du changement, mais toujours du candaulisme.

Excellent épisode qui laisse effectivement présager des prolongements torrides !...

je lui laissais un message vocal lui demandant de me rappeler rapidement.
Hélas, la matinée passait toujours sans nouvelle de ma petite femme, j'étais assez inquiet.
Vers 14 heures, ce fut Martine qi m'appelait.
Martine -bonjour Olivier, savez où est Sophie ,
Moi -bonjour Martine, non, je l'appelle depuis ce matin 8 heures, toujours son répondeur.
Martine -oui, pareil pour moi, le souci, c'est qu'elle a un rdv très important à 16 heures, pouvez-vous passer chez elle ?
Moi -non, j'ai réunion à 15 heures mais passez à mon bureau chercher la clef.
Martine -ok, j'arrive de suite, envoyez-moi votre adresse en texto, voici mon 06.
J'envoyais dans l'immédiat mon adresse du boulot et 20 minutes plus tard, je donnais la clef à Martine.
Moi -tenez-moi au courant en texto.
Martine -oui, pas de souci.
Martine arrivait chez Sophie, ouvrait la porte, mais pas un bruit, elle entrait dans le salon et trouvait Sophie affalé sur le canapé, dnas la tenue de la veille mis à part ses escarpins qui trainait parterre pas très loin d'elle.
Martine décidait de lui préparer un café bien serré avant de la réveiller.
Puis, tout doucement, en lui caressant la joue, elle lui murmurait des mots gentilles.
Sophie ouvrait le yeux et se demandait ou elle était.
Martine -chez toi, tu es chez toi mais il est déjà 15 heures et vous avez un rdv vous important dans une heure.
Sophie se levait d'un coup mais se rassit très vite tant sa tête lui faisait mal.
Martine -tenez, buvez un café, je vous l'ai fait serré.
Sophie -merci, regardez dans la salle de bains je dois avoir du doliprane.
Martine -ca va aller, j'étais inquiète et je ne suis pas seul, ton mari attend de mes nouvelles pour être rassuré.
Sophie -dis-lui que tout va bien, je l'appellerai ce soir.
Martine exécutait son ordre.
Sophie émergeait lentement, Martine la pressait.
Elle fit sa douche et demandait à Martine de lui choisir sa tenue.
Martine -que d'honneur, fais-moi confiance, tu va être rayonnante.
Sophie -gourmande, tu ne changeras jamais.
Martine -avoir le bonheur de choisir comment tu vas être habillée, hum, j'adore.
Martine choisit string, porte jarretelle et soutif mauve à dentelle, une robe blanche avec des fleurs grimpantes dessus, des bas mauves en nylon et des escarpins noirs.
Martine -tu vas être parfaite.
Sophie -refais-moi un café mais rajoutes un peu de lait dedans.
Martine -oui, chef.
Sophie -arrêtes tes sarcasmes.
10 minutes plus tard, elles étaient dans la voiture de Martine et était au bureau a 15h45.
Sophie -merci Martine, tu me sauves la vie, je ne pouvais pas rater ce rdv.
le rdv s 'achevait vers 17 heures et Sophie m'appelait enfin.
Moi -enfin, je me suis inquiété, tu ne peux pas disparaitre comme ça, tu n'es pas seule dans ta vie, je te demande pas la mer juste un texto.
Sophie -oui, je sais, mais cela s'est passé tellement vite.
Moi -explique-moi alors.
Sophie -oui, Eric au lieu de te rejoindre a décidé de partir ailleurs, il voulait que je fasse la connaissance de son associé, ben, j'ai fait connaissance.
Moi -comment ça ?
Sophie -il m'a pris 3 fois dans la nuit plus une fois avec Eric.
Moi -tu es avec qui, Eric ou son associé.
Sophie -j'aime bien Eric mais Pierre me baise encore mieux que lu, et quelle queue il a , j'en suis amoureuse de son engin, je veux que tu vois ça.
Moi -quand tu veux.
Sophie -tu nous prépare à manger samedi soir et je viens avec lui.
Moi -ok, ça marche.
Je raccrochais et me demandais ce que Sophie allait faire maintenant, ne une nuit, il était pratiquement tomber amoureuse de Pierre.
Sophie se son coté n'avait pas fini sa journée, il lui restait plein de boulot.
Martine -je peux partir ou tu as encore besoin de moi.
Sophie -je n'ai pas ma voiture, je prendrai un taxi.
Martine -je peux revenir te chercher si tu veux.
Sophie -laisses tomber, tu as surement autre chose à faire.
Martine -si je te propose.
Sophie -ok, je te bipe quand j'ai fini.
Martine partait et 5 minutes plus tard son téléphone bipait.
Pierre -j'ai encore envie de toi, dis-moi ou tu es ?
Sophie -moi aussi, mais là, je bosse, j'ai du retard.
Pierre -ce soir alors.
Sophie -non, il faut que je me repose absolument, je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit.
Pierre -ok, mais, demain tu n'y couperas pas.
Sophie -oui promis.
Sophie bossait jusqu'à 19h30 et appelait Martine pour qu'elle vienne la chercher.
Martine -j'arrive dans 5 minutes.
Quand Sophie entrait dans la voiture, Martine ne portrait que des bas noirs résille, une culotte en satin noire, un genre de marcel assez large laissant deviner ses sein spas recouvert d'un soutif et des talons hauts.
Sophie -c'est quoi cette tenue ?
Martine -je mérite une récompense pour ce que j'ai fait aujourd'hui, il me semble.
Sophie -oui, tu auras une prime en fin de mois, promis.
Martine -j'en veux pas, je veux que tu me fasse orgasmer maintenant et tout de suite, donc, tu vas me caresser les seins pendant que je conduis et une fois chez toi, tu me donneras mon orgasme.
Sophie -j'ai pas le choix apparemment.
Martine -non pas vraiment.
Martine démarrait et pris la main à Sophie pour la diriger vers ses seins, à peine était- elle en contact que ses tétons se mirent à durcir immédiatement.
Sophie -tu s le feu on dirait.
Martine -depuis ce matin que j'ai choisi tes affaires, j'ai la chatte en feu, je me suis branlé au bureau pendant ton rdv.
Sophie -espèce de salope.
Sophie lui pinçait les seins plus fort encore.
Martine -vas-y, plus fort, j'adore ça, tu le sais.
Arrivé chez Sophie, Martine l'embrassait langue dehors, Sophie sentait monté en elle des envies de Pierre, mais la, elle allait contenter sa secrétaire.
Sophie prit tout de même son temps et envoyait Martine au 7eme ciel.
Puis, elle rentrait chez elle, laissant Sophie avec ses envies.
A SUIVRE.

voila, c ca qu on attend depuis lomtemp,
continue a nous narrer la suite

Merci pour ce nouvel opus, la suite devrait être torride !...

Le samedi arrivait vite et j'étais très impatient de retrouver ma Sophie.
Moi -cc, comment ça va, tu as récupéré depuis l'autre jour ?
Sophie -oui, mais il est venu 2 fois depuis et à chaque fois, j'ai pris un pied incroyable.
Moi -j'ai hâte de voir ça.
Sophie -oui, je sais, tu nous fait quoi à manger.
Moi -surprise.
Sophie -toi aussi, Pierre en a une aussi pour moi ce soir.
Moi -une bonne soirée en perspective alors.
Sophie -j'espère bien.
Je commençais à préparer le repas quand Sophie se pointait en déshabillé blanc en satin avec juste un string noir en dessous.
Moi -ne me provoque pas déjà.
Sophie -si, j'ai envie que tu cuisine et que tu nous serve ce soir complètement nu.
Moi -je ne connais pas ton invité, cela risque de la déranger peut être.
Sophie -non, je lui ai demandé et au contraire cela lui plairait de se faire servir à poil par le mari de sa maitresse.
Moi -ah bon.
Sophie -oui, il aurait même préféré que tu portes une culotte ou un string à moi, cela l'excite un homme en dessous féminin.
Moi -dans ce cas, je te laisse le choix si cela te plait aussi.
Sophie -hum, alors, je vais te chercher ta tenue de ce soir que tu vas mettre maintenant, déshabilles-toi et vite.
J'obéis et me retrouvais à poil.
Dès que Sophie revint avec un string violet tout en dentelle et qu'elle me le tendit, je me mis à bander très dur
Sophie -petit ordure, tu bandes rien que de mettre mon string, tu vas morfler ce soir.
Moi -oui surement.
Je passais un bon moment à leur préparer à manger.
Bien sur, Sophie passait pour me narguer, ma racontant qu'elle allait se faire prendre sans demi mesure ce soir.
Moi -tu t'habilles comment ?
Sophie -tu verras bien, de toute façon, je ne m'habille pas pour toi.
Moi -je le sais bien, hélas.
Sophie -ne fais pas le malheureux, contentes-toi de ce que l'on va t'offrir, il sera là d'ici une heure, j'espère que le repas sera bon et prêt à l'heure, ah, j'ai oublié, j'ai une petite clochette que j'agiterai quand j'aurai besoin de toi, .
Moi -ouais, comme un valet de chambre en quelque sorte.
Sophie -oui, c'est ce que je veux, que tu nous serves comme un esclave, en nous vouvoyant.
Moi -ok.
Sophie -oui, oui, en me disant vous et du Madame par ci, Madame par là, je sens que je vais passer une merveilleuse soirée et une délicieuse nuit.
Mon repas était prêt, je n'avais plus qu'à attendre.
Quand la sonnette retentit, j'avais une boule au ventre, je n'avais pas encore vu la tenue de Sophie et, je ne connaissais pas ce Pierre.
Sophie -vas ouvrir et n'oublies pas d'être poli avec lui.
J'exécutais son ordre, et tombais nez à nez avec Pierre, quel homme, bien bâti, grand, le teint halé, je ne m'étonnais pas que Sophie craque pour lui.
Moi -bonsoir Monsieur, Olivier pour vous servir.
Pierre -bonsoir Olivier.
Je le fis entrer dans le salon ou j'avais préparé les coupes pour l'apéritif.
Sophie n'était pas encore sortie de sa chambre.
Moi -je vous sert une coupe de champagne en attendant Madame.
Pierre -non, je vais l'attendre.
Je retournais dans la cuisine.
5minutes plus tard, la clochette retentit, j'étais nerveux, je ne savais pas comment était habillée Sophie, ni si j'allais les trouver enlacé ou en train de se rouler une pelle, je connaissais parfaitement la perfidie de Sophie.
Je ne fus pas déçu, car Sophie était déjà assise sur lui dans le canapé et l'embrassait à pleine bouche.
Sophie -sers-nous à boire stp.
Pierre -on ne va pas lui dire stp toute la soirée, il est là pour nous servir non ?
Sophie -oui, tu as raison.
J'ouvrais le champagne et leur servais une coupe.
Moi -Madame veux les petits fours maintenant ?
Sophie -je te sonnerai quand j'en aurai envie.
Dans la cuisine, je pensais, quelle humiliation je subis, mais au fond de moi, j'aimais ça.
Sophie s'était surpassé dans sa tenue ce soir, en effet, outre sa robe noire totalement transparente, elle avais mis ses cuissardes et des dessous noir et rouge avec le porte jarretelle et les bas assortis.
J'attendais non sans passer ma tète dans l'encadrement de la porte pour voir ce qu'ils faisaient.
Ils se mettaient le feu tout simplement, je pensais bien qu'il allait baiser avant manger et je ne me trompais pas.
Le temps que je surveille mes petits fours, quand je repassais la tête dans l'encadrement, Pierre était en train de la limer assise sur lui de dos, ce qui faisait que Sophie me voyait et me faisait des signes avec sa langue autour de sa bouche signe qu'elle aimait cela.
Puis, il se levait et Sophie se mit à le sucer, mon dieu quel engin, je ne m'étonnais plus maintenant de ce que Sophie m'avait dis au téléphone.
Elle n'arrivait pas à l'engloutir entièrement, se deux mains ne couvraient pas la longueur de sa queue.
Il la prit en levrette le long de la table sans la déshabiller juste ne écartant son string.
Sophie haletait et moi je bandais dur, je vous l'assure, elle m'excitait dans cette position.
Pierre lui, était complètement nu, j'enviais un peu son corps d'athlète.
Je rentrais dans ma cuisine et la clochette retentit.
J'essayais de cacher ma bandaison mais Sophie le voyait.
Sophie -tu bandes a regarder ta femme se faire baiser.
Moi -oui, Madame.
Sophie -enfin ta femme, je plaisante, de toi, j'ai juste le nom, le reste ne t'appartiens plus.
Moi -oui, je le sais Madame.
Pierre -oui, elle est à moi maintenant, tu es juste bon à nous servir, va chercher les petits fours, j'ai faim.
Sophie -et appliques-toi, n'oublies jamais que j'ai un aitre homme sous la main pour te remplacer si tu ne fais pas ce qu'il faut.
Moi -je croyais que l'histoire était réglée Madame.
Sophie -non, je viens de le décider.
En retournant à la cuisine, je pestais contre elle.
Je dressais les petits fours dans un plat et je les servais au salon.
Pierre -pas mal pour un début.
Sophie -oui, il est doué pour cuisiner mais c'est tout.
Pierre -au moins, on mangera bien.
Sophie -oui, c'est sur.
Pierre -au fait, je ne t'ai pas dis, j'ai invité mon neveu pour le dessert, cela ne te gènes pas.
Sophie -pas du tout, au contraire.
A SUIVRE.

quel cochonne et quel cocu
mais on adore ca

Toujours des aventures au top du candaulisme !

Merci Fifou pour cette suite qui en appelle d'autres...

Merci Fifou pour cette suite qui en appelle d'autres...

Olivier est toujours le plus grand des cocus !

Récit toujours aussi bandant
Merci Fifou !

"Sophie -enfin ta femme, je plaisante, de toi, j'ai juste le nom, le reste ne t'appartiens plus.
Moi -oui, je le sais Madame."

Bravo Fifou, voilà qui est génial !!!

Oui, je suis bien d'accord, c'est une réplique qui tue !

Voilà encore un bien bel épisode, merci.

Comment ne pas rêver d'être à la place d'Olivier ?...

Bonne question !
Mais nous qui suivons ce post le rêvons tous...

Sophie était aux anges, servi à table avec son amant, elle en rêvait secrètement,.
De mon coté, je ne pensais qu'à une chose, tout faire très bien pour éviter qu'elle ne me remplace par Philippe.
UN coup de cloche et j'emmenais l'entrée, un 2eme coup de cloche et j'emmenais le plat de résistance, j'étais devenu leur serveur, j'avais tout de même des compliments pour le repas de leurs parts.
C'était déjà un bon point, Philippe ne me remplacerai pas.
Un coup de clochette et je me pointais.
Pierre -tu attends pour nous servir le dessert, on attend mon neveu.
Sophie -mais restes ici, Pierre veux que tu le mate pendant que le pompe, mates bien sa grosse queue et j'espère que tu vas bander dans mon string.
Moi -oui Madame.
Pierre fut à poil en un rien de temps et restait assis jambes écartés, Sophie se mit à genoux pour le sucer entre ses jambes et attrapait son énorme queue qui se mit à durcir directement.
J'avais rarement vu une aussi grosse bite, réellement, c'était un monstre, la nature l'avait bien doté, Sophie se régalait et enfournait sa queue dans un mouvement de va et vient assez rapide, il était très résistant.
Je bandais bien entendu et Sophie se retournait malgré tout pour me mater.
Sophie -tu aimes ça mater ta femme avec son amant, et bien tu n'as pas fini, car mon Pierre, je vais le garder très longtemps.
Pierre -oui, fini pour toi, elle est à moi, et je vais en disposer à ma guise que cela te plaise ou non, tu n'auras rien à dire.
Sophie -toute façon, il n'a rien a dire, il obéis et c'est tout, d'ailleurs, as-tu fait la vaisselle ,si c'est non, vas la faire, je veux profiter seule de cette grosse queue.
Pierre -non, laisse-le encore nous mater, cela me plait que ton cocu nous mate.
Sophie -j'ai horreur de ce mot mais toi, tu as le droit de lui dire, cela m'excite encore plus.
Pierre -hum, je ne vais pas me gêner alors.
Sophie -oui, traite-le de cocu.
Sophie se remit en route sur son engin qui n'avait pas débander contrairement à ce que j'aurai pu croire.
Elle poussait même le vice jusqu'à enlever sa robe afin que je vois sa croupe d'où j'étais placé, je la matais, de savoir que je ne pouvais plus y toucher, cela me privais beaucoup.
Moi -Pierre, si votre neveu sonne, Madame n'a pas une tenue décente pour le recevoir.
Pierre -t'inquiètes pas, elle remettra sa robe avant que mon neveu rentre.
Sophie -et même dans cette tenue, cela ne me dérange pas de recevoir ton neveu.
Pierre -oui, c'est vrai, tu l'as déjà sucé.
Sophie -oui, il est bien monté aussi.
Pierre -c'est dans les gènes.
Il éclatait de rire.
Je retournais dans la cuisine mettre le lave vaisselle en route.
A peine fini, on sonnait à la porte.
Malgré tout, je passais un peignoir avant d'aller ouvrir.
J'avais bien fait car ce n'était pas la personne attendue qui sonnait.
Moi -Martine, qu'est ce qui t'arrive, pourquoi n'a tu pas appelé avant ?
Martine -Sophie est là ?
Moi -oui, dans le salon avec un ami à nous.
Martine -je peux la voir ?
Moi -attends, je me renseigne, ne bouges pas.
Martine était très bien habillée, une jupe marron avec de gros boutons devant très courte, un corsage blanc et des dessous rose vu la couleur de son soutif sous son chemisier.
Moi -Madame, il y a Martine qui veux vous voir, cela a l'air urgent
Sophie -je passe ma robe et je vais voir, rhabille-toi, chéri, sait-on jamais.
Pierre s'exécutait et se revêtit.
Sophie se pointait dans le hall.
Sophie -que se passe t-il ma petite Martine.
Martine -j'ai des soucis, j'ai besoin de toi.
Sophie -tout de suite.
Martine -oui, si tu peux.
Sophie -explique-moi avant, tu veux boire une coupe avec nous.
Martine -non, j'ai déjà beaucoup bu ce soir, d'où mes emmerdes.
Sophie -allez, explique-moi.
J'ai été dans les restaurant que tu m'avais conseillé car je ne voulait pas passer la soirée toute seule, je me suis installé et commandé une bouteille de champagne que je sirotais tranquillement, il y avait autour de moi, des couples, des hommes seuls, des jeunes enfin tout ce qu'on trouve dans un restaurant un samedi soir.
Sophie -et alors ?
Martine -une femme en couple assise pas loin de moi n'arrêtait pas de mater, je tirais sans cesse sur ma robe pour qu'on ne voit pas mes bas, mais ses yeux ne quittait pas mes jambes, donc je commandais mon repas afin de partir de la bas au plus vite.
Sophie -jusqu'à la, rien de grave, te faire mater par une femme, tu aimes ça il me semble.
Martine -oui, bien sur, mais attends la suite, donc je mangeais rapidement, mais ses yeux devenait lourds à supporter, elle s'est levé d'un coup et elle est venue me parler.
La dame- bonsoir, joignez-vous à nous, vous serez moins seule.
Je lui répondais que j'étais bien toute seule mais elle a tellement insisté que j'ai transférer mon assiette et ma bouteille de champagne à leur table.
Bien sur, elle m'installait à coté d'elle et en un rien de temps, ses mains se baladaient sur mes cuisses, sous les yeux complaisants de son mari.
Je lui enlevais sa main mais elle revenait sans cesse, je ne savais plus quoi faire.
Sophie -fallait partir.
Martine -j'avais pratiquement bu la bouteille et je n'étais pas très claire et puis, au fond de moi-même cela m'excitait qu'une femme me drague devant son mari.
Sophie -tu as fais quoi du coup ?
Martine -j'ai été aux toilettes car j'avais envie, elle se pointait 2 minutes après moi, et à peine sortie des WC, elle m'a embrasé très sensuellement? ses mains se baladait partout sur mon corps, j'étais trempé de désir, tu me connais.
la dame -tu me plais beaucoup, j'ai envie de toi comme personne, laisse-toi faire stp.
Martine -oui, mais pas ici, on pourrai nous surprendre.
Je retournais à la table, finissais ma coupe, payais ma note et sortais.
Ils firent pareil mais une fois dehors, ce n'est plus elle mais lui qui voulait abuser de moi, donc, j'ai pris ma voiture et suis parti, ils m'ont suivi, comme je ne voulais pas qu'il sache où j'habite et je suis venu ici.
Sophie -tu as bien fait, Olivier, raccompagnes Martine chez elle, mais tu prends ma voiture au parking ainsi ils ne verront que du feu, tu laisses ma voiture la bas et j'irai chercher Martine avec sa voiture demain dans la journée.
Martine -non, c'est moi qui te ramènerai ta voiture.
Sophie comme tu veux.
Martine -j'y tiens.
Sophie -ok.
Elles se firent la bise et partais avec Martine.
Moi -je reviens comment ?
Sophie -prends un taxi.
Martine -merci, Sophie, je te revaudrais ça.
Sophie -t'inquiètes pas pour ça.
Je sortais avec Martine et je croisais son neveu dans l'escalier, je ne dis rien et raccompagnais Martine.
Dans la voiture, je ne pensais qu'à une chose, revenir le plus vite possible.
Sur la route, Martine commandait un taxi qui m'attendais en arrivant.
Je lui donnais l'adresse et retournait chez Sophie.
Un texto bipait.
Sophie -hum, la soirée va être très chaude, reviens vite, je veux que tu vois ça.
Je restait interloqué, qu'allait t-il se passer, un trio avec son neveu ?
A SUIVRE.

Merci pour ce nouvel épisode

Merci Fitou !
Pierre sera-t-il ce nouveau mari de Sophie que nous espérons ?...

Merci Fifou, mais j'avoue que j'ai maintenant un peu de mal à suivre cette histoire, avec des épisode où il y a de moins en moins "d'action", et de plus en plus de narration "hors sujet".
Attention, ce n'est pas une critique car Fifou fait un gros boulot pour écrire tous ces épisodes, j'en suis conscient.
C'est juste un peu dommage...

Je te comprends Courgoul, par moments il est vrai qu'on perd un peu le fil de l'histoire et qu'on a du mal à percevoir le candaulisme dans tout ça (par exemple comme dans le dernier épisode quand Martine fait irruption au beau milieu d'une scène de pur candaulisme et qu'Olivier doit la raccompagner chez elle).
Mais gageons que Fifou nous réserve de belles surprises pour la suite !

Il faut savoir sortir des sentiers battus parfois ...

Exact, Menthe. Mais je crois que le candaulisme est une sacrée façon de sortir des sentiers battus, non ?

On est bien d'accord, et c'est d'autant plus pour ça qu'on doit accepter les variations inattendues dans le récit de Fifou78.

Mais je n'ai jamais dit le contraire !
Je suis l’histoire de Fifou depuis le début et j'apprécie sa façon de nous surprendre et de faire d'Olivier le roi des candaulistes.
J'attends donc la suite avec impatience et je suis sûr qu'elle sera croustillante !

Tout à fait d'accord avec ce qui précède et vivement un nouvel épisode.

Oui, le retour d'Olivier chez son "ancienne femme" risque d'être mouvementé !

J'ouvris la porte, mon cœur battait plus vite que d'habitude, je savais que ma Sophie voulait se faire prendre devant moi, et je repansais à l'engin entre les cuisses de pierre.
Elle m'attendait tranquillement.
Sophie -on veux boire un café avec Pierre, tu nous le prépare.
Moi -oui, Madame.
Pierre -pas trop fort pour moi.
Moi -oui, Monsieur.
Sophie -et remet toi en tenue, j'aime te voir en string quand je suis avec mon amant.
Moi -à vos ordres Madame.
Je préparais le café et on sonnait à la porte.
Je mis mon peignoir et allait ouvrir, c'était le neveu de Pierre (John), il me saluait et Sophie le priait de les rejoindre dans le salon.
Sophie -fais un café de plus.
Moi -oui Madame.
5 minutes plus tard, je ramenais le café sur un plateau.
Sophie -retire ce peignoir, je ne vais pas te dire 200 fois les mêmes choses quand même.
J'obéis sans rien dire ne voulant pas attiser sa colère.
John -c'est qui ce Monsieur.
Sophie -c'est mon mari, mon serveur, enfin, je fais de lui ce que je veux.
John -tu es chanceuse.
Sophie -pourquoi ?
John -bah, qu'il te serve comme une princesse et qu'il te laisse batifoler avec mon oncle.
Pierre -elle te plait tant que ça ma Sophie.
John -oh que oui, elle a out ce qu'il faut ou il faut et je me laisserai faire sans broncher, je te l'assure.
Pierre -laisse-nous, retourne dans ta cuisine, me lançait Pierre.
Cela ne me plaisais pas, j'y allais, mais j'écoutais ce qui se disait.
Pierre murmurait quelque chose à l'oreille de Sophie qui répondait par un si tu en as envie, pas de souci.
Qu'est ce qu'il manigançait avec ma femme, j'allais vite le savoir.
Sophie -Olivier, Pierre voudrait un autre café, moi je voudrais du champagne et John aussi.
Moi -tout de suite Madame.
Bien qu'étant jeune, John appréciait de se faire servir par moi dans cette tenue.
John -très sympa de se faire servir par ton mari dans cette tenue un peu spéciale pour un homme.
Sophie -oui, il n'a pas le choix, sinon, j'ai son remplaçant demain si je veux.
Pierre -tu vois, Sophie a des atouts dans ses mains, si ce n'est pas lui, ce sera un autre, mais pour l'instant, on le garde, il a fait un sans faute ce soir.
Moi -merci Monsieur.
Sophie -allez, retournes d'où tu viens, si j'ai besoin de toi, je te sonnerai.
J'obéis encore une fois sans discuter.
Pierre -maintenant, je vais m'occuper de toi, j'en ai trop envie.
Sophie -hum, oui avec grand plaisir.
John -bon, je vais vous laisser, je finis ma coupe et je pars.
Sophie -on ne te met pas dehors, tu peux rester.
Je ne vais vous regarder.
Sophie -j'au deux mains, une bouche, une chatte toute lisse et petit cul très accueillant, tu ne vas pas partir, je peux très bien m'occuper de vous deux.
John -mon oncle, vous la laisseriez faire ?
Pierre -bien sur que oui, je suis chaud comme de la braise, allez, rapproche toi de nous.
Je m'étais posté dans l'embrasure de la porte et je ne manquais rien de ce qui se tramait.
John se rapprochais d'eux et Pierre ne mit pas longtemps à se retrouver encore ne fois à poil, sa grosse queue toute raide.
Sophie l'empoignait à deux mains et commençait à le branler.
John regardait un peu méduser de ce qui se passait, et Pierre l'incitait avec des gestes à caresser Sophie.
D'abord hésitant, il s'enhardissait rapidement et se retrouvait lui aussi à poil en un rien de temps.
Sophie le fit assoir à coté de Pierre et se mit à les branler ensemble.
Si pierre était très bien monté, son neveu était aussi bien nanti par la nature et Sophie se régalait d'avoir deux queues aussi grosse que ça.
Elle se retrouvait au prise avec 2 hommes qui allait à coup sur la démonter, mais elle le voulais, j'étais sur maintenant que leur messes basses était au sujet de ce trio.
Ce fut John qui la pénétrait en 1er et en levrette pendant qu'elle continuait à sucer Pierre.
Puis, il inversèrent leur place, ils étaient aussi résistant l'un que l'autre.
Sophie haletait depuis de nombreuses minutes mais elle les priait de lui en donner encore et encore.
Bien sur, cela finit par une double pénétration et Sophie se mit à hurler comme jamais je ne l'avais entendue.
Bien sur, Sophie se fit un malin plaisir à les faire éjaculer avec sa bouche et ses mains, elle en reçu plein le visage et sur ses seins car les 2 hommes avaient un éjaculation abondante.
Pierre -vas-y ma chérie, avales notre sperm, j'adore voir ça.
Sophie ne se fit pas prier et bien sur elle me sonnait.
Sophie -viens ici, viens gouter au foutre de mes amants.
Moi -oui Madame.
Sophie tendait la langue pour que je lèche ce foutre, je savais qu'en refusant, Philippe prendrai ma place donc je m'exécutais.
Pierre -allez cocu, avales mon sperm celui de mon neveu, Chérie, donne lui en encore.
Sophie -lèche ce qu'il y a sur mes seins sans toucher mes tétons, tu n'y a pas le droit.
Une fois qu'elle en eu fini avec moi.
Sophie -rhabilles toi et rentres chez toi, je veux profiter de ma nuit sans toi, je veux profiter entièrement de Pierre.
Je partais 5 minutes plus tard en leurs souhaitant une bonne nuit malgré tout.
Pierre -merci, reviens vite voir ta femme et son amant, je vais en faire la reine des salope et toi le roi des cocus.
Sophie -oui, même si je n'aime pas ce mot, tu vas devenir le roi des cocus.
A SUIVRE;

Merci pour cette suite

J'aime vraiment bien suivre la saga de Fifou, et je le remercie de nous livrer de nouveaux épisodes régulièrement.
Mais c'est dommage Olivier est désormais plus un domestique qu'un cocu complice. Perso c'est nettement moins mon truc...

