du changement, mais toujours du candaulisme.

Merci pour ce nouvel épisode.
Hâte de savoir ce que tu nous mijotes...

Voilà une suite qui laisse présager de nouvelles aventures torrides !...

Vivement que Fifou publie la suite.

Vraiment ? personne ne s'attendait à un reboot alors que c'est déjà arrivé dans cette histoire. Néanmoins l'astuce du cauchemar était plus original qu'ici pour reboot.

Un cycle identique recommence je suppose, avec un début en partage pour finir dans l'indifférence et le non amour. Mais toujours avec un Olivier dénué de raison et de réaction qui encaisse tout sans broncher, telle une huitre accroché sur son rocher dont il partage le charisme.

Réjouissez vous, mon intervention aura permis de ne plus voir "morflé" dans le récit, c'est un grand progrès que je salue, bravo. Si dans les prochains chapitres, le mot "orgasmer" n'est plus utilisé alors j'écrirais un poème en l'honneur de Fifou et de son talent.

Harlequin ? très peu pour moi, je suis plus dans les histoires érotiques anglaises, dans ma grande bonté je vais vous donner le nom des plus grands auteurs d'un site Anglais très connu : Harddaysknight, qhml1, Tx Tall Tales, DG Hear, saddletramp1956. Enjoy

Étonnant chez Polpolp cette obstination à continuer à lire une histoire qui ne lui convient pas...
Passons...

Ne t'en occupe pas Fifou et vivement la suite !

Oui, visiblement polpolp aime davantage le masochisme que le candaulisme puisqu'il continue à lire une histoire qu'il n'aime pas !
Qu'il aille lire ses histoires en anglais si telle est sa préférence et qu'il nous laisse nous délecter de la saga de Fifou...

quel dommage qu'on ne puisse pas empêcher certains membres de vous lire car ce M. Polpolp serait déjà supprimé.
Qu'on aime pas ce que j'écris, je le comprend, mais dans ces cas là, qu'il ne fasse pas de commentaires désagréables et qu'il reste avec ses auteurs anglais, ce n'est pas moi, ni personne qui le forçons à lire, alors M. Popold, contentez vous de lire et gardez vos commentaires pour vous.

j espere que ce n est pas ca qui vous empche de continuer a nous regaler de vos recit

Je n'ai jamais dis que je n'aimais pas ce récit, pour moi c'est un texte comique très réussi , nuance. J'ai beaucoup rit avec ses dialogues et ce scénario.

Mon commentaire vous aura aidé à vous améliorer en terme de vocabulaire, c'est une grande fierté pour moi et un bénéfice pour vos fidèles lecteurs ( qui d'ailleurs ne doivent pas être très regardant car plus préoccupé par leur main dans le pantalon si j'ose dire)

Un grand merci à Marmae pour son intervention en tant que co-administrateur !

Oui, merci au modérateur pour son intervention !

Tout à fait d'accord avec les messages précédents.
A toi de jouer, Fifou !

"Sophie -je ne sais pas encore, mais je le répète, tu ne me touches pas."

Sophie ne sait peut-être pas ce qu'elle veut exactement, mais au moins elle sait ce qu'elle ne veut pas...
Mais qu'Olivier se rassure, il pourra toujours continuer à se masturber en l'écoutant lui raconter ses cocufiages !

Continue comme ça Fifou !

Merci au modérateur pour son intervention, cela va me permettre de continuer à vous faire plaisir en vous écrivant les aventures de Sophie et Olivier.

Voila, Sophie dormait à présent dans son appart, pas tout les soirs mais 3 à 4 fois par semaine, elle ne recevais personne, même pas moi, cela me désolais un peu.
Sophie -c'est chez moi, tu viendras que si tu es invité.
Moi -c'est pas bien ce que tu fait, je n'ai même pas un double des clefs s'il t'arrive quelque chose.
Sophie -non, tu n 'auras pas de double, je ne veux pas que tu viennes espionner chez moi.
Moi -pff
Sophie -pas la peine de souffler, c'est comme ça.
Je n'insistais pas, de toutes façons, elle était bornée.
Sophie -on bouge quand dans la nature ?
Moi -quand tu veux, je suis à ta disposition.
Sophie -moi aussi , je suis dispo.
Moi -je te dirai, mais pourquoi, tu ne fais pas cela chez toi, tu peux inviter des potes à nous pour un soirée pizza ou autres.
Sophie -oui, c'est possible, mais je n'en ai pas envie pour le moment.
Moi -et niveau femmes, tu en est où ?
Sophie -je vois Sandra tout les 15 jours, c'est tout.
Moi -toujours rien avec ta patronne.
Sophie non, toujours rien.
Moi -incroyable que tu résistes de la sorte.
Sophie -je ne résiste pas mais le jour ou je l'aurai, ce sera forcément très fort.
Moi -je me doute.
En outre, Sophie était harcelée de textos et de messages vocaux de la part de Philippe qui ne pouvait se passer d'elle.
Sophie l'ignorait totalement et ne répondait plus depuis déjà quelques temps
Il y avait du nouveau dans son boulot, Nath, en effet, voulait embauché pour assister Sophie dans son boulot.
Nath -surtout, ne le prends pas mal, elle sera juste là pour t'aider dans ton boulot, tu restes mon bras droit, j'ai trop besoin de toi.
Sophie -oui, je comprend, mais jusqu'à maintenant, je me débrouillais très bien toute seule, pourquoi aujourd'hui ?
Nath -tout simplement parce que je vais ouvrir un succursale dans le midi et partir là-bas et toi, tu seras la gérante d 'ici.
Sophie -waouh, super Nath, quelle confiance de ta part.
Nath -oui, je vais essayer, pas sur que cela marche, mais je veux au moins essayer.
Sophie -elle commencera quand la nouvelle ?
Nath -elles viennent vendredi pour la présentation et commencera le mois prochain.
Sophie -pourquoi, elle viennent ?
Nath -parce qu'elles seront 3 à se présenter et tu choisiras celle qui t'inspire le plus confiance par apport au cv et à la présentation.
Sophie -toi, tu pars quand ?
Nath -pas tout de suite, il faut que je trouve l'endroit ou m'installer, donc, je ne serai pas souvent là dans les prochaines semaines.
Sophie -tu seras là, vendredi pour le recrutement ?
Nath -non, tu te débrouilleras toute seule, moi, je les ai déjà rencontré, mon choix est fait, on en parlera quand tu les aura reçu à ton tour..
Sophie -et si, on est pas d'accord ?
Nath -on en discuteras et on choisiras ensemble.
Sophie -très bien.
Sophie rentrait dormir à la maison ce soir là.
Elle pensait que j'étais seul, mais non, un collègue bénévole (Bertrand) était venu me voir pour mettre au point quelques détails concernant le prochain gala.
Moi -coucou, tu rentres ce soir, je pensais que c'était que demain.
Sophie -oui, j'ai pris de l'avance, donc je suis rentrée.
Sophie m'avait compris et était entré dans mon jeu de faire comme si elle vivait ici à plein temps.
Moi -je te présente Bertrand, je pense que vous vous êtes croisés au dernier gala et Bertrand voici Sophie, ma femme.
Bertrand -bonsoir Sophie.
Sophie -bonsoir, effectivement, je vous ai déjà vu.
Bertrand -oui je confirme.
Sophie -bon, je vais me doucher.
Moi -oui, vas, Bertrand reste diner ici.
Sophie -tu as prévu pour moi ?
Moi -oui, j'en ai fait suffisamment.
Sophie -impec.
Je continuais à discuter avec Bertrand quand mon tel bipait.
Sophie -pas mal du tout ce Bertrand, je ferai bien une exhibe.
Moi -fais comme tu en as envie, tu sais que j'adore cela .
Sophie -alors, je ne vais pas me gêner.
Quand Sophie sortait de la salle de bain, elle filait dans la chambre.
Elle en ressortait quelques minutes plus tard juste vêtue d'une nuisette blanche, du peignoir qui va avec, et d'un string en dentelle noir qui se voyait come si elle n'avait rien sur elle.
J'aimais quand elle s'exhibait ainsi.
Je n'avais plus qu'a mater Bertrand pour voir sa réaction.
Sophie avait allumé la télé et s'était assise sur l'accoudoir fidèle à son habitude.
D'où j'étais placé, je voyais bien Sophie, je pense que Bertrand voyait encore mieux que moi.
Sophie -vous voulez que vous servent un apéritif ?
Moi -oui, je veux bien.
Bertrand -avec plaisir.
Sophie nous servait sur la table du salon, bien sur se baissait plus que de normal, je voyais Bertrand mater même s'il faisait tout pour pas que je le vois.
Moi -allez Bertrand, faisons une pause, et buvons l'apéro.
Sophie avait repris sa place sur l'accoudoir, j'avais pris le fauteuil et Bertrand était à coté d'elle, tournant la tête de temps à autre pour mater Sophie.
Sophie nous narrait qu'elle allait devenir la gérante de la boite à Paris et qu'elle devait choisir une collaboratrice.
Moi -génial pour toi, tu vas être patronne.
Sophie -et oui, qui l'eut cru.
Moi -pas grand monde, je pense.
J'allais dans la cuisine chercher 2 ou 3 amuse gueule pour grignoter avec l'apéro.
Sophie bien sur profitait de ce moment là pour bouger de sa place et prendre un chiffon pour nettoyer l'écran de la télé, permettant à Bertrand de la mater à loisir.
Ayant vu son manège, je trainais volontairement dans la cuisine, voulant absolument que Bertrand n'en perde pas une miette.
Revenant avec une assiette, Sophie avait pris place dans le fauteuil face à nous.
Moi -tu nous resservirais pas une second apéro, je vais mettre à réchauffer pendant ce temps là.
Sophie -oui, si tu veux, Bertrand un autre ?
Bertrand -oui mais léger, j'ai de la route pour rentrer, je ne voudrais pas perdre mon permis bêtement.
Sophie dû se baisser pour choper les bouteilles dans le meuble sous la télé, de la cuisine, je voyais son string, alors, imaginez Bertrand.
Je pensais, elle ne peut pas en faire plus, la suite va me prouver que si.
A SUIVRE.

