Ma compagne et son amante
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Ma compagne et son amante
J'ouvre ce fil afin de relater l'aventure que je vis avec ma compagne depuis quelques mois.
Nous avons tous deux 37 ans et sommes ensemble et fidèles depuis 15 ans.
Nous exerçons des professions intellectuelles et apprécions le savoir, la culture et un peu de perversion.
Ces dernières années, nos rapports se sont espacés, puis presque arrêtés. A plusieurs reprises, j'ai proposé d'ouvrir notre couple à des expérience libertines, voire candaulistes.
La voir avec un homme était en effet un désir profond, d'autant qu'elle confessait apprécier les hommes plus âgés qu'elle, pour peu qu'ils soient bien conservés et raffinés, mais aussi la virilité des "bad boys".
Je fus donc surpris quand elle me demanda un jour si je serais gêné qu'elle prenne pour maîtresse une collègue plus jeune qu'elle.
A la fois excité et humilié, je donnais bien sûr mon accord. Ma seule condition fut d'obtenir des récits après chaque rencontre. Les choses allèrent vite. Trop vite, peut-être.
Il ne fallu qu'une semaine pour qu'elle invite sa collègue, mariée depuis peu, chez nous, un soir où mon travail m'avait tenu éloigné, afin de conclure une séduction déjà commencée depuis plusieurs mois (ce que j'ignorais).
Au courant de l'entrevue mais sans nouvelles, je passais une nuit excitante et douloureuse à me masturber.
La suite bientôt, si cela vous intéresse...
Nous avons tous deux 37 ans et sommes ensemble et fidèles depuis 15 ans.
Nous exerçons des professions intellectuelles et apprécions le savoir, la culture et un peu de perversion.
Ces dernières années, nos rapports se sont espacés, puis presque arrêtés. A plusieurs reprises, j'ai proposé d'ouvrir notre couple à des expérience libertines, voire candaulistes.
La voir avec un homme était en effet un désir profond, d'autant qu'elle confessait apprécier les hommes plus âgés qu'elle, pour peu qu'ils soient bien conservés et raffinés, mais aussi la virilité des "bad boys".
Je fus donc surpris quand elle me demanda un jour si je serais gêné qu'elle prenne pour maîtresse une collègue plus jeune qu'elle.
A la fois excité et humilié, je donnais bien sûr mon accord. Ma seule condition fut d'obtenir des récits après chaque rencontre. Les choses allèrent vite. Trop vite, peut-être.
Il ne fallu qu'une semaine pour qu'elle invite sa collègue, mariée depuis peu, chez nous, un soir où mon travail m'avait tenu éloigné, afin de conclure une séduction déjà commencée depuis plusieurs mois (ce que j'ignorais).
Au courant de l'entrevue mais sans nouvelles, je passais une nuit excitante et douloureuse à me masturber.
La suite bientôt, si cela vous intéresse...
- davidess
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Re: Ma compagne et son amante
bonjour, en effet , une femme mariée qui se projette avec une autre femme, c'est ennivrant
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Re: Ma compagne et son amante
Très belle toison qui me rappelle celle de mon épouse quand elle avait un amant Portugais qui ne voulait pas qu'elle s'épile ...
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Re: Ma compagne et son amante
bonjour, et tu penses qu'elle devient amoureuse de sa collègue...futurcocu75 a écrit : Une petite suite...
Je retrouvais ma compagne à la suite du déplacement. Elle m'embrassa et m'entraîna vers notre lit. Je la mis nue. Et pendant que je la massais et la caressait elle me raconta leur soirée. Le champagne bu, les baisers, les attouchements, les doigts qui s'introduisent dans le vagin... Quelque chose de torride et frustrant à la fois.
Je la pris sur notre couche. Elle fit preuve d'un désir et d'une docilité que je ne lui avais plus vu depuis des années. En la pilonnant je lui demandais si elle n'avait pas honte de me tromper, de me faire cocu. Elle me sourit et me murmura "si, un peu. Mais je continuerai". Je jouis en elle comme jamais je crois.
Les jours suivants, elles se virent tous les jours sur leur lieu de travail. Je voyais bien Virginie fuyante, le soir, refusant de me raconter. "Je ne veux pas te faire de mal", disait-t-elle.
Cela me rendait fou et je me mis à la masser tous les soirs, à prendre un grand soin de son corps, en tentant de lu soutirer des informations. Elle aima cette proximité physique nouvelle, érotique mais sans pénétration. Elle commença à me parler de baisers dans son bureaux, d'étreintes dans des renfoncements secrets.
Je me rendis compte qu'elle tombait amoureuse.
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Re: Ma compagne et son amante
et bien moi je veux bien être cet homme si cela te tente , mur de 44 ansfuturcocu75 a écrit : @loxygene94 oui, c'est très clair maintenant.
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Re: Ma compagne et son amante
de toute façon tu peux pas rivaliser avec ! établissez des règles claires ! la maîtresse est fraîchement mariée elle devrait pas vraiment chercher à te la piquer !
V.I.P. qui passe quotidiennement saluer le travail de Chriscool !