Je partage la remarque de Barent, mais je suis certain que Fifou va bientôt faire retrouver à Olivier son statut de roi des Cocus !

bonjour, étant donné que pas mal de gens n'aime pas trop la nouveau rôle d'Olivier, je vais revenir au candaulisme pur et dure ce que je préfère aussi.

non
on aime bien son cote lopette aussi

Sophie vécut ce rêve pendant environ 3 semaines, ils ne se quittait plus avec Pierre, faisant plein de trio avec d'autres hommes, mais la vie décidait qu'elle ne pourrait pas vivre cette passion pendant des années.
En effet, elle négligeait sa société et ce qui devait arriver, arriva, elle dut mettre la clef sous la porte et licencier Martine, elle se promirent de rester en contact mais Martine n'y croyait pas trop.
elle m'appelait un matin de très bonne heure étant encore dans mon lit, me réveillant à peine.
Sophie -faut qu'on se voit très vite.
Moi -déjà, bonjour, et cela fait 15 jours que je n'ai aucune nouvelle et je devrai me mettre à tes ordres, tu rêves Sophie.
Sophie -ne m'appelle pas Sophie, j'ai horreur de ça.
Moi -comment alors, ma Chérie, tu m'interdis, c'est réservé à tes amants du moment.
Sophie -j'ai besoin de toi, stp.
Moi -je ne suis plus à tes ordres, j'ai rencontré quelqu'un et on va divorcer.
Sophie -quoi ?
Moi -oui, on va divorcer.
Sophie -jamais, je refuse et qui c'est cette pute qui t'as enlevé.
Moi -tu la connais pas et tu ne la connaitras jamais, tu es trop garce et tu vas lui faire du mal.
Sophie -je vais mettre mon réseau en marche, je saurai qui c'est.
Moi tu veux quoi pour me solliciter à cette heure.
Sophie -te voir, j'ai besoin de toi.
Moi -ok, midi devant chez toi, mais pas de resto, ni de verre à boire, tu me dis ce qui se passe et j'essaierai de t'aider.
Sophie -ok pour midi.
Comme je voyais ma nouvelle conquête tout les soirs, je m'étais habillé très élégamment
A midi pile, j'étais devant chez Sophie.
Je sortais de ma voiture et l'attendais en fumant une cigarette (j'avais repris une dizaine de jours auparavant).
Elle arrivait peu après, mini jupe à carreaux, bas noirs, chemisier transparent laissant apparaitre son soutif mauve, elle savait ce qu'elle faisait.
Elle voulut me faire un smack mais je tendais ma joue.
Sophie -bah dis donc, tu dois être vraiment amoureux pour me refuser tes lèvres.
Moi -cela ne te regarde pas.
Sophie -si, tu es toujours marié avec moi je te signale.
Moi -dis moi en quoi je peux t'aider.
Sophie -viens, on monte chez moi, je vais te faire montrer.
Moi -non, je te le l'ai dis ce matin, pas de resto et pas de verre.
Sophie -allez, viens.
Moi -non.
Sophie -j'ai des papiers qu'il faut que tu vois absolument.
Moi -va les chercher.
Sophie -viens, je ne vais pas te violer, n'aies crainte, quoi que tu te laisserais faire, je te connais, tu n'as jamais su me dire non.
Moi -pas longtemps, je reprend à 13 heures.
Sophie montait par l'escalier devant moi et bien sr, je matais son cul dans son string violet.
Sophie -la vue te plais ?
Moi -faudrait être con pour dire non.
De fait, elle remontait sa jupe et je voyais tout ses fesses.
Moi -pourquoi tu m'allumes ?
Sophie -je ne veux pas que tu me quitte.
Moi -obligé, je n'ai jamais de nouvelle de toi, je suis encore jeune, je veux vivre.
Sophie -désolé, je vivais une vraie passion.
Moi -pourquoi ce vivais, c'est fini.
Sophie -oui, c'était un manipulateur et je m'en suis rendu compte à temps.
Moi -et c'est pour ça que tu as besoin de moi.
Sophie -non, je vais te faire montrer.
Elle ouvrait la porte et me tendait un dossier.
Je lisais.
Moi -tu es dans une belle merde, tu vas être obligé de vendre ton appart et comme cela ne suffira pas, il vas te falloir trouver un boulot et faire un crédit pour rembourser ce que tu dois.
Sophie -et tu ne peux pas m'aider.
Moi -si, mais je ne veux pas, tu m'as fait trop de mal.
Sophie -si je tenais cette pute qui te fais tourner la tête, je la tuerai.
Moi -ne t'avises pas d'y toucher, bon, c'est tout.
Sophie -non, fais moi l'amour une dernière fois.
Moi -non, je suis fidèle à ma compagne.
Sophie -et tes fantasmes, qui vas les réaliser maintenant.
Moi -en tout cas, ce ne sera pas toi.
Sophie -sale pute qu'elle est, je n'y crois pas, elle a métamorphose mon Olivier, mais je ne lâcherai pas, je vais me battre.
Moi -tu as perdu d'avance, je suis amoureux.
Et je partis sans aucun regret, ni remord.
Bien sur, Sophie me harcelait de texto toute l'après midi, mais je ne répondais pas, cela lui apprenait la vie.
Maude, ma nouvelle amie m'attendait à la sortie de mon boulot, elle ressemblait bien sur un peu à Sophie, toujours en jupe ou en robe, elle portait elle aussi des dessous affriolants, mais ne savait rien de ses fantasmes; nous n'avions pas encore couché ensemble, on voulait se découvrir avant de franchir le pas.
Nous allions boire un verre dans un bistrot voisin, Sophie me textotait toujours et m'insultait à présent, je mis mon téléphone en silencieux.
Maude n'était pas champagne, elle préférait la vodka soit pure si elle était bonne ou avec du jus pomme si elle ne l'était pas,
Du coup, je buvais quand à moi du whisky.
Maude -parles moi de toi, raconte moi ta vie d'avant, je veux tout savoir, même l'inavouable.
Je me mis à lui raconter ma vie mais passais volontairement sur mes fantasmes qui pour moi étaient inavouables vu le peux que je savais d'elle.
Maude -c'est tout, tu me déçois un peu, je pensais que tu avais une vie un peu plus mouvementée.
Moi -je ne peux pas t'avouer tout dès maintenant, apprenons à nous découvrir avant.
Maude -je savais bien qu'il y avait quelque chose d'inavouable, allez dis-moi.
Moi -dis-moi toi quelque chose d'inavouable et je te le dirai après.
Maude -je suis une sainte et elle éclatait de rire.
Cela me faisait du bien de passer une soirée comme celle-ci.
Moi -allez, finis ton verre, je t'invite au restaurant.
Maude -hum, volontiers.
Elle habitait à 500 mètres de chez moi ce qui nous permettait de boire sans conduire.
Une fois installés au resto.
Maude -pour trouver ce que l'autre à d'inavouable, on se pose une question à tour de rôle, ce petit jeu te tente.
Moi -oui, beaucoup.
Je commandais une vodka et un whisky.
Maude -tu veux me saouler pour abuser de moi ou quoi ?
Moi -pas besoin, tu diras oui de suite.
Maude -c'est vrai, tu me plais énormément, allez 1ere question, tu es bi ?
Moi -non, même si parfois cela m'a effleurer l'esprit, surtout quand j'étais jeune, à l'âge de la puberté.
Maude -qu'est ce qui t'a provoqué cela ?
Moi -une question à la fois c'est à moi maintenant,.
Bien sur, j'allais l'emmener sur le chemin que je voulais, c'est à dire le candaulisme.
Moi -tu as fait un trio hhf ou ffm
Maude -les deux.
Moi -qu'as tu préféré ?
Maude -avec 2 hommes allez dis-moi qu'est ce qui as provoqué cette envie d'homosexualité.
Moi -je jouais au foot et sous la douche, il y avait un mec qui me plaisait et chaque fois après l'entrainement ou après les matches, il se douchait toujours à coté de moi.
Maude -en effet, cela aurait pu prêter à confusion.
Moi -tu avais quel âge quand tu as fait ce trio .
Maude -une vingtaine d'années, c'était en vacances d'été, un soir ou j'avais beaucoup bu.
Moi -tu as aimé ?
Maude -vu mon état d'ébriété, je ne me souvenais plus de tout le lendemain et donc tu n'as jamais été au bout de ton envie.
Moi -cela a failli un soir, on avait trainé à l'entrainement et on était plus que tout les 2 sous la douche.
Maude -hum, cela m'excite un peu, continues.
Moi -comme d'habitude, il était à coté de moi, sauf que cette fois-ci, il se branlait et toi d'après ce que tu te rappelle, qu'avais-tu aimé dans ce trio ?
Maude -je crois que c'st le fait d'avoir 2 machins dans mes mains et tu l'as branlé ton pote.
Moi -non, il s'est fini tout seul, et de le voir, je me suis branlé aussi devant lui.
Maude -cela en est resté là ?
Moi -oui, 2 mois après, il a déménagé, tu n'as jamais refait de trio ?
Maude -non, j'avais un mari qui me baisait une fois par mois sans préliminaire et une fois qu'il avait eu son plaisir, il s'endormait.
Moi -ma pauvre, tu as du en souffrir.
Maude -un peu, ensuite, je prenais un homme pour un coup du soir quand il partait en voyage d'affaires.
Le repas était terminé, je payais et proposais à Maude de la raccompagner chez elle.
Maude -à une seule condition.
Moi -laquelle ?
Maude -on boit un dernier verre à la maison, j'ai un excellent whisky.
Moi -c*ça ne se refuse pas.
Elle avait une appartement, un F3 au 2eme étage sans ascenseur.
Elle montait devant moi et je ne pus m'empêcher de passer ma main sous sa robe, elle portait un tanga tout en dentelle, je me mis à bander.
Maude -hum, continue, elle se retournait et m'embrassait avec passion.
Moi -on pourrait nous surprendre, allez, on monte chez toi.
Maude -et alors, 2 amoureux ont le droit e s'embrasser dans un escalier.
Moi -oui, mais mes mains qui relève ta robe pourrait choquer.
Maude -je m'en fous, je suis fière de mon corps.
Voila qui me plaisait beaucoup cette manière d'être surprise qui ne la dérangeait pas, du coup je continuait et découvrait pour la 1er fois depuis Sophie un corps de femme bien fait avec de très beaux seins (100 E)
Nous fîmes l'amour toutes la nuit.
A SUIVRE.
J'espère que cette nouvelle histoire vous plait, n'ayez crainte et ne pensez surtout pas que Sophie va disparaitre de la circulation, bien au contraire, n'hésitez PaaS dans vos commentaires, je les attend pour continuer.

le lendemain matin, je rentrais après pris le petit déjeuner avec Maude.
Evidemment, Sophie était devant ma porte a m'attendre.
Sophie -tu découches maintenant ?
Moi -je fais ce que je veux.
Sophie non, tu es toujours marié avec moi et je pourrai faire une main courante comme quoi tu ne dors plus ici.
Moi -ne commences pas à me chercher des poux dans la tête, je te l'ai dis hier, je suis amoureux.
Sophie -toute façon, tu ne vas pas pouvoir, comme je dois mettre mon appart en vente, je compte revenir vivre ici, je n'ai plus de toit, ni de boulot.
Moi -non, tu ne reviendras pas ci, je ne veux plus de toi.
Sophie -tu ne pourra pas résister à me mater dans les bras d'un autre, tu reviendras vers moi, toi et moi c'est pour la vie.
Moi -ne crois pas ce qui t'arrange, c'est fini entre nous.
Sophie -tu m'offre un café quand même.
Moi -oui, si tu veux, tu as passé la nuit à m'attendre.
Sophie -non, je suis venu vers 6 heures ce matin, je veux savoir qui est cette femme qui t'as ensorcelé.
J'ouvrais la maison, et je partais directement me doucher.
Sophie -oui, lave-toi, tu dois être bien sale après avoir baiser toute la nuit je suppose.
Moi -tu supposes bien, je me suis éclaté avec une superbe femme..
Sophie -espèce de salaud.
J'entrais dans la salle de bains et je laissais couler l'eau longuement sur moi.
Sophie entrait dans la salle de bains.
Sophie -dis moi qui c'est ?
Moi -non, jamais.
Sophie -allez, si tu me le dis, ce soir, je baises ici devant toi.
Moi -tu veux qu'on recommence comme avant, c'est ça.
Sophie -oui, je veux te voir jaloux comme avant.
Moi -je ne peux pas, je suis amoureux d'une autre femme, cela n'aurait aucune prise sur moi.
Sophie -si tu es si sur, laisse-moi essayer.
Moi -pas ce soir, je ne suis pas là.
Sophie -oui, encore avec ta pute, demain alors ?
Moi -je ne sais pas encore ce que je fais.
Sophie -j'attendrai le temps qu'il faut, je veux simplement voir si je te fais encore de l'effet.
Moi -pour bander, je vais bander si tu fais ça., c'est pratiquement sur, mais est ce que cela peux signifier que je t'aime toujours, je ne pense pas.
Sophie -je veux faire ça avec un ami à toi de préférence, que tu sois bien jaloux.
Moi -je ne le serai pas, j'en suis sur.
Sophie -laisse-moi vérifier.
Moi -si tu veux.
Voila, elle avait réussi à me faire changer d'avis, j'aimais tellement la voir baiser devant moi.
Sophie -libère-toi ce soir stp, je vais me faire sexy a souhait tu verras.
Moi -ok, mais à 21heures, je partirai quoiqu'il arrive.
Sophie -on verras bien.
Moi -c'est tout vu.
Sophie -et trouves mon partenaire, ça, c'est ton boulot.
Moi -non, débrouille-toi.
Sophie -ok, laisse-moi chercher sur le net dans ces cas là, mais je dois rester ici.
Moi -comme tu veux.
Mine de rien, j'étais nu devant elle, elle me matait avec envie et je suis sur qu'elle se serait laisser prendre de suite.
Sophie -tu veux que je te suce ?
Moi -si tu en as envie, ne te gène pas.
Elle ne se gênait pas et englobait ma bite entière, me faisant une gorge profonde, c'est vrai qu'elle était douée cette garce.
Sophie -ce n'est pas ta pute qui te suce comme ça, y'a que moi qui sais te faire ça.
Moi -tais-toi et suce-moi.
Sophie -j'ai envie que tu me fasse orgasmer comme tu le faisait si bien avant, je suis trempé d'envie.
Moi -caresse-toi sale garce que tu es, tu me fais péter les plombs.
Sophie -hum, oui, mon clito est énorme, viens le gober et le mordiller, je vais vite partir rien que pour toi.
en voyant sa chatte toute lisse, je ne pus résister et je la bouffais, hum, c'était tellement bon, pourquoi n'était elle pas revenu plus tôt.
Elle orgasmait violemment et j'en fus ravi, depuis le temps qu'elle ne s'était pas offerte à moi.
Sophie -tu ne peux pas me résister, tu bandes toujours autant pour moi, je vais encore te le prouver ce soir.
Moi -on verra ça ce soir.
En sortant de la maison, je me sentais un peu coupable vis à vis de Maude.
Je l'appelais pour avoir si tout allait bien.
Maude -tu me manque, trop hâte d'être à ce soir.
Moi oui, justement, j'ai une réunion, je ne serai là que vers 21h15.
Maude -comme ça, je te préparerai un bon petit repas.
Moi -j'ai hâte alors.
J'étais pris entre 2 feux, Sophie restait Sophie, mais je voulais vivre quelque chose avec Maude, j'étais certain qu'elle me donnerai beaucoup de plaisir et qu'elle avait des fantasmes qui me plairait.
La journée passait très vite, je n'eut même pas le temps d'envoyer un texto a Maude, Sophie elle ne m'oubliait pas.
Sophie -j'ai trouvé un homme pour ce soir, il sera là vers 18h30
Je répondis en sortant du boulot vers 18h15.
Moi -ok, je quitte le boulot.
Sophie -ne traine pas, il va arriver, ou traine si tu veux me surprendre avec lui.
Moi -choisis ce que tu veux.
Sophie -rentres, je ne veux pas que tu manque un iota de ta femme avec un nouvel homme et je me sis permise de mettre du champagne au frais.
Moi -tu as bien fait.
L'homme (Pascal) était déjà installé quand j'arrivais.
Il se levait et me saluait en se présentant, je fis de même (il ne paraissait pas tout jeune, il avait au moins la cinquantaine).
Sophie -tu veux une coupe, mon Chéri.
Moi -oui, volontiers.
Elle se levait et me fis un smack.
J'avais droit au smack et à mon Chéri, que cherchait-elle exactement.
Elle s'était habillé comme une vraie salope.
Une nuisette en satin blanc, des bas résilles blancs avec porte jarretelle blanc aussi, des talons aiguilles assez hauts, pas de soutif mais un string tout en dentelle blanc aussi, elle avait recouvert le tout d'un déshabillé lui aussi en satin blanc mais long, elle n'en aurai pas mis, cela aurait été pareil, on voyait tout au travers.
Sophie -alors Pascal raconte nous pourquoi, tu traine sur des sites coquins.
Ma femme m'a quitté il y a 3 ans maintenant et je trouve mon bonheur comme ça.
Sophie -tu as eu quelques bons plans quand même.
Pascal -oui et des mauvais aussi.
Sophie -j'espère faire parti des bons.
Pascal -on verra, mais tu es bien loin de moi, ce n'est pas comme çà que je vais pouvoir te caresser..
Sophie se levait et s'asseyait sur l'accoudoir juste à coté de lui.
Pascal -voila, tu es mieux ici.
Il lui caressait le dos et le bas des reins, je ne le voyait pas mais le devinais.
On discutait de tout et de rien et je voyais Sophie qui trainait volontairement pour que je ne parte pas à l'heure dite.
Moi -je trouve que ton déshabillé est de trop, tu ne dis quoi Pascal.
Pascal -entièrement d'accord avec toi, tu veux que je t'aide à l'enlever.
Sophie -je veux bien.
Elle se levait et Pascal passait derrière elle pour lui enlever son déshabillé.
Dès qu'il fut enlevé, Pascal restait derrière elle et lui pris ses seins à pleine mains.
Et la Sophie jouât le grand jeu.
Sophie -hum, prends bien mes tétons, caresses-moi devant mon mari, j'adore le voir envier mes amants.
Pascal -tu es vraiment bien foutue, y'a longtemps que je n'ai pas eu une femme comme toi dans mes bras.
Sophie -alors profites et abuses de moi, je veux voir mon mari jaloux comme jamais.
Pascal -je vais assurer, tu vas en redemander, tu verras.
Il lui enlevait sa nuisette et la , je commençais à bander, de voir ses seins entre ses mains et elle qui tournait la tête pour qu'il lui roule une pelle.
La position ne devait pas plaire à Sophie, elle l'attirait devant elle et lui roulait une pelle langue dehors, cela me faisait bander plus fort, elle savait y faire la garce.
Puis elle passait ses mains sur sa queue, je voyais qu'il bandait au travers de son pantalon.
Pascal -attends, je vais me mettre à mon aise.
il se dévêtit en un rien de temps.
Sophie -quel beau corps tu as.
Il était complètement imberbe, tout ce que Sophie aimait.
Elle le fit assoir et se mir entre ses jambes pour le sucer.
Il était pas mal monté
Une fois qu'il bandait très fort, Sophie s'empalait sur sa queue de dos, face à moi.
Avec ses mains sur ses hanches, il lui donnait la cadence, bien sur Sophie me faisait des mimiques pour me faire montrer qu'elle aimait ça.
Il était résistant, je vous l'assure car après Sophie se mit face à lui, elle lui roulait des pelles à tirelarigot.
Sophie -prend-moi en levrette.
Pascal -oui, si tu en as envie.
Cette garce vint mettre ses mains sur mes cuisses pendant qu'il l'enfilait.
IL lui claquait les fesses en même temps qu'il la limait, Sophie, bien sur aimait et même adorait ça, elle me tendait sa langue pour que je l'embrasse.
Sophie -donne-moi ta langue, j'en ai envie.
Je ne bougeais pas.
Pascal -allez, fais lui plaisir.
Je lui donnais ma langue, elle en abusait comme si c'était la 1ere fois et après réflexion, cela était fort agréable.
Pascal sentait le jouissance arrivé.
Pascal -je vais jouir.
Sophie -attends, je vais te sucer, je veux que tu jouisses sur mon visage.
Sophie s'agenouillait de façon a ce que je ne loupe rien, le branlait et le suçait, quand il jouit, Sophie ouvrait la bouche et avalait une bonne partie de son foutre.
Pascal -merci, c'était super, puis-je utiliser votre salle de bains.
Moi -oui, bien sur, 1ere porte à gauche dans le couloir.
Il prit ses habits et allait se laver.
Sophie s'approchait de moi.
Sophie -embrasse-moi, je veux qu'on partage son foutre ensemble.
Moi -non.
Sophie -allez, c'est peut être la dernière fois que l'on fait ça ensemble.
J'acceptait, je ne savais pas lui dire non, cela durât au moins cinq minutes.
Sophie -dès qu'e*il est parti, tu me donne un orgasme, il n'est que 20h40 et tu m'as dis 21 heures.
Moi -tu en as eu un ce matin.
Sophie -ce n'est pas assez, a fait, tu as aimé cette petite soirée.
Moi -oui, c'était pas mal.
Sophie -tu demandes quand tu en veux une autre et je l'organiserai.
Quand Pascal partit, Sophie lui demandait son 06.
Pascal -pas de souci, je reviens quand tu veux même sans ton mari.
Il partit et Sophie vient s'assoir sur moi face à moi.
Sophie -pelote-moi les seins, fais monter mon envie encore plus haut.
Je n'ai jamais su résister à ses seins et je les fis durcir et pointer comme jamais, je les tordais, les pinçait, le mordillait.
Sophie -hum, y'a que toi qui sais comment s'en occuper, ma chatte est inondée allez viens.
Elle se mit a fond d canapé et écartait les jambes, j'enfouis ma bouche et jouât de la langue avec son énorme clito.
Sophie -hum, j'adore, encore mon Amour, fais-moi donner.
5 minutes plus tard, elle orgasmait, elle se laissait aller en me disant qu'elle voulait Pascal dans mon lit sans moi, qu'elle voulait que je sois jaloux de lui.
Je ne répondais pas.
Sophie -allez, dis-moi oui, dis-moi que tu veux bien qu'il soit mon mant pour toi.
Moi -fais comme bon te semble.
Sophie -allez, dégages, vas rejoindre ta poufiasse.
A SUIVRE.
VOILA CE QUE PEUX DONNER LA SUITE DE LA SAGA DE SOPHIE ET OLIVIER? J'ATTENDS VOS REACTIONS.

tu as repris du poil de la bete?
en tout cas, 1 pages s est tournee on attend la suite

tu verras par la suite que la page n'est quand même pas complètement tournée.

ah ok, j attend la surprise
mais dis moi, tu as pas des anecdote ou tu es le sissy du couple?

je peux te trouver ça dans la future vie d'olivier si cela te plait mais j'essaye de contenter tout le monde.
Tu voudrais transformer Olivier en femme ?

pas neccessairement, mais en lopette obeissante oui

Yes, voilà le retour du grand Fifou !!!

Superbes épisodes, merci !

dis-moi clahire est ce que la rivalité entre Maude et Sophie te plait, parce que je te le dis vous n'êtes pas au bout du suspens.

Merci pour ces épisodes, la suite s'annonce géniale

Dans la voiture, j'envoyais un texto a Maude pour lui sire que j'arrivais, elle me répondis qu'elle avait hâte que je sois là et qu'elle m'avait réservé une petite surprise.
Et quelle surprise, quand elle m'ouvrit la porte, elle avait revêtu une guêpière noire avec string et bas assortis et avait poussé le vice jusqu'à mettre des talons aiguilles.
Moi -waouh, quelle beauté, cela te va à ravir.
Maude -merci mon Homme.
bien sur, je l'enlaçait et lui roulait une pelle.
Maude -tu sens le parfum de femme.
Moi -oui, je sais, ma secrétaire s'est reparfumé dans mon bureau avant le réunion, je vais me laver la figure.
Maude -non, c'est fort agréable, restes comme ça.
Moi -ho, toi, tu aimes aussi les femmes comme tu es là, allez raconte-moi en buvant l'apéro.
Maude -ok, mais si je parle, tu parles aussi, c'est donnant donnant.
Moi -ça marche.
On s'installait dans le canapé et pour qu'elle soit bien près de moi, elle s'enfourchait sur moi, passait ses mains autour de mon cou et m'embrassait.
Je bandais déjà.
Maude -alors, tu veux savoir quoi ?
Moi -tout mais surtout la 1ere fois ou tu as fait la lesbienne occasionnelle, c'est généralement ce qui nous reste le plus longtemps en tête.
Maude -je ne suis pas une lesbienne occasionnelle, je suis naturellement bi, j'aime les 2 sexes.
Moi -j'adore.
Maude -tant mieux, car je peux difficilement me passer de ça.
Moi -bah continues, ne te gènes pas pour moi, cela nous fera passer de bons moments quand tu me raconteras tes folies.
Maude -c'est vrai, tu acceptes ma bisexualité.
Moi -oui, c'est normal il me semble, allez raconte-moi.
Maude -ok, mais tu ne te moques pas de moi car la 1ere fois et la personne avec qui je l'ai fait peux choquer.
Moi -rien ne me choque sexuellement mis à part le crade.
Maude -ça tombe bien moi aussi je n'aime pas ça, donc à l'époque, j'avais 21 ans et je fréquentais mon futur mari, il m'emmenait pour la 1ere fois chez ses parents en Dordogne a coté de Sarlat pour 4 jours pour l'Ascension.
Moi -superbe région.
Maude -oui, en arrivant, il me les présentait et de suite, le courant passât bien entre nous, je dois te dire aussi que mon mari avait 9 ans de plus que moi et que ses parents frisait la soixantaine.
Moi -je ne vois pas ou tu me m'emmènes voyager mais vite la suite.
Maude -le 1er soir, tout se passait nickel, le lendemain aussi mais le samedi, le père et le fils partirent à la pêche de bon heure (5heures), je me levais vers 8 heures, sa mère (Pauline), déjeunait et me conviait à me servir.
Pauline -dites-moi, vu le beau temps et vu qu'on est que toutes les 2 jusqu'à ce soir, est-ce qu'une balade à pied vous tente, on se prépare un pique-nique et on part vers 10 heures ce matin, je répondais avec plaisir,(j'aime marcher dans la nature et encore aujourd'hui), je pris ma douche, enfilais un ensemble string, soutif rouge, un chemisier que je nouais à la taille, un short en jean et une paire de tennis.
Moi -très intéressant pour la moment.
Maude -je la rejoignait dehors où elle m'attendait, elle avais revêtu, elle aussi un short, une ensemble culotte soutif rose, un sweet, une paire de basket plus un sac à dos comprenant notre repas.
Pauline -on prend la voiture pour rejoindre le chemin de randonnée.
Maude -si vous voulez, je vous suis, je ne connais pas la région.
Une fois garée, nous descendions et prenions le chemin.
Maude -cela grimpait pendant 2 à 3 kilomètres et j'avoue que j'en bavais, Pauline était habituée à ce genre de randonnée, je lui demandais de souffler un peu avant de continuer, elle me répondis qu'il ne restait que 500 mètres et qu'après c'était à peu près plat, une fois en haut, nous étions sur le plat, traversions un forêt de pins avant d'arriver au abords d'un magnifique lac, Pauline me dit qu'on faisait le tour et qu'on déjeunerai de l'autre coté, celui-ci étant plus ensoleillé.
Moi -passionnant pour le moment, j'ai hâte se savoir la suite.
Maude -gourmand, j'espère que toi aussi tu vas me raconter de belles histoires que tu as vécu.
Moi -oui, promis, allez la suite stp.
Maude -donc, on déjeunait sur une table en parlant de mon avenir et de celui de son fils, puis, elle s'allongeait et elle fit une sieste d'un quart heure environ, moi pendant ce temps là, je profitais du soleil qui chauffait ma peau, elle se levait en me disant, o nva un peu plus loin, il y a une cascade et un plan d'eau, on pourra se baigner, je lui répondais un oui joyeux et nous repartions. Après 20 minutes de marche, on était au lieu dit, quel bonheur cette cascade et son plan d'eau,.
Pauline -ici, tu peux te baigner, personne ne vient sauf en juillet et en août.
Maude -je n'ai pas mon maillot de bain.
Pauline -pourquoi faire.
Elle enlevait son sweet, son short et ses baskets gardant juste sa culotte en dentelle rose et plongeait dans l'eau, j'avais eu le temps de voir ses seins et malgré son âge, ils se tenaient encore bien.
Pauline -allez, venez, elle est super bonne.
J'enlevais mes tennis, mon short en jean et mon chemisier et plongeais à mon tour, c'est vrai qu'elle était bonne, je nageais jusqu'à la cascade, elle me rejoignais et profitions une bonne demi heure avant de revenir a nos habits.
Pauline -la dernière arrivée a un gage.
Maude -ça marche.
J'étais sur de moi, pratiquant souvent la natation en piscine, et pourtant, elle me battit à plat de couture.
Pauline -ne pariez jamais avec moi, si je paries c'est que je suis sur de gagner.
Maude -j'ai perdu, je vous dois un gage
Pauline -oui, vous inquiétez pas, vous allez l'avoir.
Maude -pas devant les hommes svp.
Pauline -non, tout de suite.
Maude -ah bon.
Pauline -oui, maintenant, vous allez me bouffez les seins, si vous ne le faites pas, je vous fous la honte ce soir devant les hommes.
Maude -c'est du chantage.
Pauline -non, vous avez le choix.
Maude -ok, je cède à votre chantage.
Pauline pris ses 2 seins (un 100D) à plaine mains et me les tendait, je ne me dégonflais pas et les léchais à tour de rôle, ses tétons réagissait bien, ils durcissait sous mes coups de langue.
Moi -incroyable bouffer les seins de sa future belle mère.
Maude -ce n'est pas fini.
Moi vas-y racontes encore.
Maude -voyant que cela me plaisait.
Pauline -vous en voulez un peu plus.
Maude -comment ça.
Pauline -vous m'avez mis le feu tellement vous m'avez bien bouffer, ma chatte aimerait aussi que vous lui donniez du plaisir, je suis inondée, regardez.
Elle avait pris ma main et l'avait posée sur sa chatte au travers de sa culotte en dentelle qu'elle enlevait aussitôt, elle s'allongeait dans l'herbe et m'invitait à lui bouffer a chatte.
Pauline -bouffez-moi Maude, vous allez voir qu'à mon âge, cela marche encore très bien.
Je m'agenouillais entre ses cuisses et commençais a jouer avec son clito qui franchement n'avait rien a envier à quiquonque, il roulait bien entre mes doigts, quand elle fut trempée, je risquais ma langue sur sa chatte, elle frissonnât de plaisir du coup, je m'enhardissais jouant du clito et la doigtait en même temps tandis qu'elle se caressait les seins.
Quand elle orgasmait, ce fut si fort qu'elle me serait la tête entre ses cuisses.
Pauline -vous êtes douée Maude, y'avait longtemps que je n'avais eu un tel orgasme, merci.
Maude -de rien, ce fut un réel plaisir.
Moi -et elle ne t'as pas touché.
Maude -la suite au prochain épisode.
Moi -dommage, cela me plaisait beaucoup et cela m'a mis le feu.
Maude -on va diner avant et après, je m'offre à toi car ce souvenir m'a émoussé aussi, j'ai la chatte en feu.
On dinait et je lui fis l'amour, elle me fis promettre que demain , ce serai à moi de lui dire des secrets.
J'acquiesçais.
A SUIVRE.

Merci Fifou,

Je n'ai même pas eu le temps de répondre à ta question qu'un nouvel épisode était déjà là !

Donc oui, la rivalité entre Maude et Sophie est une bonne idée. Curieux de voir comment tu vas mettres cela à la sauce candauliste...

je sens la rencontre de sophie et maude pour tres tres bientot

c 'est un secret, mais vous allez vous régaler comme jamais.

Je pense comme Karim6123, quand Sophie et Sophie seront en couple, Olivier va morfler !

