Histoires adultères 2

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Re: Histoires adultères 2

Messagepar marcay86 » Lun 19 Oct 2015 17:28

a oui vivement les suites !!
merci
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar H_mur_75 » Lun 19 Oct 2015 18:11

quelques photos et voilà un article prêt pour la prochaine édition d'union ou de couples! Bravo!!
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 22 Oct 2015 13:42

Un fantasme se réalise.



En rentrant de la plage, chacun alla prendre une douche. Gilles avait allumé son ordinateur, mais il ne regardait même plus les femmes qui prenaient une douche. L’après-midi passée sur cette plage naturiste avait changé les choses. Il les avait toutes vues nues pendant plusieurs heures et la nudité furtive espionnée dans la douche avait perdu de son attrait. Il n’y avait plus d’interdit !
Il enregistrait tout de même les séquences, mais cela ne lui faisait plus le même effet.
L’heure du repas du soir arriva bien vite. Ils avaient fait suffisamment de courses au marché pour ne manquer de rien. Le repas se déroula dans le calme et la bonne humeur. Ils avaient préparé un repas à base de spécialités du Sud-ouest. Magret de canard, pommes de terre sarladaises, cannelé… tout y était ! Le tout arrosé d’un grand cru du Médoc. A la fin du repas, les vacanciers se sentaient un peu lourds.
Gérard se leva et alla chercher une feuille de papier et un crayon.
- « A mon tour de vous proposer un jeu qui va nous faire bouger un peu », dit-il.
- « Quel jeu ? » demanda Isabelle inquiète.
- « Je suppose qu’aucun de vous n’a oublié le fantasme qu’il nous a confié sur la plage ? » reprit-il.
- « Et comment ! » s’empressa d’ajouter Anton.
- « Eh bien nous allons en réaliser un au hasard… »
- « Excellente idée » dit Gilles.
- « Je vais inscrire les noms de tout le monde sur un papier et nous tirerons au sort. Celui ou celle dont le nom sera tiré au sort nous rappellera son fantasme et nous le réaliserons sur le champ. Vous être tous d’accord ? »
- « Oh oui ! » s’écrièrent ensemble Céline et Juliette.
- « Je suis d’accord » dit Stéphanie.
- « D’accord », fit Anton.
Gérard se tourna alors vers Sophie et Nicolas.
- « Oui », fit simplement Nicolas.
- « Ça marche », ajouta Sophie.
- « Gilles ? » demanda Gérard.
- « Evidemment, c’est moi qui suis à l’origine de l’expression de ces fantasmes, ne l’oublie pas… »
- « Et toi Alex ? »
- « Je suis », répondit-il comme un joueur de poker.
- « Isabelle ? Il ne reste que toi… »
- « Je suppose que si je dis non, je vais encore passer pour une vieille chouette ! D’accord, je joue avec vous… »
Gérard inscrivit les noms sur les papiers de taille identique qu’il avait découpés. Il les plia et les mit dans un petit récipient, puis il les mélangea.
- « A toi l’honneur », dit-il à Isabelle. « Comme cela tu ne pourras pas nous accuser de tricherie… »
Isabelle haussa les épaules et prit un papier au hasard. Elle le tendit à Gérard qui l’ouvrit et lut lentement le nom qui était inscrit dessus.
- « Alex ! Eh bien c’est son fantasme que nous allons devoir réaliser… Tu peux nous le rappeler, bien que je pense que tout le monde s’en souvienne… »
- « J’ai dit que je voulais qu’Isabelle s’exhibe devant nous tous ! »
- « Tu as compris Isabelle ? » demanda Gérard. « Tu es prête à nous faire profiter de ton corps dans les moindres détails ? »
- « Je… je ne pourrai jamais ! s’exclama-t-elle. »
- « Mais si », dit Gilles en se levant et en la faisant rentrer dans le salon de l’appartement. « Tu vas voir, je vais t’aider… »
Il fit glisser lentement la fermeture éclair de la petite robe qu’elle avait passée après sa douche et dégagea ses épaules. Le vêtement léger tomba sur le sol. Elle ne portait qu’un tanga de couleur champagne.
- « C’est un bon début », dit Gilles. « Tu n’as pas mis de soutien-gorge… »
Il prit le tanga avec ses mains et le fit glisser le long de ses fesses qui apparurent à l’air libre. Malgré son âge un peu plus avancé, elles étaient largement aussi belles que celles de Juliette, de Céline, de Stéphanie ou même de Sophie, qui n’avait que vingt-huit ans.
- « C’est vrai qu’elle a un cul magnifique ! » commenta Gérard.
- « Tourne-toi ! » dit Gilles en la faisant pivoter vers les sept spectateurs qui l’observaient. …
Ils virent apparaître sous leurs yeux sa toison brune, qu’elle portait moins fournie l’été pour se mettre en maillot de bain en toute sécurité.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 22 Oct 2015 14:27

Un fantasme se réalise.

Alex vit Gilles caresser le pubis de son épouse et en ressentit une excitation plus forte encore que celle qu’il avait imaginée.
Gilles la fit reculer de quelques pas et lui demanda de s’allonger sur la table de la cuisine. Elle trouva sa demande surprenante, mais le fit tout de même. Tous vinrent se placer autour de la table. Isabelle se sentit horriblement gênée. Leurs visages étaient à moins de cinquante centimètres de son corps et chacun commentait une partie de son corps. Seule Sophie semblait vouloir garder un peu de distance.
- « Tu as vu ses seins, ils sont encore plus gros que les miens ! » avait dit Céline.
- « Oui, ils sont magnifiques et lourds » avait complété Anton.
- « Regardez comme les pointes se dressent bien », avait ajouté Stéphanie en lui titillant le téton.
- « Hum, moi ce que j’aime le plus, ce sont vraiment ses fesses », avait renchéri Gilles. « Regardez ce galbe, cette chute de reins magnifique ! »
- « Tu as raison, moi-aussi c’est ce que je préfère » avait confirmé Alex. « Ma femme a les plus belles fesses du monde ! »
- « Sa chatte aussi est pas mal », avait dit Juliette. « Tu as vu ses lèvres épaisses ? Et regarde comme elle mouille facilement », déclara-t-elle à Céline en caressant le sexe d’Isabelle.
- « Oui, mais moi je la préférerais rasée », dit Céline.
- « On la rase ? » demanda Stéphanie.
- « Allez, je vais chercher un rasoir et de la mousse à raser ! » dit Juliette.
Sous les yeux de tous les hommes, Juliette enduisit son pubis d’une épaisse couche de mousse blanche et Stéphanie passa le rasoir, retirant les poils en même temps que la mousse. Céline l’essuyait au fur et à mesure, en profitant pour la caresser à chaque fois.
Son sexe totalement lisse était parfaitement exposé sous la lampe de la cuisine. Alex s’approcha. A son tour, il passa la main sur le pubis imberbe de son épouse.
- « Tu es belle comme ça ! Cela te va bien… »
- « Baise-la devant nous ! » dit brusquement Stéphanie.
Alex frotta le gland de son sexe sur le clitoris d’Isabelle. Il descendit ensuite vers son vagin et fit glisser sa verge à l’intérieur. Isabelle était tellement trempée qu’elle la sentit à peine entrer en elle. Il fit de son mieux pour aller le plus profond possible, qu’elle le sente enfin. Pendant ce temps, Céline branlait toujours le clitoris d’Isabelle exposée sur la table et morte de honte. Juliette et Stéphanie s’occupaient chacune d’un de ses seins et les quatre autres hommes regardaient en mettant leurs mains un peu partout sur son corps. Alex redoubla de vigueur. Il réalisait un fantasme qu’il avait depuis longtemps, obliger sa femme à s’exhiber devant des hommes et des femmes. En plus, il la prenait devant eux !
Isabelle ne savait plus où elle était. Jamais elle n’aurait cru que le fait d’être exposée et tripotée lui procure un tel plaisir. Elle jouit sous l’effet conjugué de la queue d’Alex et des doigts de Céline. Elle fut secouée de spasmes pendant un long moment. Son mari jouit à son tour et inonda son vagin de sperme chaud.
Dès qu’il se retira, Gilles prit sa place et la pénétra d’un coup de rein rageur. Sa queue, beaucoup plus large que celle d’Alex, fit déborder le sperme de la chatte d’Isabelle. Il s’enfonça en elle aussi loin qu’il put. La semence d’Alex dégoulina sur la table.
Voyant que son épouse n’avait même pas protesté quand Gilles l’avait prise sous ses yeux et les yeux de tous, il se dit que leur balade dans les dunes ne s’était certainement pas réduite à une simple observation. Si elle l’avait laissé faire, c’est que ce n’était pas la première fois qu’ils faisaient l’amour. Il essaya d’imaginer ce qu’ils avaient pu faire, à l’abri du regard des autres, à quelques centaines de mètres de la plage. Sans doute l’avait-il prise alors qu’ils découvraient les homosexuels dont Gilles avait parlé en train de se satisfaire. Il imaginait la scène surréaliste de sa sage épouse se faisant baiser pendant qu’elle regardait deux hommes en train de s’enculer.
Il aurait dû crier, tout arrêter, ordonner à Gilles de laisser sa femme tranquille et aux autres de rentrer chez eux, mais il acceptait son statut de cocu avec une certaine fierté. Sa femme était, ce soir, l’objet de toutes les convoitises et de toutes les attentions. Il en éprouvait finalement une satisfaction intense.
Soudain, Alex voulut aller plus loin que ce qu’il avait exprimé dans son fantasme. Pendant que Gilles continuait à la pilonner, essayant de faire monter à nouveau en elle le plaisir, les autres hommes s’étaient mis à se branler, excités par le spectacle.
- « Suce-les ! » ordonna-t-il.
Gérard fut le premier à présenter sa bite devant la bouche d’Isabelle. Elle passa sa langue sur le gland, puis enfourna ce sexe plus long que celui d’Alex. Gérard, qui s’était déjà bien masturbé, jouit rapidement et laissa des traînées de sperme sur ses joues.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 26 Oct 2015 11:57

Un fantasme se réalise (suite)

Anton le remplaça. Lui aussi mit sa queue dans la bouche d’Isabelle et elle le suça. Elle avait peu d’expérience, mais le faisait très bien. Tout en prenant la main de son épouse pour lui signifier leur complicité, il jouit dans la bouche d’Isabelle qui fut obligée d’avaler son sperme.
Nicolas avait plus de mal à bander, mais il y parvint tout de même et eut droit également à une fellation très efficace.
Alex vit que son épouse était sur le point de jouir une seconde fois. Après toutes ces années passées ensemble, il la connaissait par cœur et savait à quel instant précis l’orgasme allait la submerger. Bien qu’ayant déjà joui, il voulait qu’elle le suce pendant qu’elle allait prendre son pied. Il avança son sexe vers sa bouche et elle ignora sa bite. Elle tourna même la tête de l’autre côté. La première queue qu’elle refusait de sucer était la sienne. C’était un comble !
Son second orgasme fut encore plus fort que le premier. Elle s’arc bouta sur la table. Gilles éjacula dans son vagin qui déborda de sperme. Après avoir repris ses esprits, elle se leva et prit Gilles par la main.
- « Tu viens, on va se coucher ? » dit-elle en l’entraînant vers les chambres.
Tout le monde, et particulièrement Alex, resta scotché. Elle lui faisait payer au prix fort la réalisation de son fantasme et sa demande de sucer les queues des autres hommes. Alex était tellement surpris qu’il ne réagit pas.
Gilles ne fit rien pour raisonner la belle Isabelle. Il se dit qu’après tout, il ne faisait que réaliser le souhait d’Alex qui lui avait souvent avoué que, ce qui l’excitait le plus, c’était d’imaginer ce que pouvait faire son épouse avec un autre.
Totalement désinhibée, Isabelle était partie entièrement nue. En arrivant dans la chambre de Gilles, elle l’embrassa.
- « Je ne croyais pas que tu oserais me prendre devant Alex », lui dit-elle. « Je ne pensais pas non plus qu’il me demanderait de sucer toutes ces queues… Ce salaud n’a que ce qu’il mérite ! »
- « C’était le jeu », essaya de tempérer Gilles. « Nous devions réaliser le fantasme de celui qui était tiré au sort… »
- « Oui, mais il n’était pas obligé d’en rajouter à ce qu’il avait dit sur la plage ! Quand je pense que c’est moi qui ai tiré son nom ! »
- « En tous cas, tu as été vraiment forte ! Je sais que tu n’aimes pas être exhibée. Là, tu as été servie ! »
- « Oui, en plus il m’a baisée devant tous les autres ! Heureusement, j’ai adoré sa tête quand tu as pris sa place en moi… Cela lui a donné une bonne leçon de voir ta grosse queue à la place de la sienne ! »
- « Quoiqu’il en soit, tu as bien joui ! »
- « Evidemment, tu as vu combien de sexe et de mains s’occupaient de moi ? J’avais honte, mais je ne suis pas frigide… »
- « Cela te va bien », dit Gilles en désignant son pubis glabre. « On voit mieux tes lèvres et ton clito… »
- « Allez, arrêtons de parler de tout cela », coupa Isabelle. « Allons plutôt nous coucher, je tombe de fatigue… »
Gilles l’accompagna au lit et l’aida à s’installer sous la couette, puis il la rejoignit. Il se colla derrière elle, contre ses fesses, exactement comme il l’avait vu faire à Alex sur les vidéos. Isabelle en était très perturbée. Les moindres faits et gestes de Gilles ressemblaient tellement à ceux d’Alex, qu’elle avait l’impression que c’était lui qui avait toujours été son mari. Il éteignit la lumière et l’entendit bailler avec force. Elle avait vraiment sommeil !


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Re: Histoires adultères 2

Messagepar fou d'exhib » Lun 26 Oct 2015 12:20

hummm superbes histoires très bandantes, Bravo
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 26 Oct 2015 12:42

Un fantasme se réalise (suite)

Isabelle s’endormit dans ses bras. Elle était bien. Elle sentait un sexe plus gros que d’habitude contre ses fesses. Gilles s’endormit peu de temps après elle.
Au beau milieu de la nuit, Isabelle se réveilla. Gilles dormait, allongé sur le dos. Elle retira la couette et eut envie de son sexe. Il était resté nu et sa queue reposait sur sa cuisse. Elle la prit entre ses doigts et la caressa doucement, puis avançant son visage, elle prit le gland légèrement entre ses dents. Gilles eut une impression étrange. Au début, il crut qu’il rêvait, puis il se rendit compte que les sensations qu’il ressentait étaient bien réelles. Il ouvrit légèrement les yeux et vit les longs cheveux noirs d’Isabelle étalés sur son ventre. Elle s’était mise à genoux et le suçait maintenant consciencieusement. Ses fesses magnifiques étaient bien en évidence et Gilles ne put s’empêcher de les caresser. Isabelle s’arrêta un instant.
- « Ta queue est la seule que je n’avais pas sucée hier soir. J’avais envie de connaître son goût. De toutes, c’est la plus grosse ! Je me régale… »
Elle le suça avec une efficacité redoutable pendant qu’il embrassait ses fesses. Au bout d’un moment, elle enjamba son corps et présenta son sexe lisse devant son visage. Elle ne s’était pas lavée avant de se coucher et son intimité dégageait une odeur forte, mais tellement excitante. Gilles la lécha sans hésiter, le goût était plus poivré que d’habitude.
Ils entamèrent un soixante-neuf délicieux. Isabelle jouit une fois encore grâce aux caresses buccales de Gilles. Elle le fit jouir également jouir dans sa bouche. Ils restèrent un moment sans bouger, puis se recouchèrent. Ils dormirent cette fois-ci jusqu’au lendemain. Isabelle n’avait pas passé une nuit aussi merveilleuse depuis longtemps.
Le lendemain matin, ils descendirent prendre le petit déjeuner ensemble. Alex était déjà là. Il ne dit pas un mot. Ce fut Isabelle qui s’adressa à lui la première.
- « Alors, tu as bien dormi ? » demanda-t-elle.
- « Oui, et toi ? Tu as dormi comme un renard ? »
- « Comme un renard ? »
- « La queue entre les jambes… »
- « Que tu es con ! » ne put s’empêcher de répondre Isabelle que sa plaisanterie avait réussi à faire sourire.
- « Je suis peut être con, mais je t’aime ! » lui déclara-t-il.
- « Oh, une déclaration d’amour dès le petit déjeuner ? La journée commence bien », plaisanta Gérard.
Isabelle haussa les épaules et se mit en face d’Alex. Elle le prit par le cou et l’embrassa.
- « Moi aussi, je t’aime, idiot ! Mais j’ai voulu aller au bout de tes conneries ! Tu voulais me voir avec un autre, qu’on regarde mon cul ? Eh bien j’en ai fait profiter Gilles toute la nuit ! Je suis sure que cela t’excitera d’aller lui demander ce que nous avons fait… Bon, allez, on oublie ? »
- « On oublie », répondit Alex.
Il l’enlaça de nouveau. Cet adultère dans leur vie conjugale ne serait surement pas anodin. Il changerait probablement le comportement d’Isabelle et sa façon de se comporter avec les autres hommes, mais après tout, ce cocu d’Alex n’avait-il pas ce qu’il méritait ? A trop avoir envie d’imaginer ce que ferait son épouse avec un autre, n’avait-il pas contribué à ce qu’elle passe la nuit dans le lit de Gilles ? Il ne ressentait aucune hostilité à l’égard de celui qui les avait invités en vacances. Celui-ci avait eu l’occasion de coucher avec Isabelle, il aurait eu tort de s’en priver !


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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 26 Oct 2015 15:15

La boîte à fantasmes.



Le temps était gris et maussade, ce mercredi matin. Pas question d’aller à la plage. Tout au plus, ils pourraient piquer une petite tête dans la piscine, et encore… Il faisait frais et il ne faudrait pas s’attarder trop longtemps en sortant de l’eau.
Gérard discutait avec Gilles. Il voulait qu’il lui raconte comment s’était passée la nuit avec Isabelle. Il fantasmait de plus en plus sur les belles fesses de la femme d’Alex. Gilles se contenta de lui dire qu’ils avaient fait l’amour au milieu de la nuit, mais ne donna aucun détail. Leur nuit était un cadeau merveilleux que lui avait fait Isabelle et il n’avait pas l’intention d’en parler à tout le monde. Surtout pas à Alex !
Le couple s’était réconcilié et Alex redoublait d’attentions pour son épouse. Elle acceptait de bonne grâce ses excuses pour ce qu’il lui avait demandé de faire, mais elle ne regrettait rien. C’était comme si une barrière était tombée dans son esprit. En suçant les queues de tous ses hommes et en faisant l’amour avec Gilles, elle avait définitivement mis ses complexes au placard. Désormais, elle allait vivre pleinement sa sexualité. Alex devrait être content…
Avec cette météo capricieuse, Gilles proposa d’aller visiter les environs. Cette proposition enthousiasma tout de suite Gérard et Céline, ainsi que Stéphanie. Isabelle et Alex avaient, eux aussi envie de visiter la région. Ce n’était pas le cas de Juliette, et encore moins de Sophie et de Nicolas. Anton, lui, hésitait. Il prit comme prétexte que ceux qui partaient seraient trop serrés dans la voiture de Gilles pour finalement décider qu’il prendrait sa voiture et les accompagnerait. Il monta aux côtés de Stéphanie, qui lui plaisait toujours autant, et laissa Céline et Gérard embarquer à l’arrière de son véhicule. Gilles ferait le trajet avec Isabelle et Alex. Après cette nuit passée avec elle, ils auraient sans doute besoin d’une explication.
Restés dans la villa, les trois autres avaient décidé de profiter de la piscine malgré le temps maussade. Sophie s’était trempée un moment, puis elle était allée lire sur une chaise longue. Son mari semblait vraiment de plus en plus attiré par la charmante blonde, mais elle s’en moquait totalement.
Au bout d’un moment, Juliette sortit de la piscine et se dirigea vers la villa. Nicolas la suivit aussitôt. Ils se rendirent dans la chambre qu’il partageait avec Sophie. La jeune femme ne se retourna même pas pour les regarder passer derrière elle.
Nicolas fit entrer Juliette dans leur chambre. Il y régnait un bazar indescriptible et il eut un peu honte. Les strings de Sophie trainaient un peu partout et ses affaires à lui n’étaient pas mieux rangées. Il voulut s’excuser de tout ce désordre, mais Juliette ne lui en laissa pas le temps.
- « Viens sur le lit », lui dit-elle. « J’ai envie que tu me prennes ! Je m’en fous du désordre, d’ailleurs ce n’est pas beaucoup mieux rangé dans ma chambre… »
Nicolas, enleva le haut du maillot de Juliette et caressa ses seins. Bien qu’elle essaie de les faire bronzer depuis leur arrivée, leur peau était encore beaucoup plus blanche que le reste de son corps. Ce contraste les mettait en valeur et Nicolas se dit qu’elle avait tort de vouloir uniformiser son bronzage. Il ressentit le même effet d’excitation quand il lui enleva son string. Le triangle blanc qu’il voyait de part et d’autre de son corps était follement excitant.
Il se mit nu lui aussi et s’avança pour l’embrasser. Elle répondit à son baiser et se colla contre lui, frottant sa vulve contre son sexe mou. Voyant que sa queue restait molle, Juliette se mit à genoux devant lui et commença à le sucer.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 26 Oct 2015 17:51

La boîte à fantasmes.

Juste à ce moment-là, ouvrant la porte de la chambre très discrètement, Sophie pénétra dans la pièce la pointe des pieds. Elle s’avança vers eux.
- « Tu perds ton temps », dit-elle à Juliette en train de sucer Nicolas. « Il ne bande pas ! »
Juliette était morte de honte. Elle pensait que Nicolas avait pris la précaution de refermer la porte à clé et elle se trouvait dans la situation humiliante d’être à genoux devant le compagnon de Sophie, sous les yeux de celle-ci. Sophie, pourtant, ne manifestait aucune agressivité à son égard.
- « Si tu veux qu’il bande un peu, il faut lui donner des ordres, le traiter comme un chien ! Il n’y a que cela qui l’excite ! »
- « Ce n’est pas vrai », protesta mollement Nicolas.
- « Tais-toi, minable ! Je vais te montrer comment le faire bander », ajouta Sophie.
Juliette s’écarta et laissa Sophie s’approcher de Nicolas. Elle ouvrit une petite valise et en sortit un collier et une laisse. Elle les tendit à Juliette.
- « Tiens, mets-lui ça ! » dit-elle d’un ton autoritaire.
Juliette fit ce qu’elle demandait et Nicolas, parfaitement docile, se laissa faire.
- « Demande-lui de te lécher les pieds, maintenant ! » dit Sophie.
- « Lèche-moi les pieds ! » ordonna Juliette.
Nicolas avança et sortit sa langue pour lécher le dessus des pieds de Juliette. Etre dominé lui avait toujours procuré une excitation importante, mais maintenant il était tellement obnubilé par sa soumission, qu’il n’arrivait pas à bander dans d’autres situations. Il avait cru qu’avec Juliette ce serait possible, mais son expérience venait de lui montrer le contraire.
- « Lèche-la mieux que ça ! » s’écria Sophie en prenant la laisse.
Il passa soigneusement la langue entre les orteils. Juliette trouva cela très agréable, elle n’en avait pas l’habitude. Sophie tira sur la laisse et obligea Nicolas à remonter le long des jambes, puis vers le sexe de Juliette.
- « Bouffe-lui la chatte ! » ordonna-t-elle.
Nicolas s’appliqua du mieux qu’il put à exciter le sexe de Juliette avec sa langue. Il la passa sur ses petites lèvres puis l’introduisit dans son vagin. Enfin, il remonta vers son clitoris et l’excita longuement.
Juliette sentait le plaisir monter en elle. Sophie prit un martinet dans la petite valise et se mit à fesser Nicolas. A chaque coup de lanière, il gémissait, mais cela lui faisait un effet extraordinaire. Sa queue se durcissait et était maintenant bien raide.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar H_mur_75 » Lun 26 Oct 2015 18:01

tu écris à la perfection les jeux de ce groupe de vacanciers... pas beaucoup de réaction mais je suis certain que beaucoup prenne le temps de te lire avec grand plaisir! enfin il y en a au moins un qui apprécie!!!
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar yvan33000 » Lun 26 Oct 2015 18:05

Je suis d'accord tu ecris super bien et j'apprecie de te lire meme si je ne mets pas de commentaire
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 27 Oct 2015 08:55

Merci pour vos commentaires très élogieux.

C'est vrai que quelques encouragements font plaisir et donnent envie de poursuivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 27 Oct 2015 08:58

la boite à fantasmes

- « Pour une fois, tu vas pouvoir baiser une femme ! » s’exclama Sophie. « Vas-y, mets-lui ta queue dans la chatte ! »
Nicolas se releva et pénétra Juliette qui était au bord de l’orgasme. Il fit quelques allers retours dans son vagin, puis elle jouit. Lui-aussi éjacula et lui en mit plein la chatte. Sophie lui donna encore quelques coups de martinet, puis le fit nettoyer le sexe de leur voisine avec sa langue. Il avala son sperme sans sourciller.
Juliette se releva et remercia Sophie. .
- « C’est gentil de me prêter ton mari », lui dit-elle.
- « Oh, tu peux t’en servir quand tu veux, moi il ne me sert plus », répondit Sophie. « Par contre, n’emploie pas la douceur avec lui, ça ne marche pas ! Si tu veux qu’il bande, il faut cogner dessus et l’humilier. »
- « Je me souviendrai de la leçon », répondit-t-elle avant de se rhabiller et de ressortir
Ils retournèrent sagement au bord de la piscine. Maintenant, elles étaient quittes. Sophie avait fait l’amour avec Anton et Juliette avec Nicolas. Mais ce qui perturbait la belle Sophie, c’était de voir que Gilles était de plus en plus assidu auprès d’Isabelle. Elle ressentait, étrangement une sorte de jalousie.
Quand les autres rentrèrent il ne fut pas question de ce qui s’était passé dans la villa durant leur absence. Après le repas, Gérard demanda à Gilles si, compte tenu du temps, puisqu’il commençait même à pleuvoir, ce ne serait pas une bonne idée d’aller chercher la «boîte à fantasmes», comme il l’avait baptisée, et de tirer un autre nom au sort. Gilles hésita. Il trouvait que ce jeu était très instructif, puisqu’il permettait à chacun d’exprimer et de réaliser ses fantasmes, mais il pouvait en même temps s’avérer dangereux. L’incident qui s’était produit entre Isabelle et Alex en était la preuve. De plus, depuis qu’il avait passé la nuit avec Isabelle, c’était tout juste si Sophie lui adressait encore la parole. Sans pouvoir prétendre à l’exclusivité, elle avait espéré être la première à passer une nuit avec lui.
- « Je ne sais pas », dit Gilles. « Il faut demander aux autres… »
- « Tu as raison », répondit Gérard en appelant tout le monde.
Après une brève concertation, Gérard alla chercher la « boîte à fantasmes ». Même Alex et Isabelle étaient d’accord pour une nouvelle partie de ce jeu ! Il mélangea les papiers sur lesquels étaient inscrits les noms et en fit tirer un au hasard à Céline. Elle le déplia et lut le nom qui était inscrit avec une petite appréhension. Si le nom de Gérard était tiré, elle ne se sentait pas vraiment prête à sucer les queues de tous les hommes de la maison, surtout devant son mari…
- « Sophie ! » lut-elle sur le papier avec un certain soulagement.
- « Si je me souviens bien », demanda Gérard, « tu voulais que Nicolas suce nos bites ? Tu n’as pas changé d’avis ? »
- « Pas le moins du monde ! » répondit la plus jeune du groupe. « Et je veux que vous vous fassiez sucer devant vos femmes ! »
- « Décidément, on n’est pas très actives dans les fantasmes qui sont tirés au sort », fit remarquer Juliette.
- « Je vous propose qu’on réalise d’abord celui de Nicolas, même s’il n’a pas été tiré au sort », suggéra Gilles. « Il veut être dominé par toutes les femmes. Vous n’aurez qu’à exiger qu’il nous suce, on fera d’une pierre deux coups ! »
- « C’est une bonne idée », dit Sophie. « J’ai hâte de le voir traité comme un chien par les filles… Je vais aller chercher un peu de matériel dans notre chambre… »

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 27 Oct 2015 11:01

La boite à fantasmes

Sophie alla chercher le matériel dont elle disposait dans la chambre. Elle ramena un martinet et une petite cravache. Les hommes s’installèrent sur le canapé, prêts à assister au spectacle. Sophie ordonna à Nicolas de retirer son pantalon. Elle fit claquer les lanières du martinet et le tendit à Juliette.
- « A toi l’honneur », dit-elle. « Je veux voir si tu as retenu la leçon », dit Sophie.
Anton réalisa alors que sa femme avait déjà eu des relations amoureuses avec le couple. Elle ne lui en avait pas parlé et il en éprouva une certaine contrariété. Sophie ordonna à Nicolas de se mettre nu devant tout le monde. Il le fit sans aucune gêne.
Les humiliations commencèrent immédiatement.
- « Regardez sa petite bite ! J’espère que vos mecs en ont une plus grosse ! » commença Sophie.
- « Heureusement », répondit Céline. « Sinon je ne la sentirais même pas ! »
- « Oui, et en plus elle est toute molle ! » ajouta Juliette.
Seule Isabelle ne dit rien, ce qui perturba Sophie. Elle finit par lui demander de s’exprimer.
- « Et toi Isabelle ? J’espère que tu as une queue un peu plus grosse à ta disposition… »
- « Oui, celle d’Alex est quand même plus grosse », finit-elle par lâcher. « Mais elle ne vaut pas celle de Gilles ! »
- « Je confirme », dit aussitôt Sophie irritée, avouant du même coup qu’elle n’ignorait rien de l’appareil génital en action de celui qui les avait invités.
- « Moi, je ne l’ai jamais touchée en érection », dit Juliette avec une sorte de regret dans la voix.
- « Moi, non plus », avoua à son tour Céline, « mais je ne désespère pas… »
- « Et moi donc ! » insista Stéphanie.
- « La seule chose que sait bien faire Nicolas », reprit Sophie, « c’est lécher les pieds. Viens ici et lèche-moi ! » dit-elle.
Nicolas tarda un peu à se mettre aux pieds de Sophie et elle fit claquer la cravache sur ses fesses. Une marque rouge apparut. Il sortit sa langue et commença à lécher les talons, puis la plante des pieds de son épouse. Elle le laissa faire un moment, puis lui mit le collier et la laisse qu’elle avait apportés dans sa valise d’accessoires. Elle prit la laisse et tira dessus pour l’entraîner vers les pieds de Juliette.
- « Vas-y, lèche-lui les pieds ! » dit Sophie.
Juliette lui tendit son pied droit et il passa sa langue entre les orteils. C’était effectivement très agréable. Pour Nicolas, la sensation était assez nouvelle. Il avait l’habitude de lécher les pieds de Sophie, mais les pieds de Juliette lui plaisaient beaucoup. Ils étaient bien cambrés et il passa beaucoup de temps à lécher le creux du pied.
Juliette avait beau apprécier, elle voulait qu’il passe à sa voisine et le lui signifia avec un coup de martinet.
- « Allez, va lécher ceux de Céline maintenant », ordonna-t-elle.
Nicolas ne se fit pas prier. Sans se relever, il avança vers Céline. Contrairement aux autres femmes, elle portait des chaussures. Il s’agissait de mules blanches avec un talon fin. Il commença par lécher le dessus de la chaussure. Céline s’appuya contre un meuble et leva son pied. Elle lui fit lécher le talon qu’elle introduisit dans sa bouche. Nicolas se laissa pénétrer symboliquement par cet accessoire. Ce fut lui qui retira lentement les mules de Céline et lécha ses pieds l’un après l’autre. Les pieds qu’il léchait lui rappelaient ceux de Sophie. Elles faisaient presque la même pointure et la forme de leurs pieds étaient la même. Tout au plus, les orteils de Céline étaient un peu plus longs. Il passa ensuite à Stéphanie qui sembla également apprécier ce qu’il lui faisait.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 27 Oct 2015 12:03

La boite à fantasmes

Au bout d’un moment, Sophie intervint à nouveau. Elle empoigna la laisse et le traîna jusque devant Isabelle qui était restée un peu à l’écart.
- « Et les siens ? Tu ne veux pas les goûter ? »
- « Si », répondit Nicolas.
Comme pour le punir d’avoir osé lui répondre, Sophie lui asséna un nouveau coup de cravache. Il se tordit de douleur. Lentement, il lécha les pieds nus d’Isabelle. Elle se sentait un peu gênée qu’il le fasse juste sous les yeux d’Alex, mais ce n’était pas grand-chose après son exhibition de la veille et ses fellations en série. C’était elle qui avait les plus petits pieds et Nicolas mit tous ses orteils à la fois dans sa bouche. Excité par le léchage de tous ces pieds féminins, il commençait à bander et à se tripoter. Juliette s’en rendit compte.
- « Regarde le, il se branle ! » dit-elle à Sophie.
- « Il n’en a pas le droit si je ne le lui demande pas ! » s’énerva Sophie. « Donne-lui cinq coups de martinet ! »
Juliette leva le martinet et l’abattit à cinq reprises sur les fesses de Nicolas qui grimaça. Anton ferma les yeux à chaque coup. Il n’aurait pas cru son épouse capable d’une telle violence et compatissait pour le pauvre Nicolas. Juliette reprit la laisse et tira Nicolas vers la table basse.
- « Si tu veux qu’on s’occupe de ta queue, on va le faire ! Pose-la sur la table. » vociféra Sophie.
Il s’exécuta sans broncher. Il savait déjà ce qu’allait faire sa compagne. Effectivement, Sophie monta sur la table basse et elle appuya avec son pied sur la queue de Nicolas. Elle se mit sur les talons, l’écrasant un peu plus, puis demanda à Juliette de la rejoindre. Juliette marcha à son tour sur la bite de Nicolas qui avait l’air content et bandait de plus en plus. A la grande surprise des autres, Isabelle voulut essayer également. Elle ne monta pas franchement sur le sexe de Nicolas, mais appuya avec son pied droit et le coinça contre la table. Elle commença alors un mouvement de va et viens avec son pied, le branlant sur la table basse. Quand Céline monta à son tour, elle ne retira pas ses mules à talons hauts. Elle lui marcha sur la queue, d’abord avec la semelle, puis avec le talon ce qui laissa une belle marque sur sa verge.
Après cette séance qui faillit le faire jouir plusieurs fois, tant il aimait se faire piétiner le sexe, Nicolas fut une nouvelle fois fouetté, à la fois par Juliette qui ne lâchait pas le martinet, et par Céline qui avait pris la cravache de Sophie. Les marques rouges striaient son dos et surtout ses fesses qui étaient en feu. Au bout d’un moment, il dut supplier les deux femmes d’arrêter.
Sophie intervint alors et le reprit par sa laisse.
- « Depuis quand te permets-tu de demander à tes maîtresses d’arrêter ? » demanda-t-elle fermement. « Tu n’es qu’un chien et si cela nous plait de te frapper encore, nous continuerons ! Mets-toi à quatre pattes et écarte bien tes jambes. Je vais te faire voir ce que c’est que d’avoir mal ! »
Nicolas savait qu’elle ne plaisantait pas et qu’elle allait lui faire payer son intervention. Pourtant, il lui obéit et se mit en position. Elle passa derrière lui et regarda ses couilles pendantes. Elle les prit dans sa main et les tira violemment en arrière. La douleur le fit se relever, mais ce n’était rien par rapport à ce qui l’attendait.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 27 Oct 2015 16:23

La boîte à fantasmes.

Elle arrêta de tirer et se mit debout. Elle prit son élan et lui envoya un coup de pied magistral dans les couilles. Sous la violence du choc. Il cria et s’effondra en avant, perdant un instant connaissance. Isabelle alla le relever.
- « Tu es folle ! » s’exclama-t-elle. « Tu vas le tuer ! »
- « Mais non, il est robuste… Et puis, plus on le maltraite, plus il est content… Regarde sa bite, il bande encore plus fort qu’avant ! »
Effectivement, Sophie avait raison. Nicolas bandait plus fort que jamais. Juliette s’approcha de lui et prit sa queue dans la main.
- « Si je le branlais ? » demanda-t-elle à Sophie.
- « Non, on va d’abord lui faire sucer des queues ! »
- « Hum, d’accord » dit Céline. « Il y a longtemps que j’ai envie de voir Gérard se faire sucer par un mec. Tu commences par lui ? »
Nicolas obéit une fois de plus. Il se traîna à genoux devant Gérard et enfourna son sexe en un instant. Gérard ne s’était pas préparé à cela, mais Céline venait de dire que cela l’excitait, alors il joua parfaitement le jeu. Il baisa la bouche de Nicolas et jouit au bout d’un moment sur ses lèvres.
C’est avec du sperme sur les lèvres que Nicolas partit s’occuper de la queue d’Anton. Depuis plusieurs jours, il courtisait Juliette, l’épouse de celui-ci et cela lui fit une drôle d’impression de le sucer. Anton éprouva une certaine satisfaction à se vider à son tour dans la bouche de Nicolas sous le regard amusé de Juliette.
Ce fut ensuite au tour d’Alex. Il n’avait encore jamais eu aucune expérience homosexuelle d’aucune sorte. Nicolas sut pourtant très bien s’y prendre et s’appliqua particulièrement pour le sucer. Bientôt, Alex oublia quelle bouche s’occupait de sa verge et il se concentra sur son plaisir. Il fut le troisième à répandre un flot de sperme dans la bouche du soumis.
Il ne lui restait plus que Gilles. Sa queue était la plus grosse et surtout la plus large. Il la prit dans sa bouche avec gourmandise. Gilles aimait bien se faire sucer par un homme, même s’il préférait, à tout prendre, une bouche féminine. Nicolas le pompa pendant un très long moment, puis Sophie vint à ses côtés.
- « Alors, mon salaud ? Tu n’as pas encore eu ta dose de sperme ? Il te faut celui du plus gros éjaculateur de la maison ? »
- « Oui », répondit Nicolas, « j’en veux plein la bouche ! »
- « Tu aimes avoir la bouche pleine ? »
- « Oui, j’adore… »
- « Attends, on va te la remplir ! »
Elle le prit pas les cheveux et l’obligea à abandonner le sexe de Gilles. Elle lui ordonna d’ouvrir grand la bouche et laissa sa salive s’écouler sur sa langue.
- « A vous, les filles ! » dit-elle sollicitant les autres.
Juliette fut la première à s’approcher. A son tour, elle cracha dans la bouche de Nicolas. Céline et Stéphanie en firent autant ! Nicolas dut garder la bouche ouverte pour que les cinq femmes, Isabelle étant un peu plus réticente, viennent déverser leur salive dans sa bouche. Il en avait plein la langue. Sophie lui ordonna alors d’avaler leurs salives mélangées et il le fit sans état d’âme.
Il reprit la fellation qu’il avait entreprise sur Gilles et le fit jouir, comme les autres. Gilles s’enfonça loin dans sa bouche et son sperme jaillit au fond de la gorge de Nicolas.
Il avait vraiment été dominé et humiliés par tous. Il eut enfin droit à sa récompense. Ce fut Sophie qui donna le coup d’envoi.
- « Vas-y Juliette ! Libère-le ! Vide-lui la queue ! »
Juliette s’approcha de lui et prit sa bite encore raide entre ses doigts. Elle commença à le branler de sa main droite et, voyant qu’il avait du mal à conserver son érection, elle prit ses couilles dans la main gauche et les écrasa de plus en plus fort. Nicolas sentit ses testicules se serrer et cela lui redonna de la vigueur. Il banda plus fort que jamais et jouit dans la main de Juliette.
Sophie l’envoya se laver dès qu’il eut joui et remercia tout le monde de s’être occupé de lui. Elle était un peu frustrée que personne n’ait pu s’occuper d’elle et avait une envie furieuse de faire l’amour, seulement tous les hommes venaient de vider leur queue dans la bouche de son compagnon et aucun n’était en état de la contenter.
Elle prit tout de même Gilles à part et lui demanda s’il allait bientôt la baiser.
- « Tu sais bien que j’ai toujours envie de toi », répondit-il. « Tu te souviens du couple que nous avons rencontré au restaurant le soir où Céline et Gérard sont arrivés ? »
- « Et comment ! » répondit Juliette.
- « Que dirais tu d’aller passer la soirée avec eux ? Je vais les appeler et, s’ils sont toujours d’accord, on va chez eux ce soir avec Céline et Gérard … »
- « Super ! » s’exclama Sophie en l’embrassant sur la bouche.
Moins d’une demi-heure plus tard, Gilles appela le portable de Brice. Il n’avait pas oublié ces deux couples rencontrés quelques jours plus tôt, au restaurant « Le Myrande » et renouvela son invitation. Gilles qui en avait parlé à Céline et Gérard qui étaient toujours très enthousiastes, lui demanda l’adresse précise à Carcans et lui promit qu’ils seraient là le soir-même après le repas.
Il n’était que midi et il s’était mis à pleuvoir assez fort, mais une belle soirée se préparait…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 27 Oct 2015 16:50

Une journée de pluie.



A l’approche de l’heure du repas du soir, l’ambiance était plutôt morose. C’était en partie à cause du temps, mais la séance avec Nicolas avait mis tout le monde mal à l’aise. Depuis qu’il avait été dominé par toutes les femmes de la maison, qu’elles l’avaient fouetté, humilié, qu’elles lui avaient piétiné le sexe, qu’elles lui avaient craché dessus, elles n’osaient plus le regarder en face.
Avec les hommes, c’était un peu la même chose. Les fellations qu’il avait dû leur prodiguer sous l’œil de leur épouse avaient un peu brisé cette complicité qui existait entre les cinq hommes. Désormais, Nicolas était le soumis, celui à qui on pouvait demander n’importe quoi. Leur jeu sexuel avait beau être terminé, ils ne le voyaient plus comme avant. Le changement le plus notable se lisait dans le regard de Juliette. Depuis le début de la semaine, elle s’était sentie attirée par ce garçon plus athlétique et plus mignon que son mari, mais cette séance de domination avait changé profondément sa façon de le voir. Elle n’imaginait plus une relation avec lui sans qu’il lui soit soumis.
Seule Sophie n’avait pas changé sa manière de voir Nicolas. Depuis que c’était lui qui lui avait demandé, quelques années plus tôt, de faire leur première expérience de jeux SM, elle y avait pris goût et le traitait au quotidien comme son esclave.
Quand Gérard proposa, une fois encore d’aller chercher la « boîte à fantasmes », personne n’avait envie de recommencer le jeu.
Histoire de se changer les idées, ils décidèrent d’aller faire un tour dans la station. Ils attendirent que la pluie se calme un peu et ils partirent tous ensemble faire un tour en ville. Ils firent un peu de shopping, en profitant pour acheter quelques souvenirs pour leurs amis, puis s’arrêtèrent dans un des grand cafés de la ville pour boire un chocolat et se réchauffer.
L’ambiance c’était nettement améliorée et les hommes avaient retrouvé une humeur complice. Très rapidement, les plaisanteries grivoises reprirent le dessus. Même Nicolas, semblait avoir retrouvé le sourire. Les femmes n’étaient pas en reste et plaisantaient sur la taille du sexe de leurs compagnons. Plusieurs fois, le jeune serveur surprit des conversations qui le firent devenir rouge jusqu’aux oreilles. Il devait avoir à peine dix-neuf ans et était beau comme un dieu. Il était blond, avec les cheveux bouclés et avait des yeux d’un bleu très pur. Quand il fut retourné derrière le bar, Céline s’adressa aux autres femmes.
- « Le petit serveur est vraiment mignon », dit-elle. « Vous n’avez pas remarqué ? »
- « Bien sûr que si ! » s’exclama aussitôt Juliette. « Comment ne pas le remarquer ? Il est beau ! C’en est indécent. »
- « N’exagérons rien ! » tempéra Sophie. « C’est vrai qu’il est mignon, mais il est un peu frêle… »
- « Un peu frêle ? » s’insurgea Céline. « Tu ne l’as pas bien regardé ! Il a des pectoraux et des abdominaux pas mal du tout ! Et toi, Isabelle, tu en penses quoi ? »
- « Oh, moi, tu sais les petits jeunes comme lui… »
- « Ne me dis pas que tu es insensible à son charme ! » protesta Juliette.
- « Non, mais il pourrait être mon fils », fit remarquer Isabelle.
- « Et alors ? Tu fais des complexes ? » intervint Alex qui était le premier homme à se mêler de la conversation.
- « Non, mais ça m’étonnerait qu’il ne regarde pas plutôt dans la direction de Sophie, de Juliette, de Stéphanie ou de Céline… »
- « Détrompe-toi ! » fit remarquer Nicolas qui était le plus jeune de tous les hommes et avait près de quinze ans de moins qu’Isabelle. « Les petits jeunes fantasment souvent sur les femmes mûres… »
- « Je parie que si tu cherches à le séduire, tu le fais tomber dans tes bras comme tu veux ! » lui dit Gilles.
- « Oui, avec les belles fesses que tu as, il ne peut pas être indifférent », ajouta Anton.
- « Vous dites cela pour me faire plaisir », coupa Isabelle. « Je suis sûre que vous vous trompez. »
- « On parie ? » dit alors Céline. « Si tu fais tout ce qu’on te demande, il va succomber assez vite, à mon avis. »
- « Vous déconnez ! » s’énerva Isabelle.
- « Ma chérie, tu as tort de douter de ton pouvoir de séduction », dit alors Alex. « Fais ce qu’ils te demandent, tu verras… »
- « D’accord », admit finalement Isabelle.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 27 Oct 2015 17:30

Une journée de pluie.

Pour commencer, Juliette lui demanda de relever un peu sa robe. Elle voulait que le jeune homme puisse bien voir ses cuisses. Ils l’appelèrent sous un prétexte futile et tous virent que son regard s’était rapidement posé sur les cuisses d’Isabelle. Peu de temps après, Céline lui demanda de les écarter davantage. Il fallait qu’il puisse voir nettement le triangle de sa culotte. Il revint de lui-même leur demander s’ils n’avaient besoin de rien, mais il était évident que c’était pour pouvoir observer de plus près.
Alex défit ensuite deux des boutons de la robe de son épouse. Sa belle poitrine devint alors parfaitement visible par l’échancrure du vêtement, ce que ne manqua pas de remarquer le jeune serveur. Il était évident qu’il n’était pas indifférent au spectacle qui lui était offert et il venait de plus en plus souvent à leur table, délaissant complètement les autres clients qui, heureusement, n’étaient pas très nombreux à cette heure.
Isabelle, qui avait décidé de jouer le jeu, faisait de grands sourires et des œillades ravageuses au jeune homme. Il ne perdait pas une miette du spectacle qu’elle lui offrait. Son regard allait de l’échancrure de la robe au triangle de tissu qu’il apercevait nettement sous sa robe et il semblait assez troublé. Il engagea la conversation avec ces vacanciers comme il en voyait tant.
Au début, il ne leur parla que de banalités comme la pluie qui tombait ou la température de l’eau, mais bientôt il devint un peu plus curieux et chercha à savoir où ils logeaient. Gilles le renseigna avec précision. Il devint de plus en plus bavard et leur apprit qu’il se prénommait Christopher. Il était originaire du nord de la France et était embauché pour la saison.
Sophie eut alors une idée pour que la situation évolue. Elle n’en parla même pas à Isabelle et passa directement à l’action. Dès qu’il se fut éloigné pour encaisser l’addition des derniers autres clients qui partaient, elle renversa son chocolat sur la robe d’Isabelle. Une grosse tâche marron apparut sur le devant de la robe.
- « Demande-lui de t’aider à nettoyer tout cela ! » dit-elle discrètement à sa voisine.
Isabelle se leva et, prenant un air catastrophé, elle se dirigea vers le serveur.
- « Mon amie a eu un geste malheureux », dit-elle en montrant la tâche. « Vous avez des lavabos où je puisse essayer de nettoyer tout ça ? »
- « Oui, au sous-sol », répondit-il.
- « Vous ne voudriez pas venir m’aider ? » demanda-t-elle avec son plus beau sourire.
Le jeune serveur jeta un regard circulaire autour de lui. Tous les autres clients étaient partis.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar pascaljean_fr » Mer 28 Oct 2015 00:27

on attend la suite avec une vraie envie... de faire partie de ce groupe d'amis!!! bravo pour ton récit
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar Mich511 » Mer 28 Oct 2015 02:11

Vivement la suite en effet !!! miammm
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 29 Oct 2015 10:38

Une journée de pluie. (suite)

- « Si, bien sûr », répondit-il en souriant.
Il descendit avec Isabelle dans les toilettes du café. Elle s’approcha alors du lavabo et ouvrit le robinet en grand. Elle releva sa robe pour passer la tâche sous l’eau, et il put voir ses fesses que moulait la belle culotte transparente qu’elle portait. Il ne dit rien, mais se mit à rougir.
- « Je n’y arriverai pas comme ça », dit Isabelle. « Vous voulez bien m’aider à la retirer ? »
Christopher s’avança vers elle et l’aida à la passer par-dessus sa tête. Isabelle lui sourit et apparut vêtue uniquement de sa petite culotte transparente. Le jeune homme n’était pas du tout insensible au charme de la quadragénaire.
- « Je me demande si cela n’a as traversé la robe et s’il n’y en a pas sur ma culotte », déclara-t-elle soudain à la grande surprise du jeune homme.
- « Je regarde », répondit-il comprenant son manège.
Il se pencha vers le pubis d’Isabelle et fixa le triangle de tissu. A travers l’étoffe transparente, il voyait nettement le contour des lèvres de son sexe, désormais entièrement rasé.
- « On ne voit rien », dit-il, « mais le spectacle est vraiment magnifique ! »
- « Merci », répondit Isabelle. « Vous aimez mes fesses ? » ajouta-t-elle en se tournant pour qu’il puisse détailler la partie de son anatomie dont elle était la plus fière.
- « Il faudrait vraiment être difficile ! » répondit Christopher.
Tout s’enchaîna alors très vite. Il posa ses mains sur les belles fesses de sa cliente et les malaxa avec vigueur. Isabelle ne put retenir un soupir de contentement. Le serveur se redressa et passa la main dans les longs cheveux noirs d’Isabelle. Elle lui sourit et fit passer sa langue sur ses lèvres. Il comprit le signal et l’embrassa aussitôt. Ses mains se serrèrent sur ses fesses puis remontèrent vers ses seins qui le fascinaient également. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut s’offrir du 95D à moins de dix-neuf ans !
Il profita de cette poitrine opulente, puis ses mains redescendirent en direction du pubis de la belle brune. Il caressa son sexe à travers la culotte, puis la fit glisser et la retira. Isabelle se dit qu’elle était devenue complètement folle de se mettre entièrement nue dans les toilettes d’un café devant un adolescent de dix-neuf ans !
Christopher était follement excité par cette femme d’expérience qui s’offrait à lui. Il avait, bien sûr, eu quelques aventures avec des filles de son âge, mais c’était la première fois qu’il prenait une vraie femme dans ses bras. Il avait peur de ne pas être à la hauteur.
- « Je ne sais pas si je dois continuer », dit-il soudain. « Si des clients arrivent… »
- « Il n’y a personne d’autre que mes amis », lui répondit Isabelle. « J’ai envie que tu me fasses l’amour… »
- « Je… Ici ? Maintenant ? » balbutia le jeune homme complètement paniqué.
Elle ne lui laissa pas le temps de réfléchir. Elle déboutonna son jean et sortit sa queue longue et fine. Elle était déjà bien raide et Isabelle d’avança pour frotter le gland contre son clitoris. Sans jouter un mot, elle s’assit sur le lavabo et écarta largement ses cuisses. Christopher s’avança et la pénétra tout de suite. Elle s’accrocha à ses épaules et fit onduler son bassin, contractant son périnée pour bien serrer sa queue en elle. Elle savait qu’il ne mettrait pas longtemps à jouir. Quand elle le vit se contracter, elle descendit du lavabo et s’agenouilla devant lui. Elle voulait son sperme dans la bouche…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 29 Oct 2015 15:22

Une journée de pluie. (suite)

Il éjacula avec force sur les lèvres d’Isabelle qui ramassa le sperme avec sa langue. Quand il se fut bien vidé, il se rajusta et Isabelle remit sa robe. La tâche était toujours là.
Isabelle remonta avec ses amis qui étaient impatients de savoir.
- « Alors ? » lui demanda aussitôt Céline.
- « Eh bien, il a une très belle queue et son sperme a très bon goût », répondit Isabelle à la surprise générale.
- « Toi, quand tu te lâches, ce n’est pas qu’à moitié ! » s’exclama Juliette.
- « C’est bien ce que vous vouliez ? » questionna-t-elle.
- « Oui, c’est bien ma chérie », lui dit Alex. « Tu vois que tu avais tort de douter de ton pouvoir de séduction… »
Isabelle ne répondit rien. Elle se contenta d’embrasser son mari sous l’œil inquiet sur serveur qui avait peur que les choses tournent mal. En partant, Isabelle lui lança un regard incendiaire et lui envoya un baiser discret du bout des lèvres.
Finalement, malgré le mauvais temps, tout le monde avait passé une après-midi distrayante et ils rentrèrent à la villa tranquillement. Isabelle avait juste honte. Pas d’avoir fait l’amour avec le serveur, mais de rentrer avec une robe tachée de chocolat !
Comme la pluie s’était arrêtée, ils purent prendre le repas du soir sur la terrasse. Céline et Gérard annoncèrent que ce soir ils sortaient avec Gilles. Sophie expliqua qu’elle les accompagnait. Cela sembla surprendre Nicolas qui n’était pas au courant, mais il savait qu’il n’était pas d’usage de demander des explications à sa compagne, alors il n’en fit rien. Juliette, Isabelle, Anton et Alex se demandaient bien où pouvaient partir leurs amis, ils essayèrent de le savoir, mais personne ne voulut le dire.
Sans vraiment savoir pourquoi, Sophie, Céline, Gérard et Gilles tenaient à garder cette rencontre secrète. Ils ne savaient pas vraiment ce qui allait se passer chez ce couple fréquentant les milieux échangistes, mais ils ne tenaient pas à ce que les autres s’en mêlent. Deux clans commencèrent à se former. D’un côté ceux qui sortaient, et de l’autre ceux qui restaient. On aurait dit une cour de maternelle.
- « Puisque tu es sa copine, tu n’es plus ma copine ! »
- « Je m’en fous c’est elle ma copine ! »
Nicolas, qui était pourtant le plus concerné, fut le seul à ne pas entrer dans ce jeu. Après tout ce qu’il avait subi le matin même, l’absence de Sophie le laisserait souffler un peu. Elle lui menait la vie dure depuis qu’ils étaient en vacances et, même s’il adorait être dominé, il aurait bien voulu passer une soirée peuplée uniquement de tendresse. Pourtant, après avoir été maltraité par les femmes et avoir dû sucer les hommes, il n’était pas vraiment dans les meilleures dispositions pour séduire à nouveau Juliette. Peut-être allait-il tenter sa chance avec Isabelle dont la libido se débridait de jour en jour ?
Pour se rendre chez Brice et Virginie, les quatre invités avaient fait un réel effort vestimentaire. Gilles et Gérard portaient une belle chemise et un pantalon de toile très classe. Les femmes avaient cherché dans leurs affaires ce qu’il pouvait y avoir de plus affriolant.
Céline avait mis une guêpière blanche, qui lui servait en même temps de chemisier. Elle portait une jupe fuchsia avec des bas blancs et une veste noire recouvrait sa guêpière. Ses escarpins étaient assortis à la jupe.
Sophie avait opté pour une dominante en résille. Bas-résille noirs, haut en résille transparente, sans soutien-gorge. Le tout avec une jupe noire très courte et une veste rouge, comme ses escarpins.
Gilles était fier de sortir avec de réelles bombes sexuelles qui faisaient se retourner tous les hommes sur leur passage.
A vingt-heures-quarante-cinq, ils étaient dans sa voiture et prenaient la direction de Carcans. Ils avaient hâte de retrouver ce couple sympathique croisé dans le restaurant et dont les intentions étaient claires. S’éclater avec d’autres couples.
Ils se demandèrent si, finalement, ils n’auraient pas dû proposer à ceux qui étaient restés à la villa de les accompagner au lieu de faire des mystères, mais ils n’avaient pas osé.


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Re: Histoires adultères 2

Messagepar H_mur_75 » Jeu 29 Oct 2015 15:27

Nicolas va-t-il se faire Isabelle qui n'aura peut être pas de tant de mal que cela à le faire bander? vous le saurez peut être en lisant la suite de notre feuilleton quotidien!!!
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar Vrais candauxx » Ven 30 Oct 2015 10:29

Oh merde j'avais raté tout ca!! J'aime les récits!!
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar pascaljean_fr » Ven 30 Oct 2015 10:40

et vu la tournure que semble prendre les rencontres dans ce groupe, l'avenir parait prometteur!!!
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 30 Oct 2015 10:43

La nuit à Carcans.



