par Jiss8 » Dim 2 Fév 2014 20:33
1ère partie :
Maman a, apparemment, toujours trompé Papa. D’aussi loin que je me souvienne, je ne me rappelle pas avoir vu d’hommes aller et venir à la maison, mais je me souviens que les jours de vacances scolaires, j’étais assez souvent chez la nounou qui habitait dans un autre appartement de l’immeuble. Nous habitions à Metz-Borny dans les HLM, au cinquième sans ascenseur. Un grand appartement de 90 m² avec balcon. À gauche, en entrant, se trouvait la cuisine, les toilettes, une chambre d’ami, ma chambre avec un cabinet de toilette, puis au bout du couloir, la salle de bain, à droite au fond la chambre de Maman et enfin la salle à manger. Le balcon reliait le salon à la chambre de mes parents. Évidemment, caractéristique particulière de ces appartements, des murs en papier à cigarette aux travers desquels on entendait tout comme si on y était.
Maman n’avait pas la jouissance très discrète et c’est assez souvent qu’elle me réveillait la nuit par ses gémissements ou ses cris. Les voisins devaient d’ailleurs en profiter parce que mes copines de l’immeuble me disaient qu’il arrivait à leurs parents d’en parler à table en des termes assez crus.
J’avoue qu’à l’époque ça me dérangeait beaucoup que ma mère passe pour une salope et j’imaginais bien, ce qu’on pouvait dire d’elle dans le quartier.
Tout bascula un soir où Papa est rentré furax. Il vociférait dans le salon après Maman. Je n’entendais pas très bien ce qu’il disait sur le coup, mais il criait tellement fort que rapidement je compris que c’était grave. Les voisins aussi sans doute. Je sortis alors discrètement de ma chambre pour essayer d’entendre se qu’ils disaient. Papa traitait Maman de salope, de pute, de traînée. Il disait qu’elle n’en avait jamais assez, qu’il avait fallu, en plus, qu’elle se tape tout le quartier pendant qu’il travaillait. Qu’il était la risée de l’immeuble, qu’apparemment, les gens le surnommaient « le cocu du cinquième ». Bref ça bardait. Maman ne disait rien.
Comment ça ? « En plus » ! En plus de quoi ?
Papa était, à l’époque, car je ne sais pas ce qu’il est devenu, routier international. Toujours sur les routes, il était souvent absent. Il passait des semaines à l’étranger et ne rentrait finalement que peu. Maman était secrétaire dans un cabinet d’assurance.
Papa était un grand gaillard de 120 kg. Légèrement dégarni, une belle bedaine et un franc parler. Maman, elle, plutôt petite, brune aux cheveux mi-longs, une énorme paire de seins et un fessier assez large. J’ai d’ailleurs hérité de sa forte poitrine. Bien qu’un peu plus fine qu’elle à mon âge, je fais un bonnet de plus. Ce qu’elle a pour elle, c’est un visage d’ange, à qui on donnerait le bon dieu sans confession. Qui l’eût cru ? Pas Papa, qui confirmait ses doutes, bouclait une petite valise et nous quittait sans autre forme de procès. Je me suis toujours demandé comment, ce jour-là, il ne lui avait pas arraché la tête d’une simple gifle.
Bref, Papa parti, Maman pleurait sur le canapé le visage dans les mains. Elle n’était pas vraiment triste, je pense. Juste vexée de s’être fait piquer. Maman m’a eue à 18 ans, Elle a maintenant 54 ans et je ne la vois plus beaucoup. Papa doit quasiment être à la retraite. Bref ! Depuis ce jour-là, je n’ai plus entendu parler de mon père. Ils ont divorcé pour adultère. Maman a touché une toute petite pension, puisqu’elle travaillait et moi, j’ai continué à aller à l’école dans le même quartier.
Mes copines me racontaient, qu’apparemment, Maman ne s’ennuyait pas durant ses congés et que tout le quartier lui passait dessus. J’avais honte pour elle et pour moi. J’étais la fille de la salope du cinquième. Les gens me regardaient d’un air qui en disait long, certains s’imaginaient sans doute que j’étais comme elle. Qu’ils pensent ça, me dérangeait et m’intriguait à la fois. J’avoue même qu’au-delà de la honte que je ressentais, il y avait une part d’excitation, il m’arrivait même de me caresser en imaginant ma mère faire l’amour.
Presque deux ans se sont écoulés depuis ce jour.
Un jour, en rentrant plus tôt que prévu, j’ai entendu du bruit qui venait de la chambre de Maman. Je m’approchai lentement sans faire de bruit. Ça parlait et riait, elle n’était pas seule. Je ne sais pas pourquoi, je décidai d’aller voir. Je passai donc par le balcon et très discrètement, je me suis mise près de la fenêtre qui était entrouverte. Bien plaquée contre le mur, je regardai dans la chambre.