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Re: Ma compagne et son amante
Non. Mais elle veut se l'approprier le plus possible.triathletetrio a écrit : de toute façon tu peux pas rivaliser avec ! établissez des règles claires ! la maîtresse est fraîchement mariée elle devrait pas vraiment chercher à te la piquer !
- triathletetrio
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Re: Ma compagne et son amante
le mec de ta mîtresse est-il au courant ? le connais tu ?
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Re: Ma compagne et son amante
Non et a priori il ne le sera pas. Je ne le connais pas.triathletetrio a écrit : le mec de ta mîtresse est-il au courant ? le connais tu ?
- jeanjean6932
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Re: Ma compagne et son amante
Suite...
Elles se voyaient donc presque tous les jours sur leur lieu de travail.
Parfois, quand le mari de son amante était absent, ou que je devais passer la nuit à l'étranger, elles passaient une nuit ensemble.
J'étais très excité par la situation et le corps de Virginie me devenait à nouveau l'une des choses les plus désirables au monde.
De son côté, Virginie était dans une excitation presque continuelle, et il suffisait de la toucher ou de lui parler de ses tromperies pour qu'elle mouille immédiatement et s'ouvre à mon sexe. Nos rapports n'avaient jamais été si simples et si excitants. C'étaient aussi les seuls moments où Virginie consentait à me donner des détails. En dehors du sexe, elle se fermait et me disait juste quand je la suppliais de m'en dire plus : "je te trompe, je me sens un peu coupable, mais c'est comme ça. Tu es cocu. Et quitte moi si ça ne te va pas".
Un jour que je lui massais les jambes et les pieds, elle me confia pourtant : "on s'est demandées quoi faire d'autre. Les doigts et la langue ne nous suffisent plus".
"Tu veux dire que vous allez vous pénétrer avec des godes?" demandais-je?
"Non, répondit-elle. C'est moi qui vais la pénétrer".
J'appris ainsi qu'elles avaient cherché longuement sur internet un objet pour leur plaisir et avaient fini par commander un petit gode ceinture, composé d'un harnais et d'un pénis de couleur chaire.
Je la pris, ce jour là avec une violence que décuplaient mon excitation et mon humiliation. Elle reçut mon sperme avec ou sourire ironique. Me retirant, je contemplais, fasciné ce trou qui n'avait appartenu qu'à moi pendant des années et dont j'avais soudain le sentiment d'avoir trop peu profité. On ne sait ce qu'on perd que quand il est trop tard, sans doute. Ses poils, englués de mouille et de foutre, étaient beaux et mieux taillés qu'à l'accoutumée. Elle m'avoua que son amante lui avait fait la leçon et les taillait maintenant régulièrement tout en maintenant un joli triangle noir.
Elle me dit qu'en dépit du retour entre nous de l'érotisme, j'étais impuissant à lui procurer autant d'excitation et de plaisir que sa jeune maîtresse. Ce fut un coup au cœur.
Quelques jours plus tard, le gode arriva enfin. Virginie l'essaya devant moi. Je lui avais aussi acheté un petit ensemble string - soutien gorge ajouré qu'elle mis, avant de passer une robe pour aller passer la nuit chez son amante.
La soirée fut difficile. Je me branlais plusieurs fois en les imaginant ensemble. Vers 23h00, j'eu un SMS : "Je l'ai prise. Elle a adoré et a beaucoup couiné de plaisir. Bises et à demain". Inutile de dire que je dormis peu. Je ne la revis que le lendemain soir, au retour du boulot. Elle me repoussa quand je voulu l'étreindre et me dit : "ça sera pour tout à l'heure. Et tu me masseras les pieds pendant que je te raconterai. Après, peut-être, tu pourras me baiser". Ainsi fut fait.
Suite bientôt, si plusieurs sont intéressés.
Elles se voyaient donc presque tous les jours sur leur lieu de travail.
Parfois, quand le mari de son amante était absent, ou que je devais passer la nuit à l'étranger, elles passaient une nuit ensemble.
J'étais très excité par la situation et le corps de Virginie me devenait à nouveau l'une des choses les plus désirables au monde.
De son côté, Virginie était dans une excitation presque continuelle, et il suffisait de la toucher ou de lui parler de ses tromperies pour qu'elle mouille immédiatement et s'ouvre à mon sexe. Nos rapports n'avaient jamais été si simples et si excitants. C'étaient aussi les seuls moments où Virginie consentait à me donner des détails. En dehors du sexe, elle se fermait et me disait juste quand je la suppliais de m'en dire plus : "je te trompe, je me sens un peu coupable, mais c'est comme ça. Tu es cocu. Et quitte moi si ça ne te va pas".
Un jour que je lui massais les jambes et les pieds, elle me confia pourtant : "on s'est demandées quoi faire d'autre. Les doigts et la langue ne nous suffisent plus".
"Tu veux dire que vous allez vous pénétrer avec des godes?" demandais-je?
"Non, répondit-elle. C'est moi qui vais la pénétrer".
J'appris ainsi qu'elles avaient cherché longuement sur internet un objet pour leur plaisir et avaient fini par commander un petit gode ceinture, composé d'un harnais et d'un pénis de couleur chaire.
