Bourgeoise et pute (épisodes 1, 2, 3, 4 et 5)

Il y a quelques semaines ma femme a décidé de franchir un nouveau pas dans notre vie sexuelle.

Il y a longtemps que nous débuté de nouvelles expériences plus ou moins réussies en matière de sexe. Les fantasmes de ma femme rejoignent les miens et nous prenons un réel plaisir à essayer de nouvelles "routes".

L'une, ancienne, est la masturbation: ma femme et moi adorons nous faire jouir l'un en face de l'autre! Tout est dans le rituel: bas noirs, haut noir (ma femme exhibe rarement ses seins) et bottes. Habillée de cette manière je ne vois que sa chatte et sa peau laiteuse contraste d'autant plus avec sa tenue sombre. Elle s'allonge sur le lit et écarte les cuisses outrageusement. Sa main descend lentement vers sa vulve et elle commence à se caresser sans pudeur. Ma queue est dressée car le spectacle est trop excitant. Je m'approche d'elle et commence à me branler à mon tour, ma queue le plus près possible de son visage. La vue de sa chatte dénudée me rend fou et je m'active en la regardant. Elle est obsédée par ma bitte tendue et se caresse de plus en plus vite en la regardant fixement. Mon obligation est de ne pas la toucher et de me masturber sans ralentir. En général, nous jouissons vite et fort et j'ai pour autre obligation de jouir sur elle. Ce qui l'excite le plus est voir les trainées blanchâtres sur son haut noir.


Certaine de ces séances nous mettent dans un état second et nous sommes capables de nous masturber comme cela plusieurs fois par soirée.

Ma femme assouvit mes fantasmes ainsi que les siens sans réticences. Une autre de nos activités est de surfer sur le web et de découvrir des photos de situations proches des nôtres. Récemment, ma chérie a trouvé une image trop excitante: une jeune femme allongée sur un divan, en robe grise, les cuisses écartées montrant sans retenue sa chatte épilée. Elle portait un collier de perles, des lunettes et des DimUp semblables à ceux de ma femme. Elle m'a alors appelé et m'a demandé de me masturber en regardant l'écran. Je ne suis pas fait prier et j'ai jouis comme une bête en écoutant ses propos salaces:
- branle toi, mon chéri, regarde c'est ta femme sur l'écran qui s'exhibe; vide tes couilles, je te regarde, c'est beau un mec qui se branle devant sa femme
J'ai envoyé mon foutre sur ses mains et elle les a léchées jusqu'à la dernière goute, trop contente de me voir heureux et comblé de plaisir.



Ma femme est très BCBG et toujours tirée à autre épingles. Tailleur gris ou noir, lunettes, bas noirs, escarpins et surtout toujours son collier de perles qui ne la quitte jamais même quand elle est nue. Je vous raconterais un jour comment elle se fait jouir en l'introduisant dans sa chatte...

La masturbation est notre "sport" favori. Un jour de passage dans un peep-show, elle n'a pas hésité à me branler en me murmurant dans l'oreille ses fantasmes:
- regarde là, elle est belle, je rêve d'être à sa place et de me montrer à tous ces hommes qui se branlent en la regardant. Ta queue est raide comme celles de ses salauds qui jouissent dans leur kleenex. Envoie ton foutre dans ma main, c'est ta femme qui montre sa chatte, astique ta bite comme le salaud que tu es!

Il arrive fréquemment que ma femme me demande de lui raconter comment j'ai pu me faire jouir en diverses occasions et particulièrement quand je rentre de voyage. Elle n'ignore pas que je regarde des films pornos dans ma chambre d'hôtel et cela l'excite de savoir que je me suis fait jouir en regardant des images salaces.

Un autre plaisir de la masturbation qu'elle exige de moi est de me branler sur ses photos. Cela la mets en transe car elle imagine que bien des hommes doivent faire la même chose avec les photos que j'ai faites d'elle (elle est toujours masquée et porte un bandeau noyer sur le visage):
- crache ton foutre sur mes photos comme tous ces branleurs comme toi, je suis sûr qu'ils éjaculent sans retenue sur mon corps. Un jour, je le ferai live

Eh bien le moment est venu...

Episode 2 Le carnaval

En fait, ma femme se plaisait dans le flirt avec l'interdit. C'est la raison pour laquelle elle jouait avec son corps sans restriction mais toujours en privé... ou presque.

Le premier pas de l'autre coté de la ligne fut quand elle accepta de participer au carnaval de la Nouvelle Orléans. Nous étions aux USA à cette époque et elle décida, cédant à mon insistance, de passer quelques jours dans cette ville extraordinaire au moment du carnaval. Le jeu est en fait très simple: vous vous promenez dans la rue Bourbon et en échange de colliers de perles en plastique que vous tendent les carnavaliers, vous acceptez de vous exhiber plus ou moins.