En arrivant dans la villa qu’avaient louée Virginie et Brice pour les vacances, les deux couples ne regrettèrent pas leur effort vestimentaire. Ils avaient vraiment l’impression d’arriver dans le luxe ! La villa était encore plus luxueuse que celle qu’avait fait aménager Gilles.
Brice vint les accueillir dans le patio où les attendait Virginie. La charmante blonde portait une robe de soirée rouge qui lui allait à merveille. Elle avait une coupe de champagne à la main et leur en proposa immédiatement. Brice leur fit rapidement visiter la villa. Après le patio, il y avait un grand salon avec plusieurs canapés blancs. Ils virent rapidement la salle à manger et la cuisine, puis Stéphanie leur montra les chambres. Il y en avait quatre, beaucoup plus que le couple ne pouvait en occuper.
Une fois la visite terminée, ils s’installèrent dans le salon et reprirent du champagne. Gilles était curieux de savoir ce que pouvait bien faire ce couple pour avoir les moyens de louer une maison pareille !
Brice leur expliqua qu’il avait hérité d’une des plus grosses fortunes de France et possédait la majorité des actions de plusieurs grandes sociétés cotées en bourse. A Céline qui se demandait pourquoi ils ne partaient pas en vacances dans un endroit plus prestigieux, comme les Bahamas, Monaco ou Marbella, il répondit que Carcans était le lieu où il avait passé de nombreuses vacances dans son enfance, avec sa tante, et qu’il était très attaché à la station. C’était également ici qu’il avait connu Virginie, rencontrée dans une boîte de nuit quand ils avaient une vingtaine d’années. Depuis son héritage, ils louaient cette somptueuse villa chaque année pour deux mois, même s’ils n’y venaient qu’une semaine ou deux.
Stéphanie et Sophie trouvaient l’endroit très coquet et magnifiquement agencé. Elles n’avaient encore rien vu ! Après ces conversations mondaines, Brice commença à aborder ce qui avait été la motivation première de leur invitation.
- « Vous avez une longue expérience de l’échangisme ? » demanda-t-il aux quatre invités.
- « Aucune ! », répondit aussitôt Céline. « Gérard et moi n’avons jamais osé franchir le pas. »
- « Et vous ? » demanda-t-il à Sophie et Gilles.
- « Moi, j’ai déjà connu une expérience avec plusieurs hommes dans un club libertin », dit Sophie.
- « Donc tu es plutôt mélangiste », fit remarquer Virginie.
- « Je vais te paraître ignorante », avoua Céline, « mais quelle est la différence ? »
- « Les échangistes ont pour habitude de former des couples avec la partenaire de l’autre. Il y a un échange de partenaires. Pour les mélangistes au contraire, il n’est plus question de couple. On peut trouver un homme avec plusieurs femmes, une femme avec plusieurs hommes, des femmes avec des femmes, des hommes avec des hommes… Tout se mélange ! »
- « En ce qui me concerne, je crois qu’il faut plutôt parler de pluralité masculine », reprit Sophie. « Je n’ai fait l’amour qu’avec des hommes ! »
- « Et toi ? » demanda Brice à Gilles. « Tu participais ou tu n’étais que voyeur ? »
- « Deux jours avant de vous rencontrer dans le restaurant, je n’avais encore jamais vu Sophie », tint à leur préciser Gilles. « Je l’ai invitée en vacances avec son mari, comme Céline et Gérard. D’ailleurs, ce soir son mari est resté dans la villa où nous sommes en vacances avec d’autres amis. »
- « Chic, j’adore les couples illégitimes », s’enthousiasma Virginie. « En général, ils sont moins réservés et se lâchent plus. »
- « Nous nous sommes permis d’inviter d’autres amis », reprit Brice. « Vous verrez, ils sont très sympathiques ! »
- « Ce sont des gens de couleur », ajouta Virginie. « Lui s’appelle Victor et elle Alicia. Ils ont pris la nationalité suisse, mais ils sont tous les deux originaires du Nigéria. Il dirige une banque d’affaires à Genève et nous sommes ses clients. »
- « Ils ne sont pas encore arrivés, mais ne vont pas tarder », précisa son mari en regardant sa montre au bracelet orné de fins diamants. « Ils sont en vacances au Cap-Ferret, à une cinquantaine de kilomètres à peine… »
- « Vous auriez dû amener vos amis restés à la villa », leur dit Virginie.
- « Nous n’avons pas osé », avoua Gérard.
- « La prochaine fois », dit Brice.
Un moment de silence s’installa. Tout le monde s’observait. L’arrivée d’une voiture de sport haut de gamme vint troubler ce silence qui devenait pesant.
- « Les voilà ! » s’exclama Stéphanie.
- « Oui, je vais les accueillir », dit aussitôt Brice en se levant.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 30 Oct 2015 14:04

La nuit à Carcans

Il s’éclipsa quelques minutes et revint avec les deux derniers invités. Alicia était somptueuse. Sa peau était très sombre et elle portait des cheveux mi- longs, complètement défrisés. Elle avait une robe blanche, fendue sur le côté et dont le décolleté dans le dos descendait jusqu’à ses fesses. Victor portait un costume blanc et il était très grand, au moins deux mètres. Il était également très baraqué et, au premier coup d’œil, on le prenait plus facilement pour un basketteur que pour un banquier. Tous deux devaient avoir entre trente-cinq et quarante ans.
Brice fit les présentations. Virginie resservit du champagne à tout le monde et les conversations s’engagèrent à nouveau. Au bout d’un moment, Victor intervint.
- « Nous ne sommes pas venus que pour boire du champagne, si bon soit-il ! J’irai bien profiter de votre magnifique piscine… »
- « Quelle piscine ? » demanda Céline.
- « Ces cachottiers ne vous ont pas encore fait visiter le sous-sol ? » demanda Alicia.
- « Non », avoua Gilles.
- « Venez », dit Brice. « On va descendre à la piscine… »
Il leur fit prendre un escalier que personne n’avait remarqué jusque-là. Quand ils arrivèrent au bas de l’escalier, les invités découvrirent un endroit enchanteur. Une piscine chauffée à trente degrés, des matelas moelleux tout autour, un bar abondamment garni, cet endroit était vraiment propice à la détente. Tout le monde s’installa et Victor de déshabilla aussitôt. Une fois nu, il était encore plus impressionnant physiquement. Alicia retira à son tour sa belle robe blanche. Dessous, elle était nue. Ses fesses étaient splendides et la cambrure de ses reins prodigieuse. Elle avait de petits seins haut-perchés et très fermes. Immédiatement, elle prit l’échelle et descendit dans la piscine.
Virginie retira sa robe rouge et le petit string de dentelle blanche qu’elle portait dessous. Une fois nue, elle était encore plus belle qu’habillée et la finesse de sa taille était manifeste. Au contraire d’Alicia, sa toison n’était pas épilée mais soigneusement taillée. Elle rejoignit la belle jeune femme d’origine africaine dans la piscine.
Dès qu’elle fut à côté d’elle, Virginie la prit dans ses bras et l’enlaça. Elles échangèrent un baiser passionné sous le regard amusé de Victor qui adorait les voir gouiner toutes les deux. Malgré tout, il ne put résister à la tentation de les rejoindre et se mit à l’eau à son tour. Brice en fit autant peu après.
Les quatre invités venus de Lacanau prirent tout leur temps pour se déshabiller. Gilles fut le premier à être prêt à goûter aux joies de la baignade, mais il attendait Sophie. Elle avait retiré son haut en résille et sa jupe et il l’aida à enlever ses bas. Gérard aida, lui aussi, Céline à défaire sa magnifique guêpière blanche, puis ils plongèrent tous les quatre presque simultanément.
Dans la piscine, les couples légitimes c’étaient reformés. Victor s’occupait d’Alicia et Brice de Virginie. Gilles prit Sophie dans ses bras et se colla derrière elle. Il ressentit aussitôt une érection et frotta son sexe contre ses fesses. Un peu plus loin, Gérard embrassait sa femme. Eux aussi se sentaient excités par l’ambiance.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar pascaljean_fr » Mer 4 Nov 2015 19:53

plus rien.... nos vacanciers seraient rentrés précipitamment? mais sur le chemin du retour? rien pas d'aventure?....
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 5 Nov 2015 12:20

La nuit à Carcans

Après ce bain qui les avait complètement détendus, tous les couples s’installèrent sur les épais matelas qui bordaient la piscine. Brice s’allongea aussitôt sur le corps de Virginie. Alicia vint rapidement se coucher sur le matelas voisin et sa bouche chercha celle de la belle blonde. Brice pénétra Virginie lentement et resta sans bouger, son sexe planté dans le sien comme un pieu.
Victor prit la même position que Brice et son sexe, d’une taille impressionnante, s’enfonça dans le vagin d’Alicia. Les deux hommes firent des va-et-vient pendant de longues minutes, puis ils échangèrent leurs places. Virginie adorait sentir l’énorme sexe de Victor en elle.
Les deux couples invités étaient un peu surpris par la rapidité avec laquelle les choses avaient pris forme. Pourtant, ils ne tardèrent pas à se mettre à l’unisson. Un peu plus loin, Gérard était en train de prendre son épouse en levrette. A ses côtés, Sophie était également à quatre pattes et Gilles pilonnait sa chatte par derrière.
Personne n’avait encore joui, mais la chaleur humide les faisait transpirer et Virginie demanda à Victor d’arrêter. Elle voulait prendre un petit bain pour se rafraîchir. Elle retourna dans la piscine, vite imitée par tous les autres. Une fois dans l’eau, les couples se reformèrent. Cette fois, Virginie et Brice étaient à côté de Céline et Gérard. Quand Brice plongea pour aller embrasser la chatte de Céline, Gérard en profita pour embrasser Virginie, puis il la pénétra en douceur. C’était la première fois que Céline voyait son mari faire l’amour avec une autre femme. L’inverse n’était pas tout à fait vrai. Depuis très longtemps, il avait harcelé Céline pour qu’elle accepte un autre partenaire masculin et elle avait fini par céder. Les choses s’étaient passées dans leur appartement de Versailles. Ils avaient invité un internaute qui semblait avoir particulièrement plu à la jeune femme, mais la soirée avait été très décevante. Leur invité était éjaculateur précoce et il avait joui dès que Céline avait commencé à le branler, sans même avoir le temps de la pénétrer. Ensuite, il n’avait jamais plus bandé ! Ce soir, Gérard était sûr qu’avec tous ses hommes il verrait jouir son épouse avec un autre que lui.
Victor avait soulevé Alicia et l’avait empalée sur son sexe. Sophie entamait une fellation sur Gilles qui faisait la planche pour que son sexe affleure à la surface. Victor faisait aller et venir Alicia sur sa colonne de chair de plus en plus dure. A côté de lui, Sophie se régalait de la queue de Gilles. Il reposa son épouse et empoigna les fesses de Sophie. Elle sentit le sexe du grand black la pénétrer par en-dessous et poussa un gémissement de plaisir. Jamais rien d’aussi gros n’avait pénétré dans son vagin, à part, peut-être, la fois où, seule dans sa cuisine elle avait voulu se masturber avec un concombre. Elle abandonna le sexe de Gilles, mais la bouche d’Alicia prit aussitôt la place de la sienne. La sculpturale beauté noire suçait encore mieux que Sophie !
Brice avait pris Céline par les cuisses et la pénétrait vigoureusement. Elle se tenait à son cou et rejetait la tête en arrière, sur le point d’avoir un orgasme. Gérard, lui, continuait à s’activer dans le sexe de Virginie qui aimait bien sa façon de remonter vers le haut à chaque coup de rein. Sophie fut la première à jouir. La grosse queue noire de Victor lui faisait tellement d’effet qu’elle criait avec force. Pendant que son mari faisait du bien à Sophie, Alicia avait demandé à Gilles de la sodomiser. Victor avait une queue trop grosse pour le faire, il l’aurait déchirée, aussi elle en profitait pour goûter à la sodomie à chaque fois qu’elle avait un partenaire aux proportions normales. Le sexe de Gilles était pourtant de bonne taille, il avoisinait les vingt centimètres, mais cela n’avait rien à voir avec le gourdin de près de trente centimètres dont était affublé son mari.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 10 Nov 2015 11:58

La nuit à Carcans

Céline jouit un peu après Sophie. Brice jouit aussi et resta longtemps en elle après son orgasme. Il attendait celui de son épouse. L’entendre crier à son tour allait sans doute lui redonner la vigueur nécessaire pour une nouvelle pénétration. Il adorait prendre Virginie immédiatement après qu’elle ait eu un orgasme avec un autre. Il dut attendre un certain temps car, si Gérard s’y prenait assez bien, elle était longue à jouir. Leurs multiples expériences sexuelles avaient un peu blasé sa libido et elle n’atteignait plus aussi facilement l’orgasme qu’au début. Elle jouit enfin et, dès que Gérard se retira, Brice prit sa place.
Alicia se faisait toujours enculer par Gilles. En général, cela ne lui procurait pas d’orgasme, mais elle adorait cette sensation. Victor, qui le savait, vint prêter main forte à Gilles. Il se mit face à son épouse et fit remonter son sexe vers son vagin. Alicia était prise en sandwich. Gilles pénétrait son cul et Victor sa chatte. Cette double pénétration lui procura un orgasme extrêmement violent. Gilles et Victor se regardèrent avec le sentiment du devoir accompli, puis sortirent ensemble se servir un verre au bar.
Tout le monde les rejoignit peu de temps après. La soirée avait vraiment bien commencé. Chacune des femmes avait déjà eu un orgasme et les hommes devaient économiser leurs forces car, une fois lancées, leurs partenaires étaient insatiables. Brice tenait à ce que, dans ce genre de soirée, tous les hommes puissent satisfaire son épouse. Ce soir, il ne manquait plus que Gilles. Il fit remarquer à Virginie qu’elle n’avait pas encore eu de rapport avec lui.
- « Justement », répondit-elle en venant prendre Gilles par la main, « je comptais aller me reposer un peu dans la chambre… »
- « Je te suis », dit Gilles en jetant tout de même un regard à Sophie qu’il abandonnait.
- « Ne t’inquiète pas », lui fit aussitôt Brice. « Je m’occupe d’elle… »
Gilles suivit Virginie dans une des chambres. Aussitôt arrivée, elle s’allongea sur le grand lit.
- « Viens me bouffer la chatte », lui dit-elle en écartant largement les cuisses et en ouvrant les fines lèvres de son sexe pour qu’il découvre sans tarder l’intérieur rose et luisant de son vagin.
Gilles ne se le fit pas dire deux fois. Il plongea entre les cuisses de la belle blonde et découvrit le goût de son sexe parfumé. Stéphanie aimait ces longs cunnilingus encore plus que les pénétrations. C’était avec la bouche d’un homme ou d’une femme qu’elle avait connu ses plus beaux orgasmes. Elle se souvenait en particulier de la première fois où Alicia l’avait léchée. Ce soir-là, elle lui avait procuré quinze orgasmes successifs, un record ! A la fin, elle ne savait même plus où elle était et les vagues de plaisir s’enchaînaient de plus en plus rapidement. Ce soir, elle voulait voir si un homme était capable de la faire jouir aussi bien et Gilles lui semblait être celui qui aurait la patience de lécher sa chatte assez longtemps.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 10 Nov 2015 15:11

La nuit à Carcans

Les autres étaient restés au bord de la piscine. Brice, comme il l’avait promis, s’occupait de Sophie. La jeune femme lui plaisait beaucoup. Avec ses seins beaucoup plus gros que ceux de Stéphanie, ses fesses rebondies et ses hanches larges, elle était tout le contraire de son épouse.
- « Tu aimes les jeux SM ? » demanda-t-il de manière assez abrupte.
- « J’adore ! » répondit Sophie avec une lueur dans les yeux.
- « Viens, je vais te montrer une des chambres qui est plutôt bien équipée. »
Sophie le suivit sans hésiter. Ils passèrent devant la chambre où Gilles était consciencieusement agenouillé entre les jambes de Stéphanie et la léchait depuis un bon quart d’heure. Elle avait déjà connu deux orgasmes.
Brice fit entrer Sophie dans une autre des chambres. Il lui montra la croix de Saint-André qui servait à attacher les soumis, ouvrit une boîte contenant des pinces et toutes sortes d’accessoires destinés à faire mal, puis il se dirigea vers un placard qu’il ouvrit lentement. A l’intérieur, il y avait des martinets, des cravaches, des fouets et une incroyable collection de godemichets de toutes tailles et de toutes matières : en verre, en métal, en latex… Sophie prit celui qui était le plus long. Il mesurait au moins cinquante centimètres et un gland se trouvait à chaque extrémité.
- « C’est un double-gode », expliqua Brice. « Virginie et Alicia adorent l’utiliser. »
Sophie prit alors un gode-ceinture dont le sexe était noir. Elle n’en avait jamais utilisé.
- « J’aimerais bien défoncer ta petite femme avec », dit-elle à Brice.
- « Hum, si tu veux. On ira lui proposer tout à l’heure… »
Il se rapprocha de Sophie et posa les mains sur ses seins. Il les pressa l’un contre l’autre et lui fit un peu mal.
- « Tu n’as pas envie que je les ligote bien serrés ? » demanda-t-il en attrapant une corde blanche posée sur le sol du placard.
- « Non merci ! » répondit Sophie avec véhémence. « Ce n’est pas mon trip ! J’aime les jeux SM, mais c’est moi qui domine ! »
- « Ah oui ? » s’étonna Brice. « Quel dommage ! Je crois que j’aurais adoré accrocher de belles pinces sur tes gros seins et faire couler de la cire sur ta chatte… »
- « Il faudra que tu trouves une autre victime. Par contre je veux bien t’aider à le faire… »
- « Ok, on va aller jouer avec Alicia. Cette petite cochonne aime bien obéir… »

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 16 Nov 2015 10:16

La nuit à Carcans

Justement, au sous-sol, Gérard et Victor étaient partis dans une grande discussion sur le sport qui les passionnait tous les deux : la course automobile. Victor était un fervent supporter de l’écurie Ferrari, normal, il en possédait une ! Gérard, par contre, défendait l’écurie Redbull, dont il jugeait la progression fantastique.
Céline et Alicia n’avaient que faire de leurs discussions et elles étaient en train de se distraire toutes seules. Elles s’étaient allongées, tête bêche sur un des matelas, et avaient entamé un soixante-neuf très agréable. Sophie s’approcha d’elles.
- « Alors Céline, tu réalises enfin ton fantasme ? »
- « Quel fantasme ? » demanda Alicia.
- « Faire l’amour avec une femme », avoua Céline. « C’est la première fois… »
- « Tu es douée pour une débutante ! Tu viens jouer avec nous ? » demanda-t-elle à Sophie.
- « Non, mais Brice et moi, on cherche quelqu’un pour jouer avec nous à des jeux SM dans la salle aménagée. »
- « C’est vrai ? » s’exclama Alicia. « Tu viens Céline, on y va ? »
- « Bof ! »
- « Allez viens, tu vas voir comme c’est jouissif ! »
Céline n’était pas tentée du tout. Elle accepta par curiosité car sa seule expérience SM se réduisait à la domination de Nicolas la veille. Elles rejoignirent Brice qui les attendait avec un martinet à la main. Sans hésiter, il avança vers Alicia. Ils avaient l’habitude de jouer à ce genre de jeux et il savait qu’elle adorait son ton autoritaire.
- « Viens là que je t’attache les mains et les pieds, petite pute bourgeoise ! » lui dit-il.
- « Passe-moi le martinet », dit Sophie, « je fais lui fouetter la chatte pendant que tu l’attaches ».
Brice attacha les poignets et les chevilles d’Alicia. Pendant ce temps, Sophie fouettait doucement sa chatte avec les lanières du martinet. Elle regarda Céline et lui sourit.
- « Tu veux participer ? » lui demanda-t-elle en lui tendant le martinet.
- « Non, je ne pourrai pas la frapper », dit Céline.
- « Alors tu vas participer autrement ! » répondit Sophie en abattant le martinet sur ses fesses.
- « Aïe ! Tu me fais mal ! »
- « Ta gueule ! » s’énerva Sophie en la saisissant pas les cheveux. « Viens sucer Brice ! »
Elle l’entraîna vers Brice qui lui fourra immédiatement la queue entre les lèvres. Sans ménagement, il lui baisa la bouche, s’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge. Céline faillit vomir. Pendant ce temps, Sophie s’était rapprochée d’Alicia et lui pinçait les pointes des seins jusqu’à ce qu’elle crie. La belle black avait l’habitude de se soumettre et elle était devenue très résistante. Sophie dut serrer de toutes ses forces pour lui arracher enfin un soupir. Elle alla chercher des pinces et les attacha au bout des seins et sur la chatte de sa victime. Alicia ne bronchait toujours pas.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 16 Nov 2015 12:35

La nuit à Carcans


Brice en avait assez de la bouche de Céline. Il alla chercher des cordes et la ligota solidement avec une complexité qui prouvait son expérience dans les jeux de cordes. Elle se retrouva obligée de maintenir la tête en arrière, car, à chaque fois qu’elle la relevait, la corde lui rentrait dans la chatte et lui faisait mal. Il la tira par les cheveux et l’obligea à se mettre à genoux. Elle restait renversée, la bouche grande ouverte.
- « J’ai envie de te voir lui pisser dans la bouche », dit soudain Brice à Sophie.
- « Avec grand plaisir », répondit-elle.
Elle se mit au-dessus du visage de Céline et lâcha un petit jet doré qui atterrit dans la bouche de la soumise involontaire. Voyant que Brice appréciait, elle libéra complètement sa vessie et inonda la bouche et le corps de la pauvre Céline. Elle en avait plein les cheveux !
Brice alla détacher Alicia. Il la traîna par les cheveux et lui ordonna de pisser également dans la bouche de Céline. Une fois encore, elle reçut l’urine chaude dans la bouche. Sophie la força à avaler.
- « Alors, c’est bon ma petite salope ? » demanda-t-elle.
Céline ne l’avait jamais vue comme ça. Même avec Nicolas, elle semblait moins autoritaire. Brice vint à son tour pisser sur les seins puis dans la bouche d’Alicia. Elle, par contre, semblait aimer cela et but tout sans rechigner.
- « Alicia, tu es vraiment une grosse cochonne ! » lui dit-il.
- « Bon, si on passait à autre chose ? » demanda Sophie.
- « Je crois qu’on va arrêter le SM pour ce soir et les laisser aller prendre une douche », répondit Brice, magnanime.
Cinq minutes plus tard, Céline et Alicia étaient dans la baignoire de la magnifique salle de bains et se savonnaient mutuellement. Très rapidement, les savonnages devinrent de tendres caresses et elles se masturbèrent mutuellement avec beaucoup de sensualité.
Dans la chambre, Gilles léchait Virginie depuis maintenant plus d’une heure. Elle enchaînait les orgasmes et en était déjà au treizième. Plus que deux et elle égalait le record établi avec Alicia !
Quand Gérard et Victor remontèrent enfin de la piscine, Brice et Sophie étaient, eux aussi, en train de faire l’amour. Après cette séance de domination ultra-violente, ils faisaient preuve d’une grande tendresse. Ils rejoignirent Brice. Tour à tour, ils prirent sa place dans la chatte de Sophie. La jeune femme connut plusieurs orgasmes. C’était surtout l’énorme queue de Victor qui lui plaisait ! Ils la firent jouir trois fois, une fois chacun !

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 17 Nov 2015 09:57

La nuit à Carcans

Quand Céline et Alicia revinrent de la salle de bains, elles avaient retrouvé une apparence beaucoup plus présentable. Elles expliquèrent à leurs maris respectifs ce que leur avaient fait subir Sophie et Brice. Victor avait l’habitude de ce genre de récit, mais Gérard ne s’y attendait pas. A la grande surprise de Céline, au lieu de protester, il regretta seulement de ne pas avoir assisté au spectacle.
Dans la pièce voisine, Virginie criait sans discontinuer. Elle en était à son dix-neuvième orgasme consécutif et les enchaînait de plus en plus vite. Son corps était secoué de tremblements et elle était épuisée, mais heureuse. A sa demande, Gilles arrêta enfin de s’acharner sur son clitoris. Elle mit près de dix minutes avant de retrouver ses esprits et de rejoindre les autres, qui étaient retournés dans le salon. Il était près de trois heures du matin. Tout le monde commençait à être bien fatigué.
- « Vous n’allez pas rentrer », dit Brice. « Nous avons assez de chambres. D’habitude la nuit qui suit ce genre de soirée est l’occasion pour les couples de se retrouver, mais que diriez-vous pour une fois de changer les règles ? »
- « C'est-à-dire ? » demanda Céline.
- « Je propose que chacun dorme avec un autre que son partenaire habituel. »
- « D’accord, à condition que les filles choisissent ! » s’exclama Sophie.
- « Entendu, laquelle choisit la première ? »
- « On va tirer au sort », proposa Gilles.
Il alla chercher quatre pailles dans le bar et les coupa de longueur différente.
- « Celle qui tire la plus courte choisit la première et ainsi de suite… »
Personne ne contesta son mode de sélection. Les filles tirèrent chacune une paille, puis les comparèrent. Sophie avait tiré la plus courte.
- « Je choisis Victor », dit-elle sans hésiter. « Sa queue est trop bonne ! »
- « A toi Virginie », dit Gérard.
- « Gilles ! Je lui dois bien cela… Avec le nombre d’orgasmes qu’il m’a procurés, il n’a même pas eu le temps de jouir ! »
- « Alicia ? »
- « Je connais trop bien Brice, et puis cela obligerait Céline à dormir avec son mari. Je choisis Gérard. »
- « Eh bien tu vas avoir le plaisir de dormir avec moi », dit Brice à Céline. « Rassure-toi, je sais aussi être tendre… »
Tout le monde alla se coucher, mais pour le moment, ils pensaient plus à dormir qu’à faire l’amour. La soirée avait été épuisante…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar pascaljean_fr » Mar 17 Nov 2015 11:14

toujours autant passionnant avec des retournements de situation imprévus! t'inspires tu de ta propre expérience?...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 17 Nov 2015 14:21

Non, il y a peu de choses tirées de mon expérience personnelle.
Les personnages sont souvent issus des confidences de maris fantasmant sur les aventures de leurs épouses... Le reste est le pur produit de mon imagination...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 17 Nov 2015 14:27

La vengeance de Céline.



Après un sommeil réparateur, Virginie s’était à nouveau montrée avide de sexe. Gilles avait enfin pu lui faire l’amour sans chercher à battre des records. Il l’avait prise dans toutes les positions qui lui passaient par la tête et se rendit compte que, cette ancienne danseuse classique, avait gardé une souplesse phénoménale. Elle était même capable de lécher sa propre chatte !
Sophie s’était fait défoncer par Victor pendant une partie de la nuit et elle avait même réveillé ses voisins quand elle avait accepté qu’il la sodomise. Son énorme sexe avait fini par rentrer dans son petit cul, mais elle avait hurlé !
Gérard n’était pas prêt d’oublier la nuit passée avec Alicia. La splendide jeune femme noire lui avait offert un festival de sexe. Soixante-neuf, levrette, fellation, foot-job, face-sitting, sodomie… Tout y était passé !
Céline non plus n’était pas restée sur sa faim. Non seulement Brice s’était montré très tendre, la couvrant de baisers et de caresses, mais il lui avait fait l’amour en mettant toute son expérience au service de son corps. Elle avait découvert des zones érogènes qu’elle ne soupçonnait même pas.
Ils prirent un copieux petit déjeuner, puis se séparèrent. Ils se promirent de se revoir, mais Gilles en doutait. Il restait un peu plus d’une semaine, mais Céline et Gérard allaient repartir à Versailles, Sophie à Toulon. Alicia et Victor à Genève. Virginie et Brice, eux, partageaient leur temps entre la Bretagne, les Alpes et des séjours à l’étranger. Par contre, Gilles ne manquerait pas de les contacter quand ils reviendraient à Carcans. Il n’habitait pas tellement loin.
Pendant le trajet du retour à Lacanau, il était évident que Céline en voulait encore à Sophie de la séance de domination assez hard qu’elle lui avait fait subir. Quand ils arrivèrent à la villa, l’ambiance n’était pas non plus très amicale. Nicolas en voulait à Sophie de l’avoir laissé tomber depuis la veille au soir et Stéphanie était contrariée de ne pas avoir pu sortir avec Céline et Sophie. Isabelle en voulait à Gilles d’être parti avec Sophie, ou à Sophie d’avoir pris sa place auprès de lui, surtout après la nuit qu’ils avaient passée ensemble. Comme Stéphanie et Juliette s’était également fâchées à cause d’une broutille, le tableau était complet !
Pour la première fois, ils ne prirent pas leur repas en commun. Chacun des couples mangea chez lui, à part Nicolas qui ne quittait plus Juliette et Anton. Ils l’avaient adopté. Anton se sentait plus détendu depuis qu’il draguait Juliette. Elle ne se sentait en effet jamais aussi bien que quand elle était désirée. De plus, elle ne manifestait plus aucune animosité à l’encontre d’Anton. Toute son agressivité se déchargeait sur Nicolas. Il s’en moquait car ce n’était vraiment rien à côté de Sophie.
Voyant que son mari était parti avec le couple, Sophie et Gilles déjeunèrent ensemble dans l’appartement de celui qui avait invité tout le monde. Il avait décidé de lui faire une surprise et alluma son ordinateur.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 17 Nov 2015 14:46

La vengeance de Céline

- « Mais c’est Juliette ! » s’écria Sophie en la voyant sur l’écran.
- « Oui, en direct ! »
- « Tu filmes à son insu ? Mais c’est dégueulasse ! »
- « Oh, ne t’offusque pas… Oui, je filme tous les appartements, tu veux voir ce qui se passe chez Isabelle et Alex ? »
- « Oui, fais voir ! » s’exclama Sophie qui se prenait déjà au jeu.
Gilles changea de caméra et ils virent Isabelle et Alex en train de manger leur dessert.
- « Tu conserves les enregistrements ? » demanda la belle Sophie.
- « Oui, j’ai vingt-quatre heures pour les sauvegarder », répondit Gilles. « Tu veux voir ce qui s’est passé pendant qu’on n’était pas là ? »
- « Et comment ! »
Il rechercha sur l’ordinateur parmi les fichiers temporaires et trouva assez vite quelque chose d’intéressant. Juliette et Anton étaient dans le petit salon. La jeune femme était en train de lire. Anton vint s’asseoir à ses côtés. Il posa la main sur sa cuisse et elle soupira.
- « Tu n’as pas envie de faire l’amour ? » demanda-t-il.
- « Si, mais pas avec toi ! » répondit-elle sèchement.
- « Ah, tu préférerais Nicolas ? »
- « Pour ne rien te cacher, oui ! »
- « Eh bien va le chercher », répondit Anton à sa grande surprise. « En se serrant un peu, on devrait tenir à trois dans le lit… »
Elle lui sourit et partit chercher Nicolas sur le champ. Il ne se fit pas prier pour la suivre. Sophie demanda à Gilles d’avancer l’image.
- « Je veux voir si ce salaud a couché avec elle ! »
- « Pourquoi ? Il n‘a pas le droit ? Toi, tu te fais sauter par quatre mecs et lui il ne doit pas broncher ? »
- « Ce n’est pas pareil ! » s’insurgea Sophie, « lui c’est mon soumis ! Il baise avec qui je veux ! Allez, avance encore ! »
Gilles fit avancer l’enregistrement jusqu’au moment où les trois occupants quittèrent le salon.
- « Merde ! Ils vont dans la chambre… »
- « Ne panique pas ! On va changer de fichier… »
- « Pourquoi, tu filmes aussi les chambres ? »
- « Bien sûr, ce sont même les films les plus intéressants… »
- « Voyeur ! »
- « Oui ! »
Il changea de fichier et avança jusqu’au moment où Nicolas entrait dans la chambre, précédé par Juliette et suivi par Anton. Sophie les vit se déshabiller tous les trois et Juliette se mit à sucer Nicolas.
- « La salope ! » s’écria Sophie.
Gilles ne put s’empêcher de rire. Ainsi, Sophie ne voyait pas d’inconvénient à ce que Nicolas soit soumis à une autre femme, mais elle ne lui accordait pas le droit d’avoir une relation « normale »…
Sur l’écran, ils virent Anton qui s’approchait de Juliette et lui caressait les fesses. Il lui prit la tête et l’obligea à se tourner vers lui. Sa queue remplaça celle de Nicolas dans la bouche de la belle Juliette. Il l’entraîna sur lit et Anton les suivit. Juliette abandonna le sexe de son mari pour revenir à celui de Nicolas. Anton avait encore envie de se faire sucer.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 17 Nov 2015 16:50

La vengeance de Céline


C’est devant la bouche d’Anton qu’il présenta sa queue. Il la prit dans sa bouche sans hésiter. Ils virent ensuite Juliette et Nicolas se partager le sexe d’Anton, puis ce dernier prit sa femme en levrette pendant qu’elle suçait le compagnon de Sophie.
- « Arrête-moi ça ! » s’énerva Sophie. « Je n’ai pas envie de le voir jouir dans sa bouche ! »
- « Tu es jalouse ? »
- « Oui ! » se mit à crier la jeune femme. « Il m’appartient, il est ma chose ! Je veux bien qu’il baise, qu’il suce des chattes et des bites, mais seulement si je le lui demande ! »
- « Laisse-le un peu vivre ! »
- « Pas question, cette salope va me le payer ! »
Pour la calmer, Gilles l’embrassa. Sophie le laissa faire, mais le cœur n’y était pas. Il n’insista pas et lui proposa de regarder les enregistrements faits dans l’appartement d’Isabelle et Alex. Elle n’en avait pas envie. Lui non plus, à vrai dire…
Dans sa chambre, Stéphanie mangeait seule. Gilles proposa d’aller la chercher, au moins pour le dessert. Sophie ne se montra vraiment pas enthousiaste.
- « Fais comme tu veux » dit-elle « Moi, je vais aller dormir un peu. Cette nuit avec le grand black m’a épuisée. Après, j’irai dominer un peu Nicolas. Il est temps qu’il reprenne de bonnes habitudes… »
- « J’ai bien vu que tu n’aimes pas beaucoup Stéphanie.» fit remarquer Gilles.
- « C’est vrai » répondit Sophie. « Mais je crois que je n’aime aucune femme. Ce sont toutes des concurrentes ! »
- « En tous cas, l’ambiance est en train de tourner au désastre. Il va être temps que je réunisse tout le monde… »
- « Fais pas chier ! » aboya Sophie en quittant la pièce énervée. « Je vais dormir un peu. »
Gilles la laissa partir et alla chercher Stéphanie. Elle semblait contrariée, mais parut contente de le voir.
- « Tu t’intéresses enfin un peu à moi ? » demanda-t-elle.
- « Mais bien sûr Stéphanie » répondit Gilles un peu surpris.
- « Parce qu’hier soir, j’ai trouvé votre escapade un peu louche. Où étiez-vous partis ?»
- « On est allé rejoindre un couple rencontré la veille de ton arrivée avec Céline et Gérard. »
- « Sophie se comporte de plus en plus comme si elle était ta femme » fit remarquer Stéphanie.
- « Cela n’a pas l’air de déranger Nicolas » répondit-il. « Il en profite bien avec Juliette. Pourquoi, tu es jalouse ? » ajouta-t-il en prenant la belle blonde par les épaules.
- « Un peu » admit Stéphanie. « Je suis la seule femme présente sans son mari et tu ne t’intéresses qu’à Sophie… »
- « Ce n’est pas vrai ! » s’insurgea Gilles. « J’ai fait l’amour plusieurs fois avec Isabelle et, hier soir, j’étais aussi avec Céline. »
- « Oui, mais Juliette et moi, tu nous délaisses complètement… Pourquoi ? Tu n’aimes pas les blondes ? »
- « Pas du tout ! Au contraire ! » s’énerva Gilles qui la trouvait ravissante.
Pour lui en donner la preuve, il la prit dans ses bras et posa les mains sur ses seins. Stéphanie le laissa faire et tendit la bouche vers la sienne. Il l’embrassa.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Nov 2015 12:18

La vengeance de Céline

- « Ces jeux de pipi que tu semblais avoir tellement d’essayer, serais-tu prête à les partager avec moi ? »
- « Pourquoi pas ?»
- « Là, il faut que je me repose un peu. La nuit dernière a été épuisante. Viens après… »
- « Oui, moi aussi j’ai besoin de dormir un peu » répondit Stéphanie.
- « Dans ce cas, faisons une petite sieste ensemble » insista Gilles en commençant à la déshabiller.
Stéphanie le laissa faire. Il lui retira son tee-shirt et son short, ne lui laissant qu’un petit string blanc et les éternelles socquettes blanches qu’elle portait dans ses Converse. Elle s’allongea sur le lit et il la rejoignit après s’être déshabillé, lui-aussi.
Elle vint se lover contre lui et il l’embrassa avec beaucoup de douceur. Stéphanie posa sa tête sur son épaule et s’endormit très vite. L’un et l’autre avaient besoin de récupérer.
Après une heure d’un sommeil réparateur, Gilles se réveilla le premier. Il regarda Stéphanie qui dormait encore. Avec ses petites socquettes blanches et son string transparent qui ne laissait rien ignorer de son sexe parfaitement épilé, elle était délicieuse. Il se dit qu’il avait été idiot de ne pas profiter d’elle plus tôt alors que, visiblement, elle ne demandait que cela.
En attendant qu’elle se réveille, il alluma son ordinateur et vérifia ce que faisaient les autres occupants de la villa. Sophie dormait profondément. Céline et Gérard étaient, eux-aussi, endormis. Isabelle et Alex n’étaient pas là. Malgré le mauvais temps, ils étaient sortis faire un tour. Quant à Juliette, elle faisait toujours cajoler par ses deux hommes.
Voyant que Stéphanie se réveillait, Gilles arrêta l’ordinateur. Il s’approcha d’elle et prit ses pieds dans ses mains.
- « Tu m’excites à mort avec tes petites chaussettes blanches » dit-il. « Envie de faire pipi ? »
- « Oui » répondit Stéphanie.
- « Alors vas-y » reprit Gilles en lui écartant les cuisses.
- « Pas ici, laisse-moi me lever… »
- « Non, je veux voir ta culotte se mouiller. Je veux que tu inondes mon lit… »
Stéphanie lui sourit et écarta largement les cuisses. Il vit alors une tache apparaître sur le string blanc. Elle avait une grosse envie. La tâche s’élargit et, bientôt le string fut trempé. Plus il était mouillé, plus il devenait transparent. Gilles voyait maintenant parfaitement le contour de ses lèvres épilées au travers de l’étoffe souillée. En voyant l’ampleur de l’érection, Stéphanie compris que cela lui faisait beaucoup d’effet.
Gilles se mit sur le lit et vint lécher le string inondé, puis, délicatement il le retira à la belle blonde qui souriait toujours et l’essora sur ses socquettes blanches.
- « Fais pipi sur tes pieds » demanda cet incorrigible fétichiste.
Stéphanie ne le fit pas attendre. C’était exactement le genre de petit jeu pervers dont elle avait rêvé. Un jet d’urine très clair jaillit de son sexe et trempa les socquettes blanches. Gilles s’approcha et urina à son tour sur les pieds de la jeune femme.
Lorsqu’ils eurent terminé tous les deux, il monta sur le lit et lui fit l’amour dans la pisse chaude. Ils en avaient partout, mais ils jouirent très fort tous les deux.
Après ce moment merveilleux, Stéphanie n’avait plus trop envie de repartir. Ils prirent une douche tous les deux et elle fut l’occasion de nouvelles caresses. Gilles regarda par la fenêtre.
Comme le soleil était revenu, tout le monde se retrouva au bord de la piscine. Gilles réunit tout le monde et décida de parler à ses invités.
- « Fais pipi sur tes pieds » demanda cet incorrigible fétichiste.
Les tensions entre Juliette, Céline et Isabelle s’apaisèrent, mais Sophie continuait à être complètement isolée. De surcroit, elle avait compris que Gilles venait de passer un moment avec Stéphanie et elle en voulait désormais à la blonde.

Un drôle de plan s’échafauda dans la tête de ses voisines…


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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Nov 2015 15:24

La vengeance de Céline.



Depuis que Céline avait raconté aux autres femmes comment Sophie l’avait dominée à Carcans, elles voulaient l’aider à se venger. Ce fut Isabelle qui se chargea du premier contact avec Sophie.
- « Dis-moi, Sophie, tu te souviens que le fantasme que j’avais exprimé sur la plage était d’être dominée par une femme ? »
- « Oui, je m’en souviens… »
- « Eh bien, j’aimerais le réaliser avant la fin des vacances.»
- « Ce n’est pas très difficile », répondit Sophie. « Viens me retrouver dans mon appartement ce soir. Je te ferai découvrir les joies des lanières… »
- « D’accord, mais j’aimerais que les autres filles soient là… »
- « Je croyais que tu n’étais pas exhibitionniste ? » fit remarquer Sophie.
- « Non, mais je crois que cela me donnera du courage. Et puis, depuis vos petits jeux dans la cuisine et au café, je suis en train de le devenir. Cela te dérange ? J’ai bien vu que vous êtes en froid, mais il faut profiter des quelques jours de vacances qui nous restent… »
- « Tu as raison ! Venez toutes les quatre après le repas du soir. »
- « On va se faire une soirée entre filles », ajouta Juliette. « On va envoyer les hommes au casino… Depuis le temps qu’ils nous tannent pour qu’on aille dépenser nos sous là-bas ! »
- « Bonne idée ! »
Jusqu’au soir, il ne se passa pas grand-chose au bord de la piscine. Les relations se détendirent tout de même et tous décidèrent de prendre, à nouveau, le repas du soir en commun. Les hommes étaient ravis d’aller au casino. Le repas se déroula normalement, puis ils partirent se préparer pendant que leurs femmes débarrassaient la table et faisaient la vaisselle.
A vingt et une heures, elles étaient seules et Sophie demanda à Isabelle de la suivre dans son appartement. Les trois autres leur emboîtèrent le pas. Elle allait chercher son matériel…
Aussitôt revenues dans le salon, Sophie lui ordonna de se mettre nue. Isabelle retira sa petite robe toute excitée. Elle avait réellement envie de recevoir des ordres. Sophie lui demanda de s’exhiber devant les trois autres, de bien leur montrer sa chatte et son cul. Elle le fit sans rechigner.
La plantureuse toulonnaise alla chercher un martinet et caressa les belles fesses d’Isabelle avec les lanières, puis elle fit cingler le cuir. Sa victime ne c’était pas attendue à ce que cela fasse aussi mal.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Nov 2015 17:11

La vengeance de Céline.

- « Ca va pas, non ! » s’énerva-t-elle. « Je t’ai dit que je n’étais pas soumise ! »
- « Moi non plus, je ne l’étais pas avant-hier soir ! » répondit Céline. « Aidez-moi les filles ! On va s’occuper d’elle ! »
Isabelle et Juliette se jetèrent sur Sophie qui se débattit, mais la maîtrisèrent facilement. Elles la firent entrer dans sa chambre et l’attachèrent au lit. Céline s’avança alors vers elle et fit claquer le martinet sur ses cuisses.
- « Alors, petite pute, tu es moins sûre de toi une fois attachée ? »
- « Il parait que tu n’as jamais voulu goûter une chatte », dit Juliette. « C’est Nicolas qui me l’a dit ! Ce soir tu vas te régaler avec les nôtres ! »
Elle se mit au-dessus de son visage et avança lentement son sexe vers la bouche de la prisonnière. Sophie essaya de tourner la tête pour éviter le contact, mais Isabelle lui maintenait le crâne. Juliette posa les lèvres de son sexe en plein sur la bouche de la jeune femme. Progressivement, elle s’assit complètement sur son visage, l’obligeant à ouvrir la bouche pour reprendre de l’air.
- « Alors, c’est bon ? » demanda Juliette.
Sophie ne répondit pas. Juliette se releva et Isabelle prit sa place. Sa chatte suintait de désir. Céline abattit le martinet plusieurs fois sur le sexe de Sophie.
- « Lèche-la bien ! Sinon, je te fais vraiment mal ! »
Sophie sortit sa langue et se mit à laper le sexe d’Isabelle. Elle, qui avait toujours eu une répulsion pour les jeux lesbiens, ne trouva pas cela désagréable. Le goût poivré du vagin d’Isabelle envahit sa bouche et sa mouille coula sur ses lèvres. Céline avait envie, elle aussi, de profiter de cette bouche et prit, à son tour, place sur le visage de Sophie.
- « Lèche-moi, salope ! » cria-t-elle. « Bouffe mon clitoris jusqu’à ce que je jouisse ! »
Sophie chercha le clitoris de Céline qui était petit et peu apparent. Elle le titilla longuement avec sa langue, puis le mordilla légèrement. Céline connut l’orgasme qu’elle réclamait.
Pendant ce temps, Isabelle et Juliette s’occupaient des seins de Sophie. Elles les léchaient, les mordaient, pinçaient les pointes. Sophie, la dominatrice, se retrouvait dans la position d’une lesbienne soumise. Quand Céline eut joui, elle regarda Sophie droit dans les yeux.
- « Alors », lui demanda-t-elle, « tu trouves ça cool de faire ce qu’on n’aime pas ? Moi, tu sais, j’ai horreur des jeux uro, mais pour te faire plaisir, je vais te faire goûter ma pisse… »

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 20 Nov 2015 10:52

La vengeance de Céline

Sans ajouter un mot, elle se remit au-dessus de la bouche de Sophie et lui urina sur le visage. Une énorme flaque se forma sur le drap. Céline lui pinça le nez jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche pour reprendre de l’air et elle pissa dans sa gorge. Sophie faillit s’étrangler.
- « A vous mes chéries », dit-elle en allant chercher le gode-ceinture. « C’était ton fantasme, je crois, Stéphanie ? Vous allez lui pisser dans la bouche pendant que je la baise ! »
Stéphanie prit place au-dessus du visage de Sophie et urina dans sa bouche pendant que Céline pénétrait la chatte de Sophie sans ménagement. Elle pissa aussi longtemps qu’elle put, l’obligeant, elle aussi, à recevoir le liquide dans la bouche. Sophie ne se défendait même plus et laissait le jus doré déborder de ses lèvres. Il y en avait plein le lit!
Juliette pris ensuite sa place. Quand Isabelle vint pisser à son tour, Céline augmenta la force et la vigueur de ses coups de reins. Elle voulait faire jouir cette salope de Sophie. Elle y parvint juste au moment où le jet qui sortait du sexe d’Isabelle atteignit la langue de Sophie. L’orgasme qu’elle connut la fit crier et elle avala une grande gorgée de pisse.
Après cette séance, elle en avait vraiment partout. Ses cheveux dégoulinaient de pisse et elle n’avait vraiment plus la force de résister.
- « Détachez-moi, demanda-t-elle. Je voudrais aller prendre une douche… »
- « Pas question ! » répondit Céline. « Tu vas rester pleine de pisse ! je veux bien te détacher, mais c’est pour que tu ailles nous préparer du thé. Il parait que c’est diurétique… »
- « Tu as raison », ajouta Juliette. « Je pense qu’elle n’en a pas eu assez ! On va lui faire boire de la pisse dans un saladier et elle va aimer çà ! »
- « Hum, oui », compléta Isabelle. « Elle va en boire au moins un litre ! »
Sous la contrainte, Sophie dut leur préparer du thé. Elles le burent tranquillement, la maintenant prisonnière et l’obligeant à lécher leurs pieds, comme le faisait Nicolas avec elle.
Au bout d’un moment, le thé commença à faire son effet et une envie folle de faire pipi les prit toutes les quatre. Elles prirent un grand saladier et se mirent accroupies au-dessus, l’une après l’autre. Il se remplit rapidement d’urine. Celles de Juliette et Stéphanie étaient très claires, celles de Céline et d’Isabelle un peu moins. Sophie voyait avec angoisse le saladier se remplir, il y en avait probablement plus d’un litre!

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 20 Nov 2015 11:44

La vengeance de Céline

Juliette prit le saladier et l’approcha de la bouche de Sophie.
- « On va te faire boire tout ça ! » dit-t-elle.
- « Non, je vous en supplie ! » s’écria Sophie.
- « Ta gueule ! » rétorqua Céline en la fouettant avec le martinet comme elle l’avait fait la veille.
Juliette pencha le saladier et l’urine coula dans la bouche de Juliette. Elle déborda rapidement et ruissela sur ses seins. Stéphanie lui pinça le nez pour l’obliger à avaler avant de respirer. La toulonnaise recommença l’opération plusieurs fois. Sophie en avait bu près d’un demi-litre !
Elles étaient encore en train de malmener Sophie quand les hommes rentrèrent. En entendant du bruit, ils allèrent immédiatement vers les chambres. Quelle ne fut pas leur surprise de trouver Sophie, les mains attachées et couverte de pisse. Les trois autres étaient nues et se moquaient d’elles.
- « Vous êtes déjà là, les garçons ? » dit Céline avec un ton léger.
- « Oui, on a tout perdu ! » répondit Gérard.
- « Mais que faites-vous à cette pauvre Sophie ? » demanda Alex.
- « Pour une fois, c’est elle qui subit ! » s’écria Juliette. « Cette chienne en a assez l’avait fait baver à Nicolas ! »
- « Ne lui faites pas trop mal », dit justement Nicolas.
- « Vous avez vu comme elle aime la pisse ? » demanda Céline. « Je suis sûre qu’elle préfère encore le sperme. A vos queues les mecs! »
Comprenant ce que voulait Céline, les cinq hommes ouvrirent leur braguette et commencèrent à se masturber. Isabelle alla chercher un bol en verre transparent. Elle se mit à branler Gérard avec beaucoup d’énergie et le fit jouir dans le bol. Juliette en fit autant avec Anton, puis avec Nicolas. Céline, elle, vida la queue de Gérard et Stéphanie celle de Gilles. Le bol était gluant de leurs spermes mélangés. Céline le prit et le versa entièrement dans la bouche de Sophie qui suffoqua. Juliette pris le saladier et se remit à verser l’urine dans sa bouche.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 20 Nov 2015 17:49

La vengeance de Céline

- « Bois un peu de pisse ! Cela fera passer leur jus », dit-elle en riant.
Sophie fut forcée d’avaler le tout et eut un haut le cœur. Juliette lui versa le reste du saladier sur la tête.
- « Je crois que tu ne pourras plus rien avaler ce soir », ajouta-t-elle.
- « Allez salope, va te laver ! » dit enfin Céline en la détachant.
Sophie s’enfuit, honteuse, dans la salle de bains et n’en revint qu’une demi-heure plus tard. Elle regarda les autres femmes avec un regard noir.
- « Vous y êtes allées fort, quand même ! » s’exclama-t-elle.
- « Tu n’as eu que ce que tu méritais », lui répondit Céline.
- « Alors, maintenant tu aimes les chattes ? » demanda Juliette.
- « Franchement, ce n’est pas si désagréable que cela », rétorqua Sophie. « Par contre, je crois que quand j’irai pisser, je ne pourrai plus regarder ce liquide jaunâtre ! J’ai fait une overdose ! »
- « Allez, viens, on va te faire un câlin tout doux maintenant, dit Juliette.
- « Oui, viens sur le lit avec nous, ajouta Stéphanie en la prenant par la main.
Elles se dirigèrent dans la chambre et s’installèrent sur le lit. Juliette commença tout de suite à lécher le sexe de Sophie. Céline vint l’embrasser sur la bouche, lui signifiant ainsi la fin de son agressivité. Sophie ne refusa pas le baiser de Céline et leurs langues se mélangèrent. Pour la première fois, elle acceptait une relation avec une femme sans contrainte. Isabelle se mit à exciter le clitoris de la belle Stéphanie, pendant que Juliette continuait à explorer les replis du sexe de Sophie.
Les cinq hommes étaient venus autour du lit et jouaient les voyeurs. Le spectacle de ces quatre femmes en train de s’adonner à des jeux lesbiens était fantastique.
Sophie jouit sous les caresses et les baisers des quatre autres. Elle avait presque oublié tout ce qu’elles lui avaient fait subir. Elle ne se serait jamais crue capable de faire l’amour avec une femme et voilà qu’elle en avait quatre dans son lit !
Céline et Juliette entamèrent un soixante-neuf pendant que Sophie allait, d’elle-même, prodiguer un cunnilingus à Isabelle qui faisait la même chose avec Stéphanie. Pendant qu’elle léchait la belle brune aux cheveux longs, les cinq hommes vinrent la prendre successivement en levrette. Ce soir-là, même Nicolas bandait assez !
Après ces folies sexuelles, tout le monde alla au lit. Il n’y avait plus aucune animosité entre les cinq femmes. Céline s’était vengée de ce qu’elle avait subi la veille et elle n’en voulait plus à Sophie qui, elle, avait découvert qu’elle pouvait être une gouine comme les autres !

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar pascaljean_fr » Dim 22 Nov 2015 00:11

Super il y a un a suivre, j'ai cru qu'on était au dénouement de l'histoire!
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Nov 2015 14:38

Le Saint.



Après ce qui c’était passé la veille au soir, plus aucun des occupants de la villa ne songeait à se dissimuler des autres. Tous se promenaient entièrement nus dans la maison. La seule chose à laquelle ils faisaient attention, c’était qu’on ne les voie pas trop de l’extérieur car la rumeur qu’une bande de pervers occupait la villa au bout de la rue avait déjà commencé à se répandre dans la ville. A plusieurs reprises, ils avaient surpris des voyeurs en train de les espionner et ils n’avaient pas envie de voir débarquer la gendarmerie et d’être poursuivis pour attentat à la pudeur !
Ce vendredi était leur dernier jour à passer ensemble. Gilles ne regrettait vraiment pas son initiative d’avoir invité tous les héros et les héroïnes de ses romans. A part Céline, aucune des filles n’était au courant de ce groupe qu’il avait créé sur Yahoo et elles ne se doutaient vraiment pas de ce qu’il avait pu écrire sur elles. Il avait beaucoup fantasmé sur ces femmes en écrivant leur histoire et, maintenant, la réalité avait presque dépassé la fiction. Il les avait toutes baisées, leur avait vu réaliser leurs fantasmes les plus fous et sa complicité avec leurs compagnons était maintenant totale.
Après le petit déjeuner, ils se demandaient ce qu’ils allaient faire de cette dernière journée. Nicolas, comme d’habitude, avait envie d’aller à la plage, mais le vent c’était levé et il faisait presque froid. Sophie et Alex ne voulaient, de toute façon, pas aller se geler au bord de l’océan. Céline et Gérard firent une autre proposition.
- « Il parait que la ville de Bordeaux est devenue très belle depuis les travaux de réhabilitation entrepris par le maire », fit remarquer Gérard !
- « C’est vrai », confirma Gilles. « Les quais ont été complètement refaits et c’est assez joli. »
- « Si on allait visiter ? proposa Céline.
- « Tu parles d’un truc excitant ! » ronchonna Sophie.
- « Après tout ce qui s’est passé les jours derniers, je pensais que vous voudriez finir la semaine en beauté. On pourrait réaliser le fantasme de Gilles, une bonne partouze ! »
- « Je trouve dommage de repartir sans aller à Bordeaux », dit Isabelle.
- « On peut faire les deux », concilia Gilles en repensant au chapitre qu’il avait écrit dans sa première histoire, quand Isabelle avait découvert le sauna. « On va visiter le centre-ville, puis je vous emmènerai dans un établissement très sympathique. C’est un sauna-hammam ».
- « Bonne idée, dit Juliette, je n’y suis jamais allée ! »


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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Nov 2015 16:55

Le Saint.

