Elle s'appelait Aline

Prologue

Cette histoire s'inspire de ma propre. L'histoire assez commune d'un étudiant trop occupé par ses études et d'une copine de lycée infidèle.

Cette discussion sur le couple libre a réellement eu lieu et, sans en connaître tous les détails, je savais qu'elle me trompait à cette époque. J'avais bien entendu déjà parlé de libertinage ou de domination/SM mais à cette époque l'idée, le mot même de candaulisme, n'existait pas pour moi. J'étais à des milliards d'années de penser qu'un « couple libre » pouvait être plus libre d'un côté et que cela pouvait exciter certains hommes. Il faut dire que le candaulisme ne bénéficiait pas il y a 15 ans de la visibilité qu'il a aujourd'hui.

Cette histoire que vous allez lire est donc un « et si... ». Et si j'avais avoué que je n'étais pas dérangé par ses tromperies ? Si elle avait accepté de me raconter ses aventures, de me parler de ses amants, de ses soirées, de ses amis ? Si nous avions décidé de continuer et d'explorer ensemble, pour finalement, nous découvrir candaulistes. En partant de faits réels, de discussion que nous avons eu et du peu de ce que je connaissait de ses secrets de l'époque, et surtout en enjolivant la réalité avec mes fantasmes, je vous propose donc ce récit.


Pour poser quelques bases  :

Qui ?
Lui, Greg, 19 ans, étudiant brillant en 2ème année d'une école parisienne réputée, dans un difficile et très prenant. Un brun, pas forcément très grand ou très costaud. Plutôt beau garçon et populaire.

Elle, Aline, 18 ans, sa première copine du lycée, étudiante en première année à la fac. Petite brune aux yeux bleus, elle a des petits seins et des petites fesses. D'humeur joyeuse et très drôle, elle arbore en permanence un sourire mutin. Elle a gardé son look d'adolescente gothique et un piercing sur la lèvre. Elle a eu des aventures avant lui et est très portée sur la sexualité, curieuse et ne cache pas ses fantasmes.

Où ?
Une petite ville résidentielle de la grande banlieue de Paris. Pas une banlieue sale ou dangeureuse. Plutot une banlieue éloignée de Paris où la campagne commence et où tout le monde se connait. Un endroit où les nuits sont souvent trop calmes pour un groupe d'amis sortis du lycée et où la voiture et le permis de conduire sont très souvent indispensables.

Quand ?
A la fin de mon adolescence, soit la deuxième partie des années 2000. L'époque des conversations MSN, des téléphones sans internet et des forfaits limités qui nous faisaient compter les lettres de nos sms. Un temps où l'on y réflechissait à deux fois avant d'envoyer une photo (rappelez-vous, un MMS = 3 SMS). L'époque des films en DivX gravés sur des CD que l'on s'échangeait entre deux cours, des groupes de punk californiens, de la fin du nu-metal et l'arrivée du rock indépendant dans le sillage de quelques groupes anglais... Un temps pas si lointain et pour déjà bien révolu.
J'espère pouvoir régulièrement placer des marqueurs de ce cadre temporel qui j'espère évoqueront des souvenirs nostalgiques à ceux qui liront cette histoire.

Bonjour
Je pense que le récit va être intéressant à lire mais pour l’être encore plus il faudra ajouter des photos de la belle Aline pour encore plus imaginer.

Au plaisir de lire la suite

Chapitre 1 : La conversation

a) Le couple libre

- Alors c'est ça ta grande idée ! Tu veux qu'on soit un de ces « couples libres » ?
- Oui, j'ai bien réfléchi et je pense que c'est la meilleure chose pour nous deux.
- Ok ! Tu as raison.

La réponse du jeune homme était simple et clinique. L'écran de l'ordinateur lui même semblait hésiter, désarconné par cette froideur. « Aline est en train d'écrire », puis plus rien. Puis de nouveau : « Aline est en train d'écrire », plus rien, puis un smiley affichant la perplexité de son interlocutrice. Après quelques minutes, Greg se décida finalement a reprendre le cours de la conversation.

- C'est toi qui propose ça. Si tu ne veux pas, on ne le fait pas. Notre relation est très bien actuellement.
- Oui, mais des fois j'ai envie de plus.
- Ok !

Une nouvelle pause. Cette fois-ci, Greg pris conscience de ses propos. Il sorti de sa chambre, descendit prendre un dessert dans la cuisine pour finalement trouver la réponse sur son ordinateur.

- Donc tu n'es pas jaloux ? C'est parce que tu ne m'aimes plus ? Tu en vois une autre ? Stéphanie encore ?La bourgeoise de ton école ?
- Non mon amour, je t'aime encore. Plus encore qu'au premier jour. Et je ne vois personne d'autre.
- Alors pourquoi tu dis oui si facilement ?

Il hésita un instant avant de répondre, puis il inspira fortement.

- Parce que je ne suis pas jaloux...

Le cœur de l'étudiant battait à 200 à l'heure. Après une journée de travail harrassante, après être rentré de la gare à pied sous la pluie du mois d'octobre, après avoir mangé seul, comme tous les soirs depuis le début de l'année, il était là, devant son écran d'ordinateur, à confesser par écrit ce qui lui semblait être un pêché. Et il avait encore tant à lui dire. Non, il nétait pas jaloux. Il savait qu'il devait l'être. Il savait aussi qu'il l'aimait. Mais non, il n'était pas jaloux. Juste seul dans sa chambre, confus par l'attitude de sa petite amie, et horriblement tendu à l'idée de reprendre la conversation.

Il inspira une fois de plus :

- Ecoute, je suis fatigué. Je suis encore rentré tard ce soir et je viens de finir mon repas. Je n'ai pas envie de me disputer avec toi. Tu viens me voir sur MSN pour me dire quelque chose d'important. Tu me dis que tu veux que l'on soit un couple libre et je te dis « Ok ». Si tu ne veux plus, « Ok aussi ». En plus, normalement ce sont les garçons qui veulent ce genre d'arrangement, et ce sont les garçons qui disent oui. Moi, je ne vois aucune autre fille en ce moment, je n'ai pas le temps. Si tu veux voir quelqu'un fais le. Tu dis que c'est la meileure chose pour nous deux et je te dis « tu as raison » parce que je n'ai pas le temps et que je ne suis pas jaloux.

Greg senti un poids s'enlever de sa poitrine. Il respira comme si c'était son premier souffle. Son cœur ralenti enfin. Deux mois après sa rentrée, son stress disparu pour la première fois. Après avoir confessé cela, il s'avait ce qu'il lui restait à dire pour être enfin entièrement soulagé.

- Et je sais pour Alexandre.

Il attrapa son sac à dos, sorti son paquet de cigarette et couru hors de sa chambre après avoir écrit une dernière ligne :

- Je sais pour Alexandre et je ne suis pas jaloux. Je t'aime.

Greg hésita longuement avant de remonter. Il s'attendait à une pluie de messages, de déni d'abord, de reproches sur son absence ensuite, et peut être même des messages pour lui dire qu'Alex était mieux que lui. En rallumant l'écran, le seul mot visible à l'écran le surpris.

- Pardon.

Pas de reproches, pas de mensonges, pas d'insultes. Un simple mot d'excuse montrant la sincérité des sentiments d'Aline. A son tour, Greg se senti coupable d'avoir confronté aussi durement son amie.

- Ne t'excuse pas. J'étais absent et trop pris par mes études pour remarquer que tu étais seule. Et puis c'est moi qui ai commencé avec Stéphanie. Tout ca est de ma faute.
- Non, ce n'est pas ça... Je t'ai trompé pendant 8 mois avec un autre. C'est mal.
- Mais tu étais restée seule au lycée. Tous nos amis étaient partis, tu t'es rapproché d'un autre. Ca arrive.
- Oui, mais là j'y ai pris du plaisir.
- Sexuel tu veux dire ?
- Non, j'ai pris du plaisir à te tromper !

Confession pour confession. L'honneteté de ce couple était le ciment de leur relation depuis bientôt deux ans. Il lui avait avoué l'avoir trompé avec Stéphanie àprès une soirée d'été trop arrosée. Elle avait également cédé à la fin de l'été, à une fête organisée chez sa cousine Delphine. Elle disait que ce n'était pas une vengeance, juste le sentiment de ne pas être sous le regard parfois étouffant de son entourage. Loin de Paris, loin du jugement de leurs amis, elle s'était laissée portée par la soirée. Personne n'avait jamais sû. Ils s'étaient pardonné l'un l'autre et avaient continuer leur romance.

Pour Alexandre, les choses étaient différentes. Il était allé dans le même collège qu'Aline et il s'étaient retrouvés dans la même classe en terminale. Dans la petite ville où ils vivaient, tous les ados se connaissaient. La réputation était importante. Tout le monde savait qu'il s'étaient fréquentés pendant cette année. Greg aussi avait fini par savoir, mais il avait nié la réalité jusqu'à ce soir. Alexandre était un garçon amical et très respectueux avec qui il aimait parler de cinéma et de photographie lorsqu'ils se croisaient. Greg l'appreciait beaucoup n'avait pas réellement le cœur à lui en vouloir. C'est comme ça qu'il compris qu'il n'était pas jaloux.

Aline repris la conversation après un long temps de pause.

- Ecoute bien, je dois te dire quelque chose de très important. Je ne vois plus Alexandre, je n'ai jamais eu de sentiments pour lui et, si cela peut te rassurer, tu es bien meilleur que lui au lit. Et bien plus gros aussi. Si je suis sorti avec lui, ce n'est pas que pour passer le temps quand tu étais à l'école. Voilà je... L'excitation de... Enfin...

Aline ne trouva pas les mots pour exprimer ce qu'elle ressentait avec lui, mais Greg compris. Elle était excitée par l'interdit, par l'immoralité de l'adultère, par le secret, par le risque de se faire prendre et le risque de tout perdre. Oui, ça Greg le compris très bien. Et il était prêt à lui laisser être infidèle si tel était son fantasme.

- Ecoute mon amour, si c'est ça que tu aimes, alors vas-y. Le plus important pour moi, c'est que tu sois heureuse. Nous devons juste poser quelques règles.

Difficile de partager une vraie photo puisque je n'en ai plus (depuis très longtemps).

Pour stimuler ton imagination, voici une image de ce mannequin. Même look rock'n'roll, des yeux bleus, des cheveux très noirs, un regard provocateur...

Voilà la suite de l'histoire. On commence à rentrer dans le vif du sujet.
N'hésitez pas à me dire ce que vous aimez et ce que je peux corriger.


b) Les règles

Il était tard. Greg était seul devant son ordinateur, terriblement excité par la conversation qu'il avait avec sa petite amie. Ils avaient beaucoup lu sur les couples libres, le libertinage et le sado-masochisme et savaient qu'ils devaient dès maintenant définir ensemble leurs règles.

