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Au cours de la sixième année de mon mariage, j'ai découvert que ma femme Nadia avait une liaison. Quelques SMS explicites mal effacés sur son téléphone ne laissaient pas de doute. Quand je l'ai confrontée, je m'attendais à ce qu'elle le nie mais, au lieu de cela, elle a admis que oui, elle avait une liaison et elle s'est mise en colère, me disant que tout était de ma faute. Que chaque fois que nous faisions l'amour, j'atteignais toujours l'orgasme trop tôt. Que je l'ai toujours laissée frustrée. Qu'elle n'a jamais été satisfaite sexuellement. Qu’elle simulait toujours ses orgasmes parce qu'elle ne voulait pas me blesser.

Jusqu’à ce moment de ma vie, j’ai toujours pensé que nous avions un bon mariage et une bonne relation sexuelle. Bien sûr, le sexe est devenu routinier et prévisible, mais cela arrive dans chaque mariage mais là, en fait, c’était depuis le début. Elle simulait depuis toujours et moi, en bon égoïste, je n’avais jamais remarqué : enfermée dans son mensonge, elle n’avait jamais osé me faire affronter mon impotence !
Mon ego machiste a été détruit et brisé. Elle a continué à m'attaquer, me disant que non seulement je souffrais d'éjaculation précoce mais que mon pénis était mince et de petite taille.
Et là, j’avais honte, comme si moi je l’avais trahie, elle m'humiliait et me faisait me sentir si inadéquat avec sa vérité brutale !

Sa colère s'est calmée et sa voix est devenue plus douce, peut-être qu'elle a réalisé l'horrible douleur qu'elle m'avait infligée. De sa voix douce et tendre, elle a dit : « Oh Karim, je suis vraiment désolée pour ce que j'ai dit ! J'aimerais pouvoir retirer ces mots, je t’aime et t’aimerai toujours malgré ton petit défaut ! ».
J'avais tellement honte et tellement de regret de l'avoir fait avouer tout cela mais, en même temps, j’avais énormément de compassion pour l’avoir frustrée tant d’années et de la reconnaissance qu’elle soit toujours avec moi ! D'une manière ou d'une autre, son aveu m'a donné un sentiment de profonde intimité émotionnelle avec elle et il semblait qu'elle ressentait la même chose.

Nous nous sommes blottis l’un contre l’autre, nous nous sommes caressés, et je lui dis : « Non, ne retire pas ces mots ! Ils sont vrais et je suis reconnaissant pour ton honnêteté. Cela me fait me sentir si proche de toi et pourtant si vulnérable ! ».
Puis elle a demandé : « Pouvons-nous aller dans la chambre ? ».

Dans la chambre, nous nous sommes déshabillés et, pour la première fois, j'essayais de cacher mes organes génitaux à sa vue. J'ai toujours été fier d'être un homme mais cette nuit, je me sentais gêné d'être nu devant elle. Ma petite érection dressée vers le ciel était ridicule, je savais qu'elle me comparerait à son amant, qu’elle me jugeait impotent ! Elle retira les couvre-lits. Allongée sur le dos, elle m'a fait signe de m'allonger sur elle et, ce faisant, j'ai senti sa main guider mon zizi vers son vagin.

Je l'ai pénétrée jusqu'au bout et j'ai commencé à pomper, mais j'étais tellement excité que j'ai commencé à éjaculer et à gémir de frustration ! C'est alors que, pour la première fois, je l'entendis soupirer de déception. Je me sentais tellement déprimé, tellement inutile ! Je lui ai dit à quel point j'étais désolé, que je n'étais pas à la hauteur, que je ne la méritais pas…Elle avait ses bras autour de moi et elle n'arrêtait pas de dire : « Tout va bien. Oh mon pauvre garçon, tout va bien ! Ne t'inquiète pas, ce n'est pas important. Tout ira bien, alors n'y pense pas ! ».

