5) Raffaela ma doudou couleur café

En sortant de chez Stéphane, je décide de ne pas rentrer directement à la maison. J’ai besoin de réfléchir aux évènements de ces deux derniers jours. Décidément çà va très vite, beaucoup plus vite que je n’aurais crû possible.
Pour résumer, après une première expérience d’exhibition par cam, j’ai remis çà le weekend suivant pour un expérience beaucoup plus hard au cours de laquelle j’ai permis à un inconnu de parler directement, sans mon intermédiare à ma compagne. Ce dernier a réussi à me convaincre que ma compagne, une jolie black de trente ans n’est pas aussi vertueuse que je le crois. J’ai accepté de le rencontrer et il m’a en effet montré des photos explicites de Raffaela qu’il a pu enregistrer lors d’une nouvelle séance de cam partagée en mon absence. Il m’a assuré de sa totale loyauté vis-à-vis de moi et m’a offert l’opportunité de découvrir qui est réellement la femme avec laquelle je vis. Je l’ai cru, il est intelligent et est plus à la recherche d’émotions nouvelles qu’une simple partie de sexe. De plus il est bisexuel comme beaucoup de libertins. Afin de sceller notre accord, il m’a demandé de lui prodiguer une fellation ce que je n’avais jamais encore fait de ma vie et je suis obligé d’admettre que je n’ai pas trouvé çà désagréable. Mais au-delà de ces péripéties, Stéphane a éveillé en moi des soupçons insupportables vis-à-vis de ma compagne et le désir brûlant de la mettre à l’épreuve pour en savoir de quoi elle est ou non capable.
Alors que je repense à tout çà, une envie soudaine me prend de la rejoindre, de la posséder comme il est normal de le faire quand on est amoureux d’une femme. Aussi je décide de rentrer à la maison sans plus attendre.
J’entre dans l’appartement vers 19h et traverse les pièces à la recherche de Raffaela. Je la trouve dans la cuisine devant l’évier en train de faire la vaisselle. Nous somme au mois de Juin, il fait chaud se qui explique qu’elle ne porte qu’un tablier qui laisse apparaitre son dos totalement dénudé.
En fait elle ne porte rien d’autre et je m’arrête un instant pour contempler sa cambrure, ses jolies fesses charnues et ses jambes brunes. Elle est délicieuse. Je m’approche d’elle et la prends dans mes bras en l’attirant tout contre moi.
-Arrête dit-elle, laisse moi. Déjà que j’ai horreur de faire la vaisselle et en plus je crève de chaud!
Je passe mes mains sous son petit tablier, sa peau est en effet chaude et moite. Je prends ses seins dans mes paumes à la recherche des mamelons, plus bas je sens mon sexe gonfler dans mon jean, mais Raffaela se dérobe en repoussant mes mains. Elle se retourne et me fait face, les yeux brillants de colère :
-Arrête je t’ai dis, tu me fais chier à me toucher comme çà..
-Mais chérie j’ai rien fait de mal, je rentre et je te vois de dos à moitié nu, c’est normal.
-Laisse-moi je te dis! Va te branler si tu peux pas tenir, j’ai pas envie compris ?
Décidément, ce n’est pas mon jour, je décide donc de battre en retraite et d’aller me réfugier dans le séjour. Le reste de la soirée se passe normalement. Raffaela a retrouvé son calme et a même préparé un petit repas bien relevé dont elle a le secret. Vers dix heures, je la vois se lever pour débarrasser la table. Je l’entends me dire de la cuisine :
-Bon chéri, je suis crevée je vais coucher.
-Moi aussi je lui réponds, ce qui est totalement faux, j’ai seulement envie de la rejoindre et de lui faire l’amour.
Le temps de prendre ma douche, la lumière est éteinte lorsque j’entre dans la chambre. Je me glisse dans les draps à la recherche de son corps tiède et parfumé. Elle est allongée sur le ventre et semble déjà assoupie. Je m’approche d’elle, au plus près d’elle, je peux la sentir respirer doucement, je sens mon cœur battre la chamade, mon sexe est déjà dur. Je pose un doigt à la naissance de ses fesses, là où elle est la plus cambrée. Ses origines africaines l’ont particulièrement gâté de ce côté-là. Je la caresse à cet endroit, doucement sans rien lui faire d’autre. Je sais que la sensation est délicieuse et que j’ai toutes les chances d’éveiller son désir.
