du changement, mais toujours du candaulisme.

Laver la voiture pendant la baise et laver Sophie après ?

Oui, mais la voiture avec une éponge et Sophie avec la langue !

Moi je trouve que le port d'une cage pour Olivier s'impose non ?

Oui, ce serait presque un classique du cuckold, mais c'est une bonne idée !...

Voire un minimum pour un cocu de première classe comme Olivier !...

Autre idée : Et si JP et Sophie achetaient une poupée gonflable à Olivier pour qu'il puisse, lui aussi, vivre en couple dans le studio ?...

Oui, excellente idée !
Du coup les deux couples pourraient alors de temps en temps partir en week-end ensemble. A l’hôtel il faudrait deux chambres, une pour Sophie et JP et une autre pour Olivier et sa femme en plastique...

Et Sophie et JP pourraient organiser une cérémonie de mariage entre Olivier et sa poupée.

Et comme Olivier est un cocu de première, JP baiserait aussi sa femme en caoutchouc !

Ce serait effectivement le comble du cocufiage...

Nouvelle proposition : Que Sophie, Olivier et JP partent une semaine dans le même club et fassent semblant de ne pas se connaitre.
Sur place Olivier se présenterait comme célibataire sortant d'un divorce et Sophie et JP serait un couple très amoureux.
Olivier, en bon cocu, pourrait les observer filer le parfaite amour comme s'il n'était pas là...

Autre proposition : Que Sophie congèle le sperme de ses amants dans un bac à glaçons pour rafraichir les boissons d'Olivier...

Excellente idée !
Et lors d'apéros entre amis, Olivier et Sophie se jetteraient des regards d'une grande complicité candauliste...

Très bonne idée Clahire. Si cela est fait en connivence entre Sophie et Olivier, c'est vraiment du bon candaulisme.

Oui, mais pourquoi se limiter aux glaçons ?
Le sperme sorti des capotes des amants de Sophie pourrait aussi remplacer la crème fraiche dans les spaghetti d'Olivier !

Nouvelle proposition, toujours pour répondre à la demande de Fifou :
Que Sophie et Olivier louent un gite de vacances à un vieux monsieur veuf et qui ne serait pas insensible aux charmes de la belle.
Celle-ci se laisserait draguer de façon de plus en plus insistance puis pelotée, et enfin bien sûr baisée et enculée.
Olivier ferait semblant de ne rien voir, alors que le papy profiterait de chaque possibilité pour mettre ses doigts, sa langue ou sa bite dans tous les orifices de Sophie.
Cela donnerait lieu à de grands moments candaulistes, surtout quant Sophie et Olivier se raconteraient tout le soir pendant qu'Olivier se branlerait...

Ce qui est super dans cette idée c'est le fait qu'Olivier passe pour un cocu aux yeux du papy et que celui-ci se sente du coup un mâle dominant. Sophie bien sûr pourrait en rajouter en lui disant des choses du style : "Tu me baises tellement mieux que mon mari", etc...

Le papy aurait bien sûr des amis et Sophie se comporterait comme sa maitresse devant eux alors qu'Olivier ferait semblant de ne rien voir...

Et les copains du papy tacheraient d'occuper Olivier pendant que leur pote irait baiser Sophie. Olivier passant pour un cocu ignorant aux yeux de tous.

Oui, tout à fait. Ce serait une vraie situation de cocu et, comme Sophie lui raconterait tout le soir, ce serait au final du pur candaulisme...

Effectivement, belle situation de candaulisme.
Surtout qu'Olivier la nettoierait avec sa langue pendant qu'elle raconterait !

Le papy pourrait ensuite proposer à Olivier et Sophie de venir en vacances gratuitement dans son gite de temps à autres en échange de petits travaux qu'Olivier effectuerait.
Mais bien sûr ce serait avant tout pour pouvoir baiser Sophie en croyant berner le cocu...
Olivier, le remercierait chaudement en lui disant qu'il est trop sympa !

Une nouvelle proposition avant que Fifou ne rentre de vacances (ouf, il revient bientôt ! ) : que Sophie et Olivier s'investissent dans une association qui rend visite aux personnes handicapées isolées. Ils iraient leur rendre visite à tour de rôle, mais quand ce serait le tour de Sophie, elle s'occuperait d'eux sexuellement, faisant le maximum de ce que leur état permet.
Bien sûr elle leur demanderait de ne rien dire à Olivier qui, son tour venu, leur rendrait visite normalement faisant semblant de ne rien savoir et passant de nouveau pour un sacré cocu...

Tes idées sont vraiment bonnes et restent bien dans du vrai candaulisme.
J'ai hâte de voir ce que Fifou en fera.

Excellente idée, cela donnerait une "dimension sociale" au candaulisme d'Olivier.

Yes, nous voilà le 28 août, jour du retour de Fifou !

bonjour a tous, merci pour ses superbes idées et je retiens surtout l'idée du vieux qui baiserait Sophie, cela me plait, je vais vous concocter cela pour bientôt.

Bonjour à tous, merci pour toutes vos idées pour Sophie et Olivier, j'en tiendrai compte, mais j'ai une idée pendant les vacances qui me séduit, j'espère qu'elle vous séduira aussi.
Mon réveil sonnait au moment ou Sophie allait gouiner Chloé, je me demandais ce qu'il se passait, j'avais une grosse érection.
Sophie était déjà réveillé, je lui racontais mon rêve.
Sophie -n'importe quoi, en tout cas cela t'as mis en forme quand je vois la bosse dans ton boxer.
Moi -oui, j'ai envie de toi du coup.
Sophie -hum, pas maintenant mais ce soir, je veux bien que tu me fasse l'amour.
Moi -dommage, j'étais bien dure ce matin.
Sophie -oui, c'est ton rêve qui t'as mis dans cet état.
Moi -en tout cas, jai adoré telle que tu était dans mon rêve.
Sophie -ah bon, tu voudrais que je me fasse baiser par un autre homme avec ton accord ?
Moi -oui, sincèrement.
Sophie -on approfondira ce sujet ce soir.
Moi -oui, avec plaisir.
Toute la journée, je ne pensais qu'à ça et de quelle manière l'emmener vers mon désir profond.
Le soir venu, étant rentré avant elle, je préparais un petit apéro dans le salon.
Sophie -oh, une coupe de champagne, quelle bonne idée Chéri.
Moi -oui, je savais que cela te ferai plaisir.
Sophie -oui, beaucoup.
Moi -à la tienne mon Amour.
Sophie -santé, Chéri.
Moi -alors on parle de mon rêve, j'aimerai savoir ce que tu penses réellement.
Sophie -j'y ai pensé aujourd'hui, et cela me perturbe que mon mari veuille que je me fasse baiser par un autre homme.
Moi -perturbes à quel point ?
Sophie -déjà, je ne vois pas avec qui et deuxio, je ne vois pas faire cela chez nous.
Moi -ce qui me plait, c'est que tu ne dis pas non, c'est déjà un point positif.
Sophie -quelle femme refuserais de se faire baiser avec l'aval de son mari.
Moi -ça dois surement exister.
Sophie -oui, mais je ne suis pas de celles-là.
Moi -hum, tant mieux alors, tu vas peut être réaliser un rêve alors.
Sophie -et pourquoi pas, restes à savoir comment, où et avec qui ?
Moi -cela se fera tout seul je pense, pour ça, je t'emmène un week-end en Normandie.
Sophie -quand ?
Moi -ce week-end, je vais réserver demain et on part vendredi soir.
Sophie -super, de plus la météo est top ce week-end.
Moi -je vais louer une chambre d'hôtes ou un gîte pour cela.
Sophie -avec jardin, qu'on profite du soleil.
Moi -oui, emmènes ton maillot de bain dans ces cas là.
Sophie -offres-moi un nouveau, je doit être top pour réaliser ton rêve.
Moi -je ne sais pas si tu dis ça pour me faire plaisir u si c'est une réelle envie ?
Sophie -je n'en sais rien moi-même mais je veux être belle.
Moi -je te laisse ma CB demain ainsi, tu pourras choisir un nouveau maillot.
Sophie -non, tout les deux maintenant.
Moi -ok Chéri.
Notre choix s'orientait vers un maillot 2 pièces bleu ciel qui j'étais certain lui irai à merveille.
Moi -puis-je aussi t'offrir une robe ?
Sophie -oui avec plaisir.
Nous choisissions une robe blanche avec les cotés bleus.
Sophie -on risque de voir ce que je porte ?
Moi -pas grave, tu seras avec moi, et je pourrais te dire si on te mate.
Sophie -vicieux que tu es, dans ces cas là, achètes-moi des dessous pour aller avec.
Moi -non, si je choisis, cela va être une couleur sombre avec de la dentelle pour être sur que cela se voit au travers ta robe.
Sophie -ah bon, alors vas-y, transformes-moi en salope.
Moi -tu es sur ?
Sophie -oui.
J'optais pour un ensemble string et soutif mauve en dentelle.
Sophie -tu crois que tu vas pouvoir supporter les regard s des autres home sur moi, moi, j'ai des doutes.
Moi -je vais être jaloux mais cela va m'exciter.
Sophie -hum, toi, jaloux j'en salive d'avance.
Je lui fit l'amour comme rarement tellement j'étais excité.
Sophie -si tu dois me faire l'amour comme ça à chaque fois que l'on parle de ça, je vais t'en parler tout les jours.
Moi -oui, cela me plait que ma femme partage mes fantasmes et essaye de les réaliser.
Sophie -il n'y a rien de fait pour l'instant.
Moi -non, mais on avance je trouve.
Sophie -oui, un peu, bonne nuit à demain Chéri.
Moi -a demain mon Amour.
Le lendemain, je trouvais une location d'une chambre d'hôtes avec jardin pour le week-end.
Sophie -super vivement vendredi (on était mercredi) et n'oublies pas, demain soir, on dine chez ma sœur.
Moi -oui, je sais, tu vas te faire mater par ton beau frère comme ça.
Sophie -comment ça ?
Moi -je ne voulais pas t'en parler mais chaque fois qu'on mange chez eux, il te mate et tu noteras aussi, qu'il est toujours à coté de toi pour manger.
Sophie -pourquoi tu ne m'as jamais rien dis avant.
Moi -parce que je ne voulais que tu penses que j'étais jaloux.
Sophie -et maintenant ?
Moi -cela te plait que je sois jaloux apparemment, donc joues avec si tu en as envie.
Sophie -hum, oui, comme ça en rentrant, tu me fais l'amour comme hier soir.
Moi -tu vas faire quoi de plus du coup ?
Sophie -je ne sais pas mais je vais trouver, cela va devenir un jeu de te rendre jaloux, tu vas souffrir.
Moi -hâte de voir ça.
Sophie -tu verras demain.
Quand je rentrais du travail, le jeudi soir, Sophie était dans la salle de bains, que me réservait-elle ?
Je laissais cours à mon imagination mais quelle bonne surprise quand elle sortit de la salle de bains.
Sophie -voila Chérie, je suis à ton gout ?
Elle avait mis des bas noir auto fixant, un jupe gris clair ouverte devant, un chemisier blanc et des dessous noirs string et soutif.
Moi -j'en reviens pas, tu es à croquer sans modération.
Sophie -tu pense que Pascal va aimer ?
Moi -oui et ce qui me plait c'est que tu as mis tout ça en pensant à lui ?
Sophie -oui, depuis que tu m'as dis qu'il me matait, je ne pense qu'a ça.
Moi -tu ne peux pas faire cela à ta sœur.
Sophie -je ne ferai rien, je veux qu'il bave devant moi et que tu sois mort de jalousie.
Moi - c'est déjà le cas.
Sophie -j'adore, toi mets un short de sport et rien en dessous, je veux voir si tu bandes à n'importe quel moment.
Moi -je vois que tu prends ton rôle à cœur.
Sophie -oui, cela me plais, plus que je ne croyais.
Moi -alors, allons-y chez ta sœur.
Sophie mit une paire d'escarpins noir à talons demi haut ce qui la rendait irrésistible.
Sophie -dis-moi, Chérie, j'ai le droit de faire quoi exactement ce soir ?
Moi -ce que tu veux, je te laisse libre choix.
Sophie -ok Chéri.
Moi -mais je veux tout savoir, d'ailleurs, s'il se passe quelque chose, envoies-moi un texto.
Sophie -oui, je ne vais pas me gêner si c'est le cas, voir ta réaction m'intéresse.
On buvait l'apéro en terrasse tant il faisait beau, Alice et Pascal trouvèrent Sophie ravissante, et bien sur Pascal se mit à coté d'elle dès l'apéro.
Sophie m'avait demandé de ne pas boire trop, que pour une fois c'est elle qui boirait plus que d'habitude, bien sur, j'avais dis oui, on sait que la boisson quelquefois libère des envies non avouées.
Je ne bus qu'un whisky tandis que Sophie but facilement 5 ou 6 coupes de champagne.
Alice nous conviait à passer à table à l'intérieur et elle se retrouvait à coté de Pascal.
Comme c'est Pascal qui servait, Sophie m'envoyait un texto me demandant si je n'étais pas trop jaloux, je répondais que non pour l'instant et lui dis aussi qu'il avait maté ses fesses.
Sophie me répondais que cela ne la satisfaisait pas et qu'elle allait rentrer en action pour activer ma jalousie.
Moi -et comment ?
Sophie -tu verras bien, d'ici 5 minutes quand il sera assis fait semblant de ramasser quelque chose sous la table et tu verras.
J attendais un peu plus t quand je fis mine de ramasser ma serviette, je vis qu'elle avait remonté sa robe dévoilant la dentelle de ses bas à Pascal.
Moi -tu m'épates Mon Amour, je n'y aurai jamais cru que tu puisse faire ça.
Sophie -et oui, ressers-moi un verre de rosé
Je la servais et elle le bu d'un trait.
Alice -dis-donc ma sœur, tu bois beaucoup ce soir je trouve.
Sophie -c'est parce que je suis heureuse, je pars demain en week-end avec mon Chéri.
Alice -super ça, profitez bien.
Moi -comptes sur nous pour ça.
Une fois le repas terminé, nous primes congé d'Alice et Pascal.
Sophie -alors, tu as aimé mon petit jeu de ce soir.
Moi -tiens, touches, tu verras que oui.
Je bandais dur et Sophie allait amplifier mon érection.
Sophie -il a effleuré la dentelle de mes bas.
Moi -effleuré, touché ou caressé ?
Sophie -désolé, j'ai un peu honte, il m'a caressé.
Moi -as-tu aimé, c'est cela qui est important.
Sophie -oui, surtout que tu était juste en face, c'est encore plus excitant.
Moi -tu dois être inondée, j'en suis sur.
Sophie -oui, trempée complet, et toi cela te fais quoi ?
Moi -je suis très jaloux mais encore plus excité.
Sophie -jaloux, c'est cela que je veux, fais-moi l'amour comme hier soir, Chéri.
Nous fîmes l'amour et ce qui me plu beaucoup c'est qu'elle orgasmait à haute voix pour Pascal.
Sophie -désolé Chéri, fallait que je laisse partir mon orgasme.
Moi -branles-moi doucement, fais-moi jouir en me parlant de lui.
Sophie -tu veux vraiment ça ?
Moi -oui, stp Amour.
Sophie -alors tu vas avoir
Elle me parlait de lui et j'éjaculais abondamment.
Moi -quelle jouissance.
Sophie -oui, j'ai encore envie tu sais.
Moi -caresses-toi encore alors.
Sophie -oui, mais à toi de me parler maintenant, je pense orgasmer un 2eme fois.
Moi -hum -oui, je veux t'entendre encore orgasmer pour Pascal.
Sophie -oui, je le veux aussi, je veux qu'il me baise.
Moi -réellement ?
Sophie -oui, il me plait.
Moi -tu as carte blanche mais tu dois tout me raconter avant et après.
Sophie -cela va de soi, vu que j'ai envie que tu sois mort de jalousie.
Elle me donnait un 2eme orgasme encore plus violent que le 1er.
Sophie -j'adore faire l'amour ainsi, tu as bien fait de me pousser vers ton fantasme.
Moi -ce n'est que le début, tu vas avoir des centaines de queues à t'occuper, je te le promet.
Sophie -ne vas pas trop vite, on débute mon Chéri.
Moi -oui, mais tu a l'air très motivé.
Sophie -oui, c'est vrai.
voila, une novelle histoire commence, j'attend vos commentaires bien sur.
A SUIVRE.

Merci pour ce super nouvel épisode et tous ceux qui ne manqueront pas de suivre.

Ravi de te savoir de retour parmi nous Fifou.
Et bravo pour l'idée du nouveau départ entre Sophie et Olivier...

Le lendemain, nous quittions notre maison cers 16h30, direction la Normandie pour j'espérais passer un super week-end.
Notre maison d'hôtes était situé dans un petit village, nous y étions vers 19 heures.
Le propriétaire(Charles) nous accueillait chaleureusement et nous fit montrer notre chambre, la salle de bains, le jardin, et nous dit aussi que le petit déjeuner était servi à partir de 7h30.
Moi -indiquez un bon restaurant pour ce soir si vous en connaissez un.
Charles nous orientait vers une auberge non loin de chez lui où l'on se régalait les papilles.
Nous rentrions vers 23 heures et je voulais faire l'amour mais Sophie avait peur de faire du bruit, on s'endormait collé l'un à l'autre.
Le lendemain, debout vers 8 heures, Charles nous servait un petit déjeuner copieux.
Charles -je vais vous installer 2 transats si vous voulez profiter du soleil, moi je vais aller faire un peu de vélo.
Il était déjà en tenue de cycliste, d'ailleurs cela lui faisait une belle bosse sous son cuissard.
Je vous décris Charles, environ1 m80, cheveux poivre et sel, lunettes et sans excès de poids, il s'entretenait, cela se voyait.
Il nous laissait et enfourchait son vélo.
Moi -il est pas mal, tu en penses quoi ?
Sophie -oui, il a un certain charme.
Moi -il te plait alors ?
Sophie -j'ai dit qu'il avait un certain charme, c'est tout.
Moi -ok Chérie.
Je passais sous la douche en 1er suivi de Sophie qui en ressortait en maillot de bains.
Moi -hum, il te va très bien, on a bien choisi je pense.
Sophie -oui, mais cela m fais des gros seins je trouve.
Moi -tu ne peux pas faire du 100D et prétendre avoir des petits seins, moi j'aime beaucoup.
Sophie -merci mon Amour.
Je lézardais une petite heure avec elle.
Moi -je vais essayer de trouver un journal et je reviens, tu veux quelque chose ?
Sophie -oui, ramènes-moi quelque chose à boire.
Je dus faire quelques kilomètres pour trouver ce que je cherchais, d'ailleurs je vis Charles qui se dirigeait vers chez lui, quand je rentrais dans le supermarché.
Je décidais de traîner un peu, je voulais qu'il ait le loisir de mater Sophie sur son transat sans savoir si Sophie lui plaisait mais je serai vite fixé.
Je rentrais au moins 20 minutes après lui, garais ma voiture et rejoignais Sophie dans le jardin.
Moi -tiens, je t'ai ramené du soda et de l'eau, ça va ?
Sophie -oui, j'ai eu la visite de Charles en rentrant de son vélo.
Moi -et ?
Sophie -il m'a fait un compliment sur ma beauté.
Moi -hum, j'adore c'est tout ?
Sophie -non, il se frottait discrètement la bite en me parlant mais je l'ai vu.
Moi -ah bon.
Sophie -oui, cela lui faisait une grosse bosse après.
Moi -hum, arrêtes, je vais bander.
Sophie -ça t'excites ?
Moi -oui, énormément.
Sophie -tu me pousserais dans son lit comme tu es là.
Moi -oui, si je pouvais.
Sophie -non, surement pas.
Moi -grr, tu ne veux jamais me faire plaisir.
Sophie -on ne le connait même pas.
Moi -oui, je sais, c'est encore plus excitant, je trouve.
Sophie non, je ne veux pas.
Moi -tant pis, je ne force à rien.
J e lisais mon journal pendant que Sophie faisait bronzette.
Sophie -mets-moi un peu de crème, cela commence à me chauffer.
Moi -je t'en étale partout ou tu veux un endroit particulier.
Sophie -partout.
Je commandais par son dos et l'arrière de ses cuisses puis elle se retournait et lui en étalait devant en prenant soin d'effleurer les endroits sensibles.
Sophie -tu me chauffes, c'est ça ?
Moi -pas du tout, je te met de la crème solaire.
Sophie -oui, et tu me touches en même temps.
Moi surement pas.
Sophie -si si, je te connait, gourmand.
Moi -je n'y peux rien, j'ai le feu, et de savoir que peut être qu'il te mate, cela m'excite encore plus.
Sophie -oui, peut être.
Elle se tournait et décrochait le haut de son maillot.
Moi -vas-y, mets toi seins nus aussi.
Sophie -pourquoi pas.
Moi -mytho que tu es.
Sophie -ne paris pas, tu vas perdre.
Moi -non, si tu dis ça, rien que pour gagner, tu vas le faire.
Je continuais à lire mon journal et je ne sais pas pourquoi, mes yeux se portèrent vers les fenêtres donnant sur le jardin et je vis les rideaux bouger.
J'attendais encore en surveillant par dessus mon journal et effectivement, il était derrière les rideaux.
Moi -Chérie, il te mate, je viens de voir les rideaux bouger.
Sophie -qu'il mate, du moment qu'il ne me touche pas.
Moi -ça me plait qu'il te mate, cela veut dire que tu l'intéresses.
Sophie -je m'en fous.
Moi -ce n'est pas comme ça que je risque d'être jaloux.
Sophie -ouais
Vers midi, Sophie passait son paréo et nous partîmes déjeuner.
En revenant, Charles nous demandait.
Charles -dites-moi, accepteriez vous de partager mon repas ce soir, c'est du simple, quiche, salade fromage et dessert.
Moi -tu en dis quoi, Chérie ?
Sophie -oui, pourquoi pas.
Charles d'accord, 19h30 pour l'apéro, vous buvez quoi ?
Moi -on aime le champagne, je sais c'est des gouts de luxe mais bon.
Charles -j'ai ce qu'il faut, à tout à l'heure.
Sophie repris sa position sur le transat, moi cela me gavais et je partais faire un tour à pied dans le village.
Une heure plus tard, j'étais de retour et Sophie commençait à rougie légèrement.
Je me réinstallais sur le transat.
Sophie -tu as raison, il ne quitte pas la fenêtre, cela doit lui plaire de me mater.
Moi -tu ne me crois jamais quand je e dis quelque chose.
Sophie -je ne pensais pas pouvoir plaire aux hommes tant que ça.
Moi -tu es une bombe Chérie, je suis fier d'être ton mari.
Sophie -et moi d'être ta femme.
Moi -fais-moi plaisir, enlèves le haut.
Sophie -non, stp, ne me forces pas à faire des choses que je n'ai pas envie.
Moi -d'accord Chérie.
Vers 18 heures, nous rentrions pour se passer sous la douche et se préparer pour le repas du soir.
Sophie -je mets quoi ce soir ?
Moi -ce qu'on a acheté ensemble, je te veux belle et très désirable.
Sophie -je te vois venir avec tes gros sabots, je ne me donnerai pas à lui.
Moi -je ne t'ai rien demandé.
Sophie -je te connais, quand tu as une idée dans la tête, tu ne l'as pas ailleurs.
Moi -ce n'est pas faux.
Sophie -je vais quand même me faire belle pour toi.
Moi -merci Amour.
Charles nous attendait assis devant la télé, Sophie avait revêtu sa robe blanche et bleu et ses dessous noirs sans oublier ses bas, elle était divinement belle, j'avais envie d'elle.
Charles nous priait de prendre place dans le canapé et nous servait une coupe.
Nous triquions en discutant de choses et d'autres.
On appris qu'il était jeune divorcé (6 mois) et qu'il louait une chambre que depuis 3 mois, nous étions ses seconds clients.
Charles -et vous, week-end en amoureux, je présume.
Sophie -oui, tout à fait, on est venu se ressourcer un peu et surtout au calme.
Charles -ici, c'est l'endroit rêvé pour le calme.
Moi -oui, c'est vraiment calme, de plus il n(y a rien dans le village.
Charles -ça bouge, surement que l'année prochaine, nous aurons un boulanger et un bar restaurant.
Moi -oui, ce serait pas mal pour vous les habitants d'ici.
Nous buvions une 2eme coupe.
Charles -en tout, votre épouse est charmante, elle donne envie.
Sophie -vous me faites rougir.
Charles -faut pas, c'est la vérité.
Moi -tu vois quand je te dis que tu es une beauté.
Charles -vous avez raison, c'est même un canon aussi bien en maillot de bains qu'en tenue de soirée.
Sophie merci pour vos compliments, cela me touche.
Charles, y'en a une 2eme au frais, on l'ouvre ?
Moi -pour moi, oui volontiers, Sophie, je ne sais pas.
Sophie -bien sur que je vais en boire encore.
Je les laissais le temps d'aller aux toilettes et en revenant, ils rigolaient ensemble.
Moi -je peux savoir la cause de fou rire.
Sophie -rien, une bêtise que vient de dire Charles.
Moi -d'accord.
La 2eme bouteilles ne durait pas longtemps et Charles nous priait de passer à table.
Charles -je met votre épouse à coté de moi si vous n'y voyez pas d'inconvénient ?
Moi -demandez-lui.
Sophie -non, avec plaisir.
La garce était en train de jouer avec ma jalousie.
Le temps qu'il aille dans la cuisine chercher la quiche.
Sophie -le champagne m'a saoulé.
Moi -oui et ?
Sophie -je perd la tête, je fais n'importe quoi.
Moi -comment ça ?
Sophie -j'aurai du refuser de m'assoir à coté de lui.
Moi -non, moi ça me plait au contraire.
Sophie -ça m'aurait étonné.
Moi -tu devrais même remonter ta robe au ras de tes bas.
Sophie -non.
Moi -allez, stp, fais -moi ce plaisir.
Sophie -non, cela va m'exciter et on ne pourra pas faire l'amour après.
Moi -si, on sortira d'ici et je te ferai l'amour promis.
Sophie -très bien ,tu l'auras voulu, lève-toi et regardes si ça va ainsi.
Moi -encore un peu plus Chérie.
Sophie relevait un peu plus et on voyait la moitié de la dentelle de ses bas.
Moi parfait Amour.
Sophie -tu es quand même fou.
Moi -oui, je sais.
Charles revenait avec la quiche..
Charles -vous préférez rouge ou rosé ?
Moi -on préfère le rosé.
Charles -je vais vous cherchez ça.
Moi -il a baissé direct sur tes cuisses, j'adore.
Sophie -je l'ai pas vu, mais l'ai ressenti.
Moi -restes comme ça, tu m'excites.
Sophie -ça me met le feu aussi.
Moi -alors tu vois.
Charles nous versait à boire et nous servait la quiche, la salade étant déjà sur la table.
Nous dinions en parlant de notre boulot à Sophie et à moi et Sophie m'envoyait un coup de pied sous la table pour me faire comprendre qu'il se passait quelque chose.
J'avais compris qu'il avait du mettre sa main sur ses cuisses et la caresser.
J e redemandais une part de quiche pour pouvoir parler avec Sophie.
Sophie -il me caresse les cuisses et remonte jusqu' à mon string.
Moi -tu aimes ?
Sophie -oui, je suis inondée.
Moi -écartes encore plus tes cuisses alors.
Sophie -tu crois ?
Moi -laisses-toi faire.
Sophie -tu es jaloux ?
Moi oui, énormément.
Sophie -alors je continue rien que pour ça.
Charles me servait et servait la salade à Sophie, ensuite, je ne voyais qu'une main sur la table et voyait aussi Sophie passer par toutes les couleurs.
Après le diner, Charles m'offrait un calva du pays, j'en bus 2 et j'avoue qu'il me sonnait la tronche.
Sophie -je vous laisse, je tombe de fatigue, je vous fais la bise pour ce copieux repas, merci Charles.
Moi -je te rejoint dans 5 minutes Chérie.
Je rejoignis Sophie dans la chambre qui était allongé en string , les seins à l'air sur le lit.
Moi -ça va mon amour.
Sophie -non, j'ai envie de faire l'amour et pour la 1ere fois depuis que je te connais, pas avec toi.
Moi -expliques-moi ça.
Sophie -j'ai envie de lui et si je fais l'amour avec toi, je ne vais penser qu'a lui.
Moi -tu veux aller le rejoindre dans sa chambre ?
Sophie -tu es fou, il va penser quoi de moi.
Moi -il t'a caressé les cuisses tout le repas, donc, il ne sera pas étonné.
Sophie -il me plait beaucoup Chéri.
Moi -raison de plus.
Sophie -comment faire alors ?
Moi -sa chambre est à coté des toilettes, vas-y, tu verras bien si ça bouge ou pas.
Sophie -et toi ?
Moi je m'approcherais sans faire de bruit et j'irai vous mater si tu veux.
Sophie -oui, cela me rassurera un peu.
Moi -mets ton peignoir blanc et gardes ton string.
Sophie -il ne ferme pas mon peignoir.
Moi -tiens le avec tes mains, fais comme si tu allais vraiment aux toilettes, tu veux que j'aille voir avant toi.
Sophie -oui, je veux bien.
J'allais donc au WC et sa porte était entrouverte, il me dis bonne nuit quand je repassais.
Moi -il ne dort pas et sa porte est entrouverte, attends 10 minutes et vas-y.
Sophie -j'ai une boule au ventre mon Amour.
Moi -moi aussi, je suis excité et très jaloux en même temps.
Sophie -hum, j'adore.
Au bout de 10 minutes, Sophie mit en pratique notre plan.
Elle passait devant sa porte entrouverte et quand elle repassait, elle était grande ouverte et lui était debout face à la porte, complètement nu, sa queue tendue à la main.
Charles en susurrant -allez viens, elle t'attend.
Sophie -Olivier ne dort pas.
Charles -pas grave, j'ai très envie de toi.
Sophie s'approchait de lui, fit tomber son peignoir et l'embrassait avec fougue.
Charles -allez viens, je fais m'occuper de ton corps, tu en meurs d'envie.
Sophie -oui, prends-moi, j'ai aussi envie de toi.
Charles passait pas loin de 45 mn en préliminaire, il la léchait, lui bouffait ses seins qui répondait en durcissant, jouait avec son clito.
Sophie -bouffes-moi, fais-moi orgasmer.
Charles -sois patiente, laisses-moi profiter de ce que tu m'offres.
Il continuait ses caresses partout sur son corps et quand il posait sa langue sur son clito, Sophie lui donnait un énorme orgasme.
Charles -j'aime que tu sois réactive à mes caresses.
Sophie -chut, fais-moi l'amour maintenant.
De mon coté, j'épiais à la porte et je voyais bien grâce à la veilleuse allumée sur la table de nuit, je bandais mais était très jaloux que ma Sophie se donne ainsi à un inconnu.
Il mit un préservatif et la prit en levrette pour commencer, Sophie haletait et gémissait sous ses coups de queue.
Puis il se mit en dessous et Sophie s'empalait sur sa bite, c'est elle qui donnait le tempo, puis elle se tournait et était face à moi, elle savait que j'étais là, et pour me rendre fou, elle passait sa langue autour de ses lèvres, me montrant qu'elle aimait ça.
Charles -j'aimerai bien que tu me suces, j'aimerai éjaculer sur tes magnifiques seins.
Sophie -oui, je vais t'offrir ce plaisir, donnes-moi ta queue.
Charles -elle te plait ma queue ?
Sophie -oui, elle est bien grosse et bien dure, j'aime.
Charles -alors vas-y, profites-en
Sophie le suçait pendant une bonne dizaine de minutes et il éjaculait sur ses seins.
Charles -vas-y, goutes mon sperm.
Sophie -je n'ai jamais fait ça.
Charles -faut bien commencer un jour, allez.
Sophie étalait le sperm sur ses seins et léchait ses doigts.
Charles -alors ?
Sophie -hum, c'est bon.
Charles -alors nettoies ma queue.
Sophie obéis à sa demande.
Charles -c'était super bon, merci Sophie.
Sophie -oui, super, allez je retourne dans mon lit.
Charles -oui, dommage, je t'aurai bien reprise demain matin au réveil.
Sophie -oui, dommage.
Sophie me rejoignit dans notre chambre.
A SUIVRE.

