Histoires adultères

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Re: Histoires adultères

Messagepar maitrechaienne » Ven 23 Jan 2015 23:06


un cul et une tenue au top
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 23 Jan 2015 23:31

L’initiation de Virginie.

Virginie n’avait pas voulu laisser sa voiture dans le centre de Bordeaux. Elle avait suivi Patrick jusque chez lui, se disant qu’elle était folle d’aller passer la nuit avec ce couple.
En arrivant, Sylvie voulut prendre une douche. Elle était encore souillée de sperme. Virginie l’aida à se déshabiller sous le regard bienveillant de Patrick.
- « Allez prendre un bon bain toutes les deux » leur dit-il. « Pendant ce temps, je vous prépare une petite collation »
Sylvie alla remplir la baignoire et mit du bain moussant. Pendant qu’elle se remplissait, elle dénuda Virginie et la caressa doucement. La jolie blonde n’avait que 22 ans et elle avait un corps splendides. Ses seins étaient un peu plus gros que ceux de Sylvie et leurs aréoles plus larges. Ses fesses étaient moins bombées que celles de la brune, mais elles faisaient envie. Sylvie posa la main sur son ventre plat et descendit vers la toison bouclée.
- « Tu n’as jamais pensé à enlever ces poils ? » lui demanda-t-elle.
- « Si, mais je n’ai jamais osé… »
- « Il faudrait que tu te fasses épiler chez une esthéticienne, mais si tu veux, je te rase, tu verras ce que cela donne… »
- « Pourquoi pas ? »
Dès que l’eau eut atteint un certain niveau. Sylvie vérifia la température et se glissa sous la mousse. Elle fit signe à Virginie de la rejoindre. La jeune fille blonde entra dans l’eau à son tour et elle s’embrassèrent aussitôt. Elles se lavèrent mutuellement, puis Sylvie prit de la mousse à raser et un rasoir jetable. En moins de trois minutes, elle avait rendu le pubis de Virginie aussi lisse que le sien. Elle caressa ce minou vierge de poils avec dextérité.
Patrick vint les rejoindre. Il vida la baignoire, puis les rinça avec la douche.
- « J’ai envie de faire pipi, il faut que je sorte ; »
- « Non, pisse-lui dessus ! »
Virginie se tourna vers Sylvie. La brune lui adressa un regard qui voulait dire
- « Vas-y !»
La blonde se mit au dessus de sa nouvelle amie et commença à uriner sur ses seins. Elle avait très envie, mais le stress la paralysait. Un jet timide sortit de son sexe. Sylvie étala l’urine claire et approcha sa bouche.
- « Pisse-moi dans bouche !»
Virginie recommença. Le liquide chaud et amer coula sur la langue de la belle brune. Elle laissa sa bouche se remplir, puis recracha. Lorsque Virginie eut vidé sa vessie, Sylvie se leva et se mit en équilibre sur le bord de la baignoire. Elle urina à son tour. Virginie reçut le pipi de son amie sur le ventre, mais elle n’osa pas goûter.
Patrick s’était régalé du spectacle. Il les rinça avec la douche, puis les essuya soigneusement avec de grandes serviettes.
Il leur avait préparé une collation faite de toasts au saumon et au foie gras et leur imposa de manger, nues. Les deux filles s’entendaient de mieux en mieux. Elles se faisaient manger mutuellement avec des gestes d’une sensualité rare.
Arrivé au dessert, Patrick apporta un pot de crème glacée. Il fit comprendre à Sylvie qu’il n’avait pas l’intention de la consommer dans une assiette. Elle s’installa sur la table et écarta largement les cuisses. Patrick prit une cuillère et remplit le sexe qu’elle lui proposait. La jeune femme frissonna, mais elle adorait cela.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Sam 24 Jan 2015 08:17


sylvie est superbe, elle me fait bien durcir :shock:
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 09:43

Virginie vint laper la crème glacée, en profitant pour titiller le clito de Sylvie. Patrick vint lécher à son tour, puis il mit de la chantilly sur son sexe et pénétra Sylvie.
La chantilly se mélangea à la crème glacée. Un clapotis régulier se fit entendre quand la queue gonflée fit des allers-retours. Il lima cette chatte offerte pendant un long moment, puis ressortit et vint la faire lécher à Virginie. La blonde se régala. Quand sa bite fut parfaitement nettoyée, il félicita la jeune vendeuse.
- « C’est bien ma chérie… Tu vas devenir aussi salope que Sylvie !»
Virginie le regarda en souriant. La soumission de Sylvie la fascinait. A 22 ans, elle avait connu plusieurs garçons, dont un avec lequel elle était restée deux ans. Elle était désormais seule. Elle aimait le sexe, mais de la à imaginer qu’elle allait se retrouver avec un couple en train de s’adonner à des pratiques qu’elle n’imaginait même pas !
- « J’ai envie de vous promener en laisse toutes les deux. » reprit Patrick. « Maintenant il est tard, mais demain tu viendras à la plage avec nous Virginie… C’est d’accord ? »
- « C’est que… Je devais aller chez mes parents » répondit-elle.
- « Tu les appellera pour leur dire que tu ne viens pas ! » avait dit Patrick sur un ton qui ne souffrait pas de discussion. « Maintenant viens ! Je vais m’occuper de tes fesses et de celles de Sylvie !»
Virginie le vit aller chercher le martinet qu’elle lui avait vendu. Il fit mettre les deux jeunes femmes côte à côte et leur demanda de présenter leur croupe.
Pendant un long moment, il fit monter la pression. Il leur promettait une correction dont elles se souviendraient si elles ne faisaient pas tout ce qu’il voulait.
Sylvie avait maintenant l’habitude des fessées, mais elle se souvenait de le première qu’elle avait reçue. Enfin, la première qui lui avait procuré des sensations divines comme elle en souhaitait à Virginie.

C’était quand elle avait 15 ans. Elle était alors élève d’un internat de jeunes filles. Elle ne travaillait pas au lycée et sa mère avait pris la décision de la placer dans un établissement plus strict.
Comme c’est souvent le cas, les soirées dans les dortoirs étaient le théâtre d’un beau foutoir. Elle avait fini dans le bureau du directeur à plusieurs reprises. Il lui avait finalement dit que soit elle acceptait une punition et on passait l'éponge, soit c’était l’exclusion et gare à sa mère ! Elle avait donc accepté la punition.
Sylvie s’était retrouvée jupe remontée et culotte baissée. Elle avait été surprise par les claques fortes du directeur. Il avait la main lourde le salaud, mais elle avait laissé faire.
Après, en repensant à la scène, elle avait ressenti une grande excitation. Elle repensait aux claques et à ses fesses chaudes. Elle s’était caressée dans les toilettes.
Comme Sylvie était une élève turbulente, cela se renouvela souvent. Elle n’allait pas jusqu’à faire des bêtises exprès pour mériter la correction, mais elle y prenait de plus en plus de plaisir. Elle n’en avait d’ailleurs pas vraiment besoin, compte tenu de la sévérité du directeur…

Patrick savait qu’un grande partie de l’excitation des soumises provenait de l’attente. De la peur du châtiment plus que de la punition elle-même.
Il fit durer le plaisir. Il leur promit une fessée dont elles allaient se souvenir, même si la violence extrême n’était vraiment pas son truc.
Pour lui, la soumission devait rester un jeu.
Les lanières s’abattirent d’abord sur les fesses de Sylvie. Il ne frappait pas trop fort.
La jeune fille blonde attendait son tour avec angoisse. Elle aurait voulu se lever, crier
- « Stop ! Ca suffit ! Je ne joue pas à ces jeux là ! »
Pourtant, une force irrésistible l’en empêchait. Le plaisir qu’avait l’air d’éprouver Sylvie l’excitait. Elle sentit son sexe couler littéralement.
Patrick délaissa enfin le fessier de Sylvie pour passer à celui de Virginie. Il savait que c’était sa première fessée et ne frappa pas trop fort. Les lanières de cuir s’abattirent sur le petit cul de la blonde. Les coups étaient centrés sur le milieu de ses fesses. Virginie n’avait pas mal. Elle ressentait juste une chaleur de plus en plus forte et éprouvait un plaisir coupable.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 11:56

Patrick prit tout son temps. Il savait que la soumission, c’était la contrainte librement consentie. Il voulait que Virginie prenne un réel plaisir à cette fessée. Qu’elle associe définitivement fessée et plaisir.
- « Caresse ton clito !» ordonna-t-il.
Virginie ne se fit pas prier. Elle décapuchonna le bouton de chair et le manipula vigoureusement. Sylvie voulait participer à son plaisir. Elle lui caressait les seins, l’embrassait avec douceur et l’encourageait de la voix.
- « Vas-y ma chérie… Fais-toi bien jouir ! Tu vas voir comme c’est bon…»
La jeune fille sentit monter son plaisir. Son sexe était trempé. Jamais elle n’avait mouillé autant ! Quand une vague de plaisir la submergea, elle se mit à crier. Patrick frappa alors un peu plus fort. Il voulait que ses coups soient associés à l’orgasme. C’est cela qui allait faire basculer la jeune fille dans la soumission…
Quand elle eut joui, Virginie était épuisée. Elle regarda ses fesses rouges. Elle n’avait pas eu mal. Au contraire, une délicieuse sensation de chaleur lui faisait du bien.
- « C’est à toi, maintenant !» dit Patrick à Sylvie.
Elle se mit à genoux et se pencha bien en avant, relevant son cul magnifique pour l’offrir à son maître. Patrick frappa beaucoup plus fort, mais elle ne broncha pas. Des zébrures apparurent sur ses fesses. La fessée dura moins longtemps que celle de Virginie.
- « Va chercher le gode-ceinture qui est dans le tiroir ! » ordonna-t-il à Virginie.
Comme envoutée par cet homme qui lui donnait des ordres, la blonde obéit. Elle fixa l’accessoire à sa taille et se mit derrière Sylvie. La belle brune écarta elle-même ses fesses et présenta son anus. Patrick alla chercher du gel. Il en mit sur le gode et sur le petit trou qu’il pénétra avec un doigt, puis deux.
Virginie posa l’extrémité du phallus artificiel sur l’œillet légèrement dilaté et poussa doucement. Elle pénétra l’étroit corridor avec une facilité déconcertante. Comme un mâle en rut. Elle sodomisait une femme…
Sylvie se mit à gémir de plus en plus fort. Patrick savait qu’elle avait besoin de mots très crus dans ces moments là.
- « Oui, c’est bien Virginie. Baise-la comme une pute ! Fais-la jouir cette salope ! Défonce-lui le cul ! »
Sylvie ne tarda pas à jouir. Elle cria encore plus fort que Virginie, puis s’écroula sur le sol d’épuisement.
Patrick les félicita toutes les deux et se fit tendre d’un seul coup. Ses mains douces et chaudes caressèrent leurs fesses malmenées, puis il les embrassa doucement.
- « Allez-vous laver mes chéries ! Je vous attends au lit. Il est l’heure de dormir un peu…»
Elles prirent la direction de la salle de bain et procédèrent à leurs ablutions. Sylvie, qui avait l’habitude d’être fessée, passa une crème apaisante sur les fesses de Virginie.
Elles rejoignirent ensuite Patrick qui les attendait, nu dans le lit. Elles se mirent de chaque côté et posèrent leur tête sur son épaule. Il les prit dans ses bras et ils s’endormirent rapidement tous les trois.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 12:26

la belle SYLVIE
Photos candaulisme
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message. veuillez vous CONNECTER ou vous INSCRIRE pour voir cette photos ou video candaulisme.
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 15:23

La plage.

Après une nuit de douceur et de câlins, Virginie se sentait bien. Elle se leva la première et ne fit pas de bruit pour ne pas réveiller Sylvie et Patrick qui dormaient encore, enlacés dans les bras l’un de l’autre.
Elle se dit, une fois de plus, qu’elle était folle d’avoir accepté l’invitation de ce couple atypique, mais elle n’avait plus envie de les quitter. Elle téléphona discrètement à ses parents pour leur dire qu’elle ne viendrait pas comme elle l’avait prévu. Sa mère s’inquiéta, mais elle la rassura, prétextant simplement qu’elle avait un mal de tête à cause des excès de la veille.
Quand les deux autres se réveillèrent, ils déjeunèrent tous les trois, tranquillement, puis ils se préparèrent pour partir à la plage. Ils prirent la voiture de Patrick.
Sylvie était montée devant et elle caressait les jambes de Virginie assise à l’arrière. Au bout d’un moment, Patrick bifurqua sur une aire d’autoroute. Il regagna le parking où une rangée de poids lourds était stationnée.
- « Vous allez les exciter un peu les filles ! » dit Patrick en se tournant vers ses passagères.
Sylvie ne put s’empêcher de penser à David, son mari qui exerçait la profession de routier.

Quand elle avait connu David, il était déjà routier. Elle l’avait rencontré dans un bar, à l’époque où elle y trainait souvent et se faisait payer un verre par les gars qui profitaient d’elle. Celui-ci, elle l’avait trouvé différent des autres. Certes, il avait 20 ans de plus qu’elle, mais il était séduisant.
Elle lui avait cédé, comme à beaucoup d’autres à cette période et il s’était montré bon amant. Il l’avait progressivement initiée à la soumission. C’est lui qui lui avait appris à recevoir des fessées.
David la satisfaisait sexuellement, mais son métier de routier l’éloignait et il avait la fâcheuse tendance de sauter sur tout ce qui bougeait. A chaque fois qu’il rentrait, Sylvie trouvait des petites culottes ou des préservatifs dans son camion. Elle en avait assez d’être cocue !
De plus, quand il avait trouvé une fille plus jeune, plus à son goût, il était partie avec elle. Sylvie était restée seule avec le propre fils de David.
Maintenant que l’autre fille l’avait largué, il revenait le week-end… Sylvie en avait marre, mais il baisait si bien !

Elle ne put s’empêcher de penser que son mari aurait pu être dans une des cabines et que sa petite culotte aurait pu finir sur son siège.
Sylvie sortit de la voiture la première. Elle portait une jupe en jean, des mules à talons et un débardeur échancré. Elle attendit Virginie qui avait remis sa robe blanche de la veille, mais sans rien dessous à part un string que lui avait prêté Sylvie.
Elles se tenaient par la main et marchèrent en direction des camions. En faisant mine de ne pas voir que plusieurs routiers les observaient, elles passèrent devant la rangée de poids lourds. Plusieurs appels de phares essayèrent d’attirer leur attention.
Sylvie marcha dans l’herbe en direction d’un bosquet d’arbres. Elle se dissimula à moitié, parfaitement consciente qu’on la voyait depuis le parking. Releva sa jupe, baissa sa culotte et se mit à faire pipi en écartant bien les cuisses.
Une fois qu’elle eut terminé, s’essuyant à peine. Elle dit à Virginie d’en faire autant. La blonde releva la robe jusqu’à la taille, baissa le string et pissa à son tour.
descendirent même de leurs camions.
Les deux filles rejoignirent la voiture de Patrick sous les sifflets de mecs pour la plupart en manque. Cela les avait bien excitées et leur chauffeur aussi.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 15:36

La voiture repartit et ils roulèrent jusqu’à la plage. Ils se garèrent sur un grand parking et traversèrent la dune pour rejoindre l’océan. Patrick avait choisi un coin de plage pas trop fréquenté où la nudité était de mise. L’immensité des plages océanes permettait ce melting pot inédit. Certains coins étaient fréquentés par des familles dites « textiles ». Le naturisme était toléré partout, mais ceux qui avaient choisi de s’exhiber avaient, en général, la sagesse de s’isoler.
Il laissa les deux beautés qui l’accompagnaient se mettre nues et s’allonger sur leur serviette.
Evidemment, les hommes qui venaient sur la plage pour se rincer l’œil les remarquèrent rapidement. Deux d’entre eux vinrent s’installer juste en dessous des deux jeunes femmes. Ils ne se connaissaient pas, mais engagèrent rapidement la conversation.
- « Tu as vu ce cul qu’elle a la brune ? » demanda le plus jeune.
- « Oui, il est magnifique ! Mais moi, je préfère la blonde. Elle a de plus gros seins… »
Patrick se rendit compte que les deux voyeurs avaient bien du mal à dissimuler leur érection. Il s’approcha des deux filles.
- -« Les mecs qui sont en dessous de vous sont en train de vous mater comme des malades. Je veux que vous les fassiez bander comme des taureaux ! »
- « Tu sais, je crois qu’ils bandent déjà ! » répondit Sylvie après avoir jeté un coup d’œil dans leur direction.
- « Je sais, mais je veux qu’ils bavent devant vous. Vous allez vous retourner et bien écarter les cuisses. Je veux qu’ils voient bien vos chattes ! »
Virginie ne dit rien, mais ce fut elle qui se retourna la première. Sa fine toison blonde plaisait particulièrement au plus âgé des deux voyeurs. Sylvie l’imita bien vite et offrit, elle aussi, son sexe aux regards envieux.
- « Tu as vu cette moule ! » s’exclama le plus jeune. « J’y mettrais bien ma langue ! »
- « Moi, je préférerais gicler dans les poils de l’autre » répondit le second.
- « Chacun ses goûts, moi je prends la brune»
- « Et moi la blonde… »
Quand Sylvie passa son majeur sur ses grandes lèvres, celui qui avait flashé sur elle sentit son sexe devenir dur comme de la pierre. Virginie n’était pas en reste et passa ses doigts fins dans sa toison blonde.
- -« C’est bien ! » les encouragea Patrick. « Soyez bien salopes ! Branlez-vous carrément ! »
Les deux filles se rapprochèrent l’une de l’autre et commencèrent à se caresser mutuellement. Rapidement, cela leur fit un bien immense et elles eurent du mal à contenir leurs gémissements. Sylvie se leva et prit Virginie par la main.
- « Viens ma chérie, on va se baigner ! »
Elles se levèrent toutes les deux et marchèrent en se tenant la main en direction des vagues. Les deux voyeurs en profitèrent pour les suivre, tandis que Patrick avait décidé de se contenter de les observer.
Bien que l’eau soit un peu fraiche, elles entrèrent dans l’eau agitée facilement. Elles nagèrent un peu, puis Sylvie vint se blottir contre Virginie. Leurs poitrines s’écrasèrent l’une contre l’autre et elles s’embrassèrent.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 15:48

Les deux inconnus s’approchèrent et chacun se mit derrière celle qui lui plaisait le plus. La jeune vendeuse avait l’air inquiet.
- « Laisse-toi faire ! » lui dit discrètement Sylvie. « Ferme les yeux et laisse-les te caresser. Tu verras comme c’est bon ! »
Les mains du plus âgé ne tardèrent pas à effleurer le fessier de Virginie. Ses mains étaient habiles et douces. Il passa un doigt sur le sillon fessier de la jeune blonde, puis, voyant qu’elle le laissait faire, sa main glissa vers le périnée avant de remonter vers le sexe qu’il convoitait. Virginie trouvait la caresse délicieuse. Elle écarta les jambes pour lui faciliter le passage.
Le plus jeune était beaucoup moins doux. Il malaxait les fesses de Sylvie avec vigueur. La belle brune aimait bien cette fermeté. Sa main s’aventura, elle aussi, vers la chatte de Sylvie. Il la doigta sans vergogne.

Sylvie se rappela les moments passés chez des amis du coté de Toulouse, avec son mari. Ces amis pratiquaient l'échangisme et avaient une maison là-bas avec une piscine. L’homme était très attiré par la belle brune et il ne la lâchait pas.
Dans l’eau, il passait son temps collé contre elle. Il la tripotait, la caressait, la doigtait, la pénétrait… Comme son mari n’était pas insensible non plus au charme de leur amie, ils se retrouvaient souvent dans la configuration qu’elle retrouvait avec Virginie et ces deux voyeurs.
La semaine qu’ils avaient passée à Toulouse avait été particulièrement chaude. Dans tous les sens du terme…

Sur cette plage, il y avait trop de monde pour que les deux hommes leur fassent l’amour, mais ils s’occupaient déjà de leurs corps de manière de moins en moins discrète. Virginie progressait à grands pas. Cette petite se montrait de plus en plus cochonne. Elle plaisait bien à Sylvie.
Au bout d’un moment, Patrick se rendit compte que ses deux soumises étaient prêtes à aller beaucoup plus loin. Il les rappela et elles revinrent sur la plage.
Les deux hommes revinrent sur leur serviette un moment plus tard. Ils n’avaient pas osé sortir de l’eau à cause de leur érection monstrueuse.
Patrick expliqua aux deux filles qu’il avait envie de les voir saillies par ces mâles. Il voulait qu’elles soient prises comme des chiennes et il expliqua qu’il avait apporté les accessoires nécessaires dans son sac. Sylvie ressentit ce picotement au ventre caractéristique d’une forte excitation.
Virginie avait un peu peur de ce qui allait lui arriver, mais l’excitation de Sylvie était contagieuse. Elle aussi avait envie d’être traitée comme une chienne !
Ils se levèrent et ramassèrent leurs affaires avant de marcher vers la dune. Un simple coup d’œil dans la direction des voyeurs avait suffi à leur faire comprendre qu’ils étaient autorisés à les suivre.
Patrick choisit un endroit isolé. Il ordonna à Sylvie et Virginie de se mettre à quatre pattes et leur fixa leur collier de chienne auquel il attacha une laisse métallique. Il les fit marcher dans le sable, tirant sur la laisse pour les faire avancer.
Sylvie, en véritable chienne, vint sentir les fesses de Virginie. Elle la reniflait sans aucune gêne et la blonde finit par en faire autant. Patrick leur donna à chacune une claque sur les fesses.
- « Je veux vous voir pisser ! » leur dit-il. « Montrez que vous n’êtes que des chiennes ! »
Sylvie adorait être traitée de la sorte. Elle urina, toujours à quatre pattes, en relevant la croupe et en écartant les cuisses. Le jet mouilla le sable et ruissela le long de ses cuisses.
- « A toi, salope ! » dit Patrick à Virginie.
La jeune fille prit la même position que Sylvie et fit pipi elle aussi. Elle était plus stressée et cela sortit moins facilement. La belle brune vint l’essuyer avec sa langue.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 16:04

Un peu plus loin, les deux voyeurs restés en retrait ne perdaient pas une miette de ce spectacle inespéré. Patrick leur fit signe de s’approcher.
- « Venez ! Vous allez les saillir… Ces chiennes ont besoin de mâles, elles sont en chaleur… »
Sylvie ne put s’empêcher de repenser à l’épisode au cours duquel elle avait connu son unique expérience zoophile. Ce jour là aussi, elle s’était sentie comme une chienne…

A cette période, elle n’était pas encore séparée de son mari. Pierre, son fils, tait encore petit. Ils possédaient un gros chien croisé rottweiler pitbull qu’un ami de son mari lui avait donné. Un animal très fougueux.
Souvent il était en érection et cela émoustillait beaucoup Sylvie de voir ce membre tout rouge et tout dur. Elle n’avait jamais eu de rapport sexuel avec des animaux.
Un après-midi où elle était restée seule avec le chien, son fils était à l’école et son mari était parti chez ses parents, Sylvie se mit à le regarder. Elle venait de faire du ménage, elle était toute en sueur, ça dégoulinait de partout, de la tête aux pieds en passant par son entre cuisse. Elle s’était mise nue afin de prendre une bonne douche. Le chien était allongé dans un coin du salon et son sexe était sorti, une grande tige toute rouge. Sylvie s’est approchée de lui, elle se mit assise par terre et commença à le caresser. Plus elle le caressait, plus son sexe devenait gros.
Il était couché sur le dos, elle mit sa main sur son ventre puis, lentement vers son membre, commença à le caresser du bout des doigts puis à le masturber. Doucement au début, puis en accélérant les mouvements.
Tout à coup, elle fut prise d’une envie folle de le sucer, de le pomper à fond. D’avoir ce gros bâton rouge au fond de sa gorge. Sylvie approcha sa bouche vers son braquemard gonflé, puis entreprit une délicieuse fellation.
Hummm que c’était délicieux cette tige toute dure dans sa bouche ! Elle faisait aller et venir sa langue de ses couilles à la pointe de sa bite. Gobant l’une après l’autre ses délicieuses boules poilues. Il ne bougeait pas, sa respiration s’était accélérée et il avait l’air d’apprécier.
Alors qu’elle était bien en train de s’activer sur son manche, il se redressa brusquement et se mit sur ses quatre pattes. Sylvie eut un moment de peu, pensant lui avoir fait mal. Elle ne savait pas trop pourquoi, il avait eu cette réaction, mais après un mouvement de recul, elle se mit, elle aussi, à quatre pattes, mais pour essayer de se relever.
A ce moment-là, elle sentit sur son dos, tout le poids de l’animal, ses pattes de devant lui labourant le milieu du dos.
Elle eut beau tout essayer pour le faire descendre et se relever, rien à faire ! Il était vraiment très lourd et s’agrippait à elle de toutes ses forces, ses grosses pattes sur ses reins l’immobilisant et l’empêchant de faire le moindre mouvement. Il était plus fort que Sylvie. Elle était coincée, dominée par cet animal en rut. A sa merci ! En proie à ses moindres désirs bestiaux. Elle n’avait pas assez de force pour le repousser.
Puis un moment de frayeur la traversa. Elle sentit son membre, toujours bien raide, entre ses cuisses, sur son vagin…
Mon dieu, non ! Il n’allait pas… En plusieurs coups de boutoir, il la pénétra et lui enfonça sa queue toute entière dans la chatte.
Mon dieu quel engin ! Plus grosse que celle de son mari déjà bien monté, mais ce chien il l’avait énorme ! Son ventre la brulait, mais qu’est-ce que c’était bon !
Sylvie était une vraie fontaine et cela faisait un moment qu’elle n’avait pas joui autan ! Elle était trempée. Au début de sueur, à présent, elle l’était de sa mouille.
Il lui laboura la chatte plusieurs minutes en faisant de virils va et vient rapides. Sylvie n’avait plus vraiment la notion du temps, ni de quoi d’autre d’ailleurs. Ses assauts étaient tellement forts, ses coups de boutoir tellement puissants, qu’à chaque coup, Sylvie avançait. Elle se sentait glisser sur le carrelage. A chaque secousse, un cri de jouissance s’échappait de sa bouche.
Alors qu’elle prenait un super pied, se foutant de tout le reste, elle sentit de longues et puissantes giclées de sperme envahir son ventre. Il venait de se soulager, l’animal, la faisant jouir une énième fois.
Il resta un moment collé derrière Sylvie. A force de rentrer sa queue en elle, il l’avait verrouillée, son poids l’empêchant toujours de bouger. Puis, doucement, il sortit de son corps et retourna s’allonger dans son panier. Sylvie sentit alors son sperme sortir de son vagin et couler le long de ses cuisses.
Le temps de reprendre ses esprits, elle sursauta. La sonnette de la porte venait de retentir.
- -Chérie, c’est moi, j’ai oublié mes clés, tu peux venir m’ouvrir ?
- -Heu, oui. J’arrive chéri.
Moment de panique... Comment expliquer à son mari pourquoi elle était nue, au milieu du salon, en plein après-midi ? Elle passa vite un peignoir et alla ouvrir.
- Excuses-moi, j’ai fait du ménage et je suis allée faire courir le chien pour lui dégourdir les pattes (et le reste) J’allais prendre une bonne douche, je me sens un peu transpirante (voir dégoulinante).
- -Ok. En effet, le chien a l’air crevé. Tu t’es bien dépensé un mon pépère ?
Heureusement qu’il ne pouvait pas répondre ! Cette expérience allait rester unique pour Sylvie car, pour des raisons de sécurité pour leur fils, le chien en était très jaloux et devenait méchant, agressive, et ils furent donc été obligés de s’en séparer.
Même quand son mari lui faisait l’amour il grognait, bandait comme un sauvage et montrait les dents. Son mari n’a jamais compris pourquoi.
Mais cette expérience restera dans ses meilleurs plaisir à ce jour !

Chacun des hommes s’était mis derrière sa chienne et la baisait de manière bestiale, pesant sur son dos de tout son poids et cherchant à aller au plus profond de sa chatte. Le plus jeune, qui se prénommait Florian, était le plus vigoureux. Sa queue était aussi grosse que celle du chien dont Sylvie gardait le souvenir. Il l’enfonçait jusqu’aux couilles dans le vagin de sa belle chienne brune.
Marc, l’autre voyeur, avait un faible pour Virginie. Lui-aussi la baisait en levrette, écartant bien son cul dont il dilatait l’œillet avec le majeur. La jeune blonde avait mal, mais elle ne protestait pas. Son maître avait décidé de la faire baiser, alors elle acceptait sa condition de chienne.
Patrick se fit sucer par les deux filles. Il les vit jouir sous les coups de boutoir des mâles excités comme jamais. Il les avait mis face à face et il éjacula sur leurs visages réunis dans un baiser sauvage.
Une fois vidés, les deux hommes ne demandèrent pas leur reste. Ils partirent chacun de leur côté et ne seraient pas prêts d’oublier leur journée à la plage.
Patrick détacha les deux soumises et leur laissa reprendre une position plus digne. L’éducation de Virginie était terminée. Elle allait pouvoir reprendre une vie normale de vendeuse dans son animalerie. Désormais, elle ne pourrait plus vendre une laisse sans se remémorer cette expérience unique…

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 16:42

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 17:55

Le départ.

