Histoires adultères

juste pour info quel est le fantasme qui a provoqué sa suppression?

Je ne tiens pas trop à en reparler...

J'adore les histoires d'adultère, surtout si les récits sont vrais.

Surpris de la disparation de ce post, j'adore tes histoires continue !!!
je comprend pas pourquoi il a été supprimé, j'ai du rater quelque chose.

Pareil que Riri...
On a du rater un épisode...
Dommage

Bon, je vous que vous avez envie que je recommence...

Pour faire plaisir à son mari, je vais republier l'histoire de SOPHIE.
N'hésitez pas à la commenter, il adore cela !

Une photo de SOPHIE quand elle avait un peu plus de 18 ans

Moi, je la trouve toujours aussi belle à 40 ans

Premier contact

Sophie avait quarante ans depuis peu. Cette infirmière était vraiment bien conservée et était assez coquette. Bien souvent, elle ne travaillait pas l’après-midi, le mercredi en particulier. C’était donc elle qui, tout naturellement conduisait ses enfants aux activités sportives. Elle y retrouvait les mamans d’autres enfants et, à force, elles devenaient des amies. Ce jour-là, c’était Antoine, un quadragénaire plutôt séduisant qui avait accompagné les siens. Sa femme était malade et, en bon père, il avait pris son après-midi pour qu’ils ne manquent pas leurs activités sportives.
Sophie le connaissait peu et, surmontant sa timidité naturelle, elle s’approcha de lui pour lui demander des nouvelles de sa femme.
- « Oh, rien de grave » répondit le bel homme à la carrure d’athlète « C’est juste une petite grippe… »
- « Attention, la grippe peut être dangereuse si elle est mal soignée » fit remarquer Sophie.
- « Je sais, vous êtes médecin ? »
- « Non, infirmière. Mais c’est tout de même le milieu médical. »
Dans l’immédiat, leur conversation en resta là. Pourtant, moins de cinq minutes plus tard, Antoine se rapprocha à nouveau de Sophie. Ce jour-là, malgré le froid, elle portait une jupe assez courte et semblait avoir des bas. Le bel homme, que la plupart des mères de famille avaient repéré, semblait avoir flashé sur cette blonde aux yeux clairs qu’il trouvait particulièrement sexy.
- « On se gèle » déclara Antoine. « Vous ne voulez pas qu’on aille prendre quelque chose de chaud ? »
- « C’est vrai qu’il fait froid aujourd’hui… Mais vous savez, j’ai l’habitude d’attendre mes enfants ici et nous ne nous connaissons pas vraiment… »
- « Justement, c’est l’occasion de faire un peu mieux connaissance. Vous me donnerez quelques conseils pour bien soigner ma femme. »
Sophie sembla hésiter. Bien sûr, elle le trouvait très sympathique et beau garçon, mais elle était une femme mariée et sage. De plus elle connaissait bien son épouse et n’avait pas envie que les autres femmes, dont certaines reluquaient, à n’en pas douter, le quadragénaire avec convoitise, aillent lui raconter qu’elle était partie boire un verre avec son mari. Elle revint vers Antoine et lui débita sa phrase d’une manière saccadée, comme si elle l’avait apprise par chœur.
- « Je veux bien qu’on aille prendre quelque chose de chaud, mais j’ai une réputation à préserver. Je ne veux pas qu’on puisse nous voir partir ensemble » déclara-t-elle d’un trait.
Antoine sourit. Il ne savait trop comment interpréter cette déclaration surprenante. Etait-ce une pruderie et une timidité excessives ? Devait-il au contraire interpréter cela comme un signe qu’elle était prête à lui succomber ? »
L’essentiel était d’enfoncer le clou (à défaut d’enfoncer autre chose, comme il aurait bien aimé le faire un peu plus tard). Il lui fit un léger clin d’œil.
- « D’accord, on se retrouve au café de l’avenue » glissa-t-il très discrètement avant de prendre la direction de sa voiture.
Sophie avança jusque vers son propre véhicule, environ une minute plus tard et mit le contact avec une certaine fébrilité.
- « Je suis folle » se dit-elle. « Accepter l’invitation d’un inconnu… Je suis une femme mariée, je n’ai pas le droit !»
Puis elle se ravisa. Que faisait-elle de mal ? Aller boire un chocolat chaud avec le père de deux enfants qui faisaient du sport avec les siens, il n’y avait pas de quoi fouetter un chat. Ni une chatte d’ailleurs ajouta-t-elle pour elle-même en l’imaginant, dans son subconscient, caresser son pubis avec les lanières d’un martinet.
Elle chassa vite cette pensée adultère et le rejoignit à la table à laquelle il était déjà installé. Il la fit asseoir et lui demanda ce qu’elle avait envie de consommer.
- « Un grand chocolat chaud » répondit Sophie. « Je suis gelée… Avec ce froid, j’aurais dû prendre des gants »
- « Deux chocolats chauds ! » commanda Antoine.
- « J’ai les mains gelées ! » dit Sophie en soufflant dans ses doigts engourdis.
- « Faites voir ! » fit le séduisant homme brun en lui prenant les mains avec autorité.
Antoine glissa les doigts de Sophie entre ses paumes et souffla dessus pour les réchauffer. Elle se sentit profondément troublée, mais n’osa pas protester. Progressivement, elle se mit à rougir. A sa grande honte, il lui faisait vraiment de l’effet et, tout en respirant les effluves de son after-shave, elle ressentit une sorte de contraction dans le bas-ventre.
- « Tu devrais dégrafer ton manteau » dit-il en la tutoyant soudain.
- « Je… C’est vrai » balbutia la charmante blonde de plus en plus troublée.
- « Hum, sublime décolleté » commenta Antoine quand Sophie apparut dans son chemisier blanc.
A ce moment-là, elle se dit qu’elle aurait dû se lever, lui jeter un regard noir et quitter le café, mais elle n’en fit rien. Elle se contenta de répondre d’une voix timide.
- « Merci, c’est gentil… »
- « Tu sais que tu me plais beaucoup ? » ajouta ce dragueur en approchant sa main de la cuisse de Sophie.
Instinctivement, elle se recula. Antoine comprit qu’il était encore trop tôt pour déclencher la grande offensive. Pourtant, il notait de nombreux signes positifs. D’abord elle avait finalement accepté de venir prendre ce chocolat. Ensuite, elle n’avait pas protesté quand il avait pris ses mains dans les siennes. Le tutoiement était passé comme une lettre à la poste. Et enfin, sa réponse au compliment sur le décolleté était pleine de promesses. D’ailleurs, depuis qu’elle avait retiré son manteau, il ne cessait de loucher sur l’ouverture du chemisier et finit par apercevoir les dentelles blanches d’un soutien-gorge parfaitement affriolant.
Aucun doute, même si sa femme était guérie, c’est encore lui qui amènerait ses enfants le mercredi suivant.

Une entrée en matière bien sympathique, c'est la même Sophie que sur la photo ?

merci d'agrémenter tes récits avec de jolies photos....

Embrasse-moi, idiot

Effectivement, le mercredi suivant, Antoine était encore là. Il vint directement vers Sophie et lui fit la bise comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Au milieu des autres mamans, elle ne savait plus où se mettre.
- « Tu vas bien, Sophie ? » demanda-t-il. « Ma femme va mieux, mais elle se sentait encore un peu patraque. »
- « Ça va » répondit Sophie un peu déroutée.
Il lui laissa à peine le temps de réagir. Dès que les enfants eurent commencé leurs activités, il revint vers elle et la prit par l’épaule.
- « Bon, tu viens ? » demanda Antoine. « On va le boire ce chocolat chaud ? »
Elle sourit enfin. Sophie le trouvait franchement culotté, mais il faisait froid cette semaine-là aussi et une boisson chaude lui ferait le plus grand bien. De plus, si elle restait là, elle aurait à subir un véritable interrogatoire de la part de ces femmes qui fantasmaient toutes sur ce beau gosse. Du coup, elle le suivit jusqu’au parking.
- « Cette fois, tout le monde nous a vu partir ensemble » déclara-t-il. « Pas la peine de prendre deux voitures… »
Sophie acquiesça et monta dans la voiture du séducteur.
- « On va juste boire un chocolat » essaya-t-elle de se persuader. « Je suis une femme mariée… »
En montant dans la voiture de sport assez basse, sa jupe remonta et découvrit le haut de ses bas.
- « Joli ! » s’exclama Antoine en posant sa main sur la cuisse de Sophie.
- « Arrête tout de suite, sinon je descends ! » protesta sa passagère.
- « Pas la peine de faire semblant !» reprit l’homme en démarrant sèchement. « Je te plais… Tu me plais… Nous n’allons pas tourner autour du pot pendant cinquante ans !»
- « Nous sommes mariés tous les deux ! » fit remarquer Sophie.
- « C’est vrai, mais je te trouve superbe » ajouta-t-il avec un petit sourire en coin en rejoignant le bar où ils étaient allés la semaine précédente.
En pénétrant dans l’établissement, ils s’installèrent à la même table que la dernière fois. Antoine fit remarquer que les habitudes s’installaient très vite. Sophie dût reconnaître que, sur ce point, il avait raison. A peine furent-ils assis qu’il prit les mains de Sophie entre les siennes et souffla de l’air chaud sur ses doigts.
- « Laisse-moi te réchauffer » dit-il.
Sophie n’essaya même pas de protester. Il lui fit signe de retirer son manteau, ce qu’elle fit avec les gestes d’un automate. Le serveur, qui les avait reconnus, leur proposa un chocolat chaud. Lui aussi semblait apporter la preuve que les habitudes s’installaient très vite…
Bien que ses mains se furent réchauffées, Antoine le lâcha pas celles de Sophie. Au contraire, ses doigts se mêlèrent aux siens.
- « J’ai une envie folle de t’embrasser » murmura Antoine en approchant sa tête de celle de Sophie.
- « Non, ne fais pas cela ! » protesta mollement Sophie.
Le beau brun ténébreux souleva les cheveux de cette femme qui lui plaisait vraiment. Il déposa un tendre baiser au creux de son cou et reprit enfin une attitude décente. Cette belle blonde aux cheveux mi- longs était tout à fait le type de femme qu’il adorait. Elle était assez grande, plutôt longiligne sans être maigre et ses doigts fin manucurés, ornés de fines bagues dorées lui plaisaient beaucoup. Il aimait beaucoup les seins de cette femme dont il percevait la forme au travers du chemisier blanc et dont les pointes semblaient se dresser facilement.
Sophie portait des bas. Pour Antoine, c’était le signe d’une sensualité certaine. Il avait horreur des collants. Sa femme ne portait que cela !
Le temps passa très vite. Il fut bientôt l’heure de retourner chercher les enfants. Avec beaucoup de galanterie, il aida Sophie à remettre son manteau. Il régla l’addition et ils sortirent du café. Antoine la tenait par la taille.
Au moment de remonter dans la voiture, l’homme lui ouvrit la portière. Sophie allait monter. Elle n’était pas dupe et savait que le regard d’Antoine allait, une fois encore, plonger sous sa jupe et se régaler du spectacle de ses cuisses offertes. C’est alors qu’il se produisit une sorte de déclic dans l’esprit de Sophie. Elle se releva et lui fit face. Elle posa la joue contre son torse puissant et ses yeux clairs croisèrent le regard d’Antoine.
- « Embrasse-moi, idiot ! » dit-elle en lui présentant ses lèvres.
Malgré sa surprise immense, Antoine n’allait pas laisser passer une occasion pareille. Il posa sa bouche sur celle de cette femme dont il avait de plus en plus envie et ils échangèrent un baiser tendre et passionné qui se prolongea plusieurs minutes.
Durant le court trajet qui les ramena au parking, la main droite d’Antoine ne quitta pas la cuisse gauche de Sophie. Il caressa doucement le nylon et ses doigts remontèrent un instant jusqu’à la lisière des bas. Il voulait sentir le grain de la peau des cuisses de sa passagère avant qu’ils ne retournent avec les autres parents.
Chacun récupéra ses enfants et ils ne se firent qu’un petit signe de la main au moment de se séparer. Désormais, c’était Sophie qui espérait qu’il viendrait le mercredi suivant. Pourvu que les autres mamans ne posent pas trop de question et n’en parlent ni à son mari, ni à l’épouse d’Antoine !

à suivre...

réponse à lol31 : "oui c'est la même SOPHIE" que sur la photo"

Un coup de fil troublant

La semaine suivante, Sophie arriva de bonne heure. La séance d’entrainement durait deux fois plus longtemps, en raison d’une compétition qui aurait lieu le week-end prochain. Sur le parking, elle ne vit pas la voiture d’Antoine. Sans doute n’était-il pas encore arrivé…
Elle aida ses enfants à se préparer, puis retourna vers le reste du groupe. Soudain, derrière elle, une voix féminine l’interpela.
- « Salut Sophie.Ca va ? »
Elle se retourna immédiatement et se trouva face à l’épouse d’Antoine. Quelle déception ! Ainsi, c’était elle qui avait amené les enfants à l’entrainement… Sophie lui demanda des nouvelles de sa santé, mais elle écoutait à peine ce que lui racontait la femme du séducteur. L’espace d’un instant, elle s’était sentie profondément frustrée de ne pas retrouver celui qui l’avait embrassée, mais elle était en train de se raisonner. C’était probablement mieux qu’il ne soit pas là. Elle aimait son mari et savait que, si elle avait retrouvé Antoine, elle aurait probablement fait une bêtise.
C’est alors que son téléphone sonna. C’était un numéro qu’elle ne connaissait pas, mais elle décrocha tout de même.
- « Sophie ? C’est Antoine…»
Immédiatement, elle se sentit comme liquéfiée. La voix chaude de celui qu’elle avait espéré retrouver, produisait sur elle un effet formidable. Elle s’isola pour répondre.
- « Antoine ? Mais je suis à quelques mètres de ta femme…»
- « Je sais, elle a tellement insisté pour amener les enfants. Rejoins-moi au café ! »
- « Mais, ton épouse… »
- « Elle me croit au travail. Dis-lui que tu dois aller faire une course. Demande-lui de veiller sur tes enfants. »
- « Mais… » balbutia une fois de plus la pauvre Sophie, complètement troublée par cet appel.
- « Rejoins-moi ! » ajouta-t-il seulement avant de raccrocher.
Sophie était complètement partagée entre l’envie irrésistible de rejoindre Antoine, vers lequel la poussait son corps et la raison qui aurait voulu qu’elle reste sagement avec l’épouse de ce dernier. Pourtant, elle revint vers la femme de ce beau brun et lui annonça qu’il fallait absolument qu’elle s’absente le temps de faire une course. Elle lui demanda de veiller sur ses enfants.
Fébrilement, elle rejoignit le café. Antoine l’attendait à la même table que d‘habitude. Cette fois, il se leva et la prit directement dans ses bras. Il l’embrassa avec fougue sous l’œil goguenard du serveur, discrètement embusqué derrière son bar. Sophie retira son manteau. Elle portait, une fois encore un chemisier blanc et une jupe, encore plus courte que la fois précédente. Cette fois, elle avait mis des bas blancs.
- « Tu es splendide… » lui dit Antoine.
- « N’en fais pas trop ! » rétorqua Sophie un peu sèchement. « Au fait, comment as-tu eu mon numéro de téléphone ? »
- « C’est ton mari qui me l’a donné. Le week-end dernier, je l’ai croisé à la compétition. Je lui ai dit qu’un jour l’un de nous pourrait avoir un problème pour récupérer les enfants et je lui ai proposé que nous échangions nos numéros de portables. Il m’a donné le tien et le sien… »
- « Bien joué ! » répondit la belle blonde en souriant.
Le serveur avait apporté deux chocolats, sans même leur demander ce qu’ils souhaitaient. Ils le burent rapidement et Antoine se rapprocha de Sophie. Il prit sa main, caressa ses cheveux, puis fit remonter ses doigts jusqu’à la lisière des bas comme il l’avait fait la semaine précédente. Sans vraiment comprendre pourquoi, elle ne fit rien pour l’en empêcher et l’arrêta seulement quand sa main fit remonter la jupe.
- « Chut ! Nous ne sommes pas seuls… » dit-elle en jetant un coup d’œil vers le bar.
- « Si nous l’étions tu me laisserais faire ? » demanda insidieusement Antoine.
- « Qui sait ? » répondit Sophie.
- « J’ai envie de sentir ton parfum intime. » lui glissa-t-il contre toute attente. « Va aux toilettes et retire ta culotte ! »
- « Ça ne va pas ? » s’offusqua-t-elle en rougissant.
- « S’il te plait, fais-le ! » insista Antoine.
Profondément troublée, Sophie se leva et se rendit aux toilettes. Cet homme la rendait folle ! Une fois seule, elle retira son tanga de dentelles blanches et vérifia qu’il n’était pas trop souillé par des secrétions. Elle le glissa dans son sac et revint vers Antoine qui l’attendait le sourire aux lèvres.
- « Alors, c’est fait ? » demanda-t-il.
- « Oui », répondit timidement Sophie. « J’ai honte… »
- « Donne ! » lui dit Antoine.
Sophie prit discrètement la pièce de lingerie dans son sac et la glissa dans la main de son voisin. Il la remercia et porta le tanga à ses narines. Elle baissa les yeux et rougit comme une pivoine. Non seulement il respirait ses odeurs les plus intimes, mais il faisait des commentaires.
- « C’est vraiment délicieux. J’adore cette senteur poivrée… Tu sais que tu me fais bander ?»
- « Arrête ! » répondit Sophie inquiète de voir les choses dériver à une vitesse folle.
Antoine l’embrassa encore une fois et régla les consommations.
- « Tu viens, il nous reste une heure » dit-il à mi-voix. « Il y a un hôtel un peu plus loin. J’ai envie de découvrir tranquillement ton corps… »
- « Il n’en est pas question ! » s’énerva Sophie. « Nous sommes déjà allés beaucoup trop loin. Et puis ce ne serait pas raisonnable… »
- « Qui te parle d’être raisonnable ? »
- « Rends-moi ma culotte ! »
- « Pas question ! Et je ne veux plus que tu en portes quand tu viendras me rejoindre » poursuivit Antoine.
De plus en plus troublée, Sophie le suivit et monta dans sa voiture. Elle hésita une seconde entre tourner à droite et aller retrouver ses enfants et sa dignité ou succomber à la tentation. Elle prit finalement à gauche…