Tooujours aussi bien cette histoire !

Bravo et merci Fifou, tu sais à merveille mettre en mots cette idée !

Ça fait plaisir de pouvoir lire de nouveaux épisodes de cette saga.

Le récit que vous allez lire, est certainement celui qui m'a procuré le plus de plaisir a écrire depuis que j'ai commencé cette saga.
J'attend vos commentaires.

Sophie s'affalait sur le lit, repus de sexe.
Moi -tu as aimé ?
Sophie -oui, beaucoup, il m'a bien baisé.
Moi -tu ne voulais pas, au départ, on dit quoi à son Chéri.
Sophie -merci Amour, et ta jalousie, j'espère que tu as morflé ?
Moi -oh que oui, surtout quand tu as avalé son sperm.
Sophie -tu vois, je peux encore te surprendre, tu bandes ?
Moi -oui, depuis plus de 2 heures.
Sophie -branles-toi, je n'ai pas envie de te toucher maintenant, je veux rester sur mon nuage.
Moi -d'accord, mais parles-moi alors, je veux donner un maximum.
Sophie -oui, écoutes bien ça, je vais me lever demain matin à l'aube et retourner me faire prendre par lui.
Moi -oh non.
Sophie -si, et n'as rien à dire, tu l'as voulu, maintenant assumes-toi.
Moi -vas-y, vas te faire baiser encore par lui, et demain matin je pars, je te laisse avec lui.
Sophie -oui, pars.
J'éjaculais très fort.
Sophie -donc, dès que je me réveille, je vais le rejoindre que tu le veuilles ou non, et ne pars pas demain matin mais demain en début d'après-midi, il va me prendre dans la transat et je ne veux pas que tu nous vois, tu reviendras quand je te le dirai.
Moi -ne me prives pas de vous regarder ou de vous entendre, j'en ai besoin.
Sophie -d'accord, à une condition, tu vas chercher les croissants demain matin pour nous 3.
Moi -ok Chérie, mais on prend le petit déjeuner ensemble, tu ne me laisse pas seul.
Sophie -je verrai ça demain, je veux que tu sois jaloux mais pas seulement quand je baise, je veux que tu le sois en permanence.
Moi -ok, bon allez dodo, il est presque 2 heures.
Sophie -oui, il faut, je veux encore le satisfaire demain matin.
Moi -ça y est, la machine est en route.
Sophie -oui, trouves-moi encore des amants comme ça et je baise tout les jours et même 2 fois par jour.
Moi -bonne nuit Chérie.
Sophie -bonne nuit gros jaloux.
Quand je me réveillais vers 7 heures, le lit était vide, Sophie n'était pas là, je me levais et écoutais dans le couloir si j'entendais quelque chose.
Rien, pas un bruit, je me dirigeais vers les WC et là, sa porte grande ouverte, Sophie était en train de le sucer avidement.
Sophie -tu es déjà réveillé Chéri ?
Elle me parlait tout en le branlant.
Moi -oui, je vois que toi, tu n'as pas traîné pour le retrouver.
Sophie -non, j'ai envie de lui et comme j'ai ton accord, je ne vais pas me priver, n'oublies pas d'aller chercher les croissants.
Moi -non, je te regarde et j'y vais.
Sophie -oui, regardes-moi bouffer sa grosse queue.
Et Sophie se remit à le pomper avec une ardeur que je ne connaissais pas chez elle.
Il éjaculait dans sa bouche et Sophie avalait tout et lui nettoyait la bite aussi.
Moi -je vais chercher les croissants, à tout de suite.
Sophie -oui, on t'attend, Charles va préparer le café.
Quand je revins avec les croissants, il n'y avait personne dans la cuisine, le café était coulé mais pas de Sophie, ni de Charles.
Moi -ohé, vous êtes où ?
Sophie -dans la salle de bains.
Je les rejoignait et la surprise pour moi, ils se douchaient ensemble.
Moi -si je gêne, dites-le moi, je pars pour la journée.
Charles -c'est Sophie qui avait envie de se doucher avec moi, je ne peux pas lui refuser ça quand même.
Sophie -oui, je veux faire plein de chose avec lui, et toi tu subis mes envies, tu n'as pas le choix, tiens, puisque tu es là, va me chercher mon string rouge et mon paréo.
J'obéis et en revenant, Charles lui essuyait les seins dont les tétons étaient bien dures.
Sophie enfilait son string rouge et son paréo et vint m'embrasser.
Sophie -bonjour Chéri.
Moi -bonjour Amour.
Sophie -j'ai décidé de bronzer en string aujourd'hui et Charles a reçu l'ordre de rester à poil, donc, ne sois pas surpris.
Moi -que veux tu que je te dise, tu es la reine ici.
Sophie -oui, toi, ce midi, tu iras nous chercher de quoi grignoter, je garde Charles auprès de moi toute la journée avant de rentrer à Paris.
Moi -si tu veux, on prend ce petit déjeuner ou pas.
Charles -oui, je vais m'en occuper.
Sophie(une fois Charles parti)- alors, es ce que cela ta plait d'avoir ta femme ainsi ?
Moi -je ne m'attendais pas du tout à ça.
Sophie -tu veux que j'arrête ?
Moi -non, j'aime trop te voir heureuse ainsi.
Sophie -alors si tu aimes, je vais me le faire 2 ou3 fois dans la journée
Moi -tout ce que je veux, c'est te regarder.
Sophie -oui, tu peux, cela m'excite encore plus de te sentir jaloux.
Moi -c'est le cas.
Sophie -mon envie actuellement c'est de me coller à lui et que toi, tu n'est rien, pas de câlin, pas de bisous rien de rien.
Moi -alors, fais ce que bon te semble.
Sophie -tu ne me croyais pas comme ça, rassures-toi, moi non plus, mais Charles me plait beaucoup.
Moi -allez, au café Chérie.
Sophie -ça aussi évite de me le dire aujourd'hui, je veux que tu ressentes que je ne suis pas à toi.
Moi -donc, tu me zappes complet.
Sophie -oui, ton seul droit est de me mater avec Charles.
Moi -j'ai voulu ça, j'assume maintenant.
Sophie -et j'espère qu'à Paris, cela va continuer, je veux que toi, tu me trouves des amants
Moi -on verra cela à la maison.
Sophie -c'est tout vu.
Dans la cuisine, Sophie se mit à coté de Charles pour déjeuner, il lui servit son café, lui mit de sucre et lui remuait.
Sophie -tu es un amour Charles.
Cette parole me fit un mal à l'intérieur, mais Sophie ne s'en rendait même pas compte.
Une fois le petit déjeuner avalé, Sophie prit Charles par la main et l'emmenait dans le jardin, sur les transats, elle enlevait son paréo et s'allongeait, Charles fit de même sur l'autre.
Sophie -prends une serviette et mets-toi sur l'herbe.
Après une heure de bronzette (il était 10 heures), Sophie s'adressait à Charles.
Sophie -je vais me caresser un peu et quand je serai inondée, je vais te faire quelque chose, je peux ?
Charles -tout ce que tu veux.
Sophie commençait par se prendre les seins à pleines mains pour faire durcir ses tétons puis se caressait sa chatte toute lisse.
Une fois qu'elle fut inondée, elle se levait, écartait son string et vint mettre sa chatte sur la bouche à Charles.
Charles ne se fit pas prier et sa queue devint toute raide, je ne m'en était pas aperçu, mais, il était bien membré.
Sophie pendant qu'elle se faisait bouffer se prenait les seins et tirait sur ses tétons.
Peu après, Sophie lui offrait un orgasme inouï ou elle lui disait de la prendre comme une salope qu'elle était.
Charles -allez, viens t'empaler sur la queue.
Sophie -oui, hum, elle est bien raide, je vais encore morfler, j'adore
Elle se mit face à lui et il la prenait par les hanches pour lui donner un mouvement de va et vient.
Elle profitait de cette position pour lui donner sa langue qu'il mélangeait avec la sienne.
J'étais on ne peux plus jaloux, mais je bandais à les regarder.
Sophie -tu peux te branler si tu bandes à nous regarder, cela ne nous dérange pas, au contraire même, j'aimerai bien voir mon mari se branler à me regarder baiser, c'est même un ordre, lève-toi et branles-toi face à moi.
J'obéis à son ordre et me branlais devant eux, un peu honteux, je vous l'avoue.
Sophie -c'est encore meilleur ainsi, hum, quel bonheur de te voir bander comme ça, je n'imaginais pas prendre autant de plaisir, encore Charles, défonces ma chatte.
Charles accéléra la cadence et Sophie gémissait de plus en plus fort.
Sophie -Charles, je veux que tu éjacules partout sur moi.
Charles -alors suces-moi et branles-moi si tu veux ça.
Sophie -par contre, toi, tu éjacules dans tes mains.
Charles se levait et Sophie s'asseyait au bord du transat, elle englobait toute sa queue et lui fit une gorge profonde.
Sophie -tu aimes voir ta femme ainsi, allez avoues-le.
Moi -oui, j'en rêvais et tu réalises mon fantasme, vas-y encore, suces-le, je vais jouir.
Sophie -oui, vas-y jouis dans tes mains.
J'éjaculais en plusieurs giclées mais rien à voir avec celles de Charles qui en mit partout sur Sophie comme elle le voulait.
Charles -étales-le et lèches tes doigts, j'aime voir une femme faire cela.
Sophie -hum, oui, et après je nettoierai ta grosse queue.
Charles -oui, cela me plait aussi.
Sophie se léchait les doigts et ne laissait aucune goutte sur son corps puis léchait sa queue avec sa langue.
Sophie -j'ai faim maintenant, tu vas faire quelques courses stp.
Moi -oui, je ramène des sandwiches ?
Sophie -oui, un thon mayonnaise pour moi.
Charles -pareil pour moi.
Sophie - j'ai envie d'une éclair au café.
Je partais et me posais la question ou allais-je les retrouver en rentrant.
C'est vrai, Sophie me donnait ce que je voulais mais ma jalousie était pratiquement à son maximum vu ce qu'elle me faisait subir et j'étais pratiquement sur qu'elle allait trouver encore une nouveauté pour l'après-midi.
En revenant des courses, je les trouvais tout les deux allonger sur des serviettes enlacé l'un à l'autre et se roulant des pelles à tire larigot.
Sophie relevait la tête et me dit.
Sophie -Charles veux qu'on revienne dans15 jours, tu en dis quoi ?
Moi -je te laisse le choix d'accepter ou de refuser.
Sophie -bon, bah chambre réservée pour dans 15 jours Charles.
Charles -ok, je prend note.
Nos mangions notre casse-croute ensemble puis arrivé ao moment du dessert, Sophie une une idée de folle.
Elle ouvrit son éclair en deux, étalait la crème partout sur elle.
Sophie -viens me lécher Charles, lèches-moi partout, ne laisses pas une goutte de crème sur moi.
Charles -ça tombe bien, je suis gourmand.
Il la léchait partout et longuement, je voyais sa queue qui durcissait au fur et à mesure, il partageait le crème en lui roulant une pelle de temps en temps, Sophie appréciait beaucoup.
Sophie -hum, tu te débrouilles très bien avec ta langue, va voir si mon clito aimerait ça lui aussi.
Charles écartait une fois de plus son string rouge et se mit à bouffer sa chatte longuement, on peux dire qu'il prenait son temps avec la chatte de ma femme, Sophie bien sur en réclamait encore.
Sophie -regardes bien comment il me bouffe, j'adore ça, grâce à toi, je prend mon pied et encore plus quand tu me mates comme ça, viens approches-toi, regardes mon amant de près, mais tu ne me touches pas, je ne suis pas à toi aujourd'hui.
Je m'approchais comme demandé par Sophie et matait de près la langue de Charles sur la chatte de ma femme.
Sophie -ça m'excite, je vais décoller Charles, vas-y encore.
Sophie orgasmait encore très fort en disant que c'était pour Charles et que moi, j'aurai rien.
Sophie -maintenant, doigtes-moi, mets 2 ou 3 doigts dans ma chatte, je suis tellement inondée que ça va rentrer tout seul.
Charles enfonçait 3 doigts et Sophie explosait en jouissance.
Sophie, encore une fois, repus de sexe, s'affalait sur sa serviette.
Sophie -Charles, viens là, je vais m'endormir dans tes bras devant mon mari, cela va le rendre fou de jalousie.
Charles -oui, avec plaisir.
Sophie -comme ça, je me repose et tu me baises encore une fois avant qu'on rentre à Paris.
Charles -hum, oui.
Sophie s'endormit assez vite, pas moi, mais je succombais quand même au sommeil.
En me réveillant, ils n'étaient plus là, je me levais et entrais dans la maison.
Je n'eus aucun mal à les trouver tellement Sophie gémissait, ils étaient dans la cuisine, Charles était en train de la défonser en levrette, elle les 2 mains sur la table.
Sophie -viens, approches-toi, et regardes-le me démonter, vas-y Charles, j'en veux encore plus.
Charles activait la cadence de ses coups de queue et Sophie criait presque.
Sophie -que c'est bon Mon Charles, tu es vraiment doué pour me baiser, donnes-moi encore.
Charles -oui, je vais m'assoir et tu vas t'empaler sur ma queue face à ton mari, tu veux bien.
Sophie -tout ce que tu veux, mais donnes-moi encore du plaisir.
Sophie écartait encore une fois son string et s'empalait sur lui face à moi, elle recommençait son jeu avec sa langue autour de sa bouche, je n'en pouvais plus, j'étais trop jaloux.
Sophie -tu voulais qu'il me baise, et bien tu as eu ce que tu as voulu.
Moi -oui, je sais.
Charles entant l'éjaculation venir, enlevait Sophie de sur lui, enlevait le préservatif, se branlait et éjaculait sur son visage.
Sophie -hum, que de sperm encore, je vais me régaler avec.
Sophie avalait tout encore une fois et lui nettoyait encore sa queue.
Sophie -maintenant à la douche, toi, tu viens regarder Charles me laver.
Ils entrèrent ensemble et Charles lui passait le gant partout, insistant sur ses tétons.
Charles -penses-tu pouvoir encore orgasmer une fois avant de partir, j'en ai envie.
Sophie -je suis à toi jusqu'au moment ou je serai dans la voiture, alors fais ce que tu as envie.
Charles la branlait avec le gant d'une main et se servait de l'autre en passant par derrière.
Sophie -tu es insatiable, vas-y continues j'aime.
10 minutes plus tard, elle orgasmait en lui roulant une pelle très fort;
Il l'essuyait et puis, nous regagnions notre chambre préparer notre départ.
Sophie -merci de m'avoir appris à être aussi salope, j'ai beaucoup aimé.
Moi -oui, je sais.
Sophie -tu es jaloux à quel point ?
Moi -tu ne peux même pas l'imaginer.
Sophie -ce n'est que le début, dans 15 jours, j'espère te rendre encore plus jaloux.
Moi -tu as déjà une idée ?
Sophie -oui, et j'ai 15 jours pour en trouver d'autres.
Elle l'embrassait langoureusement avant de partir et je pris la route direction Paris.
A SUIVRE.

Bravo Fifou, c'est du grand candaulisme !

Ravi de savoir qu'écrire cet épisode t'a procuré beaucoup de plaisir.
Sache que ton plaisir est contagieux, car le lire nous en procure énormément également !

Le trajet du retour fut long, Sophie somnolait et ne parlait presque pas alors que j'avais tant de choses à lui dire.
Une fois arrivé, je déchargeais les valises et les vidait, Sophie mit la machine à laver en route et nous préparait un petit diner.
Moi -ça n'a pas l'air d'aller.
Sophie -si, mais j'ai passé un week-end tellement génial que j'ai du mal à m'en remettre.
Moi -tant mieux, si tu as pris tant de plaisir que ça.
Sophie -oui, c'était merveilleux, et sincèrement j'ai hâte d'y retourner.
Moi -oui, je le sais, en attendant, j'essaierai de faire aussi bien que Charles.
Sophie -impossible, toi tu es mon mari et lui mon amant, une maitresse prendra toujours plus de plaisir avec son amant.
Moi -c'est vrai mais tu ne vas pas rester 15 jours sans faire l'amour quand même.
Sophie -j'en serai capable, méfies-toi.
Moi -tu veux que je te dise, je pense que tu es en train de tomber amoureuse.
Sophie -oui, je crois aussi.
Moi -tu ne ma quitte pas ?
Sophie -non, jamais, mais tu risques de morfler et de subir mes frasques avec lui.
Moi -c'est ce que je voulais donc j'assume mon fantasme.
Sophie -ça me va, toute façon, je ne pense qu'a lui depuis qu'on est parti.
Moi -je l'i bien vu pendant le trajet.
Sophie -oui, je veux lui plaire encore plus, on va se faire un budget fringues pour dans15 jours, tu veux bien.
Moi -oui, tout ce que tu veux, j'aime te sentir heureuse.
Sophie -t'es un Amour.
Moi -dis-moi quel moment as-tu préféré ce week-end.
Sophie -sans hésiter celui où tu t'es branlé et que j'avais ma chatte sur sa bouche et toi ?
Moi -je vais en choisir 2, ceux qui m'ont rendu le plus jaloux, le 1er quand je suis rentré des courses et que tu était dans ses bras sur la serviette et le 2eme, ce baiser d'au revoir.
Sophie -si je te comprend, ce sont les gestes de tout les jours qui te rende fou de jalousie.
Moi -oui, je le reconnais.
Sophie -merci pour le renseignement, je vais m'en servir le plus possible alors.
Moi -ça, je n'en ai aucun doute.
Sophie -allez, au lit, je suis fatigué.
La semaine défilait tranquillement mis à part le mardi où Sophie m'indiquait qu'on devait diner chez sa sœur le samedi soir.
Moi -c'est tout ce qu'il t'a dis.
Sophie -non, il m'a demandé de mettre de nouveau une robe courte et des bas.
Moi -tu vas le faire ?
Sophie -je n'en ai pas spécialement envie, mais comme je veux que tu sois jaloux, je vais le faire.
Moi -je m'en doutais et tu as des nouvelles de Charles ?
Sophie -oui, on se textote tout les jours.
Mo i- pourquoi tu ne me le dis pas.
Sophie -j'ose pas, j'ai peur de te faire du mal.
Moi -pas de risque, vu ce que tu m'as fait subir ce week-end.
Sophie -oui, c'est vrai, dis-moi, samedi, on fait des achats pour moi.
Moi -oui, on va essayer de trouver des fringues sexy.
Sophie -oui, je veux plaire un maximum.
Moi -j'ai débloqué de l'argent de mon compte perso rien que pour toi.
Sophie -tu es merveilleux, rien que pour ça, tu as droit de me demander ce que tu veux, je le ferai.
Moi -hum, intéressant comme promesse.
Sophie -oui, demandes et tu auras.
Le samedi, on achetait plein de fringues rien que pour elle,(je vous les dévoilerai au furet à mesure) et en rentrant, j'eus droit à un baiser plein de tendresse.
Sophie -ce soir, je vais te faire bander, je vais provoquer Pascal comme jamais, tu veux ?
Moi -tu fais ce que tu te sens capable de faire.
Sophie -juste le provoquer, je ne veux pas coucher avec lui.
Moi -comme tu veux.
Sophie -et tu as le droit à Paris de me dire des mots doux, ça me manque.
Moi -j'osais pas depuis que tu m'as dis de ne plus t'en dire.
Sophie -ça, c'est quand je suis avec Charles que c'est interdit.
Moi -d'accord Chérie.
Sophie -j'aime.
Moi -alors, tu mets quoi ce soir ?
Sophie -mon nouvel ensemble string soutif noir en dentelle, le porte jarretelle qui va avec, les bas nylon qu'on a acheté, la jupe grise et blanche à carreaux juste tenue par cette grosse épingle a nourrice et un pull en V écru, cela te plait.
Moi -déjà, on verra ton soutif, cela me plait.
Sophie -oui, et Pascal verra le reste, je compte l'attirer dans un coin et tout lui faire montrer, tu es prévenu.
Moi -hum, j'ai hâte.
Sophie -je vais le chauffer, peut être même que je vais le peloter sous la table.
Moi -tu es motivé mon Amour.
Sophie -oui, j'ai envie que tu sois jaloux.
Moi -alors fais.
Bien sur, Sophie passait du temps dans la salle de bains pour se préparer, je savais qu'elle serait à croquer en sortant, mais là, c'était encore plus que d'habitude.
Moi -puis-je voir dessous ta jupe.
Sophie -voila.
Sophie levait sa jupe et de voir ses bas nylon tenus par le porte jarretelle m'émoustillait, j'avais envie d'elle.
Sophie -alors, elle te plait ta femme ?
Moi -elle est juste merveilleuse.
Sophie -sache quand même que j'ai mis tout ça pour un autre, pas pour toi.
Moi -ah bon.
Sophie -oui, tout ça, c'est pour Pascal et que pour lui.
Moi -d'accord, je m'incline devant ton envie.
Une fois arrivés chez Alice et Pascal, j'eus un pressentiment que cela allait être une dure soirée pour moi.
Pascal était torse nu et portait juste une short et des claquettes.
Alice, elle, était en jean et pull comme d'habitude, elle n'avait rien de commun avec sa sœur.
Cette fois, l'apéro était servi dans le séjour, sur la table basse.
Pascal, malin comme un singe avait réuni les filles sur la banquette et nous 2 en face sur les fauteuils.
Alice -désolé de ne pas boire avec vous, c'est la mauvaise période et je ne suis pas vraiment en forme, je ne resterai pas avec vous toute le soirée, je préfère vous prévenir avant.
Sophie -ce n'est pas grave ptite sœur, prend soin de toi.
Pascal servit l'apéro et c'est vrai qu'Alice n'avait pas la grande forme.
Bien sur, lui avait pris le fauteuil en face de Sophie qui malgré tout ses efforts ne pouvait cacher ses bas, elle tenait à être sérieuse devant sa sœur.
Après l'apéro, Alice déclarait forfait, la migraine étant trop forte.
Alice -je vais prendre un somnifère et dormir.
Sophie -appelles-moi demain pour me donner de tes nouvelles.
Alice -promis Sophie.
Alice nous laissait tout les 3 et du coup, Pascal nous proposait un dernier apéro, moi, je refusais car je conduisais mais Sophie acceptait.
Maintenant qu'Alice n'était plus là, Sophie ne faisait rien pour se cacher et même moi d'où j'étais je voyais l'orée de ses bas.
Pascal -on va passe à table, bien Sophie, tu manges à coté de moi comme d'habitude.
Sophie -oui, je connais ma place.
Dès que Pascal disparut dans la cuisine.
Sophie -au milieu du repas, je veux que tu fasse semblant d'aller aux toilettes, je veux m'exhiber devant lui.
Moi -cela ne va pas durer longtemps.
Sophie -feins d'être malade.
Moi -combien de temps ?
Sophie -au moins 5 minutes.
Moi -tu as relevé ta jupe ou pas ?
Sophie -regardes par toi-même.
Sophie l'avait relevé de façon a ce que Pascal voit ses jarretelles.
Sophie -ca te va ?
Moi -oui super.
Sophie -maintenant, subis le reste de la soirée.
Pascal revenait avec l'entrée et nous servait.
A peine assis, Sophie me fit signe d'un petit coup de pied qu'il avait déjà sa main sur ses cuisses.
Je bandais, incroyable de bander pour si peu je sais, mais cela me rendait fou de savoir qu'elle se laissait peloter par son beau frère.
Ensuite, le plat arrivait et après 2 bouchées, je m'excusais auprès d'eux et allait aux WC.
A peine parti, j'entendais Pascal parler à voix basse, je vous livre son dialogue avec Sophie.
Pascal -tu me plais Sophie, j'ai envie de toi comme jamais.
Sophie -je sais mais je ne tromperais pas Olivier, je te laisse me peloter mais c'est tout.
Pascal -d'accord, je respecte ton choix mais tu t 'habilles ainsi pour qui alors ?
Sophie -pour te provoquer, et j'aimerai tout te faire montrer.
Pascal -vas-y, je suis prêt à te mater.
Sophie -pas ici, viens dehors avec moi.
Pascal suivait Sophie dehors et en moins de temps qu'il faut pour le dire, elle avait enlever son pull et sa jupe.
Sophie -ça te plait.
Pascal -oh que oui, tu es à croquer, regardes dans quel état je suis.
Pascal avait baissé son short et sortait sa queue devant elle.
Sophie -hum, branles-toi, j'ai envie de ça.
Pascal -oui mais laisses-moi toucher tes seins, ils me font rêver depuis que je te connais.
Sophie -non, branles-toi sinon je me rhabille et je rentre.
Pascal -toute façon, on n'aura pas le temps, je suis très long à venir.
Sophie -ok, on rentre.
Ils remirent à leur place et je rejoignait la table.
Moi -désolé pour ce contre temps.
Pascal -pas grave Olivier.
Nos finissions le repas et rentrions à la maison.
Moi -alors Chérie comment cela s'est passé ?
Sophie -bof, je lui ai fait montrer ma tenue mais il voulait me peloter, j'ai refusé et on est rentré.
Moi -tu voulais quoi exactement ?
Sophie -qu'il se branle devant moi et qu'il éjaculer dans ses mains, mais il m'a répondu qu'il était long à jouir.
Moi -c'était pourtant un joli programme.
Sophie -oui, maintenant, c'est toi qui va en profiter.
Moi -YES.
Sophie -oui, mais fais-moi l'amour comme j'aime, résistes le plus longtemps possible même si tu es très excité.
Moi -oui je vais tout faire pour ça.
Dès que la porte d'entrée fut franchie, je prenais ma Sophie dans mes bras et l'embrassait tendrement, nos langues se mêlèrent et mes mains commençait à la peloter en commençant par ses fesses.
Je sentais les formes de son string.
Sophie -mets-toi à poil pour me déshabiller, je veux voir ta bite bander pour moi.
J'obéis à sa demande sans rien répondre.
Sophie -tu vas me faire l'amour mais je ne vais faire que parler de Charles.
Moi -oui, cela va m'exciter encore plus Chérie.
Je continuais mon pelotage au travers de ses vêtements
Elle me parlais, me disais qu'elle aurait préféré voir Charles à ma place, qu'elle le voulait jours et nuits, qu'elle voulait être dans ses bras.
Sophie n'avait plus que sur elle , son string, son porte jarretelle, ses bas et ses escarpins, je la fis s'assoir sur le fauteuil et lui prodiguais un cunnilingus.
En orgasmant, Sophie se donnait qu'en pensant à Charles, elle allait jusqu'à me dire qu'elle voulait dormir avec lui toute une nuit.
Moi -tu as cette envie mon Amour ?
Sophie -oui, car cela va te rendre encore plus fou de jalousie.
Moi -ça c'est sur.
Sophie -je le ferai peut être le week-end prochain.
Moi -je m'en doute.
Sophie -prends-moi maintenant.
Moi -dis-moi comment tu veux être prise.
Sophie -assise sur toi, je veux te sentir dans moi.
Moi -oui, mais cette position ma fait décoller encore plus vite.
Sophie -débrouilles-toi comme tu veux mais faut au moins que cela dure 5 minutes.
Moi -oui sinon ?
Sophie -c'est clair, je couche avec Charles tout le week-end.
Moi -oh non.
Sophie -si si.
Cette garce se démenait sur ma queue pour que je jouisse le plus vite possible pour qu'elle puisse réaliser son vœu.
Vu la cadence qu'elle m'imposait, je ne tint pas plus de 3 minutes
Sophie -voila, maintenant, tu sais ce qui t 'attend.
Moi -pas normal, à mon rythme, j'aurai tenu largement 5 minutes.
Sophie -mais tu n'as pas tenu au mien, pas de pitié pour toi.
Sophie se déshabillait et se douchait et se couchait toute nue, chose assez rare pour être précisé.
Du coup, je fis pareil, je me couchais nu aussi.
A SUIVRE.