Le lendemain, c'était vendredi et j'avais une surcharge de boulot, Sophie me harcelait de texto auquel je ne pouvais pas répondre à cause du boulot.
Je pris quand même le temps de lui répondre de me laisser tranquille que j'avais trop de boulot.
Elle répondit.
Sophie -oui, c'est ça, bosses et vas baiser ta pute.
N'en pouvant plus de ses insultes envers Maude, je lui envoyais.
Moi -écoutes, si tu avais été moins conne, que tu me fasse vivre le candaulisme que je voulais, je n'aurai pas été chercher ailleurs ce que tu ne me donnait plus.
Sophie -hier soir, c'était quoi, oses dire que tu n'as pas aimé, je veux aller plus loin avec Pascal, je veux dormir avec lui dans ton lit et toi dans la banquette, je veux te retrouver.
Moi -cela peux arriver, mais quand moi je le voudrais.
Sophie -très bien, tu ne veux pas, n'oublies pas que j'ai un autre homme qui pourrai prendre ta place.
Moi -fais ce que tu veux.
Sophie -même ça, ne te fais pas réagir, elle t'as bien piqué cette salope, j'attendrai, tu vas revenir.
Moi -rien n'est moins sur, j'ai rdv avec mon avocat mardi, je veux divorcer.
Grand silence, je n'eus plus un seul texto de la journée, ouf.
Le soir venu, j'avais décidé avec Maude de faire un restaurant puis aller boire un verre dans un pub ou en boite de nuit.
Nous prîmes déjà un apéro à la maison, Maude but une vodka nature et un moi aussi pour changer un peu.
Maude -ce soir, c'est toi qui me révèle un de tes petit secret.
Moi -oui, mais tu risque d'être surprise, je te préviens à l'avance.
Maude -hum, oui, étonne-moi, surprend-moi, j'ai hâte d'entendre ça.
Moi -cela s'est passé il y a un dizaine d'année, j'avais quitté ma femme puis j'étais revenu avec elle, nous étions parti en vacances du coté de Perpignan dans un camping, nous allions à la plage tout les jours mais ma femme trouvait cela bruyant, je lui proposait d'aller sur une plage de nudistes lui disant que serait plus calme. Elle acceptait a*à ma grande surprise.
Maude -hum très bel entame, je sens que cela va me plaire, même si je ne sais pas ce que tu vas me dire.
Moi -nous passions une après midi super et très calme, le soir, elle passait juste une robe rose et un string, pas mal d'hommes la matait, en rentrant nous avons fait l'amour et elle me demandait ce qui m'excitait ainsi. Je lui répondis, de te voir nue sur la plage mais surtout le regard des autres hommes sur toi ce soir.
Sophie -ça t'excite que des hommes me mate.
Moi -oui beaucoup et je veux que tu sois sexy quand on sort.
Sophie -tu n'est pas un peu maso.
Moi -je ne te dirai plus rien puisque tu me prend pour un fou.
Je m'endormis.
Maude -hum, ça me plais, vite la suite.
Moi -le lendemain matin, ce fut elle qui revint à la charge.
Sophie -si cela te plait qu'on me mate, alors, je vais continuer à être sexy, j'ai aimé comment tu m'as fait l'amour hier soir.
Moi -merci, mais c'est vrai que cela m'excite beaucoup.
Elle allait faire les courses dans sa robe rose mais avait mis ce matin là, un string noir, cela était encore plus provoquant.
Sophie -je te dirai si on me mate.
Moi -j'espère bien.
En revenant, elle me dit que pas mal d'hommes s'était retourné sur elle.
Moi -j'adore, dommage que je n'ai pas pu te mater.
Le dernier après midi des vacances avant le retour, un homme (hollandais) s'était installé à coté de nos et n'arrêtait pas de ma tr Sophie, je lui fis la remarque à l'oreille et elle me dis qu'elle avait remarqué.
Moi -tu aimes ?
Sophie oui, de plus en plus.
Au moment de partir quand Sophie enfilait son maillot de bain, je notait que le hollandais bandait.
Moi -tu as vu.
Sophie -oui, y'a déjà un moment qu'il bande en me matant.
Nous rentrions à Paris et cela en restait là.
Maude -y'a une suite j'espère.
Moi -pas tout d'un seul coup, comme toi tu fais.
Maude -et moi, si on me mate, cela va t'excité ?
Moi -oui, y'a des chances.
Maude -hum, j'adore ça, mais tu vas être jaloux.
Moi oui, mais cela me plait d'être jaloux.
Maude -donc, je peux m'habiller très sexy quand on sort ensemble.
Moi -oui, c'est ce que je veux.
Maude -tu auras, si tu me fais l'amour comme un fou après, je prend.
On décidait de partir, je regardais mon téléphone et la au moins 20 textos de Sophie qui nous insultait et qui me demandait ou je sortais ce soir.
Je ne répondais pas, bien entendu.
Maude -vu ce que tu m'as confié, je vais changer de tenue.
Moi -ah bon.
Maude -oui, tu vas craquer devant moi.
Elle revint avec un jupe en cuir marron, un zip devant, des bas noir auto fixant et un pull blanc avec un grand col roule sans Soutif en dessous.
Maude -je te plais comme ça.
Moi -oh que oui.
Maude -on va voir si on me mate ce soir, mais tu m'en raconte un peu plus.
Moi -non, c'est à toi.
Maude -non, toi sinon, je me change de nouveau.
Moi -accordé.
Maude -super, tu vas encore m'allumer.
Une fois installé au restaurant et l'apéritif commandé, Maude me priait de lui raconter la suite.
Une fois à Paris, Sophie changeait sa manière de s'habiller pour aller bosser, du jean, elle passait à la petite robe ou la petite jupe pour continuer à plaire aux autres hommes.
Maude -et tu n'as rien dis ?
Moi -non, j'aimais ça et dès qu'elle me racontait qu'un collègue la matait cela me mettait le feu et je lui faisait l'amour le soir car bien sur, elle me disait ça en texto.
Maude -ton histoire me passionne, j'ai hâte de savoir la suite, voir jusqu' ou vous êtes allé dans votre folie.
Moi -La suite est encore plus surprenante. Une dizaine de jours plus tard, j'avais invité 2 potes à une soirée football à la maison, nous avions diné plus tôt et Sophie me dit que ma soirée foot ne l'intéressait pas, mes potes était là à 20h30 et Sophie vint les saluer sauf qu'elle s'était changé et avait revêtu une robe moulante blanche avec un string rose en dessous, on ne pouvait pas ne pas le voir. Imagine quand elle s'est baissé pour les saluer, ils en ont pris plein les yeux, elle restât 20 minutes avec nous, assise sur l'accoudoir et pris congé de mes 2 potes qui tournèrent tout les 2 la tète quand elle partit dans sa chambre.
Maude -tu l'a métamorphosé, je présume que tu lui as fait l'amour comme un fou.
Moi -pas vraiment, je lui ai fait une scène avant en lui disant que c'était pas bien de provoquer mes potes avec sa tenue, elle m'a répondu un homme est un homme pote ou pas et puis c'est toi qui veux ça il me semble et je sis sur que cela te plait malgré toi, elle avait raison, j'avais même beaucoup aimé et je lui fis l'amour avec passion.
Maude -dinons, tu me raconte la suite après, au fait as-tu remarqué que tout les hommes qui passent à coté de notre table baisse les yeux sur mes cuisses.
Moi -la nappe ne les cache pas.
Maude -ça devrait mais comme tu aime que ta future femme se fasse matée, j'ai fait pour que ça se voit.
Moi -Je peux voir, moi aussi.
Maude -lève-toi.
J'obéis et elle avais raison, non seulement on voyait ses cuisse mais ses bas entièrement.
Maude -alors, il en dis quoi mon Homme.
Moi -il te dis qu'il adore mais vraiment, ne bouges pas de comme tu es, surtout quand le serveur vient.
Maude -ok, mais pour ça, il me faut la suite.
Moi la voila, 15 jours plus tard, matche retour même heure sauf que j'ai invité mes 2 potes à manger des pizzas avant le match, bien sur quelques apéros avant.
Sophie avait remis la même tenue sauf qu'a la place d'une string rose il était mauve avec plein de dentelles.
Maude -tu te rappelle de tout, incroyable.
Moi -oui, ce sont de bons souvenirs que j'aime me rappeler, bien sur à table, j'installais celui qu'elle préférait à coté d'elle et l'autre à coté de moi, le soirée se passait, Sophie regardait la 1ere mi-temps avec nous puis nous laissait tout les 3, à peine était-ils partis que je fonçais dans la chambre, Sophie m'attendait juste en string dans le lit.
Moi -alors, cela t'a plu, ils t'ont encore bien maté.
Sophie -viens, j'ai quelque chose te dire.
Je me foutait à poil, je bandais déjà.
Maude -attend, voila le serveur.
Le serveur pour prendre la commande des desserts s'était mis du coté de Maude et ne quittait pas des yeux ses cuisses.
Une fois la commande prise.
Maude -ça te plait vraiment que je fasse cela.
Moi tu ne peux pas savoir, tu me donnes envie de pleins de choses.
Maude -dis-moi lesquelles ?
Moi -ne pressons pas les choses stp.
Maude -la suite alors.
Moi -oui, donc je bandais rien qu'a m'allonger à coté d'elle, elle se blottit contre moi je l''encourageais à se confier mais elle me dis fais-moi l'amour fais-moi donner et je pense pouvoir te le dire qu'a ce moment là, la pour moi, c'est impossible, j'obéis et lui fis l'amour et elle m'avouait que mon pote lui avait caressé les cuisses tout au long du repas et qu'elle l'avait laisser faire.
Maude -mais non.
Moi -si, je ne savais plus si cela me plaisait ou si j'étais vraiment jaloux.
Sophie -désolé, dorénavant, je m'absenterai lors de tes soirée foot.
Moi dis-moi juste une chose, cela t as plu ou pas.
Sophie sincèrement sur le coup, oui, beaucoup mais après quand je me suis retrouvé ici seule, je ne savais plu.
Moi -et maintenant que tu me l'as dis.
Sophie -je me sens mieux et oui j'ai aimé qu'on me caresse à coté de toi sans que tu le sache.
Moi -si vous aviez été seuls, tu te serai laissé faire jusqu'à quel point.
Sophie -j'aurai baisé avec lui, j'ai honte de te dire ça.
Maude -je la comprend un peu, tu lui demande des choses mais près quand la machine est lancée dure de l'arrêter.
Moi -oui, enfin voila ce que j'avais à te dire, cela t'a plu au moins.
Maude -dis-moi qu'il y a une suite.
Moi oui, bien sur mais tut le même soir, profitons de nous.
Maude -je vais appeler le serveur, j'ai envie d'un autre verre de vin.
Moi -hum, il te plait le serveur.
Maude -pas spécialement, c'est le fait de t'exciter qui me plait.
Moi -alors continues si tu aimes être mater devant moi.
A SUIVRE.

Je ne m'étais pas connectés depuis plusieurs jours et là je découvre plusieurs épisodes du meilleur candaulisme, super !

Très bonnes suites à lire d'une main...

Oups, je viens de voir que j'ai fait une coquille dans mon précédent message. Je voulais bien sûr écrire :

"Je pense comme Karim6123, quand Sophie et Maud seront en couple, Olivier va morfler !"

Ah OK, du coup on comprend mieux !
Je ne sais pas si Sophie et Maude se mettront en couple, Fifou décidera, mais ce qui est sûr c'est qu'effectivement Olivier va prendre cher !

Je rappelais le serveur pour régler l'addition, il prit tout son temps pour actionner la CB, continuant à mater les cuises de Maude.
Avant de partir, Maude passait par les toilettes. elle revint 10 minutes plus tard et sortions du restaurant.
Moi -pub ou boite ?
Maude -peu importe, du moment que je suis avec toi.
Moi -dans un pub, tu peux être assise soit sur un tabouret haut soit sur une banquette basse, dans les 2 cas, on peux te mater.
Maude -mais en boite, je peux danser, on peux me mater et o n peux même me frôler.
Moi -choisis.
Maude -je m'en fous, choisis toi.
Moi -le pub que je connais, on peux aussi danser.
Maude -alors va pour le pub.
Moi c'est parti, au fait, tu as été bien longue aux toilettes tout à l'heure.
Maude -voila mon jaloux qui se réveille, je me suis juste refait une beauté, tu pensais, je suis sur que le serveur était venu me voir.
Moi -cela m'a effleuré l'esprit, je te l'avoue.
Maude -alors, il est venu et voulait une rdv, j'ai refusé en lui disant que j'étais follement amoureuse de toi.
Moi -et là, qui met le feu à l'autre.
Maude -c'est moi et j'aime ça.
Moi -et si tu n'avais pas été avec moi, tu te le serai payé je parie.
Maude -sans toi, je ne sortirai jamais vêtue ainsi.
Moi -j'aime ta réponse même si je pense que quand on aime une personne, on peux tout faire sans crainte .
Maude -oui, tu n'as pas tord.
Nous entrions dans le pub que je connaissais d'avant mais les patrons avaient changé.
Moi -banquette ou tabouret.
Maude -franchement, tabouret, je veux qu'on me mate devant toi, je veux que tu sois excité.
Je l'aidais à s'installer et commandions 2 vodkas glaces.
Maude -désolé, mais je ne peux pas cacher mes cuisses plus que ça.
Moi -ça ne me dérange pas du tout, au contraire.
Maude -hum, petit coquin.
On voyait l'orée de la dentelle de ses bas, j'aimais beaucoup.
Le pub n'était pas rempli, loin de là, la musique commençait à résonner dans nos oreilles et j'étais debout à coté de Maude qui me tenait l'épaule.
Maude -je me sens bien ave toi, je revis, de plus, on a plein de choses à se raconter, surtout toi, je suis sur que tu as plein de mystère.
Moi -chut, savourons notre soirée, demain est un autre jour.
Maude -oui mais tu me diras, promet-moi.
Moi -oui je te promet.
Maude -j'ai hâte.
Maude tirait constamment sur sa robe, je souriais au fond de moi, je voulais qu'on la mate, mais je n'étais pas encore prêt à la partager entièrement, je voulais profiter des préambules de nos surement futures folies.
J'allais aux toilettes et bien sur en revenant (à peine 5 minutes), Maude était entouré d'un autre homme.
Maud e -Chéri, je te présente Jean-Michel, il pensait que j'étais seule sur mon tabouret.
Je lui serrais la main et reprenais ma place à coté de Maude qui depuis que Jean-mi était là tirait moins sur sa robe, elle me testait, je pense.
Un slow passait et Jean-mi l'invitait à danser.
Maude -désolé, mais le 1ere danse sera pour mon Chéri.
Elle me collait, je sentais ses gros seins contre moi, je lui caressais les fesses sentant les formes de son string, je me sentais bien mais alors très bien, je sentais qu'il ne pouvait rien m'arriver.
De retour sur son tabouret, Jean-mi n'avait pas bougé, il sirotait son whisky glace.
Sur la piste, j'avais demandé à Maude, il te plait, et elle m'avait répondu, pas mal mais je suis trop amoureuse de toi pour aller batifoler avec un inconnu.
Pourtant quand 20 minutes plus tard, il l'avait invité a danser, il y avait été, et je me suis senti jaloux mais jaloux, et malgré cela, je sentais une érection monté en moi.
Tout en dansant, elle ne me quittait pas des yeux, elle voulait me rendre jaloux, j'en étais certain.
Nous rentrions vers 2h30 du matin.
Maude -j'ai une très grosse envie de toi.
Moi -c'est de danser avec un autre devant moi qui te donne cette envie
Maude -oui, surement un peu, mais c'est surtout que je n'ai jamais aimé comme je t'aime.
Moi -je t'aime aussi mon Amour.
En faisant l'amour, elle m'avouait qu'elle avait senti sa queue mais que surtout quand elle était face à moi, ses mains ont caressé ses fesses et qu'elle la laisser faire.
Maude -tu ne m'en veux pas j'espère.
Moi -non, juste une chose, cela t'a plu ou pas.
Maude -franchement oui, mais je ne veux pas que tu me laisse tomber pour ça, si tu veux, je ne le referai jamais.
Moi -non, je ne t'en veux pas, au fond de toi, tu aimerai le revoir.
Maude -oui, j'aimerai, juste pour voir jusqu'où tu pourrais aller, voir si tu résisterais de voir un autre homme me faire du rentre dedans.
Moi -je ne sais pas, car là, ma jalousie est déjà énorme rien que de me dire ces mots.
Maude -alors, je resterai sur mon tabouret, je continuerai à exhiber mes cuisses aux yeux des autres.
Moi -je ne t'ai pas dis ça non plus.
A SUIVRE.

j avoue que je prefere quand sophie te faisait baver en se faisant baiser devant toi

Superbe suite !
Et ne t’inquiète pas Karim123, cela va bientôt arriver avec Maud...

Le samedi matin, je rentrais à la maison, bien sur, Sophie était là, elle avait les yeux gonflés, elle avait du beaucoup pleuré, cela me faisait mal de la voir dans cet état là.
Moi -bonjour, tu as une sale tête, allez, reprends-toi, ne te laisse pas aller.
Sophie -tu m'annonces que tu veux divorcer et je devrais rigoler.
Moi -tu as plein d'hommes qui veulent vivre avec toi, c'est le moment d'en profiter.
Sophie -tu comprends rien, moi c'était de te vexer, de t'humilier, de te rendre jaloux qui me plaisait, aujourd'hui, tu m'enlèves tout ça.
Moi -15 jours sans aucune nouvelle, ce n'est pas du candaulisme, c'est du foutage de gueule pour moi.
Sophie -qui a voulu tout cela, ce n'est pas moi il me semble.
Moi -je te l'ai dis hier, je ne voulais pas ça de cette manière.
Sophie -ok, alors, je vais redevenir comme toi tu le désire, je ne ferais ce que tu voudras.
Moi -tu veux vraiment ça, alors, habilles-toi en salope et ramènes un homme ici, tu as 2 heures devant toi, .
Sophie -j'ai juste à appeler et en moins d'une heure Pascal sera là.
Moi -non, un homme inconnu bien sur.
Sophie -il est 9h45, tu me laisse jusqu'à midi, c'est ça.
Moi -tu as tout compris
Sophie -et si je reviens avec un homme ?
Moi -je te mate en train de baiser avec lui.
Sophie -ce n'est pas assez, je veux plus.
Moi -dis-moi.
Sophie -je te veux ce soir tout à moi.
Moi -impossible demain soir si tu veux.
Sophie -non, l'après-midi et le soir.
Moi -d'accord, dépêches-toi, la montre tourne.
Elle se douchait et s'habillait en moins d'un quart d'heure, robe noire effet plissé devant, très courte, grand décolleté, cuissarde rouge, bas noir résille et dessous noir en dentelle, je le sais car je lui ai demandé de me faire voir avant qu'elle ne parte.
Sophie -mon mari trouve t-il sa femme à son gout ?
Moi -oui, elle est splendide, maintenant, trouveras t-elle un mec, je ne sais pas.
Sophie -genre, tu ne me connais pas.
Elle partit et pendant ce temps là, je pris soin de moi et de mon corps, je voulais plaire à Maude,.
Ensuite, un café bien serré et je m'installais dans mon canapé et envoyant un texto a Maude.
Moi -ça va ma Chérie.
Moins de 30 secondes plus tard.
Maude -oui, tu me manque beaucoup.
Moi -cela fait à peine une heure que je suis parti.
Maude -je sais, mais c'est comme ça quand on aime quelqu'un.
Moi -et si tu me racontais la suite de tes aventures avec Pauline ?
Maude -oui comme ça, tu es avec moi.
Moi -hum, vas-y.
Maude -mais ensuite, je veux la suite de ton aventure avec ton pote.
Moi -oui, je prend beaucoup de plaisir à te raconter mon passé sexuel.
Maude -alors, ne te gènes pas, racontes-moi tout.
Moi -c'est à toi maintenant.
Maude -oui, donc, nous repartions du lac pour redescendre à la voiture, elle marchait devant connaissant les lieux mieux que moi, elle s'arrêtait à mi-chemin pour boire n peu d'eau.
Pauline -vous me plaisez, je vous veux encore, je voudrais que vous me redonniez encore du plaisir.
Maude -maintenant ?
Pauline -pourquoi pas.
Maude -si vous y tenez, je veux bien vous bouffez encore vos gros seins, il me plaisent.
Moi -passionnant.
Maude -Pauline m'expliquait ce qu'elle voulait, je marche et dès que vous avez envie, vous me rattrapez et à vous de jouer, j'enlève mon soutif, ce sera plus simple, aussitôt dit, aussitôt fait, elle le pliait et le mit dans son sac à dos je la lassait mariner un peu, je voulais qu'elle n'en puisse plus d'attendre, elle se retournait de temps à autre, après 15 minutes du marche, sur un endroit un peu plus plat, je me suis rapproché d'elle l'arrêtait en de derrière , lui prit ses seins à pleine mains, lui pinçant les tétons.
Pauline -enfin, j'en pouvais plus d'attendre, vas-y, abuses de moi encore.
Maude -rentrons un peu dans les bois, je ne veux pas qu'on nous surprenne.
Pauline -tout ce que tu veux, excuse-moi de te tutoyer.
Maude -vous pouvez, pas de souci.
Pauline - alors baises-moi, je ne suis qu'une salope.
Maude -allez, libérez-vous, dites-ce que vous avez envie je sens que vous n'osez pas.
Pauline -tu as raison, je vais me lâcher.
Un texto de Sophie vint perturber ma lecture.
Sophie -tu as perdu, je serai là dans 20 minutes avec un mec.
Moi -ok.
Sophie -cela ne t'enchante pas on dirait.
Moi -si, bien au contraire.
Sophie -tu veux quelque chose de spécial que tu as envie que je fasse avec lui.
Moi -oui, n'enlève jamais ton string, j'aime quand tu baises avec.
Sophie -bien compris.
Maude -elle se mit face à moi et me dit, j'ai envie de t'embrasser, je lui dis de faire ce qu'elle avait envie et elle me roulait une pelle langue dehors, cela m'excitais, j'avais la chatte en feu, mais je ne voulais pas me donner à elle.
Moi -toi aussi, tu te rappelle du moindre détails.
Maude -oui, je m'acharnais sur ses seins, ils me plaisaient et étaient très réactifs.
Pauline -oui ,encore, pinces les plus fort.
Maude -je continuais de plus en plus fort, elle se mit complètement à poil et se caressait le clito.
Pauline -frappes-moi, prends une badine et cognes-moi les fesses pendant que je joue avec mon clito, je pris une badine assez résistante et lui martelait les fesses avec.
Pauline -frappes aussi mes tétons, une salope doit se faire maltraiter.
Maude -j'obéissais à sa demande, ses seins et ses fesses étaient rouge écarlate.
Pauline -fais-moi encore donner, fais-moi orgasmer.
Maude -oui, tu vas décoller vieille salope, donnes-moi tout ce que tu as en toi.
Pauline -oui, je suis qu'une vieille salope qui aime se faire prendre par sa future belle-fille, allez, plus fort avec mon clito.
Moi -tu me fais bander Chérie.
Maude -hum, vivement ce soir alors, elle orgasmait très très violement, m'insultant et s'insultant, une fois finie, elle me demandait de le doigter, elle se mit le long d'un arbre, écartait ses jambes, je m'agenouillait et lui enfonçait 2 doigts dans sa chatte elle me demandait d'en mettre plus, sa chatte se dilatait au fur et à mesure et finit par entrer ma main entière, elle hurlait presque de jouissance.
Moi -waouh, incroyable.
Maude -on retournait à la voiture sans un mot à part un pas un mot à nos hommes, voilà mon Chéri, ça t'a plu ?
Moi -énormément, j'espère que toi aussi, tu as d'autres aventures sexuelles à me raconter.
Maude -si tu prends bien soin de moi, tu en auras d'autres mais maintenant, c'est à ton tour.
Moi -oui, je e laisse, je vais voir un peu mes potes comme tout les samedis, je te dirai vers quelle heure je serai là.
Maude -oui profites bien, je t'aime.
Je lui mentais mais elle m'avait excité avec son histoire de lesbiennes, j'attendais Sophie maintenant.
Elle m'avait renvoyé un texto entre deux me disant qu'elle était très excité, qu'elle avait envie de me voir bander pour elle et qu'elle était prête à tout pour me reconquérir, j'avais répondu, on verra mais ce ne sera pas facile pour toi, je te l'avoue.
Sophie venait d'arriver mais seule.
Moi -tu m'as menti, tu es seule ?
Sophie -non, tiens regardes qui est là ?
A SUIVRE;

je sens que c est 1 veille connaissance
je parie sur gerard

Bien pensé !
Effectivement cela pourrait être Gérard.
Mais la condition n'était-il pas qu'il s'agisse d'un homme inconnu ?

Toujours aussi bonne cette histoire

Sophie -allez, vas ouvrir.
Je me levais et ouvrais la porte.
Moi -Fred ?(voir voyeurs du 21 mars 2021 en page 2 sur le site)
Fred -oui, c'est moi, ça faisait un bout de temps.
Moi -oui, mais comment te retrouves-tu ici.
Fred m'expliquait qu'il buvait son café tout les jours dans le bistrot où Sophie était entré par le plus pur des hasards, au début, il pensait se tromper mais quand Sophie l'a interpeller, cela n'a plus fait l'ombre d'un doute.
Moi -et ?
Fred -on s'est fait la bise, on s'est assis à une table et nous avons parlé un peu en buvant notre café.
Moi -tu vas toujours chez les voyeurs ?
Fred -oui, mais j'ai changé d'endroits, cela a changé ou nous nous étions rencontré.
Sophie -tu nous fait un café stp.
Moi -oui attends un peu, j'écoute Fred et je vous fait ça donc, tu vas où maintenant.
Fred -toujours dans le même bois, mais beaucoup plus loin, dans un coin invisible de la route.
Moi -donc plus tranquille.
Fred -oui mais, on ne croise pratiquement plus de couples, il n'y a que des hommes qui se retranche vers la bisexualité, leurs femmes ne les contentant plus.
Moi -oui, je me doute.
Fred -et toi toujours partageur ?
Moi -oui, si tu es là, c'est bien pour baiser Sophie.
Fred -si tu me la prête, évidemment.
Sophie -il n'a rien à dire, juste à subir et à se taire, me regarder me faire baiser par toi.
Fred -elle n'a pas changé.
Moi -allez, je vous fais votre café.
quand je revint avec le plateau et les cafés, Fred avait collé Sophie sur le le mur comme il a toujours fait, il lui tenait les main en l'air et lui roulait des pelles.
Sophie -hum, comme avant, continues à m'embrasser
Il ne gênait pas et Sophie ne me quittait pas des yeux pour voir ma réaction.
Je bandais entre le fait de voir Sophie et l'histoire de Maude, j'avais le feu en moi.
Sophie -Fred, portes-tu toujours des strings ?
Fred -vas voir par toi-même.
Comment Sophie pouvait se rappeler de ça, cela m'étonnait un peu.
Bien sur, Sophie ne se fit pas prier, et descendit le jogging de Fred, il portait un string noir avec fermeture éclair devant et il faisait aspect mouillé.
Sophie -hum, tu permets que j'aille voir se que cache ce magnifique string.
Fred -c'est recommandé.
Du coup, il enlevait tout et se retrouvait juste en string.
Elle s'agenouillait, fit glisser le zip et sortait la grosse queue de Fred car il était très bien monté.
Sophie engloutit sa queue dans sa bouche et le suçait avec beaucoup de vigueur, Fred râlait un peu de plaisir.
Ensuite, Fred lui enlevait sa robe, s'asseyait sur le canapé, elle restait debout face à lui, et commençait à bouffer ses seins dont les tétons durcirent de suite, il lui caressait les fesses à pleines main en même temps.
Fred -tu me plais toujours autant, je pense que je vais te démonter aujourd'hui, je deviens de plus en plus résistant en vieillissant.
Sophie -j'espère bien que tu vas me défoncer avec ta grosse queue dont je raffole toujours autant.
Fred -Olivier, emmènes-nous là un jour dans notre nouveau coin, j'aimerai bien la présenter à quelques amis qui sont montés comme des taureaux.
Moi -c'est à elle qu'il faut demander, moi, je suis toujours prêt pour ça.
Fred alors, tu en dis quoi petite salope.
Sophie -emmènes-moi me faire baiser là-bas stp.
Moi d'accord, on ira ensemble.
Sophie -si tu ne le fais pas, c'est Fred qui viendra me chercher, tu entends bien ça.
Moi -oui, oui.
Fred -oui pas de souci, et même avec grand plaisir.
Fred se levait, tournait Sophie qui vint encore une fois face à moi, les mains sur mes genoux et Fred l'enfilait comme une perle juste en écartant son string.
Sophie, bien sur, elle voulait ma langue comme avec Pascal, je lui donnais
Fred la pilonnait pendant un bon quant d'heure puis l'asseyait sur elle face à lui et la ramonait encore. tellement j'étais excité.
Sophie -viens voir de plus près, viens mater ta femme avec son amant.
Je me levais et la regardais se donner entièrement à Fred.
Quand Fred fus prêt à éjaculer, Sophie se levait et le finissait avec sa bouche et ses mains, elle reçut une grosse dose de foutre qu'elle avalait et m'appelait pour partager le reste avec moi.
Sophie -allez, embrasses-moi, viens gouter le sperm de mon amant.
J'obéis.
Sophie -ensuite, je veux que tu me bouffes la chatte pendant que Fred se remette en forme, tu baises bien toujours2 fois de mémoire.
Fred -oui normalement, mais je boirais bien un autre café avant.
Sophie -tu lui prépare stp.
Le fameux proverbe qui va à la chasse perd sa place prit toute sa valeur car en revenant, Fred était en train de la bouffer,
Sophie -bien fait pour, tu ne m'auras pas aujourd'hui, je vais tout donner à Fred, même l'orgasme qui arrive.
Moi -sale garce.
Sophie -oui, mais tu aime la regarder ta garce.
Sophie eut un orgasme qui se prolongeait longtemps, elle m'insultait et donnait tout à Fred.
Fred -hum, tu m'as redonné envie de te prendre sauf que maintenant je vais te sodomiser comme à l'époque du bon vieux temps.
Sophie -tout ce que tu veux, je suis à toi ce matin, rien qu'à toi.
Fred mit un temps interminable pour éjaculer la 2eme fois et Sophie de nouveau, avalait tout.
Fred en se rhabillant.
Fred -faites-moi plaisir, venez-nous voir dans ls bois. Olivier, je te promet que tu vas être gâté.
Moi -oui, mais c'est où exactement.
Fred -notes mon 06, le jour ou vous venez, envoyez-moi un texto avant et je vous attendrai à l'ancien lieu.
Moi -ok.
Je notais son numéro, et il partit en embrassant Sophie qui était resté juste avec son string, ses bas et ses cuissardes.
Fred -trop content de t'avoir retrouvé, on n'a pas fini de baiser ensemble, je te le promet.
Sophie viens quand tu veux, même si Olivier n'est pas là.
Fred -d'accord.
Une fois parti.
Sophie -bonne surprise pour nous, tu en pense quoi ?
Moi -oui, super baiseur.
Sophie -je te confirme et quelle queue.
Moi -il t'en a promis de plus grosse encore.
Sophie -je prends mais pas sans toi.
Moi -alors pourquoi tu lui as dis de venir même si je ne suis pas là.
Sophie -pour te rendre jaloux et ça marche cela me redonne du baume au cœur.
Moi -petite maligne.
Sophie -j'aime baiser devant toi, si tu savais.
Moi -pourquoi m'as-tu fait ça, de me laisser seul ?
Sophie -je pensais que c'était un nouveau palier pour toi que de laisser seul, de savoir que je vivais avec un autre sans rien te dire, que tu te sentes vraiment cocu même si j'ai horreur de ce mot.
Moi -bah c'est loupé.
Sophie -tu veux vraiment divorcer ?
Moi -oui, je suis amoureux, je te l'ai dis.
Sophie ai-je une chance de te reconquérir.
Moi -tout le monde à sa chance.
A SUIVRE.

