Les prémices de notre libertinage - Chapitre 2

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Dave-Laeti
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Les prémices de notre libertinage - Chapitre 2

Message par Dave-Laeti »

Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.

Ce récit se déroule au début des années deux mille. Nous ne sommes pas encore entrés dans le monde libertin, mais cette aventure y contribuera énormément.

Nous repartons chez nous, trois mois nous séparent de notre retour. Durant cette période, nous parlons fréquemment de cette soirée, nos ébats sont plus fougueux et le prénom de A revient régulièrement pendant l’acte. Imaginer ma petite femme, si amoureuse, d’une jalousie maladive, si puritaine, se laisser aller à embrasser fougueusement un autre homme que moi. Sans compter les caresses sous la table. Cette petite garce a apprécié cet interdit, mais elle ne sait pas si elle veut continuer cette expérience, car elle a peur de perdre le contrôle et surtout elle ne veut pas que notre couple explose.
Elle me confie également que A embrasse extraordinairement bien, qu'elle adore l’embrasser, que sa langue est très douce et que ses caresses sont très sensuelles.
Nous en parlons souvent et j’arrive à la convaincre d’aller plus loin. Nous nous mettons d'accord sur ce cocufiage consenti.
Quelques règles sont définies entre nous : interdiction à A de toucher le sexe de L, il peut remonter sa main jusqu’aux grandes lèvres, il peut les effleurer, mais pas plus. Il peut promener ses mains où il veut du moment que c’est par-dessus les vêtements et s’il veut aller plus loin, je demande à être présent. Je laisse libre cours à L de faire ce qu’elle veut sur A mais elle me dit que cela ne l’intéresse pas plus que ça de le toucher. Je lui demande quand même de sentir si A bande.

Les trois mois sont passés et nous repartons chez nos parents. Cette fois-ci, les retrouvailles entre potes se font justement chez A et sa femme. Ils résident à une vingtaine de kilomètres et les soirées étant bien arrosées, nous allons rester dormir sur place.
Pour cette soirée, nous nous sommes mis d’accord sur la tenue de L. Elle portera une robe au-dessus du genou, mais très fendue sur les côtés, de couleur noire. Cette tenue est la plus pratique pour les caresses de dessous de table. Elle offre également un très joli décolleté. Au niveau sous-vêtements, pas de soutien-gorge et un très petit string (qui ne couvre en fait que le clitoris et laisse libres les grandes lèvres, qui peuvent être effleurées si A remonte sa main très haut) de couleur noire. Également des Dim-Up, plus faciles à descendre ou à retirer même à table.
Elle se prépare consciencieusement, se fait le maillot type « ticket de métro », les poils sont coupés très court, c’était la mode à l’époque. Un léger maquillage vient mettre en valeur son visage qu’elle termine d’un rouge à lèvres de couleur rouge vif faisant plus que jamais ressortir ses lèvres.

