changement de vie (2)

Bonjour à tous.
Voici le suite de mon changement de vie par apport à Sophie.
Je partit me coucher et ce fut encore une très longue nuit. je décidais d'appeler Gérard.
Moi -salut mon Gégé.
Gérard -ça va mon Olive.
Je lui racontais l'enfer que faisait vivre Sophie depuis la veille.
Moi -donc, ne viens pas ce soir, déjà, elle risque de ne pas être là et je ne veux pas qu'elle parle mal devant toi.
Gérard -oui c'est mieux, tu as raison, mais sois ferme avec elle, ne lui fais aucun cadeau, tu verras, elle va s'amadouer, montres-lui que le Olivier d'avant a disparu.
Moi -oui, tu as raison, je ne vais pas lui faire de cadeau, on doit avoir une discussion ce matin.
Gérard -autre chose, fais-toi beau gosse, parfumes-toi, donnes lui envie.
Moi -ok mon Gégé.
Gérard -tiens-moi au jus de l'avancement, je veux te voir heureux de nouveau.
Sophie sortit de sa léthargie vers midi et en guise de café, but un demi litre d'eau.
Moi -ça donne soif l'alcool.
Sophie -ne te moques pas, merci.
Moi -je t'attend pour discuter, n'oublies pas.
Sophie -on a rien à se dire.
Moi -toi peut être mais moi, oui, j'ai des choses à te dire donc dis moi quand tu seras prête à les entendre.
Sophie - vas-y je t'écoute.
Moi - un, ici ce n'est pas un hôtel et je ne vais pas me lever toutes les nuits pour t'ouvrir et te voir bourrée, deux, la prochaine fois que tu m'insultes, il n'y en aura pas de 3eme, c'est dehors, trois si en attendant de trouver un appartement tu veux vivre ici, respectes les règles et quatre, si je te dégoutes à ce point, prends tes affaires et déménages le plancher.
Sophie -au moins, cela à l'avantage d'être clair et net, écoutes, je suis complètement paumée, je ne veux pas te faire de mal, au contraire.
Moi -je suis là, je peux t'aider, tu crois que c'est une solution de te souler tout les jours ?
Sophie -non, je sais, mais cela me permet d'oublier.
Moi -non, le problème revient le lendemain quand tu as dessouler.
Sophie -tu préconise quoi alors.
Moi -c'est ta vie, tu es encore une très belle femme, beaucoup d'hommes se laisseraient faire par une aventure avec toi donc sors, amuses-toi mais arrêtes de boire.
Sophie -ne me parles pas d'hommes en ce moment, surtout pas.
Moi -alors sors avec des femmes ( cela me fit rire)
Sophie -tu arrives à me faire sourire, tu es vraiment unique.
Moi -tout simplement parce que je t'aime toujours malgré le mal que tu m'as fait.
Sophie -je sais que je t'ai blesser au plus profond de toi, désolé.
Moi -on a quand même vécu des trucs uniques ensemble non !
Sophie -oui, mais tout ceci, c'est du passé et je ne me vois pas revivre cela.
Moi -dommage.
Sophie -tu aimerais recommencer toi ?
Moi -peut être différemment mais pourquoi pas.
Sophie -ne rêves pas trop quand même, dès que je trouve un appartement, je pars d'ici.
Moi -je savais ta réponse, toutes tes affaires sont dans la ma chambre sur le lit, récupères-les, tu n'as plu qu'a les repasser et je note au passage que tu n'as pas une seule tenue nouvelle, tu vivais avec un ours ou quoi.
Sophie -en quelque sorte, merci pour le linge, Olivier.
Moi -ne m'appelles pas comme ça, j'en ai horreur, je préfère que tu ne m'appelle pas, autre chose, si tu veux baiser, tu vas à l'hôtel, merci de me respecter.
Sophie -je n'ai pas du tout envie de ça, rassures-toi.
Moi -sait-on jamais, je préfère que tu saches les choses et quand mes amis viennent me voir, tu déguerpis d'ici, pareil, tu vas à l'hôtel.
Sophie -tu m'as remplacé ?
Mo -non, pas pour le moment, j'ai une piste mais rien de concret, et puis de toutes façons, tu t'en fous.
Sophie -non, je veux te voir heureux quand même.
Moi -mon bonheur, c'était toi, les autres femmes, ce ne sera que la vie.