Maman, debout près du lit devant la grande armoire recouverte de glaces, portait un corset porte-jarretelles, seins nus, noir translucide, maintenu par de fines bretelles et agrafé dans le dos. Il lui serrait la taille laissant apparaître son ventre au travers d’une bande de tissu en dentelle et se finissant par un petit voile. Des bas noirs et un string ficelle en dentelles assorti au corset laissant apercevoir ça chatte lisse.
Je n’aurais jamais pensé que maman se rasait la chatte. Dans la glace, je voyais son gros postérieur dont le corset accentuait les courbes généreuses de ses hanches et la ficelle du string avait disparu entre ses grosses fesses.
Sur le lit, j’en suis resté bouche bée, le gardien des HLM. Ce mec immonde, qui me dégoûtait, était là, nu, dans le lit de ma mère. Bedonnant, dégarni et bandant comment un âne. Une grosse queue épaisse au gland violacé. Il avait au moins quinze ans de plus que ma mère et il me dégoûtait parce qu’il portait toujours sur moi un regard libidineux. À chaque fois que je passais devant son local, il trouvait intelligent de me siffler.
Il faut dire que j’avais tendance à m’habiller de façon un peu provocante depuis quelques temps. Peut-être, inconsciemment, pour tenir la dragée haute aux gens du quartier et pour leur montrer que moi aussi, je pouvais être sexy comme ma mère. Maman n’y voyait pas d’inconvénient. Les garçons me collaient toujours aux basques et les filles m’enviaient. Je ne voyais donc pas pourquoi, même si j’essuyais quelques remarques désobligeantes de mes professeurs, j’aurais changé la façon de m’habiller.
J’avais une grosse poitrine, j’en étais fière et j’avais tendance à plus ou moins l’exhiber dans des décolletés profonds ou des chemisiers translucides qui laissaient deviner mes soutiens-gorge. Je portais des jeans serrés qui me moulaient bien les fesses, pas trop grosses encore à l’époque et parfois de petites jupes mi-cuisses. Ma mère, à cette époque, me maquillait légèrement, mais me refusait encore les hauts talons. Je voulais tellement lui ressembler.
Robert, le gardien, se caressait doucement tout en regardant maman.
— Allez ma belle, viens me sucer,
Maman monta à quatre pattes sur le lit et commença à le branler doucement, déposant de petits baisers sur le gland. Puis avec sa langue, elle remonta le long de sa queue pour la prendre dans sa bouche et se l’enfoncer toute entière. Robert poussa un long râle de contentement.
— Hummm, t’es la reine des suceuses.
Je voyais le gros cul de maman s’agiter dans la glace sous les caresses de Robert qui ne tarda pas à lui écarter le string pour lui mettre un doigt dans la chatte, puis deux. Il les ressortait luisant de mouille. Le spectacle était fascinant. Maman le suçait en lui massant ses grosses couilles. Il la branlait sans ménagement et maman avait l’air d’apprécier le traitement puisque je l’entendais gémir, gémissements étouffés par l’engin qu’elle suçait. Parfois, elle relâchait la queue de Robert pour pousser un long râle de contentement.
Rapidement maman monta sur lui et, d’une main, dirigea sa queue à l’entrée de sa chatte. Elle devait avoir du mal à entrer parce qu’elle y allait doucement en poussant de petits soupirs. D’abord face à lui, je voyais son gros cul monter et descendre sur cette hampe de chair gonflée de sang. Puis elle se retourna dos à lui pour reprendre sa chevauchée fantastique. Je voyais les gros seins de maman monter et descendre à un rythme effréné. Il l’insultait copieusement, la traitant de tous les noms et plus il l’insultait plus elle prenait son pied en criant des « oui, oui, oui » à chaque fois qu’elle s’empalait jusqu’à la garde, de tout son poids. Pour finir, après avoir hurlé sa jouissance à en alerter tout le quartier, elle se jeta sur la queue de Robert pour la nettoyer.
J’avais les joues en feu. J’étais dans un état comme jamais. Je me suis enfuie discrètement pour aller chez une amie et rentrai à l’heure habituelle. Maman m’attendait en robe de chambre comme si de rien n’était, fraîche et détendue. Toute la nuit, la scène repassa devant mes yeux, j’étais bouillante, transpirante, ma chatte devenait humide malgré moi. Je me suis caressée doucement découvrant la sensibilité de mon clitoris. Je sentais que quelque chose montait en moi, j’ai dû mordre mon oreiller pour ne pas hurler quand la jouissance m’a terrassée. Je venais de jouir pour la première fois.
Je ne regardais plus Robert de la même façon. Je savais que maintenant, quand Maman ne travaillait pas, c’est Robert qui venait la sauter. Je l’ai surpris une ou deux fois sortant de notre entrée, le sourire aux lèvres.
