L’hôte homo

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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L’hôte homo

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L’hôte homo

Nous avions une réservation, pour une soirée étape, en chambre d'hôte, en ce mardi. La personne, qui avait réservé, était restée assez flou, quant à sa volonté et à ses désirs.
Sur le coup de dix-neuf heures, je vois une belle voiture flambant neuve, rentrer dans notre propriété et venant stationner devant la porte du garage. Je descends et accueille notre hôte.
Une fois que la personne s'est installée, ses affaires dans la chambre d’amis, son séjour payé, il nous dit s’appeler Maurice. C'est un homme dans la quarantaine, assez grand, une petite bedaine, un petit peu dégarni, mais très sympathique et affable.
Comme à l'accoutumée, j'offre l'apéritif autour du petit bar.
Mon épouse porte une robe courte, qui laisse le haut des bas visible. Elle arbore un beau décolleté, qui cache à peine ses tétons.
Dès le premier verre de champagnisé bu, très vite Maurice me dit qu’il n'est pas très attiré par les femmes et, qu’au lieu de voir la mienne à moitié nue, il préférait que ce soit moi, qui soit dans une petite tenue : Chemisette, fesses à l’air, jambes nues, voir avec des bas, si j'en ai.
Je resserre une flûte de champagnisé à tout le monde, puis demande à ma femme de venir m'aider à enfiler les bas de contention, laissant ainsi Maurice seul au bar, assis sur le haut tabouret chromé.
Quelques minutes plus tard, je reviens avec mon épouse. Je porte des bas de contention noirs, une petite chemise d'été largement entrouverte. Ni short ni caleçon.
- Voilà qui est mieux ! Me dit Maurice, avec un large sourire.
Nous recommençons à discuter autour de l'apéritif, mais, très vite, le sujet tourne sur le sexe, la bisexualité et l'homosexualité. Alors que Maurice laisse tout de même traîner ses yeux dans le grand décolleté de ma femme, il me dit, en se tournant brutalement vers moi :
- Et si pour commencer, tu me suçais, pour que je voie ce que tu vaux.
Je m'aperçois alors que l'homme a déjà ouvert sa braguette, qu'il ne porte ni slip ni caleçon et que sa grosse queue est prête à sortir du pantalon.
Mon épouse suit la scène d’un œil amusé, elle adore me voir sucer un mec, et encore plus, elle craque totalement, quand elle peut me voir me faire enculer.
Je me mets à genoux et commence à prendre sa queue dans la bouche et à le pomper.
Maurice, affichant un large sourire qui s’adresse à mon épouse, me félicite :
- Une bonne salope, qui suce pas mal, bravo !
Puis, mon épouse me rappelle à mes devoirs et me dit qu'il est peut-être temps, de passer à table surtout, que la cuisson du magret est de mon ressort.
J’arrête donc de sucer cette bonne queue et me relève. Je vais à la cuisine m'occuper de la Bête, pendant que Sonia place Maurice à table, puis viens me rejoindre pour préparer les entrées.
Je retourne dans la pièce principale une fois que j’ai lancé la cuisson. Je viens m'asseoir à table.
Mais Maurice me fait signe de m'approcher de lui avant que je ne m'assieye.
- Fais-moi voir ton côté pédale, fais-moi voir tes nichons de fiote.
J'entrouvre encore un peu plus ma chemisette et me laisse peloter, sans vergogne, par cet homme que je ne connaissais pas, une heure auparavant !
Sur ces entre-faits, Sonia revient de la cuisine avec trois assiettes, dans lesquelles sont disposées les entrées. Nous passons à table.
Une fois les entrées terminées et avant que Sonia n’ait eu le temps de débarrasser, Maurice se lève, passe derrière moi, et va peloter les gros nichons de ma femme. Puis, il revient vers moi, la bite à l’air et me dit :
- Tu suces pour finir ton entrée…
Et il me plante littéralement sa grosse queue dans la bouche, alors que je viens tout juste d’avaler une bouchée.
Ma femme repart dans la cuisine, chercher les pommes de terre et la salade et retourner le magret. Maurice me dit alors :
- Entre la poire et le fromage, j'aime bien me faire sucer, mais entre l'entrée et la viande aussi, ça serait bien, que tu puisses passer sous la table !