Sophie -tu as baisé depuis que je suis parti ?
Moi -cela ne te regardes pas.
Sophie -allez, dis moi.
Moi -surement moins que toi.
Sophie -détrompes-toi, ça n'a été qu'un feu d'artifice avec des pétards mouillés.
Moi -c'est toi qui l'a voulu.
Sophie -des nuits entières à l'attendre.
Moi -ne te plains pas à moi stp.
Moi -je vais me doucher, après je sors, si tu bouges, tu claqueras la porte.
Sophie -je ne pense pas, je vais repasser mes affaires et dormir un peu.
Je sortis de la douche et m'habilla comme un prince.
Sophie -tu as un rendez vous galant, on dirait.
Moi -oui.
Vu sa tête, je vis que cela ne lui plu pas trop.
Moi -dis-moi pas que tu es jalouse ?
Sophie -ah non pas du tout.
Moi -vu ta tête, on n'aurait pu croire.
Sophie -non non, bon après midi.
Moi -merci.
Je partais voir Mimi qui était seule et qui voulait avoir des nouvelle de Sophie.
Mimi -dis-moi tout Olive.
Moi -c'est très compliqué, elle n'arrête pas de boire, me parle très mal et mis à part ce matin ou l'on a pu avoir une bonne discussion. Quand à nous remettre ensemble, je pense que c'est mort.
Mimi -oh non, quel dommage, Pascal va être déçu lui aussi.
Mimi n'avait sur elle, qu'une chemise de bucheron et voyeur comme je suis, elle avais un soutif et un string ou tanga rose.
Mimi -hum, tu regardes mes seins avec envie, on dirait ?
Moi -oui, avec beaucoup d'envie même.
Mimi -sers-toi alors.
Je la fis mettre debout et ouvris tout les boutons de sa chemise.
je lui pétris les seins au travers de son soutif en dentelle.
Moi -enlèves ton soutif et mets tes seins dans ma bouche.
Mimi -oui bouffes-moi.
j'adorais ses seins, j'adorais les caresser, les bouffer, les pincer.
Mimi -vas-y Olive, j'aime qu'on les maltraite.
Je pinças les bouts, les tapas quand ils étaient tendus, elle prenait du plaisir.
Moi -Mimi, maintenant, je n'attend plus rien de Sophie, je peux te faire orgasmer et jouir.
Mimi -hum oui, en plus, ma chatte est toute lisse, je l'ai épilée ce matin.
Je caressa pour commencer sa chatte au travers de son string rose, elle était inondée, j'écarta son string et cela laissât place à ne superbe chatte toute lisse,
je jouais un bon moment avec son clito et elle me donna un orgasme en me disant que maintenant elle pouvait se partager avec Pascal et moi.
Je la fis jouir avec mes doigts et la aussi, elle se donna.
Moi -par contre, il n' aura pas de pénétration Mimi.
Mimi -si, je vais aller chercher mon gode et tu vas me faire jouir ave et après me sodomiser aussi.
Moi hum, très beau programme.
Mimi s'offrit à moi complètement et me demandait de revenir plus souvent. Je lui promis car je venais de passer un très agréable moment.
Je trainais toute le journée et ne rentrait que vers 19 heures. Sophie était là et elle aussi s'était faite belle avec sa robe longue en lin et je vis qu'elle avait des dessous noirs.
Moi -bonsoir Sophie ça a été ta journée;
Sophie -je n'aime pas non plus que tu m'appelle Sophie.
Moi -je ne vais pas t'appeler Chérie quand même, tu sors ce soir on dirait.
Sophie -non, j'avais envie de me sentir belle.
Moi -c'est réussi, tu l'es.
Sophie -merci, un compliment , c'est toujours agréable à entendre et ton rdv, celas s'est bien passé.
Moi- tu es bien curieuse, je pensais que je ne t'intéressait pas.
Sophie -tu veux pas le dire, c'est pas grave.
Moi- platonique, il ne se passe rien à part de longs dialogues inutiles(je mens bien quand même).
Sophie -même pas un petit bisou
Moi -rien de rien.
Sophie -tu mérites mieux que ça, je suis déçue pour toi.
Moi -pas grave, toute façon, je ne pourrais jamais te remplacer.