J'étais dans la cuisine en train de préparer le repas, je ne voyais pas ce que faisait Sophie dans le salon, mais je me doutais bien qu'elle devait continuer à le provoquer.
En effet quand je revint dans le salon, son peignoir était tombé, elle prétextait qu'elle avait chaud, autant dire que maintenant, Bertrand voyait tout d'elle, son string, l'aréole de ses seins, un vrai régal.
Moi -si vous voulez manger chaud, c'est prêt.
Sophie -oui, moi aussi, je suis chaude aussi prête à être manger.
Moi -ah bon, carrément.
Sophie -oui, mais pas par toi, je préfère que ce soit Bertrand qui me mange bien chaude.
Bertrand -heu..
Sophie -ne faites pas le timide, servez-vous.
Elle dit ça en se rapprochant de lui et en tenant ses deux seins à pleines mains.
Moi -ne te soucie pas de moi, nous sommes un couple libertin.
Bertrand -dans ces cas là, désolé Olivier, mais je ne peux pas refuser une telle aubaine.
Sophie -il n'a rien à dire, c'est mon corps, j'en dispose comme je veux.
Bertrand se levait et enlaçait Sophie, ils se roulèrent une pelle bien baveuse, ses mains parcourait son corps.
Sophie -allez viens, toi, tu restes là, tu as juste le droit de nous écouter.
Elle entrainait Bertrand dans notre chambre et enlevait sa nuisette, Bertrand se ruait sur ses seins qu'il titillait, pinçait puis se mit à les lecher, les englober dans sa bouche.
Sophie, de son coté, commençait à s'occuper de son sexe gonflé sous son pantalon.
Sophie -déshabilles-toi, j'ai envie de te sucer.
Bertrand -hum, oui.
Il ne mit pas longtemps à se retrouver à poil et Sophie l'allongeait sur le lit et englobait sa queue dans sa bouche.
Elle le pompait, elle aimait ça, j'entendais Bertrand pousser des râles de plaisir.
Puis , il se décidait à bouffer sa chatte, d'abord au travers de la dentelle, puis lui enlevait son string inondée de jouissance.
Sophie qui n'avait pas baisé depuis un bout de temps ne mit pas longtemps à lui donner un orgasme.
Sophie -prends-moi maintenant, enfourches-moi, défonces ma petite chatte.
Bertrand -oui, tu vas morfler.
Bertrand la limait avant d'éjaculer sur ses seins que Sophie étalait tout en léchant ses doigts.
Sophie -hum, c'était bien bon, maintenant, allons déguster le repas d'Olivier.
Ils revinrent à table, mangèrent de bonne appétit et Bertrand nous quittait peu après.
Sophie -il m'a bien baisé ton pote, cela faisait longtemps, j'ai bien aimé.
Moi -moi, pas trop, j'aurai aimé te mater.
Sophie -je n'en avais pas envie, c'est tout, et là, je n'ai même pas envie de te voir te branler.
Moi -ce n'est pas ma soirée en quelque sorte.
Sophie -c'est ça, allez, je vais au lit.
Elle se levait, me plantait là et je dus encore tout débarrasser et ranger la salle à manger.
En entrant dans la chambre Sophie lisait un magasine.
Sophie -ramasses mon string et met le au linge sale, j'aime bien te voir faire ça, tu me prouve que tu es à moi, quoique je fasse.
Moi -oui, tu le sais bien.
J'obéis à son ordre et rentrait dans le lit.
Malgré qu'elle ne voulait pas de moi, elle vint quand même s'endormir au creux de mon épaule.
La semaine se passait et Sophie revenait dormir à la maison une 2eme fois, le jeudi soir.
Sophie -oui, faut que je sois en pleine forme demain, je reçois mon futur bras droit normalement.
Moi -je ne suis pas inquiet pour toi, tu vas encore gérer cela à la perfection.
Sophie -je vais m'habiller relativement sexy quand même, tu ne penses quoi ?
Moi -obligé, tu dois être au top.
Sophie -alors, choisis pour moi demain matin, tu as toujours bon gout.
Moi -si tu me le demande si gentiment, pas de souci.
Sophie -il revient quand ton pote Bertrand ?
Moi -je ne sais pas, je n'ai pas eu de nouvelles depuis.
Sophie -ne me le cache pas, sinon, cela va barder pour toi.
Moi -non promis.
Le lendemain matin, c'est moi qui réveillait Sophie et choisissais ses affaires pendant qu'elle se douchait.
Une jupe plissé grise très courte, un pull rose avec un beau décolleté, string, soutif et porte jarretelle rose en dentelle, bas couture et ses bottes à talons fins, le tout caché par un manteau pas plus long que sa jupe.
Sophie -tu vois, j'avais raison de te confier cela, je n'aurai pas mieux choisie que toi.
Moi -merci du compliment.
Elle s'habillait et partait au bureau, je la regardais, qu'elle était belle et désirable.
Nath l'attendait.
Nath -bonjour ma Sophie, ça va, pas trop crispée ?
Sophie -non, ça va.
Nath -prends mon bureau aujourd'hui, c'est toi la patronne.
Sophie je vais essayer.
Nath -ça va le faire et hum, tu es très désirable dans cette tenue.
Sophie -c'est Olivier qui a choisi.
Nath -c'est un homme de gout, cela se voit.
Nath -en plus des dessous roses, c'est ma couleur préférée pour les dessous.
Sophie -ravie de te plaire, dis-moi, les filles que je reçois sont-elles lesbiennes, hétéros ou bi.
Nath -à toi de le découvrir, je t'ai fait un plan général sr la tablette avec les bonnes questions à poser, je ne pouvais pas te laisser dans l'inconnu.
Sophie -tu es un amour.
Nath -allez, je te laisse, tu en reçois une à 10h00 ce matin, les 2 autres à 14h00 et 16h30 et nous on se voit ce soir vers 19 heures si tu es libre.
Sophie -oui, rien de prévu.
Il était 9h30, Nath la laissait et Sophie décidait de faire un café.
Ensuite, elle regardait la tablette avec le plan de marche, se remit un peu de rouge à lèvres et attendait la 1ere fille.
Elle était à l'heure, déjà un bon point, elle se présentait (Emilie), lui donnait son CV que Sophie prit le temps de lire.
Sophie -bon, le CV correspond à notre recherche.
Emilie -oui, votre société m'intéresse beaucoup, j'espère avoir le poste.
Sophie -je m'en doute, la seule chose que je peux vous reprocher est votre tenue, pas assez féminin à mon gout, vous savez, nous travaillons beaucoup avec de grosse société et la tenue vestimentaire est très importante.
Emilie-désolé, je ne le savais pas.
Sophie -oui, la c'est un mauvais point pour vous?
Puis, Sophie lui posait plein de questions (je vous passe les détails), sachez juste que Emile est hétéro.
Emilie sortait du bureau vers midi.
Sophie ne mangeait pas ce midi là, se contentant de café et faisait le point sur ce 1er rdv.
A 14 heures précise, le 2eme fille était là (Jeanne), aussi jeune que la 1ere, avec un CV un peu plus complet que celui d'Emilie, une tenue aussi un peu plus adéquate et elle, elle était lesbienne et pacsé.
Sophie lui dit en partant qu'elle serai prévenue le soir même si elle faisait l'affaire ou pas, tout comme Emilie d'ailleurs.
Quand Jeanne fut partie, Sophie fit un comparatif entre les 2 et pour elle, Jeanne l'emportait.
La 3eme fille (Martine) ne ressemblait pas du tout aux deux autres, plus âgée (50ans), son CV beaucoup moins complet que les autres.
La seule chose qui plaisait à Sophie était sa tenue vestimentaire, elle faisait vraiment femme.
Mais, Sophie se demandait comment avait fait Nath pour sélectionner cette fille là.
Sophie la questionnait pour en savoir plus sur ses ambitions et à parler avec , elle donnait envie de la connaitre un peu plus, chose qu'elle n'avait pas ressentie avec les autres.
Martine était bi, elle était divorcée d'abord d'un homme puis d'une femme.
Sophie pensait drôle de parcours quand même.
Une fois Martine partie, elle bipait Nath, il était 18h30 et Nath lui dit qu'elle serai là dans 15 minutes.
Voila, allez, essayez de deviner qui va être l'heureuse élue ?
A SUIVRE.

Je découvre plusieurs nouveaux épisodes d'un coup, super !

Merci pour ces nouveaux textes Fifou. Tu nous gâtes !
Moi je parie pour Martine.

Je pense aussi que c'est avec Martine qu'il y aura le plus de "potentiel" !...

Nath arrivait bien un quart d'heure plus tard, Sophie état en train de comparer ses fiches mais son choix était déjà fait.
Nath -coucou, alors cette journée ?
Sophie -pas de problème, mon choix est fait, espérons que c'est le même que toi.
Nath -vas-y, dis-moi et argumentes.
Sophie -j'ai choisie Martine, pas pour son expérience dans notre métier, mais pour sa prestance , son standing, son charisme et je pense qu'elle va apprendre très très vite.
Nath -mon choix est le même que le tien, cela va nous faire gagner du temps, appelles là pour lui annoncer la bonne nouvelle.
Sophie -et le salaire ?
Nath -on verra cela au 2eme rdv.
Sophie -comment as tu fait pour sélectionner cette fille, surement par apport à son CV, il est nul et ne correspond en rien à notre attente.
Nath -c'est une copine d'une amie, je voulais voir si tu faisais le différence, je t'ai jugée en quelque sorte.
Sophie -tu vois bien que oui, et pourtant, c'est avec elle que j'ai envie de travailler.
Nath -je te comprend, en plus, elle a un charme fou.
Sophie -oui, j'aime beaucoup.
Nath -allez, appelles-la, elle doit attendre.
Sophie -j'appelle les deux autres avant.
Nath -comme tu veux, après, je t'invite à diner.
Sophie -je vais aussi inviter Martine, cela a nous permettre de mieux la juger, tu en penses quoi ?
Nath -oh, toi, tu te la farcirais bien comme tu es là.
Sophie -non, pas pour l'instant, plus tard, quand je le connaitrais, pourquoi pas.
Nath -tu me la laisses pour ce soir.
Sophie -surement pas, c'est ma secrétaire maintenant.
Nath -égoïste.
Sophie appelait les filles qui étaient, bien entendu déçu, et se réservait Martine pour la fin.
Sophie -allo, Martine, oui, c'est Madame X, bon, je vous embauche pour un essai de 3 mois, cela vous va ?
Martine -oh, quelle bonne novelle, vous remplissez mon cœur de joie, vous pouvez pas savoir.
Sophie -êtes-vous libre pour venir diner avec nous ?
Martine -même si je ne l'étais pas, je me serai libéré.
Sophie -rdv à la boite d'ici une demi heure ?
Martine -même avant, je suis à un quart d'heure de chez vous.
20 minutes plus tard, Martine se garait sur le parking de la boite, Sophie et Nath la rejoignaient et elles partirent ensemble dans la voiture de Nath (elle avait un chauffeur).
Nath avait réservé dans son resto préféré (pratiquement que des femmes) et elle commandait directement une bouteille de champagne.
Martine s'installait à coté de Sophie et Nath en face d'elles.
Sophie se sentait vraiment à l'aise, elle discutait de tout et de rien, Martine étant un peu sur la réserve.
Sophie commandait à son tour une bouteille de champagne.
Martine -désolé, je n'ai pas les mêmes moyens que vous, je ne pourrai surement pas vous payez une bouteille.
Sophie -Martine, on vous demande rien, mais j'aime les gens francs et j'apprécie beaucoup ce que vous venez de dire.
Nath -oui, Sophie a raison, la franchise est une qualité Martine.
Martine -je sens que je vais me sentir bien avec vous dans ce nouveau boulot.
Sophie -avec moi, Nath va partir dans le midi, elle va créé une succursale.
Martine -c'est pour cela que vous cherchez une nouvelle secrétaire.
Sophie -oui, c'est ça, je ne vous l'ai pas dis tantôt, mais maintenant que vous êtes avec nous, je peux vous confier ces choses là.
Elles dinèrent toutes les 3, et Martine, l'alcool aidant se lâchait un peu plus.
Puis Nath réglait l'addition.
Sophie -allez, je vous invite dans un pub, cela vous tente ?
Martine -je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse.
Nath -allez, c'est parti.
Elles entrèrent dans un pub choisi au hasard et s'installèrent à une table.
La soirée se passait bien, quand, tout d'un coup, Sophie changeait de couleur.
Nath qui la connaissait bien, lui demandait ce qu'il se passait.
Sophie -il y a la femme de Philippe au bar.
Nath -mais non, tu as rêvé.
Sophie -tournes-toi et regardes.
Nath -tu as raison, c'est bien elle.
Sophie -ignorons la.
Nath -oui, c'est mieux.
Sophie qui était encore assise à coté de Martine, remarquait qu'elle commençait à être légèrement éméchée.
Sophie posant la main sur sa cuisse lui demandait si ça allait et en faisant cela, sentait la dentelle de ses bas, cela lui donnait des envies subites.
Martine -oui, mais, je ne bois plus d'alcool, je n'ai pas l'habitude de boire autant.
Nath -prenez un cocktail sans alcool.
Sophie avait laisser sa main sur la cuisse de Martine et Nath qui voyait tout, lui fit les gros eux.
Puis, Sophie décidait d'aller danser, accompagnée de Martine, Nath préférant rester assise.
Quand elle revint à sa place, Léa l'accostait.
Léa -vous êtes bien la femme d'Olivier ?
Sophie -oui, et vous celle de Philippe ?
Léa -non, l'ex, il m'a quitté hier, pour soi-disant être plus à son boulot.
Sophie -désolé pour vous.
Léa -soyez franche, il n'est pas avec vous, car depuis cette soirée de gala, j'ai des doutes.
Sophie -non, je suis toujours avec mon mari.
Léa -excusez-moi alors.
Sophie -venez boire une coupe avec nous.
Léa -non, merci, je suis avec des amis, bonne soirée.
Sophie -à vous aussi.
Sophie s'empressait de raconter cela à Nath.
Nath -la voix est libre maintenant.
Sophie -bizarre qu'il ne m'ai pas appelé.
Martine était resté sur la piste, apparemment, elle avait besoin de se défouler.
Vers 3 heures du matin, elle décidèrent de rentrer, Nath les déposait au parking et Sophie et Martine se mirent à discuter.
Martine -merci pour la soirée, cela m'a fait un bien fou.
Sophie -il y en aura d'autres,
Martine -oui, mais j'aimerai participer un peu plus.
Sophie -ne vous inquiétez pas pour ça, j'étais comme vous quand je suis rentré dans cette boite, par contre, passez mardi en fin de matinée, votre contrat sera prêt et vous commencerez le lundi suivant.
Martine -parfait, encore merci.
Sophie -et n'oubliez pas, toujours des tenues de femme au boulot, j'ai remarqué que vous portiez des bas quand j'ai posé ma main sur votre cuisse ce soir.
Martine -oui, jamais de collant, j'ai horreur de ça.
Sophie -tout comme moi, et plus y'a de dentelle et plus j'aime.
Martine n'hésitait pas, relevait sa jupe et fit montrer ses bas à Sophie.
Martine -voyez la largeur de la dentelle, c'est pour cela que je porte des jarretelles, sur les bas auto fixant, la dentelle est moins large.
Sophie -j'aime beaucoup, de plus, c'est rare qu'une femme ayant quelque formes comme vous porte des bas et des jarretelles.
Martine -je porte cela depuis que j'ai vécu avec une femme qui aimait la lingerie, elle dépensait des fortunes tout les mois.
Sophie -je dépense pas mal non plus dans la lingerie et comme je veux que ma secrétaire soit au top tout les jours, je vous donnerai une prime pour cela.
Martine -super, je ne vous décevrais pas, je vous le promet.
Sophie -je n'en doute pas un instant.
Martine -presque 4 heures, c'est l'heure, je peux vous embrasser avant de paartir.
Sophie -oui, bien sur.
Elles se firent la bise t Martine partait.
A SUIVRE.

Merci pour ces nouveaux épisodes !

Voilà un dernier épisode qui est bien chaste... Mais connaissant Fifou, les choses sérieuses ne vont pas tarder à démarrer !

Pour autant et à titre personnel, je n'aime que moyennement quand Sophie a des aventures lesbiennes. Pour moi, il n'y a pas meilleur candaulisme que quand c'est un autre mâle qui prend, au propre comme au figuré, la place du mari.

Oui, sûr que cela ne va pas tarder à grimper dans les tours. Merci Fifou.
Mais je suis en phase avec Clahire, vivement que Sophie se trouve plutôt un nouveau mâle pour cocufier Olivier comme il se doit.

Tout à fait d'accord, le top c'est quand Sophie à un nouveau mari !

Et qu'Olivier se branle en entendant Sophie échanger des mots d'amour avec son remplaçant !

D'ailleurs l'organisation d'un mariage candauliste avec le nouveau mari de Sophie serait une idée bien excitante, non ?...