Nous prenons la route pour nous rendre chez A et sa femme. Je stationne la voiture non loin de chez eux et je dis à L :
- Montre-moi comment tu vas l'embrasser ce soir.
Elle s’approche de moi et me roule une pelle magistrale. Durant ce baiser, je glisse ma main entre ses cuisses et constate que sa chatte est déjà toute trempée.
Je lui dis ironiquement :
- Cette soirée s’annonce bien, elle va être bien arrosée.
- C’est toi qui as voulu que je continue, mais si tu veux, je peux arrêter.
- Non pas du tout, j’espère que tu l’embrasseras à le faire jouir dans son pantalon.
- Je ferai de mon mieux.
Je prends les affaires pour passer la nuit et nous nous rendons chez A. C’est sa femme qui nous accueille, puis A arrive et nous fait la bise. Aucun signe de gêne, rien ne laisse paraître qu’il a embrassé goulûment ma petite chienne toute la soirée dernière. Il me dit :
- Suis-moi. Je vais te montrer où vous allez dormir.
Il me conduit à l’étage, et me dit de déposer nos affaires dans une chambre située à côté de la leur. C’est une chambre en enfilade et ils sont obligés de traverser notre chambre pour aller dans la leur. Une porte isole malgré tout les deux pièces.
Je dépose les affaires et nous redescendons. Il me sert un verre, les autres amis arrivent également et nous entamons la soirée normalement. L reste à côté de moi, A s’occupe des invitées. Les bouteilles se vidant, il demande à L de venir l’aider pour aller chercher du ravitaillement dans le garage, car sa femme est occupée en cuisine. Je me doute bien que ce n'est pas que pour le ravitaillement qu'il demande à L de l'accompagner. Elle me regarde demandant mon approbation. Je lui fais signe que j’ai bien compris ce que cela signifiait et qu’il n’y avait pas de problème.
Je lui :
- Vas-y ma chérie, prends bien soin de A, tu sais qu’il est fragile, il n’arrive même pas à porter deux bouteilles.
Ils partent tous les deux dans le garage qui s trouve de l’autre côté de la maison. Environ cinq minutes se passent avant leur retour. L chargée de deux bouteilles comme A.
Elle revient vers moi et je lui demande :
- Alors raconte-moi ton voyage dans le garage.
Elle me dit :
- Nous avons surtout discuté de ce qui s’est passé la dernière fois, il m’a demandé si je t’en avais parlé, je lui ai dit que je t’avais tout dit et que cela ne te gênait pas. Il m’a donc demandé si je souhaitais continuer. Je lui ai répondu que oui et que tu étais d’accord. Il m’a demandé également si je souhaitais aller plus loin, je lui ai répondu que je ne savais pas mais si cela devait se faire, se serait en ta présence. Il m’a dit que de son côté, il aimerait aller plus loin, mais sans toi. Je lui ai dit qu’il n’en était pas question. Puis il s’est approché de moi et il m’a fait un petit bisou et il m’a complimentée sur ma robe. Ça n’a pas été plus loin.
- Tu sembles déçue ?
- Un peu oui, je m'attendais à un peu plus…
- Ne t’inquiète pas, la soirée n'est pas finie.

Nous nous installons à table. Nous nous mettons en bout, moi en face de L et A est à gauche de L. La nappe tombe sur nos vêtements, ce qui permet aux mains baladeuses de ne pas être vues. Il est convenu que lorsque A commence ses caresses, L me prévient en me donnant des petits coups de pieds sous la table. À peine installé, A demande à L si elle ne veut pas l’accompagner fumer une clope. Elle répond positivement et ils quittent la table. Tout le monde est à table, la femme de A est assise à côté de moi. Je me doute de ce qui va se passer durant cette pause cigarette, mais elle, j’en doute… Je vais l'occuper jusqu'au retour de L et A, tout en imaginant ma femme en train d'embrasser langoureusement A et ce dernier en train d'en profiter pour la caresser. Va-t-il le faire par-dessus ou par-dessous la robe ? Beaucoup de questions tournent dans ma tête, je suis obligé de faire la conversation à la femme de A pour éviter qu’elle les surprenne. Un vrai supplice pour moi. Je voudrais être une petite souris pour pouvoir les observer.
Ils reviennent enfin à table et ma petite garce vient vers moi et me glisse dans l’oreille :
- Il embrasse vraiment bien. Sa langue est d’une extrême douceur.
Puis elle va s’asseoir à côté de A.
La femme de A se lève alors et va en cuisine pour finir de préparer le repas et apporter les plats. À peine est-elle rendue dans la cuisine que L me donne un petit coup de pied. A commence ses caresses sur les cuisses de ma femme. Va-t-elle écarter ses cuisses suffisamment pour que A remonte sa main suffisamment haut jusqu'à frôler ses lèvres humides ? Je m’imagine énormément de choses.
Le repas se passe, je reçois régulièrement de petits coups de pied et ils sortent de temps en temps dehors faire des pauses clope.
Elle finira même la soirée assise sur A.

