7) Ma doudou couleur café

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

7) Ma doudou couleur café

Messagepar rachou » Jeu 5 Juil 2012 23:48

7) Ma doudou couleur café

Je suis sorti de l’hotel Scribe il y a une heure et je me suis installé à une terrasse de café, histoire de remettre de l’ordre dans ma tête après ce que je viens de vivre. La plupart des hommes font confiance à leur femme sans se poser de question de leur fidélité. D’autres ont de sérieux doutes, certains en souffrent énormément et les font suivre ou les questionnent pour leur faire avouer leur infidélité. D’autres encore l’apprennent d’un copain, d’une relation ou de leur compagne elle-même qui décidant de rompre, se croit obligée de dire qu’elle a une liaison. J’appartiens à une autre catégorie beaucoup plus rare.
Je voulais savoir si elle serait capable. J’ai voulu la tester. Je viens non seulement d’avoir le privilège de voir un homme séduire ma compagne sous mes yeux, mais plus rare encore, je viens de la voir se faire baiser tout debout, je l’ai vu sucer mon complice Stéphane, s’extasier sur sa queue et prendre son pied comme je ne l’aurai jamais cru capable. Et tout çà sans qu’elle se doute de ma présence à quelques centimètres d’elle.
Je décide d’anesthésier mon amour propre en commandant un double scotch, puis un Mojito bien dosé. Je suis traversé d’émotions contradictoires. J’ai la rage, je suis dans tous mes états, j’ai envie de me venger, peu être d ‘aller voir tout de suite une prostituée pour me vider.
Je suis bouleversé, choqué, mais dans le même temps aussi, excité par ce que je viens de voir. Je dois bien admettre que je ne suis pas dans les clous. Les images et les cris de Raffaela en train de se faire prendre par un autre homme me vrillent les nerfs. En sirotant mon Mojito, je réalise aussi peu à peu, combien j’ai aussi pris mon pied à la voir ainsi, sacré spectacle !
Je ne peux qu’admirer la manière dont Stéphane la séduite puis, vulgairement baisée comme une trainée. En plus je dois reconnaitre qu’il a été d’une totale loyauté ne cherchant à aucun moment à me doubler et me donnant à voir et à attendre tout ce qui s’est passé. Quelle chienne..
Je suis perdu dans mes pensées quand mon téléphone se mets à sonner. C’est Stéphane.
-Allo, salut. Je viens de la quitté, je l’ai laissé à la Madeleine.
-C’est pas possible ce qui s’est passé ! Je le crois pas !
-Ecoute Marco, je t’avais prévenu que çà pouvait être très chaud et dur à encaisser. C’est ce que tu voulais n’est-ce pas ? En avoir le cœur net. Comment çà va, où es-tu ?
-Je suis à une terrasse, qu’est-ce que vous avez fais après mon départ ?
-Et bien, on a fait comme toi, on est sorti. Je l’ai emmené dans une boutique spécialisée où j’ai un compte. Je leur laisse pas mal d’oseille, c’est une boutique fréquentée par les stripteaseuses, les gens du spectacle. On y croise aussi des transsexuels. Ils sont de la bonne marchandise, je voulais lui acheter un ensemble cuir comme je lui ai décrit, tu te rappelles ?
-Oui je me rappelle dis-je, une sacré panoplie..
-Et bien je lui ai offert la totale. La tenue cuir, le porte jarretelles, des accessoires et ensuite je les emmené chez un chausseur pour les bottes. Elle a essayé devant moi, elle est magnifique.
-Comment a-t-elle réagi ?
-Elle était ravie bien sûr, elle me mange dans la main. Je lui ai dit de rentrer bien sagement, de ne pas éveiller tes soupçons. Elle ne peut pas imaginer que nous soyons complices bien sûr. Je ne sais pas comment elle va réagir avec toi ce soir, mais une chose est sure, c’est une trainée, le plaisir lui fait complètement péter les plombs.
-Oui j’ai vu çà dis-je un peu amer. Dis-moi un truc Stéphane, est-ce que tu vas la garder ?
Je l’entends s’esclaffer à l’autre bout du fil.
-Tu rigoles j’espère ? Elle est à toi Marco, je vais m’amuser avec elle, et puisqu’elle est vicieuse et qu’elle aime le sexe, on va lui en donner Marco. Tu as bien entendu, on va lui en donner toi et moi. Et ensuite je passerai à autre chose. Je te tiens au courant. Bye.
Stéphane a raccroché, je commande un dernier Mojito. Il a raison, puisque c’est comme çà, on va s’amuser. Je ferai mieux de faire une croix sur l’amour et les projets avec une nature pareille. Une dingue de sexe, et dire que c’est moi qui ai mis le feu aux poudres. Je réfléchis un instant et comme me parlant à moi-même, « laisse tomber Marco, c’est mort ».