Sophie -ne dis pas ça, tu mérites de rencontrer quelqu'un de bien.
Moi -on verra, tu veux boire un apéro avec moi sans te saouler.
Sophie -oui, j'ai réfléchis aujourd'hui, j'arrête mes conneries.
Moi -trop content d'entendre ça, ça s'arrose, champagne ?
Sophie -oui, je ne bois que ça de toute manière.
moi -je sais, je te connais un peu, et tu sais au début quand tu es partie, je me saoulais tout les jours, c'est Gégé qui m'a ouvert les yeux.
Sophie -Gérard, comment il va ?
Moi -très bien, c'est vraiment un ami, il m'a beaucoup aidé et m'aide encore.
Sophie -je l'ai toujours su que c'était un homme bien, et en plus très bon amant.
Moi -ha non, on ne parle pas de ça, tu vient de me dire que tout ça, c'était fini.
Sophie -pourquoi, tu as peur de te mettre à bander.
Moi -peur, non mais cela peut me faire bander, je n'ai pas changé.
Sophie -je n'en doute pas une seconde, allez tchin tchin.
Moi -santé, à ta nouvelle vie, tu comptes faire quoi d'ailleurs ?
Sophie -j'ai pensé à une chose mais j'ai besoin de toi si tu veux m'aider ?
Moi -je te l'ai dis, si je peux, je le ferai, et nous deux on fait quoi, on divorce ?
Sophie -je ne sais pas, ce serait mieux non !
Moi- je te laisse décider, moi, je suis ok pour divorcer si c'est ton choix.
Sophie -on se laisse du temps, je voudrais lancer mon projet avant.
Moi -pas de souci.
Je nous resservi une coupe.
Sophie -voila, je voudrais créé un micro société de couture, louer un local et bosser à mon compte.
Moi -très bonne idée, mais tu veux que je t'aide en quoi ?
Sophie -m'aider dans les papiers à fournir et savoir ce que je dois faire exactement.
Moi -je peux t'aider alors.
Sophie -merci, je me donne 3 mois pour ouvrir.
Moi -dans un 1er temps et si tu le veux, le mieux, c'est de le faire ici, louer un local va te donner des frais inutiles à mon avis.
Sophie -je ne veux pas te déranger dans ta vie si tu rencontre quelqu'un.
Moi -je te propose après, c'est toi qui choisie.
Sophie -tu es trop gentil, je ne le mérite pas.
Moi -c 'est comme ça.
Elle remplit nos verres et trinquions encore une fois. La bouteille était vide.
Sophie -tu vois toujours Mimi et Pascal ?
Moi -oui, ce sont eux qui sont venue m'aider quand je t'ai ramené et que tu as dégueulé partout dans la chambre.
Sophie -arrêtes, déjà que j'ai honte d'avoir fais ça.
Moi -on se voit sinon, de temps en temps pour un diner ou une sortie en boite.
Sophie -au moins, il ne t'ont pas abandonné.
Moi -non, il ont été fidèles.
Sophie -les seins à Mimi te font toujours fantasmer ?
Moi -on ne parle pas de ça on a dit.
Sophie -c'était juste une question.
Moi -ne question sans réponse puisque tu la connais.
Sophie -c'est vrai que tu n'as pas changé alors.
Moi -moi non, mais toi oui, j'ouvre une autre bouteille et tu en as assez.
Sophie -je te laisse décider et dis moi, tu ne me ferais pas des pâtes al denté comme tu sais faire ? y'a longtemps que je n'en ai pas mangées.
Moi -je devrais pas t'en faire, pour ça, je veux que tu vienne me faire une grosse bise sur ma joue pour sceller la paix entre nous.
Sophie se leva et me fis une grosse grosse bise. Je mis l'eau à chauffer et ouvris une autre bouteille.
Moi -sois franche avec moi, tu as mis cette tenue pour que je mate un peu quand même ?
Sophie -la tenue, non, les dessous noir oui.
Moi -je m'en doutais un peu.
Sophie -mais tu n'es pas obligé de regarder.
Je ne répondis pas et alla surveiller l'eau des pates.
Sophie -tu as perdu combien de kilos ?
Moi -environ 8.
Sophie -ah oui, quand même, ça se voit, tu dois te sentir mieux non !
Moi -oui, je me sens bien et même par moment beau gosse (j'éclatais de rire)
Sophie -j'aime toujours cette manière que tu as de rire.