Lorsqu’elle était repartie, Virginie avait remercié le couple de lui avoir fait découvrir de nouveaux plaisirs. Patrick lui demanda s’ils se reverraient. Elle répondit qu’il ne valait mieux pas.
Elle avait vécu une expérience extraordinaire, mais elle avait trop peur de prendre goût à la soumission. Virginie était une jeune file sage. Son travail de vendeuse lui plaisait. Elle était très appréciée par sa hiérarchie et ne tarderait pas à passer chef de rayon. Ses parents étaient fiers d’elle et elle ne voulait pas les décevoir. Elle leur avait présenté un garçon bien sous tous rapports quelques semaines plus tôt et ils commençaient déjà à parler de mariage
Virginie reprendrait une vie « normale ». Elle se marierait, irait travailler, aurait des enfants… Mais son expérience de « chienne soumise »resterait secrète et à jamais gravée dans sa mémoire. Un jour, peut être, elle la révélerait dans une biographie intime, comme venait de le faire Sylvie.
Patrick avait envie de se consacrer pleinement à Sylvie jusqu’à son départ. Il lui était très reconnaissant d’être venue passer un week-end avec lui, mais elle devait déjà bientôt repartir vers sa vie en Lorraine. Elle reprenait le boulot dès le lendemain après-midi, n’ayant pu prendre que son lundi matin. Il fallait qu’elle parte par le premier TGV à 5 heures 13.
David, son mari, allait être furieux. Elle ne l’avait pas prévenu qu’elle partait et il avait du se pointer, comme presque tous les week-ends, pour la baiser. Ils ne vivaient plus ensemble, mais il la considérait toujours comme sa chose, son vide-couilles…
Elle retrouverait Pierre qui avait passé le week-end chez sa copine Isa. Sylvie avait d’ailleurs bien l’intention de la mettre dans son lit.

Elle se souvenait du dimanche où son mari venait de repartir. Ce week-end là, Pierre était parti chez Isa, comme à chaque fois que son père arrivait. Sylvie avait profité des rares moments où David la laissait tranquille pour tchatter avec Patrick.
Ils étaient en train de bavarder quand Elodie, une infirmière lyonnaise, avait rejoint Patrick sur le tchat. Il avait parlé d’elle à Sylvie et lui avait même envoyé des photos. Sylvie n’était pas seule. Pierre et Isa étaient arrivés. Elle confiant à son auteur préféré que la copine de son fils l’excitait bien. Sur le tchat, elle avait essayé de la lui décrire, lui avait parlé de sa mini-jupe et de la petite culotte jaune qu’elle apercevait. Patrick lui avait demandé une photo et il l’avait reçue le lendemain.
Pendant ce temps, Elodie lui demandait de l’exciter. Cette cochonne adorait que Patrick lui propose des situations insolites. Elle était enfermée dans sa chambre et, chose incongrue, Patrick dialoguait en même temps avec Cyril, le mari d’Elodie. Ce dernier était au courant de leurs relations virtuelles, mais il était toujours surpris d’entendre sa femme jouir à distance avec cet inconnu.
Comme une grosse cochonne qu’elle était, elle se godait avec un accessoire à ventouse qu’elle avait fixé sur le sol de la chambre.
Au bout d’un moment, c’est Patrick qui avait demandé à Cyril d’aller baiser sa femme.

Patrick fit l’amour à Sylvie avec beaucoup de douceur. Ils avaient passé de bons moments avec Virginie, mais il était content de se retrouver seul avec elle. Il caressa les seins de Sylvie avec beaucoup de douceur avant de pincer les tétons comme elle aimait qu’il le fasse. Sylvie n’aimait pas ses seins, elle les trouvait trop petits, pourtant, Patrick les adorait.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 20:56

Il embrassa puis lécha ses seins avant de descendre vers le ventre de sa partenaire. Il s’attarda sur son nombril et descendit vers son sexe qu’il évita soigneusement, voulant faire attendre Sylvie, afin que son excitation monte. Il atteignit l’intérieur des cuisses et y resta un long moment. Il savait que c’était l’une des zones sensibles de sa partenaire.
Après les avoir caressées, embrassées et léchées, il reprit sa progression. Il atteignit les pieds de Sylvie dont il mordilla le talon avant d’en lécher la plante.
Il remonta le long des jambes avec la même lenteur évita encore une fois le sexe. Il s’en approchait, tournait autour, puis repartait. Sylvie n’en pouvait plus ! Sa moule coulait de désir.
- « Je n’en peux plus ! Bouffe-moi la chatte ! » cria Sylvie.
- « Oui ma chérie… »
Patrick plongea enfin entre ses cuisses. Sa langue épongea la cyprine terriblement abondante, mais elle en produisait au fur et à mesure. Il lapa bruyamment sa moule inondée, puis sa langue fit des cercles concentrique autour du clitoris gonflé. Il le lécha franchement et commença même à le mordiller. Sylvie jouit avec une intensité extraordinaire.
- « Prends-moi bébé ! Je veux sentir ta queue en moi ! »
- « Attends mon amour… Je veux filmer nos ébats »
Sylvie le vit se lever et installer une caméra face au lit. Il le fit rapidement et revint s’occuper d’elle.
- « Tu garderas le film pour toi, hein chéri ? »
- « Oui, ne t’inquiète pas… Je sais que tu as déjà eu des ennuis avec ce genre de chose… »
Patrick faisait allusion à un épisode de qu’il avait relaté dans la biographie de son héroïne.


Sylvie avait été invitée au restaurant par un client important du cabinet qui l’employait et vivement encouragée par la direction de ne pas refuser.
Le diner c'était bien passé à part quelques réflexions déplacés. Le Monsieur, qui avait dans les 50 ans, était très branché sexe.
Dans la voiture, il avait commencé à peloter la belle secrétaire-comptable. Quelques mains par-ci par là, un roulage de pelle pour le remercier.
Mais au retour, alors qu'il ramenait Sylvie, Monsieur à voulu passer à son bureau pour récupérer des papiers dont il aurait, soit disant, besoin d'urgence le lendemain. Sylvie avait les clés.
Ils étaient entrés, avaient allumé la lumière, puis s’étaient dirigés vers le bureau de Sylvie.
Là, il l’avait attrapée par derrière, par les hanches et l’avait faite assoir sur le coin du bureau. Il lui avait relevé la jupe et y avait mis sa tête. Se souvenant de la réflexion du boss et ne voulant pas perdre le client et dans la foulée son job, Sylvie avait donc baisé avec ce porc.
Le plus beau, elle allait le découvrir plus tard. Elle avait totalement oublié de couper la vidéo surveillance !
Quelques jours plus tard, un des hommes de la surveillance avait téléphoné à Sylvie et l’avait fait chanter plusieurs semaines avec cette vidéo, la me menaçant de la diffuser. Il avait obtenu presque tout ce qu’il demandait.

Depuis, Sylvie se méfiait des caméras. Mais avec Patrick, elle avait confiance. En même temps, il avait branché son ordinateur portable et lancé le petit jeu qu’il avait conçu lui-même, « SEXE GAMES ». Il cliqua sur le choix « KAMASUTRA ».
Un panneau avec des nombres de 1 à 96 s’afficha.
- « Choisis un nombre ! » demanda-t-il à Sylvie.
- « 47 »

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 23:37

Patrick cliqua sur le nombre choisi et lut ce qui s’affichait à l’écran.
- « 47 - L'Aigle - Ne cherchez pas le lien avec le rapace, la position de l'Aigle vous fera plutôt ressembler à un koala agrippé à sa branche... La tendresse en plus. »
Il poursuivit et lut les différentes rubriques décrivant la position.

« A vous de jouer !
Elle : Allongez-vous sur le côté et enlacez votre partenaire, les bras autour de son cou et les cuisses autour de sa taille.
Lui : Allongé sur le côté, passez un bras sous la nuque de votre amante et repliez vos jambes entre ses cuisses.
Entre nous : Restez attentif à l'autre, vos jambes et bras emmêlés peuvent se trouver écrasés sous le poids et vite engourdis... L'Aigle, oui, les fourmis, non merci !
Et la tendresse ? Voila un corps-à-corps très serré qui permet de s'embrasser, se regarder et se susurrer des mots doux. L'amour est au rendez-vous !
Vous allez adorer : La pénétration tout en douceur pour ralentir la cadence et reprendre des forces ou bien prolonger de tendres préliminaires. Comme vous ne faites qu'un, vous pouvez vous laisser aller au rythme de l'autre.
Vous allez moins aimer : Les mouvements ni très efficaces ni très fougueux, mieux vaut se servir de cette position comme d'un gros câlin. »

Sylvie prit la position indiquée sur l’écran. Patrick vint s’installer entre ses cuisses et la pénétra. Cette position très douce correspondait bien à la tendresse qu’il voulait donner à sa partenaire. Ils restèrent un long moment blottis l’un contre l’autre, en profitant pour s’embrasser avec beaucoup de tendresse.
Au bout d’un moment, ils eurent envie de changer de position.

- « 19 » annonça Sylvie sans savoir vers quoi allait la mener ce nombre.
Patrick cliqua sur le 19 et lut une nouvelle fois.
- « 19 - La Jument - Qui veut voyager loin, ménage sa monture ! Ce proverbe populaire n'a jamais été aussi vrai que dans cette position fougueuse. Monsieur aura beau croire qu'il tient les rênes, c'est bien madame qui décide de l'allure et de hennir, ou non, de plaisir.»

Amusée par ce jeu dans lequel le hasard décidait de la manière de faire l’amour, Sylvie regarda elle-même ce que son choix leur avait réservé. Elle lut.

« A vous de jouer !
Elle : Tournez le dos a votre amant et venez vous asseoir à califourchon sur ses cuisses. Quand vous serez bien installée, dressez-vous sur les genoux et cambrez-vous pour tendre vos fesses vers l'arrière.
Lui : Asseyez-vous, jambes étendues. Vous pouvez vous soutenir avec les mains à plat derrière vous, bras tendus, mais il sera plus confortable de vous adosser à un mur... Magique : comme ça, vous avez les mains libres !
Entre nous : Ce soir, c'est madame qui fait tout ! Elle s'active, se retourne, se cambre, se cabre... Pourtant, c'est bien elle la jument et monsieur qui tient les rênes. Il sera bien gentil de ne pas exiger un grand galop quand sa monture s'essouffle.
Et la tendresse ? Avec ses deux mains libres et sa position très confortable, le cavalier a tout loisir de flatter sa jument de multiples caresses. Les mots doux et les bisous dans le cou sont aussi vivement conseillés, pour inciter votre amante à se retourner et vous donner un vrai baiser.
Vous allez adorer : Monsieur, en bon pacha, adorera voir son amante passer du trot au pas puis du pas au galop et admirer sa croupe en pleine action. Madame profitera de sa liberté d'action pour s'incliner comme elle le souhaite et maitriser sa vitesse. En bonus : une main experte pourra faire des merveilles en cours de route.
Vous allez moins aimer : Aïe les genoux ! Vous avez intérêt à trouver un support doux et souple pour éviter les rougeurs et autres brulures (oubliez carrelage, parquet et moquette !). Attention aussi aux torticolis, vous n'êtes vraiment pas obligés de vous regarder. »

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 25 Jan 2015 10:08

Ils mirent tout de suite en pratique ce que le logiciel leur recommandait. Le hasard avait bien fait les choses puisque les positions où elle était sur l’homme étaient ses préférées. Quand elle se mit sur lui, Patrick la regarda s’empaler sur sa queue dressée. Il avait une vision paradisiaque sur sa croupe splendide et la caressa immédiatement.
Sylvie commença par des mouvements lents de haut en bas. Rapidement, elle fit des mouvements circulaires pour mieux sentir le sexe gonflé de son amant en elle.
Patrick caressa ses seins, ses cuisses, puis il se mit à exciter son clitoris de sa main droite. Il avait envie de la voir jouir… Le plaisir de Sylvie ne tarda pas à arriver. Elle se cabra, telle une jument en colère, et connut un orgasme violent. Patrick jouit à son tour, en elle.
Ils restèrent immobiles quelques minutes, puis Sylvie le fit allonger sur le dos et vint se mettre à califourchon sur son visage. Patrick passa sa langue sur les lèvres du sexe que lui présentait sa partenaire. Sa bouche découvrit la saveur étrange de ce mélange de mouille et de sperme. Sylvie relâcha son périnée pour laisser s’échapper la liqueur intime de son amant. Elle fit des mouvements circulaires à l’aide de son bassin pour bien lui barbouiller le visage.
Pour une fois, elle se trouvait dans une position dominante, mais ce n’était pas désagréable. La bouche de Patrick était habile et il la fit jouir une nouvelle fois.
Après ces jeux bien agréables, il se leva et arrêta enfin la caméra. Il rangea l’ordinateur et ils se mirent au lit, visionnant le film avant de s’endormir.
Le lendemain matin, le réveil les tira du sommeil alors qu’il faisait encore nuit.
Ils prirent une douche rapide tous les deux, puis Sylvie rassembla ses affaires et ils prirent la direction de la gare. L’heure du train approchait.
Sur le quai, ils ne parlaient pas. Chacun allait reprendre sa vie de tous les jours. Sylvie allait retrouver son travail, ses collègues. Elle se ferait draguer par tous les hommes auxquels elle plaisait tant. Pierre vivait encore avec elle. Un jour, il partirait peut-être avec sa copine, Isabelle, mais pour le moment, il était bien ainsi. Il profitait de la belle blonde quand il en avait envie mais ne renonçait pas pour autant à cette brune somptueuse qui l’avait initié au plaisir.
Sylvie continuerait à subir les assauts de David, son mari, jusqu’à ce qu’il trouve un cul plus accueillant. Elle était sa soumise et continuerait à lui imposer ce qu’il voulait.
Ce week-end n’avait été qu’une parenthèse. Patrick le savait. Il aurait aimé garder la belle Sylvie, mais il savait que ce ne serait pas le cas. Il en avait assez de la solitude. Après deux mariages ratés avec des femmes trop sages, il rêvait d’une belle cochonne comme Sylvie ou Elodie.
Il remercia Sylvie d’être venue et l’embrassa avant qu’elle monte dans la rame du TGV. Ils ne savaient pas encore quand ils se reverraient et il ne put retenir une larme quand le train s’éloigna.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 25 Jan 2015 10:37

SYLVIE sur le canapé...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 25 Jan 2015 10:41

Les projets d’Elodie.

Une fois Sylvie partie, Patrick se sentait terriblement seul. Il savait bien que ce week-end merveilleux aurait une fin. Il en avait profité autant qu’il pouvait. Il avait assouvi certains de ses fantasmes et savait que sa complice littéraire avait pris beaucoup de plaisir. Il voulait envoyer un mail à Sylvie pour qu’elle le lise en arrivant à son travail.
Il se connecta à sa messagerie et rédigea, avec beaucoup de soin, le texte qu’il voulait lui envoyer. Il venait de terminer par une véritable déclaration d’amour quand un « bip » se fit entendre sur son ordinateur et qu’une fenêtre s’ouvrit. C’était Elodie. Cette infirmière de 39 ans qu’il avait connue grâce à son mari était aussi cochonne et soumise que Sylvie.
Au début, il l’avait contactée à la demande de Cyril pour lui proposer de recueillir ses confidences. Elle n’avait pas paru plus surprise que cela et avait rempli sans difficulté le « questionnaire intime » proposé par Patrick.
Elle lui avait fait quelques confidences par mail, mais Patrick c’était rapidement rendu compte qu’elle préférait les échanges plus directs par tchat. Surtout, elle était avide de lecture et il lui envoya à peu près tous les textes qu’il avait produits.
Le dialogue s’engagea :

Elodie : coucou, tu es là ?
Patrick : oui, je suis là
Elodie : t’es déjà levé ?
Patrick : oui, je viens d’emmener Sylvie à la gare
Elodie : ah bon, elle était chez toi ?
Patrick : elle est venue passer le week-end
Elodie : t’as de la chance ! Vous avez du baiser comme des malades…
Patrick : oui, on a passé de bons moments… et toi, tu viens quand ma petite cochonne ?
Elodie : Tu sais bien que j’en meurs d’envie !
Patrick : Viens pour les prochaines vacances…
Elodie : Je vais essayer. Sylvie sera là ?
Patrick : Je ne sais pas. Elle est loin et ce n’est pas facile avec son mari
Elodie : J’aimerais tellement qu’on soit tous les trois !
Patrick : Et moi alors ! J’imagine les vacances que je passerai avec deux cochonnes comme vous…
Elodie : Tu m’excites, baby. Je viens de prendre ma douche. J’allais m’habiller pour aller bosser…
Patrick : Tu ne mettras pas de culotte !
Elodie : Si tu veux… Mais je vais mouiller toute la journée en pensant à Sylvie
Patrick: Pendant ta coupure, tu te masturberas en pensant à elle. Je lui dirai qu’elle te fait mouiller
Elodie : Oh ça oui ! Toi aussi tu me fais mouiller
Patrick : J’aimerais bien bouffer ta chatte humide
Elodie : Arrête ! Tu vas me faire arriver en retard…
Patrick : Il est là ton interne préféré ?
Elodie : Oui, pourquoi ?
Patrick: Je veux qu’il te prenne en photo entièrement nue à l’hôpital et que tu m’envoies la photo
Elodie : Cochon !
Patrick : Oui, mais tu aimes çà, petite chienne !
Elodie : J’aime quand tu me parles comme çà.
Patrick : Je veux que tu sois ma salope quand tu viendras. Je ferai de toi ma pute !
Elodie : mmmmmmmm
Patrick : Je te ferai rougir les fesses
Elodie : ouiiii
Patrick : Allez, va travailler ! Et n’oublie pas ma photo
Elodie : Tu l’auras, promis ! Bisou mon cœur
Patrick : Bisou chérie. Je pense à toi

Patrick se déconnecta. Il se mit à rêver de vacances avec ses deux cochonnes. Quelle bonne idée il avait eue de donner à chacune les coordonnées de l’autre ! Il savait que ces deux petites cochonnes s’excitaient mutuellement et qu’elles avaient très envie de se rencontrer. Il n’osait pas encore imaginer une semaine avec les deux, mais il leur en parlait souvent.
Il partit travailler, comme d’habitude, et eut bien du mal à se concentrer sur autre chose que ce fabuleux week-end.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 25 Jan 2015 11:40

Il alla chercher un courrier que lui avait préparé une secrétaire. Il le relut rapidement et remarqua tout de suite plusieurs fautes d’orthographe. Il en fit la remarque gentiment à la secrétaire en question, une brune qui ressemblait vaguement à Sylvie, mais il ne put s’empêcher de penser à l’épisode que lui avait décrit sa confidente.

Sylvie lui avait raconté qu’elle travaillait comme secrétaire chez un notaire. C’était un homme d’une cinquantaine d’années et il était très exigeant.
Il était également très porté sur le sexe. Il aimait reluquer les jambes de Sylvie quand il la faisait monter sur l’escabeau dans son bureau pour, soit disant, lui faire attraper un dossier. Il aimait aussi regarder son entre cuisses quand elle était en mini-jupe, assise devant lui à écrire un courrier, ou encore se mettre derrière elle quand elle était assise à mon bureau, pour mater sa poitrine dans son décolleté.
Cet après- midi là, il lui avait donné une lettre à taper pour un client. Sylvie avait mal dormi et n’avait pas les idées très claires. Elle avait du mal à se concentrer. Du coup, son courrier était bourré de fautes.
Il la convoqua dans son bureau.
- - « Qu’est- ce que c’est que ce courrier bourré de fautes ma petite Sylvie, vous vous foutez du monde ou quoi ? »
- « Je suis désolée Monsieur, je vais le refaire.»
- « Encore heureux, je ne vous paie pas pour refaire 36 fois les mêmes choses. Cela demande une punition au minimum, ou vous préférez la porte peut être ?»
- « Non Monsieur, vous savez bien que j’ai besoin de ce travail. »
- « Très bien venez ici, je vais vous apprendre à mal faire votre travail »
Sylvie était debout, à côté de lui. Il la prit par le bras sèchement, la fit mettre à plat ventre sur son bureau et lui remonta la jupe sur le dos. Elle eut un mouvement de défense, le repoussa, mais il lui reprit le bras et insista.
- « Vous préférez la porte oui ou non, petite garce ? »
- « Non Monsieur, pitié ! »
- « Bien, c’est mieux ainsi pour toi. Tu comprends vite. »
Il prit une règle plate posée sur son bureau et commença à donner de petits coups secs sur chaque fesse.
- « Aïe ! Vous me faites mal ! »
- « Je vais t’apprendre moi à bien faire ton boulot, petite coquine. »
Il continua ses coups de règle, doucement, puis fort, voire très fort. Sylvie ressentait à la fois une douleur, mais aussi une certaine excitation. Le fait de se retrouver sur le bureau du patron, la jupe relevée et lui à la fesser avait quelque chose de très émoustillant
Son fessier commençait à chauffer grave !

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 8 Fév 2015 17:38

bonjour a tous
je suis de retour après avoir purgé ma suspension...

j'avoue que je ne comprends pas ce qui s'est passé car la photo, soi-disant "volée sur internet", je l'ai reçu par mail de Sylvie elle-même...
alors volée ? c'est possible, mais pas par moi...

je trouve dommage d'avoir été exclu sans préavis pour cette raison. En effet, il suffisait de m'envoyer un message en MP et j'aurais immédiatement retiré la photo en question.

Désolé, je ne comprends pas... Par contre, je ne vais plus oser poster de photos désormais.
Je crois que je vais me contenter des textes....
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 8 Fév 2015 17:50

Enfin, il posa sa règle, baissa la culotte jusqu’aux genoux, passa sa main entre les cuisses chaudes et continua de plus belle sa fessée, cette fois avec la main. Claque sur la fesse droite, claque sur la gauche et ainsi de suite pendant de longues minutes, frappant doucement puis plus fort, en alternant douceur et violence. De temps en temps, il lui frappait les fesses d’une main et lui triturait les tétons avec l’autre. Il y prenait apparemment un réel plaisir. Sylvie dut avouer qu’elle-aussi. Son arrière-train la brûlait, à présent.
- « C’est pour ton bien que je fais ça tu sais, pour que ton travail soit mieux fait ! »
- « Oui Monsieur, merci. Corrigez- moi, je le mérite. »
Il se mit à genoux derrière elle, lui fit écarter légèrement les cuisses et commença à lui laper la chatte à grands coups de sa langue toute humide, parcourant ses grandes lèvres de bas en haut, puis les petites, entrant la pointe de sa langue le plus profond possible tout en écartant au maximum ses fesses rougies pour mieux ouvrir son anus. Il attrapa le bouton gonflé entre ses lèvres et le suça, l’aspirant dans sa bouche comme pour l’avaler tout en introduisant un doigt, puis deux dans son vagin, son pouce dans son anus, en faisant de longs et rapides va et vient.
Sylvie mouillait à sentir sa liqueur couler sur ses cuisses. Cette langue si hardie qui lui léchait l’entre cuisse lui faisait perdre tout contrôle et lui faisait oublier tout le reste. Cet homme qui s’amusait tous les jours à la mater était à présent un délicieux amant.
Il se leva, baissa son pantalon et la fit mettre à genoux devant lui.
- « Suce petite truie, gobe bien mes couilles, je vais t’apprendre l’orthographe moi. »
Il mit son sexe en érection sur les lèvres de Sylvie et lui fit ouvrir la bouche. Il lui fourra une après l’autre ses parties intimes afin de bien se les faire gober et sucer. Ensuite, il fit entrer juste son gland au début, le fit entrer et sortir en quelques va et vient, le faisant aller et venir sur ses lèvres, puis enfonça sa queue toute entière jusqu’au fond de la gorge, ce qui eut pour effet de faire suffoquer la jeune femme et cracher de la bave. De la bave qui coulait de chaque coin de ses lèvres dégoulinantes, jusque sur son chemisier.
- « Vas-y cochonne, sort ta langue ! Lèche-moi bien le gland ! Hummmmm, t’es une bonne suceuse toi, t’es plus forte en léchage de bites qu’en écriture. »
Il la fit relever et remettre à plat ventre sur le bureau.
- « Je vais te saillir comme une chienne, te ramoner le cul et la chatte, te gicler dans la bouche, tu vas regretter tes fautes. »
- « Vous êtes sévère avec moi, Monsieur. »
- « Ne me résiste pas petite salope, sinon c’est le chômage pour toi ! Tu vas être une gentille fille bien sage et accepter ta punition… Il y a un moment que tu me chauffes à tourner du cul, à te baisser pour que je voie que tu ne portes pas de soutien-gorge, à croiser et décroiser tes cuisses quand tu ne portes pas de culotte, hummmmm tu m’excite depuis un moment petit vide couille ! Tu as un cul fait pour la saillie petite chienne ! »
Il lui écarta les cuisses d’un geste de son pied, présenta son gland à l’entrée de son vagin et la pénétra de son membre tout entier d’un grand coup sec. Il le fit entrer tout entier en elle d’un coup.
Sylvie avait l’impression que son ventre était en feu. Quelques va et vient dans sa chatte, puis quelques uns dans son anus….
Il alternait les pénétrations avec une rapidité incroyable. Elle se rendit compte qu’elle remouillait de plus belle, sentant sa chatte qui coulait le long de ses cuisses. Hummmmmm, c’était bon ce membre qui la labourait vigoureusement !
Tout en s’activant, il lui prit un sein dans chaque main, les malaxa, lui pinça les tétons en les faisant tourner sur eux même. Il la lima comme ça quelques minutes, sortit d’elle et la fit retourner, dos sur le bureau. Il lui prit une jambe dans chaque main et la pénétra de plus belle. Son sexe était énorme et son gland gonflé, prêt à exploser.
- « Hooooooo, hummmm, ouiiiiii, Monsieur, je vais, je vais jouir. »
Il fit sortir son sexe de celui de Sylvie pour replonger sa langue sur son clito. Il lui donna quelques rapides coups de langue, ce qui suffit à la faire jouir. Il n’en perdit pas une goutte.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 8 Fév 2015 18:57

- « Vas-y chaudasse ! Jouis, jouis encore ! Hummmmm, délicieux... Elle est bonne ta chatte ! T’a été une bonne fifille, tu vas avoir ce que tu mérites à présent.»
Il se releva brusquement, la fit remettre à genoux devant lui, mit sa queue devant sa bouche tout en la masturbant énergiquement.
- « Ouvre ta bouche ma chérie, ouvre grand »
A peine Sylvie avait-elle ouvert sa bouche qu’elle sentit de longs jets de sperme l’envahir. Avant qu’elle ne réagisse, il lui prit tête dans ses mains, lui fit refermer la bouche
- « Avale -tout, vas-y avale tout, bouffeuse de bites ! »
Sylvie eut un haut le cœur à cause de la quantité de sperme que ce vieux cochon venait de jouir dans sa bouche. Elle dut s’y reprendre en plusieurs fois pour tout avaler.
Ils reprirent doucement leurs esprits, puis il lui dit :
- « Bien, c’est très bien d’avoir accepté la punition. Dorénavant, ce sera comme ça. Ne remets pas ta culotte, donne-la moi ! Je passerai sous ton bureau tout à l’heure voir comment va ton petit minou. S’il faut te corriger pour que tu travailles comme il faut, compte sur moi ma belle… Je vais m’occuper de tes petites miches.»
Il reprit :
- « Concentrez- vous sur votre travail Mademoiselle sinon ce sera la correction. S’il vous faut une bonne fessée suivie d’une bonne sodomie, soit ! »
- « Oui Monsieur, je vais faire attention. »
Sylvie en venait à se demander si je ne préfèrerai pas la fessée finalement ainsi que la dureté de son membre plutôt que la dureté du travail bien fait.
Depuis ce jour- là, il prend un malin plaisir à la corriger à la moindre petite erreur de sa part, ne retenant même plus ses attouchements, n’hésitant pas les mains aux fesses quand il passe derrière elle ou à mettre la main dans son corsage quand elle travaille, pour lui tripoter les seins et faire bander ses tétons. Ce qui, bien sûr, lui fait faire des fautes d’orthographe et l’envoie à la correction.
Les punitions sont assez régulières et fréquentes. Assez variées dans les positions, mais Sylvie finit toujours dans le même état. Les fessées sont souvent très fortes.
Il ne manque pas d’imagination...