L’embarras était écrasant. Je suis resté allongé là, mon zizi se dégonflant à l'intérieur d'elle jusqu'à ce qu'il glisse. Elle a glissé alors ses mains le long de mon dos jusqu'au haut de mes épaules où j'ai senti ses mains me presser vers le bas, vers ses seins. Je suis descendu en embrassant sa peau jusqu'à ses seins et ses mamelons. Les tétons qu'un autre homme appréciait maintenant !
Tout en suçant son mamelon, elle a bercé ma tête dans ses bras comme elle le ferait pour allaiter un bébé. « Tu vois mon chéri, tout est mieux comme cela, j’ai un amant pour mon plaisir et tu m’as, moi ! ». Ces mots m’apparurent si évidents d’un coup. Je tétais comme un enfant avide ! Elle gémissait, son plaisir naissant me procurait un sentiment de paix. J'avais l'impression que je pourrais rester dans cette position pour toujours !

Elle a passé ses doigts dans mes cheveux puis les a saisis de chaque côté de ma tête. En éloignant ma tête de sa poitrine, elle a levé mon visage. Elle m'a regardé très attentivement sans aucune expression sur son visage. Elle étudiait mon visage pendant très longtemps. Peut-être qu'elle évaluait les dommages émotionnels qu'elle m'avait infligés ou peut-être qu'elle estimait combien d'humiliation je pourrais endurer.

J'étais sur le point de lui demander ce qui n’allait pas quand elle a poussé ma tête vers son vagin, guidant ma bouche vers son clitoris. J'ai senti sa main sur l'arrière de ma tête alors qu'elle enfonçait mon visage dans ses poils pubiens. Son parfum était enivrant et cela a provoqué une autre érection de mon zizi !

En léchant ses poils pubiens, j'ai exposé son clitoris, si rose et engorgé, mon joyau de la couronne. C'était ma chance de regagner son approbation, de compenser mes échecs. J'ai fermé la bouche sur son bijou, le suçant et goûtant son jus. Je pouvais l'entendre roucouler et haleter pendant qu'elle murmurait des instructions : "Oui, c'est ce que je veux ! Continue comme ça ! Ne t'arrête pas. Tu es à ta place là ! Suce-le plus fort. Plus fort ! C'est bien mon cocu, utilise ta langue ! ».

Je ne pourrais jamais la baiser aussi complètement que son amant, mais je serais le meilleur homme au cunnilingus ! Suivant ses instructions, je faisais l'amour avec son bijou alors qu’elle se tordait de plaisir, puis courbait sa chatte vers moi et criait avec son premier orgasme. Elle s'est débattue, a gémi, a donné des coups de pied et a grogné comme un animal sauvage et pendant tout ce temps, je me suis accroché à elle, comme un perdu, tout en continuant à sucer. Bientôt, ses secousses et ses tremblements se sont arrêtés et ma succion s'est transformée en un léger léchage jusqu'à ce qu'elle halète les mots : "Oh, s'il te plaît, arrête ! C'est trop sensible ! ».

S'éloignant de son clitoris en feu, je me suis glissé jusqu'aux lèvres de son vagin, savourant tout cela. J'ai léché et poussé ma langue aussi profondément que possible dans son canal vaginal où je pouvais goûter la douceur de mon propre sperme mélangé à son jus. Je me dis que c'est là que va la bite de son amant. Pendant tout ce temps, elle continuait à murmurer ses instructions : "Oh mon Dieu, ça fait du bien ! Laisse-moi sentir cette langue ! Oui, c'est le bon endroit. Bon cocu, ne t'arrête pas ! ».
Après un moment à lécher et à boire son jus, son clitoris a eu le temps de se désensibiliser. Je l'ai léché et j'ai recommencé à le sucer. Pendant ce temps, elle continuait à murmurer ses mots d'encouragement jusqu'à ce qu'elle recommence à haleter et à trembler alors qu'un autre orgasme la submergeait. Celui-ci est plus violent que le précédent !

