La saga des nichons

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

La saga des nichons

Messagepar cuckold pyrénées » Lun 27 Fév 2012 10:58

Jours de plage je vous aime ! Le soleil, la mer, et… des nichons offerts aux caresses des vagues et du vent.

Cela me rappelle toujours les premiers émois de l’adolescence. Je revois cette plage de Saint- Aygulf, avec ses poitrines nues défiant le ciel bleu de leurs pointes brunes… Des poitrines naissantes de nymphettes, des seins lourds de femmes matures, tout cela ferme ou ballotant, et surtout si affolant…

Ces pommes d’amour à la peau de pêche, libérées de leurs triangles de tissus… ce sont elles que l’on observe à la dérobé, derrière les verres opaques des lunettes de soleil, et couché sur le ventre pour cacher le trouble fougueux que dénonce le renflement incongru du slip de bain…

Lorsque j’ai connu Christine, nous avions décidé de passer nos premières vacances dans le var. J’ai retrouvé mes émois passés sur l’ile de Port Cros. Une petite plage près d’une crique nous avait accueillit pour l’après-midi… Dans l’eau où sur le sable, de nombreuses femmes s’affichaient en monokini. Cela m’avait immédiatement excité. Christine s’était assise à côté de moi. Un bras passé sur ses épaules, la main jouant avec la bretelle du maillot bain, je m’étais lancé a exprimer mes désirs en lui murmurant à l’oreille, le souffle court, mon envie de la voir elle aussi quitter le haut. Cette simple idée faisait souffler dans mes reins un désir de folie…

Sur le coup, elle m’a pris pour un dingue… Montrer ses seins était pour elle une chose inconcevable, hors de son éducation, et se heurtant à la barrière infranchissable d’une pudeur exacerbée…

Ma frustration fut immense… C’était le début des vacances, il me restait quelques jours pour la convaincre, et je voulais à tout pris y arriver. Les vacances se poursuivirent, agrémentées de visites touristiques, et bien sûr de baignades… A chaque fois réitérée, ma demande se soldait immanquablement par un refus. Sur le sable, ce morceau de tissus qui enfermait la poitrine de Christine me pourrissait la vie.

Lorsqu’il était mouillé par les flots, il me narguait en affichant de façon arrogante les marques jumelles des tétons érigés qui tendaient sa toile… Le sel et le sable qui luisaient sur la peau, entre la naissance des seins et la frontière des bonnets m’asséchaient la gorge en faisant miroiter leur chemin de feu, celui qui conduit le regard vers les dunes de chair…

La nuit, le sommeil me fuyait. Je sentais près de moi la chaleur de Christine, laquelle dormait profondément, très loin de mes propres tourments. Par moment, avec d’infinie précautions, j’aventurais ma main sous le drap, jusqu’au contact de son épaule, jusqu’au touché de sa peau. Guidée par l’instinct, elle glissait en douceur sur le haut du buste, jusqu’à l’endroit précis du changement de relief, la où la chair s’élève, marquant ainsi la naissance du sein. Tel un fantassin, ma main y faisait un arrêt stratégique, profitant de cette pause pour s’assurer qu’elle n’avait pas été repérée. La respiration régulière de Christine n’ayant pas bougée, elle partait alors à l’assaut de la colline pour en prendre possession. La chair à la fois ferme et souple appelait au contact de la paume, tandis que le doigt reconnaissait à tâtons les plis de l’aréole. Immanquablement, le téton se cabrait au premier contact, puis il s’allongeait démesurément tout en s’inclinant pour mieux se redresser, comme le fait un chat avec sa tête au contact des caresses.

Je promettais alors à ce téton de lui faire voir la lumière et d’autres idées encore plus folles venaient habiter mon esprit… jusqu’à ce que mon autre main prenne possession de mon membre en feu pour lui faire avouer ses crimes en lui serrant la gorge. L’aveu venu, le sommeil suivait enfin…

Est-ce parce que je me faisais des films ? Le miracle eut lieu sur la plage de canne. Ce jour là, la mer était un peu agitée, mais l’eau très chaude. Christine et moi jouions dans les vagues. Elle était heureuse, insouciante. Lorsque nos corps se rapprochaient, je l’embrassais à pleine bouche en l’enlaçant. Je ne la relâchais qu’après lui avoir murmuré des mots d’amour. Elle portait alors un maillot de bain « une pièce », en coton, de couleur bleue, et c’est en femme amoureuse, qu’elle entreprit, en me regardant dans les yeux, d’en baisser les bretelles…

Dans l’eau jusqu'à la taille, elle défit une bretelle pour y passer le bras, puis renouvela l’opération de l’autre côté. Puis, toujours en me regardant, elle entreprit de rouler la partie haute de son maillot vers le bas… La peau blanche des seins frappa mon regard. Tout érigés, les tétons jaillir à la lumière. Bien ronds, et totalement effrontés, ses seins libérés crièrent leur appel à la vie. La serrant contre moi, je ne pu m’empêcher de les empaumer et d’en caresser les pointes.

Se dégageant de mon étreinte, Christine se dirigea plus au large. Au rythme des flots la mer couvrait puis découvrait son buste. Je m’aperçus alors qu’un homme nous avait rejoins pour jouer dans les vagues. Affichant une cinquantaine sportive, il nous adressa un grand sourire, puis fit semblant de s’intéresser aux mouvements de l’eau. J’eus une érection extraordinaire lorsque je me rendis compte qu’après chaque passage de vague, alors que l’eau était au plus bas, son regard d’un tour de tête rapide et calculé se posait imparablement sur Christine, où plus exactement sur ses seins nus surgissant des eaux.

Lorsqu’il comprit que j’avais découvert son manège, il m’adressa un sourire entendu auquel je répondis en souriant à mon tour. Chaque passage de vague fut alors un délice. Nous mations ensemble les nichons de ma belle. La vue intermittente de ces seins blancs gonflés aux tétons bruns rouges était un appel sexuel incroyable. Christine était une oie blanche novice qui ne se rendait compte de rien, et j’étais certain que l’homme l’avait senti… Pour lui comme pour moi, le plaisir était total.

Nous étions aux anges lorsque Christine décida soudain de revenir sur la plage. Elle se mit alors en marche, tout en remontant rapidement la partie haute de son maillot. Le charme rompu, je la suivi à distance laissant à mon sexe le temps de retrouver une position décente.

Le soir dans la chambre d’hôtel, nous fîmes l’amour. Dans ma tête, ce n’était plus mes mains qui parcouraient le corps de Christine mais celles de l’homme de la plage…
cuckold pyrénées
 


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