L'étudiant commenca sa liste par ce qui lui parraissait être le plus évident :

- Primo : pas les copains, pas la famille. On ne fait rien en public ou qui risquerait de faire comprendre à nos proches la relation que nous avons.
- Ok, et deuxio, pas de risques. Capote si on ne connait pas la personne et si on doit suivre un inconnu, on s'envoit un SMS
- Tersio : tu ne fais pas de trucs que l'on ne fait pas ensembles.
- Ca veut dire quoi « qu'on ne fait pas ensemble » ?
- Bah je sais pas, les trucs qu'on fait pas quand on est tous les deux... enfin tu vois.
- Ah ! Tu veux dire pas de sodomie ! Mais ça, on a déjà fait ça ensemble.
- Oui, enfin on a essayé. Et de toute façon je ne veux pas !
- Attends, tu veux dire que tu n'es pas jaloux si je couche avec quelqu'un d'autre, mais que tu es jaloux si je me fais prendre le cul.
- Oui c'est ça ! Donc pas de sodomie. Et aussi on se raconte tout. Enfin, tu me racontes tout.
- Non, ON se raconte tout. Ca marche dans les deux sens. Toi aussi tu auras le droit de voir des filles. Tu auras même le droit de les prendres par derrière si ca te rend heureux.
- Ma puce, je n'ai personne en vue aujourd'hui. Je veux juste tu sois heureuse et que tu vives à fonds tes fantasmes sans me tenir à l'écart. Donc je veux que tu me racontes tout et même tu prennes des photos si tu peux.
- Oh ! Bah ca j'en ai des photos...

Aline envoya une image d'elle en noir et blanc. Ses seins nus, l'ai pensif, le regard lointain. Une deuxième suivie, en couleur cette fois, montrait Aline dans un champs en fleurs, riant, toujours seins nus. La mise en scène soignée des deux photos ne laissait aucun doute sur l'identité de l'auteur.

- Alexandre fait de très belles photos.
- Oui, et j'en ai encore beaucoup d'autres, des plus osées...
- Qui pourrait lui en vouloir, il a un très beau modèle.
- Tu en veux plus ?
- Oui

Le cœur de Greg se remit à battre, il savait que la prochaine série de photos serait autrement plus érotique. L'écran afficha trois cadres vides. Il fallu quelques secondes pour afficher les images. Quelques secondes qui semblaient être une éternité.

La première image était sans appel. Aline y était nue, son regard bleu plongé dans l'objectif. Sa main posée sur le sexe peu impressionnant du photographe. Elle semblait décidée à le sucer. Greg savait ce que serait la deuxième photo, une fellation. L'image apparue enfin. Les yeux bleus d'Aline brillaient d'une lueur de plaisir. On devinait un sourire sur le coin de ses lèvres malgré le sexe qui se trouvait dans sa bouche. L'excitation de Greg était à son comble. Ce qu'il ressentait à ce moment là était bien plus fort qu'une simple accélération du rythme cardiaque, plus fort encore que ce qu'il ressentait quand il faisait l'amour à Aline. Il pouvait à peine respirer. La troisième photo apparue. Aline était sur le corps d'Alexandre, une main posée sur son sexe pour le guider vers l'entrée de son vagin, sans protection. Il n'y avait plus aucun doute possible sur ce qui s'était passée entre eux l'année dernière. Greg avait une érection tellement forte qu'il fut obligé d'enlever sa ceinture pour desserer son pantalon.

- Les photos te plaisent mon chéri ? Repris Aline
- Oui, beaucoup.
- Pas trop dur à voir ?
- Oui et non.
- Comment ça ?
- C'est difficile à regarder mais en même temps terriblement excitant. Qu'est ce que tu es belle !
- Ca ne te gêne pas de savoir que j'ai fait ces photos avec un autre ?
- Tu veux dire que tu t'es fait baiser sans capote par quelqu'un d'autre ?
- Tu bandes ?

Le changement de ton de Greg avait du trahir son excitation. Aline savait en jouer. Deux nouvelles photos apparurent sur l'écran. La première montrait Aline chevauchant Alexandre, une expression de jouissance sur son visage. La deuxième montrait la montrait à quatre pattes, dans la position de la levrette, la tête tournée sur le coté pour que l'on distingue son visage et son sourire lubrique. Sa main droite était posée sur son postérieur pour tirer sur la fesse et dégager la vue sur son anus et sur le bas du ventre d'Alexandre. Le sexe du photographe était invisible, totalement englouti dans celui de l'adolescente.

- Ta bite me manque.
- Celle d'Alexandre ne te suffit pas ?
- Ce sont de vieilles photos. Et puis... ce n'est pas le même calibre.

Ces derniers mots regonflèrent le moral de l'étudiant. C'est vrai qu'il était fier de son membre. Aline savait le flatter pour jouer sur son excitation. Greg compris qu'il était pris dans son piège et que la soirée allait changer définitivement leur relation. Il desserra encore un peu plus son pantalon

- Alors tu bandes ?
- Oui !
- Je le savais. Et tu aimes mes photos ?
- Oui !
- Tu préfères laquelle ?
- Celle où tu le suces.
- Ah ! C'est intéressant. Tu préfères me voir le sucer que de me voir me faire baiser ?
- Non, c'est pas vraiment ça. J'aime bien cette photo, c'est tout.
- Non.
- Quoi non ?
- Dis le clairement !

Une nouvelle photo d'Aline suçant Alexandre apparu sur l'écran de Greg. Cette fois-ci ses lèvres touchaient son bas ventre, faisant disparaître entrièrement l'organe. Greg n'en croyait pas ses yeux. S'il était bien placé pour connaître les prouesses techniques de la demoiselle, il ne la pensait pas capable de telles gorges profondes. L'excitation était désormais trop forte. Il sorti son sexe de son pantalon et commenca à carresser son épais membre.

- Allez, dis le !
- Quoi ?
- Que tu aimes me voir sucer un autre mec.
- Non

Aline renvoya une photo. En gros plan, la bouche grande ouverte, on voyait clairement une belle quantité de sperme au fonds de sa gorge. Aline adorait le sperme. Elle aimait qu'on jouisse sur son corps ou son visage. Elle lechait avec gourmandise le sperme lorsqu'il n'était pas sur elle, qu'il soit sur le sexe de Greg, sur son ventre ou sur ses mains. Elle se lêchait les doigts avec gourmandise après l'avoir masturbé. Une fois, il l'avait même vu lêcher quelques gouttes de semence tombées sur le parquet de sa chambre. Elle envoya ensuite une photo presque identique à la précédente. Cette fois, le sperme avait disparu.

- Allez ! Dis le pour me faire plaisir.
- J'aime te voir sucer un autre mec.
- Encore...
- J'aime te voir sucer des bites.
- Tu peux faire mieux que ça...
- Ok ! J'aime te voir sucer d'autres mecs. J'aime te voir sucer des bites, des grosses bites même. J'aimerai te voir sucer des grosses bites, plusieurs grosses bites en même temps ! Voilà, tu es contente ?
- Très ! Dis-moi, tu te branles ?
- Un peu...
- Non, on ne se branle pas un peu. On se branle ou on ne se branle pas ! C'est comme ça. Toi, tu te branles en regardant des photos de ta copine entrain de se faire baiser par un mec que tu connais, entrain de lui sucer la bite, entrain de lui faire une gorge profonde !
- Oui, je me branle. Et d'ailleurs, depuis quand tu fais des gorges profondes ?
- Je m'entraîne quand je trouve un bon entraineur...
- Et je ne suis pas un bon entraineur ?
- Mon chéri, tu as vu la taille de ta bite ! Elle est beaucoup trop large pour que j'aille au bout. Et c'est pas faute d'avoir essayé.
- Et tu t'entraines avec qui en ce moment ? John ?

c) John

John était un des amis qu'Aline s'était fait récemment en arrivant à la fac, un redoublant un peu plus âgé qu'elle. Comme elle parlait de lui souvent, Greg avait fini par retenir son nom et par croire qu'il était le nouvel amant de sa copine.

- Non, je ne couche pas avec John. Mais il a le bon outil pour l'entrainement.
- Quoi ! Comment peux-tu savoir qu'il a le bon outil si tu n'as pas couché avec lui ? Il se ballade la bite à l'air dans l'amphithéatre ?
- Mais non, idiot. Il m'a envoyé une photo !
- Tes amis de fac t'envoient des photos leur bite ?
- Non, seulement lui. C'est juste une blague qui est allée un peu loin.
- Bah, raconte moi alors.
- Tu es sûr ? C'est un peu sexuel.

Greg était toujours au comble de l'excitation et il crevait d'envie d'entendre cette nouvelle histoire. Pris dans le tourbillon des révelations de la soirée, il se surpris à rêver d'un nouvel amant pour sa chère et tendre. Et d'un bien équipé cette fois.

- Bon déjà tu dois savoir que j'ai sucé deux autres mecs cette année.
- Oui, bon au point où on en est...
- Non, non... Les deux en même temps. A la fac.

Cette nouvelle révélation ne surprenait pas Greg. Depuis le début de leur relation, Aline n'avait jamais caché son fantasme de trio avec deux hommes. Il lui avait souvent proposé de le réaliser, mais elle n'avait jamais dit oui, prétextant que l'acte lui semblait trop compliqué, trop acrobatique pour elle.

