par porn_flakes » Jeu 9 Mai 2019 22:01
d) Dernière confession
Aline avait eu deux relations avant de rencontrer Greg. Un premier petit copain, puis un deuxième, David, qu'elle avait fini par abandonner pour lui. David était plus âgé et plus expérimenté, ce qui avait toujours été dur à supporter pour celui qui était alors un lycéen ayant tout juste perdu son pucelage. Surtout, il avait sodomisé Aline pour la première fois. Elle décrivait cette expérience comme douloureuse, violente. Au début de leur relation, Greg était obnubilé à l'idée de sodomiser Aline à son tour. Malgré la bonne volonté de la belle de lui offrir ce privilège, l'expérience n'avait jamais été réellement concluante, la largeur du sexe de Greg étant en la matière un handicap. N'ayant jamais pu prendre la virginité anale de son amour de jeunesse, et n'ayant jamais pu ni la faire jouir, ni jouir lui-même par ce moyen, sa frustration vis à vis de la sodomie était restée très grande.
Seulement de temps en temps, elle consentait à accepter une pénétration anale. Jamais elle ne refusait un doigt, ni même deux ou trois. Toujours avec une vraie volontée de réussir à enfin accepter en entier le membre viril de son amoureux. A leur dernière tentative, il était enfin entré sur toute sa longueur. Elle était fière et lui avait même demandé de prendre une photo pour qu'elle puisse voir cet engin massif en elle. Mais la gêne et la douleur restaient présentes et le couple n'avait jamais pû aller au bout de l'expérience. Jusqu'à la jouissance anale. C'était il y a presque un an et ils n'avaient jamais réessayé depuis.
- Ecoute mon amour, j'ai autre chose à te dire.
- Quoi, Alexandre aussi t'a enculé ?
- Pas que lui, et c'est plus que ça.
- Comment ça pas que lui ? Comment ça plus que ça ?
- Ecoute bébé, j'aime la sodomie.
- Quoi ! Non, tu n'aimes pas ça, on a essayé plein de fois et tu as mal à chaque fois.
- Non mon chéri. J'aime ça ! J'aime même beaucoup ca. J'adore ça ! On a essayé plein de fois ensemble et j'ai eu mal a chaque fois, avec toi. Au début je le fesait pour te faire plaisir, en me disant que ce serait peut-être bien un jour. Mais depuis, je l'ai fait avec d'autres et c'est génial. Maintenant j'essaie avec toi parce que j'aime ça et parce que j'espère qu'un jour on y arrivera.
Greg était dévasté. Son excitation qui était à son paroxysme depuis le début de la conversation était redescendue d'un coup. Le sodomie était pour lui comme un point de non retour. La forme ultime de l'intimité qui lui avait toujours été refusé et qui était autorisée aux autres. A plusieurs autres, il ne savait même pas qui. L'ami de sa cousine ? Ses amis de la fac ? D'autres amants ? Des inconnus qui prennaient leurs aises avec sa petite amie comme s'il s'agissait d'une fille facile qui acceptait toujours la sodomie ?
Ces pensées torturaient Greg qui n'osait plus répondre. C'en était désormais trop pour lui. Il descendit fumer une cigarette. Une pause lui ferait du bien après une soirée si riche en émotion. Après sa cigarette, il alluma la télévision et attendit une heure avant de retourner devant son ordinateur. A cette heure avancée, les programmes érotiques fleurissaient sur les chaînes obscures de la télévision par satellite. Un reportage parlait du plaisir ressenti par certaines femmes pendant la sodomie. Il fut suivi par l'interview d'une actrice de porno qui, tout en se deshabillant et en dansant lassivement, parlait de la grande taille des acteurs.