Certaines participantes, et ma chérie en fut rapidement, se laissent totalement aller et dévoilent leur poitrine à chaque occasion. Ma femme a des petits seins ronds aux tétons dressés et ne les expose pas souvent car elle ne les trouve pas assez excitants.Je ne suis pas de cet avis et les participants du carnaval ne l'étaient pas non plus. Après quelques verres de punch, ma chérie était totalement libérée et montrait ses seins à qui le lui demandait. Mieux elle se frottait à ceux qui lui offraient des colliers et souvent des mains s'égaraient sur sa poitrine. J'étais aux anges et bandait dur en la suivant dans la rue comme si elle était une inconnue pour moi. Les caresses se faisaient parfois insistantes et ma femme n'en prenait pas ombrage.

Le retour à l'hôtel était chaud et dès que nous étions rentrés dans la chambre, elle se mettait à compter les colliers en me racontant les caresses dont elle avait été l'objet:
- celui m'a pelotée sans vergogne, celui ci m'a dit qu'il aimerait me mettre sa queue bien raide dans la chatte, celui m'a glissé la main entre les jambes, celui la m'a traitée de pute et m'a encouragée à le sucer, celui ci m'a collé sa queue bien dure contre la cuisse, celui ci m'a embrassé les tétons, ...
Je n'en pouvais plus et lui demandais de se déshabiller devant moi pendant que je m'astiquait la bitte.
- branle toi, salaud de mari, tous ces mecs n'avaient qu'une envie c'était de me tirer comme une salope et toi ça t'excitait. Prends ta verge dans ta main et fais toi éjaculer sur le parquet. C'est tout ce que tu mérites!

Ma chérie s'est alors baissée et a englouti ma verge au bord de l'explosion dans sa bouche. J'éjaculais immédiatement en elle et elle avala mon flot de sperme sans broncher. Je l'entendais déglutir et prendre vraiment plaisir à la pipe monstrueuse qu'elle m'offrait. Ensuite, en se relevant, elle s'approcha de moi et m'embrassa fougueusement. Je sentais le gout de ma semence dans sa bouche et je me tordais à nouveau de plaisir.
- goute ça mon chéri, bientôt je te ferais gouter celui d'un autre si tu continues comme cela
- ???
- cela m'excite de plus en plus de me montrer et d'exhiber mes seins. Il me faut une occasion de montrer ma chatte maintenant. Je veux te voir te masturber devant moi. Je sais que tu aimes cela et je veux te voir en mari trompé. En attendant, branle toi devant moi à nouveau.

Ma chérie s'est assise et m'a demandé d'approcher ma queue plus près de son visage.
- branle, fais toi jouir, astique ta bitte, fais la gicler à nouveau rien que pour moi
Elle se pencha en arrière et sa main glissa entre ses cuisses. Son orgasme fut aussi violent que le mien.

La suite? Ma femme, qui connait bien la Nouvelle Orléans, m'a offert un cadeau génial: une soirée à trois très particulière...

Episode 3 Souvenirs de jeunesse

Avant de vous raconter cette folle soirée à la Nouvelle Orléans, il revient à l'esprit quelques souvenirs de jeunesse. Ma femme et moi nous sommes connus sur les bancs de l'université et cette époque fut aussi le début d'une complicité sexuelle merveilleuse. Photographe à mes heures perdues, je ne ratais pas une occasion de saisir la beauté de ma chère et tendre dans toutes les tenues y compris les plus simples. J'ai accumulé ainsi de nombreux clichés où elle apparait dénudée, offrant à l'objectif ses parties les plus intimes. J'adorais photographier son visage quand elle jouissait sous ses propres caresses, sa chatte dilatée, sa vulve humide et distendue, les coulées de sperme s'échappant de son sexe détrempé. Ma femme m'a fait promettre de ne jamais montrer ces photos, promesses que j'ai tenue jusqu'à présent.

Nos soirées étaient conventionnelles mais n'excluaient pas quelques dérapages sous l'emprise de l'alcool le plus souvent. Laurence, tel est son nom, a ainsi masturbé six queues bien tendues en public, le but est de faire jouir les intéressés le plus vite possible, le gagnant du concours étant celui qui cracherait son foutre le plus tard possible. Une de ses amies, très dévergondées, la aussi sollicitée pour guider les mêmes bittes tour à tour dans son sexe et ma chérie ne sait fait pas fait prier pour conduire les verges distendue dans la chatte de son amie.