Je la pris, ce jour là avec une violence que décuplaient mon excitation et mon humiliation. Elle reçut mon sperme avec ou sourire ironique. Me retirant, je contemplais, fasciné ce trou qui n'avait appartenu qu'à moi pendant des années et dont j'avais soudain le sentiment d'avoir trop peu profité. On ne sait ce qu'on perd que quand il est trop tard, sans doute. Ses poils, englués de mouille et de foutre, étaient beaux et mieux taillés qu'à l'accoutumée. Elle m'avoua que son amante lui avait fait la leçon et les taillait maintenant régulièrement tout en maintenant un joli triangle noir.
Elle me dit qu'en dépit du retour entre nous de l'érotisme, j'étais impuissant à lui procurer autant d'excitation et de plaisir que sa jeune maîtresse. Ce fut un coup au cœur.
Quelques jours plus tard, le gode arriva enfin. Virginie l'essaya devant moi. Je lui avais aussi acheté un petit ensemble string - soutien gorge ajouré qu'elle mis, avant de passer une robe pour aller passer la nuit chez son amante.
La soirée fut difficile. Je me branlais plusieurs fois en les imaginant ensemble. Vers 23h00, j'eu un SMS : "Je l'ai prise. Elle a adoré et a beaucoup couiné de plaisir. Bises et à demain". Inutile de dire que je dormis peu. Je ne la revis que le lendemain soir, au retour du boulot. Elle me repoussa quand je voulu l'étreindre et me dit : "ça sera pour tout à l'heure. Et tu me masseras les pieds pendant que je te raconterai. Après, peut-être, tu pourras me baiser". Ainsi fut fait.
Suite bientôt, si plusieurs sont intéressés.
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Re: Ma compagne et son amante
Je ne sais pas, à vrai dire, si cette histoire intéresse. Certains ne semblent pas la considérer comme une histoire candauliste, du fait que le cocufieur est une femme. Pourant l'humiliation et les sentiments me semblent les mêmes...
- triathletetrio
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Re: Ma compagne et son amante
ton récit a toute sa place ici sans soucis !
V.I.P. qui passe quotidiennement saluer le travail de Chriscool !
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Re: Ma compagne et son amante
détrompe toi bien... cette histoire est tres interessante.
vite la suite
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Re: Ma compagne et son amante
Pour vous remercier, quelques minutes... Je l'ai envoyée ce soir de sa part à son amante.
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Re: Ma compagne et son amante
Une suite:
Je tolérais de plus en plus mal de savoir si peu de choses. Virginie continuait de voir son amante tous les jours. Je continuais de la prendre vigoureusement tous les soirs avec l'énergie du désespoir et du dépit. Elle aimait cela mais répétait sans cesse: "tu sais, ça n'est pas toi. C'est juste que je suis humide tout le temps en ce moment". Et en effet, elle mouillant tant que je nageait littéralement en elle. Son amante se mettant entre nous à chaque instant, tout en décuplant nos désirs.
Au bout de quelques semaines, j'exigeais de la rencontrer, ce que Virginie accepta. La rencontre se fit pendant la pause du midi, dans un square. J'attendais sur un banc, quand une jolie jeune fille brune, coiffée à la garçonne s'assit près de moi. Lisant l'interrogation dans mes yeux, elle me dit directement :"oui, c'est moi qui baise ta femme".
C'est ainsi que je fis la connaissance de Chloé.
Je tolérais de plus en plus mal de savoir si peu de choses. Virginie continuait de voir son amante tous les jours. Je continuais de la prendre vigoureusement tous les soirs avec l'énergie du désespoir et du dépit. Elle aimait cela mais répétait sans cesse: "tu sais, ça n'est pas toi. C'est juste que je suis humide tout le temps en ce moment". Et en effet, elle mouillant tant que je nageait littéralement en elle. Son amante se mettant entre nous à chaque instant, tout en décuplant nos désirs.
Au bout de quelques semaines, j'exigeais de la rencontrer, ce que Virginie accepta. La rencontre se fit pendant la pause du midi, dans un square. J'attendais sur un banc, quand une jolie jeune fille brune, coiffée à la garçonne s'assit près de moi. Lisant l'interrogation dans mes yeux, elle me dit directement :"oui, c'est moi qui baise ta femme".
C'est ainsi que je fis la connaissance de Chloé.
- MaverickTG
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Re: Ma compagne et son amante
Je me pris la première phrase de Cloé comme une claque. Son regard noir, la moue de sa lèvre disait la confiance qu'elle avait en sa supériorité, en sa capacité, si elle l'avait souhaité, de m'arracher Virginie.
Les premiers échanges furent embarrassés... Très vite, elle compris qu'il n'y avait ni larmoiement, ni hostilité dans ma démarche. Elle se détendit.
Je lui dit qu'elle était la bienvenue chez nous. Qu'elle pouvait venir quand elle le voulait. Elle m'en remercia et me dit à quel point elle était obsédée par Virginie et son corps, son sexe... A quel point elle aimait aussi que Virginie soit à elle. Elle me dit aussi sa difficulté par rapport à son mariage et à ce carcan qu'elle découvrait trop étroit.
Son mari ne savait pas et ne saurait sans doute pas.