Sophie rentrait à son appartement, soucieuse de savoir pourquoi Philippe ne l'avait pas prévenu de sa décision de quitter sa femme.
Elle voulait en avoir le cœur net et envoyait un texto malgré l'heure très tardive, elle ne risquait rien puisqu'il n'était plus avec sa femme.
Sophie -coucou, j 'ai croisé ta femme ce soir qui m'a annoncé votre séparation, je suis étonné de ne pas être au courant de cette situation, j'espère te lire bientôt, bisous.
Elle se déshabillait et entrait dans son lit en pensant que demain, elle pouvait dormir, on était samedi.
Elle ne s'en privait pas et ouvrait les yeux vers 14 heures.
De suite, elle se jetait sur son téléphone, mais déception, pas de réponse à son texto.
Elle m'appelait.
Sophie hello, je viens de me réveiller.
Moi -bonjour, bah ça va, 14 heures, tu n'as pas du te coucher de bonne heure.
Sophie -non, presque 5 heures.
Moi -quand même.
Sophie me racontait qce qui lui était arrive cette nuit.
Moi -je le savais.
Sophie -comment ça ?
Moi -Philippe est passé hier soir croyant te trouver à la maison.
Sophie -et tu ne m'as pas appelé ?
Moi -non, c'était un ordre de Philippe, il ne voulait pas que le sache autrement que par lui.
Sophie -tu aurais pu passer outre.
Moi bah non.
Sophie -comment je fais maintenant pour le récupérer.
Moi -ceci est ton problème, pas le mien.
Sophie -tu me la joues comme ça, même pas un encouragement, rien du tout, ok, tu te doutes bien que cela va se payer très cher.
Moi -pas de menace, cela ne te rendra pas Philippe.
Sophie -tu crois que je l'ai perdu.
Moi -vu comment il est parti, peut être, va falloir que tu la joues serrée.
Sophie -il n'a pas répondu à mon texto de cette nuit.
Moi -je n'y peux rien.
Sophie -essayes de l'appeler en lui disant que tu as eu de mes nouvelles.
Moi -si tu veux, je te rappelle après.
Sophie -merci mon petit mari.
J'appelais Philippe 2 fois, mais répondeur à chaque fois.
Je rappelais Sophie pour lui dire.
Moi répondeur les 2 fois.
Sophie -je n'aime pas ça du tout, mais alors pas du tout, il ne t'a rien dit qui puisse présager où il est.
Moi non, rien de rien, au fait, il y a Bertrand qui passe cet après-midi, je te le dis, mais je pense que je ne te verrais pas.
Sophie -je ne sais pas, je verrais cela cet après-midi.
Elle raccrochait, je ne pouvais rien lui dire d'autre vu que je ne savais rien de Philippe.
La matinée se passait, je préparais mon entrevue avec Bertrand.
Sophie de son coté, se fit toute belle, elle pensait, si je ne vois pas Philippe, je peux au moins me faire plaisir avec Bertrand.
Pour votre info, sachez que Philippe était tout simplement chez son ami dans le sud, mais Sophie n'y avait pas pensé.
Bertrand arrivait vers 14 heures.
Bertrand -ta femme n'est pas là aujourd'hui.
Moi -non, elle est sortie.
Bertrand -ok, allez, mettons-nous au boulot.
Nous bossions depuis environ 2 heures quand la porte d'entrée s'ouvrait.
C'était Sophie, mini jupe noire fendue, bas résille, bottes et un pull blanc décolleté, elle devait avoir des dessous noir vu qu'on voyait son soutif au travers du pull.
Sophie -hello vous deux, comment ça va.
Bertrand -très bien.
Moi -oui, impeccable.
Sophie -bien, je fais un café, qui en veux ?
Nous répondions par l'affirmatif tout les deux.
Sophie faisait le café, s'installait dans le fauteuil et allumait la télé.
Sophie regardait le télé une demi heure, se levait et partait en nous saluant.
10 minutes plus tard, mon téléphone bipait.
Sophie -donnes mon adresse à Bertrand, je veux qu'il me baise, toi, tu es puni, je te l'ai dit ce matin.
Moi -ça sert à rien que je dise que Bertrand venait si c'est pour aller baiser sans que je te regarde.
Sophie -tu es puni, cela va t'apprendre à mieux me parler.
Moi -je ne donne pas ton adresse, comme ça, tu n'auras rien non plus.
Sophie -tu veux que je vienne le chercher et que je parte avec lui devant toi, c'est ça ?
Moi -non, non, je lui donne quand il partira.
Sophie -tu vois quand tu veux.
Sophie regagnait son appart et attendait gentiment Bertrand.
Celui-ci arrivait vers 17 heures et se jetait sur Sophie à peine franchit la porte.
Bertrand -je te veux, je ne pense qu'à toi.
Sophie -calmes-toi, je suis déjà mariée.
Bertrand -je m'en fous, moi, je te veux tout les jours.
Sophie -tu sais bien que c'est impossible, je bosse et j'ai tout de même une vie.
Bertrand -laisses-moi une chance de te convaincre.
Sophie -non, avec toi, je veux juste du sexe.
Bertrand -dommage, je pense que l'on aurait pu être heureux.
Sophie -peut être, mais moi, j'ai besoin d'Olivier pour vivre.
Bertrand -ton cocu de mari, tu parles, un belle lopette celui-là.
Sophie je t'interdis de parler comme ça de lui, tu m'entend, je t'interdis.
Bertrand -même si tu me l'interdis, tu sais que j'ai raison, ton mari est une lopette.
Sophie -non, c'est mon mari, je le prend, je le garde et assouvit ses fantasmes.
Bertrand -allez viens que je te prenne comme tu le mérites.
Sophie -hum, oui vas-y.
Bertrand la baisait pendant près d'une heure et demi et quand il éjaculait.
Bertrand -dommage que ta lopette n'est pas là, il aurait avaler mon foutre.
Sophie -hum, j'adore ça, la prochaine fois si tu veux.
Bertrand -oui, oui.
A peine Bertrand parti, son téléphone sonnait.
Moi -je viens d'avoir Philippe, il veux passer à la maison, je fais quoi ?
Sophie -emmènes le chez moi.
Je rappelais Philippe et lui dis de venir à la maison.
De là, nous partions chez Sophie.
Arrivé chez Sophie qui s'était refait une beauté, bien entendu, elle lui fis la bise et lui demandait des explications.
Philippe -je ne pouvais plus vivre avec elle, c'était l'enfer tout les jours, alors, j'ai pété les plombs, je lui ai dis que j'aimais une autre femme et je suis parti dans le sud chez mon ami.
Sophie -pourquoi m'a t-elle demandé si c'était moi cette femme.
Philippe -je n'en sais rien, je ne lui ai rien dis à notre sujet.
Sophie c'est quand même bizarre non !
Philippe -oui, très bizarre, peut être m'a t-elle fais suivre.
Sophie -même, on ne se voyait pas tout les jours et là cela fait 3 semaines que l'on ne s'est pas vu.
Moi -elle a eu des doutes le soir du gala.
Sophie -cela ne peut être que ça.
Philippe -tu me gardes, ou t ne veux plus de moi.
Sophie -je ne sais plus, tu m'as mis la tête à l'envers.
Philippe -je suis libre maintenant.
Sophie -oui, mais je ne veux pas d'un toutou d derrière moi, je garde ma liberté sexuelle.
Philippe -pas de souci pour moi.
Sophie -et tu ne dors pas tout les jours ici.
Philippe -si tu veux.
Sophie -par contre, toi, tu restes fidèle, je ne veux pas que tu ailles voir ailleurs.
Philippe -d'accord, mais donnes-moi du sexe, beaucoup de sexe.
Sophie -si tu veux, je suis chaude pour ça.
Philippe -hum, j'ai hâte.
A SUIVRE.

Voilà que les choses se précisent...
Merci Fifou !

Sophie va-t-elle épouser Philippe ?...
Candaulistement s'entend, bien sûr !

Sophie, bien sur, se rapprochait de Philippe, mais n'était pas encore sure de ce qu'elle voulait.
Philippe, lui était sur de ses sentiments envers elle.
Moi -bon, que vous vous promettiez des choses, je veux bien, mais moi, je deviens quoi ?
Philippe -notre mateur préféré, j'adore quand tu me regardes baiser ta femme.
Sophie -oui, moi aussi.
Moi -genre, vous allez m'appeler à chaque fois que vous baisez ?
Philippe -moi dès que je pourrai, je le ferai.
Sophie moi, je verrai suivant ta gentillesse envers moi.
Moi -je suis gentil avec toi, tu peux me reprocher plein de choses mais pas ça.
Pendant ce temps là, Philippe commençait à caresser les cuisses de Sophie qui étaient revêtues de bas résilles juste protégées par une mini jupe plissée à carreaux ultra courte, autrement dit pratiquement rein.
Philippe -j'ai envie de toi, on fait l'amour ?
Sophie oui, fais -moi l'amour devant Olivier, je veux que tu me fasse l'amour, je ne veux pas que tu me baises.
Philippe -hum, oui, je vais te faire ça comme tu aimes.
Ils s'embrassèrent goulument.
Philippe se retrouvait nu en un rien de temps et Sophie s'empressait de le sucer, sa queue était bien raide.
Philippe -hum que tu es douée pour sucer, j'adore ça.
Sophie se levait et Philippe la déshabillait, elle était toujours aussi désirable, surtout avec ses dessous mauves tout en dentelle.
Il la bouffait, le léchait, Sophie en voulait encore plus, alors, il lui bouffât sa chatte toute lisse.
Sophie ne mit pas longtemps à lui offrir un orgasme.
Elle se donnait complètement à lui, s'abandonnait dans ses bras.
Sophie -prends-moi maintenant, fais-moi donner rien que pour toi, rends jaloux Olivier, je veux le voir morfler comme jamais, allez mon Amour.
Philippe -hum, un mot d'amour devant ton mari, tu vas le rendre fou ma Chérie.
C'était parti, j'allais encore subir cela, je n'était vraiment que son mari, je n'avais plus droit à rien.
Sophie -oui, je veux qu'il devienne fou de jalousie.
Philippe le pénétrait en douceur et la limait doucement avec beaucoup de tendresse.
Sophie -hum, que c'est bon, continue, tu as vu comment il me fais l'amour avec toute sa douceur.
J e voyais mais ne disait rien, j'aurai voulu être à sa place;
Philippe -je sens que je vais venir.
Sophie -viens jouir sur mes gros seins, viens me donner ta jouissance.
Philippe éjaculait en grosse giclées inondant les seins à Sophie.
Ensuite, elle me fis signe de venir avec son doigt.
Sophie -lèches son sperm.
J'obéis sans rien dire, je ne voulais pas qu'elle me prive de ce j'aimais voir.
Sophie -viens partager avec ta femme.
Du coup, cela me permit d'avoir sa langue.
Philippe -doucement, ne l'habitues pas à lui donner ta langue.
Sophie -t'inquiètes pas, je sais ce que je fais.
Sophie partait faire une douche avec Philippe, je restais seul dans le salon.
Ils revinrent 10 minutes plus tard.
Sophie -tu peux partir, Philippe dort ici ce soir.
Je me levais et partais sans un mot.
Je ne la revis pas du week-end, juste un texto ou deux pour savoir comment j'allais.
Sophie arrivait de bonne heure au bureau, c'était le 1er jour de Martine.
Sophie avait mis une robe noir très décolletée, des bas couture, ses bottes à talons fins et des dessous noir et rouge.
Martine arrivait elle aussi enrobe, pas aussi courte que celle de Sophie, mais courte quand même, Sophie savait qu'elle portait des bas et ceux-ci étaient résille.
Elle avait aussi des escarpins pointus au bout avec des talons de 7 à 8 centimètres.
Sophie lui fis montrer son travail et passait la journée avec elle.
Vers 17 heures, Nath pontait le bout de son nez.
Nath -salut les filles, alors ça bosse.
Martine -bonsoir Nathalie, oui, j'append.
Sophie -je ne m'étais pas trompé, elle comprend vite, je te l'avais dis, je sentais chez elle un potentiel.
Martine -merci Sophie.
Sophie dis-moi Nath, peux-tu me signer un chèque de 200 euros pour Martine, je voudrais qu'elle refasse sa garde robe.
Nath -pas besoin, qu'elle aille dans nos magasins préférés, je passerai un coup de fil et je passerai payer.
Martine -merci.
Nath -Sophie, il faut que tu passes à la banque demain, tu as des papiers à signer,
Sophie -Martine, demain, vous faites l'ouverture, ça va aller ?
Martine -oui Sophie, ne vous inquiétez pas.
Sophie libérais Martine vers 18 heures.
Nath et Sophie, quand à elles, bossèrent jusqu'à plus de 20 heures.
Sophie m'envoyait un texto.
Sophie coucou, prépares à diner, je n'ai pas envie ni de cuisiner, ni d'aller au resto.
Moi -j'allais commencer à manger, tu es là dans combien de temps.
Sophie d'ici 20 minutes.
Moi -ok, je t'attend, tu dors ici ?
Sophie -oui, j'ai envie qu'on prenne soin de moi ce soir.
Moi -ça me fais plaisir que tu penses à moi pour ça.
Sophie arrivait à l'heure dites.
Sophie on mange quoi de bon ?
M oi -j'ai préparé des escalopes panées avec de la purée, cela te vas.
Sophie -hum, oui, j'ai faim
Moi -tu n'as encore pas mangé ce midi comme tu es là.
Sophie -non, je n'ai pas eu le temps.
Elle ne mangeait pas, elle dévorait.
Sophie -maintenant, un yaourt et ce sera parfait.
Moi -j'ai acheté tes préférés.
Sophie -seul toi sais prendre soin de moi comme ça, je ne te quitterai jamais.
Moi -moi non plus.
Sophie -tant mieux.
Moi -bon, je vais me doucher et je vais au lit, j'ai une semaine de fou au boulot.
Sophie -hum, reviens à poil, j'ai bien envie de te voir te branler devant moi.
Moi -pas de souci, si tu en as envie, tu va avoir.
Sophie -oui, je vais te parler en même temps, je veux que éjacules comme jamais.
Je revenais dans la tenue demandée par ma Sophie.
Sophie -hum, tu bandes déjà à moitié.
Moi -oui, fais-moi voir tes dessous.
Sophie ne se fis pas prier et je bandais dure rien qu'a voir ça.
Moi -de quoi veux tu me parler.
Sophie -c'est délicat mais je vais te le dire.
Moi -je t'écoute.
Sophie -continues à te branler car ou cela va t'exciter ou bien cela va te faire débander j'aimerai que tu devienne mon valet de chambre, je voudrais te voir faire le ménage pendant que je baise, je veux faire de toi une souillon.
Moi -carrément.
Sophie -oui, j'ai envie de ça, j'aurai l'impression que tu seras complètement à moi, je pourrai même te maltraiter quand tu feras mal les choses.
Moi -tu as trouvé ça toute seule.
Sophie -oui, j'ai pensé à cela aujourd'hui, ça te plairais ?
Moi -oui, peut être, mais tout travaille mérite salaire.
J'avais, c'est vrai un peu débander, je ne m'attendais pas du tout à cela.
Sophie -tu te paieras en te branlant quand je ferai l'amour.
Moi -c'est pas cher payé quand même
Sophie allez, dis oui,
Moi -je peux y réfléchir.
Sophie -oui, mais pas trop longtemps, sinon, je vais chercher ailleurs.
Moi -comment ça ?
Sophie -je veux un homme de ménage, j'ai pensé à toi en 1er.
Moi -C'est sympa, et je vais dire oui, je ne vis pas laisser quelqu'un prendre cette place, cela me permettra de te voir plus souvent.
Sophie -merveilleux, hum, je te vois déjà ramasser mon linge sale que je laisserai trainer exprès.
Moi -oui, tu as toujours aimer cela.
Sophie -je vais aussi te trouver une tenue pour le ménage.
Moi -ah bon, quel genre.
Sophie -je ne sais pas encore, je vais y réfléchir, tu t'imagines entrain de faire les poussières pendant que je baise, mes yeux seront fixés sur toi.
Moi -ah bon, pourquoi ?
Sophie -voir si tu bosses ou si tu me mates.
Moi -bonne idée, et si je me planquais pour te regarder sans que ton amant le sache.
Sophie -oui, encore mieux, j'ai hâte, tu vois cela t'a redonné de la vigueur.
Moi -oui, finalement, cela me plait, on commence avec Philippe ?
Sophie -oui, obligé.
Moi -tu me dis quand, je serai là.
Sophie -vais te donner les clefs de chez moi du coup.
Moi -oui, oui.
Sophie -car même si je suis pas là, cela doit être nickel.
Moi -ça le sera,
Sophie vas-y, donnes ton foutre, penses a plaisir que tu vas avoir.
Moi -hum, oui, je me branlerai derrière la porte.
Sophie -oui, tu as intérêt.
J'éjaculais en grosses giclées, j'en mis un peu partout.
Sophie -allez, nettoies maintenant, entraines-toi.
Je nettoyais et allais me coucher avec Sophie qui s'endormait rapidement.
A SUIVRE.