-Laisse moi dormir me dit-elle.
Je m’approche de son oreille en pensant aux évènements de ces deux derniers jours. Je suis anormalement excité. Je pense aussi à ce que Stéphane m’a dit d’elle, et sans cesser de la caresser à la naissance dans le petit creux à l’orée des fesses, je dépose un léger baiser dans son cou et chuchote à son oreille :
-Je t’aime…tu sens bon…j’ai envie de t’exciter...tu es ma petite pute.
Ce dernier mot est comme un déclic qui la fait se tourner vers moi.
-Tu m’as dit quoi, demande-telle ?
-Tu es ma petite pute, je t’adore Raffaela.
- Alors redis le moi ! Je suis quoi dit-elle, dis le moi..
-Tu es ma pute, tu es ma petite putain..
-Alors baise-moi comme une putain !
Mon cerveau est en warning, je suis pris d’une pulsion inconnue, du besoin violent de la baiser, de la pénétrer tout de suite. Je la tourne sur le dos, lui écarte les cuisses, je sens sa main agile me prendre par les couilles pour me guider vers elle, vers son sexe épilé. Je sens contre mon gland son ouverture humide, de ses doigts elle fouille son intimité pour m’enduire de sa mouille, puis ses mains s’agrippent à mes fesses et je pousse comme un taureau jusqu’au fond de sa vulve qui m’absorbe totalement. Je la pilonne totalement, des cris rauques sortent de sa gorge, sa peau exhale un parfum, mélange de poivre et d’odeur marine, je lui souffle à nouveau à l’oreille, plusieurs fois :« une putain, tu es une putain Raffaela ». Ces mots ont pour effet de décupler son orgasme, elle renverse la tête, le corps pris de convulsions, ses mains s’agrippent nerveusement aux draps, les cuisses et le ventre pris de tremblements. Nos deux sexes ne sont que moiteur humide, nos ventres soudés se meuvent dans une huile chaude de sueur et de cyprine mêlés. L’envie me prendre soudain de lui lécher la vulve mais cette pensée déclenche ma jouissance et je me déverse dans son ventre, agrippé à des seins..
Quelques minutes plus tard, toujours enlacés, sa voix suave chuchote à mon oreille :
-Je t’aime mon bébé..


J’ouvre les yeux sur l’obscurité de la chambre. Je tends le bras vers Raffaela mais je ne trouve que la fraicheur du drap. Au réveil, il est 2h30 du matin. Sous la porte, je perçois un faible rayon de lumière venant du couloir. Je me lève sans bruit. A travers la porte je perçois distinctement le bruit caractéristique du clavier du pc. Raffaela s’est levée en pleine nuit pour chater. Je pense aussitôt à Stéphane qui m’avait préparé à cette probabilité. La salope, elle n’a pas pu s’en empêcher.
Je m’approche à pas de loup, retenant ma respiration, la porte qui donne sur le salon est entrouverte et je vois Raffaela, en tenue d’Eve qui s’affaire sur l’ordinateur. Je retourne immédiatement dans la chambre, prends mon téléphone et appelle Stéphane. Je laisse sonner une fois et je raccroche ; puis je lui adresse un SMS pour le prévenir : «elle est en ce moment au clavier, branche là ! ».
Moins de deux minutes plus tard, je reçois un premier SMS:
-« Je suis connecté avec elle, je te tiens au courant ». Je commence à douter. Et s’il gardait le silence, s’il profitait de la situation pour m’écarter définitivement. Non, c’est impossible.
Cinq minutes plus tard, un autre message me parvient « Elle est ok pour me rencontrer dès demain »
Enfin à nouveau trois minutes plus tard : « Elle m’a donné son numéro. Elle dit qu’elle veut sucer ma grosse bite. Je t’appelle demain pour que tu sois là. Désolé. »
Seul allongé dans la pénombre, mon cœur bat la chamade. Les cliquetis du clavier se sont tus. Je vois réapparaitre la silhouette élancée de ma compagne, je distingue ses courbes adorables lorsqu’elle contourne le lit lentement pour se rallonger sans me réveiller. Je ne la reconnais plus. Je l’aime, je la désire, son corps me rend fou mais je suis maintenant prêt à la voir s’offrir à un autre pour savoir à quoi m’en tenir.