Mon regard s'attarda sur le corps de ma rivale. Elle était gracile, petite, presqu'enfantine. Elle s'était habillée avec un goût sûr mais discret, sans souci de plaire. Un jean très moulant mettait en valeur ses fesses musclées et ses hanches fines. Sous un pull coloré , on devinait la forme de ses seins, pleins et en forme de poire. Elle saisit mes yeux sur sa poitrine et me dit : "je ne mets pas de soutien-gorge.. Je me sens corsetée. Quand je porte des robes, je ne mets pas non plus de culotte, depuis que je connais Virginie. Elle aime avoir accès à mon sexe". Je en répondais que par monosyllabes et bafouillements, impressionné par l'aplomb de cette fille si jeune qui me cocufiait si naturellement. A la fin de notre entretien, elle me tendit sa joue pour que j'y pose un baiser sans qu'elle ne daigne y répondre. Elle me dit : "je pense que Virginie va me prendre bientôt avec notre gode". J'espère que tu le supporteras".
J'appris plus tard qu'elles avaient déjà déniché des coins sombres, dans les archives ou certains escaliers, où personne ne passait jamais afin de se voir et de se toucher.
J'envoyais un texto à Virginie : "je crois que ca s'est bien passé. Elle est belle".
Virginie répondit immédiatement : "elle n'a pas été trop brutale avec toi? A ce soir".
Elle se sont vues le lendemain chez Chloé, toute la journée. Virginie me dit plus tard qu'elle n'avait jamais eu autant de plaisir qu'en prenant sa maîtresse avec ce gode si vulgaire. Chloé aimait être fessée et insultée, baisée violemment... Et Virginie aimait tant la prendre... QUend elle rentra j'eu le droit de la lercher jusqu'à la faire jouir. Mais quand je voulu la pénétrer elle me dit juste "mon clitoris est irrité. Pas ce soir. Tu sais que Chloé a la priorité". J'allais dans la chambre d'ami me coucher et me masturber.
Seul, les doigts dégoûtant d'un sperme inutile, je pleurais de douleur et de désir.
Les premiers échanges furent embarrassés... Très vite, elle compris qu'il n'y avait ni larmoiement, ni hostilité dans ma démarche. Elle se détendit.
Je lui dit qu'elle était la bienvenue chez nous. Qu'elle pouvait venir quand elle le voulait. Elle m'en remercia et me dit à quel point elle était obsédée par Virginie et son corps, son sexe... A quel point elle aimait aussi que Virginie soit à elle. Elle me dit aussi sa difficulté par rapport à son mariage et à ce carcan qu'elle découvrait trop étroit.
Son mari ne savait pas et ne saurait sans doute pas.
Mon regard s'attarda sur le corps de ma rivale. Elle était gracile, petite, presqu'enfantine. Elle s'était habillée avec un goût sûr mais discret, sans souci de plaire. Un jean très moulant mettait en valeur ses fesses musclées et ses hanches fines. Sous un pull coloré , on devinait la forme de ses seins, pleins et en forme de poire. Elle saisit mes yeux sur sa poitrine et me dit : "je ne mets pas de soutien-gorge.. Je me sens corsetée. Quand je porte des robes, je ne mets pas non plus de culotte, depuis que je connais Virginie. Elle aime avoir accès à mon sexe". Je en répondais que par monosyllabes et bafouillements, impressionné par l'aplomb de cette fille si jeune qui me cocufiait si naturellement. A la fin de notre entretien, elle me tendit sa joue pour que j'y pose un baiser sans qu'elle ne daigne y répondre. Elle me dit : "je pense que Virginie va me prendre bientôt avec notre gode". J'espère que tu le supporteras".
J'appris plus tard qu'elles avaient déjà déniché des coins sombres, dans les archives ou certains escaliers, où personne ne passait jamais afin de se voir et de se toucher.
J'envoyais un texto à Virginie : "je crois que ca s'est bien passé. Elle est belle".
Virginie répondit immédiatement : "elle n'a pas été trop brutale avec toi? A ce soir".
Elle se sont vues le lendemain chez Chloé, toute la journée. Virginie me dit plus tard qu'elle n'avait jamais eu autant de plaisir qu'en prenant sa maîtresse avec ce gode si vulgaire. Chloé aimait être fessée et insultée, baisée violemment... Et Virginie aimait tant la prendre... QUend elle rentra j'eu le droit de la lercher jusqu'à la faire jouir. Mais quand je voulu la pénétrer elle me dit juste "mon clitoris est irrité. Pas ce soir. Tu sais que Chloé a la priorité". J'allais dans la chambre d'ami me coucher et me masturber.
Seul, les doigts dégoûtant d'un sperme inutile, je pleurais de douleur et de désir.
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Re: Ma compagne et son amante
Un bien joli cadeau que cette chatte bien poilue...J'adore! Ta femme et son amante n'aimeraient elles pas ta participation (ou celle d'un autre homme..)à leurs ébats?
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Re: Ma compagne et son amante
Belle chatte veluefuturcocu75 a écrit : UN petit cadeau...
Sa gouine a aussi la motte naturelle ?
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Re: Ma compagne et son amante
on te croit, pas de soucis !futurcocu75 a écrit : Précision : l'histoire est rigoureusement authentique.
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- hom39ouvert
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Re: Ma compagne et son amante
Quelle magnifique histoire, j'espère que l'on pourra se régaler de la suite très bientôt...