Moi -je te l'ai dit, je n'ai pas changé, mis à part ma garde robe et mes kilos en moins. Je met les pâtes ?
Sophie -attends un peu, on reboit une coupe.
Moi -si tu veux maintenant que le bouteille est ouverte, autant la finir.
Je vous avoue que cela me tournait un peu la tête car cela faisait presque un mois que je n'avais pas toucher une goutte d'alcool.
Sophie -tu met toujours des strings ?
Moi -mais c'est un vrai interrogatoire.
Sophie -oui, excuse moi, mais cela me change des soirées à ma morfondre.
Moi -ça, je n'y peux rien et oui j'en met toujours mais rarement, je n'ai plus à plaire à personne.
Sophie -n'importe quoi, tu devrais vivre ta vie, tu es un super homme qui m'a comblé de bonheur pendant des années.
Moi -non, ma vie me va comme elle est actuellement, je ne dois rien à personne et j'attend rien de personne, je vis ce que j'ai envie de vivre et le reste, je m'en fous.
Sophie -pour moi, tu gâches ta vie.
Moi -toi, tu viens de gâcher la tienne pendant 5 mois, et je dis gâcher mais le mot est faible par apport à ce que tu as fait.
Sophie -oui, je sais va me falloir des mois voir plus pour me remettre de cette désillusion.
Moi -tu pensais réellement qu'il allait tout quitter pour toi ?
Sophie -oui, il m'as promis monts et merveilles pour rien avoir du tout en fin de compte.
Le champagne déliait mes dires.
Moi -et tu te consacrais qu'à lui même pas un petit écart ?
Sophie -tu es bien curieux toi aussi, mais dis toi bien que si je te dis un truc, tu m'en dis un aussi.
Moi -je n'ai rien fait depuis que tu es partie (encore un mensonge).
Sophie -alors, je ne peux rien te dire et de toutes façons, j'i rien à dire car je lui suis resté fidèle.
Moi -ma mangeuse de sexe a en 5 mois, changé sa vie, je n'y aurais jamais cru, sers nous une dernière coupe, je mets les pâtes à cuire.
Sophie -tu nous ouvres un bon petit vin avec ?
Moi -tu en as réellement envie ou c'est juste boire pour boire.
Sophie -non, je veux boire un bon vin avec toi.
Mon tel bipa, c'était Pascal qui m'invitait à diner chez eux le lendemain (on était vendredi)
Sophie -tu vois, ton tel bipe toujours.
Moi -oui, je suis inviter à diner demain soir.
Sophie -tant mieux pour toi, profites, alors pour le vin ?
Moi -tu sais bien que oui, j'ai toujours eu du mal à te dire non.
J'ouvris un bourgogne qui avait 3 ou 4 ans, puis je servis Sophie au salon.
Sophie -on peux manger dans la cuisine.
Moi -chut.
Sophie mangea mes pâtes d'un appétit féroce et n'en laissa pas une dans l'assiette et bu son verre de vin tranquillement.
Moi -ca fait plaisir de te voir manger ainsi.
Sophie -j'en rêvais de tes pâtes.
Moi -si tu t'es régalé tant mieux.
Sophie -tu n'as presque rien mangé toi.
Moi -le champagne m'a gavé, je vais boire un peu de vin et ça ira très bien comme ça.
Sophie -tu m'étonne que tu as maigri en mangeant si peu.
Moi -pas grave, tu vas faire quoi demain du coup ?
Sophie -je vais aller m'acheter des fringues, une montagne de fringues et toi ?
Moi -demain matin, rien à part un peu de ménage et l'après midi, je vais surement aller faire une balade, u sera là demain soir, je te dis ça pour les clefs car si tu sors, faudra m'attendre pour rentrer.
Sophie -je ne sortirai pas juste pour mes fringues, je peux avoir encore un peu de vin.
Moi -oui, vas-y et sers m*-moi aussi.
Sophie -voila une soirée qui me réconcilie avec la vie, tu sais.
Moi -pourtant ce n'est rien, champagne pâtes et vin, ce n'est pas terrible.
Sophie -c'est au contraire beaucoup pour moi.
Moi -très bien si tu le dis, bon je finis mon verre et je vais au lit.
Sophie -d'accord.