Maman, m’a offert mon permis de conduire et ma première paire de talons aiguilles, je m’en souviens encore, 7 cm de talons, je trouvais ça énorme à l’époque. Je les ai aussitôt essayés et j’ai failli me péter dix fois la cheville. Mais je n’en démordais pas.
Nous avions, organisé, avec des copains une soirée dans une salle des fêtes réservée. On devait tous dormir sur place dans des sacs de couchage ou dans des tentes plantées sur la pelouse dehors, avec l’accord du maire, à condition de débarrasser le plancher le lendemain avant midi, histoire de ne pas ruiner la pelouse. Nous avons donc planté les tentes puis fait les courses. Beaucoup d’alcool et finalement pas trop de truc à manger. Très tôt, Maman m’a fait prendre la pilule et m’a expliqué comment me servir d’un préservatif, elle me disait qu’on ne savait jamais et qu’à mon âge, on tombait amoureuse comme on attrape un rhume et que mieux valait prévenir que guérir. Elle savait de quoi elle parlait.
Donc nous voilà partit à picoler, danser, chanter. On faisait des jeux idiots : la danse du tapis, le quart d’heure américain, etc. Un garçon, assez mignon d’ailleurs, ne cessait pas de me coller. Gentil, mais un peu encombrant. Il était toujours là, à mater dans mon décolleté. Faut dire que ce soir-là, je portais un tee-shirt blanc moulant en V, sans soutien-gorge. À mon grand regret d’ailleurs, en y repensant, car mes seins me faisait finalement plutôt mal au dos à force de danser et de sauter partout. De plus, ils avaient tendance à faire remonter mon tee-shirt.
Alors que la soirée avançait et que j’étais drôlement attaquée, il m’a invitée à danser un slow. Les couples se formaient doucement, certains s’embrassaient, d’autres se pelotaient gentiment. Lui, avait posé les mains sur mes fesses, et j’ai été surprise qu’il soit finalement si entreprenant, les yeux rivés dans le V de mon tee-shirt, il ne décrochait pas un mot. Pour un bon coup, je l’ai pris par la main, je l’ai entraîné dehors et j’ai relevé mon tee-shirt, libérant du même coup mes seins.
— Tiens, les voilà. Puisque t’en rêve depuis le début de la soirée, mate-les un bon coup, fais-toi plaisir.
Toujours sans rien dire, il les a pris à pleine mains et les a soupesés. Je n’en revenais pas. Puis il m’a entraînée dans sa tente et il m’a fait l’amour. Quand il a eu fini, je suis partie danser le laissant seul avec sa bite. Je n’avais rien ressenti, si ce n’est un profond regret de l’avoir laissé faire car je venais bêtement de perdre ma virginité. J’ai été très déçue de cette expérience, mais il paraît que c’est souvent le cas la première fois. Je repensais à ma mère et à Robert qui prenaient tellement de plaisir à le faire. J’en étais jalouse, je les enviais.
Un mois plus tard, Maman avait préparé une petite fête entre amis. Des copines à moi étaient venues avec des cadeaux (cd, vidéo, maquillage, etc.) et une paire d’escarpins aux talons vertigineux. Nous étions en vacances. Maman travaillait encore. Je demandais à Maman si je pouvais emmener les copines en boîte. Elle dit que oui et me faisait promettre de ne pas boire et d’être prudente.
Je mis une jupe mi-cuisse noire, relativement courte, un chemisier avec un soutien-gorge en dentelles et mes talons aiguilles, heureusement, je m’étais bien entraînée sinon je n’aurais pas fait cinquante mètres. Je me maquillais un peu plus que d’habitude et nous voilà parties. Vers quatre heures du matin, alors que j’avais déposé mes copines chez elles et que j’avais quand même légèrement picolé, je bataillais à vouloir rentrer la voiture dans le garage. Soudain, Robert est apparu devant le capot. J’ai failli faire un infarctus tellement j’ai eu peur. Je suis sortie de la voiture, il m’a regardé comme à son habitude et a sifflé.
— Dis donc, tu es drôlement mignonne comme ça, dis donc. Une vrai petite femme. Tourne voir un peu ?
Je n’en fis rien et lui demandai de bien vouloir m’aider à rentrer la voiture. Il accepta en l’échange d’un bisou. J’acceptai. Il rentra la voiture, je lui demandai ce qu’il faisait à cette heure, il me répondit qu’il sortait les poubelles, comme souvent.
— Allez, donne-moi mon bisou maintenant.