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Re: Ma compagne et son amante
Devenir voyeur?
Très vite, elles ne purent plus se passer de leur gode. Elles en achetèrent d'autres, de plusieurs tailles et de couleurs différentes.
Virginie en avait toujours un sur elle. Elles achetèrent aussi à Virginie un shorty sur lequel les godes pouvaient s'adapter, plus commode que le harnais.
Nous décidâmes de tester les godes ensemble, à mesure qu'ils arrivaient chez nous.
Patiemment, j'enduisais ces engins monstrueux de lubrifiant, pour essayer de forcer la chatte de Virginie, préalablement léchée.
Ce qui était étrange, c'est que Virginie n'acceptait la pénétration que de ma part. Elle répugnait à ce que Chloé la prenne. C'est elle qui était le "mâle", en quelque sorte. Elle disait aimer prendre Chloé par les hanches et la pilonner en levrette, à la manière des chiens. Tous les soirs, j'avais un récit de ce qui advenait entre elles. susurré par Virginie pendant que je lui massais les pieds. Ces massages devinrent vite un rituel, presqu'une soumission. Quand elle avait fini je la pénétrais violemment en lui demandant "pourquoi me fais tu cocu? Pourquoi? Comment peux-tu me faire ça?". Elle ne répondait pas mais je la sentais plus humide sous ces mots. Elle se contentait de me regarder avec de grands yeux, et de laisser échapper quelques gémissements par sa bouche ouverte. Elle m'embrassait moins. "Tu comprends, j'aime embrasser Chloé".
A leur boulot, elles arrivaient tôt pour avoir le temps d'un coup rapide dans leur bureau. Virginie prenait Chloé sur une table ou dans les toilettes.
Souvent, dans la journée, elles s'enfermaient ensemble ou s'éclipsaient à l'heure du déjeuner. Certains se mirent à se douter de quelque chose. Dans la rue, Chloé aimait marquer sa possession en prenant Virginie par la main et en la caressant sous ses sous-vêtements au restaurant comme dans des parcs. Elles voulurent aussi aller ensemble au cinéma ou au théâtre, comme un vrai couple.
Je supportais mal cette situation. Je voulais tout savoir et elle était parfois lasse de mes questions. Je lui dit un jour que j'aimerais par dessus tout les voir ensemble. Elle se ferma et ne dit rien. Plus tard elle me dit "je ne pense pas que tu supporteras de voir à quel point j'ai avec elle un plaisir que tu es incapable de me donner. Je suis très différente avec elle." Elle pensait trop risqué pour notre couple de me montrer le spectacle de leur jouissance. J'insistais. Un jour, elle me dit "j'en ai parlé à Chloé. Je ne comprends pas mais ça l'excite. Je l'inviterai à dîner la semaine prochaine et on verra si on a envie de baiser devant toi. SI c'est trop pour toi, tu quitteras la chambre".
J'aurais accepté n'importe quelle condition pour avoir droit à ce spectacle. Chloé vint donc un soir de la semaine suivante. Elle avait la chance que son mari fut souvent absent.
C'est moi qui me mis au fourneau et qui alla choisir dans la cave l'une de mes meilleures bouteilles. Il faisait beau. Le dîner fut léger et paisible, avec peu de mots mais sans qu'il n'y ai de malaise entre nous. Je devinais que sous la table, peurs pieds se frôlaient. Nous sortîmes après dîner sur la terrasse pour fumer une cigarette. Virginie me demander de leur servir cocktail. Je rentrais m'affairer. Quand je revins, je remarquait qu'elles s'étaient rapprochées l'une de l'autre. Chloé caressait la cuisse de Virginie. Elles ne me virent pas arriver avec les verres et s'embrassèrent profondément. Inutile de dire que mon érection était presque douloureuse. Je posais leurs boissons devant elles. ELles se séparèrent, rougissantes. J'aurais donné beaucoup pour goûter sur les lèvres de Virginie le goût de Chloé.
Prenant son verre, Chloé rentra afin de téléphoner à son voyageur de mari et lui souhaiter une bonne nuit. Nous restions avec Virginie sur la terrasse, désormais plongée dans la pénombre du soir. Je glissais ma main sous sa robe et pu constater que son entrejambe était humide comme jamais. Je fis glisser sa culotte par terre, puis la pris par la main pour la mener à l'intérieur. Je confiais ensuite sa main à Chloé qui me regarda d'un air moqueur et l'entraîna vers notre chambre.
Suite plus tard!
Très vite, elles ne purent plus se passer de leur gode. Elles en achetèrent d'autres, de plusieurs tailles et de couleurs différentes.
Virginie en avait toujours un sur elle. Elles achetèrent aussi à Virginie un shorty sur lequel les godes pouvaient s'adapter, plus commode que le harnais.
Nous décidâmes de tester les godes ensemble, à mesure qu'ils arrivaient chez nous.
Patiemment, j'enduisais ces engins monstrueux de lubrifiant, pour essayer de forcer la chatte de Virginie, préalablement léchée.