Ils n’attendirent même pas l’après-midi et partirent dès 11 heures. Ils déjeuneraient en route… Ils prirent un petit repas et arrivèrent à Bordeaux vers 12 heures 30. Effectivement, tout le monde trouva la ville très belle. Le miroir d’eau, mis en place sur les quais, en face de la bourse, était particulièrement réussi. Les bâtiments avaient un style architectural ancien, mais ils avaient tous été remis à neuf. Les vieux hangars des quais avaient été complètement réhabilités et hébergeaient désormais des restaurants ou des boutiques.
Après avoir visité la ville pendant plus d’une heure, Gilles les emmena dans le quartier des Chartrons. Il y avait plein de petits restaurants et de cafés branchés et les meilleures boîtes de Bordeaux. Ils se garèrent autour de la place et Gilles les conduisit à pied deux rues plus loin. Ils arrivèrent au numéro 39 de la rue devant une porte de bois entrouverte. Dessus un écriteau était apposé. On pouvait y lire la mention suivante : « Le Saint – Sauna mixte ».
Ils franchirent la porte et se retrouvèrent dans un petit sas. Les tarifs étaient affichés à droite du petit guichet : « 20 Euros pour les hommes seuls et 10 Euros pour les couples ». Patricia, la patronne reconnut Gilles.
- « Je vous amène du monde », dit-il, « des touristes en vacances. »
- « C’est gentil de leur faire visiter les meilleurs endroits de Bordeaux », répondit-elle. « Je vous fais cadeau de votre entrée… »
Ils payèrent donc 40 Euros et elle les fit entrer dans les vestiaires, donnant à chacun une serviette blanche et une petite pochette contenant un cadenas et sa clé, un préservatif et du gel intime. Chacun chercha le numéro de son vestiaire et ils se déshabillèrent dans le petit couloir un peu étroit.
Une fois sortis, Gilles leur fit visiter les lieux. La porte à droite des vestiaires donnait sur le bar. A gauche, un long couloir s’enfilait jusqu’au fond du bâtiment. La première porte était celle des douches. Elles étaient collectives. En face, il y avait un salon avec des canapés et une table sur laquelle étaient posées des revues d’annonces de rencontres. Un homme d’une quarantaine d’années était en train de lire, les pieds sur la table.
Gilles expliqua que la porte après les douches était celle du sauna. Les suivantes étaient celles de salons de repos. A gauche un autre couloir conduisait au hammam et, tout au fond, il y avait une piscine à remous.
- « Je vais commencer par le sauna », dit Gilles. « Vous venez ? » ».
Isabelle et Alex le suivirent immédiatement. Juliette et Nicolas les rejoignirent un peu plus tard. Le sauna était éclairé par une faible lumière rouge et il n’était pas trop chaud. Ils s’installèrent sur les bancs de bois. L’homme qui lisait dans le petit salon les rejoignit assez vite. Il s’assit sur le premier banc, juste à côté d’Isabelle. Lentement, il approcha la main de sa cuisse pour voir comment elle allait réagir. Elle ne bougea pas, attendant qu’il devienne plus entreprenant. Alex regardait le manège de l’homme, amusé. A chaque fois qu’il bougeait, il se rapprochait un peu plus d’Isabelle. Finalement, il posa sa main à plat sur le haut de la cuisse. Elle le regarda et lui sourit pour l’encourager à poursuivre. Avec son autre main, il commença à se masturber doucement.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 24 Nov 2015 12:01

Le Saint

Sophie avait vraiment trop chaud et se leva pour sortir. Elle laissa Isabelle seule avec les quatre hommes. Voyant que l’homme qui les avait rejoints tardait à se décider, Alex se mit à caresser Isabelle. Il commença par le dos, où la sueur ruisselait, puis il mit sa main sur l’autre cuisse de son épouse. L’homme n’osait toujours pas bouger la sienne. Pendant qu’Alex remontait vers le ventre de son épouse, Gilles se rapprocha et vint embrasser Isabelle. L’homme comprit alors qu’elle se laisserait faire et sa main remonta vers le sexe de sa voisine. Non seulement Isabelle ne résista pas, mais elle ouvrit largement les cuisses pour lui faciliter l’accès à son intimité. Il introduisit lentement son majeur dans ce sexe moite. Pendant ce temps, Alex et Gilles avaient chacun pris un des seins d’Isabelle et le malaxaient consciencieusement. Nicolas, lui était installé derrière elle et lui caressait les fesses. Elle adorait qu’on s’occupe d’elle et là, elle était servie. L’homme qui la doigtait était très habile et il la fit jouir assez vite. Elle aurait aimé continuer, mais elle avait vraiment trop chaud. Elle se leva et leur annonça qu’elle allait prendre une douche, les laissant tous les quatre avec leur queue raide.
Pendant ce temps, Sophie était allée rejoindre Juliette et Anton dans le hammam. Il y avait beaucoup plus d’espace que dans le sauna et la chaleur humide n’avait rien à voir avec celle du sauna. Sophie préférait cette sensation sur la peau. Quand elle entra, elle eut du mal à distinguer les occupants des lieux qui étaient au fond de la pièce. Un épais brouillard de vapeur chaude se diffusait dans la pièce. Elle s’approcha et reconnut enfin Juliette, entourée de trois hommes dont Anton. Elle était allongée sur un des gradins carrelés et les trois hommes s’occupaient d’elle. L’un d’eux était à genoux et avait enfoui sa tête entre ses cuisses, la léchant consciencieusement. L’autre s’occupait de ses seins et Anton l’embrassait. Sophie s’approcha d’eux. Celui qui caressait les seins de Juliette s’arrêta aussitôt et vint vers elle. Il bandait très fort et posa immédiatement ses mains sur les fesses de Sophie. Elle se cambra pour mieux lui présenter sa croupe et saisit son sexe dressé dans sa main droite. En le tenant par la queue, elle le fit avancer vers Juliette et présenta sa bite devant la bouche de la belle toulonnaise. Sans hésiter, Juliette happa le sexe bien dur.
Elle le pompa un bon moment, tandis que Sophie en faisait autant avec Anton. L’homme qui léchait la chatte de Juliette se mit alternativement à passer de celle-ci à celle de Sophie. Lorsque Juliette commença à avoir vraiment trop chaud, elle proposa à ses complices d’aller poursuivre dans une des salles de repos. Ils la suivirent avec plaisir.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 26 Nov 2015 11:26

Le Saint

Sophie et Juliette pénétrèrent les premières dans la petite pièce faiblement éclairée qui ne contenait qu’un grand lit entouré de miroirs. Les trois hommes les suivirent et le dernier referma la porte.
Juliette s’allongea immédiatement et écarta les cuisses. Anton mit sa tête entre ses cuisses, mais elle le repoussa.
- « Non, pas toi ! Tu aimes voir ta petite femme se faire baiser ? » lui demanda-t-elle. »
- « Oui », répondit Anton.
- « Alors occupe-toi de Sophie ! Ce sont eux qui vont me prendre ! »
Anton se mit alors à caresser Sophie pendant que les deux hommes venaient l’un après l’autre introduire leur queue dans la chatte de sa compagne. Il dut la regarder se faire baiser sous ses yeux sans avoir le droit de la toucher. Les deux hommes avaient beau être endurants, ils jouirent l’un après l’autre dans le vagin de Juliette qui était plein de sperme. Sophie prit alors la tête d’Anton et la guida entre les cuisses de Juliette.
- « Vas-y maintenant ! Tu peux la lécher ! » dit-elle.
- « Oui, bouffe leur sperme ! » ajouta Juliette.
Un peu dégouté, Anton commença à lécher le sexe dégoulinant de la jouissance des deux hommes qui s’écoulait du vagin de sa belle compagne. Il dut nettoyer sa chatte jusqu’à la dernière goutte et cela fit jouir Juliette. Sophie, elle, était restée sur sa faim et les deux hommes ne semblaient plus bons à grand-chose pour l’instant. Elle sortit de la pièce à la recherche de queues plus vaillantes.
Elle avança jusqu’au fond de l’établissement, là où se trouvait la piscine à remous. Céline et Gérard y étaient installés et regardaient le petit film porno projeté sur le petit écran encastré dans le mur. Trois hommes se trouvaient également dans la piscine et entouraient le couple enlacé. Céline s’abandonnait à leurs caresses de plus en plus précises, tandis que son mari la pénétrait doucement. Sophie entra dans l’eau à son tour et s’approcha du petit groupe.
- « Alors ma cochonne », dit-elle à Céline, « il te faut quatre hommes pour toi toute seule ? Tu pourrais partager ! » .
- « Mais oui ma chérie », répondit Céline. « Tu as envie qu’ils te baisent ? »
- « Oui j’ai envie de sentir leurs queues s’enfoncer en moi. Celle de Gérard aussi ! »
- « Moi, j’ai envie que ta bouche me fasse jouir », répondit Céline. « Viens, on va tous aller dans une des pièces un peu plus tranquilles. D’accord les mecs ? »
- « Et comment ! répondit l’un d’eux en commençant à sortir de l’eau. »
Ils se dirigèrent tous les six dans l’une des pièces dites « de repos ». Sophie s’allongea sur le grand lit. Céline se mit aussitôt à califourchon sur son visage et lui fit lécher sa chatte. Elle le fit consciencieusement, n’éprouvant plus aucune répulsion. L’un après l’autre, les trois hommes vinrent baiser Sophie qui ne voyait même pas qui la pénétrait. Tous lui jouirent sur le corps et elle était gluante de sperme. Le dernier qui la pénétra était Gérard. Il prit un plaisir immense à faire l’amour avec une femme en train de lécher son épouse. C’était un des fantasmes qu’il avait depuis longtemps. Lui aussi jouit sur Sophie. Quand les trois hommes sortirent de la pièce, Gilles entra avec celui qui se trouvait un peu plus tôt dans le sauna avec Isabelle. Tous les deux baisèrent Sophie et lui jouirent dessus. Elle avait désormais sur le corps le produit de la jouissance des six hommes et en était à son troisième orgasme. Céline avait, elle aussi, joui grâce à la langue de Sophie. Elle se laissa glisser sur le corps gluant et elles roulèrent sur le lit en s’embrassant passionnément.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 26 Nov 2015 11:51

Le Saint

Au bout d’un moment, elle était, elle aussi, couverte de sperme.
- « Je crois qu’on va pouvoir aller prendre une bonne douche ! dit Céline.
- « D’abord, Nicolas va nous nettoyer avec sa langue ! Va le chercher ! »
Céline se leva et partit chercher Nicolas qui arriva aussitôt. Avec sa langue, il nettoya d’abord le corps de Sophie, léchant avec application le sperme que les clients du sauna avaient déversé sur les différentes parties de son corps.
- « J’aime bien te voir en train de bouffer le sperme de ceux qui m’ont baisée ! » lui dit Sophie. « En plus, je suis sûre que tu adores ça ! Gilles m’a dit qu’il y avait un coin réservé aux homos, on va t’y emmener pour te faire baiser dès que tu auras fini ton travail ! Qu’en penses-tu Céline ? »
- « Oui, mais je trouve qu’il serait plus excitant habillé en femme. On va le travestir avec nos fringues…. »
- « Bonne idée ! Finis vite de nous nettoyer et on va te transformer en jolie petite pute ! »
Nicolas termina de ramasser le sperme gluant qui recouvrait Sophie, puis il en fit autant avec Céline. Dès qu’elles se sentirent assez propres, elles l’emmenèrent dans les vestiaires et choisirent sa tenue. Il se retrouva habillé de la jupe que portait Sophie, du corsage de Juliette et du string de Céline. Elles le maquillèrent outrageusement, puis le conduisirent dans la pièce ou les homosexuels et les hommes bisexuels ayant envie de mecs s’éclataient en regardant des films X homos.
Il y en avait cinq dans la pièce. Tous étaient sur le grand lit situé face à l’écran. D’habitude, les femmes ne venaient pas dans cette partie du sauna, sauf les plus curieuses, et ils furent surpris de voir Sophie et Céline interrompre leurs ébats.
- « Les mecs, vous n’avez pas envie de baiser ma petite salope ? » demanda Sophie. « Regardez comme elle est belle… »
Elle fit entrer Nicolas et le présenta comme une marchandise.
- « Regardez ce beau cul », dit-elle en soulevant la jupe. « Vous n’avez pas envie de le défoncer avec vos belles queues ? »
- « Si », répondit un grand magrébin en se levant.
Il poussa Nicolas sur le lit et lui releva la croupe avec autorité. Il souleva la jupe et écarta le string d’un geste sec. Sa queue, qui devait mesurer près de vingt-cinq centimètres, s’avança vers le cul offert et il le pénétra sans ménagement. Nicolas poussa un cri de douleur.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 27 Nov 2015 16:52

Le Saint

- « Tais-toi ! » ordonna le puissant marocain. « Tu vas sucer les autres pendant que je te baise ! »
Les autres hommes présentèrent tour à tour leur sexe devant la bouche maquillée de Nicolas qui dut sucer ces queues inconnues. Le grand magrébin, qui se prénommait Youssef, s’enfonça le plus loin qu’il put dans le cul de Nicolas. Au bout d’un moment, il poussa un cri rauque et jouit avec violence. Un petit gros à la queue courte mais très large le remplaça immédiatement dans le cul du travesti improvisé. Pendant ce temps, Sophie et Céline s’embrassaient et se tripotaient, follement excitées par le spectacle de Nicolas livré à ces inconnus avides de cul.
- « Défoncez-le tous ! » s’écria Sophie. « Je veux qu’il en prenne plein le cul ! »
- « On peut lui pisser dessus ? demanda un homme d’une quarantaine d’années avec un regard pervers.
- « Si vous voulez, répondit Sophie, mais enlevez-lui les fringues, ce sont les nôtres !
Ils déshabillèrent rapidement Nicolas. Youssef, le plus costaud, le maintenant de force sur le lit. Le petit gros à la queue large fut le premier à inonder le visage de Nicolas de son urine bien jaune, deux autres le forçant à ouvrir la bouche et à en avaler une grande quantité. Sophie se demanda si elle n’allait pas trop loin, mais décida de les laisser faire ce qu’ils voulaient.
Celui qui avait demandé s’il pouvait lui pisser dessus s’approcha et se mit derrière Nicolas.
- « Je vais lui pisser dans le cul ! » dit-il en regardant Sophie avec un grand sourire.
Les deux femmes le virent pénétrer le trou désormais élargi du compagnon de Sophie, puis il se mit à uriner dans son cul qui déborda d’un mélange de pisse, de merde et de sperme peu ragoûtant. Nicolas en avait plein les cuisses et avait atteint le summum de l’humiliation. Céline commençait à trouver le spectacle moins excitant et le dit à Sophie.
- « Va faire un tour ma chérie », lui répondit la compagne de Nicolas. « Moi, je veux voir tout ce qu’ils vont lui faire. Après tout, il m’appartient ! »
Céline ressortit dans le couloir et pénétra dans la pièce suivante. Elle y trouva Isabelle, installée sur une table gynécologique. Elle avait les cuisses largement écartées et les pieds dans les étriers. Alex l’embrassait, tandis que trois hommes jouaient au docteur avec elle. Tour à tour, ils procédaient à l’examen détaillé de son intimité, la doigtaient, la léchaient, titillaient son clitoris, pinçaient ses petites lèvres. Isabelle n’avait plus rien de la prude vacancière qu’elle avait été au début de la semaine. Désormais, elle prenait plaisir à s’exposer et leur offrait sa chatte sans aucun complexe.
Céline se fraya un chemin au milieu des trois hommes et s’agenouilla devant Isabelle. Sans un mot, elle se mit, à son tour, à parcourir son sexe trempé de sa langue. Un des trois hommes continua à branler le clitoris d’Isabelle, tandis que les deux autres commencèrent à s’occuper des seins et des fesses de Céline. Alex ne pensait plus à ce que pouvait faire son épouse quand il n’était pas là, il la voyait sous ses yeux en train de se faire bouffer la chatte par une femme, tandis que trois hommes qu’elle voyait pour la première fois la tripotaient outrageusement.
Céline introduisit un doigt, puis deux dans le vagin d’Isabelle. Elle les fit tourner lentement, puis les écarta, pour bien dilater la chatte de son amie. Isabelle voyait où elle voulait en venir. Elle introduisit les deux autres doigts, puis finalement le pouce.
Lentement, elle referma le poing et commença à faire aller et venir son avant-bras comme une queue énorme. Isabelle se sentait écartelée. Céline fit remonter son poing à la recherche du point G. Deux des hommes se relayaient pour lui branler le clitoris à une vitesse folle. Le troisième, avait définitivement abandonné son corps et consacrait toute son attention à tripoter les fesses de Céline.
Soudain, Isabelle se mit à crier. Un flot de liquide transparent s’écoula de son sexe et un véritable raz de marée inonda la bouche de Céline qui but tout ce qu’elle pouvait. Alex n’en revenait pas de voir sa propre femme avoir un tel orgasme, aussi intense que ceux que Gilles avait imaginés dans les histoires publiées pour Valérie, l’amie d’Isabelle.
Après avoir pris autant de plaisir, tous se rhabillèrent et avaient le sourire, à l’exception de Nicolas, qui avait eu le cul tellement défoncé qu’il ne pouvait plus s’asseoir. Ils allèrent se coucher après un bon repas et personne ne songea à avoir la moindre activité sexuelle au cours de leur dernière nuit à Lacanau. Ils étaient rassasiés de sexe !

FIN
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 7 Déc 2015 10:30

Voila... j'ai terminé cette histoire que j'avais imaginée à partir de personnages dont l'intimité m'avait souvent été révélée par des internautes.
Je sais que certains adorent que j'écrive des histoires sur leur femme... N'est-ce pas SODA ? Mais, ils attendent des récits trop soft pour que je puisse trouver la motivation et le temps nécessaire pour les écrire.

J'ai aussi eu des contacts directs avec des femmes qui m'ont fait l'honneur de confidences que je vous ai relatées. J'avoue que c'est de loin la situation la plus excitante. Hélas, en ce moment, ce n'est plus le cas. Pourtant je suis sur que certains couples seraient prêts à jouer le jeu et à me communiquer les éléments nécessaires pour que j'écrive leur histoire.

Cela ne vous tente pas ?

Je vous laisse un peu de temps pour y réfléchir. Sinon, je publierai une des histoires que j'ai écrite, mais qui est une pue fiction.
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar fou d'exhib » Lun 7 Déc 2015 10:50

Superbe histoire, j'ai adoré me branler en te lisant
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 7 Déc 2015 15:30

Une nouvelle histoire...
C'est une pure fiction qui n'est pas du tout inspirée par des faits réels, même si je n'ai pas manqué de l'agrémenter d'anecdotes qui me sont arrivées.

Le titre : VMC-ON LINE...

Nathan LEGOFF est étudiant en dernière année d’une école d’ingénieurs. C’est un brillant informaticien, mais il est timide et complexé. Avec les filles, il n’a aucun succès et, à presque 24 ans, il n’a jamais connu la moindre aventure.
Frustré, il est progressivement devenu un voyeur compulsif. Dans son école d’ingénieurs, une nouvelle, élève de première année semble s’intéresser à lui, mais c’est Marine ASCARI, la plus mignonne de sa promotion, qui retient toute son attention. Peu à peu, il va s’introduire dans son intimité.
Il commence à l’espionner, puis se met à faire la même chose avec d’autres filles et finit par mettre en place un gigantesque réseau de webcams indiscrètes qu’il exploite avec des complices voyeurs.
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar bo.marin » Lun 7 Déc 2015 15:34

histoire qui m'a bien donner la gaule
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 7 Déc 2015 15:36

VMC ON-LINE

La rentrée



Comme chaque année au moment de la rentrée universitaire, Nathan LEGOFF observait ce qui se passait autour de lui. Il entamait sa dernière année, alors dans sa classe, il retrouva celles et ceux qu’il avait côtoyés les années précédentes. A part quelques redoublements, c’étaient les mêmes. La nouveauté était ailleurs, du côté des premières années. Là, il y avait de nouvelles filles, dont certaines assez mignonnes. Tant mieux, cela renouvelait le stock de culs à mater.
Il devait se contenter de cela. C’était un élève très brillant, mais il était affublé d’une timidité maladive. Il était petit et malingre et surtout complexé par la taille de son sexe qui ne dépassait pas douze centimètres en érection. Comme, en plus, il ne faisait rien pour s’arranger avec ses cheveux mal coupés, ses pulls trop longs aux couleurs ternes, et surtout ses lunettes complètement démodées, les filles le fuyaient. A presque 24 ans, il n’avait jamais eu la moindre aventure avec une fille.
Dans l’amphi, il s’était mis juste devant Marine ASCARI. C’était la nana la plus mignonne de la promotion. Elle était blonde avec des cheveux longs et des yeux très clairs. Sa bouche était parfaitement dessinée et elle avait des jambes magnifiques. Particulièrement après ces vacances, elle était toute bronzée. Cette fille, qui faisait fantasmer tous les mecs de l’amphi, restait totalement inaccessible. C’est dans l’espoir de mater ses cuisses et, pourquoi pas, d’apercevoir sa culotte que Nathan s’était mis devant elle. Il se retourna plusieurs fois, mais ne put rien apercevoir d’autre que ses cuisses bronzées.
Il se disait qu’une nouvelle année recommençait, faite de travail et de frustration, comme les précédentes. Ce qui, par contre, allait changer, c’est que sa mère déménageait. Jusque-là, elle habitait à dix minutes à peine de l’école d’ingénieurs où il était inscrit et c’était bien pratique. Là, elle venait de trouver du travail à plus de 500 kilomètres de son domicile, alors elle déménageait. Nathan venait de s’installer dans la résidence universitaire proche de l’école. Cela allait changer la vie de ce fils unique, choyé par une mère divorcée avec laquelle il vivait seul depuis presque 15 ans. Il faudrait qu’il se débrouille, qu’il aille manger au resto u, qu’il lave son linge, qu’il fasse le ménage… Par contre, il espérait que cela lui permettrait peut-être de s’intégrer un peu mieux aux étudiants de son école, car personne ne lui parlait, à part pour se moquer de lui, ou lui demander de l’aider car c’était un informaticien très doué. Certainement le meilleur que les profs avaient vu depuis longtemps.
Dès le premier repas, il fut déçu. Déjà, il ne savait même pas que, pour aller manger, il fallait acheter des tickets à l’avance. Il se retrouva comme un idiot, à la caisse, avec son argent liquide dont on ne voulait pas. Heureusement, la fille qui se trouvait juste devant lui était sympa. C’était une fille de première année de son école. Elle lui avança un ticket et il put franchir l’obstacle de la caisse. Du coup, il lui demanda s’il pouvait s’asseoir à sa table. Elle accepta sans aucune difficulté.
Nathan voulut d’abord la rembourser, mais elle lui dit qu’elle préférait qu’il lui rende un ticket, puisqu’il devrait en acheter. Cette nana était sympa, mais il n’y avait rien à mater. Elle portait un pull qui montait jusqu’au cou. Il était ample et épais, on ne pouvait même pas voir ses gros nichons par transparence. Du côté des fesses, ce n’était pas mieux. Elle avait un jean noir au tissu épais. Il montait trop haut pour qu’on puisse espérer voir le haut de la culotte et, de toute façon, le pull était trop long. Elle était plutôt grassouillette et sans être moulant, le jean permettait de deviner les marques d’une culotte assez large. Ce fut le seul motif de satisfaction que le voyeur compulsif qu’était devenu l’étudiant retira de son observation. Par contre, elle avait l’air d’être très gentille. Il essaya d’engager la conversation.
- « Nous sommes dans la même école, je crois… Pourquoi as-tu choisi cette filière ? »
- « Par intérêt » répondit la jeune fille en souriant. « J’ai lu que les élèves qui sortaient de cette école étaient ceux qui trouvaient les jobs avec les meilleurs salaires. »
- « Ouais, à condition de choisir une bonne spécialité… »
- « Ah bon ? Et tu me conseilles quoi ? »
- « Moi, j’ai fait Sécurité et Réseaux… C’est ce qui marche en ce moment. Si tu prends Développement, tu vas pisser du code dans une Société de Services. »
- « La spécialisation commence en deuxième année ? »
- « Oui, mais les places en Sécurité et Réseaux sont chères. Pour être sure d’être prise, il faudra non seulement que tu aies de bonnes notes en première année, mais que tu choisisses des projets dans un de ces domaines. C’est ce que j’ai fait dès la première année. »
- « Oh mais toi tu es doué » fit remarquer la fille qui l’écoutait avec attention. « On m’a déjà parlé de toi… »
- « Ah bon ? Je suis connu chez les premières années ? »
- « On est rentrés que ce matin, mais au cours Bases de Données, j’étais à côté d’un redoublant. Il m’a dit que tu étais le geek de l’école. »
- « Je me débrouille… »
- « Au fait, c’est quoi ton prénom ? » demanda l’étudiante.
- « Nathan. Et toi ? »
- « Josiane… »
Il se dit qu’elle n’était vraiment pas gâtée. Non seulement elle n’était pas terrible physiquement, mais en plus elle avait un prénom complètement périmé ! Enfin, pour une fois qu’une fille acceptait de lui parler et se montrait même agréable, il n’allait pas faire le difficile.
Il essaya de l’imaginer nue, à quatre pattes, avec ses grosses mamelles pendantes. Il se serait bien vu en train de la besogner par derrière avec sa petite queue qui défonçait sa chatte poilue. Car il l’imaginait avec une grosse touffe bien fournie.
- « Tu es à la résidence universitaire en face de l’école ? » demanda-t-il.
- « Oui… Tu y es aussi ? »
- « Depuis cette année seulement. Avant j’habitais avec ma mère, mais elle vient de déménager… »
- « Ah, et ton père ? » demanda Josiane qui semblait vouloir s’intéresser à lui.
- « Oh je n’ai plus de nouvelle depuis qu’il est parti. Je ne sais même pas s’il est encore en vie… »
- « Tes parents sont divorcés ? Les miens aussi. Mais j’ai la chance de voir encore les deux. Ma mère vit en Bretagne et mon père a refait sa vie à Nice. »
- « C’est vraiment dégueulasse la bouffe, ici ! » s’énerva Nathan en repoussant son assiette. « Les carottes râpées sont amères, la viande est dure et trop cuite, les pâtes font un bloc ! Je crois que je ne vais manger que mon yaourt… »
- « Tu es trop difficile ! » répondit sa voisine. « Je peux ? »
Il la vit vider l’assiette de pâtes dans la sienne et se remettre à manger. Il comprenait pourquoi elle était grassouillette ! Le repas se termina tranquillement. Il profita du trajet retour pour mater quelques culs un peu plus sexy que celui de Josiane, mais il lui proposa tout de même de l’aider pour ses projets informatiques si elle en avait besoin. Elle le remercia chaleureusement et fila en cours.
Il croisa un groupe de garçons de sa classe. L’un d’eux s’adressa à lui sur un ton jovial.
- « Alors René, tu en as trouvé une ? »
- « Je ne m’appelle pas René ! » répondit simplement Nathan.
- « Mais si ! Je suis mignon, mignon, mignon… »
Tous les autres s’étaient mis à entonner cet air ridicule de René La Taupe. Ce sont ses lunettes de myope qui avaient valu à Nathan ce surnom dont on l’affublait désormais. En plus, il ne participait jamais à aucune des sorties qu’organisait le Bureau des Elèves, alors on l’avait rapidement surnommé La Taupe, puis, tout naturellement René.
- « Elle est pas mal ta première année » rigola un des étudiants. « Et puis il y a de beaux volumes ! »
- « Si vous faites l’amour, fais gaffe quand même à ne pas être dessous ! » renchérit un autre.
Nathan se contenta de hausser les épaules et poursuivit son chemin. Il avait l’habitude de ce genre de brimades. Les autres entonnèrent à tue-tête
- « Je suis mignon, mignon, mignon… »
Ce n’était pas encore cette année qu’il s’en ferait des copains…
Il passa le reste de la journée à regarder les nanas de l’amphi. Marine ASCARI, bien sûr, dont il finit par voir la petite culotte au moment où elle se levait à la fin d’un cours. L’espace de deux ou trois secondes, cela avait été une vision de rêve. Juste avant de se lever, elle s’était penchée pour ramasser un stylo tombé par terre. Le stylo avait roulé, alors, elle l’avait ramené vers elle avec son pied droit. Juste à ce moment-là, Nathan s’était retourné et avait eu une vision idyllique sur l’entrejambe de la jeune fille, dont les cuisses étaient légèrement écartées. Il avait nettement vu les dentelles blanches du string qu’elle portait. Il savait depuis le matin que c’était un string, car son œil aguerri en avait décelé les marques sous la robe légère qu’elle portait. Marine ASCARI était bien la fille la plus canon de sa classe et peut être même de l’école.
Il se dit que, le lendemain, il essayerait de se mettre encore juste devant elle. C’étaient ces moments de pur voyeurisme qui égayaient la vie de l’étudiant. D’ailleurs, pour s’amuser, il s’était fait un barème et comptait les points. La forme d’une culotte devinée sous une robe ou un pantalon rapportait un point. La vision du haut d’un string, à l’arrière d’un pantalon rapportait deux points. Il fallait pouvoir en déterminer la couleur. C’était le tarif, également pour un soutien-gorge aperçu dans un décolleté ou l’échancrure d’une manche. La vision d’un sein nu, rapportait elle quatre points. Une vision de l’entrejambe d’une fille, comme celle qu’il venait de réaliser, valait cinq point. Le barème prévoyait dix points pour des fesses nues et vingt pour une chatte libre de toute culotte. Mais c’étaient des scores qu’il n’avait encore jamais réalisés.
Il ajouta cinq points à son total, cela lui faisait désormais 27 points, plutôt une bonne journée… Elle n’était d’ailleurs pas terminée. A la fin des cours, il y avait le traditionnel pot de bienvenue organisé par le Directeur. Il comptait bien apercevoir encore la marque de culottes, voir quelques belles poitrines et, pourquoi pas, s’offrir un joli coup comme celui qu’il venait de réaliser avec Marine ASCARI.
Au cours du pot, la moisson ne fut pas extraordinaire. Il put longuement observer le décolleté d’une fille de deuxième année qui bavardait avec une copine. Son soutien-gorge rose était très mignon et, à vue d’œil, elle devait faire du 90 C. Il vit également le string noir d’une fille de sa classe, dans l’entrebâillement de son jean, au moment où elle se baissait pour ramasser son sac. A part ça, juste deux ou trois marques de culottes à travers des jupes légères ou des pantalons moulants.
Par contre Josiane vint discuter avec lui. Celle qui l’avait dépanné d’un ticket à midi ne l’évitait pas, bien au contraire. Une nouvelle fois, il essaya de l’imaginer nue. Il se voyait, écartant ses grosses fesses pour découvrir une chatte poilue et un petit trou, sans doute vierge, qu’il aurait volontiers pénétré. Avec sa petite bite, il ne lui aurait pas fait trop mal. En tous cas, sa queue avait désormais atteint ses dimensions maximales.
Il fit même le court trajet de retour jusqu’à la résidence universitaire avec elle, mais ils se quittèrent dans l’ascenseur. Josiane avait son studio au 4ème. Nathan, lui était logé au 8ème. Avant de sortir, elle lui fit même la bise. Pour lui, c’était inespéré.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 7 Déc 2015 17:04

Le projet inter promotion



Nathan LEGOFF passa les premières soirées à s’installer et à ranger son petit studio. Cette année, les cours avaient l’air de commencer très fort. On leur avait déjà demandé de choisir des projets. Ils devaient mener un projet individuel et un projet inter promotion. C’était nouveau. Il fallait proposer un projet avec une équipe d’au moins quatre personnes avec les trois niveaux représentés.
Josiane était tout de suite venue lui demander s’il voulait bien l’intégrer à son projet. Il accepta avec plaisir. Le lendemain, c’est lui qui alla demander, rougissant, à Marine ASCARI si elle souhaitait intégrer son groupe.
- « Pourquoi pas ? » répondit la splendide blonde après avoir légèrement hésité.
Nathan n’en revenait pas. Cette fille au physique de rêve allait travailler avec lui pendant plusieurs semaines. Cela allait susciter bien des jalousies… Plusieurs mecs étaient déjà venus demander à Marine si elle souhaitait se joindre à eux. Ils s’étaient même précipités. Elle avait refusé toutes leurs propositions. D’abord, elle s’était dit qu’elle constituerait un groupe de filles, mais finalement, être avec l’élève le plus doué de la promotion, c’était presque l’assurance d’une bonne note. Vu le coefficient affecté cette année au projet inter promotion, il valait mieux engranger des points !
- « Par contre, j’ai une exigence… » ajouta Marine. « Je veux qu’on intègre ma copine qui est en deuxième année. »
- « Laquelle ? » demanda Nathan.
- « Charlène… Elle a redoublé, alors cette année. Il faudrait qu’elle ait une bonne note. Tu es d’accord ? »
- « Et comment ! J’avais trouvé quelqu’un en première année. Comme ça, on est au complet.» rétorqua le jeune homme qui avait du mal à masquer son enthousiasme.
Il se souvenait parfaitement de Charlène THEVENOT, une fille qui était dans leur classe l’année dernière. S’il avait dû la décrire avec ses critères de voyeur, il aurait dit : « brune, yeux noisette, bouche de salope, petit cul bombé, porte des strings, seins 90 B, souvent sans soutien-gorge, pieds magnifiques. »
L’an dernier, elle était très souvent assise à côté de Marine ASCARI et il les matait régulièrement. Les côtoyer toutes les deux pendant plusieurs mois était un rêve qu’il n’aurait même pas envisagé. Décidément, il avait bien fait de prendre son courage à deux mains et de venir demander à Marine si elle voulait travailler avec lui.
Une fois les groupes constitués, il fallait choisir un sujet et le proposer au directeur de stage. Nathan LEGOFF ne manquait pas d’idées, mais il voulait obtenir l’avis des filles, c’était la moindre des choses. Ils se réunirent le soir même de la constitution des groupes projets, dans une petite salle de l’école. Ce fut Marine ASCARI qui prit la direction des opérations. Elle fit la connaissance de Josiane, qu’elle trouva fort sympathique. Nathan était trop timide pour prendre la parole devant les trois filles, alors elle s’était dévouée.
- « Bon, nous allons travailler tous les quatre pendant plusieurs mois… Il va falloir choisir le thème de notre projet. J’espère que vous avez des idées à proposer… »
- « Pourquoi ne ferions-nous pas un site qui serait une sorte de bourse d’échange de services entre les étudiants de l’école ? » demanda Josiane.
- « Parce que cela existe déjà » fit remarquer Nathan. « Tu viens d’arriver alors on ne t’en a pas encore parlé, mais c’est ce que j’ai développé dans mon projet de 1ère année. »
- « Bon, Charlène, tu as une idée ? » demanda Marine.
- « Si Josiane veut aller dans la filière Sécurité et Réseaux, ce serait bien qu’on choisisse un sujet en rapport avec le thème. » fit remarquer Nathan.
- « Et toi, tu as une idée de projet ? » demanda Marine.
- « Bien sûr… Ça vous dirait de faire du hacking ? »
Les trois filles se regardèrent. Elles se demandaient s’il plaisantait.
- « Tu veux dire qu’on s’introduirait dans des sites en toute illégalité ?» demanda Charlène. « Drôle de projet… Notre directeur de stage n’acceptera jamais !»
- « Si on s’en tient au hacking, non » précisa le petit génie informatique. « Mais on va mettre au point une suite logicielle, le AHK : Anti Hacking Kit. »
- « Tu nous expliqueras en détail plus tard » l’interrompit Marine avant qu’il ne se lance dans des explications incompréhensibles pour tout le monde.
Nathan n’insista pas. L’essentiel, c’était que les filles adhèrent à son projet. Pour ce qui était de la réalisation, il avait tout dans la tête depuis longtemps. S’introduire sur des sites protégés sans y être autorisé n’était pas ce qui lui posait problème. Il avait déjà plusieurs intrusions à son actif. Le site de l’école, bien sûr, mais aussi celui d’une compagnie aérienne, plusieurs sites marchands de grandes enseignes, une banque et, ce dont il était le plus fier, le site d’un fabriquant de logiciels de sécurité et d’antivirus.
Pour le moment, il était toujours resté dans la légalité et n’avait altéré aucune donnée. Par contre, cela lui avait permis de perfectionner sa compréhension des antivirus et il savait qu’un jour ou l’autre, il monnaierait ces talents. Dans l’immédiat son savoir-faire et sa renommée lui permettaient de travailler avec deux des plus belles filles de l’école, ce qui n’était pas négligeable.
Ils décidèrent qu’ils rédigeraient rapidement le sujet du stage pour le faire valider, puis Marine ASCARI proposa qu’ils se retrouvent chaque semaine pour faire le point et, dans un premier temps, répartir les tâches. Tout le monde l’approuva, même si les filles savaient déjà que l’essentiel du boulot serait réalisé par leur geek. Mais ce qui comptait, c’était le résultat.
Après la réunion, ils rentrèrent à la résidence universitaire. Seule Charlène n’y habitait pas. Ses parents avaient les moyens de lui payer un appartement en ville, alors elle ne s’en privait pas. C’était quand même plus pratique pour sortir que d’être dans ce coin paumé, sur le campus, où il fallait une bonne demi-heure de bus pour rejoindre le moindre cinéma ou le moindre restaurant.
En rentrant chez lui, Nathan LEGOFF se connecta au site de rencontre dont il était devenu un habitué. Là, il n’était plus le petit élève informaticien chétif. Son pseudo était WILD-WOLF, le Loup Sauvage, et il prétendait être un grand blond musclé avec un sexe de 21 centimètres. Ce profil faisait nettement plus fantasmer les filles que sa description réelle.
Ce soir-là, il engagea la conversation avec une femme d’âge mur qui aurait presque pu être sa mère. Il aimait bien, comme il le disait, faire mouiller les ménagères. Il s’excita bien en la faisant parler de ses expériences sexuelles et en lui demandant des détails qui, il en était presque sûr, devaient la faire rougir. Il n’osa pas lui demander d’allumer sa webcam, car il savait qu’elle lui demanderait la même chose, et elle couperait la communication dès qu’elle le verrait. Il resta à chatter assez tard et lui donna finalement rendez-vous le lendemain soir à la même heure. Il lui imposa même d’être là, car derrière l’écran, il n’était plus le même. Il se sentait sûr de lui et même dominateur.
Nathan LEGOFF alla finalement se coucher avec la tête pleine d’images. Celle de cette femme de 40 ans dont il n’avait que la description qu’elle lui avait faite. Il espérait la retrouver connectée, le lendemain soir, mais il ne se faisait pas trop d’illusions. Les femmes qui s’offraient un délire d’un soir sur le net n’étaient pas rares. Celles qui devenaient accro à ce genre de dialogues l’étaient beaucoup plus.
Il commença à se masturber. Il avait pris son sexe dans la main droite et faisait un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. L’image qui revint assez vite fut celle de Josiane. Cette fille, au moins, c’était du concret. Certes, elle n’était pas terrible, mais elle venait naturellement vers lui. C’était elle qui lui avait proposé de travailler avec lui sur le projet. Elle lui faisait la bise, l’attendait pour déjeuner tous les jours, le retrouvait régulièrement dans la cour de l’école… Une fois encore, il l’imagina à quatre pattes devant lui. Ses fesses rondes et larges devaient être accueillantes. Il s’imagina frottant sa queue entre elles, la coinçant entre les globes de chair que ses mains malaxaient. Il voyait Josiane remuer son derrière pour bien l’exciter. Elle devait avoir de belles mamelles. Avec sa peau claire, il pensait que ses tétons étaient roses. Il se serait bien vu les léchant, les tétant.
Il accéléra le mouvement de sa main droite. Son sexe était tendu au maximum. Il s’était excité une bonne partie de la soirée et savait qu’il ne mettrait pas longtemps à jouir. Il avait généralement de grosses éjaculations. Cela prouvait bien que la quantité de semence émise n’était pas proportionnelle à la taille du pénis. Au moment où il sentit le sperme monter, l’image de Josiane s’effaça pour laisser la place à celles de Marine et de Charlène. Il voyait la blonde et la brune devant lui, dans la même position que Josiane. Avoir deux des plus belles filles de l’école à quatre pattes, était un rêve absolu. Deux des plus beaux culs qu’il ait jamais vus, enfin imaginés, car il ne connaissait que leur forme avaient envahi son cerveau au moment de l’orgasme. Il jouit avec une violence incroyable. Le jus qui sortait de sa queue semblait en quantité inépuisable. Il imaginait qu’il le faisait gicler sur leurs fesses, passant de celles de la blonde à celles de la brune.
Après un orgasme plus fort que d’habitude, il s’endormit, sans même prendre la peine de ramasser le sperme gluant qui souillait une partie de ses draps. Une fois encore, il avait eu recours à des plaisirs solitaires, mais ce projet et surtout l’intérêt que semblait lui porter Josiane lui ouvrait bien des espoirs.
Il passa une nuit agitée, peuplée de rêves érotiques intenses.

à suivre...
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Messagepar GILLESBDX » Mar 8 Déc 2015 11:43

La captation des cours



Au cours des jours suivants, Josiane avait pris un peu de distance. Elle trouvait que Nathan regardait les deux beautés de leur équipe projet d’un peu trop près. En effet, quand ils se retrouvaient pour travailler ensemble, son regard ne quittait pas les fesses ou les seins des deux jeunes femmes. Pas un regard pour elle…
En cours, il s’était encore rapproché de Marine ASCARI et s’asseyait maintenant à côté d’elle dans l’amphi. Il ne pouvait plus essayer de mater ses cuisses en se retournant, mais il avait, désormais, une vue permanente sur son décolleté, sur son dos, ses hanches, ses fesses. Il voyait sa chevelure s’étaler sur ses épaules, ses mains, écrivant avec beaucoup de grâce, son parfum, son odeur, sa bouche… Tout cela remplaçait largement les quelques regards sur ses cuisses.
Tous les mecs de l’amphi manifestaient une jalousie féroce. Plusieurs avaient essayé de s’installer à côté de Marine. Ils s’étaient tous fait jeter avec perte et fracas. Alors que le petit avorton ait pu s’asseoir auprès de la plus belle fille de l’amphi les rendait dingues. Ils essayaient de se rassurer en se disant qu’elle avait dû penser qu’avec lui, elle ne craignait rien.
De jour en jour, l’ambiance se détendait entre Marine ASCARI et Nathan LEGOFF. Au début, elle n’avait fait que tolérer sa présence à ses côtés. Elle lui avait bien fait comprendre qu’il fallait qu’il garde ses distances et ne lui adressait pas la parole de tous les cours. Le jeune étudiant frustré s’en contentait largement. A présent, non seulement elle acceptait qu’il se tienne un peu plus près, mais elle plaisantait même avec lui de temps en temps. Contrairement à ce qu’elle avait cru, il avait beaucoup d’humour.
Un jour, elle lui annonça qu’elle serait absente toute la semaine suivante. Elle devait aller aux Etats-Unis pour le mariage de sa sœur et elle voulait en profiter pour y rester quelques jours. Elle demanda à Nathan s’il pourrait lui passer les cours en rentrant.
- « Bien sûr ! » avait-il répondu avec enthousiasme, « Par contre, j’écris horriblement mal. Tu as vu mes pattes de mouches ? » demanda-t-il en lui montrant ses notes indéchiffrables.
Marine ASCARI jeta un coup d’œil à la feuille qu’il lui tendait, c’était particulièrement illisible.
- « Je te les taperai » reprit le jeune homme. « Ainsi que les exercices… »
- « Tu ferais ça pour moi ? » demanda la belle blonde avec un grand sourire.
- « Bien sûr ! Par contre, tu rentres quand ? J’ai bien peur que le prof de Knowledge Management nous fasse un contrôle dès le début de la semaine suivante sur ce qu’il aura fait en cours… »
- « Ah merde ! Je ne rentre que le dimanche après-midi. Dur, dur pour tout réviser… Surtout avec le décalage horaire. Je serai crevée ! »
- « Si tu me donnes une adresse mail, je t’envoie les cours au fur et à mesure » reprit Nathan.
- « Ben tu connais mon adresse sur la messagerie de l’école » rétorqua Marine, ravie de voir qu’il était prêt à se mettre en quatre pour elle.
- « J’ai peur que tu n’y aies pas accès depuis les states » lui expliqua le jeune homme qui savait parfaitement qu’elle y aurait accès, mais qui voulait une adresse personnelle. « Tu emmènes ton ordi ? »
- « Oui, c’est pour ça que j’ai pris un portable. Je l’emmène partout. »
- « Tu ne veux pas me donner ton mail perso ? » insista Nathan.
Marine réfléchit. Elle avait horreur de communiquer son adresse mail sur laquelle elle recevait des choses très personnelles et parfois même confidentielles. Surtout à un mec qui avait choisi de faire un projet sur le hacking ! Pourtant, elle avait envie de lui faire confiance.
- « C’est tout simplement »
- « Ah oui, facile… Pas besoin de la noter. Je t’enverrai les cours tous les soirs »
- « Mais tu auras le temps de les taper ? » s’inquiéta l’étudiante.
- « T’inquiète pas ! J’ai piraté un logiciel de reconnaissance vocale. Il me suffit de lire les cours. Après j’ai juste quelques corrections… »
- « Bon, c’est vraiment sympa, mais j’y vais » conclut Marine en regardant sa montre.
Nathan la regarda partir. Une fois encore, il jeta un coup d’œil sur son magnifique fessier. A travers le pantalon blanc qu’elle portait, il devinait nettement la marque du string. Celui-ci n’était pas large et lui rentrait bien dans la raie du cul. Il aurait adoré pouvoir le sentir seulement une minute.
Maintenant qu’il avait son adresse mail et qu’il savait qu’elle ouvrirait la pièce jointe qu’il lui enverrait, il serait facile de pénétrer dans son ordinateur. Il allait utiliser un Cheval de Troie, une technique classique qui consistait à installer un programme sur le disque dur de sa victime. Déjà, il récupérerait son adresse IP, puis peu à peu, il étendrait son emprise. Dans quelques jours, il pourrait voir toutes ses photos, lire tous ses mails. Il avait un peu honte, mais il allait vraiment percer l’intimité de Marine. Juste, il attendrait qu’elle soit revenue pour la grande offensive, c’était plus drôle de la voir réagir. Il suffisait qu’il paramètre la date de déclenchement du programme.
Il allait faire mieux que de lui envoyer la transcription des cours, elle aurait l’original. Le samedi, il se rendit dans son magasin préféré. C’était un petit assembleur dont la boutique ne payait pas de mine. Le patron, un coréen d’à peine 30 ans, s’appelait Li WAN CHU. C’est chez lui qu’il avait acheté toutes ses config. Il était pratiquement devenu un ami.
- « Salut ! » dit Nathan, très à l’aise en pénétrant dans la boutique.
- « Salut Nathan » répondit le coréen en reconnaissant un de ses meilleurs clients. « Qu’est-ce qu’il te faut aujourd’hui ? Un de tes ordis est en panne ? »
- « Non, mais je cherche une webcam discrète et performante. »
- « Tu veux mater qui ? » demanda le patron avec un clin d’œil.
- « Personne ! Je veux enregistrer les cours sans que les profs s’en rendent compte. »
- « Dans ce cas, j’ai vraiment ce qu’il te faut. Je viens de recevoir un nouveau modèle, il est génial. »
Li WAN CHU alla chercher le modèle dont il lui parlait. Il ouvrit l’emballage.
- « Regarde, l’objectif ne fait pas plus de 4 millimètres de diamètre. Et tu vas voir la qualité de l’image… »
- « Ah oui, beau travail de miniaturisation ! » s’exclama Nathan LEGOFF. « C’est japonais comme fabrication ? »
- « Tu te fous de moi ? » s’énerva le patron du magasin. « C’est coréen, évidemment ! Les japonais sont complètement has been maintenant ! »
Nathan adorait le taquiner sur l’origine des produits. Cela marchait à tous les coups.
- « Et tu le vends combien ce petit bijou ? »
- « Prix public, 100 €uros. Pour toi, parce que tu es un de mes meilleurs clients, je te le laisse à 50 €uros »
- « Je te connais, si tu me le laisse à 50 €uros, c’est que tu dois l’avoir à moins de 25 ! Combien ?»
- « Attends d’avoir vu les images » reprit Li WAN CHU. « On parlera du prix après… »
- « Oui, montre-moi ce que ça donne » intervint Nathan en prenant l’appareil devant lui.
- « Attends ! Tu n’as pas envie de te rincer l’œil plutôt ? » demanda le coréen avec un nouveau clin d’œil.
- « Si, bien sûr ! » répondit l’étudiant.
- « Alors viens… »
Il le conduisit dans l’arrière-boutique. Sur un des ordinateurs qui était allumé, il agrandit une fenêtre. Nathan vit apparaître à l’écran une femme qu’il ne connaissait pas, parfaitement nette.
- « J’ai mis une des webcam dans une cabine d’essayage du magasin de vêtements juste à côté.» expliqua le vendeur. « Tu as vu la qualité de l’image ? »
Nathan ne lui répondit même pas. Il vit la femme qui avait pénétré dans la cabine fermer le rideau et accrocher le cintre avec lequel elle était entrée. Il la vit dégrafer son pantalon et le baisser doucement. Dessous, elle portait un tanga en dentelles rouges Splendide !
- « Tu peux même zoomer et orienter la caméra depuis le clavier » expliqua Li WAN CHU. « Vas-y, essaie… »
Nathan actionna les touches du clavier. Les flèches permettaient d’orienter la webcam comme on voulait. Le + et le – permettaient d’agir sur le zoom dans un sens ou dans l’autre. Il zooma sur le pubis de la cliente. On voyait parfaitement le détail des dentelles et même quelques poils qui dépassaient. Elle avait une touffe bien fournie et la définition était extraordinaire.
- « Alors, tu achètes, petit ? » demanda le vendeur.
- « Attends ! Elle n’a pas fini… »
Li WAN CHU rigola. Il savait déjà que ce petit voyeur lui achèterait l’appareil. En réalité, il se les procurait directement en Corée au prix de 22 €uros, avec le transport et les charges, ils lui revenaient à 26,50 €uros. Il le laissa poursuive sa séance de voyeurisme.
La femme qui était dans la cabine essaya le pantalon qu’elle avait apporté. Quand elle le retira, il se produisit ce que Nathan espérait. Le tanga descendit en même temps que le pantalon un peu étroit. Il put voir nettement sa toison luxuriante. Elle était noire et frisée. Il sentit une brève érection. Il pensa aux perspectives qu’offraient une webcam aussi discrète.
Revenant vers le vendeur, il était bien décidé à négocier le prix. Avec Li WAN CHU, il y avait toujours moyen de discuter…
- « Alors, tu me la fais à combien cette webcam ? 30 €uros ? »
- « Ça ne va pas ! Je ne gagne rien à ce prix là… Je te la fais à 40 €uros, c’est mon dernier prix ! »
- « Et si je t’en prends cinq ? » demanda Nathan. « Tu me les fais à 35 €uros pièce ? »
- « Affaire conclue ! Ça te fait 175 €uros.» conclut Li WAN CHU qui avait calculé qu’il ferait tout de même un peu plus de 40 €uros de bénéfice. »
Il aimait bien Nathan et savait qu’il était étudiant et n’avait pas de gros moyens. Et puis, il lui avait déjà vendu pour plus de 2000 €uros de matériel. De plus, il était vraiment très doué et il lui arrivait de lui demander des conseils en matière de Sécurité. Il lui répondait d’ailleurs avec toujours beaucoup de disponibilité.
Nathan lui fit un chèque de 175 €uros. Il lui demanda s’il pouvait attendre une quinzaine de jours avant de l'encaisser. Naturellement, le coréen accepta. Il avait l’habitude de ce genre de demande.
Nathan avait rapidement réfléchi. En achetant 35 €uros des appareils qui se vendaient jusqu’à 100 €uros, il pouvait très facilement les revendre à 50, voire un peu plus. S’il réussissait à en vendre trois, cela paierait les deux qu’il gardait. C’était ça les affaires…
Dès le lundi, il installa la webcam juste au pied du micro qu’utilisaient les profs. Personne ne s’en rendit compte. N’ayant pas apporté son ordinateur en cours, il stocka les images sur le disque dur du petit boîtier livré avec l’appareil. Il pouvait contenir jusqu’à six heures d’enregistrement. C’est plus qu’il ne lui en fallait.
Une fois les cours terminés, il copia les données sur une clé USB avec un algorithme de compactage qu’il avait lui-même mis au point. Il ne lui resterait plus qu’à transformer la voix en texte, à corriger les fautes résiduelles, et envoyer le tout à Marine ASCARI. Par la même occasion le programme espion s’installerait sur son portable dès qu’elle ouvrirait une des pièces jointes.
Cette fois, il allait vraiment apprendre des choses intéressantes sur celle qui le faisait fantasmer.

à suivre...
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Messagepar GILLESBDX » Mar 8 Déc 2015 15:41

Le cheval de Troie



Lorsque Marine ASCARI fut rentrée des Etats-Unis, elle remercia Nathan LEGOFF de lui avoir envoyé aussi vite et aussi régulièrement les cours. Grâce à lui, elle avait pu apprendre régulièrement et elle se débrouilla très bien au contrôle qui eut lieu, comme il l’avait prévu.
De son côté, il était ravi de ce qui se passait. Progressivement, il prenait le contrôle de l’ordinateur de Marine. Non seulement il avait accès, comme il le souhaitait, à la messagerie de l’étudiante, puisqu’il avait intercepté son mot de passe dès le premier jour, mais il pouvait lire tous ses mails. Il n’avait rien découvert de particulièrement intéressant ou de croustillant dans la messagerie de la jeune femme. C’était plutôt décevant. Sa principale satisfaction fut d’avoir obtenu l’adresse mail de Charlène THEVENOT. Les deux copines échangeaient régulièrement des messages.
Pendant presque une semaine, il passa ses soirées à explorer les fichiers du disque dur de Marine. Il passa surtout beaucoup de temps à regarder les nombreuses photos qu’elle avait prises. Une fois qu’il avait trouvé l’endroit où elle stockait les images, il avait activé à distance son utilitaire de rapatriement de contenu. Ce programme copiait des dossiers entiers, les compactait et les transférait vers son propre ordinateur en un temps record. Il avait tenu à rapatrier ces données car il voulait prendre son temps pour détailler les clichés.
Marine ASCARI avait pris beaucoup de photos. Plusieurs centaines. Il trouva celles du mariage de sa sœur. Les femmes portaient de belles tenues, mais il ne trouva rien de particulièrement sexy. A part ça, il y avait surtout des paysages. Dans l’ensemble, Nathan était déçu. Il avait tout de même trouvé une série de clichés pris à la plage lors des vacances de la belle blonde en Corse. On la voyait à plusieurs reprises en maillot de bain et il y avait même deux clichés où elle était seins nus. Elle avait une poitrine magnifique.
Il passa de longues minutes à regarder ces seins splendides. Ils étaient ronds et fermes. Les aréoles étaient brunes et pas très larges. La photo avait été prise au sortir de l’eau. Les pointes étaient dressées.
Une fois qu’il eut terminé de fouiller les données de sa voisine d’amphi, il décida qu’il était temps de passer à l’étape suivante. Désormais, il voulait concrètement aller voir comment vivait Marine ASCARI. Pour cela, il fallait qu’elle l’invite à venir chez elle. C’est là que son logiciel espion allait l’aider. Il déclencha un des programmes résidents qui avait pour objectif de ralentir les performances, puis de bloquer complètement l’ordinateur. Tout naturellement, elle ferait appel à celui qu’elle côtoyait tous les jours dans l’amphi.
Effectivement, quand son ordinateur commença à se bloquer, elle vint voir Nathan, complètement paniquée.
- « J’ai mon ordi qui déconne ! » lui avait-elle dit. « Tu ne pourrais pas regarder ?»
- « Si, bien sûr… » avait répondu son voisin en s’efforçant de garder un air détaché. « Je passerai ce soir, si tu veux… Tu as dû te choper un virus.»
- « C’est que… Ce soir je ne suis pas là. »
- « Eh bien, demain… »
Nathan savait parfaitement que, le soir, elle avait prévu de sortir avec Charlène. Il l’avait lu dans ses mails. Il savait aussi que, sur son disque dur, il y avait le mémoire qu’elle devait rendre le lendemain. A moins qu’elle en ait une sauvegarde récente sur une clé USB, elle avait besoin de le récupérer.
- « L’ennui, c’est que je dois rendre mon mémoire d’Intelligence Artificielle demain… J’en ai une sauvegarde, mais elle date un peu. Depuis, j’ai fait plein de modifs… »
- « Tu proposes quoi alors ? »
- « Ben comme c’est un portable, je peux te le laisser en partant… »
Comme un idiot, il n’avait pas prévu cette possibilité. Il fallait vite qu’il trouve une raison pour faire autrement. Une idée lui vint, heureusement, immédiatement.
- « Tu as des périphériques ? » demanda-t-il.
- « Oui, j’ai une imprimante et un disque dur externe » répondit Marine.
- « Tu sais, les nouveaux virus vont parfois se stocker dans la mémoire des périphériques… Il vaudrait mieux que je l’éradique en ayant ta config complète… »
Il avait complètement inventé cette histoire de périphérique, mais, en même temps qu’il lui en parlait, il se dit que c’était peut-être une bonne idée. Avoir un virus dormant dans la mémoire d’une imprimante et le réactiver quand on l’utilise… Une solution à tester en tous cas !
- « Bon, je crois que je vais devoir annuler ma sortie de ce soir » dit finalement Marine.
- « Pourquoi ? Tu n’as pas confiance en moi ? »
- « Si, mais… »
- « Eh bien tu me laisses la clé de ton appart en partant. Je vais dépanner ton ordi et tu passes chercher la clé chez moi en rentrant. »
- « Oui, c’est une solution. Mais si je rentre tard ? »
- « Eh bien tu me réveilleras, ce n’est pas grave… »
- « Non, je vais plutôt garder la clé de la boîte aux lettres. Tu mettras ma clé de porte dedans quand tu as fini, si cela ne te dérange pas… »
- « No problem »
Nathan LEGOFF attendit la fin de la journée avec impatience. Il savait que Marine ASCARI et Charlène THEVENOT s’étaient donné rendez-vous à 19 heures en ville. Si la belle blonde voulait être à l’heure, il faudrait qu’elle parte à 18 heures 30 au plus tard. Cela laisserait juste le temps à Nathan d’aller faire faire un double de la clé chez le cordonnier du petit centre commercial proche du campus.
Ce n’est qu’à 18 heures 50 qu’elle déposa la clé. Elle était en retard. Dès qu’elle fut partie, Nathan fonça en direction du centre commercial qui fermait à 19 heures. Il courut comme il ne l’avait pas fait depuis longtemps et arriva, tout essoufflé, au moment où l’employé qui tenait la cordonnerie commençait à fermer le rideau de fer. Il l’interpella de loin.
- « Monsieur, s’il vous plait, ne fermez pas ! »
- « Si, c’est l’heure ! » répondit l’homme qui avait tout de même arrêté son geste. « Vous reviendrez demain. »
- « Je vous en prie, il me faut une clé. C’est très important ! »
- « Peut-être, mais là, je ferme ! »
- « Il faut absolument que je fasse un double de ma clé pour la donner à ma sœur. Elle passe la prendre ce soir et je pars à l’étranger. » improvisa Nathan. « Si je n’ai pas ce double, en rentrant je vais me retrouver à la rue. »
- « Fallait y penser avant, mon gars ! » répondit l’employé qui ne semblait pas décidé à se laisser attendrir.
- « Mais j’ai appris qu’elle venait il y a moins de cinq minutes » insista l’étudiant. « Vous voyez bien comme j’ai couru… Je vous en supplie !»
- « Hum, c’est bon ! » grommela l’homme en rouvrant le rideau de fer. « Donne-moi cette clé ! »
Nathan lui tendit la clé avec, enfin, un grand sourire et le remercia chaleureusement. Le cordonnier fut obligé de relancer la machine, mais la fabrication de la clé elle-même ne prit pas plus de quelques secondes.
Une fois le double en poche, il rentra tranquillement à la résidence universitaire. Cela avait été juste, mais il avait le précieux sésame. Il avait dû courir comme un dératé et se dit qu’il ferait bien de refaire un peu de sport. Il repassa chez lui, prit une douche rapide, car il était en sueur, et descendit enfin dans l’appartement de Marine ASCARI.
Il ouvrit la porte avec fébrilité avec le double dont il voulait tester l’efficacité. La clé tourna dans la serrure sans aucune difficulté. Il entra dans l’appartement comme on entre dans un lieu de culte. Il se trouvait dans le studio de la plus belle fille de l’école. Combien de mecs auraient payé cher pour être à sa place ? L’appartement était conçu exactement comme le sien. Il y avait un coin cuisine et le reste de la pièce servait à la fois de séjour et de chambre. Marine avait mis le lit dans l’autre sens, mais sinon l’aménagement était à peu près identique, sauf qu’une commode avec quatre tiroirs remplaçait le gros ordinateur que Nathan avait installé chez lui. En effet, le geek n’en avait pas moins de trois dans son studio.
Tout était propre et bien rangé. Il crevait d’impatience d’aller voir la salle de bain, mais il alluma d’abord l’ordinateur. Il savait qu’il n’en aurait que pour une minute. Juste trois commandes à passer et tout se débloquerait, mais il valait mieux être prudent. Si jamais la jeune femme rentrait à l’improviste, il valait mieux qu’elle le trouve en train d’essayer de réparer.
Il arrêta le programme qui lui avait permis d’être ici et vérifia que tout était en ordre. Marine pourrait de nouveau utiliser son ordinateur normalement.
Il franchit enfin la porte qui isolait la salle de bain et les toilettes du reste du studio. La salle de bain ressemblait beaucoup à la sienne du point de vue conception, mais c’était une salle de bain de fille. Il y avait des produits cosmétiques un peu partout, des shampoings, des déodorants, des brosses. Ce qui avait tout de suite attiré son attention, c’était la corbeille de linge sale qui se trouvait sous le lavabo. C’est là qu’il comptait bien trouver des trésors inestimables.
Fébrilement, il souleva le couvercle et trouva les vêtements que Marine ASCARI portait au cours de la journée. Il avait bien vu qu’elle s’était changée pour sortir ce soir. Il trouva effectivement sa jupe noire et son chemisier blanc, mais surtout le string qu’elle avait porté toute la journée. C’était un petit string de couleur beige qu’il trouva très mignon. Il commença par l’examiner soigneusement. Des traces blanches trahissaient quelques secrétions au niveau du gousset. Il porta la pièce de lingerie à ses narines et respira un grand coup. Une odeur à la fois forte et doucereuse chatouilla son odorat et lui provoqua aussitôt une érection. Il continua à sentir le string, imaginant le sexe de sa propriétaire qui avait frotté dessus pendant de longues heures. Méticuleusement, il chercha quelques poils, mais n’en trouva pas. Était-elle épilée ? De petites traces d’urine se trouvaient un peu plus bas. Il les sentit avec autant d’application.
Il était tellement excité par la situation, qu’il aurait voulu se branler dans le string. Le maculer de sperme. Pourtant, il se retint et se contenta de frotter sa queue à l’endroit où elle avait mis sa chatte. Il jouit finalement dans le lavabo et fit couler un peu d’eau pour faire disparaître les traces de semence.
Satisfait, il remit tout en place et quitta la pièce. Il alla fouiller un peu dans les placards de la jeune femme, principalement dans l’armoire murale qui contenait ses multiples tenues vestimentaires. Il se rendit compte qu’elle avait des choses encore plus sexy que celles qu’elle mettait pour venir en cours. L’armoire lui réservait d’autres surprises. Trois tiroirs contenaient des pulls, des tee-shirts et des chemisiers, mais le dernier était celui réservé à la lingerie. Il y avait des bas et des collants de toutes les couleurs. Des soutien-gorges, taille 95 D, un peu plus que ce qu’il avait estimé, et surtout, des strings, des tangas… Il y en avait de toutes les couleurs, de différentes matières, plus ou moins larges. On aurait dit que c’était son principal poste de dépenses.
Il fouilla un bon moment, puis retourna sentir le string avant de partir. Il n’avait pas pu s’en empêcher. Il descendit mettre la clé dans la boîte aux lettres, comme convenu, et rentra tranquillement chez lui. Il passa le reste de la soirée à repasser en boucle les photos de Marine ASCARI en maillot de bain. Il en avait même trouvé une sur laquelle elle était en compagnie de Charlène THEVENOT. Elles n’étaient pas en bikini, mais portaient tout de même des mini-jupes très sexy.
Il s’était installé sur son lit, l’écran face à lui, et se masturbait en pensant aux deux filles qu’il reverrait le lendemain. Il avait surtout en mémoire les fesses de Marine et l’odeur délicieuse de ce string qu’il avait humé dans sa salle de bain. Une fois encore, il éjacula sur les draps. Il faudrait vraiment qu’il change le lit…

à suivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 11 Déc 2015 14:54

Espionnage



Le lendemain Marine ASCARI remercia chaleureusement Nathan. Elle ne se doutait pas qu’il avait désormais accès à son appartement quand il le souhaitait. L’étudiant avait vraiment profité de cette soirée et il guettait une nouvelle occasion. Il ne voulait pas prendre de risque et attendrait qu’elle s’absente assez longtemps. Mais, il avait beau surveiller sa messagerie, elle n’avait pas de nouvelle sortie en vue.
Ils se réunirent une nouvelle fois pour le projet inter promotion. Cette fois, Nathan LEGOFF leur montra comment s’introduire au cœur d’un site internet. Il choisit celui de leur école. Il leur expliqua comment il détectait les failles, rajoutait du code HTML, et, finalement, faisait sauter les protections les unes après les autres. Les trois filles étaient fascinées, particulièrement Charlène THEVENOT qui n’en revenait pas.
- « Tu veux dire que tu peux changer les notes ? » demanda-t-elle.
- « Bien sûr ! »
- « Si j’avais su ! L’année dernière, il ne me manquait que deux points pour passer en troisième année. »
- « Techniquement, c’est facile » reprit Nathan. « Mais il faut y aller mollo pour éviter que l’administration s’en rende compte. En général, les profs se souviennent de la meilleure note et de la plus mauvaise qu’ils ont mises. Celles-là, il vaut mieux ne pas y toucher. »
- « Tu l’as déjà fait ? » demanda Josiane curieuse.
- « Oui, juste pour voir si ça marchait… Marine, je t’ai ajouté deux points à ta note de contrôle de Génie Logiciel, l’an dernier… »
- « C’est pour ça que j’ai eu plus que la moyenne que j’avais calculée ! » s’exclama la belle blonde. « Et pourquoi moi ? »
- « Parce que j’avais décidé que la plus sexy de l’amphi méritait d’être récompensée » répondit Nathan en rougissant.
Marine ASCARI prit le compliment sans réagir, mais cela lui fit plaisir. Le petit génie de l’informatique leur montra ensuite le site qu’il avait prévu de pirater pour la démonstration de leur projet. Il s’agissait de celui d’un opérateur téléphonique.
- « Maintenant que je vous ai montré comment repérer les failles, je vais vous laisser vous amuser un peu… Je vous laisse une semaine pour essayer de les pirater et on fait le point la prochaine fois. Ça vous va ? »
- « D’accord ! » dit Josiane avec enthousiasme. « Mais tu n’as pas peur qu’on se fasse repérer ? »
- « Bonne remarque ! » répondit Nathan de plus en plus à l’aise avec les trois filles. « Apportez-moi une clé USB demain, je vous filerai l’utilitaire que j’ai développé. Le BIP, Brouilleur d’IP… Il permet de communiquer avec le site avec une adresse IP bidon. »
- « Je ne suis pas très douée en Réseaux » intervint Marine ASCARI « Mais tu fais comment pour recevoir les infos sans donner ton adresse IP ? »
- « Mon utilitaire crée une machine virtuelle avec sa propre adresse IP et c’est celle-là qui communique avec le site. A la fin de la session, tout est nettoyé et il ne reste aucune trace des échanges. »
- « Il n’y a pas à dire, tu es doué… » fit remarquer Charlène THEVENOT, de plus en plus admirative.
- « Merci… Lors de la soutenance, on leur expliquera le BIP, ensuite on leur montrera comment on rentre dans le système et, pour finir, on leur fera une démo du fameux AHK. J’ai presque fini de le développer. »
- « Mais qu’est-ce qu’il va nous rester à faire si tu as déjà tout fait ? » demanda Josiane.
- « La Doc… J’ai horreur de ça ! Et puis il faudra préparer un Powerpoint pour la soutenance et je compte sur votre sourire pour charmer le jury… »
- « T’en fais pas pour ça » répondit Marine ASCARI en minaudant.
Les filles étaient ravies d’avoir accepté de travailler sur le projet que proposait Nathan. Il avait déjà pratiquement tout fait et ils avaient une bonne note assurée. Pour le récompenser, ce soir-là, elles lui firent la bise toutes les trois. Il n’en revenait pas.
Nathan LEGOFF avait finalement revendu quatre de ses cinq webcams au prix de 60 €uros pièce. Du coup, il était même bénéficiaire. Dès que Marine ASCARI allait s’absenter assez longtemps, il était bien décidé à aller installer la dernière dans sa salle de bain. Il avait fait des essais chez lui, il était facile de dissimuler l’appareil dans la bouche de la VMC. Grâce au Wifi, il n’avait même pas besoin de stocker les images et pouvait les visionner en direct. Il ne restait plus qu’à attendre le moment propice… Il n’eut, heureusement, pas trop de temps à attendre. Marine prévoyait une nouvelle sortie avec Charlène. Il agirait ce soir-là.
Il passa une partie de son temps à surveiller par la fenêtre de son studio, le départ de Marine ASCARI. Quand il la vit monter dans le bus, il sut qu’il était tranquille pour un moment. Il alla chercher la clé de son appartement qu’il avait soigneusement rangée et descendit chez elle. Il ouvrit tranquillement la porte et fouilla dans la corbeille de linge sale avant de commencer ce qu’il était venu faire. Cette fois, il trouva deux strings. Le premier était blanc et n’avait aucune dentelle. Par contre, elle avait dû le mettre pour faire du sport, car il avait une odeur tenace. Il se régala un long moment, imprégnant ses narines de l’odeur de la cyprine et de l’urine mélangées. Au bout d’un moment, il le lécha même à l’endroit où les tâches étaient les plus marquées. L’autre string était entièrement noir. C’était celui qu’elle portait la veille. Son œil exercé n’avait pas manqué de le remarquer dans l’entrebâillement du jean qu’elle portait hier. Il était moins sale que l’autre, mais les traces de pertes blanches ressortaient merveilleusement sur le satin noir. Un fois encore, il le sentit et le lécha.
Lorsqu’il eut fini de jouer avec la lingerie de la jeune femme, il alla chercher un tabouret dans la cuisine et se hissa dessus. Avec le tournevis qu’il avait apporté, il défit les fixations de la bouche d’aération. Il installa la webcam, comme il l’avait fait chez lui. Il remit en place la grille et remit le tabouret dans la cuisine. Il ne lui restait plus qu’à aller vérifier que la réception était bonne depuis son PC, mais il n’y avait pas de raison. Avant de partir, il ne résista pas à la tentation d’aller sentir les strings encore une fois.
Une fois qu’il était retourné dans son studio, il avait testé la connexion. La vision qu’offrait la webcam était parfaite. Pour tester le mécanisme, il l’orienta vers la douche, puis vers le lavabo. Le dispositif de réglage était très précis.
Pour occuper sa soirée, il se connecta au site de rencontre sur lequel il n’était pas allé depuis un moment. Il prit son pseudo habituel : WILD-WOLF. Il trouva plusieurs nanas qui acceptèrent des dialogues un peu chauds, mais aucune ne voulut allumer sa webcam. Du coup, il n’était pas certain du tout qu’il s’agissait réellement de femmes.
A partir de 23 heures, il ne cessa de regarder son écran, pour vérifier si Marine ASCARI était rentrée. Finalement, il s’endormit sans que personne n’apparaisse à l’écran. Ce n’est que le lendemain matin que la porte de la salle de bain s’ouvrit. Marine était rentrée très tard. Elle n’avait même pas eu le courage d’aller se démaquiller.
Nathan LEGOFF vit le visage de la jeune femme dans le reflet du miroir. Même après les excès de la veille elle était splendide. Quand elle fit passer la nuisette légère qu’elle portait par-dessus sa tête, il sentit son sexe durcir. Il se précipita sur le clavier pour zoomer sur ses seins. Il leur trouvait vraiment une forme parfaite. Quand elle retira le string qu’elle avait conservé depuis la veille, il crut qu’il allait éjaculer. Elle était de dos et il ne voyait que ses fesses, mais quel cul ! Il était bombé, ni trop gros, ni trop mou. Ses fesses étaient fermes et musclées.
Avec étonnement, il la vit porter le string à ses narines avant de le mettre dans la corbeille de linge sale. Une sorte de tic qu’ont beaucoup de filles, ce que la plupart des garçons ignorent.
Nathan la vit entrer dans la douche et régler la température de l’eau pendant un moment qui lui parut une éternité. Elle fit enfin couler le jet tiède sur son corps. L’eau qui ruisselait sur sa peau donnait encore plus d’éclat à son bronzage. Quand elle se retourna pour attraper le gel douche, il vit brièvement ce sexe dont il avait tant rêvé. Il avait eu le temps d’apercevoir la petite touffe de poils, soigneusement taillée, qui ornait son pubis. Il n’avait pas vraiment eu le temps de détailler le reste, mais les lèvres de son sexe avaient l’air parfaitement dessinées.
Quand elle sortit, elle s’enveloppa rapidement dans une grande serviette et s’essuya vigoureusement avant de sortir. Elle ne revint qu’une demi-heure plus tard pour se maquiller. Cette fois, elle était complètement habillée. Nathan resta tout de même scotché devant son écran. Il trouvait tellement excitant de partager les moments d’intimité de cette fille sublime.
Tous les soirs en rentrant, Nathan allumait son ordinateur et guettait le passage de Marine dans la salle de bain. Il passa malheureusement de nombreuses heures devant un écran vide. Il se dit qu’il faudrait qu’il passe voir son ami coréen pour lui acheter d’autres webcams. Il voulait équiper les autres pièces de l’appartement.
Malgré tout, il réussissait à voir la jeune femme tous les jours. Il savait à peu près à quelle heure elle prenait sa douche, quand elle se lavait les dents, quand elle se maquillait… Un matin, il assista à une séance d’épilation. Un moment d’intimité merveilleux …
Voir le soin extrême qu’elle apportait à retirer le moindre poil de ses jambes étant fascinant. Mais le moment vraiment intéressant fut celui où elle tailla sa toison pubienne. Elle prit la bombe de mousse à raser et en fit sortir une petite noisette de crème qu’elle étala sur son pubis. Elle était face à la webcam et, cette fois, Nathan pouvait détailler le sexe de la jeune femme. Il zooma au maximum et cadra l’image sur son mont de vénus proéminent. Il voyait nettement les grandes lèvres du sexe de Marine et devinait même son clitoris, à peine masqué par des petites lèvres un peu plus brunes. Jamais il n’avait touché encore le sexe d’une femme, mais il en avait tellement vu sur des vidéos qu’il était quasiment devenu expert en anatomie féminine. Quand le rasoir retira la mousse pour ne laisser qu’une bande de poils, genre ticket de métro, il retint son souffle. Marine avait le geste sûr et il ne lui fallut pas longtemps pour terminer son ouvrage.
Il la vit, ensuite, retourner dans la douche et éliminer les traces de mousse à raser qui restaient. Voir sa main se promener entre ses cuisses était merveilleux. On aurait dit qu’elle se masturbait… Nathan se dit qu’elle devait bien le faire de temps en temps, comme tout le monde, et cela renforça son idée d’installer une webcam qui lui permettrait de surveiller son lit. Maintenant qu’il savait précisément comment était disposé le mobilier, il pensait qu’en installant un second appareil dans la bouche d’aération de la cuisine, il pourrait voir le lit.
Pour le moment, le spectacle était terminé. Marine ASCARI sortit de la douche et alla s’habiller. Lui aussi devait aller se préparer, car il serait bientôt l’heure d’aller en cours. Il était encore nu devant son ordinateur. Une flaque de sperme se trouvait devant lui et il l’épongea avant d’aller s’habiller. Tant pis, pour une fois, il raterait la séance de maquillage de Marine. Mais après le spectacle auquel il venait d’assister, ce n’était pas grave.
Retrouver dans l’amphi celle qu’il prenait tant de plaisir à espionner était devenu un bonheur quotidien. Elle était loin de se douter qu’il la regardait prendre sa douche tous les matins et avait juste remarqué une lueur encore plus intense dans ses yeux. Elle trouvait qu’il la matait avec encore plus d’assiduité durant les cours, mais elle le laissait faire. Après tout, si c’était la seule concession qu’il fallait faire pour avoir une super note dans une matière avec un fort coefficient…

à suivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 11 Déc 2015 16:56

Dépannage informatique



Quand il retourna dans le magasin d’informatique de son ami coréen, Nathan fut profondément déçu. Celui-ci n’avait plus une seule webcam en stock. Le modèle qu’il avait proposé la dernière fois à l’étudiant était tellement performant, qu’il avait tout vendu.
- « C’est dingue, ça s’arrache comme des petits pains ! » lui avait dit le commerçant. « J’attends une livraison, mais ça risque d’être long… »
- « Tu as d’autres modèles ? » avait demandé Nathan.
- « Oui, mais beaucoup moins performants et presque aussi chers… C’est urgent ? Qu’est-ce que tu fais de toutes ces webcams ?»
Nathan LEGOFF n’allait pas lui avouer qu’il les avait revendues en ayant fait un bénéfice substantiel. Il se contenta de lui dire qu’il s’en servait pour espionner les filles de sa résidence universitaire. Le coréen rigola et le mit en garde contre les risques liées au non-respect de la vie privée, mais avec la webcam qu’il avait placée dans la cabine d’essayage du magasin de vêtements, il n’était pas le mieux placé pour en parler.
Le patron du magasin lui expliqua qu’une société de surveillance lui avait pris tout le stock de webcams qui lui restait et qu’ils en avaient commandé encore 100. Ils les couplaient avec un détecteur de présence qui permettait d’économiser nettement la batterie de l’appareil en n’allumant la webcam que quand un mouvement était détecté dans la pièce. Nathan se dit qu’il allait en installer un sur la webcam de la salle de bain de Marine ASCARI, car il avait raté sa toilette deux matins de suite. Avec un système d’alarme facile à programmer, la carte son de son ordinateur le rappellerait à l’ordre en temps et en heure.
Pour le moment, il devrait se contenter de ce gadget. Il demanda à Li WAN CHU de le prévenir dès qu’il aurait reçu sa livraison. Le coréen lui promit de lui mettre quelques appareils de côté, mais il en profita pour lui signaler qu’il avait augmenté son prix. La loi de l’offre et de la demande…
Deux jours plus tard, Nathan LEGOFF avait profité que Marine ASCARI partait faire des courses directement après les cours pour passer chez elle installer le détecteur de présence. Pour une fois, il fut déçu… La corbeille de linge sale était entièrement vide. Elle avait fait la lessive.
Il rentra rapidement chez lui et se connecta à son site de rencontre. Ce soir-là, WILD-WOLF eut un succès formidable. Pas moins de quatre femmes dialoguaient avec lui en même temps. Il s’excitait de plus en plus et s’était mis entièrement nu. L’une d’elle avait l’air d’être une véritable petite salope. Ses dialogues étaient vraiment chauds et il avait entrepris de la dominer virtuellement. Il était à fond dans le scénario quand on frappa à sa porte.
Tout affolé, il attrapa un peignoir et l’enfila en vitesse. Il le ferma pour dissimuler son érection et alla voir qui pouvait venir le déranger en plein délire érotique. Nathan ouvrit la porte et tomba nez à nez avec Josiane.
- « Je suis désolée de venir te déranger » lui avait dit l’élève de première année « Mais j’ai un problème avec mon ordi et je n’arrive pas à le résoudre. Comme tu es le mec le plus doué que je connaisse, je me suis dit que tu pourrais peut-être m’aider… »
- « Bien sûr » répondit Nathan. « Mais là, j’étais très occupé. Je peux passer un peu plus tard dans la soirée ?»
- « Oh, bien sûr ! Je ne bouge pas de chez moi… Mais je te préviens, ça a l’air sérieux ! »
- « Ne t’en fais pas, c’est rare que ces bestioles me résistent ! Je passerai tout à l’heure… »
Josiane le remercia et retourna dans son appartement. Nathan était un peu contrarié d’avoir été dérangé en pleine séance de masturbation, mais il avait finalement trouvé très excitant d’ouvrir la porte à une de ses voisines, complètement nu sous le peignoir et en érection. La plastique de Josiane était loin de celle de Marine ASCARI, mais ce soir il l’avait trouvée plutôt mignonne avec sa jupe en jean.
Il retourna devant son écran. Hélas, trois des quatre femmes qui dialoguaient avec lui s’étaient déconnectées. Il allait reprendre la discussion avec la seule qui restait, quand une alarme se déclencha sur son ordinateur. C’était la webcam de la salle de bain…
Il restaura la fenêtre dédie à la webcam et vit apparaître Marine sur son écran. Elle partait toujours le chemisier noir et la jupe blanche qu’il lui avait vus dans la journée. Il la vit déboutonner lentement le chemisier qui s’ouvrit sur un délicieux soutien-gorge bleu ciel. Ce modèle mettait particulièrement en valeur sa poitrine qu’il ne se lassait pas d’admirer. Quand elle le retira, après avoir enlevé le chemisier, il vit encore une fois ses seins et se remit à bander immédiatement. Elle retira également la jupe et ne portait plus que le joli string bleu ciel coordonné avec le soutien-gorge. Elle avait vraiment de belles tenues.
Il attendit qu’elle le retire, mais elle ne semblait pas en avoir l’intention. Elle se démaquilla tranquillement, puis sortit de la pièce en laissant la lumière. Nathan attendit un moment, puis il la vit revenir avec un tabouret.
- « Pourvu qu’elle n’ait pas repéré la webcam ! » se dit-il, soudain inquiet.
Fort heureusement, il n’en était rien. Il la vit fouiller dans le placard de la salle de bain et sortir un flacon de vernis. Elle le secoua vigoureusement, puis l’ouvrit en forçant un peu. Nathan la vit alors poser son pied droit sur le tabouret, puis vernir ses ongles un à un avec un rose brillant qui lui allait très bien. Il zooma sur son entrejambe. Le string épousait la forme de son pubis. Dommage qu’elle ne l’ait pas retiré pour se livrer à cet exercice. L’étudiant se régala tout de même du spectacle qu’elle lui offrait. Il la vit vernir les ongles de l’autre pied, puis elle rangea le flacon dans son placard et sortit avec le tabouret. Cette fois, elle éteignit. Elle ne devait pas avoir l’intention de revenir.
Nathan se dit que, de toute façon, le détecteur de présence le préviendrait si elle retournait dans la salle de bain. Il essaya de l’imaginer, juste en petite culotte dans son appartement. Même si la salle de bain était l’endroit stratégique pour la mater, il était impatient de pouvoir installer une webcam dans l’autre pièce.
Pour le moment, il pensait à Josiane. Il était tout de même curieux d’aller faire un tour chez elle et s’habilla avant de descendre jusqu’à son appartement.
Elle le fit entrer, ravie qu’il vienne si vite, et le conduisit immédiatement jusqu’à l’ordinateur. L’appartement de la jeune étudiante était conçu sur le même modèle que ceux qu’il connaissait déjà, mais rien à voir avec l’intérieur bien rangé de Marine ASCARI. Le lit était défait, des fringues trainaient dessus et il remarqua même une culotte sale, posée sur une chaise. Josiane était complètement bordélique.
Elle alluma l’ordinateur qui s’arrêta presque aussitôt, envoyant un message d’erreur.
- « Tu vois, on dirait qu’il ne peut pas accéder au disque » expliqua Josiane.
Sans lui répondre, Nathan l’arrêta et le remit en marche. Une combinaison de touches lui permit d’accéder au bios.
- « Ouais, il ne reconnaît plus ton disque dur et ne peut même pas accéder au secteur de boot. » expliqua l’étudiant. « On va le piéger et le faire démarrer depuis ma clé USB ».
Il modifia le bios et sortit la clé USB qui se trouvait dans sa poche. Il relança l’ordinateur et, cette fois, il démarra correctement. Le système d’exploitation se chargea et il put lancer un utilitaire de diagnostic.
- « C’est ton disque dur qui est nase ! » affirma Nathan en moins d’une minute. « Tu vas devoir le remplacer… »
- « Bon, ça ne m’arrange pas trop financièrement, mais s’il faut le faire… Tu crois que je vais pouvoir récupérer mes données ? » demanda soudain Josiane, inquiète.
- « Ça ne sera surement pas évident… En tous cas, cela prendra du temps… Le disque chauffe dès qu’on allume l’ordi… Cela laisse environ 30 secondes pour récupérer des données et après, il faut recommencer. »
- « Merde, je vais faire comment ? » se demanda Josiane. « Sans ordi, je suis mal… »
- « Déjà, il va falloir que tu achètes un disque dur… Je vais essayer de récupérer la FAT. C’est la table d’allocation de tes fichiers… »
- « Quand même, je ne suis pas une bille ! » rétorqua Josiane un peu vexée.
- « Oui, excuse… » poursuivit-il « Tu me diras quels sont les dossiers que tu veux que je récupère en priorité. »
- « Oh, c’est simple… Le dossier « Cours ». C’est là que j’ai mis tous mes cours de cette année… »
- « Ok. Demain matin, on a un prof absent… Si tu veux, je m’en occupe. »
- « Oui, mais moi j’ai cours… Si tu veux, je te laisserai la clé de chez moi. »
- « D’accord… J’essaie de récupérer tes cours sur mon portable. Si tu veux, je m’occupe de te trouver un disque pas trop cher. Je connais un magasin qui me fait des prix intéressants. Je viens te l’installer et je te remets tes fichiers. »
- « C’est vrai, tu ferais ça pour moi ? Tu es vraiment adorable… »
- « Oui, j’espère que j’aurai mérité un petit bisou » lui dit Nathan en se rapprochant d’elle, surmontant sa timidité, et en posant la main sur sa cuisse.
- « Tu en auras même un gros ! » répondit Josiane en se dégageant. « Mais quand tu auras fait le boulot ! »
Nathan se dit que, finalement, lorsque le coréen aurait reçu ses webcams, il en mettrait peut être une chez Josiane. En tous cas, dès demain il irait acheter un disque dur et remplacerait celui qui était foutu. En passant, il ferait un double de la clé de l’appartement. La culotte qui trainait sur la chaise lui avait donné envie de revenir.
Une fois rentré chez lui, il guetta l’alarme de la webcam de l’appartement de Marine ASCARI, mais rien ne se produisit. Il avait peut-être raté son passage à la salle de bain pendant qu’il était chez Josiane. Il se coucha, l’esprit partagé entre la vision de la belle Marine, le fantasme absolu, et celle, moins bandante mais tellement plus réaliste d’une Josiane qui se montrait de plus en plus accessible. Il ne fallait pas rêver, s’il faisait l’amour à une des deux, ce ne serait pas la belle blonde… Mais après tout, il se serait bien contenté de Josiane. En lui rendant service comme il allait le faire, il se disait qu’il aurait probablement une ouverture.
Encore fallait-il qu’il surmonte sa timidité et qu’il prenne un peu confiance en lui. S’il était capable de draguer n’importe quelle nana sur le net, voire de se montrer dominateur, il perdait tous ses moyens dès que la fille était à côté de lui. Poser la main sur la cuisse de Josiane lui avait demandé un effort incroyable.
Ce soir-là, c’est de nouveau avec l’image de Josiane qu’il s’endormit. Le lendemain, il serait seul chez elle. Peut-être aurait-elle de nouveau laissé trainer une culotte…


à suivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar Clahire » Mar 22 Déc 2015 16:22

C'est un poste complétement incroyable ! Je viens seulement de le découvrir, c'est carrément génial...
Merci beaucoup à toi de nous avoir fait partager toutes ces histoires !
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 28 Déc 2015 16:49

Merci...
Ca fait toujours plaisir de voir que certains apprécient...

Du coup, je vais continuer la dernière histoire...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 28 Déc 2015 16:51

Un visiteur inattendu



Juste avant de partir en cours, Josiane passa chez Nathan. Il était levé depuis à peine dix minutes et la reçut volontairement nu sous son peignoir. Il avait trouvé la situation tellement excitante la veille…
Il fit entrer Josiane et lui offrit un café. Elle n’avait pas beaucoup de temps, mais accepta avec plaisir. Il servit deux tasses et l’invita à s’asseoir. La jeune femme portait la même jupe en jean que la veille, mais elle avait mis un chemisier beaucoup plus transparent qui laissait deviner la forme de ses seins. Ils étaient ronds et lourds et on distinguait, par transparence, le soutien-gorge de dentelles blanches qui les soutenait. Nathan vérifia que son peignoir était bien fermé. Il sentait son sexe durcir.
Josiane lui laissa la clé de son studio et partit en cours. Il était impatient d’aller fouiller un peu chez elle et descendit dès qu’il fut habillé. Depuis la veille, Josiane n’avait rien rangé. Elle avait, bien sûr, dégagé le lit pour dormir, mais les fringues étaient posées par terre. La culotte était toujours sur la chaise. Il la prit dans ses mains et l’examina en détail. Ce que portait l’étudiante était beaucoup plus sexy que ce qu’il avait imaginé. C’était un shorty très mignon avec des dentelles ajourées. Il regarda le gousset qui comportait de longues marques blanches. Il le porta à ses narines. L’odeur était beaucoup plus forte et âcre que celle de la culotte de Marine ASCARI, mais elle lui fit beaucoup d’effet. Nathan la reposa délicatement et alla voir dans la salle de bain. Il en trouva une autre, posée sur le carrelage, et la renifla aussi longuement que la première.
Dans la corbeille de linge sale, il en trouva trois autres. Il y avait aussi des bas auto-fixant. Il était pourtant persuadé que la jeune femme ne portait que des collants. Il remit tout en place et sortit de l’appartement, après avoir démonté le disque dur de l’ordinateur de Josiane. De toute façon, une fois qu’il aurait fait un double de la clé, il reviendrait quand il voudrait.
Il retourna dans le magasin de son ami coréen. Celui-ci ne put s’empêcher de plaisanter en le voyant revenir.
- « Encore toi ? Je n’ai pas reçu de webcam cette nuit… »
- « Je viens chercher un disque dur » répondit l’étudiant. « Tu en as qui ne sont pas trop chers ? »
- « Bien sûr… Enfin si tu n’as rien contre les produits coréens… » lui répondit le commerçant en regardant le modèle qu’il lui tendait.
- « Va pour du coréen… »
- « Comme celui-ci, j’en ai à 50 €uros… disons 40 pour toi. »
- « Et tu aurais ce qu’il faut pour me récupérer les données ? Ce putain de disque chauffe au bout de 30 secondes…»
- « Oui, mec ! Ton problème est classique… J’en avais marre de passer des heures à essayer de récupérer les données de clients qui venaient me voir tout affolés avec un disque qui chauffe… Je n’ai pas que cela à foutre ! »
- « Tu crois que je vais te plaindre ? Tu ne devais sûrement pas leur faire ce travail gratuitement… »
- « Non, bien sûr ! Mais même à 20 €uros, j’y passais trop de temps… Alors j’ai cherché et j’ai trouvé la solution… »
- « Raconte, face de citron ! » s’énerva le jeune homme.
- « Je vais plutôt te montrer » répondit Li WAN CHU, toujours fier d’apprendre quelque chose à ce jeune étudiant qu’il considérait comme le meilleur informaticien qu’il ait jamais rencontré.
Le coréen lui prit le disque et alla le brancher dans un drôle de caisson. Il se mit devant l’écran du PC raccordé au caisson et tapa quelques commandes. La copie physique des secteurs du disque commença. Jusque-là, rien d’original. Nathan aurait fait exactement la même chose. Mais le disque dur, cette fois, ne se mit pas à chauffer. Li WAN CHU lui donna enfin l’explication.
- « Tu vois, ce caisson est un congélateur que j’ai trafiqué. La température refroidit progressivement. Du coup j’arrive à transférer plusieurs Gigas sans interruption. »
- « Fallait y penser, bravo ! »
- « Je te mets les données sur un disque externe ? J’en ai des pas chers… »
- « Je te prends le disque interne et le disque externe pour 70 €uros en tout, ça va ? » demanda Nathan, toujours en train de marchander.
- « Non, 75 €uros… Dernier prix ! »
- « D’accord, escroc ! »
C’était toujours le même petit jeu entre les deux. Ils s’en amusaient beaucoup. Li WAN CHU essayait régulièrement de convaincre l’étudiant de venir travailler avec lui quand il aurait terminé ses études, mais il ne se faisait guère d’illusions. Nathan pouvait se permettre de se faire embaucher chez les plus grands.
Il rentra avec un nouveau disque dur et un disque externe pour qu’elle puisse désormais faire des sauvegardes régulières et se garantir contre ce genre de mésaventure. Juste en arrivant à la résidence universitaire, il croisa Marine ASCARI qui partait faire un jogging. Elle était magnifique avec son petit short et son haut moulant.
Il se dit qu’il avait le temps de faire un saut chez elle, voir si sa corbeille à linge sale contenait des trésors. Il passa d’abord chez lui pour déposer ses achats et prendre la clé. Son esprit tortueux et machiavélique réfléchissait à la stratégie qu’il allait adopter avec Josiane. Déjà, elle serait contente, car elle lui avait demandé d’essayer de ne pas dépasser le budget de 80 €uros. Non seulement il restait légèrement en dessous, mais pour ce prix-là, elle avait un disque dur externe en supplément. Par contre, il n’allait pas lui restaurer toutes ses données d’un coup. Il allait les copier sur un de ses disques à grande capacité et ferait mine de récupérer les fichiers progressivement. Cela lui donnerait l’occasion de voir Josiane plus souvent…
Pour l’heure, il voulait monter chez Marine ASCARI. Il prit la clé de son appartement et s’apprêtait à sortir quand il entendit l’alarme de la webcam sur son ordinateur. Il s’arrêta net. Que se passait-il ? Marine avait-elle oublié quelque chose pour être retournée si vite dans son studio ? Il posa la clé et alla s’asseoir devant son écran.
L’image qu’il vit n’était pas celle de la jeune étudiante. A l’écran, il distinguait clairement un homme en train de fouiller dans la corbeille de linge sale de la jeune fille. L’homme était de dos et il ne pouvait voir son visage, mais la silhouette lui disait quelque chose. Quand il se retourna, il n’eut plus de doute. C’était le gardien de la résidence !
Nathan le vit manipuler les strings de Marine ASCARI. Il les renifla, comme il le faisait lui-même, et il le vit même passer sa langue à l’endroit où l’étoffe était souillée. Il se demanda comment ce quinquagénaire avait pu pénétrer dans l’appartement et être sûr que Marine était absente. Il l’avait probablement, lui aussi, vu partir pour faire son jogging.
Qu’allait-il faire ? Il ne pouvait pas en parler à sa camarade de promotion sous peine qu’elle découvre qu’il l’espionnait. Pour le moment, il décida de sauvegarder les images de la webcam. En tous cas, voir le gardien dans la salle de bain de la jeune femme l’avait sérieusement refroidi. Lui aussi devait avoir la clé de l’appartement… Que ce serait-il passé s’ils s’étaient trouvé tous les deux en même temps dans le studio de Marine ?
Il le vit remettre en place les strings et filer discrètement. D’abord scandalisé, Nathan était à présent amusé. Finalement, le gardien de la résidence n’était rien d’autre qu’un obsédé, comme il l’était lui-même. Il décida d’aller chez Josiane, installer son nouveau disque dur. Il restaurerait uniquement le dossier « Cours », puisqu’elle lui avait dit que c’était celui dont elle avait besoin en priorité.
L’opération ne lui prit pas plus de dix minutes. Il était pressé de retourner chez lui. D’abord, Marine n’allait pas tarder de rentrer et il était évident qu’elle allait prendre une douche. Ensuite, il avait hâte de fouiller dans les fichiers restaurés depuis le disque dur endommagé de Josiane. Il y aurait peut-être des photos intéressantes…
En fouillant le disque à grande capacité sur lequel il avait stocké tous les fichiers appartenant à Josiane, il trouva de nombreuses photos. Il fit défiler les clichés de nombreuses personnes qu’il ne connaissait pas. Sans doute les membres de sa famille ou des amis. Il y en avait aussi toute une série de Josiane en vacances. En maillot de bain, elle était plutôt mignonne. On voyait bien ses gros seins. Ses hanches étaient larges et sa taille plus fine qu’on ne l’aurait imaginé.
Nathan était en train d’analyser la navigation de Josiane en épluchant l’historique des connexions de Josiane, quand l’alarme lui signala le retour de Marine.
A l’écran, il vit la ravissante étudiante retirer son haut, puis son minuscule short qui lui moulait les fesses. Dessous, elle ne portait même pas de sous-vêtements. Elle entra directement dans la douche et se savonna vigoureusement en attendant que l’eau soit à la bonne température. La voir passer la paume de sa main sur ses seins, puis entre ses cuisses, était jouissif. Sa toilette intime dura tellement longtemps, que Nathan crut qu’elle se masturbait. Il se prit à rêver. Comme elle devait être belle, en train de jouir !
Elle se fit un shampoing et essora ses longs cheveux blonds avant de sortir. Pour une fois, elle ne s’enveloppa pas dans la serviette et resta nue un long moment à se sécher les cheveux. Son voisin put admirer son corps en détail. Cette fille était vraiment la plus belle qu’il ait jamais vue !
Quand elle sortit enfin de la salle de bain, Nathan se rendit compte qu’il était presque l’heure d’aller en cours. Il alla se préparer à son tour et sortit en prenant la clé de Josiane. Il la lui rendrait entre deux cours.
En sortant, il croisa le gardien de l’immeuble. Le quinquagénaire le salua, comme tous les jours, mais il lui répondit à peine. L’avoir surpris dans la salle de bain de Marine ASCARI le mettait vraiment mal à l’aise…

à suivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 4 Jan 2016 16:20

De nouvelles expériences



Josiane avait, évidemment, été ravie de l’intervention de Nathan. Elle lui avait immédiatement remboursé le disque dur et l’avait même invité à venir diner chez elle le lendemain soir. Il avait accepté avec beaucoup d’enthousiasme.
Avant de rentrer, les filles avaient souhaité faire un point sur l’avancement de leur projet. Chacune d’elle avait voulu montrer à Nathan les efforts qu’elles avaient fait pour pirater des sites internet connus. Aucune des trois n’y était arrivée, même si Charlène THEVENOT semblait sur la bonne voie.
Nathan LEGOFF leur fit la démonstration, en direct, que c’était possible. Il demanda aux filles où elles auraient aimé faire leur stage. Seule Marine ASCARI en avait une idée précise.
- « J’aimerais bien aller dans une boîte qui est installée dans le quartier » expliqua-t-elle. « Ça m’éviterait d’avoir à chercher à me loger et j’ai repéré une société qui fabrique et vend des produits cosmétiques. Je me verrais bien y faire mon stage et, pourquoi pas, travailler chez eux… »
- « Bon, si on les pirate et qu’on leur montre qu’ils auraient eu les moyens d’éviter cette intrusion, normalement, dans deux ans tu es Responsable de la Sécurité Informatique dans la boîte… »
- « Tu nous feras des prix sur le maquillage ? » plaisanta aussitôt Charlène THEVENOT.
- « Evidemment les filles… L’entreprise s’appelle BEAUTY STORY… »
Nathan LEGOFF tapa le nom de la société sur Google et se connecta à leur site. Il cliqua directement sur la rubrique « plan du site ». Il aimait bien avoir une vue d’ensemble avant de rentrer dans le vif du sujet. Il revint à la page d’accueil et fit immédiatement un clic-droit sur le logo de la société. Le code HTML s’afficha et il l’examina rapidement.
- « C’est par là qu’on va rentrer » expliqua-t-il aux trois filles. « C’est classique… Ils ont essayé de protéger leur code, mais le logo a dû être conçu par des designers. Ces gens-là ne sont pas du tout sensibilisés à la sécurité informatique. Le code HTML permettant d’afficher le logo a été intégré tel quel dans l’application. C’est lui qu’on va réécrire et remplacer…»
- « Génial ! » s’extasia Josiane. « Et après, comment vas-tu pénétrer dans le reste du système ? »
- « Oh une fois que le ver est dans le fruit… On peut introduire un mouchard dans leur système. Peu à peu, on devrait récupérer le code de leur appli et trouver d’autres failles. C’est justement le but de notre programme AHK »
- « Il n’y a pas à dire, tu es vraiment doué ! » le félicita Marine ASCARI.
- « Merci… Si tu vas les voir en leur disant que tu peux apporter la preuve que leur système informatique est vulnérable et que tu cherches un stage, il ne te demanderont même pas ton CV… L’idéal serait que tu puisses les faire venir à notre soutenance. Au moins les profs se rendraient compte que notre démo n’est pas bidon… »
Sans ajouter un mot, Marine s’approcha de Nathan et déposa un baiser sur sa joue droite. Il le méritait bien… Le jeune étudiant était aux anges. Il ne remarqua pas que, dans son coin, Josiane fulminait de jalousie. Décidément, cette année universitaire était beaucoup plus excitante que les précédentes.
En rentrant, Nathan LEGOFF croisa de nouveau le gardien de la résidence. Cette fois, il s’adressa à lui. Il voulait éclaircir le mystère de sa visite inattendue dans l’appartement de Marine ASCARI. Il inventa un prétexte pour le faire venir chez lui. Il voulait lui montrer les images qu’il avait capturées. Il verrait bien comment l’homme allait réagir.
Le gardien de l’immeuble monta frapper à la porte de Nathan assez tard dans la soirée. Il le fit entrer, un peu angoissé de ce qu’il avait à lui dire.
- « En fait, je vous ai fait venir parce que j’avais une vidéo à vous montrer » commença l’étudiant.
- « Ah bon ? Allez, montre-moi ça… »
Nathan chargea le fichier qu’il avait sauvegardé et le gardien eut la surprise de se voir à l’écran. Il reconnut immédiatement le string de Marine ASCARI. Si l’étudiant disposait de telles images, c’est qu’il espionnait la salle de bain de celle qui était une des plus jolies filles de la résidence. Il le lui fit aussitôt remarquer.
- « C’est vrai » avoua Nathan « J’ai mis une webcam dans sa salle de bain. Mais avouez que vous ne vous attendiez pas à être filmé quand vous étiez en train de fouiller dans sa corbeille de linge sale… »
- « Je l’avoue » concéda l’homme qui semblait assez sûr de lui. « Mais pour avoir obtenu ces images, tu ne dois pas être très clair toi non plus… Il y a longtemps que tu as mis cette webcam dans sa salle de bain ? »
- « Non, seulement quelques semaines » avoua Nathan. « Et vous ? Vous allez souvent renifler les petites culottes des occupantes de l’immeuble ? »
- « Assez, oui… Et j’ai le double des clés de tous les appartements…»
- « Ouah, ça alors ! Ça doit être follement excitant… »
- « En effet, mais montre-moi des images que tu as prises dans la salle de bain de Marine ASCARI. Cette nana me fait vraiment bander… »
- « Moi-aussi » confia l’étudiant qui était en train de s’en faire un complice. « Mais je ne vais pas montrer mes films comme ça… »
- « Tu veux quoi en échange ? Une petite pipe ? »
- « Vous êtes sérieux ? »
- « Evidemment… Sors ta queue, petit… Je te pompe comme une vraie salope ! Tu n’auras qu’à fermer les yeux et imaginer que c’est la bouche de la petite ASCARI… »
Nathan LEGOFF, en faisant venir le gardien, n’aurait jamais pensé qu’il lui ferait une telle proposition. D’ailleurs, il n’avait jamais imaginé qu’il puisse un jour se faire sucer par un homme. Pourtant, il avait une envie folle d’essayer.
- « D’accord » dit-il finalement. « Vous me faites une pipe et je vous montre la vidéo de Marine prenant sa douche. »
- « Approche ! »
Le quinquagénaire ouvrit la braguette de Nathan et sortit son petit sexe. Il le prit entre ses doigts et le fit aller et venir jusqu’à ce qu’il durcisse. Puis, il se mit à genoux et posa ses lèvres sur le gland. L’étudiant avait fermé les yeux et rêvait que c’était Marine ASCARI qui lui prodiguait cette caresse. En moins d’une minute, il fut au bord de la jouissance. Il voulut se retirer, mais le gardien l’attrapa par les testicules.
- « Reste ! Tu vas jouir dans ma bouche…»
L’étudiant s’abandonna alors complètement et se vida dans la bouche qu’il imaginait être celle de Marine. Il connut une jouissance extraordinaire. Un peu honteux, il revint enfin à la réalité et se retrouva face à cet homme qui avait l’âge de son père.
- « Alors, tu me la montres cette vidéo ? » demanda le gardien impatient.
Nathan LEGOFF chargea une des vidéos sur laquelle Marine prenait sa douche. On la voyait en gros plan et, l’incorrigible voyeur en train de devenir son complice, se régalait vraiment. Il lui expliqua qu’il avait installé la webcam dans la bouche de la VMC. Le gardien lui demanda s’il n’aimerait pas espionner d’autres filles de la résidence.
- « Si, bien sûr ! Mais ce n’est pas évident de rentrer chez elles… Et puis à part quelques-unes, je ne connais pas les filles de la résidence. »
- « Moi, je les connais toutes ! Tu sais, si j’ai pris ce boulot un peu merdique, c’est parce que je savais qu’ici je verrai passer de belles nanas. C’est vrai que tu as choisi une des plus mignonnes, mais il y en a d’autres… Au 3ème, il y a une black qui est vraiment superbe ! »
- « Ah oui, je l’ai vue… Elle est vraiment belle, c’est vrai » admit Nathan.
- « Au premier aussi, il y a une chinoise… Elle aussi est vachement mignonne… Elle a de jolis petits seins et un cul mignon comme tout… Par contre, elle a une particularité : elle ne met jamais de culotte, sauf quand elle a ses règles… »
- « Ah bon ? »
- « Oui, je suis allé fouiller plusieurs fois chez elle. Au début, j’étais surpris de ne pas trouver de culotte dans la corbeille à linge sale, et puis j’ai regardé dans ses placards. Surprise… Juste deux ou trois culottes en coton pour la période du mois où elle en met. Du coup j’y vais moins souvent.»
- « Vous êtes quand même un sacré obsédé ! » lui dit finalement Nathan.
- « Toi aussi, mon gars… Tu ne crois pas ? »
Nathan éclata de rire. C’est vrai qu’ils se valaient. Il apprit que le gardien se prénommait Hervé. Il avait longtemps travaillé dans la sécurité dans la grande distribution et s’était fait virer suite à un scandale. Il lui raconta, qu’un jour, il avait pris une jeune femme en flagrant délit de vol. Elle était très mignonne et lui avait proposé une fellation en échange de son silence. Assez excité, il avait accepté. Son supérieur était malheureusement arrivé pendant qu’elle le pompait. Cette petite salope en avait profité pour crier au scandale. Elle prétendait qu’il l’avait obligée et, comme elle était mineure, il avait été viré.
Depuis, il avait choisi ce boulot, peu enthousiasmant de gardien d’une résidence universitaire. Il était moins payé, mais au moins il était logé et, depuis qu’il avait réussi à obtenir le double des clés de tous les appartements, en invoquant des raisons de sécurité, il se régalait en visitant la corbeille à linge sale des filles.
Il demanda à Nathan s’il connaissait un forum fréquenté par des voyeurs. Le jeune étudiant avait, bien sûr, regardé beaucoup de vidéos, mais jamais il ne s’était connecté à un forum dédié à cette passion. Hervé lui donna l’adresse et lui expliqua qu’il trouverait probablement à échanger, ou même à vendre les vidéos de Marine. Le jeune homme se promit d’y aller.
Hervé retourna chez lui, après qu’il lui ait montré la vidéo sur laquelle Marine ASCARI se faisait les ongles et celle de sa séance d’épilation. Il était ravi de cette nouvelle complicité. En partant, le gardien lui promit qu’il lui ferait sentir les culottes de la belle black, un jour où elle ne serait pas là. Ce soir-là, il s’endormit après avoir surfé un moment sur le forum qu’on venait de lui indiquer. Il le trouva plutôt sympa et se rendit compte qu’il y ferait facilement des affaires. On lui avait proposé 20 €uros pour une vidéo de la belle blonde prenant sa douche.
Dans ses rêves érotiques la belle black du 3ème batifolait avec Marine ASCARI. Josiane était également présente. Elle portait une tenue de latex et donnait des ordres aux deux filles. Elle les faisait obéir à coups de martinet.
Le lendemain soir, il alla dîner chez Josiane comme prévu. Elle le reçut dans une tenue assez sexy. Elle portait un tee-shirt particulièrement collant et n’avait pas mis de soutien-gorge dessous. Ses gros seins étaient vraiment mis en évidence et on voyait même la forme des mamelons. Elle portait une jupe en jean, mais ce n’était pas la même. Celle-ci était encore plus courte ! Elle s’était maquillée avec soin et avait fait un réel effort de rangement de son appartement.
Josiane le remercia, une fois encore, pour tout ce qu’il avait fait pour son ordinateur et lui offrit un apéritif, pendant qu’elle préparait le repas. Nathan la regardait aller et venir dans le petit studio avec une certaine envie. Il se souvint que, la dernière fois qu’il avait posé sa main sur la cuisse de la jeune fille, elle avait réagi gentiment, mais fermement, en le remettant en place. Du coup, il n’osait plus recommencer.
Elle lui servit un repas copieux et excellent, puis ils parlèrent un moment de leur projet informatique, avant que la jeune femme n’aborde, elle-même, un sujet beaucoup plus délicat.
- « Tu ne trouves pas bizarre qu’on ait jamais vu ni Marine, ni Charlène avec un mec ? » demanda-t-elle.
- « Non, je crois qu’il y en a tellement dans l’école qui essayent de les draguer que ça doit les gonfler… »
- « Oui, toi le premier ! » lui fit insidieusement remarquer la jeune femme. « On dirait que tu baves devant Marine… »
- « N’exagère pas ! » protesta Nathan. « C’est vrai qu’elle est vraiment mignonne, mais que voudrais-tu qu’elle foute d’un mec comme moi ? »
- « Tu te souviens que je t’avais promis un gros bisou si tu réparais mon ordi ? »
- « Oui, je n’ai pas oublié… »
- « Alors ferme les yeux ! »
Nathan fit ce qu’elle demandait. Soudain, il sentit les lèvres chaudes de Josiane se poser sur les siennes. Comme c’était bon ! La langue de la jeune femme explora sa bouche et il ressentit aussitôt une érection. Il se dit que, cette fois, c’était bon et qu’il allait enfin coucher avec une fille. Mais Josiane s’arrêta et reprit une position correcte.
- « C’était délicieux » lui dit Nathan en avançant la main vers ses fesses. « On recommence ? »
- « Non, il vaut mieux que tu t’en ailles ! » répondit Josiane en s’esquivant. « Voilà, je t’avais promis une récompense. Tu l’as eue, mais on en reste là… »
Le jeune étudiant n’insista pas. Il prit congé de celle qui lui avait offert cet instant de bonheur et lui donna l’adresse du site sur lequel il se connectait pour chatter. Elle lui répondit que ce n'était pas trop son truc et le poussa presque vers la sortie.
Josiane avait eu peur de finir au lit avec lui. Ce garçon lui plaisait, mais elle n’avait connu que deux garçons jusque-là. Il ne fallait pas précipiter les choses…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar nnours64 » Mer 20 Jan 2016 19:09

Bonjour
Hummm j'espère qu'il y a une suite parti comme c'est!!!
Excellent récit Merci
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 21 Jan 2016 10:01

De surprise en surprise



Au cours des jours suivants, Nathan se connecta régulièrement au site de rencontre. WILD-WOLFF engagea la conversation avec BLONDINETTE, une femme qui se décrivait comme une blonde aux cheveux longs avec des yeux très clairs. Evidemment, derrière ce personnage virtuel, il imaginait Marine ASCARI. De plus, au fur et à mesure qu’ils discutaient, tout ce qu’elle révélait aurait pu confirmer qu’il s’agissait bien de l’étudiante de sa promotion. Pourtant, il espionnait toujours son ordinateur et il savait qu’elle ne s’était pas connectée à ce site. Ou alors depuis une autre machine.
Nathan se prit à rêver que c’était elle, sa belle voisine, qui revenait chaque soir l’exciter virtuellement. Avec elle, il allait de plus en plus loin dans les scénarios. Elle semblait prête à accepter tout ce qu’il lui demandait. Un jour, il voulut en avoir le cœur net.
- « Je t’ordonne d’allumer ta webcam ! » avait-il dit à celle qui se laissait dominer virtuellement.
- « Non, je ne veux pas ! » avait répondu BLONDINETTE.
- « Et pourquoi ? Allume-là juste une minute ! Je veux te voir… Etre sûr que tu n’es pas un mec qui se fait passer pour une nana… »
- « Pourquoi, tu en doutes ? »
- « Oh tu sais, c’est fréquent les mecs qui se font passer pour des nanas… »
- « Mais je ne veux pas allumer ma webcam » poursuivit BLONDINETTE.
- « Juste le temps de me prouver que tu es une fille… »
- « Non… En réalité, je ne suis pas vraiment comme je me suis décrite… » confia-t-elle, gênée.
- « Ce n’est pas grave » insista Nathan « Moi non plus je ne suis pas comme je t’ai dit… Tout le monde joue un rôle ici… Allume ta webcam ! »
- « D’accord, mais toi-aussi tu allumes la tienne » essaya-t-elle de transiger.
- « Toi d’abord ! » ordonna le jeune homme très sûr de lui dans ce monde virtuel. « Quand j’aurai vu ton visage, j’allumerai ma webcam, c’est promis… »
BLONDINETTE se laissa convaincre. Elle aussi avait envie de voir qui se trouvait à l’autre bout de la communication. Elle alluma sa webcam, mais l’avait braquée sur ses seins. Ils étaient ronds et volumineux. Nathan eut tout de suite une drôle d’impression. On aurait dit ceux de Josiane…
- « C’est bien… Oriente la webcam vers tes cuisses ! »
La jeune femme fit descendre l’objectif vers sa jupe. Elle se sentait très excitée de recevoir des ordres à distance et WILD-WOLFF exerçait un magnétisme certain sur elle.
- « Ecarte-les ! Je veux voir ta culotte ! » reprit le jeune homme dominateur.
Il vit s’ouvrir lentement les jambes de la jeune femme et aperçut de plus en plus nettement une culotte brodée de dentelles blanches. Elle était très fine et, par transparence, il pouvait voir sa toison fournie. En lui demandant cela, il n’aurait pas cru qu’elle allait le faire. Autant poursuivre, se dit-il.
- « Enlève la culotte, petite cochonne ! »
- « Non, pas ça ! » protesta son interlocutrice.
- « Mais si ! Fais-le ! Tu es une chienne ! »
- « Non, je ne veux pas ! Je veux d’abord te voir…»
- « J’ai dit : Quand j’aurai vu ton visage ! »
Elle fit remonter l’objectif de la webcam et il put enfin voir son visage. Depuis un moment, il avait un pressentiment, mais il se confirma. Celle qui venait d’écarter ses cuisses et de lui montrer sa petite culotte était bien Josiane !
Complètement paniqué, Nathan coupa la communication. Il fallait le temps qu’il digère cette information. Les dialogues avec BLONDINETTE avaient été vraiment chauds. Pour le moment, il se demandait encore s’il oserait lui dire un jour que c’était lui qui était de l’autre côté de la webcam. En tous cas, il comprenait mieux comment elle avait pu se décrire pour qu’on la prenne à ce point pour Marine. Il fallait quelqu’un qui la connaisse.
A présent, il était partagé entre l’envie de profiter de ce contexte, si favorable pour se la faire, et la honte qu’elle découvre la vérité. Il était loin des mensurations qu’il avait annoncées, surtout des 21 centimètres !
Il alla se coucher en plein doute. Il se masturba, ce soir-là en pensant à Josiane. Cette fois, elle n’était plus dominatrice, comme lors de ses précédents rêves, mais parfaitement soumise, à l’image de ce qu’avaient été leurs dialogues virtuels.
Le lendemain matin, il était peine levé quand l’alerte de la webcam attira son attention. Il avala son café en vitesse et se mit devant l’ordinateur. L’espace de quelques secondes, il se demanda s’il était bien réveillé. Celle qui se trouvait dans la douche n’était pas Marine ASCARI. Elle était de dos et se savonnait le corps, mais elle était brune avec les cheveux plus courts. Il zooma sur ses fesses et vit un bien joli petit cul !
Quand elle se retourna enfin, il fut fixé. C’était Charlène THEVENOT. Il n’avait pas remarqué, dans leurs échanges de mails, que les deux filles devaient se voir, mais elle avait dormi chez sa copine.
Il la vit savonner ses seins, puis son sexe. Si Marine avait conservé un petit rectangle de poils, façon ticket de métro, Charlène était entièrement épilée. Sa chatte lui faisait autant d’effet que celle de sa copine et il orienta la webcam dessus pendant tout le temps qu’elle passa à la rincer.
Quand elle sortit de la douche et s’essuya, il vit son joli visage dans le reflet du miroir. Sa bouche était particulièrement pulpeuse et il aimait ses yeux noisette. Il pensait que le spectacle était terminé, mais Marine ASCARI entra à son tour dans la salle de bain. Elle retira son petit string et le posa sur un coin du lavabo.
- « Tu as fini avec la douche ? » demanda-t-elle.
- « Oui, tu peux y aller » répondit Charlène.
Nathan vit alors la blonde entrer dans la douche et commencer à se laver, pendant que Charlène se maquillait. Il ne savait plus où donner de la tête. Avoir devant ses yeux deux des filles les plus sexy était un privilège exceptionnel. La plupart des mecs de son école auraient fait n’importe quoi pour regarder cette vidéo.
D’ailleurs, depuis qu’il côtoyait ces deux beautés, il avait remarqué qu’il subissait beaucoup moins de sarcasmes de la part des mecs de son école. René était devenu fréquentable… Pourtant, il n’avait pas l’intention de leur montrer ces images. C’eût été trahir les filles et il les gardait jalousement.
En sortant de la douche, Marine s’essuya, puis il la vit poser ses mains sur les fesses de Charlène. La brune ne s’offusqua pas du tout de ce geste déplacé, bien au contraire. Elle se retourna vers Marine et caressa les seins de la blonde. Nathan les vit alors tomber dans les bras l’une de l’autre et s’enlacer langoureusement. Voir leurs bouches échanger un baiser passionné était inespéré. La peau bronzée, encore humide, de Marine semblait frémir sous les caresses de la brune à la peau plus claire.
Nathan se masturbait avec frénésie, mais hélas, elles sortirent de la salle de bain. Vivement que le coréen reçoive ses webcams qu’il puisse équiper les autres pièces ! En tous cas, il venait de découvrir que les deux filles de l’école avaient des relations qui dépassaient le cadre amical. Cela expliquait peut-être pourquoi on ne les voyait jamais avec des mecs…
Finalement, il était beaucoup plus réaliste de vouloir coucher avec Josiane et il allait s’y employer…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 21 Jan 2016 10:25

Black is beautiful



Un matin, Nathan fut interpellé par le gardien de la résidence alors qu’il partait en cours. Depuis le jour où il lui avait fait une pipe magistrale, après qu’il l’eut surpris dans la salle de bain de Marine ASCARI, ils ne s’étaient pas revus.
- « Hé mec, tu n’as pas envie de te régaler ? »
- « Pourquoi ? » demanda Nathan.
- « Parce que je viens de faire un saut chez la black du 3ème… Elle n’a pas dû faire la lessive depuis un moment. Chez elle, il y a une profusion de strings ! »
- « Ouah ! Et vous êtes sûr qu’elle ne va pas rentrer ? »
- « Certain ! Elle vient de partir à la fac. Je lui ai dit qu’elle avait l’air stressée… Elle m’a répondu qu’elle avait un contrôle super important ce matin. Alors, je suis monté en vitesse dans sa salle de bain et là, un bonheur ! Comme je ne suis pas un égoïste, je me suis dit que je pourrais t’en faire profiter…»
- « C’est gentil, mais moi-aussi j’ai cours » fit remarquer l’étudiant.
- « Comme tu veux… C’est grave si tu arrives en retard ? »
Après quelques secondes de réflexion, la réponse de Nathan tomba.
- « Non, ce n’est pas grave… »
Hervé ferma alors sa loge et appela l’ascenseur. Ils montèrent au 3ème étage sans échanger un mot. Ils pénétrèrent dans l’appartement de l’étudiante après avoir vérifié que personne ne les voyait entrer.
Sa conception était semblable à celle des autres studios, mais l’étudiante en avait complètement personnalisé la décoration. De grands tableaux d’un art un peu naïf étaient accrochés aux murs qu’elle avait repeints de couleurs chaudes. Tout était parfaitement rangé, comme chez Marine ASCARI, et elle avait installé un bar, copieusement garni.
- « Elle reçoit pas mal » avait expliqué Hervé. « Je crois qu’elle est étudiante en Communication. Viens voir les trésors que je t’ai promis…»
L’étudiant suivit le gardien dans la salle de bain. Dans la corbeille qui se trouvait dans un coin de pièce, il y avait effectivement du linge sale. Hervé fouilla dedans et sortit un petit string jaune pâle. Il le tendit à Nathan.
- « Tiens, regarde celui-ci… Il doit merveilleusement ressortir sur sa peau sombre. »
- « Ah oui, très mignon… »
- « Sens-le ! J’adore le parfum de la chatte des blacks, elles ont une odeur particulière. »
Nathan porta le string à ses narines et respira son fumet, fait d’un mélange de secrétions vaginales, de transpiration et d’urine.
- « Hum, délicieux ! » s’exclama-t-il.
Pendant ce temps, le gardien avait continué à fouiller. Il lui tendit, successivement, plusieurs strings qui étaient tous de couleur pastel. Un bleu pâle, un mauve, un rose, un vert d’eau… Nathan les respira consciencieusement et retrouva ce parfum qui le grisait. Il bandait maintenant franchement en essayant d’imaginer le petit cul de l’étudiante dans ses strings.
Hervé lui en tendit un de couleur blanche, mais dont le fond était complètement jauni.
- « Regarde celui-ci. Cette cochonne ne devait rien avoir pour s’essuyer, ou alors elle a carrément pissé dans sa culotte ! »
L’étudiant regarda la marque jaune. Effectivement cette culotte avait été baignée d’urine. Il la huma, comme les autres. L’odeur était très différente, mais il aimait bien.
- « Et celle-là ? » reprit le gardien en lui montrant la dernière culotte, la seule de couleur noire.
Nathan la regarda et vit de longues traces blanches.
- « Ce jour-là, elle a eu de sacrées pertes ! » fit-il remarquer.
- « Non, tu manques encore d’expérience, petit… Ce ne sont pas des pertes blanches. C’est du sperme. Cette salope a dû en prendre plein la chatte et ça a coulé dans son string… »
- « Hum, je l’imagine la chatte remplie de sperme… »
- « Vicieux ! Avoue que tu aimerais bien vider ta petite queue dans sa moule ? »
- « Et comment ! Mais elle doit préférer les gros calibres… »
Ils restèrent encore un moment à s’échanger et à commenter les pièces de lingerie de la jeune étudiante. Leur complicité devenait évidente.
- « Tu veux que je te fasse une pipe comme l’autre jour ? » demanda soudain Hervé.
- « Pas maintenant » répondit Nathan. « Il faut vraiment que j’aille en cours… »
- « Passe dans ma loge en rentrant ce soir si tu veux. Je te dégorgerai le poireau avec plaisir. »
- « Non, venez plutôt dans mon studio » répondit l’étudiant. « J’ai une nouvelle vidéo qui va vous plaire… »
Nathan partit en cours et essaya de s’installer le plus discrètement possible dans l’amphi. Il était resté au fond pour ne pas trop se faire remarquer et rejoignit Marine ASCARI à la pause.
- « Tu n’étais pas là pour le premier cours ? » s’inquiéta sa voisine.
- « J’étais pas mal en retard. Je suis resté au fond » répondit Nathan.
- « Ils nous ont parlé de notre stage de fin d’étude » lui expliqua-t-elle. « Il nous reste un mois pour choisir une entreprise. L’entreprise de cosmétiques va sûrement me prendre. J’ai appelé la patronne et je lui ai parlé de la sécurité de son système informatique. Elle viendra à la soutenance de notre projet et m’a déjà parlé d’un stage… »
- « Tu vois, ça marche… »
- « Oui… Et toi ? Tu sais où tu vas faire ton stage ? »
- « Non, pas encore… J’avais pensé à un éditeur de logiciels de sécurité, mais j’hésite encore. »
Le cours suivant commençait, alors ils interrompirent leur conversation. Nathan était ravi de constater à quel point ses relations avec la plus belle fille de l’amphi avaient évolué favorablement depuis le début de l’année. L’avoir vue sur son écran en train d’embrasser Charlène THEVENOT avait encore renforcé l’intérêt qu’il lui portait. Il se dit que, dès que le coréen aurait reçu des webcams, il en achèterait vite une pour l’installer chez Marine et avoir une vue sur son lit. Il devait s’y passer des choses bigrement intéressantes, surtout si Charlène venait régulièrement…
Le soir, en rentrant, il se connecta au site de rencontre dont il était un habitué. Au bout d’un moment, BLONDINETTE se connecta également. Ce fut elle qui lui envoya le premier message.
- « Salut WILD-WOLF. Tu as disparu d’un seul coup l’autre jour… »
- « Oui, j’ai eu un problème de connexion » mentit Nathan.
- « C’est dommage, juste au moment où tu devais allumer ta webcam… »
- « Ben, justement… Elle ne marche plus depuis l’autre jour… C’est dommage d’ailleurs… Tu devais enlever ta culotte, je n’ai pas pu en profiter…»
- « Ah je ne t’avais rien promis ! » protesta BLONDINETTE.
- « Allez, montre-moi ta chatte ! »
- « Non ! Tu m’en demandes trop ! »
- « Juste un petit peu » insista Nathan. « Cela ne t’excite pas de savoir que je vais branler ma grosse queue en la regardant ? »
- « Si, mais je n’ose pas… » avoua celle dont il savait pertinemment qu’elle se trouvait quelques étages plus bas.
- « Alors, fais-le !»
La jeune femme hésitait encore. Pourtant, ce petit jeu avec un internaute lui plaisait de plus en plus. Elle se rendait compte qu’elle prenait vraiment plaisir à recevoir des ordres. WILD-WOLF insista plus fermement.
- « Montre la moi ! Juste une seconde et après, tu coupes ta webcam si tu veux… »
- « Bon, d’accord… »
Nathan attendit que son interlocutrice allume la webcam. Il la vit se contorsionner pour retirer sa culotte, qu’elle lui montra à l’écran. Puis, elle orienta brièvement l’objectif entre ses cuisses et coupa brutalement l’image. Il avait à peine eu le temps d’apercevoir la touffe bien fournie de Josiane. Elle était exactement comme il l’imaginait.
Il essaya de poursuivre le dialogue un moment, mais elle avait trop honte et ne lui répondit plus. Même, au bout de quelques minutes, elle se déconnecta complètement.
Cette fois, Nathan avait vu le sexe des trois filles qui faisaient équipe avec lui sur son projet. Inconsciemment, il en retirait une certaine fierté. Surtout qu’aucune ne le savait.
Comme il le lui avait proposé, le gardien de la résidence passa chez lui. Ils reparlèrent de la visite chez l’étudiante black du 3ème étage, puis Nathan lui montra la vidéo de Marine ASCARI et Charlène THEVENOT dans la salle de bain. Hervé en avait le souffle coupé.
- « Au fait, tu es allé voir sur le forum que je t’avais indiqué ? » demanda-t-il.
- « Oui, il est plutôt sympa… »
- « Eh bien, tu devrais proposer cette vidéo. Je suis sûr que certains mecs te l’achèteraient pour 30 ou 40 €uros. Tu sais que si tu pouvais mettre des webcams dans les chambres des filles de toute la résidence tu te ferais du fric ? »
- « Ça, c’est une idée… Surtout avec un complice qui a les clés de tous les appartements ! »
- « Allez, sors ta queue petit… J’ai envie de sucer ! »
Le gardien se mit à genoux devant lui et se mit à le pomper comme il l’avait fait la fois précédente. Nathan apprécia autant que la première fois. Il y prenait vraiment goût. Il jouit dans la bouche d’Hervé qui avala son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Il aurait bien aimé que ce soit la bouche de la belle black ou même celle de Josiane qui s’active avec autant d’application sur son sexe. Mais Hervé le ramena à la réalité.
- « Un jour, il faudra que tu m’encules » lui dit son visiteur avant de retourner chez lui. « Avec ta petite queue, ça devrait rentrer sans problème ».