Merci pour ces nouveaux épisodes

C'est vraiment super de pouvoir te lire de nouveau !

Je sens qu'Olivier va passer de longues périodes seul en région parisienne pendant que sa femme se fera sauter à tour de bras chez Charles !

Le lendemain, dimanche, après avoir trainé un peu dans la quartier, je rentrais et trouvait Sophie complètement abasourdie.
Moi -qu'est ce qui passe Amour.
Sophie -Charles ne peux pas nous recevoir, il a de la famille à lui qui vient.
Moi -on ira à l'hôtel à coté Chérie.
Sophie -ce ne sera pas pareil.
Moi -je ne peux te donner plus, c'est là lui d'essayer de se libérer, textotes-lui ça.
Sophie -oui.
Charles lui répondait qu'il pourrait la rejoindre la nuit mais que dans la journée, ce serait plage et pique-nique le midi.
Sophie -dis-moi que tu m'emmèneras le rejoindre à la plage stp.
Moi -oui promis Chérie.
Sophie -il me le faut absolument, tu comprends Amour.
Moi -oui, je le sais.
Comme on avait posé notre vendredi tout les deux, nous arrivions chez Charles vers midi.
Il nous attendait et avait concocter un petit repas pour nous.
Sophie avait une robe blanche en laine avec des mailles assez large laissant deviner ce qu'elle portait comme dessous, c'était des dessous mauve string et soutif et des bas noir auto fixant avec une large bande en dentelle et elle avait mis des bottes à talons hauts.
Sophie à peine sorti de la voiture l'enlaçait et l'embrassait avec fougue.
Sophie m'avait prévenu dans la voiture que j'étais interdit de mots doux, interdit de la toucher et interdit de dire quoique ce soit sur ses agissements, mon seul droit était de les regarder.
Sophie -bonjour mon Amour.
Charles -bonjour ma Chérie.
Déjà, je restais bouche bée devant leurs mots doux.
Charles -j'ai préparé un petit repas mais j'ai trop envie de toi, viens que je te fasse l'amour.
Charles lui fit l'amour pendant une heure et demie, puis Sophie décidait de rester en dessous avec ses bottes, elle ne remit pas sa robe.
Sophie -comme ça, tu peux me caresser quand tu le désires Amour
Charles -hum, oui, je ne vais pas m'en priver.
Sophie -ta famille arrive quand ?
Charles -demain dans la matinée.
Sophie -super, on a l'après-midi et la nuit pour nous.
Charles -oui, et je t'emmènes à la plage cet après-midi pour que tu vois ou je serai installé demain et après demain, je veux te voir absolument.
Sophie -je peux bronzer seins nus pour que tu me mates.
Charles -j'allais te le demander.
Sophie -alors, tu auras.
Nous avalions en un rien de temps et Sophie ne quittait pas Charles, elle le collait tout le temps.
Charles -allez, passes ton maillot et on va à la plage.
Sophie -tu veux bien aller me le chercher dans la voiture avec mon paréo et mes tongs, ne prends pas le haut, il ne sert à rien.
Moi -d'accord.
Je revenais avec ce qu'elle m'avait demandé et je les retrouvais dans la cuisine en train de s'embrasser et de se peloter.
Sophie -merci, bon, je file l'enfiler et on y va.
Sophie revenait, elle me plaisait, je voyais ses seins au travers de son paréo mais c'est Charles qu'elle prenait par la main.
Charles -on prend une ou 2 voitures ?
Sophie -2, je monte avec toi.
Moi pourquoi faire, une suffit.
Sophie -j'ai dit 2 c'est 2.
Moi -comme tu veux.
Je montais dans ma voiture et Sophie dans celle de Charles.
Je les suivais mais ne voyait pas ce qu'ils faisaient de leurs mains, je les voyaient aussi rigoler, j'étais jaloux tout simplement.
Après un quart d'heure de route, nous nous garions sur le parking de la plage assez désert, il faut bien le dire.
Je descendais et les rejoignais à leur voiture, Charles embrassait Sophie et jouait avec ses seins.
Sophie -hum, oui, fais le voyeur, cela m'excite encore plus, pas toi Chéri.
Charles -oui cela est assez excitant.
Sophie -caresses-moi, il n'y a personne sr le parking à part nous.
Sophie mit son siège en couchette et offrait sa chatte à Charles qui s'empressait de jouer avec son clito sous les gémissements de Sophie.
Il la fit orgasmer en peu de temps tellement Sophie était excitée que je fasse le voyeur.
Sur la plage, Sophie me demandait de m'écarter d'eux, elle voulait profiter de Charles sans que je me mêle à leur conversation.
Sophie -j'ai bien aimé ce moment dans la voiture, je trouve cela très excitant un homme qui nous mate.
Charles -oui, j'ai aimé aussi, tu aimerais que ce soit un autre que ton mari ?
Sophie -je ne sais pas, faudrait essayer si tu as envie de ça.
Charles -oui pourquoi pas.
Sophie -tu connais un endroit pour ça.
Charles -non pas spécialement mais je connais 2 ou 3 endroits qu'on appelle des coins chauds.
Sophie -par contre, cela va être compliqué à réaliser ce week-end.
Charles -oui, mais tu vas revenir vite, je pense.
Sophie -oui, très vite même.
De mon coté, je me faisais chier, seul, personne à qui parler, je décidais de partir et de les laisser ensemble sur la plage.
Sophie -comme tu veux, après je comprend que tu te fasse chier, on se rejoint à la maison tout à l'heure.
Moi -oui, peut être, je verrais, je te tiens au courant.
Sophie -attention à ce que tu vas faire, n'oublies pas que tu m'appartiens.
Moi -aucun danger, n'aies aucune crainte.
Je partais sans regret, même si cela me faisait mal de la laisser.
J'arrivais dans la ville et décidais de me faire une séance de cinéma.
Pendant ce temps là, Sophie et Charles bronzait tranquillement.
Charles -et si on essayait maintenant.
Sophie -essayer quoi ?
Charles -de trouver un voyeur.
Sophie -hum, si tu as envie, je suis là, tu le veux réellement, pas de regret après.
Charles -non, je veux qu'on nous mate.
Ils plièrent les serviettes et retournèrent à la voiture.
Charles -déjà, ici le soir, pas la journée à cause des enfants, tout au bout du parking, il y a quelques chemine ou tu peux rentrer ta voiture, et là, il y a des hommes qui se balade à pied et qui se permettent de mater dans les voitures.
Sophie -emmènes-moi là-bas, sait-on jamais.
Charles -il est trop tôt mais je t'y emmène.
Sophie -tu verras, je suis chanceuse, on va trouver.
Charles -allons-y.
Charles démarrait la voiture et emmenait Sophie.
Charles -quel chemin, je laisse faire ta chance.
Sophie -prends celui du bas, on nous verras moins du parking.
Charles obéis, rentrait dans le chemin environ une centaine de mètres et garait la voiture dans un petit renfoncement.
Charles -voila Amour, faisons confiance à ta chance maintenant.
Sophie -je ne pensais pas que tu aimerai ce genre de de choses.
Charles -c'est toi qui me donne envie de ça.
Sophie -dis-moi si tu as d'autres fantasmes, je ferai tout pour les assouvir.
Charles -non, rien d'autres, déjà celui-là, c'est grâce à ton mari, mais si j'ai une autre envie, je t'en ferai part et vice versa.
Sophie -oui, promis, je te dirai tout.
Ils s'embrassèrent et Charles ne put s'empêcher de jouer avec ses tétons.
Sophie -j'adore tes mains sur ma peau, elles sont douces et me font vibrer.
Charles -toi tu me suces à la perfection.
Sophie -ta bite est grosse et longue, je l'adore en plus pas de poil, c'est encore mieux.
Charles -oui et je fais épiler tout mon corps 2 fois par an.
Sophie -hum, cela doit être excitant.
Charles -mon ex adorait cela aussi.
Pendant qu'il discutait, il n'avait pas vu l'homme arriver.
L'homme -bonjour, vous cherchez quoi ?
Charles -bonjour, rien de spécial.
L'homme -dommage, Madame a de belles formes.
Charles -oui, c'est vrai, je vous confirme.
L'homme -bonne journée.
Il les laissait.
Charles quel con j'ai été, j'aurai du lui dire ce qu'on voulait.
Sophie -caresses-moi, tu verras, il va revenir.
Charles lui enlevait son paréo et lui bouffait les seins, Sophie allongeait son siège et ne s'était pas trompé, l'homme était revenu.
L'homme -je peux mater.
Sophie -oui, on est là pour ça.
L'homme enlevait son short et son polo et commençait à se branler.
Sophie (susurrant à l'oreille de Charles) -mon dieu quelle queue il a.
Charles -oui, ici, il n'y a que des grosses queues.
L'homme -vous êtes magnifique Madame, Monsieur est chanceux.
Sophie -merci du compliment.
Charles s'occupait à présent de sa chatte au travers son maillot de bains qu'il ne tardait pas enlever.
L'homme -hum, la belle chatte toute lisse.
Sophie gémissait sous les caresses de Charles, l'homme bandait dur, Sophie ne quittait pas ses yeux de sa bite.
Charles vint embrasser Sophie et lui demandait tout doucement.
Charles -j'ai envie que tu le suce.
Sophie -réellement.
Charles -oui, fais-le pour moi.
Sophie -tout ce que tu veux Chéri.
Sophie -mon mari(elle avait dis ça naturellement) aimerait que je vous suce, je peux ?
L'homme -ouvrez votre porte et servez-vous.
Sophie ouvrait sa porte, saisit sa queue à 2 mains et le branlait en lui caressant ses couilles toute lisses.
Charles sortait de la voiture et se mit à coté de l'homme tendant lui aussi sa bite à Sophie.
Sophie, bien sur, en prit une dans sa main et l'autre dans sa bouche et inversait régulièrement.
L'homme -puis-je toucher les seins de votre femme, ils me plaisent beaucoup
Charles -demandez-lui, ils sont à elle.
Sophie -oui, prenez-les, bouffez-les, donnez-moi du plaisir.
Sophie sortait de la voiture et offrait ses seins à l'inconnu qui ne se fit pas prier pour jouer avec.
Sophie -Chéri, filmes-moi avec ton tel, cela ne vous dérange pas.
L'homme -non pas du tout.
Charles, qui du coup était devenu le voyeur, filmait Sophie, mais il ne se doutait à quels fins cette vidéo était destinée.
L'homme s'était enhardi et jouait avec son clito tout en lui bouffant les seins.
L'homme -j'ai envie de vous prendre en levrette si vous saviez.
Sophie -Chéri, tu en dis quoi ?
Charles -si tu en a vraiment envie, ne te prives pas Amour.
Sophie -tu ne me feras pas la gueule pour ça.
Charles -non au contraire, cela va me donner encore plus envie de toi.
Sophie mit les mains sur le coffre arrière et l'homme après enfiler un préservatif l'enfilait, Sophie le sentit passer puisqu'elle laissait échapper un petit cri.
Charles continuait à filmer pendant que Sophie morflait dur.
L'homme -je vais jouir.
Sophie -non pas comme ça, je vais te finir avec ma bouche.
Elle s'agenouillait et se remit à le sucer jusqu'à éjaculation, il lui envoyait une quantité de foutre incroyable.
Charles -allez, avales et nettoies sa queue, je veux te voir faire ça, Sophie obéis et avalait tout.
L'homme se rhabillait et disparut sans un mot.
Charles -Chérie, j'ai adoré, c'est très agréable de te voir te faire baiser, maintenant, tu vas me donner un orgasme.
Sophie -oui, viens t'occuper de mon clito, il n'attend que ça.
Sophie ne mit pas longtemps à orgasmer et elle le fit en parlant de la grosse queue de l'homme qui venait de la baiser.
Charles tu me plais de plus en plus, la prochaine fis qu'on vient, je te veux en tenue très sexy, je veux qu'on te mate et qu'on ai envie de toi.
Sophie -tout ce que tu veux, par contre, je n'ai pas emmené grand chose pour être en tenue sexy.
Charles -tu diras à ton mari que tu en as besoin.
Sophie -oui, faut bien qu'il serve à quelque chose.
Sophie -allez, rentrons nous doucher Chéri, tu m'enverras la vidéo stp.
Charles -oui pas de souci.
A SUIVRE.

Clahire, mon fan sans condition, merci a toi

Clahire est effectivement sans doute ton plus grand fan, mais il n'est pas le seul !
Nous sommes nombreux à apprécier ta saga, il n'y a qu'à voir le nombre important de vues en quelques mois...

Oui barent, toi aussi tu es un fervent supporter de Sophie et Olivier, j'ai encore pas mal d'aventures a vous compter et c'est vrai que plus de 11000 lectures en quelques mois, cela prouve qu'il y a pas mal de gens qui aime le candaulisme.

Moi aussi je fais partie du club des fans !

Merci Fifou de nous faire vitre les aventures de tes deux héros...

Et surtout, merci pour la qualité et le nombre de tes récits...

cc cool 77, oui tu commentes toi aussi depuis le départ, cela me touche que tant de gens sois passionné par cette saga, je vais faire enbsorte de continuer a vous gâter.

Sophie et Charles rentrèrent avant moi, d'ailleurs Sophie m'envoyait un texto à ce sujet.
Je lui répondais que j'étais sur la route.
Dès mon arrivée à la maison, Sophie me demandait de la suivre dans la chambre.
Sophie -tu as fait quoi cet après-midi ?
Moi -une séance de cinéma, un mauvais film ou alors je suis peut être mauvais spectateur en ce moment.
Sophie -je t'interdis d'approcher une femme, si je le sais, je divorce.
Moi -je ne vis que pour toi, je n'ai pas envie d'aller voir ailleurs.
Sophie -tant mieux, tiens, regardes ça, ta jalousie va encore augmenter.
Je regardais les yeux ébahis la vidéo que Charles avait fait l'après-midi.
Sophie -alors, tu aimes me voir comme ça ?
Moi -oui, je te le promet, j'aime qu'on te prenne, dommage que je n'étais pas là pour te mater.
Sophie -tu noteras que j'ai pensé à toi.
Moi -oui, ça me touche, tu as bien morflé avec cet énorme bite.
Sophie -oh que oui, après, Charles m'a fait orgasmer.
Moi -tu me fais bander.
Sophie -je me doute, mais je ne te toucherai pas, branles-toi, Charles veux qu'on y retourne, mais il veux que je porte une tenue sexy, je n'en ai pas emmené, tu peux m'en offrir une.
Moi -oui, à une condition.
Sophie -vas-y.
Moi -je veux être là quand vous y retournerez.
Sophie -accordé, on ira demain matin ?
Moi -oui, si tu veux.
Je partais me doucher et me changer.
Sophie et Charles était dans le séjour enlacés bien entendu.
Moi -on dine en ville ?
Sophie -oui, si tu veux, tu as noté un restaurant quand tu as été au cinéma.
Moi -non, on va bien e trouver un.
Moi -je vous emmène.
Sophie -oui, mais je monte derrière avec Charles.
Charles -hum, oui tu vas te faire belle Chérie.
Sophie revenait avec une robe noire courte et moulante qu'on avait acheté à Paris, elle avait mis aussi des bas noir, string noir ficelle sans soutif et des escarpins noires à bouts pointus.
Charles -quelle beauté, tout le monde va encore se retourner sur toi.
Moi suis d'accord avec Charles.
Sophie -ton avis, je m'en fous, je dois plaire à Charles, c'est tout.
Charles la prit par la taille et nous allions vers la voiture.
Sophie se mit, je pense, volontairement au milieu car elle savait que je verrais tout dans mon rétro.
Je démarrais et reprenais la route que j'avais prise l'après-midi.
Derrière, Charles avait la main sur ses cuisses, je regardais dans la rétro mais ça allait, ils étaient relativement calme.
Il était 19h30 et je me garais devant un restaurant.
Nous dinions dans la bonne humeur mais les gens qui ne nous connaissait pas, ne pouvait pas se douter que j'étais le mari.
Vers 21 heures, nous regagnons la voiture, bien sur, ils remontent derrière et Sophie se remet au milieu.
Je me dirigeais vers la maison.
Sophie -non emmènes-nous à la plage, je veux qu'on me mate avec Charles, donc, on te laisse au bout du parking et tu viens faire le voyeur.
Charles -excellente idée mon Amour.
Sophie -oui, j'ai encore envie de ça.
Je me garais, descendais et ils partirent avec ma voiture.
Je regardais quel chemin il prenait afin de les retrouver.
Cela me plaisait bien de les mater dans la voiture, je ne serai surement pas seul.
Charles reprit le même chemin et se garait au même endroit.
Sophie -j'ai envie de toi Chérie, abuses de moi.
Charles -attends, j'ouvre les fenêtres.
Sophie -hum, tu as très envie aussi qu'on nous mate.
Charles -voir plus si l'envie te reprends comme cet après-midi.
Sophie -si une queue me plait, y'a des chances.
Charles -alors, je croise les doigts.
De mon coté, j'avais repéré ou était la voiture et j'attendais planqué pas trop loin, de voir si un homme allait les aborder car j'en avais croisé 2 ou 3.
Une autre voiture se garait en bordure du parking.
Je quittais ma planque et allais voir, ce devait être un couple connu car déjà 2 hommes étaient autour d'eux.
Je décidais de retourner d'où je venais, rien n'avait bougé, toujours personne autour de la voiture, j'étais un peu déçu.
Mon tel vibrait.
Sophie -tu es où, vas pas mater ailleurs, je te l'interdis.
Moi -suis 10 mètres derrière vous, planqué.
Sophie -montres-toi que je te vois.
J'obéis à sa demande.
Sophie -très bien, restes où tu es, mates de loin.
Après un quart d'heure d'attente, enfin un homme qui semblait jeune s'approchait de la voiture, je bougeais pour entendre ce qu'ils disaient.
La nuit commençait à tomber, hélas.
Sophie et Charles sortaient de la voiture, Charles se mit derrière elle.
Le jeune était complètement nu, face à Sophie, il bandait et avait une bite assez imposante.
Le jeune -je peux caresser votre femme ?
Sophie -c'est moi qui décide, oui, c'est recommandé.
Il posait ses mains sur ses seins et Charles s'écartait laissant Sophie assumer son envie.
Charles -vas-y, abuses d'elle, tu as carte blanche.
Le jeune -enlèves ta robe que je puisse bouffer tes seins.
Sophie enlevait sa robe et se retrouvait en string avec ses bas et ses escarpins.
Le jeune jouait avec ses tétons qui était bien dures, il les prit avec ses doigts et tirait dessus.
Sophie -hum, oui encore.
Je me déplaçais de nouveau par manque de vision, le jeune était en train de faire subir un drôle de traitement aux seins de Sophie, il tirait dessus, les mordillait, les léchait et Sophie en voulait encore lus, elle devenait accroc au sexe.
Le jeune -tu veux sentir ma queue dans ta belle chatte ou tu préfère que je m'occupe de ton clito.
Sophie -viens, prends-moi en levrette, j'en ai envie très fort.
Sophie se penchait en avant, les mains sur le capot puis le jeune écartait la ficelle de son string et l'enfilait facilement.
Un autre voyeur les avait rejoint, à poil lui aussi, il se branlait en regardant Sophie se faire prendre.
Le jeune -si tu suçais mon pote pendant que je te défonce.
Sophie -non, occupes -toi de moi, j'aime qu'on se branle en me matant.
Le jeune -d'accord.
Franchement, il la limait pendant un temps qui me paraissait une éternité, Sophie était aux anges et Charles avait l'air d'aimer ça.
Sophie -je veux que tu jouisse sur mes seins.
Le jeune -oui, tu vas me sucer pour ça.
Sophie -donnes-moi ta queue.
Sophie se mit à la sucer avec des mouvements de va et vient assez rapide.
Le jeune -hum, tu es douée, salope.
Sophie -hum, oui, insultes-moi encore.
Le jeune -oui, tu n'est qu'une trainée, tu es une bouffeuse de queue, d'ailleurs tu devrais nous sucer mon pote et moi en même temps, je suis sur que cela va te plaire petite pute.
Sophie -oui, dis lui de venir.
Sophie avait maintenant 2 bites à s'occuper, elle suçait l'un et branlait l'autre et vice versa jusqu'au moment ou le jeune n'en pouvant plus lui envoyait la purée un peu partout.
Sophie continuait à branler l'autre homme qui lui aussi éjaculait en grosse giclée un peu partout sur elle aussi.
Charles -allez Chérie, nettoies leurs queues maintenant.
Sophie -j'en ai bien l'intention Chéri.
Et Sophie les suçait jusqu'à ce que leurs queues n'aient plus une goutte de sperm.
Ils s'en allèrent et Charles embrassait Sophie.
Charles -tu as du sperm partout, j'aimerai que tu l'avales
Sophie -tu veux vraiment ?
Charles -oui vraiment.
Sophie -regardes alors.
Sophie ramassait le foutre qui était sur elle et l'avalait sans laisser une goutte.
Charles -j'adore te voir faire ça.
Sophie -je veux te combler sexuellement, cela t'a plu ce soir ?
Charles -oui, beaucoup, j'ai hâte de revenir avec toi ici.
Sophie -ça va être plus compliqué demain hélas.
Charles -oui je sais.
A SUIVRE.

Encore un bel épisode dans lequel Sophie est littéralement "comblée" !

je vais poser 2 questions aux lecteurs de cette saga.
Est-ce que en me lisant vous bandez ?
Est-ce que certains se branlent ?
C 'est juste pour savoir, répondez seulement si vous le désirez.
Merci à ceux qui répondrons.
Moi, suivant ce que j'écris, il m'arrive de bander, ma branler, non, je ne l'est pas encore fait.
Voila, je sis le premier à répondre a mes questions.

Pour ce qui me concerne, cela dépend des épisodes il m'arrive de me masturber en en lisant certains que je trouve particulièrement excitants (celui du 31/08 par exemple ), mais ce n'est pas systématique.

celui qui m' a procuré un pied pas possible en l'écrivant, on est de la même trempe Clahire.

Idem pour moi, cela dépend des épisode et aussi de ma motivation du moment...

Moi aussi c'est variable, mais le plus souvent je me branle.

Il faut dire que les pérégrinations de Sophie sont très excitantes...