Je décide de rentrer mais avant je me rends dans un sexe shop car je veux y faire un petit achat moi aussi. On n’a pas un seul god ou vibro à la maison, au point que Raffaela doive se rabattre sur le compartiment légume du frigo, vraiment une misère.
J’écarte les rideaux de velours rouge de la boutique et me dirige directement au rayon sexe toys. J’y trouve vraiment tout un choix de vibros de tailles et formes diverses. Il y en a pour tous les goûts, des mini toys pour les délicates en passant par des engins de cirque. J’avise un bel objet de couleur aux contours lisse. La partie centrale est parcourue d’anneaux moulés dans la matière. L’extrémité est sensiblement plus grosse que le reste et me fait penser un peu au nez d’un jumbo-jet. Enfin à la base, le moulage d’une pièce se termine par une paire de couilles sous laquelle je découvre une protubérance dans l’axe de l’engin.
Un vendeur asiatique s’approche discrètement et entreprend de me détailler l’objet.
-Cà Monsieur, c’est très bon objet, très joli. Très doux pour rentrer malgré très épais et là poignée pour bien défoncer si madame elle aime. C’est nouveau, c’est moulage Taiwan, super.
Je regarde le prix qui est super aussi, j’en fait la remarque au vendeur qui reprend la démonstration.
-Oui c’est cher mais dedans c’est lourd, il y a cylindre vibreur très, très, puissant pour bon vibration, avec trois programmes et cinq vitesses.
Joignant le geste à la parole, il met le truc en marche et me le colle dans les mains. Je ferme ma paume sur l’engin et ma main se met littéralement à vibrer jusqu’au poignet. C’est en effet très fort, et je me vois soudain m’en servir sur Raffaela. Si j’arrive à lui faire rentrer vu les dimensions, je pense que je ne devrais pas m’ennuyer et elle non plus d’ailleurs. Je regarde sur l’emballage et note les dimensions : 21cm hors testicules, amis de la poésie bonjour, diamètre maxi 6,5 cm à l’extrémité pour 5 cm au niveau des anneaux. Fichtre !
-Le vendeur : Je fais pour vous 30%. C’est solde, très bon chance pour vous aujourd’hui.
Très bon jour, tu parles, connard. Je sors ma carte bleue en essayant d’imaginer la bête entre les cuisses de ma pouliche..