Patrick jeta un bref coup d’œil en direction des cuisses de la secrétaire. Elle portait des bas. Sa jupe était tellement courte qu’il apercevait la lisière de la jarretière. Il aurait aimé la basculer sur le bureau et lui administrer une fessée, comme le notaire l’avait fait avec Sylvie. Pourtant, il n’était pas du genre à mélanger sexe et travail et chassa cette idée saugrenue de son esprit.
Il prit un stylo et souligna les fautes sur le texte imprimé.
- « Vous me revoyez ce texte et vous me l’envoyez ! J’en ai besoin pour midi »
- « Bien monsieur, je vais faire de mon mieux… »
Il aurait eu envie de lui dire que, s’il restait la moindre faute, elle aurait droit à une correction, mais il n’en fit rien et se contenta de lui rappeler l’importance de ce document.
La journée lui parut longue. Ce n’est que vers 15 heures qu’il eut enfin des nouvelles de Sylvie. Elle était bien rentrée, mais avait beaucoup de travail et peu de temps à lui consacrer.
Il lui parla immédiatement de son bref dialogue avec Elodie.
- « Elle va venir. Elle voudrait que tu sois là quand elle sera à Bordeaux… »
- « Je sais, elle me l’a déjà écrit… »
- « Tu pourras revenir ? Ce serait merveilleux….»
- « Oui, elle est aussi cochonne que moi ! Cette salope m’a demandé l’adresse mail de mon beau-fils pour le draguer… »
- « Ah oui, c’est vraiment une cochonne ! Tu crois qu’elle va réussir à le mettre dans son lit ? »
- « J’en suis sure ! Pierre adore les femmes plus mures et il ne résistera pas longtemps»
- « Mais elle est à Lyon… »
- « Il n’hésitera pas à faire le voyage… Au fait, merci pour ton gentil mail… »
- « C’est normal, tu me fais complètement craquer ma chérie. Si tu savais comme j’aimerais vivre avec toi !».
- « Ne t’emballe pas mon cœur ! Je ne suis pas une femme pour toi… Je suis une soumise, j’appartiens encore à mon mari et je ne suis pas la femme d’un seul homme… »
- « Mais tu me rendrais heureux… »
- « Je ne crois pas bébé. Profite plutôt de moi quand tu peux, c’est déjà bien… »
- « Oh oui, c’est bien ! Mais promets-moi que tu reviendras vite… »
- « Je te promets d’essayer… Mais là, il faut que je me remette à bosser, sinon je vais avoir droit à une correction. »
Patrick repensa aux fesses rougies de Sylvie. Il la laissa reprendre ses activités et se remit au boulot lui aussi.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 10:39

Environ une heure plus tard, il reçut un mail d’Elodie. Il l’ouvrit et lut le texte.

De : Elodie
Objet : Ta photo
Date : 22 Octobre 2013 16 :05
A : Patrick

Coucou bb,

J’ai fait la photo que tu m’as demandée ce matin.
C’est un interne qui l’a prise. Je lui ai fait une bonne pipe pour le remercier.
J’ai trop envie d’être dans tes bras.
Je vais venir pour Noël.
Bisous partout




Patrick passa un long moment à regarder la photo envoyée par Elodie. Oui, vraiment, elle était aussi cochonne que Sylvie. Peut être même encore plus !
Il fallait qu’il arrive à convaincre Sylvie de revenir avec elle. Absolument !


à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 10:48

Retour en Lorraine.

Depuis qu’elle était rentrée à Metz, Sylvie retrouvait la routine de la vie quotidienne. Sa vie de tous les jours n’était pas forcément facile. Depuis que David l’avait quittée pour une autre, elle assumait seule l’entretien et le fonctionnement de leur maison.
Sa situation n’était pas claire. La semaine, elle vivait avec Pierre. Le fils de son mari avait choisi de rester avec elle quand son père était parti avec une autre. Il était devenu son amant régulier, couchait avec elle chaque fois qu’il en avait envie, mais n’en était pas moins pour autant un coureur de jupons, comme son père. A 19 ans, c’était un amant performant. Il avait une copine régulière, Isabelle, une jeune fille blonde de 23 ans avec de beaux yeux bleus et un charmant sourire. Sylvie la trouvait très séduisante et l’aurait bien mise dans son lit. Pierre, lui, n’était pas vraiment heureux avec elle. Lorsqu’il faisait l’amour à Sylvie, il lui disait qu’avec elle c’était beaucoup mieux. Qu’il préférait les femmes plus mûres. Sylvie avait d’ailleurs compris que, s’il restait avec Isabelle, c’est qu’il avait des visées sur sa mère. Il voulait se la faire ! Après, il changerait probablement de copine…
Elle était bien avec lui, mais elle voulait qu’il avance. Elle ne voulait pas qu’il reste bloqué sur celle qui était devenue quasiment sa mère. Que faire ? Retourner voir un psy pour essayer de faire bouger les choses ?
Un soir, il lui avait fait l’amour sur le canapé, devant la télévision. Sylvie avait alors repensé à la manière dont un psychologue avait influé sur leurs relations.

Ding dong ! Sylvie avait sonné à la porte du cabinet où plusieurs praticiens étaient installés.
Elle se dirigea vers la secrétaire.
- « Bonjour madame. »
- « Bonjour, vous avez rendez-vous ? »
- « Oui, à 14 h avec le docteur D. »
- « Allez dans la salle d’attente, le docteur vous appellera. »
- « Merci »
Environ 10 minutes plus tard, un homme était venu les chercher.
- « Madame R ? »
- « Oui »
- « Je suis le docteur D, venez. ».
Ils l’avaient suivi dans son bureau. Sylvie était accompagnée de Pierre qui vivait encore avec elle depuis sa séparation.
Sylvie avait décidé de consulter un psychologue, depuis la nuit où Pierre l’avait pénétrée et avait joui à l’entrée de son vagin, alors qu’ils dormaient ensemble.
- « Je vous écoute», commença le docteur.
- « Et bien voilà. J’ai décidé de faire appel à vous parce que depuis quelques temps, mon fils Pierre a des comportements bizarres en vers moi. »
- « Ah oui ? Et de quel genre ?
- « Eh bien, de genre sexuel, docteur. Une nuit, je l’ai laissé dormir avec moi car il y avait un fort orage, et il m’a dit qu’il avait peur. Seulement, il a profité de mon sommeil pour, comment dire, pour me pénétrer et se soulager. »

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar Porno de luxe » Lun 9 Fév 2015 11:08

toujours ces merveilleux récits, si bien écrit, il serait consternant que tout cela s'arrête...
jacques, le mari d'Anne qui a été l'héroïne d'un récit précédent.
Porno de luxe
 

Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 11:16

Merci Jacques pour tes encouragements...

A bientôt j'espère...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 11:19

- « Bien, je vois. Et bien écoutez madame, il est très courant que les jeunes hommes aient des comportements de la sorte en vers leur belle-mère. Vous ne devez pas le repousser sous crainte de le frustrer, ce qui serait nocif pour son avenir. Au contraire, encouragez-le, laissez-le vous voir nue dans la salle de bain, c’est à vous de faire des efforts, s’il veut que vous le masturbiez ou vous demande une fellation ne le repoussez pas, branlez-le ! Sucez-le bien à fond ! Faites-le jouir ! Vous êtes là pour lui apprendre… »
- « A bon, heu, vous êtes sur docteur que c’est la meilleure façon ? »
- « Mais, bien sûr, croyez-moi ! »
- « Alors, Pierre, raconte-moi, tu as souvent envie de faire l’amour avec ta belle-mère ? Tu n’a pas de petite copine ? »
- « Oui docteur, très souvent. Le matin, quand je me lève et que j’ai mon sexe en érection, je vais voir ma mère, souvent devant son évier à cette heure, je me colle derrière elle, tout contre elle pour bien lui faire sentir mon envie. »
- « Et comment réagit-elle ? »
- « Eh bien elle ne bouge pas et attend que j’aille m’asseoir. »
- « Et ensuite, que fais-tu ? »
- « Eh bien maman vient me servir mon café au lait. J’attends qu’elle se penche pour servir et je regarde dans l’entrebâillement de son peignoir pour voir ses seins. Ensuite, je bois mon café au lait, je vais dans la salle de bain et j’essaie que maman me surprenne en train de me masturber pour l’exciter. »
- « Et ça marche ? »
- « Non, elle refuse toujours quand je lui demande de me tripoter, de me branler, quoi. »
- « Eh bien voyez-vous madame, c’est justement ce qu’il ne faut pas faire. Vous êtes une mauvaise mère en agissant de la sorte. Vous devez le satisfaire. »
Il regarda Sylvie puis reprit.
- -« Nous allons mettre en place une thérapie. »
Il poursuivit.
- « Pierre, je vais te demander d’enlever ton pantalon ainsi que ton slip et de te rassoir. »
Pierre s’exécuta sans rien dire.
- « Bien, madame à présent, prenez son sexe dans votre main et caressez-le lentement. »
- « Mais enfin docteur… »
- « Faites ce que je vous dis ! »
Sylvie prit donc le sexe de Pierre dans sa main et commença à le caresser. Plus elle le caressait, plus il grossissait. Il était à présent en pleine érection.
- « Bien, à présent, mettez-vous à genoux devant lui et faites lui une fellation. »
Au point où elle en était, Sylvie s’exécuta. Elle s’agenouilla donc devant Pierre, et tout en continuant de la masturber, elle fit entrer la verge dans ms bouche et entreprit une fellation. C’était la première fois qu’elle lui faisait et il avait l’ère d’apprécier le cochon !
Tout en suçant mon fils, Pierre, Sylvie tourna machinalement la tête vers le docteur et remarqua que, monsieur, avait baissé la braguette de son pantalon, sorti son sexe et était en train de s’astiquer tout en la regardant. Elle voulut tout arrêter de suite vu la tournure que cela prenait.
- « Continuez madame, continuez. » avait-il clamé d’une voix ferme.
Le sexe de Pierre était bandé comme un arc et son gland était gonflé, prêt à exploser.
Tout en continuant sa fellation, Sylvie sentit sa jupe se soulever derrière elle, sa culotte descendit et un doigt commença à lui masturber le clito. Son bon docteur s’était donc mis à genoux derrière elle, avait relevés sa jupe, baissé sa culotte et était en train de la masturber. Elle était trempée ! Tout d’un coup, elle sentit son sexe en érection se présenter devant son vagin et commencer à la pénétrer doucement. Puis, elle avait senti deux grosses mains lui empoigner la peau des reins et, d’un coup presque brutal, il lui rentra tout son sexe.
- « haaaaaaaa, hummmmmmmm ouiiiiiiiiiiiiiiiiii c’estttttttt bonnnnnnnnn hummmmm, docteur……….encore plus fort, hah hummmmmmmmmm ouiiii. »
Quelle cochonne elle était ! Sylvie était en transes. Elle n’était plus elle-même, elle avait perdu tous ses moyens, tous ses repères. Elle dégoulinait de plaisir.
Pendant que le bon docteur vicelard était en train de la labourer vigoureusement de son membre fortement durci, diable qu’il bandait bien malgré son âge (environ 60 ans) et dur le bougre , elle sentit le sperme de Pierre lui envahir la gorge. Elle reçut plusieurs giclées de sperme tiède.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 11:37

A peine avait-elle tout avalé, qu’elle sentit à son tour le bon docteur se soulager, lui tartinant son sperme sur les fesses. Il venait de lui gicler dessus quasiment jusqu’au milieu du dos. Pas mal pour un homme de son âge !
Ensuite ils se rhabillèrent et retournèrent s’asseoir au bureau du docteur baiseur, chacun à sa place.
- « Bien, dit- il en remontant sa braguette le sexe encore dur. C’est une première séance assez concluante, ma secrétaire va vous donner un prochain rendez-vous afin que nous poursuivions le traitement mis en place. En attendant, comme je vous l’ai dit, ne repoussez pas votre fils, faites ce qu’il vous demande, peu importe ce que c’est, voir provoquez le, soyez sexy, bandante afin qu’il jouisse pleinement de son adolescence. »
- « Bien, merci docteur, je vais suivre vos conseils, bonne journée à bientôt. (humm vieux cochon oui) »
Après avoir pris le prochain rendez-vous auprès de la secrétaire, Sylvie et Pierre sortirent du cabinet, prêts à vivre plus librement leur relation.

Depuis qu’il les avait mises en contact, Sylvie et Elodie correspondaient régulièrement. Sylvie lui avait, bien sûr, parlé de ses relations avec Pierre. Cette cochonne d’Elodie avait tout de suite flairé le bon coup et lui avait demandé les coordonnées de ce jeune baiseur performant.
Peu de temps après, Pierre l’avait informée par mail que l’infirmière l’avait contacté. Elle se dit que, si Elodie insistait un peu, il ne tarderait pas à faire le voyage jusqu’à Lyon pour la sauter !
Quand elle raconta cette histoire à Patrick, une idée germa rapidement dans son esprit Et si Sylvie en profitait pour rejoindre Elodie et venir à Bordeaux avec elle ?
Un jour de la semaine, Sylvie avait échangé plusieurs mails avec Patrick comme elle en avait désormais pris l’habitude. Patrick s’était mis à l’exciter et elle avait avoué que sa culotte était toute mouillée. Il lui avait demandé d’aller la retirer aux toilettes et d’aller déjeuner sans culotte.
Sylvie lui avait obéi avec excitation, sans savoir que ce geste allait provoquer une chose inattendue.
Au retour du déjeuner, Sylvie s’étaient empressée de raconter à Patrick ce qui lui était arrivé.

Elle était sortie déjeuner avec une collègue, un peu plus jeune qu’elle. Elles papotaient, plaisantaient… Dans la conversation, elles parlaient de mecs, quand Sylvie lui a sorti, sans savoir pourquoi :
- - « Tu sais que je n'ai pas de culotte ? »
Elle avait failli s'étouffer et lui avait dit
- « Non, tu déconnes ? »
- « Ben non » avait répondu Sylvie.
Elles étaient allées aux toilettes. Elle voulait la preuve…
Sylvie pensait qu'elles retourneraient tout de suite à table. Mais Cathy, sa collègue, lui dit.
- « Purée, tu as une belle chatte ! »
Puis elle approcha sa main et donna une caresse sur ce sexe qui lui plaisait tant. Stupéfaite, Sylvie n’avait pas bougé. Elle lui dit dans la foulée :
- « Ben et toi ? Montre !»
Cathy baissa son pantalon et son slip. Sylvie n’avait pas pu résister et avait touché aussi. Du coup, elles s’étaient doigtées un peu, mais pas assez longtemps pour jouir.
Il leur fallait revenir au travail, mais Sylvie était trempée et Cathy aussi.
- « Je pensais pas du tout qu'elle était comme ça celle là. WHOUAOUUUUUU. ! » s’était dit Sylvie.
Une fois revenues au bureau, les deux jeunes femmes échangèrent des regards coquins et complices, puis Sylvie reçût un message de sa collègue :

« Hello Sylvie, je t’envoie un petit message parce que je me sens toute bizarre depuis ce qui s’est passé à midi. Je ne sais pas trop ce qui m’a pris… Enfin bref, tout ça pour te dire que j’ai adoré. Dommage qu’on n’ait pas eu plus le temps... Surtout, n’en parle pas au bureau ! Gardons ça pour nous !
Par contre, si tu veux approfondir, on pourrait se rencontrer hors du bureau.
Sache que j’ai kiffé de toucher ta chatte, te doigter, sentir ta main sur la mienne. Je n’avais jamais ressenti ça avant, puis ça c’est fait tellement vite... Bon, réfléchis, on se voit demain. Bisous Sylvie. Cathy. (Je t’écris, je n’aurais jamais osé te le dire en face, c’est fait) »

Le lendemain, Sylvie était sortie déjeuner avec Cathy. Elles avaient pas mal parlé au restaurant. Apparemment, sa collègue n’avait jamais vraiment eu de relation saphique, mais cela la tentait depuis un temps. L’occasion s’était présentée, pour elle, la veille, quand elle avait vu l’intimité de Sylvie. Elles avaient beaucoup parlé des relations lesbiennes.
Cathy avait demandé à sa collègue si elle l’avait déjà fait avec une femme et comment c’était ce genre de chose. Sylvie lui avait avoué sa bisexualité.
Cathy avait confié que cela la titillait depuis un moment mais qu'elle n'osait pas franchir le pas et, qu’en voyant sa chatte, elle n'avait pas pu résister.
Sylvie l’avait rassurée. Lui avait dit que, si elle voulait tenter l’expérience, elle était d’accord et que cela resterait entre elles. Elle avait répondu qu’elle allait y réfléchir.
En sortant, elles étaient montées dans sa voiture. Elles s’étaient roulé des patins en mettant bien la langue. Cathy avait passé sa main sous le chemiser de Sylvie, lui avait caressé les seins à travers son soutien-gorge, mis la main entre les cuisses jusqu'a sa culotte. Sylvie l’avait laissée faire, mais cela s’était arrêté là. Elles étaient sur le parking !
Depuis, au bureau, Cathy n’arrêtait pas de me regarder Sylvie en souriant avec un regard complice. Il restait à voir où et quand, mais les choses allaient se faire rapidement entre elles. Sylvie le savait déjà.

Patrick l’avait, bien sûr, encouragée à prendre du plaisir avec sa collègue. Depuis qu’elle était venue passer ce week-end à Bordeaux, il avait compris à quel point elle aimait les femmes. Il avait vraiment très envie de la revoir avec Elodie. Ces deux vraies cochonnes semblaient bien s’entendre et il lui restait beaucoup de fantasmes à assouvir.
Elodie semblait vraiment décidée à le rejoindre. Il lui restait un mois pour convaincre Sylvie de revenir…

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 12:43

L’arrivée à Lyon.

Elodie s’était enfin décidée à venir voir Patrick à Bordeaux. Au début, Cyril, son mari, voulait absolument l’accompagner. Ils étaient un couple très libre. Cyril savait qu’il ne pouvait pas subvenir aux besoins sexuels démesurés de son épouse. Il la baisait régulièrement, mais pour Elodie, ce n’était jamais assez. Elle se faisait baiser à l’hôpital par de jeunes internes. Un de ses amis d’enfance venait la sauter dès que son mari s’absentait quelques jours, mais avec Patrick c’était différent. Les histoires qu’il écrivait, les mots qu’il utilisait dans ces messages la faisaient mouiller régulièrement.
Au début, elle avait promis à Patrick qu’elle viendrait le voir un jour. Elle le tenait en haleine pour qu’il continue à lui envoyer des textes, qu’il l’excite au point de la faire jouir lors de leurs tchats endiablés. Peu à peu, l’envie de vivre ces fantasmes avec celui que son mari avait mis en contact avec elle, était devenue réelle et de plus en plus prégnante.
Ils s’étaient communiqué leurs téléphones respectifs et avaient, tout d’abord, échangé des sms. Puis, ils s’étaient téléphoné.
Patrick l’avait convaincue de venir. Comme elle avait bien dragué Pierre, le beau-fils de Sylvie. Ils avaient convenu qu’il viendrait la voir un week-end à Lyon. Elodie demanda à Sylvie de l’accompagner, puis de venir avec elle à Bordeaux.
Sylvie était un peu réticente, mais finalement, elle se dit que le voyage de Pierre était un bon prétexte. David, son mari, n’allait pas être content si elle n’était pas à disposition quand il rentrait, mais il ferait moins de scandale si elle était partie avec Pierre que s’il ne savait pas où elle était.
Bien qu’ils soient divorcés, David considérait qu’elle était toujours à lui, qu’elle était sa chose. Quand il rentrait, il la voulait sexuellement à sa disposition.

Sylvie se souvenait de sa dernière visite. Après le repas, elle était en train de faire la vaisselle quand il était venu derrière elle. Sans rien lui dire, il s’était collé contre ses fesses et avait relevé sa robe. Elle avait l’habitude qu’il vienne la tripoter et se laissa faire en poursuivant ses tâches ménagères.
David avait le sexe raide et colla sa queue bien dure contre les fesses de Sylvie. Il les écarta et posa son gland contre la rondelle offerte. Sans un mot, il donna un coup de rein et la pénétra sans ménagement. Sylvie poussa un cri de surprise et faillit casser une assiette, mais elle se laissa faire.
David était très macho et il la baisait quand il en avait envie, où il en avait envie. En général, c’était 10 à 12 fois par week-end. Souvent entre 3 et 5 fois par jour. Elle n’avait rien à dire, elle devait être disponible, c’est tout !
Il lui avait beaucoup appris et fait connaitre les clubs, les partouzes, la domination. Il l’offrait parfois pour un service ou un autre, ou tout simplement pour son plaisir.
Elle avait du terminer sa vaisselle avec une bite qui lui pilonnait le cul. Ce n’était pas une chose facile. Sylvie trouvait que leurs relations devenaient de plus en plus bestiales. Parfois, elle en avait assez, mais elle lui était restée soumise et acceptait tout ce qu’il lui faisait subir.
Elle se souvenait d’un jour où il l’avait pénétrée longuement. Il lui avait défoncé la chatte comme un malade, puis, au moment de jouir, il s’était retiré et avait éjaculé sur son petit trou.
Rebandant immédiatement, il s’était servi de son sperme comme lubrifiant pour la sodomiser immédiatement. Ce jour là, Sylvie avait trouvé la situation follement excitante. Elle avait joui avec force.
C’était pour des moments comme celui-ci qu’elle restait avec lui.

Sylvie téléphona à David sur son portable. Bien qu’il soit en train de se faire sucer par une auto-stoppeuse qu’il avait embarquée deux heures plus tôt. Il décrocha.
- « David, c’est toi ? »
- « Oui. Tu veux quoi ? »
- « Te dire que si tu rentres je ne serai pas là… »
- « Ah non, et tu vas où ? »
- « Je pars avec Pierre… »
- « Il me fait chier ce petit con ! Vous allez où ? »
- « A Lyon, voir des amis… »
- « Bon, t’as bien fait de me prévenir en tous cas… »
Sous ses airs de macho intraitable, David était plutôt gentil avec Sylvie.
- « Vous ferez gaffe sur la route », reprit-il
- « Ne t’inquiète pas, Pierre conduit bien… »
A ce moment là, elle entendit une voix féminine dans la cabine.
- « T’es pas seul ? »
- « Non, j’ai pris une auto-stoppeuse… »
- « Salop ! Je vais encore trouver des petites culottes sales dans ton camion ! »
- « Ca se pourrait » répondit simplement son mari en portant le string de la jeune femme qui le suçait à ses narines.
Sylvie était en colère. Elle en avait vraiment assez du fétichisme de ce mec qui la sautait quand il en avait envie. Elle raccrocha sans même lui dire au revoir.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 15:48

Cela lui vaudrait sans doute une bonne fessée quand elle le retrouverait, mais une fois la colère passée, elle sentit sa culotte se mouiller rien qu’à l’évocation de ses fesses rougies. Il n’y avait rien à faire, elle l’avait dans la peau !

Elle partit avec Pierre un matin très tôt. Le jeune homme avait très envie de se taper Elodie, qui les avait convaincus tous les deux de venir la voir à Lyon. Il avait profité d’un déplacement professionnel pour rejoindre l’ancienne capitale des Gaules, au confluent du Rhône et de la Saône.
Sylvie avait conduit une partie du trajet et ils ne s’étaient pratiquement pas arrêtés en route.
Une fois à Lyon, ils rencontrèrent quelques bouchons pour traverser le tunnel de Fourvière. Sylvie avait téléphoné à Elodie qui travaillait encore ce jour là. Pierre avait rendez-vous avec une agence de publicité pour laquelle il devait faire une série de clichés dans le parc de la Tête d’Or, puis dans quelques endroits symboliques du vieux Lyon.
Comme il craignait d’être en retard, il laissa Sylvie à l’hôpital où travaillait Elodie. Il rejoindrait les deux femmes, impatientes de se connaître, une fois ses clichés terminés.
Sylvie rejoignit Elodie dans son service. C’était la première fois que les deux femmes se voyaient, mais elles savaient que leurs envies à toutes les deux étaient aussi cochonnes. Dès qu’elles furent seules, Elodie roula une pelle à Sylvie et passa la main entre ses cuisses.
- « Je n’en ai plus pour longtemps », dit la belle infirmière. « Je termine dans moins d’une demi-heure… »
- « T’en fais pas, je t’attends dans le couloir »
Lorsqu’Elodie eut terminé de faire la tournée des chambre de ses patients, elle passa devant Sylvie et la prit par la main.
- « Viens », lui dit-elle. « Je vais me changer et on file… J’ai trop envie de toi !»
Sylvie la suivit dans le petit vestiaire où elle se changeait tous les jours. Elle retira sa tunique et son pantalon blancs. Dessous, elle était nue. Elle s’approcha de celle avec qui Patrick l’avait mise en contact. La jeune femme brune posa ses mains sur les seins d’Elodie et les soupesa. Avec un tour de poitrine de 95, elle était bien pourvue. Ses mamelons étaient plus larges et sombres que ceux de Sylvie.
Entièrement nue, elle vint se coller contre la bouche avide qui la téta immédiatement. Malgré le risque d’être surprise, Elodie avait envie de plus.
- « Bouffe-moi la chatte ! » dit-elle d’une voix rauque. « J’en ai envie depuis trop longtemps ».
Sylvie ne se fit pas prier. Elle fit asseoir Elodie et lui releva les jambes et plongea entre ses cuisses ouvertes. Elle passa sa langue sur les lèvres humides de ce sexe avide comme pour en prendre le goût.

Sylvie se rendait compte qu’elle aimait de plus en plus les femmes. Sa dernière aventure était celle qu’elle avait connue avec Cathy, sa collègue de bureau. C’était un jour où Patrick l’avait particulièrement chauffée en lui envoyant des photos et des films excitants.
Ce jour là, elle n’en pouvait plus. A midi, elles étaient parties déjeuner toutes les deux et Sylvie l’avait prise par la main et l’avait entrainée aux toilettes. Elles s’étaient enfermées dans une des cabines et elle l’avait immédiatement léchée.
Son goût était délicieusement sucré. Elle s’était régalée…

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 9 Fév 2015 18:52

Le sexe d’Elodie avait un goût moins doux que celui de Cathy, mais excellent. Sa saveur était un peu poivrée et surtout, elle mouillait énormément.
Sylvie se régala. Sa langue experte remonta vers le clitoris qui était gros et gonflé. Elodie lui prit la tête et la plaqua contre elle.
- « Oui, c’est bon… Bouffe-moi bien grosse cochonne ! »
Elle jouit en moins d’une minute et se rhabilla rapidement. Cela commençait plutôt bien entre les deux et promettait du bon temps.
Une fois dans la voiture d’Elodie, celle-ci demanda à Sylvie si elle aimait l’exhibe. La belle brune sourit et lui répondit qu’évidemment, elle prenait beaucoup de plaisir à faire bander les mecs. Très joueuse, l’infirmière lui proposa immédiatement un défi.
- « T’es chiche de retirer ta jupe ? » demanda-t-elle. « On va s’arrêter pour demander notre chemin à un mec. Il va bander comme un malade en voyant ta chatte… »
- « Toi alors ! Ca t’arrive souvent ce genre de petit jeu ? »
- « Toute seule, je n’ose pas trop… Si mon mari s’occupait un peu plus de moi et moins de sa PS3 ! »
- « Avec ce que prévoit Patrick, tu devrais te régaler alors… »
- « J’y compte bien ! Mais on va commencer toutes les deux… »
Sylvie retira entièrement sa jupe et ne garda que son string. Elodie lui caressa les cuisses et s’arrêta peu de temps après, juste à côté d’un mec charmant qui devait avoir la quarantaine.
- « Pardon, je peux vous demander où se trouve l’avenue Berthelot ? » demanda Elodie.
- « Oui, bien sur… »
Il s’approcha de la voiture et se rendit compte de la tenue de Sylvie. Elodie, tout en lui parlant, avait glissé sa main droite dans le string et caressait doucement le clitoris de sa passagère. L’homme, qui avait l’air un peu guindé, faillit s’étrangler. Cependant, il ne dit rien, mais prolongea ses explications au delà du raisonnable, afin de bien pouvoir mater à sa guise cette splendide chatte épilée offerte à son regard.
Elodie et Sylvie regardaient à hauteur de la braguette du passant interloqué et voyaient une bosse de plus en plus grosse déformer son pantalon. Lorsqu’il se fut enfin éloigné, elles éclatèrent de rire et s’embrassèrent à pleine bouche.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mar 10 Fév 2015 10:23

Une fois arrivées dans l’appartement d’Elodie, Sylvie et sa nouvelle amie n’en pouvaient plus. C’est dans le couloir de l’entrée qu’elles se déshabillèrent et elles étaient entièrement nues quand elles arrivèrent dans la chambre. Elodie plongea entre les cuisses de Sylvie et dégusta son merveilleux abricot dont elle avait tellement envie. Ne voulant pas être en reste la splendide brune se mit au dessus d’elle et mit, elle aussi son visage entre les cuisses d’Elodie. Elle était inondée…
Elles partirent dans un 69 des plus excitants et jouirent presque simultanément. Toutes les deux avaient envie de faire l’amour ensemble depuis leurs premiers échanges de mails. Elles gémissaient, grognaient si fort qu’elles n’entendirent pas rentrer Cyril, le mari d’Elodie.
- « C’est quoi ce bordel ? » se mit-il à hurler en trouvant dans le couloir un string, une jupe, un chemisier… « C’est toi Elo qui a laissé trainer tes fringues ? »
- « Merde ! » s’exclama Sylvie. « C’est ton mari qui vient de rentrer… »
- « On s’en fout ! Je l’emmerde ! » répondit Elodie en poursuivant ses coups de langue sur le clitoris de Sylvie.
Cyril entendit des gémissements qui venaient de la chambre. Il n’avait pas fait attention aux affaires gisant dans le couloir et ne se doutait pas qu’il allait trouver son épouse avec une autre femme.
Il ouvrit la porte de la chambre et trouva Elodie en pleins ébats avec Sylvie. La brune que sa femme avait ramenée à la maison avait vraiment un cul splendide.
Il s’arrêta sur le pas de la porte et les observa un moment sans rien dire, puis il sortit son sexe et commença à se masturber.
- « Hum, comme j’aime le goût de ta chatte ! » dit Elodie. « J’ai envie de te bouffer le cul aussi, tourne-toi !»
Sylvie pivota et se trouva nez à nez avec Cyril. Elle voulut se relever, cacher sa nudité, mais Elodie lui maintenait fermement les hanches et sa langue partait à l’assaut de son petit trou.
- « Cyril, fous-nous la paix ! Va jouer avec ta PS3 ! »
- « Hé, mais ça va pas ! » protesta-t-il.
- « Bon, Sylvie, suce-lui la queue qu’il nous foute la paix ! »
Comprenant que, sans insister il aurait droit à une gâterie de la part de la magnifique brune, il s’avança et Sylvie happa son sexe. Elle lécha le gland doucement, puis se mit à le pomper avec vigueur. Pendant ce temps, Elodie lui faisait une feuille de rose avec beaucoup d’application.
Cyril jouit rapidement et son sperme macula le visage de Sylvie. Trop content d’avoir eu droit à ce traitement de faveur, il rangea son engin dans sa braguette et fila dans le salon.
Les deux jeunes femmes reprirent leur 69 et jouirent une fois encore, puis elles prirent une douche toutes les deux et se rhabillèrent pendant que le mari d’Elodie ne décollait plus de sa console.

