par stef2606 » Mer 31 Aoû 2016 16:17
La chambre est bien spacieuse, un lit 2 places bien sur, un fauteuil dans un coin, une grande table devant la fenêtre pouvant faire office de bureau, 2 chaises, et un vaste espace entre le lit et ce bureau. Dans le fond, la salle de bain avec les toilettes.
Guillaume ferme la porte, met la climatisation, et alors que nous sommes ma femme et moi au milieu de la pièce, il me dit « va-y déshabille là, je reviens de suite », lui partant dans la salle de bains.
Je m’approche Sylvie, bien obéissant, je pose les mains sur sa taille et fais remonter son corsage pour lui retirer. Elle relève les bras pour faciliter le retrait. Je la sens nerveuse et quelque peu tendue.
Désormais, elle a les seins à l’air, ce qui n’est pas pour me déplaire, et je cherche la fermeture éclair de sa jupe sur le côté, ceci pour lui ôter son dernier vêtement. A cet instant, elle s’agrippe à moi, et m’embrasse langoureusement, nos langues se mélangent, c’est bon, je sens l’envie monter en moi, en nous.
Quelques instants plus tard, Guillaume réapparait, torse nu avec une serviette autour de la taille, et nous dit « mais vous faites quoi là ? », « tu es à moi Sylvie ce soir », « c’est moi qui vais te baiser ce soir », « laisse donc ton mari tranquille », tout ceci dit comme si elle avait encore fait une bêtise.
Je termine ce que j’avais entrepris avec sa jupe, la faisant glisser le long de ses jambes, elle me susurre un « je t’aime » à l’oreille, se retrouvant ainsi totalement nue, hormis ces chaussures compensées, devant nous, enfin surtout devant lui.
Elle « tu peux éteindre la lumière Guillaume ? »
Lui « non, on laisse allumer, c’est bien mieux ainsi »
Lui « tu as un superbe corps tu sais ! », « tu n’as rien à envier à ces petites minettes, pourtant bien plus jeunes que toi », « pour une femme mature, tu es largement baisable », « il te manque juste encore un peu d’expériences »
Désormais, il est proche de ma femme, me dit de m’assoir sagement dans le fauteuil, il va commencer à profiter d’elle réellement et certainement sans retenues.
Il lui fait face, pose ses mains sur ses bras de chaque côté, pour lui caresser. Très vite, il l’a fait pivoter légèrement, face à moi, et directement lui met la main sur sa chatte toute lisse, faisant aller ses doigts pour lui masturber son clitoris. Je vois que ma femme écarte un peu les jambes sous la pression de ses doigts, lui permettant ainsi de fouiller plus facilement son sexe.
Sa main s’active, je constate qu’il lui fait du bien, sa chatte couine sous ses doigts en mouvements. Son autre main a pris possession de ses fesses, j’aperçois qu’il profite allégrement de ses formes, lui écartant bien par moment ses hémisphères de façon à accéder à son sexe par derrière.
A cet instant, je n’ai qu’une envie qui est de venir me mêler à leurs préliminaires, mais je me maitrise. J’aperçois également que la serviette entourant la taille de son amant, ne parvient pas à dissimuler sa belle érection.
Tout en continuant à fouiller sa chatte par derrière, il s’occupe de sa poitrine, la pelotant généreusement, passant d’un sein à l’autre, d’un téton à un autre, il l’a possède totalement le salaud !
En un tour de main, il se défait de sa serviette, la jette au sol, sa bite apparait, d’un gabarit bien supérieur au mien, mais ça je l’avais déjà constaté la 1ère fois, il bande bien dur.
Lui « alors Sylvie, tu n’as pu que la sentir celle-ci la dernière fois », « cette fois, tu la vois », « qu’en dis-tu ? »
Elle « elle est grosse »,
Lui « mais encore ? »
Elle « elle est belle »
Lui « caresse la ! »
Elle ne se fait pas prier, alors qu’il continuer à la chauffer avec ses mains, ma femme prend la grosse bite de son amant et commence à la caresser, à la masturber, ceci m’excitant encore davantage de voir ma femme avec cette bite en main.
Lui « mets tes demains », « caresses moi les couilles comme tu aimes », « profite de ma belle queue »
Je la vois profiter de son engin sans retenue, massant, palpant, caressant ses attributs, provoquant chez lui une érection maximale et durable.
Même s’il est difficile dans de tels moments d’analyser le temps qui passe, je sais que cela fait quelques longues minutes qu’ils se chauffent l’un et l’autre, que l’envie est au maximum, d’ailleurs je perçois toujours les bruits de sa chatte humide sous ses doigts. C’est alors qu’il décide de passer à autre chose en se désunissant de ma femme.
Lui « tu veux ma queue »
Elle « humm, oui ! »
Lui « installes toi sur le bord de la table, pendant que j’enfile une capote », il écarte les chaises pour qu’elle puisse prendre place au milieu.
Je la vois s’assoir sur le coin du bureau, mettre une jambe sur chaque assise de chaise, en position semi allongée en appui sur ses coudes, le sexe bien ouvert et offert. Guillaume a mis sa protection, puis se présente entre les cuisses de ma femme, prêt à la pénétrer, sa bite n’attendant que cela.
Il présente son gland sur les lèvres humides de Sylvie, en moins de temps qu’il le faut pour le dire, il l’a pénètre. J’entends qu’elle pousse un petit cri de plaisir, il est au fond, commence doucement d’abord, à lui labourer le bas ventre, il la maintient par les hanches de façon à ce qu’elle ressente bien ses coups de reins, il l’a baise comme un chef, virilement !
De mon côté, je n’en peux plus de ce spectacle, je baisse mon bermuda, sors mon sexe de son boxer et entreprends de me masturber.
Les coups de boutoir se fond de plus en plus fort, elle gémit, pousse de petits cris, ne semble pas loin de l’orgasme. Orgasme qu’elle atteindra quelques minutes plus tard. Guillaume décide ensuite de se retirer, retire son préservatif, et prend ma femme par la main pour l’emmener vers le lit.
Lui « tu vas me sucer maintenant ! »
Elle « comment ? »
Il s’allonge sur le lit et dit « viens sur moi me sucer », « non pas comme ça, donne-moi ta chatte aussi en même temps ».
Ils sont en position 69, ma femme se dandinant au-dessus de son amant, la bite de celui-ci dans la bouche, sa chatte se faisant bouffer en simultané. Ils se régalent autant l’un que l’autre.