- Bon c'était un vendredi après-midi...
- Ton fameux cours de droit de 4h ?
- Oui, c'est ça. Le jour où la prof n'a pas pu venir à cause d'un problème de RER.
- Oui, tu m'avais dit que la fac était vide et que tu avais du rester pour un cours en fin de journée.
- C'est ça, un cours de psychologie en option le vendredi soir. Bref, autant dire que tout le monde était parti. J'étais seule avec Jamel et Julien.
- Pas de John donc ?
- Non, pas de John, mais je vais y venir... Bref, on ouvre une salle de classe pour se poser, on parle de cul pendant quelques heures...
- Comme à chaque fois.
- Qu'elle image tu as de mes amis ! Bon, on parle de cul, de nos expériences, de ce qu'on aime faire etc... Je leur dit que j'adore sucer.
- Erreur fatale !
- Oui bon... En même temps, tu sais que j'adore sucer. Et j'ai toujours rêvé de faire des trucs avec deux mecs, alors... Au bout d'un moment ils ont fini par me convaincre.
- Et donc tu as sucé tes deux amis dans une sale de classe ? Tu n'as pas dû être très difficile à convaincre.
- J'étais partante dès le début, mais j'ai quand même fait duré le suspens. Je suis une fille respectable. Ca t'excite ?
- Seulement si tu m'envoies des photos.
- Je n'en ai pas. Mais si tu veux, je demanderai aux garçons s'ils en ont pris.
- Et donc John ?
- On y viens... Donc le lundi, on parle de ce qui s'est passé le vendredi. John était déjà au courant parce que Jamel lui avait dit pendant le week-end.
- Pas très classe.
- Oui, mais ces deux là se connaissent depuis l'année dernière. Et puis de toute façon entre nous, on parle souvent de sexe et je n'ai pas peur d'avoir une mauvaise réputation auprès d'eux. Jessica aussi est très salope et ils ne la jugent pas.
- Tu me raconteras les histoires de Jessica ?
- Une autre fois. Je te la présenterai même. En tous cas, elle a beaucoup entendu parlé de toi... Enfin bref, John me dit qu'il aurait aimé être là. Que s'il avait sû, il serait venu et qu'il veut que je le suce aussi.
- Il est cash !
- Très ! Un peu prétentieux aussi. C'est un beau parleur.
- Et tu as accepté de le sucer ?
- Non ! Mais on en a reparlé un soir sur MSN. Et je lui ai dit que s'il avait été là, je l'aurai sucé avec grand plaisir. Il me parle de sa bite, me dit qu'elle est beaucoup plus grande que celle des deux autres etc...
- D'où la photo ?
- Pas tout de suite... On continue la discussion, je lui dit que je ne le sucerai pas juste parce que j'ai sucé ses potes. On plaisante et il me demande ce que je peux faire pour me faire pardonner. Bref de fil en aiguille, je lui dit que s'il est sage, je le laisserai m'enculer.
- Deuxième erreur !
- Oui, enfin non. Il ne s'est jamais rien passé. Il a juste continué à dire qu'il était un super coup, qu'il avait une super bite de 20cm, etc... Je lui ai dit que j'avais ce qu'il fallait à la maison et il m'a envoyé une photo de lui.

Aline envoya une nouvelle photo. On y voyait un sexe de grande taille collé à une règle en bois. L'extremité du gland tutoyait effectivement les 20cm. Greg attrapa une règle sur son chercha à se représenter la taille du membre. Il était un peu plus long que le sien. Peut-être de 2 ou 3 cm. Un peu plus fin aussi. Son sentiment était mixé entre des complexes devant un sexe plus long que le sien et la fierté d'être plus large que ce garçon qui se prétendait un étalon. L'idée de voir des photos d'Aline sucer un penis de belle taille faisait son bout de chemin dans la tête de l'étudiant.

- Ok
- Quoi Ok ? Arrête avec tes Ok !
- Ok, tu peux y aller. Mais je veux des photos.
- Tu veux qu'il m'encule ?
- Non, non ! Juste une pipe ! Une pipe et des photos. Et tu peux avaler si tu veux. De toute façon, je sais que tu n'aimes pas la sodomie.
- Ecoutes, à propos de ça, j'ai une dernière confession à te faire...

d) Dernière confession


Aline avait eu deux relations avant de rencontrer Greg. Un premier petit copain, puis un deuxième, David, qu'elle avait fini par abandonner pour lui. David était plus âgé et plus expérimenté, ce qui avait toujours été dur à supporter pour celui qui était alors un lycéen ayant tout juste perdu son pucelage. Surtout, il avait sodomisé Aline pour la première fois. Elle décrivait cette expérience comme douloureuse, violente. Au début de leur relation, Greg était obnubilé à l'idée de sodomiser Aline à son tour. Malgré la bonne volonté de la belle de lui offrir ce privilège, l'expérience n'avait jamais été réellement concluante, la largeur du sexe de Greg étant en la matière un handicap. N'ayant jamais pu prendre la virginité anale de son amour de jeunesse, et n'ayant jamais pu ni la faire jouir, ni jouir lui-même par ce moyen, sa frustration vis à vis de la sodomie était restée très grande.

Seulement de temps en temps, elle consentait à accepter une pénétration anale. Jamais elle ne refusait un doigt, ni même deux ou trois. Toujours avec une vraie volontée de réussir à enfin accepter en entier le membre viril de son amoureux. A leur dernière tentative, il était enfin entré sur toute sa longueur. Elle était fière et lui avait même demandé de prendre une photo pour qu'elle puisse voir cet engin massif en elle. Mais la gêne et la douleur restaient présentes et le couple n'avait jamais pû aller au bout de l'expérience. Jusqu'à la jouissance anale. C'était il y a presque un an et ils n'avaient jamais réessayé depuis.

- Ecoute mon amour, j'ai autre chose à te dire.
- Quoi, Alexandre aussi t'a enculé ?
- Pas que lui, et c'est plus que ça.
- Comment ça pas que lui ? Comment ça plus que ça ?
- Ecoute bébé, j'aime la sodomie.
- Quoi ! Non, tu n'aimes pas ça, on a essayé plein de fois et tu as mal à chaque fois.
- Non mon chéri. J'aime ça ! J'aime même beaucoup ca. J'adore ça ! On a essayé plein de fois ensemble et j'ai eu mal a chaque fois, avec toi. Au début je le fesait pour te faire plaisir, en me disant que ce serait peut-être bien un jour. Mais depuis, je l'ai fait avec d'autres et c'est génial. Maintenant j'essaie avec toi parce que j'aime ça et parce que j'espère qu'un jour on y arrivera.

Greg était dévasté. Son excitation qui était à son paroxysme depuis le début de la conversation était redescendue d'un coup. Le sodomie était pour lui comme un point de non retour. La forme ultime de l'intimité qui lui avait toujours été refusé et qui était autorisée aux autres. A plusieurs autres, il ne savait même pas qui. L'ami de sa cousine ? Ses amis de la fac ? D'autres amants ? Des inconnus qui prennaient leurs aises avec sa petite amie comme s'il s'agissait d'une fille facile qui acceptait toujours la sodomie ?

Ces pensées torturaient Greg qui n'osait plus répondre. C'en était désormais trop pour lui. Il descendit fumer une cigarette. Une pause lui ferait du bien après une soirée si riche en émotion. Après sa cigarette, il alluma la télévision et attendit une heure avant de retourner devant son ordinateur. A cette heure avancée, les programmes érotiques fleurissaient sur les chaînes obscures de la télévision par satellite. Un reportage parlait du plaisir ressenti par certaines femmes pendant la sodomie. Il fut suivi par l'interview d'une actrice de porno qui, tout en se deshabillant et en dansant lassivement, parlait de la grande taille des acteurs.

Greg se masturba devant cette rousse incendiaire à la poitrine généreuse, comme pour évacuer définitivement l'excitation qui était monté toute la soirée. Au fur et à mesure de sa masturbation, les images d'Aline, sucant Alex lui revenait. L'actrice évoqua ensuite une scène de sodomie qu'elle avait tourné avec un acteur réputé pour son engin et son caractère dominant. Greg se surpris alors à fantasmer sur Aline se faisant sodomiser par un homme bien pourvu, un homme mieux monté que lui même. Comme dans les films dont parlait le documentaire. Il imagina des photos d'elle suçant cette bite énorme et avalant sa semence. Il éjacula avec ces pensées obscènes en tête puis remonta dans sa chambre.

Pendant son absence, les messages d'Aline s'étaient accumulés jusqu'à former un long texte :

« Voilà, tout a commencé chez Delphine. Je ne t'ai jamais raconté l'histoire, juste dit que j'avais couché avec un autre. Voilà comment ca s'est passé : on était à cette soirée, avec ses amis, loin de la maison. Je savais que si quelque chose se passait ce soir là, personne ne le saurait et comme tu m'avais trompé deux mois avant... On a bu. Il y avait du poppers, ils m'ont fait goûter. J'ai beaucoup aimé et j'en ai repris plusieurs fois. La fête avancant, les garçons me touchaient de plus en plus les fesses et me disaient que je serai facile à sodomiser si l'un d'eux couchait avec moi. L'alcool commençait à faire effet, j'étais excitée par leurs provocations, excitée à l'idée d'être enfin réceptive au sexe anal.

Tard dans la soirée, j'étais dans la salle de bain pour me rafraichir, à l'étage. Comme les toilettes du rez-de chaussé étaient occupées, un des garçon est monté. La porte de la salle de bain était ouverte. Il est rentré, a baissé son pantalon devant moi et commença à pisser devant moi comme si je n'étais pas là. Ivre, je l'ai regardé faire son affaire. Quand il a terminé, il s'est tourné vers moi, le sexe à la main. Il m'a demandé de me montrer la mienne pour être quitte. Incapable de me contrôler, j'ai à mon tour retiré mon pantalon devant lui, tiré mon string sur le côté et je me suis caressé devant lui. Il s'est approché de moi. Je mise à genou et je l'ai sucé tout en continuant de me carresser.

Je lui ai demandé s'il pensait que je serai réellement si facile à sodomiser grâce au poppers. Il m'a répondu qu'il n'y avait qu'un seul moyen de le savoir et que je devais l'attendre dans la chambre pour être sure. Il sorti de la salle de bain et couru dans l'escalier. J'ai retiré mon string et je me suis dirigée vers la chambre de ma cousine pour m'allonger sur son lit, la porte grande ouverte, les fesses nue et à la vue de tous ceux qui passeraient par là. Il est finalement revenu à l'étage avec elle.

Je les ai entendu chercher dans les tiroirs de la chambre. Ils en ont sorti du poppers, un préservatif et du lubrifiant. Delphine s'est assise au bord du lit pendant qu'il se déshabillait. Il s'est allongé sur le lit et m'a demandé de le sucer encore un peu, ce que j'ai fait. Puis il a regardé ma cousine, qui sans dire un mot est venue me prêter main forte. Puis elle m'a demandée si j'étais sûre de voulair « faire ça » et si c'était « ma première fois ». Je lui ai dit que j'étais prête et que j'en avais vraiment envie. Elle répondit simplement de me tourner et attrapa le de lubrifiant qui était à côté d'elle. Le dos tourné, j'entendis le bruit de la pression sur le tube. Elle appliqua délicatement le gel froid sur mon anus et glissa un premier doigt. Le garçon se leva pour attraper le petit flacon de poppers sur la comode. Il posa un doigt sur ma narine et présenta le flacon devant moi. Je sentis une chaleur monter en moi. Il murmurait : « Doucement. Respire profondément. » et ma cousine de l'autre côté : « Est-ce que tout va bien ? ». Ils me rassuraient.

Je me détendais progressivement quand elle a glissé un second doigt à l'intérieur de moi. La chaleur montait encore et envahissait tout mon corps. Elle me demanda si tout allait bien. Je lui répondit que oui, que c'était bon. Je pris une dernière inspiration de poppers. Elle retira ses doigts. Nous avons échangé un dernier regard puis elle attrapa ma main. « Tu peux encore dire non tu sais. ». J'ai regardé le garçon droit dans les yeux pour lui dire simplement « Encule moi ! », puis je lui ai tourné le dos. Ma cousine lui donna le préservatif. Il l'enfila et s'enduisit de lubrifiant. Il posa sa main puissante sur le bas de mon dos puis il inséra sa bite sans résistance dans mes entrailles. Il rentra en entier sans aucun effort. Après une petite pause, il recula doucement et commenca de lents aller-retours. Je gémissait comme une salope. Il m'enculait profondément et j'ai aimé ça.