Je me mets à la place de Sonia, qui est en face de Maurice, pousse sa chaise et passe à quatre pattes sous la table. Mais simplement, pas possible de sucer Maurice, en étant sous la table. Je ressors donc en marche arrière, puis vient à côté de lui.
Il a tourné sa chaise pour qu’elle soit parallèle à la table. Je m'accroupis et je lui gobe la bite, puis le suce doucement.
Sonia m'appelle depuis la cuisine, pour que je l'aide quant à la viande et que je vérifie la cuisson.
Je me relève donc et retourne à la cuisine, une fois de plus.
Dans la pièce, Sonia me dit à voix basse :
- Hé bien dis donc ! Là, c'est un sacré cochon.
Je confirme, puis nous ramenons la suite du repas sur la table de la salle à manger. Le repas reprend son cours. À nouveau, nous discutons de choses et d'autres, mais en permanence Maurice fait des allusions fines sur le cul. Ça ne me choque pas et ça ne gêne pas ma femme, non plus.
Nous avons déjà bu presque une bouteille de Chinon, à trois, quand Sonia va chercher le fromage et le ramène sur la table. Un petit bout de fromage, un petit verre de Chinon puis nous passons au dessert.
Une fois de plus, avant que le dessert ne soit servi et pendant que Sonia est dans la cuisine, Maurice me demande de venir le sucer.
Je reprends la place entre ses cuisses, à quatre pattes, devant sa chaise, qu'il a tourné à nouveau, et le suce.
L’homme en profite pour me peloter, comme si j'étais une femme. Puis, ses mains lâchent mon corps, il introduit son pouce dans le pot de moutarde, qui est resté ouvert, et, subrepticement, en se penchant en avant, il me le glisse dans le cul.
J’arrête ma pipe, empêcher par le corps de notre hôte, penché en avant. L’introduction du doigt n’est pas un problème, mais je me demande avec quoi il a été lubrifié, parce que je ressens une brûlure, qui va crescendo.
- Salaud ! Que m’as-tu mis dans le cul ?
- Mon pouce chéri ! Visiblement, il est entré tout seul, tu reçois du monde par là !
- Qu’est-ce que tu m’as mis dans le cul ? Cette fois, je deviens moins sympa et ma voix trahit mon énervement.
- Un peu de moutarde, tu ne vas pas en mourir… Mais ça va finir de te mettre le feu au cul !
- T’es con toi !
- Tu vas voir comme tu vas aimer… Et, joignant le geste à la parole, Maurice se lève, me prend sous les bras pour m’aider à me remettre debout, pousse sa chaise en arrière, et me tire jusqu’à l’autre bout de la table qui est dégagée.
Je ne comprends pas ce que ce diable d’homme veut faire, aussi, je me laisse mener et suis la manœuvre. Bientôt, je me retrouve assis sur le bord de la table, puis pousser pour être allongé sur le dos.
Maurice S’empare de mes chevilles et les tire sur les côtés, puis, sans plus de précaution que ça, pointe son membre raide sur ma rondelle, et donne un coup de rein, pour entrer une bonne moitié de son chibre, dans mon cul.
Ce n’est pas l’introduction qui est difficile, je m’étais préparé, "à tout hasard", en me pluguant, donc j’ai l’anus bien souple, par contre, la moutarde me chauffe la rondelle de plus en plus, et le passage de cette bite chaude ne calme pas l’affaire.
Ce salaud de Maurice semble bien s’apercevoir que la moutarde me monte au nez, c’est le cas, ou jamais, de le dire !
- Tu vois, je vais avoir de la moutarde aussi sur la bite, alors ne te plains pas…
Et il me pilonne le cul pendant quelques secondes, puis se retire d’un coup, me lâche les chevilles, me donne une tape sur une fesse et ajoute :
- Un petit coup sur la table de la salle à manger, ça me le faisait bien, mais soyons sage pour le moment, il ne faudrait pas effrayer la maîtresse de maison !
