On a toujours aimé aller nous balader en Belgique. Les gens sont cools, bons vivants et le cul y tient une place moins entachée d'hypocrisie qu'en France le plus souvent (bars à hôtesse, clubs échangistes, vitrines etc).
Cette nuit là, on revenait de Bruxelles après un dimanche passé à visiter le centre, à dîner de spécialités locales, à dragouiller et à faire une exhib très limitée dans le quartier africain en bagnole, près de la gare du Nord. Limitée because les mamas blacks qui sont plutôt protectionnistes avec leurs mecs ! Une d'elle à failli casser la bagnole parce que son homme matait "cette pute blanche!"...
Il était 21 h et on rentrait tranquillou vers la frontière. Fanny étant d'humeur joueuse, je lui proposais qu'on offre à nos amis les routiers un spectacle inattendu. Mais il était un peu tôt pour ce qu'on avait en tête; les camions n'ont pas le droit de rouler entre vendredi soir et dimanche soir 22h. Tous les chevaliers du ruban noir étaient donc parqués près de Mons sur une aire d'autoroute en Belgique, piaffant d'impatience. On a donc bu une paire de cafés et fait du shopping dans la station en attendant. Le printemps étant chaud, la nuit de juin était très douce et Fanny était, et court-vêtue, minijupe en jean ras le bonbon fermée par des boutons devant (facile à enlever!), string rouge sang en dentelle. Elle avait enlevé son tshirt pour ne garder que son blouson bleu clair, en jean également directement à même la peau. Très très mal fermé en haut, devant, et on voyait assez nettement ses seins d'un blanc laiteux, complètement libres. Peu d'hommes de la route dans le magasin, la plupart était déjà dans leurs cabines, mais elle attirait tous les regards: ses longues jambes, ses bottines blanches, son joli minois coquin aux yeux bleus, le nez retroussé, cheveux ondulés comme Adjani dans "lEté meurtrier" et son petit cul bombé si prometteur. J'en pris deux à part pendant qu'elle était allée pisser: "quand vous repartirez, faites passer le mot avec la CB que vous pourrez la voir à poil direction Paris dans un break Subaru bordeaux; bonne route !". "Y aura moyen de plus ?" qu'ils demandèrent ? "Le pire n'est jamais sûr !!" je répliquais. Dix heures et tout le parking se mit à vrombir comme aux 24 heures du Mans camion; on laissa filer les bahuts en file indienne pendant une bonne demi-heure et on suivit le mouvement. Dans la voiture, on avait une flasque de Cognac à portée de main pour lutter contre la fraîcheur probable vers le matin. Je chauffais Fanny encore un max, conduisant d'une main, lui caressant le ventre et les seins en remontant la file de camions à l'infini. Enlevé le blouson, elle se cambrait pour offrir son buste aux caresses et comme je faufilais ma mains entre ses cuisses elle continua à se palucher toute seule, les yeux brillants comme des phares. Je lui rentrait 3 doigts direct après lui avoir titillé le clito, décapuchonné et rigide et commençais à chercher son point G (et oui, ça existe !), petit renflement tendu dans la partie supérieure du con, légèrement crénelé. Je caressais de l'index à l'intérieur posant le pouce sur le pubis à l'extérieur pour gentiment faire pression. Quelle impression fantastique de tenir une fille, jambes ouvertes et sexe baillant par sa partie la plus intime! La vous sentez vraiment qu'elle vous appartient ! Je frottais doucement et fermement la tirant un peu vers le haut tout en doublant les bahuts, fenêtre ouverte et plafonnier allumé....quasiment tous les mecs se penchaient pour mieux voir, certains sifflaient d'admiration, d'autres l'interpellaient et si on comprenait pas tout, on savait bien qu'ils lui promettaient tous de lui mettre bien profond, et pas que dans la chatte, à cette marie-salope ! Nous on doublait en roulant à peine plus vite qu'eux pour qu'ils aient bien le temps de se régaler les yeux, à défaut d'autre chose. Elle poussait une litanie de ah et de oh et de comme c'est bon et je lui racontais comment je pensais que ses admirateurs projetaient de jouir d'elle, où et comment, à combien et dans sa bouche et dans son cul, la maintenant en permanence à la limite de la jouissance. Pour se calmer un peu mais que l'envie dure longtemps elle se mit à genoux, le cul tourné vers la vitre sa jupe depuis longtemps tombée, fesses écartées pour me sucer. Elle engloutit toute ma bite d'un coup: je ne suis pas Rocco, mais elle est plutôt correcte (17/18 cms) et plutôt épaisse. Elle pompait avec ferveur et passion et je ne tardais pas à tout lui envoyer dans la gorge. Elle s'étranglait un peu en avalant le foutre, alors elle bu une longue lampée de cognac et m'embrassa à pleine bouche: c'était un sacré mélange, douceâtre et brûlant à la fois.
Je me remis à la branler, sa chatte était si trempée que sa cyprine coulait tout le long à l'intérieur de ses cuisses, là où la peau est si douce; elle voulu s'exposer encore plus aux regards concupiscents de tous ces hommes, de toutes nationalités, races et couleurs,
la plupart tellement sevrés de sexe et dont elle percevait le désir irrépressible; elle écartait ses fesses rondes et, pendant que je la doigtais toujours, elle se mit un doigt dans le cul pour le branler. On avait pas la CB malheureusement, mais on aurait bien voulu les entendre !!