Delphine pouvait lire le plaisir dans mes yeux et elle lui dit d'accélerer le mouvement, d'accentuer ses coups. Je criais tellement fort ! Ma cousine est restée à côté de nous, glissant une main sous mon corps pour augmenter mon plaisir. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais il a fini par jouir ainsi. Qu'est ce que c'était bon !.

Après ce soir là, l'acte me manquait. Je ne pouvais pas retourner chez ma cousine et d'ailleurs, je ne me souvenait même plus du nom de ce garçon. J'ai essayé encore une fois avec toi mais rien à faire, avec toi ça ne passait pas. Et puis après la rentrée il y a eu Alex...

Avec Alex, on s'est d'abord rapproché parce qu'on était dans la même classe cette année là pour la première fois depuis le collège. Et puis, comme il habite à côté, on rentrait souvent ensemble. Un jour, en passant devant la pharmacie, il m'a demandé si je voulais acheter des préservatifs pour mon week-end avec toi. Par provocation, je lui ai répondu « de préservatifs non, de lubrifiant peut-être ». Ca l'a rendu fou. Je ne sais pas ce qu'ont les garçons avec la sodomie, mais ca marche à tous les coups.

Les semaines suivantes, il n'a pas arrêté. Il me questionnait sur ma première fois, sur les fois ou j'avais essayé avec toi... Il voulait savoir si j'aimais ça et j'ai fini par lui raconter cette soirée chez ma cousine et par lui dire à quel point j'avais trouvé ça bon et à quel point j'étais frustrée de ne pas pouvoir recommencer avec toi. Il semblait choqué. Comme si cette révélation était trop perverse pour lui. J'ai même cru qu'il avait joui dans son pantalon à cet instant précis ! Ce week-end là, on a ressayé toi et moi. Tu es presque entièrement rentré et je t'ai même demandé de prendre une photo. J'étais tellement fière de moi que je n'ai pas pu résister à lui envoyer ma photo.

Celà à dû le mettre dans tous ses états car le dimanche, il est allé à Paris. Il est allé dans un sex-shop près de la gare pour acheter un grande bouteille de poppers, des capotes et un lubrifiant spécial sexe anal. Qu'est ce qu'il était fier de lui le lundi matin en me montrant son attirail caché au fonds de son sac de classe ! Au début, il voulait me les donner pour que je recommence, pensant que cela me ferait plaisir. Quelle idée ! Mais je savais que je n'y arriverai pas avec toi et j'avais tellement envie...

En rentrant, j'ai fini par craquer. Je savais que ma mère rentrerait tard du travail et que ma sœur partirait bientôt au tennis. Je lui ai dit de venir pour m'aider à faire un exercice de math, ce qu'il a fait. Quand ma sœur est finalement partie, je me suis déshabillé devant lui et lui ai demandé de vider ses affaires sur mon lit. J'étais nue, debout devant lui. Il était assis, penaud et intimidé. Je saisi le poppers pour une première inspiration puis me mis à genou devant lui pour le sucer. Pas très long, fin et surtout bien dur, son sexe était parfait pour une sodomie. Au bout d'un quart d'heure de ce bon traitement, je repris une grande inspiration de poppers et lui murmura à l'oreille ce qui devait devenir une de mes phrase préférée : « Encule-moi !».

Après cela, il venait régulièrement le lundi soir pour des « exercices de math ». Très occasionnellement au début, et puis de plus en plus souvent. Il parraissait accro à moi et moi, j'étais accro à des plaisirs interdits. Le tabou de l'adultère, les sensations de l'anal. L'excitation du risque et le cœur qui s'accélère à l'idée d'être un jour attrapée... Au début, nous alternions fellation, sexe vaginal et sexe anal. Et puis, comme il ne te valait pas pour les choses de l'amour, nous avons fini par abandonner le vaginal. Je le suçait encore régulièrement, mais sans prendre autant de plaisir qu'en suçant ton énorme queue. A la fin, je prenais de plus en plus de risques pour être avec lui. Je l'ai souvent sucé au lycée, sur le chemin du retour, où dans ma chambre avant que ma sœur ne parte au tennis. Nous nous sommes parfois vu le week-end lorsque tu n'étais pas libre. Tu m'envoyais des messages pour me dire que tu étais avec tes amis et je te répondais que j'étais seule chez moi à regarder un film alors qu'en réalité j'étais chez lui, en train de me faire démonter le cul comme la dernière des salopes. Cela ne faisait que renforcer mon excitation. Il me demandait si c'était toi, et je lui répondais simplement de m'enculer plus fort.

Voilà, tu sais tout. Aujourd'hui, on ne se voit plus car, après plusieurs mois, il en voulait plus. Il a fini par se trouver une vraie copine mais je sais qu'elle ne fait pas tout ce que je faisait avec lui. Il me le dit parfois. Je comprendrais si tu ne me pardonnais pas. Mais tu dois aussi savoir que tout ça me manque terriblement. J'ai été fidèle tout l'été et, depuis que j'ai sucé les deux gars de la fac, je ressens de nouveau le besoin d'avoir un amant. J'en ai besoin, même si je t'aime. »


Greg lisait le texte écrit par Aline. Il trouva son histoire extrêmement érotique et profondement touchante. Il découvrait la face cachée de celle avec qui il sortait depuis maintenant près de deux ans et était de plus en plus excité par l'idée de la savoir si salope.

Après les messages, elle avait joint un petit dossier d'images compressées. Le téléchargement prenait plusieurs minutes. Son téléphone vibra.

Tu ne réponds pas ? Tu me fais la gueule ? Afficha le téléphone. L'étudiant répondit.
Je viens de lire tes messages. Je télécharge ton dossier et je vais me coucher.

Il ouvrit enfin le dossier. Dedans, des dizaines d'images d'Aline, à différents endroits et dans différentes tenues, avec différentes coupes de cheveux, souvent nue. Cela montrait bien que leur relation avait durée toute l'année. Elle semblait avoir choisi volontairement les images qui l'exciterait le plus, des photos d'elle suçant son amant, des photos d'elle couverte de sperme, sur le ventre, les seins, le visage... A la fin du dossier se trouvaient les photos d'Aline s'insérant des doigts pour se préparer et se faisant sodomiser par Alexandre. Le téléphone vibra une fois de plus.

«  Je sais que tu aimes mes photos. Branle-toi dessus si tu en veux plus. J'en ai encore plein d'autres.»

Greg s'executa sans attendre, puis envoya un message à sa bien aimée pour lui dire qu'il allait dormir. Il était désormais près d'une heure du matin. Elle répondit par un nouveau MMS, une photo d'elle les yeux fermés, le visage recouvert de sperme, un sexe dans chaque main. Le texte disait « Finalement, Julien avait pris une photo. Bonne nuit. ».

Cette photo rendit Greg fou d'excitation et de perversité. Il était désormais évident qu'il avait apprécié cette soirée et les confessions d'Aline, qu'il appréciait d'avoir une copine si salope. Il rédigea son dernier SMS de la soirée puis hésita longuement avant de l'envoyer. Il le relu plusieurs fois, inspira un grand coup et appuya sur la touche d'envoi.

« Ok, John peut t'enculer. Pas de sexe vaginal, juste une pipe et une sodomie. Tu avales si tu veux. Et je veux des photos ! »

Ton histoire est très bien écrite et pourquoi tu ne la publierais-tu pas sur le site qui est spécialisé dans les histoires érotiques
Je suis sûr qu'elle rencontrerai un grand succès et tu aurais bcp plus de lecteur

Quelle histoire avez vous le plus envie de lire ? La suite des aventures d'Aline, du candau IR, du forced bi, de la domination féminine/pegging ?
1) forced bi
2) du candau IR
3) La suite des aventures d'Aline
4) de la domination féminine/pegging
Bref je serais content de te lire à nouveau et je rejoins " rachid741 " , c'est bien écrit

Ok merci. J'aurai cru que forced bi serait passé à la trappe.

Pour l'instant j'attaque le chapitre 2 d'Aline. J'ai une bonne idée de l'endroit où je veux l'amener mais il va me falloir du temps pour bien organiser la progression pour y arriver.

Bravo et c'est très bien écrit. Agrémente si tu peux avec quelques photos qui donnera encore plus de vie à tes textes.
Ton récit est l'un des plus excitant que j'ai lu et j'en ai lu énormément.
Continue.

J'adore et j'attends la suite avec impatience.

Salut à tous !
Je reviens pour le chapitre 2 de mon histoire.

Premièrement, j'ai mis du temps à publier ce chapitre qui pourtant était écrit à 90% depuis plusieurs mois. Le travail, le manque de temps, les problèmes d'ordinateur, etc...
Bref, je m'était arrêté aux derniers paragraphes et je n'ai pu finir que très récemment. Je compte publier les trois parties de ce chapitre au fur et à mesure de la relecture.

Deuxièmement, j'ai encore 3 chapitres en tête pour cette histoire. J'aimerai aller au bout de ces trois chapitres et ensuite passer à une autre histoire, même si j'ai aussi en tête d'autres idées concernant celle-ci, cinq chapitres, ce serait déjà très bien. J'éspère simplement trouver un peu plus de temps dans les prochains mois pour avancer rapidement.

Troisièmement enfin, merci pour vos retours, même s'ils ne sont pas très nombreux, j'ai beaucoup apprécié.
Pour répondre à quelques questions :
- Pourquoi ne pas publier sur un autre site dédié aux histoires érotiques : Peut être plus tard quand j'aurai avancé suffisamment sur cette histoire. Pour l'instant je trouve que c'est un bon endroit pour un galop d'essai. Idéalement je republierai cette histoire ailleurs après quelques corrections
- Intégrer de la bisexualité forcée dans le récit : Je ne sais pas si cela plaira à tout le monde, mais j'ai mis un peu plus de domination/ bi forcée dans ce chapitre. Je ne sais pas jusqu'où j'irai. Cette histoire reste principalement candauliste et j'aimerai par la suite écrire une histoire dédiée à la bisexualité forcée.
A titre personnel, même si ce n'est pas mon fantasme principal, je trouve que les histoires bi sont très rares (et parfois très moyennes) et que la dynamique des relations est très intéressante à explorer (trio entre le bull, la fille et le cocu/soumis/bi forcé).

Bonne lecture !