Mais ma femme a toujours refusé à cette époque de participer plus loin à ces séances malgré mon désir fou de la voir aller plus avant dans ses gestes. Le fait de voir ma chérie branler la bitte d'un copain, parfois d'un inconnu, me mettait en transes et je la sollicitais plusieurs fois pour qu'elle se lâche. Tout ce que j'obtenais était un refus poli accompagné d'une bonne branlette. Ma femme a pris gout à cette époque à la masturbation et nous avons progressé dans l'art de la jouissance auto-provoquée jusqu'à l'extreme. Il arrive fréquemment que ma femme en voyage, ayant oublié son gode, ce qui est rare, se masturbe avec le manche de sa brosse à cheveux ou le goulot d'une bouteille. Son plaisir vient en fait de le faire devant moi et me m'exciter avec des propos salaces et grossiers dont elle raffole dans ces moments:


- regarde ta femme se branler, regarde moi me mettre dans la chatte des trucs bien plus durs que ta queue, approche ton visage de ma vulve. Cela pourrait être ta bitte à la place. Je vais me faire jouir devant toi et je veux que tu te branles sans pudeur comme moi!
Son plaisir vient de l'exhibition et de ma jouissance
- astique toi la queue, tu n'es qu'un sale branleur, crache ton foutre comme tu aimes le faire en regardant des salopes comme moi se masturber. Je sais que tu aimes te donner en spectacle, vas y, jouis

Il est vrai que les mêmes souvenirs de jeunesse il y a nos séances de masturbation collective. Un jour je fus obligé de me faire jouir devant trois de ses copines qui avaient envie de comparer nos verges en érection. Françoise, sa meilleure amie, en a profité pour se caresser jusqu'à l'orgasme mais je ne pouvais pas la toucher, seulement m'exciter en la regardant. Laurence m'a exceptionnellement autorisé à lui jouir sur les jambes...



Episode 4 Retours torrides

La créativité de ma femme en matière de sexe est sans limite. Les épisodes les plus torrides se déroulent généralement après une période d’abstinence forcée tel les voyages ou déplacements professionnels.
Je m’attends toujours à une surprise et je ne suis jamais déçu…

Retour de congrès après une semaine d’absence : j’enfonce la clé dans la serrure, geste hautement symbolique et prémonitoire. La porte s’ouvre d’elle même comme si elle aussi attendait impatiemment que je la pousse. Le couloir est dans l’obscurité, la voix douce et sensuelle de Laurence se glisse sur ma peau :

- ne bouge plus, ferme doucement la porte, ne regarde pas, ne cherche pas à distinguer quoique soit, je suis la maîtresse du moment et tu dois m’obéir
Je sens ses mains prendre les miennes et les caresser tendrement. Elle les remonte lentement jusqu’à mon visage mais en même temps elles me tiennent éloigné de son corps dont je sens la chaleur et le parfum pourtant si proches.
- respire mon odeur, ma chaleur, mon amour
Puis brutalement, les mains de Laurence attirent mon visage vers le bas et le colle à son entrejambes
- respire moi, lèche moi, mets ta langue dans mon corps, dans mon sexe, mon amour
Laurence est complètement nue, perchée sur ses hauts talons. Elle force mon visage, mes lèvres à embrasser sa peau, son corps, sa vulve, sa chatte trempée, mouillée à l’extrême. Je la soupçonne de s’être copieusement caressée en m’attendant et elle ne veux rien d’autre qu’un orgasme violent et salutaire. Ma queue est tendue et n’a qu’une envie, pénétrer cette chatte mouillée et brulante. C’est sans compter sur la perversité de ma femme qui après avoir joui comme une folle, impose de nouvelles règles
- sors ta bite de ton pantalon, promène la sur mon corps, mes seins, mon cul
Joignant le geste à ses paroles, je parcours sa peau avec ma queue laissant, je l’imagine, de longues trainées jusqu’à ce que, n’y tenant plus, j’éjacule sur elle.
Laurence allume alors la lumière et me fait admirer son visage couvert de sperme...

Retour de séminaire : ma chérie m’attend dans le lit, la couette remontée jusqu’au cou. Il ne me faut pas plus de quelques secondes pour me déshabiller et me camper au pied du lit, le sexe en érection, prêt à la baiser comme un fou.
- reste où tu es et regarde moi
Laurence repousse le drap et m’offre un spectacle hallucinant. Elle est allongée, écartelée sur le drap de satin noir. Sa chatte est distendue, pénétrée par un énorme godemichet noir reliée à une télécommande qu’elle me lance
- fais moi jouir de là où tu es et branle toi en même temps avec ce masturbateur
Au pied du lit m’attend un clito artificiel qu’elle m’oblige à enfiler sur ma bite tendue à l’extrême. Le simple fait de pénétrer cet engin me procure presque un orgasme mais je me retiens. Saisissant la télécommande, je mets en route le godemichet qui investit le vagin de ma femme. Elle commence à se tortiller sur le lit sans pouvoir contrôler quoique soit. Mon pouvoir semble absolu. J’accélère, je ralentis, m’arrête, repart, déchainant les hurlements de mon épouse