Elles rejoignirent Pierre à l’hôtel où Elodie leur avait réservé une chambre. Le jeune homme était déjà rentré de sa séance photo. Il avait pris une douche et attendait en peignoir.
Il était de mauvaise humeur car la fille qui avait posé pour lui avait refusé ses avances. Elle était très mignonne et lui plaisait beaucoup, alors il n’était pas content.
Elodie s’approcha de lui et l’embrassa sans détour. Elle fit glisser le peignoir et il se retrouva nu en moins de deux minutes. Sans attendre, l’infirmière s’agenouilla et prit son sexe en bouche. Pierre se tourna vers Sylvie et lui sourit, comme pour lui faire comprendre que sa copine suçait très bien.
Elle se déshabilla tout en poursuivant sa fellation. Elle entraina ensuite le jeune homme sur le lit et lui présenta sa croupe relevée. Pierre la pénétra immédiatement. Elodie était déjà trempée et poussa un gémissement de plaisir. Il écarta ses fesses et vit son anus qui se dilatait. Sans hésiter, Pierre posa son gland sur l’œillet de ce cul dont il avait envie.
Sylvie ne résista pas longtemps. Elle les rejoignit sur le lit et embrassa Elodie, puis elle se mit à côté d’elle, dans la même position. Pierre contempla sa chute de rein qui lui faisait toujours autant d’effet. Sans hésiter il la sodomisa à son tour et se mit à passer d’un trou à l’autre.
Ces deux cochonnes le faisaient vraiment bander. Sa queue raide et vigoureuse était faite pour les femmes mures. Elles étaient tellement plus débridées que les filles de son âge ! Baiser sa belle mère et une de ses amies, c’était vraiment le pied !
Quand elles sentirent que Pierre allait jouir, elles se retournèrent. Elles voulaient profiter de la semence sur leur visage. Il éjacula sur leurs bouches réunies et vit son sperme gicler sur leurs langues tendues.
Comme il les trouvait belles ces salopes matures qui se partageaient sa jouissance ! Elles lui avaient complètement fait oublier cette fille qui s’était refusée à lui.
Pendant que le jeune homme récupérait, Sylvie et Elodie se firent jouir mutuellement, puis tous se retrouvèrent dans la salle de bains. La douche fut l’occasion de nouveaux attouchements, mais Pierre se contenta de les tripoter. Ils iraient diner tous les trois et il savait qu’elles passeraient toutes les deux la nuit avec lui…

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mar 10 Fév 2015 15:00

Le voyage à Bordeaux.

Le lendemain matin, les deux femmes s’étaient levées tôt, bien avant Pierre. Elles prirent une douche rapide et quittèrent la chambre avec les bagages de Sylvie. Elles passeraient chercher les affaires d’Elodie et prendraient le train à la gare de Lyon-Perrache, en direction de Bordeaux.
Le train partit à 8 heures 06, avec quelques minutes de retard. Le trajet était long et laborieux. Les lignes transversales étaient toujours autant délaissées par la SNCF.
Elles avaient pris place dans le dernier wagon, celui où il y avait le moins de monde. C’était un de ces vieux trains avec des compartiments. Fatiguées par leur nuit avec Pierre, elles s’endormirent toutes les deux.
Quand elles se réveillèrent, la plupart des passagers étaient descendus du train et de nouveaux étaient montés.
Pas très loin du siège sur lequel elles étaient installées, deux hommes assez jeunes et plutôt séduisants étaient montés à la gare précédente. Elodie les remarqua rapidement.
- « Comment tu les trouves ces deux là ?» demanda-t-elle à Sylvie.
- « Pas mal… »
- « Si on les allumait un peu ? T’as pas faim ? On va se faire inviter à la voiture bar…»
- « Tu es vraiment une incorrigible cochonne ! »
- « Oui ! »
Elodie commença par défaire plusieurs boutons de son chemisier. Le plus grand des deux hommes ne manqua pas de le remarquer. Elle ouvrit un peu plus le chemisier et caressa ses seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge.
- « Regarde la fille là-bas !» dit-il à son voisin.
- « Hum, excitant ! Mais je préfère l’autre… »
- « Pas moi ! Tu viens, on les invite au bar ? »
- « D’accord ! »
Ils se levèrent et s’approchèrent des deux passagères qui n’avaient pas l’air farouche.
- « On va au bar, vous nous accompagnez ? »
- -« Avec plaisir » répondit Elodie en se levant sans prendre la peine de refermer complètement son chemisier.
Elle se frotta comme une chatte contre le plus grand des deux hommes, faisant monter son désir. Sylvie coula un regard envoutant à l’autre.
Il était évident qu’elles n’auraient aucun mal à se faire inviter.
Effectivement, les deux hommes les conduisirent à la voiture bar et elles purent commander ce qu’elles voulaient. Une fois de retour dans leur wagon, les deux hommes, qui n’étaient pas très entreprenants, n’osèrent pas les draguer franchement et se contentèrent de quelques caresses furtives. C’est avec une certaine frustration qu’elles reprirent leurs places.
- « Tu es chiche de leur offrir une belle exhibe ? » demanda Elodie à sa voisine.
- « Pourquoi pas ? » répondit Sylvie après avoir vérifié qu’ils étaient seuls dans le wagon.
Sylvie commença à écarter lentement les cuisses. Elle fit remonter sa jupe, laissant entrevoir le haut de ses Dim-Up aux deux hommes qui n’en revenaient pas. Sa main remonta vers son pubis et elle caressa la culotte presque transparente qu’elle portait ce jour-là. Avec une lenteur calculée, ses doigts agiles triturèrent sa fente de plus en plus humide à travers la fine étoffe. Sa splendide chatte épilée était de plus en plus visible, mais aucun des deux passagers n’osait bouger. Elle posa les pieds sur la banquette qui lui faisait face et commença à frotter la braguette de chacun des voyeurs avec ses deux pieds.
L’un d’eux se décida enfin à réagir. Il posa sa main sur la jambe de Sylvie et remonta le long de ses bas. L’autre décida de l’imiter. Ils lui retirèrent ses chaussures et sortirent enfin leurs queues, malgré la peur d’être surpris. Chacun des pieds de Sylvie s’activa sur une des queues qui commençait à durcir.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 11 Fév 2015 10:01

J'aimerais avoir votre avis....

J'ai créé un sondage pour savoir quelle est la position du KAMASUTRA préférée par les femmes...
Peu de réponses pour l'instant... Mesdames, et vous messieurs qui connaissez bien votre partenaire, donnez votre avis.

http://www.candauliste.com/kamasutra-la-position-preferee-des-femmes-t15019-10.html
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 11 Fév 2015 10:12

Elodie la regardait faire, mais elle crevait d’envie de se mêler à ces jeux érotiques. Finalement, ce fut elle qui retira sa culotte et offrit la première la vision de son sexe épilé. Sylvie l’imita rapidement. Chacune se mit à branler la queue du voyageur assis en face d’elle avec ses pieds. Avec un ensemble parfait, elles firent jouir leurs partenaires presque au même moment. Le sperme gicla sur les pieds nus d’Elodie et sur les bas de Sylvie. Chacune fit lécher à l’autre les coulées de semence blanche qui dégoulinaient sur ses orteils. Ces deux cochonnes savaient, décidément, exciter un homme…
Au moment où les deux voyageurs, beaucoup trop timides, allaient enfin s’occuper de leurs petites chattes, le contrôleur arriva.
En l’entendant dans le couloir, tout le monde se rhabilla en vitesse. Pourtant, Elodie tarda à ramasser sa culotte et elle trainait sur la banquette quand l’employé de la SNCF entra pour contrôler leurs titres de transports. Il ne manqua pas de la remarquer, ce qui semblait particulièrement amuser la coquine infirmière.
- « Je crois qu’il y a un petit problème avec votre titre de transport » improvisa l’employé. « Je vais vous demander de bien vouloir m’accompagner »
- « D’accord, je vous suis » répondit Elodie sans ramasser la culotte qui trainait sur la banquette.
Le contrôleur la conduisit jusque dans le compartiment qu’il s’était réservé et dont les rideaux étaient tirés. Il la fit entrer à l’intérieur.
- « Alors, quel est le problème avec mon billet ? » demanda la jeune femme.
- « En fait, ce n’est pas votre billet qui pose problème… C’est plutôt le fait que vous ne portez pas de culotte »
- « Ah bon ? C’est interdit par le règlement ? »
- « Non, mais votre tenue pourrait choquer certains voyageurs »
- « Vous allez me mettre une amende ? » questionna Elodie avec un air taquin.
- « Ça dépend » répondit le contrôleur. « On va peut-être pouvoir s’arranger… »
Elodie avait, bien sûr, compris où il voulait en venir. C’est elle qui dégrafa la ceinture du pantalon qu’il portait et posa la main sur son sexe. Elle se mit à genoux devant lui et commença à sucer sa queue encore à demi-molle.
- « Hum, tu suces comme une petite salope » dit l’homme dont le sexe devenait de plus en plus dur.
- « Mais je suis une petite salope » répondit Elodie en levant les yeux vers lui.
- « Alors viens… Je vais te baiser ! »
Elle se mit à genoux sur la banquette et lui présenta ses fesses. Le contrôleur donna une grande claque sur le cul qu’elle lui présentait et se mit derrière elle. Il la pénétra presque aussitôt et elle sentit sa queue large entrer en elle. Elle accompagna les mouvements saccadés et il se vida rapidement en elle. Elle n’avait pas eu le temps de jouir, mais elle continua à se masturber pendant qu’il se rhabillait déjà. Elle connut l’orgasme à son tour et retourna dans son compartiment après avoir repris son billet.
- « Désormais tout est en règle » affirma le contrôleur avec une certaine ironie.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 11 Fév 2015 11:45

En arrivant, elle trouva Sylvie en train de se faire lécher la chatte par un des deux hommes. L’autre semblait attendre son tour. Elodie retira carrément sa jupe et s’assit, cuisses écartées. Le second vint immédiatement lui faire un cunnilingus. Il remarqua que son sexe avait un gout de sperme, mais il n’osa pas protester.
Au bout d’un moment, les deux hommes échangèrent leurs places. Pendant ce temps, Sylvie et Elodie n’arrêtaient pas de s’embrasser. Voyant que les deux voyageurs, un peu maladroits, n’arriveraient pas à les faire jouir, elles se mirent tête bêche sur la banquette et entamèrent un 69 sans plus se soucier de leurs partenaires du moment.
Elodie était beaucoup plus douée et fit jouir Sylvie en moins de cinq minutes. Celle-ci lui rendit la pareille et les petits cris que poussa l’infirmière avaient de quoi inquiéter les voyageurs des compartiments voisins.
Voyant qu’elles n’avaient vraiment plus besoin d’eux et craignant un scandale, les deux hommes se retirèrent discrètement. Elodie referma le compartiment. Après ce qu’elle avait offert au contrôleur, il n’allait pas le lui reprocher.
Elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre et ne se réveillèrent qu’à une dizaine de minutes de l’arrivée.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 13 Fév 2015 11:19

Début de séjour.

En descendant du train, Sylvie et Elodie se dirigèrent immédiatement vers Patrick qui les attendait. C’était la première fois qu’il rencontrait enfin l’infirmière, mais il était content de retrouver Sylvie.
- « Vous avez fait bon voyage ? » demanda-t-il.
- « Un peu long » répondit Sylvie « Mais tu te doutes que deux coquines comme nous, avons su agrémenter le trajet. »
- « Vous vous êtes fait sauter dans le train mes petites cochonnes ? » questionna Patrick en prenant la direction de sa voiture.
- « Oui, je me suis fait baiser par le contrôleur » avoua Elodie. « Il a joui un peu vite, mais c’était bon quand même… »
- « Et toi Sylvie ? » renchérit celui qui était fou de joie de recevoir enfin ses deux coquines préférées.
- « Moi, je me suis fait lécher par nos voisins de compartiment, mais ils n’étaient franchement pas doués. Heureusement qu’Elo était la… »
Ils étaient arrivés devant le véhicule de Patrick. Les deux filles décidèrent de monter derrière. Il en ressentit une légère frustration, mais il se dit qu’il aurait bien le temps de profiter de leurs charmes. Pour le moment, il était ravi de constater qu’elles s’entendaient à merveille. C’était déjà un point très positif.
Au cours du trajet, elles ne purent résister longtemps à la tentation de se caresser mutuellement. Lorsqu’ils furent arrivés, chacune avait la jupe relevée et se laissait tripoter par sa voisine. Aucune des deux n’avait remis sa culotte.
En arrivant dans l’appartement que connaissait déjà Sylvie, elles installèrent leurs affaires, puis demandèrent à Patrick si elles avaient le temps de prendre une petite douche.
- « Bien sûr… Sylvie, tu connais la maison… Vous devez avoir faim, je vais commander des pizzas. »
- « Bonne idée ! » s’enthousiasma Elodie.
Pendant qu’elles prenaient une douche toutes les deux, ne manquant pas l’occasion de recommencer à se caresser, il téléphona pour faire livrer deux pizzas.
Une bonne vingtaine de minutes plus tard, les deux filles étaient enfin sorties de la salle de bains. Toujours très joueur, Patrick proposa un défi à Elodie.
- « Dis-moi, petite cochonne exhibitionniste, serais tu capable de recevoir le livreur de pizzas entièrement nue ? »
- « Entièrement nue, je ne l’ai jamais fait… Mais, par contre, il m’est déjà arrivé d’en recevoir un en string… »
- « Aujourd’hui, je veux que tu sois complètement nue ! »
- « D’accord » répondit l’infirmière, toute excitée.
- « Moi aussi je peux le faire » fit remarquer Sylvie
- « Eh bien montrez-moi que vous pouvez être aussi salope l’une que l’autre » se réjouit Patrick de les voir en compétition.
Moins de cinq minutes plus tard, on sonna à l’interphone. Patrick se mit à l’écart, laissant les deux cochonnes opérer.
- « Oui, je vous ouvre… C’est le premier appartement au rez-de-chaussée » dit Elodie en actionnant la commande de la porte.
Presque aussitôt, on frappa discrètement à la porte de l’appartement.
- « Entrez ! » cria Elodie.
Le livreur de pizza ouvrit la porte d’entrée et pénétra dans le petit couloir. Elodie se présenta devant lui, entièrement nue. Elle ne faisait vraiment rien pour dissimuler sa totale nudité et lui prit les pizzas en souriant. L’homme qui était très jeune ne sembla pas plus perturbé que cela. Ce n’était sans doute pas la première fois qu’on lui faisait le coup. Ce genre de pari était plus fréquent qu’on se croit.
Par contre, quand Elodie appela Sylvie qui se présenta, elle-aussi, entièrement nue, cela devenait déjà moins habituel. Le jeune homme n’arrivait pas à fixer autre chose que son cul magnifique.
- « Sylvie, tu as de la monnaie ? » demanda Elodie.
- « Un peu » répondit sa complice, mais je crois qu’il va manquer cinq Euros… ! »
- « Vous allez peut être pouvoir nous consentir une petite réduction » proposa Elodie en venant se frotter contre lui.
- « Je ne sais pas » bredouilla le jeune homme qui avait l’air embarrassé.
- « Oh, si on met de la bonne volonté toutes les deux ? » insista Sylvie qui commençait à déboutonner sa braguette.
Le jeune livreur la laissa sortir sa queue. Elle s’agenouilla devant lui et la prit immédiatement en bouche. Elodie s’agenouilla à côté d’elle et leurs bouches se rejoignirent sur le gland turgescent du jeune homme. Elles le pompèrent tour à tour, puis Patrick sortit enfin du coin de la pièce où il était dissimulé.
- « Alors, elles sucent bien mes petites salopes ? » demanda-t-il.
- « Oui monsieur » rétorqua le jeune livreur complètement décontenancé.
- « Tiens, voilà tes cinq Euros » reprit Patrick en sortant un billet froissé de sa poche. « Tu vas les baiser ces petites chiennes ? »
- « C’est que je n’ai pas trop le temps, monsieur » répondit-il.
- « Juste un peu, elle ont besoin d’une bonne bite bien dure dans la chatte…»

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mar 17 Fév 2015 18:33

Il interrompit alors la fellation qu’elles avaient poursuivie et les entraina vers le canapé. Patrick les fit mettre à genoux, côte à côte et leur demanda de bien présenter leur croupe. Le jeune homme ne se posa plus de question et s’introduisit immédiatement dans la chatte de Sylvie.
- « Oui, comme ça… Baise-la bien ! » l’encouragea Patrick. « Mais n’oublie pas le cul d’Elodie… »
Le livreur passa à l’infirmière qu’il pilonna avec autant de force. Sa queue avait vraiment de bonnes dimensions et elle était très dure. Pendant qu’il passait de l’une à l’autre, Patrick alla découper deux parts de pizza et les apporta sur des assiettes.
- « Tiens, mets un peu de crème sur leur part.»
Le jeune homme sentit qu’il n’allait pas tarder à jouir. Il se retira du vagin de Sylvie et éjacula sur les parts de pizza. L’idée perverse de savoir que les deux femmes mangeraient la pizza qu’il avait livrée, recouverte de son sperme était follement excitante. D’ailleurs, il en eut rapidement la preuve car chacune des deux cochonnes croqua dans le morceau souillé de semence. Il serait bien resté pour profiter encore de ces deux petites salopes, car il bandait toujours, mais il avait d’autres livraisons à effectuer.
Patrick félicita ses deux invitées et les pénétra à son tour. Ces deux petites chiennes promettaient de lui faire passer de bons moments. Son membre passa du vagin de Sylvie à celui d’Elodie.
La belle brune écarta alors ses fesses. Elle avait envie de se faire sodomiser. Patrick posa son gland sur l’œillet à peine dilaté de la jeune femme et poussa doucement. Il n’eut pas besoin de forcer beaucoup. Elle avait l’habitude de se faire prendre ainsi. Sa queue pénétra profondément dans le cul de Sylvie qui poussa un râle de satisfaction.
- « S’il te plait, encule-moi aussi » le supplia Elodie
Il ne se fit pas prier longtemps. Il passa de l’anus de la brune à celui de la blonde.
- « J’ai envie de vous voir couvertes de sperme, mes petites salopes…» lâcha-t-il. « On va manger en vitesse et je ferai venir des mecs pour vous baiser ! »
L’idée sembla les séduire. Ils firent une pause tous les trois et mangèrent les pizzas. Dès qu’elle eut terminé, Sylvie se connecta à Internet et commença à chercher des mecs motivés. Une simple photo d’elle, transférée de la clé USB qu’elle avait apportée, suffisait à convaincre les plus hésitants. Elodie la rejoignit rapidement et l’aida à sélectionner les candidats. Pendant ce temps, Patrick avait envoyé quelques SMS à des amis disposés à la rejoindre.
Vers 23 heures, les hommes qui avaient été contactés arrivèrent. Sylvie et Elodie étaient entièrement nues dans le salon et se caressaient langoureusement sur une grande serviette disposée à même le sol.
Ce n’était pas moins de six hommes qui les entouraient. Patrick leur expliqua qu’il avait envie de les voir couvertes de sperme. Il les autorisait à les baiser, mais ils devraient impérativement jouir sur leur corps. Les visiteurs ne se firent pas prier. Elodie se retrouva très rapidement avec une queue dans la bouche alors qu’une autre lui labourait la chatte. Sylvie ne fut pas en reste. Plusieurs bites s’enfoncèrent dans son petit cul qui semblait particulièrement attirer certains. Cette cochonna adorait la sodomie et elle ne tarda pas à jouir.
Après les avoir laissé jouer un bon moment à leur guise avec le corps de ses deux visiteuses, Patrick devint plus directif. Il leur ordonna de s’allonger côte à côte et demanda aux hommes de venir se vider sur elle.
Le premier envoya de longues giclées de sperme sur le visage des deux salopes. Il fur presque aussitôt imité par un autre qui doubla la dose. Le troisième homme éjacula sur les seins volumineux d’Elodie.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 18 Fév 2015 10:48

Un autre se vida sur le mont de vénus de Sylvie. Les deux derniers vinrent se vider sur leurs bouches pendant qu’elles s’embrassaient.
Patrick était très excité de les voir couvertes de sperme comme il l’avait souhaité. Il jouit à son tour sur leurs langues entremêlées et les regarda étaler l’abondante semence sur leurs corps dénudés, pendant que les hommes se rhabillaient et quittaient l’appartement les uns après les autres. Ces deux petites salopes l’avaient vraiment bien fait jouir !
Insatiables, elles continuèrent à s’exciter. Toutes deux adeptes des jeux uro, chacune vint faire pipi dans la bouche de l’autre. Le spectacle était tellement excitant que Patrick ne tarda pas à bander de nouveau. Il les pénétra successivement et elles lui pissèrent sur la queue l’une après l’autre. Il adorait la sensation procurée par ce liquide chaud qui dégoulinait sur lui.
Après cette séance mémorable, ils se mirent au lit tous les trois et s’endormirent sans même prendre une douche ni nettoyer la maison qui était pourtant dans un sale état.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 18 Fév 2015 18:44

Voila...
Je n'ai jamais terminé l'histoire de Sylvie et d'Elodie.

Ayant perdu le contact avec ces deux femmes avec qui j'échangeais pourtant très régulièrement, surtout Sylvie (presque tous les jours). Je n'ai pas eu envie de reprendre leur histoire...

C'est peut être dommage, mais je vous laisse imaginer la fin, ou l'écrire si vous en avez le courage...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 10:38

Sans doute n'avez vous pas oublié l'histoire de SOPHIE...

Cette belle infirmière de 40 ans est la première dont j'ai parlé sur ce post.
Si vous ne vous souvenez pas, relisez ses aventures : http://www.candauliste.com/histoires-adulteres-t14567.html
Je les ai écrites à la demande de son mari qui a beaucoup aimé et qui me réclame une suite depuis un moment.

J'ai décidé de lui faire plaisir. Voici donc LE RETOUR DE SOPHIE...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 10:41

Le copain d’Antoine.

Quand Antoine fut de retour, il recontacta évidemment Sophie. D’abord, elle ne répondit pas à ses messages, mais il insistait vraiment. Un jour, il se décida à l’appeler.
- « Je comprends que tu aies été un peu vexée par ma façon de procéder avant mon voyage au Canada » lui dit-il. « Mais j’avais vraiment besoin de te revoir. Je crois que je ne peux plus me passer de toi…»
Sophie se sentit profondément troublée. La raison lui interdisait de revoir cet homme, mais son corps en avait tellement envie…
- « J’en ai assez de ces rendez-vous à la sauvette. J’ai l’impression d’être une pute que tu sautes dans un hôtel de passe ! » essaya-t-elle de protester.
- « Tu as raison » lui répondit Antoine. « La prochaine fois, je veux que tu viennes passer toute une soirée avec moi… »
- « Mais, et ta femme ? »
- « Je m’arrangerai… Je te promets que tu vas découvrir la jouissance, la vraie… »
- « C’était déjà pas mal la dernière fois » fit remarquer Sophie dont le ton s’était adouci.
Antoine lui donna rendez-vous un soir de la semaine suivante. Afin de tromper la vigilance de son mari, Sophie avait fait intervenir une de ses collègues de travail. Tout avait été bien préparé. Jusqu’à la veille, il était prévu qu’elle aille chez sa collègue avec son époux. Une baby-sitter devait venir garder les enfants. C’était une autre de ses collègues qui jouait le rôle. Seulement, un peu avant le rendez-vous, la pseudo baby-sitter téléphona pour dire qu’elle était malade. Comme le mari de Sophie appréciait moyennement la collègue qu’elle était censée rejoindre, il lui proposa, évidemment de rester à la maison avec les enfants.
Elle retrouva Antoine devant chez un de ses amis. Un dénommé Martial avec qui il était censé passer la soirée et qui lui laissait gentiment son appartement pour recevoir sa maîtresse. Sophie arriva légèrement en avance. La voiture de celui qui était devenu son amant clandestin se gara derrière la sienne au bout de quelques minutes. Il vint la rejoindre et l’embrassa aussitôt.
- « Merci d’être venue » lui glissa-t-il en caressant tendrement ses cheveux.
- « Où m’emmènes-tu ? » demanda-t-elle légèrement inquiète.
- « Chez un ami qui nous laisse son appartement » répondit Antoine en la prenant par la taille. « Alors, tu es censée être chez une collègue de travail ? » ajouta-t-il avec un regard malicieux.
- « Oui, il faudra que j’appelle mon mari pour lui dire que tout va bien… »
- « Bien sûr… Moi aussi j’aurai besoin de rassurer ma femme. Elle n’aime pas quand je passe des soirées avec Martial »
Ils arrivèrent devant l’appartement et, à la grande surprise de Sophie, Antoine sonna à la porte d’entrée. Un grand black vint ouvrir.
- « Martial tenait absolument à faire ta connaissance avant de nous laisser » expliqua Antoine à la belle blonde inquiète.
- « Oui, je voulais savoir qui était l’ensorceleuse qui poussait mon pote à tromper sa femme. Maintenant que je vous vois, je comprends parfaitement… »
- « Ne commence pas à draguer Sophie ! » plaisanta Antoine.
- « Ah tu sais, chez nous les antillais, c’est une seconde nature » rétorqua l’athlétique guadeloupéen avec un large sourire en les faisant entrer dans son salon. « Je vous ai préparé un petit cocktail pour bien vous mettre en forme » ajouta-t-il avec son délicieux accent des iles.
Sophie n’avait pas dit un mot. Elle prit le verre qu’il lui tendait et y trempa ses lèvres après avoir trinqué avec les deux hommes. Le breuvage, à base de rhum et de fruits était délicieux. Elle reconnut le goût du gingembre assez prononcé.
- « C’est un cocktail aphrodisiaque » expliqua Martial. « Généralement, il donne un peu chaud »
- « Effectivement » confirma Antoine. « Et on peut dire qu’il est efficace ! » ajouta-t-il en prenant la main de Sophie qu’il posa sur son sexe pour lui montrer les effets du cocktail.
Elle rougit aussitôt et glissa un regard gêné en direction de Martial hilare.
- « C’est vrai que ça marche bien. Moi aussi je commence à sentir quelques raideurs » affirma l’antillais en montrant la barre qui gonflait sa braguette. « Si ta copine veut en profiter… »
- « Pourquoi pas ? » enchaina Antoine. « Je suis sûr qu’elle adorerait qu’on s’occupe d’elle tous les deux.
Sans lui laisser le temps de dire un mot. Il la plaqua contre lui et lui prit les lèvres. Sophie sentir le sexe dur de son amant se coller contre son pubis. Aussitôt, Martial vint derrière elle et colla son pieu de chair contre ses fesses. Elle essaya de se dégager, mais les deux hommes la serraient entre leurs bras. Les effets du cocktail commençaient à se faire sentir chez elle aussi. Elle avait de plus en plus chaud et ne protesta pas quand Antoine commença à défaire un à un les boutons de son chemisier. Martial posa les mains sur ses fesses et les malaxa à travers la jupe. Il ne semblait plus du tout avoir envie de partir…

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 10:42

Le copain d’Antoine.

