Dans le métro

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Dans le métro

Messagepar onan » Sam 18 Sep 2010 14:42

La rame est arrivée dans la station avec son habituel fracas et tu as fait un pas pour y monter. Quand les portes se sont ouvertes, tu as eu un mouvement de recul et tu as bien senti que Liliane, à ton bras a eu le même : la foule compacte, la chaleur, l’odeur indéfinissable de caoutchouc chaud, les visages maussades des passagers compressés….Enfin, il fallait bien y monter.
Une fois casé, tu as échangé un sourire avec ta femme et tu lui a caressé le visage. Puis, machinalement, tu as cherché parmi les visages proches, s’il n’y aurait pas un monsieur comme tout à l’heure….
Tout à l’heure, c’était à Chatelet, quand tu es descendu sur le quai avec ta femme. Le dimanche, les rames sont plus rares et pendant cette attente assez longue, tu avais repéré, juste à côté de vous, ce monsieur plutôt distingué qui, malgré son air indifférent dévisageait Liliane avec insistance. La soixantaine peut-être, des chaussures bien cirées, (tu regardes toujours les chaussures), un élégant manteau de laine sur un jean négligé, un visage régulier aux traits virils et un regard bleu fixé sur ta femme. Il est monté juste derrière vous et bien qu’il y ait peu de monde, il est resté près, très près de Liliane. Il semblait lire un livre de poche dont tu n’as pas pu lire le titre et sa main, posée sur la barre verticale de la plate forme, était placée bien bas pour se tenir efficacement, bien bas et juste à la hauteur des hanches de Liliane.
Tu t’es penché vers elle et tu lui as murmuré qu’elle avait peut-être une touche. Ses yeux on souri : « J’avais remarqué, a-t-elle fait comprendre ». Et toi, dans le creux de son oreille : « Il te plairait » ? Et le sourire de ses yeux s’est accentué.
En changeant discrètement de position, elle s’est arrangée, tout en parlant avec toi, pour appuyer ses hanches sur la main de l’homme, puis de les frotter dessus et, enfin d’y poser des fesses. Impossible qu’il ne s’en aperçoive pas ! Impossible qu’il ne sente pas le contact, les mouvements, la tiédeur molle des fesses de Liliane ! Tu cherchais son regard pour lui adresser un sourire et l’encourager, mais il restait, semble t-il, sagement plongé dans sa lecture.
Liliane s’est approchée de ton oreille pour te dire : « Je sens ses doigts qui bougent contre moi. Je crois qu’il essaye de me peloter les fesses… »
Un frisson t’a parcouru : tu adores ça ! Tu adores qu’un homme s’intéresse à ta femme, la drague devant toi, l’assiège, la touche, la pelote…Tu adores voir Liliane chavirer, s’abandonner et rien ne t’excites plus que le plaisir qu’elle prend dans les bras d’un autre. Alors, tu t’es mis à fantasmer en imaginant ses sensations et la suite qu’il pourrait y avoir. Et pendant qu’elle abandonnait ses fesses au contact de l’homme tu l’as embrassée dans le cou avec cette confidence : « Ca m’excite ! » Ses yeux ont dit « Moi aussi » !
Malheureusement, les métros vont toujours quelque part et il vous fallait descendre de la rame pour votre correspondance.
Couloirs, piétinements, foule pressée, bousculades…et tu aurais eu bien envie de prendre Liliane là, tout de suite, pendant que les images de cette drague discrète te tenaient encore sous leur magie.