Une demie heure plus tard, je rejoignais Maude chez elle qui m'attendais avec un café à la main.
Maude -enfin mon Amour est là, tu m'as manqué.
Moi -toi aussi et pas qu'un peu.
Maude -hum, tu veux un café ?
Moi -non, j'en ai trop bu ce matin.
Maude -on fait quoi cet après-midi et ce soir ?
Moi -on reste tranquille ici.
Maude -je serai bien sorti ce soir.
Moi -on bosse demain Chérie.
Maude -sortir ne veux pas dire rentrer à 4 heures du matin.
Moi -ce n'est pas faux.
Maude -donc, on ne fait rien tantôt et tu me sors ce soir.
Moi si tu veux, tu veux aller où ?
Maude -je veux revivre ce que l'on vécu hier soir, cela m'as beaucoup plu.
Moi -à ce point là ?
Maude -oui sincèrement et comme on ne bouge pas, tu vas me raconter la suite de ton histoire, j'attend cela depuis hier avec impatience.
Moi -si tu veux, où j'en étais déjà.
Maude -ton pote a caressé les cuisses de ta femme sous la tale, elle te l'a avoué quand vous avez fait l'amour.
Moi -oui, et à partir de ce jour, il n'y avait pas un jour où on ne parlait pas de lui, le match suivant arrivait 15 jours plus tard et bien sur, j'avais invité mes potes comme d'habitude, dans la semaine qui précédait comme j'avais une heure devant moi, en me baladant, j'avais repéré une paire de bas résille que je m'empressais de lui offrir.
Maude -joli cadeau, j'espère que m'en feras aussi.
Moi oui, t'inquiète pas pour ça, elle me dis qu'elle les mettrais le dimanche et je m'empressais de lui répondre non, gardes-les pour Patrick, de suite elle fis un ho oui, enthousiaste.
Maude -offrir des dessous à sa femme pour qu'elle les mettent pour un autre, c'est dangereux mais tellement excitant.
Moi -tu le ferai toi ?
Maude -si tu me le demandais, je pense que oui.
Moi -le lundi, on fit le tour de sa garde-robe pour choisir ce qu'elle mettrait, mon choix se portait un ensemble jupe veste couleur saumon et lui demandait de mettre dessous noirs, elle obéis mais on ne voyais pas assez, elle mit du coup un tanga en dentelle noir aussi et là, j'étais aux anges, on voyait tout comme si elle ne portait pas de robe, j'adorais.
Maude -tu as l'esprit un peu tordu quand même.
Moi -oui, je sais mais cela nous plaisait vraiment et on faisait ce qu'il faut pour l'exciter, elle avait mis aussi un pull mohair blanc qui ne cachait pas grand chose de ses seins et sa veste par dessus, quand ils arrivèrent, Sophie était assise sur l'accoudoir, quand le match commençait, elle enlevais sa veste et les yeux de Patrick sortirent presque de ses orbites on voyais ses seins, ses tétons, je me régalais.
A la mi-temps, Sophie partit se coucher et Patrick ma matait jusqu'à l'entrée du couloir car on voyait tout comme si elle se baladait en dessous.
Maude -cela te faisait bander.
Moi -oui, obligatoirement, je rêvais de ça et ma femme me l'offrait; l'exhibe m'a toujours plu donc encore plus quand c'est ta femme qui le fait pour toi ou plus exactement pour nous.
Maude -je m'en doute.
Moi -dès qu'ils furent partis, j'accourus dans la chambre lui faire l'amour, cela fut d'une force incroyable, il n'y avait pas une phrase sans le mot Patrick.
Maude -tu ne m'as pas dis, il lui plaisait.
Moi -elle m'avait dis longtemps avant que c'était un bel homme, mais après avoir fait l'amour, elle me montrait son téléphone et voila ce que je découvrait.
tu es vraiment très belle ce soir.
J'adore ton petit ensemble, hum, tu as mis des bas, j'aperçois bien la dentelle à travers ta jupe, tes seins qui pointent me donne très envie, réponds moi, tu n'as encore rien dis l'autre fois quand j'ai caressé tes cuisses, cela devais te plaire, allez fixe moi un rendez -vous, je sais que tu veux une aventure avec moi, je le sens, qu'est ce qui te freine, bon, ben je reste sans réponse, bonne nuit. Je te fais des bisous partout ou tu en as envie.
Je restais baba car la jalousie l'emportait sur l'excitation.
Maude -ah, l'amour va l'emporter je crois.
Moi -va savoir.
Maude -allez continues, j'aime t'écouter et mettre des commentaires de temps en temps.
Moi -oui, il faut, cela me motive à te raconter la suite , alors dis-moi comment cela va se passer d'après toi.
Maude -vous allez continuer dans l'exhibe mais cela s'arrêtera là.
Moi -tu veux la suite donc.
Maude -oui, avant je me refait un café, tu veux quelque chose.
Moi -non, merci donc, le match suivant avait lieu 3 semaines plus tard, je n'avais appelé personne mais Patrick m'avait appelé pour savoir s'il pouvait venir, je ne pouvais pas refuser, je lui dis juste que Gérard ne viendrait pas car il était du soir.
Maude -ouh la la, ça risque d'être chaud.
Moi -il me dit qu'il ramènerait l'apéro et les pizzas, je répondis ok qu'on regarderas le match tout les 2 ce à quoi il répondis non a 3 tu oublies ta petite femme.
Je lui dis, tu sais une mi-temps pour elle c'est le bout du monde. J'annonçais cela a Sophie mais elle le savais déjà en me montrant son téléphone.
Coucou soso, je viens voir le match chez toi mercredi, j'espère te voir aussi attirante que les 2 fois précédentes, continue de me faire montrer tes charmes, bisous.
Elle me demandait ce que j'en pensais, je lui répondis que l'on continuerait l'exhibe.
Sophie -si je couche avec lui, ne viens pas te plaindre, on est bien d'accord et débrouilles-toi pour la tenue.
Je choisis une robe grise ouverte derrière, un tee shirt bleu azur avec 2 bretelles ce qui fait que si elle se baissait, il verrait ses seins..
Maude -j'ai intérêt à me méfier avec toi, tu prévois tout.
Moi -le mercredi arrivait et Patrick se pointait avec 3 quart d'heures d'avance pizzas et apéro à la main, on avait décidé de manger les pizzas à table mais vu son avance, on but facilement 4 ou 5 apéros, Sophie toujours sur l'accoudoir, Patrick face à elle, il ne pouvait pas manquer de voir ses bas à lacets d'où il était, cela m'excitait, bizarrement, ce soir, l''excitation l'emportait sur l'amour ce soir.
Maude -avec l'apéro, tu m'étonnes.
Moi -on passait à table, Patrick s'installait à coté de Sophie, j'allais voir les pizzas et les épiait du coin de la porte, je vis sa main sur ses seins et fis du bruit exprès pour les avertir que je revenais, il s'empressait de retirer sa main, je vis aussi que ses tétons avaient durci sous ses caresses.
Cela allait s'arrêter là mais Sophie en avait décidé autrement.
Sophie -je boirai bien un verre de rosé avec ma pizza.
Moi -je 'n'en ai pas , mais je peux aller en chercher à l'épicier du coin, j'en ai pour 10 minutes.
En partant, j'avais une boule au ventre partager entre l'excitation et la jalousie.
Maude -je veux bien te croire, tu sais que j'adore cette histoire, cela me plait et m'excite en même temps.
Moi -tu aurais aime être à la place de Sophie.
Maude -je n'en sais rien, j'hésiterai quand même, peut être la suite peux me décider de ma réponse définitive.
Moi -alors, écoute, je mis volontairement plus de 10 minutes à revenir je le surpris avec sa main sur ses cuisses.
Moi -ne te gênes pas surtout.
Patrick -je vérifiais juste les dires de Sophie qui me disait que ses bas étaient très doux au toucher.
Moi -et toi Amour, tu le laisse faire.
Sophie -tu n'était pas là pour vérifier, donc Patrick l'a fait pour toi, mais apparemment cela ne te choque pas plus que ça.
Moi -si un peu mais si tu prend plaisir a ce que Patrick te caresse les cuisses, je ne peux pas aller contre.
Sophie -j'ai trop bu, je vais boire mon rosé dans le canapé, tu veux bien t'occuper de tout Chéri.
Moi -vas, je m'occupe de tout.
Je servis un verre de rosé et puis Sophie qui commençait à être grise se remis sur son accoudoir je débarrassais la table, mis tout dans la lave-vaisselle et en revenant avec l'éponge pour nettoyer la table, Patrick avait fait glisser le zip de sa robe et lui caressais son string.
Moi -tu vérifies maintenant si la dentelle est douce ?
Sophie -chut resserres-moi un verre de rosé.
Maude -elle était complètement bourré ta femme.
Moi -oui, bien touchée en tout cas, donc elle se levais et me roulait une pelle quand je revenais avec son verre de rosé, Patrick en profitais pour lui enlever sa jupe et lui malaxait les fesses tout en descendant vers sa chatte, elle écartait les jambes pour bien sentir ses mains.
Maude -ton histoire est tout bonnement extraordinaire.
Moi -puis, je m'écartais d'elle la laissant entièrement à Patrick qui la fit orgasmer et jouir, elle le suçait en suite et quand il voulut la pénétrer elle refusait en lui disant qu'il n'aura pas tout le même jour, il éjaculait sur ses seins.
Maude -je n'aurai pas cru que tu arrives à prêter ta femme à ton pote, tu lui as fais l'amour après.
Moi -oui, encore très fort, elle a orgasmé et j'ai éjaculer sur ses seins pour faire comme Patrick, alors qu'en dis-tu, est ce que cela te donne une réponse à tes questions de tout à l'heure.
Maude -franchement non, je pense qu'il faut le vivre pour prendre une décision, la seule que je vais prendre maintenant c'est que ce soir je veux que tu
m'emmène dans ce pub pour que j'exhibe mes cuisses.
Moi -tu veux vraiment ça ?
Maude -oui, je sais que tu aimes.
A SUIVRE.

Merci Fifou pour tous ces nouveaux épisodes.
Tu nous gâtes en ce moment !!!

Super de trouver tous ces épisodes

Et dites vous bien que j'ai 4 ou 5 récits d'avance que je vous distillerai quand je sentirais que vous avez besoin de me lire.

Merci pour cette histoire qui est l'une de mes préférées sur le candaulisme.

"j'ai 4 ou 5 récits d'avance que je vous distillerai quand je sentirais que vous avez besoin de me lire."

Mais nous avons TOUJOURS besoin de te lire, Fifou !

Maude -je vais me préparer, je vais me faire provocante à souhait.
Moi -il est tôt, non.
Maude -les pubs ouvrent plus tôt le dimanche.
Moi -on retourne au même qu'hier soir.
Maude -non, j'en connais un qui je suis sur ouvre à 18 heures, mais y' 20 minutes de route.
Moi -dans ces cas là, je ne boirai qu'un verre car il faudra rentrer.
Maude - oui, c'est moi qui boirais ce soir.
Moi -oui, mais pas trop.
Maude -ne t'inquiètes pas.
On prit ma voiture et direction le pub, Maude était dangereusement habillé, un gilet avec un zip devant largement ouvert, des bas noir, une robe en cuir noir très moulante et très courte, une paire de bottes à talons hauts et des dessous rouge et noir string et soutif.
Dans la voiture, je ne quittais ses cuisses des yeux, j'adorais, cela me rappelais Sophie au début de notre libertinage, c'est peut être ça que je recherchais au travers de Maude.
Maude -regardes la route, mes cuisses, tu vas les voir toute la soirée et pas que toi j'espère.
Moi -mon récit t'a vraiment donné envie .
Maude -oui, je veux te combler en faisant ce que tu aimes.
Moi -c'est le cas.
On se garait sur le parking du pub et on entrait dans la pénombre, Ma
Maude -je suis excitée à un point que même pas tu ne te doute.
On s'installait à une table, le bar était plein et commandions une vodka et un whisky.
Maude -vu le monde, ce serait incroyable qu'il n'y est pas un homme ou deux pour me mater.
Moi -tu as raison.
Il y avait aussi une piste de danse et un Dj mettait l'ambiance, le pub était rempli à 70% d'hommes.
20 minutes passèrent et puis un grand bonsoir nous arrivait.
C'était Jean-mi.
Jean-mi -vous avez changer de pub.
Maude -oui, celui-ci ouvre de bonne heure.
Jean-mi -toujours aussi ravissante et troublante Maude.
Maude -merci.
Il semblait un peu éméché le Jean-mi.
Jean-mi -je vous offre un verre les amis.
Moi pas pour moi mais Maude boit une vodka.
Jean-mi -ça tombe bien, j'ai une bouteille, je peux m'installer à votre table sans vous déranger.
Je n'eus pas le temps de répondre.
Maude -avec plaisir Jean-mi, venez.
Jean-mi -ok j'arrive.
Maude -tu vois, tu vas être gâté ce soir, j'ai bien fait de te forcer un peu.
Moi -il est un peu éméché non?
Maude -on s'en fout, on cherche un mec pour me mater, tu veux toujours au moins.
Moi -oui oui.
Maude -tu veux que je te sorte le grand jeu.
Moi -comment ça.
Maude -je vais lui mettre le feu.
Moi -hâte de voir ca alors.
1ere chose, elle descendit le zip de son gilet de 3 à 4 centimètres.
Maude -ça te va comme ça.
Moi -encore un peu si tu veux.
Elle baissait d'encore 2 centimètres.
2eme chose, elle remontait un peu plus sa jupe déjà très courte.
Maude -je ne peux pas plus, après tout le monde verrait mon string.
Moi -très bien.
Même éméché, Jean-mi n'était pas fou et s'installait en face Maude, là où il était sur de régaler ses yeux.
Jean-mi -tu veux quoi dans ta vodka ?
Maude -rien juste de la glace.
Jean-mi -Madame est connaisseuse à ce que je vois.
Nous nous mettions à discuter de choses et d'autres et Maude s'amusait à croiser et décroiser ses jambes, Jean-mi ne pouvait rien louper, d'ailleurs, ses yeux ne quittait pas ses cuisses ou son décolleté.
On se tenait la main et à chaque fois qu'elle faisait un geste pour lui mettre le feu, elle me la serrait un peu plus fort.
J'étais pratiquement certain que ce n'était pas la 1ere fois qu'elle faisait cela, soit seule, soit accompagnée d'un autre homme, je ne pense pas que cette envie lui soit venu aussi rapidement juste à la suite de mon récit.
Il était déjà presque 22 heures quand un série de slows débutait.
Evidemment, Jean-mi invitait Maude qui acceptait en me faisant un clin d'œil.
Je ne pouvais rien voir entre la pénombre du pub et les lumières tamisées de la piste de danse.
Cela durât presque 10 minutes, les slows s'enchainaient et elle ne revenait pas.
J'étais malade de jalousie, sincèrement.
Maude en revenant était tout sourire.
Moi -je ne dérange pas, sinon dis-le.
Maude -oh, mon Chéri est jaloux.
Moi -y'a de quoi, si je faisais pareil, tu dirais quoi.
Maude -impossible, je ne te laisserais pas y aller, tandis que toi, tu aimes voir cela.
Moi -ce n'est pas faux, mais là, je n'ai rien vu, alors dis-moi.
Maude -chut, le revoila.
Jean-mi s'était cette fois installé à coté de Maude, allez savoir pourquoi.
Moi -on ne vas tarder Chérie, le temps passe, demain on bosse et on a 20 minutes pour rentrer.
Maude -quand tu es prêt, je suis prête.
Jean-mi -encore une demie heure.
Moi -non, quand c'est l'heure, c'est l'heure.
Jean-mi -tant pis mais revenez, je suis là tout les dimanches.
Moi -oui, surement.
Maude -prend son 06 Chéri, comme ça, on lui dis quand on vient.
Jean-mi me le donnait et l'enregistrait dans mon téléphone.
En sortant après avoir réglé les consommation.
Moi -combien as-tu bu de vodka ?
Maude -4 ou5.
Moi -quand même.
Maude -il me fallait cela pour me sentir à l'aise.
Moi -explique-moi alors comment cela s'est passé sur la piste de danse.
Maude -je te le dis que si tu ne te met pas en colère.
Moi -promis.
Maude -il m'a collé direct contre lui, sage le 1er slow et alors que je voulais me rassoir après celui-ci, il m'a demandé de rester dans ses bras, comme je me doutais de ta jalousie, j'ai accepté.
Moi -jusqu'à là, rien d'anormal.
Maude -puis il a pris de l'audace et à caresser mon dos d'abord par dessus mon gilet puis en dessous.
Moi -quand même et tu l' as laissé faire.
Maude -oui, je pensais à ton récit et je savais que cela pourrais te plaire.
Moi -c'est tout.
Maude -non, il a ramené sa main gauche sur le devant et m'a peloté le seins droit au travers mon soutif mais comme il a beaucoup de dentelle c'était comme si je n'avais rien, comme si sa main touchait mon sein.
Moi -je n'aurai pas du te raconter cette histoire.
Maude -si, est ce que tu aime ce que je te raconte, dis-moi si tu bandes.
Moi -oui, je bande mais je suis jaloux, très jaloux.
Maude -désolé, je ne ferai plus rien alors.
Moi -ce n'est pas grave mais je veux voir, là, c'est comme si tu étais parti avec un homme.
Maude -donc tu n'as pas vu non plus quand tu es sorti des toilettes ?
Moi si, il était à coté de toi.
Maude -bah ce n'est pas tout, il m'a demandé avant de nous rassoir s'il pouvait caresser mes fesses quand on serai assis, j'ai dis oui pensant que tu le verrais.
Moi -non, je n'a irien vu.
Maude -grr, je voulais absolument que tu vois.
Moi -pourquoi tu ne le m l'a pas dis à l'oreille.
Maude -j'étais sur que tu voyais, la preuve, j'ai même ouvert le zip de ma robe pour qu'il sente mon string en dentelle.
Moi -tu es une belle garce, mine de rien.
Maude -je le fais pour toi pour que tu ne retournes pas avec ta femme, je vais tout te donner, tout ce dont tu as envie.
Moi -tu as mouillé pour lui ?
Maude -je suis encore inondée de plaisir.
Moi -ça j'aime beaucoup.
Maude -un mot gentil, cela me fais du bien, en rentrant, tu fais de moi ce que tu veux.
Moi -ok, je prend.
En rentrant, je le prenais dans mes bras et l'embrassais très tendrement, je bandais rien que de penser ce qu'elle avait fait pour me mettre le feu et me rendre jaloux.
Maude -fais-moi l'amour, j'en ai très envie.
Moi -oui mais on joue le jeu à fond.
Maude -comment ça ?
Moi -je te fais l'amour et toi tu ne parle que de lui, tu jouis et t'orgasme pour lui.
Maude -si c'est ton envie, je vais le faire.
Elle obéis et quand elle orgasmât, elle me demandait de l'inviter à manger pour qu'elle fasse comme Sophie.
J'éjaculais en lui disant qu'elle aimerait qu'il l'a baise ce à quoi elle répondit oui oui, cent fois oui.
Je retombais sur le lit ivre de bonheur.
Maude -je ne t'ai pas déçue ?
Moi non, tu as été parfaite.
Maude -tant mieux.
Moi -tu veux qu'on l'invite à diner.
Maude -pas forcément, c'était sous la force de l'orgasme que m'as procuré, ne prends pas ça au pied de la lettre
Moi oui ou non.
Maude se collait à moi et me dis tout doucement, oui, j'en ai vraiment envie.
Moi c'est ok, mais j'inviterai une autre personne, je ne veux pas qu'il arrive ici en terrain conquis, tu en dis quoi ?
Maude - cela va être encore plus excitant, je t'aime mais je t'aime.
A SUIVRE.

Le lendemain matin, 'envoyais un texto à Sophie pour lui dire que je rentrais ce soir et savoir s'il manquait quelque chose à la maison.
Sophie -ramènes moi une grosse queue, j'ai envie de baiser.
Je ne répondis même pas.
En rentrant
Moi -salut, ça va.
Sophie -salut.
La maison était remarquable, tout était propre et étincelant.
Moi -merci pour le ménage, mais ne te donne pas cette peine, je le ferai.
Sophie -faut bien que je m'occupe.
Moi -niveau boulot, y'a du neuf ?
Sophie -je ne m'en suis pas occupée.
Moi -va falloir, tu es jeune et tu connais le métier, booste-toi un peu
Sophie -tes leçons de morale, tu te les garde, je n 'en ai pas besoin.
Moi -ok, désolé.
Sophie -comment va Maude, la pute
Je restais scotché, comment savait-elle son prénom.
Moi -tu m'as suivi ?
Sophie -non, j'ai des amis même si tu crois que je suis seule dans la vie, je sais tout d'elle, son nom, prénom, adresse, âge, son boulot enfin tout, tu as du gout, elle est très mimi et elle a une énorme paires de seins.
Moi -ne détruis pas ma vie, je te tuerais sinon.
Sophie -je n'en ai pas l'intention, seulement, je vais te faire chanter, tu vas faire ce que je veux sous la menace que je lui dise tout ce que tu fais dans son dos.
Moi -sale garce.
Sophie -ne te plains pas, je te laisse vivre ton idylle, moi, je veux du sexe, du sexe et du sexe.
Moi -ok, je capitule, tu veux quoi ce soir.
Sophie -toi, je veux que tu me racontes comment elle baise, quelle tenues porte t-elle, quels sous-vêtement, je veux tout savoir.
Moi -jamais.
Sophie -tu es sur de toi ?
Moi -oui, sur de chez sur.
Sophie -bon, bah, je vais l'appeler et on va voir.
Moi -toute façon, tu n'as pas son numéro.
Sophie -tu crois ça, libre à toi.
Elle prit son téléphone devant moi et me fis voir, elle avait écrit Maude la pute.
Sophie -regardes le numéro et compares.
Elle l'avais cette garce, elle me tenait pieds et poings liés, comment me sortir de cette impasse.
Sophie -sers-moi à boire et raconte-moi.
Moi -tu veux quoi ?
Sophie -genre, tu ne sais pas encore ce que je bois après tant d'années, tu me déçois un peu sur ce coup là, en tout cas, ce n'est pas de la vodka.
Mais comment savait t-elle tout ça ?
Sophie -et mercredi soir, tu m'emmènes voir Fred et ses potes.
Moi -tout dépend du boulot, pour ça, c'est plus facile le samedi.
Sophie -d'accord, j'attendrais.
Je lui servais une coupe mais ne buvais pas, j'étais un peu dépité de ce quelle venait de m'apprendre, mon amour allait devenir un enfer avec à la baguette ma femme.
Sophie -assieds-toi, et raconte-moi tout d'elle dans les moindres détails.
Moi -apparemment pas besoin, tu sais tout.
Sophie -non, une bonne partie mais pas tout.
Moi -comment as-tu fais pour savoir.
Sophie -j'ai des amis très bien placé qui pour m'aider ont fait ce qu'il fallait.
Moi -ils n'ont pas du faire ça gratuitement, je suppose.
Sophie -non, je me suis offerte à eux 2 dans ton lit samedi soir.
Moi -tu as bien profiter.
Sophie -non, j'aime quand tu me regardes, cela m'excite encore plus.
Moi -tu as eu droit à tout, je présume.
Sophie -non, à tour de rôle quand le 1er est parti, j'ai fais venir le 2eme en retapant le lit et en me changeant entièrement, d'ailleurs si tu veux voir ce que j'avais mis, tout est sur l'étendoir.
Moi -ok.
Sophie -vas voir, je sais que cela t'excite.
Moi -non.
Sophie se levait, me prit par la main et me fit montrer, elle s'était habillé les2 fois comme une salope.
Sophie -donc, les dessous rouge avec les bas, les cuissardes rouges aussi, ta chemise c'était pour le 1er mais comme je préférais le 2eme, il a eu droit à la guêpière noire, les bas couture, mes talons très hauts avec juste mon déshabille blanc par dessus.
Moi tu devais très sexy.
Sophie -disons que j'ai plu, et au fait le 2eme a passé la nuit avec moi et ma rebaisé le lendemain matin, il risque de passer ce soir même si tu es là, cela ne le dérange pas.
Moi -moi non plus.
Sophie -si un peu car tu dormiras dans le salon s'il vient, tu as juste le droit de me mater avec lui.
Elle n'avait pas fini de m'en faire baver.
Moi -et tu ne te change pas, tu vas rester en jean ?
Sophie -j'attend de savoir s'il vient, je ne vais pas salir un tenue pour toi, tu ne le mérite plus, sauf si tu me racontes ta vie avec Maude la pute.
Moi -on échange, je t'en dis un peu quand tu aura mis une tenue sexy.
Sophie le deal me plait, que dirais-tu d'un string noir, un dresse seins, des bas et mes cuissarde noires sans rien paressus.
Moi -nickel et tu veux savoir quoi pour ça ?
Sophie -ses dessous, je veux avoir ce qu'elle porte cette pute.
Moi -change-toi et tu le sauras.
Sophie -hum, ressers-moi une coupe.
Pendant qu'elle se changeait, je réfléchis que la seule manière de m'en sortir est de dire la vérité à Maude, et puis j'y pensais, plus je pensais que c'était une connerie.
Sophie revint.
Sophie -puis-je demander une faveur sans retour.
Moi -je t'écoute.
Sophie -bouffe-moi les seins, il y a longtemps qu'il n'ont pas été dans ta bouche.
Elle savait y faire, elle savait que ses seins, je les avais toujours adorer.
Moi -ok, mais c'est toi qui me les met dans la bouche.
Elle m'enfourchait, prit ses seins dans ses mains et me les tendait.
Sophie -bouffe-moi sale ordure que tu es.
J'englobais dans ma bouche la moitié de son seins, et titillait les tétons de l'autre, ils se tendirent directement.
Sophie -tu dois les aimer ses gros seins à l'autre, tu dois bander quand tu joues avec.
Moi -oui, ils sont énormes et ses tétons aussi.
Sophie -sale ordure, en attendant c'est ceux de ta femme que tu bouffes pendant qu'elle se morfond chez elle.
Moi -tu vas me parler d'elle combien de temps.
Sophie -tant que j'en ai envie, finalement cela m'excite plus que je ne croyais que t'es une maitresse.
Je jouais avec ses seins, je ne m'en lassais pas.
Sophie -je veux orgasmer, mais je veux que tu me fasse orgasmer avec ta langue et je vais reprendre la position dans laquelle Laurent m'a fait orgasmer.
Elle se levait, s'asseyait sur le haut de canapé et me dis de venir la lécher.
Sophie -viens, je suis trempé, vas-y lèches ma chatte comme tu lèche celle de cette pute.
Elle était inondée de plaisir,, ça coulait sur mon menton tellement elle était excitée.
Sophie -tu aimes me baiser, je ne peux pas dire faire l'amour, tu ne m'aime plus, mais mes seins et ma chatte te plaise toujours autant.
Moi -normal, tu m'en as privé.
Sophie -oui, et si je pouvais, je le referai, tu ne me mérites pas, vas-y mordilles mon clito, fais-moi décoller.
Elle était au bord de l'orgasme.
Sophie -joues avec mon clito avec tes mains et racontes-moi les dessous qu'elle porte.
Je lui dis qu'elle portait comme toi, des bas, des string, des tangas, des guêpières, des robes coutes, des jupes courtes.
Sophie -'a de la dentelle.
Moi -oui, tout ses dessous sont en dentelle sans exception.
Sophie -la pute, elle m'excite, j'aimerai bien la voir en dessous, fais une photo pour moi.
Moi -ah non.
Sophie -ah si, tu vas le faire, tu n'as pas le chois et continues avec mon clito, je veux un gros orgasme.
Elle orgasmait 30 secondes plus tard, un gros orgasme comme rarement elle m'en avait donné.
Sophie -tu baises toujours aussi bien mais n'attends rien de moi, je ne te toucherai pas, tu me dégoutes toi et ta pute.
Moi -tu as besoin de l'insulter ainsi.
Sophie vas-y, défends là, elle est parfaite elle.
Mon téléphone bipait.
C'était Maude qui s'ennuyait et qui voulait me rejoindre chez moi.
Je lui dis que je n'étais pas rentrer encore du boulot, cela me faisait gagner du temps il me fallait une excuse pour ce soir.
Sophie cela ne peut être que cette pute, elle ne peux pas te lâcher un peu.
Moi -elle veux venir ici.
Sophie -qu'elle vienne, elle verra son amoureux avec sa femme.
Moi -tu compte vivre ici combien de temps, tu es chez moi je te rappelle.
Sophie -tu ne vas me foutre dehors quand même.
Moi -non, mais ce serait bien que de temps à autre tu me laisses ma maison.
Sophie -on verra ça plus tard.
A SUIVRE.

Un peu plus dans la soirée, j'envoyais un texto à Maude en lui disant que j'étais crevé et que j'allais directement me coucher en rentrant.
Maud e-repose-toi mon Amour, on se verra demain soir.
L'amant de Sophie ne viendrait pas, donc, je me couchais dans mon lit, j'avais besoin d'une longue nuit de sommeil.
Avant de dormir, je cherchais le 4eme invite pour le repas avec Maude et Jean-mi je pensais bien sur à un pote à moi et en réfléchissant, je pensais que ce serai bien que Maude invite un pote à elle qui lui tournait autour depuis un moment.
Je lui en parlerai demain.
Sophie s'empressait de se coucher aussi, être à coté de moi, elle en rêvait dorénavant.
Elle n'avait retirer que ses cuissards, elle était resté en dessous, elle en voulait encore, j'en était certain.
Sophie -j'ai encore envie de sexe, bouffe-moi encore.
Moi -non, faut que je dorme n peu même beaucoup.
Sophie -on va voir ça.
Elle se levait, prit son gode et commençait à se masturber avec debout face à moi.
Sophie -tu lui as dis que tu portais des strings quand tu étais avec moi.
Moi -cela ne te regarde pas.
Sophie -je vais lui dire sauf si tu me caresse avec mon gode.
Moi -dis-lui, je m'en fous, je suis fatigué Sophie, tu comprend ça.
Sophie -juste un 2eme orgasme et je te laisse dormir, j'ai le feu dans ma chatte.
Moi viens.
Je jouais avec son clito et le gode, mais elle sentait que je le faisais sans plaisir.
Sophie -tu n'as pas envie, je vais t'en donner, tu te rappelle au tout début quand on faisait exprès de mettre mes dessous sur l'étendoir pour que tes potes mate ce que je portais et une fois, on l'avais mis dans la salle de bains et je ne sais plus qui, y avait touché.
Moi -oui, c'était le bon temps, le début de mon infortune avec toi.
Sophie -on peux tout recommencer si tu veux.
Moi je ne te vois pas aguicher un mec toute une soirée pour finir dans le lit avec moi.
Sophie -qu'est ce que tu en sais.
Moi -rien, je te dis mon point de vue.
Sophie -je veux revivre ça, tu m'entend hum, vas-y caresse-moi.
J'avais posé le gode et jouait avec mes doigts sur sa chatte, .
Sophie -vas-y enfonce tes doigts.
Moi -oui, tiens salope.
Sophie -plus fort, je veux jouir pour ta pute.
Moi -alors, vas-y jouis pour elle et ses gros seins.
Sophie -j'aimerais bien moi aussi les bouffer.
Elle orgasmait sur ces derniers mots.
Sophie -je me sens bien, dors maintenant.
Moi -tu était sérieuse quand tu disais que tu voulais tout recommencer ?
Sophie -oui, franchement, c'était plus excitant que maintenant et tu était vraiment jaloux.
Moi -oh que oui.
Sophie -la première fois, c'était avec un jogger un dimanche après la pluie.
Moi -oui, je m'en souvient très bien.
Bizarre qu'elle me parle de ça alors que j'allais revivre ses moments là avec Maude, après tout, si je pouvais faire d'une pierre 2 coups, qui allait me le reprocher.
Quand je me levais le lendemain matin, tout était prêt, café, lait, tartines, même Sophie qui était déjà en tenue sexy, guêpière, bas et cuissardes.
Moi -tu attends quelqu'un ce matin.
Sophie -oui, Laurent passe avant d'aller au boulot mais tu seras déjà parti.
Moi -je croyais que c'était pour moi, dommage.
Sophie -non, une telle tenue, cela se mérite, ce n'est pas ton cas.
Moi -je t'ai quand même fait orgasmer 2 fois hier soir.
Sophie -normal, je suis ta femme.
Moi -et donc prête à repartir du début, je te laisse trouver le pauvre homme à qui tu vas mettre l'eau à la bouche sans qu'il te touche, j'ai hâte de voir ça.
Sophie -j'ai ma petite idée là-dessus, tu vas être surpris, crois-moi, tu reviens quand ?
Moi -jeudi soir et samedi.
Sophie -donc, je peux chercher et te faire une surprise ?
Moi -bien sur que oui.
Sophie -par contre, laisse-moi un peu d'argent pour que je fasse les courses.
Moi -ok.
Je me douchais, m'habillais et partais, je voulais passer voir Maude avant d'aller au boulot.
En me voyant, Maude me sautait au cou tellement elle é était heureuse.
Maude -tu veux un café mon Amour.
Moi -oui, volontiers.
Maude -tu t'es bien reposé j'espère, je te veux en forme ce soir, j'ai envie de toi.
Moi -impec, dis-moi, j'ai pensé au repas avec Jean-mi, j'aimerai que le 4eme convive, ce soit toi qui le trouve dans tes relations, un homme qui te désire depuis longtemps ou quelque chose d'équivalent, tu peux trouver ça.
Maude -oh, le petit pervers, oui, je vais te trouver ça, je te dirai ce soir par contre, on fait ça quand.
Moi -vendredi soir, ça te va.
Maude -parfait pour moi.
Moi -et je vais réfléchir à ce que je veux que tu porte.
Maude -je mettrai ce que tu désires.
Moi -allez, j'y vais, à ce soir.
Maude -à ce soir, vivement, j'ai hâte.
La journée passait très vite, j'avais un boulot énorme.
J'arrivais chez Maude vers 19 heures, elle portait un déshabillé noir transparent laissant deviner son tanga en dentelle
Moi -hum, tu me plais dans cette tenue, cela augure d'une bonne soirée.
Maude -rien que pour toi, faut bien que je te gâte.
Moi -merci Trésor, alors as-tu trouvé pour vendredi.
Maude -bien sur que oui, je veux tellement te faire plaisir que je n'ai pas mis longtemps à trouver.
Moi -c'est qui ?
Maude -un collègue qui me drague depuis 2 ans et à qui, j'ai toujours refusé.
Moi -parfait ça.
Maude -alors comment dois-je m'habiller ?
Moi -je vais t'offrir un legging blanc et un chemisier léopard qui se ferme avec un nœud à hauteur du nombril
Maude c'est plus que provoquant .
Moi -tu m'as dis que tu mettrais ce que je veux.
Maude -oui, ça n'a pas changé.
Moi -et je vais aussi t'offrir des dessous léopard.
Maude -j'ai un ensemble comme ça.
Moi -impeccable alors.
Maude -tu me feras boire vendredi pour que je me détende.
Moi -oui, ne sois pas angoissé pour ça.
Maude -tu veux autre chose avec cette tenue ?
Moi -oui, je voudrais que tu mettes sur l'étendoir, des dessous à toi, je voudrai qu'il mate ce que tu porte au quotidien.
Si elle savait que c'est Sophie qui m'a rappelé ce détail.
Maude -est-ce vraiment sérieux de notre part ?
Moi -pourquoi pas, si tu ne veux pas, pas de souci.
Maude -je t'ai dit, je veux te combler, donc, je vais le faire.
Moi -tu es merveilleuse et maintenant, je serai avec toi, les mardis, mercredis, vendredis, samedis soir et les dimanches.
Maude -je prend.
Moi -par contre, tu ne pourras pas venir chez moi, comme j'ai demandé le divorce, je ne veux qu'on voit une femme venir chez moi.
Maude -oui, je comprend tout à fait.
Moi -vu qu'on a un peu de temps avant de manger, parles-moi encore de Pauline car je présume que tu ne m'as pas tout dis.
Maude -gourmand que tu es, non, je ne t'ai pas tout dis, je vais te raconter la suite.
Moi -hum.
Maude -en rentrant de notre escapade, nous retrouvions nos homme complètement bourrés, Pauline rouspétait et les envoyaient se coucher, il étaient à peine 20 heures, mais ils ne se firent pas priés.
Moi -donc te voila seule à nouveau avec ta belle mère.
Maude -oui, elle m'envoyait me doucher pendant qu'elle préparait un petit repas frugal.
Pauline -douche-toi en bas, la douche est plus grande, tu seras plus à l'aise.
Je montais chercher de quoi me changer et allais à la douche.
Maude -ça ne ferme pas à clefs ?
Pauline -non, et pourquoi faire, tu as peur que je te viole.
Maude -non, pas du tout.
Pauline -je finis de cuire ma viande et je t'emmène une serviette.
Maude -ils faisaient chambre à part et la salle de bains était accolée à sa chambre, je me déshabilla et entrait sous la douche, cela me faisait du bien, je laissais couler l'eau sur moi un bon moment, mais Toujours pas de Pauline avec la serviette.
Je coupais l'eau et sortait, c'est à ce moment là que Pauline entrait avec la serviette, elle me regardait des pieds à la tête.
Pauline -tu es superbe Maude.
Elle m'essuyait le dos et je frissonnât, elle s'en rendu compte.
Pauline -je te fais de l'effet on dirait.
Maude -non, c'est le contraste chaud et froid, puis elle arrêtait de m'essuyer et me chopait les seins à pleine s mains.
Pauline -et tes tétons tout dures, c'est le froid aussi.
Elle jouait avec mes seins et je la laissais faire, j'avais envie d'elle elle me tournait et me roulait des pelles langues dehors, j'avais la chatte en feu.
Pauline -viens sur le lit que je m'occupe de toi.
J'obéis bien sur, je voulais qu'elle me donne du plaisir et j'en eu beaucoup, elle savait y faire avec une chatte, j'orgasmais comme une folle.
Moi -tu m'excite Chérie, tu me fais bander.
Maude -attends, c n'est pas fini.
Je mettais mon string, mon soutif et une robe légère, je rejoignait la cuisine le temps qu'elle se lave.
Moi -tu ne l'as pas aidé à se laver.
Maude -attend la suite.
Je sirotais une verre tranquille puis elle arrivait dans un guêpière tout en dentelle blanche avec des bas nylon et des talons, j'ouvrais grand mes yeux, à l'époque, je ne connaissais pas ce genre de dessous à part dans les catalogues..
Maude -waouh, cela vous va à ravir.
Pauline -merci du compliment, mais je n'ai pas mis ça pour que tu me regarde dans le blanc des yeux, on dine et tu me prend comme un vieille pute sans me ménager, j'ai vraiment envie de sentir que tu es ma maitresse et qu'une maitresse maltraite son esclave..
On dinait tranquillement, c'était très bon ce repas, à peine fini, elle m'attirait dans sa chambre où elle avait mis sur le lit, une cravache et un gode énorme.
Elle fermait la porte à clefs et me dit, je suis à toi entièrement, tu fais de moi ce que tu veux.
Moi -tu as fait quoi ?
Maude -la prochaine fois mon Chéri.
Moi -oh non.
Maude -si, on va diner et après tu me fais l'amour.
A SUIVRE.