à suivre...

Merci
Le mari déjà complice sans le savoir ?

L’hôtel du plaisir

Sophie rejoignit Antoine qui venait de régler la chambre au distributeur automatique. Ce genre d’hôtel appartenant à de grandes chaines était pratique. Tout était automatisé. Plus de réceptionniste. Cela évitait de se sentir mal à l'aise lorsqu'on était un couple illégitime.
Ils arrivèrent dans la chambre. Elle était assez minimaliste, mais propre. Antoine aida Sophie à retirer son manteau et l’embrassa en commençant à déboutonner son chemisier. Malgré le trac qu’elle ressentait inévitablement, Sophie le laissa faire. Il défit les boutons un à un et vit le soutien-gorge assorti au tanga qu’elle avait retiré dans le café apparaître dans son champ de vision. Antoine trouvait qu’elle avait une poitrine vraiment magnifique. Il essaya de dégrafer le soutien-gorge et elle dût l’aider. Décidément, tous les hommes étaient aussi maladroits…
Il resta quelques secondes à contempler ses seins, puis avança enfin la main vers cette poitrine qu’il voyait pour la première fois. Il les trouvait fiers et arrogants. Ils étaient en forme de pomme. Les aréoles étaient claires et les pointes commençaient à se durcir. Il les fit rouler lentement sous ses doigts, puis ses paumes épousèrent le galbe de chaque sein.
Antoine se recula et alla s’asseoir sur le lit. Il ne quittait pas Sophie des yeux. Il commença à déboutonner sa chemise et la retira, puis il déboucla sa ceinture et enleva son pantalon et son slip. Il ôta ses chaussettes. Il était à présent entièrement nu et se masturbait doucement. Son membre commençait à prendre des proportions intéressantes…
Sophie n’avait pas bougé. Elle était comme paralysée au moment de passer à l’acte. Jamais encore, elle n’avait trompé son mari, mais cette fois, elle se disait qu’il était trop tard.
- « A toi… Retire ta jupe ! » dit Antoine avec une certaine douceur dans la voix.
Sans un mot, elle défit la fermeture éclair. Avant de laisser glisser la jupe, elle s’était retournée. L’homme qui était sur le point de devenir son amant ne vit d’abord que ses fesses. Il prit le temps de les détailler. Elles étaient fermes et bombées. Sophie avait des hanches larges, mais ses longues jambes affinaient sa silhouette. Ses bas blancs et ses chaussures à hauts talons les faisaient paraître encore plus grandes.
Antoine sut se montrer patient. Il avait compris qu’il ne fallait pas la brusquer et il la regarda enjamber la jupe, toujours sans se retourner. Il adorait l’instant magique de la découverte du corps d’une partenaire. Sophie appréciait qu’il prenne son temps. Elle avait horreur des choses bâclées. D’un seul coup, ce fut elle qui prit la décision de se retourner. Elle pivota lentement et lui fit face, enfin… Il ne put retenir une exclamation d’émerveillement.
- « Ouah ! Quelle chatte ! »
Il avait, face à lui, un sexe quasiment parfait. La toison pubienne était parfaitement entretenue. Seuls quelques poils, taillés très courts ornaient son mont de vénus. Les grandes lèvres étaient longues et fines, parfaitement épilées, et s’ouvraient sur un vagin qu’il devinait humide et profond. Ses petites lèvres dissimulaient un clitoris qu’il avait hâte de découvrir. Pourtant, une fois encore, il prit son temps.
- « Tu es stressée ? » demanda-t-il.
- « Oui » avoua Sophie.
- « Viens » reprit-il en lui tendant la main. « Je vais te détendre. »
Elle s’avança enfin vers lui et il lui céda la place sur le lit. Sophie eut une pensée pour son conjoint qu’elle était en train de trahir, mais la vision du membre dressé d’Antoine balaya ses remords. Elle s’allongea sur le dos et il souleva ses jambes l’une après l’autre pour retirer ses escarpins. Avec une grande dextérité, il massa les plantes de ses pieds l’un après l’autre, puis embrassa ses orteils prisonniers du nylon. Ses mains remontèrent lentement le long d’une jambe, puis de l’autre et il retira ses bas.
Elle était maintenant entièrement nue. Il lui demanda de se retourner et entreprit de lui masser le corps. Il commença par les épaules, puis descendit le long de son échine et atteignit enfin ses fesses. Avec beaucoup de douceur, il les effleura, passa son doigt dans la raie qui séparait les deux hémisphères presque parfaits, puis se mit à les malaxer avec beaucoup plus de fermeté. Il s’y attarda un bon moment, puis reprit le trajet le long de ses cuisses et de ses jambes pour atteindre ses pieds. Il les massa un long moment, puis les rapprocha l’un de l’autre et les colla de part et d’autre de son sexe. Il fit quelques va et vient, puis demanda à Sophie, maintenant parfaitement détendue, de se retourner.
Elle se mit sur le dos et il reprit son massage. Cette fois, il commença par les pieds. Il remonta le long des mollets, puis des cuisses et massa un moment ses hanches. Avec beaucoup de savoir-faire, il avait évité le sexe de la belle blonde. Antoine savait qu’elle avait envie qu’il la caresse à cet endroit, mais il voulait, justement, faire naitre une certaine frustration pour mieux en profiter plus tard. Il s’attarda un moment sur son nombril, qu’elle avait haut et profond. Il le lécha avec malice, puis sa langue pointée remonta vers les seins. Sa bouche passa entre les deux, puis la langue se mit à tracer des cercles concentriques de plus en plus serrés autour des tétons qu’il happa finalement l’un après l’autre. Il téta comme un nourrisson, puis mordilla légèrement les pointes érectiles, sans lui faire mal.
Sophie s’abandonnait à ses merveilleuses caresses depuis un long moment déjà. Elle avait maintenant hâte qu’il s’occupe enfin de son intimité. Qu’il la caresse, qu’il la lèche, qu’il la pénètre… Sans qu’elle puisse vraiment contrôler son mouvement, elle avança légèrement son bassin. C’est le signe, presque imperceptible, qu’attendait Antoine. Sa bouche plongea entre les cuisses ouvertes de Sophie et se colla contre les lèvres humides de ce sexe de femme. Il retrouva immédiatement le parfum découvert sur le tanga qu’il avait conservé et il la lécha de bas en haut, prenant son temps pour atteindre le clitoris qui suintait de désir.
La belle quadragénaire poussa un petit râle de contentement et appuya sur la nuque de cet amant si attentionné qui lui faisait un bien extraordinaire. Antoine la lécha longuement. Il voulait lui procurer un orgasme rien qu’avec sa bouche. Le clitoris de Sophie était gros et juteux. Avec la pointe de sa langue, il l’excitait savamment et elle s’abandonnait désormais complètement. Il la vit se raidir et elle fut secouée de soubresauts. Elle avait joui…
Antoine se releva et la regarda en souriant. Il vint l’embrasser sur la bouche et elle lui donna sa langue sans retenue. Jusque-là, elle avait été totalement passive. Elle prit enfin le sexe d’Antoine entre ses doigts fins et le masturba doucement. Soudain, elle s’inquiéta de l’heure.
- « Mon dieu, quelle heure est-il ? » demanda-t-elle soudain.
Antoine se leva et alla consulter sa montre.
- « Il est moins dix ! » répondit-il.
- « Merde ! Les enfants vont avoir fini… » s’exclama Sophie.
- « Je crois bien » fut forcé d’admettre Antoine.
- « Et toi tu n’as même pas joui » dit-elle en le regardant avec un air désolé.
- « Ce n’est pas grave » répondit Antoine en rigolant. « Disons que tu me dois un orgasme… »
- « Je n’aime pas avoir des dettes » rétorqua Sophie en se relevant. « Mais il faut vraiment que j’y aille… »
- « A moins que ton mari récupère les enfants… » suggéra le beau brun toujours en érection.
- « A cette heure-ci, il est rentré. Mais c’est un peu juste pour être à l’heure… »
- « Alors, téléphone à ma femme et dis-lui que tu es en panne de voiture. Demande-lui si elle peut déposer les enfants chez toi… »
Sophie sembla hésiter. Elle avait une envie folle qu’il lui fasse l’amour, mais elle n’osait pas faire une chose pareille. Antoine ne lui laissa pas le choix. Il prit le Smartphone que Sophie avait déposé sur la table et composa le numéro de sa femme.
- « Je te la passe » dit-il en lui tendant l’appareil.
Complètement paniquée, Sophie essaya de ne pas trop bafouiller.
- « C’est Sophie » dit-elle. « J’ai vraiment un problème… Ma voiture est en panne ! Ce n’est rien de grave, un garagiste est en train de regarder. Mais je crois que je ne serai pas à l’heure pour récupérer les enfants… »
- « Je t’attends, si tu veux » proposa l’épouse d’Antoine.
- « Non, mon mari est à la maison… Est-ce que cela te dérangerait de les déposer en passant ? »
- « Pas du tout… »
- « Merci, je te revaudrai cela » affirma la belle blonde de manière totalement hypocrite.
- « Bon courage ! » conclut celle que son mari s’apprêtait à cocufier.
A la fois libérée et complètement culpabilisée. Sophie reposa le téléphone. Désormais, ils avaient le temps…

à suivre...

Septième ciel

Antoine reprit les choses où il les avait laissées. Il fit allonger sa partenaire, l’enjamba et vint caler sa queue entre les seins de la belle. Il fit plusieurs allers retours. Sophie voyait ce sexe, désormais dur comme de la pierre, qui s’activait devant ses yeux. Avec son mari, elle savait se libérer une fois dans le feu de l’action, mais elle n’aimait pas trop pratiquer la fellation. Pourtant, elle en eut envie. Sa bouche s’approcha du membre d’Antoine et elle passa la langue sur le gland. Son amant avança un peu plus et enfourna sa queue dans la bouche qui s’ouvrait. Sophie déglutit, puis elle se mit à le pomper franchement.
- « Hum, c’est bon ! Tu me suces comme une reine… » lui dit Antoine accréditant la thèse selon laquelle les têtes couronnées ont un don particulier pour la fellation.
Encouragée par ce commentaire élogieux, Sophie qui n’avait pourtant aucune expérience, redoubla d’attention. Elle lécha même les bourses de celui à qui, à juste titre, elle avait redouté de succomber. Elle n’avait jamais fait cela avec son mari. Maintenant, il était trop tard. Elle considérait que l’adultère était consommé, et pourtant, elle n’avait pas envie qu’il en reste là. Elle voulait qu’il la prenne.
Antoine le comprit bien vite. Comme à regret, il se dégagea de son étreinte et alla prendre un préservatif dans la poche de son pantalon. Il l’enfila sous les yeux impatients de celle qui attendait désormais de sentir le membre entrer en elle.
- « C’est par respect pour nos cocus » dit-il avec un certain cynisme.
Sophie attendit qu’il revienne. Elle avait largement écarté les cuisses et lui présentait sa chatte de manière totalement indécente. Il se mit sur elle et sa bite encapuchonnée frappa plusieurs fois sur le pubis de la mère de famille égarée avant de commencer à s’introduire dans le fourreau de son vagin. Elle mouillait abondamment. Il n’eut aucun mal à la pénétrer. Leurs ébats durèrent un moment dans la position classique du missionnaire, puis Sophie se releva. Elle le fit allonger à son tour et enjamba son corps. Elle avait choisi de lui faire face et s’empalait de nouveau sur le pieu de chair en le regardant droit dans les yeux.
Elle adorait cette position qui lui permettait de rythmer son plaisir. Elle n’était pas pour déplaire à Antoine non plus, ravi de laisser sa partenaire prendre un peu l’initiative.
Sophie se libéra complètement. Parfois elle s’empalait de manière lente et progressive. A d’autres moments elle semblait partie pour la chevauchée fantastique et adoptait un rythme endiablé. En même temps, sa main droite manipulait son clitoris avec vigueur et elle connut un deuxième orgasme.
Antoine la fit alors mettre à quatre pattes et la prit en levrette. Ses abdominaux vinrent claquer contre les fesses de Sophie qui avança sous les coups de boutoir. Après avoir été si tendre, il se montrait maintenant sauvage, presque bestial. Elle aimait cela. Très endurant, il redoubla de vigueur et la pilonna un long moment, avant de lui demander de se retourner.
- « Je veux que tu me voies en train de jouir » dit-il.
- « Oui, prends-moi de face ! » répondit Sophie en écartant elle-même sa chatte.
Antoine lui releva les jambes et les mit autour de son cou. Il s’enfonça à nouveau en elle et reprit son rythme effréné. Sophie, la bourgeoise un peu BCBG était en train de se faire baiser comme une salope. Elle y prenait un plaisir non dissimulé et, contrairement à ce que son éducation lui avait appris, elle se mit même à tenir des propos outranciers.
- « Vas-y ! Prends-moi comme une salope ! Baise-moi comme une pute ! »
Antoine était littéralement dopé par les paroles obscènes de Sophie. Il se déchaina vraiment. Sentant qu’il allait bientôt jouir, il l’en informa.
- « Non ! » cria-t-elle. « Pas comme ça ! Enlève ton préservatif. Je veux que tu jouisses dans ma chatte. Je veux sentir ton jus bien chaud couler en moi. »
Il arracha aussitôt la protection de latex et remit sa queue dans le vagin béant. Il lui suffit de quelques allers retours pour se vider dans le sexe délicieux de la blonde qu’il n’aurait jamais cru capable de se lâcher ainsi. Sophie sentit son vagin déborder et le sperme couler le long de ses cuisses. Elle se mit à crier de toutes ses forces en vivant son troisième orgasme de l’après-midi.
Une fois qu’ils eurent joui tous les deux, ils restèrent un long moment sans bouger dans les bras l’un de l’autre, puis Sophie se leva enfin et alla se rincer dans la minuscule salle de bain attenante. Elle se vit dans le miroir et détourna les yeux. Elle avait honte. Honte de ce qu’elle venait de faire. Trahir son mari. Laisser ses enfants rentrer seuls. Tout cela pour une histoire de cul ! Mais quel pied elle avait pris…
Avec Antoine, elle avait joui comme jamais encore cela ne lui était arrivé. Elle savait qu’elle aurait envie de le revoir, qu’il serait difficile de résister. Il eut la sagesse de ne pas aborder le sujet et, quand ils se quittèrent il lui demanda seulement si elle viendrait à la compétition de week-end.
- « Oui » répondit-elle « Mais avec mon mari… »
- « Et moi avec ma femme » répondit-il en lui souriant.
Il l’embrassa une dernière fois et ils partirent chacun de leur côté.
Le dimanche, la compétition avait lieu. Sophie craignait de rencontrer Antoine. Chacun d’eux serait avec son conjoint et il ne s’agissait pas de faire la moindre gaffe. Ils avaient peur, l’un et l’autre que leurs conjoints respectifs se doutent de quelque chose. Quelque part, Sophie regrettait sa légèreté. Pourtant, tout se passa bien.
A un moment, le mari de Sophie lui demanda si elle ne fantasmait pas sur le mari de leur voisine qui semblait plaire à toutes les femmes.
- « Sûrement pas ! », avait répondu Sophie avec beaucoup d’aplomb. « Je le trouve prétentieux et macho ! »
Son mari avait souri. Il se disait qu’il avait bien la meilleure femme du monde.
Un peu plus loin, l’épouse d’Antoine lui demandait ce qu’il pensait de Sophie.
- « Cette blonde fadasse toujours habillée de manière provocante ? Je la trouve vulgaire… »
Sans doute réconfortés par les déclarations de leurs conjoints. Le mari de Sophie et l’épouse d’Antoine avaient passé une bonne journée. Ils avaient sympathisé et s’étaient même rapprochés un peu, oubliant leurs conjoints pour un moment.
Ce qu’ils ne savaient pas, c’est qu’au moment même où ils bavardaient tranquillement. La blonde fadasse était en train de sucer le prétentieux macho dans les toilettes du complexe sportif.