Merci Pour cette superbe suite !

Toujours aussi bon et à lire d'une main...

"Sophie oui, fais -moi l'amour devant Olivier, je veux que tu me fasse l'amour, je ne veux pas que tu me baises."
Tout est dit, non ?

Je n'étais pas revenu depuis quelques temps.
Ravi de trouver de nouveaux épisode et d'y lire qu'Olivier devient désormais uniquement spectateur de la sexualité de "sa femme des autres"...

Bravo, voici encore de belles suites, merci !

Oui, Fifou est très fort pour nous écrire de belles aventures candaulistes !

Fifou met tous les éléments en place pour qu'Olivier continue sa carrière de cocu, bravo.

Très bon quand Sophie fait l'amour avec son homme... devant son mari !

Je me suis inscrit sur ce forum grâce à cette histoire, elle est vraiment super bandante.
J'ai tout lu d'une traite et espère que son auteur la fera durer encore longtemps.

Je devenais donc le valet de chambre, l'homme de ménage, enfin l'homme à tout faire chez Sophie.
Bien sur, Sophie ne m'avait pas encore éduquer à la ma ter avec ses amants, j'avais même l'impression qu'elle faisait cela quand j'étais pas là.
Je décidais d'en avoir le cœur net et je mis en place un stratège pour être sur qu'elle ne me roulait pas dans la farine.
J'achetais une mini caméra que j'installais dans un carton qui était posé sur l'armoire.
Hélas, elle ne me mentais pas, tout les soirs, elle se couchait toute seule dans son grand lit et s'endormait à la vitesse de l'éclair.
Cela me plaisait et ne me plaisait pas, j'avais besoin de la voir se faire baiser, même Philippe ne venait pas, que se passait t-il donc ?
J'invitais Sophie un soir à diner à la maison, elle refusait dans un 1er temps, puis finit quand même par accepter.
J'ouvrais une bouteille de son champagne préféré, et lui servais quelques toasts que j'avais préparés.
Moi -que se passe t-il en ce moment, tu ne vois plus ton amant ?
Sophie -non, je suis crevé, je ne respire plus, je suis étouffé par le travail, je comprend Nath quand elle me disait que d'être patronne, c'est épuisant.
Moi -prends quelques jours de vacances.
Sophie -c'est prévu, mais pas avant 15 jours, 3 semaines, le planning est surchargé.
Moi -tu pars un peu ?
Sophie -oui, surement, j'ai pris 15 jours, c'est Nath qui me remplaceras.
Moi -ok, et tu va où, sans indiscrétion.
Sophie -je ne sais pas du tout, mais à un endroit ou je pourrai me reposer.
Moi -et tes envies de sexe ?
Sophie -je n'ai même pas le temps d'y penser, je ne fais que bosser.
Moi -Philippe réagit comment à ça ?
Sophie -pas trop mal, il comprend, il est patron.
Moi -et tu n'as pas d'envie ?
Sophie -oh que si, mais quand je rentre le soir, je m'endors très vite.
Moi -cela ne sert à rien de m'avoir embaucher comme homme à tout faire vu qu'il ne se passe rien.
Sophie -si, car si en plus, je devais faire le ménage, je ne tiendrai pas le choc.
Moi -bon alors tant mieux si je te soulage dans ta vie de tout les jours.
Sophie -j'ai faim.
Moi -c'est prêt, c'est quand tu veux.
Sophie -super, je dors ici cette nuit, je ne fais pas la route pour rentrer.
Moi -avec plaisir, toutes tes affaires sont propres et repassées.
Sophie -sper, je n'aurai que ma douche à faire demain matin.
Moi -et avec Martine, cela se passe comment ?
Sophie -très bien, elle me facilite le boulot, même si elle n'y connait rein.
Moi -elle t'attire toujours ?
Sophie -oui, elle a quelque chose qui me plait, je ne sais pas quoi encore, mais elle a quelque chose, en plus, elle met un parfum qui m'enivre, j'aime beaucoup entrer dans son bureau rien que pour ça.
Moi -bah dis donc, tu vieillis, tu n'aurai jamais attendu si longtemps pour prendre du bon temps par le passé.
Sophie -attends que je me refasse la cerise et tu verras, la Sophie avide de sexe va revenir encore plus mordu qu'avant.
Moi -franchement, j'ai hâte de voir cela.
Sophie -sois patient et tu verras.
15 jours plus tard, Sophie était en vacances, elle décidait de se reposer dans son appart, et de ne partir que le week-end.
Moi, je continuais à faire son ménage, et quand elle était là, je devais le faire complètement nu, je dus même par 2 ou 3 fois, me branler devant elle.
Sophie -demain soir, Philippe vient me baiser, tu veux être là ?
Moi -quelle question.
Sophie -de plus, tu nous prépareras à diner, je n'ai pas envie de cuisiner et tu nous serviras à table, tu veux voir, il faut payer pour cela.
Moi-d'accord.
Sophie -je serai habillé très sexy, je te l'annonce pour pas que tu sois étonné.
Moi -je n'ai pas de dote la dessus.
Sophie -oui, mais là, tu vas surement encore être plus étonné.
Qu'avait-elle préparé pour me surprendre ?
J'arrivais pas trop tard chez elle, je devais préparer le diner et dresser la table, Sophie avait exigé un diner aux chandelles.
Sophie -je penses que tu as chaud, tu devrais te dévêtir.
Moi -tu penses ou c'est un ordre.
Sophie -à poil et vite.
Moi -c'est plus compréhensible comme ça.
Je me retrouvais à poil, à éplucher mes légumes, Sophie me claquait les feses.
Sophie -j'aime bien quand ça claque comme ça.
Je ne dis rien, je ne voulais pas la contrarier, j'allais pouvoir la mater en train de baiser, y'avait si longtemps.
Sophie -je t'ai acheté un boxer noir tout en dentelle, tu le mettras ce soir pour nous servir.
Moi -si tu veux.
Sophie -c'est un ordre.
Moi -je le mettrais alors.
Philippe arrivait vers 19 heures, costumes, cravate, très élégant.
Sophie, quand à elle, n'était pas réapparu depuis plus d'une heure.
Pendant que je débouchait la bouteille de champagne, elle apparut, waouh, quel avion de chasse.
Elle portait des cuissardes rouges avec des talons fins et très hauts, des bas resilles noir, une ensemble string, porte jarretelle et dresse seins noir en dentelle,
le tout recouvert juste par un peignoir rouge transparent.
Philippe -quelle beauté, tu es croquer sans modération.
Sophie -merci mon Amour.
Il la prit dans ses bras et ils s'embrassèrent longuement.
Vous voyez, j'aimais la regarder se faire baiser, mais là, quand je les voyais comme ça, ma jalousie était à son comble, cela me rendait fou, et pourtant j'aimais ça.
Sophie -sers-moi une coupe stp.
Philippe -on a un serveur autant que ce soit pour quelque chose non !
Sophie -oui, tu as raison Chéri.
Je leur ramenais les toasts et retournait dans la cuisine.
Ils s'étaient installé dans le grand canapé blanc et n'arrêtais pas de se rouler des pelles.
Sophie viens nous servir, on neveux pas bouger, on est trop bien installé.
J'obéis, les servais et retournait d''où je venais.
Philippe -tu me manquais, cela fait du bien de t'avoir dans mes bras.
Sophie -toi aussi, tu m'as manqué, tu es resté fidèle au moins ?
Philippe -promis, juré.
Sophie -tu as intérêt sinon, je vais pas me priver.
Philippe -j'ai quitté ma femme, ce n'est pas pour maintenant te perdre.
Sophie -hum, comment elle va depuis.
Philippe -elle me fait chier comme c'est pas possible, mais je le savais, j'ai pris un avocat, comme ça, tout passe par lui.
Sophie -tu as raison.
Philippe -j'ai envie de toi.
Sophie -moi aussi.
Philippe -on dine et après je m'occupe de toi.
Sophie -on peux avant et après manger, car je t'informe que ce soir, tu dors ici.
Philippe -hum, j'en suis ravi.
Ils disparurent dans la chambre, et Sophie fermait la porte.
Je m'en foutais, j'avais toujours ma caméra planquée.
Je connectais mon téléphone et me régalais de leurs ébats, Philippe ne résistait pas longtemps, mais je me demande qui aurait résister à elle ce soir.
A leur retour, je dus les servir une nouvelle fois.
Sophie -dès que c'est prêt, nous mangeons.
Moi -quand vous voulez.
Sophie se levait et s'installait à table.
Sophie -allez, sers-nous, j'espère que tu nous a gâté.
Moi -espérons que ce soit bon, vous me direz.
Le repas se passait bien dans l'ensemble, sauf au moment du fromage ou Sophie demandait à Philippe de donner son avis sur ma tenue.
Philippe -ça lui va bien, j'adore être servi par le mari de ma future femme.
Sophie -pourquoi pas, si moi aussi, je divorçais, non, impossible, j'ai trop besoin de lui.
Philippe -pourquoi, moi aussi, je peux faire ton serviteur comme lui et te regarder baiser, à partir du moment ou tu ne me quite pas.
Sophie -hum, 2 serviteur rien que pour moi, vous me gâtez, je vais y réfléchir.
Je pensais, quel sale con ce Philippe, il veut ma femme et ma place, comment me sortir de ce pétrin, seule ma Sophie avait le pouvoir de décider, je n'avais plus qu'a attendre sa décision.
Sophie -donc, la prochaine fois, Chéri, tu prendras la place d'Olivier, j'ai hâte de voir ça.
Philippe -et qui prendra la mienne.
Sophie -ce sera la surprise pour toi, j'ai déjà mon idée sur la question.
A SUIVRE.

Merci pour ce nouvel opus

Encore un bel épisode, merci Fifou !

La situation devient compliquée...