Les invitées partent et nous voilà tous les quatre. Je vais pouvoir enfin avoir le récit de cette soirée.
Mais avant nous aidons à débarrasser la table et ranger un peu. Une fois la corvée finie, nous nous posons tous les quatre au salon pour boire un dernier verre avant d’aller nous coucher. L en profite pour retirer son soutien-gorge en le passant par son décolleté et me le donner en me faisant un petit clin d'œil.
La femme va se coucher, nous nous retrouvons tous les trois. A met en marche la télé, pour mettre les clips de M6 puis propose une dernière cigarette à L avant d’aller se coucher.
A dit à L qu’ils vont aller dans le garage, qu’il y ferait moins froid. Ils font moins attention étant donné que la compagne de A est couchée. La porte de séparation du garage n’est pas totalement fermée et, en me déplaçant un peu, je peux jouer les voyeurs. Je me doute que A l'a fait exprès, histoire de me narguer un peu, car il est assez joueur.
Je les observe, L est contre le mur, A collé à elle, il l’embrasse à pleine bouche à s’en décrocher la mâchoire, L a mis sa main droite derrière sa nuque. A lui caresse ses fesses avec sa main droite par-dessus sa robe et touche ses seins avec sa main gauche. Les baisers n’en finissent pas, il l’embrasse également dans le cou et ses mains se baladent sur le corps de cette petite salope. Elle se laisse totalement faire, le guide un peu avec sa main posée sur sa nuque. La seule pose qui est observée, c’est lorsqu’ils prennent une taffe sur leur cigarette. Puis ils remettent ça après chaque pose. La cigarette finie, ils s’embrassent une dernière fois et A dit quelque chose à l’oreille de A. Elle répond alors :
- Je ne peux pas te répondre, je vais voir avec mon homme.
Ils quittent alors les lieux, L devant lui. A la retient et recommence à lui faire des bisous dans le cou. Il en profite pour passer une de ses mains dans le décolleté de L et malaxe sa poitrine. Je comprends mieux pourquoi elle a retiré son soutien-gorge. Elle savoure et pose sa tête contre lui. Pendant qu’il lui touche ses seins, il lui parle doucement à l’oreille.
Elle se retourne alors contre lui et lui roule de nouveau une pelle magistrale, puis ils reviennent vers moi.
Nous allons pouvoir aller nous coucher. Nous montons tous les trois, A traverse notre chambre pour se rendre dans la nôtre et ferme la porte qui nous sépare.
Je vais enfin pouvoir avoir un compte-rendu de la soirée. Ma femme retire sa robe, son string est toujours en place. Je m’approche d’elle et glisse ma main entre ses cuisses. Elle est plus que trempée, c’est une inondation. Elle le retire et se met au lit, complètement nue. Je me déshabille et me couche également. Nous allons pouvoir débriefer de la soirée, mais sans pouvoir faire l’amour, car l’insonorisation n’est pas au rendez-vous. Je vais dormir sur la béquille toute la nuit.
Nous nous blottissons l'un contre l'autre puis nous nous parlons doucement.
- Alors ma chérie, raconte-moi cette soirée.
- J’avoue que je me suis bien amusée. Dans un premier temps, lorsque nous nous sommes retrouvés dans le garage, nous avons surtout discuté. Il m’a demandé si je t’en avais parlé, je lui ai dit que oui, il m’a demandé comment tu avais réagi, je lui ai dit simplement que cela ne te posait pas de problème. Il a été très surpris puis il m’a demandé si on continuait, je lui ai dit que je n’attendais que ça. Il m’a dit que lui aussi, il n’attendait que cela et qu’il me trouvait fort désirable ce soir. Qu’il avait rêvé à plusieurs reprises de moi et qu’il souhaitait aller plus loin si j’étais d’accord. Je lui ai répondu comme ce que nous avions convenu, que s’il souhaitait aller plus loin, cela se ferait en ta présence. Il m’a dit qu’il ne voulait pas le faire à trois, seulement lui et moi. Je lui ai dit que c’était ça ou rien et il m’a embrassé, un baiser chaud et langoureux. Comme je te l’ai déjà dit, j’adore la douceur de sa langue et sa façon d’embrasser est très sensuelle. Puis nous sommes revenus avec vous. A table, il a mis à plusieurs reprises sa main entre mes cuisses, remontant jusqu’à effleurer les lèvres de ma chatte qui dépassaient de mon string. J’ai suffisamment écarté les cuisses pour le laisser faire.