Chapitre 2 : Une soirée au cinéma

a) Des étudiants travailleurs

Comme tous les vendredi matins, Greg arrivait un peu après 9h à son école. Il n'avait pas cours ce matin et comptait bien mettre ce temps à profit pour réviser durement. En tous cas s'il trouvait un endroit calme pour poser ses affaires et travailler au calme. Il se dirigea vers ses amis pour les saluer. Après quelques échanges de politesses, le groupe se dirigea vers l'escalier. Au troisième étage, une petite salle de classe était ouverte en permanence. Ils aimaient plaisanter en disant que c'était leur secret et qu'ils étaient des initiés.


Même s'il s'était couché tard la veille, il avait très bien dormi et se sentait parfaitement reposé. Il faut dire que sa discussion avec sa petite amie avait été particulièrement excitante pour lui. Toute la fatigue et le stress accumulés depuis le début de l'année s'étaient évaporés grâce à ses révélations. Il avait passé un moment hors du temps et savait qu'il aurait bientôt l'occasion de le revivre. Depuis son réveil, il avait souvent regardé son téléphone pour relire le dernier message de la soirée.

« Ok, John peut t'enculer. Pas de sexe vaginal, juste une pipe et une sodomie. Tu avales si tu veux. Et je veux des photos ! »

Au-dessus de ce message, la photo d'Aline couverte de sperme réveillait son désir. Il avait vu ce que John avait à offrir et était terriblement excité en imaginant la jolie brune lui murmurer à l'oreille sa nouvelle devise : « encule-moi ! ».

Greg senti son téléphone vibrer dans sa poche. Un MMS d'Aline. Avant de l'ouvrir, il jeta un regard discret autour de lui pour être sûr que ses camarades ne verraient pas la photo.

L'image n'était pas très lumineuse, légèrement orangée. Un membre magnifique, long et droit, recouvrait le côté gauche du visage d'Aline, cachant son œil, remontant de son menton jusqu'à la base de sa chevelure. Sur le côté droit, on pouvait lire un grand sourire et un regard plein de gourmandise. Elle semblait heureuse. Le texte accolé disait « Je crois que John sera un très bon entraîneur ». Greg s'assit pour dissimuler une érection naissante. Il répondit au message : « Tu vas le laisser te prendre dès le matin ? Ça te manquait tant que ça ? ».

A ce moment-là, Greg senti quelqu'un se glisser derrière lui. Il cacha son téléphone sans savoir s'il avait pu voir la photo. C'était Romain. Romain et Greg étaient très proches depuis leur arrivée dans l'école il y avait un peu plus d'un an. Ils étaient rapidement devenus les inséparables de la promo. On ne voyait jamais l'un sans l'autre disaient leurs camarades. Romain repris la discussion du groupe, qui portait toujours sur leur salle secrète. « Entre amis, il faut savoir garder des secrets », dit-il en posant une main sur l'épaule de Greg. Il posa son sac sur la table et s'installa. Ils avaient pris l'habitude de travailler face à face pour partager leurs questions et leurs conseils.

Le groupe d'étudiant se mis au travail et la journée repris son cours sans qu'Aline ne réponde au SMS. Greg s'imaginait déjà sa petite amie sodomisée par son nouvel amant dans un recoin d'un bâtiment mal entretenu de la faculté. Peut-être dans des toilettes où sous l'escalier d'un étage peu fréquenté.

Après l'heure du déjeuner, la réponse arriva enfin. Un nouveau MMS, une nouvelle photo d'Aline. Cette fois-ci, l'organe était profondément enfoncé dans sa bouche. Il manquait encore 4 ou 5 centimètres pour que ses lèvres atteignent la base du sexe. « Deuxième entrainement de la journée. Encore du travail ! Dois filer en cours de droit ». Romain essaya de se glisser une nouvelle fois derrière son ami pour lire le message. Greg était désormais sur ses gardes et dissimula le téléphone à temps.

Lors du cours suivant, Greg fût appelé au tableau pour corriger un exercice. Assis à côté de lui comme à son habitude, Romain saisi l'occasion pour fouiller son téléphone, espérant ainsi trouver les photos osées de la belle. Greg savait qu'en remontant le fil de la discussion, Romain saurait tout sur ce qu'il s'était passé la veille, qu'il verrait les photos d'Aline suçant tous ses camarades de classe.

Lorsque les cours finirent, les deux amis s'isolèrent pour parler.

– Alors c'est ça ton délire ? Carrément bandant !
– T'es sérieux ? En tous cas, t'as intérêt à ne rien balancer !
– Une vraie tombe mon ami. En tous cas, je trouve pas ça bizarre. C'est même carrément sexy ! Je suis sûr qu'il y a plein de gens comme toi. Si seulement je pouvais moi aussi me trouver une petite salope anale qui ne demande qu'à sucer tous ses potes...
– T'es vraiment spécial quand tu parles de cul, tu le sais ça ?

Romain ne parlait jamais de ses rencontres où de ses fantasmes. Parfois, il abordait des détails sous la forme d'une allusion ou d'une blague, laissant ainsi toujours planer un mystère sur sa vie sentimentale. S'il se confiait plus facilement à Greg, lui-même était loin de tout connaître sur sa vie privée.

– Ecoute moi Greg, c'est pas bizarre du tout. Je vais te dire un truc, un jour j'ai même rencontré un mec qui cherchait des amants pour sa femme.
– Comment ça des amants ? Pour un plan à trois ?
– Non, même pas ! Le mec disait qu'ils étaient libertins au début, et puis qu'il avait vite compris qu'il ne voulait pas des autres nanas. Finalement, le type cherchait juste des hommes pour sa femme sur internet. Pas de contre-parties, rien en retour. Juste pour lui faire plaisir.
– Romain, je t'aime bien. Mais tu traînes vraiment sur des sites de tarés.
– Et tu penses qu'elle va le faire ce soir ? Avec ce gars de la fac ?
– Non, pas ce soir. Il est pas en cours le vendredi après-midi et en plus elle ne lui a encore rien dit. Pour le moment, elle ne fait que de lui tailler des pipes.
– Et tu penses qu'elle veut vraiment se faire enculer par ce gars ?
– Oui, elle m'a dit hier qu'elle adorait l'anal mais qu'elle préférait le faire avec d'autres gars.
– Greg, ta meuf me fout la gaule !

Romain passa sa main sur son pantalon, attirant l'attention de son ami sur le large cylindre qui courait le long de sa jambe gauche.

– Regarde Greg ! Je bande pour ta Aline. Moi aussi je veux que tu me la prête !
– Arrête tes conneries, ça marche pas comme ça en plus.
– Donc madame choisi ?
– Madame choisi. Enfin, je crois. Je ne sais pas, on n’a pas parlé de ça.
– Et si tu me la présentais ce week-end, peut-être qu'elle me choisirait ?
– Ce week-end on va au ciné.
– Semaine prochaine ?
– T'es fou, tu sais qu'on a des examens à préparer ! Après, si tu veux. Pendant les vacances.

Après cet échange, les deux garçons rejoignirent leur groupe dans la salle de travail. Ils s'installèrent face à face une fois de plus et reprirent leurs révisions. L'école était presque vide, aucun bruit pour troubler leur concentration. La vibration du téléphone fût d'autant plus remarquée qu'elle brisa ce silence de cathédrale. « John est revenu à la fac après le cours de psycho. Retour à l'entraînement. ». Greg coupa la sonnerie du téléphone puis reposa le sur la table, à la portée de Romain qui s'en saisit discrètement.

Le téléphone au centre, Les deux étudiants attendaient le second SMS avec impatience, incapables de se concentrer. Après une demi-heure à trépigner, l'écran s'illumina. Le visage d'Aline était recouvert de sperme. « John me dit de faire disparaître toutes les preuves. C'est un bon coach, il méritait une récompense. Hâte de te voir demain. Je t'aime. ».

Romain se saisit de l'appareil, se leva sans dire un mot et quitta la pièce. Lorsqu'il revenu, il se rassit avec le même sang-froid et reposa le téléphone sur la table. Trop concentrés, le groupe d'ami ne remarqua rien de la scène qui se jouait devant eux.

En réponse, Romain avait envoyé la photo d'un sexe démesuré. D'une longueur extraordinaire et d'une largeur bien supérieure à celui de Greg, il recouvrait entièrement la paume de la main qui le soutenait. Droit et veineux, il était d'une même épaisseur de la base jusqu'au gland. Ce membre était gigantesque, se dressant avec puissance et de fierté. Il était très au-dessus de la moyenne, au-delà même des standards de l'industrie pornographique. Greg était impressionné par l'anatomie de son ami.

Sous l'image, Greg avait saisi son numéro de téléphone. Le texte disait : « Mon pote Romain aussi se porte bénévole pour ton entraînement ».

Salut à tous !
Je reviens pour le chapitre 2 de mon histoire.

Premièrement, j'ai mis du temps à publier ce chapitre qui pourtant était écrit à 90% depuis plusieurs mois. Le travail, le manque de temps, les problèmes d'ordinateur, etc...
Bref, je m'était arrêté aux derniers paragraphes et je n'ai pu finir que très récemment. Je compte publier les trois parties de ce chapitre au fur et à mesure de la relecture.

Deuxièmement, j'ai encore 3 chapitres en tête pour cette histoire. J'aimerai aller au bout de ces trois chapitres et ensuite passer à une autre histoire, même si j'ai aussi en tête d'autres idées concernant celle-ci, cinq chapitres, ce serait déjà très bien. J'éspère simplement trouver un peu plus de temps dans les prochains mois pour avancer rapidement.

Troisièmement enfin, merci pour vos retours, même s'ils ne sont pas très nombreux, j'ai beaucoup apprécié.
Pour répondre à quelques questions :
- Pourquoi ne pas publier sur un autre site dédié aux histoires érotiques : Peut être plus tard quand j'aurai avancé suffisamment sur cette histoire. Pour l'instant je trouve que c'est un bon endroit pour un galop d'essai. Idéalement je republierai cette histoire ailleurs après quelques corrections
- Intégrer de la bisexualité forcée dans le récit : Je ne sais pas si cela plaira à tout le monde, mais j'ai mis un peu plus de domination/ bi forcée dans ce chapitre. Je ne sais pas jusqu'où j'irai. Cette histoire reste principalement candauliste et j'aimerai par la suite écrire une histoire dédiée à la bisexualité forcée.
A titre personnel, même si ce n'est pas mon fantasme principal, je trouve que les histoires bi sont très rares (et parfois très moyennes) et que la dynamique des relations est très intéressante à explorer (trio entre le bull, la fille et le cocu/soumis/bi forcé).

Bonne lecture !


Chapitre 2 : Une soirée au cinéma

a) Des étudiants travailleurs

Comme tous les vendredi matins, Greg arrivait un peu après 9h à son école. Il n'avait pas cours ce matin et comptait bien mettre ce temps à profit pour réviser durement. En tous cas s'il trouvait un endroit calme pour poser ses affaires et travailler au calme. Il se dirigea vers ses amis pour les saluer. Après quelques échanges de politesses, le groupe se dirigea vers l'escalier. Au troisième étage, une petite salle de classe était ouverte en permanence. Ils aimaient plaisanter en disant que c'était leur secret et qu'ils étaient des initiés.


