prévenir. Il ne rentrera pas avant demain matin. Désolée ma chérie, tu n’auras pas ta dose de grosse queue noire ! » ajouta-t-elle à l’adresse de Stéphanie.
- « Entre un moment, lui répondit la jeune femme blonde. Olivier vient de rentrer… Tu veux diner avec nous ? »
- « Pourquoi pas… Tu sais, moi-aussi cela va me manquer de ne pas me faire baiser par Samuel. »
- « Ce qu’on va faire », dit Stéphanie, « c’est manger rapidement, et après, on se cherchera un mec avec une grosse queue… »
- « Oh oui ! On va choisir un mec toutes les deux ! »
Stéphanie prépara un repas rapide et ils le mangèrent dans la cuisine sans perdre de temps. Stéphanie laissa à Olivier le soin de débarrasser la table et elle alla se connecter sur le web. Elle parcourut plusieurs forums. Le résultat était décevant !
Au bout d’un moment, elle se tourna vers Elsa et fit la moue.
- « Ce soir, il n’y a que des cons ou des petites bites ! » lui dit-elle.
- « Tu crois qu’on va devoir se contenter de la petite bite de ton mari ? » demanda Elsa.
- « Non, attends… Je vais téléphoner à un ami… Il a une belle queue et baise plutôt bien. L’ennui c’est que maintenant il a une copine… »
- « Elle est jalouse ? »
- « Non, elle m’a offerte comme cadeau d’anniversaire à son copain. Mais ils sont peut être sortis… »
- « Appelle-les ! »
Stéphanie prit le téléphone et composa le numéro d’Eric. Ce fut Anita qui répondit.
- « Allo, ma chérie ? C’est Stéphanie… Je vais te paraître directe, mais ce soir j’ai une envie folle de me faire baiser ! J’ai envie de la queue de ton mec ! »
- « Justement, on ne savait pas quoi faire ce soir », répondit Anita nullement choquée. « Tu veux venir à la maison ? »
- « Non, je suis avec une voisine… Pourquoi ne passeriez-vous pas ?
- « D’accord, je dis à Eric de se rhabiller… On arrive dans vingt minutes… »

à suivre...

A peine vingt minutes plus tard, Anita et Eric arrivaient dans l’appartement. Eric alla voir son copain, qui n’était au courant de rien.
- « Alors mon pote, tu ne te sens pas capable d’assurer ? » lui demanda-t-il.
- « De quoi parles-tu ? » s’étonna Olivier.
- « Il ne savait pas que je vous ai appelés », expliqua Stéphanie. « Elsa et moi, on avait envie d’une belle queue, précisa la jeune femme blonde en s’adressant à son mari. »
Elsa s’approcha d’Anita qu’elle ne connaissait pas encore. Elle la prit par l’épaule et la regarda en souriant.
- « Il parait que ton mec a une belle queue et qu’il sait bien s’en servir », commença-t-elle. « C’est gentil de nous le prêter… »
- « Mais j’ai bien l’intention d’en profiter avec vous ! protesta Anita.
- « Et moi, alors ? » s’indigna Olivier. « Personne ne veut s’occuper de ma petite queue ? »
- « On verra », lui dit Elsa d’un air narquois. « Bon, on va dans la chambre s’occuper de cette queue ? »
Les trois femmes entraînèrent Eric dans la chambre et le poussèrent sur le lit après l’avoir déshabillé. Elsa fut la première à s’occuper de son sexe. Elle le prit dans sa bouche et le fit durcir immédiatement. Pendant ce temps, Anita et Stéphanie s’embrassaient et frottaient leurs corps l’un contre l’autre avec une grande sensualité. Olivier les avait suivis et en était réduit à se masturber dans un coin de la pièce, une fois de plus!
Stéphanie vint rejoindre Elsa et sa bouche se mêla à la sienne autour du gland d’Eric. Le jeune homme n’avait rien d’autre à faire que de se laisser faire. Anita vint s’asseoir sur son visage et lui fit lécher sa chatte. Soudain, Stéphanie eut envie de sentir la queue d’Eric en elle. Elle se releva, poussa le visage d’Elsa avec délicatesse et vint s’asseoir sur le sexe dressé du jeune homme. Tout en l’enfonçant bien au fond de son intimité, elle embrassa Anita avec passion. Elles échangèrent leur salive et Elsa se mit à lécher le clitoris de Stéphanie, puis celui d’Anita. Les deux femmes, tout en poursuivant leur baiser, masturbèrent la belle black, se relayant pour exciter son clitoris à toute vitesse. Elles jouirent toutes les trois, presque en même temps. Olivier, dans un coin de la pièce, profitait du spectacle…
Eric les fit ensuite mettre côté à côte et releva bien leur croupe. Il se mit derrière elle et les prit en levrette l’une après l’autre. Il faisait quatre allers retours dans leur chatte et passait à la suivante. Au bout d’un moment il n’en pouvait plus et éjacula dans le sexe d’Anita. Il fallait bien que sa régulière obtienne un privilège !
Elsa allait lécher ce sperme qui dégoulinait du vagin, mais Stéphanie l’arrêta. Elle voulait que ce soit Olivier qui déguste la crème de son copain dans la chatte d’Anita. Elle le lui dit et il ne se fit pas prier. Il n‘aimait toujours pas le goût du sperme, mais il avait tellement envie de goûter la chatte de la belle espagnole, qu’il enfouit sa tête entre ses cuisses. Anita le laissa faire et attendit qu’il la fasse jouir. Elle n’eut pas à attendre longtemps. Olivier s’appliquait, ayant envie de procurer du plaisir à la copine de son pote qu’il appréciait beaucoup.