Vers 22h30, Sophie me demandait de les laisser profiter de leur nuit.
Moi -donc je suis venu et j'ai rien vu, c'est sympa de votre part, je ne sais pas si je vais continuer à faire l'homme à tout faire vu que Philippe veux essayer aussi.
Sophie -je verrai la suite à donner à sa demande, en attendant, je ne t'ai pas virer à ce qu'il me semble, donc , je t'attend demain matin pour le nettoyage et ramènes-nous des croissants.
Je partais comme elle me l'avais demandé laissant ma place à son amant et peut être plus dans un proche avenir, j'étais triste de cette situation, mais je l'aimais si fort que j'étais prêt à lui laisser faire n'importe quoi.
Je revenais le lendemain matin vers 9 heures, ils étaient en train de boire un café, je les saluais et posaient les croissants sur la table.
Sophie -merci, tu veux que je te fasse un café.
Moi -avec plaisir.
J'en profitais pour le mater vu qu'elle ne portait qu'une nuisette blanche transparente et un string rouge en dessous.
Sophie -n'en profites pas pour me mater, mon corps est réservé aux autres.
Moi -dans ces cas là, couvres-toi un peu plus.
Sophie -je plaisante, j'aime quand tu me mates devant mon amant.
Philippe -oui, tu as le droit au plaisir des yeux.
Sophie -après ton café, c'est le bordel dans ma chambre, j'aimerai bien que tu me mette tout au propre, je n'ai pas ramasser mes affaires, je te laisse ce plaisir.
Moi -je m'an occupe.
Pendant que je faisais sa chambre, j'entendais Sophie gémir, je me déplaçais et je les vis en train de baiser dans le canapé, Philippe était entrain de lui bouffer sa chatte sans avoir enlever son string, il l'avait juste écarte, lui par contre était à poil.
J'adorais la regarder ainsi, la voir gémir sous ses coups de langue.
Elle orgasmait violemment avant que Philippe ne la pénètre en levrette et ne mit pas longtemps à éjaculer.
J e retournait à ma tache, comme si de rien n'était, Sophie me rejoint.
Sophie -j'ai envie d'essayer avec Philippe comme home à tout faire.
Moi -je le savais, je vais te perdre définitivement, cela me rend triste, mais triste.
Sophie -mais non, juste une fois, je voudrais voir sa réaction, savoir s'il supporte ça.
Moi -aussi, j'aimerai bien voir cela.
Sophie -on va se débrouiller pour que tu vois aussi.
Moi -je ne vois pas comment.
Sophie -ah bon, tu crois que je n'ai pas vu ta camera planqué dans le carton, tu me prends pour une lapine de 3 semaines ou quoi.
Moi -tu es trop forte.
Sophie -oui, maintenant, il va falloir en mettre une dans la salle a manger si tu ne veux rien manquer.
Moi -tu m'autorise.
Sophie -oui bien sur, tu sais que j'aime quand tu morfles.
Moi -oui, je le sais.
Sophie -j'adore te voir ramasser mes dessous quand j 'ai baiser avec, cela m'excite énormément.
Elle joignait le geste à la parole et enlevait son string rouge qu'elle me forçait à ramasser avec mes dents.
Sophie -hum, j'espère qu'il sent le foutre de mon amant.
Moi -oui, c'est le cas.
Sophie -j'adore, mais si tu savais à quel point, Vas-y, lèches-le.
J'obéis et Sophie me matait.
Moi -tu es insatiable.
Sophie -oui, c'est toi qui me donne envie de te forcer à ça, quel plaisir de voir son mari lécher le string de sa femme quand elle vient de se faire baiser avec.
Philippe entrait dans la chambre à ce moment là.
Sophie -regardes-le, voila ce qui t'attend, tu veux toujours essayer de faire l'homme à tout faire.
Philippe -oui, toujours.
Sophie -je te préviens, si tu commences, tu ne pourra pas revenir en arrière une fois que mon amant sera là.
Cela en restait là pour cette fois.
Sophie reprit le boulot, bien reposée, Martine était ravie de la revoir.
Sophie -cela s'est bien passé avec Nath en mon absence.
Martine -oui, mais je préfère travailler avec vous, j'ai plus d'affinités, cela se commande pas.
Sophie -merci de tant de sollicitude.
Martine -de rien, c'est sincère, vous vous êtes bien reposée.
Sophie -oui, j'ai beaucoup dormi.
Martine -très bien, bon on a quand même pas mal de boulot.
Sophie -allons-y, je suis prête et dispo.
Martine s'était acheté pas de tenues grâce à la prime de Sophie et aujourd'hui, elle portait un tailleur rose saumon de toute beauté.
Sophie -ce tailleur vous va à merveille.
Martine -oui, par contre, je n'aime pas trop qu'on voit mes dessous au travers, de plus, j'ai mis des dessous noirs.
Sophie -cela ne me déplait pas à moi.
Martine -rho, voyons Sophie.
Sophie -le plaisir des yeux est important.
Martine -venant de vous, cela me surprend.
Sophie -je ne suis pas une sainte, loin de là.
Martine -oui mais quand même.
Sophie -Nath a du essayer de vous séduire, je la connais bien.
Martine -oui, c'est vrai, mais je n'ai pas céder.
Sophie -qu'est ce qui vous en a empêcher.
Martine -vous.
Sophie comment ça, moi.
Martine -oui, vous, je suis complètement sous votre charme, je préfère vous l'avouer, je ne vous demande rien, mais je suis amoureuse de vous secrètement.
Sophie -au moins, l'approche est direct, je suis au courant de vos sentiments.
Martine -oui, mais je ne ferai rien, je ne vous importunerais pas, je ne vous ferais pas d'avance, je voulais que vous le sachiez, c'est tout.
Sophie -merci de votre franchise.
Martine -par contre, vous ne pourrez pas m'empêchez de m'habiller de manière provocante.
Sophie -surtout pas, donc si vous n'aimez pas que l'on voit au travers de vos vêtement, pour que je vous mate, vous le faites quand même.
Martine -oui, rien que pour ça.
Sophie -et bien, continuez, car j'aime voir les belles choses et aujourd'hui, c'est le cas.
Martine -merci Sophie.
Sophie -maintenant, si je vous invite à diner, ne prenez pas cela pour une avance.
Martine -non, ne vous inquiétez pas, le jour ou vous me voudrez, vous viendrez me chercher.
Sophie -oui, mais peut être que cela n'arrivera jamais.
La journée passait, mais vers 15 heures, Sophie dont la curiosité était forte, ne put s'empêcher de demander à Martine
Sophie -dites-moi Martine, comment s'est prise Nath pour vous draguer.
Martine, je ne sais pas si je dois vous le dire.
Sophie -considérez ma question comme un ordre qui demande une réponse.
Martine -alors là, c'est différend si c'est un ordre.
Sophie -allez, racontez-moi, j'ai hâte de savoir.
Martine -elle m'a fait venir un samedi après-midi ici, soi-disant pour une urgence, puis elle m'a demandé de la reconduire chez elle et de l'attendre le temps qu'elle se change pour que je l'emmène à une soirée.
Sophie -un samedi, elle est gonflée quand même, vous me direz combien d'heures vous avez fait qu'on vous les paie.
Martine -laissez tomber, ce n'est rien.
Sophie -si si, j'y tiens après ?
Martine -elle m'a fait rentrer chez elle, nous prépara un café, puis se dévêtit devant moi sans aucune pudeur, cela ne me gênait pas vu ma vie antérieure avec une femme, cela dit, elle est bien foutue la grande patronne et elle ne porte que des habits de luxe copris ses dessous.
Sophie -elle portait quoi ?
Martine -une robe noire, des bas en nylon, une guêpière noire et rouge et un string assorti.
Sophie -hum, très beau tout ça.
Matine -oui, c'est sur, mais elle a bu le café juste après avoir enlever sa robe, je me sentais quand même géné qu'elle soi devant moi dans cette tenue.
Sophie normal.
Martine -ensuite, elle a tout retiré et est allé à la douche me laissant seule dans le salon.
Sophie -et après la douche.
Martine -elle est revenu juste avec un tanga rouge et un soutif rouge, elle mit son porte jarretelle devant moi et me demandait de l'aider a fixer ses bas (rouge aussi) tout en dentelle.
Sophie -vous l'avez fait.
Martine -oui, je ne pouvais pas refuser, vu qu'elle me l'avait demandé très gentiment.
Sophie -et ?
Martine -j'ai eu droit à vos mains sont douce, hum, caressez-moi Martine, vous me plaisez, etc, etc.
Sophie -et vous avez fait quoi ?
Martine -rien, je lui ai dit que j'avais quelqu'un dans ma vie et que je ne voulais pas la tromper, du coup, elle n'a pas insisté, je l'ai déposé à sa soirée et je suis rentré chez moi, un peu bouleversée, je vous l'avoue.
Sophie -je vais vous payer ces heures là, même si vous ne voulez pas.
Martine merci Sophie.
Sophie -c'est normal, au moins, le jour ou je voudrais vous avoir, je sais comment faire.
Martine -avec vous, rien que de venir chez vous, je serai déjà excité.
A SUIVRE.

je sens que la martine est tres tres soumise j espere que sophie va en profiter

La situation se complexifie !...
Bravo Fifou

C'est toujours un plaisir de te lire, Fifou.

Sophie est insatiable et son ancien mari, Olivier, est le plus heureux des cocus !

"Olivier, est le plus heureux des cocus !"
Je suis bien d'accord avec toi Servons !

Vivement un nouvel épisode, j'ai hâte de connaitre la suite.

La soirée de gala avait lieu le samedi suivant.
Moi -on y va ensemble, je ne veux pas que les gens pavoisent dans notre dos.
Sophie -je comptais bien faire comme ça, que je puisse t'allumer un peu dans la soirée.
Moi -j'espère bien aussi.
Sophie -hum, j'ai hâte alors.
Sophie -Philippe sera là ?
Moi -je ne l'ai pas vu dans la liste d'invités.
Sophie -grr.
Moi -je ne suis que bénévole, je ne fais pas liste des invités.
Sophie -bien dommage, tu as de nouvelles têtes à me présenter.
Moi -comme ça, je ne vois pas, on verra sur place.
Sophie -j'ai conviée Martine à venir, cela ne te dérange pas ?
Moi -non, cela me permettra de faire sa connaissance.
Sophie -oui, mais bas le pattes, je connais ton genre de femmes et Martine va te plaire, j'en suis quasi certaine.
Moi -je ne parle pas quand je ne connais pas, par contre, Bertrand et Louis seront là.
Sophie -je m'en fous, je veux un nouvel amant et tu sais pourquoi.
Moi -oh que oui, tiens, j'ai installé la caméra dans le salon, regardes si tu la vois, je l'ai bien caché.
Sophie -je te fais confiance.
Le samedi arrivait Sophie s'était habillé très sobrement et sexy à la fois, longue robe bleu marine largement ouverte sur le coté et dos nu, string en dentelle, bas noir couture ainsi des escarpins haut talons, le tout recouvert par un châle sur ses épaules.
Sophie -on passe chercher Martine, cela lui évitera de prendre sa voiture.
Moi -pas de problème.
J'avais revêtu un costume gris, chemise blanche et cravate.
Martine nous attendait devant chez elle, Sophie me la présentait, et elle avait raison, tout à fait mon genre de femme.
Je déposais les filles et allait garer la voiture.
En revenant, les filles m'attendaient à l'entrée.
On entrait ensemble à l'intérieur et Louis fut le 1er à nous saluer.
Louis -tu es toujours aussi ravissante Sophie.
Sophie -merci Louis, je te présente Martine, une amie.
Louis la saluait et m'entrainait avec lui pour régler les derniers détails de la soirée.
Sophie -venez Martine, allons prendre une coupe de champagne.
Martine -avec plaisir.
J e le rejoignait 10 minutes plus tard accompagné d'Alexandre, un nouveau bénévole.
Moi -je vous présente Alex, un collègue bénévole.
Sophie -bonsoir, enchanté.
Martine -bonsoir.
Alex -bonsoir, tout va bien.
Martine -oui, pour le moment tout va bien.
Dès qu'il fut parti, Sophie se laissait aller.
Sophie -hum, pas mal du tout ce Alex, j'en ferai bien mon goûter
Martine -oh, Sophie enfin, vous n'êtes pas sérieuse, je préfère 100 fois votre mari à ce Alex.
Sophie pensait qu'elle devrait se méfier de Martine, elle lui piquerai bien son Olivier.
Sophie -Olivier est une chasse gardée, Martine? attention.
Martine -je le sais? mais chez vous, je préfère la femme au mari.
Sophie -alors ça me va bien.
La soirée avançait gentiment, on sirotait quelques coupes et Martine et Sophie allaient se défouler sur la piste de danse.
Au 1er slow, Sophie vint me chercher, je me doutais bien qu'elle voulait me parler.
Sophie -ce Alex me plait, je le veux absolument dans mon lit.
Moi -débrouilles-toi, tu sais comment faire non.
Sophie -je veux que ce soit toit qui me l'emmène sur un plateau.
Moi -c'est nouveau ça.
Sophie -tu n'as pas le choix, j'ai envie de te voir m'emmener ce Alex dans mon lit.
Moi -et je fais comment ?
Sophie -débrouilles-toi comme tu veux.
Moi -c'est pour qui, pour moi ou pour ton nouvel homme à tout faire.
Sophie -je n'y avais même pas pensé, hum, ce serait encore mieux que tu ramènes cet Alex pour qu'il me baise devant mon amant.
Moi -quel idiot, je te donne tout pour que tu me fasses morfler, va falloir que je réfléchisse avant de parler maintenant.
Sophie -mais non, tu aimes tout ce qui se passe avec ta petite femme.
Moi -oui, c'est vrai, mais j'espère retrouver ma place d'homme à tout faire auprès de toi.
Sophie -tout dépendra de Philippe.
Moi -oui, je sais, hélas.
Sophie -allez, emmènes-moi ce Alex stp.
Moi -oui, je vais le faire.
Sophie -en récompense, tu as le droit de danser avec Martine, je sais qu'elle te plait.
Moi -ce n'est pas faux, elle a beaucoup de charme.
Sophie -oui, mais juste un slow, fais gaffe quand même, pas de mains baladeuses et ne la colles pas trop, sinon, tu vas sentir ses gros seins et ça, je ne veux pas.
Moi -je préfère danser avec toi, là, je sens ta peau et même si je descend mes mains, je sens la marque de ton string.
Je joignais le geste à la parole et descendais mes mains.
Sophie -calmes-toi, tu vas te mettre à bander, et tu as personne pour te soulager.
Moi -pas grave, j'aime tant sentir ce que tu portes comme dessous.
Sophie -je le sais, peut être un jour, je te laisserai bouffer ma chatte au travers de la dentelle de mon string.
Moi -ce serai un grand plaisir si tu m'offres ça un de ces 4 matins.
Le slow se finissait et nous retournions auprès de Martine qui était en grande discussion avec un femme d'un certain âge.
Martine -je vous présente Louise une grande donatrice de la fondation.
Nous la saluions tout les deux et je m'en allais à la chasse d'Alex.
Une fois que Louise fut partit.
Sophie -calmez-vous avec les femmes, vous m'appartenez maintenant.
Martine -comment ça.
Sophie vous m'aimez, et je suis très jalouse, je ne partage pas.
Martine -je n'ai aucune envie d'aller voir ailleurs, je vous attendrai le temps qu'il faudra.
Sophie -je préfère ça.
De mon coté, je m'activais, je cherchais désespérément Alex, je le retrouvais en coulisse avec Louis.
Moi -besoin d'un coup de mains les gars.
Louis -non, c'est bon, tout est ok, pas la moindre anicroche ce soir, bravo mon petit Olivier.
Moi -merci, je ne suis pas seul a œuvrer pour que cela se déroule le mieux possible.
Louis -mais vous en faites beaucoup.
Dès que je fus seul avec Alex, e le conviais à se joindre à notre table pour boire une coupe.
Alex -avec plaisir.
Je revenais donc avec Alex qui s'asseyait à coté de Sophie, me laissant la place à coté de Martine.
Alex se mit à discuter avec Sophie, moi, je me contentais d'écouter sans parler.
Puis, le Dj passait un slow, je m'empressais d'inviter Martine.
Alex -vous voulez danser, ?
Sophie -oui, avec grand plaisir.
La lumière se tamisait, ce qui fait que je voyais à peine Sophie, je grognais intérieurement.
Après, c'est vrai que même sans coller Martine, je sentais ses gros seins sur moi, j'essayais de penser à autre chose, mais mon sexe ne m'écoutait pas et j'attrapais la gaule.
A la fin du slow, nous retournions à notre table tandis que Sophie e Alex continuait à danser.
Dès que Sophie et Alex apparaissait à la lumière, je voyais ses mains, ses doigts, qui mine de rien caressait le dos de Sophie.
J'étais plus que jaloux, ma femme se faisait draguer, et j'en souffrais intérieurement.
Martine -votre femme a une classe folle, je sis très heureuse d'être avec vous ce soir.
Moi -tant mieux Martine, allez-y, profitez de votre soirée.
Sophie et Alex revenait à table et Alex disparut aussitôt, avait-t-il eu peur de Sophie.
Martine -quel rustre, il vous plante comme ça, ce n'est pas terrible comme attitude.
Sophie -ce n'st pas grave, il reviendra vous verrez.
Martine -vous savez qu'il y a très longtemps que je n'avais pas danser avec un homme.
Sophie -ah bon, avec qui dansiez vous alors
Martine -personne, je ne sortais jamais, je revis grâce à vous, je vous en remercie Sophie.
Sophie -de rien, Martine, bientôt vous sortirez seule, vous allez rencontrez quelqu'un, j'en suis certaine.
Martine -non, je ne veux de personne, sauf vous.
Sophie -on verra bien.
Martine -dites-moi, puis-je vous demander une chose ?
Sophie -oui, si je peux vous répondre.
Martine -qui est cette Sandra qui revient tout les 15 jours et toujours le mardi à la même heure.
Sophie -je vous expliquerais cela a bureau si cela ne dérange pas.
Martine -d'accord.
La soirée avançait et Alex ne revenait toujours pas, Sophie refusait je ne sais pas combien de danses.
Martine valsait une fois avec Louise.
Martine -quelle pot de colle celle-là.
Sophie -laissez-vous faire, si ça se trouve, elle peut vous emmener quelque chose dans votre vie.
Martine -vous me voyez au lit avec elle, pas possible Sophie.
Sophie -elle est très bien conservée, je trouve.
Martine -non, non et non.
Il était maintenant 2 heures du matin et Sophie s'ennuyait un peu.
Moi -tu veux rentrer ?
Sophie -oui, j'en ai mare de cette soirée trop tranquille à mon gout.
Moi -je n'y peux rien, j'ai fait ce que j'ai pu.
Sophie -oui, je sais, je t'en remercie.
A3 heures du matin, nous rentrions.
Moi -je te dépose avant Martine, c'est plus sur la route, cela m'évite un détour inutile.
Sophie -oui, toute façon, Martine passe boire une coupe à la maison, je la ramènerai.
Moi comme tu veux.
Martine, derrière, ne disait rien, mais à l'intérieur d'elle, cela bouillait.
A SUIVRE.