Greg se masturba devant cette rousse incendiaire à la poitrine généreuse, comme pour évacuer définitivement l'excitation qui était monté toute la soirée. Au fur et à mesure de sa masturbation, les images d'Aline, sucant Alex lui revenait. L'actrice évoqua ensuite une scène de sodomie qu'elle avait tourné avec un acteur réputé pour son engin et son caractère dominant. Greg se surpris alors à fantasmer sur Aline se faisant sodomiser par un homme bien pourvu, un homme mieux monté que lui même. Comme dans les films dont parlait le documentaire. Il imagina des photos d'elle suçant cette bite énorme et avalant sa semence. Il éjacula avec ces pensées obscènes en tête puis remonta dans sa chambre.
Pendant son absence, les messages d'Aline s'étaient accumulés jusqu'à former un long texte :
« Voilà, tout a commencé chez Delphine. Je ne t'ai jamais raconté l'histoire, juste dit que j'avais couché avec un autre. Voilà comment ca s'est passé : on était à cette soirée, avec ses amis, loin de la maison. Je savais que si quelque chose se passait ce soir là, personne ne le saurait et comme tu m'avais trompé deux mois avant... On a bu. Il y avait du poppers, ils m'ont fait goûter. J'ai beaucoup aimé et j'en ai repris plusieurs fois. La fête avancant, les garçons me touchaient de plus en plus les fesses et me disaient que je serai facile à sodomiser si l'un d'eux couchait avec moi. L'alcool commençait à faire effet, j'étais excitée par leurs provocations, excitée à l'idée d'être enfin réceptive au sexe anal.
Tard dans la soirée, j'étais dans la salle de bain pour me rafraichir, à l'étage. Comme les toilettes du rez-de chaussé étaient occupées, un des garçon est monté. La porte de la salle de bain était ouverte. Il est rentré, a baissé son pantalon devant moi et commença à pisser devant moi comme si je n'étais pas là. Ivre, je l'ai regardé faire son affaire. Quand il a terminé, il s'est tourné vers moi, le sexe à la main. Il m'a demandé de me montrer la mienne pour être quitte. Incapable de me contrôler, j'ai à mon tour retiré mon pantalon devant lui, tiré mon string sur le côté et je me suis caressé devant lui. Il s'est approché de moi. Je mise à genou et je l'ai sucé tout en continuant de me carresser.
Je lui ai demandé s'il pensait que je serai réellement si facile à sodomiser grâce au poppers. Il m'a répondu qu'il n'y avait qu'un seul moyen de le savoir et que je devais l'attendre dans la chambre pour être sure. Il sorti de la salle de bain et couru dans l'escalier. J'ai retiré mon string et je me suis dirigée vers la chambre de ma cousine pour m'allonger sur son lit, la porte grande ouverte, les fesses nue et à la vue de tous ceux qui passeraient par là. Il est finalement revenu à l'étage avec elle.
Je les ai entendu chercher dans les tiroirs de la chambre. Ils en ont sorti du poppers, un préservatif et du lubrifiant. Delphine s'est assise au bord du lit pendant qu'il se déshabillait. Il s'est allongé sur le lit et m'a demandé de le sucer encore un peu, ce que j'ai fait. Puis il a regardé ma cousine, qui sans dire un mot est venue me prêter main forte. Puis elle m'a demandée si j'étais sûre de voulair « faire ça » et si c'était « ma première fois ». Je lui ai dit que j'étais prête et que j'en avais vraiment envie. Elle répondit simplement de me tourner et attrapa le de lubrifiant qui était à côté d'elle. Le dos tourné, j'entendis le bruit de la pression sur le tube. Elle appliqua délicatement le gel froid sur mon anus et glissa un premier doigt. Le garçon se leva pour attraper le petit flacon de poppers sur la comode. Il posa un doigt sur ma narine et présenta le flacon devant moi. Je sentis une chaleur monter en moi. Il murmurait : « Doucement. Respire profondément. » et ma cousine de l'autre côté : « Est-ce que tout va bien ? ». Ils me rassuraient.