à suivre...

Après leurs orgasmes, les filles n’étaient pas rassasiées. Elles gouinaient toutes les trois sur le lit, tandis qu’Eric était parti se chercher quelque chose à boire. Curieux de les observer entre elles, Olivier était resté dans la chambre. Elles se caressaient, s’embrassaient, se léchaient… Elles étaient beaucoup plus tendres quand aucun homme ne se mêlait de leurs ébats. Soudain, Elsa s’adressa aux deux autres.
- « Les filles, vous aimez les jeux de pipi ? »
- « Oh oui alors ! » répondit Anita avec enthousiasme.
- « Non, moi cela me dégoûte ! » rétorqua Stéphanie.
- « Tu as déjà essayé ? » questionna Anita.
- « Non, mais je n’en ai pas envie… Hier, quand Elsa a fait boire un verre de son urine à Olivier, j’étais profondément choquée ! »
- « Bon, alors on va aller jouer sans toi dans la baignoire », reprit Elsa. « Tu viens chérie ? »
Anita se leva et suivi la belle black au cul bombé. Elles se mirent dans la baignoire et Elsa prit la direction des opérations. Elle fit mettre Anita à genoux et plaça son sexe au-dessus de sa bouche. L’espagnole l’ouvrit sans hésiter et le liquide chaud coula dans sa gorge. Anita était une buveuse hors pair. Elle ne recrachait pratiquement rien de l’urine d’Elsa et l’avalait au fur et à mesure. L’africaine finit de se soulager, puis elles inversèrent leurs positions. Anita pissa sur les seins de sa partenaire, puis sur ses cheveux avant de diriger le jet dans la bouche de cette dernière qui n’attendait que cela. Elsa, elle-aussi, avala presque tout.
Pendant ce temps, Eric était retourné dans la chambre. Depuis qu’il baisait sa femme et que son copain le savait, leurs rapports avaient beaucoup changé. La pipe que lui avait faite Olivier avait fini d’installer entre eux un rapport de soumission. Il s’approcha d’Olivier qui était resté dans un coin de la pièce car son épouse ne lui avait pas permis de la rejoindre sur le lit.
- « Alors cocu », lui dit-il, « tu n’es même pas capable de baiser ta femme quand tu es seul avec elle ? Viens, je vais te montrer comment on fait ! »
Il s’approcha de Stéphanie et lui écarta les cuisses avec autorité. Il se mit face à elle et la pénétra d’un coup sec. Olivier vit, une fois encore son copain prendre son épouse devant ses yeux. Eric lui demanda de s’approcher pour bien regarder comment il allait jusqu’au fond de son vagin. Il lui mit la tête à quelques centimètres de la chatte de son épouse. Olivier ne résista pas longtemps et se mit à lui lécher le clitoris pendant que la queue de son pote la pistonnait à quelques centimètres de sa bouche. Excité par la situation, Eric jouit avant Stéphanie. Il se retira de son vagin et éjacula sur le clitoris que léchait Olivier. Le mari fut obligé d’étaler le sperme de l’amant avec la langue, ce qui procura rapidement un orgasme à la jeune femme comblée. Quand ils eurent récupéré Eric fit un grand sourire à son copain.

à suivre...