Merci pour cette nouvelle suite Fifou.
Il est fou cet Alex ?...

Voilà un épisode bien calme...
Sophie n'aurait-elle plus besoin d'être "comblée" ?

peut être le calme qui prépare la tempête

Tout d'abord, j'espère que vous avez un bon Noël, moi, impeccable et je pars voir mon fils à Montpellier mercredi, donc vous aurez ce nouvel épisode avant que je parte.

Je déposais Sophie et Martine et rentrait me coucher, Sophie me racontera la soirée et au pire, je pouvais suivre cela de mon téléphone, mais j'étais vraiment crevé.
Arrivé chez elle, Sophie faisait visiter son appart à Martine.
Martine -waouh, c'est magnifique Sophie, cela fait rêver, franchement.
Sophie -oui, il me manque encore quelques meubles, mais dans l'ensemble, ce n'est pas mal, ça me plait.
Martine -oui, je me doute.
Sophie -prenez le champagne au frigo, je vais me changer, cette robe m'insupporte à cette heure là.
Martine -oui, ou sont les coupes .
Sophie -dans le living derrière vous, on pourrait se dire tu, non.
Martine -comme vous voulez.
Sophie -allez, on se dit tu, cela est plus simple entre nous.
Sophie revenait avec une nuisette écrue très courte et avait passer un string mauve en dentelle en dessous, Martine ne dit rien mais la matait un maximum.
Martine -à la tienne, à notre rencontre.
Sophie -tchin, tchin.
Martine s'était installé en face Sophie et en faisait rien pour cacher ses bas et sa culotte blanche et noir en nylon, faut dire qu'une fois qu'elle était assise, sa jupe courte facilitait se genre de vue dont Sophie ne se privait pas.
Sophie -si tu veux te doucher ou te rafraîchir, la salle de bains est à ta disposition.
Martine -oui, je bois ma coupe et j'avoue qu'une bonne douche me ferai du bien.
Sophie -vas-y.
Sophie remplissait les coupes et Martine allait dans la salle de bains.
Sophie, curieuse come y'a pas, ouvrait la porte tout doucement et regardait Martine toute nue, waouh, quelle paire de seins, elle en salivait presque, elle refermait et retournait dans le salon.
Martine revenait avec un peignoir.
Martine -j'ai trouvé ce peignoir, il est à ma taille, je le garde pour le moment, cela ne te dérange pas.
Sophie -non, pas du tout, c'est celui à Philippe.
Martine -qui est ce Philippe ?
Sophie -mon amant préféré.
Martine -ça va, tu te prives de rien à ce que je vois.
Sophie -non, bien au contraire, je profite.
Elle finissaient la bouteille en rien de temps.
Martine -je vais squatter ton canapé, hors de question que tu conduises après ce que l'on vient de boire.
Sophie -pourquoi le canapé, j'ai un lit assez grand pour nous deux si tu n'y vois pas d'inconvénient.
Martine -non, par contre, je dors toute nue, je ne supporte rien sr mon corps la nuit.
Sophie -cela ne me dérange pas du tout.
Martine -et toi ?
Sophie cela dépend qui est dans mon lit.
Martine -et si c'est moi ?
Sophie -je garde ma nuisette et mon string.
Martine -dommage.
Sophie -pourquoi ?
Martine -j'aurai pu voir tes formes de près, d'habitude, je te vois toujours habillée.
Sophie -contentes-toi déjà de ma mater à travers ma nuisette.
Martine -c'est déjà ce que je fais depuis que tu l'as mise.
Sophie -je t'ai vu me regarder.
De mon coté, malgré la fatigue, l'envie de voir ce qui se passait était trop forte, et j'avais branché mon portable sur la caméra.
Je pensais que vu le dialogue de Sophie, il ne se passerait rien, donc j'éteignais la caméra et m'endormais rapidement.
Sophie -allez, je vais au lit, qui m'aimes me suive.
Sophie était couchée en moins de deux, Martine, quand à elle finissait sa coupe et la rejoignait 5 minutes plus tard.
Sophie ne dormait pas et était couchée en chien de fusil, coté ou elle pourrait voir Martine retirer son peignoir.
Martine -Sophie je peux éteindre la lumière
Sophie -je le ferai d'ici, t'inquiètes pas.
Martine -toi, tu veux me mater à poil, allez sois honnête, dis le moi.
Sophie -je t'ai déjà vu toute nue.
Martine -ah bon et quand ?
Sophie -tout à l'heure sous la douche, j'ai entrouvert la porte pour te mater.
Martine -donc, je t'intéresse un peu quand même.
Sophie -tes seins me fascinent.
Martine tirait tout doucement sur le cordon qui tenait le peignoir fermé et dévoilait ses seins à Sophie.
Martine -c'est ça qui te plait.
Elle avait pris ses seins à pleines mains et les tendait à Sophie.
Sophie -oui, vas-y, joues avec.
Martine -non, si tu les veux, viens les chercher toi-même.
Sophie n'hésitait pas et se mit à genoux sur le lit face à Martine, tirait la langue et Martine vint lui donner ses seins à bouffer.
Sophie -hum, quel bonheur, tes tétons sont bien dures, ils ont l'air d'aimer qu'on les tripote.
Martine -même plus que tripoter, vas-y, pinces-les.
Sophie obéis.
Martine -plus fort encore.
Sophie -je vais te faire mal.
Martine -plus fort, je tai dis plus fort.
Sophie ,du coup, n'hésitait plus et le tortillait dans tout le sens.
Martine -voila ce que j'aime, j'aime qu'on leur fasse mal.
Sophie -hum, ça me plait aussi.
Martine -ne te gênes surtout pas, plus j'ai mal et plus ma chatte devient trempée, regardes d'ailleurs.
Pour ce, Martine avait enlevé son peignoir laissant apparaitre une chatte toute lisse.
Sophie descendait sa main et s'aperçut que Martine disait vrai, elle était inondée d'envie.
Martine -hum, Sophie, je rêvais de tes mains sur moi et tu réalises ce rêve, je t'aime, mais je t'aime.
Sophie n'en revenait pas, c'était la 1ere fois qu'une femme lui disait je t'aime avec une telle sincérité.
Du coup, Sophie multipliait ses caresses et envoyait Martine au paradis.
Martine -tu veux que je m'occupe de toi, mon Amour.
Sophie -non, je veux que tu continues à m'aimer, je te donnerai tout le sexe que tu veux.
Martine -comme tu veux, je suis à toi.
Sophie -j'aime cette situation, et je veux te voir encore plus sexy au bureau.
Martine -tu auras, je vais te donner envie de me toucher tout les jours.
Elles s'endormirent rapidement et au réveil, Martine avait préparé le petit déjeuner qu'elle servait au lit.
Sophie -très agréable ce petit déjeuner, je vois que tu t'es couverte ce matin.
Martine -oui, mais si cela te gênes ou te dérange, je l'enlève.
Sophie -oui, je veux encore voir tes gros seins, j'en suis tombée amoureuse.
Martine enlevait ce qui dérangeait Sophie.
Martine -cela te plait ainsi.
Sophie -oui, j'aime beaucoup, viens me les mettre dans la bouche.
Martine -arrêtes, j'ai déjà envie de toi.
Sophie -hum, je vais encore te faire donner alors.
Elle firent l'amour une nouvelle fois.
Puis Sophie se douchait et s'habillait, fallait qu'elle ramène Martine chez elle.
Au retour de chez Martine, Philippe l'appelait.
Philippe -cc ma Chérie, alors as-tu trouver un amant pour me tester ?
Sophie -non, hélas, mais n'aies crainte, je vais trouver.
Philippe -dépêches-toi, j'en meurs d'envie.
Sophie -pas facile à trouver chaussure à son pied.
Philippe -je peux chercher de mon coté si tu veux.
Sophie -hum pourquoi pas, ce sera encore un plus grand supplice pour toit que de me fournir un mant, le must serait un ami à toi.
Philippe -c'est à ça que je pensais, j'ai peut être une idée.
Sophie -dis-moi, je suis toute ouïe.
Philippe -le copain de mon ami dans le midi est bi, il aime les hommes et les femmes.
Sophie -hum, en plus, il est pas mal du tout, je l'ai vu une fois.
Philippe -je vais le faire venir à Paris.
Sophie -volontiers.
Philippe -et il t'invitera au restaurant.
Sophie -ne dis rien, fais-moi une surprise.
Philippe -ok, on fais comme ça, je peux venir te voir aujourd'hui.
Sophie -hum, oui, tu veux que je dise à Olivier de venir nous mater.
Philippe -oui, j'adore ça.
Sophie -alors dis-moi, quelle heure ?
Philippe -maintenant.
Sophie -viens, je t'attend.
A SUIVRE.

Merci Fifou et bon séjour à Montpellier !

Chouette encore un épisode. Mais et Olivier dans tout ça ?
Que devient notre roi des cocus ?
Pour que ce soit du bon candaulisme, il faut un bon cocufiage !

Tout à fait d'accord avec Compains, je trouve aussi que les amours lesbiennes de Sophie s'éloignent un peu du candaulisme haut de gamme qui est la marque de fabrique de cette saga.
Fifou, on compte sur toi pour remettre Olivier dans l'arène (et évidemment pas entre les cuisses de Sophie !) ; -)

Pareil pour moi, pour un bon cocufiage il faut une bonne bite dans la femme du cocu.
Et bien sûr pas la sienne, ou alors après et avec une capote !...