Sur ce, je me remets debout et file à la salle de bain, me rincer le trou du cul. Je dévisse la pomme de douche et installe à la place la canule de lavement, je fais couler l’eau jusqu’à ce qu’elle soit à bonne température, puis me rince l’anus, et ensuite, l’intérieur de l’ampoule rectale. Je m’essuie le cul et retourne dans la salle à manger.
Maurice me croise, car il va lui aussi se rincer la bite, dans la salle de bain, au passage, il me vole un baiser. Ensuite, quelques secondes plus tard, il revient à table, sa bite toujours à l’air, elle a juste débandé un peu.
Sonia rapporte le dessert, des petits gâteaux "fait-maison" par un pâtissier du coin, et nous nous régalons tous trois, de ce dessert succulent.
Il est temps de débarrasser la table. Je donne un coup de main à Sonia, puis reviens avec le café, alors que Sonia amène les tasses et le sucre.
Maurice se relève, prend son verre de vin rouge, trempe sa bite dans le verre et me dit :
- Avant de boire le café, viens sucer ma queue… Maintenant, elle aura un meilleur goût.
J’essuie cette bite avec ma langue avant de la reprendre en bouche, ça fait beaucoup rire ma femme. Je prends bien soin de passer ma langue sous la hampe, je titille le méat et je finis par le branler, en même temps que je suce sa queue raide, mais douce.
- C'est bien, tu es un bon garçon, me dit encore Maurice, en retirant sa pine de ma bouche. Mais maintenant, viens prendre le café avant qu'il ne refroidisse.
Nous prenons le café. Je propose de montrer quelques films cochons, que j'ai tourné avec ma salope de femme.
Maurice ne semble pas plus intéressé que ça à la chose. Il propose que nous reprenions encore un café, autour du bar.
Je retourne faire trois cafés, dans la cuisine et je reviens.
Maurice est en train de peloter les gros nichons de Sonia, sans vergogne.
Je pose le café puis, je m'accroupis devant notre hôte et reprends sa bite en bouche, bite que ma femme était en train de tripoter d'ailleurs allègrement. De là où je suis, j'ai une vue en contrebas et je vois Maurice qui est en train d'embrasser goulûment ma salope. Je vois aussi que ma femme a les seins à l’air, que Maurice pelote vigoureusement.
- Ton mari est une sacrée pédale, il suce comme la reine des fiotes !
- Oui, une bonne salope… Une bonne pute, finalement, tu viens parce que tu sais que tu peux te payer cette fiote et demander ce que tu veux, c’est donc bien une pute, non ?
- Oui, on peut voir ça comme ça. L’homme devient songeur, il doit entrevoir toutes les possibilités que lui offre cette situation, qu’il n’avait pas vu sous cet angle.
- Bon, je vous propose de prendre une douche et ensuite, nous allons essayer tous les trois ce grand lit, dans ma piaule, ça vous va ?
Je me relève. Moi, j’ai pris une douche, peu de temps avant l’arrivée de notre hôte. Aussi, je descends et mets le petit chauffage électrique en route, histoire que notre ami n’ait pas froid. Ma salope de femme, quant à elle, n’a que très rarement froid, quand il s’agit de plaisirs sexuels !
L’homme passe un petit moment dans la salle de bain, ma femme me rejoint au sous-sol, dans la chambre d’amis, et retire ses escarpins une fois qu’elle s’est assise sur le bord du lit.
Je m’assieds à ses côtés, et nous attendons notre hôte en discutant de ce que nous ferons le lendemain, dans la journée.
Maurice apparaît bientôt dans l’encadrure de la porte et dit avec un grand sourire :
- Charmant tableau ! Un couple de putes sur leur lieu de travail !
Nous nous regardons avec Sonia, et rions poliment, à la blague du monsieur.
Puis, l’homme, qui est maintenant uniquement vêtue du peignoir en éponge, que nous tenons à disposition des visiteurs, poursuit :
- J’ai vu quelque part que tu portais souvent, un fun-plug, Mikaël. Peux-tu me le montrer ?
- Oui, je vais chercher cela. Puis je me remets debout et sors de la chambre, pour monter à l’étage et aller prendre le jouet en acier, dans mon bureau.
- Et toi, Sonia, tu te mets aussi des plugs et autres gods, pour t’ouvrir le cul ?