- « Mon vieux, nous avons tous les deux dégoté de belles salopes ! » lui dit-il. « Dommage que tu ne sois pas capable de t’occuper de la tienne… Mais tu peux m’appeler quand tu veux ! »
- « Je n’y manquerai pas », répondit machinalement Olivier.
- « Tu devrais quand même lui vider la queue avant qu’on parte, reprit Eric en s’adressant à Stéphanie. Finalement c’est un bon gars… »
- « Ce soir, j’ai décidé de lui faire plaisir, répondit Stéphanie. Je vois qu’il adore ta copine… C’est elle qui va le branler ! »
- « D’accord, je vais la chercher. »
Eric alla dans la salle de bains et trouva Elsa et Anita encore maculées de pisse en train de s’embrasser. Il demanda à sa copine si elle voulait bien venir vider la queue d’Olivier. Elle lui répondit par l’affirmative.
Elles prirent une douche rapide et se dirigèrent dans le salon. Anita appela Oliver.
- « Viens ici », lui cria-t-elle d’un ton autoritaire qu’Eric ne lui connaissait pas. « Je vais te vider la queue. «
Oliver arriva, accompagné de Stéphanie.
- « Allonge-toi devant le canapé ! » lui ordonna-t-elle. « Je vais te branler pendant que tu lèches les pieds d’Elsa et de Stéphanie ! »
Il se mit dans la position qu’elle exigeait et les deux autres femmes vinrent s’asseoir sur le canapé et lui firent lécher leurs pieds. Anita donna quelques claques sur la petite queue de l’ami de son mari, puis le branla avec vigueur. Au moment où elle sentir qu’il allait jouir, elle demanda aux autres filles d’approcher leurs pieds de son sexe. Elle le fit éjaculer dessus, et il dut les lécher à nouveau.
Pendant ce temps, Eric c’était déjà rhabillé. Il travaillait tôt le lendemain et ils prirent congés de Stéphanie et d’Olivier dès qu’Anita fut habillée elle-aussi.
Elsa, elle, n’avait pas envie de partir. Elle demanda à Stéphanie si elle pouvait dormir avec elle et donna les clés de l’appartement de Samuel à Olivier. Il les prit et partit passer la nuit chez son voisin pendant que sa femme couchait avec une belle black. Non seulement il était cocu, mais sa présence n’était même pas tolérée ! Il pensait avoir atteint le comble de l’humiliation…

à suivre...

Week-end en Méditerranée.



Le week-end que son patron devait passer sur le yacht du directeur des laboratoires pharmaceutiques suisses fut avancé. En catastrophe, le patron lui avait téléphoné en lui demandant de le rejoindre à l’aéroport dans moins de deux heures ! Stéphanie n’en avait même pas parlé à son mari et, quand il la vit en train de préparer sa valise, il ne comprit pas ce qui se passait. Elle l’informa qu’elle partait quelques jours avec son patron. En voyant les maillots de bains et la crème solaire que Stéphanie avait préparés, il se posa des questions.
- « Tu es sûre que c’est un voyage professionnel ? » demanda-t-il.
- « Oui, on doit aller voir le directeur d’un laboratoire pharmaceutique, mais la rencontre se passe sur son yacht… Autant joindre l’utile à l’agréable ! »
- « Et tu pars seule avec le patron ? »
- « Pourquoi ? Tu es jaloux ? »
- « Oui », répondit Olivier.
Stéphanie éclata de rire. Après tout ce que son mari lui avait vu faire avec un inconnu du web, avec Samuel, puis avec Eric, il était encore jaloux ! Il lui prit soudain l’envie d’exciter encore davantage cette jalousie.
- « Va me chercher l’appareil photo ! » dit-elle. « Je te ramènerai quelques photos de mon séjour. Comme ça tu pourras en profiter un peu… »
Olivier s’exécuta en grommelant. Moins d’une demi-heure plus tard, Stéphanie partait pour l’aéroport où elle devait rejoindre son patron. Elle chargea Olivier de prévenir Samuel qu’elle ne serait pas là pendant quelques jours.
Arrivée à Orly-ouest, elle retrouva le patron qu’elle n’avait jamais vu dans une tenue aussi décontractée. Il portait un jean et des baskets. Cela le faisait paraître beaucoup plus jeune.
- « Bonjour Stéphanie », lui dit-il en la voyant arriver. « C’est gentil d’avoir pu vous libérer… Je ne sais pas ce qu’il a pris à ce suisse de bouleverser le planning à la dernière minute… »
- « Vous ne croyez pas qu’on devrait se tutoyer si nous sommes censés être mariés ? » fit remarquer la jeune femme.
- « Oui tu as raison… Tu peux m’appeler Philippe ! »
- « D’accord mon chéri ! » répondit-elle en l’embrassant sur la joue.
- « Je vois que tu es décidée à jouer le jeu », répondit-il en lui prenant la main.
Ils firent enregistrer leurs bagages et se dirigèrent vers l’embarquement. Le vol pour Nice durait à peine plus d’une heure et il faisait un soleil radieux quand ils arrivèrent. Le directeur des laboratoires les attendait avec son épouse. C’était un homme d’une cinquantaine d’années avec des cheveux gris très courts. Il était plutôt bien conservé et on voyait qu’il prenait soin de son corps. Sa femme était beaucoup plus jeune que lui. Elle devait avoir environ trente-cinq ans et était très belle. Elle était brune, avec de longs cheveux soyeux et avait un regard envoutant. Le directeur du laboratoire fit les présentations. Son épouse se prénommait Hélène et lui s’appelait Victor. Stéphanie les trouva plutôt sympathiques.

à suivre...