Quand Antoine fut de retour, il recontacta évidemment Sophie. D’abord, elle ne répondit pas à ses messages, mais il insistait vraiment. Un jour, il se décida à l’appeler.
- « Je comprends que tu aies été un peu vexée par ma façon de procéder avant mon voyage au Canada » lui dit-il. « Mais j’avais vraiment besoin de te revoir. Je crois que je ne peux plus me passer de toi…»
Sophie se sentit profondément troublée. La raison lui interdisait de revoir cet homme, mais son corps en avait tellement envie…
- « J’en ai assez de ces rendez-vous à la sauvette. J’ai l’impression d’être une pute que tu sautes dans un hôtel de passe ! » essaya-t-elle de protester.
- « Tu as raison » lui répondit Antoine. « La prochaine fois, je veux que tu viennes passer toute une soirée avec moi… »
- « Mais, et ta femme ? »
- « Je m’arrangerai… Je te promets que tu vas découvrir la jouissance, la vraie… »
- « C’était déjà pas mal la dernière fois » fit remarquer Sophie dont le ton s’était adouci.
Antoine lui donna rendez-vous un soir de la semaine suivante. Afin de tromper la vigilance de son mari, Sophie avait fait intervenir une de ses collègues de travail. Tout avait été bien préparé. Jusqu’à la veille, il était prévu qu’elle aille chez sa collègue avec son époux. Une baby-sitter devait venir garder les enfants. C’était une autre de ses collègues qui jouait le rôle. Seulement, un peu avant le rendez-vous, la pseudo baby-sitter téléphona pour dire qu’elle était malade. Comme le mari de Sophie appréciait moyennement la collègue qu’elle était censée rejoindre, il lui proposa, évidemment de rester à la maison avec les enfants.
Elle retrouva Antoine devant chez un de ses amis. Un dénommé Martial avec qui il était censé passer la soirée et qui lui laissait gentiment son appartement pour recevoir sa maîtresse. Sophie arriva légèrement en avance. La voiture de celui qui était devenu son amant clandestin se gara derrière la sienne au bout de quelques minutes. Il vint la rejoindre et l’embrassa aussitôt.
- « Merci d’être venue » lui glissa-t-il en caressant tendrement ses cheveux.
- « Où m’emmènes-tu ? » demanda-t-elle légèrement inquiète.
- « Chez un ami qui nous laisse son appartement » répondit Antoine en la prenant par la taille. « Alors, tu es censée être chez une collègue de travail ? » ajouta-t-il avec un regard malicieux.
- « Oui, il faudra que j’appelle mon mari pour lui dire que tout va bien… »
- « Bien sûr… Moi aussi j’aurai besoin de rassurer ma femme. Elle n’aime pas quand je passe des soirées avec Martial »
Ils arrivèrent devant l’appartement et, à la grande surprise de Sophie, Antoine sonna à la porte d’entrée. Un grand black vint ouvrir.
- « Martial tenait absolument à faire ta connaissance avant de nous laisser » expliqua Antoine à la belle blonde inquiète.
- « Oui, je voulais savoir qui était l’ensorceleuse qui poussait mon pote à tromper sa femme. Maintenant que je vous vois, je comprends parfaitement… »
- « Ne commence pas à draguer Sophie ! » plaisanta Antoine.
- « Ah tu sais, chez nous les antillais, c’est une seconde nature » rétorqua l’athlétique guadeloupéen avec un large sourire en les faisant entrer dans son salon. « Je vous ai préparé un petit cocktail pour bien vous mettre en forme » ajouta-t-il avec son délicieux accent des iles.
Sophie n’avait pas dit un mot. Elle prit le verre qu’il lui tendait et y trempa ses lèvres après avoir trinqué avec les deux hommes. Le breuvage, à base de rhum et de fruits était délicieux. Elle reconnut le goût du gingembre assez prononcé.
- « C’est un cocktail aphrodisiaque » expliqua Martial. « Généralement, il donne un peu chaud »
- « Effectivement » confirma Antoine. « Et on peut dire qu’il est efficace ! » ajouta-t-il en prenant la main de Sophie qu’il posa sur son sexe pour lui montrer les effets du cocktail.
Elle rougit aussitôt et glissa un regard gêné en direction de Martial hilare.
- « C’est vrai que ça marche bien. Moi aussi je commence à sentir quelques raideurs » affirma l’antillais en montrant la barre qui gonflait sa braguette. « Si ta copine veut en profiter… »
- « Pourquoi pas ? » enchaina Antoine. « Je suis sûr qu’elle adorerait qu’on s’occupe d’elle tous les deux.
Sans lui laisser le temps de dire un mot. Il la plaqua contre lui et lui prit les lèvres. Sophie sentir le sexe dur de son amant se coller contre son pubis. Aussitôt, Martial vint derrière elle et colla son pieu de chair contre ses fesses. Elle essaya de se dégager, mais les deux hommes la serraient entre leurs bras. Les effets du cocktail commençaient à se faire sentir chez elle aussi. Elle avait de plus en plus chaud et ne protesta pas quand Antoine commença à défaire un à un les boutons de son chemisier. Martial posa les mains sur ses fesses et les malaxa à travers la jupe. Il ne semblait plus du tout avoir envie de partir…

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 10:46

Une petite photo de SOPHIE pour vous remettre son physique impeccable en mémoire...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 10:53

La chienne de deux hommes.

Martial se fit de plus en plus entreprenant. Il détacha la jupe de Sophie et la fit glisser jusqu’à ses chevilles. Dessous, elle portait une splendide parure blanche, composée d’un body et d’une culotte montante en dentelles très transparentes. Des bas noirs, sobres et délicieux étaient accrochés au porte-jarretelles blanc.
Elle enjamba la jupe et osa enfin se retourner vers le guadeloupéen qui profitait outrageusement de la situation.
- « Martial, ce n’est pas sérieux ! » protesta-t-elle mollement.
- « Laisse-le faire ! » intervint Antoine. « Maintenant que tu trompes ton mari, autant en profiter jusqu’au bout. »
- « Mais, Antoine, ce n’était pas prévu… »
- « Et alors, tu ne crois pas que le meilleur dans la vie se sont les surprises ? » demanda Martial. « Demande à Antoine s’il ne garde pas un bon souvenir du jour où il m’avait rejoint ici et où nous avons fait l’amour tous les deux à ma copine de l’époque ? »
- « C’est vrai ça, Antoine ? » questionna Sophie.
- « Tout à fait » admit-il avec une légère gêne. « Martial m’a fait profiter d’une bombe de sexe. A moi de lui rendre la pareille aujourd’hui » ajouta-t-il avec un certain culot.
- « Quel goujat ! » s’énerva la jeune femme. « Tu te sers de moi comme d’une pute ! »
- « Laisse-toi faire ! » intervint Martial en lui arrachant sa culotte. « Tu vas voir comme c’est bon de se sentir salope… Rien qu’un soir… »
Etrangement, Sophie n’eut plus envie de protester. Sans doute était-ce dû aux effets du breuvage que lui avait fait avaler le copain de son amant, mais elle n’avait plus qu’une envie : les satisfaire !
Elle se mit à genoux et ouvrit la braguette de Martial. Son sexe était encore plus énorme qu’elle ne l’avait imaginé. Sa langue passa sur le gland et elle enfourna la grosse queue noire sous l’œil incrédule d’Antoine. Il se déshabilla entièrement et la fit relever pendant qu’elle suçait toujours l’antillais. Il se mit derrière elle et la saisit par les hanches. Sans un mot, il flatta sa croupe, vérifia qu’elle était bien humide et glissa son sexe entre ses cuisses. Il poussa d’un coup sec et la pénétra sans difficulté.
Au bout d’un moment, Martial la prit par les cheveux et la fit retourner. Il guida sa tête vers le membre de son copain, encore luisant et moite des secrétions du vagin qu’il venait de quitter.
- « A moi de te baiser ! » Suce-le ! » ordonna le grand black.
Sophie prit le sexe d’Antoine en bouche et se mit à le pomper. Pendant ce temps, la queue de Martial se frotta contre les lèvres du sexe de la belle blonde, puis le gland s’enfonça progressivement en elle. Il était plus large qu’Antoine. Sophie se dit, l’espace d’un instant, qu’elle était en train de se comporter comme une véritable petite salope, mais elle aimait cela. La sage épouse et mère de famille était en train de se faire baiser par deux hommes, dont un qu’elle voyait pour la première fois.
Antoine avait envie de voir Martial la baiser comme une folle. Il lui retira sa guêpière et ses bas noirs. Elle était désormais entièrement nue. Il alla s’asseoir sur un des fauteuils du salon et la prit sur ses genoux. Il la saisit ensuite par les cuisses et les releva autant qu’il put. Martial vint en face d’elle et la pistonna avec force. Sophie s’abandonna complètement, soutenue par son amant et pénétrée par le pote de celui-ci. Elle jouit avec une violence extrême.
Les deux hommes étaient parfaitement complices. Ils la laissèrent reprendre ses esprits, puis Antoine annonça qu’il avait envie de prendre son petit cul. Elle protesta pour la forme, mais le souvenir qu’elle conservait de la première sodomie qu’il lui avait fait découvrir juste avant son départ était loin d’être désagréable. Il alla chercher un tube de vaseline et en enduisit son sexe. Avec une lenteur et une douceur bienveillante, il fit asseoir Sophie sur son pieu de chair dressé. Les sphincters s’écartèrent progressivement et elle s’empala sur le sexe de son amant. A peine avait-elle réalisé qu’il était en elle que Martial reprit sa position et la pénétra de nouveau. Ils coordonnèrent leurs poussées et elle sentit deux queues qui se rejoignaient et la feraient bientôt hurler de plaisir.
Sophie explosa dans un orgasme comme elle n’en avait encore jamais connu. Tour à tour, Antoine puis Martial jouirent en elle. Elle avait du sperme dans la chatte et dans le cul quand la sonnerie de son Smartphone retentit. Elle avait oublié d’appeler son mari. Elle alla vite décrocher.
- « Allo chéri, c’est toi ? Oui je sais, je n’ai pas pu t’appeler avant… Tout se passe bien avec les enfants ? »
Tandis qu’elle essayait d’avoir une conversation d’épouse modèle, elle sentait le sperme qui coulait entre ses cuisses et Antoine s’amusait à lui pincer la pointe des seins. Elle dut se retenir pour ne pas crier. Ce salaud la pinçait de plus en plus fort. En même temps, Martial avait entrepris de la doigter. Elle décida qu’il était temps d’abréger la conversation.
- « Tu sais », dit-elle à son mari « Ma copine m’a fait boire un peu trop. Ça te dérange si je reste dormir chez elle ? J’irai travailler directement… Tu mets les enfants à l’école, je les récupérerai le soir…»
Son mari ne sembla pas émettre d’objection. Elle le remercia avec beaucoup de gentillesse et raccrocha enfin.
- « Voilà, bande de salauds ! Maintenant vous pouvez vous occuper de moi !»
Les deux amis se regardèrent et se sourirent. Cette chienne en voilait encore. Elle allait être servie !

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 10:54

Elles est belle non ?
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Re: Histoires adultères

Messagepar Sigisbée » Jeu 19 Fév 2015 10:58

Ravissante dans cette tenue sexy.
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 12:05

Absence de souvenir.

Ils lui laissèrent le temps de prendre une douche, ce qui leur permit de récupérer un peu. Puis Antoine vint la voir dans la salle de bain. Il avait le sentiment d’y être allé un peu fort avec son copain.
- « Ça va ma chérie ? » demanda-t-il. « Tu ne m’en veux pas trop de ne pas t’avoir prévenue que mon copain serait encore là ? »
Sophie fit la moue. Elle le toisa du regard, puis éclata de rire.
- « Mais non idiot ! C’est vrai qu’au début je me suis dit que tu étais gonflé. Mais quand j’ai eu la grosse queue noire de Martial entre mes cuisses, je me suis dit que tu avais bien fait. »
- « Tu es géniale mon amour… Jamais je n’aurais cru que tu te lâches comme ça… »
- « Oh tu sais, l’appétit vient en mangeant… Et je te préviens, j’ai encore faim ! »
Antoine sourit et l’embrassa. Ils rejoignirent Martial qui avait préparé de nouveaux cocktails. Il leur tendit leur verre et trinqua avec eux.
- « Sur celui-là, j’ai forcé la dose » les prévint-il. « Vous qui n’avez pas trop l’habitude, ne buvez pas tout. La dernière fois, je n’ai pas débandé pendant trois jours ! »
Sophie éclata de rire et avala son verre d’un trait. Immédiatement, elle sentit le rouge lui monter aux joues, puis le sang se mit à circuler plus vite et une chaleur immense envahit son ventre. Perdant tout contrôle, elle s’allongea sur la table du salon et écarta les cuisses. Les deux hommes se mirent de chaque côté de la table et recommencèrent à la tripoter.
Martial était encore plus vicieux qu’Antoine. Il prit la direction des opérations. Il vint se faire lécher les testicules pendant que son pote dégustait la chatte de Sophie.
- « Elle est vraiment bonne ta copine » commenta-t-il.


Sans savoir pourquoi, Sophie avait envie qu’ils lui disent des mots crus. Elle leur montra l’exemple en révélant elle-même qu’elle était leur petite salope.
- « Oui, tu es une chienne ! » lui dit Martial. « Tu es notre pute. On va te baiser toute la nuit ! »
- « Elle est bonne ma salope, hein Martial ? » renchérit Antoine. « La prochaine fois, tu pourras inviter tes potes. »
- « C’est clair ! Je suis sûr que ces bâtards ne demanderaient pas mieux que de baiser une bonne blanche »
- « Hum, oui ! C’est bon… » murmura Sophie qui sentait de nouveau le plaisir monter.
- « J’ai envie de te pisser dans la chatte ! » dit soudain le grand black.
- « Oui, fais-le ! » répondit Antoine. « Ça m’excite tellement de la voir se comporter comme la dernière des chiennes… »
Il prit la place d’Antoine et la pénétra sur la table. Sophie mit ses bras autour du cou de l’antillais et il la souleva, enfonçant sa grande queue noire au plus profond de son intimité. Antoine les regarda un instant, puis il lui écarta les fesses et vint la pénétrer, sans prendre cette fois la précaution de s’enduire de vaseline. Sophie gémit, mais elle était tellement excitée qu’ils auraient pu lui faire n’importe quoi.
Elle se retrouva prise en sandwich entre ces deux mâles qui la défonçaient. Martial laissa échapper un jet d’urine dans le vagin de Sophie qui déborda rapidement. Jamais elle n’aurait imaginé qu’elle accepterait une telle pratique dégradante, mais elle en retira un plaisir immense. Elle le remercia et lui dit que c’était bon et chaud.
- « Moi aussi, je te pisse dans le cul » dit à son tour Antoine.
Elle sentit effectivement l’urine chaude qui la remplissait. Complètement déconnectée de la réalité, elle en réclamait encore.
- « C’est bon… Continuez ! Pissez-moi dans la chatte et dans le cul ! Remplissez-moi de foutre ! »
Martial la reposa sur la table et fut le premier à jouir. Il se retira du vagin dilaté de la blonde et vint éjaculer sur son visage. Une quantité de sperme inimaginable gicla sur ses joues, sur sa bouche, sur ses yeux.
Quand Antoine se retira de son cul, un flot de pisse coula sur la table. Il vint lui faire sucer sa queue encore maculée de merde et jouit à son tour. De longues trainées de sperme coulèrent dans la chevelure de Sophie. Elle se sentait vraiment dépravée. Elle était vraiment devenue leur pute.
Martial l’obligea à ramasser la pisse et à essuyer le sperme, puis elle fut enfin autorisée à aller se nettoyer dans la salle de bain. Après cette débauche d’énergie, elle était épuisée. Antoine avait le sentiment s’être allé, cette fois, beaucoup trop loin. Pourtant, Martial le rassura.
- « Avec ce que j’ai mis dans son verre, demain elle aura tout oublié » dit-il à son copain. « Va te coucher avec elle ! Moi je vais dormir dans le salon et demain, elle ne se souviendra même pas que j’étais là… »
Antoine n’y croyait pas trop, mais il essaya de faire confiance à son pote. En voyant la pudeur dont Sophie faisait preuve le lendemain matin quand elle se leva et rejoignit Martial dans le salon. Il comprit que son pote n’avait pas menti. Elle cachait même ses seins à celui qui, dans ses souvenirs, n’avait fait que prendre un verre avec eux avant de les laisser pour une soirée dont elle avait tout oublié.
Une heure plus tard, quand elle trouva le mot qu’avait glissé Martial dans son sac lui proposant de la revoir, elle s’indigna même de l’audace du copain d’Antoine. L’espace de quelques heures, elle avait été la pute de deux hommes assoiffés de sexe, mais à part ses orifices dilatés, rien ne pourrait le lui rappeler.
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 12:11

Imaginez SOPHIE en action
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 19 Fév 2015 12:23

voila... j'espère que ce complément à l'histoire de SOPHIE vous aura plu.
Son mari ne l'a probablement pas encore lu et ne sait pas que je l'ai écrit. Je lui laisse le découvrir.

J'espère qu'il saura me témoigner un peu de reconnaissance avec le retour des beaux jours en m'indiquant les plages où il expose la belle SOPHIE.
J'ai hâte de vérifier de mes yeux la beauté de ses formes...
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Re: Histoires adultères

Messagepar bon amant » Jeu 19 Fév 2015 14:55

Normalement je veille toujours au confort de ma femme. Mais cette fois je n avais pas trop assuré. Trois semaines après, la brûlure qu elle avait au cocxis c était transformé en croûte assez hideuse. En même temps, cette trace était très stimulante pour mon imagination, plus peut être que si j avais pu voir la scène en détail.
Soirée multicouples en petit comité at home. 8 couples. Convivial, on avait papoté un peu et puis mon épouse avait rapidement détendu du l ambiance en dansant..
Elle danse très bien faut dire, c est sa passion. Au début dans ce genre de réunion, il y a souvent un peu de réserve et de timidité. On s observe, se calcul... Sa technique est simple, elle se trémousse un moment puis commence à déboutonner les chemises des hommes petit à petit, leurs ceintures, les autres femmes l imitent et c est partit.

Un peu plus tard, alors que j étais près des trois autres femmes qui fumaient une cigarette près de la fenêtre de notre cuisine américaine, Hervé souleva mon épouse de 45kg et la déposa sur notre grande table de salle à manger. Elle ne portait que son sous tif. Un peu complexée par ses petits seins. Les deux autres mâles à ses côtés. Hervé lui souleva les cuisses et sans chichis, comme si il était chez lui, s introduit...
Je me suis aussitôt rapproché pour voir la de scène de près. Faut dire que j adore particulièrement voir une belle queue rentrer et sortir de la chatte de ma femme.
Je m étais déjà tapé une des participantes, mais qui ne plaisait pas du tout. A tel point que j ai eu du mal à bander... Une première !
Hervé est assez joueur, il l avait prise debout en la soulevant en début de soirée. Pas très beau, mais le genre de type hyper sympa qui la fait rire tout en la baisant. Une queue de 16cm environ, mais bien large. Je sais qu'elle apprécie. Nous étions tous assis dans les canapés , eux au milieu et ce fut un spectacle ravissant de 10 bonnes minutes...

Une des participantes vint me rejoindre. Une reine de beauté black de 36 ans.. Vraiment adorable et pleine de charme. Il y avait une autre femme extrêmement belle, pourtant 47ans mais exceptionnelle, Nathalie, mais elle se la jouait un peu. Et ça, ça me gave.

Nous nous sommes vite retrouvés sur le canapé à l autre bout de la grande pièce. Ce fut tout d abord un grand moment de sensualité. Nous étions de face, elle assise sur moi, juste vêtue d une robe moulante noire très élégante. Quel plaisir de la lui remonter jusqu à la taille! Je déteste les tenues de gourgandine vulgaire! J étais aux anges, une peau divine.. Elle me rendait mes caresses, m'offrait ses lèvres comme si j étais son véritable amant...J oubliais totalement ma femme que j avais laisser aux bons soins de 3 hommes à quelques mètres de là..
Le deuxième canapé situé entre moi et la table me la cachait totalement. Le temps était suspendu. Sylvie s est montré très réactive à mes caresses clitoridiennes. Elle allait jouir, et me dit en me retenant la main: prend moi j ai envie! Trop rapide à mon goût, mais bon difficile de dire non, d autant qu elle mouillait bien. Le temps de mettre une capote, toujours dans la même position elle s est empallée sur moi, et là surprise le vagin de cette femme musclée se resserrait activement sur ma queue en suivant les vas et vient. J avais l impression d être sucé, tout en la baisant. Ouahou! Chaud.. Une découverte pour moi.
Pour détourner un peu mon attention de cette émotion trop forte, j ai posé mon regard sur le dos du mec qui était en train de ramoner ma femme. Je voyais d elle ( mon épouse) , ses mollets et ses pieds aller d avant en arrière sur les épaules de l amant, mimant une petite danse saccadée synchronisée avec les coups de reins... A droite un homme agenouillé sur sur notre grande table carré. Je supposais sa queue à auteur du visage de mon épouse. Le troisième semblait attendre son tour.
Puis les halètements et les cris étouffés de ma femme sont arrivés à mes oreilles. L homme qui était entre ses cuisses a cédé sa place à un autre. Et malheureusement j ai joui de mon côté . J avais un peu l air d un con.. Suis parti à la douche avec Sylvie, et on a remis ça. Je l ai prise debout par derrière .
De retour, Sylvie rhabillée avait l air d une sagesse monacale. Sa beauté sauvage était contreballancée par son élégance et son intelligence qui raillonnait... Ma femme agenouillée était en train de " finir" l un des garçons. Les autres papotaient comme si de rien n était. Elle m a jeté un regard avec la queue du bodybuildé Thierry dans la bouche, qui voulait dire : tu veux que j avale? Au bout d un certain nombre d années on a parfois même plus besoin de dire les mots dans un couple. Elle accéléra les mouvements, tout en massant le couilles de Thierry de l autre main et s exécuta d une manière très démonstrative pour me faire plaisir. Elle le laissa bien en bouche lorsqu il jouit. Puis 20 secondes après, le libera et sorti sa langue pleine de sperme. Elle avala quelques secondes et ressorti sa langue presque nette....

Résultat, Le frottement de son cul contre la table lui à fait une vilaine brûlure au cocxis, j ai même pas vu ces queues la baiser, et j ai dû m y reprendre à deux fois pour faire jouir la divine Sylvie.
bon amant
 

Re: Histoires adultères

Messagepar kima21 » Jeu 19 Fév 2015 16:28


tres jolie, j adore en jarretelles
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Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Jeu 19 Fév 2015 22:40


franchement, superbe histoire et sophie est vraiment bandante ;)
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Fév 2015 10:44

Vraiment, cela plait à son mari que j'imagine des histoires mettant en scène Sophie, alors continuons un peu...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Fév 2015 10:47

Rendez-vous raté.

Après cette nuit dont elle ne gardait aucun souvenir, Sophie se sentit très perturbée. Par moments, des images envahissaient son esprit, comme des flashs. Elle se voyait en train de sucer le bel antillais, de se faire prendre par sa grosse queue noire. Etaient-ce simplement ses fantasmes ou c’était-il passé quelque chose ? Elle était incapable de le dire…
Finalement, elle téléphona à Antoine. Ce dernier n’assumait pas trop de l’avoir livrée à son copain antillais, alors il lui jura qu’il ne s’était rien passé. Il affirma que Martial était parti après avoir bu un verre avec eux et qu’ils avaient passé la nuit tous les deux. Sophie trouva étrange que Martial ait été là le matin, à leur réveil, mais Antoine lui rappela qu’ils n’avaient pas prévu de passer toute la nuit chez lui.
- « C’est vrai » reconnut-elle. « D’ailleurs pas je ne recommencerai pas, sinon mon mari va finir par se douter de quelque chose.. »
- « Moi non plus… Déjà que ma femme a des doutes…»
- « Il vaut mieux que nous nous voyions l’après-midi » reprit Sophie. « Très souvent, je ne travaille pas… »
- « J’essaierai de me libérer le plus souvent possible » conclut Antoine.
Ils se donnèrent rendez-vous quelques jours plus tard à l’hôtel. Sophie s’y rendait directement en sortant de son travail. Elle se faisait une joie de retrouver Antoine, mais soudain, la sonnerie de son Smartphone retentit. Prudente, elle se gara sur le côté pour répondre. C’était lui.
- « Allo, chérie ? Tu es déjà à l’hôtel ? »
- « Non, j’y allais… »
- « J’ai un gros problème » expliqua Antoine. « Le grand patron vient de débarquer et je ne peux pas m’absenter… »
- « Ah mince ! »
- « On remet à demain ? » proposa Antoine.
- « Non, je travaille ! c’est dommage, j’avais vraiment envie »
- « Moi aussi » confia son amant. « On verra la semaine prochaine. Je te laisse le patron arrive… »
Il avait raccroché rapidement, laissant Sophie en pleine frustration. C’est alors qu’une idée folle lui passa par la tête. Elle n’était qu’à quelques rues du domicile de Martial. Et si elle passait voir s’il était là ? En semaine, il y avait peu de chances, mais que risquait-elle ? Le mot trouvé dans son sac l’avait laissée perplexe. Et puis, elle avait envie d’avoir sa version des faits sur la soirée de l’autre jour. S’il décidait d’essayer d’en profiter, après tout pourquoi pas… Tant pis pour ce lâcheur d’Antoine.
Afin que Martial ne trouve pas sa visite trop étrange, elle avait inventé le prétexte d’une bague perdue. Elle venait vérifier si elle ne l’avait pas oubliée l’autre soir.
Elle sonna à la porte de l’appartement, presque convaincue qu’il n’y aurait personne, quand une voix forte se fit entendre.
- « C’est ouvert ! »
Elle poussa la porte et pénétra dans le salon qu’elle reconnut immédiatement. Au bout de vingt secondes, Martial apparut dans le salon, entièrement nu.
- « Ah, c’est toi ? » dit-il l’air surpris, mais sans pour autant dissimuler sa nudité.
- « Oui, c’est moi » répondit Sophie à la fois amusée et gênée par la situation.
Juste à ce moment-là, on frappa à la porte et elle s’ouvrit sur une splendide beauté noire. La jeune femme entra et jeta un regard sévère en direction de Martial.
- « C’est qui cette pute ? » demanda-t-elle
- « Attends Marie-Amélie, je vais t’expliquer… » balbutia Martial.
- « Il n’y a rien à expliquer ! J’arrive et je te trouve à poil avec une fille dont la mini-jupe cache à peine les fesses… »
- « C’est Sophie, la copine de mon ami Antoine » l’interrompit Martial.
- « Ah c’est cette salope que tu as préféré baiser l’autre soir plutôt que de me rejoindre ? » demanda Marie-Amélie. « Remarque, tu as bon goût, elle est mignonne… »
Sophie essaya d’intervenir.
- « Mademoiselle, je ne vous permets pas… »
- « Ta gueule ! » la coupa aussitôt la belle antillaise. « Ce n’est pas à toi que j’en veux… Je suppose qu’il t’a fait boire ses saloperies… C’est comme ça qu’il m’a eue la première fois »
Marie-Amélie attrapa la ceinture de cuir que Martial avait laissée sur une chaise. Elle la plia en deux et lui en asséna un coup sur les fesses.
- « Hein salaud, tu la droguée pour pouvoir la baiser avec ton pote ? »
- « Aïe, arrête ! »
Non seulement elle n’arrêta pas, mais les coups redoublèrent. Martial savait qu’elle pouvait être très violente. II attendit qu’elle se calme un peu.
- « Puisque tu veux la baiser, eh bien vas-y ! Prends-la devant moi sur la table… »
Sophie essaya de protester, mais Marie-Amélie la fit taire une fois de plus.
- « Ferme-la, sinon je te frappe ! » vociféra-t-elle en levant la ceinture.
Résignée, Sophie laissa Martial la coucher sur la table. Il releva sa jupe sous laquelle elle ne portait pas de culotte.
- « Baise-la ! » répéta Marie-Amélie en abattant la ceinture sur les fesses musclées du guadeloupéen.
Martial saisit les jambes de Sophie et la fit glisser jusqu’au bord de la table. Il lui releva les cuisses et s’enfonça en elle avec vigueur. Pendant ce temps, Marie-Amélie se déshabilla. Elle retira le tee-shirt sous lequel elle ne portait rien. Ses seins étaient plus petits que ceux de Sophie, mais ils étaient fiers et arrogants. Elle en caressa les pointes qui durcirent instantanément. Elle enleva sa jupe et apparut dans un petit string blanc qui contrastait avec sa peau d’ébène. Elle le retira doucement et vint le mettre devant le visage de Sophie.
- « Regarde comme ça me fait mouiller de te voir te faire baiser » dit-elle.
Sophie remarqua l’abondance des secrétions et fut forcée de lécher le string. Pendant ce temps Martial la pilonnait toujours. Marie-Amélie vint faire lécher ses seins par la belle blonde. Martial posa alors sa main sur les fesses de la belle antillaise et reçut immédiatement trois coups de ceinture qui lui marquèrent le dos.
- « Toi, tu ne me touches pas, connard ! D’ailleurs tu ne me toucheras plus pendant une semaine ! »
Martial ne fit aucun commentaire. Il se concentra sur Sophie et la fit jouir peu de temps après. Elle criait sans retenue. Marie-Amélie intervint de nouveau. Elle s’adressa à Martial.
- « Ne jouis pas tout de suite ! Je veux que tu l’encules ! »
- « Oh non, pas ça ! » protesta Sophie. « C’est trop gros ! »
- « Mais non, pas si tu es bien préparée. Laisse-moi faire ! »
Sophie attendit avec angoisse.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Fév 2015 10:48

Toujours aussi belle...
Vous ne trouvez pas ?
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Re: Histoires adultères

Messagepar jebelle » Lun 23 Fév 2015 10:59


Des seins magnifiques
le plaisir ne vaut que si il est partagé de tous
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Fév 2015 16:07

Une drôle de surprise.