Je me suis approchée timidement de lui et j’ai tendu la bouche pour l’embrasser sur la joue. Il se laissa embrasser puis, me prenant par la taille, il me souleva et m’embrassa sur la bouche. Sa grosse langue se fraya un passage entre mes lèvres et nos langues se mêlèrent. Les images de ma mère chevauchant sa grosse queue défilaient dans ma mémoire comme si je les avais sous les yeux. Il me tenait par les fesses sous la jupe. Il se mit à me malaxer les fesses fermement et à me les écarter tout en les pétrissant. J’ai adoré cette sensation. Puis il m’a entraînée dans le local à poubelles, m’a collée contre le mur, j’ai passé mes jambes autour de ses reins, après m’avoir baisée, il a trouvé bon de rajouter :
— Putain, t’es aussi chaudasse que ta salope de mère.
J’ai récupéré mes clefs sans rien dire puis je suis rentrée. J’ai pris une bonne douche et je me suis couchée, fier de m’être fait baisée comme une moins que rien dans ce local à poubelles.
Je ne faisais que penser à Robert, j’avais envie qu’il recommence. Lui ou un autre, peu importe, je voulais me faire prendre. Je voulais sentir un sexe dans mon corps. Un matin, alors que j’étais encore au lit, on frappa à la porte. J’avais sur moi un long tee-shirt de nuit qui descendait un peu sous les fesses et une petite culotte. Pieds nus, j’allais jusqu’à la porte pour ouvrir. Robert se tenait debout devant moi.
— Tiens, t’es là toi ? Ta mère est là ?
— Non, elle travaille aujourd’hui.
Je sentais son regard sur mon tee-shirt sous lequel mes gros seins nus pendaient négligemment. Aussitôt mes tétons se sont mis à bander tendant le tissu de mon tee-shirt.
— T’as froid ?
— Non ! répondis-je comme une idiote, ignorant où il voulait en venir.
Il poussa la porte et la referma du pied.
— C’est que t’es déjà drôlement excitée, dit-il en portant la main sur mes seins. Ça te dirait de remplacer ta mère ce matin ?
Et, joignant le geste à la parole, il m’empoigna un sein et commença à le pétrir. Je n’osais pas bouger surtout que je sentais déjà ma chatte réagir à la situation. Il m’entraîna dans le salon, me poussa sur le canapé et retira ma petite culotte avant de me bouffer la chatte. Je démarrai au quart de tour. Pendant un long moment il me dévora la chatte, le clito et parfois même, me léchait l’anus.
Au-delà de la honte que j’aurais pu ressentir à cela, c’est un intense plaisir que je ressentais et qui remontait au creux de mes reins jusque dans mes entrailles, me faisant gémir et parfois même crier. Comme ma mère, j’avais la jouissance expressive. J’avais souvent entendu maman crier, gémir, soupirer, parfois même hurler. Et aujourd’hui, je me rendais compte que j’étais pareille. Plus Robert me léchait, plus je sentais cette onde de choc monter dans mon ventre, ma poitrine, ma gorge, jusqu’à ce qu’un hurlement de jouissance traverse mes cordes vocales encourageant mon amant de ne pas s’arrêter.
Puis Robert commença à me doigter la chatte et l’anus, je vociférai, hurlai, criai jusqu’à en perde conscience, jusqu’à ce qu’il remonte mes cuisses sur mes seins et qu’il s’enfonce d’une seule poussée dans ma chatte trempée. Il me laboura pendant de longues minutes jusqu’à éjaculer en moi. Je suis restée là, pantelante sur le canapé. Il s’est rhabillé puis à quitté l’appartement. Je suis restée un long moment allongée, à retrouver mes esprits. J’avais encore envie. J’avais encore envie de me faire baiser. Je voulais en savoir plus sur ma mère. Je suis sûre qu’elle me cachait quelque chose.
Deux jours plus tard, ma mère m’annonça qu’elle partait en séminaire toute la semaine. Elle me laissa un peu d’argent pour tenir la semaine, les clefs de la voiture, et me demanda d’être prudente. Je la déposai au train et rentrai directement à la maison. Aussitôt, je me suis mise à fouiller sa chambre avec méthode et beaucoup de délicatesse, replaçant chaque chose exactement à sa place.
J’ouvris chaque boîte à chaussures, chaque tiroir, chaque armoire, chaque recoin, découvrant des toys de différentes sortes, des revues pornos, des livres de rencontre pour échangistes. Jusqu’au moment où, enfin, je trouvai ce que je cherchais. J’ouvris un album photo dans lequel je découvris ma mère en compagnie d’un homme puis d’une femme, un concombre dans la chatte et une carotte dans le cul. Puis mon père, à quatre pattes, la queue bandée. Je le trouvai beau. Enfin, des lettres de couples avec des photos. Je n’en croyais pas mes yeux.
Je venais de découvrir que mes parents avaient été échangistes et que, sans doute, ma mère y avait pris goût et avait pris les devants. Elle était devenue une salope de première et j’en prenais le chemin.
À suivre…