Désir subconscient (FICTION)

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Désir subconscient (FICTION)

Messagepar rediguane » Jeu 28 Juil 2016 00:00

Bonjour,

Je m'essaie au récit érotique. Merci de votre indulgence et n'hésitez pas à me mp pour vos critiques constructives et corrections de fautes. N'hésitez pas à commenter aussi.
Merci

C'est la première partie, d'autres suivront: Ce récit est de la pure fiction
Désir subconscient (Fiction)

Bonjour, Je m’appelle S. et je suis marié à J. Nous sommes proches de la quarantaine et avons 2 enfants. J’aime ma femme de tout mon cœur, mais j’ai depuis quelques années ce fantasme de la voir partager ces nuits avec d’autres hommes. C’est vraiment curieux mais c’est plus fort que moi. A la seule pensé de la savoir prendre du plaisir avec un autre homme cela me met dans tous mes états. Mon excitation est sans borne rien qu’à cette idée.
Pendant longtemps je n’ai fait que fantasmer sur cette idée, puis je lui en ai parlé. Elle n’a pas vraiment réagi au début, elle a trouvé cette idée surprenante et étrange. Elle ne partageait pas vraiment ce fantasme. Sans rentrer dans les détails, il a fallu plusieurs années avant que l’on en reparle.
Après de nombreuses années à convaincre ma chérie de partager son corps de rêve avec d’autres hommes, elle a enfin accepté d’assouvir ce fantasme. Mon rêve de candaulisme pouvait se réaliser, mais pas à n’importe quelles conditions.
Après de longues discussions, nous avons posé les bases de la réalisation. Tout d’abord, ce sera ensemble qu’on le fera, je serai là avec elle pour partager ce moment. Ensuite, il faudra que le ou les hommes soient anonymes, pas de personnes connues de notre entourage, ou qui risquerait de vouloir nous recontacter. Il faudra aussi qu’on ne soit pas reconnu pour un anonymat parfait, pas de visage, pas de discussion, pas de parole. Nos partenaires devront être en parfaite santé, pas de risque. Et enfin, elle sera en contrôle de ce qui se passera. On conclut que si ces conditions ne sont pas remplies, rien ne se passera. Puis, elle me laissa la tâche de trouver et de mettre en œuvre tout le nécessaire.
Les semaines qui suivirent cette discussion ont fait grimper notre libido en flèche. Nos soirées ont été animées, nous faisions l’amour plus souvent. Elle était dans un état second, elle mouillait comme jamais et nos orgasmes étaient mémorables, mais à aucun moment nous ne reparlions de notre discussion. Nous n'en parlions pas mais tout était dans les baisers et les regards. Son regard me laissait entrevoir quelle femme dévergondée elle pouvait être et ses baisers enflammés m’excitait au plus haut point.

Après de nombreuses recherches sur internet, dans des forums, et autres sites, je suis tombé sur la brochure d’un centre spécialisé, le centre « Ladies », centre spécialisé dans la réalisation des fantasmes des femmes. En parcourant la brochure, j’y ai trouvé tout ce qu’il faut à la réalisation de ce fantasme. J’attendis donc le soir pour montrer la brochure à ma moitié.
- S. : Chérie, regarde la brochure que je viens de trouver. C’est un centre spécialisé dans la réalisation des fantasmes de femmes.
- J. : Tiens, ça existe ce genre de centre ?!
- S. : Ben tiens, regarde. « Le centre Ladies est un centre spécialisé dans la réalisation des fantasmes de femme. Professionnel, notre personnel mettra tout en œuvre pour s’assurer que la réalisation de votre fantasme se passe dans les meilleures conditions, en toute sécurité et pour votre plus grand plaisir. »
- J. : Hum… ouais, continue.
- S. : « Nous proposons plusieurs scénarii, thématiques, environnements pour que vous trouviez tout ce dont vous avez besoin au bon déroulement de votre fantasme. Parmi les différentes thématiques, vous trouverez des ambiances érotiques, sensuelles, luxueuses, kitch, donjons, cuir, … » Etc., etc.
- J. : Je ne vois pas en quoi ça correspond à ce dont tu m’as parlé ?
- S. : Attends j’y viens. Bla bla bla… Ah, là « Mesdames, vous aurez le choix parmi notre personnel masculin tout comme féminin. Nous proposons un grand panel d’hommes et de femmes, de couleurs, d’origines, de corpulences différences. Notre personnel est à votre entière disposition. »
- J. : oui, ça pourrait convenir. Ca règle le problème de l’anonymat. Mais, et les risques de maladie ?
- S. : Alors, à ce propos : « Afin d’assurer la bonne santé de toutes nos clientes, nous vous garantissons que tous nos hommes et femmes sont suivis régulièrement médicalement. Un bilan complet de santé est fait toutes les semaines et afin de vous garantir une encore plus grande sécurité, nous nous engageons à prendre en charge la totalité des frais médicaux s’il devait vous arriver le moindre problème, de la simple mycose aux MST ou plus grave cas (sachez que jusqu’à maintenant nous n’avons jamais eu à le faire) et nous entamerons des poursuites judiciaires à l’encontre de toutes personnes responsables de votre état. »
- S. : Alors t’en pense quoi ?
- J. : J’ai besoin d’y réfléchir.