à suivre...

Ravissant ce sein qui ne demande qu'a sortir.

les voici ses seins...

je lui titillerai volontier les tétons du bout de la langue...

C'est bien ce que je disais, ils ne demandaient qu' a prendre l'air, magnifiques...

La fourberie d’Aurélie

Après cette folle semaine au cours de laquelle elle avait trompé son mari avec Antoine, Sophie fut prise de remords. Elle s’était même retrouvée en train de faire une pipe au beau brun auquel elle avait succombé, pendant que son conjoint était en train de discuter tranquillement avec l’épouse de ce dernier. Elle avait terriblement honte et décida qu’il serait sage d’éviter de se trouver seule avec celui qui l’avait fait succomber.
Deux semaines de suite, elle demanda à son mari de s’arranger avec son travail pour pouvoir emmener les enfants. Il le fit, mais ce ne fut pas facile. Antoine, qui avait le numéro de téléphone de Sophie, lui envoya des SMS de plus en plus pressants. Il voulait absolument la revoir. Elle lui fit comprendre qu’il n’en était pas question.
C’est à ce moment-là qu’elle chercha refuge dans le travail. Elle accepta toutes les gardes et les heures supplémentaires, pour le plus grand plaisir d’Aurélie, une de ses collègues.
Aurélie avait dix ans de moins que Sophie. Elle était lesbienne et ne s’en cachait pas. C’était une petite brune aux cheveux courts et aux allures de garçon manqué, mais elle était charmante. Depuis longtemps, elle fantasmait sur sa belle collègue blonde. Elle n’arrêtait pas de lui faire des avances. Toutes les occasions étaient bonnes. Que ce soit quand elles se changeaient dans les vestiaires, ou en dehors de leur travail, elle ne manquait pas une occasion de faire comprendre à Sophie qu’elle avait envie d’elle. Un jour, Aurélie lui avait même envoyé un SMS qui disait "pour mon anniversaire, je veux que tu m’offres ton corps"
Sophie lui avait clairement fait comprendre que cela ne l’intéressait pas, mais son refus n’avait pas découragé Aurélie. Un mercredi, elle demanda à Sophie si elle pouvait la ramener chez elle.
- « Il faut que j’emmène mes enfants à leurs activités sportives » lui répondit Sophie car, cette fois, son mari n’avait pas pu se libérer.
- « Ah, c’est dommage… »
- « Remarque, si tu veux, on dépose les enfants et je te ramène après » se reprit Sophie en pensant qu’elle préférait croiser Antoine en n’étant pas seule.
- « D’accord » répondit seulement Aurélie.
Ce jour-là, sa collègue se montra particulièrement entreprenante. Dans le vestiaire, elle commença à la caresser et essaya de l’embrasser à plusieurs reprises. Sophie se défendit mollement et finit par accepter de lui montrer ses seins. Aurélie aurait aimé que les choses aillent beaucoup plus loin, mais la blonde ne se laissa pas faire.
Sophie déposa ses enfants, puis repartit avec Aurélie. Antoine, en la voyant accompagnée, n’osa pas insister pour qu’elle reste. Aurélie n’habitait pas très loin du complexe sportif. Elles furent chez elle en moins de cinq minutes.
Evidemment la petite brune reprit son entreprise de séduction.
- « Tu sais que j’ai adoré quand tu m’as montré tes seins dans le vestiaire ? » dit Aurélie avec un petit regard lubrique. « Ils sont beaucoup plus gros que les miens. Montre-les-moi encore ! »
- « Arrête Aurélie ! » s’énerva Sophie. « Tu sais bien que je suis hétéro ! »
- « Oh je sais… Mais tu finiras dans mon lit ! »
- « Il n’en est pas question ! » protesta la charmante blonde. « Tu n’as plus ta copine rousse ? » demanda-t-elle pour essayer de détourner l’attention.
- « Non, cette salope faisait venir des mecs chez moi pour la baiser quand je n’étais pas là. Je n’ai pas supporté. Je l’ai foutue dehors avec toutes ses affaires ! »
Aurélie avait toujours confié ses aventures à sa collègue. Parfois même avec tellement de détails que c’en était gênant. Elle vint s’asseoir aux côtés de Sophie sur le petit canapé et posa la tête contre son épaule.
- « Sophie, tu sais depuis longtemps que j’ai envie de toi. Je t’en prie, ce soir, ne me laisse pas seule… »
- « Mais il faut que je rentre et d’ailleurs je vais bientôt retourner chercher mes enfants » répondit Sophie qui sentait un réel désespoir dans la voix de sa collègue.
- « Appelle ton mari… Dis-lui d’aller chercher les enfants » insista Aurélie.
- « C’est ça… Et je lui dis que je ne peux pas les récupérer parce que tu as envie d’aller au lit avec moi ? »
- « Oh, il le sait parfaitement ! Tu n’as qu’à dire que ta voiture est en panne… »
- « Ah non ! J’ai déjà fait le coup il y a trois semaines… »
- « Ah oui ? Pour aller voir un de tes amants ? »
Sophie se mit à rougir effrontément. Elle balbutia quelques mots, mais sa réponse était parfaitement inintelligible.
- « Je parie que c’est le beau brun que nous avons croisé tout à l’heure » reprit Aurélie.
- « Je… Euh… »
- « J’ai bien vu comme il te regardait avec envie. Alors, c’est lui ? »
- « Oui » finit par admettre Sophie. « Mais cela ne se reproduira pas. »
- « Je suppose que ton mari n’est pas au courant ? »
- « Non, tu es folle ! »
- « Eh bien appelle le et dis-lui que tu restes avec moi, sinon je lui raconte tout ! »
- « Tu ne ferais pas une chose pareille ? » s’insurgea Sophie.
- « Tu sais bien que je suis prête à tout pour te baiser ! Appelle-le ! » insista-t-elle en lui tendant son Smartphone.
Un peu coincée, Sophie composa le numéro de son mari. Il répondit immédiatement.
- « Allo chéri ? C’est Sophie… Est-ce que tu pourrais aller récupérer les enfants ? »
Pendant que son mari lui demandait des explications, Sophie eut la surprise de constater qu’Aurélie la tripotait outrageusement. Elle commença par malaxer ses seins, puis glissa la main sous sa jupe. Elle remonta le long de ses cuisses et atteignit sa culotte. Sophie n’arrivait plus à contrôler la fougue de sa jeune collègue…
- « Non, je n’ai pas de problème. Mais j’ai ramené Aurélie et elle ne se sent vraiment pas bien » improvisa la belle blonde.
Aurélie en profita pour caresser le pubis de Sophie au travers de son string. Sa copine serra les cuisses, mais la main resta prisonnière.
- « Oui, je vais sans doute rester un moment avec elle. Merci mon chéri » conclut Sophie en raccrochant.
La petite brune s’allongea carrément sur sa collègue et l’embrassa presque de force. Malgré sa taille inférieure à celle de Sophie, elle était plus forte qu’elle et l’immobilisa sur le canapé.
- « Laisse-toi faire ! » lui dit-elle « Sinon je vais être obligée de te violer ! »

à suivre...

je dirai même : bandante sophie

oui, en bas noirs aussi

Les photos sont à la hauteur du récit c'est a dire alléchantes.

Vraiment superbe, encore....

alléchante la miss !!

Le plaisir d’une femme

Sophie finit par lâcher prise. Aurélie la déshabilla lentement. Cette fois, elle ne faisait plus usage de la force et se montrait, au contraire, particulièrement douce. Elle ôta la jupe de sa collègue, puis lui retira ses bas. Sans que cette dernière oppose de résistance, elle fit passer son pull par-dessus sa tête et dégrafa son soutien-gorge.
- « Tes seins sont magnifiques » dit-elle en les caressant doucement.
Sophie, bien que perturbée par l’attitude d’Aurélie à qui elle avait toujours fait confiance, avait désormais lâché prise. Elle la laissa lui enlever son string et souleva même un peu les fesses pour l’aider à y parvenir. La petite brune caressa l’intérieur de ses cuisses et remonta lentement vers le ventre de celle qu’elle convoitait depuis si longtemps. A son tour, elle retira ses vêtements. Elle avait des fesses magnifiques et sa toison brune et fournie était parfaitement taillée. Elle se mit à masser le corps de Sophie avec un savoir-faire immense.
En fermant les yeux, Sophie retrouvait les sensations qu’elle avait connues avec Antoine. Jamais elle n’aurait imaginé qu’une femme puisse lui faire autant de bien. A présent, elle n’avait plus envie d’éviter le contact. Elle se sentait même prête à aller plus loin. Quand Aurélie lui proposa d’aller dans son lit, elle la suivit sans protester. Après tout, elle se disait qu’il ne fallait pas mourir idiote. Même si elle ne s’était toujours sentie attirée que par des hommes, elle avait décidé de laisser faire Aurélie. De toute façon, cette têtue ne l’aurait pas lâchée avant qu’elle finisse dans son lit. Autant passer à la casserole tout de suite…
Sophie s’allongea sur le lit de la petite brune qui lui faisait face. Elle était désormais entièrement nue et, mue par un réflexe de pudeur, elle recouvrit son sexe avec le drap. Aurélie lui sourit et la rejoignit. Elle l’embrassa goulument et leurs langues se mêlèrent. L’haleine de la jeune femme brune était fraîche. Sophie ne refusa pas ce baiser, bien au contraire. Elle laissa sa langue se mélanger avec celle d’Aurélie et leurs salives passèrent d’une bouche à l’autre.
Aurélie laissa glisser sa main vers le sexe parfaitement entretenu de sa collègue et caressa son clitoris avec une douceur extrême, puis elle la doigta avec ferveur. Son majeur explora la cavité vaginale, à la recherche du point G, situé sur la paroi antérieure. Sophie se laissa faire. La caresse était agréable. Elle ne protesta pas non plus quand Aurélie vint lécher sa chatte. Au contraire, elle appuya sur sa nuque pour mieux sentir sa bouche aspirant son clitoris avec science. Elle suintait de désir, ce que lui fit remarquer son amie.
- « Tu mouilles, cochonne ! » lui dit Aurélie. « Laisse-toi bien faire, je vais te faire jouir comme jamais encore tu n’as joui… »
Mentalement, Sophie essaya de se souvenir de ses plus beaux orgasmes. Bien sûr, son mari l’avait fait jouir souvent. Elle gardait aussi le souvenir d’une séance de masturbation solitaire, particulièrement excitante. Mais la palme revenait quand même à cet orgasme qu’elle avait connu avec Antoine, quand il s’était vidé en elle et qu’elle avait crié sans retenue dans cette chambre d’hôtel.
Aurélie s’y prenait merveilleusement bien pour lui donner du plaisir. Elle léchait son clitoris et avait maintenant introduit trois doigts dans son vagin. Son autre main caressait sa poitrine et elle se mit soudain à pincer un de ses seins. Au lieu de protester, Sophie l’encouragea. Elle avait mal, mais cela lui procurait une excitation inattendue.
- « Oui, pince-moi ! Fais-moi mal ! » se surprit-elle à crier.
- « Ne t’en fais pas… Je vais te faire jouir salope ! »
Elle la doigtait maintenant avec force et appuyait sur la paroi vaginale. Sophie, qui croyait être une pure clitoridienne sentit le plaisir monter de son bas ventre. Elle écarta un peu plus les cuisses, les mouvements de son bassin accompagnèrent les gestes d’Aurélie. Elle accéléra encore le mouvement et Sophie explosa dans un orgasme dévastateur. Elle se mit à hurler, oubliant toute mesure. Ses jambes entourèrent la taille d’Aurélie et elle connut une éjaculation qui inonda le drap et le ventre de son amie lesbienne qui était aux anges.
- « C’est génial ! » fit remarquer Aurélie. « C’est la première fois que tu gicles comme ça ? »
- « Oui » avoua Sophie une fois qu’elle eut retrouvé ses esprits.
- « Tu vois qu’on n’a pas besoin d’une bite pour jouir… Tu restes avec moi cette nuit ? »
- « Non… J’avoue que tu m’as donné du plaisir comme je ne m’y attendais pas, mais je ne peux pas Aurélie. J’ai mon mari et mes enfants… »
- « Je comprends » répondit Aurélie en faisant la moue. « Fais-moi au moins jouir avant de partir… »
- « Euh, je… » balbutia la blonde embarrassée.
- « Viens me lécher ! » insista Aurélie en la prenant par les cheveux.
Sophie ne put faire autrement que de coller sa bouche contre le sexe de la brune qui la maltraitait. Timidement, elle sortit sa langue et la passa sur les lèvres humides de sa collègue. Celle-ci lui écrasa le visage contre sa chatte.
- « Bouffe-la bien ! Fais-moi jouir ! »
Pour la première fois, Sophie goûtait un sexe féminin. Elle n’en connaissait même pas l’odeur, n’ayant jamais eu l’occasion de respirer des effluves féminines, à part les siennes, car il lui était arrivé, comme bon nombre de femmes de respirer le parfum de sa propre culotte. Non seulement cela ne la rebutait pas, mais elle y prit du plaisir. Suivant les indications de sa copine, elle explora les moindres recoins de ce sexe offert et finit par mordiller le clitoris qu’elle avait décapuchonné. Aurélie jouit comme une folle !
Elles s’embrassèrent, échangeant leurs saveurs intimes et mélangeant leurs salives, puis elles prirent une douche ensemble et Sophie se rhabilla. Ce fut elle qui vint embrasser Aurélie une dernière fois.
- « A demain » lui dit-elle en sortant avec un petit signe de la main.
- « A demain, Sophie et merci… »
- « Pas de quoi, j’ai adoré… »
Elle ferma la porte et regagna sa voiture. Etrangement, elle n’avait pas cette fois, l’impression d’avoir trompé son mari. Pourtant, c’était bien ce qu’elle venait de faire pour la deuxième fois en moins d’un mois. Mais avec une femme, elle se disait que ce n’était pas pareil…

à suivre...