Je repris le volant et Sophie et Charles montaient encore à l'arrière.
Sophie -après une bonne baise comme ça, je vais me doucher et je veux que tu me fasses l'amour Chéri.
Charles -hum, oui, j'en ai très envie en plus.
Ma jalousie prenait encore un coup, elle parlait de faire l'amour, ils étaient donc amoureux l'un de l'autre.
Je cogitais dans la voiture pendant que Charles la pelotait, elle était devenue insatiable.
A peine garé, Charles descendait de la voiture et Sophie me parlait.
Sophie -bon, es ce que cela te plait, je veux savoir.
Moi -oui, j'aime te mater quand tu baises, et ce soir, tu as été au top.
Sophie -oui, j'aime ces grosses queues que l'on m'offre là-bas.
Moi -oui, ils sont montés comme des ânes.
Sophie -et qu'est ce qui t'as déplu, je veux tout savoir.
Moi -j'aime pas quand tu lui dis de te faire l'amour, pour faire l'amour, il faut aimer, tu l'aime ?
Sophie -je pense que oui, mais je ne te quitterai jamais, tu es à moi pour la vie, je veux profiter de lui un maximum quand je suis ici, tu me comprends ?
moi -oui, que trop bien hélas.
Sophie -pourquoi ce hélas.
Moi -je pensais que tu baiserais, pas que t'allais tomber amoureuse.
Sophie -c'est la vie, Olivier, tu ne vas pas me quitter quand même.
Moi -non, moi, je t'aime toujours aussi fort.
Sophie -moi aussi, mais en ce moment, je l'aime plus que toi, cela va passer, j'en suis sur.
Moi -j'espère.
Sophie -et cette nuit, je dors avec lui, tu n'as pas le choix, j'en ai envie.
Moi -fais comme tu veux, ici, je ne peux rien dire sinon je vais te perdre.
Sophie -arrêtes de faire le malheureux, je peux encore être pire avec toi, alors contentes-toi de ce que je te donne.
Moi -d'accord Sophie.
Sophie -ne m'appelle pas ainsi, j'ai horreur de ça.
Moi -comment veux tu que je t'appelle, je n'ai pas droit au mots doux.
Sophie -quand on est que tout les deux, tu as droit au mots doux, mais pas de ma part, je les garde pour Charles.
Moi -ok Amour.
Sophie -je préfère ça, bon, je vais me doucher et faire l'amour avec lui, tu resteras dans la chambre, je le veux pour moi seul ce soir.
Moi -oh non Chérie, je ne mérite pas d'être puni.
Sophie -je fais ce que je veux et ce soir, je ne veux pas de toi, toute façon, je vais fermer la porte.
Moi -ok.
Sophie descendait de la voiture et moi je restais bouche bée de ce qu'elle venait de me dire, je ne la comprenais plus, pourquoi m'empêchait t-elle de la mater?
J'allais me doucher avant de me coucher et en passant devant leur porte, je ne pus m'empêcher d'écouter leur conversation.
Charles -cela m'as plu de te voir avec 2 queues et que tu te fasses prendre par un jeunot qui avait à mon avis tout juste 20 ans.
Sophie -il était bien raide, j'ai bien senti sa bite dans ma petite chatte.
Charles -fais chier de recevoir ma famille, on aurai fait un week-end de sexe incroyable, je pense.
Sophie -toi, tu penses, moi, j'en suis sur, regardes, rien que d'en parler, je suis déjà trempée.
Charles -hum, j'aime, tu veux qu'on fasse l'amour maintenant.
Sophie -non, parles-moi encore, je vais me caresser en même temps.
Charles -oui, à travers ton string, j'aime bien quand tu garde ton string, je trouve cela très excitant.
Sophie -demain, j'en aurai un nouveau rien que pour toi.
Charles -oui, dommage que je ne puisse pas le partager avec un homme à grosse queue.
Sophie -on verra demain soir à quelle heure tu es libre et on ira s'il n'est pas trop tard.
Charles -ce serai génial.
Sophie -oui, avec mes nouveaux dessous.
Charles -je te vais te poser une questions.
Sophie -dis-moi.
Charles -est-ce qu'une douche de sperm sur toi, tu aimerais ?
Sophie -je ne sais pas du tout, je ne sais qu'une chose, c'est que si c'est une douche de sperm que par des grosses queues, je te dis oui tout de suite.
Charles -tu as bien vu que là-bas, il n'y a que ça.
Sophie -oui, je les veux toutes à moi.
Charles -et j'aimerai aussi que ton mari te jute dessus come si son sperm n'était que celui d'un banal voyeur.
Sophie -superbe idée, arrêtes , je vais décoller.
Charles -vas-y, fais -toi orgasmer en me parlant des grosses bites.
Sophie orgasmait en disant qu'elle voulait cette douche de sperm et aussi et là, surprise, qu'elle voulait qu'on la sodomise aussi.
Charles -tu ne l'as jamais fait.
Sophie non, je n'ai jamais osé.
Charles -alors offres-moi ton cul, je voudrais être le 1er.
Sophie -accordé, vas-y, je suis à toi.
Charles la fit mettre à 4 pattes sr le lit et commençait à lubrifier son cul avec de l'huile d'amande douce qu'il vait dans sa table de chevet.
Sophie -hum, c'est doux Chéri, mets en sur ma chatte aussi.
Charles -ca va rentrer tout seul Mon Amour.
J'étais rentré dans ma chambre et me branlais en pensant à Sophie qui se faisait prendre par le jeunot, cela m'avait beaucoup plu de la voir avec un jeune.
Charles sodomisais Sophie qui finalement appréciait beaucoup
Charles -je suis sur que tu aimerais qu'on te fasse une double pénétration.
Sophie -oui, mais je veux que tu sois celui qui me sodomise, tu y mets tant de douceur, allez, limes-moi encore.
Charles -tu vas finir par être droguée de sexe Chérie
Sophie -oui, donnes-moi en encore plus, je suis prête à tout avec toi.
Charles se retirait et Sophie le suçait jusqu'au moment ou il jouit dans sa bouche.
Charles -avales, salope, avales mon foutre, j'aime ça.
Sophie avalait tout son sperm et lui léchait la bite.
Charles hum, que c'est bon.
Sophie -baises-moi encore demain matin avant qu'on parte.
Charles -oui, promis.
Sophie s'endormait dans ses bras sans penser un seul moment à Olivier.
Je me réveillais de bonne heure(7h), pourquoi, je n'en sais rien, j'allais au WC, pas un bruit et je préparais le café.
Je regardais les infos sur mon tel et reçus un msg de Sophie.
Sophie -coucou, si tu es levé et si tu veux me mater avec Charles ce matin, emmènes-nous le café au lit ?
Moi -non, je ne suis pas votre larbin.
Sophie -je réitère ma demande, stp mon Chéri, peux-tu nous emmener le café au lit.
Moi -ta demande me plait déjà un peu plus, oui, mais, il n'y a que du café.
Sophie -cela nous suffit pur faire l'amour ce matin.
Je leur emmenais le café, Sophie était blotti dans ses bras et je me sentais tout de même très mal à l'aise.
Sophie -merci Olivier, on t'a bien eu car on ne fais pas l'amour ce matin, on se réserve pour ce soir.
Moi -pas grave, vous faites ce que bon vous semble, je n'ai pas grand chose à dire.
Sophie -oui, tais-toi et disparait, je vais me lever et je ne veux pas que tu me vois nue.
Moi -ça aussi, c'est nouveau.
Sophie -oui, tant que je suis avec Charles, ce sera ainsi et pas autrement.
Je me préparais et vers 9h30, j'attendais Sophie qui avait remis la même robe qu'hier soir.
Charles -à cet après-midi, on sera à la plage vers 14 heures, arrives après moi.
Sophie -oui, je ne serai pas loin de toi.
Charles -j'espère bien.
Il n'y eu pas un mot dans la voiture jusqu'à ce que nous arrivions à notre hôtel.
Une fois garé, e descendait et Sophie ne bougeait pas.
Moi -tu fais quoi ?
Sophie -je veux que tu prennes une deuxième chambre, ici, je ne dors pas avec toi.
Moi -je ne peux pas payer et une 2eme chambre et tes nouveaux dessous que tu veux ce matin, à toi de choisir.
Sophie -je ne choisis pas, je me paierais mes dessous.
Moi comme tu veux.
J'allais louer une 2eme chambre situé à l'opposé de celle que j'avais loué.
De re tour à la voiture, je le dis à Sophie .
Sophie -tant mieux, je ne t'aurai pas dans mes pattes comme ça.
Moi -la prochaine fois que tu veux venir ici, je ne viendrai pas, déjà d'une je m'ennuie et de 2, je n'aime pas du tout comment tu me traites.
Sophie -c'est toi qui voulait que je baise avec un autre homme, maintenant tu me le reproche.
Moi -oui, je le voulais et je persiste à le dire car j'aime ça, mais pas de cette manière.
Sophie -je te comprend, bah, je viendrai seule, pas de souci, déposes-moi en ville, je vais faire mes achats.
Moi - tu ne veux pas de moi je présume ?
Sophie -si, mais je n'aime pas ta réaction, tu sais, je me livre presque à un jeu avec toi ici et j'aime te faire souffrir, d'ailleurs, ce n'est pas assez encore pour moi.
Moi -tu ne l'aime pas ?
Sophie -oh que si, sinon, je ne pourrai pas être aussi méchante avec toi.
Moi -ok, je pense que la discussion est close.
Sophie -non, encore une chose, ce serai bien que tu ne viennes pas à la plage cet après-midi.
Moi -ça tombe bien, je n'avais aucune envie d'y aller.
Sophie -par contre, ne vas pas avec une autre femme, je te le redis.
Moi -et moi, je te redis que j'en ai pas envie, je ne vis que pour toi.
Sophie -tant mieux, allez, viens avec moi, fais-moi plaisir.
Moi -si tu le veux, alors je viens.
Sophie -j'aimerai bien trouver une robe très sexy.
Moi -on devrais trouver cela dans un magasin de lingerie normalement.
Sophie -je ne sais pas, j'espère.
Moi -puis-je t'offrir un café sur ne terrasse avant ?
Sophie -oui et je mangerai bien quelque chose aussi.
Moi allez viens.
On s'installait à une terrasse et là, je me sentais très bien avec ma femme, mais des questions me brulais le cerveau.
Moi -tu as passé une bonne nuit ?
Sophie -parfaite, il m'a bien baisée hier soir, je lui ai même demandé de me sodomiser, chose qu'il a faite tout en douceur.
Moi -ha bon, et avec moi, tu as toujours refusé.
Sophie -oui, je sais, mais je voulais lui offrir ça.
Moi -d'accord, y'a t-il autre chose que je dois apprendre ce matin.
Sophie -oui, Charles veux m'offrir une douche de sperm dans les chemins de la plage, et il voudrait que tu en fasse parti comme un vulgaire voyeur, ça te branches ou pas.
Moi -je ne sais pas, je vais y réfléchir et je te redis, mais toi tu voudrais que je sois là.
Sophie -oui, j'aimerai bien que tu vois ta femme se faire inonder de foutre.
Moi -alors je pense que je viendrai si tu le veux.
Sophie -super, tu es quand même un mari merveilleux.
Moi -merci mon AMOUR.
Sophie -allez, emmènes-moi chercher ce que je veux.
Nous trouvions un magasin de lingerie en plein centre ville, nous entrions et là, une vendeuse nous demandait notre recherche.
Sophie lui expliquait en quelques mots ce qu'elle voulait.
La vendeuse -venez par ici, vous avez toutes les robes que nous ayons, pour la couleur, on peux en avoir en stock si celles exposées ne vous plaisent pas.
Sophie -merci.
Sophie fouillait dans les robes et s'arrêtais sur une toute blanche, très courte avec un zip dans le dos de haut en bas.
Sophie -je la prend.
Moi -elle est magnifique.
Sophie -il me faudrait des dessous foncés, je veux qu'on voit ce que je porte.
Moi -oui, si tu veux ça, obligé de s'orienter vers le noir.
Sophie choisit des dessous noir string et dresse seins.
Sophie -comme ça, on peux me toucher les seins sans enlever mon soutif
Moi -très pratique.
Sophie payait ses achats et retournions à la voiture.
Sophie -on fait quoi maintenant en attendant 14 heures.
Moi -je ne sais pas.
A SUIVRE.

Sophie -pourquoi ne prendrions-nous pas un pique-nique et on va sur la table en bois prévue à cet effet au bord de la plage comme ça, je serai sur place.
Moi -si tu veux.
Je pris ce qu'il fallait et nous nous rendions à la plage, il était 11h30.
On s'installait tranquillement à la table et Sophie en profitait qu'il n'y avait personne pour enfiler son maillot de bains et son paréo.
Sophie -voila, je suis prête à faire bronzette.
Moi -oui, profites-en Chérie.
Sophie -et tu vas faire quoi cet après-midi ?
Moi -bah, je pense que je vais aller sur l'hippodrome.
Sophie -tu vas jouer ?
Moi -oui, un peu, pas plus que ce que je m'autorise.
Sophie -bien.
Moi -et si je gagne, je te rembourse tes achats de ce matin.
Sophie -trop gentil mon mari, alors gagnes.
Comme on était pas loin des chemins de drague, je regardais de temps en temps si je voyais des hommes se balader.
Mais non, il n'y avait personne, et puis est ce que Sophie accepterait de se faire prendre devant moi sans son Charles ?
Sophie -quand on rentrera à Paris, j'aimerai trouver un amant sur place, tu en dis quoi ?
Moi -ce serai plus simple je pense.
Sophie -mais je veux continuer à voir Charles, c'est un besoin actuellement.
Moi -je m'en rend bien compte.
Sophie -ne m'en veux pas, je suis toujours avec toi, je te garde.
Moi -tant mieux, j'ai besoin de toi pour vivre.
Sophie -moi aussi.
Malgré tout, elle m'aimait toujours un peu.
Nous attaquions notre pique-nique, Sophie était radieuse et moi je matais toujours vers les chemins.
Une voiture s'arrêtait pas loin de nous et je vis le jeunot qui l'avait baisé en descendre.
Le jeune(Anthony) -bonjour, alors, on se fait un pique-nique ce midi.
Sophie -bonjour, oui, il fait si beau.
Moi -et toi, déjà là à cette heure là, n'est-ce pas un peu tôt ?
Anthony -je bosse pas loin d'ici, alors je viens ici tout les midis quoiqu' il arrive.
Sophie -d'accord et tu trouves le midi.
Anthony -cela arrive mais c'est très rare.
Moi -d'accord.
Anthony -ça te dis de venir gouter ma grosse queue ? elle est déjà bien raide pour toi, regardes.
Il bandait déjà;
Sophie -j'avoue que je me laisserai bien faire.
Moi -oui, vas le pomper Chérie.
Anthony -je vais me garer dans le chemin, tu me rejoins ?
Sophie -non, je monte avec toi, Olivier, je te laisse ranger, tu nous rejoins après.
Moi -je n'ai pas le choix apparemment.
Sophie -non.
Sophie et Anthony montèrent dans la voiture et je rangeais rapidement notre pique-nique.
Je laissais la voiture ou elle était et y allais à pied.
Quand j'arrivais, Anthony était derrière elle et lui malaxait les seins, Sophie devait sentir sa grosse bite sur ses fesses.
Je fus un peu choqué quand elle se retournait pour lui rouler une pelle langues dehors, je pense qu'elle me provoquait encore une fois.
Anthony -je vais te prendre comme une chienne, tu ne mérites que ça, espèce de salope, mets tes mains sur le capot.
Anthony mit une préservatif et l'enfilait sans ménagement, il lui envoyait des coups de boutoir, l'insultait et il se mit même à lui claquer les fesses.
Anthony -tu as vu somment je traite les salopes de ton genre, maintenant, tu vas me sucer et je vais jouir sur toi.
Sophie -oui, vas-y, donnes-moi ton sperm.
Anthony éjaculait sur elle en plusieurs giclées et abondamment.
Anthony -lèches et avales mon foutre.
Sophie -oui, donnes-moi aussi ta queue que je te la nettoie.
Sophie avalait tout jusqu'à la dernière goutte.
Anthony -j'espère te revoir, j'adore les salopes comme toi.
Sophie -moi aussi, j'aime ta grosse queue.
Il disparut et nous retournions à la voiture avec Sophie.
Sophie -on se retrouve où ce soir ?
Moi -ben, ici, tu n'as pas de voiture, on se dit 18heures ?
Sophie -je te tiens au courant.
Moi -pas de souci, bon après-midi mon Amour.
Sophie -toi aussi et gagnes un peu de sous.
Je montais en voiture et partais, Sophie, elle allait à la plage.
Elle reconnut de loin Charles, il était avec un homme et un enfant d'une dizaine d'année.
Elle étalait sa serviette juste derrière eux et Charles lui fit un clin d'œil auquel elle répondait.
Elle enlevait son paréo et se mit sur le ventre en feuilletant son téléphone..
Charles lui la matait dès qu'il le pouvait.
Son beau frère et son neveu partirent se baigner.
Charles se levait et se mit dos à la mer.
Charles -ça va mon Amour ?
Sophie -oui, tu me manque beaucoup.
Charles -tu était où, j'ai vu la voiture mais pas vous.
Sophie -le jeunot est passé pendant qu'on pique niquait et il a voulu me baiser, je n'ai pas pu dire non à sa grosse queue, tu m'en veux pas.
Charles -non, il t'as bien baisée.
Sophie -oui, j'ai pris cher.
Charles -ça me donne envie de toi, vivement ce soir, de plus mon beau frère va manger chez un ami, ce qui fait que je serai libre de bonne heure.
Sophie -hum, donc, ce soir, tu me ramènes ici ?
Charles -oui, je veux que tu prennes une douche de sperm, j'ai trop envie de ça.
Sophie -espérons qu'il y aura du monde pour ça, attention, ils reviennent.
Charles reprit sa place et Sophie s'allongeait sur le dos.
Son beau frère(Franck) -beau petit lot derrière nous, je me laisserai bien faire.
Charles -d'accord avec toi, joli petit lot.
Franck se mit à jouer au raquettes avec son fils et évidemment une balle se posait juste à coté de Sophie, elle leur renvoyait et Franck s'excusait.
Sophie -pas grave.
Franck -on va faire un peu plus attention.
Pendant qu'il jouait, Charles s'était remis debout face à Sophie qui s'était assise et le provoquait en faisant semblant de toucher sa chatte.
Il avait le feu, il la désirait encore plus.
Sophie -j'ai envie de toi.
Charles -rien à voir avec la force dont moi j'ai envie de toi.
Sophie -je vais me baigner, tu viens avec moi.
Charles -non, trop dangereux vis à vis de mon beauf
Sophie -tant pis pour toi.
Sophie se levait et allait se baigner.
Elle en ressortait un quart d'heure plus tard et se remit sur sa serviette, l'eau pas trop chaude lui avait fait pointer ses tétons.
Elle passait l'après-midi entre la mer et sa serviette passant à chaque fois à coté de Charles qui bavait devant elle.
Vers 17h30, Charles et sa famille s'en allèrent, 10 minutes plus tard, Sophie avait un texto de Charles lui disant qu'il la rejoindrait à la plage vers 19heurs.
Sophie -Olivier vient me chercher vers 18heures, j'irai enfiler ma nouvelle tenue et je serai là à 19heures.
Charles -parfait, j'irai trainer dans les chemins pour te trouver des hommes, tu veux bien ?
Sophie -c'est même recommandé si tu veux réaliser ton fantasme.
J'arrivais vers 18h15, Sophie m'attendait et je m'excusais de mon léger retard.
Sophie -alors, as-tu gagné ?
Moi -oui, presque 400 euros, je vais t'en donner 200, ça te va.
Sophie -merci, ça me fait plaisir, tu m'emmènes me doucher à l'hôtel, après on revient ici, Charles nous attendra.
Moi -oui pas de souci.
Sophie mit environ 3 quarts d'heure à se préparer, c'était une vraie bombe dans sa nouvelle tenue, on voyait tout ses dessous noir au travers de sa robe blanche et j'adorais ça.
Sophie -allez, emmènes-moi à la plage.
ON arrivais alors qu'il était pas loin de 19h30, Charles nous attendait dans sa voiture, Sophie me dit d'attendre et de la rejoinde dans les chemins quand elle seras garé avec Charles.
Charles, se remit dans le même chemin qu'i lavait l'habitude de prendre maintenant.
Sophie -je te plait vêtue comme ça.
Charles -oui, tu fais vraiment salope et j'adore.
Sophie -rien qu'a toi la salope.
Charles -oui, mais je vais la partager ce soir avec des grosses queues.
Sophie -tu as trouvé ?
Charles -oui, au moins 3 hommes plus ton mari, cela fait 4, tu devrais avoir su sperm en bonne quantité.
Sophie -alors attendons, ouvres ma fenêtre stp.
Charles -oui, ils ne vont pas tarder à mon avis.
Sophie -j'ai hâte, par contre pas de pénétration, je suce et je branle, je veux du foutre à gogo.
Charles -moi aussi.
Sophie -et avec ton beauf, tu lui as dis quoi pour cette nuit.
Charles -que je jouais aux cartes et que comme j'allais boire, je ne rentrerai pas.
Sophie -parfait mon Amour, je vais profiter de toi toute la nuit.
Un 1er homme s'approchait du coté de Sophie la queue à la main, un superbe queue que Sophie branlait de suite.
Charles -je vais mettre une serviette par terre comme ça, il seront autour de toi.
Sophie -attends, j'envoies n texto à Olivier, je veux qu'il me vois avec toutes ses queues.
Charles tu lui as dit ce que je voulais ?
Sophie -bien sur, il a dit oui.
Charles -les hommes vont croire que je sis ton mari, cela me plait beaucoup.
Sophie -moi encore plus que toi, il va se sentir encore humilié et très jaloux.
Charles installait la serviette et Sophie se mit à genoux pour branler et sucer sa 1ere queue de la soirée.
Après moins de 10 minutes, il étaient déjà 3 à profiter de Sophie.
Sophie -Chérie, viens retirer ma robe, je veux sentir le sperm sur moi, sur ma peau.
Charles actionnait le zip et Sophie se retrouvait en dessous noirs devant eux.
J'arrivais au milieu d'eux, la queue à la main et je bandais dur, je vous l'assure.
Sophie, bien sur, suçait et branlait toutes le queues sauf la mienne, encore une manière de me prouver qu'elle voulait me faire encore morfler.
2 autres hommes arrivaient, on était 6 maintenant autour d'elle, tout le monde se branlait et Sophie en avait une dans chaque main et une dans la bouche et changeait souvent pour que tout le monde en profite sauf moi.
Une 1ere salve de sperm arrivait sur ses seins.
Elle l'étalait avec ses doigts et les léchaient, les homme jouissaient un par un et lui envoyait de grosse quantité de sperm, bien sur Sophie y goutait à chaque fois.
Je jouis moi aussi sur elle, mais elle n'y goutait pas, ils étaient encore 2 qui ne résistèrent pas longtemps.
Sophie était pleine de foutre partout sur elle et on était plus que tout les 3.
Charles -quel bonheur de to voir comme ca Chérie, tu as aimé .
Sophie -hum, oui, pour bien faire, il m'en faudrait encore 2
Moi -tu vas être comblée, en voila encore 2 qui arrivent.
Sur les deux, il y avait un homme de couleur (réunionnais je pensais) et franchement, je n'avais jamais vu un bite aussi grosse et aussi longue.
Sophie tout de suite l'attrapait et la suçait avec une grosse envie apparemment.
Le 2eme homme ne tint pas plus de 5 minutes et envoyait sa dose de sperm à Sophie.
Il ne restait que le réunionnais.
Sophie -comme tu es le dernier, je veux que tu me prennes en levrette.
Il ne se fit pas prier et enfilait Sophie sans ménagement, il la prit par les hanches et la limait assez fort.
Sophie -vas-y, défonces-moi, vas-y plus fort et plus vite.
Franchement, le garçon était très résistant car cela faisait pas loin de 20 minutes qu'il la limait.
Sophie -hum, tu es résistant mais tu finiras par me donner ton sperm, vas-y, sodomises moi devant eux, enfonces-toi dans mon cul.
Il y allait doucement vu la taille de son engin mais il réussit à lui enfoncer en entier quand même.
Comme c'était serré, il ne put se contenir trop et Sophie le branlait pour récolter son jus qui arrivait en énormes giclées sur son visage.
Sophie -hum, j'adore, je vais nettoyer ta grosse queue.
Ensuite, Sophie se nettoyait avec la serviette.
Charles -je voudrais rouler une pelle à Olivier, je veux qu'il sente le sperm de mes amants, tu en dis quoi ?
Charles -hum, oui cela me plait.
Sophie -viens ici.
Sophie m'embrassait, elle avait encore du sperm de réunionnais et me le transmis.
Sophie -avales, dépêches-toi.
Charles -oui avales.
J'obéis.
Sophie -très bien, j'aime que tu nous obéisses, maintenant, tu peux partir rejoindre ta chambre, à demain.
Je partais en les laissant ensemble, j'étais quand même triste.
A SUIVRE.

Merci pour ces nouveaux épisodes !

Pour répondre à tes questions précédentes Fifou, pour moi c'est effectivement le plus souvent le cas si j'en ai le temps et la possibilité (je lis parfois tes récits sans être seul, alors ce n'est pas facile !...)

Pour répondre aussi à la question de Fifou, perso il faut que l'épisode soit suffisamment long pour que l'excitation ait le temps de monter à un niveau où je deviens quasiment obliger de me branler.
Si en plus c'est du bon candaulisme complice comme c'est souvent le cas pour cette série, alors je ne réponds plus de rien !

merci à ceux qui ont répondu à mes questions, en voici une autre.
Y'a t-il des femmes qui lisent cette saga ?