Pour ne pas mettre trop de pression, je bâtis en retraite pour lui laisser du temps. La vie reprit son cours normal pendant quelques semaines, puis un soir, juste avant de s’endormir, elle me dit :
- J. : Tu sais pour ton centre, j’aimerai en savoir plus.
- S. : Justement sur la brochure, il précisait que pour des femmes en couples il était préférable que la femme prenne contact seule afin qu’elle ne subisse aucune pression et qu’elle puisse parler librement et poser toutes les questions qu’elle veut sans aucun témoin.
- J. : Bon d’accord, je prendrai peut-être rendez-vous, mais je ne te le dirai pas. D’accord ?
- S. : Hum, bon OK. Bonne nuit ma chérie !
- J. : Bonne nuit mon chéri.
- S. : Je t’aime !
- J. : Moi aussi, je t’aime !
Après cette discussion, nos sessions de sexe devinrent encore plus torride, mais le temps me sembla passer au ralenti. Les jours étaient interminable et j’étais stressé et excité de ne pas savoir quand elle prendrait rendez-vous ou si elle prendrait rendez-vous.

Quelques mois plus tard, après avoir couché les enfants, ma femme me susurra à l’oreille « Le rendez-vous au centre s’est très bien passé. Nous avons une séance dans 3 semaines. Je me suis arrangé avec mes parents pour qu’ils gardent les enfants durant tout le week-end. »
Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle me disait, mon cerveau était comme dans du coton. Il me semblait bien avoir compris le sens de ces mots mais leur signification me restait obscure. Et enfin tout devint clair et je compris ce qu’elle venait de me dire.
Je tournai la tête comme au ralenti vers elle avec des yeux grand ouvert d’étonnement et je vis qu’elle me regardait avec un grand sourire et ses yeux pétillait d’amusement de m’avoir vu buger à ma suite de sa révélation.


A suivre
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Re: Désir subconscient (FICTION)

Messagepar Moby » Jeu 28 Juil 2016 09:41

Sympa à lire ...j attends de lire la suite
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Re: Désir subconscient (FICTION)

Messagepar rediguane » Sam 30 Juil 2016 01:44

Je tournai la tête comme au ralenti vers elle avec des yeux grand ouvert d’étonnement et je vis qu’elle me regardait avec un grand sourire et ses yeux pétillait d’amusement de m’avoir vu boguer à la suite de sa révélation.