J'étais certain que si je lui avait demandé de venir avec moi, elle m'aurait suivi mais Gérard m'avait dis surtout laisses la venir à toi.
Moi -bonne nuit à demain dors bien.
Je lui fis une bise sur la joue e alla me coucher.
Sophie -toi aussi, dors bien.
Je m'endormis sans problème, le lendemain quand je me leva tout était propre, Sophie avait tout fait, cela faisait plaisir.
Du coup, je sortis et alla acheter des croissants.
Quand je revins, Sophie était réveillé et se trimbalait avec juste son déshabillé noir fermé par la ceinture mais qui ne cachait pas la dentelle de son string.
Sophie coucou, bien dormi ?
Moi -oui impec et toi ?
Sophie -moyen, ce doit être encore un peu trop d'alcool hier soir.
Moi -puis-je te demander de te couvrir un peu plus ce matin, ce n'est pas que cela sois déplaisant au contraire mais c'est mieux pour nous deux.
Sophie -je l'avais mis pour que tu régales tes yeux mais si tu préfères que je me couvre, je vais le faire, t'es sur de toi ?
Moi -si tu l'as fait volontairement, reste comme ça alors, je t'ai ramené des croissants.
Sophie -génial, tu es toujours trop gentil, je te l'ai dis hier soir.
Moi -peut être.
Sophie fit couler le café et nous déjeunâmes ensemble.
Sophie -tu manges pas ?
Moi -jamais le matin mis à part mon café au lait, tu le sais bien.
Sophie -oui, c'est vrai, en tout cas merci pour les croissants.
Je m'habilla et fis ma chambre à fond, changea les draps et mis en route la machine à laver.
Sophie quand à elle, s'était douchée, maquillée et habillée soft, juste un pantalon blanc, un pull en V et des ballerines.
Moi -oh, habillage soft aujourd'hui.
Sophie -oui, je ne veux pas qu'on ma mate et qu'on me suive, je veux être tranquille, si tu veux vers midi midi trente, rejoins-moi à la cafétéria, je t'invite à déjeuner.
Moi -je t'envoie un texto vers 11h30 pour te dire.
Sophie -tu m'as dis hier que tu n'avais rien de prévu, allez viens, fais moi plaisir.
Moi -d'accord midi et demi alors.
Sophie -suis trop contente.
Elle me fis une bise et partit.
Le plan à Gérard fonctionnait pas mal du tout et je pensait surtout ne craque pas trop vite, je l'aimais comme un fou, mais je devais maitriser cet amour. Je devais continuer à ne rien laisser paraitre.
Vers midi et demi, je rejoignit Sophie qui m'attendait avec ses 3 sacs à la main.
Moi -tu as dévalisé les boutiques ou quoi.
Sophie -disons que je me suis fait plaisir.
On s'installa en terrasse.
Moi -dis-moi, tu arrives à oublier ton ours ?
Sophie -non, la blessure est encore ouverte mais je me sens de mieux en mieux et tu y es pour beaucoup, en 5 jours de temps, tu m'as métamorphosé et le soirée d'hier m'a fait du bien, parler avec toi me remet un peu les idées en place.
Moi -je veux que tu vive tout simplement et tu rencontreras un homme qui prendras soin de toi comme je l'ai fait pendant des années là (je mentais encore, si y'en a un qui s'approche, ça va pas le faire).
Sophie -tu dois avoir la tète à l'envers pour dire ça, je sors d'une histoire difficile et tu veux me recaser, le mieux, tu sais quoi, c'est que je m'installe à l'hôtel, j'essaye de me reconstruire un peu et tu fais tout pour que je parte.
Moi -mais je ne te parle pas de maintenant mais de l'avenir.
Sophie -alors, ne me dis plus ces choses là, car tu me connais, je suis capable de partir.
Moi -excuse-moi, parlons d'autre chose.
Sophie -oui, je ne t'ai pas invité pour dire de vilaines choses.
Moi -tu as acheté quoi du coup ?
Sophie -comme tu est très gentil avec moi, je te propose demain si tu es là, de tout essayer, de te faire voir et tu me diras si tu aimes ou pas.
Moi -ok, mais demain après midi car je pense que je vais me coucher très tard.
Sophie -ah bon, tu vas juste diner.
Moi -non, on sort en boite après.