- A-t-il essayé d’aller plus loin ?
- Non, de toute façon, je ne l'aurais pas laissé faire.
- Et tu as aimé lorsqu’il effleurait ta chatte ?
- Ça m'a procuré d’énormes frissons, j’en ai même laissé tomber ma fourchette à un moment, tu n’as pas remarqué ?
- Ah ! Je comprends mieux tes moments d’absence des fois.
- C’était très euphorisant.
- Et lorsque vous étiez dehors, seul ?
- La première fois que nous sommes sortis dehors, il m’a demandé si j’avais toujours envie de lui et si j’avais réfléchi par rapport à sa proposition de tout à l’heure. Je lui ai répondu que j’aimerais bien aller plus loin, mais que tu nous accompagnes. Ensuite, il m’a proposé de le rejoindre demain matin dans son bureau à la ferme toute seule.
- Et tu lui as répondu quoi ?
- Que j’allais réfléchir.
- Et tu as décidé quoi ?
- Comme il ne veut pas que tu m’accompagnes, je n’irai pas. Je n’ai pas envie de me retrouver toute seule avec lui.
- Et puis vous avez fait quoi d’autre ?
- Nous nous sommes embrassés, il m’a demandé s’il pouvait voir ce que je portais sous ma robe. Je lui ai répondu que s’il voulait, il pouvait regarder, mais que ce n’était pas moi qui lui montrerais. Il l'a soulevé, j’avais les cuisses serrées et il a complimenté mon string puis il m'a de nouveau embrassée en me touchant les fesses sous ma robe.
- Il a essayé de te doigter ?
- Non pas une fois.
- Et toi, tu lui as touché sa bite ?
- Non, à aucun moment, je l’ai sentie lorsqu’il me collait, mais je n’ai pas voulu lui toucher.
- Pourquoi ?
- Parce que je ne veux pas aller plus loin.
- Ok. Et les autres sorties ?
- En gros, on s’est embrassé, il m’a peloté les fesses par-dessus et par-dessous la robe et mes seins par-dessus la robe.
- Tu es sûr que par-dessus pour tes seins ?
- Non, c’est vrai, il me les a aussi touchés sans mon soutien-gorge.
- Et tu as aimé ?
- Oui beaucoup, il a des mains vraiment douces.
Voilà, la limite a été franchie, cette petite salope s’est laissé toucher sous les vêtements. J’avoue que cela m’excite beaucoup, mais nous avions dit pas sous les vêtements. D’autres barrières auraient-elles été franchies sans qu’elle ne veuille me le dire ? Le doute s’installe forcément dans ma tête, car je l’a connais, ma femme, c’est comme un diesel, elle est très timide, au départ, puis, une fois chaude, elle est inarrêtable, avec le turbo en plus.
Je continue mes questions pour en savoir un peu plus :
- Tu n’as pas envie de voir ou de caresser sa bite ?
- Non franchement je n’ai pas envie d’aller plus loin.
- Et tu as aimé lorsqu’il te touche tes fesses ?
- Oui, j’ai bien aimé, il a des mains très douces, j’adore lorsqu’il me caresse.
- Tu es sûr que tu ne veux pas aller plus loin ?
- Franchement, je ne sais pas. Mais en tout cas pas sans toi.
- Tu es sûr, même si je te laissais y aller seule ?
- Non franchement, si on devait le faire, je voudrais que tu sois là.
- Je suppose que tu as mouillé toute la soirée ?
- Même plus que mouillé. Il y a même un moment où j’ai senti que cela coulait entre mes cuisses et j’ai eu peur que cela se remarque.
- Tu sais, j’ai des doutes sur ce qu’il s’est passés ce soir, j’ai l’impression que tu ne me dis pas tout. Tu as franchi les limites que nous nous étions fixées, donc franchement, j’ai un doute.
- Oui, je sais, et je t’assure que je ne te cache rien. Mais tu me connais, j’ai souvent du mal à me contrôler et c’est pour cela que je ne veux pas aller plus loin.
- J’espère que tu me dis la vérité.
- Oui, je t’assure, il ne s’est rien passé d’autre.
- Je te crois et j’avoue que cela ne me dérange pas plus que ça.

