Je vous dirai peu être un jour comment nous nous sommes rencontrés, je vous dirai sans doute ces circonstances mi-destin, mi-hasard qui poussent un homme vers une femme et souvent l'inverse aussi. Pour l'instant voici quelques photos d'elle qui datent à peu près de l'époque à laquelle j'ai commencé, poussé par je ne sais quelle pulsion secrète, à vouloir la partager. Pour commencer, j'ai voulu qu'elle se dévoile virtuellement par écran. Ce devait être un jeu, un simple jeu auquel on se livre un soir d'ivresse légère, un peu comme on fume une première cigarette, sans penser mal.
Un soir donc, nous fîmes une cam comme on dit. Je devais au début rester à ses côtés pendant que l'autre à l'autre bout, nous observait. Il avait sorti son sexe et s'exhibait sans passion, tripotant son sexe sans conviction en attente de je ne sais qu'elle performance de notre part. Rapidement je m'ennuyait et elle aussi d'ailleurs, je le voyait bien. Je décidait de me lever et par jeu, de me placer derrière l'ordinateur, face à elle. Je repositionnais la cam pour être sûr que son visage serait caché. Puis je décidait de la guider, de l'encourager. Elle, gênée, riait un peu bêtement mais la partie était bien lancée et je la sentait sinon exitée, au moins émoustillée par le côté insolite de cette première expérience. Je lui demandais de commencer par se caresser en faisant au moins glisser ses mains sur ses bras, sur ses épaules. Elle gauche et rougissante, s'employait au mieux à suivre mes suggestions que j'accompagnais d'encouragements et de compliments lui répétant combien elle était belle, combien sa belle peau chocolatée devait faire d'effet à notre voyeur à l'autre bout de la cam. Ce dernier astiquait en effet une queue de belle taille que Raffaela ne quittait plus des yeux. Elle avait perdu cette expression niaise et gênée du début pour se concentrer à présent sur ce qu'elle voyait à l'écran.
Je lui dit d'enlever sa petite robe de coton bleu ce qu'elle fit sans rechigner et pour tout dire avec même un certain empressement. Je vis un peu de sueur perler à son front et à son cou alors que ses mains courraient sur ses cuisses. Je lui dit à nouveau qu'elle était belle, resplendissante et combien j'adorais son corps aux courbes exotiques. Je lui dit alors de se lâcher et de saisir ses seins à pleines mains, de les malaxer, de les presser, d'en fair durcir les pointes. Je lui dis de le faire pour moi, afin qu'elle me montre son amour et qu'elle se livre au plaisir sans honte ni réserve. Elle me regarda d'un air triste en me disant qu'elle en mourrait d'envie mais qu'elle n'arrivait pas à se lâcher se sachant observée non seulement par moi, mais par cet inconnu qui la fixait derrière la cam.
J'eu alors l'idée de saisir un fouloir qui trainait sur le fauteuil pour lui en couvrir le visage.
-Voilà ma chérie, là personne ne peut te reconnaitre, sois-en certaine, ton visage est masqué. Montre-moi ton plaisir, laisse moi te montrer à cet homme, laisse moi lui montrer comme tu es belle, comme tu es sexy.
Ce fût alors comme une libération. Sachant son identité absolument protégée, n'ayant plus à affronter le regard froid de la cam, je sentis toutes ses inhibitions tomber. Ses mains glissèrent sur son bas-ventre, s'attardant à l'intérieur des cuisses, puis sur son sexe, à la recherche du clitoris et du plaisir.
Je vous laisse imaginer la suite ou presque. Je la vis jouir sous mes yeux une première fois avec rage et violence, ses mains agrippées à son sexe, deux doigts enfoncés profondément, barattant sans douceur sa fleur de chair luisante et pourpre. Je vis au même moment sur l'écran notre complice éjaculer dans son poing en grognant des insanités. J'eteignit la cam et jetait mes fringues dans un coin de la pièce. Je soulevait Raffaela de sa chaise et la poussait sur la canapé, là juste à côté. Elle releva les cuisses sentant mon désir d'elle, ma faim de la posséder tout de suite. Elle fit un geste pour ôter le foulard qui lui masquait toujours le visage mais je lui interdis.
-Non garde le! Je veux te baiser comme çà, exactement comme tu t'es exhibée ce soir pour moi, tu es ma pute Raffaela, ma belle salope!
Je contemplais un instant son corps couleur pain d'épice, je l'observais ainsi cuisses écartées, le sexe ouvert et mouillé. Alors je la saisis par les bras que je tirais de part et d'autre du canapé afin qu'elle soit totalement mienne, ses seins se soulevant avec sa respiration et je l'épinglais ainsi comme un papillon en lui mordant les seins..