- Non, pas besoin, je me fais enculer tous les jours par les clients de mes massages…
- Ha oui ! Donc, tu n’as pas de souci de ce côté-là, alors, j’imagine !
- Non, aucun !
Et les deux se mettent à rire, Maurice en profite pour peloter à nouveau ma femme, et celle-ci se laisse embrasser et tripoter.
Quand je suis de retour, j’annonce clairement :
- Voilà l’objet, dis-je en montrant le jouet, qui est encore assez froid.
Notre hôte tend la main, pour que je lui donne l’objet, tout en continuant à rouler une pelle magistrale, à ma femme.
Je me rapproche du lit et glisse mon jouet dans la main de l’homme, qui vient de cesser son baiser.
- C’est drôlement lourd ton truc là ! Tu peux le garder pour sortir ?
- Oui, je le porte pour bricoler dans le jardin, parfois pour aller en courses, parfois pour aller au sex-shop mater quelques films… Ou pour aller à un rendez-vous dans un camion, par exemple, si le mec se dit très bien monté…
- Ha bon ! C'est pour t’ouvrir ?
- Oui, ainsi, si le mec est vraiment bien monté, il m’encule juste après avoir retiré le plug, et il ne me déchire pas le cul, je suis prêt à prendre gros à ce moment-là.
- Tu es vraiment une bonne petite pute qui a du métier. Remarque, je devrais dire, une bonne vieille pute, tu n’es plus si jeune !
Je sais bien que j’ai dépassé les cinquante et que je ne suis plus un beau jeune homme, qui fait envie, aux gays en général. Ces mots sont assez offensants, et en même temps, ils sont excitants, affriolants, comme quoi l’humain est plutôt compliqué.
- Penche-toi en avant, je veux voir par moi-même comment il rentre ce gros jouet, dans ton cul de vieille pute…
Prévoyant, j’ai aussi descendu du gel dans de petit sachet, comme on en donne dans les sex-shops, avec une capote et le ticket d’entrée. Je donne donc le jouet, avec la petite pochette de gel.
- Tu es prévoyant mon salaud ! Puis se tournant vers Sonia, il poursuit :
- Ton mari doit être un bon habitué, des back-rooms, non ?
- Oui, il y va, quand il m’accompagne à l’appartement, où je reçois et que je suis en rendez-vous.
- Donc, tu es parfaitement au courant, que c’est aussi une grosse tapette, non ?
- Oui, et j’aime ça, c’est une pute, lui aussi, comme ça, on est quitte !
- Vous êtes une drôle de famille, de grosses putes tous les deux !
- Oui… Mais c’est ce que tu recherches, Maurice, rappelle-toi de ce que tu disais au téléphone pour prendre rendez-vous.
- Ouais ! C’est vrai que moi aussi, je suis un gros porc vicieux, d’ailleurs, approche-toi, que je t’enfile ton plug en acier.
Je viens me positionner devant l’homme, puis je me casse en deux vers l’avant, pour lui offrir totalement mon anus, qui est alors ouvert, par la position.
Maurice ouvre la pochette de lubrifiant avec les dents, enduit tranquillement le fun-plug de gel, puis, avec une maîtrise parfaite des mouvements, il m’écarte les fesses, et commence à jouer avec mon anus, et enfonce, doucement, l’objet.
Pour éviter la brûlure, dû au passage de la partie la plus large du jouet, je prends mes fesses à pleines main et les écarte, de manière à ouvrir mon anus le plus possible.
- Gros pédé ! Tu connais la musique toi ! Tu sais comment faire, pour ne pas avoir le cul en feu !
- Oui ! Et toi mon salaud, avec le coup de la moutarde, tu sais aussi comment faire, pour mettre le feu au cul des fiotes !
Sonia, qui commence à s’ennuyer, car plus personne ne s’occupe d’elle, pendant ces joutes verbales, s’allonge alors en travers du lit et demande :
- Alors ? quelqu’un pour venir me lécher l’abricot ?
- J’arrive ma belle, je ne voudrais pas qu’il soit dit, que Maurice a laissé une femme s’ennuyer !