Très excitant comme récit, à suivre..

encore une petite photo pour l'agrémenter...

Waow, superbe recit accompagné de sublimes photos, j' en ai la bite bien dure. Je te remercie

L’anniversaire

Après cette expérience vécue dans l’appartement d’Aurélie, Sophie redoutait que l’ambiance au travail ne devienne impossible avec sa collègue. Au début, ce fut le cas. La petite brune ne ratait pas une occasion de la frôler, de lui mettre la main aux fesses, ou même de lui palper carrément les seins quand elles étaient seules. Aurélie avait même fini par exiger qu’elle ne porte plus de sous-vêtement sous sa blouse, pour la doigter plus facilement.
De son côté, Sophie était bien obligée de reconnaître qu’Aurélie lui faisait de l’effet. Ces petits jeux, de moins en moins discrets étaient follement excitants et cette cochonne savait la faire jouir comme personne. Pourtant elle tenait à sa réputation de femme mariée et fidèle. Un jour, elle tenta d’expliquer à Aurélie que leurs petits jeux la gênaient, qu’elle lui demandait de se montrer plus discrète.
- « Si tu veux » avait répondu sa collègue entreprenante « Mais c’est bientôt mon anniversaire. Tu n'as pas oublié le cadeau que je t’avais demandé ? »
- « Non, bien sûr. Mais tu l’as eu mon corps… »
- « Oui, mais je te veux toute une nuit ! Tu t’arrangeras avec ton mari ?»
- « On verra » répondit simplement Sophie en reprenant son travail.
A partir de ce moment-là, elle commença à s’angoisser pour cet anniversaire. Aurélie avait pris un tel ascendant sur elle qu’elle ne pourrait pas refuser. Pourtant, jamais encore depuis le jour de son mariage elle n’avait découché. Elle s’en voulait assez d’avoir succombé aux charmes d’Antoine, puis de sa collègue lesbienne.
Pourtant Aurélie tint promesse. Ses assauts envers sa collègue blonde devinrent plus rares et plus discrets. Elle se livrait encore à quelques attouchements et elles continuaient à échanger des baisers passionnés et sensuels, mais cela se faisait désormais quand elles étaient vraiment seules.
L’arrivée d’une nouvelle collègue dans leur service allait d’ailleurs changer la donne. Elle se prénommait Laure et avait tout juste 25 ans. Elle était blonde, comme Sophie, et portait des cheveux courts comme Aurélie. Rapidement, Sophie vit que sa collègue n’était pas insensible au charme de la nouvelle venue.
Laure était célibataire et n’avait pas de petit copain. Aurélie se mit à se rapprocher d’elle de plus en plus et finit par s’arranger pour qu’un jour, elle la ramène chez elle. Sophie s’amusait de voir son petit jeu et, en même temps cela lui rendait service, car Aurélie était occupée et la laissait enfin un peu tranquille. Bien sûr, elle continuait de la tripoter un peu quand elles étaient seules et l’embrassait une fois ou deux dans la journée, mais cela n’avait plus rien à voir avec le véritable harcèlement qu’elle avait connu.
Un matin, Aurélie vint vers Sophie et lui fit un clin d’œil. Elle l’embrassa, comme d’habitude, après l’avoir entrainée à l’écart des autres collègues.
- « Ca y est, je l’ai mise dans mon lit ! » lui dit-elle avec un air triomphal.
- « Qui ? Laure ? »
- « Bien sûr ! Cette petite cochonne n’a même pas résisté. Elle est aussi gouine que moi ! »
Aurélie lui décrivit alors la nuit qu’elle venait de passer avec la jeune femme avec force de détails. Elle décrivit la chatte parfaitement épilée de sa jeune collègue, expliqua qu’elles avaient joui plusieurs fois au cours d’un 69 interminable, puis elle retourna à son travail. Sophie se dit que, finalement, elle n’était qu’un trophée parmi d’autres que l’insatiable lesbienne avait voulu accrocher à son tableau de chasse.
Effectivement, au cours des semaines suivantes. Aurélie passa surtout ses pauses avec Laure. Elles ne se quittaient même pratiquement plus. Aussi, lorsque Sophie reçut l’invitation pour aller à l’anniversaire d’Aurélie. Elle alla aussitôt demander à celle-ci, si Laure serait là.
- « Bien sûr ! » avait répondu la petite brune. « Elle vit chez moi depuis près de deux semaines. »
Du coup, elle accepta l’invitation avec moins d’appréhension. Puisque sa copine « Aurèl » était casée… Le jour de l’anniversaire, Aurélie avait invité une dizaine de personnes. Que des filles évidemment ! Il y avait deux de ses voisines, plusieurs collègues de travail, dont, bien sûr Sophie et Laure, mais aussi deux de ses cousines. La fête se déroula dans la bonne humeur et l’ambiance resta très correcte. En fin de journée, les invitées partaient les unes après les autres. Quand Sophie annonça qu’elle allait rentrer, elle-aussi, Aurélie protesta.
- « Ah non, pas toi ! N’oublie pas ce que tu m’avais promis pour mon anniversaire… »
- « Mais, il y a Laure » fit remarquer Sophie.
- « Et alors ? Plus on est de folles… »
C’est donc fortement perturbée que Sophie accepta de tenir sa promesse. Une fois qu’elles furent toutes les trois, Aurélie se déshabilla et vint caresser Sophie, horriblement gênée. Avec une pointe d’ironie, Laure resta un moment à l’observer, comme si elle était choquée de la voir avec Aurélie. La sage mère de famille ne savait plus où se mettre. Surtout quand Aurélie lui enleva son chemisier puis sa jupe.
C’est alors que Laure éclata de rire. Elle aussi s’approcha et aida sa complice à terminer de mettre leur ainée entièrement nue.
- « Allez, viens ! » lui dit-elle « On va s’amuser toutes les trois »
Sophie se laissa guider et se retrouva, une fois encore, dans le lit d’Aurélie. Cette fois, c’était Laure, une collègue à qui elle parlait à peine, qui lui caressait les fesses et commençait à la doigter. Aurélie les rejoignit. Elle tenait à la main une bombe de chantilly et en vida une partie sur le corps de Sophie. Toutes les deux se précipitèrent pour se régaler de ses seins, puis elle reprit la bombe et en mit sur le sexe de Laure. Celle-ci en fit autant avec Aurélie. Bientôt, elles se retrouvèrent toutes les trois, formant un triangle lesbien à déguster ce mets sucré dans la chatte d'une autre. Sophie léchait Aurélie. Aurélie avait la tête entre les cuisses de Laure et celle-ci, refermant la figure géométrique, dégustait la chatte de Sophie. Elle était aussi douée que son autre collègue !
Comme c’était l’anniversaire d’Aurélie, elles la firent installer sur le lit et vinrent la caresser et la lécher en déployant des trésors d’inventivité. Toutes les parties de leur corps servaient à l’exciter. Les seins, les fesses, la bouche, les pieds… Elles la firent jouir plusieurs fois, puis les trois filles se mirent au lit ensemble.
Sophie passa la nuit entre les deux lesbiennes. Au moment de s’endormir, elle eut une pensée pour son mari. Il devait être en train de se branler tous seul. En rentrant elle se promit de lui faire une pipe magistrale.

à suivre...

Tout simplement ravissante, quel plaisir de la découvrir.

Un marché de dupe.

Aurélie et Laure avaient l’air de s’aimer vraiment. Pour la première fois, Sophie avait l’impression que sa copine Aurèl avait trouvé chaussure à son pied. Laure était vive et pétillante. Elle était toujours d’une humeur gaie, mais elle ne se laissait pas marcher sur les pieds par Aurélie et son sale caractère.
Elle n’avait pas oublié cette folle nuit au cours de laquelle elle avait goûté aux plaisirs saphiques et même à un trio lesbien. Ces deux petites cochonnes n’avaient eu de cesse de vouloir la faire jouir, mais elle restait une hétéro convaincue. Au boulot, elles étaient maintenant deux à avoir de petits gestes, que Sophie qualifiait encore de déplacés, à son égard. Elle n’était pas pour autant devenue lesbienne pour autant et « les deux gouines du service », comme les appelaient désormais leurs autres collègues, restaient très discrètes quand il s’agissait de Sophie.
Du côté d’Antoine, elle n’avait jamais répondu à ses appels téléphoniques, ni à ses nombreux SMS, sauf au premier, pour lui dire qu’il fallait qu’il l’oublie. Désormais, elle ne restait pas aux entrainements de ses enfants quand elle voyait qu’il était là. Peu à peu, il cessa d’ailleurs de les emmener et ce fut de nouveau son épouse qui les accompagna régulièrement. Les SMS s’espacèrent, puis stoppèrent complètement. Sophie avait retrouvé sa dignité de femme mariée.
Pourtant un événement allait réveiller ces souvenirs. Un jour qu’elle était allée déposer ses enfants, en repartant, elle trouva une enveloppe sous l’essuie-glace de sa voiture. Elle remarqua immédiatement que la voiture d’Antoine était partie. Elle l’ouvrit fébrilement, pensant qu’il devait être l’auteur du message. Elle lut :
Sophie, Je comprends parfaitement que tu ne me répondes plus et que tu cherches à m’éviter. Pourtant, je pars travailler à l’étranger dans trois jours. Je t’en supplie, accepte que nous nous voyions une dernière fois. Je t’attends au même hôtel que la dernière fois. Tu recevras le numéro de chambre dès mon arrivée. Viens… Antoine.
Juste à ce moment-là, l’alarme de son Smartphone signala l’arrivée d’un SMS. Elle le lut : chambre 106
Son cœur se mit à battre plus fort. Elle n’avait pas oublié le merveilleux moment passé dans cette chambre d’hôtel, ni les trois orgasmes que lui avait procuré son amant ce jour-là. Elle pensa à son mari qui la croyait restée fidèle, mais si Antoine partait vraiment, il n’en saurait rien.
Sans même penser aux conséquences de ce qu’elle faisait, elle répondit : J’arrive
Quelques minutes plus tard, elle frappait à la porte de la chambre 106. Antoine vint lui ouvrir immédiatement.
- « Merci d’être là ! » lui dit-il en la prenant dans ses bras.
- « Attends ! » rétorqua Sophie en le repoussant « Je veux être sûre que tu ne m’as pas menti ! »
Il alla chercher un billet d’avion dans sa veste et le lui montra. Il s’agissait bien d’un vol pour Montréal qui partait trois jours plus tard. Sophie vint se blottir dans ses bras et l’embrassa. Il la déshabilla fébrilement et la mit sur le lit.
- « Ecoute, je n’ai pas eu le temps de prendre une douche en sortant du boulot » dit-elle « Laisse-moi aller me laver… »
- « Pas la peine… Je t’aime comme tu es ! » répond Antoine en se précipitant entre ses cuisses et en léchant son sexe délicieusement parfumé de ses secrétions.
- « Non, ça me gêne ! » proteste Sophie.
Il finit par la laisser se lever et l’accompagne dans la salle de bain. Elle prend une douche pendant qu’il la regarde. Etrangement, le regard de cet homme avec qui elle a déjà fait l’amour plusieurs fois la trouble. Elle qui est si pudique n’a pas l’habitude de se laisser observer durant sa toilette intime. Il prend du gel douche dans sa main et frotte le corps de Sophie. Ses doigts s’affairent sur son sexe et il la doigte outrageusement, puis sans même qu’elle ait le temps de réagir, il remonte vers ses fesses et introduit doucement le majeur dans son anus.
- « Non, pas là! » proteste, une fois encore, Sophie.
- « Je veux te prendre par ton petit trou ! » insista Antoine. « Tu verras, j’irai doucement… »
Sophie n’avait jamais accepté la sodomie avec son mari. Pourtant, elle savait qu’elle ne refuserait pas la demande d’Antoine. Il lui avait prouvé qu’il était assez doux pour bien la préparer et elle allait au moins essayer.
Il la fit installer à quatre pattes sur le lit et passa sa langue sur l’œillet brun qu’il découvrait entre ses fesses somptueuses. Lentement, avec beaucoup de douceur, il lubrifia son petit trou encore vierge et la pénétra, avec un doigt d’abord, puis avec deux. Sophie était légèrement anxieuse, mais elle se détendit progressivement. Quand il posa son gland à l’entrée de l’orifice qui commençait à se dilater elle n’avait plus peur. Il s’introduisit en elle très doucement, écartant bien ses fesses pour voir l’orifice s’ouvrir. La femme d’Antoine lui avait toujours refusé ce genre de pratique et il était en train de réaliser un vieux fantasme.
Sophie poussa un petit cri, mais elle s’habitua à le sentir en elle. Quand Antoine commença à aller et venir derrière elle, c’est elle qui lui demanda d’aller plus vite. Il ne se fit pas prier et, au bout d’un moment, son ventre vint claquer contre le fessier de la belle Sophie qui jouissait en se masturbant. Il se vida en elle au moment où elle atteignait l’orgasme. Leur synchronisation avait été parfaite.
Antoine aurait aimé rester plus longtemps avec Sophie, mais il était déjà l’heure qu’ils retournent chercher leurs enfants. Ils prirent une nouvelle douche tous les deux, puis repartirent, comme à regret vers le complexe sportif.
Sophie lui demanda enfin :
- « Au fait, combien de temps restes-tu au canada ? »
- « Juste une semaine » répondit Antoine hilare. « J’y vais pour suivre une formation. »
- « Salaud ! Tu m’as bien eue… »
- « Peut-être, mais que c’était bon… »
Elle ne répondit pas. Elle se sentait un peu vexée d’avoir été abusée par son chantage, mais il avait raison. Comme c’était bon !

FIN

je vous ai gardé la meilleure photo pour la fin...

A dévorer sans aucune retenue

ouaaa.. comment, où peut on lecher cette divine chatte ?..

si je savais où la lécher, j'aurais déjà la tête entre ses cuisses...

Je vous avais également raconté l'histoire d'ISABELLE.
Son mari est d'accord pour que je poste ses photos, mais il ne souhaite pas que celle présentant son visage restent... alors profitez en quand il sera le moment...

On est en attente....

voici la belle et plantureuse ISABELLE

Charmant postérieur

Le jour où j’ai rencontré Isabelle.