Merci Fifou !
Tu es sacrément productif en ce moment, c'est super !

On fis l'amour avec fougue, Maude étant très excitée en pensant au vendredi qui nous attendait elle me parlait aussi de ses dessous que les 2 hommes verraient à coup sur, finalement, cette idée lui plaisait.
Le mercredi et le jeudi passèrent encore très vite au boulot, le jeudi soir, je regagnait ma maison où Sophie m'attendait, elle s'était habillé très classe, tailleur jupe fendue devant, veste sans rien en dessous excepté son soutif, des bas en nylon ce qui laissait présager un porte jarretelle et des talons et surement un string en dessous..
Moi -salut, tu es très classe habillé comme ça.
Sophie -oui, on reçoit un invité ce soir.
Moi -ah bon, qui ?
Sophie -comme je n'ai rien à faire de la journée, j'ai été sur des sites ou l'on retrouve d'anciennes connaissances et j 'ai discuté avec un pote à moi qui habite à 20 bornes d'ici et que je n'ai pas vu depuis15 ans.
Moi -quel est le plan du coup.
Sophie -du soft, de la provocation dans ton dos et c'est tout.
Moi -ça me plait beaucoup.
Sophie -oui, je veux te retrouver comme avant.
Moi -essayons, on verra bien.
Sophie -j'ai mis aussi mes dessous sur l'étendoir comme à l'époque.
Moi -et il est où l'étendoir ?
Sophie -dans la salle de séjour, là ou l'on mange ce soir.
Moi -parfait ça, il arrive vers quelle heure ?
Sophie -dans un quart d'heure environ.
Moi -on mange quoi ?
Sophie -pizzas que tu iras chercher.
Moi -bien joué, comme ça tu vas rester avec lui toute seule.
Sophie -oui, mais que de soft.
Moi -jusqu'à quel point.
Sophie -un pelle au grand maximum et même pas sur, par contre surement un peu d'exhibe si tu veux.
Moi ça, oui, je veux bien, sans qu'il se rende compte que tu le fait volontairement.
Sophie -cela va de soi, dis-moi, je peux avoir quand même un baiser ?
Je l'embrassais tendrement.
Sur l'étendoir, il y avait sa guêpière noire, ses bas noirs, ses strings, ses soutifs sans oublier qu'elle avait mis juste à coté ses cuissardes.
On sonnait à la porte, Sophie allait ouvrir et me présentait Jacques.
Elle le fit assoir dans un fauteuil et elle sur l'accoudoir, il ne pouvait que voir que Sophie portait de bas.
Cela m'excitait, j'aimais ces situations de provocation et elle savait y faire ma Sophie.
Ils parlaient beaucoup, se racontant des bribes de leur vie, leur jeunesse.
Moi -est-tu marié ?
Jacques -je l'étais mais je l'ai trouvé dans notre lit avec mon meilleur ami, j'ai divorcé dans la foulée et depuis plus rien, j 'ai trop souffert.
Sophie -c'est dommage, tu es encore beau gosse.
Jacques -merci Sophie.
Je remarquais que quand Sophie se baissait pour prendre son verre, il voyait son soutif rouge.
Elle le savait aussi, j'en était sur.
Nous buvions pas loin de 2 bouteilles de champagne quand Sophie me dit qu'il serait temps d'aller chercher les pizzas.
Je partais, qu'allait t-il se passer pendant mon absence, je devais attendre qu'il parte pour le savoir, j'étais impatient.
A mon retour, ils discutaient toujours mais cette fois-ci dans la salle à manger, Sophie avait dressé la table et Jacques faisait face à l'étendoir.
Moi -voila, allez bon appétit.
Sophie s'était assis à coté de lui bien entendu, je ne voyais pas s'il caressait ses cuisses ou pas, il me paraissait assez timide, je pensais que Sophie n'avait pas fait le bon choix pour cette soirée.
Vers 23 heures, il prit congé de nous et Sophie lui demandait de revenir les voir, qu'il ne reste pas encore 15 ans sans se voir.
Je débarrassais la table pendant que Sophie passait un coup de balai.
Moi -dis-moi, tu ne m'as pas parler de ton Laurent.
Sophie -il vient me baiser tout les matins, la seule chose qu'il veux c'est de me voir avec des tenues sexy, le jour où je ne met pas ça, il repart.
Moi -hum, tu t'exécute, je présume.
Sophie -bien obligé, mon mari est chez sa pute.
Moi -arrêtes.
Sophie -ben, c'est la vérité.
Moi -ce n'est pas une pute.
Sophie -c'est ce que toi tu crois, mais je sais plus de choses sur elle que toi.
Moi -où tu en a dis trop ou pas assez.
Sophie -je vais juste de dire un prénom Arnaud.
Cela fit tilt dans ma tête, c'était celui qu'elle avait invité vendredi soir.
Sophie -parles avec elle, tu verras bien ce qu'elle te dit.
Moi -fais-moi confiance, je vais le faire, alors ce soir, moi, je n'ai rien vu de spécial.
Sophie -et pourtant.
Moi -raconte-moi.
Sophie -je te veux entièrement nu avant, je veux voir ta queue se dresser.
J'obéis à son désir.
Moi -alors maintenant dis-moi.
Sophie -il est amoureux de moi depuis qu'il me connait et me l'a encore confirmer ce soir quand tu étais au pizzas.
Moi -rien d'excitant là-dedans et ça se vois comme le nez au milieu de la figure.
Sophie -quand il est entré dans la salle à manger, il a ouvert les yeux en grand et m'a demandé si c'était moi qui portait toute cette lingerie, je lui est répondu oui, qu'on adorait cela tout les deux et qu'on ne se privait pas.
Moi -bien, rien d'autre ?
Sophie -tu te doute bien que si, je ne pouvais pas rester inactive à son étonnement, je lui est donc dis que je portais des dessous rouge ce soir en décrivant, string, soutif et porte jarretelle..
Moi -hum, j'adore.
Sophie -ce à quoi, il m'a répondu, je peux voir, j'ai dis gourmand, et j'ai enlevé ma veste et ma jupe,.
Moi carrément.
Sophie -oui, je voulais qu'il bave de désir pour moi et j'ai réussi, il m'a demandé ensuite si la prochaine fois, je pouvais mettre la guêpière.
Moi -bah dis donc pour un mec à qui on donnerai le bon dieu sans confession, il t'a touché ?
Sophie -tu bandes, tu bandes pour moi, rien qu'a te raconter cette histoire.
Moi -oui, j'ai toujours aimé les premiers instants avant que tu ailles plus loin, rappelle-toi avec Patrick..
Sophie -oui, je m'en souviens, on a parlé de lui pendant des heures avant qu'on cède à ses avances.
Moi -après, il s'est passé quoi, car je suis parti pas loin de 30 minutes.
Sophie -il a voulu me toucher et je lui ai dis non, tu regardes c'est tout, il me voulait, il bandait, il me l'a fait montré au travers de son pantalon.
Moi -j'adore ça.
Sophie -je suis resté dans cette tenue jusqu'à ton retour, j'ai enfilé ma jupe et ma veste quand j'ai entendu la porte.
Moi -super, cela me plait beaucoup, on recommencera ?
Sophie -oui, mais avec un autre, je ne veux pas d'un mant mais de pleins de prétendants.
Moi -cherches dans mes anciens amis, peut être qu'il y en a un qui sera tenté de me revoir.
Sophie -bonne idée, ensuite, en mangeant, il a caresser mes bas, ça, j'ai aimé, ses mains sont très douces.
Moi -incroyable, je n'y aurai jamais cru quand je l'ai vu entrer chez nous.
Sophie -je plais aux hommes, n'oublies jamais ça
Moi je le sais que trop.
Sophie -ce soir, tu ne me touche pas, tu vas te branler devant moi, comme avant quand je te punissais allez lève-toi et branle-toi.
Moi -d'accord mais on fait comme avant, parle-moi.
Sophie -j'en avais bien l'intention, imagines un peu le nombre d'hommes que je vais provoquer devant toi, j'en veux plein, je veux les allumer devant toi
Moi -oui, je veux cela aussi.
Sophie -branle-toi, ta queue a l'air bien dure, je ferai aussi venir des femmes, des anciennes copines et tu baveras devant nous.
Moi -hum oui, peut être même des couples ou tu dragueras le mari devant sa femme, cela me plairait car cela compliqueras la chose.
Sophie -oui, je vais le faire, je veux que tu sois jaloux, l'as-tu été ce soir ?
Moi -oui, surtout quand il regardait sur l'étendoir.
Sophie -je mettrai ma guêpière quand il reviendra, je vais lui faire plaisir, et par-dessus mon déshabillé blanc transparent qui ne cachera rien..
Moi -je vais venir, parle-moi encore
Sophie -et je le laisserai me caresser, mais cette fois dans le salon à l'apéro et devant toi surtout.
J'éjaculais dans mes mains.
Sophie -hum, j'aime te voir comme ça.
Moi -on recommence lundi soir, j'en ai vraiment envie.
Sophie -oui, je vais trouver un de tes ancien amis, cela m'excite encore plus qu'avec les miens.
A SUIVRE.

J'eus du mal à trouver le sommeil, cet Arnaud occupait mon esprit, je me demandais si je devais lui en parler avant ou après le repas.
Du coup, je me levais avec des cernes sous les yeux, c'est Sophie qui le me fit remarquer, elle qui était déjà dans sa tenue sexy prête à recevoir Laurent.
Moi -tu le gâte ton Laurent.
Sophie -oui, lui, il me baise.
Moi c'est toi qui n'as pas voulu hier soir car je t'aurai bien fait orgasmer, j'étais très excité.
Sophie -je sais mais tu dois apprendre que ici, c'est moi qui commande, tu reviens quand ?
Moi -samedi matin vers 11 heures.
Sophie -donc tu m'emmène voir Fred samedi après-midi.
Moi -oui, c'est prévu comme ça.
Sophie -vivement alors.
Je partais et appelais Maude lui demandant si elle était encore chez elle.
Maude -oui, je ne bosse pas aujourd'hui.
Moi -j'arrive alors.
Maude -ça n'a pas l'air d'aller.
Moi -non, faut qu'on parle.
Je lui fis un smack en arrivant et je l'attaquais directement.
Moi -qui c'est ce Arnaud et ne me mens pas, c'est mieux pour notre avenir.
Maude -c'est un pote, c'est tout.
Moi -je répète, qui c'est ce Arnaud ?
Maude -ok, c'est mon ancien amant, mais c'est toi qui voulait un mec qui me désirait, car si tu veux ça, tu vas être servi, il est complètement accroc de moi, il n'arrive pas à faire son deuil de notre séparation, mais, il ne se passe rien entre nous aujourd'hui.
Moi -tu le vois toujours dans mon dos ?
Maude -oui, on boit un café de temps en temps ensemble.
Moi -et il te baise toujours ?
Maude -je viens de te dire que non, je vais annuler sa venue pour ce soir, je ne veux pas te perdre pour ce con là.
Moi -oui, c'est mieux ainsi.
Maude -on dine à 3 du coup.
Moi -oui, trouvez un 4eme maintenant, c'est compliqué.
Maude -je peux trouver si tu veux, mais moi, je préfèrerais qu'on ne soit que tout les 3.
Moi -ok, mais pas de sexe entre toi et lui, je ne veux pas qu'il te baise, tu m'entends bien.
Maude -moi non plus, ce que je veux c'est t'allumer, te rendre jaloux pour qu'ensuite tu me fasse l'amour comme un fou.
Moi -et stp, essayes de ne plus revoir cet Arnaud.
Maude -oui, je vais le rayer de ma vie essayes de ne pas rentrer trop tard, j'aimerai bien que tu me conte une histoire sexuel qui t'es arrivé.
Moi -tu sais en ce moment, j'ai un boulot de fou, mais je vais essayer car cela va te mettre le feu avant qu'il arrive.
Maude -dis-moi, jusqu'à quel point je peux aller ce soir ?
Moi -fixes-toi-même tes limites, sois raisonnable.
Maude -c'est ça le problème, c'est que je suis capable d'aller très loin pour te satisfaire le plus possible.
Moi -fais comme tu le sens alors.
Maude -je vais essayer d'être raisonnable comme tu dis, en tout cas, j'ai hâte d'être à ce soir.
Moi -au fait, j'ai changer d'avis, ce soir ce sera sans soutif.
Maude -hum, tu veux vraiment que je le provoque et dans ces cas là, je mettrai bien un haut juste avec 2 petites bretelles et de couleur blanche, ainsi, si je me baisse, il verras mes seins.
Moi -très bien, tu apprends très vite, je vais bosser si je ne veux pas rentrer trop tard et prépares l'étendoir, mets aussi tes cuissardes au pied.(merci Sophie).
Maude -oui, je vais préparer tout ça, au fait, on mange quoi ?
Moi -aucune idée, on verra ce soir sauf si tu as envie de cuisiner.
Maude -pas la tête à ça, franchement.
Je partais bosser pas vraiment convaincu par les dires de Maude, j'étais persuadé qu'ils baisaient encore ensemble, je pensais qu'en faisant un deal sexuel avec Sophie, je pourrai en savoir plus.
Finalement, je quittais le boulot à 16h30 et j'étais chez Maude une heure plus tard, le temps d'acheter ce que je lui avais promis et trouvant aussi un ensemble string soutif orange, je lui ramenais tout ça
Maude -hum, j'adore ce legging blanc qui va laisser apparaitre mes fesses.
Moi -et tiens cadeau pour toi.
Maude -t'es un Amour.
Elle ouvrait son petit cadeau et restait baba.
Maude -tu es le 1er homme qui m'offre de la lingerie, je suis très touchée, merci mon Amour.
Moi -ce n'est rien du tout pour tant.
Maude -oui, mas pour moi ça compte, je ne le mettrai que quand on sort ensemble.
Moi -comme ça, tu le mettras pour plaire à un autre.
Maude -je n'y avais pas pensé, très bonne idée, je le mettrai pour plaire et te provoquer, on a du temps, maintenant, raconte-moi une belle histoire, mets-moi le feu et je vais même boire une vodka, tu m'accompagnes ?
Moi -oui, bien sur.
Je décidais de lui raconter l'histoire avec Seb.
Moi -Sophie avait ouvert un petit atelier de couture et travaillais pour des particuliers jusqu'au jour ou un homme d'une soixantaine d'année, la démarchait pour qu'elle lui fasse des gilets pour homme, Sophie acceptait bien sur et quand il revint les chercher, il invitait Sophie dans un restaurant parisien.
Pour la circonstance, Sophie avait revêtue une robe noire avec un zip devant assez courte, des dessous rouges et noirs et des bas noirs avec la dentelle rouge avec porte jarretelle.
Maude -juste pour aller déjeuner, elle est gonflée quand même.
Moi -non, c'est elle qui m'avait demandé de choisir sa tenue pour ce rdv de boulot au départ, il vint la chercher vers 11heures et je savais qu'il plaisait à Sophie, elle m'avait même dit en partant que peut être, elle découcherai.
Maude -et tu ne disait rien.
Moi -non, c'était ce que je voulais et ce que j'aimais.
Maude -et tu aimes toujours ces plans là ?
Moi -oui, je pense que c'est dans moi, j'aimais la savoir avec un autre, j'aimais ce mélange de jalousie et d'excitation.
Maude -elle a découché ?
Moi attend un peu, ils ont fait un jeu à base de bon point, il en gagnait un pour le repas et la coupe de champagne qui suivit, puis un 2eme en mettant sa main sur sa cuisse quand ils repartirent du restaurant ce à quoi Sophie lui dit qu'i l avait les mains douces et le 3eme quand ils montèrent l'escalier montant à son bureau, pis ils allèrent boire un verre dans un pub mais cela ne plu pas à Sophie, il lui proposait un verre chez lui mais que lui ne boirait plus car il devait la ramener normalement.
Sophie lui dit qu'elle ne voulait pas boire seule, il lui proposait de rester dormir,, il avait une chambre d'amis, dans l'ascenseur, il l'embrassait et Sophie le laissait faire, elle n'attendait que ça, elle m'envoyait un texto en me disant qu'elle était dans son canapé en train de boire du champagne et que j'aurai des nouvelle que le lendemain car elle coupât son portable.
Maude -quelle nuit tu as du passer, cela a du être long, voir très long.
Moi interminable, quand elle rentrait le lendemain, elle me racontait tout et je bandais pour elle, on fis l'amoue et me forçais a lui dire des choses que elle voulait entendre e faire.
Maude -de quel genre ?
Moi -du genre, ce soir, je retourne chez lui, vas-y force-moi à découcher encore une fois.
Maude -et tu l'as fait .
Moi oui, je lui ai dis de partir se faire baiser par son amant.
Maude -j'adore t'écouter me raconter ça, tu me mets le feu.
Moi -elle retournait chez lui en mettent une robe noire en dentelle complètement transparente avec string, des bas et un dresse seins, elle ne mit qu'un manteau par-dessus, arrivé chez lui, elle fit des photos avec lui qu'elle m'envoyait et un message vocal où il disait je t'aime et elle répondait moi aussi.
Maude -comment as tu fais pour subir autant d'humiliation.
Moi -le pire c'est que j'aimais ça, plus elle m'humiliait, plus je prenais mon pied.
Maude -incroyable, cela s'est fini comment ?
Moi -attend, ce n'est que le début, tu vas voir la suite.
Maude -oui, dis-moi.
Moi -non, la prochaine fois comme toi tu fais en me laissant en suspend avec Pauline.
Maude -tu sais que tout cela me donne de grosses envies mon Amour.
Moi -de quel genre.
Maude -du genre de ce que tu as vécu mais je ne ferai rien sans que tu me dise ou me force à le faire.
Moi -on verra ave le temps, prépare-toi, c'est bientôt l'heure.
A SUIVRE.

C'est toujours un plaisir de trouver de nouveaux épisodes, merci.

Merci pour tous ces récits

Maude me réclamait un vodka pendant qu'elle se changeait.
Maude -j'en ai besoin pour ce soir.
Moi -mais non, cela va bien se passer.
Maude -sers-moi quand même.
Elle revenait avec son legging blanc et son polo qui lui arrivait au dessus du nombril.
Moi -superbe, exactement ce que je voulais, tourne-toi que je vois le derrière.
Elle se tournait.
Moi -ca ne me plait pas, mets un tanga noir en dentelle.
Maude -choisis, ils sont sur l'étendoir dans la salle de bains..
Je pris celui où il avait le plus de dentelle.
Maude -je savais que tu prendrais celui-ci, en plus, il me serre bien la chatte.
Moi -tant mieux, c'est que j'aime.
Maude -moi aussi.
Quand elle revint, c'était parfait, on voyait tout comme si elle ne portait que son tanga, cela m'excitait.
Maude -tu crois que je as lui plaire comme ça.
Moi -tu vois, tu penses déjà a lui plaire avant de me le demander.
Maude -pardon mon Amour.
Moi -pas grave au contraire.
Maude -ah bon, cela te plait que je pense à lui plaire avant toi ?
Moi -c'est excitant.
Maude -oui, c'est vrai.
La sonnette retentit, j'allais ouvrir, Jean-mi entrait, me serrant la main et embrassant Maude.
Jean-mi -j'ai ramené ne bonne bouteille d vodka au lieu du banal bouquet de fleur, en plus celle-là, c'est de la bombe.
L'appartement de Maude n'était pas très grand et la salle à manger était divisé en 2, une partie était consacré au salon avec un canapé, un fauteuil, la télé et une table basse.
Maude - Chéri, tu t'occupes des glaçons stp.
J'obéis sans discuter.
Maude était dans le canapé et Jean-mi à coté d'elle.
Je pris le fauteuil en face d'eux, Jean-mi servait une 1ere tournée de vodka.
Il avait la main lourde, après le 1er verre, je voyais les yeux de Maude qui brillaient.
Jean-mi -vous retournez quand au pub, parce que j'aime bien danser ave toi Maude.
Moi -oui et la peloter en même temps.
Maude me fis les gros yeux car je n'étais pas censé savoir.
Jean-mi -3 fois rien, ça compte même pas.
Je retournais au glaçons et en revenant, Maude s'était avancée dans le canapé et il lui caressait le dos, je fis comme si j'avais rien vu.
C'était la 3eme tournée et Maude commençait à être saoule.
Maude -Chéri, regardes dans le placard de la cuisine, trouve-moi quelque chose à grignoter.
Je me levais et allait chercher un paquet de chips, sa main maintenant était sous son legging et caressais son tanga.
Je me demandais jusqu'où allait t-elle aller dans l'état d'ébriété qu'elle était.
Maude -on dine quoi mon Chéri ?
Moi -à part des pizzas ou un kebab, je ne vois rien d'autres.
Maude -c'est toi qui doit y aller, je ne suis pas en état de conduire.
Jean-mi -si tu veux, je t'accompagne.
Maude -je n'ai pas une tenue pour sortir à cette heure.
Moi -je vais y aller, alors kebab ou pizzas ?
Maude -pizza pour moi Amour.
Jean-mi -peu importe pour moi.
Je me levais et partais en leur disant que j'en avais au moins pour une demie heure.
La même histoire que la veille, je ne verrais encore rien et devrais attendre avant de savoir, cela me gavait.
Moins d'une demie heure plus tard, je rentrais avec 2 pizzas, j'entendais de la musique de la porte d'entrée, j'ouvris tout doucement et observais du coin de la porte du salon sans faire du bruit, je voulais savoir jusqu'où irait Maude ce soir..
Jean-mi changeait de disque et mit une musique un peu plus langoureuse.
Jean-mi -vous dansez Madame.
Maude -avec plaisir Monsieur.
Ils se collèrent l'un à l'autre et chaque fois que Maude était de dos, je voyais les mains à Jean-mi lui peloter les fesses.
Jean-mi -je suis bien dans tes bras, tu me plais, j'ai envie de toi.
Maude -tant mieux, j'aime qu'un homme ait envie de moi.
Jean-mi -j'en veux un peu plus, laisse-moi caresser tes seins.
Maude -Olivier va rentrer d'un moment à l'autre, je ne peux pas, désolé.
Jean-mi -cela fait à peine 25 minutes qu'i lest parti, on a bien 5 minutes devant nous et on entendra la porte s'ouvrir, je vais baisser la musique, allez dis-moi oui.
Maude s'écartait de lui et levait son polo.
Maude -bouffe-moi les seins, tu m'as mis le feu, éteins-le maintenant.
Je laissais 1 minutes et claquait la porte.
Moi -désolé, mais y'avait du monde.
Jean-mi -je te sers une autre vodka ?
Moi -je veux bien, ça va Chérie.
Maude -oui, je suis un peu éméchée.
Moi -ça va , tu passes une bonne soirée ?
Maude -oui, merveilleuse.
Moi -tant mieux, on boit celui-là puis on mange.
Maude -oui, mais Jean-mi ne m'a pas resservie.
Jean-mi -suffit de demander.
J'allais encore une fois au glaçons
Il avait toujours sa main dan son legging, je posais les glaçons et allais aux toilettes, j'inspectais l'étendoir.
Peu de temps après, c'est lui qui y allait pour la 1ere fois ce soir, je retournerai voir après.
On but notre vodka, Maude ne disait plus un mot, je pense qu'elle savait ce qu'elle avait fait et devait culpabiliser, je la rassurerais après en lui disant que j'avais aimé.
On passait à table et Maude s'installait à coté de Jean-mi et non pas l'inverse car lui était déjà assis.
Moi -je vais me laver les mains.
J'allais dans la salle de bains et je vis que l'étendoir avait été touché, il manquait même son string léopard.
On parlait en mangeant et Jean-mi proposait une dernière vodka avant qu'il ne parte.
On la but et Jean-mi partait.
Moi ça va Chérie.
Maude -je suis complètement bourrée.
Moi -je vais te faire un bon café, ça ira mieux après.
Maude -oui stp.
je revint avec son café.
Moi il a fouillé sur l'étendoir.
Maude -je sais.
Moi -comment ça tu sais ?
Maude -il es revenu avec mon string léopard et il m'a dis la prochaine fois qu'on se voit, je veux que tu porte ça, tiens.
Elle sortit du coté du canapé son string léopard.
Moi -quoi d'autre, vas-y mets-moi le feu.
Maude -il a passé la soirée la main dans mon legging à caresser la dentelle de mon tanga.
Moi -tu as aimé au moins.
Maude -oui, surtout que je pense que l'as vu .
Moi -oui, et j'ai aimé.
Maude -tu ne dis pas ça pour me faire plaisir au moins.
Moi -non, j'ai réellement aimé.
Maude -alors tu es vraiment comme dans les histoires que tu m'as raconté.
Moi -bien sur, tu en doutais.
Maude -oui, car j'ai du mal à croire qu'un homme puisse aimé voir sa femme dans les bras d'un autre, en tout cas, moi aussi j'aime ça.
Moi -y'a rien eu d'autre ce soir même quand je suis parti au pizzas.
Maude -non, rien d'autre.
Moi pourquoi tu me mens ?
Maude -je ne te mens pas.
Moi -si en revenant, je t'ai vu dansé avec lui, j'étais entré sans faire de bruit pour voir ce que vous faisiez.
Elle se mit à pleurer.
Moi -pleures pas.
Maude -si, j'ai du mal à te dire les choses, j'ai peur que tu le prennes mal.
Moi -prends ton temps et racontes-moi.
Maude -dès que tu es parti, il m'a demandé de mettre de la musique, j'ai mis un morceau qui bougeait sinon je savais qu'il voudrait danser avec moi.
Moi -et ?
Maude -il voulait que je fasse une streap tease, j'ai refusé direct.
Moi -tu n'aurais pas du, regardes comment tu es belle et désirable.
Maude -puis il s'est levé et m'a dit textuellement, suces-moi, regardes dans quel état tu me mets, il tenait sa bite au travers de son pantalon, il bandait comme un turc.
Moi -tu l'as fait ?
Maude -non, j'ai pensé à toi et j'ai refusé.
Moi -dommage.
Maude -tu n'aurai rien dis ?
Moi -non, je t'aurai demandé s'il bandait dur.
Maude -quelle idiote je suis mais toi tu as vu quoi alors ?
Moi -j'ai vu le moment où il a changé la musique et t'as dis vous dansez Madame ce que tu as accepté et chaque fois que tu étais de dos, je voyais ses mains sur tes fesses et dans ton dos.
Maude - tu étais jaloux ?
Moi -je crois bien que oui.
Maude - alors tu l'as vu me bouffer les seins.
Moi -oui, mais je ne voulais pas que ça dure donc j'ai claqué la porte comme si je rentrais.
Maude -tu ne voulais pas qu'il me bouffe les seins, c'est ça.
Moi -oui, cela me faisait trop de mal dans mon cœur.
Maude -tu es jaloux de lui en quelque sorte.
Moi oui, beaucoup.
Maude -alors dimanche soir, tu m'emmèneras au pub et je mettrais le string léopard pour lui.
Moi -oui si tu veux.
Maude -ce n'st pas ce que je veux entendre de ta bouche, alors redis-le.
Moi -tu mettras ton string léopard pour lui.
Maude -j'aime entendre ça.
Moi -je vois ça.
Maude -tu veux que j'aille plus loin avec lui, sache qu'il me plait et que j'aurai bien couché ave lui ce soir.
Moi arrêtes, j'ai déjà très envie de toi.
Maude -alors prends-moi ici, fais comme si tu étais Jean-mi, refait les gestes que tu as vu ce soir.
J'obéis et refait exactement ce que j'avais vu au cours de la soirée, je mis aussi de la musique douce.
Moi -vous dansez Madame.
Maude -avec plaisir Monsieur.
Et en dansant, je répétais ses gestes.
Maude -tu joues très bien le jeu.
Moi -j'ai envie de toi, laisse-moi caresser tes seins.
Maude -Olivier va pas tarder à rentrer.
Moi -on a le temps et on entendra la porte claquée.
Maude fit le même geste et me tendait ses gros seins.
Maude -profites-en avant que je les lui donne, j'a envie que lui aussi les bouffe.
Moi -tout ce que tu veux.
Maude -tu n'as pas le choix, tu m'as provoqué maintenant, j'irai au bout avec lui que tu le veuille ou non.
On fis l'amour comme des fous et on s'endormit repus de sexe.
Au petit déjeuner, Maude ne se rappelait pas de tout, je lui rafraîchit la mémoire et lui répétait ce qu'elle m'avait dit.
Maude -et tu as dis quoi ?
Moi -j'ai dis oui à tout ce que tu m'as dis.
Maude -et bien si je t'ai dis ça et que tu as dis oui, je vais le faire alors, sauf qu'en plus, je veux une tenue rien que pour lui dimanche, je veux lui plaire, je veux que tu bandes et que tu sois jaloux en nous voyant, j'irai peut être me faire baiser dans la voiture.
Moi -si tu le veux vraiment, fais-le.
A SUIVRE.

Toujours aussi bon !...

Quelle superbe histoire et merci d'écrire autant d'épisodes en ce moment...