Ce qui était étrange, c'est que Virginie n'acceptait la pénétration que de ma part. Elle répugnait à ce que Chloé la prenne. C'est elle qui était le "mâle", en quelque sorte. Elle disait aimer prendre Chloé par les hanches et la pilonner en levrette, à la manière des chiens. Tous les soirs, j'avais un récit de ce qui advenait entre elles. susurré par Virginie pendant que je lui massais les pieds. Ces massages devinrent vite un rituel, presqu'une soumission. Quand elle avait fini je la pénétrais violemment en lui demandant "pourquoi me fais tu cocu? Pourquoi? Comment peux-tu me faire ça?". Elle ne répondait pas mais je la sentais plus humide sous ces mots. Elle se contentait de me regarder avec de grands yeux, et de laisser échapper quelques gémissements par sa bouche ouverte. Elle m'embrassait moins. "Tu comprends, j'aime embrasser Chloé".
A leur boulot, elles arrivaient tôt pour avoir le temps d'un coup rapide dans leur bureau. Virginie prenait Chloé sur une table ou dans les toilettes.
Souvent, dans la journée, elles s'enfermaient ensemble ou s'éclipsaient à l'heure du déjeuner. Certains se mirent à se douter de quelque chose. Dans la rue, Chloé aimait marquer sa possession en prenant Virginie par la main et en la caressant sous ses sous-vêtements au restaurant comme dans des parcs. Elles voulurent aussi aller ensemble au cinéma ou au théâtre, comme un vrai couple.
Je supportais mal cette situation. Je voulais tout savoir et elle était parfois lasse de mes questions. Je lui dit un jour que j'aimerais par dessus tout les voir ensemble. Elle se ferma et ne dit rien. Plus tard elle me dit "je ne pense pas que tu supporteras de voir à quel point j'ai avec elle un plaisir que tu es incapable de me donner. Je suis très différente avec elle." Elle pensait trop risqué pour notre couple de me montrer le spectacle de leur jouissance. J'insistais. Un jour, elle me dit "j'en ai parlé à Chloé. Je ne comprends pas mais ça l'excite. Je l'inviterai à dîner la semaine prochaine et on verra si on a envie de baiser devant toi. SI c'est trop pour toi, tu quitteras la chambre".
J'aurais accepté n'importe quelle condition pour avoir droit à ce spectacle. Chloé vint donc un soir de la semaine suivante. Elle avait la chance que son mari fut souvent absent.
C'est moi qui me mis au fourneau et qui alla choisir dans la cave l'une de mes meilleures bouteilles. Il faisait beau. Le dîner fut léger et paisible, avec peu de mots mais sans qu'il n'y ai de malaise entre nous. Je devinais que sous la table, peurs pieds se frôlaient. Nous sortîmes après dîner sur la terrasse pour fumer une cigarette. Virginie me demander de leur servir cocktail. Je rentrais m'affairer. Quand je revins, je remarquait qu'elles s'étaient rapprochées l'une de l'autre. Chloé caressait la cuisse de Virginie. Elles ne me virent pas arriver avec les verres et s'embrassèrent profondément. Inutile de dire que mon érection était presque douloureuse. Je posais leurs boissons devant elles. ELles se séparèrent, rougissantes. J'aurais donné beaucoup pour goûter sur les lèvres de Virginie le goût de Chloé.
Prenant son verre, Chloé rentra afin de téléphoner à son voyageur de mari et lui souhaiter une bonne nuit. Nous restions avec Virginie sur la terrasse, désormais plongée dans la pénombre du soir. Je glissais ma main sous sa robe et pu constater que son entrejambe était humide comme jamais. Je fis glisser sa culotte par terre, puis la pris par la main pour la mener à l'intérieur. Je confiais ensuite sa main à Chloé qui me regarda d'un air moqueur et l'entraîna vers notre chambre.
Suite plus tard!
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Re: Ma compagne et son amante
Très beau récit ! On a hâte de savoir comment Chloé a pris en entrainé cette main...
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Re: Ma compagne et son amante
Basculement
La porte de notre chambre se referma sur elles.
Je demeurais seul, bras ballants dans le salon. Comme un automate, je me mis à ranger les verres. Je ramassais, sur la terrasse, la culotte abandonnée de Virginie avant de la porter à mon nez et à mes lèvres. Elle était encore humide de son désir et odorante.
De la chambre, ne me parvenaient que des rires et des bruits étouffés.
Je m'apprêtais tristement à me coucher et à les laisser seules. J'avais accepté cette éventualité et je sentais une violente et honteuse érection à l'idée d'être rejeté sur le canape pendant qu'elles se donnaient du plaisir.
C'est alors que je sentis mon téléphone vibrer. SMS de Virginie : "Tu peux nous rejoindre. Ne fais pas de bruit. Mets toi sagement sur la chaise".
Je fus envahi par une excitation encore plus violente et une joie sans limite.
Quand j'ouvris la porte à verre dépoli de la chambre, je vis leurs deux corps nus enlacés. La peau mate de Chloé contrastait avec celle, très blanche de Virginie, sur laquelle se détachait un pubis fourni aux poils noirs et humides. De Chloé, je ne voyais que les fesses rebondies et la taille fine. Elles s'embrassaient langoureusement dans une pénombre éclairée par la lumière pâle de trois bougies. Je vis qu'une chaise de paille avait été disposée juste à côté du lit. Je me rendis compte qu'elles avaient sans doute scénarisé tout cela entre elles.