Depuis longtemps déjà, je prévoyais de rencontrer Isabelle. J’avais entendu parler d’elle par son mari sur un forum candauliste. Cela devait se faire au milieu du mois de juillet d’abord, à la sortie d’un institut de soins esthétiques. Je devais l’aborder dans un café où elle attendrait son mari. Celui-ci serait en retard pour me permettre de la draguer.
Malheureusement, le rendez-vous fut annulé, mais une nouvelle occasion devait se présenter, car ils venaient tous les deux suivre une formation à côté du lieu où je travaillais. J’étais prêt à aller à leur rencontre sur le parking, après leur formation, pour leur proposer un restaurant, puisqu’ils chercheraient un lieu pour déjeuner. Nous avions prévu que Fabrice, son époux et mon complice, nous abandonne et que je passe à l’action. Il ne me confirma pas le rendez-vous et m’expliqua le lendemain qu’il avait discuté avec Isabelle de son désir de la voir se faire draguer et qu’elle avait très mal réagi. Le contexte était donc trop défavorable.
J’avais essayé de scénariser cette rencontre et ses suites. J’avais écrit une vingtaine de pages et je les avais envoyées à son mari. Je pensais que la lecture de ces pages l’exciterait, mais il n’en fut rien. Il n’avait pas aimé les notions de harcèlement et de chantage que j’avais introduites. Je les avais tirées de lectures récentes que je pensais pourtant qu’il avait appréciées. Il n’avait pas été séduit non plus par les relations saphiques que j’avais incluses dans mon récit. Je me rendais compte que je faisais fausse route et qu’il me faudrait adapter ma stratégie à ses envies si je voulais conserver sa complicité totale.
C’est un jour où elle venait de nouveau à Bordeaux et où elle se rendait dans un centre commercial où elle avait ses habitudes, que je décidai de l’aborder. Presqu’à chacun de ses trajets, elle profitait de sa présence dans la capitale girondine pour faire un tour dans le magasin Ikéa. Comme j’étais au courant de son emploi du temps, je l’attendais sur le parking du magasin.
Je la vis arriver et descendre de sa voiture et je lui emboîtai le pas. Elle portait la même robe blanche que celle que j’avais imaginée dans mes écrits précédents. Tant mieux, elle lui allait très bien. Les bretelles laissaient voir ses épaules à peine bronzées et le décolleté laissait entrevoir sa poitrine opulente. Par transparence, j’apercevais la marque de son string lorsqu’elle traversait les zones baignées de soleil en cet après-midi d’été. Les boucles ondulées de ses cheveux blond foncé lui donnaient un style décontracté que renforçaient ses sandales m’offrant la vue de ses pieds soignés, discrètement vernis d’une teinte pastel, presque blanche. J’aimais les femmes ayant de jolis pieds et les siens me plaisaient beaucoup. Son mari m’avait dit qu’elle complexait un peu sur ses hanches, je les trouvais larges et voluptueuses. Elle devait être sensuelle à souhait quand elle retirait sa robe, dévoilant des fesses que je devinais accueillantes.
Je la suivis dans les rayons et plusieurs fois, je croisai son regard plongeant mes yeux dans les siens qui étaient d’un bleu lumineux avec des reflets gris. Elle avait répondu à mes regards appuyés par des sourires gracieux, signe très positif de sa sociabilité. J’avais astucieusement pris un catalogue à l’entrée et je m’approchai d’elle, lui montrant une lampe que j’avais entourée d’un coup de crayon. Je savais, pour avoir vu une photo de leur intérieur qu’elle possédait la même. Je m’approchai d’elle et lui demandai son aide d’une voix confiante et aimable :
- Il y a un moment que je cherche ce modèle de lampe… Vous ne l’auriez pas aperçue au hasard de vos pérégrinations ?
- J’ai la même à la maison, me répondit elle en souriant.
- Ah oui ? Je la trouve très belle… Comme vous, d’ailleurs…
Elle prit un air amusé et me dit que je la trouverai probablement un peu plus loin sur la droite. Le premier contact me confirmait qu’elle ne devait pas être trop farouche. Je décidai d’ancrer mon parcours au sien.
- Je vais y arriver naturellement en poursuivant mes flâneries vespérales. Cela ne vous dérange pas que je poursuive cette visite à vos côtés ? Peut-être allez-vous être rejointe par un mari jaloux ?
- Non, je suis seule, me répond-elle fort aimablement. Et mon mari n’est pas particulièrement jaloux…
- Dans ce cas je cheminerai avec vous avec plaisir et peut être accepterez vous que nous allions boire quelque chose à la cafétéria ensuite ?
- Pourquoi pas ? me répond-elle à ma grande surprise.
Je lui souris à mon tour, montrant que je suis ravi par son acceptation et nous poursuivons nos courses ensemble. Evidemment, j’engage la conversation et je lui demande quel genre de bibliothèque elle a chez elle.
- J’ai des lectures très éclectiques, me répond-elle alors que je parlais du contenant et non du contenu. Et vous ? Que lisez-vous ?
- En ce moment, pas grand-chose… Je constatais un tel battage médiatique autour de « 50 nuances de Grey » que j’ai fini par l’acheter ? Vous l’avez lu ?
- Oui, me murmure-t-elle discrètement à l’oreille comme si elle ne voulait pas que les autres clients du magasin entendent sa réponse.
- Moi, je trouve que l’histoire est plutôt bien écrite, mais j’ai du mal à comprendre pourquoi elle a eu un tel succès, fis-je remarquer.
- C’est parce qu’elle est racontée par une femme, me répond-elle. Et puis il n’est pas si courant d’explorer ce genre de fantasme.
- C’est vrai, finis-je par convenir, mais des œuvres comme « Histoire d’O » ou les écrits du divin marquis sont autrement plus osés et plus libertins…
- Justement, m’interrompt-elle encore. Cet ouvrage place l’univers si mystérieux des relations sado-maso à la portée de tous. C’est ce concept de vulgarisation d’une pratique hors normes qui en a fait le succès… Il est plus facile de s’identifier à Ana qu’à Justine…
- Vous avez probablement raison, admets-je sans difficulté.
Nos conversations avaient rapidement dérivé vers un sujet érotique. C’était de bon augure pour la suite. Nous terminâmes notre course et je n’achetai finalement rien, la lampe que je souhaitais n’étant plus disponible. Nous rejoignîmes la cafétéria. Isabelle commanda un chocolat et je pris un café. Je repris immédiatement notre conversation littéraire.
- J’aime bien la littérature érotique, mais d’habitude je n’achète pas de livres. Je lis plutôt des histoires sur Internet. Les auteurs amateurs ont parfois une imagination débordante…
Elle me sourit, mais n’intervient pas. Je poursuis.
- Vous connaissez le site XStory ? lui demandé-je.
Elle rougit et m’avoue qu’elle connaît le site. Ce simple aveu me révèle qu’elle est ouverte aux choses du sexe et que la suite de mes propos ne la choquera pas. Je lui demande quel genre d’histoire a sa préférence, mais elle ne m’avouera pas que ses lectures la conduisent à explorer les rubriques les plus trash, comme celle consacrée à la zoophilie. Ces préférences, je les connais par son mari. Je pense qu’il est temps de briser l’anonymat qui nous entoure.
- Je me prénomme Patrick, lui dis-je, et je m’occupe de ressources humaines dans la direction informatique d’une banque.…
Elle me révèle enfin qu’elle s’appelle Isabelle et enseigne le Français.
- Je comprends mieux vos références littéraires, réponds-je. Vous n’êtes pas trop atterrée pal l’orthographe et le style de certains récits sur XStoty ?
- Quand l’histoire est passionnante, j’essaie d’en faire abstraction, me répond-elle.
- J’ai moi-même publié quelques textes, lui révélai-je. J’adorerais avoir votre avis…
- Il vous faudrait une adresse mail pour l’envoyer, dit-elle, me montrant qu’elle n’est pas dupe de ma manœuvre.
Je la regarde d’un air complice, puis j’avance ma main vers la sienne. Elle se contracte, mais ne la recule pas. Je mêle mes phalanges à ses doigts fins et je décide qu’il est temps d’abandonner le vouvoiement.
- Tu as peur que je te spamme ? Je t’envoie juste le lien et je te promets que tu n’auras pas d’autre mail jusqu’à ce que j’aie ta réponse…
- Je ne sais pas si je peux te faire confiance, me dit-elle adoptant le tutoiement à son tour. J’en ai envie, mais je ne voudrais pas avoir à changer d’adresse mail. C’est très désagréable…
Cherchant à emporter la décision, ma main remonte le long de son bras et atteint son épaule. Je sais que mes mains sont douces et mes caresses agréables. Plusieurs femmes me l’ont dit, alors j’en profite… Je sens qu’elle frissonne et apprécie.
- Si tu ne veux pas me la donner aujourd’hui, accorde moi un autre rendez-vous, lui proposai-je. Je te promets de déployer des arguments qui te décideront…
- D’accord ! me dit-elle avec une assurance déroutante. Je reviens à Bordeaux la semaine prochaine… Je viens jeudi… Si tu veux on se retrouve ici ?
- Je préférerais un lieu un peu plus convivial… Que dirais tu d’un bar dans le centre de Bordeaux ?
- Si tu me donnes l’adresse, j’y serai, annonce-t-elle en souriant.
Je sors de ma poche la carte d’un bar branché dont je connais le patron. Dessus, j’inscris mon numéro de portable.
- Si tu ne peux pas venir, préviens-moi… 19 heures, ça te va ? Il y a de quoi grignoter…
- C’est un peu tard, me répond-elle. Après, il faut que je rentre chez moi… J’habite loin !
- Tu n’es pas sur Bordeaux ? questionnai-je innocemment, alors que je le sais parfaitement.
- Non, je suis à Saintes…
- Tu préviendras ton mari que tu rentres tard… On va dire 18 heures, c’est l’heure où ouvre ce bar…
- D’accord, fait-elle avec un large sourire.
Je la regarde attentivement, cherchant à lui donner envie de me revoir. Ma main toujours posée sur son épaule, remonte vers son cou et soulève ses cheveux. Je l’embrasse dans le cou avec beaucoup de tendresse et je lui murmure à l’oreille que j’ai très envie de mieux la connaître. Elle m’arrête enfin et me répond qu’il ne faut pas aller trop vite.
Je respecte son besoin de prudence et reprends une attitude convenable. Elle m’annonce qu’elle doit malheureusement rentrer et elle se lève, s’approchant pour me faire la bise. Je prends sa tête entre mes mains et je dépose un bref baiser sur ses lèvres.
- C’est pour te donner envie de revenir, me justifié-je.
- Promis, dit-elle simplement avant de s’éloigner.
Je sais que j’ai pris un risque en n’ancrant pas nos relations par un échange de mail ou de téléphone, mais je crois que l’enjeu en vaut la peine. Si elle vient au rendez-vous la semaine suivante, elle sera à moi !
Dès le lendemain, j’informe par mail son mari que les choses sont plutôt bien engagées et que j’ai rendez-vous avec Isabelle le jeudi suivant. Il me répond que leurs enfants seront chez les grands-parents et qu’il s’absentera ce soir là pour ne pas la culpabiliser de rentrer tard.
Fabrice est vraiment un complice génial !

à suivre...

Merci pour le récit et merci au mari

On dirait une prof de français

Autre vision furtive....

ISABELLE de profil

merci pour cette histoire

Fière de s'exhiber, tout ce que l'on aime

Rendez-vous à Bordeaux.

Le jeudi suivant, je me rendis au « QG de Montbadon », un bar branché dans le centre de Bordeaux. J’attendais Isabelle avec une certaine anxiété. Bien sûr elle ne s’était pas montrée farouche lors de notre première rencontre dans le magasin Ikéa, mais autant elle pouvait invoquer le hasard, autant, cette fois, notre rendez-vous était prémédité.
Je la vis arriver au coin de la rue et je vins à sa rencontre. Cette fois, elle portait une tenue beaucoup plus sophistiquée mais je la trouvai tout aussi ravissante. Elle me sourit et je déposai un baiser sur ses lèvres, comme je l’avais fait en la quittant la semaine précédente. Elle répondit plus franchement à mon baiser et ne refusa pas le passage de ma langue qui effleura la sienne.
Je la conduisis dans le bar que je connaissais bien et Lucky, le patron, nous souhaita la bienvenue. Nous nous installâmes sur de hauts tabourets proches du comptoir qui bordait la salle. Je vis que, sous sa jupe, elle portait des bas. Je commandais deux cocktail maison qu’une serveuse nous apporta avec des tapas. Isabelle me donna tout de suite son adresse mail, sans même que je lui rappelle que je l’attendais. Elle m’informa qu’elle n’était pas trop pressée car son mari n’était pas à la maison. Un bon moyen de me montrer que la voie était ouverte.
De la musique se mit à résonner et j’expliquai à Isabelle qu’il y avait une petite piste de danse au sous-sol. Elle ne se fit pas prier quand je lui proposai d’aller y faire un tour.
Le lieu était bien décoré et les lumières tamisées. Ce bar était réputé pour son ambiance libertine. Les couples qui descendaient au sous-sol avaient parfois d’autres envie que la danse et certaines soirées avaient finies en véritables orgies ! A cette heure-ci, nous étions seuls. Je profitai d’une musique douce pour danser un slow avec Isabelle. Mes mains explorèrent son dos puis descendirent vers ses fesses qu’elles agrippèrent fermement. Elle tressaillit et je l’embrassai aussitôt, lui donnant cette fois un vrai baiser où nos langues se mélangèrent. Elle salivait beaucoup et je lui dis que j’aimais ça. Elle m’avait cédé si facilement que je me suis dit que Fabrice s’était trompé et qu’elle était tout à fait prête à lui faire jouer le rôle de cocu.
Quand la musique s’arrêta, je restai collé contre elle et lui fis sentir mon érection. Elle ne se montra pas choquée outre mesure, mais me demanda de remonter quand j’entrepris de déboutonner son chemisier. Je remis ma découverte à plus tard. Nous bavardâmes de choses banales en sirotant notre cocktail, puis j’en commandai deux autres.
- Il ne faut pas que je boive trop, me dit Isabelle. Je dois conduire pour rentrer…
- Je t’hébergerai si tu n’es pas en état, lui répondis-je, ne masquant pas mes intentions de la mettre dans mon lit.
Elle ne réagit même pas à cette proposition outrancière et je lui posai une question qui aurait dû la mettre mal à l’aise
- Tu as déjà trompé ton mari ? demandai-je.
- Une seule fois, me répond-elle. C’était il y a pas mal de temps… J’ai eu une aventure avec le principal adjoint du collège où je travaillais…
- Elle a duré longtemps cette relation ?
- Tout le temps où je suis restée dans l’établissement, me répondit Isabelle. Après, j’ai obtenu la mutation que je demandais et j’ai retrouvé mon mari…
- Et depuis, tu ne l’as plus trompé ? Ce sera la deuxième fois ce soir ? insistai-je avec assurance.
- Je ne t’ai pas encore cédé, me dit-elle avec un air espiègle.
- Tu ne vas pas me résister bien longtemps, repris-je en posant la main sur sa cuisse et en remontant vers l’élastique de ses bas. Viens, on va retourner danser….
Je me lève et je l’entraine à nouveau au sous-sol. Déjà dans l’escalier, je tripote ses fesses. Nous arrivons sur la piste de danse et un autre couple est enlacé sur la piste. L’homme est en train de déboutonner le chemisier de sa partenaire, et j’en fais autant avec Isabelle.
Cette fois elle me laisse faire, sans doute émoustillée par la présence de nos voisins. Je l’embrasse et je lui retire le petit chemisier blanc. Elle se retrouve en soutien-gorge et semble un peu inquiète. Je murmure à son oreille :
- Je veux que tu te montres plus salope qu’elle… Je vais te mettre entièrement à poil et te prendre sur le canapé….
Elle proteste sans beaucoup de conviction. Bien sûr, elle ne s’attendait pas à une entrée en matière aussi forte, mais j’ai compris qu’elle se laissera faire. Elle est venue avec l’idée que je pourrais la soumettre et c’est même ce qui l’a poussée à accepter de me revoir. Je sais que Fabrice aimerait que je la pousse assez loin et je vais m’y employer.
Je lui retire son soutien-gorge et je découvre enfin ses seins lourds, en forme de pomme avec de très larges aréoles assez claires. Je pince fermement ses tétons pour lui faire comprendre qu’elle va devoir m’obéir. Après le soutien-gorge, je lui retire sa robe et je découvre sa culotte échancrée coordonnée au haut.
L’autre couple s’est arrêté et nous regarde. L’exhibition d’Isabelle a l’air de les passionner. Je fais glisser sa culotte, découvrant d’abord ses fesses rondes et voluptueuse, puis je dévoile sa toison abondante mais bien entretenue. Elle semble morte de honte.
Je la regarde, vêtue maintenant uniquement de ses bas noirs. Elle est belle et je lui demande de se retourner. Elle me regarde avec un regard implorant et fait non de la tête.
Je donne une grande claque sur ses fesses.
- Tourne-toi, salope ! Je veux que tu leur montre ta chatte !
Cette fois elle m’obéit sans discuter et se tourne vers le couple. Je ramasse le culotte d’Isabelle et la porte à me narines. Je m’avance vers l’homme et lui tend la pièce de lingerie de satin crème.
- Tu veux sentir le parfum de sa chatte ? Elle mouille comme une chienne !
Il prend le slip avec un sourire amusé et le renifle à son tour. Isabelle se sent observée, dévoilée, humiliée…
Il me le rend après s’être bine imprégné de ses odeurs corporelles et je la pousse sur le canapé. Je lui relève les jambes et je la pénètre sans ménagement.
- C’est vrai que tu mouilles comme une chienne ! dis-je à haute voix pour bien que les autres l’entendent. Tu veux bien être ma chienne lubrique ? lui demandai-je.
- Oui, murmure-t-elle tout doucement.
- Dis le plus fort ! ordonnai-je. Dis que tu veux être ma chienne !
- Je veux être ta chienne, clame-t-elle cette fois distinctement.
Je continue à la baiser, puis je me vide sur son ventre. Je ne veux pas encore lui permettre d’avoir mon sperme en elle se sera pour plus tard. Elle le demandera comme une offrande… J’étale ma semence gluante sur sa toison, puis je lui titille le clitoris avec mon sperme jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Son premier orgasme a été violent et dévastateur. Je l’ai un peu malmenée pour une première fois, mais le sourire qu’elle m’adresse quand elle a récupéré me prouve qu’elle a adoré. Je la laisse s’essuyer et se rhabiller, puis nous remontons dans le bar. Nous terminons notre second cocktail et je lui annonce que nous allons changer d’endroit.