Je partais vers 10h30 et Maude me dit à ce soir.
Moi sois sage.
Maude -je fais ce que je veux.
Moi -non juste avec Jean-mi.
Maude -pour l'instant.
Arrivé chez moi, Sophie était encore en nuisette.
Sophie -tu as prévenu Fred pour cet après-midi ?
Moi -oui, il nous attend à 14 heures à l'ancien endroit.
Sophie parfait, comment je m'habille ?
Moi -je te verrai bien string, soutif, porte jarretelle assorti rouge et noir, bas noir à dentelle rouge, talons hauts et juste un manteau par-dessus.
Sophie -parfait pour moi.
Moi -combien de fois est venu Laurent cette semaine?
Sophie -tout les jours et hier, il est revenu le soir car il n'en avait pas assez eu le matin.
Moi -des nouvelles de Jacques.
Sophie -oui, il veux revenir très vite.
Moi -à toi de juger quand tu le voudra.
Sophie -pas trop vite, laissons-le mariner un peu, j'aime me faire désirer.
Moi -tu as quelqu'un pour lundi soir.
Sophie -oui, normalement.
Moi -tant mieux.
Sophie -un autre ancien pote à moi.
Moi -amoureux lui aussi ?
Sophie -non, il m'a déjà baisé que je te connaisse.
Moi -ok.
Sophie -par contre, on prends l'autoroute cet après -midi, je veux que des routiers me mate.
Moi pas de souci.
A 13h30, Sophie était prête.
Sophie -allez, on y va, je ne veux pas être en retard, y'a des queues qui m'attendent.
Dans la voiture, Sophie ne laissait que le bouton d'en haut de son manteau boutonné, les routiers se régalaient car elle me faisait ralentir.
Sophie -tu aimes ça aussi qu'on me mate.
Moi si je pouvais, je m'arrêterai et te livrerai à eux.
Sophie -ce soir en revenant.
Moi -si on a le temps.
Sophie -le temps, tu vas le prendre pour moi.
Moi -d'accord, mais c'est donnant donnant, je veux en savoir plus sur ce fameux Arnaud.
Sophie -tu t'arrêtes ce soir et je te dis tout ce que sais.
On était sur place à 13h55, Fred nous attendait et nous emmenait dans son nouveau coin.
On se garait et il vint vers nous.
Fred -voila, c'est ce chemin là, un peu plus haut, vous prenez le chemin de droite et vous suivez les indications écrites sur les arbres, vous ne pouvez rien refusez, Oliver je compte sur toi pour qu'elle obéisse.
Sophie -je n'en ai pas l'intention.
Fred -toi aussi Olivier, tu ne peux rien refuser, vous faites ce que l'on vous dit.
Olivier c'est d'accord.
Où avait t-on mis les pieds qu'allait t-il se passé, ce serait du sexe mais sous quelles formes.
Nous tournions à droite et 200 mètres plus loin 1er petit écriteau.
SOPHIE : ENTRES DANS LE BOIS DE DROITE. FAIS 30 METRES ET ASSIEDS-TOI DANS LE SIEGE AUTO PREVU POUR TOI.
OLIVIER : ATTENDS 2 MINUTES ET REJOINTS-LA
Sophie entrait dans le bois, j'attendais les 2 minutes et entrais à mon tour.
Je fis les 30 mètres demandé et je vis Sophie avec un bite dans la bouche.
L'homme -mets toi à genoux et regardes ta femme me sucer.
Sophie suçait un morceau de bite, je vous dis que ça.
L'homme -lèche-moi les couilles aussi.
Il était complètement imberbe, je savais que Sophie kifait ce genre d'homme.
Elle le suçait comme jamais, alternat sa bite et quand elle lui léchait les couilles, elle le branlait dans un va et vient étourdissant.
Ma tête était juste à hauteur du visage de Sophie et de sa queue.
L'homme -roules lui une pelle avec le gout de ma bite mais langues dehors que je vois s'il goute bien ma queue.
Sophie s'empressait de le faire, elle adorait cela.
L'homme -maintenant, Sophie-tu reprends le chemin, mais tu laisses ton manteau ici.
Sophie enlevait son manteau et l'homme rentrait sa queue dans son string léopard.
L'homme -derrière l'arbre accroché à un clou, il y a un string rose en dentelle pour toi, tu le met et tu laisses tes fringues ici, ensuite tu regagnes le chemin.
J'obéis et marchais dans le chemin, encore 100 mètres plus loin, 2eme petit écriteau.
MAINTENANT QUE VOUS ETES A L'AISE, REGARDEZ SUR VOTRE GAUCHE ET ALLEZ OU LA FLECHE VOUS INDIQUE.
Je suivis la flèche, cela était excitant de ne pas savoir ce qui nous attendait.
J'arrivais dans une belle éclaircie mais ne voyait rien, où était Sophie ?
J'entendis un bruit derrière un bosquet de houx.
J'avançais et trouvais Sophie en train de se faire bouffer les seins par deux hommes eux aussi complètement imberbe et en string, l'un en noir, l'autre en blanc.
L'homme au string noir m'ordonnait de me branler sans me faire jouir.
J'obéis, faut dire que de voir Sophie avec 2 hommes, j'adorais cela, je n'avais pas de mal à bander..
Puis l'un des deux se mit à genoux, écartait les jambes de Sophie, il allait la bouffer et la faire orgasmer.
Je ne m'étais pas trompé, Sophie ne fut pas longue à donner, elle criait presque au moment de l'orgasme.
L'homme au string blanc -repartez main dans la main et suivez ce que est écrit.
Moi -c'est très excitant je trouve.
Sophie -moi, j'adore, merci Fred, ce string rose te vs bien, je veux que tu en achète un mais pour moi pas pour ta pute.
On reprit le chemin et toujours pareil, 3eme écriteau.
OLIVIER, TU RENTRES EN 1ER SUR TA GAUCHE, LA, TU VAS VOIR UN HOMME EN STRING DE FEMME, SI TU VEUX QUE SOPHIE SE FASSE BAISER PAR LUI, FAIS-LE BANDER, TU AS 3 MINUTES POUR CELA.
Sophie -allez, vite, j'ai envie d'une grosse queue dans moi.
Moi -oui, j'y vais.
Il est marrant Fred, faire bander un homme, je n'ai jamais fais ça moi.
L'homme était face à moi en string avec un zip devant.
L'homme -descends le zip.
J'obéis mais je n'eus rien a faire, l'homme prit sa queue encore monstrueuse et se branlait, Fred me connaissait bien, il avait voulu me faire ne vacherie.
Sophie arrivait juste derrière et l'homme lui ordonnait de le sucer avant qu'il la prenne en levrette.
Sophie mit les mains sur un arbre et l'homme la pénétrait assez violemment, il la limait sans douceur, surement des ordres de Fred.
Cela durait au moins un quart d'heure, Sophie appréciait cette position.
L'homme disparaissait nos indiquant le chemin a prendre.
On restait dans les bois et on nous ordonnait de nous arrêter.
On mit un bandeau sur les yeux de Sophie tandis que moi, je restais comme j'étais.
On fis un vingtaine de mètres et Fred apparut.
Fred -j'espère que ma petite mise en scène vous a plu, maintenant, cela va être le dénouement.
Sophie -j'ai beaucoup aimé merci Fred.
Moi -super sympa ce que tu as fait.
Fred -maintenant Sophie, c'est à toi de t'occuper de nous, tu n'as que des grosses queue autour de toi, nous sommes alignés, tu viens branler et sucer nos bites et tu prends les 2 qui te plaisent le plus rien qu'a les branler et les sucer.
Sophie -hum, je peux commencer, j'ai hâte.
Fred -pour vous satisfaire, le 2 non choisis se branleront entre eux et cela finira par un pluie de sperm pour toi Sophie.
Sophie -génial, je pourrai mater les 2 hommes qui vont se branler en même temps.
Fred -c'est même conseillé.
Sophie -alors, je veux commencer par ça, cela va bien me mettre le feu.
Sophie commençait à branler les 4 queues monstrueuses devant elle, elle hésitait et se rabattait sur celle de Fred et de celui qu'elle avait sucé en 1er.
Fred -enlèves ton bandeau, tu as choisi Martial et moi pour te baiser, Ludo et Marc vont se branler et se sucer mutuellement.
Les 4 hommes n'avait pas un poil superflu, il s'étaient tous épilés, on aurait dis de body builders.
Ce fut Ludo qui le 1er branlait Marc, Sophie matait ça avec envie, Fred qui était derrière elle, lui avait pris les seins à pleines mains et elle branlait Martial en même temps.
Fred lui enlevait son soutif, elle se retournait et lui roulait une pelle avec fougue, elle avait le feu, c'est sur.
Martial pendant qu'elle embrassait Fred, il lui caressait le fesses, il descendait sa main de plus en plus vers sa chatte.
Sophie -pelote-moi le cul, j'en ai envie, c'est toi que je veux pour me sodomiser tout à l'heure.
Martial -avec plaisir gentille Madame.
Puis elle s'agenouillait et les suçait à tour de rôle; ils bandaient dure les 2 coquins.
Fred -mets-toi à 4 pattes que je prenne ta chatte, Martial fais-toi sucer.
Sophie -envoies-moi Marc et Ludo, je les veux aussi dans ma bouche.
Ils ne se firent pas prier et elle les suçait chacun son tour, eux entre deux se branlaient.
Et moi me direz-vous, bien je matais tout simplement ,j'aimais voir ses queues monstrueuses en action pour Sophie, je bandais bien sur dans mon petit string rose en dentelle.
Fred -viens la sodomiser Martial, elle est prête.
Sophie le sentit passer, une queue comme ça dans son cul, je le comprenais.
Fred -Olivier, viens te faire plaisir, branles mes potes.
Moi -non, je regarde.
Fred -tu as tord, regarde.
Il avait saisi la queue à Ludo et la branlais doucement, Ludo appréciait.
C'était tentant avec l'excitation, je risquais quoi sinon faire plaisir à ma Sophie.
Je me laissais tenter et allais vers Ludo, c'est celui que je préférais.
Fred -tiens, prends la dans tes mains, regarde cet engin.
Je pris sa queue dans mes mains ce qui n'échappais pas à Sophie.
Sophie -hum, vas-y branle-le, tu m'excites encore plus.
C'était parti, Ludo appréciait apparemment.
Sophie -plus fort et plus vite Martial, donnes-moi du plaisir, Fred donnes-moi ta queue, je veux te sucer.
Se retrouvant seul, Marc vint frotter sa queue sur les fesses de Ludo, j'étais à genoux pour bien voir sa queue et mes mains le branler.
Marc -branle-moi aussi, tu me donnes envie quand je te vois avec Ludo.
Il me tendait sa bite et je la prit dans mon autre main.
Sophie -tu as autant de succès que moi, j'adore, vas-y branle bien leurs queues.
Fred -allez, on passe au final, tous autour de Sophie, mets-toi à genoux.
Sophie -je veux Olivier à coté de moi, je veux que vous éjaculiez sur lui aussi.
Fred -obéis à ta femme, c'est un ordre.
Je me retrouvais avec Sophie au milieu de 4 queues toutes aussi belle les unes que les autres mais j'avais un faible pour celle de Ludo et je voulais que ce soit lui qui éjacules sur moi.
Sophie -que de queues, merci encore Fred, j'adore ce gang bang.
Ce fut Martial qui envoyait en premier une grosse quantité de foutre sur le visage de Sophie, puis Fred, ensuite Ludo qui m'envoyait dans la figure plein de sperm et Mac en dernier.
Sophie -lèches le sperm de Ludo, je veux te voir.
J'obéis.
Ensuite, Fred nous rendit nos fringues et me fis cadeau de string rose en dentelle.
Fred -cela te feras un petit souvenir de cet après-midi.
Sophie -oui, il le mettra à la maison pour moi.
En repartant, Ludo me dit à très bientôt j'espère, je lui plaisait, cela était certain.
A SUIVRE.

Super
Vraiment hâte de lire la suite

Nous sommes nombreux dans ce cas !

VOILA, CECI EST MON CENTIEME RECIT DEPUIS LE 15 MAI 2021, JE VAIS CONTINUER A ESSAYER DE VOUS SEDUIRE, MERCI DE VOS COMMENTAIRES.

En repartant vers la voiture.
Sophie -tu as aimé ce moment ?
Moi -franchement, oui beaucoup.
Sophie -moi aussi et j'ai apprécié te voir branler une queue, tu deviens bi, j'ai l'impression.
Moi -non, c'est l'ambiance de l'après-midi qui donne envie de ça, je ne suis pas bi de nature.
Sophie -oui, mais j'ai noté que Ludo et toi avait quand même passer pas mal de temps ensemble et c'est le seul qui t'as joui dessus.
Moi -ce n'est pas faux, j'ai bien aimé sa queue.
Sophie j'aime quand tu dis ça, tu n'aimerai pas l'avoir à diner avec nous un soir, mais rien que lui.
Moi -je dis pas non, la soirée peut être sympa.
Sophie -n'oublies que si tu veux tout savoir sur Arnaud, prends l'autoroute jusqu'au moment ou je t'arrêterai.
Moi -on ne vas pas aller à Paris quand même..
Sophie -au 1er appel de phare, tu ralentis et tu t'arrêtes au parking suivant.
Moi -d'accord.
Sophie ouvrait entièrement son manteau, à peine entré sur l'autoroute, 1er appel de phare.
Moi -je ne m'arrêtes pas, je veux un camion français.
2 km plus loin, c'était fait, je m'arrêtais coté poids lourd et il garait à coté de nous.
Il descendait de son camion.
Le routier -alors, on cherche un routier pour un bon moment dans ma couchette.
Sophie -oui, c'est ça.
La routier -j'emmène que la dame bien entendu.
Sophie -je voyais ça comme ça aussi, à tout à l'heure.
Le routier -vas boire un café, tu vas avoir le temps.
Je regardais Sophie sortir monter dans son camion où il tirait les rideaux, je ressentais une pointe de jalousie mais pas d'excitation.
J'appelais Maude.
Moi -ça va Chérie ?
Maude -oui, c'est trop long sans toi.
Moi -je serai là dans 2 heures.
Maude -pas avant ?
Moi -non, faut bien que je m'occupe de la maison.
Maude -tu me sors ce soir ?
Moi -je te laisse le choix, soit on bouge pas, soit on sort.
Maude -on sort, j'en ai envie.
Moi -envie de revoir Jean-mi, sois franche avec moi.
Maude -oui, mais je ne veux pas lui céder trop vite, je veux encore prendre mon temps même si j'aimerai bien qu'il me baise devant toi bien entendu ou alors sans toi, tu prendras la décision que tu préfères et j'accepterai.
Moi -tout dépendra de mon excitation et de ma jalousie.
Maude -par contre, je te dis la vérité, si je ne bois pas un peu, je ne peux pas faire ça.
Moi -oui, un peu pas comme hier soir.
Maude -oui, je pense qu'hier au soir, je me serai laisser baiser par lui, aujourd'hui, je ne pense pas, seul toi peux me pousser vers lui, je ne prendrai pas la décision, mais je me laisserai encore caresser par lui si tu veux bien sinon j'arrête tout.
Moi -tu n'arrêtes rien du tout, ce plan avec lui me plais, mais c'est vrai que j'aimerai qu'on prenne notre temps , que tu ne lui cède pas de suite.
Maude -d'accord mon Amour, ce qu'on peux faire, c'est que je lui donne un peu plus à chaque fois que je le vois.
Moi -très bien, c'est quoi la prochaine étape du coup.
Maude -j'en sais rien, on en parle de vive voix tout à l'heure.
Moi -oui on y réfléchis tout les deux de notre coté et on prendra une décision.
J'allais boire un café, je prenais mon temps et je vis arriver Sophie, elle avais l'air déçue.
Moi -ça va ?
Sophie -tu parles, il a jouis rien qu'a le sucer.
Moi -c'est les aléas avec les gens qu'on ne connait pas.
Sophie -ramènes-moi à la maison.
Moi -tout de suite, allez, on est parti.
Arrivé à la maison, mon portable bipait.
Sophie -encore ta pute qui s'impatiente.
Moi -non, je ne connais pas le numéro.
Je lus le texto et le relus à haute voix à Sophie.
Moi -c'est Ludo, j'espère ne pas te déranger, mais j'ai trouvé que notre complicité était très belle, j'espère vous revoir bientôt avec Sophie dans les bois ou ailleurs.
Sophie -génial, on va pouvoir l'inviter à diner et ce, dès la semaine prochaine, réponds lui devant moi.
Moi -je lui dis quoi ?
Sophie me dictait ce que je devais lui écrire, le voici.
Merci Ludo pour ce texto, c'est vrai, c'est un belle complicité toi et moi, serais-tu libre pour diner avec nous jeudi soir.
Ludo -avec grand plaisir, tu me donneras l'adresse.
Moi -oui, à jeudi alors.
Ludo -oui, tendres bisous à vous 2.
Sophie -c'est toi qui l'a attiré ce Ludo, j'espère qu'on va faire des folies avec lui.
Moi -espérons, maintenant, parles-moi de Arnaud.
Sophie -je sais que c'est son ex, je sais qu'il se voit régulièrement et je sais aussi qu'ils ont fait des plans à 3 ou à 4, elle et rien que des hommes avec.
Moi -je vais tirer ça au clair car si c'était avant, je ne dirai rien, mais si elle l'a fait depuis qu'on est ensemble, ça va péter.
Sophie -d'après mes sources, c'était avant, je ne devrai pas te le dire mais j'aime ma vie actuelle, certes, je dois te partager, mais quand tu es avec moi, tu n'as jamais été aussi attentionné et j'aime notre sexualité, je revis.
Moi -alors, confidences pour confidences, j'ai été jaloux quand tu es monté dans ce camion.
Sophie -c'est vrai, donc tu m'aimes encore un peu.
Moi -faut croire.
Sophie -viens me faire orgasmer avant de partir.
Moi -à une seule condition.
Sophie -laquelle ?
Moi -tu me branle et me suce après.
Sophie -non, je ne veux pas te toucher, tu le sais, c'est comme ça.
Moi -alors, à lundi.
Je la plantais là et disparut.
5 minutes plus tard, elle s'excusait en texto et je lui pardonnais.
Une fois chez Maude, je me laissais tomber dans la canapé.
Maude -tu as l'air crevé mon Chéri.
Moi -non, ça va, mais faut que je décompresse un peu.
Maude -restes assis, je m'occupe de tout.
Moi -merci.
Maude -un petit whisky vas te faire du bien, je t'accompagne avec une vodka.
Moi -oui parfait.
Maude -alors, as-tu réfléchis pour la prochaine étape ?
Moi -oui, j'ai une ou deux idées et toi ?
Maude -aussi dis-moi les tiennes.
Moi -non, c'est à toi de me dire, c'est toi qui vas donner, pas moi.
Maude -une chose est sure, je vais mette l'ensemble léopard pour lui et je lui ferai voir.
Moi -très bon début, je valide.
Maude -ensuite, j'hésite entre lui rouler une pelle ou lui offrir mes seins, mais pas un effleurement, je veux qu'il me pelote vraiment.
Moi -pas mal, j'ai eu les mêmes idées que toi, toi tu ferais quoi ?
Maude -je lui donne mes seins.
Moi -non, tu vas faire les deux, et tout ça en dansant avec lui.
Maude -tu crois ?
Moi -sauf si tu ne le sens pas, ne te forces pas surtout.
Maude -pousses-moi à le faire si tu le désire vraiment, ne me mets pas dans le doute.
Moi -hier quand tu avais bu, tu t'es poussé toute seule vers lui, tu n'as pas besoin de moi, tu fais comme tu le sens, tu as mon aval.
Maude -merci mon Chéri, mais je ne veux pas tout lui donner au bout de 3 rencontres.
Moi -donnes-lui petit à petit.
Maude -oui, avant qu'on bouge racontes-moi la suite avec Seb, cela peux m'aider, me booster.
A SUIVRE.

La situation devient complexe... ; -)

Moi -et la fin de l'histoire avec Pauline, je l'aurai quand ?
Maude -demain sans faute.
Moi -je reprend alors, mais dis-moi, on n'est même pas sur de le voir ce soir ce Jean-mi.
Maude -tu as raison, ne tirons pas des plans sur la comète trop rapidement, on le verra demain soir, j'en suis sur.
Moi -bon, je reprend, je le forçais à allez le voir le lendemain, je la virais presque de la maison, elle revint en pleine nuit, en pleurs, ils s'étaient engueulés assez fortement.
Maude -tu devais être un peu déçu qu'elle rentre.
Moi -non, elle était vraiment perdue, elle se demandait ce qui se passait, elle lui donnait 48 heures de délai pour qu'il l'appelle, passé ce délai, elle me dis que ce serai fini, je n'y croyais qu'à moiti", la connaissant par cœur, le lendemain pas d'appels, le surlendemain non plus et là, elle eut une idée de dingue.
Maude -une vraie sorcière avec toi.
Moi -en rentrant du boulot, elle était en tenue très explicite, une cravache à la main, elle me dit, puisqu'il n'appelle pas, c'est toi qui vas le faire en le suppliant de me reprendre, je répondais certainement pas et là, 1er coup de cravache au travers de mon pantalon sur mes fesses.
Maude -aie, aie aie.
Moi -elle m'ordonnait de me mettre à poil, je veux que tu sente ma cravache sur ta peau si tu n'obtempère pas, je lui dis encore non, un 2eme coup tombait sur ma peau nue.
Maude -mon pauvre Amour, tu as résisté longtemps ?
Moi -j'ai cédé quand mes fesses furent écarlates, là, elle me dit tout en me menaçant encore, appelles-le tout de suite, j'obéis, il convenait d'un rdv le mardi puis un peu plus tard, il lui demandait de venir tout de suite, elle se changeait, mis une robe rose très provocante avec bas et talons hauts et me plantait dans la maison, ils allèrent dans un pub pour discuter, il voulait que Sophie me quitte pour vivre avec lui, mais Sophie refusait, elle aimait me rendre jaloux t malheureux, elle prenait son pied avec lui comme ça après le pub, il la baisais dans l'ascenseur et Sophie me dit qu'elle avait beaucoup aimé et qu'elle le ferait souvent maintenant.
Maude -tu m'excite vraiment, ta femme était chanceuse d'avoir un mari conciliant comme toi.
Moi -j'aimais ça, car nos retrouvailles était magiques mais ils décidèrent ensemble de me faire morfler encore plus.
Maude -de quelle manière ?
Moi -ils m'envoyaient des photos et des vidéos pour me provoquer, j'en reçus même une où elle disait l'aimer plus que moi et lui disait qu'il était passé devant moi au niveau de l'amour, cela me fis un mal au cœur incroyable portant je continuais à lui acheter des robes, des dessous qu'elle ne mettait que pour lui, je souffrais, j'étais malheureux.
Maude -et tu as continué malgré tout.
Moi oui, j'aimais Sophie comme un fou, j'acceptais tout d'eux, ils ont même organisé un week-end où je serai là pour les regarder, une chambre juste à coté de la leur, et le pire, c'est moi qui ai tout payé.
Maude -tu me raconteras ce week-end qui a du être d'enfer pour toi.
Moi -oui, promis.
Maude -comment veux tu que je m'habille ce soir ?
Moi -très sexy.
Maude -par contre, je ne met pas mes dessous léopard, je les garde pour demain.
Moi -oui, c 'est mieux, alors depuis tout à l'heure as-tu repensé à ce que tu vas lui offrir en plus demain.
Maude -non, j'ai toute la journée de demain pour y penser.
Maude s'habillait très sexy comme je lui avais demandé, une robe moulante noire très décolleté laissant apparaitre l'orée de ses seins, des bas et des dessous noirs.
Maude -cuissardes ou talons hauts.
Moi -talons hauts, c'est plus excitant.
Maude -accepté alors.
Nous partîmes vers 22 heures, Maude me plaisait terriblement, j'avais très envie d'elle et ce soir, je la voulais que pour moi.
Maude -que dois-je faire si on me drague ce soir devant toi ?
Moi -tu fais ce que tu ressens, je te donne carte blanche mais dans la limite du raisonnable.
Maude -merci mon Amour.
Il y avait de la place et nous installions au bar, moi debout et Maude sur un tabouret.
Moi -arrêtes de tirer sur ta robe, si on voit la dentelle de tes abs, c n'est pas grave.
Maude -ça fait salope.
Moi -non, tu es accompagné.
Maude -si tu le dis, je te crois.
Moi -tu n'es jamais sortie dans des tenues sexy ?
Maude -une fois seulement.
Moi -c'était où ?
Maude -en boite de nuit à Paris.
Moi -avec qui ?
Maude -Arnaud.
Moi -il s'est passé quoi ce soir là ?
Maude -je te le raconterai après l'histoire avec Pauline, tu veux bien ?
Moi -bien sur Chérie.
Le pub se remplissait, et je vis arriver une tête que je connaissais mais je ne savais pas d'où.
Je cherchais mais rien, pourtant, j'en étais sur que je le connaissais, j'en fis part à Maude.
Maude -c'est le serveur du restaurant qui m'a maté toute la soirée.
Moi tu as raison, ben qu'il reste loin de toi.
Maude -pourquoi, il est mimi.
Moi -un à la fois, après cela va devenir compliqué s'il se croise un soir.
Maude -tu as raison, on ne verra pas Jean-mi ce soir je crois.
Moi -non, demain t'inquiètes pas Amour.
Maude sirotait sa vodka et moi mon whisky, puis on se fit malgré tout accosté par le serveur (Yann).
Yann -bonsoir, vous me reconnaissez, je vous ai servi une fois dans mon restaurant.
Moi -oui, bien sur.
Yan -je vous offre un verre.
Moi -pourquoi pas .
Maude me fit les gros yeux genre tu dis une chose mais tu fais autrement.
Yann -vous venez souvent ici, c'est la 1ere fois que je vous vois.
Moi -de temps à autre, quand on a envie de boire un verre tranquille.
Yann -votre femme est toujours aussi ravissante, elle fait fureur ici d'après ce que j'entends autour de moi.
Moi -comment ça ?
Yann -elle plait à beaucoup d'hommes, vous êtes un chanceux de l'avoir.
Moi -on s'aime, on n'y peux rien.
Yann -ils disent même la bombe atomique qui est au bar.
Moi -une bombe, ça n'explose qu'une fois, ce n'est pas le cas.
Il éclatait de rire.
Ensuite, on parlait de plein de choses différentes, Maude ne se mêlant pas trop a la conversation, mais Yann ne quittait pas ses cuisses des yeux et quand ce n'était pas ses cuisses, c'était son décolleté.
Elle se sentait un peu gênée malgré tout.
Quand il s'écartait de nous, Maude me glissait à l'oreille.
Maude -Il me déshabille des yeux, c'est presque gênant.
Moi -tu es la star du pub, je suis très fier d'être avec toi.
Maude -merci, moi aussi, je suis fière de t'avoir mon Amour, que dois-je faire, je suis sur qu'il va m'inviter à danser quand il y aura un slow.
Moi -quelle est ton envie.
Maude -pour te rendre jaloux, j'accepterai surement, de plus, cela va t'exciter.
Moi -oui, alors acceptes mais, ne le laisse pas peloter le dos et les fesses, si c'est le cas, enlèves ses mains.
Maude -et si j'ai pas envie de les enlever
Moi -alors, tu le laisses faire, c'est toi qui jugera de la situation et aussi de ce qu'il va te dire.
Maude -tu m'excites, je n'attendais pas cette réponse de ta part, mais j'aime beaucoup.
Moi -je suis imprévisible.
Il était presque une heure du matin et je demandais à Maude si elle voulait rentrée car je commençais à être fatigué.
Maude -on attend la série de slows et on rentre, cela te va.
Moi -tu sais même pas s'il va t'inviter, cela faire une demie heure qu'il a disparu.
Maude -je suis prêt à parier qu'il viendra m'inviter.
Moi -on paris quoi ?
Maude -un gage.
Moi -oui, mais sexuel.
Maude -celui qui perd devra exécuter ce que l'autre lui demande.
Moi -pari tenue.
Ce fut long mais long car la série de slows n'arrivât que vers 2 heures du matin.
Maude, pendant ce temps là, accumulait les vodkas, c'était la 7 ou 8eme.
Les slows débutaient, Maude espérait mais pas de Yann à l'horizon.
Moi -je te l'avais dis, tu n'aurai pas du parier avec moi.
Maude -ce n'est pas encore fini, j'y crois toujours.
Elle avait raison car au 3eme slow, il se pointait.
Yann -je peux inviter votre femme à danser, en tout bien tout honneur.
Il n'avait pas fini sa phrase que Maude était déjà descendu du tabouret.
Il l'a pris par la taille pour l'emmener sur la piste de danse et ils se mirent dans le fond de la piste, là où je ne voyais rien, cela m'énervais.
Heureusement ou malheureusement, c'était le dernier slow, ils revenaient, lui la tenant toujours par la taille.
Maude repris sa place et Yann commandait 2 verres sachant que je ne buvais plus, devant ramener la voiture.
J'avais hâte qu'il nous laisse, j'étais impatient de savoir s'il lui avait fait du rentre dedans.
A2h45 du matin, je priais Maude de se lever afin que l'on puisse rentrer.
Yann -je peux la ramener si cous voulez.
Moi -on est venu à 2, on repart à 2.
Maude -je suis prête Amour,
Je réglais ce que je devais et on quittait le pub main dans la main.
Maude -tu as perdu, tu me dois un gage, je ne sais pas encore ce que ce sera, mais j 'aime savoir que j'ai gagné contre toi.
Moi -il a été sérieux quand vous avez dansé, j'ai des doutes car il te tenait la taille en partant et en revenant de danser.
Maude -tu vois tout dans les moindres détails.
Moi -tu es à moi il me semble, et pourquoi vous êtes partis au fond de la piste s'il n'avait pas l'intention de te draguer.
Maude -c'est lui qui m'a entrainé, moi, j'aurai préféré que tu me vois dans ses bras.
Moi -ouais.
Maude -crois-moi Chéri, c'est la sincère vérité, j'aime quand tu me regarde avec un autre, c'est même toi qui me l'a appris.
Moi -il s'est passé quelque chose ?
Maude -non, il m'a parlé en me disant que j'étais à croquer, qu'il n'avait jamais dansé avec une si belle femme et m'a demandé si je pouvais revenir la semaine prochaine.
Moi -et ses mains ?
Maude -rien, par contre il ma collé à lui.
Moi -bien, j'aime que ça n'aille pas trop vite.
Maude -bah tiens, du coup voila ton gage, tu m'invite dans son restaurant samedi prochain et après on viens ici.
Moi -d'accord, j'ai perdu, j'obtempère.
A SUIVRE.

Coucou les amis, est ce que la cadence d'un récit par jour vous convient en ce moment ?

Bonjour Fifou,
Bien sûr, c'est génial, Merci !!!