- S. : …Tu veux dire que… ça y est…
- J. : Oui, j’y suis allée.
- S. : Tu y es allée ?!! Et alors comment ça s’est passé ?
Se retournant doucement, elle me tourna le dos, leva la tête en l’air et posa un doigt sur ses lèvres faignant la réflexion.
- J. : Hum…
- S. : allez, ne te fait pas prier. Raconte-moi.
- J. : Je ne sais pas…
- S. : Allez, raconte. S’il te plaît, mon cœur, dis-moi.
- J. : Bien. Alors pour commencer, j’ai passé un coup de fil comme tu me l’avais dit. Ils m’ont donné rendez-vous pour me présenter leur centre et me donner tous les renseignements que je désirerai.
- S. : Quand leur as-tu téléphoné ?
- J. : Tu n’as pas besoin de le savoir, ça n’a aucune importance.
- S. : Hum, ok. Et ce rendez-vous ?
- J. : J’ai beaucoup hésité avant d’y aller. Je n’étais pas sûr et j’avais un peu peur.
- S. : tu y es quand même allé. T’es rassurée maintenant ?
- J. : Oui, je crois.
- S. : Tu crois ? tu as encore des doutes ? tu crois qu’ils ne sont pas sérieux ?
- J. : Pas sérieux ?!! Non pas du tout, ils m’ont l’air très sérieux, très professionnel. Mais j’ai encore quelques doutes, enfin je crois, je ne sais pas.
- S. : tu sais que je t’aime et que je ne forcerai jamais à faire quelques choses contre ta volonté, même pour me faire plaisir.
- J. : oui, merci.
- S. : vas-y continue, raconte-moi comment s’est passé ton rendez-vous à leur centre.
- J. : J’ai été très bien reçue. Hélène, la femme qui m’a reçue, a parfaitement réussi à me mettre en confiance dès le départ. Elle a été très gentille et patiente répondant à toutes mes questions.
- S. : et qu’est que vous vous êtes dit ?
- J. : Mon chéri, si ce rendez-vous est toujours en solo, c’est justement pour qu’il reste confidentiel.
- S. : allez racontes moi en un peu quand même.
- J. : OK, mais je ne te raconterai que ce que je veux.
- S. : bon d’accord, c’est toi qui décide.
- J. : Alors, Hélène m’a reçue avec grande gentillesse. Elle m’a recue dans son bureau, puis ma présentée les activités du centre Ladies. Au fur et à mesure de la présentation, elle a bien senti que je n’étais pas à l’aise. Tu sais que c’est délicat de parler de sexe avec des inconnus et ça… Alors elle m’a présentée des vidéos de témoignages de femmes qui étaient venues au centre. Même si on pourrait dire que ce n’est que du cinéma, ces vidéos m’ont quand même rassurée. Ces femmes avaient vraiment l’air sincère dans leurs témoignages. Alors Hélène et moi avons beaucoup discuté du désir caché des femmes, de leurs fantasmes, etc.
- S. : Alors quels sont-ils ?
- J. : hein… comment ça : quels sont-ils ?
- S. : ben oui, tes fantasmes, c’est quoi ?
- J. : Ah, ça mon petit chéri… c’est trop tôt pour ça… un jour, peut-être.
- S. : pfeu, toujours la même chose…
- J. : Pauvre petit chéri tout frustré. Allez pour me faire pardonner je vais te dire que durant ce rendez-vous, j’ai trouvé le scenario que tu souhaites tant.
- S. : Te voir faire l’amour avec un autre homme ?
- J. : oui celui-là.
- S. : Oh ma chérie, c’est super. Et on va le faire ?
- J. : aha… suspense… tadada… OUI.
- S. : Oh, je t’aime ma chérie. Merci, merci, merci. T’es la meilleure.
Je la pris dans mes bras, la serra très fort et l’embrassa de tout mon cœur. Elle me rendit mon baiser avec passion.
- S. : Quand a-t-on rendez-vous au centre ?
- J. : Après demain. J’ai déjà tout arrangé pour les enfants, on les amènera à mes parents et on aura toute la journée pour nous.
- S. : Oh, je suis tout excité. C’est fantastique. Merci.
Après un petit temps d’euphorie, je remarquai qu’elle semblait gênée.
- S. : Quelque chose ne va pas ?
- J. : Non, non, tout va bien.
- S. : t’es sûr ? tu sais depuis le temps, je te connais bien et là, il y a quelque chose qui te chiffonne. Allez lâche le morceau.
- J. : Très bien… J’ai encore une dernière chose à te dire.
- S. : Ah, Ok, vas-y.