Même s'il s'était couché tard la veille, il avait très bien dormi et se sentait parfaitement reposé. Il faut dire que sa discussion avec sa petite amie avait été particulièrement excitante pour lui. Toute la fatigue et le stress accumulés depuis le début de l'année s'étaient évaporés grâce à ses révélations. Il avait passé un moment hors du temps et savait qu'il aurait bientôt l'occasion de le revivre. Depuis son réveil, il avait souvent regardé son téléphone pour relire le dernier message de la soirée.

« Ok, John peut t'enculer. Pas de sexe vaginal, juste une pipe et une sodomie. Tu avales si tu veux. Et je veux des photos ! »

Au-dessus de ce message, la photo d'Aline couverte de sperme réveillait son désir. Il avait vu ce que John avait à offrir et était terriblement excité en imaginant la jolie brune lui murmurer à l'oreille sa nouvelle devise : « encule-moi ! ».

Greg senti son téléphone vibrer dans sa poche. Un MMS d'Aline. Avant de l'ouvrir, il jeta un regard discret autour de lui pour être sûr que ses camarades ne verraient pas la photo.

L'image n'était pas très lumineuse, légèrement orangée. Un membre magnifique, long et droit, recouvrait le côté gauche du visage d'Aline, cachant son œil, remontant de son menton jusqu'à la base de sa chevelure. Sur le côté droit, on pouvait lire un grand sourire et un regard plein de gourmandise. Elle semblait heureuse. Le texte accolé disait « Je crois que John sera un très bon entraîneur ». Greg s'assit pour dissimuler une érection naissante. Il répondit au message : « Tu vas le laisser te prendre dès le matin ? Ça te manquait tant que ça ? ».

A ce moment-là, Greg senti quelqu'un se glisser derrière lui. Il cacha son téléphone sans savoir s'il avait pu voir la photo. C'était Romain. Romain et Greg étaient très proches depuis leur arrivée dans l'école il y avait un peu plus d'un an. Ils étaient rapidement devenus les inséparables de la promo. On ne voyait jamais l'un sans l'autre disaient leurs camarades. Romain repris la discussion du groupe, qui portait toujours sur leur salle secrète. « Entre amis, il faut savoir garder des secrets », dit-il en posant une main sur l'épaule de Greg. Il posa son sac sur la table et s'installa. Ils avaient pris l'habitude de travailler face à face pour partager leurs questions et leurs conseils.

Le groupe d'étudiant se mis au travail et la journée repris son cours sans qu'Aline ne réponde au SMS. Greg s'imaginait déjà sa petite amie sodomisée par son nouvel amant dans un recoin d'un bâtiment mal entretenu de la faculté. Peut-être dans des toilettes où sous l'escalier d'un étage peu fréquenté.

Après l'heure du déjeuner, la réponse arriva enfin. Un nouveau MMS, une nouvelle photo d'Aline. Cette fois-ci, l'organe était profondément enfoncé dans sa bouche. Il manquait encore 4 ou 5 centimètres pour que ses lèvres atteignent la base du sexe. « Deuxième entrainement de la journée. Encore du travail ! Dois filer en cours de droit ». Romain essaya de se glisser une nouvelle fois derrière son ami pour lire le message. Greg était désormais sur ses gardes et dissimula le téléphone à temps.

Lors du cours suivant, Greg fût appelé au tableau pour corriger un exercice. Assis à côté de lui comme à son habitude, Romain saisi l'occasion pour fouiller son téléphone, espérant ainsi trouver les photos osées de la belle. Greg savait qu'en remontant le fil de la discussion, Romain saurait tout sur ce qu'il s'était passé la veille, qu'il verrait les photos d'Aline suçant tous ses camarades de classe.

Lorsque les cours finirent, les deux amis s'isolèrent pour parler.

– Alors c'est ça ton délire ? Carrément bandant !
– T'es sérieux ? En tous cas, t'as intérêt à ne rien balancer !
– Une vraie tombe mon ami. En tous cas, je trouve pas ça bizarre. C'est même carrément sexy ! Je suis sûr qu'il y a plein de gens comme toi. Si seulement je pouvais moi aussi me trouver une petite salope anale qui ne demande qu'à sucer tous ses potes...
– T'es vraiment spécial quand tu parles de cul, tu le sais ça ?

Romain ne parlait jamais de ses rencontres où de ses fantasmes. Parfois, il abordait des détails sous la forme d'une allusion ou d'une blague, laissant ainsi toujours planer un mystère sur sa vie sentimentale. S'il se confiait plus facilement à Greg, lui-même était loin de tout connaître sur sa vie privée.

– Ecoute moi Greg, c'est pas bizarre du tout. Je vais te dire un truc, un jour j'ai même rencontré un mec qui cherchait des amants pour sa femme.
– Comment ça des amants ? Pour un plan à trois ?
– Non, même pas ! Le mec disait qu'ils étaient libertins au début, et puis qu'il avait vite compris qu'il ne voulait pas des autres nanas. Finalement, le type cherchait juste des hommes pour sa femme sur internet. Pas de contre-parties, rien en retour. Juste pour lui faire plaisir.
– Romain, je t'aime bien. Mais tu traînes vraiment sur des sites de tarés.
– Et tu penses qu'elle va le faire ce soir ? Avec ce gars de la fac ?
– Non, pas ce soir. Il est pas en cours le vendredi après-midi et en plus elle ne lui a encore rien dit. Pour le moment, elle ne fait que de lui tailler des pipes.
– Et tu penses qu'elle veut vraiment se faire enculer par ce gars ?
– Oui, elle m'a dit hier qu'elle adorait l'anal mais qu'elle préférait le faire avec d'autres gars.
– Greg, ta meuf me fout la gaule !

Romain passa sa main sur son pantalon, attirant l'attention de son ami sur le large cylindre qui courait le long de sa jambe gauche.

– Regarde Greg ! Je bande pour ta Aline. Moi aussi je veux que tu me la prête !
– Arrête tes conneries, ça marche pas comme ça en plus.
– Donc madame choisi ?
– Madame choisi. Enfin, je crois. Je ne sais pas, on n’a pas parlé de ça.
– Et si tu me la présentais ce week-end, peut-être qu'elle me choisirait ?
– Ce week-end on va au ciné.
– Semaine prochaine ?
– T'es fou, tu sais qu'on a des examens à préparer ! Après, si tu veux. Pendant les vacances.

Après cet échange, les deux garçons rejoignirent leur groupe dans la salle de travail. Ils s'installèrent face à face une fois de plus et reprirent leurs révisions. L'école était presque vide, aucun bruit pour troubler leur concentration. La vibration du téléphone fût d'autant plus remarquée qu'elle brisa ce silence de cathédrale. « John est revenu à la fac après le cours de psycho. Retour à l'entraînement. ». Greg coupa la sonnerie du téléphone puis reposa le sur la table, à la portée de Romain qui s'en saisit discrètement.

Le téléphone au centre, Les deux étudiants attendaient le second SMS avec impatience, incapables de se concentrer. Après une demi-heure à trépigner, l'écran s'illumina. Le visage d'Aline était recouvert de sperme. « John me dit de faire disparaître toutes les preuves. C'est un bon coach, il méritait une récompense. Hâte de te voir demain. Je t'aime. ».

Romain se saisit de l'appareil, se leva sans dire un mot et quitta la pièce. Lorsqu'il revenu, il se rassit avec le même sang-froid et reposa le téléphone sur la table. Trop concentrés, le groupe d'ami ne remarqua rien de la scène qui se jouait devant eux.

En réponse, Romain avait envoyé la photo d'un sexe démesuré. D'une longueur extraordinaire et d'une largeur bien supérieure à celui de Greg, il recouvrait entièrement la paume de la main qui le soutenait. Droit et veineux, il était d'une même épaisseur de la base jusqu'au gland. Ce membre était gigantesque, se dressant avec puissance et de fierté. Il était très au-dessus de la moyenne, au-delà même des standards de l'industrie pornographique. Greg était impressionné par l'anatomie de son ami.

Sous l'image, Greg avait saisi son numéro de téléphone. Le texte disait : « Mon pote Romain aussi se porte bénévole pour ton entraînement ».

b) Le cinéma


Ce samedi soir, le couple avait prévu une séance de cinéma. Le père de Greg pourrait les déposer au cinéma en début de soirée mais le couple devrait trouver un moyen de rentrer. Il faut dire que le film dans lequel apparaissait Pierre était sorti depuis plusieurs semaines déjà et que l'emploi du temps serré de Greg ne lui avait jusque-là pas permis d'emmener Aline le voir.

Pierre était un ami de la classe de terminale d'Aline. Le meilleur ami d'Alexandre le cinéphile. C'était un beau garçon. Grand, mince, des cheveux clairs coiffés en brosse. Son visage anguleux et son grand sourire avait rapidement tapé dans l'œil des agences de casting. Il était à la fois capable de jouer le séducteur et le mauvais garçon. Son agent aimait dire de lui qu'il était le James Dean Français ou le nouvel Alain Delon, ce qui avait plus pour effet de flatter son égo que de l'aider à trouver des rôles. Ses premières apparitions étaient des publicités. Aline semblait emballée à chaque fois qu'elle le voyait à la télévision, ce qui ne manquait pas de rendre Greg légèrement jaloux.


En parlant des étranges rencontres dont Romain avait parlé la veille, Aline eu une idée. Elle tendit son téléphone à Greg et lui fit son plus beau sourire de séductrice.

– Prends une photo pour Romain.

Greg s'exécuta sans broncher.

– Maintenant écrit : « Coucou belle bite ! Sur quel site fais-tu tes rencontres étranges. Besoin d'une réponse rapide ».

La réponse arriva rapidement. Aline se connecta au site et déposa son annonce.

« Jeune couple, lui 19, elle 18, amatrice sodomie. Cherche homme véhiculé, hygiène irréprochable, pour rencontre cinéma ».

Il fallut peu de temps pour obtenir de nombreuses réponses à l'annonce. Aline balaya les profils des postulants jusqu'à porter son choix sur un homme d'une quarantaine d'année. Il disait être commerçant et qu'il fermait tard son magasin. Comme il ne pourrait pas être à l'heure à la séance, Aline lui donna l'heure de la fin du film et le numéro de la salle. L'affaire réglée, elle se tourna de nouveau vers Greg et retira son haut et son soutien-gorge.

– Pour récompenser ton ami.

Greg pris une nouvelle photo de sa belle et l'envoya à son ami. Elle enleva ensuite son pantalon et son string, s'assit sur le bureau et écarta les jambes. Elle glissa sa main sur son bas ventre et se pencha en arrière pour prendre une pose qui mettait en valeur son intimité. Greg s'agenouilla pour prendre une photo sur laquelle ses petites lèvres étaient parfaitement visibles.