Tu penses ! Pour un mec qui se disait pas intéressé par les femmes, je trouve qu’il court bien vite, au secours de la mienne. Cela dit, nous avons l’habitude aussi des mecs, qui se disent bisexuel., mais qui l’oublient, dès qu’il y a une femme dans le coin !
Un peu comme les mecs, qui font se faire sucer ou qui trempent leur bite dans des trous inconnus, dans les back-rooms de sex-shops, et qui disent, en sortant, qu’ils sont sûrs que c’était une femme qu’ils ont baisée ou qui les a sucés ! Alors que, dans ces lieux-là, quand il y a une femme par mois, c’est déjà un record...
Toutefois, et toujours penché en avant avec mon fun-plug dans l’oignon, j’attends la suite des événements. J’entends des bruits de léchouilles du monsieur dans la chatte de ma femme, quand il m’appelle :
- Ne reste pas comme ça, viens me sucer en même temps.
Je me redresse, me retourne et viens me mettre à quatre pattes sur le lit. Je prends, en me penchant, la queue raide de l’homme dans ma bouche.
Maurice est maintenant couché sur le côté, la tête entre les grosses cuisses de ma pute de femme. Ce salaud bande encore comme un cerf, il a dû prendre des vitamines avant de venir !
Sonia tient fermement la tête de notre hôte entre ses mains, comme pour l’empêcher de se sauver. Elle apprécie les grands coups de langue qui viennent tutoyer son sexe, qui suinte, de salope en chaleur. Elle couine doucement sous les assauts de cette douce langue, et encore un peu plus, quand cette dernière s’insinue, dans ses chairs intimes.
Maurice se régale de cette moule de vieille salope ! Il a toujours eu un faible pour les femmes mûres, et là, cette salope-là, qui fait la pute de temps à autre, ça il en est sûr puisqu’il a reconnu la femme sur une annonce très explicite, est une femme qui paraît plus jeune que son âge, mais il sent bien qu’elle approche de la soixantaine, une bonne cinquantaine bien tassée pour le moins.
Je pompe la bite de notre hôte avec soin. Tantôt, je la branle, de la main droite. Tantôt, je presse doucement les couilles, dans ma paume. L’intérieur de mon ampoule rectal me chauffe encore, suite à l’introduction de cette moutarde, aussi, je tiens à faire jouir l’homme le plus vite possible pour éviter d’en prendre encore un coup dans le cul. Bien que j’aime ça, ce soir, je commence à être assez fatigué et aimerai que la soirée finisse au plus vite.
Cela dit, de sucer cette jolie bite m’excite, et je sens son sphincter se serrer et se desserrer sur la base du fun-plug, qui est toujours bien en place.
- Je veux te voir enculer mon gros porc de mari, la voix de Sonia est impérieuse et ne supporte pas de contradiction.
- Oui, je vais me le mettre, ton gros con de mari, ce vicelard suce comme s’il avait fait l’école du bois de Boulogne !
Je grommelle à peine, ni pour ni contre, car mon anus qui se sert et se dessert sur la base du plug, m’excite de plus en plus. Et j’ai maintenant, une grosse envie de me faire enfiler. Et puis, me faire insulter, m’excite terriblement aussi.
S’ensuit un gros turn-over sur le grand lit de la chambre d’amis. Maurice Se relève, me claque le cul en me demandant de mettre mon cul au bord du lit. Il aide ensuite Sonia à se relever
Très vite, guidé par l’homme, je me retrouve à quatre pattes sur le lit, les genoux au bord, mon cul en l’air, la tête dans les draps. J’attends sagement la suite des opérations.
Sonia vient auprès de mon cul et me retire le fun-plug en prenant soin de ne pas faire mal. Puis, elle me donne une claque sonore, sur mes grosses fesses, et annonce :
- Allez ma pute, tu vas prendre la bite de notre client, et tâche de bien le faire jouir, qu’il ait envie de revenir !
Embarqué dans cette ambiance de stupre et de luxure, Maurice vient se placer derrière moi, enfile la capote que lui tend Sonia, et enfourne, sa grosse bite, directement dans le rectum, devant lui.