- J. : En plus de ton fantasme, j’ai aussi rajouté de petite chose. Rien de bien méchant, rien qui ne change fondamentalement ton fantasme. Juste quelques petites modifications qui me conviendront plus. Tu vois des trucs un peu plus pour moi quoi. Ça ne te dérange pas ?
- S. : Ah OK, quoi comme modifications ?
- J. : Oh, tu sais c’est rien. De petits trucs, des détails.
- S. : Certes mais tu peux m’en dire plus, non ?
- J. : Ecoute, tu en sauras plus le jour J, je n’ai pas envie d’en parler maintenant. Acceptes-tu quand même ces conditions ? sinon on peut encore annuler.
- S. : Annuler, non, surement pas. J’accepte tes conditions.
- J. : Si tu acceptes maintenant tu t’engages à ne pas refuser après demain ? Tu ne reviendras pas sur ta parole, tu promets ?
- S. : si tu y tiens tant que ça, je te le promets.
- J. : Merci mon chéri. Je t’aime.
- S. : moi aussi. Allez viens là.
Je la pris dans mes bras et on se câlina tendrement ensemble pendant un bon moment. Ensuite le train-train quotidien repris le pas jusqu’au jour J.
Le jour J, je me réveillai en grande forme. Ma femme passa un très long moment dans la salle de bain à se préparer. J’eus l’interdiction de mettre un pied dans la salle de bain. Je préparai les enfants et leurs grands-parents prirent le relais. Seul à la maison je rejoignis ma femme. Elle était resplendissante. Elle ne s’était pas habillé de façon extraordinaire, juste des vêtements classiques mais qui lui allaient bien, une jupe mi longue jusqu’au-dessus du genou, un haut avec un petit décolleté et un boléro pour venir habiller ses épaules. Une paire de talons venait compléter la tenue. J’essayais d’avoir un aperçu de ses dessous mais elle y opposa un non catégorique. Frustrer, je reparti dans un coin bouder pour de faux. En admirant ma femme, je remarquai un léger maquillage très discret, ce qui n’était pas habituel car elle se maquille très peu, mais là, son maquillage était différent, toujours léger mais différent. Habillée et maquillée comme elle l’était, elle n’était pas la femme la plus belle et magnifiquement habillée du monde, mais elle était vraiment resplendissante, ce qui la rendait magnifique à mes yeux.
De mon côté, je mettais aussi préparer et j’étais prêt au départ. Ma femme s’admirait dans le miroir et je profitai pour me glisser derrière elle pour l’enlacer. Elle plaça ces bras sur les miens et nous restâmes comme ça un moment, fermant les yeux et profitant du moment.
Mes mains commencèrent à glisser doucement vers le bas de son ventre, elle me laissa faire. Je rencontrai la délimitation de sa culotte, elle en portait donc une. Tout en la caressant tendrement son bas ventre, je cherchais à glaner plus d’information sur son sous-vêtement. Collant mon bas ventre contre ses fesses, j’essayais de sentir si c’était un string ou une culotte. Après plusieurs tâtonnements, j’en déduisis que ce devait être un tanga. Mes caresses descendirent un peu plus lui prodiguant plus de sensation dans la région au-dessus de son bouton d’amour. Elle laissa sa tête partir en arrière se reposant sur mon épaule. Elle commença à soupirer. Encourager par ces réactions je poursuivis mes caresses poussant l’exploration un peu plus loin. Descendant le long de sa jambe, je cherchais à savoir si elle avait mis des bas. Je ne trouvais rien, étais je au bon endroit ?
Je lui susurrai à l’oreille ;
- S. : Tu as mis des bas ?
- J. : Hum… continue… non, je n’en ai pas mis.
- S. : Ah, je pensais que tu en aurais mis.
- J. : Ne soit pas déçu. C’est une consigne du centre. Pas de signe distinctif.
- S. : Hein ? Pas de signe distinctif, qu’est-ce que ça veut dire.
- J. : tu le verras bien assez tôt. Désolé de te couper dans ton élan, mais il faut que l’on parte sinon on risque de louper la séance.
- S. : Oh oui t’as raison, allons-y.
Stopper dans mon élan, je repris vite pieds et attrapa les clefs de la voiture, nos affaires et hop tout le monde en voiture, direction le centre Ladies.
A suivre…
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Re: Désir subconscient (FICTION)