- « Je suis désolé d’avoir du avancer cette rencontre », expliqua Victor, « mais j’ai appris que les recherches d’un laboratoire américain avançaient à grands pas. Si nous ne précipitons pas les choses, ils vont nous rattraper… »
- « Vous avez bien fait », répondit le patron de Stéphanie.
Tout en bavardant, ils avaient rejoint le véhicule du patron de laboratoire. C’était un gros 4x4, un Porsche Cayenne... Tous montèrent à l’intérieur après avoir chargé les bagages et ils se dirigèrent vers le port où le yacht sous pavillon monégasque les attendait.
C’était un bateau à moteur d’au moins vingt mètres de long, un des plus gros du port. Victor les fit monter à bord et leur fit visiter son palace flottant. A bord, il y avait une cuisine magnifiquement équipée, une salle à manger au luxe raffiné, un espace détente avec une salle de cinéma, une bibliothèque, une piscine, des jacuzzis, un sauna… Stéphanie n’avait jamais rien vu d’aussi luxueux. Le propriétaire du navire leur présenta les membres d’équipage. Gianni, un italien était le capitaine chargé de les conduire. Steve, son second, était anglais. Il y avait également un cuisinier français, Bertrand, et deux jeunes femmes, Steffi et Ingrid, toutes deux de nationalité suisse qui étaient chargées d’assurer le service et l’entretien du navire.
Philippe et Stéphanie visitèrent leur cabine. Elle était dotée d’une salle de bains et les hublots donnaient sur la mer. Il y avait un grand lit, mais un seul. Ils allaient devoir le partager.
Victor expliqua que, dès qu’ils auraient signé les contrats, ils iraient les déposer chez un huissier à Monaco. Cela permettrait d’éviter pas mal de tracas fiscaux… Mais avant cela, ils devaient se mettre d’accord sur les conditions et les discussions promettaient d’être âpres ! Il était déjà 17 heures. Il était un peu tard pour rejoindre une destination lointaine et Victor proposa de passer la nuit dans le port de Nice. Son épouse n’était pas d’accord et lui demanda s’ils n’avaient pas le temps de rejoindre une des îles au large de la presqu’ile de Giens. Ce fut Gianni, le commandant qui répondit.
- « Madame nous pouvons y être dans un peu plus d’une heure si nous partons tout de suite », expliqua-t-il.
- « Eh bien allons jusqu’à l’ile du Levant », dit Victor.
Le gros bateau quitta le port et prit rapidement de la vitesse. A peine une heure plus tard, ils arrivaient au large de l’île.
- « Nous y sommes », annonça Victor.
- « Ici, c’est une zone naturiste », fit remarquer son épouse en retirant son maillot de bain sans aucune gêne.
La perfection de son bronzage indiquait qu’elle était une habituée de l’exposition intégrale. Victor l’imita et se mit nu lui aussi. Philippe et Stéphanie étaient beaucoup plus gênés. Ils n’étaient pas le couple qu’ils prétendaient être, mais Stéphanie se décida tout de même à retirer son bikini, elle-aussi. Philippe en fit autant.…

à suivre...

Le bateau mouilla dans une crique, au large de l’île et ils allèrent se baigner dans la Méditerranée, beaucoup plus claire et moins polluée que le long du littoral. Ils nagèrent un moment, puis remontèrent sur le pont et se mirent sur des chaises longes. Il leur restait quelques heures de soleil pour bronzer.
Au bout d’un moment, Hélène se leva et vint mettre de la crème solaire sur les épaules de Stéphanie. Elle lui proposa de laisser les hommes parler de leurs affaires et d’aller se détendre un moment au sauna. Stéphanie accepta sa proposition.
Le sauna était surchauffé et Stéphanie se mit à transpirer presque tout de suite. Hélène la regarda en souriant.
- « On dirait que tu n’es pas habituée à autant de chaleur », dit-elle. « Tu veux qu’on sorte ? »
- « Non, je vais essayer de supporter encore un moment », répondit Stéphanie.
Hélène s’approcha d’elle et lui caressa le dos.
- « Laisse-moi te masser pour de détendre », lui dit-elle.
Ses mains parcoururent la région lombaire du dos de Stéphanie, puis remontèrent vers ses épaules. Ses caresses étaient douces et elle caressa ses seins. Elle la fit ensuite allonger sur le ventre et commença à lui masser les fesses. Stéphanie avait de plus en plus chaud. Hélène lui proposa d’aller prendre une douche et de poursuivre dans sa cabine.
- « Nos hommes ne vont pas s’inquiéter de ne pas nous voir revenir? » demanda Stéphanie après s’être rafraîchie.
- « Laisse-les parler affaires ! Nous avons mieux à faire… »
- « Je te suis », répondit Stéphanie en souriant.
Elles rejoignirent la cabine du directeur et de son épouse qui était aménagée à peu près comme celle que Stéphanie et Philippe partageaient.
La belle brune la prit dans ses bras et se serra contre elle. Ses seins lourds s’écrasèrent contre ceux de Stéphanie. Le bassin d’Hélène s’avança et son pubis, orné d’une toison brune, un peu comme celle d’Anita, vint se mélanger à celle de son invitée. Elle l’embrassa tendrement.
- « Reprenons où nous en étions », lui dit-elle en la faisant allonger sur le lit. « Je m’occupais de tes fesses. »
- « Ton mari ne va pas être jaloux ? » s’inquiéta Stéphanie.
- « Non, il va juste me reprocher de ne pas être venue le chercher… Il est très voyeur ! Et toi, Philippe ne t’en voudra pas ? »
- « Oh, nous sommes un couple très libre », improvisa Stéphanie.
- « Il te baise bien ? »
- « Ça va », fit Stéphanie embarrassée car elle n’avait aucune idée sur la question.
- « Moi, Victor ne me baise plus depuis longtemps. Il me fait baiser par d’autres et prend son pied en regardant… »
- « Je vois…»
Tout en parlant, Hélène avait repris le massage et pétrissait les fesses de Stéphanie. Elle lui demanda de se retourner et caressa sa fine toison blonde. Ses doigts peignèrent les poils, puis elle lui demanda si elle n’avait jamais songé à s’épiler intégralement. Stéphanie répondit qu’elle le faisait parfois. Hélène dont les poils pubiens étaient noirs lui dit qu’elle en avait envie depuis longtemps, mais que Victor avait toujours refusé. Il aimait voir le sperme s’écouler dans sa toison…