Sophie et Charles remontait en voiture pendant que je me dirigeais vers la mienne.
La nuit commençait à tomber, je n'entendais toujours pas le moteur de leur voiture, que se passait t-il ?
J'attendais quelques minutes et toujours rien, seraient t-il en panne, je retournais sur mes pas sans faire de bruit.
Je m'enfonçais dans le chemin et là, surprise pour moi encore une fois, Sophie était en train de pomper Anthony qui avait du arriver juste après moi.
Je décidais de rester planqué derrière un buisson pas trop loin d'eux.
Anthony -suces-moi grosse salope.
Charles -suces-le, trainée que tu es, tu aimes ça les grosses bites.
Sophie -oui, insultez-moi tout les deux, j'aime ça de plus en plus.
Anthony -je vais te baiser comme une pute, je vais aussi te claquer tes fesses jusqu'à ce qu'elles soient écarlates.
Sophie -oui, je suis à vous, traitez-moi comme vous avez envie.
Charles -je veux aussi que tu l'encules, tu vas voir elle aime ça.
Anthony -tournes-toi que je vérifies cela.
Sophie obéis et se mit en position, les mains sur le capot.
Anthony ne pris pas de gant et l'enculait violemment.
Charles -oui, ne lui fais pas de cadeaux, sois brutal avec cette pute.
Anthony -t'inquiètes pas, je vais pas lui faire de cadeaux à ta salope.
Charles -surtout pas, elle ne le mérite pas.
J'écoutais et je restais sans voix, comment ma Sophie pouvait supporter toutes ses insultes et les inciter à continuer, incroyable.
Anthony lui claquait les fesses et Charles lui tirait les tétons, Sophie gémissait de plaisir.
Anthony éjaculait sur elle encore une fois et Charles lui demandait une nouvelle fois de ne rien laisser et de tout avaler.
Anthony disparut et Sophie et Charles remontaient en voiture.
Charles -j'adore te voir baiser de cette manière et toi ?
Sophie -je ne déteste pas cette violence, surtout quand tu l'incites à me maltraiter, c'est cela que j'aime et je trouve dommage qu'Olivier n'était pas là.
Charles -moi aussi, j'ai bien aime quand il s'est mélangé aux autres ce soir.
Sophie -tu as remarqué que c'est le seul que je n'ai pas touché.
Charles -oui, tu aurais pu au moins le sucer une fois ou deux.
Sophie -ici, il n'a droit à rien, c'est réservé pour toi.
Charles -tant mieux, je ne vais pas me plaindre.
Sophie -et je eux que tu ma fasse l'amour en rentrant.
Charles -c'est prévu comme ça, Chérie.
Ils se garèrent au parking de l'hôtel.
Sophie -je ne vois pas la voiture d'Olivier, où est t-il passé ?
Charles -je n'en rien.
Sophie m'envoyait un texto auquel je répondais que j'arrivais.
Sophie tu étais où ?
Moi -caché en train de te mater avec Anthony.
Sophie -prouves-le.
Je lui racontais ce qu'elle avait subi et elle me crut.
Sophie -allez, va dormir, demain, tu dois me ramener à Paris.
Moi -bonne nuit.
Je regagnais ma chambre, dépité d'être seul.
Sophie allait se doucher, enfilait un string propre et rejoignait Charles qui regardait la téle assis au bord du lit.
Sophie -je te fais envie ?
Charles -oui très, mais j'aime que ton mari me mate quand je te fais l'amour, cela m'excite encore plus.
Sophie -tu veux que je le fasse venir ?
Charles -cela ne te dérange pas.
Sophie -non, si je peux le rendre encore plus jaloux, je ne vais pas m'en priver.
Charles -tu es un Amour.
Sophie -je le sais et je veux que tu me fasse la totale ce soir devant lui.
Charles -je vais essayer de tenir mais vu mon excitation, cela risque de s'écourter.
Sophie -on va y aller doucement, j'ai fais ma chatte toute lisse rien que pour toi, je veux orgasmer pour toi.
Je frappais à la porte, Sophie m'ouvrait et quand je la vis juste avec son string rose tout en dentelle, j'eus une petite suée.
Sophie -assieds-toi ici, regardes et tu ne dis rien.
J'obéis, cela me suffisait de la voir en train de baiser enfin baiser, cela m'arrangeait de dire cela.
Elle se mit debout devant Charles qui li caressait les fesses en lui bouffant les seins, puis il se mit à lui tirer les tétons fortement et Sophie avait l'air d'aimer ca vu ses gémissements.
Charles -t'as vu, j'ai transformé ta femme en salope de première classe, tu aimes ça ?
Sophie -réponds.
Moi -oui, j'adore.
Charles -ce n'est que la début, je vais en faire une dépravée que tout le monde baisera sauf toi.
Sophie -tu m'excites quand tu parles comme ça.
Sophie poussait Charles sur le lit et vint lui offrir sa chatte dans sa bouche.
Sophie -joues avec ta langue sur mon clito, t'as vu je suis trempée comme tu aimes.
Je regardais Sophie qui en faisant ça, savait que je serais jaloux car j'aimais qu'elle m'offre sa chatte ainsi.
Charles lui aspirait son clito et je sentais que Sophie allait décoller, je la connaissais.
Sophie -mets 2 doigts dans ma chatte en même temps que je décolle.
Charles obéis et Sophie orgasmait comme une folle.
Sophie -hum, quel orgasme, occupes-toi encore de moi.
Charles -viens m'offrir tes seins.
Charles n'avait pas bouger et Sophie lui offrait ses seins que Charles titillait du bout de sa langue, elle se frottait à sa bite en même temps.
Charles -j'ai une grosse envie de te sodomiser mon Amour.
Sophie -fais ce que tu veux, je ne peux rien te refuser, tu le sais bien.
Charles la sodomisait et Sophie en réclamait encore plus.
Comme Charles l'avait dit, il ne tint pas longtemps et éjaculait sur les fesses de Sophie, elle raclait avec ses doigts et avalait tout, elle lui nettoyait la queue aussi.
Charles -embrasses ton mari maintenant.
Sophie -oui, je comptait le faire.
Sophie m'embrassait avec un restant de sperm à Charles.
Sophie -avales maintenant.
J'obéis.
Charles -j'adore ça Chérie.
Sophie -moi aussi et de plus en plus.
Charles -ne nous privons pas de ça si on aime.
Sophie -tu peux rentrer dans ta chambre, réveilles-moi quand tu le seras, je veux profiter de ma dernière journée ici.
Moi -ok a demain.
J'étais réveillé à 7h30 et je jugeais qu'il était trop tôt pour réveiller ma femme, j'allais prendre mon petit déjeuner et l'appelais après.
Sophie -bonjour, on se retrouve vers 10 heures en bas.
Moi -d'accord.
A 10 heures pile, ils étaient en bas, Sophie avait remis sa robe blanche et mis des dessous noir ou violet, je ne distinguais pas bien.
Sophie -bonjour, quelle heure le départ aujourd'hui ?
Moi -vers 16 heures, ce serait bien.
Sophie -ok, je serais prête, ouvres le coffre que je mette ma valise dedans.
Moi -vous partez tout les deux, c'est ça.
Sophie -oui, mais sois à la plage vers 13 heures, j'ai rendez-vous avec Anthony mais comme hier, tu te caches, je ne veux pas te voir.
Moi -j'y serai et là, je vais en ville boire un café en terrasse.
Nous -on rentre chez Charles, il veux me présenter à son beauf.
Moi -c'est vrai, maintenant, c'est ta famille.
Je partais sans même me retourner.
Charles présentait Sophie à Franck.
Franck -tu te fais pas chier, tu as vu la bombe que tu as dans les bras, tu es chanceux mon beauf.
Sophie -merci du compliment.
Charles fit du café et Sophie se retrouvait à coté de Franck qui ne quittait pas ses cuisses des yeux.
Charles -tu t'en remets pas Franck ?
Franck -non, quel beau morceau de femme, elle a ce qu'il faut ou il faut.
Charles se mit à rire ainsi que Sophie.
Vers midi, Charles disposait de Franck et de son neveu en emmenait Sophie à la plage.
Sophie -ton beauf à l'air jaloux.
Charles -il l'était déjà de mon ex.
Sophie elle t'a trompé avec lui.
Charles -je ne l'ai jamais su, mais j'ai de gros doutes là-dessus.
Sophie -moi, je le ferai devant toi si un jour l'envie te prends de me voir baiser avec lui.
Charles -ah bon.
Sophie -oui, tu as dis hier que tu allais faire de moi une dépravée.
Charles -a voir la prochaine fois que tu viens, mais ce sera à toi de me le demander espèce de salope.
Sophie -oui, t'inquiètes pas, je n'oublierai pas.
Sophie fut la 1ere à descendre de la voiture, elle voulait profiter du soleil avant de se faire cartonner par Anthony.
Charles -viens que j'enlèves ta robe et ton soutif, j'ai envie de te voir en string et en talons.
Sophie -oui, enlèves tout ce qui te gênes.
Sophie se retrouvait en string violet et juste ses talons hauts.
Elle restait debout face au soleil, fermait les yeux et profitait.
10 minutes plus tard et un peu en avance, Anthony arrivait complètement à poil, mis a part ses claquettes et un cockring autour de sa queue.
Anthony -tu es déj en tenue ma salope.
Charles -oui, elle en veux de la queue ce midi.
Anthony -elle va en avoir, je te l'assure.
J'étais planqué au même endroit que la veille et quand j'arrivais Sophie morflait déjà.
Anthony la déboitait littéralement pendant près d'une heure et demi.
Il éjaculait en grosse giclées sur son visage, Sophie avalait tout ce qu'elle pouvait.
Anthony disparut aussi vite qu'il était arrivés et Sophie se rhabillait.
Sophie -bougeons de là, je veux profiter de toi pendant le temps qu'il me reste avant de rentrer.
A 16 heures pile, je mettais la 1ere et nous rentrions à Paris.
A SUIVRE.

Le retour à Paris me semblait long, Sophie ne parlait pratiquement pas et j'était content de me garer devant la maison.
Sophie allait se doucher et ressortait da la salle de bains avec son déshabillé blanc et un string blanc en dessous.
Moi -j'aime te voir belle comme ça.
Sophie -merci, cela me fait du bien un peu de relâche sexuelle.
Moi -c'est vrai que depuis vendredi soir, tu as morflé.
Sophie -grave, dis-moi ce que tu aimé et pas aimé.
Moi -je n'ai pas aimé dormir seul, je n'ai pas trop aimé les insultes envers toi, par contre, j'ai aimé le gang bang, j'ai aussi aimé le réunionnais et j'ai aime quand Anthony te baisait sans t'insulter et toi ?
Sophie -tout, j'ai tout aimé avec une préférence quand je dormais sans toi, ça m'a vraiment plu d'être sans son lit sans toi.
Moi -je m'en doutais de ça.
Sophie -et j'aime de plus en plus porter de tenues sexy.
Moi -ça j'adore par contre.
Sophie -faudrait m'en acheter si tu veux me voir sexy.
Moi -oui, je sais, je vais aussi me doucher, j'en ai besoin.
En ressortant, Sophie s'était calé dans le canapé.
Sophie -va voir si on a du courrier stp.
Moi -tu as un recommandé Chérie, j'irai le chercher demain.
Sophie -bizarre, un recommandé pour moi, on verra ça demain.
Moi -on grignote un bout et je vais au lit.
Sophie -oui, ça me va.
On s'endormait rapidement.
Le lendemain, la journée fut pénible et longue, je ramenais le recommandé à Sophie qui l'ouvrait et le lisait.
Chère Madame, vous êtes convoqué le mercredi à 18 heures pour un entretien avec la patronne.
Sophie -j'ai rien fait de mal pourtant, c'est quoi encore ce bordel.
Moi -tu verras bien mercredi.
Sophie -oui, mais d'ici là, je vais être anxieuse.
Moi -je sais.
Arrivé le mercredi, Sophie s'habillait un peu plus chic que les autres jours, en effet, c'était tout le jours jean, polo, là, elle voulait mettre un tailleur noir ce qui faisait déjà beaucoup plus féminin.
Sophie -penses-tu que je devrais mettre des bas ?
Moi -pour moi, cela s'impose mais fais à ton gré.
Sophie -alors, je vais mettre des bas auto fixant, ce sera plus simple qu'avec un porte jarretelle.
Moi -hum, j'adore.
Sophie -je sais que tu aimes me voir en jupe et en bas.
Moi -tu mets un chemisier ou juste la veste ?
Sophie -je pensais juste la veste non !
Moi -oui, et mets des talons.
Sophie -ça, c'est obligé.
Je la regardais partir et j'étais fier de ma Sophie, mais j'étais quand même un peu anxieux pour ce rendez-vous.
Le soir quand je rentrais, Sophie avait ouvert une bouteille de champagne, cela voulait dire bonne nouvelle pour moi.
Sophie -coucou Amour, allez, assieds-toi, je te raconte tout.
Moi -hello Chérie, oui vas-y, dis-moi tout.
Sophie -j'ai eu affaire à la grande patronne qui m'attendait, assise à son bureau, franchement, j'en menais pas large.
Moi -et après.
Sophie -elle me demandait de m'assoir et si elle pouvait m'appeler Sophie, je répondais par l'affirmative.
La boss(Nathalie)- je vous ai fait venir car depuis le temps que vus travaillez ici, je n'ai jamais eu le moindre souci avec vous, et comme je compte élargir notre société, j'ai pensé à vos pou un nouveau poste.
Sophie -ah bon, et cela va consister à quoi.
Nathalie -attendez, j'y arrive, je voudrais que vous deveniez ma secrétaire personnelle, vous me suivrez partout et noterez tout ce que je dois faire dans la journée.
Sophie restait sans voix.
Nathalie -bien sur, votre salaire va être augmenter si vous acceptez.
Sophie -de combien ?
Nathalie -je pensais vous augmentez de la moitié de ce que vous gagnez actuellement.
Sophie -tant que ça, c'est une proposition que je ne peux pas refusez, j'accepte votre poste.
Nathalie -j'en suis ravie, je vais vous virer immédiatement une prime de 500 euros, car je ne veux plus vous voir en pantalon, je ne veux que des robes ou des jupes, vous commencez lundi à 9 heures, d'ici là, je vous mets en congés, payés bien évidemment.
Sophie -je vous remercie de votre confiance Madame.
Nathalie -appelez-moi Nathalie, ce sera plus simple pour travailler ensemble.
Moi -super ça Chérie.
Sophie --oui, et quand elle s'est levée pour me dire au revoir, sa robe était si courte, que j'ai vu la dentelle de ses bas.
Moi -tu perds jamais ne occasion de te rincer les yeux.
Sophie -c'est vraiment une très belle femme.
Moi -te voila en congé pour le restant de la semaine.
Sophie -oui et je pars jusqu'à dimanche chez Charles que cela te plaise ou non, je vais pas rester ici a t'attendre.
Moi -je n'avais pas vu cela comme ça mais si tu tiens à aller là-bas, vas-y.
Sophie -j'y vais en train, tu viendras me chercher dimanche sauf si tu veux faire le voyeur, viens vendredi soir.
Moi -je ne sais pas, je te dirai.
Le lendemain, Sophie se levait pour me faire un bisou et je partais au boulot, un peu triste.
Moi -tiens-moi au courant de ce que tu fais, ne m'oublies pas, un texto me fera toujours plaisir Chérie.
Sophie -oui, je ferai surement des vidéos pour toi, je veux que tu sois encore plus jaloux.
Moi -d'accord allez bisous.
C'est Charles qui l'accueillait à la gare, Sophie avais mis une robe bleu foncée assez cintré qui moulait ses fesses, des bas, des talons et des dessous roses.
Sophie -bonjour Chéri.
Charles -ça va mon Amour ?
Sophie -super bien, trop contente d'être ici avec toi.
Charles -dis-moi, tu as mis une tenue pour te faire baiser.
Sophie -j'espère bien que tu vas m'emmener me faire baiser à la plage.
Charles -oui, dès ce soir même.
Sophie -et pourquoi pas ce midi, Anthony passe là-bas tout les midis pendant sa pause, il est 11h30, si tu en as envie, je suis chaude pour y aller.
Charles -ok pour moi, par contre, je veux que tu l'accueille sans ta robe et sans soutif, je veux qu'il te défonce avec sa grosse queue.
Sophie -arrêtes, je mouille déjà.
Charles garait sa voiture au même endroit que les autres fois.
Charles -allez, salope, mets toi dans la tenue que je t'ai demandé.
Sophie -je veux que tu me filmes, je veux envoyer la vidéo a Olivier.
Anthony se pointait un peu après que Sophie se soit dévêtue.
Anthony -le retour de la petite pute, ma queue te manquait tant que ça.
Sophie -oui, j'aime ta queue, tu t'en sers bien en plus.
Charles -occupes-toi d'elle, cette salope est en manque.
Anthony -oui, déjà sa tenue me plait, elle fait bourgeoise et les bourgeoises, je les baise.
Charles -tu la baiseras tout les jours jusqu' à dimanche.
Anthony -même 2 fois par jour si elle le veux.
Charles -c'est moi qui décide de son sort, elle obéis, c'est tout.
Anthony tout parlant titillait les seins de Sophie qui pointèrent à sa 1ere caresse.
Anthony -à peine je te touche et tes tétons deviennent raides.
Charles -maltraites-les, je veux que tu tires dessus.
Sophie subissait sans rien dire, elle gémissait de plaisir c'est tout.
Charles la filmait comme elle lui avait demandé et faisait même des gros plans.
Anthony s'enfonçait dans elle et la limait brutalement.
Il éjaculait assez rapidement et Sophie n'en laissait pas une goutte.
Anthony -tu ma la ramène quand ta pute ?
Charles -je voudrais que tu vienne la baiser à la maison.
Anthony -pas de souci, dis-moi où c'est et je viens.
Charles lui donnait son adresse et Anthony lui dit qu'il sera là ce soir.
Je recevais la vidéo de Sophie pendant ma pause, je me régalais et je bandais rien que de voir ma Sophie se faire démonter.
Moi -tu n'as pas trainer à te faire baiser.
Sophie -non, mais j'en ai encore envie.
Moi -demandes à Charles.
Sophie -je te dirai t'inquiètes, tu sauras tout ce que je fais et tu viens quand ?
Moi -vendredi soir, je veux te mater.
Sophie -super, je vais trouver un homme rien que toi vendredi soir.
Moi -j'aimerai que ce soit le réunionnais si tu le vois.
Sophie -hum, Monsieur a bon gout je trouve, je te laisse, à plus.
Moi -bisous.
Sophie -il faut que tu m'emmènes acheter des robes et des jupes pour mon nouveau travail, je commence lundi.
Charles -oui, on ira demain matin si tu veux.
Sophie -ok.
Charles -j'ai un nouveau fantasme, à cause ou grâce à toi.
Sophie -hum, oui dis-moi ça.
Charles -j'aimerai que tu drague mon beau devant ton mari.
Sophie -hum, oui volontiers, mais toi, tu seras où ?
Charles -pas là, mais tu me raconteras après.
Sophie -fais-le venir samedi soir, je me fais inviter au restaurant par Olivier et j'irai draguer ton beauf devant lui.
Charles -super, je l'appellerai demain.
Sophie -viens manger avec lui, comme ça, tu verras tout.
Charles -et pourquoi ne mangerions-nous pas tout les 4.
Sophie -hum, oui je lui ferai du pied sous la table.
Charles -et si on y allait maintenant acheter tes fringues.
Sophie -comme tu veux.
Charles -allez, c'est parti.
Sophie dépensait les 500 euros en achetant, des robes, des jupes, des dessous féminins et des chaussures.
Charles -tu vas être belle et sexy avec toutes ses tenues.
Sophie -oui, je veux attirer les hommes à moi.
Charles -tu n'auras aucun mal, crois-moi.
Sophie -on fais quoi maintenant, je grignoterais bien quelque chose, j'ai faim.
Charles -je te fais une omelette en rentrant.
Sophie -très bien.
Charles lui fit son omelette.
Charles -j'ai encore envie de te voir baiser Chérie.
Sophie -ramènes-moi à la plage.
Charles -tu veux bien ?
Sophie -je te l'ai dit, tout ce que tu veux.
Charles -super, tu met une nouvelle tenue ?
Sophie -choisis.
Charles -talons hauts, string, porte jarretelle et soutif roue et juste ton manteau par dessus, je veux que tu fasse pute, et j'aimerai que tu mettes du rouge à lèvres aussi.
Sophie -j'en ai dans mon Vanity.
Charles -alors fais-le et on envoie une photo à ton mari.
Sophie -on peux même faire une vidéo ou je lui dévoile comment tu m''as habillé.
Charles -oui, c'est encore mieux, donnes-moi ton téléphone.
Sophie se mit de dos et dès que Charles commençait à la filmer, elle se retournait en faisant un clin d'œil.
Sophie -cc, voila mon Chéri m'a habillé en pute pour que j'aile me faire baiser à la plage.
Elle se rapprochait du téléphone pour que je vois qu'elle avait mis du rouge à lèvres.
Puis elle ouvrait son manteau et me dévoilait sa tenue.
Quel canon habillé ainsi, je n'en revenais pas.
Sophie -j'espère que tu aimes et même si n'aimes pas, ce n'est pas pour toi.
Moi -j'adore.
Charles -tu es prête à faire la pute.
Sophie -oui, mais je veux que tu filmes encore, je veux que mon mari voit comment je suis quand il n'est pas là.
Charles oui, j'aime savoir qu'il souffre de te voir comme ça.
A SUIVRE.

Merci de nouveau pour ces épisodes !

Quant à ta nouvelle question, je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de femmes sur ce forum.
Mais je me trompe peut-être ?...

Génial tous ces petits mots et gestes d'amour entre Sophie et Charles...
Les grosses baises aussi bien sûr !
Ce qui est super c'est l'alternance des deux devant Olivier !!!

Sinon, je partage le sentiment de Clahire.
Il ne faut pas se le cacher, le candaulisme est avant tout un fantasme d'hommes je pense.

Oui, quand par exemple Sophie dit "mon amour" à Charles, c'est super.

Elle pourrait aussi parler d'Olivier en disant "mon ex". Devant lui bien sûr !

Excellente idée Clahire !
Et parler de son ex mari devant les amis de Charles qui ne connaissent pas Olivier (alors qu'il est là évidemment)

Vivement que Fifou se saisisse de ces idées...

Pour répondre avec retard à la question de Fifou du 3/9, moi c'est branlette systématique à chaque nouvel épisode.

très heureux de savoir cela brions, cela me plait beaucoup que l'on se branle en me lisant, ça donne envie de continuer.

Même si ce n'est pas aussi systématiquement que Brions. Nous sommes nombreux à nous masturber ente lisant Fifou.

C'est sûr, car pour les amateurs de candaulisme que nous sommes tous ici, les aventures de Sophie et Olivier sont un must !

Il était à peine 18 heures, Charles savait que c'était encore tôt, mais il avait espoir de trouver un homme ou 2 pour baiser Sophie.
Sophie -pourvu qu'il y ait quelques hommes à cette heure-ci.
Charles -espérons pour toi.
Sophie -au pire, y'a Anthony qui vient ce soir.
Charles -ce n'est pas assez pour une salope comme toi.
Sophie -tu as raison, il me faut des hommes.
Une demie heure passait et toujours rien, pas âme qui vive dans le chemin.
Charles -tu sais ce que tu vas faire ?
Sophie -non, dis-moi.
Charles -tu vas sortir et trainer dans les chemins jusqu'au moment ou tu rencontres un homme et tu le ramènes ici en exhibant un peu de toi.
Sophie -hum, cela peut être très excitant comme scénario Chéri.
Charles -cela fera encore plus pute que d'attendre ici.
Sophie -j'y vais mon Amour.
Charles -ne reviens pas seule.
Sophie -non, par contre filmes dès que je reviens avec un mec.
Charles -oui promis.
Sophie sortait de la voiture et déambulait dans les chemins, personne ne trainait, hélas pour elle.
Il était maintenant 19 heures passé et Sophie était revenue à la voiture.
Charles -ça m'énerve qu'il n'y ait personne, tu peux pas savoir.
Sophie -on a jusqu'à 21 heures avant de rentrer, il y en a bien 1 ou 2 qui vont passer.
Charles -oui, j'espère, je ne t'ai pas habillé de cette manière pour que l'on fasse chou blanc.
Sophie -moi, j'y crois en tout cas.
Charles -tant mieux, tu refais un tour pour voir ?
Sophie -oui, si tu veux.
Sophie repartait dans les chemins.
De mon coté, Charles m'envoyait un texto avec le téléphone de Sophie.
Charles -je viens d'envoyer ta pute de femme chercher un mec, elle se balade dans les chemins, une vraie pute.
Je ne répondais pas, il parlait mal à mon avis.
10 minutes passèrent encore, sauf que cette fois-ci, Sophie ne revenait pas seul, Charles mit la vidéo en route.
Elle ramenait un homme assez âgé, son manteau était déjà ouvert.
Charles sortait de la voiture et saluait l'homme.
Charles -tu penses pouvoir honoré ma pute de femme.
L'homme -regardes déjà dans l'état qu'elle m'a mis.
Il baissait son short et sortait son énormes bite.
Charles -tu lui as fait quoi ?
Sophie -juste branler un peu.
Charles -elle te plait ma femme ?
L'homme -faudrait être délicat ou gay pour dire non.
Charles -alors abuses d'elle, elle est la pour te satisfaire.
L'homme -suces-moi alors.
Sophie enlevait son manteau et s'agenouillait pour sucer l'homme.
Charles -allez suces-le salope.
Sophie s'activait sur sa queue quand un 2eme homme se pointait, il ne portait qu'un string noir, en plus de femme, sa queue débordait de la dentelle.
Sophie ne se faisait pas prier et le branlait avec son string.
Elle alternait les queues dans sa bouche.
Charles -allez, prenez là comme une salope, elle est là pour vous contenter.
L'homme en string la fit s'agenouiller et la pénétrait pendant qu'elle suçait l'autre.
Puis, il inversèrent leur place, Sophie sentit bien la queue de l'homme âgé s'enfoncer dans sa chatte.
Charles -je veux que vous vous branliez sur elle, je veux la voir plein de foutre.
Ils obéirent à la demande de Charles, il eut même un troisième larron qui vint se joindre à eux.
Sophie branlait et suçait les 3 queues à tour de rôle.
Ils éjaculèrent sur elle à tour de rôle, Sophie ayant le temps d'avaler ce qu'on lui offrait.
Une fois que Sophie eut fini, Charles la ramenait à la maison.
Sophie -je reste habillé ainsi ?
Charles -enlèves juste ton soutif, je veux qu'il s'occupe de tes gros seins de salope.
Sophie -hum, oui, très envie de ça.
Charles -tu n'as pas le choix, c'est moi qui te dis ce que tu dois faire.
Sophie -je sais et je t'obéis, il me semble, tu filmes encore, j'enverrai tout à Olivier après.
Charles -oui, il arrive quand ton mari.
Sophie -demain soir normalement.
Charles -bien, réfléchis à ce que l'on peux lui offrir à mater.
Sophie -on peux déjà faire revenir Anthony ?
Charles -oui, très bien ça.
Anthony arrivait vers 21h15, à peine entrer dans la maison, il se mit entièrement nu, et tendait sa queue à Sophie.
Anthony -j'aime bien quand tes gros seins sont à l'air, viens je vais m'en occuper dès que tu m'auras sucer un peu que ma queue soit bien raide.
Sophie le suçait et sa queue devenait bien raide et bien dure.
Sophie -voila, occupes-toi de mes seins maintenant.
Anthony les titillait d'abord pour bien faire durcir ses tétons, puis il commençait à tirer dessus, à les pincer de plus en plus fort.
Charles -hum, oui j'adore que tu maltraites ses gros seins.
Anthony se mit à les sucer et à les mordiller de plus en plus fort.
Sophie -hum, que c'est bon, encore.
Il les reprit en mains et tendait sa langue pour avoir la sienne, Sophie, bien sur, lui donnait.
Tout en l'embrassant, il serrait ses fesses à pleines mains.
Anthony -tu vas morfler ce soir, salope, je vais te cartonner comme jamais, tu m'excites trop.
Sophie -vas-y, je suis prête à ça.
En effet, Anthony la baisait pendant près d'une heure et demi finissant son œuvre par une éjaculation faciale.
Sophie était aux anges et repus de sexe.
Anthony leur dit avant de partir qu'il serait demain midi à la plage comme tout les jours et que si elle voulait, il pouvait emmener un pote à lui.
Charles -que s'il a une grosse queue, sinon, pas la peine.
Anthony -alors c'est mort.
Il partait et laissait Sophie et Charles dans leur canapé.
Charles -vas-y envoies les vidéos, je veux savoir sa réaction.
Sophie -moi aussi, j'ai hâte de savoir ce qu'il va dire.
Je reçus les vidéos que je savourais, je répondais.
Moi -tu as encore pris chère aujourd'hui.
Sophie -oui, j'ai adoré, encore plus de savoir que Charles filmait pour que tu me vois faire la salope.
Moi -oui, j'ai vu.
Sophie -je t'annonce dès maintenant que samedi, on va au restaurant, que c'est toi qui payeras, qu'on sera 4 et que je vais draguer et un mec et me faire baiser pendant que toi et Charles me regarderez.
Charles -non, je te baise avec Franck.
Sophie -je rectifie, pendant que tu me materas me faire prendre par deux hommes, le programme te va.
Moi -je n'ai pas le choix apparemment.
Sophie -non, pas vraiment, mais c'est ce que tu veux et ce que tu aimes.
Moi -oui, et te voir draguer devant moi, cela va me mettre le feu.
Sophie -j'espère bien, mais je ne te toucherais pas du week-end, ici, tu n'as droit à rien.
Moi -je sais hélas.
Sophie -tu peux encore décider de ne pas venir si cela te pose un problème.
Moi -non, je serai là demain soir.
Sophie -hum, j'adore, bon je vais faire l'amour maintenant, bonne nuit, à demain.
Ce fut tout, je ne répondais au dernier texto et allait me coucher.
Charles fit l'amour à Sophie et lui fit donner un gros orgasme comme elle aimait.
Elle avalait tout son foutre et puis ils s'endormirent rapidement.
La journée du vendredi fut interminable, comme j'avais fais une petite valise le matin, je partais directement.
Quand je fus presque arrivé, j'envoyais un texto à Sophie pour savoir où ils étaient.
Pas de réponse.
J'allais donc chez Charles, il était pas loin de 20 heures.
J'attendais une dizaine de minutes et comme rien ne bougeais, je pris la direction de la plage.
Il y avait pas mal de voitures quand j arrivais, je me garais et pris le chemin de d'habitude.
Je pris le chemin en ne faisant pas de bruit ou le moins possible et me planquait encore une fois derrière le même bosquet.
Quel surprise, je voyais 2 femmes dont ma Sophie en tenue très légère et au moins 10 hommes autour d'elle en train de se branler et de se faire sucer.
Je bandais rien qu'à voir ce spectacle, j'adorais.
Elle se repassaient les queues entre elle et se roulait une pelle entre 2 queues, elles me rendaient fou et je me demandais si je pouvais me mêler à ce gang bang.
Les 1ere éjaculations arrivaient sur Sophie et sa partenaire, je décidais de me mélanger aux autres.
Evidemment, Sophie me reconnut et dès que sa partenaire commençait à me toucher, la main de Sophie l'en empêchait.
je fus le dernier à éjaculer sur elles et Sophie m'empêchait de leur envoyer mon foutre.
Sophie -gardes-le pour toi.
Sa partenaire -pourquoi ?
Sophie -c'est mon ex qui veux profiter de la situation et je ne veux pas.
Sa partenaire -tu as raison, il ne te mérite pas ce gros con.
Sophie se relevait et rejoignait Charles dans la voiture.
Ils partaient avant moi et en arrivant, Sophie m'attendait, elle avait surement des choses à me dire.
Moi -bonjour Chérie.
Sophie -y'a pas de Chérie qui compte, je ne veux pas que tu t'offre à n'importe qui, je t'interdis de montrer ta queue à une autre femme, tu vas me payer très cher cet affront que tu m'as fais ce soir.
Moi -je croyais te faire plaisir.
Sophie -tu m'appartiens, je ne veux pas que tu t'exhibes devant une autre femme, tu le sais, mais tu l'as quand même fait ce soir.
Moi -désolé, je ne pensais pas te froisser autant que cela.
Sophie -genre, tu me connais pas, je te le répètes, cet affront, tu vas me le payer très cher.
Moi -j'assume ma bêtise, punis-moi.
Sophie -oui, je vais te punir très sévèrement même.
Elle rentrait chez Charles.
Sophie -Charles, mon ex ne m'écoutes pas, dis-moi comment le punir, je n'ai pas d'idée pour ça.
Charles -c'est simple, demain soir, il va te regarder draguer et après le restaurant, il ne verra plus rien, il imaginera c'est tout.
Sophie -ce n'est pas assez pour moi.
Charles -je sais pas moi, gifles-le, cognes-le ou tu n'as qu'a l'humilier en paroles.
Sophie -oui, c'est ça, l'humilier avec mes paroles, ça me plait.
Sophie allait se doucher et en ressortait avec juste une robe très courte en jean et un soutif noir et rouge.
Sophie -Charles, j'aimerai bien que tu me fasses l'amour maintenant dans le canapé.
Charles -vraiment Chérie ?
Sophie -oui vraiment.
Charles -excites-moi un peu plus alors.
Sophie -regardes mes gros seins, je vais faire durcir les bouts pour toi.
Charles -hum, vas-y que je vois ça.
Sophie attrapait ses seins à travers son soutif et se caressait lentement.
Sophie -j'adore te provoquer mon Amor, encore plus quand mon ex mari est là a me regarder.
Charles -tu me fais bander ma salope de femme.
Sophie -déshabilles-toi que je vois si tu mens ou pas.
Charles se dévêtit et il bandait apparemment très dur.
Sophie -viens par ici Chéri que je sente ta queue contre moi.
Sophie se tournait, relevait sa jupe en jean et me dévoilait son string assortit au soutif tout en dentelle rouge et noir.
Sophie -frottes-toi contre mes fesses et prends mes seins dans tes mains.
Charles, bien sur ne se fit pas prier, je le voyais se frotter à elle, je le voyais jouer avec ses tétons.
Sophie -enlèves-moi ma jupe et mon soutif, laisses-moi juste en string, je sais que cela excite mon ex.
Charles -oui, si cela lui plait alors je ne vais pas m'en priver, regardes-nous, j'espère que tu bandes connard.
Sophie -bien sur qu'il bande ce gros con, il aime voir sa salope de femme se faire baiser.
Charles -réponds à ma femme.
Moi -oui, vous me faites bander.
Sophie -tu vois Chéri, il bande.
Charles -branles-toi.
Sophie -mets-toi à poil et branles-toi.
J'obéis et me branlais devant eux.
Charles était toujours derrière elle, il avait rapproché Sophie de moi que je vois bien ses gros seins encerclés par ses mains.
Sophie -hum, j'adore que tu me regardes baiser, surtout avec mon mari de maintenant.
Charles -tu as entendu, elle n'est plus à toi, elle est à moi.
Moi -oui, je le sais.
Sophie -tu as voulu ça, maintenant tu ne pourras plus m'empêcher de baiser.
Charles -et comptes sur moi pour lui offrir des queues à tout bout de champs.
Charles la culbuta dans le canapé et s'attaquait à sa chatte.
Le pire pour moi, c'est que Sophie ne me quittait pas des yeux, elle voulait absolument que je la mate.
Sophie -oui, vas-y Chéri, je suis encore plus excité que mon ex est là.
Charles -alors donnes-toi entièrement sans retenue.
Charles lui fis donner un orgasme rien qu'avec sa langue et Sophie m'insultait comme jamais me traitant de lâche, d'impuissant, de petite bite, de lopette enfin bref, tout y passait.
Sophie -prends-moi maintenant.
Charles -viens t'assoir sur ma queue qu'elle te pénètre bien profond.
Sophie -hum oui, avec plaisir et envie.
Charles -branles-toi pendant ce temps là.
Charles la pénétrait et ne tint pas longtemps, il était très excité lui aussi.
Bien sur, Sophie avalait tout son jus et à la demande de Charles, elle vint m'embrasser après pour que je goutte son foutre.
Charles -j'adore le voir avaler mon sperm mon Amour.
Sophie -oui, la prochaine fois tu cracheras sur lui, je veux aussi le voir avaler ton sperm.
A SUIVRE.