Messagepar rediguane » Sam 30 Juil 2016 01:44

La suite dans un peu plus de 3 semaines (vacances obliges).
la suite n'est pas encore écrite mais j'ai les grandes lignes en tête.

Merci de faire des commentaires (constructifs si possibles).
N'hésitez pas à spéculer sur la suite, certaines de vos idées pourraient m'inspirer et y être incluses.

@+
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Re: Désir subconscient (FICTION)

Messagepar jojokokinou » Jeu 11 Aoû 2016 03:04

ça me semble intéressant, et pour une fois la relation est au centre du développement...
j'aime bien...
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Re: Désir subconscient (FICTION)

Messagepar rediguane » Jeu 11 Aoû 2016 09:17

Merci pources encouragements.
La suite la semaine prochaine.
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Re: Désir subconscient (FICTION)

Messagepar rediguane » Jeu 15 Sep 2016 01:09

Le trajet était interminable, mais étrangement, je n’en ai gardé aucun souvenir. Ma femme semblait tendue à côté de moi, tout comme moi d’ailleurs. Perdu dans mes pensées, je ne m’aperçus pas tout de suite que ma femme me parlait.
- J. : On est arrivé.
- J. : C’est ici.
- J. : Oh, mon chéri, c’est là.
- S. : Oh pardon mon cœur. Je me gare tout de suite.
- J. : He bien tu sembles dans la lune.
- S. : Désolé, j’étais perdu dans mes pensées.
- J. : Dans tes pensées. T’étais déjà dans ton fantasme, non ?
- S. : Ouais ce n’est pas faux.
- J. : Ça ne m’étonne pas de toi, mon très cher mari. Allez viens on y va.
- S. : Oh mais dis-moi tu as l’air toute excitée ma parole ?
- J. : Non, pas du tout, enfin peut être un peu, mais c’est surtout ta tête qui me fait rire.
- S. : Oh, ne te moque pas de moi, méchante.
- J. : Oui, je suis ta « méchante » femme.
- S. : Hum, dis comme ça, c’est très excitant.
- J. : Ah toi, tout de suite.
Après ce bref échange de politesse, nous étions devant le centre. Quelle ne fut pas ma surprise en me retrouvant devant la façade du centre Ladies ! C’était un institut de beauté ! Ah non, un centre de fitness… un salon de massage ?!!
Devant mon air interloqué, ma femme me dît :
- J. : Mais non, on ne s’est pas trompé, c’est vraiment là.
- S. : t’es sur de toi ?
- J. : Bien sûr que je suis sûre. En fait, le centre Ladies est un institut qui regroupe plusieurs activités dont un centre de fitness, un cabinet médical, un centre esthétique, un salon de massage et tout ça pour les femmes. Et il y a une dernière activité un peu moins mise en avant qui est réservée aux « Adultes ».
- S. : Ah, effectivement il faut le savoir, parce que là, ce n’est pas flagrant.
- J. : Ben tiens qu’est-ce que tu crois. Qu’il va y avoir un panneau géant affichant « ici les femmes peuvent se faire baiser comme elles veulent ». On est bien plus subtile que tu le crois mon pauvre garçon. Allez viens, suis-moi.
Je suivis donc ma femme et nous sommes entrés tous les deux mains dans la main par la porte d’entrée. Ma femme se dirigea directement vers l’accueil sans la moindre hésitation, ce qui me confirma que ce n’était pas la première fois qu’elle venait. Elle se présenta à l’hôtesse d’accueil qui utilisa son téléphone pour y déclarer à un interlocuteur invisible « Madame, le rendez-vous de 14h est arrivé ». Puis, elle nous pria de suivre le long d’un couloir et de patienter quelques instants dans le petit salon.
A peine de temps de contempler la pièce et de s’assoir qu’une femme entra. Elle était très jolie, jeune, début de la trentaine à mon avis, habillée sobrement d’un classique tailleur de working woman. Elle respirait la gentillesse tout en paraissant très professionnelle. Elle nous regarda et reconnu ma femme, me semblait-il, au vue du sourire qu’elle lui fit et se présenta comme étant Hélène. Ce nom me rappela la conversation que nous avions eue 3 semaines plus tôt. Hélène était la femme avec qui ma femme a eu son rendez-vous explicatif du centre Ladies.
- Hélène : Bonjour Madame J., je suis ravie de vous revoir.
- J. : Bonjour Hélène, moi de même.
- Hélène : Bonjour Monsieur. Monsieur comment ?
- S. : Bonjour Hélène. S., je m’appelle S.
- Hélène : Bonjour Monsieur S. je suis enchanté de faire votre connaissance.
- S. : Tout le plaisir est pour moi.
- Hélène : Madame J. et Monsieur S. Bienvenue dans le centre Ladies. Je suis votre guide et humble serviteur durant votre séjour parmi nous. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser, j’y répondrai avec le plus grand plaisir.