à suivre...

Hélène plongea brusquement la tête entre les cuisses de Stéphanie et aspira ses petites lèvres. Elle la lécha longuement, puis présenta à son tour sa chatte devant le visage de la belle blonde. C’était impressionnant comme les femmes devenaient entreprenantes avec Stéphanie, depuis quelques temps ! Elle goûta le sexe de la belle femme et lui trouva un goût totalement différent de celui d’Anita ou d’Elsa. Leur soixante-neuf dura une dizaine de minutes, puis Hélène se releva.
- « J’ai envie d’une queue ! » dit-elle sans détour. « Pas toi ? »
- « Si », répondit Stéphanie. « Mais nous n’allons quand même pas appeler nos maris… »
- « Non, Gianni et Steve sont très mignons. Je vais les appeler… »
Stéphanie vit Hélène prendre son portable et appeler le commandant et son second. Elle leur demanda de la rejoindre dans sa cabine et, moins de trois minutes plus tard, ils étaient là.
Un peu pudique, Stéphanie s’était glissée sous les couvertures, mais Hélène alla leur ouvrir sans dissimuler le moins du monde sa nudité totale. On voyait qu’elle était très intime avec les deux hommes.
- « Ma copine et moi, on a envie de baiser ! » leur dit-elle à peine après qu’ils aient franchi la porte. « Foutez-vous à poil ! »
Les deux hommes ne parurent pas surpris. Ils avaient l’habitude des exigences sexuelles de la femme du patron et se déshabillèrent rapidement. Gianni était un grand brun musclé avec des fesses splendides. Steve était plus petit que lui, il était blond avec de beaux yeux verts et son sourire était envoutant.
- « Occupez-vous un peu de Stéphanie « ! dit Hélène en retirant la couette qui dissimulait le corps de la jeune femme blonde. « Elle a envie d’une queue ! »
Ils s’avancèrent vers elle, mais elle les arrêta.
- « Elle a envie d’une queue, mais raide ! » protesta Hélène. « Vous avez vu vos sexes ramollis ? Redressez-moi tout cela d’abord ! »
A la grande surprise de Stéphanie, Steve s’agenouilla devant Gianni et prit son sexe dans sa bouche. Il le pompa quelques minutes et le membre de l’italien devint dur. Gianni en fit autant avec son second, puis ils s’avancèrent vers Stéphanie. Au passage, Hélène vérifia la dureté de leurs bites en les serrant chacune dans une de ses mains.
- « C’est bon, vous pouvez la baiser ! » leur dit-elle.
Gianni se mit entre les cuisses de Stéphanie et la pénétra d’un seul coup. Pendant ce temps, Steve vint lui faire sucer sa queue. Les deux hommes, qui étaient parfaitement bisexuels, s’occupèrent de la jeune femme avec ardeur. De temps en temps, ils inversaient leurs positions et Stéphanie put apprécier tout leur savoir-faire. Pendant ce temps, Hélène se masturbait en regardant la scène. Elle était presque aussi voyeuse que son mari.
- « Faites-lui une double ! » ordonna-t-elle au bout d’un moment.
Gianni s’allongea sur le dos et demanda à Stéphanie de venir s’empaler sur lui. Sans cesser de la pénétrer, il lui fit relever les fesses et les écarta. Steve, qui avait pris place derrière la jeune femme, mit son sexe à l’entrée de son anus et le pénétra en douceur. Stéphanie sentit les deux queues en elle, c’était délicieux ! Ils s’activèrent et lui procurèrent rapidement un orgasme, puis Hélène les rejoignit. Elle-aussi avait besoin d’une queue !

à suivre...