Je suis rentré avant elle à la maison et je l’attends en sirotant un punch planteur dans le canapé. Finalement, là voilà qui arrive. J’entends un « bonjour ! » vif et spontané dans l’entrée avant qu’elle n’apparaisse telle qu’en elle-même, c’est-à-dire assurée, insouciante, élégante et terriblement sensuelle et chargée de paquets qu’elle dépose très vite hors de ma vue derrière un meuble du séjour. Elle est superbe, j’ai envie de lui faire la gueule, de l’agresser après ce que j’ai vu à l’hotel Scribe, mais le punch m’a pour le moment anesthésié et je garde mon sang froid.
Je l’observe l’air de rien, elle est belle. Je mesure la chance de vivre avec une femme aussi sensuelle.
Je décide de l’interroger mine de rien, histoire de mesurer à quel point elle est habile à mentir.
-Tu as passé une bonne journée ? Qu’est-ce que tu as fait ?
-Oh rien de spécial dit-elle, je me suis baladée avec une copine et on a fait les boutiques, c’était génial.
Elle déambule dans le salon m’expliquant avec force détail ce qu’elle a fait de son après midi. J’admire ses courbes, le mouvement de son bassin quand elle marche, la musculature de ses cuisses. Elle porte les talons hauts à merveille, sa cambrure en est soulignée et cette robe noir et blanche souligne la rondeur de ses seins. Elle se pose à côté de moi et allume une cigarette en croisant haut les jambes, elle exhale une odeur de transpiration poivrée-sucrée irrésistible. Je l’ai dans la peau, quoiqu’elle puisse faire. Mon humiliation de l’après midi renforce mon désir d’elle, je décide de ne pas lui faire de scène mais au contraire, à partir de ce jour, de profiter d’elle à chaque instant.
-Qu’y-a-t il dans ces paquets lui dis-je, tu n’as pas l’air de vouloir me les montrer, je me trompe ?
Je sens un trouble immédiat, et oui ma jolie, j’ai vu façon que tu as eu de planquer l’air de rien tes paquets dans un coin.
-Oh ce n’ai rien, j’ai fait du shopping, j’ai acheté des trucs un peu cher, j’ai claqué du fric je dois dire.
-Ah bon, c’est une surprise alors, dis-je en prenant l’air le plus détaché possible.
Puis à moi-même, « Salope, ce sont les cadeaux que t’a offert Stéphane, tu dois plus te sentir avec ce qu’il t’a acheté ».
-Oui mon cœur, je te montrerai ce soir si tu es sage me dit-elle.
-Moi aussi je t’ai acheté quelque chose mon amour, je te montrerai tout à l’heure.
Le dîner se passe normalement, puis elle se lève pour débarrasser, je lui donne un coup de main et la vois soudain filer à l’anglaise avec ses paquets.
Je la laisse aller mine de rien puis m’approche de la salle de bain. Elle est en train d’enlever sa robe et je peux voir son corps nu à l’exception du soutien gorge qu’elle a gardé. Elle ne porte pas de slip et je peux voir comme une griffure sur une de ses fesses, sans doute une marque de Stéphane lorsqu’il lui a arraché son slip. J’admire un moment sa cambrure et ses fesses charnues, je ne lasserai jamais d’en admirer la rondeur et leur surprenante fermeté. Devinant ma présence, elle ferme la porte derrière elle et je retourne dans la cuisine. Elle doit se préparer pour me montrer ce que lui acheté son amant. Un remarque qu’il lui avait faite me revient à l’esprit : « soit cool avec lui, ne fait rien qui puisse le rendre soupçonneux ».