- Allez, prends bien ma grosse queue, vieille tapette…
Je subis l’assaut sans faiblir, j’essaye bien de resserrer mon sphincter autour du gros mandrin de chair en moi, mais j’ai bien du mal.
Maurice s’emballe et donne de grands et longs coups de reins, il me sodomise comme un vieux pédé, en me tenant fermement les hanches.
Sonia, qui adore ce genre de spectacle, vient au plus près, flatte les fesses de notre hôte, et se bricole doucement le clitoris, qui la démange de plus en plus.

Maintenant, notre hôte me défonce le cul à grands coups de rein, j’en perds quelque peu l’équilibre, mais reprends tout de suite la position. Ça fait un moment, que je ne me suis pas fait enculer de la sorte, je tâche de resserrer mon sphincter sur ce gourdin de chair, qui m’envahit, mais peine perdue, je n’arrive pas à faire ce que je veux de ce mandrin rose chair !
Mais bientôt, cette vieille pute de Sonia, demande son dû, car voir son mari se faire ainsi défoncer le cul, l’excite de plus en plus, et sa grotte intime la brûle d’envie.
Maurice est tout à son plaisir, il doigte cette femme ronde et gironde, lui roule des pelles endiablées, et promène sa grosse bite au chaud, dans un étui assez serré, pour que ce soit jouissif.
- Ce gros salaud en a eu assez, vient dans mon ventre, maintenant…
Et joignant le geste à la parole, elle s’empare d’une capote neuve et déchire l’emballage.
Maurice Sort sa bite du cul devant lui, le claque et ordonne :
- Allez, dégage, je vais me mettre ta pute, maintenant.
Je me relève, avec quelques difficultés toutefois. J’ai les jambes en compote et le fion bien ouvert. Le médicament contre le diabète a tendance à donner la "va-vite", et là, malgré mon lavement de l’après-midi, je sens qu’il va me falloir courir au "fond-du-jardin". Aussi, je sors rapidement de la chambre d’amis et remonte au rez-de-chaussée.
Maurice retire sa capote et laisse la brune lui installer un nouvel équipement protecteur. Puis, il voit cette femme, ronde mais jolie, se glisser sur le lit et se mettre sur le dos, en lui disant d’une voix étrange :
- Viens me baiser, mon salaud.
L’homme ne se fait pas prier et plonge sa grosse queue dans la grotte intime, détrempée, de Sonia. Il se vautre sur le ventre rond, doux et chaud, et vient envahir la bouche de la femme, de sa langue fouineuse et inquisitrice.
Il ne faut pas longtemps à Sonia, pour commencer à jouir et à se tordre de plaisir. Le pilonnage de sa chatte lui met encore plus le feu au cul, et c’est dans son anus qu’elle a envie de cette belle bite, qui est redevenue bien raide maintenant.
- Tu es une grosse pute aussi toi ! Et t’aime ça visiblement, te faire ramoner la moule, hein morue ?
- Oui, vas-y, baise-moi bien à fond, je vais jouir…
Et bientôt, Sonia jouit bruyamment. Elle prend son pied sous les assauts de cette bite, encore raide, alors qu’elle a déjà déchargé dans le cul de son mari, l’idée apporte encore plus d’excitation, à sa libido.
- Ha ! J’aime ça les bonnes vieilles salopes comme toi, qui apprécient un bon coup de bite…
- Oui, mets-la-moi dans le cul, j’ai envie de ta queue, dans mon cul…
Maurice ne se fait pas prier, et ressort son membre de cette chatte brûlante, pour la glisser doucement, dans l’anus juste au-dessous.
La belle remonte ses cuisses et tient ses jambes repliées avec ses mains, pour offrir, de façon totalement impudique, son trou-du-dimanche à son visiteur.
L’homme est surpris par la douceur de cet anus, tout comme par son confort, et sa façon de s’ouvrir, lorsqu’il plaque sa queue sur le sphincter. Il plonge lentement sa bite le plus loin possible, dans cette grotte chaude, puis, une fois tout au fond, laisse tomber :
- Quelle grosse enculée tu es ! Je me demande si un éléphant ne pourrait pas de la mettre dans ton gros cul !