Elle fit mettre Stéphanie à quatre pattes et se mit à côté d’elle dans la même position. Elles relevèrent leurs croupes et les deux hommes vinrent les prendre en levrette. Gianni s’enfonça dans l’intimité d’Hélène pendant que Steve pénétrait Stéphanie, puis ils changèrent de partenaires. Avec une synchronisation parfaite, ils firent jouir les deux femmes en même temps. Hélène embrassa Stéphanie au moment de l’orgasme et leurs salives se mélangèrent. Gianni et Steve, qui jouirent peu après dans leurs chattes en firent autant et échangèrent un baiser passionné au moment de leur éjaculation. Hélène demanda à Stéphanie de garder sa position. Elle savait ce qui allait se passer. Chacun des deux hommes vint lécher la chatte de celle dans laquelle avait joui son partenaire. C’était comme un rituel entre eux. A chaque fois que l’un éjaculait dans le sexe d’une femme, l’autre venait déguster sa semence.
Après cette séance torride, ils se rhabillèrent et quittèrent la cabine. Hélène embrassa une fois encore Stéphanie et lui demanda si c’était la première fois qu’elle faisait l’amour avec deux hommes qui vivent en couple. Elle répondit évidemment que oui.
Victor et Philippe avaient une discussion tellement acharnée, qu’ils ne s’étaient même pas rendu compte de la longueur de leur absence. Ils étaient à peu près d’accord sauf sur un point : le taux de commission versé à l’entreprise de Philippe.
Après une soirée assez calme, vint l’heure d’aller au lit. Stéphanie se retrouva seule avec son patron dans la cabine.
- « De quel côté dors tu ? » lui demanda-t-il.
- « D’habitude, je dors au milieu du lit et mon mari se débrouille pour trouver de la place », répondit-elle. « S’il n’en a pas assez, il va sur le canapé. »
- « Malheureusement, il n’y a pas de canapé », fit remarquer Philippe.
- « Je plaisantais ! Choisis ton côté, l’autre m’ira très bien… »
Philippe sourit et se déshabilla. Après leur séance de bronzage intégral, il aurait ridicule de se cacher. De toute façon, l’un comme l’autre, ils avaient l’habitude de dormir nus. Une fois la lumière éteinte, Stéphanie se rapprocha de Philippe.
- « Alors mon chéri », lui dit-elle. « Tu n’as pas l’intention de faire ton devoir conjugal ? »
- « Ne me tente pas trop Stéphanie », dit Philippe qui avait envie d’elle.
- « Pourquoi ? Je te fais de l’effet ? » demanda-t-elle en glissant sa main entre les jambes de son patron et en effleurant son sexe bien dur.
- « Oui ! » avoua Philippe. Et pas seulement ce soir…
- « Alors détends-toi ! » lui dit Stéphanie. « Ta femme n’est pas là, mon mari non plus… Fais-moi l’amour ! »
- « C’est que j’ai peur de ne plus pouvoir m’en passer après », lui confia-t-il.
- « Ne t’inquiète pas ! Je saurai te désintoxiquer le moment venu… »
Elle l’embrassa sur les lèvres et il ne put résister à son baiser auquel il répondit volontiers. Elle se glissa sous la couette et lui fit une pipe magistrale. Son sexe devint encore plus dur. Il avait des proportions moyennes. Il n’était pas aussi gros que celui de Samuel, ni même d’Eric, mais sa taille était nettement supérieure à celle de la petite bite d’Olivier.

à suivre...