Je suis sûr que Fifou ne va pas laisser Olivier sans de vraies cornes bien longtemps.

Oui, ça c'est effectivement une certitude !

Olivier, Martine, Philippe... Sophie va bientôt avoir une foule de serviteurs.
Mais il n'y aura qu'un seul cocu !

Quelle super saga, merci à son auteur !

J’oubliais, j'ai une question : quand une vaginette pour Olivier ?...

Excellente idée Courgoul !
Souhaitons tous une bonne année de cocu à Olivier...

Bonne année à tous et je vous souhaite les plus belles cornes qui soient.

Je rebondis sur l'idée de vaginette émise par Courgoul il y a quelques jours.
Cela pourrait être carrément une poupée gonflable, non ?
Comme ça, Sophie pourrait organiser de petites partouzes : elle avec son mari du moment et Olivier avec sa poupée !

Oui, excellente idée !
Je crois même qu'olivier pourrait se mettre en ménage avec sa poupée gonflable et recevoir à diner Sophie et son mari...

Bonjour à toutes et a tous.
Merci pour vos suggestions, mais je ne retiendrai surement pas l'idée de la vaginette, cela ne me tente pas, par contre je vais vous faire plaisir en remettant au centre de cette saga, cet Olivier dont vous souhaiteriez tous être à sa place, cependant, je garde cette Martine car elle me plait beaucoup à moi.
Encore une bonne année a tous.

Bonjour Fifou,
Dommage pour la vaginette, il y avait certainement plein de situations très candaulistes à envisager...
Mais je suis certain que tu vas, avec ou sans accessoire, nous concocter des aventures géniales !!!
Bonne année à toi également.

Argh... Toujours pas de nouvel épisode... Fifou tu es dur avec nous !

Oui, tu as raison Compains, rien depuis l'année dernière !
Sniff...

Fifou, on a hâte de connaitre la suite !...

Décidément, certains ne manquent pas de bonne idées !
Je suis certain que Fifou va nous faire un savant mélange de tout ça...

Toujours pas de nouvel épisode...
Fifou, reviens vite !

Je recevais un texto de Sophie pour me demander de venir la mater avec Philippe.
Moi -dans combien de temps ?
Sophie -tout de suite.
Moi -je ne peux pas, je ne suis pas à la maison.
Sophie -débrouilles-toi, on t attend.
Moi -je ne peux pas être là avant 2 heures.
Sophie -tu es où ?
Moi -je suis parti souffler une journée en Normandie.
Sophie -carrément, même pas capable de me demander si je voulais venir avec toi.
Moi -je connaissais ta réponse à l'avance, donc pour éviter de prendre un râteau, je ne t'ai rien demandé.
Sophie -c'est la dernière fois que tu fais cela, je vaux savoir où tu es et ce que tu fais, allez ramènes-toi, on t' attend.
Moi -pas avant 2 heures suivant comment ça roule.
Sophie -ok.
Je prenais la route tranquillement, je n'étais pas pressé, pour une fois qu'elle devait m'attendre, je prolongeais le plaisir.
Je miss presque 2h30 pour rentrer, j'allais directement chez Sophie.
Sophie -prends ton temps.
Moi -y'a du monde sur la route ce n'est pas de ma faute.
Elle avait une nouvelle robe que je connaissais pas.
Moi -d'où vient cette robe ?
Sophie -c'est Martine qui l'a trouvé sur internet, elle m'a plu, je l'ai acheté, elle ne te plait pas ?
Moi -si, beaucoup, mais tu ne peux pas sortir avec une robe comme ça, c'est comme si, tu ne portais rien sur toi.
Philippe- si, elle peux, moi, j'aime beaucoup.
Sophie -tu vois, le mieux, c'est de ne rien dire.
Je vous explique, c'était une robe noire, ultra courte, dentelle de 15 cm de chaque coté de bas en haut et un décolleté très plongeant.
Elle portait de bas résille auto fixant noirs, des escarpins hauts talons et avait détaché ses cheveux, elle me plaisais toujours autant, je peux même dire que je l'aimais de plus en plus fort.
Sophie -assieds-toi, et regardes ta femme faire la salope devant toi.
Elle mit un peu de musique douce et demandait à Philippe de la faire danser.
Bien sur, il ne se fit pas prier, et collait Sophie, ses mains se baladant sur ses fesses, relevant sa robe quand elle était de dos pour que je vois son string ficelle
noir rentrer dans son cul.
Sophie -tu aimes ce slow que je danses devant toi.
Moi -oui, j'adore.
Sophie -vas-y mon chéri, je suis à toi, fais de moi ce que tu veux.
Philippe -oui, tu es à moi maintenant, tu m'appartiens, je te veux toute entière.
Sophie -oui, je suis à toi, Olivier n'est plus rien pour moi.
Je morflais à entendre ces mots, ils étaient cruels et Sophie aimait ça.
Ils se roulaient des pelles à n'en plus finir.
Sophie -déshabilles-moi lentement, je veux que mon ex savoure ce moment là dans tes bras.
Philippe lui enlevait sa robe et Sophie était dans la tenue la plus excitante pour moi, je voyais ses seins lourds dans ses mains, il les tripotait, les pinçait les mordillait, les léchait et Sophie gémissait.
Sophie -branles-toi devant nous, je veux te voir.
J'obéis car je bandais déjà.
Sophie -hum, je vois que tu t'entretiens toujours, très belle ta queue, mais je préfère celle à Philippe.
C'est vrai, il était mieux monté que moi.
Philippe -tu vois, je te l'ai dis, elle à moi ta femme.
Sophie -oui, rien qu'a toi.
il se mit à poil et Sophie se mit à genoux et le suçait.
Sa queue avait l'ait d'être très tendu et bien dure.
Je la regardais faire, elle était très doué avec une queue, je me mis à repenser la 1ere fois qu'elle m'avait sucer, ce n'était pas terrible, mais depuis, elle savait y faire.
Ensuite Philippe lui donnait un orgasme qui selon moi n'était pas si fort que ça.
Sophie -prends-moi en levrette juste à coté d'Olivier, qu'il me voit bien .
Elle posait ses mains sur le canapé juste à coté de moi et Philippe la pénétrait doucement.
Elle me regardait et passant sa langue sur ses lèvres, me disant tout bas, hum c'est bon, elle me disant aussi tout bas, branles-toi, devant moi, tu sais que j'adore ça.
Je bandais limite éjaculation, je me retenais, je ne voulais pas jouir avant lui et je réussis car, d'un seul coup je le vis éjaculer sur ses fesses.
Sophie -déjà, snif snif.
Sophie n'était pas assouvis comme c'était là.
Sophie -je vais trouver un vrai mâle et tu vas prendre la place d'Olivier, que tu vois ce que c'est que de me prendre.
Philippe -j'avais trop envie de toi, et puis tu me fais tellement bander.
Sophie -oui peut être, mais ici, c'est moi qui doit être repu de sexe, allez, partez tout les deux, laissez-moi seule.
On se rhabillait et partions de chez Sophie, pour ma part un peu déçu de sa réaction.
Sophie appelait Martine et lui racontait ce qu'il venait de se passer.
Martine -ma pauvre chérie, tu devrais m'appeler, au moins, tu es sure de prendre du plaisir a me peloter, rien que d'y penser mes tétons durcissent.
Sophie -mais j'aime la queue, Martine, j'aime sucer, branler me faire prendre dans plein de positions différentes.
Martine -je le sais tout ça, mais aujourd'hui, tu aurais eu plus de plaisir avec moi.
Sophie -oui, peut être, ce que j'ai aimé c'est Olivier qui bandait et se branlait devant nous, au moins lui, il s'est retenu.
Martine -pourquoi tu ne l'a pas gardé avec toi, il te connait, il aurait surement su comment te faire donner..
Sophie -hélas, je me suis juré qu'il ne toucherait plus.
Martine -y'a que les connes qui ne changent pas d'avis.
Sophie -non, je veux que ça reste ainsi, il me regarde, se branle s'il veut et c'est tout.
Martine -tu gaspilles des moments de bonheur, je te dis ça, après c'est toi qui gère ta vie.
Sophie -tu crois que je pourrais inverser les rôles, mettre Olivier à la place de Philippe.
Martine -si tu n'essaies pas, tu ne le saura jamais.
Sophie non, impossible mais les mettre en concurrence pour me mater, hum, cette idée me plait beaucoup, merci Martine, à demain.
Martine -à demain, au fait, demain, je ne mettrai pas de soutif, je veux que tu mate mes seins au travers du pull blanc que je vais mettre.
Sophie -hum, fais attention que je ne vienne pas les tripoter.
Martine -je suis à toi, n'oublies jamais cela.
Le lendemain, j'eus une discussion avec Sophie.
Moi -il est nul ton amant, tu n'a pris aucun plaisir hier, même quand tu as orgasmé.
Sophie -tu as raison, je me suis fais presque chier.
Moi -trouves-toi un autre amant, celui-là pense trop à lui et se croit en terrain conquis.
Sophie -pas facile avec mon boulot, je n'ai pas le temps.
Moi -mais tu ne rencontre jamais d'hommes dans ton boulot.
Sophie cela arrive mais, toujours des hommes moyens qui ne me tente pas du tout.
Moi -d'accord.
Sophie -peut être un jour, je trouverai, va savoir.
Moi -je te le souhaite mais tu me gardes quand même.
Sophie -toi et moi c'est jusqu'à la mort.
Moi -j'adore.
Martine avait fait ce qu'elle lui avait dis la veille, la seule chose qu'elle n'avait pas prévue, c'est que Sandra avait rdv avec Sophie en début d'après-midi.
Sophie s'enfermait dans son bureau avec Sandra et Martine était jalouse.
Cela durait plus de 2 heures, Martine se demandait ce qu'elles pouvaient faire pendant 2 heures, elle essayait bien d'écouter à la porte mais tout était insonorisé justement pour éviter cela.
En sortant, Sandra dit à Sophie, ok on fait comme ça alors.
A SUIVRE.

Très bel épisode, bravo Fifou !

Sophie est une reine !!!