Je me détendais progressivement quand elle a glissé un second doigt à l'intérieur de moi. La chaleur montait encore et envahissait tout mon corps. Elle me demanda si tout allait bien. Je lui répondit que oui, que c'était bon. Je pris une dernière inspiration de poppers. Elle retira ses doigts. Nous avons échangé un dernier regard puis elle attrapa ma main. « Tu peux encore dire non tu sais. ». J'ai regardé le garçon droit dans les yeux pour lui dire simplement « Encule moi ! », puis je lui ai tourné le dos. Ma cousine lui donna le préservatif. Il l'enfila et s'enduisit de lubrifiant. Il posa sa main puissante sur le bas de mon dos puis il inséra sa bite sans résistance dans mes entrailles. Il rentra en entier sans aucun effort. Après une petite pause, il recula doucement et commenca de lents aller-retours. Je gémissait comme une salope. Il m'enculait profondément et j'ai aimé ça.
Delphine pouvait lire le plaisir dans mes yeux et elle lui dit d'accélerer le mouvement, d'accentuer ses coups. Je criais tellement fort ! Ma cousine est restée à côté de nous, glissant une main sous mon corps pour augmenter mon plaisir. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais il a fini par jouir ainsi. Qu'est ce que c'était bon !.
Après ce soir là, l'acte me manquait. Je ne pouvais pas retourner chez ma cousine et d'ailleurs, je ne me souvenait même plus du nom de ce garçon. J'ai essayé encore une fois avec toi mais rien à faire, avec toi ça ne passait pas. Et puis après la rentrée il y a eu Alex...
Avec Alex, on s'est d'abord rapproché parce qu'on était dans la même classe cette année là pour la première fois depuis le collège. Et puis, comme il habite à côté, on rentrait souvent ensemble. Un jour, en passant devant la pharmacie, il m'a demandé si je voulais acheter des préservatifs pour mon week-end avec toi. Par provocation, je lui ai répondu « de préservatifs non, de lubrifiant peut-être ». Ca l'a rendu fou. Je ne sais pas ce qu'ont les garçons avec la sodomie, mais ca marche à tous les coups.
Les semaines suivantes, il n'a pas arrêté. Il me questionnait sur ma première fois, sur les fois ou j'avais essayé avec toi... Il voulait savoir si j'aimais ça et j'ai fini par lui raconter cette soirée chez ma cousine et par lui dire à quel point j'avais trouvé ça bon et à quel point j'étais frustrée de ne pas pouvoir recommencer avec toi. Il semblait choqué. Comme si cette révélation était trop perverse pour lui. J'ai même cru qu'il avait joui dans son pantalon à cet instant précis ! Ce week-end là, on a ressayé toi et moi. Tu es presque entièrement rentré et je t'ai même demandé de prendre une photo. J'étais tellement fière de moi que je n'ai pas pu résister à lui envoyer ma photo.
Celà à dû le mettre dans tous ses états car le dimanche, il est allé à Paris. Il est allé dans un sex-shop près de la gare pour acheter un grande bouteille de poppers, des capotes et un lubrifiant spécial sexe anal. Qu'est ce qu'il était fier de lui le lundi matin en me montrant son attirail caché au fonds de son sac de classe ! Au début, il voulait me les donner pour que je recommence, pensant que cela me ferait plaisir. Quelle idée ! Mais je savais que je n'y arriverai pas avec toi et j'avais tellement envie...
En rentrant, j'ai fini par craquer. Je savais que ma mère rentrerait tard du travail et que ma sœur partirait bientôt au tennis. Je lui ai dit de venir pour m'aider à faire un exercice de math, ce qu'il a fait. Quand ma sœur est finalement partie, je me suis déshabillé devant lui et lui ai demandé de vider ses affaires sur mon lit. J'étais nue, debout devant lui. Il était assis, penaud et intimidé. Je saisi le poppers pour une première inspiration puis me mis à genou devant lui pour le sucer. Pas très long, fin et surtout bien dur, son sexe était parfait pour une sodomie. Au bout d'un quart d'heure de ce bon traitement, je repris une grande inspiration de poppers et lui murmura à l'oreille ce qui devait devenir une de mes phrase préférée : « Encule-moi !».