Elle arrêta de le sucer et vint se mettre sur lui. Elle glissa elle-même le sexe dressé dans son intimité et il se mit à caresser ses seins. Il en avait envie depuis tellement longtemps ! Philippe se révéla être un amant acceptable et Stéphanie n’eut pas besoin de simuler un orgasme. Elle s’endormit avec le sourire aux lèvres, la tête posée sur le bras de son mari fictif.
Le lendemain matin, ils retrouvèrent le couple suisse au petit déjeuner. Hélène leur révéla qu’elle avait très bien dormi et qu’elle se sentait en pleine forme. Victor leur annonça le programme de la journée. Ils allaient prendre le large et seraient avant la fin de la journée en Tunisie. Là où était fabriqué le nouveau médicament révolutionnaire, juste une question de coût de la main d’œuvre…
Après le petit déjeuner, Victor prit Stéphanie à part.
- « Mon épouse m’a dit que vous avez fait l’amour », lui souffla-t-il. « Arrangez-vous pour que je sois présent la prochaine fois… Le pourcentage de commission de votre mari en dépend peut-être… »
- « Je n’y manquerais pas, répondit Stéphanie qui s’attendait à ce genre de demande. Vous voulez que cela se passe avec ou sans mon mari ? »
- « Sans, bien sûr ! » répondit le directeur du laboratoire en baissant la voix car Philippe arrivait.
Moins de deux heures plus tard, ils voguaient en pleine mer et la houle secouait le bateau. Stéphanie avait un peu le mal de mer.
- « Rien de tel que de faire l’amour », lui dit Hélène en voyant son état. « Tu me rejoins dans ma cabine ? »
Stéphanie retrouva Hélène une dizaine de minutes plus tard. Elle l’attendait, nue sur le lit. Elle lui fit signe d’approcher et lui désigna sa chatte déjà humide.
- « Viens me la lécher ! » lui dit-elle. « Ton mal de mer va passer… »
Stéphanie n’y croyait pas trop, mais elle s’exécuta. A peine eut elle commencé à lécher le sexe de la belle femme brune que la porte de la cabine s’ouvrit.
- « J’ai mis un peu de temps à vous rejoindre », dit-il, « mais Philippe voulait me suivre. J’ai dû céder un pour cent sur les bénéfices pour qu’il consente à me lâcher ! Il est en train de relire la nouvelle version du contrat que je lui ai imprimée pour voir si mon accès de générosité ne cache pas une autre clause… »
- « A combien en es-tu demanda Hélène qui ne semblait pas s’intéresser à ses affaires mais qui les suivait pourtant de très près. »
- « A sept pour cent ! Il en veut douze, mais de toute façon, je n’irai pas au-delà de neuf !
- « Même si je suis très gentille ? » demanda Stéphanie en se relevant et en venant se coller contre lui.
- « Même si tu es très gentille ! » répondit-il d’un ton ferme. « Reprends ce que tu étais en train de faire ! J’adore qu’on donne du plaisir à ma petite femme chérie… »
Stéphanie se remit à lécher le sexe béant et Victor vint se mettre derrière elle. Il commença à se masturber, puis, au moment où Hélène allait jouir, il écarta le string du bikini de la jeune femme et jouit à l’intérieur. Il le remit en place, étalant bien son sperme sur la chatte et les fesses de celle qu’il prenait pour l’épouse de son futur associé. Ce sperme, qu’Olivier trouverait à son retour dans le bikini de son épouse, n’était pas celui de son patron, mais de son nouvel associé.
Hélène voulut lui rendre la pareille et la lécher à son tour, mais Stéphanie sentait le mal de mer revenir et déclina son offre. Elle n’avait qu’une envie : aller prendre une douche pour se débarrasser de ce sperme qui collait son maillot à ses fesses et aller se coucher !
Elle retourna dans sa cabine et prit une douche tiède. Secouée par la houle, elle vomit dans le lavabo, puis alla se mettre sous la couette, laissant son bikini maculé de sperme traîner au milieu de la salle de bains. Philippe la vit grelotter et comprit qu’elle n’était pas bien. Il rangea le contrat qu’il avait terminé de lire et lui caressa le front avant de la laisser dormir. La traversée n’était pas encore terminée et sa secrétaire ne semblait pas faite pour la haute mer !

à suivre...

Un contrat bien mérité.



Le lendemain, la mer s’était calmée et le bateau était arrivé à destination. Quand Stéphanie se leva, Philippe n’était plus là. Elle n’était plus malade. Elle retrouva Hélène sur le pont, en train de bronzer. Elle ne portait qu’un minuscule string. Steffi et Ingrid, les deux jeunes femmes à son service, étaient en train de lui mettre de la crème solaire. Elles s’arrêtèrent en voyant arriver Stéphanie, mais Hélène les encouragea à poursuivre.
- « Continuez ! » leur dit-elle. « Vous en mettrez également à notre invitée… Ici le soleil tape fort ! »
- « Nos hommes ne sont pas là ? » demanda Stéphanie en s’allongeant.
- « Non, ils sont partis visiter l’usine. Victor voulait te réveiller, mais je lui ai dit que ce n’était pas vraiment intéressant pour toi de voir une chaîne produisant des médicaments et ils sont partis tous les deux. Gianni et Steve les ont accompagnés. Nous sommes entre femmes… Il ne reste que Bertrand, mais il ne sort pratiquement pas de sa cuisine. »
Steffi continua à masser le corps d’Hélène qui n’avait pourtant plus besoin de crème solaire. Ingrid commença à en enduire le corps de Stéphanie. Ses mains étaient douces et les caresses de la jeune femme blonde éveillèrent rapidement les sens de Stéphanie. Les deux jeunes suissesses n’avaient pas quarante ans à elles deux. Ingrid venait juste d’avoir dix-neuf ans et Steffi n’en avait pas encore vingt. Elles étaient aussi blondes l’une que l’autre et très mignonnes. Victor et Hélène remplaçaient régulièrement leurs domestiques. Ils ne voulaient que des jeunes femmes parfaitement disponibles ! Elles étaient bien payées, et même très bien payées, mais en échange, elles s’engageaient à être totalement au service du couple. Pas question pour elles de fréquenter un garçon, même leur sexualité devait être au service de leurs patrons.
En général, elles ne tenaient pas longtemps. Dès qu’elles avaient amassé suffisamment d’argent, elles donnaient leur démission. Il fallait dire qu’Hélène se montrait assez tyrannique avec ces jeunes femmes !
Elles restèrent un long moment à bavarder sur le pont, se faisant masser par les deux domestiques qui les détendaient du mieux qu’elles pouvaient. Hélène se leva tout de même au bout d’un moment et se rapprocha de Stéphanie.
- « Tu as aimé le moment que nous avons passé hier dans la cabine? » lui demanda-t-elle.
- « Oui, beaucoup ! »
- « Aujourd’hui, je vais te faire découvrir autre chose. Ingrid et Steffi vont nous offrir un repas de gouines ! »
- « Et cela consiste en quoi ? » s’étonna Stéphanie.
- « Tu verras ! Vous deux, allez prévenir Bertrand ! » ordonna-t-elle.
Les deux jeunes femmes se dirigèrent vers la cuisine aussitôt. Elles avaient l’habitude de ce genre de lubie de leur patronne et savaient ce qui les attendait. Bertrand, lui-aussi, savait ce qu’il avait à faire quand Hélène réclamait un menu de gouines. Il se mit tout de suite au travail.