à suivre...

Je me rends compte que l'histoire que je publie n'est pas la même que la première fois...
Tant mieux pour ceux qui avaient lu l'autre.

Là, on ne voit pas son visage...
Mais c'est encore plus beau !

Elle ne me pose même pas de question et me suit. Ce n’est qu’une fois dans la rue qu’elle me demande où nous allons.
- Tu es déjà allée dans un sauna libertin ? lui demandé-je.
- Non, jamais ! Mais j’en ai envie depuis très longtemps…
- Eh bien ton envie ne va pas tarder à être satisfaite…
Nous prenons ma voiture pour nous rendre rue Saint-Joseph, à cinq minutes de là. Avec beaucoup de chance, je trouve une place juste en face de l’entrée.
Nous pénétrons dans le petit sas un peu inquiétant et une petite fenêtre s’ouvre sur nous. Philippe, le patron, me reconnaît immédiatement. Avec un sourire avenant, il nous ouvre la porte principale et nous entrons directement dans le bar. Je lui explique que je suis venu avec une amie qui ne connaît pas les saunas. Il lui débite son couplet habituel, expliquant qu’ici les clients sont respectueux et que chacun est libre de faire ce qu’il veut. Seulement regarder ou donner libre cours à ses envies. Pour mettre Isabelle en confiance, il commence par nous offrir une consommation, puis je lui règle le prix de l’entrée et il nous donne les traditionnels cadenas de nos vestiaires avec deux grandes serviettes.
Nous buvons un verre au bar, puis nous allons nous changer. Isabelle semble un peu inquiète car nous n’avons encore vu aucun des clients présents dans l’établissement.
Lorsque nous ressortons des vestiaires, nous ne portons qu’une serviette autour de la taille. Je conduis Isabelle et, plutôt que de lui faire visiter les lieux, je décide de lui laisser la surprise d’une découverte progressive. Je sais que cette situation anxiogène de l’inconnu va augmenter son excitation.
Dans les couloirs qui mènent aux différentes pièces, une pénombre un peu inquiétante nous enveloppe. Nous prenons une douche. Je savonne le corps d’Isabelle qui a bien besoin que je nettoie les traces de sperme encore collé dans sa toison. Avec un parfait esprit de soumission, elle me laisse faire. J’apprécie son adhésion totale à mon projet de la pervertir.
En sortant de la douche, je la conduis dans le sauna où règne une chaleur sèche un peu étouffante. Deux hommes s’y trouvent déjà et sont allongés sur les bancs supérieurs.
Je fais asseoir Isabelle et je caresse son corps encore humide. Je lui masse les pieds. Je sais qu’elle adore cela et que ma caresse va la détendre.
Nos deux voisins ne sont pas insensibles au charme de la belle blonde que je caresse devant eux. L’un d’eux, un homme d’une trentaine d’années assez athlétique, s’est relevé et se masturbe lentement. L’autre se contente de regarder.
J’embrasse Isabelle avec douceur, puis je lui demande de se relever. Une fois de plus elle m’obéit docilement.
- Suce-le ! ordonné-je en lui montrant la queue de notre voisin.
Elle semble hésiter, mais sa bouche s’approche du sexe durci de l’inconnu qui bande aussi fort qu’il peut..Je pose ma main derrière sa tête et la pousse vers cette queue inconnue. Le gland effleure ses lèvres et je vois la langue d’Isabelle qui sort pour le titiller doucement.
L’autre homme s’est rapproché et se branle maintenant franchement à côté d’Isabelle. Il est petit, un peu chauve et transpire beaucoup. Pendant qu’elle enfourne le sexe du premier, Isabelle tend la main vers le sexe court et large que lui propose l’homme plus âgé. Elle l’entoure de sa main droite et le branle avec vigueur. Les deux hommes éjaculent ensemble sur les seins d’Isabelle. On dirait que sa poitrine les excite particulièrement.
Nous retournons prendre une douche, puis je l’emmène au jacuzzi. Nous posons nos serviettes et entrons dans l’eau à 34°. Nous nous asseyons dans un coin et Isabelle est rapidement entourée par les hommes qui étaient déjà dans l’eau. Des mains se posent un peu partout sur elle. Sur ses seins, sur ses fesses, sur ses cuisses…
Au début, elle se colle contre moi. Elle est un peu effrayée par cette marée humaine, mais je la pousse vers le centre du jacuzzi et les hommes se pressent autour d’elle. Ils la palpent, la malaxent… Elle ne sait plus à qui est la main qui lui caresse la chatte, ni celle qui lui écarte les fesses pour chercher son petit trou. Je sais que cela l’excite, mais je ne veux quand même pas la livrer sans défense à cette horde de mâles, alors, au bout d’un moment, je reprends mes droits nt je la prends par la taille pour l’aider à sortir de l’eau.
Il reste des endroits intéressants qu’elle n’a pas encore eu l’occasion de découvrir. Je l’emmène dans une pièce où se trouve un lit situé en face d’un écran qui projette une vidéo porno. Nous nous installons et je décide, enfin de lui offrir un moment de tendresse. Je m’allonge à ses côtés et je la masse avec douceur.
Elle s’abandonne complètement.
Je l'allonge d'abord à plat ventre... Sa poitrine se presse contre le cuir un peu froid de la banquette lorsque je malaxe ses fesses... Elle a droit à une petite claque l'invitant à se retourner, puis je m'allonge sur elle pour lui faire sentir le grain de ma peau... Après avoir fait rouler légèrement les pointes de ses seins pour les faire durcir un peu plus, je descends vers son ventre... Ma langue visite son nombril, puis je repars vers le trésor que cache ta toison fournie Avec machiavélisme, j'évite soigneusement ce sexe que son bassin fait avancer vers moi. J'attendrai de la sentir folle de désir avant que mes doigts ne vérifient enfin le degré d'humidité que j'ai provoqué, puis ma bouche jouera avec son clitoris et je l'attirerai vers le bord du lit, les jambes nouées autour de ma taille, pour la pénétrer lentement et profondément...
Trois des hommes qui étaient dans le jacuzzi nous avaient suivis et attendaient dans la pièce voisine. Pendant que je baisais Isabelle, ils avaient passé leurs queues dans les trous la cloison.
- Regarde ses belles queues ! dis-je à ma soumise. Elles sont pour toi…
Isabelle n’avait même pas remarqué les bites qui lui étaient proposées par les orifices de la cloison. Elle s’approche de la plus grosse et la prend dans ses mains, puis elle passe à la seconde et la branle également. Elle s’est mise à quatre pattes. Je m’agenouille derrière elle et je la prends en levrette. Elle mouille énormément.
- Je t’ai dit de les sucer ! lui dis-je en lui donnant une claque sur les fesses. Montre-leur que tu suces comme une vraie pute !
Elle prend à nouveau la première bite et referme ses lèvres dessus. Je ne la sens pas très à l’aise et elle perd l’équilibre sur la banquette. J’interviens de nouveau.
- Attends, tu n’es pas concentrée sur ce que tu fais… Viens je vais t’emmener sucer, moi !
Je la prends par la main et je l’entraine dans la salle suivante. Une sorte de cage de bois se trouve dans un coin de la pièce. Dessus, une sorte de plaque indicatrice est affichée : « Place de la Pipe ». Je fais passer Isabelle derrière les panneaux de bois et elle s’agenouille. Trois trous sont percés dans la cloison et chacun des hommes qui étaient avec nous y glisse son sexe. Sa bouche peut passer de l‘un à l’autre et, pendant qu’elle suce une bite, elle peut branler les deux autres.

à suivre...

Oui, oui, la suite !!!

- Vas-y ma petite chienne, éponge les bien ! Je veux que tu vides leurs trois queues en moins de cinq minutes, sinon, je te donnerai une fessée dont tu te souviendras !
Isabelle fait de son mieux pour me satisfaire. Elle fait jouir les trois mecs en quelques minutes. Deux autres arrivent et prennent leur place. Je me mets dans le troisième trou.
- Allez, suce ma salope ! Je veux te voir ressortir couverte sperme…
Elle vide les deux autres et je lui demande de ressortir. Elle a du sperme partout ! Le liquide blanchâtre coule de ses lèvres et elle en a plein les cheveux. Je la ramène vers le bar, lui interdisant de prendre sa serviette et l’obligeant à s’exposer aux regards en pleine lumière.
Trois hommes sont accoudés au comptoir. Je leur amène Isabelle.
- Regardez ma pute… Vous avez vu comme elle aime le sperme ? Vous n’avez pas envie de la baiser ?
Ils me regardent d’un air un peu surpris, mais je vous bien qu’Isabelle les excite. Je lui demande de se pencher en avant et elle prend appui sur un tabouret. Je prends une cravache accrochée au mur et je la fais cingler sur ses fesses, laissant deux belles traces rouges. Posant la cravache, je lui écarte les fesses pour bien leur montrer le cul de ma soumise. Son petit trou est exposé aux regards. Lentement, j’introduis un doigt dans son cul et je le fais tourner.
- Ca ne tente personne un joli petit cul comme ça ? demandé-je aux trois hommes qui nous entourent.
L’un d’eux s’approche et pose ses mains sur les fesses d’Isabelle, puis il descend vers sa chatte et cherche son clitoris. Je la vois qui frémit. Comme il n’est pas maladroit, elle se met à haleter et finit par jouir sous ses caresses.
- C’est bien ma chienne… J’aime te faire jouir ? Tu veux qu’ils te baisent tous les trois ? Hein ? Dis-le que tu veux qu’ils te baisent tous les trois !
Elle me regarde d’un air implorant. Ce sont des paroles qu’elle a trop honte de prononcer, pourtant, au fond d’elle-même elle voudrait que cela se réalise. Ce soir elle a décidé qu’elle ne me refuserait rien et que je pourrai lui faire faire toutes les cochonneries que je voudrai. Pourtant, j’insiste. Je reprends la cravache et je la fais claquer sur ses cuisses. I
- Dis-le salope ! Je veux te l’entendre dire !
- Je veux qu’ils me baisent tous les trois, dit-elle enfin.
- C’est bien ! Viens on va aller dans une des chambres…
Je la prends par la main et je l’entraine dans la chambre décorée avec des peaux de zèbre. Les trois hommes nous suivent, évidemment, et je referme la porte quand ils sont entrés. Isabelle est plus désirable que jamais. Elle porte encore des traces de sperme et les marques des coups de cravache que je lui ai assénés. Franchement, en la rencontrant, je ne m’attendais pas à tomber sur une telle salope. J’ai vraiment tiré le gros lot ! Son mari qui voulait que je la dévergonde est certainement loin de se douter que tout ce qu’elle aura fait ce soir.
Les trois hommes sont un peu trop réservés à mon goût et je décide de jouer les metteurs en scène, comme si je me trouvais sur le tournage d’un film porno. Je demande au plus grand de s’allonger sur le dos, puis je guide Isabelle pour qu’elle s’empale sur son sexe dressé. Le second, un homme d’une quarantaine d’années, se met derrière elle et la fait pencher en avant. Il a compris ce que je souhaitais et il lui écarte les fesses Pendant que celui du dessous commence à lui palper les seins avec vigueur, l’autre s’introduit dans le joli cul de ma soumise. Elle a de la chance, sa queue est longue, mais c’est la plus fine.
Le troisième se met debout, jambes écartées, et vient de faire sucer par Isabelle. Elle est remplie par tous les trous et je me régale à voir ces trois mecs qui profitent de son corps avec tant d’enthousiasme.
Ils la font jouir avec beaucoup d’application. Celui qui avait sa queue dans sa bouche éjacule sur son visage et le sperme lui coule jusqu’à la commissure des lèvres. Elle sort sa langue et goûte la semence inconnue.
- Tu m’excite ! J’adore te voir remplie par tous les trous comme une truie en chaleur… Je crois que ce soir tu as eu ta dose et tous les mecs ont la queue vide… Il n’y a plus que moi pour te baiser…
Je l’emmène dans le hammam. J’adore la chaleur gorgée d’humidité et parfumée à l’eucalyptus de cet endroit. Je supporte beaucoup mieux la chaleur qui règne ici que dans le sauna. Nous nous allongeons sur les marches carrelées de ce lieu embué. Tous les hommes qui se trouvaient dans l’établissement ce soir ont vidé leur queue sur Isabelle ou en elle.
Je lui écarte les cuisses et je la pénètre aussitôt. Depuis le temps que je la vois faire jouir les autres mecs, j’ai une envie furieuse de jouir dans sa chatte ! Elle m’a fait passer une soirée inoubliable et je veux enfin la baiser comme elle le mérite, ma salope ! Je m’enfonce en elle aussi loin que je peux. Mon gland vient frapper le col de son utérus et je pince la pointe de ses seins, de plus en plus fort. Je l’embrasse avec passion, je tète sa langue, je dévore ses lèvres…
Elle change de position, relevant les jambes pour que l’excitation de son point G soit maximale. Je sens le plaisir qui monte en elle. Son orgasme est dévastateur. Elle crie aussi fort qu’elle peut et balance la tête de droite à gauche. Je suis, moi-aussi, au comble de l’excitation, mais je parviens à me retenir par je ne sais quel miracle. Je veux qu’elle enchaine plusieurs orgasmes, elle les a bien mérités…
Son plaisir monte à nouveau. Elle halète de plus en plus vite… Son bassin accompagne mes mouvements … Je sens qu’elle va jouir de nouveau, mais soudain elle s’arrête…
- Je ne peux plus me retenir, me dit-elle. Il faut absolument que j’aille faire pipi !
- Pas question ! réponds-je d’un ton ferme. Tu es trop excitée… Je veux te faire jouir encore !
- Mais je ne peux plus…
- Alors, pisse ! Ne te retiens plus ! Pisse sur ma queue !
Elle me regarde avec un regard mêlé de surprise et de lubricité et, soudain elle se lâche. Son urine chaude inonde ma queue et mon ventre. Elle est si heureuse de pouvoir se soulager que c’est comme si elle avait un nouvel orgasme. Au prix d’un effort important, je parviens, moi-aussi à expulser un jet d’urine au fond de son vagin. Elle me regarde étonnée, se rendant compte de ce que je viens de faire, puis c’est elle qui me demande de poursuivre.
- Encore ! Pisse-moi dans la chatte ! me crie-t-elle. Tu me rends dingue… Je veux que tu fasses de moi la pire des salopes !
Je ne lui réponds pas, mais je me lâche complètement. Elle aussi reprend sa miction et le liquide jaunâtre et chaud coule à flot, inondant nos ventres et nos cuisses. Elle a un nouvel orgasme et j’explose enfin en elle, la remplissant d’une quantité de sperme qui l’impressionne.
Comblé et heureux, nous restons enlacés dans les bras l’un de l’autre pendant de longues minutes, sans bouger, souillés par nos secrétions intimes. Elle a du sperme et de l’urine partout, mais elle s’en fout. Elle a joui comme jamais et je sais que cette première expérience n’est pas la dernière.
Nous allons ensuite prendre une douche dont nous avons absolument besoin et nous partons nous rhabiller pour quitter l’établissement.
Nous avons retrouvé la raison et quand je la ramène pour récupérer sa voiture, personne ne pourrait se douter de ce que nous venons de faire. Nous sommes un couple ordinaire qui a retrouvé sa quiétude et son savoir-vivre.
Quand je l’embrasse une dernière fois et que je lui demande si elle ira lire ce que j’ai écrit, elle me demande seulement quand nous nous reverrons. Ca lui a plus d’être ma salope soumise, mais je sais qu’elle est prête à recommencer quand je voudrai…
Même Fabrice aura du mal à croire tout ce que je vais lui raconter.