Cette nuit, de cette manière, je lui ai donné quatre orgasmes. Après nous être arrêtés, nous nous sommes allongés. Mon visage était couvert de son jus et ma bouche était irritée par le cunnilingus que je lui avais donné.
Je lui ai demandé si elle l'aimait et elle a répondu : « Non, je n'aime que toi ! Avec lui, ce n'est que du sexe mais si cela se résume à un choix, alors je le choisirai uniquement parce que je dois avoir ma liberté sexuelle. Je suis désolée mais je vais continuer à le voir ! ».
« Et si quelqu'un l'apprend ? », j'ai demandé.
« Ne t'inquiète pas, je suis très discrète ! »
« Qu'en est-il de notre sécurité ? » lui ai-je demandé.
Elle a répondu :
« Chéri, il veut juste me baiser, pas nous nuire ! ».
« Ça fait longtemps ? ».
« Quelques mois ».
« Il est comment ? C’est qui ? ».

Son regard partit dans le vague et elle dit :
« Pour répondre à ta première question, dis-toi qu’il est au double de toi et qu’il dure longtemps, j’ai souvent deux ou trois orgasmes avant qu’il jouisse en moi ! Quant à la deuxième, tu es trop curieux là…Comme tu le connais, il vaut mieux que tu ne saches pas ».
« Mais tu te protèges au moins ? ».
« Tu sais bien chéri que c’est meilleur au naturel ».
« Et si tu tombes enceinte ? ».
Elle a répondu : « C'est moi qui porte le bébé et c'est moi qui lui donne naissance. Tu seras le père mais c'est moi qui déciderai qui me mettra enceinte. Je sais que c'est inacceptable pour n'importe quel homme à moins qu'il n'aime sa femme de manière inconditionnelle ! ».

Pesant tout ce qu'elle avait dit, je marquais une pause dans toutes mes questions et la regardant dans les yeux, j'ai répondu : « Je t'aime inconditionnellement ! ». Je sentis mon trouble dans tout mon corps, mon zizi dressé éjacula des traits de foutre dans l’air, célébrant cette victoire totale de sa part. Un sourire approbateur de satisfaction apparut sur son visage.
Nous n'étions plus mari et épouse, nous étions désormais femme et cocu. Je suis devenu, ce jour-là, son cocu acceptant, adorant et soumis.

Le lendemain soir, alors que nous rentrions du travail et préparions le dîner, je lui ai demandé si elle voyait son amant aujourd'hui. Elle a répondu en disant : « Chéri, je vais te dire tout ce que tu veux savoir, mais cela doit être lorsque nous sommes dans la chambre et non ici dans la cuisine. Cela doit rester notre conversation sur l'oreiller ! ».
Les rapports sexuels sont devenus trop embarrassants pour moi. Nos relations sexuelles consistent en cunnilingus et en masturbation. Contrairement aux relations sexuelles où j'avais des éjaculations précoces, lorsque ma femme me masturbe, il me faut 4 ou 6 minutes pour jouir. Me caresser aussi longtemps était très lassant pour elle jusqu'à ce qu'elle découvre que lorsqu'elle parlait de son amant, cela me faisait jouir immédiatement !

Depuis ce constat, elle ne m’accorde le sexe qu’au retour de ses escapades bi-hebdomadaires et, maintenant, je lèche une chatte distendue et remplie du foutre de son amant. Hésitant au départ, elle m’a convaincue, me disant que son plaisir à me voir la nettoyer serait décuplé. Je lui dois bien ça après toutes ces années de frustration !

Le sperme de son amant est si crémeux et si copieux que j’apprécie de plus en plus sa chatte ! Elle sait que j’attends maintenant mes doses avec impatience, témoin de son épanouissement sexuel retrouvé. Quand le jus coule dans ma bouche, elle m’encourage « Prends ton jus mon bébé, vas-y, tète…Oh tu vois, il a mis la dose pour toi mon amour ! Oh, il aime ça le petit cocu ! ». Je lape frénétiquement le foutre à grandes lampées.
« Fais ça bien mon toutou, sinon je risque de tomber enceinte ! ». Elle sait qu’à ces mots, je jouis sous moi, automatiquement sur le drap !