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 21 Jan 2016 10:27

Une petite illustration...

La belle voisine black...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar Paul 8921 » Jeu 21 Jan 2016 10:56

tu peux le dire, elle est rudement jolie cette voisine
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar kollia » Jeu 21 Jan 2016 11:09

Super recits merci pour tour ces textes tres exitant
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 21 Jan 2016 11:33

Financer les webcams



Quelques jours plus tard, Nathan reçut un coup de téléphone de son ami coréen. Il avait enfin reçu les webcams. Il lui demanda combien il devait lui en mettre de côté, car la société de surveillance voulait tout prendre. L’étudiant réfléchit. Au minimum, il en voulait une pour la cuisine de Marine ASCARI, deux pour l’appartement de la belle black, et il aurait bien aimé en mettre également chez Josiane. Il se demanda s’il ne serait pas judicieux d’en installer également dans les toilettes.
Avec la complicité d’Hervé, il aurait pu en installer un peu partout, mais ce n’était pas donné ! Il commença à essayer de négocier le prix avec son fournisseur.
- « Tu me les fais à combien si je t’en prends cinq comme la dernière fois ? 35 €uros ? »
- « Ah non, mec ! C’était un prix de lancement. Maintenant, le marché est en plein essor. Et puis mon fabricant a augmenté ses tarifs. Par contre, le détecteur de présence est intégré… »
- « Tu me les vends combien ?» insista Nathan.
- « En magasin, je les ai passées à 120 €uros. Pour la société de surveillance qui m’en prend 100, je les vends 80 €uros. Alors, pour toi qui es un ami, disons 60 €uros… »
- « Voleur ! »
- « Va les chercher en Corée, si tu veux… »
- « Bon, si je t’en prends 10, tu me les laisse à 40 €uros ? »
- « 50 €uros, dernier prix ! » lâcha le coréen.
- « D’accord ! Mais tu te fais des couilles en or ! »
- « Ça marche pas mal. Je me demande même si je ne vais pas fermer ma boutique pour devenir importateur exclusif.»
- « Et j’irai acheter mon matériel où ? » s’inquiéta l’étudiant.
- « Chez un chinois, comme tout le monde ! Non, je déconne… J’aime trop bidouiller. »
Nathan venait donc de commander pour 500 €uros de matériel. Pourtant, son compte était à sec. Il aurait pu, comme la fois précédente, revendre une partie des webcams avec un bénéfice, mais la marge s’était rétrécie. Et puis cela prenait beaucoup de temps. Autant essayer de vendre les vidéos de Marine ASCARI…
- « Tu me les garde une semaine ? » demanda Nathan. « Il faut que je voie comment je vais les financer… »
- « Je te prends en stage, si tu veux… » tenta une nouvelle fois le coréen, sans grande conviction.
- « Pour changer des disques durs avec un patron coréen tyrannique sur le dos ? »
- « Je te paye en webcams » plaisanta Li WAN CHU.
- « Va te faire voir, face de citron ! Je vais me démerder…»
- « Fais gaffe quand même » le mit en garde celui qui était devenu son ami. « J’ai retiré la webcam du magasin de fringues… Trop dangereux ! »
Nathan savait qu’il risquait gros si quelqu’un découvrait ses techniques d’espionnage. Mais il savait que, sur le forum que lui avait indiqué Hervé, il trouverait à vendre ses vidéos à la qualité d’image exceptionnelle à un bon prix. Il fallait juste être prudent…
Il se connecta sur le site dès qu’il fut rentré. Il avait préparé un petit montage avec une compilation de quelques-uns des meilleurs moments filmés dans la salle de bain de Marine ASCARI. Pour une fois, les cours de Marketing allaient servir à quelque chose…
Le film qu’il avait monté durait à peine 20 secondes. Mais on voyait Marine se maquillant, en string, devant son miroir. On la voyait, entrant nue dans la douche. Un bref zoom sur sa chatte pleine de mousse avait de quoi faire saliver les internautes. La séance d’épilation était simplement suggérée. On la voyait préparant la mousse et le rasoir. Le film se terminait sur l’image furtive de Marine embrassant Charlène.
Il filtra sur les internautes de son département et mit sa petite vidéo en ligne et reçut aussitôt des messages.
- « Salut WILD-WOLF, superbe ta vidéo… » lui envoya quelqu’un qui répondait au pseudo de RECRUTATOR.
- « Merci » répondit Nathan qui avait choisi le même pseudo que sur le site de rencontre.
- « La qualité est vraiment exceptionnelle » poursuivit son interlocuteur. « C’est du matériel japonais ? américain ?»
- « Non, coréen »
- « Etonnant ! C’est qui cette nana ? »
- « Une voisine… Etudiante avec moi »
- « Ah, tu es étudiant ? » demanda RECRUTATOR
- « Oui, je termine un cursus d’ingénieur informaticien.»
- « Intéressant, je recrute justement des ingénieurs en ce moment. Et tu as beaucoup d’enregistrements de cette qualité ? »
- « Au moins une dizaine d’heures… »
- « Evidemment, la victime ignore que tu la filmes ? »
- « Oui, bien sûr… »
- « Je suis intéressé par tes vidéos… Tu souhaites les échanger ? »
- « Non, les vendre » répondit Nathan. « J’ai besoin d’argent pour acheter d’autres webcams. »
- « Je te donne 100 €uros pour le tout. » proposa RECRUTATOR.
- « Ça m’intéresse, mais comment faire ? »
- « Eh bien on se rencontre. On est dans la même ville je crois ? Je te donne mes coordonnées et tu m’appelles.»
Nathan nota soigneusement le téléphone de l’homme qui voulait le rencontrer. Il lui donna son nom. Il s’appelait Lionel DELAGE et travaillait dans un cabinet de recrutement. En plus d’acheter les vidéos, il pourrait peut-être l’aider à trouver un stage…
D’autres internautes contactèrent WILD-WOLF. Certains lui proposèrent d’acheter des vidéos, mais ils voulaient lui envoyer un chèque une fois qu’ils les auraient reçues, ou alors ils lui demandaient de lui apporter une seule vidéo à 20 €uros, à l’autre bout du département. Nathan cherchait des transactions rentables.
Au bout d’un moment, il reçut enfin un message qui paraissait beaucoup plus sérieux. Il venait d’un certain MATEUR, qui se présenta comme une connaissance de RECRUTATOR. Il expliqua que c’était ce dernier qui lui avait demandé de le contacter.
- « Il m’a dit que la qualité de tes vidéos était superbe. »
- « Oui, c’est ce qu’il m’a dit. »
- « Je serais donc intéressé par tes films… »
- « Vous voulez le package complet ? Je vous le cède pour 100 €uros. »
- « Non, je connais suffisamment RECRUTATOR pour qu’il me fasse profiter de ce qu’il va t’acheter. Ce que je veux, ce sont tes vidéos futures… »
- « Je ne comprends pas… »
- « Voilà, je te paie d’avance pour que tu m’envoies toutes tes vidéos… Une sorte d’abonnement. »
- « Mais vous avez confiance ? »
- « Disons que je suis prêt à prendre le risque. C’est un peu mon métier, je suis banquier… »
- « Et vous seriez prêt à payer combien ? » demanda Nathan, qui trouvait sa démarche intéressante.
- « Ça dépend de ce que tu me promets… Tu as combien de webcams ? »
- « Une seule, mais je cherche justement à vendre des films pour en acheter d’autres. »
- « Et tu as d’autres cibles en vue que la ravissante blonde que j’ai vue sur ta vidéo ? Sa copine aperçue avec elle à la fin, peut-être ?»
- « Hélas, non ! Je me limite aux filles de ma résidence universitaire, mais j’ai une black splendide en ligne de mire… Vous recevriez une alerte à chaque fois qu’elle est devant la webcam… Vous pouvez visionner les images en direct ou les transférer en différé. Il y a six heures de capacité de stockage.»
- « Bon, il faut vraiment qu’on se voit pour en parler » conclut MATEUR. « Tu m’as l’air vraiment doué techniquement et je pense qu’il y a des choses intéressantes à faire. Si tu es d’accord, j’aimerais qu’on en parle avec RECRUTATOR »
- « D’accord » rétorqua Nathan.
- « Contacte-le et prend rendez-vous avec lui. Je m’arrangerai pour me libérer… »
Nathan était curieux de savoir ce que voulait lui proposer celui qui se présentait comme un banquier. Son idée de vendre les films futurs était très intéressante. En s’y prenant bien, il se dit que cela aurait même pu être un moyen de financer l’achat des webcams. Vendre l’accès aux images à venir plutôt que le passé. Il allait appeler Lionel DELAGE très rapidement.
Celui-ci lui donna rendez-vous dès le lendemain dans son cabinet de recrutement dont il lui fournit l’adresse. Il précisa que le banquier serait là…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 21 Jan 2016 12:21

Complicité avec des voyeurs



En se rendant au cabinet de recrutement dans lequel travaillait Lionel DELAGE, Nathan était un peu stressé. Après tout, il ne savait rien ou presque de cet internaute et pas plus du banquier qui devait venir également.
Il fut reçu par une secrétaire vraiment très mignonne. Une rousse très souriante qui le fit asseoir dans une sorte de salon d’attente.
- « Monsieur DELAGE va vous recevoir dans un moment » lui dit-elle avec un sourire éclatant de blancheur.
Il attendit près d’une demi-heure, puis un homme qui devait avoir la quarantaine vint le chercher. Il était habillé de manière élégante et semblait sûr de lui.
- « Vous êtes Nathan LEGOFF ? » demanda-t-il en lui donnant une poignée de main franche.
- « Oui, » répondit l’étudiant intimidé.
- « Suivez-moi, on va aller dans mon bureau… Mon ami nous rejoint dans cinq minutes »
Nathan s’installa en face du recruteur et l’ambiance se détendit d’un coup.
- « Alors petit, tu fais partie du clan des horribles voyeurs ? »
- « Oui, je crois bien… »
- « Mon ami Sébastien, que tu connais sous le pseudo de MATEUR m’a fait part d’une idée qui devrait te séduire… »
- « Laquelle ? » demanda l’étudiant impatient.
- « Il va arriver. Je lui laisse la primeur des explications. Tiens, en attendant, viens voir les candidates que je dois recevoir pour un poste d’assistante de Direction… »
Nathan passa de l’autre côté du bureau et regarda l’écran de l’ordinateur du recruteur. Une webcam, placée dans un petit salon comme celui où il avait attendu, filmait celles qui attendaient pour passer un entretien.
Lionel DELAGE expliqua qu’il avait d’abord installé cette webcam pour des raisons purement professionnelles. Il voulait voir comment se comportaient les candidats avant de pénétrer dans son bureau. Voir ceux qui étaient stressés, ceux qui relisaient leurs fiches jusqu’à la dernière minute. Il trouvait que cela lui fournissait des renseignements précieux sur la personnalité de ceux qu’il allait recevoir.
Il avait remarqué que le stress devait agir sur la vessie, car la plupart des filles se rendaient aux toilettes si elles attendaient plus de dix minutes. Quand une des candidates se leva, il changea de fenêtre. Une autre webcam filmait la fille dans les toilettes. Cela devenait beaucoup plus excitant. Ils la virent accrocher son sac, relever sa jupe jusqu’à la taille, puis baisser sa culotte de satin blanc et se mettre en position au-dessus de la cuvette. Ils voyaient nettement sa toison brune et frisée.
Lionel DELAGE changea encore de webcam. L’autre était placée directement dans les toilettes. Ils avaient à présent une vue en gros plan sur le sexe de cette fille plutôt mignonne. Les lèvres s’écartèrent et un jet clair et dru jaillit. Nathan était fasciné par cette chatte en train de pisser. Pourtant la qualité des images était loin de celle dont il disposait sur la clé USB qu’il avait dans sa poche.
La candidate s’essuya, puis se rhabilla et sortit. Lionel DELAGE demanda à Nathan si le spectacle lui avait plu. Il répondit, évidemment par l’affirmative. Juste à ce moment-là, la belle secrétaire vint annoncer que celui qu’ils attendaient venait d’arriver.
Elle fit entrer Sébastien SAINT-SAUVEUR qui se présenta immédiatement à Nathan. Il était un peu plus jeune que Lionel DELAGE et était vraiment tiré à quatre épingles. Rien que son costume avait dû coûter le prix d’une dizaine de webcam !
Les deux hommes semblaient vraiment très bien se connaître.
- « Seb, je t’ai attendu pour que tu puisses expliquer toi-même notre projet à notre jeune complice… »
- « C’est gentil Lionel. Voilà, je t’explique… Lionel et moi, nous nous sommes croisés il y a déjà pas mal de temps sur ce forum. Nous avons échangé des vidéos et, un jour, nous avons décidé de nous rencontrer… »
- « Tu n’as peut-être pas besoin de lui retracer tout l’historique » railla Lionel DELAGE.
- « Tu as raison, je vais à l’essentiel. Disons que la qualité de tes images nous a bluffés. Lionel a déjà dû te montrer les images des webcams qu’il a installées dans son cabinet. J’en ai moi-même mis plusieurs dans l’agence bancaire que je dirige, pour mater les clientes, mais aussi les employées. Je trouve que la qualité de nos films est ridicule à côté des tiens. Nous aurions besoin que tu nous installes des webcams comme la tienne… Où te les procures-tu ?»
- « Dans un petit magasin du centre-ville » répondit Nathan. « Mais elles sont assez chères »
- « Je me doute » intervint le banquier « Mais la qualité a un prix… C’est pour cela qu’il faudrait vendre les futures images. »
- « Tu veux dire qu’on vendrait une sorte d’abonnement aux images de webcams pas encore installées ? » demanda Lionel DELAGE.
- « Exactement ! Evidemment, nous utiliserions des webcams de la qualité de celle de Nathan et il nous faudrait un bon informaticien pour piloter la récupération et la distribution des images… »
Il se tourna vers Nathan qui avait parfaitement compris où il voulait en venir. L’informaticien, c’était lui. Techniquement, il savait que ce projet était parfaitement réalisable. Récupérer les données et les stocker étaient des choses qu’il faisait déjà avec la webcam qui se trouvait dans la salle de bain de Marine ASCARI. Simplement, il le faisait via un réseau local. Pour des webcams situées plus loin de son ordinateur, il faudrait les rapatrier via internet, mais cela ne poserait pas de problème. L’algorithme de compactage qu’il avait mis au point faciliterait les choses et, en cas de débit insuffisant, il les transférerait en différé, grâce aux capacités de stockage de l’appareil. Avec un bon cryptage et le BIP, on ne pourrait même pas le repérer.
Restaient la gestion des abonnements et la distribution des images. C’était une application qu’il se sentait capable d’automatiser complètement en deux ou trois semaines de développements. En attendant, il pourrait toujours s’en sortir avec des transferts de fichiers manuels.
- « C’est parfaitement réalisable. » annonça simplement Nathan. « Seulement, il faudra se procurer les webcams et les installer. »
- « Tu ne m’as pas dit que tu avais prévu d’en installer une chez une étudiante noire de ta résidence ? »
- « Si, et elle est vraiment canon ! »
- « Parfait » intervint Lionel DELAGE. « Mais comment vas-tu faire pour t’introduire dans son appartement ? Où vas-tu installer la webcam ? »
- « J’aimerais en mettre plusieurs » expliqua l’étudiant. « Je les place dans la VMC. Pour entrer chez elle, aucun problème, j’ai un complice. C’est le gardien de la résidence. Il a le double des clés des appartements. C’est lui qui m’a fait connaître le forum où je vous ai rencontrés. »
- « Magnifique ! » s’exclama Sébastien SAINT-SAUVEUR. « Tu veux dire qu’à terme, tu pourrais équiper les appartements de toutes les filles de ta résidence ? »
- « Oui. J’ai fait le compte avec le gardien l’autre jour, il y a 37 studios occupés par des filles. Mais il faudrait avoir les webcams et trouver le temps de les installer. »
- « Commençons raisonnablement » proposa Lionel DELAGE. « Sébastien, tu peux financer combien de ces webcams, en attendant les premières rentrées d’argent ? »
- « Je ne sais pas… Disons à hauteur de 1000 €uros. »
- « Bon… Nathan, tu vas nous acheter pour 1000 €uros de webcams chez ton fournisseur. J’aimerais bien que tu m’en réserve une pour installer dans mes toilettes, et je pense que Sébastien voudra filmer sous les jupes de ses clientes avec une meilleure définition… »
- « J’allais le dire » confirma le banquier. « Le deal te convient Nathan ? »
- « Parfaitement ! » répondit l’étudiant ravi.
- « Pour la généralisation dans ta résidence, je vais tâcher de te recruter un installateur de VMC bien vicieux. C’est mon métier… »
Nathan n’en revenait pas. Ces deux notables allaient se lancer avec lui dans un commerce d’images parfaitement illicite. Mais en tous cas, il avait trouvé le moyen de financer les webcams commandées chez le coréen. Du coup, il en oubliait la vente des films qu’il avait sur sa clé USB. Mais Lionel DELAGE lui rappela, qu’à l’origine, il était venu pour ça.
Ils visionnèrent quelques images de Marine ASCARI dans sa salle de bain, et surtout de la scène où elle était avec Charlène, puis le recruteur donna à Nathan les 100 €uros promis, tandis que Sébastien SAINT-SAUVEUR lui remettait un chèque de 1000 €uros qui allait faire du bien au solde de son compte.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 29 Jan 2016 10:25

La livraison des webcams



Maintenant qu’il avait de quoi payer, Nathan était pressé d’aller chez Li WAN CHU pour acheter les webcams. Le coréen lui en avait mis dix de côté, comme convenu.
- « Tu ne peux pas m’en donner plus de dix ? » demanda Nathan.
- « Ah non ! J’ai déjà eu du mal à te les garder ! Le mec de la sécurité voulait tout prendre… »
- « Tant pis, je me contenterai de dix »
- « Tu as trouvé de quoi me les payer ? » s’inquiéta le coréen.
- « Pas de problème » répondit l’étudiant en lui faisant un chèque.
En rentrant dans son studio, Nathan LEGOFF se connecta au forum qui lui avait permis de rencontrer les deux hommes. Il vit que seul le banquier était connecté. Il lui envoya immédiatement un message.
- « Bonjour MATEUR. J’ai acheté les webcams… »
- « Salut WILD-WOLF. Super ! »
- « Oui, mais je n’ai pu en avoir que dix… »
- « C’est déjà pas mal. Tu m’en gardes une. Une pour notre ami RECRUTATOR et tu installes les 8 autres dans ta résidence dès que tu peux. »
- « J’en installerai deux de plus chez la blonde que vous avez vue sur la vidéo dès demain. J’ai la clé de son appartement et je sais qu’elle va chez une copine. »
- « Cette fille est splendide. Ses vidéos vont faire un carton ! »
- « Je pourrai en installer dans l’appartement d’une autre fille dont j’ai la clé, après demain. Je sais qu’elle doit passer un oral l’après-midi. Elle ne rentrera pas chez elle avant 17 heures. »
- « Parfait. Je pense que notre concept va très bien marcher. J’ai déjà eu plusieurs internautes sur le forum qui sont très intéressés… »
- « Cette fille est beaucoup moins mignonne que l’autre, mais je peux facilement installer les webcams chez elle… »
- « De toute façon, il en faut pour tous les goûts ! » répondit MATEUR. « Certains ne recherchent pas des filles canons. Et la black ?»
- « Pour elle, il faut que je voie avec le gardien. C’est lui qui a la clé de chez elle. »
- « Bon, essaie de faire au mieux… J’ai déjà beaucoup de demandes pour cette fille… Il faut que je te laisse… J’ai rendez-vous avec une cliente. La dernière fois, elle avait une culotte en dentelles sublime. Je suis impatient que tu remplaces ma webcam par un modèle qui offre une meilleure définition. J’espère juste qu’elle sera encore en jupe.»
Nathan n’insista pas et se déconnecta, lui aussi. Le banquier ne lui avait même pas demandé le prix des webcams. De toute façon, il avait anticipé et demandé à Li WAN CHU de lui en recommander en Corée le plus vite possible.
Le soir, Nathan se connecta à son site de rencontre. BLONDINETTE était là…
- « Salut BLONDINETTE. La dernière fois tu as coupé vraiment vite… Je n’ai pas eu le temps de bien voir ta chatte. Aujourd’hui, je veux que tu me la montres mieux ! »
- « Pas question si toi tu ne te montres pas ! »
- « Je t’ai dit que ma webcam ne marchait plus ! » continua de mentir Nathan.
- « Alors je ne me montre pas ! Tu n’as qu’à la faire réparer ! »
- « Mais j’ai envie de te voir te caresser devant moi » insista WILD-WOLF.
- « Non, tu ne verras rien !»
- « Mais si je te l’ordonne, tu le feras ? Je suis sûr que cela t’excite… »
Elle ne répondit pas, mais son silence en disait long. Bien sûr que cela l’excitait ! Sinon, elle ne serait pas revenue… Nathan avait une idée derrière la tête. Quand il aurait équipé son appartement de webcams, il la verrait se livrer à ce genre de jeux. Ce n’était qu’une question de jours…
Pour le moment, il fallait la rendre accro à ce genre de dialogue. Il se mit à lui donner des ordres, lui demandant de décrire ce qu’elle faisait. Il ordonna qu’elle se mette entièrement nue. Qu’elle caresse ses seins, son sexe… Elle affirma qu’elle le faisait.
WILD-WOLF ne voulait pas aller trop loin. Il lui dit qu’elle était une bonne petite cochonne et qu’il voulait désormais la retrouver tous les soirs. BLONDINETTE promit qu’elle serait là.
Le lendemain matin, Nathan se leva assez tôt. Il se mit devant son ordinateur dès qu’il eut avalé un café. Le matin au réveil, il était beaucoup plus efficace. Toute la partie programmation du projet AHK, qu’il menait avec les trois filles, était terminée. Ils étaient prêts pour la soutenance qui aurait lieu dans un peu plus d’une semaine.
Il voulait s’attaquer à l’application permettant le stockage et la distribution des images des webcams. En moins de deux heures, il avait conçu et réalisé toute la partie récupération, indexation et stockage des vidéos. Ses capacités de raisonnement et d’abstraction étaient telles qu’il avait mis au point un système permettant de collecter et d’acheminer des données à travers n’importe quel réseau complexe. Il s’était inspiré du modèle d’EDF qui, depuis qu’il avait installé de nouveaux compteurs censés améliorer le confort de l’usager, avait surtout économisé le lourd travail de relevé des consommations. Il se dit qu’il serait peut être judicieux de réutiliser ce qu’il venait de concevoir dans le cadre de son stage. La domotique ouvrait des perspectives intéressantes.
Il était en pleine réflexion quand l’alarme de la webcam attira son attention. Marine ASCARI venait de pénétrer dans sa salle de bain. Elle retira sa nuisette et entra dans la douche. Elle était toujours aussi belle. Nathan la vit, une fois de plus, se savonner, puis se rincer. Le jet de la douche restait anormalement longtemps orienté sur son intimité. Il comprit qu’elle avait décidé de se donner du plaisir. Il zooma au maximum sur sa chatte. Le jet d’eau tiède visait son clitoris. Elle écarta davantage les cuisses et il eut une vision idyllique sur son sexe. Bientôt, son doigt se mit à frotter le bouton de chair et il la vit en plein orgasme. Quel spectacle !
Une fois qu’elle eut terminé, elle s’essuya consciencieusement, enfila un string propre qu’elle avait préparé et sortit de la pièce. Plus tard, elle revint préparer une petite trousse de toilette. Nathan comprit qu’elle avait décidé de passer la nuit chez Charlène. Tant mieux, cela lui laissait plus de temps pour installer les webcams et fouiller dans ses strings. Vivement qu’il puisse les espionner au lit toutes les deux !
En fin de journée, il alla installer deux webcams supplémentaires chez Marine ASCARI. Désormais, leur commerce illicite d’images allait pouvoir commencer.
Sébastien SAINT-SAUVEUR lui avait expliqué qu’il proposait des abonnements aux internautes avec des tarifs dégressifs. Une webcam, 5 €uros la semaine, deux pour 8 €uros et tout l’appartement, 10 €uros. Pour un mois, les tarifs passaient respectivement à 15, 24 et 30 €uros. A ce tarif-là, les webcams seraient vite amorties, mais les demandes étaient déjà nombreuses et, pratiquement tous ceux à qui MATEUR avait montré une vidéo de Marine, voulaient s’abonner.
Il voulut échanger avec le banquier pour lui dire que les trois webcams étaient désormais en service chez Marine ASCARI, mais cette fois, c’était RECRUTATOR qui était connecté au forum. Il lui promit qu’il en informerait Sébastien SAINT-SAUVEUR le plus rapidement possible.
Le recruteur lui expliqua qu’il avait trouvé un installateur de VMC, aussi obsédé qu’eux, qui était prêt à les aider pour installer des webcams dans la résidence. D’ailleurs, Sébastien SAINT-SAUVEUR commençait à parler d’un projet beaucoup plus ambitieux. Il faudrait qu’ils se réunissent tous pour en parler.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 29 Jan 2016 11:41

Premières images chez Josiane



Au moment où Josiane entrait dans la salle où elle devait passer cet oral déjà décisif pour son passage en seconde année, Nathan pénétrait dans son appartement. Il résista à la tentation d’aller fouiller tout de suite dans son linge sale. Il voulait d’abord installer les webcams.
Il commença par celle de la cuisine. Là où elle se trouvait placée, il aurait, non seulement une vue sur le lit, mais aussi sur l’endroit où BLONDINETTE prenait un grand plaisir à des dialogues de plus en plus coquins avec WILD-WOLF. Il passa ensuite dans les toilettes. L’idéal aurait été de l’installer directement dans la cuvette, comme l’avait fait Lionel DELAGE, mais c’était trop risqué. Il se contenta de l’installer dans la bouche de la VMC.
Il termina par la webcam de la salle de bain. Tout se passait comme il l’avait prévu. L’équipement du studio de Josiane ne lui avait pas pris plus d’une demi-heure. Il regarda dans la corbeille de linge sale et trouva d’abord la culotte brodée de dentelles blanches que la jeune fille portait le jour où elle lui avait montré ce qu’il y avait sous sa jupe, devant l’ordinateur. A en croire les traces qui se trouvaient sur le fond, ce petit jeu l’avait fait mouiller comme une cochonne. Nathan se délecta du parfum de cette culotte. Il poursuivi son exploration et trouva celle qu’elle lui avait montrée devant sa webcam avant qu’il ne puisse, furtivement, découvrir sa toison brune. C'était pire que la première !
Cette fois, il ne se contenta pas de la sentir. Il avait sorti son sexe et se masturbait franchement, la queue enveloppée dans la pièce de lingerie de sa voisine. Il était follement excité, ayant l’impression de baiser la seule fille qui lui avait donné un vrai baiser. Même s’il avait prévu de se retenir, l’étudiant ne put se contrôler et éjacula dans le slip.
Comme d’habitude, son éjaculation avait été abondante. La culotte était complètement souillée. Il se dit qu’il ne pouvait pas la remettre dans la corbeille dans cet état. Josiane s’en rendrait compte. S’il l’emportait, elle pourrait aussi remarquer qu’il en manquait une. En plus, elle ne devait pas tarder à finir son oral et rentrerait probablement immédiatement après.
Il eut, encore une fois, une idée. Il alla fouiller dans l’armoire de l’étudiante et trouva une culotte pratiquement semblable à celle qu’il venait de souiller. Il la déplia, la froissa, la frotta un peu contre celle qu’il avait senti un peu plus tôt et la mit dans le panier à linge, comme si rien n’était. L’autre se retrouva dans sa poche. Après avoir vérifié qu’il avait bien tout remis en ordre, il quitta l’appartement.
Il descendit voir le gardien. Il était désormais impatient d’installer les dernières webcams chez l’étudiante noire. Hervé était en train de terminer le nettoyage du hall d’entrée.
- « Alors Nathan, ça va ? Je ne te vois plus beaucoup depuis quelques jours… »
- « C’est vrai que j’ai été pas mal occupé » répondit l’étudiant. « Mais je vais avoir besoin de vous. »
- « De moi, ou de mes clés ? » questionna le gardien avec un clin d’œil.
Nathan lui expliqua que, grâce aux voyeurs que le forum lui avait permis de rencontrer, il avait pu acheter des webcams. Il lui demanda s’il pourrait l’aider à les installer chez la belle black du 3ème.
- « Evidemment » répondit Hervé. « Elle part justement dans sa famille ce week-end. Tu auras tout le temps. »
- « Au fait, j’ai une vidéo de Marine ASCARI qui se masturbe dans sa douche. Vous viendrez la voir ? »
- « Avec grand plaisir, petit… »
Juste à ce moment-là, Josiane rentra de l’école et passa à côté d’eux.
- « Alors, cet oral, ça c’est bien passé ? » lui demanda Nathan.
- « Pas mal du tout » répondit-elle avec un air satisfait. « Je te raconterai demain si tu veux. Là, je suis un peu pressée. J’ai des copines de ma classe qui viennent dîner ce soir… »
- « D’accord, à demain » conclut Nathan en la regardant filer vers l’ascenseur.
- « Elle est plutôt sympa, cette fille » commenta Hervé. « Tu la connais bien, on dirait ? »
- « Oui, elle est dans la même école d’ingénieurs que moi et on travaille sur un projet ensemble… Dommage qu’elle ne soit pas aussi mignonne que Marine. »
- « Oh elle n’est pas si mal. Un peu ronde, mais j’aime bien ses longs cheveux et son sourire. Tu crois qu’elle porte des strings ? »
- « Non, des culottes classiques ou des shortys… D’ailleurs, j’en ai une dans ma poche » confia l’étudiant avec une fierté mêlée d’excitation.
- « Petit cochon ! Tu la connais encore mieux que je croyais… »
Nathan lui expliqua comment il avait dû substituer la culotte propre à celle qu’il venait de souiller. Le récit amusa beaucoup Hervé qui lui demanda s’il pourrait passer le soir même, voir le film de Marine ASCARI.
- « Bien sûr » répondit l’étudiant. « En plus, on pourra jeter un coup d’œil en direct sur les webcams que j’ai installées… »
Ils se donnèrent donc rendez-vous un peu plus tard et Nathan rentra chez lui. Il avait hâte de voir ses nouvelles webcams en fonctionnement.
Il configura son PC pour que les alarmes soient plus discrètes. Avec bientôt huit webcams en service dans l’immeuble, cela risquait de biper sans arrêt. Du moins il l’espérait.
Il ne se passait rien du côté de chez Marine ASCARI. Depuis qu’elle avait passé la nuit chez Charlène THEVENOT, elle n’était pas rentrée chez elle. Du côté de chez Josiane, par contre, il y avait du spectacle.
Trois de ses copines de promotion étaient arrivées dans son petit studio. Nathan put vérifier que la webcam disposée dans la VMC offrait une vue parfaite sur l’ensemble de la pièce. Il avait déjà vu les trois filles dans l’école, mais ne connaissait le nom d’aucune d’elle. Fidèle à ses habitudes hospitalières, Josiane leur avait préparé un copieux apéritif.
Par deux fois, Nathan put vérifier le bon fonctionnement de la webcam des toilettes. Deux des filles s’y rendirent en effet. D’abord une petite blonde aux yeux bleus, toute frisée, qui portait une salopette. Elle la défit en se rendant dans les toilettes et il vit sa petite culotte à fleur, puis sa toison, aussi blonde et aussi frisée que ses cheveux.
Un peu plus tard, une autre des copines de Josiane s’isola à son tour. Celle-ci était brune et portait une robe bleue. Nathan la vit la relever et s’asseoir rapidement sur la cuvette des toilettes, prenant à peine le temps de retirer sa petite culotte rose. Elle avait une énorme envie et Nathan n’avait jamais vu un jet pareil. Lorsqu’elle se releva, il s’attendait à la voir remettre sa culotte rapidement comme la précédente, mais elle restait les jambes écartées. Il la vit saisir la ficelle qui dépassait de son sexe et retirer le tampon qu’elle portait. C’était la première fois que le jeune étudiant assistait à une telle opération en direct.
La jeune fille se débarrassa du tampon usagé en le glissant dans la petite poubelle qu’il avait remarquée, puis elle prit celui qu’elle avait mis dans la poche de sa robe et le positionna avec l’applicateur. Cette fois, Nathan eut le temps de bien détailler le sexe de la copine de Josiane. Elle avait des lèvres épaisses et très roses. Ses poils étaient drus, mais sa toison très bien entretenue.
Les webcams installées commençaient à apporter leur lot de satisfaction et Nathan LEGOFF se dit que, quand il en aurait installé un peu partout dans l’immeuble, il ne pourrait même pas suivre tout ce qui se passait. La fête battait son plein. Josiane et ses copines commençaient à être un peu éméchées, mais elles n’adoptaient pas de positions scabreuses. Le gardien arriva chez celui qui était devenu son fidèle complice.
- « Alors ? Tu me la montres cette vidéo de ta belle blonde qui se masturbe ? » demanda-t-il à peine entré.
- « Bien sûr, mais venez voir un peu le direct… C’est chez la fille qu’on a croisée tout à l’heure. Il ne se passe pas grand-chose, mais je suis content de l’angle qu’offre la webcam. »
- « Ah oui, » commenta Hervé « On voit bien toute la pièce. »
- « J’ai mis les mêmes chez Marine ASCARI » expliqua l’étudiant. « Si elle reçoit encore sa copine, on les verra toutes les deux dans le lit… »
- « Hum. En attendant, montre-la-moi dans sa douche ! »
Nathan ne se fit pas prier pour lui montrer le film de Marine se masturbant avec le jet d’eau tiède. Ensuite, il revint au direct. Josiane était en train d’expliquer à ses copines que, depuis quelques jours, elle avait découvert un nouveau délire. Dialoguer avec un inconnu sur un site de rencontres libertines.
Les filles semblaient étonnées, mais particulièrement intéressées par ce petit jeu. Nathan la vit se connecter au site sur lequel il la retrouvait presque tous les soirs.
- « Je crois qu’on va passer un bon moment » dit-il à son complice en se connectant lui-aussi

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 29 Jan 2016 15:12

Délires de filles



Le dialogue commença, d’une manière assez banale, comme presque tous les soirs.
- « Salut BLONDINETTE. Tu vas bien ? » demanda Nathan.
- « Salut WILD-WOLF. Et toi, ça va ? »
- « Oui. C’est ce soir que tu me montres comment tu branles ta petite chatte ? »
- « Si tu me montres ta queue ! » répondit l’étudiante, stimulée par la présence de ses copines.
- « Peut-être… Si tu me fais bien bander… »
Hervé était étonné de voir que cette fille si sage, qu’il voyait régulièrement passer devant sa loge, puisse se lâcher à ce point. Il le fit remarquer à Nathan, mais le jeune homme était déjà à fond dans le dialogue.
- « Tu es seule ? » demanda-t-il.
- « Non, ce soir je suis avec des avec des copines » confia Josiane.
- « Alors, allume ta webcam ! Je veux les voir… »
- « Elles disent que tu ne les verras que si tu leur montres ta queue ! » répondit l’étudiante.
- « Je veux les voir d’abord ! » insista-t-il.
- « Non ! montre ta bite d’abord ! »
A ce moment-là, le gardien intervint. Il ne comprenait pas pourquoi Nathan refusait d’allumer sa webcam et de montrer son sexe.
- « C’est parce que je lui ai fait croire que j’en avais une grosse ! Si elle voit ma petite queue ridicule, c’est foutu… »
- « Ne complexe pas, petit ! Tu veux que je leur montre la mienne ? »
Nathan se souvenait qu’il l’avait vu se masturber dans la salle de bain de Marine ASCARI. Il était plutôt bien monté. Peut-être pas les 21 centimètres qu’annonçait l’étudiant, mais il ne devait pas en être si loin…
Il alluma sa webcam et cadra l’image sur le sexe d’Hervé. Pour le moment, le gardien ne bandait pas vraiment. Nathan sortit sa queue, lui-aussi. Hervé se mit immédiatement à le sucer.
La petite blonde frisée semblait particulièrement délurée. Elle avait pris la place de Josiane devant le clavier et envoya un message sans équivoque.
- « Alors, cette queue ? Tu nous la montres ? Si tu la mets devant la webcam, je te montre ma chatte, c’est promis. »
Maintenant, le sexe d’Hervé avait atteint de belles proportions. Il se remit devant la webcam et Nathan l’alluma enfin. Les commentaires ne se firent pas attendre.
- « Hum, belle bite ! Je la sucerais bien… »
- « C’est quand tu veux » écrivit WILD-WOLF.
Sur la webcam de la cuisine, il voyait les filles qui étaient écroulées de rire. Mais Nathan n’oubliait pas la promesse de la petite blonde.
- « A toi de me montrer ta chatte, maintenant. N’oublie pas que tu l’as promis ! »
- « Je n’ose pas » répondit l’étudiante. « Je me dégonfle…»
- « Espèce de petite salope ! Encore une allumeuse. »
A sa grande surprise, il vit les trois autres filles qui l’encourageaient.
- « Allez Alice, montre-lui ! T’est pas chiche ! »
- « Elle va le faire » confia Hervé au jeune homme. « Insiste un peu ! »
- « Bon, ça vient ces chattes ? » demanda WILD-WOLF. « Vous êtes combien ? »
- « Quatre » répondit Alice qui semblait avoir définitivement pris le clavier.
- « Si vous me montrez vos chattes toutes les quatre, je vous promets de gicler devant la webcam. »
Il se rendit compte que les filles étaient sur le point d’accéder à sa requête. Seule Nora, une fille d’origine malgache, ne semblait pas d’accord. Dommage, c’était de loin la plus mignonne.
C’était vraiment très excitant de voir ces filles en train de parler de la queue d’un mec. Surtout que Nathan allait les croiser tous les jours. Il décida d’insister encore.
- « Bon, ça vient les filles ? Laquelle commence ? »
- « Tu promets qu’on te verra jouir ? » insista la blonde.
- « Oui, promis ! » répondit Nathan après avoir consulté Hervé, car c’était, évidemment, lui qui allait se masturber devant la webcam.
La petite blonde, qui se prénommait Alice, se mit devant l’ordinateur et défit sa salopette. Sa petite culotte à fleurs apparut à l’écran. Ils la virent saisir l’élastique et baisser le slip d’un geste sûr. Sa toison épaisse et frisée resta quelques secondes devant les yeux de Nathan et Hervé, puis elle se rhabilla.
- « A toi, BLONDINETTE » écrivit l’étudiant comme pour encourager Josiane.
Celle qu’il côtoyait tous les jours ne montra pas d’hésitation non plus. Elle savait que WILD-WOLF l’avait déjà vue à l’écran. Il eut la confirmation que sa toison était brune et fournie. Cette fois, Josiane le laissa la contempler pendant vingt bonnes secondes. Elle écarta même suffisamment les cuisses pour qu’il puisse apercevoir ses lèvres humides de désir.
Ce fut au tour de la fille qu’ils avaient vue, un peu plus tôt, changer son tampon dans les toilettes. Elle prit la place de Josiane et releva sa robe une fois qu’elle eut baissé sa culotte rose. Elle devait se sentir gênée, car la vision de sa toison bien taillée ne dura que quelques secondes. Nathan envoya un message aussitôt.
- « Non, cela ne suffit pas ! J’ai à peine pu voir quelques poils… Recommence, et écarte bien tes cuisses ! »
- « C’est que j’ai mes règles, en ce moment. » répondit la grande brune sur le clavier.
- « Et alors ? Je veux voir la ficelle de ton tampon ! Recommence ! »
Ils la virent remonter sa robe jusqu’à la taille, sur la webcam de la cuisine, puis baisser sa culotte rose. De dos, ils ne voyaient que ses fesses. Quand elle alluma de nouveau la webcam de l’ordinateur, ils purent, cette fois, nettement voir les lèvres épaisses et roses du sexe de la jeune étudiante et la ficelle du tampon qui dépassait.
- « C’est bien ! » l’encouragea WILD-WOLF. « Mais il en manque une… »
- « Elle ne veut pas » répondit Josiane qui avait repris le clavier.
- « Alors, tant pis ! Pas de jus… J’avais dit quatre chattes, pas trois ! »
Ils s’amusèrent alors à voir les trois filles essayer de convaincre la dernière. Finalement, elle se leva et vint à son tour devant l’ordinateur. Elle défit le pantalon blanc qu’elle portait et dévoila un string, blanc lui-aussi, particulièrement sexy. Il était transparent sur le devant et on pouvait déjà voir la petite touffe de poils qu’elle avait conservée sur le pubis, un peu comme Marine ASCARI. Elle avait mis du temps à décider, mais elle, au moins, jouait le jeu. Elle baissa le string et s’approcha encore plus près de la webcam. On distinguait parfaitement ses lèvres longues et fines et elle les écarta même légèrement, laissant entrevoir l’intérieur rose d’un vagin qui contrastait délicieusement avec sa peau cuivrée.
- « Je ne vais pas avoir de mal à jouir » confia Hervé dont le sexe était tendu au maximum.
Nora se rhabilla au grand regret des deux voyeurs. Nathan alluma la webcam qui montrait le sexe d’Hervé en gros plan. Il continua à se masturber et ne tarda pas à jouir. Les filles semblaient fascinées par cette queue de laquelle sortaient de longues giclées de liqueur blanche. Le gardien termina de se vider et l'étudiant coupa la webcam.
Il avait, lui aussi, envie de jouir. Hervé attrapa la culotte qu’il avait prise dans la salle de bain de la jeune fille qui recevait ses copines ce soir. Il l’enfila et se mit à quatre pattes devant le jeune homme.
- « Viens enculer cette salope de Josiane ! » lui dit-il.
Sans même réfléchir, Nathan se mit derrière lui et écarta le shorty encore maculé de sperme. Il posa son gland contre l’anus du gardien et s’enfonça dans l’étroit corridor. Son petit sexe pénétra facilement et il ne lui fallut que quelques allers retours pour éjaculer. Il avait joui en pensant à Josiane et sembla tout étonné d’entendre la voix d’Hervé qui le ramenait à la réalité.
- « C’était bon, petit ! Merci pour ce moment… »
- « Elles m’ont bien excité, ces petites cochonnes ! » avoua l’étudiant. « En plus, les voir discuter entre elles sur l’autre webcam, c’était super ! »
- « Oui, ce week-end on ira en mettre chez la black du 3ème. »
- « C’est sûr » reprit Nathan. « C’est grâce au forum que vous m’avez indiqué. Vous ne vous y connectez jamais ? »
- « Tu ne crois pas que tu pourrais me tutoyer après ce que nous venons de faire ? » dit le gardien en rigolant. « Non, mon ordinateur ne marche plus… »
- « Je viendrai te le réparer » répondit Nathan. « Les voyeurs organisent une réunion chez le banquier lundi soir. Ce serait bien que tu viennes avec moi. Il veut nous parler d’un projet consistant à installer beaucoup de webcams et à vendre les images. »
- « Il est urgent que tu répares mon ordinateur alors… Oui, je viendrai »
Chez Josiane, la soirée tirait à sa fin. Ses invitées partirent les unes après les autres et la jeune femme se mit au lit sans même débarrasser. Nathan eut tout de même le plaisir de la voir nue, enfilant une chemise de nuit avant de se glisser sous les draps.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar newxep34 » Sam 30 Jan 2016 10:15

sympa ces histoires !
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 1 Fév 2016 15:01

Un week-end chargé d’émotions



Le samedi, Hervé avait vu partir l’étudiante noire du 3ème étage avec un gros sac de voyage. Il prévint tout de suite Nathan et l’accompagna pour installer les webcams. Il ne lui serait d’aucune utilité, mais si jamais elle avait laissé quelques strings, cela valait le coup d’aller voir…
Le studio de l’étudiante, dont la mère était d’origine martiniquaise et le père métissé d’une mère belge et d’un père zaïrois, était impeccable comme d’habitude. Nathan savait qu’il avait le temps, mais il se mit au travail tout de suite. Les trois webcams furent installées en moins de vingt minutes. Avec l’expérience, il devenait de plus en plus performant.
Dans la salle de bain, il trouva Hervé en train de renifler le seul string que la fille avait laissé. Le gardien lui fit partager ce trésor. Un magnifique petit string rose et blanc que l’étudiant sentit à son tour. Une brève visite dans le séjour apprit à Nathan qu’elle se prénommait Marie-Amélie. Désormais, trois appartements de la résidence étaient équipés. Il ne regrettait pas d’avoir disposé des webcams dans le studio de Josiane. Il avait pu constater qu’elle se baladait pratiquement toujours à poil dans son appartement. Chez elle, le spectacle était permanent.
Du côté de chez Marine ASCARI, il avait pris un grand plaisir à l’observer au saut du lit. La voir déjeuner vêtue d’un simple tee-shirt et d’une petite culotte était un régal. Le matin, il assistait à ses séances d’habillage, mais le top restait le moment de la douche.
Sur sa messagerie, il avait appris avec grand plaisir que Charlène THEVENOT devait venir passer une nuit chez elle dans la semaine. Il attendait cette visite avec impatience.
Pour le moment, il voulait aller réparer l’ordinateur d’Hervé. Il le suivit dans la loge et trouva le vieux PC, qui devait avoir au moins dix ans. Il était couvert de poussière. Il n’avait pas servi depuis bientôt deux ans. Nathan commença par le nettoyer un peu, puis il essaya de l’allumer. Rien, l’alimentation électrique était morte…
Il l’ouvrit. La carte mère était grillée, elle aussi.
- « Il est dans un piteux état ce PC » confia l’étudiant. « Compte tenu de son âge, cela ne vaut vraiment pas le coup de le réparer… Il vaudrait mieux le remplacer. »
- « C’est que je n’ai pas les moyens » avoua le gardien.
- « Pourtant, avec toutes ces webcams à surveiller, il faudrait… On en parlera à la réunion, si tu viens lundi soir. »
Nathan savait qu’il pouvait se procurer une configuration correcte pour environ 300 €uros chez son ami coréen. Si le banquier était d’accord, il pourrait utiliser une partie des 500 €uros qui restaient de la somme avancée pour l’achat des webcams. L’aide du gardien de la résidence était précieuse. Ils pouvaient bien faire cela pour lui…
Quelques heures plus tard, l’alarme d’une des webcams de l’appartement de Marine ASCARI le prévint qu’elle venait de rentrer. Il alla vérifier. Charlène THEVENOT était bien avec elle. Il les observa un moment. Rien de bien intéressant n’attira son attention.
Chez Josiane, par contre, le spectacle était plus intéressant. La jeune femme se baladait nue dans son appartement, comme à son habitude. Nathan put contempler, une fois de plus, sa toison bien fournie qu’il connaissait désormais parfaitement. Il zooma longuement sur les seins lourds de Josiane. Leurs larges aréoles roses donnaient envie de les pincer.
Le soir, Nathan vit Marine ASCARI et Charlène THEVENOT qui se déshabillaient. Il s’attendait à ce qu’elles conservent leur culotte et enfilent un tee-shirt ou une chemise de nuit, mais il n’en fut rien. Les deux splendides beautés se mirent entièrement nues et commencèrent à se caresser mutuellement.
La blonde à la peau dorée s’allongea sur le lit. Charlène se mit sur elle. Nathan avait une vue imprenable sur sa croupe relevé. Quel cul ! Il la vit embrasser les seins de sa copine, puis descendre vers son nombril. Elle s’y attarda un moment, puis continua vers l’intimité de Marine. Ses cheveux s’étalaient sur les cuisses. Marine lui prit la tête et guida sa bouche. Charlène poursuivit jusqu’à ce que la blonde atteigne l’orgasme. L’étudiant la vit se raidir, puis mettre ses jambes autour de la taille de Charlène.
Nathan était aux anges d’avoir pu assister à cette étreinte, mais ce n’était pas terminé. Marine se releva et enlaça Charlène. Elle l’embrassa fougueusement, puis se mit à son tour sur elle et reproduisit à l’identique les gestes qui l’avaient fait jouir. L’orgasme de Charlène fut encore plus rapide. Le cul relevé de Marine était encore plus beau que celui de sa copine, mais l’étudiant n’arrivait pas à détacher les yeux des pieds de la brune. Ils étaient véritablement splendides ! Ils étaient cambrés à souhait, la cheville était fine, les ongles méticuleusement vernis, les orteils parfaitement réguliers. Nathan rêvait de pouvoir les lécher un jour. Rien que d’y penser, il faillit jouir.
Quand Marine demanda à sa copine de se retourner, qu’elle écarta ses fesses pour découvrir son petit trou, le spectacle devint prodigieux. Elle posa sa bouche entre les deux globes de chair et lécha longuement l’anus de Charlène qui semblait particulièrement apprécier cette caresse buccale. Nathan voyait maintenant les pieds des deux filles. Il ne lui en fallut pas plus pour éjaculer.
Après cette superbe soirée, il s’endormit en pensant à la débauche d’images érotiques qui déferlerait sur son écran lorsqu’il aurait équipé de webcams les appartements de toutes les filles de la résidence. Certes, les deux plus mignonnes étaient certainement Marine et Marie-Amélie, mais la chinoise n’était pas mal non plus et Hervé lui avait dit qu’il venait de recevoir le dossier d’une brune superbe qui devait emménager bientôt. Pourtant, c’était l’image des pieds de Charlène qui revenait sans cesse dans ses pensées.
Le dimanche soir, Marie-Amélie rentra très tard. Nathan était déjà au lit, mais il avait laissé son PC allumé. Le programme gérant le signal des détecteurs de présence tournait en permanence. Simplement, il pouvait paramétrer l’alarme de chacune des webcams. Seule celle de la cuisine de l’étudiante noire produirait une alerte sonore. Le volume était également paramétrable.
Vers minuit, un bip très puissant le réveilla. Marie-Amélie venait d’arriver. C’est encore à moitié endormi qu’il la vit poser son sac et se mettre à l’aise. Elle retira ses chaussures, puis le jean qui la serrait et il la vit déambuler dans le petit string jaune qu’il avait découvert lors de sa première visite. Ses jambes étaient longues et fines. Quand elle retira son pull, il vit qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins étaient plutôt petits. Les aréoles étaient très sombres et les tétons pointaient naturellement. Avant d’aller se coucher, la somptueuse beauté noire passa aux toilettes. Nathan eut le temps d’apercevoir les petits poils noirs frisés qui bordaient les lèvres de son sexe. Il avait hâte de la voir sous la douche, mais il comprit qu’il lui faudrait attendre le lendemain. Fatiguée par son week-end, elle alla se coucher et s’endormit très vite.
Le lendemain matin, ce fut une débauche d’images qui déferla sur son écran. Cela commença par Josiane qui se leva, toujours nue et alla aux toilettes avant de préparer son petit déjeuner. Ce n’est qu’ensuite qu’elle enfila un tee-shirt. Chez Marine ASCARI, Charlène THEVENOT n’était plus là. Il ne put profiter de leurs ébats sous la douche, comme il l’avait fait la veille. Il s’était régalé à les regarder s’embrasser, se caresser, se savonner mutuellement. Aujourd’hui, il n’y avait plus que Marine, mais il ne se priva pas de la regarder longuement se laver, puis s’essuyer.
Marie-Amélie fut la dernière à se lever. Elle avait dormi avec une légère nuisette blanche ornée de dentelles noires. Après avoir bu un thé et un jus d’orange, elle partit dans la salle de bain. Quand elle retira la nuisette, il put de nouveau voir son corps splendide. Cette fille avait hérité des yeux clairs de sa grand-mère. Ils étaient d’un gris métallique et ses traits étaient très fins. Ses cheveux étaient longs et défrisés. Elle était fine et longiligne. Les ongles de ses mains et de ses pieds, vernis de blanc argenté, ressortaient merveilleusement sur sa peau noire. La voir savonner ce corps de rêve provoqua une belle érection chez l’étudiant. Quand elle s’enveloppa dans un grand peignoir en sortant de la douche, il ressentit une frustration immense.
Nathan avait passé tellement de temps devant son écran qu’il n’était vraiment pas en avance. Pourtant, il était pressé de retourner dans son école. Désormais, quand il croiserait Josiane et ses copines, il ne pourrait s’empêcher d’imaginer leur chatte nue qu’il avait vue devant la webcam. Quand à Marine ASCARI et Charlène THEVENOT, c’est tendrement enlacées qu’il les imaginait désormais.
Pourvu que la réunion de ce soir aboutisse à la décision d’installer d’autres webcams…

à suivre...
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Messagepar GILLESBDX » Mar 2 Fév 2016 12:06