FIN

Quelques photos de sa chatte délicieuse avant de passer à une autre histoire ?

Petite chatte adorable

Pénétrée...

Enculée...

Profond...

Belle salope, prête à servir

hum vmt fan de Sophie !!

jolie croupe ISabelle !!

trés bonne histoire on en veux d'autre continu je suis sur que tu en a plain d'autre

oui j'en ai d'autres...
je vais passer à ANNE...

LES FANTASMES D’ANNE

Soirée au restaurant

Lorsque j’avais dialogué avec Jacques, c’était un peu par hasard. Il m’avait rapidement parlé de son épouse dont il était fier et qu’il fantasmait de partager. Je lui ai demandé de me la décrire et j’ai vu qu’il le faisait avec complaisance et délectation. Je lui ai expliqué que je prenais un grand plaisir à imaginer et écrire des textes érotiques que je publiais sur certains sites spécialisés dans ce genre d’histoire. Très rapidement, j’ai précisé que ce que j’adorais, c’était recueillir les confidences d’une parfaite inconnue et rédiger sa « biographie intime ». Je lui ai demandé si cette épouse serait partante pour ce genre d’exercice.
Il me répondit qu’il serait ravi qu’elle accepte, mais qu’il n’en savait rien. Je lui envoyai le premier chapitre d’une fiction érotique que j’avais publiée et lui demandai de la faire lire à son épouse. Il me promit de le faire et ajouta qu’il lui demanderait de me donner elle-même son avis.
Anne apprécia le texte. Je lui envoyai la suite en lui proposant mon projet. Après une courte hésitation, elle me dit que la lecture de mes textes, et surtout l’insistance de Jacques, l’avaient convaincue d’accepter de me livrer un peu de son intimité. Je lui ai proposé très rapidement de remplir un questionnaire très indiscret, l’obligeant à me révéler d’emblée des détails très intimes. Après que j’aie dressé son portrait sous une forme plus littérale, elle accepta de me raconter les principales étapes de sa vie sexuelle et de me révéler quels étaient les fantasmes qui entretenaient le piment de leur couple.
Je compris que l’idée de la montrer de l’exposer et même de la partager était un ressort essentiel de la libido de son mari et que cette idée était loin de la laisser indifférente. Pourtant, elle n’envisageait pas du tout de passer à l’acte et c’est parce que j’étais un parfait inconnu, localisé à l’autre bout de la France, qu’elle acceptait de m’en parler.
Je pris un réel plaisir à découvrir cette femme de 46 ans qui se dévoilait à moi. Après que j’eus rédigé ses confidences et décrit certains de ses fantasmes, nous continuâmes à échanger quelques mails pendant les mois qui suivirent puis, les obligations quotidiennes et les aléas de la vie reprenant leurs droits ; nos échanges finirent par cesser.
Au printemps de l’année suivante, la grande banque dans laquelle ils travaillaient tous les deux les envoya en séminaire à Arcachon. Anne ne put s’empêcher de penser que cette ville balnéaire n’était pas très loin de l’endroit où résidait celui qui avait réussi à recueillir ses confidences intimes, mais elle n’avait pas gardé de contact, et puis c’était mieux que cet homme reste à tout jamais anonyme.
Ce qu’elle ne savait pas, c’est que Jacques était resté en contact avec lui. Ils s’étaient croisés par hasard sur un forum, quelques mois après les confidences d’Anne. Jacques lui avait donné une autre adresse mail et ils avaient continué à correspondre à l’insu de son épouse.
Après le séminaire, Anne et Jacques avaient décidé de prendre quelques jours de congés et de visiter cette belle région de la côte Atlantique. La dune du Pyla, l’île aux oiseaux, les promenades sur la jetée… Tout les enchantait. Un jour, Jacques annonça à son épouse qu’ils devaient diner avec un de ses clients de la banque.
- « C’est un client très important » lui expliqua-t-il. « Son entreprise doit prochainement prendre une dimension nationale et même internationale. Si j’arrive à le conserver à l’agence de Dijon, le patron m’a promis une promotion. »
Anne fit la moue. Elle avait horreur de ce genre de soirée guindée où son mari ne parlait que de business. Elle aurait préféré un repas simple et rapide puis une glace dégustée avec Jacques sur la jetée Thiers. Pourtant, elle ne dit rien. Son mari lui demandait rarement ce genre de sacrifice.
Elle se prépara minutieusement. Son mari vint derrière elle et lui caressa affectueusement les fesses.
- « Tu devrais plutôt mettre ta jupe bleue à pois », lui dit-il. « Elle te va bien et elle est plus sexy. Mon client n’est pas insensible au charme féminin… »
Anne ne dit rien, mais retira la robe qu’elle avait choisie. Elle se balada un bon moment vêtue d’un simple string de couleur blanche. Le devant état orné de dentelle blanche et on voyait nettement sa toison brune et luxuriante. Jacques la trouvait vraiment très belle…
Elle enfila la jupe bleue à pois blancs qui était courte et évasée. Elle se regarda dans le miroir. Elle la trouvait un peu courte, mais elle lui allait bien.
Le soir venu, ils retrouvèrent l’homme en question. Il leur dit qu’il se prénommait Gilles et se montra très prévenant avec Anne qui le trouvait plutôt agréable. Il n’était pas très grand, dépassant à peine son interlocutrice. Il devait avoir la cinquantaine. Ses cheveux étaient châtain, légèrement grisonnants et il avait de beaux yeux bleus. Il semblait fort sympathique.
Jacques lui proposa de l’emmener dans un restaurant renommé, mais il déclara qu’il préférait un endroit simple et qu’il se contenterait d’une assiette de fruits de mer. Arrivés dans l’établissement du bord de mer, il annonça qu’il se mettrait à côté d’Anne.

à suivre...

elle a de super nichons

A peine le repas fut-il commencé que sa main glissa discrètement vers elle et se posa sur sa cuisse. Elle se figea, mais n’osa rien dire. Elle jeta un regard désespéré en direction de son mari, mais il continuait à parler, comme si rien n’était. La main de Gilles remonta et atteignit la lisière de ses bas qu’elle caressa doucement. Anne était de plus en plus gênée. A la fin du repas, il avait carrément remonté vers son string et ses doigts caressaient son entrejambe. Son autre main caressait les doigts d’Anne. Il se colla contre elle et l’embrassa même dans le cou.
Cette fois, elle était certaine que Jacques l’avait vu faire. Pourtant, il ne disait rien et, au contraire, l’encourageait discrètement à le laisser poursuivre. Anne était à la fois furieuse et follement excitée. Malgré elle, elle sentait sa petite chatte qui coulait littéralement. La situation et les gestes de Gilles étaient troublants et follement érotiques.
En sortant du restaurant, Gilles se comporta comme si c’était lui le mari d’Anne. Il la prit par la taille et ils marchèrent vers leurs véhicules, garés un peu plus loin. Ils bavardèrent un moment, puis Gilles les invita à prendre un dernier verre chez dans l’appartement qu’il avait loué. Jacques accepta aussitôt et cet homme si entreprenant embrassa furtivement Anne sur les lèvres avant qu’elle ne rejoigne son époux.
Dans la voiture, elle reprocha à son mari son attitude passive. Avec une grande hypocrisie, il lui dit qu’il avait laissé faire parce qu’il la voyait heureuse. Anne avoua qu’elle avait été troublée, mais qu’il n’était pas question qu’elle « passe à la casserole » pour la carrière de son mari.
Ils arrivèrent dans le petit studio qu’avait loué Gilles. Il fit installer Anne sur le canapé et leur prépara un cocktail. Jacques était resté à l’écart, assis sur une chaise. L’homme posa les verres sur la table et vint aux côtés d’Anne.
- « Alors ma petite cochonne virtuelle, le jeu te plait ? »
Anne se figea. Le seul qui l’avait appelée ainsi était son confesseur intime.
- « Vous n’êtes pas… », bredouilla-t-elle.
- « Mais non Anne, je ne suis pas un client de ton mari. Je me prénomme Gilles et je te connais très intimement »
Ainsi, c’était lui ! L’inconnu à qui elle avait confié ses secrets les plus intimes était devant elle. Durant toute cette soirée au restaurant, il l’avait draguée outrageusement sans qu’elle sache que c’était lui… Elle ne le trouvait pas vraiment beau, mais il avait du charme.
- « Il est temps de franchir la barrière des fantasmes… Jacques a été un merveilleux complice… Récompense-le en me montrant ta chatte ! Ecarte délicatement ta culotte, je jeux voir si elle est humide… »
Anne baissa les yeux et rougit, mais elle exécuta ce qu’elle ne se serait jamais crue capable de faire. Elle écarta largement les cuisses et releva su jupe jusqu’à la taille. Ses doigts écartèrent lentement la culotte et Gilles vit enfin cette toison dont il avait rêvé. Jacques était resté silencieux, il prit son appareil photo et immortalisa la première exhibition réelle de son épouse.

à suivre...

La première photo d'Anne

je m inscris pour le lechage

Je bande comme un âne à la lecture de ce récit et à la vue de cette photo.
Continue s'il te plait.

Gilles s’approcha et la regarda en détail. Il savait qu’elle venait de franchir une étape qu’elle croyait insurmontable. Il ne voulait pas aller très vite et ne la toucha pas.
- « Anne, tu es magnifique ! Ta chatte est aussi excitante que je l’avais rêvée. Cette toison est splendide ! »
Anne regarda en direction de Jacques. Complètement partagée entre l’excitation et la honte, elle avait besoin qu’il l’encourage. Il lui fit comprendre qu’il adorait ce qu’elle faisait et qu’il était fier d’elle.
Gilles et je te connais très intimement »
- « Cela doit t’exciter terriblement, hein que je te regarde ? Je suis sur que tu es trempée ! Baisse ta petite culotte ! Montre-nous comme elle est mouillée ! »
Anne se prenait progressivement au jeu. Elle fit glisser le string jusqu’à ses chevilles et posa ses pieds sur le canapé. Avec ses bas blancs elle était vraiment excitante. On voyait nettement que son string était luisant de cyprine. Jacques prit une nouvelle photo.

à suivre...

La photo prise par Jacques

Gilles mourrait d’envie de la toucher, de doigter cette magnifique chatte de la lécher… Mais il se retint de le faire. Il fallait que ce soit elle qui en ait envie, qu’elle le réclame…
Il se tourna vers Jacques et lui demanda d’intervenir.
- « Vas-y Jacques, masturbe-la ! Fais-la jouir devant moi ! »
Le mari d’Anne était follement excité de voir son vieux fantasme se réaliser enfin. Il se mit à côté d’elle. Il lui retira complètement sa culotte et la lança à Gilles. Il la renifla s’enivrant du parfum intime de sa confidente.
Jacques posa sa main sur le sexe d’Anne. Il écarta ses lèvres pour que Gilles puisse bien profiter de l’intérieur de son vagin. Il pénétra le fourreau rose avec deux de ses doigts et commença à la branler. Anne rejeta la tête et se mit à haleter de plus en plus rapidement. Ce qu’elle avait toujours refusé à son mari était entrain de l’exciter terriblement et de la faire jouir.
- « Oui, c’est bon ! Je jouis ! » se mit elle à crier, oubliant toute pudeur.
Gilles la regarda vivre son orgasme avec intensité, puis il la remercia pour le spectacle qu’elle lui avait offert et lui rendit sa culotte. Jacques était déçu que les choses n’aillent pas plus loin, mais quand Gilles proposa qu’ils se revoient le lendemain, ce fut Anne qui accepta la première, avec enthousiasme…

à suivre...