Je suis allongé dans notre lit, la porte s’entrouvre et je la vois apparait dans sa nouvelle tenue. J’en ai un instant le souffle coupé. Elle arbore un air de jubilation et de confiance en elle que je ne lui ai encore jamais vu. Elle avance en se déhanchant, allant avec une extrême lenteur, une paire de bottes en cuir noir aux pieds dont les talons argentés claquent sur le plancher de chêne.
Elle porte un soutien gorge de cuir noir rehaussé de petits clous d’argent. Prenant la pose, elle pose les mains sur ses hanches et elle pivote de droite à gauche pour me montrer son slip de cuir échancré qui lui rentre à l’arrière dans les fesses. Le slip arbore lui aussi de petits rivets argentés. Ce slip d’une extrême féminité se ferme sur le côté par une-mini boucle de ceinture.
A la taille, une ceinture de perles colorées, lointain vestige de sa culture africaine, tranche avec la touche SM très prononcée de son ensemble. Elle porte aux cuisses des bas-résilles, ornés d’une bordure de dentelle noire. Les bas se perdent à l’intérieur des bottes du plus beau cuir, sur lesquelles le chausseur a fixé des lacets et des boucles. Parvenue au bord du lit, elle se campe les mains toujours sur les hanches et me fixe avec un regard de défi.
-Comment me trouves-tu ? dit-elle en plissant légèrement son regard.
J’ai envie de répondre, tu me fais l’effet d’une chienne, d’un animal ; je me redresse et en face d’elle, assis sur le lit, je la prends pas les fesses et l’attire à moi. Je lui embrasse la poitrine, passant ma joue et mes lèvres sur le cuir noir du soutien gorge. Je voulais prendre mes distances avec elle, mais je suis sous son pouvoir, plus que jamais.
Je lui propose alors étant assez bon photographe, de prendre quelques clichés d’elle, flattant au maximum son narcissisme qui à cet instant, ne connais pas de limite. Je lui demande de prendre plusieurs poses ce qu’elle fait sans hésiter, se laissant admirer, exhibant son corps somptueux autant que sa nouvelle tenue. Je pose enfin l’appareil sur la commode, je veux la toucher, m’enivrer de son odeur, me noyer dans sa couleur café.
J’ai envie d’elle, d’explorer son corps comme jamais et commence à faire glisser son slip le long des hanches et de ses cuisses. Je suis obligé de me baisser pour passer l’obstacle des bottes. Je me redresse et sens l’odeur de son nombril, de son ventre et finalement de son pubis.
Alors elle se couche au milieu du lit, silhouette animale au centre de la couette blanche. Je m’allonge la tête entre ses cuisses, l’odeur de son sexe est un mélange de savon et d’algues marines, je ferme les yeux et dépose un baiser sur les replis de chair. En regardant de près, la carnation de la peau me parait plus rosée que d’habitude, j’ouvre les lèvres et les referme pour aspirer lèvres et clitoris, mais elle m’arrête se dérobant à ma succion.
-Non me dit-elle, j’ai un peu mal, sans doute une petite irritation, fais plus doucement.
Je reprends mon exploration, léchant comme un chat chaque millimètre de sa moule rose et brune, insinuant ma langue délicatement dans chaque repli. En effet son sexe est plus gonflé que de coutume et ma mémoire me renvoie les images de son étreinte avec Stéphane dans les toilettes de l’hôtel Scribe. Je la revoie plus tôt, debout cuisses écartées se faisant fourrager le con avec deux ou trois doigts. Pas étonnant que sa chatte soit irritée. Je lui relève les cuisses pour m’insinuer plus bas. A l’entrée du vagin, son sexe rose vif lèche échapper un filet de cyprine. Je recueille sa sève odorante encore plusieurs minutes, puis je fais pivoter son bassin de côté afin de voir ses fesses et surtout en leur centre, la renoncule noire comme l’encre, aux contours plissés. J’écarte les deux globes de chair généreuse et lèche la vallée en leur centre, m’attardant sur l’anus dépourvu du moindre poil. J’adore lui faire çà, peu être vais-je maintenant continuer de vivre avec elle uniquement pour lui faire çà. Longtemps je reste là, léchant, insinuant le bout de ma langue dans son orifice, tout en me masturbant car je n’ai pas envie de m’unir à elle ce soir. Je ne veux pas m’enfoncer dans son ventre. Un autre est déjà passé par là aujourd’hui pour y rependre sa semence.
Je me redresse finalement, je m’agenouille entre ses cuisses et sans la quitter des yeux je repends ma liqueur sur son bas ventre. Des jets de sperme éclaboussent sa peau sombre, des taches laiteuses emplissent son nombril avant de s’écouler lentement sur les flancs. Elle, le regard oblique, contemple son reflet dans le miroir d’en face.
Je pense au god énorme que j’ai acheté aujourd’hui au sex-shop. Je l’imagine entrer et sortir de sa chatte. Ne t’inquiète pas Raffaela, tu ne perds rien pour attendre.
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Re: 7) Ma doudou couleur café

Messagepar JULIENX1999 » Ven 6 Juil 2012 05:54

hummmm quel cul j'adore ca doit etre une tigresse au lit
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Re: 7) Ma doudou couleur café

Messagepar JULIENX1999 » Ven 6 Juil 2012 06:03

hummm on pourra la voir debout dans satenue de chienne
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Re: 7) Ma doudou couleur café

Messagepar JULIENX1999 » Ven 6 Juil 2012 12:46

ton copain l'a revue ???
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Re: 7) Ma doudou couleur café

Messagepar decameron » Sam 7 Juil 2012 02:43

ta doudou couleur café t' a cocufier
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Re: 7) Ma doudou couleur café

Messagepar rachou » Sam 7 Juil 2012 18:09

bien sûr, avec ma complicité très active ! ! !
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Re: 7) Ma doudou couleur café

Messagepar Jack95 » Dim 8 Juil 2012 21:23

Très chaude histoire tu n as plus qu à t occuper de ta petite chienne en duo avec ton ami
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Re: 7) Ma doudou couleur café

Messagepar decameron » Lun 9 Juil 2012 00:27

ta doudou couleur café est une chienne qui aime la bite
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