- Salaud… Encule-moi pour me faire jouir, au lieu de dire des bêtises…
L’homme commence un long mouvement de recul, puis entame une série de va-et-viens qui vont crescendo. Il fait très attention d’aller au plus loin, et au retour, de reculer le plus possible, sans jamais sortir sa bite de l’anus.
- Comme dirait un fameux webmaster, tu as vraiment un anus de velours !
Mais excitée comme elle est, Sonia n’écoute plus du tout, ce que son amant peut dire et commence à jouir. Son excitation est au comble, elle porte ses doigts à son clitoris et se met à se masturber, en cadence avec les coups de boutoirs.
Je reviens à ce moment-là, et, voyant ma salope de femme se branler énergiquement, je viens à ses côtés, lui triture ses mamelles et lui dit :
- Vas-y ma pute, prend ton pied, jouis fort, tu sens l’orgasme qui monte là ?
Elle ne répond plus, se laisse juste aller, et bientôt ses jambes commencent à trembler.
- T’es un champion, Maurice, tu réussis à faire jouir une putain…
- Quelle enculée d’enfer cette grosse morue ! Quand elle jouit, elle a son cul qui se resserre en cadence avec ses tremblements ! Elle va me faire partir cette salope…
- Vas-y toi aussi, fais-toi plaiz !
Je pince les tétons de Sonia, tout en lui susurrant des mots obscènes à l’oreille, mais aussi, en lui disant qu’elle est magnifique, quand elle jouit ainsi, et que je l’aime.
- J’en peux plus ! Viens me sucer toi la fiote…
Et, joignant le geste à la parole, Maurice ressort sa bite de l’anus, retire prestement la capote, qui enfermait sa queue, et me glisse sa bite dans la bouche.
Je n’ai pas le temps de dire ouf que déjà, il se déverse en grosses saccades. Surpris, je suis obligé d’en laisser couler en dehors de ma gueule entrouverte, car je ne peux pas avaler aussi vite, qu’il me remplit !
Sonia jouit en tremblant de tout son corps, alors même qu’elle continue à se branler frénétiquement.
Maurice grogne son plaisir avec des soubresauts de cabri pissant sur une clôture électrique.
Moi, j’avale le foutre de notre client, mais une partie me coule sur le torse. Je fais de mon possible pour le vider totalement.
Sonia, à qui je triture encore et toujours les tétons, et de façon assez sévère encore, continue à jouir avec ses tremblements caractéristiques. J’ai avalé ce que je pouvais du jus de couilles, de mon amant du moment, je sais que ça fait toujours plaisir aux mecs, ce genre de truc.
- Non de Dieu ! Vous êtes peut-être des putes, tous les deux, mais alors, j’ai pris deux panards grands formats, ce soir ! J’ai rajeuni de vingt ans !
- Et tu as donné un orgasme fabuleux à une putain, ce qui n’est pas si simple, vu ce qu’elle prend tous les jours !
- J’en peux plus ! Je suis mort ! Je crois que je ne vais pas avoir besoin de berceuse, ce soir !
Sur ces bonnes paroles, Sonia semble revenir parmi nous (faut dire qu’elle était partie par minou aussi !). Elle a encore les yeux dans le vague, mais se redresse doucement, puis annonce :
- Ha ben ! Ça fait du bien par où ça passe ! Un petit massage maintenant jeune homme ?
- Une autre fois, là, je suis claqué, et en plus, j’ai les nerfs à fleur de peau, je suis électrique !
- Je crois qu’on va laisser ce monsieur prendre un repos bien mérité, à quelle heure on te réveille, demain matin ?
- Vers huit heures trente, s’il te plaît.
Là-dessus, nous avons repris nos petites affaires, et sommes remontés dans notre chambre, pour dormir du sommeil du juste.
cocu8400
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Re: L’hôte homo

Message par cocu8400 »

Génial,
soirée que j'aimerais avoir aussi.
cocu8400
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Re: L’hôte homo

Message par cocu8400 »

Génial,
soirée que j'aimerais avoir aussi.
cocu8400
Utilisateur supprimé 66970

Re: L’hôte homo

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

cocu8400 a écrit : Génial,
soirée que j'aimerais avoir aussi.
cocu8400
Merci bien, heureux que ça plaise
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