Marie-Amélie poussa Martial avec énergie et écarta les fesses de Sophie. Elle lui retira un de ses escarpins et introduisit doucement le talon dans son anus. Sophie se raidit.
- « Va me chercher du gel, toi… ! » demanda-t-elle à Martial.
Il se leva et partit dans la chambre. Il revint avec un tube de gel qu’il tendit à Marie-Amélie. Elle en badigeonna l’anus de Sophie et introduisit doucement un doigt, puis deux. Elle prit le temps de bien dilater l’étroit corridor puis demanda à la blonde de se relever. Elle prit sa place sur la table et lui ordonna de venir la lécher.
Sophie mit sa tête entre les cuisses de la belle antillaise et sa langue passa sur les lèvres fines et humides de ce sexe dont elle découvrait la saveur. Marie-Amélie mouillait énormément. Elle plaqua la tête de la blonde contre son clitoris que Sophie excitait consciencieusement.
- « Vas-y ! Encule-la ! » ordonna-t-elle à son amant.
Martial se mit derrière Sophie. Il lui écarta les fesses et posa son gland sur l’œillet brun. L’anus de la belle blonde était encore dilaté et il s’y enfonça sans trop de difficulté. Sa verge avança centimètre par centimètre, jusqu’à ce que son ventre vienne buter contre les fesses de Sophie. Elle râla de plaisir. Il la prenait profondément.
- « Tu suces vraiment bien petite salope ! » lui dit Marie-Amélie. « Où as-tu appris à lécher une chatte comme ça ? »
- « C’est une collègue lesbienne qui m’a appris » confia Sophie en repensant à Aurélie.
- « Hum, il faudra que tu me donne son adresse » dit Marie-Amélie qui était sur le point de jouir.
Soudain, un véritable geyser jaillit du vagin de l’antillaise. C’était une femme fontaine. Sophie n’avait jamais vu une chose pareille. Un flot de liquide incolore envahit sa bouche. Sur le moment, elle crut que Marie-Amélie lui avait pissé dans la bouche, mais le liquide était transparent et n’avait pas du tout le goût de l’urine. La guadeloupéenne lui maintenait la tête et elle ne put faire autrement que d’avaler une partie de cette formidable éjaculation.
Pendant qu’elle léchait Marie-Amélie qui jouit et laissa seulement Martial lécher ses pieds, posés sur le dos de Sophie, la belle infirmière sentit l’antillais se vider en elle. Le sperme chaud remplit son ventre. Jamais encore elle n’avait fait une chose pareille ! Elle se rendit compte que, non seulement elle n’avait presque pas eu mal, mais elle avait joui une seconde fois.
Elle prit une douche avec Marie-Amélie qui se montrait maintenant très amicale à son égard. Par contre, il était évident qu’elle n’avait pas pardonné à Martial. L’antillaise demanda à Sophie si elle pouvait la déposer en ville. Elles bavardèrent tout le long du trajet et Marie-Amélie lui apprit que ce n’était pas la première fois que Martial utilisait des drogues. C’était comme ça qu’elle s’était retrouvée à passer la nuit avec Martial et son pote Antoine.
Même si, à l’époque elle n’était pas encore sa maîtresse, Sophie ne décolérait pas. Comment pouvait-il accepter de telles pratiques odieuses ? Elle aussi aurait des comptes à régler.
Pendant près de deux semaines, elle refusa de répondre aux messages et aux appels d’Antoine. Cela la rapprocha de son mari. Elle ne voulait plus revoir son amant et elle ne reverrait pas Martial non plus. Même s’il l’avait fait jouir comme une folle, elle le trouvait beaucoup trop dangereux. Avec son mari, ce n’était pas pareil. Il l’aimait et elle l’aimait toujours, mais, bien souvent, il éjaculait trop vite quand il lui faisait l’amour et n’arrivait plus à la satisfaire.
Quinze jours plus tard, pourtant, elle succomba une fois de plus au charme d’Antoine. Il vint la chercher à la sortie de son travail. Tout d’abord, il s’excusa pour ce qui c’était passé chez Martial. Il reconnut qu’il avait bien partagé Sophie avec lui, par contre, il nia formellement avoir prémédité ce qui était arrivé. L’antillais lui avait seulement demandé de lui présenter Sophie en échange du prêt de son appartement. Après, il avait trafiqué les cocktails et avait profité de la situation.
Sophie ne croyait pas trop à son innocence, surtout après ce que lui avait raconté Marie-Amélie. Mais comme elle ne voulait pas lui avouer qu’elle était retournée chez Martial, elle ne dit rien. Et puis c’était vraiment un bon amant, alors elle accepta de passer l’après-midi avec lui, une fois de plus.
Cette fois, il avait sorti le grand jeu. Au lieu de l’hôtel minable où ils se retrouvaient d’habitude, il avait réservé dans un des palaces du centre-ville. Il avait fait préparer du champagne et disposé des pétales de rose sur le lit. Sophie fut sensible à toutes ses attentions, surtout qu’il lui prodigua un délicieux massage avant de lui faire divinement l’amour. Il lui fit découvrir de nouvelles sensations en la prenant dans l’immense baignoire où elle connut un de ses plus beaux orgasmes quand il la prit dans l’eau tiède et la mousse parfumée.
Le soir, elle rentra épanouie et heureuse. Elle se sentait prête à repartir pour de nouvelles aventures avec son amant.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar strey » Lun 23 Fév 2015 16:15


Sacree prise en main!Qu en est il de la mise en bouche? :)
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Fév 2015 17:46

hélas, je n'ai pas de photo de la mise en bouche...
si son mari m'en envoie une...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Fév 2015 18:17

Mari jaloux ?

Pourtant le mari de Sophie commença rapidement à avoir de sérieux doutes. A plusieurs reprises déjà, il l’avait appelée sur son téléphone et elle n’avait pas répondu. A chaque fois, elle avait trouvé des raisons. Une fois elle lui avait dit qu’elle était au cinéma et avait mis le téléphone en mode silencieux. Une autre fois, elle prétexta être allée à la piscine et avoir laissé son téléphone dans les vestiaires. Une fois encore, elle expliqua qu’elle avait oublié de le charger.
Devenant soupçonneux, son mari se mit à surveiller les messages qu’elle recevait. Il le fit discrètement, essayant de consulter ses SMS lorsqu’elle prenait sa douche ou quand, chose assez exceptionnelle, il se levait avant elle.
Mais Sophie et Antoine étaient prudents. D’abord, son amant était enregistré sous le nom de « Mélissa » et puis ils avaient mis au point un langage codé pour leurs rendez-vous. Ils ne parlaient jamais d’hôtel, mais de piscine… Il trouva tout de même étrange le nombre de messages échangés avec cette Mélissa dont elle ne lui parlait jamais. Dans les appels passés et reçus, il trouva encore assez souvent la trace de Mélissa. Il finit par noter le numéro, sans toutefois reconnaître celui qu’Antoine lui avait communiqué des mois auparavant.
Un jour, il se décida à appeler le numéro en question. Comme il s’y attendait un peu, il tomba sur un homme. De plus, il lui sembla bien reconnaître la voix d’Antoine. Il décida d’espionner son épouse. Il la suivit discrètement à la sortie de son travail et la vit rejoindre son amant. C’était bien celui sur lequel il avait des doutes.
Pendant un moment, il se dit qu’il allait débarquer dans la chambre d’hôtel où ils se trouvaient, qu’il allait faire un scandale, et puis il réfléchit. Il était vexé que sa femme le trompe, surtout avec un homme qu’il connaissait maintenant depuis longtemps, mais en même temps cette idée l’excitait. Il se souvenait, en particulier, du jour où, sur la plage, son épouse avait fini par lui avouer qu’un type, plutôt bien foutu lui plaisait vraiment et que, s’il avait insisté. Elle aurait pu le suivre et le laisser lui faire l’amour. Il avait tellement été excité par cette idée qu’ils avaient dû rentrer plus tôt et qu’il l’avait baisée sauvagement.
Alors, n’était-ce pas enfin l’occasion de satisfaire son fantasme candauliste ? Discrètement, il prit des photos du couple illégitime. Ensuite, il harcela son épouse pour qu’elle avoue sa tromperie. Sophie résista longtemps, mais quand il lui montra les photos qu’il avait prises, elle ne put plus nier.
- « Voilà, tu sais depuis longtemps que je rêve de te voir faire l’amour avec un autre homme. Eh bien, la prochaine fois que vous irez batifoler, je veux assister à vos ébats… »
- « Mais tu es malade ! » protesta Sophie. « Antoine n’acceptera jamais ! »
- « Tu crois qu’il a le choix ? Qu’il préfère que j’envoie les photos que j’ai prises à sa femme ? »
Effectivement, Antoine n’eut pas le choix. Il fut forcé d’accepter ce que proposa le mari de Sophie. Quand ils se retrouvèrent dans la chambre de l’hôtel où ils allaient régulièrement, il était déjà là.
Sophie était terriblement gênée. Se déshabiller devant Antoine alors que son mari, assis dans un coin de la pièce, la regardait la mettait vraiment mal à l’aise. Elle retira pourtant sa robe, son soutien-gorge, son string et ne porta bientôt plus que ses bas. Antoine, qui s’était lui aussi déshabillé entièrement les lui ôta avec beaucoup de sensualité.
Rien qu’en le voyant caresser les jambes de son épouse, le mari de Sophie bandait terriblement. Quand Antoine se mit à caresser les fesses de Sophie, puis glissa la tête entre ses cuisses, il crut qu’il allait déjà jouir. Il se retint toutefois et attendit avec impatience qu’il la pénètre. Sophie semblait heureuse et épanouie. Au passage, son mari avait appris quelques trucs qu’il réutiliserait forcément avec elle. Il ne s’était jamais douté par exemple qu’elle aimait autant qu’on s’occupe de ses pieds et c’est avec surprise qu’il l’avait vue tendre ses jambes vers le visage d’Antoine pour qu’il lèche bien ses orteils et les prenne dans sa bouche.
Se prenant finalement au jeu, Sophie fit tout ce qu’elle pouvait pour montrer à son mari qu’elle était complètement libérée avec son amant. Elle le masturba longuement, lui prodigua une fellation comme elle n’en avait jamais faite à celui qui l’avait épousée. C’est elle qui le supplia de la prendre, lui demanda de la baiser comme une grosse salope, utilisant à dessein des mots crus.
Son mari était tellement excité qu’il jouit bien avant les deux amants, mais quand Antoine se vida sur la petite chatte de Sophie, la maculant de trainées blanches, il connut une nouvelle érection. Il se branla à toute vitesse et vint à son tour se vider sur le pubis de son épouse.
- « Je t’aime, salope ! » cria-t-il au moment de jouir.
Finalement, les choses s’étaient plutôt bien passées. Le mari de Sophie n’osa pas lécher sa chatte pleine de sperme comme il aurait aimé le faire, mais il avait pris un pied immense à voir enfin Sophie se faire baiser par un autre. Il se promit que ce ne serait pas la dernière fois.
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 23 Fév 2015 18:19

SOPHIE prête à recevoir une queue...
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Re: Histoires adultères

Messagepar trèsenvie d'etrecocu » Lun 23 Fév 2015 18:22


wahooo, quel engin !
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Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Lun 23 Fév 2015 19:39

cette histoire de sophie m' a terriblement excité
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Re: Histoires adultères

Messagepar Porno de luxe » Mer 25 Fév 2015 10:38

toujours le même plaisir à lire ces merveilleux récits, je n'ai pas oublié l'histoire écrite pour ma femme et illustrée par quelques photos...merci encore à l'auteur
Porno de luxe
 

Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 25 Fév 2015 10:40

Merci Jacques, j'ai adoré parler d'ANNE
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Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Mer 25 Fév 2015 13:21

c' est vrai que l' histoire d' anne était plutot pas mal et ses photos excitantes ;)
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 25 Fév 2015 13:57

bientôt une petite suite à l'histoire de SOPHIE.
j'y travaille dès que je peux...
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Re: Histoires adultères

Messagepar 40XL » Mer 25 Fév 2015 16:35


Un vrai garage à bites
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 25 Fév 2015 18:00

revenons à SOPHIE...
je suis sur que son mari est impatient...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 25 Fév 2015 18:02

Visite programmée

Sophie gardait une impression étrange après cette expérience insolite. D’ailleurs, elle n’avait pas trop osé en reparler avec son mari, ni avec Antoine qu’elle n’avait pas revu. Elle n’était pourtant pas au bout de ses surprises.
Quelques jours plus tard, son époux avait emmené les enfants à leurs activités sportives. Quand il rentra, elle ne put s’empêcher de lui demander s’il avait croisé Antoine.
- « Non, mais j’ai vu sa femme » répondit-il. « Je les ai invités à la maison le week-end prochain. »
- « Mais tu es fou ! » s’emporta Sophie « Qu’est-ce que tu cherches ? »
- « Rien » répondit son mari « Mais ça va m’amuser de vous voir tous les deux en présence de sa femme. Surtout que les enfants ne seront pas là. Je les ai inscrits au stage de deux jours avec le club… »
- « Tu te rends compte de la situation ? »
- « Parfaitement ! Et c’est ça qui m’excite… »
- « Décidément, tu es un grand malade… »
- « Et toi une petite salope qui va faire tout ce que je lui demande. Au fait, je ne t’ai pas dit que j’ai pris une belle photo à l’hôtel avec mon Smartphone ? Ton amant qui te pénètre… Tu veux la voir ? »
- « Non » répondit sèchement Sophie. « Tu as encore gagné… »
Leur conversation en resta là. Le lendemain, ce fut Antoine qui l’appela. Il semblait furieux.
- « Ecoute, j’en ai marre de ton mari ! C’est quoi cette idée de nous inviter avec ma femme ? »
- « Il dit que cela l’excite » avoua Sophie. « Il parait qu’il a pris une photo de toi en train de me baiser… »
- « Si ma femme voit ça, je suis foutu ! »
- « Justement, on va être obligés de faire comme il l’a décidé. Je t’aime…»
- « Moi aussi ! Bon, on verra bien… »
C’est avec une certaine angoisse que Sophie et Antoine attendirent le week-end. La chaleur était revenue et le mari de Sophie exigea qu’elle reçoive le couple vêtue seulement de son bas de maillot de bain et d’un tee-shirt moulant qui laissait clairement deviner ses seins magnifiques. Antoine et son épouse arrivèrent à l’heure convenue. Le mari de Sophie les accueillit de manière très conviviale. Ils bavardèrent un moment, puis il proposa de profiter de la piscine puisque le temps le permettait. Il avait d’ailleurs prévenu leurs invités qu’il fallait prévoir une tenue de bain.
La femme d’Antoine portait un maillot une pièce assez sage. Par contre Sophie retira son tee-shirt et se retrouva avec un monokini vraiment mini. Son mari jubilait déjà en voyant Antoine loucher sur les seins de sa maîtresse. L’après-midi se passa en toute décontraction. Le mari de Sophie se montrait très attentionné avec la femme d’Antoine. Il n’avait pas l’intention de la draguer. Ce n’était pas vraiment son type de femme, mais il avait envie qu’elle se sente bien. Une fois mouillé, le maillot de Sophie lui collait vraiment à la peau et laissait clairement entrevoir la forme se son sexe. Elle était follement excitante. Quand il proposa qu’ils restent à diner le soir, elle accepta avec enthousiasme.
Il prit son épouse à part. C’est à partir de maintenant qu’il avait décidé de corser la situation.
- « Je veux que tu l’excites à mort ! » dit-il à Sophie. « Va lui montrer la salle de bain pour qu’il puisse prendre une douche. Je veux que tu lui montre ta chatte, qu’il te tripote… Embrasse-le pendant que je bavarde avec sa femme. »
Sophie lui jeta un regard noir. Pourtant, elle fit exactement ce qu’il avait demandé. Elle conduisit Antoine jusqu’à la salle de bain et baissa rapidement son maillot de bain. Il la doigta aussitôt. Il caressa ses seins, malaxa ses femmes et l’embrassa avec fougue. Finalement, lui-aussi commençait à trouver excitant ce petit jeu duquel sa femme était exclue.
Quand Sophie revint vers les deux cocus, elle adressa un large sourire à son époux. Il comprit que les choses s’étaient passées comme il l’avait demandé.
- « Pour ce soir, nous avons prévu simple » expliqua celui qui était devenu le maître du jeu. « Nous allons manger quelques grillades. Vous irez vous changer si vous voulez pendant que je prépare le barbecue. Sophie va vous montrer la salle de bain. N’est-ce pas chérie ? »
- « Oui, bien sûr » répondit cette dernière.
Une fois que l’épouse d’Antoine fut à son tour dans la salle de bain, Sophie fut obligée par son mari de bien exposer sa chatte devant son amant qui était revenu.
- « Montre-lui bien ta moule gluante de mouille » insista-t-il. « Ce soir, je veux que tu mettes ta mini-jupe blanche et rien dessous ! Qu’il puisse bien te mater pendant que je parlerai avec sa femme… Et je veux qu’il te baise avant de partir, sinon j’envoie les photos…»
Antoine essaya de ne pas trop montrer son inquiétude, mais sa femme était plutôt jalouse. Pourtant, une fois de plus, il n’avait pas le choix. S’il ne voulait pas qu’elle reçoive ces photos, ô combien compromettantes, il fallait qu’il s’exécute.
Tout se passa comme le mari de Sophie l’avait prévu. A plusieurs reprises, il vit son épouse bien écarter les cuisses, alors qu’il bavardait avec la femme d’Antoine qui ne pouvait rien voir. Ce dernier profita généreusement du spectacle. Il était évident qu’il était de plus en plus excité par sa maîtresse. Quand Sophie annonça qu’elle allait préparer le dessert, il se proposa immédiatement pour l’aider.
Une fois dans la cuisine, il lui avoua qu’il ne tenait plus. Elle non plus d’ailleurs. Leurs petits jeux, imposés au début par ce mari obsédé avaient fait monter la pression plus encore qu’ils ne le pensaient. Antoine releva la jupe de Sophie dès qu’ils furent hors de la vue de leurs conjoints et il la prit sauvagement contre le mur. Elle mit ses cuisses autour de la taille de son amant et il la souleva de ses bras musclés. Sa queue était dure comme de la pierre. Il fallait faire vite, mais il la baisa bel et bien et elle jouit comme une folle. Elle ne put même retenir un petit cri, espérant que leurs conjoints restés dehors ne l’avaient pas trop entendue. Antoine se vida en elle, puis ils retournèrent avec les autres. Son mari ne manqua pas de la mettre mal à l’aise.
- « Je t’ai entendu crier chérie… Rien de grave ? »
- « Non, je me suis un peu brûlée avec le four » mentit Sophie.
La soirée se termina un peu plus tard. Antoine fit tout pour ne pas la prolonger. Dès qu’ils furent seuls, le mari de Sophie releva sa jupe.
- « Montre-moi ta chatte pleine de son sperme » ordonna-t-il.
Encore une fois gênée, Sophie s’assit sur une chaise et releva sa jupe. Il put constater que des trainées blanchâtres coulaient le long de ses cuisses. Il se mit à genoux devant elle et la lécha avec avidité. Au lieu de la dégoûter, cela la fit jouir une seconde fois…

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 25 Fév 2015 18:03

regardez comme elle est belle...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 25 Fév 2015 18:16

Rendez-vous à l’hôtel

Le lendemain Sophie et son mari avaient eu une conversation sérieuse. Elle n’aimait pas le chantage qu’il exerçait sur elle et sur Antoine. Pourtant, elle était bien obligée de reconnaître qu’il l’avait fait jouir très très fort quand il l’avait léchée encore remplie du sperme de son amant.
Il lui demanda si elle devait revoir Antoine dans la semaine. Elle répondit qu’il n’était pas disponible. Son mari exigea qu’ils se revoient tous les trois à l’hôtel. Elle fut obligée de lui promettre qu’il aurait le lieu et l’heure de son prochain rendez-vous.
Quand elle téléphona à Antoine, Sophie sentit qu’il était excédé. Il avoua que, lui-aussi, avait pris un plaisir intense à prendre sa maîtresse dans la cuisine avec cette fabuleuse adrénaline liée à l’interdit et au risque d’être surpris, mais il en avait assez de se sentir à la merci du mari de Sophie. Quand elle lui expliqua qu’il l’avait léchée encore remplie de son sperme, Antoine eut l’air troublé.
Toujours est-il que le cocu exigeait de renouveler l’expérience adultère à l’hôtel. Ils convinrent d’une date et Antoine promit à Sophie que ce serait la dernière fois. Elle ne comprit pas vraiment comment il avait l’intention de s’y prendre pour faire cesser le chantage.
Effectivement, la semaine suivante, ils se retrouvèrent tous les trois à l’hôtel, comme la fois précédente. Le mari de Sophie s’installa sur une chaise dans un coin de la pièce. Cette fois, elle se dévêtit avec moins d’appréhension. Elle était fière de voir ces deux hommes qui la regardaient, les yeux pleins d’envie, en train de se déshabiller. Elle prit tout son temps pour retirer sa jupe, puis son string, qu’elle porta furtivement à ses narines, avant de le lancer vers son mari qui le respira avec beaucoup d’envie. Elle vint faire dégrafer son soutien-gorge par Antoine, qui en profita pour caresser ses seins délicieux. Ce jour-là, elle ne portait pas de bas. La chaleur était revenue et ses jambes, déjà légèrement bronzées, étaient épilées avec soin. Elle se mit sur le lit et commença à se caresser doucement. Antoine vint se frotter contre son corps et lui malaxa les fesses.
Son mari adorait voir sa sublime épouse ainsi livrée à son amant. Il bandait déjà très fort. Il caressa sa queue dressée avec le string de sa femme puis se branla pendant qu’Antoine dégustait son abricot lisse. Il vit ensuite son amant la pénétrer avec délicatesse. Comme c’était bon de la voir pousser un soupir de plaisir. Elle ne se sentait même plus gênée d’être devant lui.
Soudain Antoine s’arrêta et se tourna vers le conjoint de sa maîtresse.
- « Alors, ça te plait d’être cocu ? » lui demanda-t-il.
- « Oui, je veux te voir la baiser ! » répondit-il. « Prends-la bien comme une salope… »
- « Il parait que l’autre jour tu as aimé lécher mon sperme dans la chatte de ta femme ? »
- « Oui, j’ai adoré ! Ça m’a excité à mort de t’imaginer en train de la baiser dans la cuisine pendant que je discutais avec ta femme. »
- « Et là, ça t’excite de se branler dans sa culotte ? »
- « Oui, je crois que je vais jouir dedans… »
Il regarda la queue bien tendu entourée par le string. Finalement, c’était excitant de baiser Sophie devant son mari.
- « Viens plutôt me sucer ! Ça va plaire à Sophie, je crois…»
Il se leva, soudain excité par cette idée et vint se mettre à genoux devant Antoine. Il passa d’abord doucement la langue sur son gland, puis prit carrément sa queue en bouche.
- « C’est ça… Suce-moi bien comme une lopette ! » dit Antoine.
Pendant qu’il se faisait pomper, Sophie se leva et prit la direction de la salle de bain.
- « Je vais me rafraichir » dit-elle.
Elle fit effectivement couler l’eau, mais surtout, elle attrapa le Smartphone d’Antoine et prit une photo de son mari en pleine fellation. Elle ne dit rien et il ne se rendit compte de rien. Tout avait été bien préparé avec son amant.
Elle revint sur le lit et Antoine la pénétra de nouveau. Son mari vit, en gros plan, entrer et sortir la queue d’Antoine de la chatte de Sophie. Son membre gonflé était moite de ses abondantes secrétions. Elle jouit d’abord, sa raidissant en ouvrant largement la bouche, puis il déversa sa semence en elle. Son mari s’approcha encore plus près et regarda le jus blanchâtre qui coulait sur des lèvres parfaitement lisses. N’y tenant plus, il donna un grand coup de langue et recueillit le sperme de l’amant que ce dernier le força à avaler. Il bandait toujours et vint se soulager sur le string de son épouse, comme il l’avait décidé depuis le début.
Ce n’est que tard dans la soirée qu’il reçut un mail dont la teneur allait lui faire comprendre que les choses avaient désormais changé. Il le lut :
Salut lopette,
J’ai bien aimé te voir sucer ma queue et lécher mon sperme, mais désormais c’est nous qui déciderons quand nous avons envie de ta présence.
Regarde vite la pièce jointe, il s’agit d’une belle photo que j’ai enregistrée en brouillon prête à être envoyée à ton patron et à tous tes collègues dont ta charmante épouse a bien voulu me fournir la liste.
J’adore ta femme, prends en soin !
Il ouvrit avec impatience le fichier joint. Il s’agissait d’un cliché sur lequel on le reconnaissait bien en train de sucer la queue d’Antoine. Il comprit qu’il n’avait plus l’avantage…
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 25 Fév 2015 18:17

extrêmement délicieuse quand elle se touche...
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Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Jeu 26 Fév 2015 09:58

vivement la suite, tes histoires sont supers et les photos magnifiques
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 26 Fév 2015 13:54

Une petite improvisation en guise de conclusion...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 26 Fév 2015 13:55

Rencontre à la plage

Effectivement, le mari de Sophie dut se résoudre à accepter les conditions imposées par son épouse et son amant. Chacun disposait d’un moyen de pression sur l’autre, mais si Antoine avait mis sa menace à exécution et envoyé la photo qu’il avait en sa possession aux collègues du mari de Sophie, les conséquences sur sa carrière professionnelle auraient été catastrophiques.
Sophie revit donc régulièrement Antoine, mais il dut souvent se contenter de ses récits pour savoir ce qui s’était vraiment passé. Le seul privilège qu’il avait conservé était de pouvoir la lécher quand elle revenait, remplie par son amant.
Il avait des contacts réguliers avec un homme qui avait accepté d’écrire et de publier les aventures de son épouse. Ce dernier essayait de retranscrire ce que lui racontait le mari de Sophie sans trop savoir s’il s’agissait de la réalité ou de ses fantasmes. Peu à peu, il se mit à fantasmer sur cette belle femme. Il avait très envie de la voir réellement et fit tout ce qu’il pouvait. Un jour, il reçut un mail du mari.
« Dimanche, nous allons à la plage. Nous serons au Porge à partir de 14 heures. Nous nous mettons près de la dune en prenant le dernier accès du grand parking à droite. Notre parasol est vert et rose. Vous reconnaitrez Sophie. »
Gilles était impatient de découvrir le corps de Sophie. Il avait tellement décrit ses ébats et s’était tellement masturbé sur ses photos qu’il avait l’impression de la connaître par cœur. Pourtant, il ne l’avait encore jamais vue. Il était sur la plage avant l’heure indiqué et guettait tous les couples qui descendaient la dune. Soudain, il la vit. Elle était aussi belle qu’il l’avait imaginée.
Il laissa s’installer le couple, puis se rapprocha pour venir s’installer à quelques mètres d’eux. Sur cette plage où le naturisme était fréquent, il espérait qu’elle bronzerait nue, mais son mari l’avait prévenu : en général, elle refusait. Effectivement, il la vit retirer sa petite culotte blanche brodée, mais elle enfila un maillot de bain. Elle s’était changée assise, mais, placé comme il était, il avait eu une vision idyllique sur sa chatte aux lèvres parfaites, l’espace d’un instant. Elle bronzait seins nus et il eut tout le loisir d’observer sa poitrine sublime. Comme il aurait aimé caresser ces seins déjà bronzés !
Gilles savait que le mari de Sophie aurait aimé qu’il la drague, qu’il essaie de l’entrainer dans les dunes pour se la faire, mais il était réaliste. Il était beaucoup plus âgé qu’elle et n’était pas un apollon. Pour le moment, il se contentait de la mater et cela lui procurait déjà une belle érection.
Par mail, ils avaient convenu d’un stratagème. Quand Sophie alla se baigner, son mari lui annonça qu’il avait oublié quelque chose et qu’il retournait à la voiture. Elle ne posa pas de question et courut vers l’océan.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 26 Fév 2015 14:05

SOPHIE sur la plage, le rêve...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 26 Fév 2015 14:06

Gilles vit son mari fouiller dans le sac de plage et il le suivit. Quand ils furent isolés, le conjoint de Sophie sortit la petite culotte de dentelles de sa poche et la tendit à son complice.
- « C’est ça que tu voulais ? » demanda-t-il.
- « Oh oui ! » s’exclama Gilles en portant la pièce de lingerie à ses narines. « Découvrir le parfum intime de la belle Sophie, il y a longtemps que j’en rêvais… »
- « Régale-toi ! Je te la laisse… »
- « Merci ! Hum, ce fumet… Tous les soirs je vais me masturber en respirant les effluves de cette chatte divine. Regarde, il y a même quelques tâches de pipi… »
- « J’aurais préféré te voir la baiser. Voir ta queue pénétrer dans sa chatte… Malheureusement, elle n’acceptera jamais ! »
- « Si déjà je pouvais te voir en train de lui faire l’amour… »
- « On va essayer… En repartant, tu passeras avant nous. Tu viens te planquer derrière le buisson qui est à côté du bosquet d’arbres. J’essayerai de la faire venir… »
Leur échange en resta là. Ils retournèrent sur la plage, séparément. Sophie était revenue sur sa serviette. Gilles passa le reste de l’après-midi à la mater en reniflant discrètement sa petite culotte. Le mari complice en fut très excité.
Quand ils commencèrent à ranger leurs affaires. Gilles partit devant rejoindre son poste d’observation. Evidemment, Sophie ne retrouva pas sa culotte.
- « Tu as dû la faire tomber sur le trajet » essaya d’expliquer son mari.
- « Mais non ! Je me suis changée sur la plage ! » protesta Sophie.
- « Alors c’est un collectionneur qui l’aura prise pendant que j’étais retourné à la voiture » dit-il finalement.
- « Tu déconnes ? »
- « Non, les fétichistes sont plus nombreux qu’on le croit… »
- « Franchement, il y a des malades ! » s’exclama Sophie.
Son mari se contenta de sourire. S’il y avait des malades, avec ses fantasmes candaulistes, il en faisait surement partie. Finalement Sophie resta nue sous sa robe.
Ils gravirent la dune et il insista vraiment pour qu’ils s’arrêtent à l’endroit où il l’avait prévu.
- « J’ai trop envie de te faire l’amour » dit-il.
- « Attends qu’on soit rentrés. Ici il y a des gens qui passent, je ne suis pas tranquille… »
- « Mais non, près du bosquet d’arbres, personne ne peut nous voir. Il y a une dune qui protège du chemin. Allez, viens ! »
Il insista tellement qu’elle finit par céder. Gilles les vit se rapprocher et s’installer sur une grande serviette. Sophie laissa son mari remonter sa robe sur ses fesses nues. La vision qu’avait le voyeur était splendide. Elle laissa son époux la caresser, embrasser les globes de chair fermes et excitants, puis il commença à la doigter. Il fit signe à Gilles de se rapprocher.
Sortant de sa cachette, il s’avança, prenant garde à bien rester hors de la vue de Sophie. Ses doigts remplacèrent ceux du mari. Il les enfonça doucement dans le vagin de la belle Sophie.
Soudain, elle comprit que ce n’était plus son mari qui la caressait. Elle reconnut leur voisin de plage, se releva et protesta.
- « J’ai envie qu’il te prenne » dit son mari. « Regarde, il a une belle queue »
- « Je m’en fous ! » s’emporta Sophie. « Tu es fou ! »
- « Alors, suce-le ! » insista-t-il.
- « Non ! »
- « Laisse-le au moins se branler sur ton cul »
A quatre pattes, elle laissa finalement son mari relever de nouveau sa robe. Gilles se masturba rapidement. Il avait habituellement de très grosses éjaculations, mais là, l’excitation était telle que ce fut un flot de sperme qu’il envoya sur les fesses de la belle blonde. Il regarda le liquide blanchâtre s’écouler vers son sexe. Les trainées épaisses atteignirent les lèvres. C’est alors que le mari de Sophie la pénétra en levrette.
Gilles put enfin caresser les seins de Sophie qui le laissa faire. Finalement excité e par cette situation un peu folle. Elle commença à gémir. Il pinça les pointes de ses seins au moment où elle allait jouir. Son mari se retira et éjacula sur son dos. Elle sentit le sperme chaud qui gicla jusqu’entre ses omoplates.
Après cet intermède inattendu, elle reprit ses esprits et remit sa robe, malgré le sperme qui la maculait. Elle jeta un regard noir à son mari et à Gilles et fila vers la voiture. Tout s’était déroulé comme les deux hommes l’avaient prévu.
Gilles était pleinement satisfait et gardait un trophée avec la culotte de Sophie. Son mari, quant à lui, avait pris un plaisir immense à la pénétrer souillée du sperme d’un inconnu. Elle n’avait pas voulu aller plus loin, mais il se dit que c’était un bon début. Peut-être les prémices de nouvelles aventures ?