La plage de la Lagune

Une fois rentrés à leur hôtel, Anne et Jacques reparlèrent de cette soirée inattendue. Elle le gronda gentiment de l’avoir bernée, mais elle ne lui en voulait pas vraiment. Elle avait beaucoup apprécié la soirée.
Le lendemain, il faisait beau et ils rejoignirent Gilles à la plage. Il leur donna rendez-vous sur la plage de la Lagune, située au sud d’Arcachon, au sud de la ville.
C’était une grande plage avec un immense parking. Gilles ne l’avait pas choisie au hasard. Il savait que, dans sa partie sud, elle était largement fréquentée par un public naturiste. C’est là qu’il emmena Anne et Jacques.
Au début, Anne se sentait terriblement gênée. A 46 ans, elle ne se trouvait plus aussi sexy. Son mari avait beau la rassurer, lui dire qu’elle était toujours aussi belle, se mettre nue sur une plage demeurait une épreuve. D’ailleurs, même beaucoup plus jeune, elle n’avait accepté de le faire qu’une fois ou deux, et encore dans un endroit plutôt isolé. Là, c’était différent. Il y avait des gens tout autour et Gilles était avec eux…
Certes, grisée par l’ambiance, elle lui avait offert cette séance d’exhibition la veille, mais là, à froid elle rechignait à lui offrir la vision de son corps entièrement nu. Néanmoins, quand elle vit que les deux hommes se mettaient nus sans complexe, elle finit par retirer son maillot. Elle s’allongea sur sa serviette et sentit la douce caresse du soleil sur ses fesses.
Gilles détailla son corps sans se gêner. Il se mit même à le commenter à haute voix pour le plus grand plaisir de Jacques. C’est à lui que ces commentaires étaient adressés.
- « Ta femme a un cul magnifique ! Regarde, elle n’a pas un poil de cellulite… »
- « C’est vrai », répondit Jacques « Et tu as vu ses seins ? »
- « Oh oui ! On dirait ceux d’une jeune femme de 25 ans… Ils sont fermes, se tiennent bien, et j’adore les pointes de ses tétons »
- « Tu aimerais les lécher ? » demanda malicieusement l’époux excité.
- « Oui, et sa chatte encore davantage ! Depuis qu’elle me l’a montrée hier soir, je n’arrête pas d’y penser… »
- « J’espère qu’elle t’offrira ce plaisir. »
- « Rien que d’y penser, je bande ! J’aime ses lèvres bien dessinées et cette touffe bien fournie me fait un effet ! »
Anne, qui entendait tout de leur conversation, se sentait de plus en plus gênée. Elle avait envie de protester, de leur hurler qu’elle n’était pas une marchandise. Pourtant, les commentaires flatteurs de Gilles lui faisaient plaisir et la faisaient rougir. Elle ne dit rien, feignant d’ignorer leur dialogue, et se retourna même pour observer discrètement l’érection dont parlait Gilles.
Il avait un sexe de taille plus que respectable. Sa verge était large et tendue. L’espace d’un instant, Anne imagina cette verge qui la pénétrait. Comme cela devait être bon ! Elle était plus large que celle de Jacques…
Elle chassa cette pensée malsaine. Même si, lors de leurs ébats conjugaux ils évoquaient souvent la présence d’un autre homme, il n’était pas question qu’elle passe à l’acte.

à suivre...

Anne se tourne pour voir l’érection de Gilles…

quelle vue ! alléchante...

Gilles profita outrageusement du spectacle de la chatte offerte d’Anne, puis ils décidèrent d’aller se baigner. Elle traversa la plage avec l’impression que tous les regards étaient braqués sur elle, mais les femmes qui allaient se baigner nues étaient légion et personne ne la remarqua.
Une fois dans l’eau, Gilles se rapprocha d’elle et ses mains la frôlèrent. Anne sentit ses paumes qui se posaient sur ses fesses et épousaient leur forme.
- « Laisse-toi faire » lui dit-il « Ton mari est d’accord et personne ne nous voit !»
Anne lança un regard affolé autour d’elle. Elle croisa celui de Jacques qui acquiesça. Fermant les yeux et oubliant tout pour un instant, elle laissa les mains habiles de cet inconnu caresser ses fesses sous la surface de l’eau. Elle avait la peau douce et Gilles se régala. Il la pelota outrageusement, puis sa main droite glissa entre les cuisses de la belle brune qu’il désirait.
- « Oh non…» murmura-t-elle.
- « Si, laisse-toi faire », répéta doucement Gilles dont elle sentait le souffle chaud sur sa nuque.
Elle ne répondit pas, mais écarta un peu plus les cuisses. Un doigt curieux s’aventura et caressa superficiellement les lèvres de son sexe. Elle sentit une vague de chaleur envahir son ventre.
Gilles fit rouler les lèvres entre son pouce et son index, puis il introduisit son majeur dans le vagin d’Anne. Elle poussa un léger gémissement. Gilles fit aller et venir son doigt. Son pouce chercha le clitoris et le trouva sans difficulté. Il le frotta doucement, tandis que son majeur appuyait de plus en plus fort sur la paroi vaginale interne, cherchant à stimuler le point G qui se trouve à la base du clitoris.
Jacques était ravi. Son vieux fantasme de voir son épouse s’abandonner avec un inconnu se réalisait enfin. Il se rapprocha l’elle et caressa ses seins. Il l’encouragea :
- « Vas-y ma chérie, laisse-toi aller ! Jouis ! Montre-lui comme tu prends ton pied… »
Anne se rendit compte que la présence de Jacques la rassurait vraiment et la masquait des regards. Elle s’abandonna enfin complètement et connut un orgasme dévastateur. Elle sentit les spasmes l’envahir, son plaisir était fantastique et elle poussa même un petit cri, heureusement couvert par celui des enfants qui jouaient un peu plus loin.
Après avoir joui aussi fort, Anne se sentait coupable et honteuse. Elle venait de passer de l’autre côté de la barrière qu’elle s’était promis de ne jamais franchir. Elle sortit de l’eau, retourna sur sa serviette et observa un mutisme complet.
Jacques et Gilles ne savaient plus quoi penser. Avaient-ils voulu aller trop vite ?
Au bout d’un long moment Gilles s’approcha d’Anne qui était allongée sur le ventre. Elle bronzait sans un mot.
- « Tu n’as pas aimé ce que je t’ai fait ? » demanda-t-il.
- « Si, justement… »
- « Et alors ? Tu as bien fait d’en profiter. »
- « J’ai peur des choses auxquelles cela risque de nous mener. »
- « Ne t’inquiète pas » intervint Jacques. « Gilles n’ira pas plus loin que tu le souhaites… »
Anne ne répondit pas. Ce n’était pas de Gilles dont elle avait peur mais d’elle !

à suivre...

Retour à la plage

Inévitablement, Gilles insista pour revoir Anne et Jacques. Il leur proposa, le lendemain de retourner sur la même plage. Ils acceptèrent avec enthousiasme, mais, cette fois, Gilles n’avait pas l’intention de rester sagement allongé sur le sable.
Au bout d’un moment, il leur proposa d’aller faire une promenade dans les dunes. Le soleil était haut et chaud et ils transpiraient abondamment. Gilles leur proposa de descendre un peu en contrebas des dunes, pour se mettre à l’ombre dans la forêt de pins. C’est là que rôdaient les voyeurs de tous poils dans cet endroit réputé de la région. Au bout d’un moment, ils s’assirent sous un pin et Jacques demanda à son épouse de leur montrer sa chatte.
Anne protesta pour la forme, mais elle écarta sa culotte, comme elle l’avait déjà fait dans leur appartement. Jacques était ravi de la voir de nouveau se montrer à Gilles. Elle semblait désormais avoir confiance en lui. Il s’approcha lentement et caressa d’abord les pieds d’Anne, puis sa main remonta le long de son mollet, de sa cuisse et elle se dirigea irrémédiablement vers la toison fournie qui l’attirait tant.
C’est alors qu’ils entendirent une branche craquer.
- « Nous ne sommes pas seuls ! » chuchota Anne.
- « Non, il y a un voyeur planqué derrière le bosquet… » expliqua Jacques.
- « J’ai envie qu’il te regarde » dit Gilles avec une certaine perversion.
- « Sûrement pas ! » protesta Anne. « Je ne vais pas me montrer à un inconnu ! »
- « Si, j’ai envie qu’il regarda au moins tes fesses » reprit Jacques.
- « Non et non ! » s’énerva Anne.
Gilles lui proposa alors un scénario, en apparence assez soft, qui semblait lui convenir. Elle allait faire semblant de faire la sieste et s’allonger sur le côté. Une fois qu’elle semblerait profondément endormie, Gilles viendrait baisser sa culotte et remonter sa jupe. Normalement, les voyeurs ne devraient pas tarder à venir mater de plus près ce cul offert. S’ils s’approchaient trop près, elle n’aurait qu’à se réveiller et se mettre à crier. Jacques et lui arriveraient alors et le ou les voyeurs s’enfuiraient à toutes jambes.

- « Fais-le, chérie… Ça m’excite terriblement !» insista Jacques.
- « Vous me promettez que si j’ai un problème vous serez là ? » demanda Anne avant d’accepter.
- « Evidemment chérie ! » répondit son mari.
Anne s’allongea alors sur le côté, installée sur la couverture qu’ils avaient apportée, et fit mine de s’endormir. Comme il l’avait annoncé, Gilles approcha d’elle discrètement. Il releva sa jupe bleue à pois blancs et descendit doucement sa culotte blanche sur ses fesses. Anne fit mine de continuer à dormir profondément, mais elle se sentait profondément excitée.
Cette cérébrale imaginait les regards braqués sur son postérieur et, peut-être, quelques voyeurs qui se branlaient en matant son cul.


à suivre...

Anne fait mine de dormir, fesses offertes.…

Effectivement, au bout d’un court moment, deux voyeurs s’approchèrent. Elle ne les vit pas, mais entendit leurs pas. Ils s’arrêtèrent à moins d’un mètre d’elle et la regardaient maintenant franchement. Ils ne songeaient plus du tout à se cacher et Jacques et Gilles les virent se branler tous les deux.
Le mari d’Anne était fou de joie de voir deux hommes s’exciter en matant le cul d’Anne. L’un d’eux s’approcha encore et tendit la main vers elle.
Gilles se releva, prêt à intervenir.
- « Non, laisse-le ! Je veux qu’il la touche ! » dit-il follement excité.
Gilles ne le contredit pas et laissa l’homme poser sa main sur le fessier de la belle endormie. L’autre voyeur s’apprêtait à en faire autant, mais il n’eut pas le temps. Elle se réveilla en sursaut et se mit à hurler, ce qui les mit en fuite tous les deux.
Un peu plus tard, elle reprocha à son mari de ne pas être intervenu plus vite, mais il lui répondit qu’elle n’avait même pas eu besoin d’eux.
Un peu échaudée par son aventure, Anne ne voulut pas recommencer avec d’autres voyeurs comme le demandait Jacques, mais ils rentrèrent à leur hôtel et Gilles put la regarder sous toutes ses coutures, cuisse largement ouvertes. Elle s’exhiba cette fois sans retenue, lui montrant même bien son cul avant de le laisser enfin la lécher, aussi bien côté vaginal que côté anal.

à suivre...

La sublime chatte poilue d'Anne...

Et son cul aussi...

Magnifique au naturel j adore tu as un fan

Jacques se branla comme un fou. Son complice se contenta de caresses buccales. Il avait raison. Anne ne devait surtout pas être brusquée, mais cette fois il pensait qu’elle laisserait Gilles la pénétrer lors de leur prochaine rencontre. Il en était presque sûr.

à suivre...

Exhibition privée

Hélas, le dernier jour des vacances d’Anne et Jacques était arrivé. Ce dernier avait été comblé de voir son épouse accepter de s’exhiber franchement devant Gilles et même de le laisser pratiquer sur elle des caresses buccales franchement osées.
Ils en parlèrent beaucoup le dernier soir, mais elle lui assura qu’elle ne faisait cela que pour lui faire plaisir.
Au moment du retour, ils prirent le train à la gare d’Arcachon, mais ils ne rentraient pas directement en Bourgogne. Cette région leur plaisait finalement beaucoup et Jacques avait pris rendez-vous avec le directeur régional de la banque qui les employait tous les deux, pour négocier un poste de responsable d’agence dans la région. Il avait rendez-vous à Bordeaux en fin de matinée.
Anne avait, tout naturellement proposé de l’accompagner à ce rendez-vous, mais Jacques avait refusé.
- « Je ne vais pas aller à ce rendez-vous accompagné de mon épouse ! » avait-il protesté. « Gilles va venir nous chercher à la gare. Tu passeras cette dernière journée avec lui. Je vous rejoindrai après mon entretien. »
- « Si tu veux » avait finalement répondu son épouse.
- « Tu seras sage ? » avait-il demandé perfidement.
- « Bien sûr ! Tu sais que je ne fais jamais rien sans toi ! » avait-elle protesté.
C’était vrai. Toutes ses exhibitions, elle les avait faites en présence de son conjoint. En la mettant dans cette situation, il voulait justement savoir si elle allait aller un peu plus loin et faire quelque chose avec Gilles, qui avait pour consigne de la chauffer au maximum en attendant que Jacques les rejoignent. Il avait promis qu’il raconterait tout ce qui c’était passé.
Quand Anne remonta dans la voiture de Gilles après qu’ils eurent déposé Jacques, sa robe remonta légèrement et il put apercevoir la lisière de ses bas.
- « Hum, tu as mis des bas ? Relève ta jupe ! Montre-moi ! »
Anne le fit sans hésiter. En pleine circulation, alors que les motards et les routiers pouvaient la voir, elle remonta sa jupe, découvrant ses cuisses et son porte-jarretelles, devant Gilles qui avait vraiment du mal à se concentrer sur sa conduite.
- « On va aller chez moi » lui dit-il. « Tu me montreras cela de plus près… »
A sa grande surprise, elle ne protesta pas et se contenta de sourire. Visiblement, Jacques avait vu juste. Pour une fois elle semblait bien décidée à s’exhiber, même hors de sa présence.
Dommage qu’il ne reste que quelques heures pour en profiter…


à suivre...

Anne relève sa jupe dans la voiture de Gilles…

Sa commence a chauffer

Super récit et belle photo

Merci pour vos commentaires qui font plaisir...

Une fois qu’ils furent arrivés chez Gilles. Anne se montra d’abord un peu timide. C’était la première fois qu’elle se trouvait dans cette situation sans son mari. Pourtant, Gilles parvint à la détendre.
Au bout d’un moment, elle accepta enfin de lui montrer de nouveau cette belle lingerie qu’elle avait mise pour le retour. Cela changeait des tenues de plage qu’elle portait sur la côte.
Gilles prit tout son temps pour détailler le sublime porte-jarretelles et le petit string blanc duquel dépassait sa toison fournie si excitante. Il se dit que, finalement, la mode de l’épilation n’était peut-être pas une si bonne chose.
Anne resta longuement exposée à ses regards, puis elle se releva enfin et reprit une position plus décente.
Elle n’avait pas voulu qu’il vienne la caresser. Elle en faisait une question de principe. Même si ce n’était pas l’envie qui lui manquait.
Déjà qu’en lui dévoilant ses charmes alors qu’ils n’étaient que tous les deux elle avait l’impression de trahir Jacques !

à suivre...

Elle s’allonge et le laisse contempler sa lingerie fine.

Tout simplement adorable...;

Pourtant, Gilles ne s’arrêta pas là. Avec beaucoup de délicatesse, il caressa les pieds nylonnés d’Anne, puis ses jambes. Cette fois, elle le laissa faire. Elle le regarda lui retirer ses bas avec beaucoup d’érotisme, puis elle l’aida à retirer le porte-jarretelles et la jupe. Il ne lui laissa que son délicieux petit string blanc.
Sachant ce qu’il attendait, elle se retourna et se mit à quatre pattes. Gilles put voir la fine bande de tissu blanc partager ses hémisphères. De merveilleux poils sombres de sa touffe épaisse débordaient du string et remontaient jusqu’à la raie de ses fesses.
Il ne put se retenir et se mit à se masturber, les yeux rivés sur cette croupe qui ondulait

à suivre...

Anne fait onduler sa croupe, laissant voir ses poils sombres…

Allez sans le string...

Non, d'abord de face avec le string...

Anne se retourna et lui fit admirer son épais buisson. Le string était tendu et s’insinuait dans ses lèvres roses qui ressortaient merveilleusement au milieu des poils sombres.
- « Quelle chatte ! » ne put s’empêcher de s’exclamer Gilles. « Laisse-moi la caresser… »
Anne lui sourit et écarta les cuisses encore davantage. Il passa son doigt sur le gousset du string, pour bien l’imprégner de sa liqueur intime, puis il le lui retire enfin, délicatement. Elle l’aide en levant les jambes et le regarde se délecter de ses secrétions avant de plonger vers son intimité.


à suivre...

Le string tendu s’insinue entre ses lèvres roses…

Très excitant comme approche.