Cela fait une année maintenant que je ne l'ai plus jamais pénétré et nous sommes toujours très excités lorsqu'elle se prépare pour son rendez-vous. J'éprouve toujours des pointes de jalousie quand je la vois se préparer pour lui. Elle passe peut-être la nuit avec son amant, mais quand elle rentre chez nous, le lendemain matin, elle est radieuse et ses yeux brillent et je sais que j’ai ma récompense de cocu !

Je l’aime si fort, elle est toujours la personne la plus excitante de ma vie et j'ai tellement de chance de l'avoir à mes côtés malgré mon infirmité et son infidélité !

La mienne, je l'ai poussée à m'être infidèle la trouvant trop bonne pour un seul homme.
Au début cela n'a pas été facile, mais avec le temps et un complice bien équipé elle s'est laissée aller, puis elle y a prit gout et maintenant je me contente de la lécher après chaque saillie soit chez son amant soit chez nous après qu'il l'aie bien remplie, comme cela une fois propre elle peut y retourner.
cocu8400

Pour cocu8400,
Nous sommes pareils. Vive les cocus du monde entier !!!!

Couple_fetish a écrit : ↑mer. 19 mars 2025 16:13 Bravo ! Belles histoires !! Très excitantes

Effectivement très belles histoire !
Mais pour Moi y a malheureusement le fléau du 21eme siècle... Où le Oui et le Non qui devrait s'opposer ! Ce relient pour une reponce Mono Avis...

lailatvx007 a écrit : ↑sam. 15 mars 2025 08:34 Nous n'étions plus mari et épouse, nous étions désormais femme et cocu. Je suis devenu, ce jour-là, son cocu acceptant, adorant et soumis.

Pour Moi ça sera mari cocu et épouse infidele !
où la Liberté de l'un respecte la Liberté de l'autre

Apres chacun sa liberté 90/10 c'est mieux que zéro !
Ceci étant dit je juge pas le choix de chacun
Mais préfère la réel Liberté 50/50...

cocu8400 a écrit : ↑dim. 16 mars 2025 18:33 La mienne, je l'ai poussée à m'être infidèle la trouvant trop bonne pour un seul homme.
Au début cela n'a pas été facile, mais avec le temps et un complice bien équipé elle s'est laissée aller, puis elle y a prit gout et maintenant je me contente de la lécher après chaque saillie soit chez son amant soit chez nous après qu'il l'aie bien remplie, comme cela une fois propre elle peut y retourner.
cocu8400

Messieurs portez vos couilles ! Ne les laissez pas à la merci d'une ou d'un égoïste
Mais faites en vous même se que vous voulez en respectent l'autre...

lailatvx007 a écrit : ↑lun. 17 mars 2025 07:59 Pour cocu8400,
Nous sommes pareils. Vive les cocus du monde entier !!!!

Vive la Liberté l'Égalité les Cocus (h ou f & autres) du Monde...

lailatvx007 a écrit : ↑sam. 15 mars 2025 08:34 « Mais tu te protèges au moins ? ».
« Tu sais bien chéri que c’est meilleur au naturel ».
« Et si tu tombes enceinte ? ».
Elle a répondu : « C'est moi qui porte le bébé et c'est moi qui lui donne naissance. Tu seras le père mais c'est moi qui déciderai qui me mettra enceinte. Je sais que c'est inacceptable pour n'importe quel homme à moins qu'il n'aime sa femme de manière inconditionnelle ! ».

LOL Oui c'est elles qui les porte ! Et Oui elles sont libre de choisir le mec qui les met enceinte... ! Mais en aucun cas de décider qui aurra le non choix d'être le Père !

C'est une intention de 2 être humain ! Et pas le caprice égoïste d'une femme seule !

Y a un être vivant enjeu... Et lui a le droit d'être consu dans le respect de la nature...