Sophie me donnait rendez-vous le soir même, cela doit être important, pensais je au fond de moi.
Moi -bonsoir, ça va comme tu veux ?
Sophie -non, ça va pas du tout.
Moi -explique.
Sophie -Sandra déménage dans le sud et revend l'appartement où j'habite, elle a besoin de fond pour acheter une villa pour laquelle elle a eu un coup de cœur.
Moi -merde, ben, achète-le, tu peux te le permettre il me semble.
Sophie -non, je n'ai pas assez.
Moi -à ce point là.
Sophie -oui, le prix a presque doublé en quelques mois.
Moi -fais un crédit.
Sophie -non, je ne veux pas, on a assez galéré pour la maison , il me semble, non, le seul moyan, c'est que tu m'aide à l'acheter.
Moi -et je gagne quoi dans l'affaire.
Sophie -rien.
Moi -on n'a rien sans rien, même si je t'aime à en crever, il me faut une garantie comme quoi tu ne me quitteras pas au bout de 3 mois.
Sophie -ma parole ne te suffit pas.
Moi -non, plus maintenant, j' ai vieilli et je garde les pieds sur terre, pourquoi tu ne demande pas à Philippe.
Sophie -compares ce qui est comparable stp.
Moi -merci de cette confiance, alors, je vais y réfléchir.
Sophie -mais vite, elle a déjà quelqu'un sur les rangs mais elle me donne la priorité.
Moi -dans 3 jours, ça te va.
Sophie -parfait, on dinera ensemble, je t'invite.
Moi -avec plaisir et je te veux sexy si cela est possible.
Sophie -oui, je le serai.
J'étais déjà sur de lui dire oui, j'avais pas mal d'argent de coté mais je voulais pas lui dire oui de suite et puis une soirée avec ma femme, c'est toujours bon a prendre.
Le soir venu, je me mis sur mon 31, je voulais lui plaire, je le retrouvais devant chez elle a l'heure dites et nous allions dans un restaurant qui venait d'ouvrir a une vingtaine de kilomètres de chez elle.
Elle avait une robe noire assez courte, avec un V en tulle transparent devant qui descendait assez bas laissant deviner un peu de sa poitrine, des bas, des escarpins hauts mais je ne savais pas ce qu'elle avait mis comme dessous.
Moi -tu es très belle comme d'habitude.
Sophie -tu es aussi très attirant ce soir.
Moi -merci, tu veux boire une coupe ?
Sophie -pourquoi une, je ne conduis pas ce soir.
Je commandais une bouteille carrément.
Sophie -alors, tu as réfléchis à ma proposition ?
Moi -oui, sinon, je ne serai pas là.
Sophie -je peux avoir ta réponse ?
Moi -avant dis à quelle hauteur tu a s besoin de moi.
Sophie m'expliquait ce qu'elle avait et ce que Sandra demandait.
Moi -ah quand même, ce n'est pas rien, bon, je vais t'aider.
Sophie -la totalité de ce qui me manque ?
Moi -oui, mais il y a une condition a cela.
Sophie -je me doutais bien que tu ne me donnerai rien sans rien.
Moi -normal non ?
Sophie -oui, normal, je t'écoute.
Moi -c'est simple, 1er chose, je reste ton homme à tout faire et je ne partage pas avec ton Philippe.
Sophie -accordé, mais y'a combien de conditions comme ça
Moi -2eme chose, je veux que tu deviennes une vraie garce, pire que ce que tu es en ce moment.
Sophie -réalisable donc accordé et ensuite ?
Moi -3eme chose, j'aimerai te voir quand tu es avec Martine
Sophie -pas de souci pour moi, faut que je demande à Martine.
Moi - normal
Sophie - c'est tout ?
Moi -oui.
Sophie -donc on es d'accord, tu me fais le virement et je paye cash Sandra.
Moi -oui, profites-en pour lui demander une remise vu que tu payes cash.
Sophie -ok, ouf, je suis soulagée.
Moi -dis donc, tu ne ferais pas ta salope ce soir, y'a un homme qui n'arrête pas de te reluquer depuis notre arrivée.
Sophie -comment tu vois ça.
Moi -j'ai les yeux partout.
Sophie -pourquoi pas, je me ferai bien prendre par un inconnu.
Moi -hum, vas-y alors.
Sophie -c'est qui, il est où ?
Moi -c'est le serveur, regardes bien ses yeux quand on va commander, remontes un peu ta robe qu'il voit tes bas.
Sophie -hum, oui, je l'avais remarqué en entrant ce serveur.
Moi -salope va.
Sophie -c'est ce que tu aimes et maintenant, j'ai un pacte avec toi.
Moi -oui oui.
Quand le serveur vint prendre la commande, Sophie avait remonter sa robe et on voyait la dentelle de ses bas, il ne privait pas de mater, je bandais rien que de voir ma Sophie attirer un homme dans sa toile d'araignée qu'elle tissait à merveille.
Le serveur -vous désirez boire quoi en mangeant.
Moi -un peu de vin.
Le serveur (Eric) -je vous emmène la carte de suite.
Quand il revint, Sophie fis volontairement tomber sa serviette, Eric se baissait pour l a ramasser et Sophie remontait sa robe encore un peu plus, elle sentit sa main l'effleurer.
Je commandais le vin et attendions notre menu.
Il n'y avait pas grand monde dans le restaurant, je faisais exprès de trainer un peu pour que l'on se retrouve seul dans la salle.
Sophie devait aller aux toilettes, quel aubaine pour Eric.
Contrairement à ce que je pensais, il ne la suivait aux toilettes et vint débarrasser notre table.
Je lui demandait l'addition en même temps.
Il revenait en même temps que Sophie, et je m'aperçut que sa main était surement posé sur ses fesses.
Eric -voila Monsieur, puis-je vous offrir une coupe pour finir votre repas.
Sophie -oui, avec plaisir.
Pendant qu'il préparait nos coupes.
Moi -sa main était bien sr tes fesses ou je me trompe.
Sophie -tu ne te trompes pas, hum, j'ai envie de lui, tu peux pas avoir.
Moi -vas-y fonces, ne te prive pas.
Sophie -oui, je le ramène à la maison.
Moi -oui, oui.
Eric -voila, allez, à la votre.
Il trinquait avec nous et Sophie le priait de s'assoir 5 minutes avec nous.
Il nous expliquait qu'il était le patron associé et que lui faisait le soir et son pote le midi.
Sophie -je reviendrai, c'était très bon.
Eric -j'espère bien.
Puis, il se levait;
Sophie -je viens vous payer.
Sophie le suivait jusqu'à la caisse, moi, je restait à ma place.
Elle revenait 5 minutes plus tard.
Moi -alors ?
Sophie -je lui ai donné mon adresse et mon 06, il me rejoint dès qu'il a fini.
Nous rentrions.
Moi -je te dépose et je rentre.
Sophie -ah bon ?
Moi -oui, je vais mater cela de chez moi via les caméras, tu veux bien.
Sophie -comme tu veux.
Je rentrais chez moi, actionnais mon ordinateur et attendais.
Il ne mit pas longtemps à arriver.
Après avoir bu une coupe, il s'enhardissait et commençait à li mettre sa main sur ses cuisses, Sophie étant très chaude ce soir, l'embrassait fougueusement et ils finirent dans son lit.
J'éteignait et allait me coucher.
J'appelait Sophie le lendemain dans la matinée pour qu'elle me raconte la suite.
Sophie -il m'a prise ce matin au réveil.
Moi -il a dormi avec toi ?
Sophie -oui, je ne voulais pas qu'il s'en aille, je te promet, c'est un bon coup, il baise très bien.
Moi -il revient quand du coup.
Sophie -ce soir, je lui plais beaucoup.
Moi -ok.
Sophie -arrêtes de faire ton jaloux, tu sais très bien que je t'aime toujours.
Moi -oui, mais quand c'est nouveau, ça me fait toujours ça.
Sophie -je t'en dirai plus demain.
Moi -oui, je pense qu'il va te demander ce que tu attends de lui, et il va falloir que tu parles de moi.
Sophie -oui, c'est prévu.
Je raccrochais et avais hâte d'être à demain.
A SUIVRE.

Nous aussi nous avons hâte de connaitre la suite !

Vite, Fifou... La suite !!!

Peut-être bien que voilà donc un nouveau mari pour Sophie ?...

Oui, espérons qu'il y aura une cérémonie à ce mariage candauliste

Bonne idée !
Et qu'Olivier apporte les alliances...

Et soit le témoin de sa femme, lors de son mariage candau...

Voilà de belles idées qui, j'espère, inspireront Fifou...

Oui, j'espère aussi...
Vite Fifou, on n'en peut plus...

Le rythme des parutions de Fifou a beaucoup diminué...
Je suis convaincu que c'est par manque de temps et non par manque d'imagination. Fifou nous a montré qu'il n'en manquait pas !

Espérons que tu dises vrai, Clahire.
Car effectivement le temps où Fifou publiait plusieurs épisodes par semaine est malheureusement terminé...

Mais ne perdons pas espoir, ce temps reviendra peut-être...

Plus d'épisode depuis quelques semaines, quel dommage !...

Le lendemain matin, c'est Sophie qui m'appelait.
Moi -allo, comment vas tu ?
Sophie -je suis aux anges, j'a trouvé la perle rare.
Moi -expliques-moi.
Sophie -non, on dine ce soir dans son restaurant.
Moi -ok, mais c'est moi qui t'invite et je viens te chercher.
Sophie -avec plaisir.
La journée ma paraissait interminable et l'attente avant de partir encore plus longue.
Je partais à la minute près, j'espérais que Sophie sois prête, j' vais trop hâte d'apprendre ce qu'elle avait à me dire.
Sophie m'attendais devant chez elle, un manteau trois quart cachait ce qu'elle portait, mais dès qu'elle fut assise je devinais déjà ses bas, ce qui présumais que sa robe ou jupe devais être courte.
Je me garais et allais ouvrir la porte à ma Princesse.
Nous entrions dans le restaurant, mais ce n'était pas Eric mais un garçon assez jeune d'apparence et surement venant des iles, qui nous accompagnait à notre table, Sophie ne parut pas surpris pas cela.
Moi -champagne, je présume.
Sophie -oui, bien sur.
Le garçon prit note et nous ramenait une bouteille dans son seau.
Moi -alors, racontes-moi, tu as l'air aux anges.
Sophie -oui, tu peux pas avoir, il m'a baisé comme un dieu, y'avait longtemps que je n 'avait pas pris un pied aussi intense.
Moi -à ce point ?
Sophie -oui, il m'a fait orgasmer 2 fois et jouis tellement fort que j'eus beaucoup de mal à m'endormir, et il a remis ça au réveil le lendemain.
Moi -super, et c'est quoi, ta perle rare.
Sophie -ben comme j'avais du mal a dormir et lui aussi, on a parlé de nos vies respectives.
Moi -et..
Sophie -avant d'ouvrir ce restaurant, avec son pote, il tenait un club libertin.
Moi -très intéressant ça.
Sophie -oui, tu vas vite t'en rendre compte.
Moi -explique
Sophie -après lui avoir comptés quelques souvenirs de ma vie, je lui avouait que l'on était candauliste et que nous restions sur un échec.
Moi - et alors.
Sophie -et bien, lui son rêve, c'est d'être dominant dans une relation à 3.
Moi -non, tu dis ça pour me faire plaisir.
Sophie -si je te le dis.
Moi -un rêve réel.
Moi -il vient ce soir.
Sophie -oui, un peu plus tard, il a une affaire à régler, il s'est fait remplacer par le neveu de son associé.
Moi -je comprend mieux ta tenue de ce soir.
En effet, Sophie s'était habillé très sexy, une robe blanche très décolletée, pas de soutif, string, bas et porte jarretelles blanc en dentelle, escarpins blanc aussi.
Sophie -oui, j'espère bien qu'il me prenne devant toi, par contre, il a l'air assez autoritaire, je te le dis, que tu ne sois pas surpris.
Moi -il doit en connaitre des trucs, vu qu'il a tenu un club libertin.
Sophie -oui, il aime les scènes avec plusieurs hommes et une femme et m'a demandé si j'aimerai cela.
Moi -tu as dis oui, je suppose.
Sophie -bien sur, oses-me dire que tu aurais dis non.
Moi -tu as raison, tu lui as parlé de moi.
Sophie -oui, tu seras spectateur ce soir.
Moi -hum.
Sophie -et son associé, libertin aussi bien sur, est un réunionnais et très bien membré à ce qu'il m'a dit.
Moi -ce ne sera pas la 1ere fois, avec un réunionnais.
Sophie -non, j'assumerais si un jour il veux un trio, n'aies crainte.
Moi -je sais.
Eric arrivait peu de temps après, et embrassais Sophie sur la bouche comme si j'étais pas là.
Eric -ça va comme tu veux ?
Sophie -oui et toi, ton rdv s'est bien passé.
Eric -oui nickel.
Moi -bonsoir.
Eric -salut.
Sophie -tu connais Olivier mon mari ?
Eric -oui, je l'ai vu la 1ere fois ou tu es venu, c'est lui qui aime te mater.
Sophie -oui.
Eric -alors, on va lui offrir ça.
Sophie -oui oui.
Moi -hum, j'ai hâte.
Eric -avant, je dois m'occuper de mon restaurant, le jeune ne peux pas tout faire.
Sophie -il es mignon, ton serveur.
Eric -oui, il à 19ans.
Sophie -en effet, un peu jeune.
Eric -ne dis pas ça, demain peut être qu'il te baisera.
Sophie -oui peut être.
Nous dinions en tirant des plans sur la comète, me voyant la mater avec son nouvel amant.
Sophie -tu verras, il baise bien et est très résistant.
Moi -je te dirai quand j'aurai vu.
Sophie -j'ai hâte.
Sophie allait aux toilettes et je l'attendais patiemment en sirotant ma coupe de champagne.
Elle mettait du temps, je trouvais.
Après un quard heure d'attente, j'allais voir se qui se passait.
D'abord rien, puis, j'entendis quelque chose venant d'un WC, porte fermée.
Je m'approchais doucement et collais mon oreille à la porte.
Vu ce que j'entendais, j'étais sur que ma Sophie était en train de sucer un homme.
Hélas pour moi, Eric arrivait et me dégageais des toilettes.
Dehors, il m'expliquait que je devais la laisser faire ce qu'elle avait envie et que je devais me plier à leurs désirs.
Je retournais à ma place et Sophie me rejoins 10 minutes plus tard..
Moi -tu as passé un bon oment.
Sophie -je n'ai pas eu le choix.
Moi comment ça ?
Sophie -en sortant des toilettes, Eric m'attendais.
Eric -j'a envie que tu suces mon serveur, cela m'a excité quand tu as dis trop jeune,.
Sophie -ah bon.
Eric -oui, même très excité, alors, suces-le jusqu'à la jouissance.
Sophie -je n'ai pas le choix.
Eric -non, pas vraiment.
Moi -donc, tu l'a sucé.
Sophie -oui, jusqu'à ce qu'il éjacule et à cet âge, voila le paquet de foutre qu'il a envoyé.
Moi -bien sur, tu as aimé.
Sophie -oui, il bandait dur et quelle grosse queue il avait.
Moi -je ne sais pas où on met les pieds, mais je crains le pire pour toi, il va te rabaisser très bas à mon avais.
Sophie -laisses-moi essayer, j'en ai envie.
Moi -vas-y, mais prends garde à toi, je te le dis.
Sophie -promis et je te dirai tout.
Moi -oui, ainsi, je pourrai toujours essayer de te protéger.
Sophie -merci.
Je payais et Sophie me demandait de l'attendre à la maison le temps que Eric ferme le restaurant.
J'arrivais chez Sophie et sortait une bouteille de champagne et 3 coupes.
Puis j'attendais, j'attendais.
Au bout de 45 minutes, je l'appelais mais répondeur.
Une heure du matin, toujours rien.
Je remis ma veste et retournait voir au restaurant mais tout était fermé.
Retour chez Sophie, on s'est peut être croisé, mais en arrivant, toujours pas de Sophie.
je la rappelais, toujours répondeur.
Je décidais de rester chez elle et m'allongeais dans le canapé.
Je me réveillais en sursaut vers 4 heures du matin, j'avais entendu un bruit dans l'escalier.
Je regardais dans l'œilleton mais rien malgré la lumière.
Impossible de me rendormir et je décidais de rentrer, peut être le fait que je sois là l'empêchais de rentrer.
Une fois rentré chez moi, je me fis un café et décidais d'attendre un signe de sa part.
5 heures, 6 heures, 7 heures, toujours rien, je décidais qu' à 8 heures, j'appelais les flics.
Enfin, vers 7 heure 30, un texto m'indiquait qu'elle était rentrée.
Je l'appelais, mais une nouvelle fois, j'avais à faire à son répondeur.
Que s'était-il passé ?
A SUIVRE.

la il va falloir que tu raconte le reste et assez vite, c top bon

Merci pour ce nouvel épisode !

Super suite, ça valait le coup d'attendre...

Whaou, ça promet une suite torride !

Effectivement, là il est claire que Fifou nous prépare de sacrées aventures

Sophie va encore se prendre des kilomètres de bites

Et dans ses trois accueillants orifices