Puis il fallu s'arrêter prendre de l'essence et deux petits malins nous suivirent. Le plein fait on se gara et entrâmes dans la station pour payer, elle enveloppée dans mon manteau trois fois trop grand pour elle, à poil dessous. Les deux chauffeurs nous rejoignirent, un grand batave roux et osseux, la cinquantaine et un allemand sans doute d'origine turque. Ils demandèrent en anglais "elle veut qu'on la baise ta femme ? Elle a le cul en feu !" Je leur dit de venir dans les toilettes des hommes l'un après l'autre et après nous pour se retrouver dans le box handicapé, là où il y a vraiment de la place. Elle ôta le manteau et fut complètement nue devant les types dont les yeux sortaient de la tête, la bite déjà à la main. "Lequel tu veux sucer d'abord ?" je dis, et elle désigna le plus vieux le hollandais qui arborait un engin noueux et long à la peau rougeâtre; "t'as une capote ? Il fit signe que non "alors tu mates et tu te branles, tant pis". Le jeune (25 ans ?) le germano-turc lui en avait une. Elle se mit à le sucer en fermant les yeux, frémissante d'envie, en sentant la verge faire des va et vient dans sa bouche. Queue assez courte mais mec vigoureux; au bout de 5 minutes il fit le signe international voulant dire qu'il voulait la pénétrer en disant "Fuck hard, lady ?" Fébrile elle mit une jambe relevée sur la lunette et s'ouvrit en grand les fesses et en s'empalant en elle il prononça peut-être les seuls mots français qu'il connaissait à part bonjour "Toi, madame, grosse salope !" et je dis à Fanny, il a raison, tu sais bien que c'est vrai: dis "je suis une grosse salope !" et entre deux gémissement de plaisir elle le répéta comme une prière ! Il déchargea avec un râle, déconna d'un coup de reins, jeta la capote dans les chiottes et claqua le cul offert disant "Merci, dankeschön!" Et le hollandais se finit à la main arrosant ses fesses rougies. " beautiful bitch, very hot slut !"
J'essuyais le sperme collant, lui remis le manteau et nous sortîmes. Elle était heureuse, un peu fatiguée mais loin d'avoir atteint le climax absolu !! Je l'embrassais tendrement et , à peine en voiture elle me dit "branle-moi encore je t'en prie!" Et l'exhib de Fanny repris, tantôt minou offert tantôt le cul à l'air. Les camions klaxonnaient et faisaient clignoter leurs lumières de déco. En arrivant au péage avant Paris un français égrillard cria à Fanny avec l'accent du midi "tu m'as trop allumé, faut que que je te tronche toi, ma belle pute !" " Tu es prêtes, est ce qu'il te plait ?" "Il est pas mal, j'ai mal au ventre d' envie !!!"
A la première aire on s'arrêta et lui de même. C'était un mec de trente ans environ, brun et moustachu, petit et râblé. "Elle est d'accord t'as de la veine" dis-je à l'heureux élu "Et toi, tu devrais jouer au loto, t'as une veine de cocu!" répondit-il. Comme elle sortait de la voiture, toute nue, pour monter dans la cabine de son Volvo, il l'enlaça et lui passant la main entre les cuisses il la retira trempée en disant à Fanny "lèche ta mouille, petite pute !"et elle suça les doigts carrés de son presque étalon. Et à moi, "je te la rendrais heureuse; à toute à l'heure". Il était près de trois heures: je l'entendis crier et gémir jusqu'à 5 heures et demie....puis elle revint, se rhabilla péniblement, vannée.
"Il t'a bien ramonée ma chérie, d'après tes vocalises" "Quelle nuit fantastique" me dit elle: "il m'a épanoui la chatte, mais j'ai vraiment très mal au cul !!!"
Exhib au long cours sur l'A1
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Re: Exhib au long cours sur l'A1
Les cabines de camion sont petites même celles avec couchette. Et puis suivant les positions, je voyais un peu...et l'entendre s'éclater avec en plus les insultes érotiques dont il l'abreuvait en la baisant, c'était assez excitant.
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Re: Exhib au long cours sur l'A1
A l'époque on faisait toutes ces folies à deux. Maintenant, après une période de latence, elle a recommencé mais seule le plus souvent. Elle a d'autres chevaliers servants (plutôt des cavaliers!). Mais elle me raconte en détails.
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Re: Exhib au long cours sur l'A1
Les mecs, l'heureux bandeur qui la tronche le plus fréquemment, notre ami Frank, a recommencé à l'exhiber aux routiers, sur l'A1 et l'A26, ou l'A4: l'autre jours elle en a même sucé deux avec capotes, une nuit de samedi à dimanche, ils étaient bloqués pour le week end et se paluchaient ferme devant son cul et sa moule juteuse ! Frank l'avait baisée dans la soirée sans qu'elle atteigne l'orgasme, pour la frustrer et il sait qu'alors elle accepte beaucoup, même de parfaits inconnus.
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Re: Exhib au long cours sur l'A1
on imagine tomber ainsi sur la miss Fanny, super recit encore une fois