à suivre...

Hélène et Stéphanie s’habillèrent et allèrent faire un tour sur le port. Elles achetèrent quelques souvenirs, puis revinrent sur le yacht. Il était un peu plus de midi. Bertrand, qui était enfin sorti de sa cuisine, les attendait.
- « L’entrée est servie, madame ! » dit-il avec un large sourire.
- « Merci Bertrand », répondit Hélène. « Nous arrivons. »
Elle prit Stéphanie par la main et la conduisit dans la salle à manger. Son invitée vit en quoi consistait l’entrée. Ingrid était entièrement nue et allongée sur la table. Elle avait les jambes relevées et se tenait appuyée sur les coudes dans une position inconfortable.
- « On va commencer par des asperges », dit Hélène en faisant asseoir Stéphanie.
Une assiette contenant de très grosses asperges était posée entre les cuisses d’Ingrid. Hélène en prit une et l’enfonça dans le vagin de la jeune femme. Elle la fit aller et venir pour bien l’imprégner de la sauce onctueuse dont le cuisinier avait garni l’intimité de la jeune suissesse. Quand elle retira l’asperge, elle dégoulinait de sauce. Elle la fit croquer à Stéphanie.
- « A toi, maintenant », lui dit-elle.
Stéphanie en prit une à son tour et l’approcha du sexe parfaitement épilé de la jeune femme. Elle l’introduisit, comme elle l’avait vu faire à Hélène, et la ressortit pleine de sauce. Elle la fit manger à la maîtresse de maison. Elles en dégustèrent une dizaine ainsi, se régalant car la sauce préparée par Bertrand était succulente et le petit parfum de chatte qui venait s’ajouter à cette entrée ne gâtait rien.
- « Apporte-nous la suite ! » dit Hélène à Bertrand qui attendait qu’elles aient terminé en se délectant du spectacle.
- « Bien madame », répondit le cuisinier.
Ingrid se releva et s’éloigna sans rien dire. De la vinaigrette dégoulinait le long de ses cuisses et elle savait qu’elle devait aller prendre une douche. Steffi vint prendre sa place sur la table et se mit à peu près dans la même position. Bertrand revint avec un plat sur lequel se trouvaient deux énormes saucisses. Dans l’autre main, il tenait un saladier rempli de purée. Il posa le tout sur la table, à côté de Steffi et alla chercher un appareil à raclette et une assiette de fromage coupé en lamelles. Hélène prit deux lamelles de fromage et les disposa dans des coupelles qu’elle mit à chauffer. Bertrand prit une louche de purée et la versa sur le ventre de Steffi qui ne put retenir un petit cri : c’était chaud!
Hélène prit une des saucisses et l’enfonça lentement dans le vagin de la jeune femme, aussi parfaitement épilé que celui d’Ingrid. Seul un petit morceau de la saucisse dépassait encore de son sexe. Elle prit ensuite une des coupelles de fromage et la versa sur le morceau de saucisse qui dépassait. Steffi cria une fois encore car le fromage fondu lui brûlait la vulve.
- « Il faut attendre un peu que le fromage durcisse en refroidissant », dit Hélène à Stéphanie, « puis tu retireras la saucisse et tu la tremperas dans la purée. Tu vas voir, c’est délicieux ! »
Stéphanie attendit que le fromage soit bien croustillant, puis elle retira la saucisse, peine de la cyprine de la jeune femme et la trempa dans la purée avant de la croquer. C’était effectivement succulent et surtout très excitant de manger sur ce corps féminin. Après avoir croqué, elle remit la saucisse et Hélène recommença l’opération. Les deux femmes se régalaient.
Lorsqu’elles furent rassasiées, Steffi partit à son tour prendre une douche. Pendant ce temps, Bertrand débarrassa la table. Il était habitué à ce genre de fantaisie de sa patronne qui le complimenta. Il restait le dessert…

à suivre...

pfiou.... je ne suis que page 7....terrible ton histoire..... dire que j'en ai encore plein a lire........
Bravo!!!!!!!!!!!
Je file bosser et lis la suite plus tard...

mon pauvre tu n'as pas fini de te branler !!! lol
comme nous tous sur les textes de Gilles