celui qui vient devrais ravir les candaulistes purs et durs, Olivier va morfler grave.

Sophie m'ordonnait de rejoindre ma chambre, et d'être prêt quand eux le seront le lendemain matin.
Moi -pourquoi faire ?
Sophie -Anthony me baise tout les midis à la plage.
Charles -oui, c'est son amant préféré, en plus maintenant, il la traite comme une pute et on aime ça tout les 3.
Moi -dis-moi que c'est pas vrai.
Sophie -si, j'adore quand il m'insulte et me prend comme une pute devant mon Chéri.
Moi -il t'a bien transformé ton Chéri comme tu dis.
Sophie -tout ça, ça vient de toi au départ, tu voulais que je me fasse baiser, et bien je baise.
Charles -et c'est demain soir, tu vas la voir draguer devant toi, j'espère que tu seras hyper jaloux.
Sophie -il le sera, je vais tout faire pour et le pire c'est lui qui va payer le restaurant pour que je drague devant lui.
Charles -t'es vraiment qu'une merde juste bon à payer pour mater ton ex femme.
Je ne répondais pas et allais dans ma chambre.
Sophie -c'est ça, vas te coucher, je te l'ai dis que tu allais me payer ce que tu as fait en arrivant aujourd'hui.
Je dormais presque pas, leurs insultes résonnaient dans ma tête, je devais réagir, je ne pouvais pas les laisser faire ainsi.
Il était 7 heures, je me levais, m'habillais et sortait de cette maison, j'avais besoin d'air, je prenais ma voiture et hésitais entre rester ici et rentrer à Paris.
Je m'arrêtais dans un bar pour boire un café et manger un croissant, je devais réfléchir et prendre la bonne décision.
Après mon café; mes idées s'éclaircissait, on était samedi, j'avais donc une journée et demie à supporter leurs sarcasmes, je pouvais, après, elle aurait un boulot accaparent et elle n'aura pas le temps de venir ici.
Je pris la décision de rester, je savais que j'allais morfler mais je voulais être aux coté de ma femme.
J'achetais pour eux des croissants(cela les calmeraient peut être) et rentrait chez Charles.
Il étaient en train de boire leur café, lui à poil et elle juste avec son string de la veille.
Moi -tenez quelques croissants pour vous, je peux me faire un café.
Sophie -oh, merci, c'est gentille, m'aime beaucoup cette petite délicatesse, attend je te fais ton café.
Charles -tu n'es pas obligé.
Sophie -écoutes bien, lui s'est levé pour aller chercher des croissants, alors je pense que je peux lui servir son café.
Charles -fais ce que tu veux, je m'en fous après tout.
Sophie -ça fait plaisir de voir ta bonne humeur ce matin.
Charles -il n'est pas là pour qu'on s'occupe de lui ton connard de mari, il est là pour que tu l'humilie.
Sophie -j'ai jusqu'à demain pour ça, ce matin, je lui fais son café, stop.
Je bus mon café et je m'apercevais que Charles ne pouvait pas me sentir, je décidais de rester inflexible devant ses regards presque menaçant.
Sophie -tu fais quoi ce matin ?
Moi -surement aller en ville, j'ai 2 ou 3 choses à voir, je vous rejoindrais à la plage si vous le voulez bien.
Sophie -c'est même un ordre de venir, je veux que tu me regardes baiser avec Anthony et sa grosse queue.
Moi -je serais là alors.
Sophie -tu vas voir quoi exactement.
Moi -2 ou 3 choses.
Sophie -ouais, tu veux pas me le dire si j'ai bien compris.
Moi -c'est ça.
Sophie -attention à ce que tu vas faire, ne va pas voir une autre femme, je ne le supporterais pas et tu le sais.
Moi -tu connais ma position à ce sujet, je ne te la répèterais pas à chaque fois que je m'absente.
Sophie -ok, je te fais confiance.
Sophie se levait et partit rejoindre Charles dans sa chambre.
Moi, je décidais de prendre une bonne douche et de bouger d'ici.
Je les laissais seuls vers 9 heures et m'orientais vers la ville, je savais exactement ce que j'allais chercher.
Je garais ma voiture en plein centre ville et rentrais dans une boutique de fringues.
J'allais directement au robe et je trouvais ce que je voulais, un robe nejean, très très courte avec un zip devant permettant de faire montrer ce que l'on voulait les cuisses ou les seins.
Je payais et sortait direction boutique de lingerie.
J'achetais une guêpière noir, seins découverts et plein de dentelle, j'ajoutais des bas noirs couture en nylons et prenais en plus un ensemble string soutif rose en dentelle aussi.
Je payais et allais m'offrir un café en terrasse, je profitais aussi le fait d'être seul.
Cela était trop beau pour que ça dure, Sophie et Charles(à mon avis plus par curiosité plus qu'autre chose) garaient la voiture et vinrent s'installer en terrasse eux aussi.
Sophie était habillée comme une vraie pute, jupe ultra courte blanche, bas blancs auto fixant, talons très hauts et juste une débardeur blanc laissant voir ses seins à qui le voulait sans oublier ce rouge à lèvres rouge très criant.
Sophie(en texto)- je te plais ainsi habillée ?
Moi -pas du tout, cela ne te vas pas, je te préfère habillée classe.
Sophie -tant pis pour toi, les autres en profiteront à ta place.
Moi -je sais, je n'ai pas le choix, tu as mis un string quand même.
Sophie -oui, un blanc en dentelle, je sais que tu aimes me voir baiser avec, tu nous offre les cafés j'espère.
Moi -oui, t'inquiètes pas pour ça.
Sophie -c'est quoi les paquets à tes pieds ?
Moi -ça ne te regardes pas.
Sophie -parles-moi autrement.
Moi -pourquoi, je pense que tu me manques de respect à t'afficher comme ça, j'ai quand même le droit de te le dire.
Sophie -ici, je fais ce que je veux, tu n'as rien à me dire.
Moi -je ne te dis rien, de toute façon, j'existe pas en ce moment pour toi.
Sophie -absolument et ça me plait.
Moi -tu vois ce n'est même plus de la jalousie, tu me fais pitié.
Sophie -oh non, je vais remédier à ça et vite.
Moi -tu ne pourras pas revenir en arrière, il te tiens et ne te lâcheras plus, tu es ficelé.
Sophie -ah bon, tu crois ça, genre tu me connais pas, déjà ce midi, pas d'Anthony.
Moi -ne te prives pas pour moi surtout.
Sophie -si, je sens que je suis en train de te perdre et je ne veux pas, je veux que tu sois jaloux, c'est tout.
Moi -je ne quitterais jamais, jamais.
Sophie -oui mais j'ai cassé quelque chose en toi, je vais essayer de le réparer, tu veux bien.
Moi -essayes, c'est pas gagné.
Sophie -on verras, tu sais que je suis une gagneuse.
Moi -je paye et je m'en vais.
Sophie -dis-moi ce qu'il y a dans tes paquets.
Moi non, bye bisous, ah si, si tu vas à la plage tu me le dis que je vienne te voir.
Sophie -oui, je te redis ça.
Je payais et remontais dans ma voiture et arpentait les rues de la ville, il était presque 11 heures.
Pendant ce temps-là ,Sophie expliquait son problème à Charles.
Charles -on s'en fous de lui, on est pareil, on veux de la baise, c'est tout.
Sophie -non, je vais rendre jaloux et humilier Olivier, sinon, je ne ferai pas ça.
Charles -je pensais pas que tu l'aimais encore.
Sophie -je l'aimerai toujours quoiqu'il arrive.
Charles -tu me déçois.
Sophie -ah bon, tant pis pour toi, tu iras seul à la plage ce midi et je ne rentre pas avec toi, j'appelle Olivier.
Charles -comme tu veux, donc j'annule pour ce soir ?
Sophie -surement pas, mais tu n'es pas obligé de venir, tu ne me manqueras pas, et t'inquiètes pas, on te paieras la location de la chambre.
Charles -j'espère bien.
Sophie m'appelais et je venais la chercher, elle était en pleurs.
Moi -tu vois, ne fais confiance à personne Amour, tu ne connais pas les hommes.
Sophie -je vais chercher mes affaires chez lui et on va à l'hôtel stp.
Moi -oui, ce sera mieux.
Je garais la voiture et attendait Sophie dedans.
Elle revenais 10 minutes plus tard.
Moi -ça va ?
Sophie -oui, je l'ai envoyé se faire foutre et lui est dit qu'il aille au diable.
Moi -allez, on va réserver l'hôtel.
Sophie -non, emmènes-moi voir Anthony, je vais baiser avec lui mais pour toi.
Moi -vraiment ?
Sophie -oui, vraiment.
Moi alors, on y va Chérie.
Sophie -oui mon Amour, par contre, j'aime bien quand il me prend un peu brutalement donc ne sois pas choqué.
Moi -ok Amour.
Je me garais comme d'habitude et nous l'attendions en discutant un peu de l'avenir.
Je lui parlais et puis.
Anthony -alors, grosse salope, ma grosse queue ne t'intéresse plus pour que tu sois encore dans la voiture.
Sophie -et toi, tu n'es pas encore à poil.
Anthony -dans 30 secondes.
Sophie sortait de la voiture et Anthony lui prenait les seins assez brutalement, je l'avoue.
Sophie -vas-y, abuses de moi.
Anthony -je e vais m'en priver sale pute.
Sophie -oui, insultes-moi, j'aime ça, tu le sais.
Je bandais, elle se donnait à lui pour moi, cela m'excitait beaucoup.
Il tirait sur ses seins qu'il avait dénudé, il retirait à présent sa jupe, qu'elle était belle juste vêtue ainsi, j'adorais.
Anthony -te seins me rende fou, j'adore les maltraité si tu savais.
Sophie -ils peuvent en supporter encore plus.
Anthony -ah bon et si je te fais ça.
Il les frappait comme on gifle quelqu'un.
Sophie -hum, voila, là je sens bien tes coups.
Anthony -tu me fais encore bander plus fort espèce de salope, viens me sucer maintenant.
Sophie englobait sa grosse queue et le suçait lentement en me regardant d'un air de me dire tu as vu ta femme.
Anthony appuyait sur sa tête pour qu'elle prenne sa bite encore plus profondément.
Sophie se laissait faire et s'abandonnait à Anthony.
Anthony -tu es encore plus bandante quand tu portes du blanc espèce de trainée.
Sophie -prends-moi, je veux sentir ta queue dans moi.
Anthony -tu vas la sentir sale pute, sale ordure.
Il la sodomisait sans même la préparer, Sophie criât un peu même.
Anthony -oui, les putes c'est ça, je les encule.
Sophie -oui, je ne suis qu'une pute, prends-moi fort, j'aime ça.
Anthony activait les va et vient et sa bite entrait entièrement dans son cul.
Quand il éjaculait, Sophie était à genoux et recueillait tout son jus qu'elle avalait sans hésiter.
Dès qu'il fut partit.
Sophie -viens, j'ai gardé du foutre pour partager avec toi, stp, j'ai envie de ça.
Moi -d'accord mais ensuite, je veux que tu te fasse orgasmer devant moi.
Sophie -oui, et toi, branles-toi.
Moi -non, je veux garder ça pour ce soir, vu que tu m'as dit que tu allais draguer.
Elle m'embrassait, écartait son string et se tripotait son clito.
Sophie -oui, je vais faire ça, je veux que tu sois dingue de jalousie, en plus avec un inconnu pour toi.
Elle accélérait le mouvement sur son clito et m'offrait un superbe orgasme en me disant qu'elle draguerait et irait jusqu'à coucher avec lui dans la foulée.
Moi -merci Chéri de ce gros orgasme.
Sophie -je ferai ce que je viens de te dire, tu es prévenu.
Moi -franchement, je n'attends que ça.
Sophie -tu vas morfler dur aussi.
Je démarrais et repartais en ville trouver un hôtel.
Sophie -je veux 2 chambres car je veux que tu sois jaloux jusqu'au bout et pour ça je dormirai avec lui, ou peut être mieux, demande s'il y a des chambres à 3 lits un grand 2 places et un petit d'une place.
Moi -donc si y'en a le petit lit est pour moi, c'est ça.
Sophie -tu as tout compris.
Moi -pendant que je réserve, derrière ton siège, les paquets sont pour toi.
Je trouvais une chambre comme le voulait Sophie, je payais et retournais à la voiture.
Sophie m'attendait dehors en me sautait au cou en m'embrassant et me remerciant pour les cadeaux.
Sophie -je vais mettre la robe dès ce soir avec l'ensemble rose qui me plait énormément.
Moi -tu as des bas pour aller avec ?
Sophie -oui, j'en ai acheté 10 paires, tu veux avec ou sans porte jarretelle.
Moi -sans.
Sophie -je mettrais des résilles noir, ça te va.
Moi -oui parfait Chérie.
Sophie -on va manger ?
Moi -oui, mais je veux que tu changes ton haut, gardes la jupe et mets un soutif
Sophie -oui, je vais mettre un soutif blanc et un sweet blanc.
Moi -parfait Chérie.
Sophie voulait une pizza donc je l'emmenais dans un pizzéria, évidemment, tout les regards des hommes se portaient sur elle.
Le serveur nous installais à une table mais Sophie lui dit qu'elle préférait celle-là.
Une fois assis, je lui demandais pourquoi.
Sophie -parce qu'il y a 2 hommes face à moi et que je vais les provoquer pour t'exciter.
Moi -vas-y, je veux voir ça.
Sophie -déjà, je suis sur qu'il voient mes bas.
Moi -arrêtes, je vais bander.
Sophie -j'espère bien mon Amour.
D'où j'étais, je ne voyais pas mais Sophie s'amusait bien car elle était tout sourire.
Moi -racontes-moi Chérie, je ne vois rien.
Sophie -y'en a un qui a l'air intéressé par mes jambes.
Moi (et l'autre.
Sophie beaucoup moins.
Moi -tu aimerai quoi là maintenant, tout de suite.
Sophie -qu'il me suive au toilettes et qu'il me baise pendant que tu restes à table.
Moi -autorisé Amour.
Sophie -je vais faire mieux et aller à la voiture comme si j'avais oublié quelque chose, je verrai bien.
Sophie se levait et exécutait son plan.
Moins de 2 minutes plus tard, l'homme se levait et sortait aussi.
Ma voiture était garée à l'ombre, légèrement éloignée du restaurant.
Sophie, maligne était passé du coté ou personne ne pouvait voir et cherchait à l'arrière de la voiture, quelque chose d'imaginaire, elle se baissait et laissait voir ses fesses et son string blanc.
L'homme -merci pour la belle vue que vous m'offrez depuis que vous êtes assise en face de moi.
Sophie -et celle que j'ai, vous plait aussi.
L'homme -oui, beaucoup, hélas, je ne peux pas m'occuper de vous, je suis avec mon patron et je bosse tantôt
Sophie -dommage pour vous, bon après midi.
Sophie me rejoignait à l'intérieur et m'expliquait ce qui s'était passé.
Sophie -tu bandes au moins ?
Moi -oui, et même très dur.
Sophie -j'adore.
A SUIVRE.

Effectivement, tu as tenu ta promesse Fifou !..

Encore une superbe suite
Merci

Nous finissions de déjeuner et Sophie continuait à offrir ses cuisses à son voyeur.
Moi -tu veux faire quoi cet après midi ?
Sophie -aucune idée, le temps est moyen, je ne peux pas aller à la plage, on peut se balader si tu veux.
Moi -oui, on va faire ça.
Je réglais l'addition et nous montions dans la voiture.
Moi -je te le dis, je ne vais pas à la plage.
Sophie -moi non plus, je n'ai pas envie, je veux être en forme pour ce soir.
Moi -tu as l'air chaude pour ce soir mon Amour.
Sophie -surtout très excitée de draguer devant toi.
Moi -tu sais où on va, dans quel restaurant ?
Sophie -oui, l'autre con m'avait tout dit avant heureusement, reste à savoir s'il a annulé avec son beau frère, je ne sais pas, et au pire, j'en trouverais un sur place.
Moi -oui, bonne idée aussi.
Je déambulais dans la campagne environnante.
Sophie -trouves un coin où l'on peux marcher un peu.
Moi -oui, avec tes talons, ce ne va pas être facile.
Sophie -j'ai des tongs dans le coffre.
Je me garais à l'orée d'une forêt et descendions de la voiture, nous prenions le chemin ne sachant pas vraiment où on allait.
Moi tu me montreras tes achats pour ton nouveau job ?
Sophie -et si tu les découvrais chaque jour comme une surprise, tu en penses quoi ?
Moi -génial, mais je veux tout voir, tes dessous aussi.
Sophie -alors, tu verras tout, dis-moi, tu aimerais que ta femme ait un amant permanent ?
Moi -franchement, oui, mais pas comme l'autre abruti, un homme posé, calme et qui te baise bien.
Sophie -le top serait qu'il soit bien voir très bien monté.
Moi -ça, je m'en fous au pire.
Sophie -pas moi.
En marchant, nous croisions pas de joggers qui se retournaient tous sur Sophie.
Moi -tu as du succès auprès des joggers, ils se retournent tous sur toi.
Sophie -tu devrais être fier de ça.
Moi -je le suis, rassures-toi.
Sophie -je suis sur que tu aimerai que l'un deux me baise ici.
Moi -je ne dirais pas non, c'est sur.
Sophie -tu veux que je remonte n peu plus ma jupe.
Moi -je te laisse le choix.
Sophie -je veux te faire plaisir aujourd'hui.
Moi -je ne décide pas à ta place.
Sophie -tu sais ce qu'on va faire.
Moi -bah non.
Sophie -le prochain jogger qui nous double, on rentre dans les bois.
Moi -et ?
Sophie -sure et certaine qu'il fera demi tour pour mater.
Moi -je n'en suis pas sur, moi.
Sophie tu veux essayer ?
Moi -pourquoi pas.
Sophie -avant je remonte un peu ma jupe, je veux qu'on voit la dentelle de mes bas.
Plus court que ce qu'elle avait remonté de sa jupe, on verrai son string.
Moi -tu es quand même une belle salope, mon Amour.
Sophie -c'est pour ça que tu es raide dingue de moi.
Un jogger nous doublait et Sophie m'entrainait dans les bois.
Là, elle m'embrassait et me demandait de la peloter.
J'obéis à sa demande, je commençais par ses seins qui était vraiment mon adoration.
Sophie -vas-y, pinces-moi les tétons, j'adore ça.
Je passais sous son sweet et les pinçait au travers de son soutif.
Sophie -j'aime faire la salope de plus en plus.
Je passais ensuite mes mains sous sa jupe et pelotait ses fesses, j'étais fan de string et m'attardait à le caresser.
On entendit le bruit des branches qui craquent.
Sophie (tout bas)- y'a du monde.
Moi -oui, j'ai entendu.
Sophie -faisons comme si y'avait personne, j'aime qu'on me mate.
Moi -je le sais que trop.
Pour être sur qu'on la voit, Sophie vint coller ses fesses sur ma bite, j'aimais aussi cette position qui m'offrait ses seins que je pouvais prendre à pleines mains.
Elle s'était tourné du coté où les branches avait craqué.
Je regardais mais ne voyait rien, il devait être bien planqué.
Je continuais à peloter ma Sophie, j'en profitais, je ne l'avais pas eu souvent ces derniers temps.
Sophie guettait plus que moi, elle voulait savoir qui la matait, les branches craquèrent de nouveau.
Sophie -il est où ?
Moi -je ne vois rien.
Sophie -viens, on avance dans les bois.
Moi -tu crois ?
Sophie -oui, sinon, il ne se dévoilera pas.
On avançait un peu dans les bois et d'un seul coup, Sophie vint m'embrasser.
Sophie -il est là, 20 mètres devant nous, je pense que c'est un black.
Moi -remets-toi tes fesses collées à moi et face à lui.
Sophie -oui et toi lèves mon sweet et pelotes-moi les seins.
Comme elle tortillait ses fesses sur ma queue, je bandais bien évidemment.
Sophie -pourquoi ne s'approche t-il pas ?
Moi -je n'en sais rien.
Le manège durait environ un quart d'heure mais hélas pour nos, il passait à coté de nous en nous disant merci.
Sophie -suis dégoutée, viens, on rentre.
Retour à la voiture et à l'hôtel ensuite.
Moi -je vais dormir un peu, il est 17 heures et j'ai peu dormi cette nuit.
Sophie -repose-toi Chéri, je vais me préparer, je veux être très belle ce soir.
Moi -réveilles-moi vers 19heures.
Je m'endormais rapidement et Sophie me réveillait à l'heure dite.
Moi -cela m'a fait du bien, je me sens en forme.
Sophie -tant mieux, je n'ai plus que ma robe à mettre.
Elle ouvrit son peignoir et me fit montrer ses dessous rose que j'avais acheté avec ses bas noirs résilles avec une grande bande en dentelle.
Moi -super Chérie.
Je me douchais et m'habillais un peu classe quand même.
Sophie -heureusement que tu es mon mari, sinon, je te draguerai ce soir.
Moi -merci du compliment, j'adore.
Sophie enfilait sa robe ne jean et c'est moi qui ajustait le zip en haut et en bas.
Sophie -bah dis donc, tu veux vraiment qu'on me mate ce soir.
Moi -oui, tu m'as fait du bien cet après midi en la passant avec moi, donc, je fais pour que tu puisse draguer..
19h30, c'était l'heure d'y aller.
J'entrais dans le parking du restaurant et conviais Sophie à me suivre.
Le serveur nous montrait notre table et je commandais une bouteille de champagne.
Sophie -tu veux me saouler ce soir ?
Moi -non, te faire plaisir.
20 minutes plus tard, Franck arrivait, Sophie me le présentait et il s'asseyait à coté d'elle en face de moi.
Sophie expliquait le prise de tête avec Charles.
Franck -oui, il m'as appelé pour que je ne vienne pas, mais ce ne sont pas mes affaires
Moi -vous avez raison, faut pas tout mélanger.
La bouteille ne dura pas longtemps et je dus en remettre une autre.
Sophie me fit du pied pour m'indiquer qu'il se passait quelque chose.
Je ne savais pas quoi mais je pense qu'il lui caressait les cuisses, je bandais.
Franck -en tout votre femme est à croquer.
Moi -merci, je pense que vous allez y gouter ce soir vu votre main sur ses cuisses.
Franck -vous n'êtes pas jaloux ?
Sophie -c'est notre recherche, de le rendre jaloux.
Franck -donc, si je pars maintenant avec elle, vous nous laissez partir.
Sophie -je ne lui laisse pas le choix.
Franck -je vais rester ici, par contre mes mains vont se balader sur elle.
Moi -faites, ne vous gênez pas.
Franck -merci.
Le repas se déroulait avec quelques bons moments, Sophie était aux anges et moi très jaloux.
Franck -je l'emmène chez moi après, cela vous dérange ?
Moi -ce n'est pas ce que Sophie avait prévu mais c'est elle qui décide.
Franck -vas-y Sophie dis-moi.
Sophie -je comptais que tu me baises devant mon mari à l'hôtel et qu'on dorme ensemble et lui à coté, je veux qu'il morfle.
Franck -non, je te baise sans lui et il vient dormir dans le lit après.
Moi -mouais
Sophie -tais-toi, tu n'as rien à dire, on va faire comme Franck le veux, je t'enverrai un texto et tu viendras nous rejoindre après.
Franck -je te laisserai regarder un peu quand on sortira du restaurant.
Sophie -tu n'es pas obligé de lui faire ce plaisir.
Franck -si, justement, cela va le rendre fou quand il te verras monter dans ma voiture.
Je réglais l'addition et nous partîmes vers les voitures.
Arrivés à celles-ci, Franck ne put s'empêcher d'embrasser Sophie et lui peloter les seins en ouvrant son zip.
Franck -c'est tout pour toi ce soir.
Il ouvrait la porte à Sophie mais avant, elle fit descendre le zip de sa robe entièrement.
Sophie -vas-y, regardes ce que tu n'auras pas ce soir, je te plais plus que jamais j'espère.
Franck -bien joué Sophie, là, je peux te dire qu'il doit pas être bien dans sa tête.
Il avait raison, de la voir dans les dessous et la robe que je lui avait offert, et la voir partir avec un autre était difficilement supportable mais je ne disais rien.
Dans la voiture, Franck poussait jusqu'à lui peloter les seins au travers son soutif, puis il partaient.
Je décidais de me faire un cinéma même si je savais que ma tête ne sera pas devant l'écran mais avec Ma Sophie.
La séance se finit vers 23 heures et toujours pas de texto, c'était une petite ville t tout était fermé à cette heure mis à part les boites de nuit.
Je me mis dans ma voiture et attendait.
Minuit, une heure, deux heure, enfin à 2h30, j'eus ce fameux texto qui me permettait de rentrer.
J'entrais dans la chambre où je les voyais enlacer l'un à l'autre, je bandais mais étais très très jaloux.
Je me couchais mais ne dormais pas tout de suite, ma bandaison était trop forte, je devais la calmer en attendant.
C'est les gémissements de Sophie qui me réveillèrent, j'ouvrais les yeux et Franck la baisait en levrette, elle, face à moi.
Sophie -vas dans la salle de bains, Franck ne veux pas que tu nous regardes, tu as juste le droit d'écouter.
Je me levais et obéis.
10 minutes plus tard, Sophie m'ouvrait la porte.
Sophie - désolé mais il ne voulait pas de toi Chéri.
Moi -pas grave, tu t'es bien éclatée ?
Sophie -bof, c'était moyen, je préfère quand tu me regarde et toi ta jalousie.
Moi -énorme au resto et énorme quand je t'ai vu dormir dans ses bras.
Sophie -finalement, c'est tout ce qui entoure la baise qui te rend jaloux.
Moi -oui, c'est tout à fait ça.
Sophie -par contre avant de partir, emmènes-moi me faire baiser une dernière fois par Anthony, il est à la plage tout les midis.
Moi -si c'est ton envie, je t'emmènerai Chérie.
Sophie -oui, je te propose de mettre ma guêpière, les bas nylons qui vont avec, un string noir et des talons.
Moi -super et par dessus ?
Sophie -juste mon manteau comme ça, il pourra profiter de moi dès qu'il sera là.
Moi -oui mon Amour.
Sophie -je passe une vêtement et emmènes-moi au petit déjeuner stp.
Moi -oui, j'ai faim aussi.
Après le petit déjeuner et la douche, Sophie s'habillais comme elle avait prévu.
Moi -ça te va très bien cette guêpière Chérie.
Sophie -oui, j'aime que mes seins soit à l'air.
Moi -par contre, mets une robe, tu l'enlèveras quand on sera à la plage.
Sophie -non, je ne met que mon manteau, si tu veux une robe, j'enlève la guêpière.
Moi -alors, mets ton manteau.
Il était 10h30 et nous avions du temps devant nous, Sophie me proposait un café en terrasse.
J'acceptais et trainions sur la terrasse en discutant du futur..
A 11h45, je me garais à la plage, Sophie enlevait de suite son manteau.
Anthony arrivait 5 minutes plus tard?
Anthony -waouh, une vraie p'tite pute comme ça, merci de ce cadeau.
Sophie -profites, c'est la dernière fois, on rentre à Paris et on ne reviendra plus ici.
Anthony -dommage, tu vas me manquer, donc aujourd'hui, tu vas avoir la totale.
Il la baisait pendant près de 2 heures et Sophie morflait entre les pénétrations, les orgasmes et les jouissances
Il éjaculait dans sa bouche, Sophie le nettoyait sans laisser une goutte et il disparut surement à jamais.
Sophie -viens là que je partage son sperm avec toi, je veux ça.
Moi tu veux, je fais.
Sophie m'embrassait et me demandait de la ramener à Paris.
Voila, la suite la semaine prochaine, je pars quelques jours à La Rochelle, profitez bien de ce récit, biz à tous.
A SUIVRE.