Un projet ambitieux



Le soir de la réunion, Nathan arriva avec Hervé. Sébastien SAINT-SAUVEUR avait organisé ce regroupement de voyeurs dans les locaux de l’agence bancaire qu’il dirigeait. Il avait été prévenu par l’étudiant que le gardien de la résidence universitaire l’accompagnerait. Outre Lionel DELAGE, deux hommes se trouvaient déjà là.
Sébastien les présenta sans tarder.
- « Ce soir, de nouveaux voyeurs nous ont rejoints. Ils ont vu les images des webcams installées par Nathan et souhaitent s’associer à notre projet. Tout d’abord, il y a Christophe POLDANO. Il est industriel et c’est un de mes clients dans la banque. J’avoue que, le jour où je l’ai croisé pour la première fois sur le forum que vous connaissez tous, nous nous sommes sentis gênés tous les deux. Aujourd’hui nous nous en amusons… ».
Nathan regarda l’homme qui lui faisait face. Il devait approcher la soixantaine et était très corpulent. Il expliqua que sa société fabriquait du matériel plutôt sophistiqué dans le domaine de la domotique. Un bref exposé des produits qu’il fabriquait montra qu’il était à la pointe de la technologie, chose qu’on n’aurait jamais imaginée en le voyant.
Sébastien SAINT-SAUVEUR présenta l’autre invité. Il se nommait Gunther KLEINESACHE et était de nationalité allemande. Il était beaucoup plus jeune et devait avoir trente-cinq ans. Il parlait un français impeccable. Il expliqua qu’il était juriste, spécialiste du droit international. Il avait connu Sébastien sur le forum. Lui-aussi avait été épaté par la qualité des images des webcams de Nathan. Quand le banquier lui avait parlé de l’idée de mettre des webcams dans tous les studios de la résidence universitaire et de vendre les images sous forme d’abonnement, il avait été emballé par le projet. Pourtant il trouvait que ce n’était encore pas assez ambitieux. Sébastien SAINT-SAUVEUR l’avait donc invité à leur réunion de ce soir.
Un autre homme, encore plus jeune arriva, enfin. Ce fut Lionel DELAGE qui le présenta. Il s’appelait Kevin MONTFORT. C’était l’installateur qu’il avait recruté pour équiper toute la résidence. Il avait été très surpris par les questions posées lors de l’entretien. En effet, le recruteur avait rapidement balayé son expérience professionnelle, puis les questions avaient abordé des aspects beaucoup plus personnels. Kevin avait eu l’impression de se faire piéger quand il avait avoué un penchant sérieux pour le voyeurisme. Il ignorait que c’était justement ce qui allait lui permettre d’être recruté. A 22 ans, ce garçon très intelligent n’avait trouvé que des CDD, souvent de courte durée. Il voulait reprendre des études dans le domaine de l’électronique.
Nathan LEGOFF se présenta à son tour, puis il présenta Hervé CIVRAC, gardien de la résidence universitaire et complice indispensable de leur projet. Hervé leur expliqua qu’il avait longtemps fréquenté le forum sur lequel ils s’étaient tous rencontrés, mais qu’il ne s’y connectait plus n’ayant plus d’ordinateur.
Nathan en profita pour demander si les 500 €uros restant après l’achat des webcams ne pourraient pas servir à l’équiper.
- « Bien sûr » répondit immédiatement Sébastien SAINT-SAUVEUR. « D’abord, j’ignorais qu’il restait 500 €uros. Tu as dû vraiment bien négocier le prix des webcams, car on n’en trouve pas à moins de 100 €uros. Et puis il me semble normal qu’Hervé puisse profiter des images qu’il va nous aider à obtenir. »
Lionel DELAGE prit la parole à son tour.
- « D’autant que les abonnements marchent très bien. Sur la première webcam que tu avais installée, on compte déjà près de 50 abonnements, dont près de la moitié pour un mois. A elle seule, elle nous procure un chiffre d’affaires de 500 €uros. En plus, les webcams que tu as installées chez la brune un peu forte marchent bien aussi, depuis qu’elle a invité ses copines… »
- « Déjà ? » s’étonna Nathan.
- « Tu sais, le bouche à oreille va vite sur le forum » intervint Sébastien SAINT-SAUVEUR. « Avec ma webcam et celle qui est dans les toilettes de RECRUTATOR, nous avons déjà engrangé un peu plus de 1000 €uros. Et les demandes pour l’appartement de la black vont faire exploser le chiffre. »
- « C’est vrai que cette fille est sublime » précisa Nathan. « J’ai reçu les premières images de son appartement hier soir… »
- « Quand pourras-tu nous les montrer ? » demanda Lionel DELAGE.
- « Tout de suite, si vous me prêtez un ordinateur… »
Sébastien SAINT-SAUVEUR alla chercher le PC portable qui se trouvait sur son bureau et il le mit devant l’étudiant. Nathan n’eut besoin que de quelques commandes. Les images de Marie-Amélie se savonnant sous la douche apparurent à l’écran.
- « Cette fille est sublime » fit remarquer Christophe POLDANO. « Elle va faire un carton ! »
- « A cette heure-ci, elle doit être chez elle. Vous voulez qu’on essaie de la voir en direct ? » questionna Nathan.
Tous montrèrent beaucoup d’enthousiasme. Même s’il n’avait pas encore compris quel serait son rôle, Kevin MONTFORT ne regrettait pas d’être venu.
Nathan ouvrit trois fenêtres avec chacune des webcams de l’appartement de l’étudiante noire. Elle se trouvait dans sa cuisine. La jeune femme portait une robe blanche qui faisait paraître sa peau encore plus noire. Elle était en train de préparer un apéritif.
- « Elle doit attendre du monde » expliqua Hervé CIVRAC. « Elle reçoit beaucoup… »
- « En tous cas, la définition de l’image est vraiment excellente ! » fit remarquer Gunther KLEINESACHE. « Qui te fournit un matériel pareil ? »
- « Un petit revendeur coréen… C’est devenu un ami et il me fait des prix vraiment intéressants. Le problème, c’est que c’est une petite société qui fabrique les webcams et elle a du mal à fournir… »
- « Il va pourtant nous en falloir une centaine, si nous équipons toute la résidence. » intervint Lionel DELAGE. « Kevin, c’est toi qui va les installer. Nous comptons sur Hervé pour préparer ton intervention. »
- « J’annoncerai une révision de toutes les VMC. Comme j’ai les clés de tous les appartements, il sera facile d’intervenir quand les étudiantes ne sont pas là. » expliqua Hervé.
A ce moment-là, un événement attira leur attention. Un homme d’une trentaine d’années venait d’arriver chez Marie-Amélie. Il l’embrassa aussitôt, ne laissant aucun doute sur leur degré d’intimité. Elle répondit à son baiser, puis il commença à la déshabiller pendant qu’ils dégustaient tranquillement les cocktails qu’elle avait préparés. Il fit tomber sa robe, découvrant un soutien-gorge finement brodé. Assez rapidement, il retira sa chemise et cette petite coquine se mit entièrement nue avant de dégrafer le pantalon du visiteur et de sortir un sexe de belle taille. Elle commença par bien lécher les bourses de l’homme avant de passer la langue sur son gland. Elle s’était agenouillée et le regardait de ses grands yeux clairs avec un air vraiment coquin. Il se mit entièrement nu, lui-aussi.
- « Quelle petite cochonne ! » ne put s’empêcher de commenter Lionel DELAGE.
Marie-Amélie monta en équilibre sur deux chaises et prit appui sur le bar. Il se glissa sous elle et lui dévora la chatte par derrière. On voyait bien ses quelques poils frisés et elle semblait apprécier. La bouche remonta et vint titiller son anus.
Enfin, elle se mit à genoux sur les chaises. Elle posa sa poitrine sur le bar et il la prit en levrette. Après de longs allers retours, il lui demanda de se retourner. Elle se mit sur une des chaises et releva ses jambes, très haut. Il la pénétra de nouveau. Elle se mit à caresser son clitoris et jouit, la bouche grande ouverte avec de petits cris, écartant les lèvres de sa chatte et dévoilant ainsi, l’intérieur rose de son vagin.
Quand le visiteur fut au bord de l’orgasme, Marie-Amélie se remit à genoux et reprit une fellation. Il jouit sur sa bouche, inondant son visage de sperme qui dégoulina sur ses seins.
Les sept voyeurs n’en pouvaient plus. Ils les regardèrent encore un moment se câliner, puis l’étudiante demanda à l’homme s’il restait pour la nuit.
- « Non, je ne peux pas… Ma femme m’attend. Je lui ai dit qu’il fallait que je passe voir un de mes étudiants qui a des difficultés avec son stage. »
- « Bon, on se verra demain alors » répondit Marie-Amélie qui avait l’air un peu contrariée.
- « Oui, tu as cours avec moi demain après-midi. Mets-toi au premier rang et ne met pas de culotte ! »
- « Au moins une matière où elle devrait avoir une bonne note » commenta Gunther KLEINESACHE devant les voyeurs hilares.
Il exposa enfin ses projets. Pour lui, ils pouvaient aller beaucoup plus loin que l’équipement de la résidence. Il rêvait d’une couverture beaucoup plus importante par les webcams et pensait que le matériel fabriqué par l’entreprise de Christophe POLDANO pouvait permettre d’en installer à l’insu des clients.
L’industriel confirma que les systèmes qu’il fabriquait avaient pour objectif de collecter des données, température, degré d’humidité, luminosité…, de les analyser et de permettre le pilotage à distance des paramètres intervenant dans le confort domestique, alors pourquoi pas des images ? Seulement, il ne se voyait pas installer des webcams sans le consentement des clients. De plus, il ne faisait que fabriquer. Pour l’installation, il faisait appel à des entreprises sous-traitantes et, l’exploitation des données était confiée à une société de service informatique.
Gunther KLEINESACHE expliqua que la législation française était beaucoup plus protectrice en raison de la loi Informatique et Liberté. Selon lui, il aurait fallu créer une société à l’étranger pour stocker et distribuer les images. Sébastien SAINT-SAUVEUR ajouta que, fiscalement, ils y auraient également tout intérêt.
Nathan LEGOFF rassura le groupe et expliqua qu’il avait tout prévu pour qu’on ne puisse pas retrouver l’adresse IP de l’ordinateur par lequel transitaient les images. Kevin MONTFORT en profita pour parler de ses compétences d’installateur.
Finalement tout le monde semblait pouvoir jouer un rôle utile dans le cadre d’un projet beaucoup plus ambitieux. Mais pour le moment, ils se limiteraient à l’équipement des studios de la résidence universitaire. Cela supposait déjà de pouvoir se procurer une centaine de webcams.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 2 Fév 2016 18:07

De bien belles promesses



Lorsque Nathan retourna dans la boutique de Li WAN CHU, il choisit un ordinateur pour équiper Hervé CIVRAC. Bien entendu, il lui demanda s’il avait reçu de nouvelles webcams.
- « Il ne m’en reste que six en stock » répondit le coréen. « Mais ça marche tellement bien que mon fournisseur va s’organiser pour augmenter sa production. »
- « Je les prends et j’en veux cent de plus » asséna l’étudiant.
- « Mais tu es fou ! Comment vas-tu me payer tout ça ?»
- « Ne t’inquiète pas pour cela… Tu me les fais toujours à 40 €uros ? »
- « Ah non ! Tu comprends, c’est de plus en plus difficile de me faire livrer… Alors 50 €uros, pas moins… »
- « Voleur ! Si ça continue, je vais vraiment aller les chercher en Corée… »
- « Explique-moi comment tu fais pour pouvoir acheter tout cela, d’un seul coup… » insista le commerçant. « S’il y a un bon coup à faire, ça m’intéresse ! »
Nathan hésita un peu avant de lui parler de leur projet, mais il savait qu’il pouvait avoir confiance.
- « J’ai rencontré d’autres voyeurs. On se réunit pour parler du projet. » expliqua-t-il. « Pour le moment, on veut équiper toute ma résidence. On vend les images des webcams sous forme d’abonnement. C’est quelque chose qui marche merveilleusement bien. Mais on aimerait aller encore plus loin… »
- « Et c’est toi qui gère le stockage et la distribution des images ? Avec plus de cent webcams, tu vas avoir du boulot… »
- « Oh j’ai développé une application qui fait cela très bien… Elle me rapatrie les images dans un format hyper-compacté. Elle les référence, elle les stocke… Il me reste à finir de développer la partie qui gère les abonnements et distribue automatiquement les images. Pour le moment, c’est en partie manuel, mais je n’aurai bientôt plus à m’occuper de rien. Elles pourront même être disponibles sur Smartphone… »
- « C’est bien, tu as bien bossé… Mais pour stocker tout cela, il va te falloir des disques… Et tu n’as pas peur qu’on remonte jusqu’à ton ordi ? »
- « Ne t’en fais pas, j’ai développé un Brouilleur d’IP. Pour les disques, c’est vrai qu’il va me falloir de grosses capacités. »
- « Tu crois vraiment que ça va marcher ? J’aurais vraiment envie de me lancer dans cette expérience avec vous, mais avec ma boutique, j’ai trop de boulot… »
- « Vends-la à un chinois ! » rétorqua Nathan, un brin provocateur.
- « Espèce de petit con ! » s’énerva Li WAN CHU.
- « Non, mais tu n’as qu’à mettre ton magasin en gérance. Si ça ne marche pas, tu le reprendras… »
- « Ce qui m’inquiète, c’est le côté juridique… »
- « Moi-aussi, mais on a un spécialiste du droit international parmi nous… »
- « Bon, je viendrai à votre prochaine réunion si les autres sont d’accord » conclut le vendeur coréen.
Nathan partit les bras chargés de l’ordinateur qu’il avait choisi pour Hervé et des six webcams. Le gardien allait être content.
Le soir même, il installa le PC d’Hervé et lui donna accès aux images des webcams. A cette heure-là, il n’y avait pas grand-chose à mater. Marine était tranquillement allongée sur son lit en train de réviser ses cours. Elle était à plat ventre et relisait ses notes. Sa belle chevelure blonde couvrait en partie son visage et ses fesses étaient cachées un jean un peu trop épais au goût des voyeurs. Le seul aspect intéressant, c’étaient ses pieds nus qui s’agitaient, comme pour rythmer son apprentissage, et se frottaient l’un contre l’autre.
Marie-Amélie n’était pas chez elle, donc rien à voir dans son appartement. Même Josiane, d’habitude à poil dans son appartement, portait un tee-shirt et une culotte en coton. Elle aussi était en train de réviser ses cours.
- « Elle a ses règles » expliqua Nathan. « Je l’ai vue mettre son tampon ce matin. »
- « Intéressant… » répondit Hervé en pensant déjà au moment où elle allait le changer.
- « J’ai donc six webcams à installer » reprit l’étudiant. « Quels appartements me conseilles-tu ? »
- « Sans hésiter, celui de la chinoise dont je t’avais parlé. Cette fille n’arrête pas de recevoir des mecs. Il va y avoir du spectacle… »
- « Ok ! Et l’autre ? »
- « Tiens, regarde la photo de cette fille » répondit le gardien en allant chercher le dossier de celle qui devait arriver deux jours plus tard.
Nathan regarda le document qu’il lui tendait et vit une splendide brune aux yeux noirs. Il parcourut rapidement la fiche. Annabel ROSARIO, née à Buenos Aires, 22 ans, étudiante en Gestion.
- « Ah oui, mignonne » commenta Nathan.
- « Et tu n’as pas vu son cul ! En plus, elle est très sympathique. Quand elle m’a amené son dossier pour m’expliquer qu’elle quittait sa colocation et cherchait un studio, j’ai tout de suite pensé à celui qui va se libérer juste à côté du tien. D’ailleurs, le mec qui l’occupait vient de partir. Si tu veux, on peut aller installer les webcams dès ce soir… »
- « D’accord… En tous cas, tu m’as choisi une charmante voisine. »
- « Elle est venue faire ses études en France parce qu’elle voudrait travailler dans le secteur de la mode. »
- « Elle aurait dû s’installer à Paris… »
- « Elle m’a expliqué qu’elle était venue ici parce qu’elle connaissait d’autres étudiantes de son pays qui lui ont proposé une colocation. Mais les choses ont mal tourné. Une histoire de mec, je crois… Elle veut terminer son année et je pense que l’année prochaine, elle ira à Paris.»
Hervé prit la clé du studio vide et un tournevis. Les appartements étaient loués meublés et il savait qu’ils trouveraient un tabouret pour accéder à la VMC. Moins d’un quart d’heure plus tard, trois webcams supplémentaires étaient installées. L’étudiant proposa au gardien de venir boire un verre chez lui, mais celui-ci déclina son offre. Il avait hâte d’aller retrouver son PC et de mater quelques vidéos dont il était frustré. Nathan rentra donc seul chez lui.
Il se connecta un moment au forum des voyeurs où il croisa MATEUR.
Il l’informa immédiatement qu’il venait d’acheter le PC pour Hervé et les six webcams qui restaient. Il lui expliqua que trois étaient déjà installées, mais ne commenceraient à produire des images que dans deux jours. Le banquier s’inquiéta de savoir quand ils auraient le matériel pour équiper tout l’immeuble. Il précisa que le nécessaire était en train d’être fait pour créer une société, VMC-On-line, et qu’il lui remettrait prochainement un chéquier permettant de régler ses achats. Le jeune étudiant le remercia pour cette confiance et lui parla de l’intérêt de Li WAN CHU pour le projet. Sébastien SAINT-SAUVEUR se félicita de ce qui ne pouvait que favoriser l’acquisition de matériel.
Après avoir échangé un moment, Nathan décida de se connecter au site de rencontre. WILD-WOLF mourrait d’envie de retrouver BLONDINETTE et de la faire aller encore plus loin dans ses délires érotiques. Malheureusement, Josiane ne s’était pas connectée. Elle avait passé la soirée à travailler.
Son attention fut attirée par une autre connectée de sa région, BLONDE-FRISEE, 21 ans. Il la contacta aussitôt.
- « Hello, tu es nouvelle ici ? »
- « Oui… »
- « Alors, tu es blonde et frisée ? »
- « Exactement »
- « Blonde de partout ? »
- « Oui, je suis une vraie blonde » répondit la jeune femme qui, décidément, n’avait pas l’air farouche.
- « Hum, intéressant… On peut voir ? »
- « Euh, tu vas un peu vite... » dit-elle, pensant qu’il était temps de le freiner un peu. « Et toi, tu es comment ? »
- « D’habitude je me fais passer pour un grand blond costaud avec un sexe de 21 cm, mais j’ai décidé de te dire la vérité » avoua Nathan qui avait décidé de changer de stratégie. « Je suis petit, brun, j’ai des lunettes et mon sexe est loin de faire 21 cm. »
- « Tant mieux ! Ce n’est pas ce que je cherche… »
L’étudiant trouvait que les choses commençaient plutôt bien. Il avait hâte d’en savoir plus sur cette fille.
- « Et physiquement, tu es comment ? » demanda-t-il.
- « Plutôt petite, 1,58m et assez fine. Je pèse 49 kilos »
- « Mignonne… Avec de jolis petits seins ? »
- « Je fais du 85 B. Et toi, si tu m’en disais un peu plus ? Tu es comment ? »
- « Oh, tu sais, le physique n’a pas tant d’importance chez un mec» essaya de louvoyer Nathan.
- « J’aimerais savoir quand même » insista BLONDE-FRISEE.
- « Tu fais quoi dans la vie ? » demanda WILD-WOLF pour changer de sujet. »
- « Je suis étudiante. »
- « Bon, tu me montres à quoi tu ressembles ? »
- « A condition que tu le fasses aussi… »
- « D’accord », finit par accepter Nathan.
Ils convinrent d’un code, et chacun alluma sa webcam. L’étudiant reconnut aussitôt Alice, la copine de Josiane. Elle aussi avait identifié Nathan, le geek de leur école. Ce fut la jeune femme qui reprit le dialogue.
- « C’est gênant de tomber sur quelqu’un qu’on connait» dit-elle. « Tu crois qu’on peut continuer quand même ?»
- « Oui, bien sûr… » répondit Nathan qui était pourtant loin d’en être convaincu. « Mais promets-moi de ne pas en parler à Josiane. »
- « J’allais justement te demander la même chose » lui répondit Alice.
Finalement, leur dialogue se poursuivit, webcam allumée. WILD-WOLF avait repris confiance et demanda à BLONDE-FRISEE de lui montrer ses seins. Elle le fit sans trop rechigner.
Profitant de sa position dominante, il exigea qu’elle retire sa jupe, puis sa culotte. Elle le fit en échange d’une exposition prolongée du sexe du jeune homme. Il lui présenta sa petite bite bien dure et elle ne sembla pas s’offusquer de sa petite taille. En échange, elle lui montra sa belle toison blonde et fournie.
Le jeu aurait pu se poursuivre mais, hélas, Alice fut dérangée. Elle dût même couper la communication, laissant Nathan avec ses frustrations. Il avait hâte de la croiser le lendemain dans leur école…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 4 Fév 2016 14:44

Première expérience



Dans la cour de l’école d’ingénieurs, Nathan cherchait Alice et finit par la trouver en compagnie de Josiane. Il s’approcha des deux filles qui semblaient contentes de le voir, même si Alice avait l’air un peu gênée. Il ne fit aucune allusion à leur conversation de la veille.
Comme à son habitude, Josiane semblait vouloir attirer l’attention du geek de l’école, mais il n’avait d’yeux que pour la petite blonde frisée qui s’était entièrement dénudée pour lui, la veille au soir. Il la trouvait pas mal du tout et attendit que Josiane s’absente enfin quelques minutes.
- « J’ai beaucoup aimé notre dialogue d’hier soir » dit-il.
- « Moi aussi » répondit Alice. « Mais je n’aurais jamais imaginé que c’était toi… »
- « Tu es libre ce soir ? » demanda Nathan en rougissant.
- « Pourquoi ? Tu veux qu’on recommence ? »
- « Je pensais que tu aurais pu passer chez moi » se risqua l’étudiant.
- « On verra » répondit la charmante blonde « Mais chut ! Josiane revient… »
Nathan retourna donc en cours plein d’espoir. En même temps, il se sentait angoissé, car s’il était à l’aise devant l’écran, il n’en était pas de même dans la vraie vie. Allait-il enfin faire l’amour à une fille pour la première fois ?
Ce matin-là, il fit tout juste attention à Marine ASCARI. Son esprit était complètement occupé par l’image d’Alice.
A midi, il alla déjeuner avec les quatre filles de première année qui se retrouvaient régulièrement. Sandrine, la grande brune qui avait ses règles le soir où elle était venue chez Josiane, ne semblait pas dans son assiette. Nathan n’avait pas remarqué, jusque-là, qu’elle avait de si jolis seins.
- « Ça ne va pas Sandrine ? » lui demanda Nora, la belle étudiante malgache qui, ce jour-là encore, portait un pantalon blanc particulièrement seyant.
- « Non, c’est à cause du stage de fin d’année » répondit Sandrine. « Je n’arrive pas à trouver une entreprise. »
- « Oh, tu sais, moi non plus je n’en ai pas encore » répondit Nora.
- « On a encore un peu de temps pour trouver » intervint Josiane.
- « Moi, je ne cherche même pas » ajouta Alice « On verra bien… »
Une idée commençait à germer dans l’esprit de Nathan. Et s’il leur proposait de faire leur stage dans la société VMC-On-line ? Une entreprise venant de se créer, où tout était à faire, c’est quelque chose qui devrait séduire les profs de l’école. Cependant, il ne voulait pas s’avancer trop vite. Surtout, il ne voulait pas prendre le risque qu’elles découvrent qu’il espionnait les filles de la résidence.
- « Il y aura peut-être des possibilités dans la société où j’envisage de faire mon stage de fin d’études » se contenta-t-il de déclarer. « J’en parlerai… »
- « Ah bon, tu sais où tu vas faire ton stage ? » s’étonna Josiane.
- « Je pense… Dans une société qui se crée et va s’implanter dans le domaine de la domotique »
- « C’est intéressant pour la spécialité Réseaux et Sécurité » fit remarquer Alice.
- « Justement… » répondit Nathan, ravi qu’elle soit intéressée.
Au cours du repas, il se montra discret, mais il ne cessait de fantasmer sur la petite blonde. Elle lui avait discrètement glissé qu’elle viendrait chez lui ce soir.
La journée lui parut horriblement longue. Vers 21 heures, on frappa à sa porte. Machinalement, il se recoiffa avant d’aller ouvrir. C’était Alice. Elle avait tenu sa promesse.
Il la fit entrer et remarqua tout de suite qu’elle s’était changée. Elle portait une robe rouge qui lui allait très bien. Sa chevelure blonde bouclée et ses yeux bleus ressortaient merveilleusement. Voyant que l’étudiant semblait intimidé, ce fut elle qui vint se coller contre lui. Elle mit rapidement ses bras autour du cou de Nathan, qui semblait paralysé.
- « Alors, tu ne m’embrasse pas ? » demanda-t-elle.
- « Si » répondit Nathan en déposant un baiser dans son cou.
Alice le regarda en souriant et posa les lèvres sur les siennes. Le garçon retrouva la douce sensation que lui avait procurée le baiser de Josiane le soir où elle l’avait invité à dîner. Depuis, il ne s’était plus rien passé entre eux, à part quelques jeux virtuels.
Soudain, elle laissa glisser les brides de sa robe qui tomba sur le sol. Elle était entièrement nue !
- « Ca alors ! » s’extasia Nathan. « Tu ne portes rien… Même pas une culotte ! »
- « Pourquoi ? Tu mets des boules Quiès pour aller au concert ? » plaisanta-t-elle. « Prends-moi ! »
Nathan ne s’attendait pas à une demande aussi rapide. Il la fit asseoir sur le grand tabouret et lui releva les jambes. Il essayait de reproduire exactement ce qu’il avait vu dans l’appartement de Marie-Amélie. Cependant, son sexe était beaucoup plus petit que celui de l’homme qui avait pénétré l’étudiante noire. Il avait du mal à s’enfoncer dans le vagin d’Alice qui était particulièrement étroit. Heureusement, elle avança son bassin et vint à la rencontre de l’étudiant.
- « Baise-moi ! Défonce-moi la chatte !» l’encouragea-t-elle.
Il n’en fallut pas plus à Nathan pour jouir en elle. La pénétration n’avait pas duré plus d’une minute. Quand elle se rendit compte qu’il avait déjà éjaculé, la jeune fille eut l’air un peu déçue.
- « Déjà ?» demanda-t-elle.
- « Oui, je suis désolé… Je manque d’expérience »
- « Ce n’est pas grave, c’était très bien… Mais j’aurais aimé en avoir un peu plus… »
- « Tu n’es pas trop déçue ? J’ai un sexe de petite taille… »
- « C’est vrai, mais c’est ce qu’il me faut… Tu as vu comme je suis étroite ? Mais alors c’était à qui la grosse queue qu’on a vue chez Josiane ? »
Le jeune homme était très embarrassé par la question. Il n’avait pas franchement envie de lui avouer qu’il les avait matées toutes les quatre en compagnie du gardien de la résidence. Il essaya de changer de sujet.
- « Dis-moi, il y a longtemps que tu te connectes sur ce genre de site ? » demanda-t-il
- « J’ai découvert cela chez Josiane ! Alors, tu ne veux pas me dire qui était avec toi l’autre soir ? » insista Alice.
- « Un ami » se contenta de répondre Nathan.
La petite blonde avait un peu froid. Elle demanda à l’étudiant si elle pouvait se mettre dans son lit et ils se retrouvèrent sous la couette peu de temps après. Nathan avait l’impression de vivre un rêve éveillé.
Alice lui expliqua qu’elle vivait chez sa tante. C’était parfois un peu pénible car elle ne pouvait pas recevoir, mais cela l’arrangeait bien de ne pas payer de loyer. Tout en l’écoutant parler, il se mit à caresser sa poitrine. Ses petits seins étaient vraiment mignons, mais ce qui fascinait le plus Nathan, c’était cette toison luxuriante et d’une blondeur étonnante. En plus, l’étudiante se laissait caresser avec plaisir.
Après une heure de câlins très tendres, elle se leva et remit sa robe.
- « Il faut que je parte » lui dit-elle « Ma tante n’aime pas que je rentre tard. »
- « Dommage » répondit Nathan.
- « Si tu veux, je reviens demain soir… » proposa Alice.
- « Oh oui ! »
Ravie de son enthousiasme, elle l’embrassa et sortit avec un grand sourire. L’étudiant allait marquer ce jour d’une pierre blanche : enfin, il n’était plus puceau !

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 8 Fév 2016 15:41

Plaisirs partagés



Le lendemain soir, Alice vint chez Nathan directement après les cours. Dans la journée, ils s’étaient croisés plusieurs fois, mais la jeune fille n’avait pas voulu montrer à ses copines qu’elle avait une relation avec l’élève de 3ème année. Ils avaient donc fait exactement comme si rien ne s’était passé entre eux.
Quand elle arriva, elle se précipita sur Nathan et l’embrassa fougueusement. Avant même qu’il ne réagisse, elle dégrafa le pantalon de l’étudiant et sortit son sexe déjà en érection. Elle se mit à genoux et entreprit une fellation sans dire un mot. Elle suçait merveilleusement bien, mais il dût lui demander d’arrêter rapidement.
- « Attends, sinon je vais jouir tout de suite ! » lui dit-il.
Alice se releva et revint l’embrasser.
- « Ah non alors ! J’ai bien l’intention d’en profiter un peu… Dis-moi, ça t’exciterait que je m’exhibe un peu devant la webcam sur le site où on était l’autre jour ? »
- « Et comment ! »
- « Viens, on va se connecter tous les deux » dit-elle en allumant le PC portable qu’elle avait posé sur la table en arrivant.
Nathan se mit à côté d’elle et se connecta lui aussi. Il était très excité à l’idée de la voir s’exhiber en direct et n’aurait jamais osé lui demander une chose pareille, mais puisque c’était elle qui le proposait…
Chacun avait repris le même pseudo et BLONDE-FRISEE fut tout de suite assaillie de messages. Nathan ouvrit un salon privé et donna le code à Alice. Elle s’y connecta également.
- « On va inviter un ou deux voyeurs » lui dit-elle. « Ça m’excite de savoir que des mecs se branlent en me matant. »
- « Tu es une sacrée petite cochonne ! » ne put s’empêcher de lui dire Nathan.
- « Oui… Quand je pense que je ne savais même pas que ce genre de site existait avant d’aller chez Josiane » répondit Alice.
WILD-WOLF reçut plusieurs messages lui demandant le code du salon. Ils avaient convenu qu’ils choisiraient chacun un invité. BLONDE-FRISEE était vraiment débordée par les demandes et n’arrivait même plus à répondre.
Un des connectés semblait bien connaître l’étudiant. Un certain VOYEUR52. Il envoya un message.
- « Salut Nathan. Tu me donnes le code du salon ? »
- « Salut… On se connaît ? Pourtant, ton pseudo de me dit rien… »
- « Evidemment qu’on se connaît… C’est Hervé !»
- « Ah, salut Hervé. Oui, je vais te donner le code, mais tu ne dis pas qu’on se connaît. D’accord ? »
- « D’accord ! C’est qui la fille ? Tu la connais ? »
- « Oui, elle est avec moi dans mon studio… »
- « Oh le petit cochon… Donne vite le code ! »
Nathan donna le code à Hervé qui entra dans le salon privé. Il avertit Alice qu’il avait déjà choisi un des voyeurs.
- « Moi-aussi » lui répondit-elle. « Tant qu’à faire, je n’ai pas lésiné… »
Effectivement, Nathan vit arriver un nouveau pseudo dans le salon. Un certain VICELARD…
- « Salut à tous » envoya ce dernier.
- « Salut » répondit BLONDE-FRISEE. « Alors les mecs, ça vous excite d’être avec une petite nana blonde ? »
- « Oui » répondit aussitôt VICELARD. « Tu es comment ? »
- « Blonde ; 1,58m pour 49 kilos ; TP85B »
- « Blonde et frisée ? » demanda VOYEUR52.
- « Oui, très frisée… De partout… »
- « Hum, on peut voir ? » questionna aussitôt VICELARD.
Alice ne se fit pas prier. Elle alluma la webcam de son ordinateur et montra aussitôt son visage à l’écran. Hervé reconnut tout de suite une des filles qu’il avait vues chez Josiane.
- « Tu nous montre tes seins ? » demanda VICELARD.
BLONDE-FRISEE ne dit rien et commença à déboutonner son chemisier. Lentement, elle le retira, puis défit son soutien-gorge. Les deux voyeurs virent apparaître ses petits seins sur leur écran. Nathan, lui, ne disait rien, mais il s’était rapproché d’Alice.
- « Ils sont mignons… Tu aimes pincer les pointes ? » questionna VICELARD.
- « Oui » répondit BLONDE-FRISEE.
- « Alors, fais-le ! » intervint VOYEUR52
Alice fit rouler la pointe de ses tétons entre son pouce et son index. Cela ne sembla pas suffire au plaisir de VICELARD.
- « Pince-les plus fort ! Je veux t’entendre gueuler ! »
Alice obéit aux ordres et serra de toutes ses forces. La pointe de chacun de ses seins devint rouge.
- « C’est bien… Tu ne dis rien WILD-WOLF. Tu n’as pas l’image ? »
- « J’ai mieux que cela… Je suis avec BLONDE-FRISEE. »
- « Veinard ! Pince-lui les seins ! Fais-lui mal ! » insista VICELARD
Nathan remplaça Alice et se mit, à son tour à écraser ses tétons. Il avait l’impression de lui faire très mal, mais en réalité, il serrait beaucoup moins fort qu’elle.
- « Malaxe ses mamelles, presse-les l’une contre l’autre ! » reprit l’internaute.
- « Ça vous plait ? » demanda BLONDE-FRISEE.
- « Oui, mais maintenant, tu vas bien nous montrer ton cul ! Tu vas retirer ta jupe, ta culotte, et te mettre à quatre pattes devant la webcam » reprit VICELARD. « WILD-WOLF va écarter tes fesses pour bien nous montrer ton petit trou ! »
Nathan se rendit compte que la jeune étudiante adorait être dirigée. VICELARD n’avait même pas eu besoin de répéter ses ordres. Elle avait tout de suite enlevé sa jupe et retiré son string. Il s’approcha et caressa doucement ses fesses avant de les écarter.
- « Hum, montre-nous bien le cul de cette petite salope ! » reprit l’internaute dont le pseudo était bien choisi. « Tu n’as pas un gode à lui enfiler ? »
- « Non » répondit WILD-WOLF.
- « Dommage ! Montre-nous sa chatte maintenant, qu’on puisse voir si elle est vraiment frisée… »
Nathan lui demanda de se retourner. Alice le fit avec grand plaisir. De temps en temps, elle regardait la queue de ces deux voyeurs qui avaient allumé leur webcam.
- « Ecarte ses poils, qu’on puisse voir sa moule baveuse ! » insista VICELARD. « Hum j’adore ! Elle mouille bien cette cochonne… Montre-nous son string ! »
WILD-WOLF ramassa le petit string écru et le mit devant la webcam. Les commentaires ne tardèrent pas.
- « Oh la salope ! Tu aimes, VOYEUR52 ? »
- « J’adore ! » répondit Hervé.
- « Lèche son string ! » ordonna VICELARD. « Passe bien ta langue sur la mouille ! »
Nathan ne se fit pas prier. Il respira d’abord le parfum de la lingerie, chose qu’il n’avait pas osé faire jusque-là, et passa sa langue à l’endroit où le string était le plus sale. Cette cochonne d’Alice n’avait pas l’air choquée du tout !
- « Maintenant, elle va te sucer ! » reprit VICELARD.
WILD-WOLF eut à peine le temps de prendre position devant la webcam. BLONDE-FRISEE avait déjà englouti son sexe. Elle le pompa un moment, puis s’arrêta et se remit au clavier.
- « Vous voulez que je vide sa queue dans ma bouche ? » demanda-t-elle.
- « Non, je veux qu’il la vide sur les poils de ta chatte ! » rétorqua VICELARD. « Après, tu te branleras avec son sperme jusqu’à ce que tu jouisses ! »
Les deux étudiants firent ce que le voyeur avait demandé. Nathan pénétra la chatte d’Alice et, quand il sentit que la jouissance arrivait, il se retira et se vida dans sa toison dorée. Comme à son habitude, il avait envoyé une grosse dose de semence.
Alice mit ses doigts dans le liquide gluant et l’étala consciencieusement. Elle masturba son clitoris avec frénésie, tandis que les deux voyeurs se branlaient en gros plan devant leur webcam. Quand elle arriva à l’orgasme, elle vit les deux queues se vider l’une après l’autre, ce qui décupla ses sensations. Tout le monde étant rassasié, ils sortirent du salon et coupèrent même la communication.
- « J’ai adoré » dit Nathan
- « Moi-aussi » avoua Alice. « On recommencera ? »
Il l’embrassa et la regarda partir sous la douche. Ce soir encore, elle ne pouvait pas rester, mais il avait passé un merveilleux moment.

à suivre...
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Messagepar GILLESBDX » Mar 9 Fév 2016 12:56

La soumission de BLONDINETTE



Quelques jours plus tard, Hervé avait prévenu Nathan que la chinoise chez qui il devait installer les dernières webcams était absente. Ils se retrouvèrent chez elle quelques minutes plus tard.
Le gardien n’avait pas eu l’occasion de revoir l’étudiant depuis la merveilleuse séance qu’il lui avait offerte avec Alice. Il le félicita pour sa conquête et lui demanda ironiquement s’il avait prévu de faire la même chose avec les trois autres filles qui se trouvaient chez Josiane.
- « Ça m’étonnerait ! » répondit Nathan. « Déjà, Josiane me fait la gueule depuis qu’elle a compris que je sortais avec Alice. D’ailleurs c’est embêtant car nous devons faire la soutenance d’un projet après-demain et elle m’adresse tout juste la parole.»
- « Et les deux autres ? »
- « Sandrine, la grande brune, s’entend plutôt bien avec Alice. Je ne sais pas comment elle réagirait si on lui proposait un truc à trois, mais ma petite coquine de BLONDE-FRISEE accepterait certainement. Elle est tellement cochonne… »
- « J’ai vu ! » commenta Hervé. « Tu as de la chance, tant mieux pour toi… Et la petite malgache ? »
- « Nora ? Oh elle est beaucoup plus réservée que les autres. Je me demande même comment elles avaient fini par la convaincre de se montrer devant la webcam le soir où elles étaient chez Josiane. Elles avaient dû pas mal picoler… »
- « C’est dommage, elle est vraiment mignonne. »
- « Oui, mais je me contente de ma blonde frisée… »
- « Elle ne vient pas te voir ce soir ? » demanda Hervé, intéressé.
- « Non, hélas ! Sa tante est malade, elle ne veut pas la laisser seule. Je ne l’ai pas revue depuis l’autre soir, à part à l’école. Elle m’a promis qu’elle se connecterait ce soir, mais pas avant 22 heures… »
- « J’y serai ! » affirma le gardien.
Effectivement, un peu après 22 heures, BLONDE-FRISEE se connecta sur le site. WILD-WOLF et VOYEUR52 étaient déjà là. Ils étaient déjà bien excités tous les deux, car ils venaient d’assister, sur leur écran, à une séance de masturbation d’Annabel ROSARIO, la nouvelle voisine argentine de Nathan. Ils avaient pu voir sa belle chatte, bien brune, largement écartée. Elle avait commencé par caresser doucement son clitoris qu’elle avait décapuchonné, puis elle était allée chercher un vibro-masseur dans sa salle de bain. L’objet vibrant avait remplacé ses doigts, puis elle l’avait introduit dans son vagin, tandis que le majeur de sa main droite reprenait sa caresse manuelle. Soudain, elle s’était raidie et s’était mise à crier. Nathan l’entendait à travers la cloison séparant leurs appartements. Un flot de liquide incolore jaillit alors de son sexe et inonda le sol devant elle. Annabel était une femme fontaine comme Nathan et Hervé en avaient rarement vu, même sur les sites pornographiques qu’ils fréquentaient.
Son orgasme semblait l’avoir épuisée. Elle se mit un moment à plat ventre sur le lit, leur offrant le spectacle de ses fesses rebondies et fermes, puis elle partit prendre une douche dont ils ne perdirent pas une miette. Ensuite, elle enfila un peignoir et se mit au travail à son bureau.
BLONDE-FRISEE envoya immédiatement un message à WILD-WOLF.
- « Coucou, ça va ? »
- « Oui ma chérie. Content que tu sois là… »
- « Je préférerais être avec toi. Sentir tes mains sur mon corps, mais bon…»
- « Ça va mieux ta tante ? »
- « Pas trop, non… Là, elle dort, mais elle a pas mal de fièvre. »
- « Tu as vu, VOYEUR52 est connecté… »
- « Oui, je sais… Il m’a déjà envoyé un message. »
- « Allume ta webcam, ma chérie ! »
Alice ne se fit pas prier. Nathan s’attendait à voir apparaître son visage, mais l’image qui s’afficha sur son écran était celle de sa belle chatte frisée, en gros plan. Cette fille était vraiment géniale !
- « Tu as vu comme je mouille bien pour toi ? » demanda-t-elle en écartant ses lèvres gonflées de désir.
- « Oui, tu veux voir comme je bande ? »
- « Bien sûr ! »
Il alluma la webcam à son tour et lui montra sa petite queue déjà bien raide. BLONDE-FRISEE lui demanda de se branler un peu, puis elle lui proposa d’ouvrir un salon privé où VOYEUR52 les rejoindrait. WILD-WOLF accepta avec enthousiasme.
Ils se chauffèrent mutuellement, puis WILD-WOLF avertit BLONDE-FRISEE qu’il venait de recevoir un message de BLONDINETTE.
- « C’est Josiane » dit-elle « Donne-lui le code du salon… »
- « Elle est plutôt soumise quand elle se connecte. »
- « Justement, on va s’amuser, tu vas voir… Surtout qu’elle ne sait pas que c’est nous. »
Nathan communiqua le code à Josiane et elle entra dans le salon immédiatement. BLONDE-FRISEE prit tout de suite la direction des opérations. Elle fit comme si elle ne savait rien sur celle qui les avait rejoints, mais adopta tout de suite un ton très autoritaire.
- « Salut BLONDINETTE. Décris-toi ! »
Josiane hésita une seconde. Elle ne savait pas du tout qui se cachait derrière le pseudo BLONDE-FRISEE, mais WILD-WOLF la connaissait, alors inutile de mentir.
- « Je suis brune, un peu ronde et je vais avoir 22 ans. »
- « Elle a une belle chatte poilue. Elle me l’a montrée la dernière fois » précisa WILD-WOLF ;
- « Allume ta webcam ! » demanda VOYEUR52.
Voyant qu’elle ne le faisait pas, BLONDE-FRISEE décida de se montrer plus ferme.
- « Je suis sure que tu adores obéir comme une vraie petite salope ! Je me trompe ? »
- « Non… »
- « Alors, allume cette webcam ! Et vite ! »
Cette fois, l’image de l’étudiante brune apparut à l’écran. La caméra était braquée sur ses seins.
- « Enlève ton soutien-gorge !» ordonna BLONDE-FRISEE
- « Oui, montre-nous tes grosses mamelles ! » insista WILD-WOLF.
Josiane dégrafa aussitôt son soutien-gorge et l’enleva. Ses seins lourds apparurent à l’écran.
- « C’est bien… Sois cochonne ! » reprit BLONDE-FRISEE. « Malaxe-les ! Je veux te voir écraser les pointes ! Vas-y, petite salope ! Tu vas faire tout ce que je te demande.»
Devant son ordinateur, Hervé se régalait. Décidément, la copine de Nathan était vraiment une bombe sexuelle. Et Josiane ne cessait de l’étonner. Jamais il n’aurait imaginé, en la voyant passer le matin devant sa loge avec son petit cartable, qu’elle puisse se libérer de la sorte devant son ordinateur.
- « Tu vas retirer ta culotte et nous montrer ta chatte en gros plan ! » poursuivit BLONDE-FRISEE. « Oui, comme ça ! Ecarte bien tes lèvres ! Montre ton clito ! »
BLONDINETTE avait décidé de faire tout ce qu’elle lui demanderait. C’était la première fois qu’une femme lui donnait des ordres. Elle ne se sentait pas particulièrement attirée par les filles, mais savoir que deux mecs l’observaient l’excitait au plus haut point.
- « Je veux que tu deviennes mon esclave sexuelle ! » continua BLONDE-FRISEE. « Tu promets de faire tout ce que je t’ordonnerai ? »
- « Oui » répondit BLONDINETTE.
- « D’accord ! Tu as un gode ? »
- « Non… »
- « Je veux te voir introduire des objets dans ta chatte ! Tu as des bananes ? »
- « Oui… »
- « Va en chercher une ! »
Nathan et Hervé la virent traverser l’appartement sur la webcam dont Alice ignorait l’existence. Elle prit une banane et revint devant l’ordinateur.
- « Epluche-la ! Enfonce-la bien dans ton vagin ! » ordonna BLONDE-FRISEE.
Encore une fois, les deux voyeurs se délectèrent du spectacle qu’elle leur offrait. Voir ce fruit bien vert entrer et sortir du vagin de l’étudiante était jouissif. Surtout que celle qui avait entrepris de la dominer lui demanda de lécher la banane enduite de ses secrétions, puis de la manger.
BLONDE-FRISEE envoya un message privé à WILD-WOLF.
- « Tu as envie de la baiser ? »
- « Pourquoi ? » s’étonna Nathan.
- « Laisse-moi faire… »
Elle reprit le dialogue public avec BLONDINETTE.
- « J’ai envie de te voir te faire baiser » lui dit-elle.
- « Par qui ? » s’inquiéta BLONDINETTE.
- « Par qui je voudrai ! » rétorqua sèchement BLONDE-FRISEE.
- « Mais ce n’est pas possible… Tu ne sais pas qui je suis, ni où je suis… »
Nathan sentit que Josiane était sur le point d’accepter la proposition d’Alice. En tous cas, l’idée de la baiser avec le consentement de sa copine l’excitait de plus en plus.
- « La porte d’entrée de ton appartement est fermée à clé ? » demanda BLONDE-FRISEE.
- « Oui… »
- « Alors va l’ouvrir ! »
Nathan vit qu’elle obéissait toujours. Sa géniale copine poursuivit.
- « Tu vas te bander les yeux et te mettre à quatre pattes devant ta webcam. Tu es toujours prête à m’obéir jusqu’au bout ? »
- « Oui… »
- « Alors, mets bien sa chatte devant la webcam ! Je vais envoyer quelqu’un te baiser… Interdiction de retirer ton bandeau ! »
- « Mais, tu ne sais pas où je suis… »
- « J’en sais beaucoup plus sur toi que tu ne crois, BLONDINETTE! »
L’étudiante se mit alors à paniquer un peu.
- « Qui es-tu ? » demanda-t-elle. « Je veux savoir ! »
- « Tu le sauras quand il t’aura baisée, c’est promis ! »
Voyant que Josiane reprenait la position qu’elle lui avait imposée, elle envoya un message privé à WILD-WOLF.
- « C’est bon mon chéri… Tu peux aller la baiser, je te l’offre ! »
Nathan descendit et entra dans le studio de Josiane avec une excitation extrême. Il la trouva dans la position qu’Alice lui avait imposée. Elle était nue, à quatre pattes devant sa webcam, avec un foulard noir en guise de bandeau. Il s’approcha et se mit derrière elle. Sur l’écran, une fenêtre montrait Hervé en train de se masturber. Il savait qu’Alice ne perdait pas une miette de ce qu’il était en train de faire. Elle le confirma par un bref message sur le salon.
- « Baise-la cette petite salope ! »
Il posa ses mains sur les fesses de Josiane et les écarta pour regarder son petit trou. Non seulement la jeune étudiante se laissait faire, mais elle avait même creusé les reins pour se cambrer davantage et écarté un peu plus les jambes pour lui offrir une meilleure vision sur son intimité. Il passa son doigt sur les lèvres humides du sexe qui suintait de désir, puis il la prit par les hanches et sa petite queue s’enfonça lentement en elle. Il commença à aller et venir. Son ventre claquait contre les fesses de Josiane qui gémissait doucement.
Une fois encore, il éjacula très vite, autant excité par la position de Josiane que par l’image, en gros plan, d’Alice qui se donnait du plaisir. Il se retira après l’avoir remplie de sperme et sortit aussi discrètement qu’il était entré.
Il retourna dans son appartement et se remit devant son ordinateur. BLONDINETTE semblait remise de ses émotions et avait retiré son bandeau. BLONDE-FRISEE lui avait envoyé un message.
- « Tu veux vraiment savoir qui je suis ? »
- « Oui, je veux comprendre… »
- « Coucou, Josiane… »
Alice avait rallumé sa webcam et était apparue brusquement. Sa copine en était restée bouche bée.
- « Quoi, c’est toi Alice ? »
- « Eh oui… »
- « Mais alors, ça veut dire que… »
- « Que celui qui vient de te baiser, c’est Nathan… Montre-toi, mon chéri »
Le jeune homme alluma la webcam à son tour et adressa un grand sourire à Josiane.
- « Oh, j’ai honte… » confia Josiane qui avait le sentiment de s’être fait piéger.
- « Honte de quoi ? » demanda BLONDE-FRISEE. « D’être une petite salope qui aime le cul ? Rassure-toi, si tu fais tout ce que nous te demandons, cela restera entre nous.»
BLONDINETTE coupa la communication, très perturbée par ce qui venait de se passer. BLONDE-FRISEE demanda à WILD-WOLF si la séance lui avait plu, puis elle coupa, elle-aussi, car sa tante venait de se réveiller.

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Messagepar GILLESBDX » Mar 9 Fév 2016 15:54

Séance à domicile



Deux jours plus tard, la soutenance du projet inter promotion eut lieu dans d’excellentes conditions. Nathan LEGOFF se montra une fois de plus très brillant et sa démonstration de hacking en direct impressionna la patronne de BEAUTY STORY et les profs membres du jury. Les slides préparés par Marine ASCARI et Charlène THEVENOT étaient très bien faits et Josiane avait bien travaillé sur l’ergonomie du Package AHK qu’ils présentèrent devant un jury enthousiaste.
La note exceptionnelle de 19,5 leur fut attribuée, chose qui ne s’était encore jamais produite depuis la création de l’école. La directrice de BEAUTY STORY proposa immédiatement à Marine ASCARI d’effectuer son stage dans son entreprise, afin de revoir la sécurité de tout le système informatique. Nathan resta un moment avec les professeurs pour discuter de son propre stage de fin d’études. Le professeur de Sécurité semblait déçu qu’il n’essaye pas d’intégrer un domaine aussi prestigieux que le Renseignement ou la Défense, mais l’idée de le voir participer à la création d’une entreprise où tout était à mettre en place enthousiasma le professeur d’Economie et de Gestion. Il évoqua la perspective de pouvoir proposer des stages à plusieurs élèves de première année pour l’aider à tout mettre en place. Cela lui conférerait également une expérience de Chef de Projet, ce dont les profs se félicitèrent.
Quand il rejoignit les trois filles, elles le remercièrent chaleureusement. En intégrant le groupe du geek de l’école, elles s’attendaient à avoir une bonne note, mais pas à ce point-là… Nathan eut droit à la bise de la part des trois filles. Il sentit même que Josiane aurait aimé lui donner un vrai baiser, mais, devant les autres, elle n’osa pas.
Depuis le soir où il était allé la baiser dans son appartement, elle avait complètement changé d’attitude avec lui. Elle admettait qu’il puisse lui préférer Alice et semblait se satisfaire de son rôle de soumise avec le couple. Ils avaient eu une explication tous les trois, et ils avaient convenu qu’ils ne feraient rien en public qui puisse laisser penser qu’ils exerçaient une domination sur Josiane. Par contre, le soir, ils pouvaient laisser libre cours à leur imagination.
Ce soir-là, justement, Alice avait prévu de venir passer la soirée avec Nathan. Sa tante commençait à aller un peu mieux et elle lui avait dit qu’elle irait chez une copine. Toute la journée, ils s’étaient chauffés en échangeant des texto évoquant ce qu’ils aimeraient faire faire à leur soumise. La petite coquine blonde ne manquait pas d’idées.
Nathan avait passé près d’une heure à s’occuper de connecter les nouveaux abonnés de leur commerce de plus en plus lucratif aux webcams installées. Ils comptaient désormais plus de 250 abonnements, la plupart étant pris pour un mois et pour un appartement complet. Ils avaient déjà engrangé plus de 7000 €uros et l’étudiant savait qu’il pourrait payer cash les 100 webcams commandées à son ami coréen. Il avait hâte de terminer le développement des programmes qui lui permettraient d’automatiser complètement la distribution des images, mais depuis qu’il connaissait sa BLONDE-FRISEE, il avait beaucoup moins de temps à consacrer au projet.
Alice arriva un peu avant 21 heures. Pour une fois, elle n’avait pas fait d’effort vestimentaire. Elle portait un vieux jean et un pull informe. Nathan la trouva tout de même très belle. Elle avait un petit sac de voyage qu’elle posa sur la table de l’étudiant avant de l’embrasser.
- « J’ai pris de quoi me changer et j’ai apporté quelques accessoires pour jouer avec notre soumise » dit-elle en désignant le sac.
- « Ouah, tu as trouvé ça où ? »
- « Je suis passée dans un sex-shop. Mais ça coûte la peau des fesses ces accessoires ! »
- « Ne t’inquiète pas ma chérie, je te rembourserai » la rassura Nathan.
- « Bon, j’emprunte ta salle de bain… Connecte-toi au site ! J’ai dit à Josiane d’être devant son écran à 21 heures précises. »
Nathan se connecta avec son pseudo habituel. BLONDINETTE était déjà connectée. Il commença à dialoguer avec elle, puis Alice le rejoignit. Elle était maintenant hyper sexy. Elle avait revêtu une tenue en vinyle rouge qui la moulait parfaitement. C’était une sorte de body avec une large échancrure qui laissait son sexe dénudé et deux ouvertures donnaient accès à ses seins. Elle portait des bas noirs et des escarpins rouges. Elle s’était maquillée soigneusement et avait vraiment l’air d’une dominatrice.
- « Elle est là ? » demanda-t-elle à Nathan, épaté par son changement de look.
- « Oui, elle est connectée. »
Alice vint s’asseoir sur les genoux de Nathan et alluma immédiatement la webcam. Elle commença très fort.
- « Salut ma petite pute… Tu n’es pas encore à poil ? Déshabille-toi, et vite ! »
Josiane se mit entièrement nue devant sa webcam. Alice lui ordonna de se caresser, puis elle décida de passer aux choses sérieuses.
- « Tu vas monter nous voir… Je veux que tu prennes l’ascenseur entièrement nue ! »
- « Mais… Et si je croise quelqu’un ? »
- « Eh bien tu te laisseras caresser ! Vite ! »
Nathan se demanda si elle allait oser le faire, mais, moins de deux minutes plus tard, sa voisine entra, entièrement nue.
- « C’est bien », la félicita Alice. « Alors, ça t’excite de venir faire la salope avec nous ? »
- « Oui, je l’avoue » répondit Josiane.
- « Mets-toi à quatre pattes ! »
Josiane obéit, une fois encore, et se mit face à Alice et Nathan.
- « Retourne-toi ! Montre ton cul ! »
Alice enfonça alors le talon de son escarpin dans l’anus de sa soumise, sous le regard étonné de Nathan, qui la découvrait de plus en plus dominatrice et perverse.
- « Dommage que cette séquence ne soit pas filmée » se dit-il.
La jeune fille blonde alla chercher une cravache dans son sac. Elle parcourut le dos de Josiane avec la boucle de cuir, puis lui en donna deux coups sur les fesses.
- « Tu aimes ça, hein salope ? Dis-le que tu aimes ça ! »
- « Oui, j’aime ça.… »
Elle lui redonna un coup, encore plus fort, qui laissa une marque rouge. Elle se leva de nouveau et alla chercher un gode d’une taille conséquente. Elle le tendit à Nathan.
- « Tiens, enfonce le dans sa chatte pendant que cette petite salope me bouffe le cul ! » dit-elle en venant se mettre à quatre pattes devant Josiane.
Nathan prit le gode et l’enfila doucement entre les lèvres du sexe de la soumise. Pendant ce temps, Alice avait pris place et se laissait lécher l’anus par sa copine. L’étudiant s’était maintenant mis nu et il bandait plus fort que jamais. Il n’aurait jamais imaginé, le soir où il avait envoyé un message pour la première fois, qu’elle l’entrainerait dans de telles aventures.
Au bout d’un moment, Alice se releva et ordonna à Josiane de se mettre sur le dos. Elle alla chercher deux pinces à linge et les fixa sur les pointes des seins de la brune qui grimaça. Elle s’accroupit au-dessus du visage de Josiane et lui fit lécher sa chatte.
- « Tu as un rasoir ? » demanda-t-elle soudain à Nathan.
- « Bien sûr » répondit l’étudiant.
- « J’ai envie qu’on lui rase la chatte… Va le chercher !»
Nathan alla dans sa salle de bain et revint avec un rasoir mécanique et une bombe de mousse à raser. Il fit sortir une petite boule du liquide parfumé et l’étala sur le pubis de Josiane. Rapidement, le mélange devint blanc et mousseux. Alice prit le rasoir et commença à retirer l’épaisse toison brune qui recouvrait le mont de vénus de la jeune fille. Elle retira le gode, toujours planté dans le sexe de Josiane et l’obligea à le lécher.
Pendant qu’elle terminait de rendre le pubis de Josiane parfaitement lisse, Nathan vint se faire sucer par leur victime. Alice reprit le gode et le remit dans la chatte de Josiane.
- « Maintenant, fais-toi jouir petite chienne ! » ordonna-t-elle.
Josiane prit le gode dans sa main gauche et le fit aller et venir de plus en plus vite dans son vagin. Sa main droite s’activa en même temps sur son clitoris. Alice se remit au-dessus du visage de Josiane et demanda à Nathan de venir la baiser. Le jeune homme la pénétra aussitôt et commença un va et vient en elle.
- « Lèche-lui les couilles pendant qu’il me pénètre ! » dit-elle à Josiane.
La brune obéit une fois de plus. Cette soumission l’excitait de plus en plus et elle jouit la première. Nathan ne tarda pas non plus à se vider dans le vagin étroit de sa blonde frisée. Du sperme coula sur le visage de Josiane, puis Alice vint carrément s’asseoir sur sa bouche.
- « Fais-moi jouir, salope ! Lèche bien le sperme de mon amant !»
Un peu dégoûtée par ce qu’elle lui demandait, Josiane passa tout de même sa langue entre les lèvres de sa copine et aspira son clitoris. Alice jouit au bout de quelques minutes sous le regard fasciné de Nathan.
Une fois leurs jeux terminés, Alice ordonna à Josiane de tout ranger et de nettoyer la maison. Elle la renvoya ensuite chez elle et elle dût reprendre l’ascenseur entièrement nue. La petite blonde frisée retira alors sa panoplie de dominatrice et alla s’allonger dans le lit de Nathan.
- « Maintenant, j’ai envie de tendresse » lui dit-elle. « Cette nuit, je reste avec toi… »
Nathan la rejoignit et se lova contre elle. Il l’embrassa avec beaucoup de douceur et se mit à la caresser en repensant à ce qu’ils avaient fait subir à Josiane. Alice était vraiment une bonne petite cochonne perverse. Il commençait même à se demander s’il n’allait pas lui parler des webcams installées dans la résidence…

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Messagepar GILLESBDX » Lun 15 Fév 2016 10:14

Réunion de voyeurs



Quand Li WAN CHU rencontra le groupe de voyeurs pour la première fois, il fut vraiment enthousiasmé par leur projet. Il leur promit qu’ils auraient 100 webcams dans moins d’une semaine. Christophe POLDANO expliqua que ses chaines de fabrication étaient prêtes à intégrer directement les webcams dans les bouches de VMC qu’il fabriquait. Par contre, il faudrait que le fournisseur coréen augmente sérieusement les cadences. La banque de Sébastien SAINT-SAUVEUR était prête à financer son développement. Kevin MONTFORT était prêt à équiper les logements de la résidence universitaire et il se voyait bien diriger l’activité « installation » de la société VMC-On-line. Gunther KLEINESACHE leur expliqua que deux sociétés avaient été créées. Une société VMC-On-line (Ventilation Mécanique Contrôlée), chargée de la fabrication, de l’installation et de l’exploitation des systèmes domotiques et une autre, beaucoup plus occulte VMC-On-line (Viens Mater du Cul). Toutes les deux avaient leur siège au Luxembourg, pays à la législation beaucoup plus favorable, et les paiements transitaient par une filiale de la Banque de Sébastien SAINT-SAUVEUR qui se trouvait à Jersey. L’ambiguïté créée par ces sigles identiques permettait de jongler facilement entre les comptes de l’une ou de l’autre. Tout avait été merveilleusement pensé.
Lionel DELAGE était en train de recruter le personnel qui travaillerait pour VMC-On-line. Hervé CIVRAC dirigerait le centre de surveillance des webcams et Hervé LEGOFF deviendrait directeur informatique à l’issue de son stage. Il pourrait lui-même décider des stagiaires qu’il utiliserait pour mettre en place le système qui allait gérer cette gigantesque banque d’informations et surtout d’images.
Alice avait fait un IUT Informatique avant son école d’ingénieur. Elle était donc plutôt douée pour la programmation, ce qui devait être également le cas de sa copine Sandrine, qui avait suivi le même cursus. Josiane était une travailleuse. Il avait pu le vérifier lors du projet inter promotion. Quand à Nora, elle était tellement mignonne qu’il la prendrait, ne serait-ce que pour le plaisir des yeux.
Les webcams déjà installées fournissaient des images qui avaient un succès grandissant. Hervé avait vu juste. La chinoise du premier étage était une sacrée petite salope. Elle rentrait avec un mec différent presque tous les soirs. Depuis que son studio était équipé, les internautes avaient pu la voir se faire pénétrer par une dizaine de queues différentes. Un soir, elle était même rentrée avec deux mecs et ils l’avaient prise l’un après l’autre. Sa petite chatte, entièrement épilée, était couverte de sperme. Hervé, qui était devant son écran ce soir-là, l’avait vue jouir quatre fois de suite. Il en avait parlé à Nathan qui, trop occupé par ses jeux avec Alice et Josiane, n’avait pas vu les images. Heureusement, il les avait retrouvées très facilement sur son disque dur et avait pu visionner ces orgasmes multiples en différé. Il avait bandé comme un âne en regardant la chinoise, très mignonne, prendre son pied.
Après la réunion avec les voyeurs, Nathan LEGOFF rentra chez lui en compagnie d’Hervé CIVRAC. En arrivant dans la résidence, ils trouvèrent Josiane assise devant la loge.
- « Qu’est-ce que tu fais là ? » demanda Nathan.
- « J’ai perdu la clé de chez moi » répondit Josiane.
- « Ne t’en fais pas, j’ai un double de toutes les clés » la rassura Hervé. « Je vais aller t’ouvrir… »
L’étudiante le remercia. Elle lui laissa le temps d’aller chercher la clé et ils montèrent jusqu’au 4ème étage. Le gardien lui ouvrit la porte et lui proposa de garder la clé jusqu’à ce qu’elle ait fait refaire un double.
- « Cela mérite une petite récompense » intervint Nathan. « Tu vas lui faire une petite pipe… »
- « Mais Nathan… »
- « Ne discute pas, petite salope ! » poursuivit celui qui l’avait dominée quelques jours plus tôt avec Alice.
Ils pénétrèrent dans son studio et Nathan referma la porte d’entrée.
- « Fous-toi à poil ! » ordonna-t-il.
Josiane retira sa jupe et son chemisier, puis son collant. Elle ne portait plus qu’un soutien-gorge et un slip de couleur blanche.
- « Enlève tout, cochonne !» insista Nathan.
La jeune femme retira son soutien-gorge, puis sa culotte.
- « Donne ta culotte !» ordonna l’étudiant.
Parfaitement gênée, Josiane lui tendit la culotte encore chaude. Nathan posa ses narines sur l’entrejambe, puis la passa à Hervé qui en fit autant. L’étudiante était horriblement gênée.
- « Elle sent le pipi, tu ne trouves pas ? » demanda Nathan.
- « Oui, cette petite cochonne doit avoir envie… »
- « Hum… On va la faire pisser devant nous. Mais d’abord, elle va nous sucer »
L’un après l’autre, ils vinrent se faire sucer par la jeune femme, puis Nathan alla chercher un verre dans la cuisine. Il le tendit à Josiane et lui ordonna de faire pipi dedans. Elle rougit, mais mit le verre devant son sexe, désormais glabre.
Ce ne furent d’abord que quelques gouttes qui s’écoulèrent, puis un jet puissant et continu remplit le verre. Nathan et Hervé, qui n’avaient cessé de se masturber en la regardant, vinrent jouir l’un après l’autre dans l’urine chaude. Des filets de leurs spermes troublèrent le liquide clair.
- « Bois tout, petite chienne ! » ordonna Hervé.
- « Oui… Avale ta pisse et notre jus ! » renchérit Nathan.
Josiane les regarda avec un air implorant, mais pour toute réponse, ils lui pincèrent les seins. Elle ferma les yeux et avala lentement le breuvage peu ragoûtant. Elle n’en laissa pas une goutte…
Les deux hommes se rhabillèrent et quittèrent l’appartement, laissant l’étudiante agenouillée sur le sol. Ils savaient tous les deux que ce qui venait de se passer avait été vu par les internautes abonnés aux webcams située chez Josiane. Cet épisode allait encore augmenter le nombre d’adhésions, mais ils avaient surtout passé un bon moment.
- « C’est ta BLONDE-FRISEE qui l’a rendue aussi cochonne » confia Hervé.
- « Oui, je suis tombé sur une fille géniale » répondit Nathan.
- « Quand est-ce que tu me la fais baiser ? »
- « Qui ? Alice ? Mais quand elle veut… »
- « Hum, vivement qu’elle vienne te voir ! » ajouta le gardien.
- « Elle vient demain… Mais j’ai de plus en plus de mal à m’occuper des abonnements aux webcams quand elle est là… »
- « Si tu veux l’envoyer coucher chez moi, c’est avec plaisir » plaisanta Hervé.
- « Chiche ? »
Ils se séparèrent enfin, la tête remplie d’images de stupre et de luxure. Hervé s’imaginait déjà la tête entre les cuisses d’Alice, le nez dans sa toison luxuriante. Nathan pensait à Josiane en train de boire le verre de pisse et de sperme. Que de chemin écoulé depuis le soir où il osait à peine poser la main sur sa cuisse ! Tout cela grâce à sa BLONDE-FRISEE…
Cette fois, il était décidé. Il lui parlerait des webcams.

à suivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 15 Fév 2016 17:07

Confidences



Le lendemain soir, Alice vint chez Nathan comme elle l’avait prévu. Après les cours, elle était passée chez sa tante et s’était changée. Elle portait une jupe blanche assez courte et un haut blanc parfaitement indécent sur lequel elle avait tout de même enfilé une veste en jean. Des chaussures blanches parachevaient l’ensemble et la faisaient paraître un peu plus grande.
- « Tu es très mignonne, comme ça » la complimenta Nathan.
- « Merci, mais je n’ai pas l’intention de garder tout ça » répondit-elle en commençant à se déshabiller, à peine entrée.
Comme d’habitude, elle ne portait ni culotte ni soutien-gorge. Elle se mit entièrement nue, ne conservant que ses escarpins blancs.
- « Hum, comme tu es belle ! Viens… » dit Nathan en essayant de l’entrainer vers le lit.
- « Attends, petit cochon ! Alors comme ça, hier soir tu es allé jouer avec Josiane sans moi ? »
- « Comment le sais-tu ? Elle te l’a dit ? »
- « Oui, elle m’a raconté ses déboires avec la clé… Je ne savais pas que tu aimais les jeux de pipi… »
- « C’est une idée qui m’est passée par la tête » répondit l’étudiant avec un air gêné. « Pourquoi, ça te choque ? »
- « Au contraire » répondit Alice en souriant. « J’ai très envie d’y jouer moi-aussi… Va me préparer à boire ! »
Nathan se leva et alla lui préparer une grande boisson fraiche. Elle but tranquillement en faisant tinter les glaçons dans son verre.
- « Ça m’excite bien de savoir que tu domines Josiane même quand je ne suis pas là » reprit-elle. « Mais je suis presque aussi voyeuse qu’exhibitionniste, alors j’aurais aimé la voir sucer deux queues et boire son verre de pisse et de sperme… »
- « C’est vrai ? Si je t’avoue quelque chose, tu me promets que tu n’en parleras jamais à personne ? »
- « Oui, bien sûr… »
- « J’ai besoin d’être sûr, car je pourrais avoir de gros ennuis si tu en parles. Tu me le jure ? »
- « Oui, gros nigaud… Je te le jure ! »
- « Eh bien j’ai mis des webcams à son insu chez Josiane… »
- « C’est génial ! Tu me montres ? »
- « Toi alors, tu m’étonneras toujours… Rien ne te choque. »
- « Pas grand-chose en effet » avoua Alice. « Montre-moi Josiane ! »
Nathan réactiva son ordinateur qui était en veille et afficha les trois fenêtres correspondant à l’appartement de Josiane. Elle était dans la cuisine en train de faire la vaisselle. Elle portait un tee-shirt et une culotte brodée.
- « La qualité d’image est exceptionnelle ! » fit remarquer Alice. « Tu crois que je pourrais la voir depuis chez moi ? »
- « Bien sûr ! » répondit Nathan. « Il suffit que je connecte ton ordi… »
- « Super ! Dommage que je ne l’ai pas vue en train de boire sa pisse… »
- « Tu veux la voir ? Toutes les images sont stockées sur mon gros disque dur… »
- « Oh oui ! S’il te plait mon chéri » s’enthousiasma Alice.
Il ne fallut pas plus de quelques clics à Nathan pour retrouver les images de la scène. Sa petite coquine blonde les regarda avec attention.
- « Il est chaud le gardien de la résidence » fit-elle remarquer.
- « Oui, et il te connaît… »
- « Ah bon ? »
- « C’est lui VOYEUR52. »
- « Ah d’accord ! Il a déjà vu ma chatte alors… »
- « Oui, c’est grâce à lui que je peux installer des webcams… Il y en a dans cinq appartements. »
- « Ouah, c’est génial ! »
- « Et tu sais, on a le projet d’en installer beaucoup plus. »
Nathan lui expliqua comment il avait commencé à installer les premières webcams, puis il lui parla du forum où il avait rencontré d’autres voyeurs et du commerce lucratif qu’ils avaient mis en place.
Alice s’inquiéta des risques qu’il prenait, mais elle vit qu’il avait tout de même pris pas mal de précautions. Nathan lui parla alors des possibilités de stage qu’il avait évoquées pour elle et ses copines.
- « Grace à cette double Raison Sociale, le doute est total. Vous faites votre stage dans une honnête société qui fabrique et exploite un réseau domotique. J’ai vraiment besoin d’un peu d’aide pour aller plus vite… Evidemment, tu seras la seule à savoir réellement à quoi sert ce que vous développez.»
- « Les filles vont adorer ! Mais tu sais, nous ne sommes pas des geeks comme toi… Josiane m’a parlé de ce que tu es capable de faire. »
- « Ne t’en fais pas, ce sont des développements simples. J’ai déjà développé tous les modules techniques. La gestion des connexions, le cryptage et le compactage des données, l’indexation… tout cela marche à merveille. C’est juste que, pour le moment, je gère ça sur un simple PC et qu’il faut transposer le système vers un Data Center qu’on va monter… »
- « Carrément ! »
- « Oui, on voit grand pour l’avenir. Moi, il me reste pas mal de boulot pour finir la gestion automatisée des abonnements des voyeurs, alors si vous pouvez m’aider un peu… Et puis je sais que tes copines ont du mal à trouver un stage… »
- « Tu es génial mon chéri. » dit Alice en venant se frotter contre lui. « Mais avec tout ce que j’ai bu, tu sais que je commence à avoir sacrément envie de faire pipi ? »
- « Hum… »
- « Tu veux que je descende faire pipi sur notre soumise ? » proposa-t-elle avec un regard vicieux.
- « Petite cochonne ! Ça ne te dérange pas de pisser en direct devant des dizaines d’internautes ? »
- « Au contraire ! Si tu savais comme ça m’excite… On va passer chercher ton ami le gardien… »
Alice se rhabilla et ils descendirent jusqu’à la loge. Hervé était justement en train de regarder les webcams. Il n’avait rien trouvé de particulièrement intéressant et accepta avec enthousiasme la proposition que lui fit le jeune couple.
Ils arrivèrent chez Josiane qui fut, évidemment, surprise de les voir débarquer tous les trois. Alice prit tout de suite la direction des opérations.
- « Salut ma petite soumise adorée… On est venus jouer un peu avec toi…»
- « Bonsoir Alice » répondit simplement Josiane.
- « Pour commencer, déshabille-toi ! » ordonna celle qui prenait un plaisir croissant à la dominer.
Josiane s’exécuta. La petite blonde frisée se mit aussitôt nue et vint lui faire lécher sa chatte.
- « Oui, c’est bon… Passe bien ta langue ! Mais, montre-moi… Tu as laissé repousser les poils de ta chatte ? »
Effectivement, Josiane n’avait pas continué à raser son pubis. Une toison noire, plus courte que la précédente commençait à recouvrir de nouveau son mont de Vénus.
- « On te rasera tout à l’heure, mais pour le moment j’ai une envie folle de pisser. Ouvre ta bouche de petite pute ! »
Une fois encore, l’étudiante soumise obéit sans protester. Elle se mit à quatre pattes et ouvrit la bouche. Alice se mit juste au-dessus d’elle. Un jet dru et presque transparent jaillit entre les lèvres de Josiane qui recracha le liquide doré.
- « Avale tout, salope ! »
Josiane déglutit et but l’urine de sa copine.
- « Venez la baiser ! » ordonna celle qui adorait la mettre en scène.
Hervé fut le plus prompt à réagir et vint se mettre derrière Josiane. Sa queue était bien raide et il l’enfonça aussitôt dans le vagin de la jeune fille.
- « Essayez de la prendre tous les deux » demanda Alice.
Nathan vint se mettre au-dessus d’elle et plia les genoux pour que sa petite queue s’approche du petit trou sombre qu’il voyait entre les fesses écartées par Hervé.
- « Non, pas la sodo… » protesta Josiane.
- « Ta gueule et bois ! Nathan a une petite bite, il ne te fera pas mal… »
Elle n’osa plus protester et sentit entrer en elle le sexe fin mais bien dur de son voisin. Elle gémit de douleur, mais bientôt cela se transforma en râles de plaisir. Les deux queues qui avaient coordonné leurs mouvements lui faisaient vraiment du bien. Ils se vidèrent l’un après l’autre en elle et elle fut inondée d’un déluge de sperme. Alice n’avait plus envie de pisser et lui demanda de se retourner. Elle voulait voir cette chatte et ce cul remplis, et surtout les montrer aux internautes. Les abonnements allaient encore monter en flèche…
Comme elle l’avait annoncé, Alice rasa la chatte de Josiane avant de partir. Dans l’ascenseur, Hervé lui proposa de venir finir la nuit avec lui, mais elle déclina son offre, lui promettant qu’elle irait une autre fois. Le gardien se contenta de cette belle promesse.
Ils rentrèrent sagement se coucher, prêts à beaucoup de tendresse comme après chacun de leurs excès. Avant de s’endormir, Alice posa à Nathan une question inattendue.
- « Tu crois que tu pourrais mettre une webcam dans la chambre de ma tante ? »

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 19 Fév 2016 09:25

La tante d’Alice



Lorsque la livraison des webcams arriva enfin, elles furent entreposées dans un local sécurisé qu’Hervé CIVRAC avait mis à disposition dans la résidence. Il avait annoncé à tous les étudiants, par un affichage dans le hall d’entrée, qu’une révision de la VMC devait avoir lieu. Il avait précisé que les résidents n’avaient pas besoin d’être présents et il leur demandait de laisser l’accès de leur appartement à un technicien.
Il ne fallut pas plus de trois jours à Kevin MONTFORT pour équiper la trentaine de logements occupés par des filles. Nathan avait mis au point un système qui connectait automatiquement les webcams à son application stockant et distribuant les images. Avec désormais plus de cent webcams en ligne, le volume de données à stocker devenait de plus en plus conséquent. Il lui faudrait bientôt un nouveau disque dur de grande capacité, mais son ami coréen, Li WAN CHU, avait décidé de s’investir de plus en plus dans le projet. Il était en train de former un de ses compatriotes pour reprendre la gérance de son magasin. Il entendait se consacrer presque complètement à la construction de ce Data Center dont il avait parlé avec Nathan.
Il avait même prévu d’aller en Corée avec Christophe POLDANO et Gunther KLEINESACHE pour négocier le rachat de l’entreprise qui fabriquait les webcams. Christophe POLDANO envisageait de délocaliser la fabrication de ses équipements domotiques dans la banlieue de Séoul. La société VMC-On-line prenait vraiment une dimension internationale.
Nathan avait récupéré deux des webcams pour les installer chez la tante d’Alice quand elle n’était pas là. Il trouvait surprenant que sa blonde frisée veuille espionner celle qui l’hébergeait, mais il ne posa pas de question. La webcam de la salle de bain lui permettrait au moins de voir sa belle quand elle n’était pas chez lui.
Elle venait d’ailleurs de plus en plus souvent et s’était étonnée que sa tante qui, il y a encore quelques semaines, était réticente à voir sa nièce sortir le soir, la pousse de plus en plus souvent à découcher. Elle avait dû trouver un mec, se disait Alice.
La première fois que la webcam de la chambre signala une présence, Nathan était avec Alice. Il s’était imaginé que la tante de sa copine était une vieille dame aux cheveux grisonnants, mais pas du tout. Sur son écran, il vit apparaître une superbe femme rousse qui avait l’air très jeune.
- « C’est ta tante ? » demanda-t-il incrédule.
- « Oui, je te présente Cathy, la petite sœur de mon père… »
- « Mais elle est vachement jeune ? »
- « Elle a douze ans de moins que mon père. Elle vient d’avoir 36 ans… Elle a divorcé il y a deux ans. Son mari était un vrai con. Depuis, on ne l’a jamais revue avec un mec…»
- « En plus, elle est vachement mignonne ! » insista Nathan.
- « Oui, elle est prof de fitness. Elle a un corps superbe… »
Sur l’écran, ils la virent en train de ranger le désordre qui régnait dans sa chambre. Elle portait un leggin blanc qui moulait parfaitement ses fesses musclées. Quand elle se pencha en avant pour remettre en place un oreiller, Nathan put apercevoir ses seins dans le décolleté de son sweat-shirt. Elle ne portait pas de soutien-gorge et avait une poitrine aussi parfaite que celle de Marine ASCARI.
- « Elle doit avoir un rencard » confia Alice. « Elle a vachement insisté pour savoir si je rentrais ce soir… »
Elle termina le rangement, puis sortit de la pièce. Environ cinq minutes plus tard, ce fut l’alarme de la webcam de la salle de bain qui leur signala sa présence. La tante d’Alice se fit couler un bain. Pendant que l’eau tiède remplissait la baignoire et faisait gonfler la mousse, elle retira son sweat-shirt. Quelle poitrine de rêve !
Ce fut ensuite le tour du leggin blanc. Dessous, elle portait un minuscule string, blanc lui-aussi, qu’elle conserva un long moment. Finalement, elle l’ôta et ils purent voir furtivement la petite bande de poils roux qu’elle avait conservée, avant qu’elle ne se glisse sous la mousse.
La voir se savonner était un spectacle très excitant. Nathan commençait à bander sérieusement. Alice s’en rendit compte et posa la main sur son sexe.
- « On dirait qu’elle te fait de l’effet ma tante ? » demanda-t-elle.
- « Et comment ! Elle est superbe… »
- « Oui, j’ai hâte de la voir se faire baiser » confia sa perverse copine.
Après s’être relaxé un moment dans l’eau tiède Cathy sortit enfin. Des traces de mousse restaient sur ses seins et sur son pubis. Elle les essuya soigneusement pour le plus grand plaisir des deux voyeurs. Elle enfila ensuite un grand peignoir blanc et sortit de la pièce après s’être séché les cheveux et avoir vidé la baignoire.
- « Le mec qui vient la voir a bien de la chance… » confia Nathan.
- « C’est vrai qu’elle est belle. » répondit Alice un peu jalouse « Mais elle n’est peut-être pas aussi cochonne que moi » ajouta-t-elle en prenant le sexe de Nathan dans sa bouche.
- « Il faut reconnaître que tu es difficile à battre ! » fit remarquer l’étudiant. « Je t’adore… »
Alice se releva et vint l’embrasser avec beaucoup de fougue. Pendant un moment, ils se frottèrent l’un contre l’autre, puis Cathy reparut sur l’écran de la chambre. Elle s’avança vers le lit et laissa glisser son peignoir, découvrant sa croupe incendiaire. Elle se mit alors sur le lit et fit un geste en direction de la porte.
- « Viens… » dit-elle doucement.
- « Ah, on va enfin savoir avec qui elle avait un rencard » glissa Nathan.
- « Je parie pour un grand black avec une queue énorme » répondit Alice.
- « On va voir… »
Ils n’eurent pas le temps d’en dire plus. Ils virent s’avancer une blonde aux cheveux courts aux formes aussi parfaites que la belle rousse.
- « Merde alors, elle est devenue gouine ! » s’exclama Alice.
- « Pourquoi, ça te dérange ? »
- « Non, mais si j’avais su, il y a longtemps que je serais allée la rejoindre dans son lit… »
- « Coquine ! »
La magnifique blonde s’avança et se retourna enfin.
- « Eh, mais c’est Johanna, la fille qu’elle a embauchée pour travailler avec elle… »
Johanna venait, en effet, de rejoindre Cathy dans son club de fitness. C’était une jeune femme blonde à peine plus petite que sa patronne. Elle venait d’avoir 26 ans et elles s’étaient tout de suite entendu à merveille. Johanna était nue, elle aussi. Elle vint s’allonger aux côtés de Cathy et commença à caresser doucement son corps. Elle posa ses mains sur les épaules de la belle rousse qui ferma les yeux. Ses doigts descendirent le long de la colonne vertébrale et atteignirent les fesses. Elle les pétrit longuement, puis reprit son chemin le long des jambes fuselées de Cathy, jusqu’à ses pieds, qu’elle lécha avec beaucoup de gourmandise.
Nathan se dit qu’il aurait bien aimé être à la place de la belle blonde. Cathy se retourna et écarta largement les cuisses. Johanna passa la langue sur la pointe de ses seins, puis descendit vers son nombril. Ses doigts se mirent à s’activer sur le clitoris bien dégagé de sa patronne. Le jeune étudiant zooma. La vue était superbe.
La bouche de Johanna remplaça ses mains, offrant à Cathy un merveilleux orgasme. Dès qu’elle eut récupéré, la tante d’Alice lui rendit la pareille et la fit jouir et aspirant son clitoris très proéminent avec une gourmandise qui en disait long sur son envie.
Cathy se leva ensuite et alla chercher un double-gode dans le tiroir de sa commode. Toutes les deux se mirent face à face sur le lit, cuisses écartées. Leurs pieds se touchaient et le double-gode était posé entre elles. Johanna le prit et enfila une des extrémités entre les lèvres de sa chatte. Cathy se rapprocha légèrement et en fit autant. Grace à leur souplesse extraordinaire, elles avancèrent leur bassin l’un vers l’autre, faisant s’enfoncer doucement l’accessoire en elles. A la fin, elles avaient réalisé un double grand écart et leurs pubis se touchaient. Elles donnaient des coups de reins rageurs et jouirent presque simultanément.
- « C’est une position réservée aux spécialistes du fitness et du stretching ! » plaisanta Nathan.
- « Qu’elle ne compte pas sur moi pour essayer ! » répondit Alice.
Après cet orgasme spectaculaire et acrobatique. Elles restèrent un moment dans les bras l’une de l’autre sans bouger, puis elles retirèrent enfin le gode de leurs chattes. Il était brillant de leur mouille.
Elles passèrent dans la salle de bain, en profitant pour prolonger leurs caresses et leurs baisers, puis Johanna rentra chez elle. Cathy passa le reste de la soirée à regarder la télévision, comme une femme bien sage pour laquelle tout le monde la prenait.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 19 Fév 2016 10:35

Joyeux anniversaire



Désormais, le commerce des images volées avait atteint un rythme de croisière. Grace à un produit d’appel dont Nathan avait eu l’idée, les abonnements étaient montés en flèche. Il proposait, en effet, le Zapping. C’était un abonnement qui permettait de passer d’une webcam à l’autre pendant une durée d’une semaine. 80% de ceux qui avaient essayé cette formule souscrivaient un abonnement et, généralement, pour plusieurs appartements.
Une autre innovation commençait à porter ses fruits : le parrainage. A chaque fois qu’un abonné avait parrainé cinq personnes, il se voyait offrir une semaine d’abonnement gratuite à trois webcams. Le site permettait également, désormais, aux voyeurs de noter les webcams. Celles qui étaient dans le Top 5 enregistraient, en général un doublement des abonnements dans les jours qui suivaient. On comptait désormais plus de 4000 abonnés
Nathan remarqua que la webcam de la cuisine de Josiane était en tête, grâce aux séances que lui imposait sa BLONDE-FRISEE. Sans surprise, il retrouva la webcam de la cuisine de l’étudiante chinoise et celle de Marie-Amélie, la belle black, juste derrière. Par contre, en quatrième position, il trouva la webcam d’une étudiante à laquelle il n’avait pas prêté attention. Hervé lui apprit qu’elle se prénommait Laurence.
Pendant quelques jours, il regarda les images enregistrées chez elle. C’était une fille qui ne payait vraiment pas de mine, mais quelle cochonne ! D’abord, une fois chez elle, elle se promenait toujours entièrement nue. Ensuite, elle semblait avoir toujours envie de jouir et se masturbait plusieurs fois par jour. Elle introduisait régulièrement des objets divers et variés dans sa chatte et dans son anus. Une cuillère de bois prise dans la cuisine, le manche de sa brosse, des légumes, allant de la carotte à la courgette. Ses orgasmes étaient grandioses et elle adorait faire pipi dans la douche. Elle semblait ne recevoir personne, mais son appartement avait rapidement fait partie des plus suivis.
La salle de bain de Marine ASCARI avait encore un franc succès. Ce n’était qu’à l’ occasion des visites de Charlène THEVENOT qu’il se passait vraiment quelque chose chez elle, mais elle était tellement belle que le simple spectacle de la blonde superbe, prenant sa douche le matin, suffisait à lui assurer la cinquième place du classement.
Pour les élèves de 3ème année de l’école d’ingénieur, les cours étaient terminés. Tous étaient partis en stage. Nathan était un stagiaire d’un genre particulier. Officiellement, il était stagiaire dans l’entreprise VMC-Online. En réalité, il exerçait la fonction de Directeur Informatique de la boite.
Ce jour-là, Alice lui avait demandé de lui laisser la clé de son studio car elle voulait lui préparer une surprise pour son anniversaire. Nathan les lui laissa bien volontiers. Il avait une totale confiance en elle.
L’étudiant passa un coup de téléphone, cinq minutes avant de rentrer, comme le lui avait demandé Alice qui voulait que tout soit prêt. Il frappa à la porte comme elle l’avait demandé. Aussitôt, une musique retentit et il entendit un bouchon de champagne sauter. Il ouvrit enfin avec un sourire au coin des lèvres. Alice se tenait devant lui, entièrement nue. Elle lui tendit une des deux coupes de champagne et trinqua avec lui avant de l’embrasser.
- « Regarde ton cadeau… » dit-elle en souriant.
Nathan vit alors Sandrine, la copine de sa petite blonde, sortir de la salle de bain. Elle était, elle-aussi, entièrement nue. Elle prit une coupe de champagne et vint trinquer avec Nathan, avant de l’embrasser à son tour.
- « Joyeux anniversaire … » dit Alice.
- « Hum, c’est gentil » répondit le jeune homme.
- « J’aurais voulu t’offrir aussi Nora, mais décidément, elle est trop coincée » ajouta sa copine.
- « Tu aimes la chantilly ? » demanda Sandrine.
- « Oui, j’adore ! »
Sandrine prit alors la bombe posée sur la table et couvrit ses seins de crème mousseuse. Nathan ne tarda pas à goûter. La poitrine de la belle brune ne le laissait pas indifférent. Du 95D au moins… Avec sa langue, il dégusta la chantilly qui recouvrait le sein droit, tandis qu’Alice en faisait autant avec l’autre.
Une fois qu’ils eurent bien nettoyé les seins de Sandrine, Alice la fit allonger sur la table. Elle prit deux grosses bougies, en planta une dans la chatte et l’autre dans son anus. Avec un briquet, elle les alluma.
- « Joyeux anniversaire, mon chéri… » redit Alice.
- « Quel beau cadeau ! » répondit Nathan en allant souffler les bougies.
Il fit ensuite coulisser les deux bougies dans les orifices de Sandrine. Pendant ce temps, Alice découpa le gâteau onctueux et crémeux qu’elle avait acheté dans une pâtisserie du quartier. Elle mit une part dans une assiette en carton et demanda à sa copine de s’asseoir dessus. Sandrine avait l’habitude des idées bizarres d’Alice et ne posa pas de question. Les fesses de la brune écrasèrent la pâtisserie. Elle s’allongea de nouveau et écarta largement les cuisses. Elle en avait partout ! Sa toison brune était maculée de crème et des morceaux de gâteau étaient écrasés à l’entrée de son vagin et sur son cul.
- « Régale-toi, mon amour… » dit la blonde à Nathan.
Le jeune homme mit sa tête entre les cuisses de Sandrine et commença à la lécher. Alice, dont l’imagination ne semblait pas avoir de limite, prit une autre assiette et la posa sur le sol. Elle piétina la part de gâteau, puis vint faire lécher ses pieds enduits de crème à Sandrine. Elle prit ensuite la bouteille de champagne et en versa sur le sexe de sa copine que Nathan léchait toujours.
Sandrine avait promis à Alice qu’elle accepterait tous ses délires. Elle ne dit rien. La petite blonde n’était pas rassasiée.
- « Baise-la ! » dit-elle à Nathan. « Je veux lui bouffer la chatte pleine de ton sperme ! »
Nathan fit entrer sa petite queue entre les lèvres boursoufflées de Sandrine et commença un va-et-vient forcené. Alice se masturbait en les regardant. Dès qu’il eut rempli le vagin de sperme, elle vint lécher la semence de son amant. Sandrine connut alors un orgasme dévastateur.
Décidément la copine de sa petite blonde frisée était presque aussi cochonne qu’elle ! Alice la connaissait depuis le lycée et elles avaient fait leur IUT ensemble. Progressivement, elles étaient devenues très complices. Sandrine était d’abord très sage, mais elle s’était laissé entrainer dans les délires érotiques de sa copine. Par contre, c’était la première fois qu’elles se retrouvaient avec un mec.
- « Merci les filles ! C’était sublime... »
- « Oh, tu sais, la soirée n’est pas terminée » répondit Alice. « Tu as un jeu de cartes ? »
- « Oui, tarot ou belote ? »
- « Peu importe, je n’ai pas besoin de tout le jeu… »
Nathan alla chercher un jeu de carte. Alice se contenta d’extraire deux piques et deux cœurs.
- « Je vous explique… C’est très simple. On va tirer chacun une carte. Si c’est un pique, cela signifie que celui qui a tiré la carte est dominant. Si c’est un cœur, il est dominé… Cela vous convient ? »
- « Oui » répondirent en chœur Sandrine et Nathan.
Alice mélangea les cartes et les disposa, face retournée, sur la table. Chacun en choisit une. Sandrine retourna un cœur. Alice prit un pique. Deux possibilités restaient donc pour Nathan. Il retourna enfin sa carte. C’était également un cœur…
Alice allait donc les dominer tous les deux… Pour commencer, elle les fit mettre à quatre pattes. Elle alla chercher le martinet qu’elle utilisait d’habitude pour Josiane et le fit claquer sur les cuisses de Sandrine.
- « Tu as encore du gâteau plein le cul ! » dit-elle. « Fais-le nettoyer par la langue de Nathan ! »
La brune présenta son postérieur face à l’étudiant qui dut passer sa langue entre les fesses et lécher soigneusement l’anus de Sandrine. Alice l’encouragea.
- « C’est bien… Bouffe-lui bien le cul ! »
Il eut droit, lui-aussi à quelques coups de martinets, puis Alice ordonna à Sandrine de lui gober les couilles. Elle le fit avec une gourmandise qui étonna le jeune homme. Leurs jeux durèrent un bon moment, puis Alice leur demanda de la faire jouir. Tour à tour, ils vinrent la lécher, jusqu’à ce qu’elle connaisse un orgasme aussi puissant que celui qui avait secoué Sandrine.
Ils reprenaient leurs esprits quand on frappa à la porte. Nathan regarda par le judas.
- « Merde ! C’est ma voisine… » s’écria-t-il avec un air complètement paniqué. « On a dû faire trop de bruit… »
- « Mais non » s’esclaffa Alice. « C’est moi qui lui ai dit de passer. On a sympathisé cet après-midi… »
- « Vite, habillez-vous ! » s’énerva Nathan.
- « Pas la peine », répondit Alice en allant ouvrir. « On est devenues plutôt intimes. »
Annabel ROSARIO pénétra dans le studio. Nathan était horriblement gêné et essaya maladroitement de dissimuler sa nudité. Alice s’approcha d’elle et l’embrassa sur les lèvres.
- « Tu as bien fait de venir » dit-elle. « Je te sers du champagne ? »
- « Oui. Je vois que vous vous amusez bien… Je peux jouer avec vous ? »
- « Evidemment ma chérie » répondit Alice en faisant glisser les bretelles de la robe de la magnifique argentine.
La splendide sud-américaine se retrouva avec juste un tanga orange. Dans la réalité, Nathan la découvrait encore plus belle que derrière sa webcam. Ses longs cheveux noirs descendaient jusque sur des seins parfaits. Ses yeux étaient aussi sombres que sa chevelure et sa bouche était follement sensuelle. Elle avait la taille fine et les hanches larges, mais surtout des fesses magnifiques.
- « Je suppose que tu connais Nathan ? » demanda Alice.
- « On se croise de temps en temps… » répondit la belle étudiante avec un sourire.
- « Je te présente Sandrine, une vieille copine… »
Sandrine s’avança alors vers Annabel, ne sachant trop quelle conduite adopter. La voisine de Nathan la mit à l’aise en l’embrassant sur la bouche.
Alice prit alors Annabel par la main et la conduisit sur le lit. Nathan, qui n’avait pas osé bouger depuis que sa voisine était entrée, se détendit enfin. Il regarda sa petite blonde qui fit glisser le tanga le long des cuisses de la belle brune et le retira. Annabel écarta les jambes. Sa toison brune et lisse apparut à l’étudiant, comme dans un rêve.
Alice prit le tanga et le frotta contre ce sexe déjà humide, puis elle commença à l’introduire dans le vagin de l’argentine. Lentement, progressivement, elle parvint à l’enfoncer presque complètement, ne laissant dépasser qu’un minuscule morceau de tissu.
- « Maintenant, viens le chercher ! » dit-elle à Nathan. « Mais sans les mains ! »
Il ne se le fit pas dire deux fois. Il mit sa tête entre les cuisses de sa somptueuse voisine et ne put s’empêcher de donner quelques coups de langue sur son clitoris turgescent avant de retirer, tout doucement, le tanga, désormais trempé, avec les dents. Annabel mouillait abondamment et ses secrétions avaient un goût délicieux et sucré. Nathan bandait de nouveau.
Sandrine et Alice caressaient le corps de la belle étudiante qui s’abandonna complètement. La jeune blonde alla chercher un vibromasseur et le posa sur le clitoris d’Annabel. Pendant ce temps, Sandrine avait entrepris une fellation sur Nathan.
- « Je veux te voir gicler comme cet après-midi » avait dit Alice.
Elle insista bien sur le bourgeon de chair érectile et Annabel commença à bouger son bassin de manière désordonnée. La bouche de Sandrine partageait désormais la queue de Nathan avec celle d’Annabel. Soudain, elle se raidit et un véritable geyser jaillit de son sexe. Alice se précipita pour avaler un maximum du liquide incolore. Trop excité, Nathan jouit dans la bouche de Sandrine. Elle se pencha alors et laissa couler le sperme de sa bouche vers celle d’Annabel. Décidément, Nathan se souviendrait de son anniversaire !
Comme après chaque orgasme, Annabel mit un moment à se remettre. La soirée avait été fantastique. Nathan passa la nuit entre Alice et Annabel. Sandrine, elle, avait envie d’une grosse queue. Elle était descendue faire une petite surprise à Hervé…

à suivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Mar 23 Fév 2016 11:28

Lendemain de fête



Quand Nathan se réveilla, Alice avait la tête posée sur son épaule. Il caressa doucement ses cheveux et elle ouvrit les yeux à son tour. Immédiatement, elle lui sourit.
- « Annabel est partie ? » demanda-t-elle en voyant qu’ils étaient seuls dans le lit.
- « Oui, elle s’est levée discrètement et est rentrée chez elle. J’étais tellement crevé que je n’ai pas bougé… »
- « C’est que tu te fais vieux » plaisanta Alice. « Dommage, j’aurais bien fait gicler sa chatte une dernière fois. J’adore la voir jouir, cette fille… »
- « Tu es insatiable ! » répondit Nathan. « Tu l’as déjà fait jouir deux fois cette nuit… »
- « Oui je suis insatiable ! » ajouta la petite blonde en descendant vers le sexe de son amant et en le prenant en bouche.
Nathan la regarda sucer sa queue à nouveau durcie, puis elle se releva et vint s’empaler dessus. Elle commença un va-et-vient rapide. Désormais, elle connaissait parfaitement son amant et pouvait déterminer l’instant précis où il allait jouir. Elle s’arrêta net.
- « Retiens-toi, mon chéri. Je vais pisser sur ta queue. Tu vas voir comme c’est bon… »
Il n’eut pas le temps de lui répondre. Une sensation de chaleur irradia son sexe. Alice était en train de pisser. Le liquide chaud inonda son ventre. Elle reprit le va-et-vient, tout en continuant à pisser. Il jouit au moment où Alice s’immobilisa, appuyant le plus fort possible pour bien sentir sa queue en elle. Elle resta un moment sans bouger, puis se releva, expulsant un mélange d’urine et de sperme sur le sexe encore gonflé de Nathan.
- « C’était formidable » dit-il. « Mais tu as vu l’état de la chambre et du lit ? »
- « J’irai chercher Josiane pour tout nettoyer et tout ranger » répondit Alice. « Ce matin, on n’a cours qu’à onze heures… »
- « Moi, il faut que je parte… » répondit Nathan. « J’ai donné rendez-vous à Li WAN CHU pour tester les serveurs qu’on nous a livrés hier. Le mois prochain, vous pourrez migrer les données sur le Data Center pendant votre stage. »
Nathan se leva enfin. L’état de l’appartement était vraiment apocalyptique. Entre les restes de gâteau, les flaques de champagne, les taches d’urine et de sperme, le martinet qui trainait sur une chaise, le vibromasseur abandonné sur le carrelage… il y en avait partout ! Sur la table blanche, il trouva le tanga de sa voisine soigneusement étalé. Avec son bâton rouge à lèvres, elle avait inscrit deux mots sur la table : « Bon Anniversaire ».
Il ne put s’empêcher de respirer son cadeau et le rangea consciencieusement un peu plus loin. Il se prépara un café et en servit un à Alice. Elle vint se lover amoureusement contre lui.
- « Alors, il t’a plu cet anniversaire ? » demanda-t-elle.
- « J’en garderai un souvenir impérissable »
- « Tu sais, je crois que j’aime de plus en plus les femmes » avoua Alice.
- « Moi aussi », plaisanta Nathan. « Pourtant, avant toi, je n’en avais connu aucune… »
- « C’est vrai ? Moi, j’ai connu plein de mecs avant toi, mais je ne prenais aucun plaisir à me faire pénétrer. Avec ta petite queue, ce n’est pas pareil… »
- « Tant mieux ! »
- « J’ai encore plein de fantasmes dont je ne t’ai pas parlé, tu sais ? Surtout un…»
- « Ah oui ? Lequel ? »
- « Si tu es d’accord, mon chéri, je te ferai la surprise… »
- « D’accord, mais là, il faut vraiment que j’y aille ! » conclut Nathan en regardant l’heure.
Il se leva et alla prendre une douche avant de s’habiller. Alice l’embrassa amoureusement avant qu’il ne sorte. Elle avait une dernière chose à lui dire.
- « Allez, file ! Ce soir, je ne viens pas… Je vais essayer d’aller dans le lit de ma tante, on verra bien… Tu nous materas par la webcam… Je laisserai les clés chez Hervé en partant. »
- -« Ok ma chérie… Fais-lui une pipe si tu veux… »
- « Je ne vais pas me gêner… »
En descendant, il croisa Marine ASCARI et Charlène THEVENOT, juste au moment où Hervé CIVRAC lui souhaitait un bon anniversaire. A sa grande surprise, chacune des deux filles vint l’embrasser sur la bouche. Cette fois, c’était un vrai baiser. Il put goûter successivement la langue de Marine et celle de Charlène. Quel délice !
Hervé les laissa s’éloigner, puis lui confia qu’il avait passé une nuit de rêve avec Sandrine. Nathan aurait aimé lui parler de la sienne, avec Alice et Annabel, mais il n’avait vraiment plus le temps.
Alice fit monter Josiane dans l’appartement de Nathan. Cette fois, elle l’autorisa à mettre un tee-shirt et une jupe, mais exigea qu’elle ne porte rien dessous. A peine arrivée, elle la fit mettre entièrement nue et alla chercher ses accessoires. Sa soumise dût nettoyer toute la maison, ramassant les débris de la fête, lavant le sol, sous les coups de martinet de sa maîtresse blonde. Alice avait pris un petit plug et l’avait planté dans le cul de Josiane.
- « Tu vas le garder toute la journée ! » dit-elle.
- « Bien maîtresse » répondit seulement sa copine.
Après lui avoir fait nettoyer toute la maison, elle lui donna l’ordre de changer le lit. Les draps étaient encore humides de mouille, de foutre et de pisse. Josiane dut descendre laver le linge dans la laverie du sous-sol, tout en conservant le plug planté dans son anus.
Quand Hervé les vit passer, il comprit que la locataire du 4ème étage était sous la coupe de la blonde frisée. Il ne tarda pas à les rejoindre dans la buanderie collective. Josiane avait déjà mis une machine en marche. Alice avait relevé la jupe de sa soumise et appuyait sur le plug planté en elle. Quand elle vit arriver Hervé, elle un petit sourire à la limite du rictus.
- « Alors, tu n’as pas résisté à l’envie de venir baiser ma grosse chienne ? » demanda-t-elle.
- « C’est vrai » avoua le gardien en commençant à ouvrir sa braguette.
- « Suce-le ! » ordonna Alice.
Josiane obéit une fois encore. Elle prit la verge du quinquagénaire entre ses lèvres et la fit durcir rapidement. Alice regarda sa soumise sucer la queue du gardien en se caressant doucement, puis elle se mit derrière Josiane.
- « Le plug a dû bien dilater son cul » dit-elle. « Je veux que tu l’encules ! »
- « Non, pas ça ! » protesta Josiane.
- « Ta gueule ! Je veux voir sa grosse queue défoncer ton cul !»
La soumise eut droit à deux claques sur les fesses qui laissèrent la trace de la main d’Alice. Elle comprit qu’il était inutile de résister et se mit en position pour qu’Hervé la sodomise. Sandrine s’était montrée tellement gourmande au cours de la nuit précédente, qu’il avait du mal à bander. Heureusement, la petite blonde frisée savait comment exciter un homme. Elle retira ses chaussures et posa ses pieds nus sur les fesses de Josiane.
- « Viens, je vais te faire bander avec mes pieds » dit-elle.
Hervé posa son sexe sur le postérieur de Josiane et Alice le parcourut de ses orteils fins et délicats avant de coincer la verge entre ses deux pieds qu’elle pressa l’un contre l’autre avec un mouvement de va-et-vient parfaitement coordonné. La queue du gardien mit un moment avant de durcir, mais elle finit par retrouver la vigueur que la blonde avait connue les fois précédentes. Elle écarta les fesses de Josiane et fit couler sa salive sur son anus déjà dilaté par le plug.
- « Défonce-la, cette salope ! »
Hervé mit son gland sur l’œillet sombre et poussa un grand coup. Josiane poussa un cri de surprise et de douleur, mais Alice la fit taire immédiatement en lui donnant une grande claque. Résignée, elle laissa le quinquagénaire la besogner pendant un long moment. Le gardien jouit dans le cul de Josiane et Alice remit aussitôt le plug.
- « Tu vas rester toute la journée avec son sperme dans ton cul ! »
- « Même en cours ? »
- « Bien sûr, petite pute… Ça m‘excite de savoir que tu assiste aux cours remplie de jus ! »
Josiane se rendait compte que, de jour en jour, elle était de plus en plus soumise. Elle était désormais totalement dépendante de sa copine et de ses perversions.
Après une journée de boulot intense, Nathan rentra dans son appartement. Tout était nickel. Une fois de plus, sa petite blonde frisée avait été parfaite. Non seulement elle lui avait organisé un anniversaire qu’il n’oublierait jamais, mais elle avait tout fait remettre en place par celle qui devenait peu à peu son esclave.
Il prit un repas léger, puis s’installa devant l’ordinateur. Aller voir les webcams était devenu comme une drogue. Il regarda le classement du Top 5, pas de changement… Grace à l’application qu’il avait développée, il pouvait voir d’un seul coup d’œil quelles webcams étaient connectées. A cette heure-ci, beaucoup de filles étaient rentrées. La chinoise du 1er étage, dont il ne connaissait toujours pas le prénom, n’était pas là. Marie-Amélie, la belle étudiante black non plus. Chez Marine ASCARI, le tableau indiquait une présence dans la cuisine, mais ce soir-là, Charlène THEVENOT n’était pas avec elle et elle était sagement assise sur son lit, en train de regarder un film à la télé. Nathan zooma tout de même sur ses pieds nus si mignons, puis il passa à une autre webcam.
Du côté de chez Josiane, rien de bien excitant non plus. Alice l’avait tellement épuisée, qu’elle dormait déjà. Il zooma un moment sur les fesses de celle qui était en tête du Top 5, puis passa à autre chose. Laurence, la folle de masturbation, se trouvait dans sa cuisine. Comme d’habitude, elle était nue. Il la vit prendre une aubergine et aller s’allonger sur son lit. Elle écarta les cuisses et dévoila un pubis bien lisse. Elle se caressa doucement, introduisant un doigt, puis deux dans sa chatte. Jusque-là, Nathan l’avait vue introduire pas mal d’objets dans son vagin, mais jamais rien d’aussi gros. Elle prit l’aubergine entre ses mains et la mit entre les lèvres de son sexe. Elle poussa doucement, le légume entra progressivement, ses grandes lèvres s’écartèrent et elle enfonça l’aubergine de plus en plus loin. Sa chatte était dilatée à l’extrême. Elle se fit jouir rapidement.
Nathan se dit qu’il faudrait qu’il l’aborde un de ces jours. A y regarder de plus près, elle n’était pas si mal. Depuis qu’il connaissait Alice, il avait beaucoup plus d’assurance avec les femmes.
Il passa sur les webcams de l’appartement de sa voisine. Annabel était en train de se vernir les ongles. Rien que ce spectacle était très sexy. Il la regarda un moment et ne put s’empêcher d’aller chercher le tanga parfumé qu’elle lui avait gentiment laissé. Il le renifla longuement en repensant à cette nuit merveilleuse.
Soudain, sur le grand tableau de son autre écran, le voyant de la webcam numéro 103 passa au vert. C’était celle de la chambre de la tante d’Alice…

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 25 Fév 2016 09:52

Le fantasme d’Alice



Cathy venait d’entrer dans sa chambre. Elle portait une nuisette noire légère et retira son string qu’elle posa sur une chaise avant de se mettre au lit. Elle attrapa le livre posé sur sa table de chevet et commença à lire.
Nathan la regarda un moment. Elle avait relevé la couette sur ses jambes et il ne voyait que le haut de son corps. Il n’allait quand même pas passer la soirée à la regarder lire, même si elle était très belle… Il allait zapper vers une autre webcam quand il reconnut la voix d’Alice.
- « Ça ne va pas… Je peux venir dormir avec toi ? » demanda-t-elle en s’avançant avec son oreiller plaqué contre le ventre.
- « Qu’est ce qui t’arrive ? » questionna sa tante en levant les yeux vers elle.
- « Je ne sais pas. Je n’ai pas envie d’être seule… »
La jeune étudiante s’était avancée vers elle. Elle ne portait qu’un tee-shirt assez court sous lequel on apercevait ses fesses nues. Nathan vit Cathy poser son livre et ouvrir la couette pour faire une place à sa nièce. Il était curieux de voir comment sa petite blonde frisée allait s’y prendre.
- « Tu as des problèmes dans tes études ? » demanda Cathy qui se rendait compte qu’elle ne prenait pas beaucoup de temps pour parler avec celle qui partageait son toit depuis quelques mois.
- « Non, tout va bien… J’ai même trouvé un stage. »
- « Ce sont des histoires de cœur alors ? Tu as un copain… Tout se passe bien avec lui ?»
- « Merveilleusement » répondit Alice. « Mais je me sens de plus en plus attirée par les femmes… »
- « Et alors ? C’est un problème ? »
- « Non, mais j’avais envie de t’en parler » répondit Alice qui s’était rapprochée d’elle et avait posé sa tête sur son épaule.
Cathy la regarda et lui sourit tendrement. C’est avec une certaine réticence qu’elle avait accepté que sa nièce vienne habiter chez elle quand elle avait été admise dans l’école d’ingénieurs située dans la ville où elle résidait. Depuis son divorce, elle était devenue un peu sauvage et très indépendante. Pourtant tout s’était bien passé. Sa nièce n’était pas difficile à vivre. Elle s’absentait de plus en plus souvent et surtout respectait scrupuleusement l’intimité de sa tante. Et puis, quand elle avait été malade, Cathy avait vu qu’elle pouvait vraiment compter sur elle.
- « Tu sais, depuis mon divorce, je me méfie des hommes… » reprit Cathy.
- « Oui, je vois bien que tu n’en fréquentes aucun » répondit Alice. « Toi aussi tu préfères les femmes ? »
Alice sentit bien que sa question gênait sa tante. Elle pensa qu’il était temps d’enfoncer le clou…
- « J’ai remarqué que tu ne regardes pas Johanna comme une simple employée » reprit Alice. « Elle te plait ? »
- « Euh… Je trouve que Johanna est très mignonne » répondit sa tante embarrassée « Mais… »
- « Tu sais, moi aussi je la trouve très mignonne… Et puis elle a un corps superbe, comme le tien… »
En disant cela, Alice avait posé la main sur le ventre de Cathy. Ses doigts froissèrent le satin de la nuisette et la firent remonter, découvrant complètement ses cuisses. La jeune étudiante rapprocha son visage de celui de sa tante.
- « Embrasse-moi ! » dit-elle en lui tendant ses lèvres.
- « Mais Alice… Tu es ma nièce ! »
- « Et alors ? Je suis majeure… » répondit simplement la jeune fille.
Voyant qu’elle ne bougeait pas, Alice vint poser ses lèvres sur celles de Cathy. Sa langue força la bouche de sa tante. Troublée, la sublime rousse ne résista pas. Alice se mit sur elle et caressa sa poitrine, puis elle retira son tee-shirt et lui proposa ses seins. Cathy les prit dans ses mains et les malaxa.
- « Fais-moi l’amour, j’en ai envie… » dit Alice en lui retirant sa nuisette.
Elle lui présenta de nouveau ses seins et posa les mains sur les siens. Cathy ne résista pas longtemps à la tentation de répondre aux avances de sa nièce. Nathan les vit presser leurs corps l’un contre l’autre. Alice descendit vers le sexe de Cathy qu’elle se mit à lécher avec avidité. Les positions qu’elle prenait étaient savamment étudiées pour offrir la meilleure visibilité au voyeur dont elle imaginait l’excitation derrière son écran. La belle rousse n’opposa aucune résistance, bien au contraire. Bientôt, ce fut elle qui vint prodiguer un cunnilingus à sa nièce et l’entraina vers un orgasme intense et prolongé. Elles poursuivirent avec un 69 interminable au cours duquel elles eurent deux orgasmes chacune.
Nathan les regarda avec attention et les vit ensuite s’allonger côte à côte, restant nues, et continuant à se caresser doucement. La toison épaisse de sa blonde frisée contrastait avec la fine bande de poils roux qu’avait conservée Cathy, mais il les trouvait aussi excitantes l’une que l’autre. Une fois encore, Alice lui avait offert un merveilleux moment.
Le lendemain matin, la première chose qu’il fit en se levant, fut d’aller voir les images de webcam numéro 103. Alice et Cathy dormaient toujours. Elles étaient restées nues toutes les deux et la belle rousse tenait sa nièce dans ses bras.
Il alla consulter le grand tableau des connexions. A cette heure-ci, les voyants des webcams correspondant aux salles de bain allaient commencer à s’allumer. Il se prépara un café et revint assister en direct à la douche de Marine ASCARI. Il la trouvait toujours aussi belle et regrettait vraiment qu’elle n’aime que les filles. Néanmoins, il essaya de l’imaginer en train de faire l’amour avec Alice. Il faudrait qu’il en parle à sa petite blonde frisée…
Un peu plus tard, il vit sa voisine se lever. La belle Annabel semblait en retard. Elle prit rapidement son petit déjeuner, puis prépara ses vêtements avant de partir dans la salle de bain. Nathan la regarda prendre une douche rapide, puis s’habiller juste de l’autre côté de la cloison. Elle aussi était vraiment belle.
Il passa ensuite un moment à zapper d’une webcam à l’autre, mais il dut se préparer et partir avant qu’Alice et Cathy ne soient levées. Il avait de nouveau rendez-vous avec Li WAN CHU.
Il reçut un SMS de sa blonde frisée beaucoup plus tard dans la matinée. « Coucou mon chéri. J’espère que tu as bien pu profiter du spectacle avec ma tante. Ce soir, je te réserve une surprise »
Curieux, il répondit aussitôt. « Oui, j’ai adoré vous voir toutes les deux. C’est quoi ta surprise ? »
Alice devait être occupée car elle ne répondit qu’une heure plus tard. « Mon fantasme. Ma tante me prête sa voiture. Je passerai te chercher vers 21 heures. Surprise…»
Il n’insista pas davantage. Avec l’imagination dont faisait preuve Alice, il pouvait s’attendre à tout. Il passa la journée, rempli d’impatience à essayer de deviner ce qu’elle avait bien pu imaginer. Un peu avant 21 heures. Son téléphone sonna. C’était Alice.
- « Je t’attends devant la résidence » lui dit-elle au téléphone. « Prends du fric, nous en aurons besoin… »
Nathan descendit et monta aux côtés d’Alice dans la petite voiture noire qu’elle avait empruntée à sa tante. Elle roula un moment et sortit de la ville. Nathan la vit prendre une petite route à droite et s’enfoncer dans un bois à la réputation sulfureuse. Plusieurs prostituées étaient sur le bord du chemin, mais la conductrice continua sans hésiter et s’arrêta à hauteur d’une brune magnifique. Elle portait des cuissardes, une mini-jupe de cuir et un petit blouson, largement ouvert, qui laissait deviner une poitrine opulente.
Alice ouvrit sa vitre.
- « Salut, tu montes avec nous ?» demanda-t-elle.
- « Toujours d’accord pour 100 Euros ? » questionna la brune.
- « Oui, mais tu fais tous ce qu’on te demande… » répondit Alice.
- « D’accord… »
La belle brune monta à l’arrière de la voiture et Alice redémarra aussitôt. Visiblement, elle avait bien préparé sa surprise. Elle roula quelques centaines de mètres et s’arrêta sur le parking d’un hôtel. C’était le genre d’hôtel où les chambres sont en libre-service. Elle demanda à Nathan de prendre une chambre au guichet automatique et ils se dirigèrent tous les trois dans celle dont ils avaient obtenu le code d’accès.
- « Au fait, je te présente Claudia » avait enfin dit Alice.
La brune avait adressé un large sourire à Nathan qui était de plus en plus surpris par les fantasmes de sa copine. Apparemment, sa dernière lubie était d’avoir une relation tarifée.
Il paya le prix convenu et la brune vint s’occuper de lui. Ses mains se posèrent immédiatement sur sa braguette et elle sortit son sexe qu’elle commença à masturber. Pendant ce temps, Alice s’était déshabillée entièrement. Elle vint s’agenouiller devant Nathan et prit son sexe en bouche. Il ferma les yeux quelques instants, puis commença à s’occuper des seins de la brune. Ils étaient beaucoup plus gros que ceux de sa copine et il les lécha et les téta avec avidité.
Claudia se mit à genoux aux côtés d’Alice et leurs bouches se partagèrent la queue de Nathan. Il se déshabilla à son tour et retira à Claudia le blouson qu’elle portait encore. Il défit sa jupe, découvrant des fesses magnifiques, mais eut une surprise de taille quand elle se retourna. A travers les dentelles du string, il découvrit une belle bite bien dure. Claudia était un transsexuel.
Une fois le string enlevé, la queue de Claudia se dressa fièrement. C’était troublant de voir une personne à la féminité aussi développée dotée de tels attributs.
- « Suce sa queue ! » ordonna Alice.
Nathan s’accroupit et prit le sexe en bouche. Claudia lui prit la tête et imprima un mouvement de va-et-vient. Pendant ce temps, Alice vint caresser et embrasser les seins gonflés de cette brune ambiguë.
Au bout d’un moment, elle alla s’allonger sur le lit et se caressa un peu avant de demander à Nathan de venir la prendre. Il se releva et la rejoignit aussitôt. Sa petite queue pénétra facilement dans la chatte humide de sa copine.
Claudia vint se faire sucer alternativement par les deux étudiants. Puis Alice révéla enfin ce qu’elle attendait.
- « Je veux que Claudia te sodomise pendant que tu me baises ! » dit-elle d’un ton autoritaire.
- « Mais chérie, je ne me suis jamais fait prendre » fit remarquer Nathan.
- « Eh bien tu vas commencer ! J’ai envie de te voir gueuler comme une petite salope ! »
- « Ne t’en fais pas, je vais mettre du gel » ajouta Claudia.
Alice se mit dans une position dans laquelle son amant pouvait la prendre en offrant bien son cul. Claudia prit du gel et enduisit largement l’anus de l’étudiant inquiet. Pourtant, le transsexuel fit preuve de beaucoup de douceur et prit son temps pour dilater l’anus de Nathan. Quand son gland s’introduisit très progressivement dans l’œillet sombre et serré, il n’eut pas trop mal. La queue longue, mais fine de Claudia s’introduisit progressivement en lui. Il se mit à gémir, mais on ne savait pas trop si c’était de la douleur ou du plaisir qu’il éprouvait. Claudia le besogna un bon moment, ce qui eut pour effet de retarder son éjaculation. Pour une fois, il ne jouit pas trop vite, pour le plus grand bonheur d’Alice qui prit son pied, beaucoup mieux que d’habitude.
- « Tu vois, tu tiens plus longtemps quand tu as une bite dans le cul » lui fit-elle remarquer quand il jouit enfin en elle.
- « Moi aussi je vais jouir ! » dit, à ce moment-là, Claudia en s’adressant à celle qui avait pris la direction de leurs ébats. « Tu veux que je gicle sur ses fesses ? »
- « Non, viens jouir dans les poils de ma chatte ! » ordonna-t-elle.
Le transsexuel se retira du cul de l’étudiant et vint éjaculer dans les poils de la toison d’Alice. Avec son regard le plus coquin, elle étala le sperme et le mélangea avec celui de Nathan qui s’écoulait de son vagin. Elle demanda ensuite à Claudia de venir la lécher et elle connut un nouvel orgasme.
Tout le monde prit ensuite une douche, puis ils ramenèrent Claudia dans le bois où ils l’avaient trouvée. Alice avait pu satisfaire son fantasme, mais elle avoua à Nathan que, désormais, pour vraiment être heureuse, il lui fallait une autre chatte.

