par berthold » Dim 28 Fév 2016 06:23
Il y a qques années, une nuit torride dans le vieux centre de Perpignan. Il est très tard et on cherche un resto pour dîner à l'heure espagnole. Fanny ne porte pas grand chose sur le dos hormis une combinaison de soie lie de vin très courte bordée de dentelles grèges qui lui arrive au ras des fesses et fait office de minirobe. Des sandales de cordes mais à hauts talons en toile noire. Pas de soutif, et les tétons pointent, érigés par le désir plus que par le froid, bien sûr. On a joué à la main chaude dans la voiture en venant là.
Ah j'oubliais: un mini string en dentelle noire, qui est déjà trempé !
Dans une venelle, j'avise un restaurant qui sert peut-être encore: l'enseigne est allumée et on entend des voix à l'intérieur. J'entre et demande à ma belle de m'attendre deux secondes, le temps de voir s'ils servent encore. Elle est seule, en toute petite tenue, dans une ruelle assez peu éclairée. A peine suis-je entré qu'un jeune type l'aborde, lui demandant sourire en coin, si elle a besoin d'aide; il est mince, brun à peau mate, l'oeil noir et la tignasse ébouriffée. Elle répond, gentille: "Non, mon mec se renseigne à l'intérieur". Il insiste en la détaillant des pieds à la tête "Il reviendra peut-être pas ? Moi je vais à une soirée à côté d'ici et je sais que l'ambiance est super caliente !" Pensant à part lui "Si tu y viens, ce sera sûr ma belle !"
Malgré les 30 degrés ambiant, elle frissonne légèrement, troublée qu'elle est par le beau chasseur de craquettes !!
Sur ce, je sors (le service est fini) et vois le tableau. Pas jaloux, je pige la coupure et que le hardi dragueur n'est pas un importun pour elle.
Il m'explique ce qui se passe et sa proposition, décente en apparence, insistant sur le fait que, chez ses amis, il y aura des tapas et de quoi se sustenter vu qu'on crève la dalle: çà nous décide et on le suit à deux pas de là, dans un appartement de plein pied qui résonne de voix et de musique cubaine. Une trentaine de personnes, hommes et femmes déjà bien échauffés par mojitos et consorts. Fanny fait son effet auprès des mâles présents qui matent son cul et ses seins sans vergogne, et après s'être restaurés on attaque la sangria, le rhum et les choses sérieuses. On nous demande ce qui nous amène etc. Fanny, assise ne peut que montrer ostensiblement le mini truc qui lui sert de culotte et elle a plus d'un chevalier servant qui masque mal la taille de son épée déployée, même si encore au fourreau !!!
Le premier sur les rangs est celui qui nous a invité, il n'a pas l'intention de lâcher l'affaire ! Il a entouré ses épaules nues d'un bras protecteur, signe aux concurrents qu'il a pris une option sur la proie ....... ils se parlent, elle et lui en se regardant dans les yeux en souriant, se tournant vers moi de temps en temps pour ne pas m'exclure totalement, moi qui suis assis contre ma coquine, de l'autre côté. J'ai une main posée sur sa hanche presque sur son ventre et je la caresse négligeamment mais elle tressaille un peu; elle a de plus en plus envie. Je l'embrasse tendrement dans ses cheveux bouclés et soudain, il lui prend la bouche et ils échangent un long baiser profond d'entrée de jeu. Elle les yeux fermés et les jambes qui s'ouvrent, lui une main sur ses seins et moi lui caressant le sexe (une fontaine!) à travers la dentelle.
Tout çà dure cinq minutes encore et, comme elle commence à gémir en cherchant à ouvrir sa braguette, il nous guide vers une chambre tout au fond qui sert de garde-robe aux invités. Mais, vu la saison, pas de manteau, presque rien.
Il la couche sur un grand lit après avoir verrouillé la porte. Je fait glisser son string et prend tout son sexe qui perle comme une figue trop mûre dans ma bouche, je sais qu'elle adore et son goût un peu âcre me ravit et m'excite. Lui enlève la fausse robe et et son propre jean. Fébrile, elle gobe son gland dégagé et le suce passionnément, fermant encore les yeux poussant de petits cris étranglés par la jolie matraque brune de son partenaire. Elle est tellement enthousiaste qu'au bout de qques minutes, sentant qu'il risque d'éjaculer il lui dit "non, pas comme çà " et se dégage. Elle le tient par les couilles et les serre
pour l'aider à se retenir. "Je veux ta bite en moi, oh s'il te plaît !" qu'elle dit. Il respire à fond pour se calmer et moi je le remplace dans la bouche de notre salope, complètement offerte. Alors, il la pénètre coiffé d'une capote noire !! Il entre tout doucement, sa queue est gonflée, striée de veines apparentes; Pas monstrueuse mais dans les 19 cms quand même ! Elle implore "plus vite plus vite!" mais il prend son temps, il savoure le fait d'être en elle, dans sa chaleur, sa moiteur, sa verge qui glisse ! Qui sort soudain et replonge dans l'étui aux délices, plusieurs fois. Elle bredouille, gémit et crie, frustrée d'un plaisir immédiat et me suce par intermittence. Et quand enfin il accélère la cadence, je lui envoie toute ma dose de sperme au fond de la gorge ! Elle s'étrangle un peu mais avale l'essentiel et elle hurle de plus en plus comme il la pistonne comme un fou, son vagin clapote, tellement ouvert que soudain on entend comme le bruit d'un pet, et c'est l'air qui parfois est comprimé dans sa connasse quand on la lime vite et fort. Drôle de truc mais il est tout à son affaire, jouir de Fanny au maximum, bien se vider les burnes même dans la capote, et lui épanouir la chatte aussi, pourquoi pas ?
Il est vaillant son amant du moment ! Et il explose avec un râle "Ah salope, tu m'as eu!!" Elle, elle se tortille, marmonne des onomatopées, interrompue dans son orgasme qui montait. Comme en plus il s'arrache d'elle, elle halète et grogne de frustration. Je lui tend sa combinaison et on va dans la salle de bain où elle pisse longuement pendant que je la branle d'un bouquet de cinq doigts réunis. Et là, la jouissance la rattrape, elle s'effondre en pleurs assise sur la cuvette des toilettes, frissonnante et pantelante !!!!
On a pas retrouvé son string, pas perdu pour tout le monde. Elle est rentrée le cul à l'air, chatte trempée malgré l'essuyage rituel aux WCs, jusqu'à la voiture. Où elle a inondé le siège passager de sa cyprine parfumée.