Dans la voiture.
Maude -c'est très excitant, j'ai 2 hommes qui me désirent et un mari en or qui me pousse vers eux, tu sais que je t'aime comme une folle, je ne peux plus me passer de toi.
Moi -moi non plus, je ne peux plus vivre sans toi, je te demande qu'une chose, ce n'est que du sexe, ne t'attaches pas à eux.
Maude -non, promis mon Chéri.
On fis l'amour très fort et je demandais à Maude d'orgasmer en pensant à Jean-mi, de penser à ce qu'elle ferai de plus demain.
Elle me donnait vraiment tout quand on faisais l'amour.
Malgré l'heure tardive à laquelle on s'était couché, j'étais debout à 8h30.
Je bus un café et portait le petit déjeuner au lit à Maude -Maude -tu es vraiment un Amour, personne n'a jamais eu une considération comme ça pour moi, Je t'aime.
J'avais rallumé mon portable et j'avais 2 textos de Sophie.
Sophie changement de programme pour lundi soir, j'ai un ex qui vient manger avec sa femme et le 2eme, j'ai décidé de draguer sa femme au lieu de lui, cela te plait.
Je répondis.
Moi -hum, pourquoi pas même si tu pourrai draguer les 2 et finir dans leur lit.
Sophie -bonne idée, je vais essayer de le faire mais la femme avant, je veux voir si mon pouvoir sur le sexe féminin a toujours autant de succès.
Je rejoignais Maude dans la chambre, elle était nue et je voyais ses énormes seins, cela me perturbait toujours les seins.
Maude -ça va Chéri, tu as assez dormi.
Moi -oui, au pire, je ferai ne sieste cet après-midi.
Maude -oui, ce soir, faut que tu sois en forme.
Moi -je vais aller trainer un peu ce matin, je vais essayer de te trouver une tenue pour ce soir, as-tu trouver ce que tu allais lui donner en plus.
Maude -je verrai suivant ce que tu trouves ou pas et pendant que tu ne seras pas là, je vais faire le ménage.
A9h30, j'étais parti, j'appelais Sophie pour lui dire que je passais la voir ce matin.
Sophie -ta petite femme te manque à ce point là.
Moi -oui, n petit peu.
En arrivant, Sophie ne portait qu'une chemise à moi au 3 quarts ouvertes et un string blanc.
Sophie -si tu viens me voir, c'est que tu as besoin de moi.
Moi -oui, j'ai besoin de tes conseils si tu veux bien m'aider vu que c'est pour Maude.
Sophie -tu sais bien que oui, mais ce ne sera pas gratuit, tout se paye entre nous maintenant.
Moi -c'est quoi ton prix ?
Sophie -je veux que tu portes le string rose en dentelle quand tu rentreras mardi chez elle, cela me trotte dans la tête depuis hier et bien sur, je veux que tu commentes sa réaction.
Moi -accordé sans retenue.
Sophie -je t'écoute alors.
Moi -je cherche une robe ou une combinaison avec un zip devant, que je puisse voir entre ses seins.
Sophie -c'est pour toi ou bien pour l'exhiber.
Moi -tout le monde n'a pas les mêmes fantasme que nous.
Sophie -je te connais, tu es capable de la transformer.
Moi -non, je ne veux pas la partager contrairement de toi, car toi, j'ai encore envie de te voir baiser avec des hommes.
Sophie -tu vas avoir, n'aies crainte pour ça.
Moi -alors, tu m'aides ou pas.
Elle me donnait 2 ou 3 adresses de magasins ouvert le dimanche matin.
J e bus mon café et partait.
Sophie -reviens me faire voir si tu trouves ton bonheur..
Je fis le tour des magasins, mais rien je regardais l'heure 10h30, allez, je fonce à Paris, la bas, je vais trouver mon bonheur pensais-je.
40 minutes plus tard, j'étais place Pigalle, j'entrais dans un 1er sexe shop mais rien.
J'en fis 3 avant de trouver mon bonheur, une superbe combinaison rose aspect mouillé, un zip devant qui descendait en dessous du nombril.
Moi -vous avez des robes sexy ?
Le vendeur -oui juste derrière vous.
Je fouillais et trouvais une robe blanche qui faisait épaules entièrement nus et enrobait les seins, très courte et plissée, je craquais et la prenais aussi, résultat des courses, 320 euros car je lui avais pris aussi un ensemble tanga soutif porte-jarretelle noirs et des bas nylons couture, une fois sorti, j'eus un remord, je rentrais de nouveau et pris la même combinaison pour Sophie mais en noir.
Il était 11h45, je n'avais pas le temps de repasser chez Sophie, puis si, on était dimanche, rien ne me pressait.
J'envoyait un texto à Maude en lui disant que je serai là vers14 heures car j'étais monté à Paris.
Maude -je te prépare un petit plat.
Midi trente, je me posais chez ma petite femme.
Sophie -alors, tu as trouvé.
Moi -j'ai du aller à Paris pour trouver ce que je cherchais.
Sophie -ben dis donc, faut-il que tu l'aimes.
Moi -tiens, cadeau pour toi.
Sophie ouvrait son cadeau et quand elle déployait la combinaison, elle se mit à pleurer de joie, elle me sautait au cou et m'embrassait tendrement.
Sophie -tu es un Amour, tu n'étais pas obligé de faire ça, mais je suis très heureuse franchement très heureuse.
Moi -tu me donnas du bonheur, tu as droit à un petit cadeau toi aussi, regarde la robe que j'ai trouvé pour elle.
Sophie -super sympa, j'aime beaucoup, tu as toujours eu du gout pour ses choses là.
Moi -merci.
Sophie ne s'était pas changé, elle était resté comme le matin.
Sophie -fallait me le dire que tu repassais, je me serai changé.
Moi -je voulais te faire ce cadeau et que tu vois aussi ce que j'avais acheté.
Sophie -tu es au top, je reçois Martine cet après-midi, cela sent la séance de gouinage.
Moi -éclates-toi, fais-toi plaisir elle te plait toujours autant Martine ?
Sophie -je ne l'ai pas vu depuis plus de 2 mois.
Sophie -et toi, quel programme ?
Moi -rien, si repos car demain soir, la soirée risque d'être longue.
Sophie -j'espère bien, je mettrai ta combinaison si tu veux?
Moi -c'est quand même la moindre des choses.
Sophie -avant, tu achetais et c'est mes amants qui en profitait, toi, tu n'avais rien, tu te souviens.
Moi -oui, cela avait surtout été le cas avec Seb.
Sophie -tu as morflé avec lui, ce sont mes 1er découchages.
Moi -oui, c'était des bons moments malgré tout.
Sophie -oui, maintenant, c'est différend mais cela me plait tout autant.
Moi -à moi aussi, cette double vie me plais, je te retrouve comme tu étais au début.
Sophie -un peu plus dévergondée quand même.
Moi -oui, c'est vrai.
Sophie -si un jour tu fantasme sur quelque chose ou quelqu'un, dis-le moi, je ferai tout pour te combler, ce n'est pas ta pute qui assouvira tes fantasmes.
Je ne dis rien et pensais, si tu savais ma pauvre.
Moi -allez, je m'en vais, a demain soir, fais-toi belle à croquer.
Sophie je vais déjà me faire belle pour Martine.
Moi -tu m'envoies un texto pour me dire.
Sophie -j'ai l'intention de filmer à son insu pour toi, que cela te fasse bander.
Moi -hum, fais-le, j'ai hâte de voir ça.
J'arrivais chez Maude vers 13h30
Maude -ce n'est pas prêt, je ne t'attendais qu'a 14 heures.
Moi -on n'est pas pressé, on a le temps, tiens petit cadeau pour toi.
Maude -3 paquets, mais tu es fou mon Chéri.
Moi -allez, ouvres.
Maude -lequel d'abord.
Moi -n'importe, c'est tout pour toi.
Maude tombait pour commencer par la petite robe.
Maude -je la met ce soir.
Moi -attend de voir la suite.
Ensuite -ce fut l'ensemble noir.
Maude -pas ce soir, ce soir c'est l'ensemble léopard pour Jean-mi.
Moi -ça, tu n'oublie pas.
Maude -il m'a demandé et tu as accepté que je le porte ce soir.
Moi -je te taquine Chérie.
Maude -je préfère ça.
Quand elle ouvrait le dernier paquet, elle restait baba.
Maude -que c'est beau et sexy, j'adore, comment te remercier mon Amour.
Moi -en continuant à être comme tu es actuellement, je veux que tu provoques mais petit à petit, je veux que l'on profite de chaque nouveau pas que tu franchis.
Maude -promis Amour, et ce matin, en faisant le ménage, je pensais pourquoi n'irions nous pas dans un sauna, cela peut être aussi excitant.
Moi -à voir.
Maude -je vais essayer tout ça.
Moi -commences par la combinaison, la taille me fait peur.
Quelle canon dans cette combinaison rose.
Moi -essayes avec tes talons Chérie.
Maude -j'adore mais alors là j'adore, ce sera ma tenue de ce soir, je te l'assure.
Moi -viens vers moi.
Je descendait le zip jusqu'à mi seins.
Moi -ce soir, cela doit être comme ça, tu ne mettra pas de soutif.
Maude -d'accord Amour, mais tu te doute que Jean-mi va passer la soirée à mater mes seins.
Moi -c'est le but recherché.
Maude -tu es merveilleux, du coup, le pas suivant, je vais lui offrir mes seins.
Moi -pas facile dans le pub.
Maude -j'y ai pensé, j'irai dehors prétextant d'avoir trop chaud.
Moi -si tu me le dis, faut le faire, ne me déçois pas Chérie.
Maude -si tu vois que je n'y arrives pas, booste-moi mon Amour.
Moi -tu comptes aussi danser avec lui.
Maude -oui, aussi je sentir qu'il bande pour moi.
Moi -tu as l'air bien chaude Chérie.
Maude -oui, c'est toi qui me fais cet effet, je veux tout ce que tu veux, je ferai n'importe quoi pour toi.
Moi -essayes les autres cadeaux..
Elle revint avec l'ensemble noir sans rien dessus.
Maude -ça me plais mais grave, j'ai l'impression d'être ton objet et j'adore ça.
Moi -allez la petite robe.
Alors là, je craquais complètement, elle avait gardé son porte jarretelle, ses bas et son tanga, ça lui allait à merveille.
Moi -tu me plais beaucoup, assieds à cote de moi que je vois ce que ça donne.
Elle ne pouvait pas cacher ni le haut de ses bas, ni les jarretelles.
Moi -j'aime bien moi.
Maude -c'est court quand même non !.
Moi -non, pas pour moi.
Maude -et tu veux que je sorte ainsi ?
Moi -je ne l'ai pas acheté pour que tu la mette qu'à la maison.
Maude -je le ferai mais je ne serai pas à l'aise du tout.
Moi -tu veux de la motivation pour ça ?
Maude -comment ça.
Moi -imagines que je t'emmène au restaurant habillée ainsi la semaine prochaine.
Maude -hum, très intéressant cette motivation, Yann pourra mater mes cuisses, et je m'arrangerais pour qu'il n'y est que lui qui vois, tu veux ?
Moi -oui, c'est pour çà que je t'ai dis cela.
Maude -on a de beaux moments à vivre ensemble.
A SUIVRE.

Maude -allez viens manger, c'est prêt.
Moi -j'irai surement dormir cette après-midi.
Maude -oui, mais comme tu as été merveilleux avec moi, je vais te raconter la fin de mon histoire avec Pauline.
Moi -hum, avec plaisir.
On déjeunait, puis m'installais dans le canapé, Maude s'était changée et avait remis son jean et son polo, sans soutif.
Maude -tu es prêt, attention, ça déménage.
Moi -vas-y.
Maude -elle était à moi, je m'approchais d'elle et lui tendais ma langue qu'elle s'empressait de gouter à nouveau, je pris ses seins à peines mains et fis tendre ses gros tétons.
Pauline -plus fort avec mes seins, Maitresse Maude.
Maude -qui t'as demandé de parler, pas moi il me semble.
Pauline -excusez-moi Maitresse.
Maude -tu vas être punie pour ça, tu ne mérites pas mieux.
Moi -tu es entrée dans son jeu, on dirait.
Maude -oui, totalement, cela me plaisait qu'elle soit mon esclave, c'était la 1ere fois.
Moi -tu aimerais avoir un esclave ou une esclave ?
Maude -peut être, je n'en sais rien, car je ne me suis jamais retrouvé dans cette position à part avec Pauline, donc je lui triturait ses tétons, elle faisait des grimaces mais ne disait rien, cela lui plaisait, et puis, je ne sais pas ce qui m'a pris, je me suis mis en string sans rien d'autre sur moi, je sentais que cela lui mettait le feu.
Maude -mates mes gros seins, mates-les bien, tu ne les toucheras plus jamais, t'entends plus jamais, j'avais la cravache à la mai net lui assénait 5 ou 6 coups très violent sur ses fesses, elle ne bronchait pas, j'étais très excitée, je te l'avoue surtout une cravache à la main, je jouais avec elle, je me permis même de lui frapper les tétons avec et elle fit un hum de satisfaction.
Moi -une vraie esclave, plus tu cognes, plus elles aiment.
Maude -libères ton corp de ta guêpière, je veux te voir complètement nue, comme les esclaves qui n'ont pas de sous pour s'habiller.
Pauline -oui, Maitresse Maude.
Maude -et vas me raser cette chatte, je veux la voir toute lisse et je la cognais en même temps.
Elle revenait de la salle de bains toute lisse.
Maude -caresse-toi maintenant, allonge-toi sur le lit et caresse-toi avec tes mains et ton gode.
Pendant qu'elle m'obéissait, je me mis à 4 pattes sur le lit et lui bouffait ses seins, je les aimais bien, ils réagissaient au quart de tour.
Elle gémissait de plaisir, je sentais l'orgasme venir.
Moi -je t'interdis d'orgasmer, c'est moi qui dois te donner ça, n'oublies que tu n'es qu'une esclave, tu m'appartiens.
Pauline -oui, je suis à vous.
Maude -mets-toi 4 pattes
Pauline obéis, je me mis derrière elle et jouait avec son cul, j'enfonçais le manche de la cravache d'une main et de l'autre, je jouais avec son clito qui était énorme, elle était littéralement inondée, je frappais ses fesses a pleines mains, ses fesses étaient écarlates mais toujours pas un mot.
Maude -maintenant, tu peux orgasmer.
Pauline -jouez avec mon clito, je vais tout vous donner Maitresse Maude.
Elle décollait faut voir comment, elle me suppliait de revenir seule pour lui redonner du plaisir comme ce soir.
Moi -incroyable, je ne pensais pas que tu étais si cochonne.
Maude -je ne le savais pas non plus, rassure-toi, bien sur, je finissais la soirée en la fistant et en lui mettant la cravache dans le cul en même temps, elle a jouie faut voir comment.
Moi -superbe histoire, tu me fais bander ma cochonne préférée, ensuite, que s'est-il passé quand tu l'a revue ?
Maude -ils sont venue 2 ou 3 fois à la maison, mais on n'a rien pu faire si ce n'est que je lui tortillais les tétons dès que je pouvais on se roulait des pelles aussi dès qu'on pouvait et elle m'a avoué que depuis ce jour là, sa chatte était toujours lisse
Moi -tu n'es jamais retourné chez eux.
Maude -si une fois pour leur annoncer qu'on divorçait avec son fils.
Moi -et ?
Maude -je l'ai encore défoncé à coups de fisting et de coups de cravaches vu que le père et le fils était encore mort saouls.
Moi -des nouvelles depuis ?
Maude -une fois par an pour mon anniversaire.
Moi -j'aimerai bien t'emmener là-bas une fois.
Maude -je lui demanderai, mon anniversaire, c'est dans un mois.
Moi -allez, je dors un peu maintenant.
Maude -j'aie envie de toi.
Moi -réserve-toi pour ce soir.
Maude -je n'ai pas d'autres choix, hélas, je te violerai bien quand même.
Moi -chut !!
Je dormis une heure environ, Maude était en peignoir et me préparât un café.
Maude -bien reposé mon Amour.
Moi -oui, ça va mieux, je suis prêt pour notre soirée.
Elle ouvrit son peignoir dévoilant son string léopard.
Maude -tu vois ce string léopard ?
Moi oui, je ne suis pas aveugle.
Maude -je l'ai mis pour Jean-mi, pas pour toi.
Moi -tu me provoques, c'est ça.
Maude -oui, cela me plait de m'habiller pour un autre d'autant plus que c'est toi qui m'as habillé ce soir.
Moi -je te sens motivée comme jamais, je me douche et on va vérifier ce que tu dis.
Ce soir là, je mis mon costume gris clair, une chemise blanche et une cravate.
Maude -tu es beau mon Chéri, tu me plais.
Moi -merci Chérie, c'est pour toi.
Maude -tu te fais beau pour moi et moi je vais aller me faire draguer par un autre, finalement, tu me fais hésiter.
Moi -rien n'est obligatoire, tu fais ce que tu ressens en toi.
Maude -d'accord Amour, je vais mettre ma combinaison.
Ca y était, elle était prête, elle me plaisait, je fondais littéralement pour elle.
Moi -c'est parti ma Chérie.
On allait entrer dans le pub mais avant j'ouvrais le zip de sa combinaison un peu plus, je voulais qu'on la mate.
Le pub n'était pas trop garni à cette heure et tout les hommes se tournèrent vers Maude.
Jean-mi était déjà là, installé à la même table que le semaine précédente.
Il nous fit signe et on s'installait à sa table.
Jean-mi fit la bise à Maude en lui écartant les bras pour la contempler et me serrait la main.
Jean-mi -vodka pour tout le monde.
Moi -non, je vais prendre un whisky, je préfère.
Maude -moi, je veux bien.
J'allais chercher mon whisky et commandais en même temps une bouteille de vodka, je n'aimais pas me faire rincer par les gens.
Jean-mi était à coté de Maude, je me doutais pourquoi.
Il lui fis des compliments sur sa tenue.
Maude -c'est mon Chéri qui m'a gâté ce matin.
Jean-mi -garde le, un homme qui gâte sa femme comme ça, il faut le garder.
Maude -oui, je le garde, surtout qu'il m'a fait 3 très beaux cadeaux.
Jean-mi -j'ai le droit de savoir ?
Maude lui expliquait les cadeaux.
Jean-mi -les dessous noirs devrait t'aller comme un gant, j'espère avoir le bonheur de les voir un jour.
Maude -si tu es sage et raisonnable, cela peut être envisageable.
Jean-mi -je vais l'être, si tu me promets des choses comme ça.
Maude avait déjà vidé son verre et Jean-mi le remplit de suite.
Maude -doucement avec la vodka, je ne veux pas finir saoule.
Moi -oui, ne vas pas me la saouler.
Le pub se remplissait vitesse grand V, même si on était dimanche beaucoup d'hommes mais aussi quelques charmantes femmes (que je matais, sans que Maude me voit), trop absorbé par la conversation de Jean-mi.
Il n'avait pas encore posé ses mains sur Maude, il n'était pas encore assez éméché pour se lancer là-dedans, mais je ne me faisais guère d'inquiétude, je savais que cela arriverait.
Puis une phrase me remit dans la conversation.
Jean-mi -as-tu mis ce que je t'ai demandé las semaine dernière ?
Maude me regardait avant de répondre mais je ne lui donnais aucun indice à ce qu'elle devait répondre.
Maude -avec moi, tu demandes, tu as dans la limite du raisonnable bien entendu..
Et là, elle me fit un clin d'œil.
Jean-mi -donc, si je e demande de mettre tes nouveaux dessous dimanche prochain, tu le fais.
Maude -rien de sur, je verrais cela avec mon Chéri, il a aussi son mot à dire.
Jean-mi -normal et je le comprend tout à fait, mais ce soir, comment puis-je être sur que ne me ment pas pour ton string léopard, je ne suis pas obligé de te croire.
Maude -demandes à Olivier.
Moi -ne me mets pas dans tes histoire avec Jean-mi.
Je l'avais joué fine, comment allait t-elle faire pour le persuader.
Maude -crois ce que tu veux, moi, je sais ce que je porte.
Ce n'était pas la réponse que j'espérais mais je savais que Jean-mi ne lâcherai pas le morceau tant qu'elle ne lui ferai pas la promesse de lui montrer.
Jean-mi -c'est bon, je te crois.
Maude -même si tu ne me crois pas, cela ne change rien, je ne vais pas me déshabiller pour te le faire montrer.
Jean-mi -dommage.
Maude -crois-moi Jean-mi, j'ai même pensé à toi en le mettant.
Jean-mi -hum, tu penses à moi, jamais je n'y aurait cru.
Maude -tu vois, tout arrive.
Jean-mi -moi, je pense à toi tout les jours tellement tu me plais.
Maude -j'ai déjà un homme et je l'aime comme une folle.
Jean-mi -je ne te parle pas d'amour mais de sexe.
Maude -là, c'est différend.
Elle lui tendait une perche allait t-il la saisir ?
Jean-mi -je vois très bien qu'Olivier compte beaucoup pour toi et je ne veux rien casser dans votre couple mais vous m'invitez à manger, vous venez à mon rdv du dimanche, je caresses ton dos et tes fesses sans que tu bronches, laisse-moi penser que je ne te laisse pas indifférent.
Maude -ce n'est pas faux mais je suis une femme provocatrice, j'aime rendre jaloux mon Chéri, c'est pour ça que je te laisse faire quelque gestes sur moi.
Jean-mi d'accord, je comprend mieux.
Maude -Chéri, sers-moi un verre stp.
Je la servais mais pas la même dose que Jean-mi, par contre, je forçais sur son verre, je voulais qu'il se passe quelque chose et Maude le refroidissais, je pensais que l'alcool lui redonnerai le courage de continuer à batifoler avec ma Chérie.
Il était 20h30, le Dj se mettait en place ne envoyait du disco des années 80, les gens se pressaient sur la piste.
Moi -vas danser Amour si tu en as envie.
Maude -non, je n'ai pas envie, je suis bien là à coté de toi, je passe une bonne soirée.
Jean-mi partit danser.
Moi -tu l'as bien refroidi, pas sur que maintenant qu'il y ait un 3eme acte
Maude -laisse-moi faire Chéri.
A SUIVRE.

Entre Sophie et Maud, les cornes d'Olivier n'ont pas fini de pousser !...

Je me demandais maintenant comment elle allait faire pour le convaincre de continuer.
Le seul truc positif, c'est qu'il en pinçait pour elle.
Il revint s'assoir et se servit une vodka encore bien tassée.
Jean-mi -dommage que tu ne veuilles pas danser Maude, cela fait du bien de se lâcher sur la piste.
Maude -je suis bien avec Olivier,
Elle continuait dans son envie de rester avec moi, de n'ouvrir aucune porte à Jean-mi.
Il descendit son verre d'une traite et retournait danser.
Moi -que se passe t-il, tu ne lui donnes plus aucune raison pour qu'il s'intéresse à toi.
Maude -je t'ai dis de me laisser faire, tu vas voir, il finira par me donner ce qu'on désire tout les deux.
Moi -j'espère, mais pour moi, ce n'est pas le bon chemin.
Maude se trémoussait sur la banquette vu le son qu'il passait.
Moi -vas danser, moi, je n'aime pas ça, éclates-toi, personne ne te violera ici.
Maude -je ne veux pas te laisser tout seul.
Moi -tu seras à 3 mètres de moi.
Maude -j'y vais.
Quand elle se levait avec sa combinaison rose et ses talons hauts, je pensais quelle beauté, mais pourquoi, je voulais la partager, je dois être fou, n'importe quel homme censé refuserai cela.
Elle dansait d'un coté de la piste où je la voyais, elle dansait très bien et Jean-mi était à coté d'elle.
Puis, il y eut un incident qui allait nous aider dans notre recherche du palier à franchir.
En effet, un homme très éméché se permit de mettre une main au cul à Maude, Jean-mi qui avait tout vu le bousculait et l'insultait, bien sur, je me levais et protégeait Maude en la prenant dans mes bras.
La sécurité intervint et le sale individu fut viré sur le champs.
Le patron du pub vint s'excuser et nous payait un verre pour s'excuser.
Maude -tu vois pourquoi je ne voulais pas danser.
Jean-mi -ne fais pas d'un con une généralité, il était ivre mort et s'est cru tout permis.
Moi -excuse-moi de t'avoir forcé ma Chérie, je ne pensais pas que de nos jours, il y avait encore des goujats qui ne savent pas se tenir.
Maude -je vais prendre un peu l'air dehors, j'en ai besoin.
Jean-mi -je t'accompagne, tu permets Olivier.
Moi -si ce n'est pas toi, c'est moi qui y vais.
Maude -restes au chaud mon Amour, je prend l'air 5 minutes et je reviens.
Bien joué ma Chérie, je n'avais plus qu'a attendre qu'elle revienne.
En guise de 5 minutes, cela durât 20 bonnes minutes.
Maude -je me sens mieux.
Jean-mi -une vodka et ce sera parfait.
Maude -oui volontiers.
Bien sur vers minuit, le série de slows où Maude et Jean-mi se mirent au fond de la piste puis vers une heure, retour au bercail.
Dans la voiture.
Maude -j'ai plein de choses à te raconter, mais ce sera à la maison dans notre canapé.
Moi -j'ai hâte de savoir Amour.
Maude -cela va te plaire, j'en suis certaine mais promets-moi une chose, je veux que tu me fasses l'amour après.
Moi -tout dépend de ce que tu vas me dire.
Maude -tu vas bander pour moi.
On s'installait dans le canapé mais Maude me réclamait une vodka bien fraiche avant, j'en profitais pour me servir un sky en même temps.
Moi -raconte-moi.
Maude -met-toi à l'aise avant.
Moi -oui mais toi aussi.
Maude -je ne peux pas pour le moment.
Moi -je peux te poser une question avant.
Maude -bien sur mon Chéri.
Moi -ce matin en cherchant ce que je t'ai acheté, j'ai vu des strings pour hommes tout en dentelle, j'ai voulu en acheter un, mais je voulais te poser la question si tu aimerais ?
Maude -faudrait que tu en essayes un que je puisse juger, mais je pense que je devrai kiffer ce genre de choses pourquoi n'essayes-tu pas un des miens, j'en ai qui sont peut être assez grand du temps où j'étais un peu plus enrobée, je vais t'en chercher un et tu essayes.
J'obéis et Maude me fit tourner dans tout le sens.
Maude -je kiffe grave, je veux que tu en achète mais interdit de sortir avec, ce sera réservé pour moi, et là, tu restes avec le temps que je te raconte ma sortie nocturne.
Moi -oui Amour.
Maude -tu peux m'appeler comme ça, je vais te faire bander.
Moi -j'espère bien.
Maude -une fois dehors.
Jean-mi -tu te sens mieux ?
Maude -oui, l'air frais me fait du bien, j'ai été choqué quand même.
Jean-mi -tu veux qu'on marche un peu.
Maude -j'ai dit à Olivier dans 5 minutes.
Jean-mi -il sait que tu es avec moi, n'aies crainte.
Maude -marchons un peu alors.
(Je vous précise quand même que le pub était dans un zone d'activité et que peu de monde circulait à cette heure là).
Moi -intéressant ce début.
Maude -oui mais.
Jean-mi -maintenant que l'on est tout les 2 et que personne ne traine par là à cette heure, je voudrais bien vérifier si tu as réellement mis ce string léopard auquel j'ai pensé toute la semaine.
Maude -va voir par toi-même, tu as juste le zip à descendre.
Moi -hum.
Maude -tu bandes déjà mon Amour, hum j'adore..
Moi -oui, j'adore t'entendre raconter ça.
Maude -il descendit le zip, mais en voyant mes seins, il s'arrêtait et restait ébahi devant,.
Jean-mi -waouh, je les adore.
Maude -ce n'est pas ce que tu dois vérifier il me semble.
Jean-mi -laisse-moi encore les regarder.
Maude -tu peux faire les deux à la fois.
Il continuait à descendre le zip jusqu'en bas.
Jean-mi -je ne le vois pas assez, enlèves le haut que je puisse voir le derrière aussi.
Sophie se levait et me montrait comment elle avait fait.
J'avoue qu'en la voyant ainsi, j'eus une très grosse envie d'elle.
Maude -donc tu vois, j'étais à moitié nue.
Maude -maintenant, tu me crois.
Jean-mi -je dois l'avouer, tu as tenu ta promesse.
Maude -j'attrapais ma combinaison qui était à mes pieds pour la remonter mais arrivé à hauteur de la ceinture, il prit mes seins à pleines mains, j'hésitais à les enlever mais comme je voulais que tu sois fier de moi, je l'ai laissé faire, il les a caressé, titiller, mes tétons étaient tout dures pour lui, j'aimais ça et je t'avoues qu'à ce moment là, je ne pensais pas du tout à toi, je savourais ses caresses.
Moi -tu vois, tu as aimé et moi j'aime beaucoup, tu me mets un feu pas possible.
Maude -tant mieux et il m'a demandé quelque chose.
Moi -dis-moi.
Jean-mi -je peux les lécher et jouer avec ma langue sur tes tétons.
Maude -là, j'ai pensé à toi très fort.
Moi -pourquoi ?
Maude -je me demandais si je devais le laisser faire ce soir si je n'allais pas trop vite par apport à ce que tu m'avais dis.
Moi -tu as fait quoi ?
Maude -j'ai attrapé sa tête et l'ai mise entre mes seins, il me les a bouffé à la perfection, j'ai beaucoup aimé.
Moi -aussi bien que moi.
Maude -tu es jaloux toi, mais dis-toi que ce n'est pas pareil, toi tout ce que tu me fais, je le ressens avec amour, lui ce n'était que du sexe, donc je me rhabillais quand une question m'arrivait non pas une mais 2.
Jean-mi -la prochaine fois, je veux ta chatte.
Maude -oui, on verra chaque chose en son temps.
Jean-mi -et dis-moi, je pourrai avoir ta langue, j'aimerai te rouler une pelle.
Maude -j'ai franchement hésité avant de répondre, je pensais à toi, à ta réaction après, je ne savais que faire.
Moi -et ?
Maude -j'ai refusé prétextant qu'il fallait aimer pour embrasser un homme, et que ce n'était pas le cas.
Moi -super Chérie, contente d'avoir franchie un nouveau pas avec lui ?
Maude -oui, mais tu ne m'en veux pas, j'ai peur des reproches, je n'ai jamais fait ça tant que j'avais quelqu'un dans ma vie.
Moi -non, j'aime ce que tu fais car tu ne prend aucune décision au hasard, tu réfléchis avant même si c n'est que quelques secondes, je t'aime Maude.
Maude -merci Amour, maintenant, refais-sur moi les gestes qu'il m'a fait, cela m'excite beaucoup de refaire avec toi ce que lui m'a fait.
Moi -viens mon Amour.
Je refis exactement ce qu'elle m'avait raconter et je trouvais une chatte trempée même inondée.
Moi -tu étais trempée comme ça tout à l'heure.
Maude hésitait.
Moi -allez dis.
Maude -encore plus Chérie, tu ne m'en veux pas.
Moi pas du tout, au contraire, cela va me forcer à trouver de nouveaux gestes, de nouvelles paroles pour que tu mouilles encore plus pour moi.
Maude -alors si tu veux ça, c'est simple, parle-moi de lui, dis-moi ce que tu veux que lui donne la prochaine fois, j'ai besoin de ça pour me donner à fond pour toi.
Je l'emmenais dans la chambre et je lui fis l'amour en parlant de Jean-mi, elle orgasmait et je le forçais à le faire pour lui.
Ensuite, elle me suçait et me fis éjaculer sur ses seins, je lui demandais bien sur de me parler de Jean-mi en éjaculant.
Maude -c'est merveilleux de vivre ces moments de bonheur avec toi, que vais-je lui donner la prochaine fois.
Moi -tu ne m'as rien dis quand tu as dansé avec lui.
Maude -je l'ai fait exprès, j'espère te faire bander encore pour que tu me prennes une 2eme fois.
Moi -alors, laisse-moi aller boire un verre d'eau, le whisky me dessèche la gorge.
Je me levais, bus une verre d'eau et quand je revins au lit, Maude jouait avec ses seins.
Maude -regardes, ils sont encore tout dures pour toi.
Moi -continues à ta caresser, j'aime ça et parles en même temps.
Maude -je vais le faire mais regardes-moi, je veux que tu vois comment je joue bien avec mes seins et mon clito.
Moi -hum, hum.
Maude -quand il m'as entrainé sur la piste de danse, il m'a dit, viens on vas au fond, comme ça Olivier ne nous voit pas.
Moi -salopard et toi tu as accepté.
Maude -oui pour te rendre jaloux, et là, il m'as pris dans ses bras et il m'a collé comme jamais.
Moi -très excitant.
Maude -oui, ma chatte est encore inondée rien que d'y penser.
Moi -ensuite.
Maude -ses mains se sont baladés sur mes fesses tout le temps des slows, il a même caresser mes seins tantôt avec la main droite, tantôt avec la main gauche, je lui ai murmuré à l'oreille, je retournerai bien dehors pour que tu me les bouffes encore.
Moi -pourquoi tu ne l'as pas fais ?
Maude -toujours pareil, peur de ta réaction.
Moi -va falloir que tu apprennes à surmonter cela et vite.
Maude -je vais encore décoller Amour, parles-moi fais-moi donner, non, fais-moi donner pour Jean-mi stp.
Moi -vas-y, pense à lui, orgasmes pour ton amant.
Maude -oui, c'est mon amant, j'aime que ce soit toi qui le dise, hum, je pars.
Elle orgasmait en me demandant de encore l'inviter à diner, me disant aussi j'en veux plus avec lui.
Moi -ben dis-donc, tu donnes bien ce soir.
Maude -doigtes-moi, fais-moi jouir, j'ai encore quelque chose à te dire.
Moi -ah bon !
Maude -oui, ce que je lui ai refusé dehors, je lui ai donné en dansant, car il a écarté sa tête de sur mon épaule et m'a regardé dans les yeux, je lui ai tendu ma langue et on s'est roulé une pelle pendant au moins 3 minutes.
Moi -branles-moi, parles-moi encore.
Maude -non, je veux que tu te branle devant moi, je veux que tu me dise que tu aimes me voir comme ça, je veux t'entendre dire des choses qui me pousse vers lui.
Moi -oui, je veux que tu continue, je veux que tu lui donnes tes seins à bouffer.
Maude -oui, je vais encore lui donner, même ma chatte surement, je suis sur qu'il doit aimer bouffer les clitos, le mien sera énorme pour lui,.
Moi -oh oui.
Maude -et il me baisera quand tu ne seras pas là mais avec ton accord.
Moi -même sans mon accord du moment que tu me dis tout.
Maude -non, tu ne saura pas quand il viendra, tu ne le saura qu'après.
J'éjaculais pour la 2eme fois ce soir.
Maude -tu me fais découvrir une facette de l'amour que je ne connaissais pas et je t'avoues aimer cela.
Moi -j'espère bien, après tout ça tu m'aimes comment ?
Maude -encore plus qu'avant et une dernière chose quand il me collait, il bandait, et à mon avis, il a l'air bien pourvu.
Moi -tu veux conclure, ou tu veux encore une soirée et lui donner un peu plus encore.
Maude -encore une soirée pour qu'il découvre ma chatte et la fois d'après, il me baisera si tu veux bien.
Moi -oui, parfait, et tu as aussi Yann, n'oublies pas.
Maude -je vais attaquer avec lui samedi soir quand tu m'emmèneras diner là-bas.
A SUIVRE.