Après cela, il venait régulièrement le lundi soir pour des « exercices de math ». Très occasionnellement au début, et puis de plus en plus souvent. Il parraissait accro à moi et moi, j'étais accro à des plaisirs interdits. Le tabou de l'adultère, les sensations de l'anal. L'excitation du risque et le cœur qui s'accélère à l'idée d'être un jour attrapée... Au début, nous alternions fellation, sexe vaginal et sexe anal. Et puis, comme il ne te valait pas pour les choses de l'amour, nous avons fini par abandonner le vaginal. Je le suçait encore régulièrement, mais sans prendre autant de plaisir qu'en suçant ton énorme queue. A la fin, je prenais de plus en plus de risques pour être avec lui. Je l'ai souvent sucé au lycée, sur le chemin du retour, où dans ma chambre avant que ma sœur ne parte au tennis. Nous nous sommes parfois vu le week-end lorsque tu n'étais pas libre. Tu m'envoyais des messages pour me dire que tu étais avec tes amis et je te répondais que j'étais seule chez moi à regarder un film alors qu'en réalité j'étais chez lui, en train de me faire démonter le cul comme la dernière des salopes. Cela ne faisait que renforcer mon excitation. Il me demandait si c'était toi, et je lui répondais simplement de m'enculer plus fort.
Voilà, tu sais tout. Aujourd'hui, on ne se voit plus car, après plusieurs mois, il en voulait plus. Il a fini par se trouver une vraie copine mais je sais qu'elle ne fait pas tout ce que je faisait avec lui. Il me le dit parfois. Je comprendrais si tu ne me pardonnais pas. Mais tu dois aussi savoir que tout ça me manque terriblement. J'ai été fidèle tout l'été et, depuis que j'ai sucé les deux gars de la fac, je ressens de nouveau le besoin d'avoir un amant. J'en ai besoin, même si je t'aime. »
Greg lisait le texte écrit par Aline. Il trouva son histoire extrêmement érotique et profondement touchante. Il découvrait la face cachée de celle avec qui il sortait depuis maintenant près de deux ans et était de plus en plus excité par l'idée de la savoir si salope.
Après les messages, elle avait joint un petit dossier d'images compressées. Le téléchargement prenait plusieurs minutes. Son téléphone vibra.
Tu ne réponds pas ? Tu me fais la gueule ? Afficha le téléphone. L'étudiant répondit.
Je viens de lire tes messages. Je télécharge ton dossier et je vais me coucher.
Il ouvrit enfin le dossier. Dedans, des dizaines d'images d'Aline, à différents endroits et dans différentes tenues, avec différentes coupes de cheveux, souvent nue. Cela montrait bien que leur relation avait durée toute l'année. Elle semblait avoir choisi volontairement les images qui l'exciterait le plus, des photos d'elle suçant son amant, des photos d'elle couverte de sperme, sur le ventre, les seins, le visage... A la fin du dossier se trouvaient les photos d'Aline s'insérant des doigts pour se préparer et se faisant sodomiser par Alexandre. Le téléphone vibra une fois de plus.
« Je sais que tu aimes mes photos. Branle-toi dessus si tu en veux plus. J'en ai encore plein d'autres.»
Greg s'executa sans attendre, puis envoya un message à sa bien aimée pour lui dire qu'il allait dormir. Il était désormais près d'une heure du matin. Elle répondit par un nouveau MMS, une photo d'elle les yeux fermés, le visage recouvert de sperme, un sexe dans chaque main. Le texte disait « Finalement, Julien avait pris une photo. Bonne nuit. ».
Cette photo rendit Greg fou d'excitation et de perversité. Il était désormais évident qu'il avait apprécié cette soirée et les confessions d'Aline, qu'il appréciait d'avoir une copine si salope. Il rédigea son dernier SMS de la soirée puis hésita longuement avant de l'envoyer. Il le relu plusieurs fois, inspira un grand coup et appuya sur la touche d'envoi.
« Ok, John peut t'enculer. Pas de sexe vaginal, juste une pipe et une sodomie. Tu avales si tu veux. Et je veux des photos ! »