FIN
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 26 Fév 2015 14:08

Les fesses de SOPHIE : prêtes à être spermées...
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Re: Histoires adultères

Messagepar trèsenvie d'etrecocu » Jeu 26 Fév 2015 14:11

tu as un beau cheptel de coquine
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Re: Histoires adultères

Messagepar xflorence » Jeu 26 Fév 2015 14:19

Très excitantes ces histoires de Sophie, bravo!
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 27 Fév 2015 10:17

En ce moment, SOPHIE m'inspire vraiment.
Peut être est-ce parce que j'ai l'espoir de la croiser vraiment un jour sur les plages girondines ?
En tous cas, je vais essayer de poursuivre un peu ses aventures. J'espère que son mari continuera à m'envoyer des photos pour illustrer mes récits...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 27 Fév 2015 16:37

voici donc une petite suite que j'ai imaginée...

Le mari de SOPHIE n'est pas encore au courant...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 27 Fév 2015 16:38

Le supermarché


Quelques semaines plus tard, Sophie était en train de faire ses courses dans un supermarché. Elle s’arrêta au rayon lingerie. Elle n’avait presque plus de culottes. Elle en avait déjà choisie une, plutôt classique avec des liserés roses sur un fond blanc et regardait un modèle un peu plus sexy. Un homme était posté à quelques mètres d’elle et ne perdait pas une miette de ses gestes. Elle finit par le remarquer et commença à trouver la situation gênante. Surtout qu’il s’approcha et lui glissa à l’oreille.
- « Vous devriez prendre des strings, je pense que cela vous irait très bien. »
- « Mêlez-vous de ce qui vous regarde ! » répondit-elle sèchement. « On ne se connaît pas… »
- « Oh si ! » répondit-il en souriant.
Sophie leva les yeux vers lui. Effectivement, ce visage lui disait quelque chose, mais elle n’arrivait pas du tout à resituer l’homme qui était devant elle. Il était plutôt bien habillé, portait des lunettes avec de fines montures dorées et avait de beaux yeux bleus. A part ça, elle le trouvait plutôt quelconque. Surtout, il était nettement plus âgé qu’elle et un peu trop petit à son goût.
Il mit la main dans sa poche et sortit un morceau de tissu froissé. Sophie reconnut immédiatement sa culotte qui avait disparu sur la plage.
- « Rendez-moi ça ! » cria-t-elle sans réfléchir.
- « Pas question » répondit son interlocuteur en ricanant. « Ou alors vous me donnez celle que vous portez en échange… »
Sophie se souvint alors parfaitement de cet homme qui s’était masturbé sur ses fesses. Elle se mit à rougir fortement.
- « Je vous propose d’aller boire un café après vos courses » insista Gilles. « Vous méritez beaucoup mieux que de la lingerie de supermarché ! Il y a un magasin Aubade dans la galerie commerciale. Je vous offre deux ou trois parures pour me faire pardonner… »
Elle se sentit soudain terriblement gênée face à cet homme. Il ne lui plaisait pas, et pourtant elle avait envie d’accepter sa proposition. Elle ne lui donna pas de réponse formelle, mais quand elle reposa les culottes qu’elle avait choisies, il sut qu’il avait gagné.
Sophie rejoignit Gilles dans le café qu’il lui avait indiqué. Elle se dit qu’elle était un peu folle, mais la manière dont il l’avait abordée l’avait intriguée. Et puis, elle avait envie d’en savoir un peu plus sur cet homme qui l’avait vue nue, l’avait touchée et avait joui sur elle. Il sut tout de suite se montrer intéressant. Contrairement à beaucoup d’hommes qu’elle avait rencontrés, il ne faisait pas que parler de lui. Il était vraiment à l’écoute de Sophie. Il la fit parler d’elle, de sa vie, de son travail, de sa famille. Elle se sentait de plus en plus à l’aise avec lui. Peu à peu, il prenait l’ascendant sur elle sans la brusquer. Quand il lui proposa de rejoindre le magasin de lingerie, elle n’hésita pas une seconde.
Elle le suivit et ne sentit pas trop gênée de choisir des dessous avec un homme qui était nettement plus âgé qu’elle et qu’elle connaissait à peine. Elle choisit un modèle coordonné de couleur pourpre. Il lui fit remarquer que cela irait parfaitement avec des bas crème ou blancs. Elle en choisit une paire. Gilles lui proposa ensuite un modèle très aérien, assez transparent, mais mignon. Elle hésitait entre le blanc et le noir. Il lui demanda de prendre les deux. Sophie allait se diriger vers les cabines, mais il la saisit par le bras.
- « Vous devriez aussi essayer ce genre de modèle… »
Il avait choisi une guêpière blanche assez provocante. C’est le genre de lingerie qu’elle n’avait pas l’habitude de porter, mais pourquoi pas essayer ? Elle prit le cintre qu’il lui tendait et lui sourit avec une certaine tendresse. Elle savait qu’il allait vouloir assister à l’essayage, mais cela ne la dérangeait plus. Elle se sentait même émoustillée à l’idée de passer ces tenues devant lui.
Une fois dans la cabine, Sophie se mit entièrement nue. Elle laissa Gilles la regarder, puis elle essaya les tenues qu’ils avaient choisies ensemble avec beaucoup de sensualité. La voir enfiler des bas avec lenteur et application était follement excitant. Il aurait eu envie de la prendre, de la faire crier au beau milieu du magasin, mais il avait le temps. Il se contenta de la regarder, commentant les postures suggestives qu’elle prenait, puis il la laissa se rhabiller sans même l’avoir touchée.
Il passa à la caisse régler la facture, assez conséquente, et la remercia pour le spectacle qu’elle lui avait offert.
- « C’est moi qui te remercie » répondit Sophie se surprenant à le tutoyer. « Tu m’as vraiment gâtée. »
Il lui sourit et ils se dirigèrent ensemble vers le parking. Avant de la laisser remonter dans sa voiture. Il lui dit qu’il avait très envie de la revoir.
- « Si tu es libre mardi prochain, je t’attendrai au café où nous sommes allés tout à l’heure. Tu viendras ? »
Sophie s’approcha de lui, déposa un baiser furtif sur ses lèvres et monta dans sa voiture après avoir murmuré un « oui » timide qui remplit Gilles de joie.
Elle se demanda si elle n’était pas en train de se comporter comme une pute, mais ces « petits cadeaux » lui avaient fait très plaisir. Avant de démarrer, elle remonta sa robe et se caressa sur le parking. Cette exhibition l’avait mise dans un état indescriptible. Sa culotte était trempée et elle frotta son clitoris avec vigueur, provoquant un orgasme surprenant dans un lieu inattendu.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar berthold » Sam 28 Fév 2015 01:03

Charmant, sexy, ambigu et bien écrit: bravo !
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Dim 1 Mar 2015 15:53

Second rendez-vous

Le mardi suivant, Gilles attendait au café où il avait rencontré Sophie la semaine précédente. Il regarda sa montre une fois de plus et se dit qu’elle ne viendrait pas. L’autre jour, il avait usé de l’effet de surprise, mais là, elle avait eu le temps de réfléchir. Comment cette femme aussi belle pouvait-elle se lancer dans une relation avec lui ? Pourtant, elle lui plaisait vraiment. Et surtout, il la sentait assez cérébrale pour vivre avec lui une relation qu’il aurait aimée basée sur le jeu.
Sophie arriva avec seulement quelques minutes de retard. Elle portait une jupe blanche qui lui allait très bien. Sa démarche était assurée et elle avait une allure fière. Sous le long chemisier dont l’encolure était entrouverte, il reconnut les dentelles d’un des soutien-gorge qu’il lui avait offerts la semaine précédente. Elle lui sourit et s’avança vers lui.
Ils bavardèrent un long moment. Gilles avait l’art de l’amener à se confier. Elle lui avoua sans trop de difficulté qu’elle avait un amant. Quand il lui demanda si elle aimait les petits jeux excitants, elle avoua avoir pris grand plaisir le jour où son amant lui avait demandé d’aller retirer sa culotte aux toilettes. Gilles lui prit la main. Elle ne refusa pas ce contact tactile et continua à lui expliquer ce qu’elle avait ressenti. Ce mélange d’inquiétude et d’excitation.
- « Et aujourd’hui, tu portes le string assorti au soutien-gorge que j’aperçois ? » demanda-t-il.
- « Oui »
- « Serais-tu prête à le retirer ? Là, maintenant ? »
- « Pour recommencer le même jeu ? » questionna Sophie en rougissant légèrement.
- « Non, sans aller aux toilettes… Je veux que tu le retires ici ! Discrètement, sous la table… »
- « Mais enfin, on va me voir ! » protesta la jeune femme.
- « C’est un risque à prendre… Alors, tu oses ? »
Sophie le regarda droit dans les yeux. Il la défiait. Elle fit un tour d’horizon pour s’assurer que personne n’avait les yeux fixés sur eux, puis elle se contorsionna pour faire glisser le string. Il atterrit à ses chevilles et elle le ramassa le plus discrètement possible. Elle le tendit à Gilles.
- « Bravo ! » la félicita celui-ci. « Tu n’es pas une dégonflée… »
Il prit le string entre ses doigts et passa l’index à l’endroit où il avait été souillé par les secrétions.
- « Tu mouilles pas mal » dit-il à Sophie qui ne savait plus où se mettre en le voyant porter le petit string à ses narines. « Hum, j’adore ton parfum ! »
Il lui prit de nouveau la main et la regarda de son air le plus tendre. Il fit ensuite reculer sa chaise et se pencha en arrière.
- « Je veux que tu me montre ta chatte maintenant » dit-il.
- « Quand même ! » protesta Sophie »
- « Allez, vas-y ! Il te suffit d’écarter les cuisses lentement… »
Une fois encore, elle sentit un irrépressible besoin de répondre à ses injonctions. Elle se recula légèrement et commença à écarter ses genoux l’un de l’autre. Gilles vit nettement ses cuisses, puis il aperçut enfin l’objet tant convoité. Ce sexe féminin objet de tous les désirs, dont il apercevait les lèvres et la toison finement taillée.
- « Hum, c’est beau ! » commenta-t-il. « Ecarte bien pour me montrer ! »
Sophie regarda si personne ne la voyait et écarta plus largement les cuisses. Elle ressentait une excitation extrême à obéir à cet homme dont l’emprise sur elle était de plus en plus forte. Quand des clients entrèrent dans le bar, elle referma ses cuisses en toute hâte et se demanda s’ils ne l’avaient pas vue.
Ils bavardèrent encore un long moment, puis Gilles la raccompagna jusqu’à sa voiture. Elle s’attendait à ce qu’il passe sérieusement à l’action et lui propose d’aller à l’hôtel, mais il n’en fit rien. Il se contenta de l’embrasser sur la bouche de manière un peu plus appuyée que la semaine précédente et lui mit furtivement la main aux fesses. Elle était presque déçue.
Il lui fit signe de baisser sa vitre et lui demanda de remettre sa culotte devant lui avant de repartir. Elle prit le string qu’elle avait bourré dans son sac et le remit avec lenteur, le laissant bien admirer son intimité de plus près.
- « Tu me fais bander » dit Gilles. « On se voit mardi prochain ? »
- « Oui ! » répondit cette fois clairement Sophie. « Tu ne peux pas avant ? »
Il sourit. Sa dernière question prouvait qu’elle commençait à devenir accro à leurs jeux. C’est exactement ce qu’il voulait. Il avait une envie folle de la baiser, mais il ne lui montrerait pas. Il voulait que ce soit elle qui lui demande de la prendre. Et il savait que ce jour arriverait bientôt…
- « Si tu veux, on peut se voir vendredi » lui dit-il juste avant qu’elle démarre. « On se retrouve au café ? J’aurai de nouveaux petits jeux à te proposer… »

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 2 Mar 2015 11:21

Une demande inattendue

Sophie n’avait, évidemment, pas parlé de ces rendez-vous avec Gilles à son mari. Elle avait revu Antoine à plusieurs reprises et il lui avait bien fait l’amour. Pourtant, ses pensées étaient de plus en plus occupées par Gilles. Cet homme qui lui proposait des exhibitions insensées, la mettait dans des situations gênantes dans des lieux insolites, tout cela sans pratiquement avoir essayé de la toucher, l’intriguait profondément. C’était cet apparent détachement qui la poussait à le revoir.
Le vendredi arriva vite. Une fois encore, Gilles attendait à la table qu’ils avaient déjà utilisée la dernière fois. Cette fois, il l’embrassa à son arrivée et glissa la main sous sa jupe.
- « Je vérifie que tu as bien mis une culotte plaisanta-t-il. « Je prends tant de plaisir à te voir la retirer…»
- « Tu ne vas pas encore me demander la même chose que la dernière fois ! » protesta gentiment Sophie.
- « Oh non, tu te lasserais. Mais j’ai l’impression que tu aimes bien nos petits jeux ?»
- « C’est vrai » avoua Sophie. « Je crois que je suis assez cérébrale »
- « As-tu lu 50 nuances de Grey ? »
- « Oui, comme beaucoup de monde… »
- « J’aimerais te proposer un relation du même genre… »
- « C'est-à-dire ? »
- « Un contrat de soumission. Je veux que tu deviennes ma chose. »
- « Euh, je ne sais pas si je serais prête à aller aussi loin. »
- « Réfléchis-y ! J’ai beaucoup hésité avant de te faire cette proposition » reprit Gilles. « Tu as le profil parfait pour devenir une bonne soumise. Mais j’ai besoin d’un engagement total. »
- « L’idée me plait, je ne vais pas le cacher » répondit cette fois clairement Sophie. « Mais je suis mariée, j’ai des enfants, un travail prenant… »
- « Bien sûr, cela nécessitera des aménagements. Je n’ai pas l’intention de te soustraire à tes obligations familiales, ni de mettre en péril ta vie professionnelle. Mais je veux que ta sexualité m’appartienne. Que je la contrôle totalement ! »
Sophie frissonna. Jamais elle n’avait envisagé ni même imaginé une relation de ce type, mais pourtant, elle ne l’excluait pas. Les sensations que lui avaient procurées les petits jeux auxquels ils s’étaient livrés étaient telles qu’elle se disait que cela devait être formidable de dépendre totalement d’un homme attentif à son plaisir. Elle vit Gilles sortir une chemise dans laquelle se trouvait un document. Elle le survola rapidement et le laissa reprendre.
- « Voilà, je veux que tu prennes le temps de l’étudier. Tu es libre mardi prochain ? »
- « Oui »
- « Je te laisse le week-end pour l’étudier. Si tu le signes, on commence mardi. »
- « Et si je ne signe pas ? »
- « Je chercherai une autre soumise. C’est vraiment le type de relation dont j’ai envie »
- « D’accord, je vais voir si je peux signer. »
- « Eh bien on en reparle mardi. » conclut Gilles en se levant.
Sophie parut déçue. Elle fit une moue évocatrice de sa frustration. Elle aurait aimé savoir si cet homme, qui exerçait sur elle une emprise psychologique de plus en plus forte, était un bon amant. Elle comprit pourtant, qu’il voulait d’abord qu’elle s’engage. Toutefois, il savait qu’elle était en attente et s’adressa à elle en sortant.
- « Je vais tout de même te proposer un défi exhibe avant qu’on se sépare. J’ai besoin de tester ta volonté de m’obéir»
- « D’accord » fit Sophie
- « Tu vas reprendre ta voiture et tu iras te garer tout au fond du parking, là où il n’y a personne. Je veux que tu te déshabille entièrement. Tu ne conserveras que tes bas. Quand je te rejoindrai, je veux que tu sois nue, les pieds sur le tableau de bord. »
- « Mais si quelqu’un arrive ? » objecta la blonde inquiète.
- « C’est justement ce qui apporte l’adrénaline, la peur d’être surprise… »
Sophie se demanda si elle en serait capable, mais elle ne voulait pas le décevoir. Elle regagna son véhicule et démarra fébrilement. Elle alla stationner à l’endroit qu’il lui avait indiqué et commença à se dévêtir. Bientôt, elle se retrouva uniquement avec ses bas noirs. Elle recula le siège et mit les pieds sur le tableau de bord, comme il l’avait demandé.
Elle était morte de trouille. Elle ne cessait de regarder si quelqu’un arrivait. Quelle humiliation si on l’avait surprise ainsi ! Une voiture s’approcha. Son cœur se mit à battre plus fort, mais elle reconnut bien Gilles au volant. Il se gara juste derrière elle et vint à pied à sa hauteur. Il la regarda en souriant.
- « C’est bien, petite cochonne. Montre-moi bien ta chatte ! Ecarte bien tes lèvres, je veux voir l’intérieur de ton vagin ! »
Comme hypnotisée, Sophie fit ce qu’il lui demandait. Il la fit mettre à quatre pattes sur le siège, pour bien observer son cul. Puis il la fit remettre dans sa position initiale.
- « Branle-toi ! » ordonna-t-il. « Je veux te voir jouir ! »
Sophie se mit à doigter cette chatte trempée, tout en frottant son clitoris avec l’autre main. Elle se fit jouir en moins de deux minutes, tellement l’excitation était forte. Entendre le clapotis de ses doigts dans son vagin, voir ses jambes se raidir et ses pointes de pieds se tendre au moment de l’orgasme était un spectacle fabuleux. Pourtant, Gilles se contenta de lui dire « A mardi », puis il retourna dans sa voiture et démarra aussitôt.
Elle resta quelques secondes inertes, puis se rhabilla précipitamment. Ce n’était pas le moment de se faire surprendre. Elle rentra chez elle, impatiente de lire attentivement le contrat qu’il avait préparé.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Lun 2 Mar 2015 14:35

Le contrat

Une fois chez elle, Sophie s’isola et lut attentivement le document que Gilles lui avait confié. La teneur en était la suivante :
CONTRAT DE SOUMISSION
Le présent contrat engage La Soumise, Soumise Sophie et son Maître et propriétaire, Maître Gilles.
Les règles du présent contrat sont édictées pour participer au bien-être des deux contractants, par le respect de ces règles se fondant sur un principe d'une relation d'autorité où le dominant s'engage à conduire la soumise en pleine abnégation d'elle-même vers la pleine obéissance envers son Maître. Si le caractère cérébral est la base du contrat. Toutes les formes de dominations seront cependant exercées par le Maître.
Par le présent contrat la soumise se met librement et de sa propre volonté sous la protection et la gouverne du Maître. Elle le prie humblement d’accepter la garde de son corps et de son esprit. Elle lui demande d’utiliser les pouvoirs dont il est investi pour la modeler et la façonner.
Durée du contrat
Ce contrat constitue de fait un contrat d’un an, renouvelable. Il prendra application dès sa signature. Toutefois, et par accord des deux parties, une révision des articles et annexes additives sera envisageable pour une éventuelle réévaluation du texte.
En cas de résiliation, elle devra être acceptée par les deux parties. La partie désireuse de cesser le contrat, s'engage à argumenter et prendre un délai de deux semaines pour finaliser sa décision.

Règles inconditionnelles
La soumise accepte parfaitement les règles inconditionnelles qui lui sont dès cet instant imposées et qui pour l'essentiel se définissent comme suit.
La Soumise :
A confiance en son Maître pour qu'il juge des limites de celle-ci.
Reconnaît que son but unique est d'obéir, de servir, d'honorer et de donner du plaisir à son Maître.
Accepte que le Maître dispose de son corps à chaque instant et selon sa volonté et son bon plaisir.
Reconnaît par avance que son Maître est souverain, et qu'elle ne doit pas contester ses paroles, ordres et décisions.
Elle accepte d'être punie pour tout manquement aux paroles, aux ordres et décisions de son Maître, et pour toutes fautes, tout laisser-aller, ou pudeur incongrue en présence du Maître.
Elle déclare dès ce jour qu'elle s'appliquera à se comporter avec obéissance et abnégation.
Règles de vie et Lieux d'application du contrat
Si la soumission de la soumise peut être principalement réalisée lors de séance et en présence de son Maître, une application de règles de vie sera établie afin de renforcer l'autorité et l'influence du Maître à tout moment et en tous Lieux.
Règles de conduite :
L'obéissance sera tant cérébrale que physique, et d'une façon générale et dans le cadre intime et public, la soumise devra prendre l'habitude d'obéir sans poser de question, de faire plutôt que de choisir. Toute application limitée ou refus des ordres du Maître seront sanctionnés.
Des annexes au document majeur du contrat seront régulièrement éditées afin de déterminer les champs d'applications des devoirs de la soumise envers son Maître. Ainsi un carnet d'évaluation auquel sera adjoint un programme des progrès à accomplir sera créé, afin que le Maître puisse vérifier, annoter la valeur des résultats obtenus par sa soumise.

En guise de reconnaissance d'être ainsi maintenue en état de Soumission, la soumise signifiera chaque jour à son Maître la matérialisation de cette possession. Cela se traduira par l'écriture quotidienne d'un journal intime qui devra être tenu à disposition permanente du Maître, et par le port régulier de sa médaille "S.Sophie" en tout lieu public et privé. Elle s'engage également quand les temps et lieux le permettront de laisser libre accès à son domicile à toute heure du jour ou de la nuit selon le bon vouloir de son Maître. Pour manifestation de la pleine autorité du Maître elle lui remettra les clés de son domicile.

Domaine d'application du contrat
Domination Physique
Le corps de la soumise doit être à la disposition pour tout travail physique décidé par le Maître.
La soumise proposera à son Maître un corps tenu dans une hygiène rigoureuse et parfaitement épilé.
Pour satisfaire la domination physique de son Maître, la soumise devra supporter avec obéissance et abnégation :
Le port toutes sortes de matériels, objets, accessoires, vêtements de toutes formes
Les châtiments corporels
Les humiliations physiques
Le bondage
Le port régulier d'entraves collier de chienne, la laisse, ou les chaînes, bâillon, menottes etc....
Ces pratiques seront utilisées pour l'éducation de la soumise, et le plaisir de son Maître et toutes autres personnes choisies par le Maître.
Domination sexuelle
Les trois orifices de la Soumise devront être offerts au Maître à tout moment et sur simple demande. Le Maître se réserve le droit de les pénétrer, de les dilater ou de les ignorer, de les exhiber selon son seul bon vouloir. Aucune autre personne que le Maître n'aura le droit d'accès aux orifices de la soumise, seul un accord préalable du Maître permettra l'utilisation des orifices par un tiers.
Pour satisfaire la domination sexuelle de son Maître, la soumise devra supporter avec obéissance et abnégation:
La pénétration et port toutes sortes de matériels, objets, accessoires, vêtements de toutes formes.
Accepter à tout moment de proposer un corps parfaitement épilé.
Laisser libre accès à son corps à tout moment et en tout lieu.
Accepter d'être exhibée et prêtée sur ordre du Maître et en sa présence, à toutes personnes désignées par le Maître.
Domination extérieure
Dans le cadre de la domination de la soumise une exhibition en extérieur ou en présence d'autres personnes prendra une part progressive à sa formation sous réserve de ne jamais risquer un attentat à la pudeur.
Pour satisfaire la domination extérieure de son Maître, la soumise devra supporter avec obéissance et abnégation:
Le port de tenues imposées par le Maître.
Accepter de proscrire le port de sous-vêtements en présence du Maître, sauf si le Maître l'ordonne.
Accepter d'être exhibée, punie, utilisée selon bon plaisir du Maître en présence de toute personne choisie par le Maître.
Accepter de donner du plaisir ou d'être prêtée en présence de son Maître à toute autre personne désignée par son Maître.
Domination cérébrale
Si le corps de la soumise est la pleine propriété du Maître, et qu'il peut en disposer comme il l'entend, la soumission cérébrale devra elle aussi être totale.
La Soumise accepte de confier sa capacité de décision à son Maître et doit s'en remettre totalement à lui.
Pour satisfaire la domination cérébrale de son Maître, la soumise devra supporter avec obéissance et abnégation:
Les humiliations verbales.
Le port régulier de bandeau la privant du repère de la vue.
La perte du droit d'expression par simple interdiction de parler ou par le port d'un bâillon boule.
La privation de toute intimité en présence du Maître.
La privation de liberté par enfermement, attachement, immobilisation.
Le port régulier de son collier de soumise "S.Sophie".
Aucune dérogation ne pourra être accordée à l'application de ces règles de la domination du Maître, et tout manquement sera très sévèrement puni. La soumise pourra arrêter une épreuve par le simple mot "STOP". Mais elle devra immédiatement choisir un châtiment.

Sanctions et Punitions
La soumise accepte sans nécessité de justifications et sur seul décision et bon vouloir du Maître de subir toutes formes de sanctions ou punitions
La soumise pourra être liée par des cordes ou chaînes portées en tout point du corps, poignets, chevilles, taille, cou etc. Et subir au seul choix de son Maître toutes formes châtiments qu'il jugera bon de lui administrer pour le bien fondé de son éducation ou pour tout manquement, fautes, laisser-aller ou pudeur incongrue face au Maître.
La soumise accepte par avance toutes pratiques et formes de sanctions et punitions choisies par son Maître et ceci en tout lieu et à toute heure du jour ou de la nuit et en présence de toutes personnes choisies par le Maître.
La soumise ne pourra se soustraire sous aucun prétexte aux punitions décidées par son Maître.
Quelle que soit la gravité des faits, ou paroles incriminées, le Maître demeurera le seul et unique juge des fautes et manquements de sa soumise, il décidera en toute autorité du bien-fondé, de la dureté et durée de la punition méritée.
Les punitions seront administrées à Soumise Sophie avec sérieux et fermeté,
Pendant le temps des punitions Soumise Sophie devra pouvoir satisfaire à tout moment les désirs sexuels de son Maître.
Bien évidemment le Maître conservera un œil critique et attentif aux faits et gestes de sa soumise. Il peut arriver qu'une faute ou erreur de comportement liée à son statut soit commise par la soumise. Mais le Maître peut aussi volontairement laisser croire à sa soumise que la faute n'a pas été relevée, afin de vérifier l'intégrité du respect de cette règle. La soumise devra donc dans les plus brefs délais, informer son Maître de toute inconduite dont elle aurait pu se rendre coupable.
Toute discussion et/ou retard d'exécution d'un ordre du Maître donnera lieu à une sanction, pour tout retard supplémentaire la punition sera doublée, pour tout refus et récidive une peine exemplaire pourra être administrée.
Les sanctions seront données de façon immédiate ou par cumul. Selon l'importance de la faute une seconde sanction pourra être exigée par le Maître, des punitions cumulatives groupant toutes les fautes commises pourront être administrées par le Maître de façon hebdomadaire et/ou mensuelle selon son bon vouloir.
A toute fin utile et pour se prémunir contre les agissements rebelles de la soumise notons qu'il est strictement interdit à Soumise Sophie de mordre ou de griffer son Maître de façon sournoise et inattendue. Se rendre coupable de ce délit envers son Maître à de multiples reprises, après la signature du dit-contrat ainsi que tout manquement au respect du Maître sera très sévèrement puni.
Congés
Le Maître peut donner à la soumise des "périodes de congé" en sa présence pendant lesquelles la soumise pourra s'exprimer librement et ouvertement. Il n'y aura aucune punition applicable pendant ces périodes. Il est cependant compris que la soumise continuera à s'adresser à son Maître avec respect et obéissance en tout temps, et qu'une infraction à cette règle pourra entraîner une punition par la suite.


