par candaulise paris » Mer 2 Aoû 2017 14:33
Toutes les fois (et il y en a vraiment beaucoup) où ma femme s'est fait prendre avec capote ne m'excitent pas plus que quand elle se fait jouir avec un gode ou un objet.
Pour que le cocufiage soir réel et que ça me fasse bander comme un âne, il faut que sa chatte coulisse sur le membre nu, humectant la tige et avalant le gland luisant. Il faut que je sente son intimité avec l'amant, la tension du plaisir qui monte avec la perspective du flot libérateur. Le désir d'offrir totalement son intimité de femme, d'accueillir la jouissance du mâle, de l'inviter à venir se soulager au plus profond, sans retenue, sans barrière, laissant le sperme s'écouler librement et se répandre dans son uterus avant de refluer par sa chatte élargie.
Ce n'est que lorsque l'homme s'est vidé en elle et qu'elle reste abandonnée, souillée, les cuisses écartées et la touffe trempée, ce n'est qu'à ce moment là que je me sens totalement cocu et comblé par ma chérie devenue le vide-couilles d'un autre