- continue, fort, encore, je vais éclater, je vais jouir comme une cinglée, envoie moi au ciel, je veux jouir
Laurence hurle sans retenue mais pour une fois je suis le maître du jeu et ne vais pas me priver de ce pouvoir
- fais moi jouir, je t’en supplie, je n’en peux plus, délivre moi
Je n’avais aucune intention de lui obéir et continuais à moduler les vibrations de telle sorte qu’elle reste au bord de l’orgasme mais sans y succomber. Ses hurlements correspondaient exactement à ma volonté mais petit à petit elle entrait dans des spasmes de plus en violents, incapable de freiner son envie de jouir
- fais moi jouir, espèce de salaud, je t’en prie, je ferais tout ce que tu voudras, envoie moi en l’air, je vais mourir
Laurence n’en pouvait plus, dépassée par son jeu, elle qui adore tout maitriser et qui cette fois était l’objet. N’y tenant plus, elle arracha le gode de sa chatte et se caressa violemment, écartant les lèvres de son sexe sans aucune pudeur. Son orgasme fut gigantesque, secouée par des tremblements violents. Elle hurla les pires obscénités :
- je jouis, je prends mon pied, je suis une salope, j’aime la baise, je veux des queues, je veux être une trainée, je veux être baisée encore, encore, fourrez moi, remplissez de foutre, je suis une pute, une vrai bourgeoise à queuter et tringler, remplissez moi, je veux être couverte de jus, …
Je me débarrassais de mon masturbateur et dans un dernier geste envoyait de longues giclées de sperme sur ma femme lui maculant le sexe, le ventre, les seins et la vulve ainsi que les draps noirs.



Episode 5 : Myriam

Myriam est réellement une personne à part. Amie de longue date de Laurence, elle a toujours entretenu des relations particulières, presqu’ambigües, avec elle. Myriam n’est pas vraiment belle, on pourrait ne pas la remarquer au premier abord. En réalité, un charme extraordinaire émane de cette grande brune élancée et sportive. Elle ne laisse personne indifférent et certainement ni Laurence, ni moi. Elle est radieuse, irradiant la sérénité et la complicité. Son visage, fin, est une porte que l’on a envie de franchir sans réfléchir plus avant. Son corps est une invitation, ses seins sont lourds et voluptueux, ses hanches invitent à la passion et ses jambes fuselées semblent être faites pour s’enrouler autour de vous et vous emprisonner.

Je soupçonnais Laurence d’être un peu amoureuse d’elle, sentiments teintés de jalousie, d’envie et de désir. Je n’étais pas non plus indifférent aux charmes de Myriam et certainement pas à son corps qui me troublait. Un jour où nous étions ensemble à la plage, Myriam s’est assise à nos cotés, en position du lotus, le dos droit, les jambes croisées en tailleur. Nous étions allongés sur nos serviettes, la mienne enroulée autour du corps recouvrant mon sexe nu.

Elle nous a regardé puis a lentement, lascivement, enlevé le haut de son maillot découvrant cette poitrine qui nous bouleversait ma femme et moi. J’eu immédiatement une érection que ma chérie n’a pas cherché à cacher, au contraire. D’un geste brusque elle a arraché le tissu qui recouvrait ma verge et a regardé Myriam en riant :



- regarde l’effet que tu fais à mon homme. Cela dit, il est excusé parce que tu me fais le même effet ! Tes seins sont magnifiques, tu dois en rendre fou plus d’un et plus d’une
- ton mari doit aussi savoir te satisfaire à en juger par sa queue bien dressée. Belle bite, mon chéri ! Occupe toi bien de mon amie, elle le mérite

J’avoue que j’étais à la fois très embarrassé et encore plus excité par cette exhibition inattendue.
Ma femme a échangé un regard lourd de sous-entendus et de connivence avec Myriam :

- regarde ailleurs ma chérie, je crois qu’il ne va pas résister très longtemps dans cet état là

Myriam regarda une dernière fois mon sexe, se tourna complètement vers moi me présentant ses seins dans toute leur splendeur et se couvrit le visage avec son t-shirt :

- branle le, fais le jouir, je ne regarde pas

Laurence prit ma queue dans la main et commença à me masturber vigoureusement :

- branle moi ma chérie, je vais jouir en admirant les seins de ton amie, ne t’arrête pas, je vais éjaculer, ça monte…

Entendant cela, Myriam se découvrit le visage et regarda fixement les jets de sperme inonder ma poitrine, couvrir la main de ma femme, couler le long de ma verge. C’était la première fois mais pas la dernière que je jouissais en pensant à Myriam !