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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Jeu 25 Fév 2016 12:18

Souriez, vous êtes filmés



Finalement, les choses évoluèrent d’une manière plutôt inattendue. Au cours du stage que Nathan avait organisé pour les quatre filles de première année, il fit vraiment le maximum pour séduire Nora. La jeune étudiante malgache se montrait vraiment très réservée. Un jour, elle confia à Alice qu’elle était encore vierge. La petite blonde avait fait part de sa confidence à son amant et il s’était mis en tête que c’était lui qui la dépucellerait.
Il se mit à lui faire une cour dans les règles de l’art et renonça même à tous les excès qu’il avait connus avec Alice. De toute façon, celle-ci était désormais presque exclusivement attirée par les femmes.
La société VMC-On-line connut un succès phénoménal. La production de VMC en Corée, avec webcam intégrée, permit de multiplier de manière considérable le nombre des images. Le Data Center monté par Li WAN CHU et Nathan LEGOFF était pleinement opérationnel. Désormais, les images n’étaient plus stockées sur le disque dur de l’étudiant. Grâce à des tarifs attractifs, les VMC s’étaient répandues un peu partout. Des hôtels, des piscines, des magasins, mais surtout des résidences d’habitations l’intégraient directement à leurs constructions.
On comptait, à présent, plus de 30 000 webcams actives. Rien que l’activité d’équipement en VMC et de domotique générait de jolis bénéfices. Alors que dire de l’activité de distribution des images volées ? Grâce à Gunther KLEINESACHE, la percée sur le marché allemand était spectaculaire. Alice avait finalement mis Annabel ROSARIO dans la confidence et celle-ci avait intégré la société VMC-On-line. Elle avait abandonné ses projets de carrière dans la mode et avait œuvré pour le développement vers l’Espagne et l’Amérique du Sud. Un marché gigantesque…
Alice poursuivait ses études informatiques. Elle ne voyait plus beaucoup Nathan, parti s’installer au Luxembourg. D’ailleurs, il avait eu une surprise de taille, le jour où il avait annoncé à ses quatre stagiaires qu’il partait s’installer à l’étranger. Il avait demandé, sur le ton de la plaisanterie, si l’une d’elles était prête à l’accompagner. Il pensait, bien sûr en premier lieu à Alice. Sa petite blonde frisée avait expliqué qu’elle aimait de plus en plus les femmes et qu’elle allait vivre avec Annabel. Nathan s’était alors tourné vers Sandrine et Josiane, mais c’est Nora qui lui avait annoncé qu’elle était prête à l’accompagner au Luxembourg. Désormais, ils vivaient tous les deux. Nora était beaucoup plus sage qu’Alice, mais Nathan n’éprouvait aucune frustration. Le roi de la diffusion d’images pornographiques était même devenu raisonnable et fidèle. Il l’épousa quelques mois plus tard.
Le commerce des images volées générait un chiffre d’affaire extraordinaire. Avec presque 500 000 abonnés, c’était un chiffre d’affaires de plusieurs millions chaque mois qui venait grossir la fortune des fondateurs du site.
Aujourd’hui, leurs webcams sont partout. Si en entrant dans votre salle de bain, vous entendez un petit bruit du côté de la VMC, souriez, vous êtes filmés ! Alors en prenant votre douche, pensez-y… Ecartez bien les cuisses et faites-vous plaisir. Des milliers de voyeurs en profiteront.


Fin
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar kollia » Ven 26 Fév 2016 11:16

Un peu decu par la fin mais recit vraiment sympa dans l ensemble
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Ven 26 Fév 2016 11:58

Merci a ceux qui me disent avoir apprécié...

J'ai écrit une autre fiction sur fonds d'intrigue politique...

Ca vous intéresse ?
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar kollia » Ven 26 Fév 2016 18:41

Oui beaucoup je suis unlecteur assidu de tes histoies
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 29 Fév 2016 10:29

Bon je vais dons me lancer dans la publication d'une histoire que j'avais écrite sur fond d'histoire politique l'année dernière.

J'espère que le sujet vous plaira.
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 29 Fév 2016 10:30

LE PROJET POSEIDON

Dans la mythologie grecque, POSEIDON est le dieu des mers et des océans en furie,
En 1928, un ingénieur allemand propose le projet fou de construire un barrage fermant la Méditerranée. Il y consacrera sa vie sans que son idée puisse voir le jour.
Un siècle plus tard, c’est un ingénieur français qui la défend. Les objectifs ne sont plus les mêmes, mais son projet pharaonique porte le nom de Projet POSEIDON, celui du dieu. Parviendra-t-il à le mettre en œuvre ?
Une jeune journaliste se trouve entraînée dans les arcanes du pouvoir et suit le défenseur de cette idée folle. Cela va l’entraîner dans des aventures qui vont bouleverser sa vie…
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 29 Fév 2016 10:32

Le débat télévisé



Aurore CHASTEL n’en revenait pas encore. Elle, la jeune journaliste d’un quotidien de province, allait participer à un débat télévisé opposant deux candidates à l’élection présidentielle. Lorsque le patron du groupe MEDIA-PRESSE, qui venait de racheter, un an plus tôt, le journal qui l’employait, l’avait appelée en personne, elle avait d’abord cru à un canular. Il l’avait félicitée pour son interview exclusive du Maire de Bordeaux, obtenue un mois auparavant et dans laquelle il faisait des révélations fracassantes sur l’UMP et le Président de la République.
Eric DEBLICKER avait insisté pour qu’elle accepte de participer à ce débat. Malgré la trouille de se retrouver face aux caméras, elle n’avait pas pu refuser. Ce serait le premier passage à la télévision de cette ravissante blonde aux yeux si clairs que les français allaient découvrir.
Comme tous les protagonistes, elle avait dû passer entre les mains des maquilleuses. Au moment où le présentateur du journal télévisé annonça que le direct allait commencer, elle sentit une perle de sueur couler entre ses omoplates. Elle portait une robe blanche très simple, bien décolletée, et des escarpins blancs qui mettaient merveilleusement en valeur ses chevilles fines et ses pieds cambrés.
L’animateur du débat présenta les deux candidates : Mariama DIALLO et Yasmina SIMON-ELAKRI. La première avait été désignée pour représenter l’UDI. Le parti centriste, longtemps dans l’ombre des formations politiques plus puissantes, avait décidé de jouer la carte de la diversité. Les électeurs « issus de l’immigration » étaient de plus en plus nombreux, mais les résultats des précédentes élections et les sondages montraient que le taux de participation était très faible dans ces couches de la population souvent défavorisées. Mariama DIALLO, candidate noire née au Sénégal, était censée mobiliser les quartiers et les banlieues.
Le Parti Socialiste avait choisi la même stratégie. Face à la montée de l’extrême droite et pour effacer la dernière défaite cinglante, ils avaient choisi Yasmina SIMON-ELAKRI. Elle était née au Maroc et symbolisait l’enfant d’immigrés qui a réussi. Certains lui reprochaient de manquer de charisme, mais elle maîtrisait parfaitement les techniques de la communication.
Cette élection présidentielle de 2027 était la première de la VIème république dont la constitution venait d’être adoptée par référendum. Le président sortant, François REVOL, avait dû faire certaines concessions pour faire adopter son projet. La nouvelle constitution supprimait le Sénat et réduisait le nombre de députés à 261. On s’orientait clairement vers un régime présidentiel et, pour la première fois, un vice-président siégerait aux côtés du Président de la République. Il serait investi de réels pouvoirs et le remplacerait en cas d’empêchement. Pour faire passer son projet, François REVOL avait dû donner de super pouvoirs aux Assemblées Territoriales. Ces Parlements Régionaux disposeraient d’un pouvoir législatif à l’échelon de leur territoire et d’une compétence économique très large. Les huit Super Régions devenaient des sortes d’Etats Fédéraux, un peu à l’image des états américains.
Yasmina SIMON-ELAKRI fut la première à prendre la parole. Agée désormais de 50 ans, elle avait beaucoup gagné en maturité. Celle qui s’était fait connaître en devenant porte-parole du gouvernement en 2012, après l’élection de Germain LEBLANC, était devenue une des cadres du parti. Elle avait largement contribué à l’élection de Luis DIAZ en 2017, convainquant le président de ne pas se représenter et de laisser le champ libre à son Premier Ministre. Lors de la campagne de 2022, son affrontement avec Cécile DE COLBERT avait été spectaculaire et avait probablement empêché la candidate d’extrême droite d’être présente au second tour. Elle avait fustigé les déclarations racistes de membres du parti « Bleu Marine » et montré que sa volonté de sortir de l’Union Européenne était suicidaire. Elle avait su mettre en exergue l’exemple de la Norvège, restée en dehors de l’Europe, et dont le déclin économique était inévitable depuis que ses ressources pétrolières commençaient à s’épuiser.
Une fois encore, elle affirma avec véhémence que, faire confiance à Cécile DE COLBERT donnée largement en tête par tous les instituts de sondages, c’était ouvrir la voie à un repli de la France sur elle-même. Elle exhortait les français, issus, comme elle de l’immigration, à se mobiliser massivement pour faire barrage à ce parti qu’elle n’hésitait pas à qualifier de raciste et d’anti-européen.
Elle répondit à une question sur son programme. On lui reprochait l’incapacité de la gauche à réduire les dépenses publiques et à gérer le déficit de la France. Elle répondit en insistant largement sur les différences de plus en plus criantes entre l’Allemagne et la France. Elle fit remarquer que l’élargissement de l’Union Européenne allait sérieusement modifier le rapport de force et que, l’équilibre budgétaire à tout prix, ne resterait pas longtemps l’obsession de l’Europe.
Mariama DIALLO prit la parole à son tour. Elle reconnut que battre l’extrême droite était, pour elle, aussi sa priorité. On lui demanda si elle ne pensait pas que la multiplication des candidatures risquait de favoriser Cécile DE COLBERT. Elle répondit que, selon elle, les forces démocratiques sauraient s’unir au second tour pour battre la candidate extrémiste. Le journaliste insista et voulut savoir pourquoi l’UDI n’avait pas soutenu la candidature de François REVOL dès le premier tour. Maîtrisant parfaitement la dialectique, Mariama DIALLO répondit à la question en utilisant l’effet de liste. Cette technique oratoire consistait à donner une série de réponses, parfois sur des registres très différents, qui rendait la contradiction difficile. Elle se souvint de ses cours de communication. On recommandait de ne pas dépasser cinq items.
- « Je me présente parce que je crois réellement en mes chances d’être élue. »
- « Je me présente parce que je suis loin de partager certains points de vue du président sortant, sa vision des relations internationales par exemple. »
- « Je me présente parce que les français en ont assez des scandales qui ont secoué l’UMP, ils veulent du changement. »
- « Je me présente parce que l’UDI a un programme complet et construit à présenter et croit en mes chances pour le défendre. »
- « Enfin, je me présente pour défendre les femmes et représenter les populations issues de l’immigration et les mobiliser contre les forces réactionnaires qui nous menacent. »
Elle savait qu’avec l’effet de liste, on retenait surtout ce qu’elle avait soutenu en dernier. Elle voulait faire de sa féminité et de ses origines ethniques, le point fort de sa candidature.
Effectivement, c’est ce dernier point que son interlocuteur reprit.
- « Vous ne croyez pas que, justement, votre candidature soit trop marquée pour que certains électeurs se reconnaissent en vous ? » demanda le journaliste.
Mariama DIALLO sourit, dévoilant ses dents parfaitement blanches. Agée désormais de 51 ans, elle était toujours aussi séduisante et en paraissait moins de 45.
- « Et que me reprochez-vous le plus ? D’être une femme où d’être noire ? »
Son interlocuteur se sentit inévitablement gêné. Par sa réponse, elle savait qu’elle avait marqué des points. Les sondages ne la donnaient, pour le moment, que quatrième des intentions de vote, mais elle n’avait pas dit son dernier mot.
Yasmina SIMON-ELAKRI reprit la parole. Elle ne voulait pas laisser son adversaire d’un soir occuper seule le terrain. Elle était créditée de 16,2% d’intentions de votes, arrivant juste derrière François REVOL. Il fallait qu’elle se démarque de la candidate centriste.
- « Vous dites vouloir représenter les banlieues », interpella la candidate socialiste, « Mais je ne vois pas beaucoup de mesures sociales dans votre programme… »
Mariama DIALLO savait qu’elle serait attaquée sur ce point. Elle tenta d’interrompre immédiatement son adversaire, mais celle-ci poursuivit.
- « Nous, socialistes avons prévu des aides spécifiques pour les banlieues. Nous allons accroitre les zones de défiscalisation pour les entreprises qui créent des emplois. La construction de stades est prévue dans les zones sensibles… »
- « Stop ! Inutile de poursuivre la liste de mesures qui sont, une fois encore, à côté de la plaque ! Yasmina, je peux te poser une question personnelle ? » intervint Mariama DIALLO qui se permettait le tutoiement avec celle qui était son amie au-delà de toute considération idéologique.
- « Vas-y, Mariama » répondit Yasmina SIMON-ELAKRI, tout de même un peu surprise par le ton familier que prenait le débat.
- « Eh bien, habites-tu dans une cité ? »
- « Non, tu le sais bien » fit la candidate socialiste.
- « Moi non plus ! C’est pour cela que les réponses socialistes sont à côté de la plaque… Ce que veulent les jeunes de banlieue, ce n’est pas qu’on repeigne les murs de leur cité… Ils veulent en sortir !!! »
- « Bien sûr, mais il y a aussi des mesures d’intégration dans notre programme » essaya de la couper Yasmina SIMON-ELAKRI.
- « Mais votre priorité reste d’embellir et de rénover les ghettos ! La France et l’Europe doivent s’ouvrir vers le monde. La formidable explosion démographique de l’Afrique nous ouvre des perspectives de marchés sans précédent. Et ces jeunes-là disposent d’atouts indéniables pour s’y imposer… »
Le présentateur reprit la parole. Il avait animé les débats précédents. Il se souvenait de celui au cours duquel Luc GRISEL, le candidat du NPA, s’était montré particulièrement brillant dans son débat contre Cécile DE COLBERT. Il avait réussi à la faire sortir de ses gonds sur le thème de l’immigration et elle avait commis des erreurs grossières. Dans le débat qui avait opposé François REVOL, le président sortant, au candidat écologiste, il s’en était plutôt bien sorti, mais avait été acculé sur les thèmes de la sortie du nucléaire et du réchauffement climatique. Là, il trouvait que l’opposition entre les deux femmes n’était pas à la hauteur de ce qu’il espérait. Il les trouvait trop complices.
Il chercha à saisir l’occasion de leurs divergences sur le traitement du problème des banlieues pour relancer la polémique.
- « Si vous deviez synthétiser en une phrase votre action en faveur des banlieues. Que diriez-vous ? Madame SIMON-ELAKRI, vous commencez ? »
Yasmina SIMON-ELAKRI se racla légèrement la gorge.
- « A court terme, je souhaite améliorer le quotidien dans les quartiers. Les équipements y manquent cruellement. Il ne doit plus y avoir de discrimination basée sur les origines ethniques. Elire une présidente d’extrême droite serait catastrophique pour ces jeunes et ces moins jeunes qui constituent une des forces vives de la nation. A plus long terme, je suis d’accord avec la candidate de l’UDI, ils doivent constituer le fer de lance d’une politique d’exportation expansive. »
Le présentateur l’interrompit et donna la parole à son adversaire d’un soir.
- « Et vous Mariama DIALLO ? »
La candidate d’origine sénégalaise jeta un coup d’œil furtif à ses notes.
- « D’abord, je suis ravie que la candidate socialiste admette enfin que j’ai raison de fonder les plus grands espoirs dans les jeunes de nos banlieues. Plus qu’une intégration, c’est une innovation que nous pouvons espérer dans la réalisation d’un projet économique ambitieux pour la France et l’Europe. La plupart ne deviennent pas délinquants ou dealers par vocation, mais parce qu’ils n’ont pas d’autre choix. Arrêtons de les enfermer dans des ghettos ! Offrons leur un véritable projet d’avenir ! »
Visiblement, ce soir, Mariama DIALLO était la plus brillante. C’est le moment que choisit Aurore CHASTEL pour enfin intervenir.
- « Je vous écoute depuis le début de la soirée » dit-elle calmement. « Je me rends compte que bon nombre des objectifs que vous poursuivez sont communs. Eviter l’élection de la candidate d’extrême droite, défendre la jeunesse issue de l’immigration, inscrire l’action économique de la France dans un projet européen… Cette élection est la première de la VIème République. Pour la première fois, le président ou la présidente va devoir choisir quelqu’un pour la vice-présidence. Seriez-vous prêtes à vous engager solennellement à prendre votre adversaire de ce soir comme vice-présidente ? »
Les deux candidates se regardèrent en souriant. Chacune avait évidemment réfléchi au choix du vice-président. Ce n’était d’ailleurs pas un choix facile, car cela pouvait être le moyen de rallier une autre formation politique en promettant ce poste prestigieux. Cela pouvait également permettre de positionner un élément fort de sa propre famille politique. Cécile DE COLBERT avait déjà déclaré que, si elle était élue, c’est sa nièce, Manon DE COLBERT-LAVAL, qui serait nommée à ce poste.
Heureusement, la constitution ne prévoyait pas la désignation de la personne choisie avant l’élection. Cela laissait la place à des tractations sans fin.
Mariama DIALLO fut la plus prompte à répondre.
- « Vous savez comme moi que ce choix n’est définitif qu’au lendemain du premier tour » déclara-t-elle. « Cependant, le débat de ce soir m’aura permis de comprendre à quel point il est important d’unir nos forces pour battre la candidate d’extrême droite. Les socialistes ont échoué à plusieurs reprises pour sortir la France de la crise, mais leur candidate est quelqu’un que j’apprécie beaucoup à titre personnel. Comme moi, elle sait qu’une origine ethnique différente peut être un atout et une force. Je sais que ma déclaration va faire l’effet d’une bombe, mais je m’engage solennellement à désigner Yasmina SIMON-ELAKRI comme vice-présidente si je suis présente au second tour. »
Un murmure parcourut l’assistance et enfla au point de devenir un véritable brouhaha. Il fallut tout le professionnalisme du journaliste chargé d’animer le débat pour ramener le calme.
- « Et vous, madame SIMON-ELAKRI ? Les français attendent votre réponse… » demanda-t-il enfin.
La candidate socialiste se sentit piégée. Les consignes de l’état-major de son parti étaient claires : « Ne prendre aucun engagement qui puisse compromettre une alliance éventuelle avec les écologistes en cas de présence au second tour. » La personnalité de leur candidat, Pierre-Henri HERMANN, ex-président de Greenpeace, rendait difficile sa désignation à la vice-présidence, mais Luis DIAZ, devenu Secrétaire Général du PS, avait négocié en secret un accord sur la personne de Bénédicte FALLET.
Yasmina SIMON-ELAKRI le savait. Pourtant, elle avait compris que son seul choix était de tendre à son tour la main à la candidate de l’UDI. Sa réponse fut brève et fit également l’effet d’une bombe.
- « Oui, moi-aussi je m’y engage si je suis présente au second tour. »
Une fois le calme revenu sur le plateau, l’animateur du débat donna la parole aux journalistes qui ne s’étaient pas encore exprimés. Les questions qu’ils posèrent furent plus techniques.
L’élargissement de l’Union Européenne, passée à 33, puis à 36 pays avec l’intégration de la Macédoine, la Moldavie et l’Albanie fut un sujet largement abordé. L’entrée de la Turquie et l’Ukraine, fortement contestées, était imminente et porterait à 38 le nombre de nations siégeant au Conseil de l’Europe à Strasbourg.
L’une comme l’autre s’accordait pour affirmer qu’en Europe aussi, la diversité constituait une force. De nouveaux pays, c’était de nouveaux marchés et de nouvelles ouvertures sur le monde. En plus, le rééquilibrage en faveur des pays bordant la Méditerranée plaidait en faveur d’une ouverture vers l’Afrique.
Sur les moyens de lutter contre le chômage les deux candidates laissaient éclater beaucoup plus de désaccords. La candidate de l’UDI était, évidemment, favorable à des mesures en faveur des entreprises. La candidate socialiste parlait de mesures anti-licenciement. La réponse était radicalement différente !
Le débat se termina par une ultime déclaration de chacune des candidates. Elles s’étaient montrées finalement assez brillantes toutes les deux, mais les observateurs s’accordaient pour dire que Mariama DIALLO avait été la meilleure ce soir. Le lendemain, le chiffre de l’audience serait connu et les sondages traduiraient inexorablement l’impression ressentie. Cécile DE COLBERT avait perdu près de deux points au lendemain de son débat difficile face à Luc GRISEL !
Pour Aurore CHASTEL, il était l’heure de souffler. Elle était peu intervenue dans le débat, mais ses questions avaient marqué les esprits. Particulièrement celle qui avait poussé chacune des candidates à choisir l’autre comme vice-présidente en cas d’élection.
Bien sûr, aucune des deux n’avait rien signé, mais revenir sur un engagement public pris à une heure de grande écoute aurait un effet catastrophique. Surtout que la presse écrite allait reprendre la double-déclaration…
Mariama DIALLO passa à côté d’elle et lui serra la main.
- « Votre question assassine m’a surprise » dit-elle. « Mais elle aura eu le mérite de la clarté. Qui sait, peut-être, par votre intervention de ce soir, avez-vous enfin permis à tous les français qui ne se reconnaissent pas dans la politique d’extrême droite d’espérer de nouveau… »
Aurore, qui ne perdait pas le nord, la regarda droit dans les yeux et la gratifia de son plus beau sourire.
- « Tant mieux si ma question a ouvert de nouvelles perspectives. J’ai aimé votre ton direct. Je peux vous demander une faveur, si vous êtes au second tour ? »
- « Demandez toujours » répondit la candidate de l’UDI qui ne voulait pas prendre trop de risques.
- « Eh bien, je voudrais que vous m’accordiez l’exclusivité d’un reportage sur la préparation de ce second tour. »
- « On verra » dit Mariama DIALLO. « Cela dépendra un peu des articles que publiera votre groupe de presse d'ici là, mais je n’y suis pas hostile… Vous m’êtes très sympathique.»
La jeune journaliste n’était pas dupe. Par sa réponse, la candidate essayait d’obtenir le soutien du Groupe MEDIA-PRESSE et de tout ce qu’il représentait. Plusieurs quotidiens régionaux, deux hebdomadaires, trois chaines de télévision et surtout les nombreuses start-up, développant des sites internet, et les sociétés d’événementiel qui assuraient désormais une grosse partie du chiffre d’affaire.
La soirée se termina par un pot offert par la chaine qui avait organisé le débat. Le journaliste vedette qui l’avait animé essaya de draguer Aurore CHASTEL, mais elle avait hâte de rentrer à son hôtel et de prendre un bon bain pour se détendre avant de retourner retrouver sa famille à Bordeaux après une nuit réparatrice.

à suivre...
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Re: Histoires adultères 2

Messagepar GILLESBDX » Lun 29 Fév 2016 13:27

Rendez-vous avec le patron



En sortant des studios de la plus grande chaine de télévision nationale, Aurore CHASTEL se rendit directement à son hôtel. Elle monta immédiatement dans sa chambre et commença par se faire couler un bon bain.
Laissant ses escarpins au beau milieu de la chambre, elle fit glisser les bretelles de sa fine robe blanche qui rejoignit les chaussures sur la moquette. Elle avait eu très chaud dans ce studio. Les projecteurs dégageaient une chaleur intense à laquelle elle n’était pas habituée et le stress n’avait rien arrangé. Elle dégrafa son soutien-gorge en dentelles blanches et le posa sur le lit. Elle avait des seins à faire frémir n’importe quel mâle digne de ce nom. Ils étaient fiers et arrogants.
Elle se balada un moment en string, puis se souvint qu’elle n’avait même pas pensé à rallumer son Smartphone à la fin du débat. Elle alla le chercher dans son sac et le remit en marche. L’écran afficha : « vous avez 87 messages ».
Aurore ne se doutait pas que son passage à la télévision allait provoquer autant de réactions. Elle balaya rapidement la liste des messages, mais n’en ouvrit que quelques-uns. D’abord celui de Christophe, son compagnon : « Bravo ma chérie, tu étais formidable ! Je vais vite coucher le petit qui a voulu te regarder à la télé. Bonne nuit, à demain »
Elle avait également un message de son patron : « Félicitations Aurore… Belle intervention très remarquée et remarquable. Je suis fier de vous. »
Tout en continuant à lire ses messages, Aurore retira son string et se dirigea vers la baignoire qui commençait à être remplie. Machinalement, elle vérifia la chaleur de l’eau avec le bout de son pied droit. Elle était juste à la bonne température. Un peu narcissique, elle regarda ses fesses dans le grand miroir. Son beau cul plaisait toujours autant.
Il y avait également un message de Marie SILVERSTEIN, celle qui avait été sa collègue de bureau pendant presque deux ans avant de rejoindre le nouveau patron à Paris pour devenir Directrice de la Communication du Groupe MEDIA-PRESSE. Elle lut son texto. « Aurore, tu as été excellente ! Appelle-moi dès que tu lis mon message. Le patron voudrait te parler. »
Aurore regarda l’heure qui s’affichait dans un coin de son Smartphone : 0h35.
Elle se dit d’abord que ce n’était pas une heure correcte pour appeler son amie, mais elle regarda à quelle heure le message avait été envoyé. Le détail indiquait 0h12. Elle choisit « Appeler l’expéditeur ». Au bout de deux sonneries seulement, elle reconnut la voix de son amie.
- « Allo ? »
- « Allo Marie, je ne te réveille pas, j’espère ? »
- « Non, pas du tout ! Bravo… Je voulais te féliciter ma petite chérie… »
- « Merci, c’est gentil… Mais, tu sais, je n’étais vraiment pas à l’aise dans ce genre d’exercice… », confia-t-elle tout en se glissant sous la mousse.
- « En tous cas, le patron t’a trouvée formidable ! » l’interrompit Marie. « D’ailleurs, il voudrait te le dire. Je vais te le passer… »
- « Mais tu es encore au boulot à cette heure-ci ? » questionna naïvement Aurore.
Marie éclata de rire avant de reprendre.
- « Non, rassure-toi… A cette heure-ci, je suis dans mon lit ! Mais Eric est à côté de moi. Je te le passe… »
Aurore ne put s’empêcher de penser que sa copine était une sacrée petite cochonne. Elle comprenait mieux pourquoi sa carrière avait décollé d’un seul coup. La voix grave et chaude du patron se fit entendre immédiatement.
- « Félicitations Aurore ! Votre question aux deux candidates et leur réponse commence à faire le buzz sur les réseaux sociaux. Franchement, je ne regrette pas d’avoir fait confiance à Marie en vous envoyant sur ce plateau. Vous avez prévu de repartir quand à Bordeaux ? »
- « Demain en fin de matinée » répondit Aurore.
- « Ah non ! Je veux absolument vous voir avant que vous ne repartiez de Paris… Décalez votre retour et passez me voir à mon bureau demain vers 11 heures. Marie sera ravie de vous revoir… »
Marie SILVERSTEIN avait trois ans de plus qu’Aurore. C’était, elle aussi, une femme très séduisante. Elle était blonde aux cheveux courts et plaisait beaucoup aux hommes. Elle avait tout de suite tapé dans l’œil du grand patron quand il était venu visiter les locaux du journal où elle travaillait avec Aurore. Comme elle n’était pas farouche, elle n’avait rien fait pour résister aux avances d’Eric DEBLICKER et avait passé la soirée avec lui dès le lendemain.
Le grand patron du Groupe MEDIA-PRESSE avait rapidement succombé à son charme. Il lui avait proposé un poste dans la branche « événementiel » du groupe et elle avait laissé tomber son boulot de journaliste sans trop de mal. Quelques mois plus tard, il l’avait nommée Directrice de la Communication du Groupe MEDIA-PRESSE.
- « Alors, tu es toujours avec ton mec ? » demanda Marie.
- « Oui, tu sais bien que je suis une femme fidèle ! » répondit Aurore.
- « Ne le sois pas trop quand même ! Il faut savoir profiter de la vie, elle n’est pas si longue ! »
- « Toi tu en profites au moins ! » fit remarquer la jeune journaliste. « Et on dirait que cela te réussit… »
- « Chut ! Je ne vais pas te faire des confidences sur ma vie intime ce soir… Mon amant est à côté » plaisanta Marie. « Viens me voir demain matin, je te raconterai… »
- « Oui, je te laisse » conclut Aurore. « Je suis dans mon bain et il commence à refroidir. »
- « D’accord, à demain matin ma chérie »
Aurore coupa la communication et posa le Smartphone sur le lavabo tout proche. Elle n’avait pas revu sa copine depuis plusieurs mois et serait contente de la retrouver. Elle se lava rapidement, puis se sécha avec soin et reprit son téléphone. Il fallait qu’elle prévienne son compagnon qu’elle ne rentrerait probablement que le soir. Compte-tenu de l’heure, elle se contenta d’un texto. Elle l’appellerait en se levant.
Après une bonne nuit, Aurore se prépara rapidement et descendit déjeuner. Elle appela Christophe et lui expliqua que le patron voulait absolument la voir. Elle ne rentrerait probablement que le soir et le tiendrait au courant.
Une fois sa chambre réglée, Aurore se rendit au siège du Groupe MEDIA-PRESSE. Elle monta directement dans le bureau de Marie SILVERSTEIN.
Son ex-collègue de bureau la reçut très chaleureusement.
- « Aurore, ma chérie… Quand je pense que tu voulais repartir à Bordeaux sans même passer me dire bonjour !» dit-elle en la prenant fermement dans ses bras et en la serrant contre elle.
- « Tu sais bien que je ne suis pas une habituée de la vie parisienne. Quand je quitte ma Gironde, je ne pense qu’à y retourner.»
- « Tiens, viens t’asseoir » lui fit Marie en la prenant par la main et en désignant une chaise près de la table ronde qui lui servait habituellement pour les réunions de travail avec ses proches collaborateurs.
Aurore s’installa. Le bureau de son ex-collègue était grand et meublé très design. Marie SILVERSTEIN alla chercher une pile de journaux et les étala devant Aurore.
- « Regarde, on ne parle que du débat d’hier soir dans la presse. »
Aurore parcourut les titres : « Mariama DIALLO et Yasmina SIMON-ELAKRI contre l’extrême droite. » ; « Une union contre nature.» ; « Le PS et l’UDI main dans la main ? » ; « Le rassemblement Black - Blanc – Beur » ; « Une jeune journaliste met le feu aux poudres »…
Elle regarda plus attentivement le dernier article. Il était signé d’un des ténors de la presse écrite. Le journaliste insistait sur l’audace de la question qu’avait posée Aurore au cours du débat. Sa photo était à la une de ce grand quotidien national et elle put lire qu’elle avait provoqué un véritable séisme dans la sphère politique et les états-majors des grands partis.
Au parti socialiste, Luis DIAZ déclarait que l’engagement de était un peu prématuré et qu’il fallait d’abord être au second tour. L’UMP dénonçait une trahison de l’UDI. Le candidat écologiste parlait d’une « rupture implicite des accords avec la candidate socialiste ». Luc GRISEL déclarait ne pas comprendre ce virage à droite de Yasmina SIMON-ELAKRI. Cécile DE COLBERT n’avait pas souhaité s’exprimer sur ce qu’elle avait qualifié de « gesticulations inutiles de formations aux abois ».
Toujours est-il que le débat avait été regardé par près de cinq millions de téléspectateurs. Les premiers sondages, réalisés immédiatement après l’émission, montraient une forte progression des intentions de vote en faveur de Mariama DIALLO. La candidate de l’UDI passait de 12,3 à 16,1%. Elle arrivait désormais devant Yasmina SIMON-ELAKRI qui reculait de 16,2 à 14,5%.
Une partie des électeurs socialistes avait été déroutée par les déclarations de la candidate et se ralliait à leurs alliés historiques, l’extrême gauche et les écologistes, qui gagnaient chacun un point dans le sondage.
Le président sortant, François REVOL, perdait encore deux points et n’avait plus guère d’avance sur ses deux poursuivantes avec seulement 17,2% d’intentions de votes. Même si elle restait largement en tête, Cécile DE COLBERT passait de 34,3 à 32,1%.
En tous cas, à moins d’une semaine du premier tour, les déclarations des deux candidates risquaient de changer la donne.
Marie SILVERSTEIN s’assit aux côtés d’Aurore et lui prit la main.
- « Tu es toujours aussi mignonne… Cette petite robe noire te va à merveille. Eric va adorer… »
- « Toi, on peut dire que tu n’es pas jalouse » répondit Aurore en souriant. « Tu te tapes le patron, mais on dirait que tu es prête à partager… »
- « Non, du moment que j’ai ma part du gâteau » ajouta Marie en posant la main sur la cuisse de sa copine.
Aurore se raidit. Ce n’était pas la première fois que Marie lui faisait des avances. Elle la savait parfaitement bisexuelle, mais les filles, ce n’était pas vraiment son truc. Quoiqu’elle n’ait jamais vraiment essayé, à part avec une copine à l’adolescence pour ne pas mourir idiote.
Marie vit que la jeune journaliste était mal à l’aise. Elle retira sa main et se leva pour préparer un café à son ex-collègue. Elle lui apporta quelques viennoiseries.
- « Tu sais qu’hier soir, ce cochon d’Eric m’a prise en levrette devant la télé en fantasmant sur toi pendant le débat ? »
- « Tu exagères ! » s’insurgea Aurore en rougissant. « Tu ne serais pas en train de me proposer un plan à trois ? »
- « Mais quand tu veux ma chérie ! Tu devrais accorder quelques faveurs au patron, cela boosterait ta carrière… »
- « Je vois » répondit la journaliste. « On peut dire que la tienne a vraiment décollé ! »
- « Oui, c’est vrai… Et crois-moi, je ne regrette rien. Eric est un homme charmant. Non seulement il me baise très bien, mais il est gentil et j’adore travailler avec lui. Il est pragmatique, efficace et a de grandes ambitions pour notre groupe. C’est un sacré dragueur, mais tant qu’il me ramène de belles filles dans mon lit, je ne vais pas m’en plaindre… »
Aurore reconnaissait bien celle qui avait partagé son bureau pendant de longs mois. Marie SILVERSTEIN était très branchée cul et elle ne faisait pas de mystère de sa sexualité débridée. Cela leur valait, autrefois, la visite régulière de tous les play-boys du journal.
Aurore n’était pas spécialement coincée, mais depuis qu’elle était en couple avec Christophe, elle s’était considérablement assagie et était même devenue une femme fidèle. Le soir où le nouveau patron avait dragué Marie, elle aurait tout aussi bien pu finir dans son lit à sa place. Seulement, elle, avait résisté à ses avances !
- « Il va être l’heure que tu montes voir Eric » rappela Marie en consultant discrètement l’heure à sa montre Cartier, offerte pour son dernier anniversaire. « Ne le fais pas attendre, il a horreur de ça ! »
- « Tu as raison, j’y vais » répondit Aurore en se levant.
- « Repasse me voir après. Tu vas voir, il va te faire une proposition très alléchante que je lui ai fortement suggérée… Je pense à ta carrière ma chérie… »
Aurore sourit à son amie. Marie l’embrassa au coin des lèvres et lui donna une tape sur les fesses.
- « Allez, file ! Et pense à ton avenir… Nous avons un patron très tactile. Laisse-toi tripoter un peu, tu verras ta carrière décoller… »
Elle n’avait pas du tout l’intention de passer à la casserole pour favoriser sa carrière. Eric DEBLICKER était un homme qui marchait à l’intuition. Il aimait les femmes, ne rechignait pas à leur faire confiance quand il les estimait capables et, la « promotion canapé» dont on parlait tant dans la société, n’existait pas vraiment. Pour une femme, accorder ses faveurs au patron était une condition souvent nécessaire, mais pas du tout suffisante. Marie SILVERSTEIN en était l’exemple vivant. C’est largement en raison de ses compétences que le patron lui avait accordé ces promotions.
- « Ah, un dernier conseil… Passe aux toilettes et enlève ton string ! Eric adore les femmes qui ne portent pas de culotte. »
- « Ma pauvre, si tu crois que j’ai l’intention de lui montrer ma chatte… »
Aurore se contenta de hausser les épaules et elle quitta la pièce. Elle rejoignit le bureau du grand patron qui occupait presque tout le dernier étage. Elle était juste à l’heure.
Le bureau d’Eric DEBLICKER était immense et vide de tout papier. Le patron avait horreur du désordre et c’étaient ses trois secrétaires qui lui apportaient les documents dont il avait besoin, au moment où il en avait besoin.
Aurore se fit annoncer par une des secrétaires. Le patron la reçut immédiatement. Comme d’habitude, il avait l’air un peu soucieux et tendu mais lui adressa tout de même un sourire avenant.
Eric DEBLICKER était un bel athlète blond aux yeux dorés. Il était resté célibataire, mesurait 1,80m pour 76kg. C’était un séducteur. Il était né à Bruxelles et venait d’avoir 42 ans. Il portait un costume d’alpaga beige avec une chemise en soie. Marie SILVERSTEIN était une de ses maîtresses, mais pas la seule.
Il désigna un des fauteuils de cuir qui se trouvaient face à l’immense verrière au travers de laquelle on avait une vue imprenable sur les berges de la Seine. Aurore s’y installa et il vint s’asseoir en face d’elle.
- « Tout d’abord, Aurore, permettez-moi de vous féliciter pour hier soir. Vous avez vu, votre question fait vraiment le buzz… Il se pourrait que vous ayez relancé le suspense de cette élection présidentielle.»
La jeune journaliste rougit légèrement. Elle savait que le patron était plutôt avare de compliments. Il reprit.
- « En plus d’être intelligente, vous êtes ravissante. Cette petite robe noire vous va à merveille. Elle est moins décolletée que celle que vous portiez hier soir, mais elle est plus courte. Ceci compense cela… »
- « Je suppose que vous ne m’avez pas fait venir pour me parler de mode » se permit de le couper Aurore.
- « Non, bien sûr ! Hier soir vous avez fait votre entrée dans la cour des grands. Je pense qu’il serait dommage de végéter dans un quotidien de province. Je vous propose d’intégrer le service politique de la chaine TV Plus que nous avons lancée il y a quelques mois. Si tout se passe bien, dans quelques mois vous prendrez la direction de ce service. »
Aurore fit mine d’hésiter, mais elle connaissait déjà la réponse.
- « Franchement, je suis honorée de votre proposition, mais je crois que je vais continuer à végéter dans mon quotidien de province… »
- « Attendez ! » l’interrompit Eric DEBLICKER. « Je ne vous ai même pas parlé de votre salaire… Je vous propose le double de ce que vous gagnez actuellement. De plus, je sais qu’il vous en coûterait de quitter votre région. Le groupe vous trouvera donc un logement pour vous et vos proches et prendra en charge son loyer. »
- « Non vraiment, je ne m’en sens pas capable ! Et puis j’aime mon travail dans la presse écrite et il faudrait que mon compagnon me suive. »
- « C’est vraiment dommage » insista le directeur. « Nous aurions pu nous voir plus souvent » ajouta-t-il en posant sa main sur le genou d’Aurore.
Immédiatement, elle se redressa dans son fauteuil pour bien lui faire comprendre que son geste était déplacé. Eric DEBLICKER retira sa main, mais il se pencha en arrière. La jeune journaliste comprit que le regard plongeant entre ses cuisses essayait de vérifier la présence d’une culotte. Elle en portait une, dommage…
Machinalement, Aurore serra les jambes. Eric DEBLICKER comprit que la copine de Marie n’avait pas l’intention de lui céder. Il ne lui en tiendrait pas rigueur. Au contraire, cette résistance l’émoustillait plutôt.
Avec son physique avantageux, sa prestance et sa position sociale, les femmes lui résistaient rarement. Pour une fois qu’une qui lui plaisait vraiment ne se laissait pas faire, il allait pouvoir faire un peu de sport.
- « J’avais prévu que nous déjeunions ensemble » reprit le grand patron. « Hélas un ennui de dernière minute m’oblige à déjeuner avec le président du CSA. Marie se fera un plaisir de déjeuner avec vous et j’espère que vous nous ferez l’honneur d’être avec nous ce soir… »
- « Ah non, désolée, je rentre à Bordeaux ! » rétorqua Aurore assez sèchement.
- « Décidément, je n’ai pas de chance ! Réfléchissez quand même sérieusement à ma proposition » ajouta-t-il en se levant pour lui signifier que l’entretien était terminé. « Vous méritez une exposition médiatique forte. »
Aurore se leva à son tour pour prendre congé de lui. Avec malice, il l’obligea à passer entre lui et la baie vitrée et en profita pour poser la main sur sa hanche pour l’aider à se faufiler. Son geste était presque naturel, mais la main ne s’écartait pas. Au contraire, elle descendit vers ses fesses.
- « Ce cochon aura tout de même réussi à me mettre la main au cul ! » se dit Aurore en quittant son bureau.
A peine fut-elle sortie qu’il prit le téléphone.
- « Marie ? Dis-moi, ta copine ne serait pas un peu coincée ? »
- « Je t’avais prévenu » répondit sa maitresse et Directrice de la Communication en rigolant. « Elle n’est pas facile… »
- « En tous cas, elle a un cul superbe ! Je la veux dans notre lit, débrouille-toi ! »
- « Cochon, moi-aussi je la veux !... Et depuis des années ! »
Marie raccrocha car Aurore arrivait de nouveau dans son bureau. Elle lui proposa de venir déjeuner avec elle. La jeune journaliste hésita, insistant sur l’heure à laquelle elle devait prendre son TGV.
Sa copine lui promit qu’elle ne le raterait pas et elles partirent prendre une collation rapide dans un petit restaurant du quartier. Elles discutèrent beaucoup de leurs vies respectives et se remémorèrent les moments de complicité qu’elles avaient connus quand elles partageaient le même bureau. Marie eut beau insister, Aurore ne voulut pas décaler son retour une nouvelle fois. Elle lui fit promettre que, la prochaine fois qu’elle serait à Paris, elle viendrait la veille et dormirait chez elle.
Aurore CHASTEL rentrait à Bordeaux après une expérience télévisuelle réussie. Elle n’imaginait pas à quel point cette soudaine notoriété allait bouleverser sa vie…

à suivre...
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GILLESBDX
 
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Messagepar GILLESBDX » Lun 29 Fév 2016 14:25

Le premier tour de l’élection



Le week-end suivant avait lieu le premier tour de la première élection présidentielle de la VIème République. La semaine avait été mouvementée sur le plan politique. Suite à leurs déclarations concernant la vice-présidence et leur sorte d’union sacrée contre la candidate d’extrême droite, Mariama DIALLO et Yasmina SIMON-ELAKRI occupaient le devant de la scène.
Les ténors du Parti Socialiste étaient intervenus pour dire que l’engagement de leur candidate à choisir Mariama DIALLO comme vice-présidente ne respectait pas les engagements du parti, mais Yasmina SIMON-ELAKRI avait confirmé sa promesse, ce qui lui avait valu de regagner quelques points dans les sondages. Visiblement certains électeurs de gauche appréciaient cette union contre la candidate du « Rassemblement Bleu Marine ».
Du côté de l’UDI, la communication avait été beaucoup mieux orchestrée. Si l’aile droite du parti ne comprenait pas cet engagement envers la candidate du PS, une bonne partie des dirigeants approuvaient la décision de Mariama DIALLO. Ils étaient surtout réalistes. Les nouveaux scandales qui avaient secoué l’UMP avaient beaucoup nui à l’image de ce parti qui était leur allié historique. François REVOL, le président sortant, avait été préservé par les scandales, mais il était devenu très impopulaire. Si le volet « suppression du Sénat et réduction du nombre de députés » de sa réforme institutionnelle passait plutôt bien dans l’opinion, le découpage régional de la France et surtout le choix des « Métropoles Régionales », siège des « Assemblées Territoriales » était beaucoup plus contesté.
Paris était le siège d’une région « Ile de France - Normandie ». Lille avait été choisie comme métropole d’une région « Nord - Picardie - Champagne », Strasbourg était le siège de la région « Alsace – Lorraine – Franche-Comté ». Nantes se voyait confier la destinée d’une immense région « Grand Ouest » qui allait de la Manche à la Charente Maritime. Toulouse devenait le siège de l’assemblée « Sud-Ouest », au grand dam du maire de Bordeaux. La région « Centre » avait pour métropole Orléans, ce qui avait rendu furieux les habitants de Limoges, mais aussi ceux de Clermont-Ferrand, puisqu’une grande partie du Massif Central avait été rattachée à une très grande région « Rhône-Alpes - Bourgogne - Auvergne » dont le siège était Lyon. Le bassin de la Méditerranée, par contre, avait connu peu de changements dans son découpage. La région « Languedoc – Roussillon », dont le siège était Montpellier, avait englobé l’Aveyron et le Tarn. Quant à la région « Provence – Côte d’Azur », ses contours n’avaient pas changé. Marseille en restait la métropole et on n’avait surtout pas voulu étendre le territoire d’une région où l’extrême-droite régnait en maître. La Corse avait obtenu un statut à part. Les indépendantistes étaient de plus en plus puissants et elle était désormais assimilée à un Territoire d’Outre-Mer.
Dans les derniers sondages, Mariama DIALLO avait encore progressé. Un des instituts la donnait même deuxième, devant François REVOL. Au premier tour, la participation fut plutôt bonne. En tous cas, meilleure que lors des élections précédentes.
A 20 heures pile, le présentateur du JT annonça les résultats qui s’affichaient simultanément à l’écran. Ce n’étaient, évidemment que des estimations. La surprise était de taille.
Cécile DE COLBERT : 29,1% ; Mariama DIALLO : 19,3% ; Yasmina SIMON-ELAKRI : 16,5% ; François REVOL : 14,0% ; Luc GRISEL : 10,2% ; Pierre-Henri HERMANN : 8,9%. Les autres candidats obtenaient moins de 0,5% et totalisaient 2,0% réunis.
Ainsi, les deux candidates du débat auquel avait participé Aurore semblaient avoir réussi leur pari. Elles devançaient toutes les deux le président sortant et l’écart était tel dans les estimations qu’il était presque certain qu’il ne serait pas au second tour.
Mariama DIALLO avait gagné 7 points depuis le début de sa campagne et Cécile DE COLBERT en avait perdu 6. Mais la chute de François REVOL était, elle aussi, spectaculaire. Il avait perdu un peu plus de 5 points.
Ce soir-là, comme presque tous les journalistes politiques, Aurore CHASTEL était sur le pont. C’est sur le grand écran installé dans la rédaction du journal qu’elle prit connaissance des résultats. Eric DEBLICKER avait bien essayé de la faire participer à la soirée électorale que la chaine TV Plus, dans laquelle il voulait lui confier des responsabilités, organisait ce soir-là, mais elle était têtue. Elle avait poliment décliné l’offre et lui avait dit que son journal comptait beaucoup sur elle pour préparer l’éditorial du lendemain, ce qui était vrai.
Certains journalistes étaient sur le terrain pour analyser les scores locaux et recueillir les impressions de personnalités de la région, mais Aurore était à la rédaction. Son article sur le maire de Bordeaux et sa participation au débat télévisé avaient fait d’elle une des vedettes de la rédaction. Le rédacteur en chef lui avait demandé d’être à ses côtés pour coordonner cette soirée électorale et préparer la une du lendemain.
Sur l’écran de la rédaction, elle regarda se succéder les principaux candidats. Cécile DE COLBERT fut la première à s’exprimer. Comme à son habitude, elle fustigea les candidats dont l’acharnement contre son parti était «une insulte à l’égard de tous les électeurs qui lui faisaient confiance ». Elle rappela son engagement à lutter contre l’immigration massive et la mainmise des institutions européennes sur la politique de la France. Elle profita de l’occasion pour appâter tous ceux qui ne se reconnaissaient pas dans une candidate issue de l’immigration.
François REVOL s’exprima un peu plus tard. Il ne voulut pas reconnaître formellement sa défaite, mais on sentait qu’il ne se faisait plus d’illusion. Au journaliste qui lui posait la question de consignes de vote éventuelles pour le second tour, il répondit que l’UMP se réunirait au lendemain du premier tour et aviserait, si toutefois il était éliminé.
La déclaration de Yasmina SIMON-ELAKRI était très attendue. Même si les estimations ne la donnaient que troisième, elle envisageait d’être au second tour. Elle se félicitait du recul du président sortant et rappela son engagement réciproque avec la candidate de l’UDI.
Luc GRISEL déclara que, quel que soit son adversaire, il appellerait à battre la candidate d’extrême droite. Pierre-Henri HERMANN fit à peu près la même déclaration. Il était déçu du score des écologistes que les estimations donnaient derrière l’extrême gauche, mais il se félicitait de voir le président sortant battu, compte tenu de sa politique industrielle catastrophique pour l’écologie.
Mais la déclaration la plus attendue était celle de Mariama DIALLO. Plus la soirée avançait, plus les résultats se confirmaient. Elle serait au second tour. Elle remercia les électeurs qui lui avaient fait confiance et expliqua qu’il faudrait encore se mobiliser davantage pour battre la candidate d’extrême droite. Selon un discours désormais bien rôdé, elle appelait toutes les formations politiques démocratiques à la soutenir. On lui reposa la question de la vice-présidente. Elle répondit qu’elle n’était pas femme à revenir sur ses engagements et que Yasmina SIMON-ELAKRI serait sa vice-présidente si elle acceptait le poste.
Aurore CHASTEL prenait des notes. Elle était en pleine réflexion sur la conception de son article du lendemain quand son Smartphone sonna. Elle décrocha sans même regarder de qui provenait l’appel.
- « Allo, mademoiselle CHASTEL ? C’est Bernard POMEROL, Maire de Bordeaux. »
- « Ravie de votre appel » répondit Aurore qui lui avait laissé son numéro de portable sans penser une seule seconde qu’il l’appellerait un jour.
- « Tout d’abord, je tenais à vous féliciter pour votre intervention télévisée de l’autre jour que j’ai suivie avec attention. »
- « Je vous en remercie, monsieur le Premier Ministre » dit-elle en prenant soin d’utiliser le titre le plus élevé qui avait été le sien. »
- « Vous savez que je vous apprécie particulièrement » reprit le premier magistrat de la ville. « Comme vous l’avez constaté, j’ai pris beaucoup de recul par rapport à la vie politique nationale. Je voulais cependant vous accorder la primeur de ma position officielle : je soutiens sans réserve la candidature de Mariama DIALLO. Vous pouvez l’écrire… D’ailleurs c’est bien fait pour ce con de REVOL qui a abandonné la ville de Bordeaux après tous les travaux et les transformations que j’ai réalisées ! Par contre, cela, si vous le dites, ne reprenez pas mes propres termes… »
Aurore le remercia sincèrement. Elle le connaissait depuis qu’elle avait 12 ans. Elle avait fait partie du conseil municipal jeune de la ville, quand elle était revenue vivre à Bordeaux chez sa tante. Le maire l’avait repérée. Elle s’était distinguée par la pertinence et l’originalité de ses propositions et c’est cette expérience qui lui avait donné le goût du journalisme et de la politique.
Bernard POMEROL, qui avait désormais 82 ans, ne l’avait pas oubliée. Lorsqu’elle avait sollicité une interview pour son journal, il l’avait tout de suite reconnue. A présent, il pensait à elle pour lui accorder, en exclusivité, ses points de vue et analyses politiques.
Aurore alla informer immédiatement le rédacteur en chef qu’elle venait d’obtenir encore une révélation exclusive du maire de Bordeaux. Il était en train de la féliciter quand la sonnerie de son Smartphone retentit de nouveau. C’était un numéro inconnu.
- « Aurore CHASTEL ? Ne quittez pas, je vous passe Mariama DIALLO. »
La journaliste crut à une plaisanterie, mais elle reconnut immédiatement la candidate de l’UDI ?
- « Allo, Aurore ? Je voulais vous remercier, c’est un peu grâce à vous si je suis au second tour… »
- « N’exagérons rien ! Je me suis contenté de vous poser une question durant le débat » répondit Aurore.
- « Je sais, mais sans cette question je n’aurais jamais eu l’audace de proposer publiquement à Yasmina d’être vice-présidente. C’est incontestablement cette main tendue à l’opposition qui m’a valu la sympathie de bon nombre d’électeurs et je crois que les communautés immigrées se sont mobilisées dès le premier tour. »
- « Tant mieux. Il vous reste à battre Cécile DE COLBERT. »
- « Oui, j’ai bon espoir. Tout dépend de la participation au second tour. J’ai eu un peu de mal à me procurer votre numéro de téléphone. J’ai dû appeler Eric DEBLICKER. Je voulais vous dire que je tiendrai la promesse que je ne vous ai pas faite. Si vous tenez à faire un reportage sur la préparation du second tour, je suis d’accord ! »
- « C’est vrai ? » ne put s’empêcher de demander Aurore qui en rêvait.
- « Oui, venez me voir demain au siège de l’UDI, dans le 15ème arrondissement à Paris. Je vous dévoilerai les grandes lignes de mon plan de campagne pour le second tour et vous pourrez m’accompagner dans mes meetings si le cœur vous en dit. Mais je vous préviens, prenez des vitamines ! »
- « Vraiment, je vous remercie très sincèrement. Suivre une candidate entre les deux tours est un vieux rêve. Si mon patron est d’accord, je vous rejoindrai demain en début d’après-midi. »
- « Ne vous en faites pas pour votre patron. Dites-lui seulement qu’Eric DEBLICKER est au courant et qu’il est d’accord. A demain Aurore.»
Aurore s’empressa d’informer son rédacteur en chef de l’appel incroyable qu’elle venait de recevoir. Elle lui demanda s’il ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’elle parte rejoindre la candidate du second tour.
- « Evidemment que tu vas y aller ! » s’empressa de répondre le quinquagénaire. « Si j’avais eu une opportunité pareille dans ma carrière, je ne l’aurais laissé passer pour rien au monde ! Ecris-moi en vitesse ce que t’a dit POMEROL et file chez toi préparer tes affaires pour la semaine. »
- « Mais, et la une de demain ? »
- « Je me démerderai avec la une ! »
Aurore était si contente qu’elle l’embrassa sur le front. Une heure plus tard, elle avait rédigé son article sur la position de Bernard POMEROL et filait chez elle.
Quand elle arriva, elle trouva Christophe endormi sur le canapé. Normalement, elle n’aurait dû rentrer que beaucoup plus tard. Sans faire de bruit, elle alla allumer son ordinateur portable. Elle voulait réserver une place dans le TGV avant qu’ils ne soient tous complets. Elle aurait pu le faire au journal, mais elle n’y avait pas pensé.
Elle imprima sa réservation. Ce fut le bruit de l’imprimante qui réveilla son compagnon. Elle rangea son ordinateur et alla s’asseoir près de lui. Quand elle posa ses lèvres sur les siennes, il ferma de nouveau les yeux. Il adorait les tendres baisers de sa future épouse. Immédiatement, il mit la main sur son sexe. Aurore le laissa caresser son clitoris, puis elle ouvrit sa braguette. Elle sortit son sexe et se pencha pour !e prendre en bouche. Elle adorait bien l’exciter avec une fellation avant qu’il la prenne.
Christophe prit un plaisir immense à se laisser sucer sur le canapé. Sa verge avait pris des proportions conséquentes et il avait envie de faire l’amour à sa compagne. Il lui releva la tête et lui dit :
- « Viens sur moi chérie…»
- « Non, allons plutôt dans la chambre » répondit Aurore. « J’ai envie que tu prennes ton temps »
Elle se leva et le prit par la main. C’était une femme assez soumise dans sa sexualité, mais elle aimait parfois prendre l’initiative. Christophe la suivit sans dire un mot. Arrivés dans la chambre, elle le déshabilla complètement et se mit nue elle aussi.
Elle était vraiment belle. Ses jambes étaient parfaites et la cambrure de ses reins mettait en évidence un postérieur à faire bander un eunuque ! Christophe la caressa avec des gestes tendres. Il insista sur l’intérieur des cuisses, puis ses mains remontèrent vers ce sexe merveilleux qu’il adorait. Sa bouche l’effleura légèrement, puis il reprit sa progression vers les seins d’Aurore. Il avait envie de les embrasser, de les téter, de les mordre…
Avec une lenteur calculée il la fit attendre, se contentant de la regarder, la laissant se cambrer et avancer son bassin vers lui, mais il ne la pénétrait toujours pas.
Aurore en avait follement envie. Elle savait qu’il avait envie qu’elle le lui demande, qu’elle le supplie presque de la prendre, mais elle voulait le faire craquer. Elle se retourna et lui présenta son postérieur. Ses fesses étaient splendides.
Christophe se mit derrière elle et l’embrassa tendrement dans le cou. Il savait que les baisers à cet endroit-là lui faisaient beaucoup d’effet. Aurore releva sa croupe incendiaire et il ne put résister. Il embrassa les fesses douces et lisses, puis les écarta et parcourut de sa langue le sillon qui les séparait. Elle gémit doucement. Ecartant un peu plus, Christophe regarda son petit trou parfaitement épilé. Il y glissa sa langue. Il savait qu’Aurore adorait cela.
Elle se pencha un peu plus en avant et écarta légèrement les jambes. Il avait une vue splendide sur ce sexe de femme luisant de désir. N’y tenant plus, il abandonna sa caresse buccale et la prit en levrette. Son membre s’enfonça facilement entre les lèvres humides et il fit des allers retours de plus en plus rapides.
- « Oui, c’est bon… Baise-moi ! » dit Aurore d’une voix un peu rauque.
Christophe se sentit encouragé et il fit claquer son ventre contre le postérieur de son amie. Il aimait la prendre presque sauvagement. Il la saisit par les hanches et donna des coups de boutoir qui la firent jouir assez rapidement.
Aurore essaya de ne pas crier trop fort pour ne pas réveiller le petit, mais son orgasme était intense. Soudain, Christophe se contracta et se vida en elle, profondément.
Elle expulsa le sperme de son amant et il le regarda couler le long de son sexe, puis de ses jambes. Il était très voyeur, comme la plupart des hommes, et elle le savait bien. Après qu’il eut bien profité du spectacle, il se leva et partit dans la salle de bains. Aurore le rejoignit comme elle le faisait d’habitude.
- « Tu sais, je vais devoir repartir à Paris dès demain matin » lui annonça-t-elle.
- « Encore ? »
- « Oui, et cette fois pour une semaine. »
Christophe ne fit aucune remarque. C’était la règle entre eux. Chacun avait confiance en l’autre. Leurs relations de couple étaient très harmonieuses. Bien qu’il ne lui demande aucune explication, Aurore lui expliqua qu’elle allait suivre Mariama DIALLO jusqu’au second tour.
Pour la taquiner un peu, il lui dit qu’elle avait bien de la chance et qu’il aurait, lui-aussi, bien partagé l’intimité de la belle black. Aurore savait qu’il plaisantait, même s’il fantasmait sur la candidate de l’UDI.
- « Méfie-toi que ce ne soit pas moi qui trouve un amant » plaisanta Aurore.
Faisant mine de croire à sa menace, Christophe l’attrapa par les poignets et la coucha sur ses genoux. Elle se débattit mollement et il lui administra une fessée au beau milieu de la salle de bains. Ils adoraient ce genre de petit jeu érotique et il voulut encore lui faire l’amour, mais il ne lui restait que quelques heures à dormir et elle n’avait pas encore préparé ses affaires.
Il dut se contenter d’un tendre baiser et ils passèrent la nuit enlacés dans les bras l’un de l’autre.
Aurore s’endormit en pensant à cette folle semaine qui l’attendait à Paris et sur les routes de France. Pas sûr que leur couple résiste à ces absences répétées et prolongées, mais elle aimait tellement cette nouvelle tournure que prenait sa carrière qu’elle se sentait presque prête à accepter la proposition que lui avait faite le patron du Groupe MEDIA-PRESSE.
En tous cas, cette semaine serait décisive…

à suivre...
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