Sophie fit la même tête qu'hier et je pensais qu'elle était jalouse.
Moi -t'inquiètes pas, je serais sérieux.
Sophie -tu es libre, mais si tu rentres avec une femme, envoies-moi un texto que je ne reste pas à la maison.
Moi -aucun risque et si cela arrive, j'irai à l'hôtel, chez moi, il n'y a qu'une seule femme qui a partagé mon lit, y'en aura pas d'autres.
Sophie -je t'ai dis ça parce que tu as changé tes draps ce matin, par contre, cette femme comme tu dis, elle l'a partagé ton lit avec ses amants.
Moi -oui mais j'étais d'accord et j'aimais ça.
Sophie -tu as changé sur ce plan là ?
Moi -comment puis-je te répondre, sexuellement c'est le calme, encéphalogramme plat.
Sophie éclata de rire.
Moi -cela fait du bien de te voir rire, je te jure.
Sophie -tu vois malgré les années, tu y arrives encore.
Je finis de déjeuner et la laissa continuer ses achats.
J'étais rentré avant elle (valait mieux sinon elle restait dehors) et Sophie arriva vers 17 heures avec 2 sacs de plus.
Moi -bah dis donc, l'essayage de demain va durer 3 heures au moins.
Sophie -oui, je veux retrouver mon look et ma beauté d'antan.
Moi -tu es toujours très belle, n'ais crainte.
Sophie -tu n'est pas un bon juge, tu ne me regarde pas comme les autres.
Moi -ce n'est pas faux.
Je prit ma doche, me rasa et sortit de la salle de bain avec mon peignoir.
Sophie -pas la peine de te cacher, je t'ai déjà vu à poil. (elle ria encore).
Comme j'étais dans le couloir, j'enleva mon peignoir et elle vit mes fesses.
Sophie - hum les belles fesses, si tu veux dans la semaine, je t'épilerai tout ça.
Moi -oui, avec plaisir.
Comme elle me provoquai quand même pas mal, je décidais de mettre le string qu'elle préférais (noir avec un zip devant) mais elle ne vis rien.
Alors comment m'habiller, il faisait bon dehors, j'opta pour un costume gris clair avec une chemise blanche intérieur du col et poignet rose et une cravate bleus, un peu de parfum et j'étais prêt;
Sophie -si j'étais à cette soirée, je sais sur qui je jetterais mon dévolu, tu es super beau gosse.
Moi -merci, cela me fais plaisir d'entendre ça.
Sophie -viens que je te mette bien ta cravate et en plus tu as mis mon parfum préféré, tu as de sacré atouts en main ce soir.
Moi -ouais bof.
Sophie -tu as l'air motivé pour sortir.
Moi -j'aurai 100 fois préféré rester avec toi et passer une soirée comme hier soir.
Sophie -confidence pour confidence, j'aurai préféré aussi.
Ca y était, elle commençait à se dévoiler, j'aimais ça.
Je partit et en arrivant, toute un pléiade de questions de Mimi et Pascal. Je répondis à tout.
Mimi -dès qu'elle va mieux, on vient la voir.
Moi -oui promis, vous serez les premiers invités, pour l'instant, il faut la laisser se reprendre.
Mimi avis mis un ensemble jupe courte, veste avec juste un soutif dessous et des escarpins hauts talons.
Pendant que Pascal préparais l'apéro.
Moi tu veux te faire pécho ce soir ou quoi, tu es une bombe atomique.
Mimi -Pascal veut que je me fasse baiser dehors pendant qu'il dansera dedans.
Moi -joli programme.
Mimi -je veux que ce soit toi qui me chope.
Moi -tu sais bien que je ne pénètrerais pas, encore moins maintenant que Sophie est rentré.
Mimi -m'en fous, tu me boufferas partout et je jouirais et orgasmerais pour toi.
Moi -on verra ça tout à l'heure.
Pascal -vodka, champagne, whisky ou pastis mon Olive.
J e décidas de prendre un whisky pour changer un peu des bulles.
On en bu au moins 4 ou 5, seule Mimi resta sensiblement à jeun car c'est elle qui devait conduire.
Ensuite à table, on dégomma 2 bouteilles de vin sans compter le digestif, autant vous dire que j'étais bien chargé.
Mimi nous conduit à la boite et Pascal commanda un bouteille de whisky.