Du coup, je bande comme un taureau, il est cinq heures du matin et A se lève vers sept heures pour se rendre à sa ferme. Du coup, je ne ferme pas les yeux, mon épouse dort à poings fermés à côté de moi. Elle est complètement nue, et bien que nous soyons en hiver, il fait très chaud dans la chambre. N’étant vraiment pas frileuse, elle dort même au-dessus de la couette. J’entends le réveil de A qui sonne. Il va se lever et passer dans la chambre pour quitter la sienne. Ma petite garce est nue sur la couette, allongée sur le dos, les cuisses légèrement écartées.
J’y ai réfléchi depuis que nous sommes couchés, je vais faire découvrir la petite chatte de L à A, histoire de bien le mettre en forme.
Allongée sur le dos au-dessus de la couette, je lui prends une de ses jambes que je plie légèrement, découvrant son sexe. Ce mouvement la réveille et, somnolente, elle me demande :
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Ne t’inquiète pas, je fais une petite surprise à A.
Elle se laisse faire et courbe un peu les reins.
A ouvre doucement la porte, moi, je fais semblant de dormir. La lumière venant de sa chambre illumine notre chambre, il la traverse, et passe devant notre lit, pour ouvrir la porte de sortie qui se situe en face. Il allume également la lampe du couloir qui met en lumière notre lit et bien évidemment cette chatte offerte à sa vision. Il va éteindre la lumière de sa chambre et n’en perd pas une miette en quittant la chambre.
Une fois la porte fermée, L me dit :
- Tu es content.
- Oui, il s’est bien rincé les yeux, tu ne veux toujours pas aller le rejoindre.
- Non, vraiment, je n’ai pas envie.
J’arrive enfin à dormir deux heures puis nous nous levons et quitterons nos hôtes pour les revoir dans quelques mois chez d’autres amis que nous nommerons V pour elle et D pour lui.
Durant le trajet de retour, je demande à L de me relater de nouveau son expérience extra-conjugale de la nuit dernière. Sa narration me fait bander et pendant sa description elle vient poser sa main sur mon pantalon au niveau de ma bite. Elle sait très bien que son discours va fortement m’exciter. Elle ouvre alors ma braguette et sort ma queue, elle se penche et commence à me sucer pendant que je conduis. J’arrive à m’enfiler dans un petit chemin où je stationne la voiture. Elle me suce comme jamais. Je lui dis alors :
- Imagine que c’est la bite de A que tu as dans la bouche, montre-moi comment tu le sucerais.
Elle s’active attentivement, l’avale entièrement, la lèche de bas en haut et de haut en bas, joue avec mon gland, tout en me regardant régulièrement avec son petit regard de salope. Elle arrive à me faire jouir en quelques minutes, elle prend ma décharge entièrement dans sa bouche et continue un peu pour me tirer le jus en entier. Puis elle ouvre la portière et recrache mon sperme.
Surpris par cette attitude, car elle n’est vraiment pas fan des éjaculations buccales, je lui demande :
- Tu lui aurais fait une pipe comme ça, jusqu’au bout, dans ta bouche ?
- Tu m’as bien demandé de te montrer comme je l’aurais sucé.
Cette petite chienne m’étonnera toujours.
Nous reprenons la route et nous attendrons le prochain dîner chez les amis pour voir comment évoluera la situation.

Suite au prochain chapitre.
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