– Tu comptes lui en envoyer beaucoup ?
– Autant qu'il faut pour te rendre jaloux, et surtout pour faire durcir sa belle queue.
– Tu sais qu'il a le même opérateur que toi ?

Aline saisit l’allusion de Greg. Son forfait l’autorisait à enregistrer 5 numéros favoris. Elle n’avait jusque-là déclaré que sa mère, sa sœur, Alexandre et enfin son amie Jessica. En enregistrant le numéro de Romain, elle pourrait lui envoyer un nombre illimité de messages, et donc de photos. Greg manipula le téléphone quelques instants, puis envoya la photo.

– « Illimité ? » questionna Aline pour obtenir une confirmation que l’enregistrement était validé.
– « Illimité ! » lui répondit Greg.
– « Alors reprends en une ! »

Aline attrapa le tube de lubrifiant qui était dans son sac et d'une faible pression fit descendre une goutte sur son index. Elle tourna le dos à son homme, se pencha sur le bureau et posa son doigt sur son anus. Elle réalisa de petits mouvements circulaires puis introduit deux phalanges. Nul doute que Romain apprécierai cette image.




Le père de Greg déposa comme prévu le couple. Si le cinéma faisait le plein en ce samedi soir, il semblait que peu de gens étaient venus voir le film de Pierre. Cette comédie Française de second rang n'attirait pas les foules. D’ailleurs, Greg ne serait jamais allé voir ce film si l'ami d'Aline n'occupait pas un des premiers rôles, mais il était prêt à tout pour que sa belle soir heureuse. La salle était presque vide et le couple s'installa.

Elle portait un jean serré et un pull léger par-dessus son petit haut noir. Son maquillage noir autour des yeux faisait ressortir son regard d'un bleu profond. Lorsque les bandes annonces commencèrent, elle se leva, pris son sac et se dirigea vers la sortie. Dix minutes plus tard, elle revint dans la salle et remonta les marches. Elle portait désormais une petite jupe plissée à carreau d'écolière. Son pull avait disparu, libérant ainsi la vue sur son décolleté et sur son ventre. Sa main était refermée sur un petit bout de tissu noir. En s'asseyant, elle embrassa Greg et lui tendit le string qui était dans sa main. Il le rangea dans la poche intérieure de sa veste. Le film commença.

Le film était peu distrayant. Greg avait glissé sa main sous la jupe d'Aline et la caressait lentement. Elle s'était entièrement rasée pour l'occasion. En retour, elle avait glissait sa main dans son pantalon. Après une heure de film, elle mouillait abondamment.

C’est à ce moment-là qu’était la scène d’amour. On y voyait Pierre rétirer son T-shirt, montrant son torse imberbe et ses abdominaux saillants. Il retira sa ceinture et baissa son pantalon devant la caméra, dévoilant ainsi son fessier musclé à l'audience. Aline se pencha sa tête vers Greg, son regard luisant d'excitation et de luxure. Elle murmura à son oreille : « lèche moi ! ». Jaloux, mais amoureux, il posa un genou à terre et embrassa l'intérieur des jambes de sa belle en remontant lentement, puis gouta son intimité. L'adolescente, excitée par l'acteur et par la situation, coulait plus que jamais. Sa respiration s'accéléra. Entre ses cuisses, Greg ne mis que peu de temps à la faire jouir une première fois. Il sentit sa main passer dans ses cheveux et appuyer sur sa tête pour la maintenir en place. Elle voulait jouir une seconde fois et il ne pouvait pas reculer.

Après quelques temps, Aline se leva et attrapa la main de Greg. Elle le tirait hors de la salle vers les toilettes. Un homme en costume était là, attendant au fonds de la pièce. Elle ferma le verrou derrière elle et retira son haut et son soutien-gorge pour dévoiler sa poitrine, puis s'agenouilla. Impatiente, elle tira la ceinture de Greg et déboutonna son pantalon pour sortir sa bite épaisse et turgescente. Elle le saisit et l'inséra dans sa bouche pour le sucer avec un plaisir qu'elle ne pouvait pas dissimuler. Elle descendait plus profondément à chaque aller-retour, jusqu'à venir s'étouffer un peu après la moitié du sexe. Des larmes coulaient sur son visages et de la salive sortait de sa bouche. Elle crachait sur la belle bite de son homme pour la lubrifier et descendre plus profondément encore. L'entrainement de John payait et Greg prenait son pied. L'homme en costume bouillait lui aussi d'excitation devant cette scène et sorti son pénis pour se masturber devant le couple.

Aline se releva et se dirigea vers lui. Elle posa sa main sur son engin et l'embrassa à pleine bouche. Elle ne se souciait guère du goût de sexe dans sa bouche. L'homme ne protesta pas. Elle se tourna vers Greg pour lui faire signe d'approcher et lui dit de regarder la scène. Elle posa sa main sur la tête de l'étudiant et appuya dessus pour lui intimer l'ordre de descendre. Le couple se mis à genou, à la hauteur du sexe de l'homme en costume. Elle le suça, descendant ses lèvres jusqu'à la base dès le premier essai et malaxant ses testicules d'une main. Greg regardait la scène avec délectation. Il embrassait le cou d'Aline. Sa bouche n'était qu'à quelques centimètres de la bouche de sa bien-aimée. A intervalles régulier, elle prenait une pause pour l'embrasser.

Au bout d'un moment, elle se releva, tourna le dos à l'inconnu, se pencha en avant et posa ses deux mains sur le mur. Elle releva sa jupe d'écolière, libérant l'accès à son postérieur. Greg resta au sol et embrassa ce magnifique cul, rapprochant progressivement ses baisers de la raie d'Aline. Il lui lécha l'anus avec délicatesse pour la préparer à l'acte qui allait commencer. L'homme saisi un préservatif dans sa poche. Greg pris le lubrifiant dans le sac à main et le tendit à l'inconnu. Il s'en enduit le sexe et le doigt, puis posa une goutte de gel sur l'orifice qui lui était offert. Il introduit son pénis dans l'anus d'Aline et commença à la sodomiser avec vigueur et fermeté.

La belle encaissait les coups de boutoir de l'homme sans broncher. Elle respirait fort, criait, jurait. C'était bon et elle le faisait savoir. Elle répétait régulièrement ses phrases préférées : « Encule moi, encule moi bien fort ! Vas-y à fonds ! Défonce-moi bien ! Défonce-moi bien comme une petite salope ! ». L'homme répondait à ses provocations en accélérant le rythme. Il jurait également : « T'aimes ça petite salope, hein ! T’aime te faire bien prendre le cul comme une petite pute ! Et devant ton mec en plus ! T'es vraiment la pire des salopes. ». Greg ne ratait pas une miette du spectacle. Il essayait tant bien que mal d'immortaliser la scène avec son téléphone. Prenant des photos et de courtes vidéos. A force de pilonner l'adolescente, l'homme finit par jouir dans sa capote.

Sans dire un mot, Aline se retourna et s'agenouilla devant Greg pour l'embrasser à pleine bouche. L'homme avait enlevé son préservatif et commençait à se rhabiller quand la jolie brune lui lança un regard plein de vice. Elle posa une main sur son bassin et se tourna légèrement vers lui. La belle commença à le branler de son autre main, faisant glisser ses doigts sur son gland couvert de sperme et encore sensible après son orgasme. L'homme semblait à l'agonie. Le voir grimacer ainsi amusait Aline qui continuait de plonger son regard dans le sien tout en faisant de petits cercles avec son index sur l'extrémité violacée de l'organe.

Elle embrassa Greg, puis porta son doigt à la bouche. Elle aimait gouter le sperme et son sourire laissait croire qu'elle appréciait le goût de celui de l'inconnu. Elle glissa sa langue sous le membre de l'homme puis remonta lentement jusqu'à dessiner sur son gland avec sa langue les mêmes petits cercles qu'avec son doigt. L'homme poussait de petits cris de souffrance. Imperturbable, elle continuait son numéro sans jamais détourner son regard.

Elle embrassa Greg une nouvelle fois. Sa bouche avait un goût légèrement salé. Puis elle lui fit lécher les doigts de la main qu'elle avait utilisé pour le masturbé et l'embrassa encore. Ces deux-là partageaient maintenant le parfum de l'inconnu. Elle se saisi du préservatif rempli et le vida dans sa bouche qu'elle ouvrit grand pour lui montrer le liquide blanc au fond de sa gorge. Greg pris une photo. Aline posa ensuite sa main derrière le cou de son amoureux et l'embrassa avec passion. Elle remonta légèrement pour prendre l'ascendant sur lui et laisser le sperme s'écouler dans sa bouche. Puis elle se saisi du téléphone et dirigea la caméra vers Greg qui ouvrit la bouche à son tour.

« Avale maintenant ! Tu vas aimer ça toi aussi. »

c) Le retour à la maison

Après ce moment d’une rare perversion, la tension était redescendue et la gêne avait fait place à l'excitation. L'homme en costume, visiblement satisfait de sa soirée, raccompagna le jeune couple comme prévu, ne parlant que pour demander son chemin. A l'arrière, Greg et Alice discutaient calmement de ce qu'ils venaient de vivre, encore enivrés de leurs émotions. Ils s'étaient laissés portés par leur excitation et étaient étonnés d'être allés aussi loin avec autant de facilité. Les fantasmes et les envies de chacun s'étaient comme connectés l'espace d'un instant.

– C'est les fesses de Pierre qui t'ont excité à ce point-là ?

Aline rit. Elle roula ses yeux sur le côté pour regarder son petit ami. Le regard qu'elle lui portait témoignait à la fois d’une fatigue intense et de l'amour sans limite qu'elle ressentait.

– Oui, un peu. Pas que ça. Les fesses de Pierre, son beau torse musclé, ton incroyable bite dans ma main, ton incroyable main sous ma jupe, l'inconnu qui nous attendait dans les toilettes... Je crois que c'est je n'ai jamais autant aimé le cinéma. Même si on a raté la fin du film.
– Pourquoi tu n'essaie pas de voir Pierre alors ?
– Je ne sais pas, j'aurai très certainement une chance de le séduire si je lui disais que j'avais envie qu'il m'encule mais comme c'est le meilleur ami d'Alexandre... Je n'y ai jamais réellement pensé. Tu crois que je devrais ?
– Moi j'aimerai beaucoup, enfin, non... J'aimerai beaucoup que tu aies un nouvel amant, enfin pas un nouvel amant pour avoir un amant, juste pour que tu sois heureuse.