Tes yeux balayent distraitement la foule proche, vraiment très proche dans cette presse et là, brusquement, un choc : l’homme est là ! Il est juste derrière Liliane. Tu ne l’avais pas vu à cause de la foule ; tu n’avais pas remarqué non plus qu’il vous avait sans doute suivis, et tu déduis que ce n’est pas un hasard s’il est là. Il a compris le jeu de Liliane ; il a sans doute compris ma complicité et mon assentiment à ce jeu ; il et surement partant pour des plaisirs plus hard. Tu en dis un mot à Liliane et vous décidez tous le deux dans une conversation chuchotée, noyée dans le bruit ambiant, de l’inviter à descendre à la prochaine station pour un contact plus personnel.
En te faufilant entre les voyageurs, tu t’approches de lui et tu lui touches l’épaule. Avec ton sourire le plus engageant, tu lui demandes : « Vous descendez à la prochaine ? » Il te semble un peu gêné, vaguement fuyant et tu remarques que sa main gauche regagne la poche de son manteau. « Heu, oui. » Liliane, tout à côté, vous regarde en souriant et tu remarques qu’elle déboutonne ostensiblement un bouton de son chemisier. L’homme n’a rien perdu du manège et semble avoir compris. Il répète : « Oui, je descends à la prochaine. Et vous ? »
-Nous aussi. Ma femme voudrait vous dire quelque chose. Mais discrètement…
….Et la prochaine arrive enfin. Nous descendons dans un flot violent et impétueux de voyageurs pressés qui foncent comme un troupeau vers des choses insignifiantes. Ce qui t’anime est bien plus important : ta femme a séduit un homme devant toi ; l’homme semble consentir à ce jeu pervers, et tous ces cons pressés qui n’ont rien vu….Ca c’est excitant.
Faute de mieux, vous vous reculez tous les trois dans un recoin du quai. Et tu lui annonces la couleur.
-J’ai remarqué que vous avez flashé sur mon épouse ; vous l’avez un peu caressée dans la rame précédente et sans doute également dans celle-ci, bien que je n’ai pas vu. J’aime beaucoup cette situation, cela m’excite énormément et Liliane, elle s’appelle Liliane, y prend autant de plaisir que moi. Je la connais et je sais que vous lui plaisez. Alors, si vous êtes partant pour ce genre de jeux, nous pourrions nous revoir tous les trois et elle s’offrira à vous devant moi.
Il n’a même pas eu l’air surpris, peut-être un peu hésitant et, après un instant de réflexion, il a regardé Liliane, lui a souri, puis a pris sa main dans la sienne.
-J’aimerais beaucoup. Oui, vraiment beaucoup. Ce qui s’est passé dans la rame m’a violemment excité je dois dire. Liliane vous m’attirez très fortement. Mais je n’ai jamais eu ce genre de relation et je ne sais pas si, une fois au pied du mur, ma virilité….
Il était un visiblement anxieux de son éventuelle défaillance. Mais quelle importance? C'est la mise en route qui t'excite le plus non?
Liliane a sauvé la situation avec humour : « Il n’y a aucun contrat vous savez. Rien n’est obligatoire et ce n’est pas un concours olympique. Si, pour une raison ou pour une autre, l’un de nous n’et plus en phase ce n’est pas grave. A défaut d’érotisme nous vivrons peut-être autre chose. ».
Puis, c’est toi qui t’adresse à lui : « Bon, on ne va pas rester sur ce quai. Si vous avez un moment nous pourrions aller prendre un pot quelque part et continuer à faire connaissance. Ca vous va ? »
-Pas de problème pour moi, répond-il. Je ne suis pas attendu et je serais ravi de continuer cette conversation. D’accord pour un pot.
Tu as pris les choses en main, si l’on peut dire et, après avoir émergé du métro boulevard Magenta, tu as conduit le trio dans une brasserie proche de la République. Tu n’as pas fait le choix par hasard : jetant un coup d’œil rapide, tu t’es assuré que cette brasserie comportait ces petits box discrets et retirés où un flirt soft est possible. Tu espérais bien que, profitant de cette discrétion, l’homme allait s’enhardir et adopter des gestes plus précis. Tu avais très envie qu’il la pelote devant toi, qu’il glisse sa main sous sa jupe pour lui explorer la chatte, qu’il la découvre, qu’il la fasse jouir et toi tu voulais t’exciter à imaginer ça, à voir son visage rosir, ses yeux se fermer, sa respiration s’accélérer.
Et tu as été comblé, non ? C’est ce qui s’est passé. Elle a joui une première fois sous ses caresses, en étouffant ses gémissements dans son écharpe, puis une deuxième fois en tremblant des pieds à la tête. L’homme, il s’appelait Hervé, l’homme était devenu rouge, suant, soufflant et il a du s’arréter à un moment en murmurant : « Je n’en peux plus, ça m’excite trop ; ça me fait mal. Il faut que je reprenne mes esprits… »
Tu lui as dit : « Emmène la aux toilettes ».
Elle s’est levée ; il l’ a suivie, s’efforçant à une démarche nonchalante. Et ils ont disparus tous les deux dans l’escalier qui menait au sous-sol.
Pour toi, c’était le nec plus ultra, le nectar des nectars, le top du top : S’était trop trop trop ! Tu étais torturé par une excitation puissante comme tu n’en avais jamais ressentie…
Alors, discrètement, la pensée fixée sur les images de ce qui se passait en bas, tu t’es branlé dans ton pantalon et tu as joui, joui, joui…..
Et tant pis pour le mouillé : on arrangera ça à la maison. Liliane se fera un plaisir…..
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Re: Dans le métro

Messagepar Soumise salope » Mar 19 Oct 2010 18:15

bonjour tres plaisant de simplicite et de bonheur
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Re: Dans le métro

Messagepar plan cul candaulisme » Dim 22 Mai 2011 01:40

cherche couple dont mari soumis sur lyon
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Re: Dans le métro

Messagepar paulrouen » Ven 27 Juil 2012 17:50

Très excitant... J attends la suite ...
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Re: Dans le métro

Messagepar cuckold cool » Mar 3 Nov 2020 19:23

Une de nos aventures non encore réalisées
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