De cette chaise, je me trouvais à moins d'1 mètre de leurs corps entremêlés. Je voyais la femme que j'aime bouche à bouche avec une autre, dans une étreinte passionnée.
Leurs doigts trouvaient leurs vagins humides et leurs mouvements déclenchaient de discrets clapotis et des soupirs d'extase.
Puis Virginie saisit Chloé par la taille et la bascula sous elle. Doucement elle embrassa sa poitrine, son ventre, avant de coller sa bouche sur son sexe. Ce cunnilingus dura bien 10 minutes, durant lesquelles le visage de Chloé se déformait progressivement pour exprimer une jouissance toujours plus grande.
Virginie me fit du doigt signe d'approcher. Quittant la chatte de son amante elle m'embrassa profondément, le visage et les lèvres humides de la mouille odorante de Chloé. Je fis mine de lui caresser les hanches mais elle donna sur ma main une tape impérieuse et me dit : "chut. Pas touche". Je retournais sur la chaise comme un chien a sa niche, la bouche et la barbe pleines de sa salive et des secrétions de son amante. Puis Chloé entrepris de lécher avec passion le sexe béant de Virginie. Je voyais, à travers ses poils, le clitoris darder sous les coups de langue. Il fallu de nombreuses minutes pour que Virginie se mit à jouir longuement, secouée de spasmes répétés.
Elle enfila ensuite un harnais et y plaça un gode de belle taille. J'aurais aimé, à cet instant le saisir et l'enduire, pour elles, de lubrifiant. Ce fut Chloé qui s'en chargea.
Elles me jetèrent en même temps un regard qui me transperça, ou pointait à la fois la perversité, le sadisme et une grande tendresse. Puis Virginie s'enfonça doucement en Chloé. Leur étreinte fut longue, intense et presque bestiale. Que ceux qui préfèrent penser que les femmes ensemble ne se pénètrent pas et ont des relations faites uniquement de caresses et de baisers ne soient jamais témoins d'une scène pareille. Chloé fut prise en missionnaire, puis en levrette, avec vigueur et presqu'avec rage. De ma chaise, je voyais son plaisir montrer à mesure que ses cris devenaient plus sonores. Virginie ne la quittait pas des yeux, jouissant du plaisir qu'elle donnait. Mon sexe me faisait mal et je commençais à me masturber sous mon pantalon, sans oser le sortir. La jouissance de Chloé me transperça. Virginie la contempla, interne sous elle en souriant. Elle l'embrassa. Chloé, se remettant doucement de son orgasme répondit à son baiser. Elles se caressaient.
C'est là qu'un basculement se produit. Chloé, toujours étendue, pris ma main et la posta sur son sein. Toujours habillé, je parcourais leurs corps où perlait un peu de la sueur de l'étreinte. Je me retrouvais entre leurs jambes, à voir leurs doits disparaître dans leurs deux sexes. Puis Virginie, toujours surplombant Chloé, approcha son bassin des levres de son amante pour un ultime cunnilingus. C'est alors que je sentis les pieds de Chloé qui poussaient ma tête vers son entrejambe. Je me sentis autorisé à la lécher. Au bout de quelques instants, tout à son plaisir, Chloé abandonna le sexe de Virginie, concentrée sur ce que je faisais subir à sa chatte. Elle poussait de petits cris aigus et fini par jouir une seconde fois, m'inondant presque le visage de son plaisir. En levant la tête, je vit le regard noir de Virginie, chargé de reproches.
Après quelques baisers je les laissais seules dans notre chambre pour passer la nuit de mon côté. Au matin, le petit déjeuner fut silencieux mais apaisé.
Virginie n'aborda pas ce qui s'était passé. Elle ne le fit pas non plus le soir quand nous nous revîmes, après une journée de travail. Je la sentais un peu soucieuse, pourtant.
Le lendemain elle me dit : "ça n'était pas juste du voyeurisme, c'était un trio. Chloé a beaucoup aimé ce que tu lui as fait. Elle veut recommencer. On en reparlera. Mais attention. Chloé est à moi. si vous vous voyez en dehors de moi, c'est fini entre nous".
A suivre...
La porte de notre chambre se referma sur elles.
Je demeurais seul, bras ballants dans le salon. Comme un automate, je me mis à ranger les verres. Je ramassais, sur la terrasse, la culotte abandonnée de Virginie avant de la porter à mon nez et à mes lèvres. Elle était encore humide de son désir et odorante.
De la chambre, ne me parvenaient que des rires et des bruits étouffés.
Je m'apprêtais tristement à me coucher et à les laisser seules. J'avais accepté cette éventualité et je sentais une violente et honteuse érection à l'idée d'être rejeté sur le canape pendant qu'elles se donnaient du plaisir.
C'est alors que je sentis mon téléphone vibrer. SMS de Virginie : "Tu peux nous rejoindre. Ne fais pas de bruit. Mets toi sagement sur la chaise".
Je fus envahi par une excitation encore plus violente et une joie sans limite.