Certains points ne convenait pas à Sophie, mais elle avait très envie de s’engager quand même. Elle aurait jusqu’au mardi pour y réfléchir.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mar 3 Mar 2015 14:51

Première séance

Lorsque Sophie rejoignit Gilles, elle était fébrile. Allait-elle signer ce contrat ? Elle se le demandait encore. Elle savait que c’était une idée un peu folle, que s’engager pour un an n’était pas raisonnable, mais il y avait cette clause qui permettait de rompre le contrat avec un préavis de deux semaines, alors pourquoi pas essayer ? Et puis il y avait ce mot magique, ce STOP qui permettait d’arrêter à tout moment. C’était la garantie qu’il ne dépasserait pas ses limites.
Ce qui la dérangeait le plus, c’étaient ces punitions. Il était fait état de châtiments corporels. Elle n’aimait pas la violence. Elle le fit remarquer à Gilles.
- « Moi non plus je n’aime pas la violence, mais il faut bien prévoir un moyen de punir tes manquements. Si je dois y recourir, je considérerai cela comme un échec. »
- « Tant mieux… Une autre chose me gêne vraiment… Te donner les clés de chez moi. Je ne vis pas seule. J’ai une famille, des enfants…»
- « Rassure-toi, je ne me pointerai pas chez toi à tout bout de champ. C’est surtout symbolique. Un signe de soumission et d’appartenance. »
Sophie semblait vraiment hésitante. Apposer sa signature au bas de ce document risquait de changer sa vie. Gilles sut employer les mots qu’il fallait pour la décider. Il lui expliqua qu’il voulait une relation basée sur la confiance, que son seul objectif serait de la voir s’épanouir sexuellement et prendre un plaisir de plus en plus grand à lui obéir. Finalement, Sophie prit le stylo et signa le contrat.
- « Alors, on commence quand ? » demanda-t-elle avec un large sourire.
- « Tout de suite » répondit-il en signant à son tour. « Viens, on va aller chez moi. »
C’est avec une certaine appréhension que Sophie le suivit. Il l’emmena jusqu’à son domicile qui était de taille modeste, mais plutôt bien équipé. Il lui fit visiter l’appartement, lui montrant toutes les pièces, y compris celle qui n’avait pas d’ouverture qu’il avait aménagée pour les séances de domination. Plusieurs martinets, une cravache, des menottes, des cordes étaient posés sur un petit meuble. En voyant ces accessoires, Sophie frissonna.
- « Ne t’inquiète pas, je m’en servirai le moins souvent possible » lui dit-Gilles.
Elle se contenta d’acquiescer. Il la ramena dans le salon et lui demanda de se mettre entièrement nue. Elle s’attendait à ce genre d’exigence. Il alla chercher le collier de cuir avec une médaille gravée avec la mention « S.Sophie », comme il était indiqué sur le contrat. Il l’attacha autour de son cou.
- « Je veux que tu la porte tout le temps ! Tu as de la chance, j’ai supprimé le paragraphe qui t’obligeait à te faire tatouer la même chose. »
Une fois encore, elle ne dit rien. Le collier était plutôt discret et la médaille assez jolie. Gilles alla chercher un godemichet muni d’une ventouse et le colla sur une chaise.
- « Viens t’empaler dessus, j’ai adoré te voir jouir l’autre jour. »
Sophie vint se mettre au-dessus du gode et le fit pénétrer lentement dans son vagin. Gilles vint alors derrière elle et se mit à malaxer ses seins.
- « C’est bien ! Fais-toi jouir ma petite chérie ! »
Elle prit appui sur ses pieds et fit monter et descendre son corps. L’engin qui la a transperçait était gros, mais pas disproportionné. Plus elle sentait le plaisir monter, plus Gilles pinçait fort les pointes de ses seins. Elle se mit à crier et jouit sans retenue sous les yeux de son nouveau maitre.
Il la félicita, puis la laissa récupérer un peu avant d’aller chercher un bol de fraises dans le réfrigérateur. Sophie était étonnée de la manière dont les choses débutaient. Non seulement il ne se montrait pas trop directif, il semblait même très attentif à son plaisir, mais il faisait preuve d’un altruisme étonnant. Elle se demandait à quel moment il allait enfin lui faire l’amour.
Gilles posa le bol sur la table et sortit enfin son sexe. Il commença à se masturber devant cette femme qui venait de jouir. Il se branla au-dessus des fraises et éjacula dans le bol. De longues giclées blanches maculèrent rapidement les fruits.
- « Maintenant, mange-les » ordonna-t-il.
Sophie en prit une et la mit entre ses dents. Elle n’osait pas la mettre franchement en bouche. Il l’encouragea et elle se décida finalement. Les fruits avaient été copieusement sucrés et elle sentait à peine le goût du sperme, mais l’idée d’avaler la semence de cet homme était pour elle une chose étrange. Pourtant, elle avait promis de lui obéir, alors elle mangea toutes les fraises contenues dans le bol, ce qui parut le satisfaire.
- « C’est bien ! » dit-il. « Pour une première séance, je ne vais pas t’en demander trop. Rhabille-toi si tu veux… »
A la fois soulagée que ses exigences ne soient pas plus fortes et un peu intriguée qu’il ne cherche toujours pas à lui faire l’amour. Elle remit d’abord ses bas, puis enfila sa culotte et enfin enfila sa robe.
- « La prochaine fois, ce n’est pas la peine qu’on aille au café » déclara Gilles. « Tu viendras directement ici. »
- « Oui, je viens vendredi ? »
- « Exactement ! Désormais, je veux te voir tous les mardis et tous les vendredis. »
- « C’est d’accord. Et si un jour je ne peux pas, je te préviens comment ? »
- « Arrange-toi pour pouvoir ! » répondit-il sur un ton qui ne souffrait pas la discussion. « La prochaine fois, nous irons un peu plus loin. »
Sophie remit ses chaussures et retourna à sa voiture après l’avoir embrassé. Pour l’instant, cela ressemblait plus à des jeux érotiques qu’à de la domination. Elle n’allait pas s’en plaindre.

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 4 Mar 2015 21:59

Je vous remets une petite photo de SOPHIE

Vous la trouvez comment ?
Dernière édition par GILLESBDX le Lun 23 Mar 2015 10:34, édité 1 fois.
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 4 Mar 2015 22:00

Fellation

Au cours du week-end qui suivit, Sophie parla de Gilles à son mari. Il voulut savoir comment elle l’avait revu, ce qu’il avait fait avec elle. Elle lui décrivit les situations excitantes du centre commercial, mais n’osa pas lui parler du contrat de soumission.
Il avait l’air totalement excité par ses aventures inattendues. Quand elle lui dit que son nouvel amant voulait la prendre devant son mari. Il manifesta un enthousiasme qu’elle jugea même excessif.
Elle retourna donc chez Gilles. Il n’était pas là. Elle rentra donc avec la clé comme il l’avait demandé et se déshabilla en arrivant. Elle attendit nue, au milieu du salon pendant dix bonnes minutes.
Le vendredi, Sophie se rendit directement chez Gilles. Il l’attendait tranquillement. Il la fit entrer et elle se déshabilla, sans attendre qu’il le lui demande. Il s’installa dans un fauteuil et la regarda se mettre nue. Elle était belle, il adorait son corps.
- « Tu as commencé la rédaction de ton journal intime ? » demanda-t-il.
- « Oui, mais j’ai du mal à trouver le temps » répondit Sophie. « Avec les enfants, ce n’est pas facile… »
- « Ne t’inquiète pas, je ne te mettrai pas de pression particulière là-dessus » ajouta-t-il d’un ton rassurant. « Je ne te le demanderai qu’une fois par mois, au moment de tes évaluations. Je veux que tous tes orgasmes y soient consignés et décrits »
- « Bien. Ils le seront »
- « As-tu joui depuis mardi ? » demanda Gilles.
- « Euh, oui… » répondit Sophie en prenant un air coupable.
- « Tu as fait l’amour avec ton mari ? » insista-t-il.
- « Oui, mercredi soir… »
- « Et il t’a fait jouir ? »
- « Non, mais je me suis masturbée hier dans la douche en repensant à notre séance de mardi »
- « Ah c’est bien. Tu as aimé ? »
- « Oui, beaucoup… J’aurai encore droit à des fraises ? »
- « Ce sont les fraises ou la crème que tu as aimé ? »
- « Les deux ! » répondit la belle blonde.
- « Aujourd’hui, je n’en ai pas. Tu te contenteras de la sauce. »
Sophie se tenait devant lui. Il ne la touchait pas, se contentant de lui poser des questions. Enfin, il se leva et s’approcha d’elle.
- « Bientôt, nous ferons une séance photo. Je veux que tu apprennes à prendre des poses très suggestives. Assieds-toi dans le fauteuil en face de moi ! »
Elle prit place et mit ses cuisses sur les accoudoirs comme il l’avait demandé. Il la regardait d’un air critique.
- « Avance ton bassin ! Relève bien tes jambes ! Maintenant, mets ton index dans ton vagin et regarde-moi avec un air coquin»
Elle fit ce qu’il demandait, faisant tout ce qu’elle pouvait pour se rendre excitante.
- « Souris ! Je veux que tu aies l’air d’une vraie petite salope ! »
Sophie rectifia la position. Il avait l’air satisfait.
- « Oui, c’est bien ! Tu me fais bander ! » dit-il en commençant à se déshabiller. « Maintenant, lèche ton doigt en prenant un air espiègle. »
- « Comme ça ? » demanda Sophie en passant la langue sue son index.
- « Oui, très bien ! Maintenant tu vas te mettre à quatre pattes sur le sol en position de soumise. »
Sophie s’installa sur le sol. Elle attendait qu’il précise la position dans laquelle il voulait qu’elle se mette, ce qu’il fit rapidement.
- « Ecrase ton buste contre le carrelage ! Relève bien ta croupe ! Creuse les reins ! Davantage ! Oui, comme ça… Ecarte un peu plus les jambes ! Parfait ! »
Elle garda la position un long moment. Il fit le tour et se mit derrière elle. Elle sentit son regard qui la détaillait sous toutes ses coutures. Enfin, il passa les doigts sur sa chatte.
- « Hum, en plus tu mouilles comme une vraie chienne ! J’adore ! Tu sais que tu me donnes terriblement envie de te baiser…»
- « Oui, prends-moi » murmura Sophie qui en avait tellement envie.
- « Non ! C’est grâce à ton mari si nous sommes ensemble. A la plage, il aurait aimé que je te prenne. Tu n’as pas voulu ! Je lui réserve la primeur de notre premier coït. Je veux qu’il regarde quand je te pénétrerai. »
- « Mais il ne sait pas que nous nous sommes revus… »
- « Il va être temps qu’il l’apprenne ! Je compte sur toi… »
Sophie ne répondit pas. Gilles alla chercher des menottes et lui attacha les mains derrière le dos. Il la trouvait encore plus excitante avec cet accessoire. Il la fit relever et fixa des pinces à linge sur les pointes de ses seins. Elle devait apprendre à souffrir.
Sophie grimaça, mais elle supportait bien la douleur. Quand il en fixa d’autres sur les lèvres de son sexe, elle eut plus de mal et poussa un petit cri. Il sourit. Il faudrait qu’elle s’habitue… Il la fit ensuite mettre à genoux et approcha son sexe.
- « Maintenant, tu vas me sucer comme un bonne petite salope ! »
Elle ouvrit la bouche et enfourna sa queue bien dure. Il la laissa le sucer doucement, puis il commença à bouger son bassin et lui baisa littéralement la bouche. Quand il sentit la jouissance arriver, il lui ordonna d’ouvrir bien grand la bouche.
Le sperme gicla sur la langue de Sophie. La quantité était phénoménale. Gilles se vida, jusqu’à la dernière goutte et lui ordonna d’avaler. Elle le fit sans protester.
Gilles lui retira ensuite les pinces qui lui faisaient mal et défit les menottes. Il la laissa se rhabiller et lui tendit une clé.
- « Mardi, il se peut que je sois en retard. Tu te mettras nue et tu m’attendras à genoux. Je vais t’apprendre la frustration. Et n’oublie pas de parler à ton mari. »
- « C’est promis » rétorqua Sophie que cette idée angoissait un peu.
Finalement, aujourd’hui elle n’avait pas joui. Elle avait pu faire une fellation à cet homme qui la fascinait toujours autant, mais cela suffisait à son bonheur. Vivement qu’il la prenne !

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Mer 4 Mar 2015 22:29

J'aime quand SOPHIE nous montre ses seins...
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Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Jeu 5 Mar 2015 07:23

Il est vrai qu elle a une superbe poitrine cette petite coquine et son histoire est plutot sympa ;)
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Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Jeu 5 Mar 2015 07:30


J y reviens et me dit que je la prendrais tout debout ta petite salope ;) elle donne vraiment envie
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Re: Histoires adultères

Messagepar marcay86 » Jeu 5 Mar 2015 08:40

vivement la suite de "l 'education" de Sophie !!!
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 5 Mar 2015 21:39

La frustration

Au cours du week-end qui suivit, Sophie parla de Gilles à son mari. Il voulut savoir comment elle l’avait revu, ce qu’il avait fait avec elle. Elle lui décrivit les situations excitantes du centre commercial, mais n’osa pas lui parler du contrat de soumission.
Il avait l’air totalement excité par ses aventures inattendues. Quand elle lui dit que son nouvel amant voulait la prendre devant son mari. Il manifesta un enthousiasme qu’elle jugea même excessif.
Elle retourna donc chez Gilles. Il n’était pas là. Elle rentra donc avec la clé comme il l’avait demandé et se déshabilla en arrivant. Elle attendit nue, au milieu du salon pendant dix bonnes minutes.
Quand il arriva, il n’était pas seul. Sophie paniqua complètement en voyant une blonde d’environ 45 ans entrer à ses côtés. Elle commença à se relever, mais Gilles lui intima l’ordre de ne pas bouger.
- « Je te présente Christine, c’est une de mes ex »
- « Alors c’est elle ta nouvelle pute ? » demanda la blonde avec une vulgarité extrême.
- « Je te présente Sophie, ma soumise » rectifia-t-il. « Christine va se joindre à nos jeux »
- « Tu les choisis pas mal, elle est mignonne » dit la blonde qui était plutôt jolie elle-aussi. « En tous cas, elle me convient. J’espère qu’elle lèche bien ? »
- « Je ne sais pas » dit Gilles.
- « Quoi ? Tu ne lui as encore jamais fait bouffer une chatte ? »
- « Non, tu es la première personne que nous rencontrons ensemble »
- « Merci pour le privilège » répondit Christine.
Elle posa sa veste et retira sa robe, puis elle s’approcha de Sophie.
- « Enlève-moi mes chaussures » dit-elle en lui tendant son pied droit.
Sophie s’exécuta, puis la blonde exigea qu’elle lui dégrafe son soutien-gorge et qu’elle lui retire sa culotte. Elle ne conserva que ses bas.
- « Viens me lécher les pieds ! J’ai un peu transpiré » ordonna Christine.
Sophie regarda en direction de Gilles guettant son autorisation. Il fit un signe de tête affirmatif. Elle approcha sa tête et sentit une odeur un peu forte. Malgré tout, elle passa sa langue sur le nylon.
- « Tiens, lèche aussi ma culotte ! C’est dingue ce que je mouille en ce moment ! »
Elle lança un nouveau regard en direction de son maître.
- « Tu feras tout ce que te demande Christine ! » lui dit-il pour couper court à toute hésitation.
Sophie passa sa langue sur le gousset du tanga noir malgré une certaine réticence. Christine vint alors la caresser.
- « Tu as toujours ton gros vibro électique ? » demanda-t-elle à Gilles.
- « Oui, il est toujours dans le tiroir du meuble » répondit celui-ci.
- « Je vais le chercher » répliqua aussitôt Christine.
Elle revint avec un vibromasseur blanc et bleu et la paire de menottes. Elle les passa à Sophie après l’avoir fait asseoir sur le fauteuil.
- « Tu vas voir, je vais te mettre le clito en feu ! Il est extra ce vibro.»
Sophie commençait à la trouver plus sympathique. Elle brancha le vibromasseur et se mit à exciter le clitoris de la soumise. Effectivement, les vibrations étaient extraordinairement efficaces. Sophie ne tarda pas à être secouée de spasmes et jouit de toutes ses forces. Christine n’arrêtait pas pour autant de frotter son clitoris. C’était tellement fort, qu’elle crut qu’elle allait s’évanouir.
Pendant ce temps, Gilles s’était mis nu et caressait Christine. Il l’embrassa, lui fit un cunnilingus, tout cela sans le moindre regard pour Sophie. Quand elle le vit la pénétrer, juste à côté d’elle, elle comprit pourquoi il avait parlé de lui apprendre la frustration. Il la fit jouir de la plus belle manière et se vida en elle, tout cela en continuant à ignorer sa soumise, de plus en plus frustrée.
Une fois qu’ils eurent terminé, Christine vint s’asseoir sur le visage de Sophie et lui intima l’ordre de nettoyer sa chatte avec la langue. Cela la dégoutait, mais elle le fit.
Gilles reprit ensuite les attouchements et les baisers sur Christine. Elle n’existait plus ! Cela dura jusqu’à l’heure où elle devait partir. Christine la détacha enfin et elle se rhabilla, toujours ignorée par Gilles. La blonde qui avait eu ses faveurs demanda à Sophie de la ramener en ville. Elle accepta volontiers, car elle avait envie de poser des questions à cette femme qui, visiblement connaissait Gilles mieux qu’elle.
Au moment où elle allait quitter l’appartement, Gilles s’adressa enfin à elle.
- « La prochaine fois, tu viens avec ton mari ? »
- « Non, il ne peut pas, il travaille. »
- « Dommage, j’avais vraiment envie de te faire l’amour. »
Sophie se sentit réconfortée par ces simples paroles. Elle avait enfin compris que cette ignorance n’était qu’un jeu, que cela faisait partie de son éducation. Il lui donna une simple tape sur les fesses avant qu’elle ne sorte, mais elle prit ce petit geste pour un grand signe de reconnaissance.
Il allait falloir qu’elle organise la venue de son mari. Elle avait trop envie que son maître la baise.

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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Jeu 5 Mar 2015 21:40

Hum, se faire sucer par SOPHIE...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 6 Mar 2015 14:16

Pipes en série

Deux jours plus tard, Sophie se réveilla de mauvaise humeur. Depuis le temps, il fallait bien que cela arrive. Elle avait ses règles ! Elles étaient de moins en moins régulières et, par chance, pas trop abondantes et ne duraient que deux ou trois jours, mais là, elle était en plein dedans.
C’est de son travail qu’elle envoya un SMS à Gilles.
« Désolée pour notre RDV de demain, mais j’ai mes règles. »
La réponse ne se fit pas attendre.
« Et alors ? »
« Je ne suis pas dans un état présentable. »
« Oh mais si ! Un peu de sang n’a jamais empêché une chatte de servir. Et puis, il te reste deux trous disponibles. De toute façon, avec ce que j’ai prévu, c’est ta bouche dont tu vas avoir besoin. Je t’attends à la même heure que d’habitude. »
Le dernier message ne souffrait pas de discussion. Elle se rendit donc chez Gilles, le lendemain, à la même heure que d’habitude. Cette fois, il était là et l’attendait dans son salon.
- « Déshabille-toi ! » dit-il aussitôt qu’elle fut entrée.
Sophie retira ses vêtements, mais, par pudeur, elle avait conservé sa culotte.
- « La culotte aussi ! » reprit Gilles.
Gênée, à cause de son tampon, Sophie la retira. Il s’approcha et prit la ficelle qui dépassait entre ses doigts.
- « C’est ça qui te gêne ? Il ne faut pas, c’est naturel… »
Il alla chercher un gode à ventouse encore plus gros que celui qu’il avait utilisé l’autre fois et le fixa sur le carrelage, au milieu de la pièce.
- « Viens t’empaler !» dit Gilles, comme elle s’y attendait. « A toi de voir si tu préfères l’avoir dans la chatte ou dans le cul ! »
- « C’est trop gros pour mon petit trou » fit aussitôt remarquer Sophie.
- « Alors, tu sais ce qu’il te reste à faire » reprit Gille en tendant la main vers elle.
Sophie retira alors son tampon et le tendit à Gilles. Il l’examina minutieusement, mortifiant sa soumise de honte, avant d’aller le déposer dans la poubelle. Sophie se mit au-dessus du gode et le fit pénétrer lentement. Il était large et lui dilatait vraiment la chatte, mais elle parvint à le faire rentrer.
- « C’est bien ! » commenta Gilles. « Aujourd’hui, tu vas me montrer tes capacités de suceuse. Tu vas sucer des queues inconnues… »
- « Comment ça ? » s’étonna Sophie.
- « J’ai pris rendez-vous avec des mecs que j’ai sélectionnés sur internet. Tu vas les sucer, tu ne les verras même pas. Je vais te bander les yeux… »
- « Ah non ! » protesta Sophie.
- « Oh mais si ! Tu t’y es engagée !»
Il lui rappela alors un des paragraphes du contrat qu’elle avait signé :
« Accepter de donner du plaisir ou d'être prêtée en présence de son Maître à toute autre personne désignée par son Maître. »
Sophie baissa les yeux. Il avait raison. Elle le laissa reprendre.
- « Le premier arrive dans cinq minutes. Tu vas rester nue empalée sur le gode. Je vais te bander les yeux »
Elle ne put que se résigner à faire ce qu’il lui demandait. Il lui banda les yeux, lui fixa les mains derrière le dos avec les menottes et vint la caresser doucement en lui parlant pour la calmer.
- « Tu vas voir, tout va bien se passer. C’est important que tu le fasses. La prochaine fois, je procéderai à ta première évaluation. Il faudra que ton journal intime soit à jour. C’est dommage que ton mari ne soit pas disponible en ce moment. J’ai envie de toi… »
- « Je crois qu’il pourrait se libérer la semaine prochaine, mais jeudi »
- « D’accord, tu viendras avec lui. Je m’arrangerai »
Quand Sophie entendit sonner à la porte, son cœur se mit à battre à tout rompre. Pour la première fois de sa vie, elle allait sucer un parfait inconnu. En plus, elle se trouvait dans une position parfaitement humiliante. Comment avait-elle pu accepter une chose pareille ?
L’homme qui venait d’entrer s’approcha d’elle. Elle l’entendit déboucler son ceinturon et il lui colla sa queue dans la bouche sans dire un mot. Il devait être jeune. En tous cas, il bandait bien. Elle pompa consciencieusement son sexe d’une taille moyenne et il se retira pour jouir sur son visage, toujours sans avoir prononcé la moindre parole. Il repartit assez vite, préservant un anonymat complet.
Gilles vint essuyer le visage de Sophie avec beaucoup de délicatesse.
- « C’est bien ! Tu t’en es bien sortie » la complimenta-t-il. « Le second va arriver »

à suivre...
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 6 Mar 2015 14:18

Hum, délicieuse SOPHIE
Dernière édition par GILLESBDX le Lun 23 Mar 2015 10:33, édité 1 fois.
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Re: Histoires adultères

Messagepar GILLESBDX » Ven 6 Mar 2015 22:10

Effectivement, moins de cinq minutes plus tard. Un nouveau visiteur fit son entrée. Lui aussi vint coller rapidement son sexe dans la bouche de Sophie. Celui-là, par contre, commentait ce qu’elle faisait. Il lui demanda de bien lui lécher les couilles. Elle le fit et comprit qu'il se masturbait en même temps. Au moment d’éjaculer, il poussa un cri rauque et vint se vider sur la bouche de Sophie. De grosses coulées de sperme coulèrent sur ses lèvres. Le second ne s’attarda pas plus que le premier.
Gilles vint l’essuyer une nouvelle fois.
- « J’espère que tu aimes les faciales » dit-il en rigolant. « Il en reste un. J’ai l’impression qu’il est plus vicieux. Il ne devrait plus tarder. »
Sophie, résignée, s’attendait au pire. Le troisième arriva un peu plus tard. Il avait l’air plus âgé. Contrairement aux deux autres, son érection n’était pas parfaite. Il était effectivement beaucoup plus vicieux. Il lui fit, lui aussi, sucer sa queue et lécher ses couilles. Il la traitait de petite pute, de salope, de chienne…
- « Maintenant, lèche-moi la rondelle ! » avait-il soudain ordonné en lui présentant ses fesses écartées.
C’était plus que ne pouvait en supporter Sophie.
- « STOP ! » cria-t-elle.
Gilles intervint aussitôt.
- « Elle ne veut pas, arrête ! »
- « C’est une petite salope ! Elle va le faire » insista le vicieux.
- « Je te dis d’arrêter tout de suite ! » reprit Gilles sur un ton menaçant. « Ce n’est pas ce qui était prévu ! Elle devait te faire une pipe et c’est tout ! »
Voyant qu’il s’énervait vraiment, l’homme n’insista pas. Il se remit dans l’autre sens et lui fit enfourner son sexe. Elle le suça un bon moment, mais il ne bandait plus. D’un seul coup, il se retira de la bouche qui le pompait et urina sur les seins de Sophie. Elle poussa un cri de dégoût.
- « Maintenant, ça suffit ! » cria Gilles « Tu prends tes affaires et tu fous le camp ! »
Il lui avait jeté son pantalon et sa chemise à la figure. Tout penaud, l’homme s’était rhabillé et avait filé sans demander son reste. Gilles vint alors détacher Sophie et lui retira son bandeau.
- « Tu peux aller prendre une douche si tu veux » proposa-t-il avec une douceur surprenante. « Je crois que tu es une bonne suceuse. J’en tiendrai compte pour tes évaluations »
Sophie se dégagea enfin du gode qui dilatait sa chatte depuis plus d’une heure. Un peu de sang coula sur le carrelage. Elle était pleine de pisse. C’est avec joie qu’elle allait prendre une bonne douche.
Gilles l’accompagna dans la salle de bain. Il la regarda s’asperger d’eau tiède et se savonner avec beaucoup d’envie. Elle lui plaisait toujours autant. Il regrettait presque d’avoir fait cette promesse de ne la pénétrer qu’en présence de son mari. Règles ou pas règles, il l’aurait bien baisée sur le champ. Pourtant, il respecta sa promesse et se contenta de la caresser un peu.
Une fois qu’elle eut terminé, il l’enveloppa dans une grande serviette et la porta jusque sur son lit. Il lui fit un massage très sensuel et elle se détendit complètement, oubliant sa condition de soumise. Gilles aimait bien récompenser ses soumises par des moments de pure tendresse quand elles s’étaient montrées à la hauteur de ce qu’il leur demandait. C’était le cas de Sophie.
Il s’occupa bien d’elle, lui massa les pieds, les lécha, montrant son fétichisme pour cette partie du corps féminin, puis se fut Sophie qui prit l’initiative de le sucer. La fellation qu’elle lui prodigua était longue et délicieuse. C’était encore mieux que la fois précédente. Pas de doute, sa note à l’oral serait bonne lors des évaluations !
Elle le fit jouir dans sa bouche et avala son sperme. Il la complimenta pour la beauté de ses fesses, puis elle retourna dans le salon et se rhabilla sous le regard bienveillant de Gilles. Il la rejoignit et la prit tendrement dans ses bras.
- « Je sais que les circonstances étaient particulières » dit-il « Mais tu as utilisé le mot STOP. Notre contrat prévoit que tu dois choisir une punition… On ne l’exécutera que la prochaine fois, mais je veux que tu choisisses. »
Sophie parut dubitative. Gilles reprit.
- « Tu as le choix entre une heure de pinces sur les seins, de la cire chaude sur la chatte, ou une exhibition publique…
- « Je n’aime pas la douleur. Je choisis sans hésiter l’exhibition » répondit Sophie sure d’elle.
- « Très bien, je vais y réfléchir… Maintenant, il est l’heure que tu rentres. N’oublie pas de m’envoyer ton journal intime par mail au moins la veille de ton évaluation. »
Elle acquiesça. Cet homme, aux réactions parfois étranges et au comportement contrasté, l’intriguait toujours, mais elle venait aux rendez-vous avec plaisir. Il l’embrassa passionnément avant qu’elle ne parte. Ce baiser n’avait plus rien d’une relation de maître à soumise. Elle se dit alors qu’il n’était pas exclu qu’elle puisse tomber amoureuse…
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