Merci Fifou !
Tu es si rapide à écrire des suite que parfois j'ai presque du mal à les lire toutes

Mince, je félicite Fifou pour tous les épisodes dont il nous régale aussi rapidement et voilà que du coup il nous laisse plusieurs jours sans rien...
Snif !

C'est sans doute qu'il nous mijote encore des suites très chaudes !

Espérons que l'air de La Rochelle sera pour lui une source d'inspirations candaulistes

Peut-être une visite de l’aquarium en amoureux au bras de Charles avec Olivier en spectateur derrière ?...

Oui, il pourrait les regarder se promener main dans la main...

je ne crois pas, vous verrez ça par la suite mais cela ne pend pas le chemin que vous espérez.

Coucou à tous, me revoila de retour de mon périple rochelais et bien content de vous retrouver.
Donc de retour à Paris, il discutait des quelques jours passés là-bas et tombait d'accord que le fait que Charles n'était pas l'amant idéal pour Sophie.
Pour Sophie, le plus, c'était Anthony, il l'avait très bien baisé à chaque fois, et elle n'avait pas détester cette douche de sperm.
Je me garais devant le maison et vidais la voiture.
Sophie, elle, fonçait se doucher, elle voulait pas se coucher pas trop tard, le lendemain, c'était son nouveau taf qui commençait.
Je commandais une pizza pour le diner du soir et à 22 heures, on dormait.
Le lendemain, Sophie était réveillé avant moi et m'avait préparé un bon café.
Sophie -pour la 1ere, que penses-tu d'un tailleur saumon, des dessous blanc, des bas auto fixant noirs et des talons pas trop haut ?
Moi -cela me parait très bien, mon Amour.
Sophie -alors, c'est parti comme ça, je ne met que la veste, juste un soutif en dessous.
Moi -si tu veux.
Je partais quand même avant elle au boulot, je me demandais ce que lui réservait ce nouveau job, j'étais anxieux.
Sophie se pointait vers8h45 au bureau et Nathalie était déjà là.
Nathalie -bonjour Sophie, je vois que vous êtes ponctuelle et que votre tenue est très correcte, j'aime beaucoup la couleur de votre tailleur.
Sophie -merci du compliment.
Nath -entrez que je vous fasse voir votre bureau et que je vous explique en quoi consistera votre travail.
Sophie se retrouvait dans un grand bureau très bien éclairé par la lumière du jour et il y avait même un bouquet de fleurs.
Nath -votre 1ere boulot, 2 fois par semaine, est que je vous que vous alliez acheter des fleurs pour fleurir nos bureaux respectifs, vous irez au fleuriste du coin de la rue et la note sera envoyé tout les 15 jours.
Sophie -oui, et qui s'occupe du paiement ?
Nath -vous passerez ça en note de frais.
Sophie -pas de souci, ensuite.
Nath lui expliquait ce qu'elle attendait d'elle et Sophie notait et écoutait attentivement.
Nath -une dernière chose, vu le salaire que je vous alloue, vous devez être disponible pratiquement tout le temps, week-end compris, et si vous vous acquittez bien de votre travail, votre salaire augmentera.
Sophie -n'allons pas trop vite, commençons par nous connaitre mieux afin que je puisse être parfaitement en accord avec vous.
Nath -je vous écoute, parlez-moi de vous.
Sophie commençait à lui raconter un peu sa vie mais le téléphone sonnait.
Nath -allez, à vous de jouer.
Sophie notait ce qu'on lui disait et en fit part à Nath.
Nath -notez que je le rappellerai sur mes notes de la journée.
Sophie s'enhardissait au cours de la journée.
Sophie -dites-moi jusqu'à quelle heure avez-vous besoin de moi.
Nath -pour la 1ere disons 18 heures, cela vous va ?
Sophie -même plus tard, cela ne me dérange pas.
Sophie ne vit pas sa journée passer et vers 18h15, elle rentrait à la maison.
Elle m'expliquait sa journée et me dit aussi que ce job lui plaisait beaucoup.
Moi -alors, fonces Chérie.
Le lendemain, Sophie avait mis une jupe semi longue blanche bien fendue devant, avec un chemisier blanc et un petit gilet, des dessous roses et toujours des bas noir mais cette fois en nylon avec couture, maintenu par un porte jarretelle.
Nath -bonjour Sophie, je ne sais pas ou vous trouvez vos tenues mais elles vous vont à ravir.
Sophie -c'est grâce au crédit que vous m'avez accordez.
Nath -continuez ainsi, vous me plaisez.
Sophie rougit un peu et se mit au travail.
Vers 10 heures, Nath vint la voir à son bureau et comme Sophie avait les jambes croisées, elle sentit le regard de Nath sur ses cuisses, d'autant plus que l'on voyait l'orée de ses bas.
Sophie, bien sur, ne changeait pas sa position.
Nath s'éclaircit la voix(elle était apparemment troublée) pour expliquer quelque chose à Sophie.
Sophie -n'oubliez pas, vous déjeunez en ville avec Madame Untel, votre rdv est à midi et demi.
Nath -merci, j'avais presque oublié, je serai de retour vers 15 heures je pense, on ira boire une café à l'extérieur si vous voulez.
Sophie -avec plaisir Nathalie.
Sophie se posait des questions à présent, sa patronne serait elle lesbienne ?
Sophie décidait de vérifier cela le lendemain en s'habillant encore plus sexy.
Nath fut bien de retour vers 15 heures et elle descendirent boire un café.
Sophie -il y a eu plain de coups de téléphone en votre absence dont quelques-uns importants.
Nath -oui, je m'en doute, mais là faisons une pause de 30 minutes tranquille.
Sophie -oui Nathalie, je vous comprend.
Nath -parlez-moi encore de vous, j'aime bien votre vie, vous avez l'air très heureuse.
Sophie -oui, j'ai un mari en or, très jaloux et j'aime bien jouer avec sa jalousie.
Nath -comment ça ?
Sophie -disons que j'aime bien qu'on me drague surtout quand il est là.
Nath -oui, c'est vraiment un mari en or.
Sophie -je le garde quoiqu'il arrive et vus ?
Nath -divorcée 2 fois et actuellement célibataire.
Sophie -avec votre boulot, je ne suis qu'à moitié étonné.
Nath -oui, je bosse entre 12 et 14 heures par jour, donc vous voyez un pause comme celle-ci me font du bien.
Elles remontèrent et Sophie se sentait un peu gênée dans l'ascenseur, elle était presque collée à elle.
Sophie se remit au travail et Nath passait coup de fil sur coup de fil.
Ce que Sophie avait remarqué, c'est qu'elle travaillait dans un mode exclusivement féminin, très peu d'hommes téléphonait.
La journée se finissait vers 19 heures et Sophie rentrait crevée.
Elle me dit ce qu'elle avait ressentie aujourd'hui.
Moi -tu vas pas devenir bi quand même .
Sophie -va savoir, en tout cas, c'est une belle femme qui a des atouts.
Moi -rien ne remplacera une bonne queue mon Amour.
Sophie -oui, il va falloir me trouver ça, je n'ai pas le temps de m'en occuper en ce moment.
Moi -je vais essayer, mais ne te promet rien, c'est compliqué de dire à un homme, viens baiser ma femme.
Sophie -ce n'est pas faux.
Sophie mit, des bas noirs résilles, un porte jarretelle, un string et un soutif noir et recouvrit tout ça d'une robe à fleurs blanche et rouge, on voyait pratiquement tout ses dessous, je lui en fit la remarque et elle me répondit qu'elle voulait en avoir le cœur nette de savoir si sa patronne était lesbienne.
Sophie était la 1re au bureau, Nath n'arrivait que vers 11heures.
Nath -bonjour Sophie, je suis en retard, pas de coup de fil urgent.
Sophie -non, juste Madame X qui veux vous rencontrer rapidement.
Nath -rappelez là et dites-lui ce soir pour diner si elle veux.
Sophie la rappelait et convenait d'un rdv le soir vers 20 heures dans un restaurant de Paris.
Nath vint voir Sophie à son bureau, Sophie, comme d'habitude avait les jambes croisées mais comme sa robe était très courte, Nath se rinçait les yeux, bien sur Sophie ne fit rien pour se cacher.
Nath -vous portez des bas ?
Sophie -oui, je suis anti collant, ce n'est pas beau.
Nath -nous avons un point commun alors.
Et cela s'arrêtait là.
Dans l'après-midi alors que Sophie bossait Nath l'appelait.
Sophie -ce soir partez à 17h30 et revenez vers 19 heures, vous venez avec moi, je vais vos apprendre comment se passe un rdv quand on veux que le client signe votre devis.
Sophie je peux rester habiller ainsi, je n'ai pas besoin de rentrer à moins que ce ne soit pas assez classe pour ce genre de rendez-vous.
Nath -si, vous êtes très bien mais c'est pour votre mari.
Sophie -un texto lui suffira bien.
Nath -ok Sophie.
En repartant à son bureau, Sophie se baissait pour ramasser un papier par terre et Nath en prit plein les yeux.
Nath -très jolie vue.
Sophie se retournait et la regardait sans rien dire, elle savait maintenant que Nath aimait les femmes.
En réponse à son texto, je lui annonçait qu'un pote à moi venait vendredi soir pour préparer un tournoi de foot.
Sophie -ok, je le connais ?
Moi -non, mais tu as le droit d'être sexy quand il viendra.
Sophie -humm, j'ai hâte alors.
Moi -oui, tu verras, c'est un bel homme.
Sophie donnes-moi carte blanche.
Moi -oui, je te donne.
Sophie -j'adore.
Vers 19h30, Nath priait de monter dans sa voiture avec chauffeur et elle se rendirent à Paris.
Nath ne quittait pas de vue les cuisses de Sophie qui elle pensait qu'à un moment elle poserait sa main dessus, mais rien.
Elle entrèrent dans le restaurant et Nath présentait Sophie comme son attachée particulière.
Sandra(la cliente) avait bien une cinquantaine d'année et était très bien conservée, nous dinions ensemble et Sandra hésitait à passer commande, Nath payait l'addition et invitait Sandra à nous suivre dans un pub pour boire une coupe ou deux de champagne.
Sandra -avec plaisir.
10 minutes plus tard, nous entrions dans un pub enfin c'était plutôt un club et là que des femmes.
Nath (à mon oreille) -faites-la signer et une belle prime vous attend.
Sophie -je ne sais pas quoi faire pour ça.
Nath -elle aime les femmes, charmez-là.
Sophie -je ne suis pas lesbienne vous savez.
Nath -je ne vous demande pas ça, juste de la charmer avec vos atouts.
Sophie -je vais essayer mais je risque d'être maladroite, je vous préviens.
Nath -j'ai confiance en vous.
Sophie se retrouvait à une table avec Nath et Sandra, elle discutait ensemble de pas mal de choses et Nath les laissait seules toutes le 2.
Sandra -donc, vous débutez dans ce job ?
Sophie -oui, Nathalie m'a proposé ce poste et j'ai accepté.
Sandra -vous entrez dans un monde de femmes.
Sophie -je vois ça, je ne m'y attendais pas.
Sandra -pour les novices comme vous, cela va vous paraitre bizarre.
Elle posait sa main sur les cuisses de Sophie en disant ça.
Sophie ne réagit pas et la laissait faire.
Sandra lui caressait les cuisses à présent.
Sandra -venez à coté de moi.
Sophie obéis et Sandra prenait de l'assurance.
Sandra -si vous n'aviez pas été là, je ne serai pas venu, je suis là parce que vous êtes là.
Sophie -vous me faites rougir Sandra, de plus, je ne connais pas vos habitudes entre femmes.
Sandra -mon truc à moi, je vous le dis, c'est de me laisser faire par des mains féminines, je me donne sans donner.
Sophie -et vous aimeriez que je m'occupe de vous.
Sandra -oui, si vous me donnez du plaisir, je signe dès demain avec votre boite.
C'est vrai qu'elle était bien conservée mais Sophie ne se voyait pas la peloter ici devant tout le monde.
Sandra -à vous de voir maintenant.
Sophie -ici, devant tout le monde.
Sandra -je vous suivrai au bout du monde.
Sophie -allons dehors alors, ce sera plus intime.
Sandra -pas avant que vous m'ayez embrassé.
Sophie ne se démontait pas et approchait sa langue de la bouche de Sandra, elle lui tendait la sienne aussi et cela fit tout drôle à Sophie
Sandra -allons dehors maintenant, je veux vos mains sur moi.
Sophie -on va dans votre voiture ?
Sandra -si vous voulez, moi si on me regarde, cela ne me dérange pas.
Sophie -vous voulez rester ici.
Sandra -et pourquoi pas allez, venez.
Sophie lui roulait une pelle et lui pelotait les seins qui étaient somme toute encore assez ferme.
Elle ouvrait son chemisier, continuait à la peloter mais cette fois-ci au travers de la dentelle de son soutif noir et elle sentait ses tétons devenir bien durs.
Sandra -hum, u es douée Chérie.
On était passé du vous au tu.
Sophie -tu as une belle paire de seins.
Sandra -oui, et tu t'en occupes bien.
Sandra -enlèves ce qui te gêne.
Sophie enlevais son chemisier, sa jupe noire et Sandra n'avait plus que sur elle ses talons, ses bas, son shorty et son soutif.
Sandra -je suis trempée, voila l'effet que tu me fais.
Sophie -ce n'est que le début, attends de voir la suite.
Sandra -hum.
Sophie lui enlevait son soutif et lui bouffait les seins gloutonnement.
Plusieurs femmes s'était approchées pour voir le spectacle.
Puis Sophie descendait sa main vers sa chatte, elle était trempée en effet, Sophie jouait avec son clito.
Sandra -bouffes-moi, je veux sentir ta langue.
Sophie se décalait et se mit à genoux pour la bouffer.
Sandra mit un bon quart d'heure à orgasmer.
Sandra -hum, quel pied, en plus, plein de femme pour me mater, j'adore ça.
Sophie -je t'aurai bien goder après ça.
Sandra- demandez à la barmaid de lui donner ce qu'il faut.
On lui ramenait un gode et Sophie la godait longuement tout en lui roulant des pelles, Nath, bien sur, la matait surement avec envie.
Une fois que Sandra eut bien donné, elle se rhabillait et offrait une coupe à Sophie.
Sandra -préparez les contrats pour demain 11 heures, je viendrai les signer, soyez aussi belle que ce soir, vous me plaisez beaucoup.
Dès que Sandra fut partie, Nath vint voir Sophie .
Nath -alors Sophie ?
Sophie -elle vient signer demain matin à 11 heures.
Nath -bravo Sophie, je savais que je pouvais compter sur vous.
Sophie -oui, mais c'est quand même contraignant de faire cela.
Nath- je sais bien.
Sophie -je préfère quand même les hommes.
Nath -je m'en doute.
Sophie -et vous, vous aimez quoi, hommes ou femmes.
Nath -je m'adapte en fonction du client, mais comme vous avez pu voir, il n'y en a pas beaucoup, donc maintenant, je préfère les femmes.
Sophie -alors, laissez-moi le peu d'hommes qu'il y a.
Nath -promis Sophie et entre nous, je vous trouve très attirante comme femme.
Sophie -je m'en suis aperçu.
Nath -peut être qu'un jour, j'aurai le bonheur de partager notre intimité.
Sophie -peut être.
A SUIVRE.

Effectivement, la "période" Charles semble terminée...
Merci pour cet épisode.

Fifou arrive toujours à nous surprendre.

Dommage que Charles disparaisse, c'est délicieusement candauliste quand un autre se comporte comme le mari de Sophie devant Olivier...

Charles disparait mais un amant peut en cacher un autre sait-on jamais.

Sophie rentrait assez tard et Nath lui dis de venir que vers 10 heures le matin.
A11 heures Sandra était là et comme promis, signait avec Nath.
Sandra, bien sur, passait voir Sophie avant de repartir.
Sandra -merci pour ce merveilleux moment, j'ai pris un pied incroyable, je veux vous revoir.
Sophie vous savez, je ne suis pas une lesbienne.
Sandra -peu m'importe, je veux vous revoir, je vous appellerai.
Sophie -si vous voulez.
Sandra -je le veux, croyez-moi.
Nath vint voir Sophie ensuite.
Nath -j'ai entendu ses propos, allez-y, je vous compenserai les heures que vous passerez là-bas.
Sophie -non, laissez-moi faire, elle me veux, elle m'aura, mais ce ne sera pas gratuit.
Nath -vous avez raison Sophie.
Le vendredi, Sophie rentrait de bonne heure et quand je rentrais, elle se prélassait sur le canapé.
Moi -ca va Chérie ?
Sophie -oui, je me délasse.
Moi -n'oublies pas, mon pote viens ce soir.
Sophie -tu me veux sexy, c'est ça ?
Moi -oui, même très sexy.
Sophie -alors je le serai, mais n'oublies pas, j'ai carte blanche.
Moi -oui, je sais.
Moi -je vais me doucher et mettre un truc léger sur moi.
Sophie -tu mets un short sans rien en dessous, je veux voir si tu bandes quand j'exciterai ton pote.
Moi -si tu veux Amour.
Sophie -je me préparerai après toi.
Je sortais de la douche dans la tenue demandée par Sophie.
Moi -la place est libre.
Sophie -je vais m'habiller en salope, désolé pour toi, mais il faut que je baise ce soir.
Moi -tu as carte blanche, peux pas mieux te dire.
Sophie -oui, mais j'aime que tu saches les choses, je veux que tu sois jaloux.
Moi -te connaissant, je vais encore morfler.
Sophie -il est marié ?
Moi -non, divorcé depuis peu de temps.
Sophie -parfait, j'aurai moins de scrupules.
Sophie sortait de la salle de bains et allait dans notre chambre, je ne savais pas ce qu'elle mettrais mais je savais que ce serait très sexy.
Je ne fus pas déçu, robe très très courte rouge, très décolleté puisque celui-ci descendait jusqu'au milieu de ses seins, des bas noir avec la dentelle rouge et noire et un string en dentelle rouge qu'elle me fit montrer en levant sa robe.
Sophie -ton pote risque t-il de craquer ?
Moi -s'il ne craque pas, c'est qu'il est gay.
Sophie -et j'ai trouvé comment le provoquer.
Moi -vas-y, dis-moi.
Sophie -surement pas.
Gregory, mon pote sonnait à 19 heures et j'allais lui ouvrir.
Je lui présentais Sophie et il la regardait de haut en bas.
Moi -tu bois un apéro ou tu préfère une bière ?
Greg -l'apéro et plutôt Whisky si tu as.
Moi -j'ai, tu le veux comment ?
Greg -glaces stp.
Sophie -je m'occupe des glaçons.
Notre cuisine était ouverte sur le salon et la salle à manger, Sophie prit un bac et se penchait sur l'évier, je faisais semblant de ne rien voir mais Greg, lui la matait.
Moi -viens, on va s'installer dans le salon, pose ton dossier sur la table, on s'en occupe après l'apéro.
Je laissais le fauteuil à Sophie et lui demandais ce qu'elle voulait boire.
Sophie -comme vous.
Sophie qui ne buvait jamais d'alcool fort allait boire un Whisky, je n'en revenais pas.
Sophie -je vous prépare quelques amuse gueules.
Greg -merci c'est gentil.
Bien sur, Sophie avait bien préparé son coup, elle était légèrement penchée sur la table, dos à nous, on voyait ses bas et limite son string.
Je bandais, bien entendu de la voir salope à ce point.
Notre verre fini, je passais dans la salle à manger avec Greg, Sophie, elle restait dans le fauteuil et je priais Greg de s'assoir pratiquement face à elle et moi de dos.
Mon téléphone vibrait.
Sophie -il me plait ton pote, il me le faut absolument, resserres-moi un verre.
Moi -tu vas être saoule.
Sophie -je suis déjà touchée, je vais faire une exhibe pour lui.
Moi -si tu en as envie, vas-y.
Moi -Greg, tu en veux un autre ?
Greg -je me laisserai bien faire par un 2eme verre.
Je me levais et servais de nouveau, Sophie recommençait son manège à l'évier avec les glaçons.
Puis, elle repris sa place dans le fauteuil, croisant lentement ses jambes pour que Greg mate bien.
On discutait environ 20 minutes de son projet de tournoi de foot, mais je sentais bien qu'il était préoccupé par autre chose.
Moi -tu manges avec nous, je vais chercher des pizzas vite fait.
Greg -tu crois ?
Moi -tu as bu un peu, il faut éponger.
Greg -ok.
Moi -je vais directement les chercher Chérie, ce sera mieux.
Sophie -vas Amour.
J'enfilais un pull et partais espérant que ma Sophie le fasse craquer complètement.
Sophie -je boirai bien un dernier verre.
Greg -je vous sers ?
Sophie -oui, je vais faire les glaçons pendant ce temps là.
Même manège à l'évier et maligne comme elle était, elle se baissait face à lui pour mettre les glaçons dans son verre, il avait une vus de ses seins imprenable et ne se gênait plus pour regarder.
Sophie -le spectacle vous plait.
Greg -oui, vous êtes magnifique.
Sophie -merci.
Greg -et Olivier ne dit rien quand vous vous habillez ainsi devant un autre homme ?
Sophie -non, c'est lui qui veut ça.
Greg -il n'est pas jaloux ?
Sophie -si, justement, c'est ce que moi j'aime, je veux qu'il soit jaloux.
Greg -donc, si je comprend bien, vous avez revêtu cette tenue pour moi, pour rendre jaloux Olivier.
Sophie -oui, à sa demande.
Greg -et j'ai juste le droit de voir ?
Sophie -à votre avis ?
Greg -une réponse à une question par une autre question, n'est pas une réponse.
Le téléphone de Sophie sonnait.
Moi -oui, c'est moi, plus d'une demi heure d'attente, je rentre ?
Sophie -non, attends.
Moi -ok, j'ai compris.
Elle raccrochait.
Sophie -les pizzas pas avant une demi heure, il attend sur place.
Greg -vous n'avez pas répondu à ma question Sophie.
Sophie -laquelle déjà.
Greg -j'ai juste le droit de voir ?
Sophie -si vous en voulez plus, vous venez le chercher.
Greg -carrément.
Sophie -je ne peux pas dire mieux.
Greg -et Olivier ?
Sophie -je lui dirais tout, après c'est à vous de voir, moi, mon but est qu'il soit malade de jalousie.
Greg se levait, passait derrière le fauteuil, et descendait ses mains dans le décolleté de Sophie.
Sophie -vos mains sont douces et agréable.
Greg -j'adore vos seins, hum, vos tétons deviennent tout dures, j'adore, je vais vous les bouffer.
Sophie se levais et fit tomber sa robe en un rien de temps.
Sophie -viens.
Greg n'en revenait pas, il jouait et bouffait ses seins et Sophie gémissait de plaisir et de bonheur.
Sophie le prit par la main et l'emmenait dans sa chambre, là, elle lui enlevait tout et tombait sur une très belle queue qui était bien raide.
Sophie -hum, belle queue, je vais aller m'en occuper.
Greg -doucement, il y a longtemps que je n'ai pas eu une femme entre mes mains.
Sophie -pas grave si tu jouis vite, je te veux, tu me plais et je vais faire de toi mon amant favori, tu veux bien ?
Greg -qui oserait dire non, pas moi.
Sophie le branlait et le suçait.
Greg -laisses moi caresser et bouffer ta chatte.
Sophie -hum, viens.
Sophie s'allongeait sur le lit et Greg prit bien soin de sa chatte puisqu'il lui procurait un bel orgasme.
Sophie -tu vas jouir maintenant, on fera l'amour la prochaine fois.
Greg -oui, suces-moi.
Greg éjaculait peu de temps après et Sophie avalait tout et lui nettoyait sa queue.
Greg -allez, rhabillons-nous, Olivier ne vas pas tarder.
Sophie -pas de panique, c'est lui qui veux ça.
Le temps qu'il se rhabille et Olivier était là.
Ils mangèrent et Greg prit congé d'eux.
Moi -alors ?
Sophie -je l'ai eu, il ne m'a pas prise mais je lui ai donné un orgasme et il a jouit dans ma bouche.
Moi -hum, j'adore.
Sophie -on a été dans la chambre, cela m'a encore plus excité, je veux le revoir, demain, tu lui donne mon numéro, c'est un ordre.
Moi -oui mon Amour.
Sophie -et j'aimerai aussi que tu te branle devant moi.
Moi -oui, mais parles-moi en même temps, cela m'excite Chérie.
Sophie -oui, il va devenir mon mant régulier, il a une bonne queue et j'ai hâte de la sentir en moi, il me baisera sans toi, je ne veux pas que tu me vois avec lui, jamais.
Moi -hum, tu m'excites grave, là.
Sophie -je découcherai pour aller dormir chez lui, et toi quand je voudrais baiser ici, tu iras à l'hôtel.
Moi -oui Amour, je vais jouir.
Je jouis en plusieurs giclées abondamment.
Sophie -tu as dis oui à tout, tu ne peux pas revenir en arrière maintenant.
Moi -oui, je sais, mais j'assume mon choix.
Sophie -hum, j'adore te tromper encore plus avec un pote à toi.
Moi -espérons qu'il ne le crie pas sur les toits.
Sophie s'il le fait, il ira voir ailleurs, donc donnes-lui mon numéro que je tempère ces ardeurs dès demain.
Nous allions nous coucher et Sophie s'endormit sur mon épaule.
A SUIVRE.