L'homme au volant les interrompit : « Tu es cocu ! »

« Et toi tu es Chauffeur ! », répondit sèchement Aline. Maintenant chauffeur, tu tournes à gauche à la prochaine, puis quatrième à droite, tu rentres dans la résidence et tu fermes ta gueule. Je ne veux plus t'entendre parler pour autre chose que pour demander ton chemin. » L'homme ravala sa salive et répondit un simple « Oui, madame ». Greg était subjugué par l'autorité naturelle qui se dégageait soudainement d'Aline.

– Il a raison, tu es cocu. Mais tu es mon cocu et c'est moi qui décide de qui peut t'appeler comme ça. Donc, cocu, tu me donnes des idées. Pierre est injoignable depuis qu'il se prend pour une star de cinéma. Il a un nouveau téléphone, son agent filtre tout, il a son appartement à Paris... Je vais demander à Alex s'il le voit encore. Mais je te préviens, peut-être qu'Alex voudra sa commission.

Alors qu'elle envoyait un SMS à son ancien amant, son regard s'était rallumé. La fatigue avait disparu et la lubricité était revenue. La voiture s'approchait du quartier de Greg. Aline pointa du doigt une place libre à une distance raisonnable de la maison.

– Gare-toi ici, Chauffeur, et donne-moi ton numéro de téléphone. Si j'ai encore besoin de toi un jour, je t'appellerai. Et c'est moi qui fixerai le prix de la course bien sûr…

L'homme s'exécuta et Aline enregistra le numéro dans son répertoire en le nommant simplement « Chauffeur ». Le couple sortit du véhicule et rentra à la maison. Ils prirent une douche et allèrent se coucher.



Ils étaient nus au lit. Greg n'avait pas encore joui ce soir et Aline savait qu'elle pourrait tirer profit de sa frustration pour arriver à ses fins. Elle s'était placée entre ses jambes et le branlait lentement. Elle saisit les deux mains de son homme pour les amener au-dessus de sa tête et lui ordonna de rester immobile. Elle se leva et pris son sac pour le poser à côté des jambes de Greg puis fouilla quelque temps. Elle en sorti une paire de menottes et attacha les mains de Greg sur les barreaux du lit. Elle reprit sa place entre ses jambes, plongea ses yeux dans les siens et repris sa masturbation.

– Tu as aimé me voir comme ça ? Me voir en train de me faire enculer par un homme inconnu, plus âgé que toi ?
– Oui mon amour.
– Tu aimerais me voir encore, me voir me faire enculer par d'autres inconnus ? Par tous mes amants ?
– Oui mon amour. Je sais que tu aimes la sodomie.

Greg s'approchait lentement de l'orgasme. Sa respiration s'accélérait. Aline ralentit pour faire durer le plaisir. Attaché et au bord de la jouissance, l'étudiant savait qu'il était à la merci de sa bien-aimée.


– Tu veux savoir pourquoi j'aime tant la sodomie ? Dit-elle en reprenant ses recherches dans le sac.
– Oui, j'aimerai tellement savoir.
– Tu aimerais savoir ce que je ressens ?
– Oui, dis-moi.
– Non. Le plus simple, c'est encore de te faire essayer.

Elle sortit le tube de lubrifiant, s'en versa une petite goute sur l'index et glissa sa main entre les jambes de Greg. Il sentit le gel froid sur son anus. Elle appuya le bout de son doigt et commença à masser lentement le petit orifice pour le détendre. Greg appréciait la sensation et décida de se laisser aller. Il releva les jambes pour faciliter l'accès, presque par réflexe. Le doigt fin d’Aline rentra sans problème.

– Et le sperme ? Tu as aimé le sperme ?
– Je ne sais pas... J'étais pris dans l'excitation du moment...
– Tu as aimé où non ?
– Un peu... Je ne sais pas.
– Dit oui ! Je sais que tu as aimé son sperme. Il était bon.

A ce moment-là, Aline introduit un second doigt. Son index et son majeur étaient désormais profondément enfoncés dans les fesses de Greg, incapable de résister, les bras attachés au lit au-dessus de sa tête. « Oui, oui putain ! » avouait-il sous la torture.

Encore une fois, il trahissait son excitation par son ton vulgaire qui était inhabituel pour lui. Aline interprétait ça comme une invitation à aller plus loin. Elle cessa sa masturbation et sortit délicatement ses doigts. Elle attrapa la boîte de mouchoirs qui était sur le bureau pour s'essuyer les doigts. Elle glissa ensuite un oreiller sous le fessier de Greg, ce qui eut pour effet de relever son bassin, lui laissant un meilleur accès à la fois à son sexe et à son anus. Fermement positionnée derrière ses jambes, elle avança pour l'embrasser, pesant ainsi de tout son poids à l'arrière des cuisses du jeune garçon, faisant remonter encore un peu ses genoux. Aline profita de cette position pour enfouir l'oreiller un peu plus loin sous le bassin. Greg avait maintenant les pieds tournés vers le ciel.

Puis Aline tira légèrement l'oreiller qui était sous la tête de Greg. Ses épaules s'enfoncèrent dans le lit et son cou se plia. La tête rentrée vers son torse et son bassin tourné vers le ventre, replié sur lui-même, le visage de Greg faisait face à son sexe, dressé devant ses propres yeux. Sa bouche et son gland n'étaient plus séparés que de quelques centimètres. D'une pression de son bassin, Aline poussa un peu plus sur son fessier. Le sexe avança encore.

– Dis-moi mon amour, elle est bien légère ta boîte de mouchoirs. Tu t'es bien branlé cette semaine. J'espère que tu pensais à moi, que tu regardais mes photos.
– Oui mon cœur ! J'ai regardé tes photos. Je me suis branlé devant les photos de toi en train de sucer Alex.
– Ça en fait des mouchoirs tout ça. Si tu veux que je t'envoie plus de photos, il faut que je te montre une technique pour économiser tes mouchoirs. Reste dans cette position mon petit soumis.

Aline posa sa main gauche sur le fessier de Greg pour l’empêcher de se relever et repris son sexe de sa main, reprenant de plus belle sa masturbation. Le jeune homme était proche de l’orgasme et, dans cette position inconfortable, il lui serait impossible d’esquiver le flot de sperme qui allait se déverser sur lui. Excité au plus haut point, il ne se souciait plus de rien d’autre que de sa jouissance.

- Ouvre la bouche mon chéri ! Ouvre bien grand !

Pris dans l’instant et incapable de se rebeller, Greg s’exécuta sans broncher. Aline dirigea le membre tendu vers sa bouche et accéléra encore le mouvement. De longues et épaisses giclées de sperme vinrent recouvrir le visage de Greg. Une partie s’était déversée dans sa bouche, le reste était étalé sur son visage à cause des mouvements frénétiques de masturbation.

L’étudiant avait jouit comme rarement il avait joui et ressentait maintenant un étrange mélange de gêne, de honte et de détente totale. Encore sous le choc de ce qui venait de se produire, il reprenait lentement son souffle. Aline avait lâché ses jambes et retiré l’oreiller, lui permettant de s’allonger à nouveau.

Pendant que son homme récupérait, Aline pris son téléphone sur la table de chevet et pointa la caméra vers lui. Un sourire sadique se dessina au coin de ses lèvres. Elle prit une première photo du visage maculé de foutre de Greg. Incapable de résister, les mains toujours attachées au lit et encore sous le coup de cette intense montée d’adrénaline, il ne protesta pas le moins du monde. Puis, elle exigea qu’il ouvre la bouche pour une troisième photo, il s’exécuta sans résistance.

- Oh non mon chou ! Tu as tout avalé ! Je voulais prendre une photo de toi avec la bouche pleine de sperme !
- Mon cœur, je n’ai plus rien à donner, on recommencera un autre jour si tu veux vraiment.
- Non regarde comment on va faire. Ferme les yeux et ouvre grand la bouche. Laisse toi-faire.

Aline posa son index sur le front de Greg racla méticuleusement tout le sperme qui s’y était étalé, puis déposa toute la semence ainsi récoltée au bord de ses lèvres et prit une nouvelle photo.

- Alors tu aimes-ça ? Tu aimes avaler ton propre sperme comme une salope ?
- Oui mon amour.
- Alors à partir de maintenant, tu me laisseras faire tout ce que je veux avec qui je veux. Tu te branleras en regardant les photos de moi et mes amants. Et surtout, tu vas me présenter ton copain à la grosse bite pour qu’il me baise devant toi. Sinon je lui envoie toutes les photos de ta petite gueule pleine de foutre. Ok ?


Voila pour ce chapitre 2 ! J'espère que ça vous a plu. N'hésitez pas à me faire vos commentaires et autres propositions.
A bientôt pour les chapitres 3 et 4 !

Super, j'ai lu cette fabuleuse histoire avec une superbe trique; moi qui ait du mal a bander!. (70A ça le fait)
A bientot pour la suite. maintenant je vais me branler..Merci

ça me rappelle ma propre histoire de candaulisme avec ma femme (elle m'a toujours cocufié et j'ai toujours aimé ça)

Merci Alain. Heureux d'avoir pu aider.
Profite bien de cette trique !

Ta femme aussi pratiquait la sodomie avec ses amants ? Te faisait participer/regarder ?

Avec tous les amants qu'elle a eut elle y a surement gouté.
Je n'ai jamais participé par contre moi je n'ai jamais eut droit aux pipes et sodomies.
Elle ne m'a jamais rien avoué mais elle a vite compris que je devais savoir et que j'acceptais.
J'ai toujours joui d'etre cocu et elle a bien profité de la liberté sexuelle que je lui ait toujours laissée.
Souvent en rentrant du travail je trouvais le lit refait a la hate, des essuie tout pleins de sperme sous le lit , des capotes.
Comme elle a toujours eut une hygiène aproximative j'ai souvent senti sur elle et dans sa bouche des odeurs d'amour.
J'aurai du mal a compter tous les amants qu'elle a eut en 50A de mariage (des copains, des collègues de travail, des blacks qu'elle allait retrouver au foyer des travailleurs étrangers, des éboueurs qui faisaient une petite halte a leur passage devant notre maison, des routiers Francais et étrangers qui la baisait dans leur cabine de camion quand elle travaillait a coté de l'aire de repos, etc, etc,.
A notre retraite nous avons quitté notre petit village ou elle avait une réputation de putain et moi de con de cocu qui ne voit rien.
Maintenant c'est moi qui lui met dans les pattes des amants que je trouve sur internet sans qu'elle sache que c'est moi qui lui fait rencontrer.
Quand ils viennent la baiser a la maison je vais marcher et je me branle comme je l'ai toujours fait pendant 50A

Dommage que tu n'aies jamais partagé ton excitation avec elle...

Superbe récit
j'attends la suite avec impatience

J’adore ! Vivement la suite !

En espérant que ce récit ne reste pas sans suite en 2020...

La suite est prévue mais je manque un peu d'inspiration et de temps.
Peut-être que je pourrai sortir un nouveau chapitre pendant le confinement !