- Hélène : Madame et Monsieur, c’est avec grand plaisir que je vous accueille aujourd’hui pour vous permettre de réaliser l’un de vos fantasmes. Comme convenu lors de notre dernier entretien, Madame J., nous avons mis tout en place afin que vous puissiez réaliser votre fantasme avec Monsieur dans les meilleures conditions possibles.
- Hélène : Je vous demanderai juste de bien vouloir patienter une petite demi-heure afin que nous puissions finaliser les préparatifs.
- S. : Excusez-moi, pourriez-vous m’en dire un peu plus sur cette séance ?
- Hélène : Désolé Monsieur, je ne peux pas vous en révéler plus. Madame souhaite vous réserver la surprise, ce que nous avions convenu lors de notre entretien.
- J. : Oui, tu te souviens de notre discussion et des petites modifications que j’avais apportées. Ça en fait partie. Cela ne te dérange pas ?
- S. : Ce n’est pas très fair-play, mais je suppose que je n’ai pas le choix.
- J. : et non, tu n’as pas le choix mon chéri.
- Hélène : Madame, Monsieur, afin que votre attente soit la plus confortable possible, je vous invite à passer dans la salle suivante. Veuillez me suivre s’il vous plait.
Hélène ouvrit une porte juste derrière elle. Ma femme et moi y pénétrèrent sur l’invitation d’Hélène. C’était une petite chambre très intimiste et romantique. Hélène n’y entra pas.
- Hélène : Je vous laisse vous préparer tranquillement le temps que nous finissions les préparatifs. Je vous contacterai par haut-parleur lorsque le moment sera venu.
- J. : D’accord.
- S. : Très bien.
- Hélène : Pour cette séance, je vous rappelle Madame J. qu’il faut que vous soyez entièrement nue, pas de sous-vêtements, ni de bijoux. Quant à vous Monsieur S. faite comme il vous plaira. Mettez-vous à l’aise si vous le souhaitez. Bien entendu, vous pouvez toujours aider votre épouse à se préparer.
- Hélène : Une dernière chose avant que je ne m’éclipse. Profitez de ce moment d’intimité à deux pour vous montrer votre amour. Mais attention de ne pas aller trop loin, il serait dommage de finir avant d’avoir commencé la séance.
- Hélène : Madame J., Monsieur S., je vous souhaite une bonne séance.
Sur ces dernières paroles, Hélène referma la porte. Ma femme et moi étions seuls dans cette petite chambre charmante. Ce silence soudain et nous retrouver tous les deux seuls dans cette chambre inconnue pour réaliser mon fantasme numéro 1 nous semblait irréel.
Une fois ce sentiment disparu, je me retournais pour regarder ma femme. Elle me regardait avec force intensité, me dévorant littéralement du regard.
- S. : Toujours motivée ?
- J. : Je ne sais pas. Viens le constater par toi-même.
Il me m’en fallait pas plus que je mettre dans un état second.
Tout en m’approchant de ma chérie, elle enleva son boléro. Je tendis la main pour caresser son visage tout en plaçant l’autre main dans le creux de ses reins. Après une tendre caresse sur la joue, je m’approchai et l’embrassai. Mon excitation monta en flèche et je sentis qu’elle aussi commençait à se détendre et à s’exciter. Tendrement nous nous caressions, embrassions et petit à petit je la déshabillai. D’abord son haut, découvrant son soutien-gorge en dentelle violet et sa poitrine tendre et douce. Ses tétons pointaient au travers de la dentelle, m’appelant, me narguant. Je l’embrassai et continuai de l’embrasser tout en descendant le long de son cou, doucement, en direction de ces seins. De mon autre main je remontai le long de son dos afin d’enlever l’obstacle de dentelle pour tendrement venir déposer de doux baisers le long des courbes de ses seins pour enfin venir donner une leçon à ces tétons qui me narguaient. Délicatement, je jouai de ma langue sur ses tétons qui se dardaient à son contact.
Je sentis qu’elle se détendait, se relâchait. Elle renversa la tête en arrière et je l’entendis soupirer dans un long râle comme si elle venait d’être délivrée d’un poids. Son soupire durai et je la sentis se rapprocher de moi. Son corps ondulait tout contre moi. Je me redressai et nous échangeâmes un long et passionné baiser.
Mes bras l’enlaçaient tout en la caressant fougueusement dans le dos. Lentement mes mains prirent la direction de ces reins pour pétrir ces fesses et ouvrir sa jupe. Celle-ci glissa délicatement le long de ces jambes. Je m’empressais pour faire prisonnières de mes mains ses magnifiques fesses. Une fois la jupe par terre, ma femme exécuta un mouvement rapide de la jambe afin de faire voler celle-ci de l’autre côté de la pièce. Dans le même mouvement, elle passa sa jambe derrière la mienne pour venir se coller tout contre moi. Mon érection fut immédiate et je me collais de plus belle.
- J. : Je te fais de l’effet.
- S. : Oh oui, tu n’imagines même pas.

A suivre
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