On dirait que le successeur de Charles se profile...
En tout cas, ce n'est toujours pas Olivier qui en profite !

clahire, attention, mes récits sont souvent des surprises la ou on ne les attends pas

Dès mon réveil, j'envoyais le numéro de Sophie à Greg, je ne voulais pas qu'il chante partout qu'il avait baisé Sophie.
Sophie, au réveil, me demandait son numéro et lui envoyait un texto.
Sophie 6coucou Greg, si tu veux que notre histoire dure, gardes pour toi ce qu'il se passe entre nous.
Moi -bien mon Amour, attendons sa réponse.
2 heures plus tard, Greg répondait.
Greg -bonjour Sophie, n'aies crainte, je garde cela pour moi et j'ai hâte de te revoir.
Sophie -quand tu veux, je veux aller plus loin avec toi.
Greg -moi aussi, dis-moi quand tu es dispo, je le serai aussi.
Sophie -je vois avec Olivier et je te redis ça.
Greg -et si on se voit, je te veux aussi sexy qu'hier soir, j'aime ta lingerie.
Sophie -si tu aimes ça, tu vas être gâté alors.
Greg -hum, j'ai vraiment hâte.
Le samedi passait à la vitesse de l'éclair, j'avais pas mal de choses à faire et ne rentrais que vers 17h30, Sophie avait fait son ménage.
Moi -ça va comme tu veux.
Sophie -oui, ma maison est propre.
Moi -oui, j'ai vu ça.
Sophie -j'ai envie de passer la soirée avec Greg, je veux finir ce que l'on a commencé, cela te dérange ?
Moi -je n'ai pas le choix, si je te dis non, tu le feras quand même.
Sophie -oui, c'est sur, mais je ne sais pas si je le fais venir ou pas.
Moi -fais-toi inviter au restaurant, il est très aisé, tu sais.
Sophie -bonne idée.
Sophie envoyait un texto à Greg.
Sophie -envie de passer la soirée en ta compagnie, es tu libre ?
Greg -non, hélas, je suis avec mon fils ce soir et demain toute la journée, possible demain soir si tu veux.
Sophie -dommage, pour demain soir, je te confirme si cela est possible.
Greg -j'espère que oui, j'ai envie d'être avec toi.
Sophie était déçu, je le ressentais dans son comportement de la soirée.
Elle se couchait à 22 heures, me plantant devant la télé.
Le lendemain, elle se levait bien avant moi et n'était plus là quand je me levais, quel mystère avait pu la faire se lever si tôt.
Elle revint vers 11 heures.
Moi -tu était où, je m'inquiétais Amour.
Sophie -j'ai été faire un jogging.
Moi -tu cours maintenant, c'est nouveau.
Sophie -oui, mais je n'ai pas couru seule.
Moi -ah bon.
Sophie -oui, j'ai rejoins Greg, on voulait se voir avant ce soir.
Moi -et vous avez couru vraiment ?
Sophie -non, pas vraiment.
Moi -allez, racontes-moi tout.
Sophie -oui, donc, je l'ai rejoint à l'orée des bois à coté de chez lui, on est parti en petite foulée pendant un petit kilomètre, mais il avait trop envie de moi, on est rentré dans le bois et on a fait l'amour comme des fous.
Moi -vous vous êtes protégés ?
Sophie -non, il avait fait un test HIV dans la semaine.
Moi -ouais.
Sophie -oui et je le crois, toutes façon, je ne dors pas là ce soir, je dors chez lui.
Moi -au cas ou tu aurais oublier, on est lundi demain.
Sophie -oui, je le sais, je vais me faire un sac avec mes affaires pour demain.
Moi -tu rentres demain soir quand même.
Sophie -oui, pas avant.
Le dimanche fut interminable pour moi, elle ne m'adressait pratiquement pas la parole et passait la journée sur son tel surement avec Greg.
Elle préparait son sac et se préparait après.
Voici sa tenue
Robe noir en cuir avec des boutons assez gros devant, fendue derrière, surement des dessous noirs, bas noirs et talons hauts.
Sophie -j'espère du fond du cœur que ma tenue te plait et que tu es fou de jalousie.
Moi -comment veux tu qu'il en soit autrement.
Sophie -tant mieux alors, regardes bien ta femme partir pour passer la nuit avec ton pote, j'espère qu'il me prendra au moins 2 fois, et ça je te l'encerrai en texto.
Moi -tu es dure avec moi.
Sophie -tu ne mérites que ça, tu as voulu que je baise avec lui, bah maintenant, c'est mon amant, et tiens regardes comme ça tu sais comment je suis vêtue entièrement.
Elle ouvrit les boutons de sa robe en cuir et me dévoilait des dessous mauves string et soutif tout en dentelle compris porte jarretelle.
Sophie -et oui Chéri, il aime ma lingerie alors je lui fais plaisir.
Moi -c'est infâme de me faire subir ça.
Sophie -j'aime que tu sois malade de jalousie, j'adore ça, allez à demain.
Moi -bisous.
Sophie -tu n'auras pas de bisous, je les réserve pour Greg, bye
Et elle partait sans même se retourner.
Je reçus un texto un peu plus tard.
Sophie -et ne t'avises pas à aller trainer pendant que je ne suis pas là, tu es à moi, tu restes à la maison à attendre de mes nouvelles.
Ils avaient choisi un restaurant éloigné d'où ils habitaient pour ne pas tomber sur des gens qu'ils connaissaient.
Quand elle rentrait dedans, beaucoup de gens se retournait pour la regarder.
Greg -quel succès Sophie, tu attires les regards, attention, je ne suis pas partageur.
Sophie -la prochaine fois, je mettrais un jean dans ces cas là.
Greg -surement pas.
Sophie -alors, laissent-les regarder.
Greg commandait une bouteille de champagne et ils trinquèrent à leur rencontre.
Sophie -donc, tu es libre un week-end sur deux.
Greg -oui, je ne peux pas faire autrement, j'ai besoin de voir mon fils.
Sophie -je te comprend, mais ce sera des longs moments toute seule.
Greg -je sais, laisse-moi un peu de temps.
Tout en parlant, Sophie se faisait mater par un homme en couple dont la femme leur tournait le dos, Greg non plus ne pouvait pas voir, Sophie l'avait remarqué et bien sur, jouait à lui en faire montrer un peu.
Greg ne remarquait rien et cela excitait Sophie de chauffer un homme accompagné de sa femme.
Ils commencèrent à diner et Greg parlait, parlait, Sophie écoutait mais était ailleurs.
Au milieu du repas, Sophie allait aux toilettes et en ressortant, l'homme était là.
L'homme -voici ma carte, appelez-moi demain.
Sophie peut être.
L'homme -s'il vous plait.
Sophie -je verrais.
Et il retournait à sa place auprès de Greg.
Il payait la note et se retrouvèrent dans sa maison.
Il lui fit l'amour, bien sur, mais Sophie était toujours ailleurs.
Le lendemain, Sophie arrivait au boulot et Nath l'attendait.
Nath -ah Sophie, je vous attendait, je n'ai pas osé vous appeler ce week-end, j'ai besoin de vous en urgence.
Sophie -fallait, j'étais chez moi.
Nath -pas grave, on a une urgence à gérer sur Nice.
Sophie -dites-moi tout.
Nath expliquait à Sophie ce qu'il se passait.
Nath -j'ai réservé l'avion, on décolle en début d'après-midi, retour demain soir.
Sophie -je n'ai pas de quoi me changer sur place.
Nath -on a 3 heures devant nous, on va aller faire des emplettes toutes les deux.
Sophie -je préviens mon mari et je suis prête.
Sophie m'appelait pour m'expliquer et je lui répondis de prendre soin d'elle et de faire attention.
Le chauffeur les emmenait et ils firent plusieurs boutiques.
Dans l'une d'elle, alors que Sophie essayait une robe, Nath se permit d'écarter le rideau pour la mater.
Sophie -ne vous cachez pas, si vous voulez voir, entrez.
Sophie essayait une robe blanche avec un zip derrière.
Sophie -fermez derrière s'il vous plait.
Elle se regardait dans la glace.
Sophie -je prend celle-ci.
Nath -elle vous va très bien, par contre, vous allez achetez des dessous blanc pour aller avec, parce que là c'est comme si vos n'aviez pas de robe.
Sophie -cela vous plait quand même de voir au travers de ma robe..
Nath -oui bien sur, j'aime vous regardez, vous me fascinez
Sophie -allez, ouvrez-moi le zip que je me rhabille.
Nath descendit le zip tout en frôlant sa peau, Sophie frissonnait.
Nath -vous êtes sensible en lus.
Sophie -oui, un peu et de temps en temps cela arrive.
Nath -ravie que cela m'arrive à moi.
Sophie se retrouvait juste en dessous et remit son tailleur gris avec sa jupe droite serrée et fendue sur les cotés.
Sophie sortait sa CB pour payer.
Nath -ça ne va pas Sophie, c'est moi qui vous offre cette robe.
Sophie -bah non, je peux ma l'offrir.
Nath -vous n'allez pas me vexer.
Sophie -d'accord.
Ensuite, elle firent un magasin de lingerie et de la même manière, Nath s'invitait dans la cabine d'essayage.
Sophie ressortait avec deux ensembles(string, soutif et porte jarretelle), un noir et un blanc plus 3 paires de bas en nylon (1 blanc et 2 noirs).
De la même manière, c'est Nath qi payait.
Nath -super, on peux partir pour Nice maintenant.
Dans l'avion, Nath expliquait à Sophie pourquoi elles se déplaçaient là-bas.
Sophie -va falloir la jouer assez serrée j'ai l'impression.
Nath -oui, c'est lui qui dirige, mais c'est elle qui tient la bourse.
Sophie -on n'est combien à espérer pouvoir emporter le jackpot.
Nath -3, dont une qui est notre rival direct, mais ma botte secrète, c'est vous Sophie.
Sophie -je ne suis pas Superman.
Nath -peut être mais vous avez un atout majeur.
Sophie -lequel ?
Nath -ce sont des lesbiennes mais c'est l'homme qui prendra la décision.
Sophie -ok, bien vu Nathalie.
Nath -au fait, j'ai viré 2000 euros sur votre compte ce matin avant que vous arriviez, c'est la prime pour Sandra.
Sophie -waouh, cela vaut la peine de se démener.
Nath -je compte sur vous, nous avons l'avantage de passer les derniers, vous devez le convaincre de diner avec vous ce soir.
Sophie -je vais tout faire pour, ne vous inquiétez pas.
Nath -je vous ai fait des cartes de visite et voici votre nouveau téléphone de fonction, ne l'éteignez jamais.
Sophie -d'accord.
Nath -j'ai réservé un hôtel mais je n'ai pris qu'une chambre, cela ne vous dérange pas.
Sophie -pas du tout.
Nath -ainsi, je pourrai savoir dès que vous rentrerez.
Sophie -et pourquoi de votre coté, vous n'inviteriez pas sa femme à diner.
Nath -parce que quand vous la verrez, vous comprendrez de suite.
L'avion se posait et une voiture les attendait à la sortie de l'aéroport, Nath avait tout prévu.
Nath -passons à l'hôtel avant, je dois me changer, vous, vous restez habillé ainsi.
Sophie -oui Nathalie.
Dans la chambre, Nath ne se cachait même pas de Sophie et elle fit glisser sa robe se retrouvant en dessous.
Elle portait elle aussi de la lingerie fine, là, c'était tanga, soutif et porte jarretelle noir, bas à couture noirs.
Elle enfilait une robe fuchsia.
Nath -fermez le zip derrière s'i vous plait, Sophie.
Sophie obéis et elles partirent à leur rdv.
Pendant le trajet, Sophie envoyait un texto au mystérieux inconnu du resto de la veille.
Sophie -bonjour, je suis Sophie, la femme du restaurant hier soir.
La réponse fusait.
L'homme -bonjour, je suis trop content de vous lire, je m'appelle Philippe.
Sophie lui expliquait qu'elle était à Nice pour 2 jours.
Il lui demandait quand il pouvait se voir et elle lui répondait qu'elle ne savait pas, qu'elle le tenait au courant.
les fille étaient arrivées, elle attendaient dans le hall qu'ont viennent les chercher.
A SUIVRE.

Effectivement Fifou, tu sais nous surprendre !

Tout de même, moi j'aimais bien quand Charles était là. J'adore quand Sophie a une liaison quasi-maritale avec un autre devant Olivier...

laissez venir, je peux encore vous surprendre et plus que vous ne le pensez
je vous réserve encore quelques surprises.

Elles entraient dans le bureau ou M.et Mme X les attendaient.
Nath était un peu tendue, elle justifiait les prix demandés sur son devis, faisait gloire de sa société en bref, elle se vendait bien.
Sophie intervenait rarement dans ce face à face.
Madame -notre décision sera prise ce soir, vous aurez la réponse demain matin, sachez juste une chose, vous n'êtes plus que 2 sur le projet, la 3eme étant complètement à coté de la plaque.
Nath -si votre décision est prise, permettez-nous de vous convier à diner ce soir.
Madame -non, merci, nous sommes déjà conviés ailleurs.
Monsieur -vous recevrez un mail demain pour vos indiquez notre choix.
Elles sortaient du bureau et se retrouvait dehors.
Nath -alors, Sophie, vous en pensez quoi ?
Sophie -je n'en sais rien, ils ne laissent rien transparaitre.
Nath -c'est exactement cela.
Sophie -pourtant, s'il n'a pas vu la couleur de mon string, ce n'est pas de ma faute, j'ai tout fait pour ça.
Nath -oui, j'ai vu, attendons maintenant, nous n'avons plus que ça à faire.
Sophie -hélas, oui.
Nath -on s'offre un verre en terrasse quelque part ?
Sophie -oui volontiers.
Elles s'installèrent à une terrasse et commandèrent 2 boissons rafraichissantes.
Nath -on va quand même s'offrir un bon petit resto ce soir Sophie, on ne va pas se priver.
Sophie -oui, on aurai tors de s'en priver.
Sophie -je vais passer dans la boutique en face de nous, les dessous en vitrine ont l'air sympa, cela ne vous dérange pas.
Nath -non, je vous accompagne même.
Sophie regardait la vitrine avant d'entrer.
Là, elle s'intéressait avant tout aux ensembles, puis aux guêpières, puis aux robes sexy et enfin demandait à la vendeuse d'essayer.
Sophie essayait beaucoup de choses et demandait à chaque fois l'avis à Nath qui se faisait un réel plaisir à la mater.
LA vendeuse en profitait aussi et ne cachait pas pour mater.
Nath s'en rendit compte et lui passait sa main sur les fesses, chose à laquelle, elle répondit par un grand sourire.
Nath -moi aussi, je vais essayer quelque chose.
Elle entrait dans un cabine d'essayage, enlevait sa robe et la vendeuse lui ramenait un ensemble string soutif.
Nath essayait et appelait la vendeuse pour qu'elle lui dise ce qu'elle en pensait.
Nath prenait ses seins à pleines mains.
Nath alors ?,
La vendeuse -parfait pour moi.
Nath -vous croyez, j'ai l'impression que les bonnets sont trop larges, regardez.
Nath écartait un bonnet et fit plonger la main de la vendeuse dedans.
Elle n'en espérait pas tant et attrapait l'autre sein avec sa 2eme main.
Nath -hum, oui.
Elle lui enlevait son soutif et jouait avec ses tétons.
Nath gémissait.
Sophie, curieuse, écartait le rideau et regardait sa patronne se faire caresser.
Nath s'en aperçut.
Nath -entrez Sophie, regardez-moi, je vais me faire prendre devant vous.
Elle s'asseyait sur le tabouret, écartait son string et la vendeuse vint lui bouffer sa chatte.
Cela excitait Sophie et elle se mit à peloter les fesses de la vendeuse en lui relevant sa mini jupe laissant apparaitre un magnifique tanga rose tout en dentelle.
Nath ne quittait pas Sophie des yeux, Sophie, elle avait descendu sa main plus bas et tripotait son cul à présent.
Nath sentait qu'elle allait décoller sous les coups de langue de la vendeuse.
Sophie jouait maintenant avec le clito de la vendeuse, elle était inondée puis Nath orgasmait en serrant les jambes tellement c'était fort.
Elle se levait et mit la vendeuse à sa place et elle s'employait à lui rendre l'orgasme qu'elle venait de lui faire donner.
Sophie se contentait de regarder, elle aimait aussi mater 2 femmes ensemble.
Nath tout en lui bouffant sa chatte, tentait une main sur les jambes de Sophie qui la laissait faire.
Nath remontait sa main et caressait le haut de ses bas.
La vendeuse orgasmait à son tour.
Nath se relevait et fit un smack à Sophie.
Sophie en achetait pour 400 euros et la vendeuse lui fit 20% sur le tout.
Nath en prit quand à elle pour 200 euros.
Elle sortirent contente de leurs achats.
Nath -très bon moment je trouve.
Sophie -oui, j 'ai bien aimé aussi.
Le téléphone de Sophie se mit a vibrer, c'était Philippe.
Philippe -rebonjour Sophie, mais depuis hier soir, je ne pense qu'à vous, envoyez-moi une photo.
Sophie -à ce point là, incroyable, je vous envoies ça.
Sophie joignait une photo d'elle et l'envoyait à Philippe.
Nath -rien de grave Sophie.
Sophie -non, c'est un homme que j'ai rencontré par hasard hier au restaurant et qui a flashé sur moi, il m'a glissé sa carte quand je suis allé aux toilettes.
Nath -d'accord, il vous plait si vous l'avez contacté.
Sophie -oui, je vous avoue qu'il m'a troublé.
Nath -vous êtes une charmeuse Sophie.
Sophie -je n'ai rien fait pour ça, il voyait juste mes bas d'où il était assis.
Elle rentrèrent à l'hôtel et se douchèrent à tour de rôle.
Nath mettait un tailleur veste pantalon et Sophie enfilait sa robe blanche et les dessous blanc que Nath lui avaient offert.
Nath -vous êtes splendide Sophie.
Sophie -vous aussi, ce tailleur vous va très bien.
Le téléphone de Nath sonnait.
Nath -allo.
Madame -oui bonsoir, désolé de vous déranger, votre invitation à diner tient toujours ?
Nath -bien entendu.
Madame -donc, nous vous rejoindrons vers 20h30.
Nath -avec plaisir.
Nath raccrochait et annonçait la nouvelle à Sophie.
Ensuite, elles partirent pour le restaurant et leurs invités arrivèrent un peu plus tard.
Ils burent un très bon champagne et mangèrent un super repas.
Nath réglait l'addition et Madame leur dit.
Madame -venez boire un dernier verre à la maison.
Nath -pas pour moi, j'a un affreux mal de tête, mais Sophie va vous accompagner.
Sophie -oui, bien sur.
Nath -je prend un taxi, gardez la voiture Sophie.
Madame -pas la peine, notre chauffeur la ramènera.
Sophie montait dans leur Mercédès et se retrouvait entre elle et lui.
Monsieur- vous êtes ravissante Sophie, n'est ce pas Chérie
Madame -plus que ravissante, je dirais.
Elle posait sa main sur sa cuisse, immédiatement imité par son mari.
Sophie les laissait faire et savait déjà comment allait se finir la soirée.
Ils habitaient au 1er étage d'un immeuble de standing, Monsieur montait en 1er suivi de Sophie et de Madame qui passait sa main sous la robe à Sophie.
Elle laissait faire, ses mains étaient douces et Sophie appréciait.
Quand elle entrait dans leur appartement, Sophie croyait entrer dans la caverne d'Ali Baba, tout n'était que dorure et argent.
Madame -une coupe de champagne ?
Sophie volontiers.
Madame -tu vas en chercher Paul stp.
Paul -oui, Aline.
Aline -asseyez-vous Sophie, je vous en prie.
Sophie merci.
Aline -comme vous avez pu vous en rendre compte, nous sommes un couple libertin, donc, ne soyez pas étonné si Paul revient à poil.
Sophie -cela ne me choqueras pas.
Aline -tant mieux.
Paul revenait complètement nu avec juste un cockring autour de sa queue qui bandait déjà.
Paul -Aline vous a prévenu, vous nous plaisez à tout les 2, c'est pour cela que nous avons refusé l'autre diner et vous attirez chez nous.
Sophie -et Nathalie ?
Aline -elle faisait parti du plan, je lui ai envoyé un texto après mon appel.
Sophie -donc, vous allez me baiser tout les deux ensemble.
Paul -oui et si vous êtes là, cela dois vous plaire.
Sophie -je n'ai jamais fait cela avec un couple, mais faut un début à tout.
Aline -vous aimez quoi surtout ?
Sophie -j'adore sucer une queue.
Aline -hum, viens Paul, donnes lui ta queue, ou non, allez le sucer pendant qu'il nous sert.
Sophie se levait, s'agenouillait devant lui et enfournait sa queue.
Aline se déshabillait et se retrouvait juste avec sa guêpière, ses bas et ses talons.
Elle se mit aussi à genoux derrière Sophie et lui prit les seins à pleines mains.
Aline -depuis cet après-midi vos seins me faisait rêver et maintenant, ils sont dans mes mains.
Sophie -prenez-les, je vous les prête.
Paul leur tendait leurs verres et Aline la but d'un trait.
Aline -viens, je vais te bouffer partout.
Sophie se relavait et Aline lui roulait une pelle tout en faisant glisser sa robe par terre.
Paul s'était assis et se branlait lentement à les regarder.
Aline avait retirer le soutif de Sophie et lui bouffait les seins faisant pointer le bouts.
Aline - Paul redonnes-moi une coupe.
Paul la resservit et elle fit couler le champagne sur les seins de Sophie qu'elle léchait ensuite.
Sophie -embrasses-moi.
Aline l'embrassait la bouche pleine de champagne et elle le partageait avec Sophie.
Paul s'était rapproché et tendait sa queue à Sophie qui se mit à la branler.
Aline se joignait à elle et elle se la partageait.
Aline -Chéri, je veux qu'elle s'empale sur ton pieu.
Paul s'asseyait et Sophie s'empalait sur lui de dos et Aline jouait avec ses seins et son clito.
Paul était très résistant puisque qu'après, il fit mettre Sophie à genoux sur le canapé et la prenait en levrette.
Aline, s'asseyait sur le dossier, écartait son shorty noir et donnait sa chatte à Sophie.
Sophie ne se fit pas prier, malgré les coups de queue de Paul, elle arrivait à jouer avec sa langue et son clito.
Puis Paul s'arrêtait un peu, Sophie alors s'occupa sérieusement du corps d'Aline.
Elle la léchait partout, Aline gémissait beaucoup, et elle criât presque lorsque Sophie la fit orgasmer.
Aline -hum, quel moment délicieux Sophie, j'aime me donner à une femme comme toi.
Sophie -je m'abandonne à vous 2, faites de moi ce qi bon vous plaira
Aline -hum, alors je vais te faire morfler si c'est que tu veux.
Aline prit un gode ceinture dans un tiroir, fit mettre Sophie de nouveau à genoux sur le canapé et le pénétrait sans ménagement.
Paul contournait le canapé et lui fourrait sa queue dans la bouche.
Aline -maintenant, je vais t'enculer, tu aimes ça ?
Sophie -j'aime tout, vas-y défonces-moi.
Aline l'enculait violemment et Paul sentait qu'il allait jouir.
Sophie -vas-y jouis dans ma figure.
Paul éjaculait fortement dans sa figure.
Sophie -viens Aline, viens avaler le foutre de ton mari.
Aline -hum oui.
Ils se partagèrent le foutre en se roulant des pelles.
Ensuite, Sophie se rhabillait et il burent une coupe de champagne.
Aline -on peux vous le dire à présent, le marché est pour vous, notre décision était prise avant ce moment de folie.
Sophie -alors, a vous de me rendre service, dites à Nathalie que ce moment de folie a fait pencher la balance, ma prime sera plus grosse.
Paul -pas de souci, par contre, faut revenir nous voir, on pourrait même rajouter un homme ou deux si cela vous plait.
Sophie -oui, je vous dis oui, allez à bientôt et je compte sur vous.
A SUIVRE.

Je te fais entièrement confiance, Olivier va encore être le plus heureux des candaulistes

Moi aussi je préfère quand Olivier est présent et qu'il peut constater à quelle point sa femme appartient à un autre.

Oui, nous sommes d'accords.
Mais patience, je pense que Fifou prépare le terrain pour une grosse rasade de candaulisme pur jus (si j'ose dire ) pour Olivier...