UN GRAND MERCI POUR TOUS CES ÉPISODES !!!

et y en a encore, j'en ai 8 ou 9 d'avance je vais vous combler.

Super ! Mais, je crois que c'est surtout Sophie et Maud qui vont se faire "combler" ! ; -)

Le lendemain matin, Maude me parlait au réveil.
Maude -avec Yann, je veux que l'on fasse autrement.
Moi -explique-toi.
Maude -Après le diner, je lui dirai que je vais au pub mais seule, je veux que tu regarde de loin sans intervenir, si juste pour payer ce que je consommerais, et c'est lui qui me raccompagneras à la maison.
Moi -te sens-tu capable de faire ça.
Maude -oui, sinon, je viendrai vers toi, c'est tout.
Moi -les règles, c'est de donner petit à petit, on est bien d'accord mon Amour.
Maude -c'est bien ce que je compte faire et encore merci pour ce merveilleux câlin cette nuit.
Moi -quel doux et bon moment.
Maude -j'en veux plein d'autres comme ça, sinon, j'irai voir ailleurs.
Moi -oui promis.
Maude - la menace te fais peur avoues-le.
Moi -non, je ne veux pas te perdre c'est tout, je sais que le jeu est dangereux et tu peux tomber amoureuse à n'importe quel moment.
Maud -aucun danger.
Moi -je le sais par expérience, Sophie disait pareil que toi et pourtant, elle est partie un jour.
Maude -je ne m'appelle pas Sophie.
Je l'embrassais et partais travailler, le soir, je rejoignais Sophie qi était vêtue d'ne petite robe légère.
Moi hello, comment ça va ?
Sophie -mal, mais alors très mal.
Moi -que se passe t-il ?
Sophie -Laurent m'a dit qu'il ne reviendrai plus*.
Moi -et pourquoi ?
Sophie -il ne le sait pas lui-même.
Moi -quel con ce type, tu es belle à souhait, tu vas en retrouver un autre.
Sophie -je n'ai pas envie de ça, c'est toi que je voudrais tout les jours pour te faire souffrir et te rendre jaloux.
Moi -je n'ai que 2 jours à te consacrer que j'ai réussi à négocier tant bien que mal.
Moi -tes amis viennent vers quelle heure.
Sophie -19h30.
Moi -tu n'as pas l'air motivé .
Sophie -non, pas vraiment.
Moi -je n'ai reçu aucune vidéo de ton après-midi avec Martine.
Sophie -je n'en ai pas faite mais il n'y a pas eu que l'après-midi, il y a eu aussi la nit.
Moi -tu me raconte.
Sophie -on est simplement sortis pour ramener une petite jeune à la maison et on a abuser d'elle, avec Martine.
Moi -cela a du être chaud quand même.
Sophie -oui, deux chattes rien que pour moi, j'ai apprécié.
Moi -tu restes habillée comme tu es ?
Sophie -ce n'est pas assez sexy, pourtant on voit mes dessous au travers de la robe.
Moi -oui, ils sont mauves.
Sophie -tu as déjà mater.
Moi -oui, dès que je suis rentré.
Sophie -j'aime quand tu es comme ça, mateur intéressé.
Moi -tu peux rester comme ça alors si cela te convient.
J'entendis une voiture se garer dans l'allée, c'était eux, Barbara et Paul d'après ce que Sophie m'avais dit.
J'ouvrais la porte, me présentait à eux étant le mari de Sophie.
Je fis la bise à Barbara et serrait la main de Paul.
Les femmes tombaient dans les bras l'une de l'autre.
Barbara -ça fait combien de temps, je ne t'aurai pas reconnu si je t'avais croisé dans la rue.
Sophie -une quinzaine d'année.
Barbara était une brune assez grande, elle portait un robe légère mais pas transparente comme celle de Sophie, elle avait de tout petit seins et rien que ça faisait qu'elle ne m'attirait pas.
Paul était plus âgé qu'elle, cela se voyait, ils avaient au moins 10 ans de plus que Barbara.
Moi -je vous sers un apéro, Barbara que veux tu ? Sophie boit du champagne.
Barbara -parfait, j'aime les bulles aussi.
Moi -Paul, tu veux un apéro plus costaud ?
Pal -oui, si tu as du whisky, je préfère.
Moi -moi aussi, j'en ai un très bon, tu me diras.
Les femmes vinrent trinquer avec nous et continuèrent à papoter ensemble, la soirée allait être longue pour moi.
Paul, dès que Sophie se levait, ne la quittait pas des yeux, elle devait lui plaire, je le dirai à Sophie plus tard.
Après une heure passé avec eux, je m'aperçus que Paul était le toutou de Barbara, il acceptait tout ce qu'elle disait et ne levait jamais la voix.
Sophie -je vous laisse ne dizaine de minutes, le temps de surveiller notre bourguignon et de mettre à chauffer de l'eau.
Barbara -je vais avec toi, les hommes avec leur sport ne m'intéresse pas.
Dans la cuisine.
Barbara -tu sais que ta robe est transparente et que l'on voit tout au travers.
Sophie -oui, mais je m'en fous, je suis bien dedans et puis dis-moi, de mémoire, après les entrainements de volley, sous la douche, tu ne te gênais pas pour mater.
Barbara -tu as raison, je regrette ce temps là, on était toutes un peu folle dans nos têtes.
Sophie -et les plus audacieuses dans leurs chattes
Barbara -pourquoi tu dis ça ?
Sophie -parce que un jour, j'ai surpris 2 filles qui s'embrassaient et se caressait sous la douche, elle pensaient être seules.
Barbara -mais non.
Sophie -je ne me rappelle plus de leurs non, je me rappelle seulement qu'une des 2 était la plus grande de notre équipe.
Barbara -Catherine que l'on appelait tous Cathy.
Sophie -c'est ça.
Barbara -et l'autre, tu ne t'en souviens pas ?
Sophie -pas vraiment, je crois me rappeler que c'était sa 1ere année avec nous, mais je n'en suis pas certaine.
Barbara -dans ces cas là, ce ne peut être que Bérangère,
Sophie -tu as une mémoire des noms, incroyable.
Barbara -oui, je regrette mon passé, je regrette aussi de ne pas avoir assumer mon attirance vers les filles à l'époque.
Sophie -on était toute comme ça à l'époque, moi c'était Christine, notre pivot qui m'attirait.
Barbara -moi, et puis non, cela ne sert à rien de remuer le passé.
Sophie -y'a prescription, on avait 15,16 ans, ça ne compte plus, allez dis-moi.
Barbara -non, on s'en fous, ce qui compte c'est de s'être retrouvées ce soir viens on va boire une coupe.
de retour au salon.
Barbara -bois pas trop, tu conduis pour rentrer.
Elle lui avait dis ça d'un ton agressif.
Moi -c'est le 2eme et ce sont des petits.
Elle se tut vu ma réponse.
Sophie -tu nous serres Olivier stp.
Moi -oui, alors ces retrouvailles ?
Barbara -on a plein de chose à se dire, tu te doute bien.
Sophie -oui, retournons dans la cuisine avec nos coupes.
Barbara -oui, comme ça, on peux papoter.
Je me remis à parler foot avec Paul.
Barbara -on es mieux ici, on peux parler plus tranquillement et je te confirme, ta robe est vraiment transparente.
Sophie -comme ça, tu as maté mes fesses et je ne te laisserai pas partir tant que tu ne m'auras pas dis sur qui tu avais des vues à l'époque.
Barbara -laisses tomber Sophie, ce n'est pas important.
Sophie -moi, je me confie et toi tu ne dis rien, c'est illogique.
Barbara -ok, mon coup de cœur, c'était toi, tu avais déjà de très beaux que j'enviais, d'ailleurs, tu vois, les miens n'ont guère grossis.
Sophie -franchement, je m'en doutais à l'époque, il y a des regards qui ne trompent pas et aujourd'hui, toujours le même coup de cœur ou tu as rangé tes envies dans un coin de ta tête.
Barbara -je n'ai jamais fais l'amour avec une femme, maintenant, je suis mariée et cela ne me préoccupe plus et toi ?
Sophie -si une fois (quelle menteuse), mais tu ne répond pas à ma question.
Barbara -oui, toujours, tu m'attire toujours autant.
Barbara -y'a longtemps ?
Sophie -5 ou 6 ans avec une collègue de bureau (elle pensait à Martine), plus âgée que moi mais très expérimentée.
Barbara -tu as aimé ?
Sophie -oui, c'est totalement différend qu'avec un homme, on se sent plus libre.
Barbara -si on se revoit, j'aimerai bien que tu me racontes comment cela s'est passé, je pense que l'approche doit être délicat.
Sophie -j'espère bien qu'on va se revoir.
Barbara -oui et rapidement même, on s'est retrouvé, on ne se lâche plus maintenant.
Sophie -tu avais craqué sur moi, j'ai du mal à y croire et tu es toujours un peu amoureuse de moi, la vie est bizarre.
Barbara -pourquoi un peu, si je ne me retenais pas, je t embrasserais de suite.
Sophie -attends, je ferme la porte.
Barbara -pourquoi faire.
Sophie -pour que tu assouvisses ton fantasme de rouler une pelle à une femme.
Barbara -et tu vas te laisser faire.
Sophie -oui et si tu viens pas, je vais te chercher.
Barbara -viens alors.
Elles se galochèrent plusieurs fois et Sophie avait le feu tandis que Barbara s'enflammait pour elle.
Prise par ses sentiments, Barbara laissait ses mains se balader sur les seins et les fesses de Sophie.
Barbara -tu portes des strings ?
Sophie -strings, tangas, shorty mais jamais de culotte, je n'aime pas ça du tout.
Barbara -moi, je suis resté très classique.
Sophie -je vais te débaucher et t'apprendre à être désirable.
Barbara -tu crois ?
Sophie -laisse-moi essayer allez, dis-moi oui.
Barbara -d'accord mais je voudrais voir et toucher tes seins depuis le temps que j'en rêve.
Sophie -ma robe n'est pas pratique, je vais me tâcher volontairement et me changer pour toi.
Sophie fit une tâche de sauce du bourguignon.
Moi -que se passe t-il ?
Sophie -je me suis tâchée, faut que je me change et que je détache de suite.
Paul -mets du sel dessus.
Sophie -balivernes, ce remède de grand-mère.
Sophie enlevait sa robe dans la salle de bains, mit du détachant dessus, allait dans sa chambre et revêtit une robe portefeuille sans oublier d'enlever son soutif et de mettre une paire de bas auto fixant noirs
Sophie -messieurs, on dine dans un quart d'heure, Olivier, penses à ouvrir le vin stp, Barbara, tu viens m'aider.
Sophie refermait une nouvelle fois la porte, je me doutais qu'elle ne faisait pas ça par hasard.
Une fois dans la cuisine, Sophie ouvrait sa robe juste en tirant sur le ruban qui servait de ceinture et dévoilait son corps à a son amie.
Barbara -que tu es belle et désirable, j'ai envie de toi comme jamais.
Sophie -alors, abuses un peu de moi, on a pas trop de temps, mais suffisamment pour que tu joues avec mes seins.
Barbara n'osait pas, ce fut Sophie qui lui prit les mains et la forçât un peu, pas beaucoup, car dès que Barbara commençât à la toucher, ce fut Sophie qui l'arrêtait, elles n'avaient plus le temps.
Barbara -je mange à coté de toi, j'adore te voir en string et en bas, apprends-moi vite à être comme toi.
Sophie arrivait avec les plats et Barbara s'installait à coté d'elle, le 2 hommes en face.
Barbara passait tout le repas à caresser les bas de Sophie et quand les hommes décidèrent de boire un digestif dans le salon, les filles restèrent à discuter à table.
Barbara -on se voit dans la semaine, je ne bosse pas, Paul gagne très bien sa vie.
Sophie -moi non plus, j'ai plein de choses à te dire, et toi sexuellement c'est comment avec Paul ?
Barbara -plus comme avant, je suis certain qu'il a une maitresse, donc du coup, il y a 2 mois, j'ai décidé de devenir sa maitresse et il devient petit à petit, un esclave très obéissant, je prend mon pied comme ça maintenant et toi avec Olivier ?
Sophie -on est candauliste, Olivier prend son pied quand je baise avec un autre homme.
Barbara -non, ce n'est pas possible ça.
Sophie - et je suis sur qu'il aimerait que je baise avec Paul.
Barbara -tu ne vas pas faire ça, pas à ton amie.
Sophie -pourquoi pas, si ça se trouve, tu vas aimer voir ça..
Barbara -c'est nouveau pour moi, laisse-moi le temps d'y réfléchir un peu et surtout, que je lui en parle, pour ça je sais comment faire, quand il sera attaché à une chaise, je ne lui laisserai pas le choix, mais avant faut que je me dise dans ma tête que mon amie baise avec mon mari, ce n'est pas gagné, je suis classique, je te l'ai dis.
De mon coté, je discutais avec Paul mais plus de sport mais de la vie, j'appris ainsi qu'il était directeur commercial dans un grosse boite de bâtiment.
Moi -et avec Barbara ?
Paul -ce n'est plus comme c'était, elle vieillie mal, toujours faire les choses à l'ancienne, à force ca use et ça fatigue.
Moi -pas toujours facile.
Je voulais l'entrainer vers le coté sexuel de leur vie, mais il n'en avait guère envie apparemment.
Moi -explique-moi ton "à l'ancienne"
Moi -depuis 10 ans, c'est toujours la même rengaine, métro, boulot, dodo, ce soir pour qu'elle sorte, c'est un miracle, seules les 2 premières années de notre mariage fut une réussite, elle était gaie tout le temps, alors que maintenant, elle fait la gueule sans arrêt, je n'ai plus droit de rien faire, même pas aller voir un match avec des potes.
Moi -ah oui quand même, ce ne doit pas être rose tout les jours et sexuellement, je présume que tu dois te faire chier.
Paul -évidemment, toujours habillé pareil, pas de frou frou, pas de robe moulante, je t'en passe et de meilleures, voila, tu vois ma vie n'st pas gaie et toi ?
Moi -tout l'inverse de toi, Sophie aime le sexe et on ne s'en prive pas.
Paul -chanceux.
Moi -oui, je l'avoue, elle est belle ma Sophie -
Paul -oui, ravissante, pleine de charme et tout le temps à sourire, cela va peut être nous aider dans notre couple si les femmes entretiennent une relation d'amitié.
Moi -je te le souhaite, tu verras que Sophie est pleine de surprises.
Paul -je croise les doigts pour qu'elle se revoient.
A SUIVRE.

Barbara et Paul nous laissèrent vers minuit et demi.
Paul -la prochaine fois, c'est vous qui venez à la maison.
Sophie -avec plaisir, mais on va se voir avec Barbara cette semaine.
Paul -très bien, cela va lui changer les idées.
Barbara -parles mieux, ne fais pas croire à nos amies que je m'ennuie à la maison.
Paul -j'ai pas dis ça pour ça, mais simplement que cela va te sortir un peu de tes 4 murs.
Ils partirent.
Sophie -drôle de couple, lui ne pense qu'à bosser, et elle ne fait rien de ses journées.
Moi oui, il m'a touché 2 mots sur sa vie au moment du digestif, elle vit comme une vieilles, débrides-la un peu.
Sophie -c'est ce que je compte faire, je vais la métamorphosé ni plus, ni moins.
Moi -tu me diras tout, j'espère.
Sophie -je verrai suivant ta gentillesse.
Moi -en ce moment, tu n'as pas à te plaindre, bon, allez au lit, demain je bosse.
Dans le lit, Sophie m'expliquait ce qui s'était passé dans la cuisine, cela finit par un gros câlin.
Quand le réveil sonnait, j'avais l'impression que je venais de me coucher, la journée allait être longue.
Elle le fut longue, je vous l'assure, d'ailleurs, je quittais le boulot à 16 heures prétextant un rdv chez le dentiste.
En arrivant chez Maude, personne, cela était bizarre car elle ne sortait pratiquement pas, sauf pour le boulot.
Je l'appelais, direct répondeur, du coup, je m'allongeais dans le canapé et m'endormais à une vitesse fulgurante.
Je me réveillais à 19h30, toujours pas de Maude, je m'inquiétais un peu quand même, je la rappelais, toujours répondeur.
Mon portable sonnait vers 20h15.
Maude Chérie, c'est mio, ne t'inquiète pas, rien de grave, j'ai du partir en urgences chez Pauline, son mari a fait une crise cardiaque, il est en la vie et la mort, je ne rentrerai que demain soir.
Moi -pourquoi, tu ne m'as pas laisser un message avant.
Maude -ca capte pas ici, c'est le trou du cul du monde.
Moi -ton ex mari est là aussi ?
Maude -bien sur mais n'aies crainte, on ne couchera pas ensemble si c'est à ça que tu penses.
Moi -oui, un peu, je ne veux pas te perdre, et doucement avec Pauline.
Maude -je crois qu'elle à autres choses à penser que de se faire défoncer par son ex belle fille.
Moi -bon, je grignote et je vais au lit, tu me rappelle quand ?
Maude -demain matin de bonne heure.
Moi -à demain, je t'aime.
Maude-à demain, je t'aime aussi.
La nuit fut bonne, je me levais à 7heures et Maude m'appelait à 7h30
Maude -il est mort cette nuit, mon ex mari remonte à Paris, il a un rdv urgent pour son boulot, du coup, je vais rester pour aider Pauline dans les démarches pour les obsèques.
Moi -donc, tu ne rentreras pas avant vendredi ou samedi.
Maude -je serai là vendredi dans la soirée.
Moi -et repartiras pour les obsèques ?
Maude -non, je reste avec toi tout le week-end, plusieurs choses m'attendent et je suis impatiente de les vivre.
Moi -ok, bisous, on s'appelle ce soir ?
Maude -oui, même heure qu'hier au soir.
Cela me laissait 2 jours de libres, j'appelais Sophie pour lui dire.
Sophie -parfait, je t 'attend ce soir pour diner.
Moi -parfait vers 20h30.
Vers 15 heures, un texto de Maude -quelle cochonne cette Pauline, elle m'a demandé de la consoler, je l'ai défoncer à coup de gode et de coups de vravache sans oublier le fisting.
Moi -tu me mets le feu et tu n'es pas là pour l'éteindre.
Maude -tu payes rien pour attendre, on sort vendredi soir, préviens Jean-mi, je veux le voir.
Moi -tu préfères le voir lui plutôt que moi.
Maude -oui, et ça te plait, je le sais, tu vas encore morfler vendredi et en plus samedi.
Moi -ok Amour, à ce soir au téléphone, j'ai du boulot là.
Maude -je t'aime.
Je me remis au boulot, pensif, Maude m'avais allumé avec sa Pauline.
J'attendais le coup de fil de Maude avant d'aller voir Sophie.
Ce lui-ci arrivait à 20h10, cela m'arrangeait.
Maude -ça va mon Amour, tu as fait ce que je t'ai demandé.
Moi -oui, même s'il n'aime pas y aller le vendredi, il viendra.
Maude -génial, vivement vendredi.
Moi -tu vas franchir encore un pas avec lui ?
Maude -oui, c'est sur et certain.
Puis on parlât de choses et d'autres, elle raccrochât en me disant je t'aime, à demain matin.
Je fonçais chez moi rejoindre Sophie.
Sophie avait mis une robe blanche très courte et des dessous noir tanga, porte jarretelle et bas sans soutif.
Moi -tu es bien belle dis-moi, tu as vu du monde ou quoi ?
Sophie -oui, Barbara est venue cet après-midi.
Moi -et alors.
Sophie j'ai commencé son éducation.
Moi -hum et par quoi ?
Sophie -par le passage obligé si tu veux plaire, c'est à dire la lingerie.
Moi -tu as fait comment alors.
Sophie -déjà, je l'ai reçu juste vêtue d'un string, de bas couture, d'un porte jarretelle et d'un soutif, j'avais mis l'ensemble rouge et noir que tu aimes beaucoup.
Moi -et voila, je dois encore partager ce que j'aime te voir porter.
Sophie -tu n'as rien à dire, tu dois subir, c'est tout, et quand elle est arrivée, elle a ouvert les yeux en grands.
Barbara -waouh, c'est magnifique ce que tu portes, j'adore.
Sophie -c'est aussi ce que bientôt tu porteras, arrêtes avec tes collants et tes culottes de grand-mère.
Barbara -je pourrai jamais.
Sophie -bien sur que si, imagines-toi habillée ainsi pour faire morfler ton mari.
Barbara -c'est vrai que c'est plus excitant, on fait comment alors ?
Sophie -je passe une robe et on fais les magasins, le programme te plait.
Barbara -c 'est parti.
Moi -et alors, elle a acheté quoi ?
Sophie -tout ce que je lui ai recommandé, bas auto fixant, bas nylon, strings, tangas soutif, c'est vrai qu'elle a des seins minuscules porte jarretelle et 3 robes sexy, elle s'en est sorti pour pas loin de 400 euros.
Moi -ah quand même.
Sophie -ensuite, essayage à ma maison, elle a adoré, elle s'est sentie revivre.
Barbara -ce soir, j'en connais un qui va morfler.
Sophie -normalement oui, ou alors c'est que vraiment il ne t'aime plus, t le diras ça vendredi.
Barbara -promis, déjà, je vais repartir habillée ainsi, il sera surpris ce soir et je lui expliquerais que c'est grâce à toi.
Sophie -hum, mais dis-moi, tu n'as même pas eu un geste envers moi, je ne te plais plus.
Barbara -je n'ai pas osé, je suis timide mais j'en ai envie et cela m'a excité que tu me vois toute nue dans les cabines d'essayage.
Sophie -hum, faut aussi que tu prennes rdv pour faire épiler ta chatte, c'est beaucoup mieux, tu verras.
Barbara -j'irai demain comme ça, tu verras le résultat vendredi.
Moi -elle t'a gouiner quand même.
Sophie -non, elle m'a dit vendredi quand elle sera prête.
Moi dommage pour toi, tu te serais laisser faire comme tu es là.
Sophie -oui et j'ai déjà dans l'idée de la partouser avec Martine.
Moi -superbe idée ça, crois-tu qu'elle va aimer.
Sophie -j'espère, au fait, Jacques m'a appelé, il voulait venir demain soir, je lui ai dis que ce n'était pas possible, donc, tu restes là et je vais diner seule avec lui, je veux que tu ressente de la jalousie, mais il n'aura que des miettes, je te raconte en rentrant et tu me fais l'amour.
Moi -d'accord, mais ne rentres pas à minuit, je dormirai surement.
Sophie -il est déjà 21 heures, je vais essayer de faire vite, allez, je pars.
Sophie rentrât vers 23h30, je commençais à m'endormir, mais elle m'a fait un petit streap tease pour enlever sa robe, je bandais déjà.
Moi -toi, tu as le feu, il a du t'allumer ce soir.
Sophie -oui, il voulait que j'aille chez lui., mais comme je veux que ça aille lentement, j'ai dis non, pas ce soir.
Moi -dis-moi, tu as eu droit à quoi ?
Sophie -caresses sur mes bas, main dans le dos et sur mes fesses quand on est sorti du restaurant, il m'a aussi roulé une galoche et je lui ai caressé sa queue au travers de son pantalon au moment ou il m'a embrassé, avant de rentrer chez lui.
Moi -j'aimerai bien vous voir quand vous allez baiser ensemble.
Sophie -oui, je veux ça aussi, je veux te voir me mater quand il va me prendre, fais-moi orgasmer, j'ai la chatte en feu depuis cet après-midi, je vais décoller vite, après, je veux te voir te branler pour moi.
En effet, elle décollait assez vite et me parlait de Ludo, elle le voulait en elle demain soir.
Je me branlais aussi en parlant de Ludo et de sa grosse queue, j'éjaculais sur ses seins et son visage, elle avalait tout ce qu'elle put.
Sophie -allez dors vite, demain soir, une soirée chaude nous attend?
Moi -très chaude même.
A SUIVRE.

Une nouvelle fois, merci Fifou pour tous ces nouveaux épisodes !!!

Vivement que tu nous racontes le lendemain soir alors...

Le lendemain, Maude m'annonçais que Pauline se faisait prendre 2 fois par jour par ses soins, mais qu'hier au soir, elle s'était refusé à elle?
Maude -je l'ai forcé, et plus elle refusait plus je la cognais, après coup, elle m'a dit qu'elle n'avait jamais pris autant de plaisir.
Moi -tu devrais l'inviter quelques jours chez toi après l'enterrement, cela lui fera du bien.
Maude -et je l'installe où ?
Moi -chez toi, j'irai dormir chez moi.
Maude -jamais, je te veux avec moi au quotidien.
Moi -comme tu veux.
La journée passait vite pour une fois et à 18 heures, j'étais chez moi.
Sophie -pour Ludo, tu rentres de bonne heure, quand c'est pour moi, tu traines.
Moi -non, mais j'ai bien bossé et j'ai décidé de rentrer.
Sophie -j'ai envie de le recevoir juste avec mes dessous sur moi.
Moi -oui, il connait ton corps, tu n'as rien à lui cacher qu'il ne connaisse déjà.
Sophie -et toi dans le string rose en dentelle, je l'ai sorti, il est sur le lit.
Moi -oui, il me connait aussi, il vient vers 19 heures et on se fait pas chier, j'irai chercher des kebabs.
Sophie -non, on inverse les rôles, j'irai moi dans l'espoir de vos surprendre à mon retour.
Moi pourquoi pas.
Finalement, il arrivât avec un bon quart d'heure d'avance.
C 'est moi qui lui ouvrit la porte et il me fit la bise avant de rouler une pelle à Sophie?
Ludo -tu dois tout partager avec moi Olivier et vu votre tenue, je vais aussi me mettre à l'aise, Olivier, viens me déshabiller devant ta femme.
Je lui enlevais ses baskets, son jogging et son polo, il sentait bon, cela me donnait envie.
Il avais mis un string ficelle, mais celui-ci étant tellement petit devant, que sa bite dès qu'il banderait dépasserait ce petit bout de tissu doré.
Je servais l'apéro, Ludo préférait boire une bière, que j'allais lui chercher au frigo.
Ludo -alors, cette virée dans nos bois vous a t-elle plu ?
Moi -super, c'était super.
Sophie -oh que oui, en plus avec vos grosses queues, j'ai bien morflé et après tout ce foutre sur mon corps, j'ai adoré.
Ludo -faudra revenir, on peut de nouveau vous faire un jeu de piste si vous avez aimé.
Sophie -moi en tout cas, je veux y retourner.
Moi -je le veux aussi.
J'avais cette impression bizarre que je ne pouvais rien lui refuser, je me sentais comme un esclave, je n'étais pas gay, mais ce Ludo me plaisait.
Il devait le ressentir, il demandait à Sophie de venir s'assoir à coté de lui.
Ludo -toi, tu ne bouges pas, tu restes où tu es.
Il tendait sa langue et Sophie vint la chercher.
Ludo -caresses-moi, je veux bander pour vous 2.
Sophie ne se gênait pas, en moins de deux, il bandait, je matais sa grosse queue que Sophie suçait maintenant, lui de sa main gauche lui caressait les fesses et descendait vers son cul.
Puis il se levât, se queue dressé semblait bien dure, je ne bougeais pas, ne disais rien, j'attendais ses ordres.
Sophie se levais à sa demande, il passait derrière elle, enlevait son soutif et chopait ses seins dont il tordit directement les tétons.
Ludo -tu aimes ça voir te femme se faire baiser.
Mi -oui, j'adore ça.
Ludo -ben, tu vas rien voir, dans ma poche de jogging, il y a un bandeau, mets-le sur tes yeux, tu vas juste entendre ce que je fais à ta salope de femme.
Sophie -oui, punis-le, de toute façon, il ne me mérite pas, baises-moi Ludo.
Ludo -oui, n'aies crainte, tu vas y avoir droit à ma queue, installes ton mari dans le canapé qu'il nous entende sans nous voir, tu aime ça petit pédé.
Moi -oui, cela m'excite beaucoup.
Ludo -enlèves ton string qu'on voit ta bite avec Sophie.
J'obéis, j'étais à sa merci.
Sophie commençait à gémir.
Ludo -on va jouer à un petit jeu, si tu devines ce que je lui fais, tu auras le droit de bouffer une partie du corp de Sophie..
Sophie -je ne veux pas qu'il me touche quand je suis avec un autre homme.
Ludo -dans ces cas-la, tu me suceras, je sais que tu en meurs d'envie par contre, si tu te trompe pus de 3 fois, tu verras ce qu'il t'arrivera.
Je devais m'appliquer, sa queue en récompense, hum.
Bien entendu, au bout de 4 questions, j'avais perdu et quand il m'enlevait le bandeau, il était en train de pénétrer Sophie de dos qui s'était empaler sur sa queue.
Ludo -mates ta femme se faire baiser.
Sophie -oui, Ludo, accélères la cadence, je veux te sentir en moi.
Ludo lui obéis, il la prit par les hanches pour que sa queue entre encore plus profondément.
Sophie changeait de positon et s'empalait sur sa bite face à lui.
Ils se roulaient des pelles, il lui tortillait les tétons et elle se donnait entièrement à lui.
Ludo -mets toi à 4 pattes et lèches mes couilles pendant que je la pénètre.
Je les léchait, les englobait dans ma bouche et je léchais le cul de Sophie en même temps.
Sophie -Ludo, j'adore ta manière de maltraiter Olivier, ça m'excite au plus haut point.
Ludo -oui, j'aime bien les maris dociles.
Sophie -alors, continues
Ludo était très résistant, car ensuite, il la prit en levrette, Sophie avait les mains sur l'accoudoir du canapé.
Ludo -je sens que je vais venir, hum.
Sophie -éjacule sur Olivier, comme dans les bois, il a aimé ça, tu sais.
Ludo -oui, je sais d'où mon texto quelques minutes plus tard, mets-toi à genoux que je te débarbouilles de mon sperm.
Je fis ce qu'il me dit et je reçus son foutre abondant pleine figure
Sophie -lèches le spem de mon amant, dépêches-toi.
Moi -viens m'aider.
Sophie ne se fit pas prier et me léchait la figure, nos langues se mélangeant.
Ludo -parfait, vous êtes le couple idéal pour moi, la seule chose, c'est qu'Olivier à mon gout ne morfle pas assez, je vais y repenser, je voudrais tant qu'il donne plus, il n'est que passif, ce n'est pas assez.
Sophie -et sa punition pour s'être trompé tout à l'heure.
Ludo -il ne paye rien pour attendre, la prochaine fois, il y aura droit.
Sophie -dis-moi ce que tu vas lui faire au creux de l'oreille que je me prépare à vivre cela.
Ludo lui murmurait à l'oreille.
Sophie -hum, oui très bonne idée.
Ludo partait après avoir bu un autre bière.
Sophie très bonne soirée, on n'a même pas mangé du coup.
Moi -oui, et j'ai une petite faim, je te l'avoue.
Sophie -moi aussi.
Je m'endormait très vite, Sophie aussi.
Le lendemain matin.
Sophie -tu n'as même pas joui hier soir.
Moi -non, j'ai pris mon pied autrement.
Sophie -tu as aimé le sucer, c'est ça.
Moi -sa queue me fascine.
Sophie -ramènes-moi au bois et isoles-toi avec lui.
Moi -non, ce n'est pas possible, comme hier soir, cela me plait car tu es avec moi et j'aime quand tu te refuse à moi parce qu'il y a ton amant.
Sophie -tu veux que je te dise, j'aimerai bien qu'il vive ici avec moi, que tu te languisses de venir pour avoir sa grosse queue.
Moi -ça, c'est une bonne idée, veux tu que je lui en parle.
Sophie -oui et dès aujourd'hui par texto que tu me transféreras.
Moi -ok, bon allez, douche et au boulot, la der de la semaine.
A SUIVRE.

J'aime vraiment bien cette saga, mais perso je suis assez moyennement client de la tournure gay que c'est en train de prendre pour Olivier...
Mais c'est bien sûr à l'auteur de décider. Peut-être que cela plaît à dautres