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Je ne les suivis pas dans le bungalow et je suis rentré dans ma chambre. Le souvenir de ma femme Nadia se faisant prendre de cette manière m’avait terriblement excité ! J’aurais aimé assister à ce qui allait se passer dans le bungalow mais c’était tout simplement impossible.
Je n’ai jamais été un étalon et mon énergie sexuelle est très normale. C’était la première fois que je bandais quinze minutes après avoir éjaculé ! Je sentais une irrésistible excitation m’envahir. J’avais vu ma femme me tromper et j’avais adoré ça ! J’avais vu un homme inséminer ma femme alors que moi-même n’y étais pas autorisé et j’ai adoré ça encore plus !

Je suis entré dans les toilettes et je me suis mis à me masturber compulsivement. Les idées se bousculaient dans ma tête et je n’arrivais pas à voir clair. Tout ce que je savais, c’est que j’étais excité comme jamais je ne l’ai été dans ma vie ! Je voulais que Nadia rentre, je voulais lui faire l’amour, sachant qu’elle avait le sperme de son amant en elle.
Je devrais peut-être lui dire que je l’ai vue en train de se faire baiser. Non, je ne pourrais pas. Elle va me prendre pour un dégénéré, surtout si je lui dis que j’ai aimé ça !
Je finis par gicler à nouveau dans le lavabo. J’étais tellement fatigué que je me suis senti sur le point de m’effondrer. Mais au moins, j’étais soulagé et je ne ressentais plus cette perversion démente qui m’envahissait. M’allongeant sur le lit, je n’attendais qu’une chose : voir ma femme !

Bientôt, à la suite de l’effort, mes paupières se fermèrent et ce fut la sonnerie du téléphone qui me réveilla en sursaut. C’était ma femme. Combien de temps ai-je dormi ?
- Nadia ? Où es-tu ma chérie ?
- Je suis en bas, on se voit au restaurant.
J’essayais de reprendre mes esprits.
- Viens d’abord dans la chambre, ensuite nous irons tous les deux.
- Pourquoi faire mon chéri ? Ne me fais pas monter pour rien !
- Viens, s’il te plaît !
- Bon.

J’étais nerveux comme un adolescent et pourtant, c’était ma femme qui venait. Je la voyais sous un tout nouveau jour. C’était la première fois que j’allais m’adresser à elle après qu’elle m’avait cocufié. Cette idée déclencha une décharge électrique dans mes couilles pourtant bien vidés.
Elle frappa à la porte et j’ouvris avec un grand sourire. Je découvris avec stupéfaction qu’elle avait dû totalement se nettoyer. Ses cheveux, son corps, ses jambes, tout était nickel !
« Mais c’est normal imbécile, tu t’attendais vraiment à ce qu’elle se pointe avec les preuves de sa trahison ? ».

- Pourquoi tu me regardes comme ça ? Me demanda-t-elle. Pousse-toi, laisse-moi entrer !
A peine elle eut franchi la porte que je la pris dans mes bras.
- J’ai envie de toi mon cœur !
Elle se dégagea de mon étreinte.
- Et moi, j’ai vraiment trop faim.
Je faisais au bas mot 35 cm de plus qu’elle, je la pris dans mes bras.
- Et moi, j’ai encore plus envie de toi !
La dernière preuve possible de ses actes doit résider entre ses jambes.
Elle essaya de se débattre mais elle n’était pas de taille. La trainant sur le canapé, je la fis s’assoir et pris place entre ses jambes, baissant son bikini.
- Non Karim, s’il te plaît !!!

Je sentais qu’elle paniquait et qu’elle devait craindre que je ne ressente quelque chose de bizarre en lui faisant l’amour mais, en réalité, je savais déjà tout et c’était ce que je voulais !
Elle se débattait et je voyais ses yeux paniqués et avant de lui donner la chance de m’échapper et de tout compromettre, j’ai plongé ma tête entre ses cuisses, léchant avidement sa petite chatte toute rose.

Euréka ! Il y avait bien un étrange goût salé. Son amant avait dû se vider en elle une deuxième fois au mois pour qu’elle sente aussi fort !
Je la sentis se raidir, elle devait sûrement s’attendre à ce que je remonte en colère lui demandant des explications mais je léchais avec envie.
- J’adore le goût de ta chatte aujourd’hui, lui dis-je sans relever la tête.
Je la sentis se détendre petit à petit et mettre sa petite main sur ma tête.
- Alors lèche-moi mon beau, fais-moi jouir avant le dîner !

Mon excitation redoublée, je me suis replongé dans sa chatte, aspirant avec gourmandise ce qui devait être le mélange de sa mouille et du sperme de son amant. Malheureusement, à cause de mes deux masturbations, je n’arrivais pas à bander malgré mon excitation ! Après qu’elle ait eu son orgasme, elle m’arrêta en me disant qu’elle était réellement affamée et qu’il fallait absolument qu’elle mange si je ne voulais pas qu’elle s’évanouisse.
C’était logique, elle avait passé les dernières heures à se faire malmener par un mâle, elle devait être à bout de forces !

En sortant de la chambre d’hôtel, je lui dis :
- Tu avais un drôle de goût dans la chatte aujourd’hui !
Elle se raidit.
- Comment ça ? Elle est normale ma chatte !
- Non, répondis-je, jouant sur sa peur.
Elle ne dit rien.
- Je ne sais pas comment tu as fait pour la rendre aussi délicieuse mais si tu pouvais recommencer, ça m’arrangerait !

Fin.