Dans l'état ou j'étais, bien sur que je m'occupa de Mimi dans la voiture et je me souvient seulement que Pascal m'avait dis tu t'es régalé mon Olive.
Nous quittâmes la boite vers 3 heures du matin, j'étais complètement ivre et Mimi me ramena chez moi directement.
Ce que vous allez lire, c'est suivant les dires de Sophie vu mon état.
Je mit pas loin de 5 minutes à ouvrir la porte, puis une fois dedans, je tomba et je n'arrivais pas à me relever.
C'est Sophie qui m'aida à me relever, je réussis à m'assoir dans le fauteuil.
Sophie -bah t'es beau mon cochon.
Moi -t'es là, toi, t'es pas avec ton ours, bah non, tu es comme Pomponette, tu pars et quand ça va mal tu reviens voir Pompom que s'est fait du mouron pour toi, tu crois que Pompom méritait ça, il te donnait tout ce que tu voulais et tu l'as abandonné.
Apparemment Sophie se mit à pleurer.
Moi -tu peux pleurer et moi combien de larmes j'ai versé pour toi, combien de soirées à me demander ce que tu faisais, jamais un texto, jamais de nouvelle, fallait-il que je t'aime pour supporter tout ça, allez je vais me coucher, je ne veux pas être trop méchant car je t'aime toujours aussi fort.
Sophie -je vais t'aider situ veux.
Moi -tiens je vais te dire, j'ai fait jouir et orgasmer Mimi dans la voiture ce soir, tu vois, je plais encore.
Sophie -ce n'a pas du être dur, elle a toujours fantasmer sur toi et ne me fais pas trop mal, j'ai pas été cool avec toi, mais arrêtes stp.
Moi -hum, ses seins hum, k j'arrête à une seule condition.
Sophie -laquelle.
Moi -roule moi une pelle, j'en meurs d'envie.
Sophie -c'est vrai ce que tu dis avec tout ce que tu viens de me dire.
Moi -véridique.
Sophie -tu l'auras quand tu seras au lit.
Bien sur, impossible de me dévêtir, Sophie m'aida.
Sophie -et tu as mis mon string préféré, tu es gonflé quand même.
Moi -je l'ai mis en pensant à toi.
Sophie -oui, mais tu as baisé avec Mimi.
Moi -non pas baisée, je ne l'ai pas pénétré, c'es réservé qu'à toi ça.
Sophie -allez, rentres sus la couette.
Moi -et mon baiser.
Sophie me roula une pelle et malgré mon état, je me mis à bander.
Moi -tu vois, tu me fais toujours le même effet.
Je sortis ma bite.
Moi -je vais me branler devant toi, comme avant.
Sophie -arrêtes, tu me fais du mal.
Moi -bon, bah je dors si tu veux pas.
Sophie -ce n'est pas que je ne veux pas, mais est-ce que c'est raisonnable de nous remettre ensemble.
Moi -pour l'instant, on parle de sexe pas de notre vie.
Sophie -tu m'as mis le feu avec ton string, l'histoire avec Mimi, ton envie de te branler devant moi et ce baiser.
Moi -viens, laisses toi aller.
Elle éteignit la lumière et nous fîmes l'amour pendant plus de 2 heures.
Le top, elle s'endormit dans mes bras.
Bien sur je sortit du lit vers 13 heures et ma 1ere question dans ma tête, je l'embrasse ou pas.
Sophie m'avait entendu et faisait couler mon café, je l'enlaça et l'embrassa, elle me rendis mon baiser.
Moi -bonjour Chérie, ça va.
Sophie -bonjour mon Amour, tu es dessoulé ?
Moi -oui, un peu mal au crane mais ça va aller.
Sophie - je n'en sis pas sure, mais je crois que je t'aime toujours.
Moi -je vais tout faire pour que tu en sois sure très rapidement.
Sophie -je compte sur toi et tu me fais encore l'amour aujourd'hui.
Moi -vu les tenues que tu vas essayer devant moi, je ne vais pas résister longtemps.
Sophie -même s'il n'y avait pas eu cette nuit, j'ai acheté pour faire en sorte que tu craques cet après midi et que tu me fasses l'amour.
Voila, j'avais récupéré l'amour de ma vie, maintenant, je n'avais pas changé, je voulais qu'elle continue à me donner du sexe.