Quand j'ouvris la porte à verre dépoli de la chambre, je vis leurs deux corps nus enlacés. La peau mate de Chloé contrastait avec celle, très blanche de Virginie, sur laquelle se détachait un pubis fourni aux poils noirs et humides. De Chloé, je ne voyais que les fesses rebondies et la taille fine. Elles s'embrassaient langoureusement dans une pénombre éclairée par la lumière pâle de trois bougies. Je vis qu'une chaise de paille avait été disposée juste à côté du lit. Je me rendis compte qu'elles avaient sans doute scénarisé tout cela entre elles.
De cette chaise, je me trouvais à moins d'1 mètre de leurs corps entremêlés. Je voyais la femme que j'aime bouche à bouche avec une autre, dans une étreinte passionnée.
Leurs doigts trouvaient leurs vagins humides et leurs mouvements déclenchaient de discrets clapotis et des soupirs d'extase.
Puis Virginie saisit Chloé par la taille et la bascula sous elle. Doucement elle embrassa sa poitrine, son ventre, avant de coller sa bouche sur son sexe. Ce cunnilingus dura bien 10 minutes, durant lesquelles le visage de Chloé se déformait progressivement pour exprimer une jouissance toujours plus grande.
Virginie me fit du doigt signe d'approcher. Quittant la chatte de son amante elle m'embrassa profondément, le visage et les lèvres humides de la mouille odorante de Chloé. Je fis mine de lui caresser les hanches mais elle donna sur ma main une tape impérieuse et me dit : "chut. Pas touche". Je retournais sur la chaise comme un chien a sa niche, la bouche et la barbe pleines de sa salive et des secrétions de son amante. Puis Chloé entrepris de lécher avec passion le sexe béant de Virginie. Je voyais, à travers ses poils, le clitoris darder sous les coups de langue. Il fallu de nombreuses minutes pour que Virginie se mit à jouir longuement, secouée de spasmes répétés.
Elle enfila ensuite un harnais et y plaça un gode de belle taille. J'aurais aimé, à cet instant le saisir et l'enduire, pour elles, de lubrifiant. Ce fut Chloé qui s'en chargea.
Elles me jetèrent en même temps un regard qui me transperça, ou pointait à la fois la perversité, le sadisme et une grande tendresse. Puis Virginie s'enfonça doucement en Chloé. Leur étreinte fut longue, intense et presque bestiale. Que ceux qui préfèrent penser que les femmes ensemble ne se pénètrent pas et ont des relations faites uniquement de caresses et de baisers ne soient jamais témoins d'une scène pareille. Chloé fut prise en missionnaire, puis en levrette, avec vigueur et presqu'avec rage. De ma chaise, je voyais son plaisir montrer à mesure que ses cris devenaient plus sonores. Virginie ne la quittait pas des yeux, jouissant du plaisir qu'elle donnait. Mon sexe me faisait mal et je commençais à me masturber sous mon pantalon, sans oser le sortir. La jouissance de Chloé me transperça. Virginie la contempla, interne sous elle en souriant. Elle l'embrassa. Chloé, se remettant doucement de son orgasme répondit à son baiser. Elles se caressaient.
C'est là qu'un basculement se produit. Chloé, toujours étendue, pris ma main et la posta sur son sein. Toujours habillé, je parcourais leurs corps où perlait un peu de la sueur de l'étreinte. Je me retrouvais entre leurs jambes, à voir leurs doits disparaître dans leurs deux sexes. Puis Virginie, toujours surplombant Chloé, approcha son bassin des levres de son amante pour un ultime cunnilingus. C'est alors que je sentis les pieds de Chloé qui poussaient ma tête vers son entrejambe. Je me sentis autorisé à la lécher. Au bout de quelques instants, tout à son plaisir, Chloé abandonna le sexe de Virginie, concentrée sur ce que je faisais subir à sa chatte. Elle poussait de petits cris aigus et fini par jouir une seconde fois, m'inondant presque le visage de son plaisir. En levant la tête, je vit le regard noir de Virginie, chargé de reproches.
Après quelques baisers je les laissais seules dans notre chambre pour passer la nuit de mon côté. Au matin, le petit déjeuner fut silencieux mais apaisé.
Virginie n'aborda pas ce qui s'était passé. Elle ne le fit pas non plus le soir quand nous nous revîmes, après une journée de travail. Je la sentais un peu soucieuse, pourtant.
Le lendemain elle me dit : "ça n'était pas juste du voyeurisme, c'était un trio. Chloé a beaucoup aimé ce que tu lui as fait. Elle veut recommencer. On en reparlera. Mais attention. Chloé est à moi. si vous vous voyez en dehors de moi, c'est fini entre nous".
A suivre...
Modifié en dernier par futurcocu75 le ven. 22 sept. 2017 23:38, modifié 1 fois.
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Re: Ma compagne et son amante
magnifique buisson naturel!!! un regal a deguster et arroser!! quelque soit l'ordre des actionsfuturcocu75 a écrit : Quelques instants seulement

:'(
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Re: Ma compagne et son amante
excellent récit et bien écris en plus ...
Lopette encage en permanence, toujours en dessous féminin, humiliation soumission je suis dominé par ma femme,
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Re: Ma compagne et son amante
Bonheur fragile
La soirée avec Virginie est Chloé m'avais durablement marqué. Pendant plusieurs jours, des images merveilleuses de leurs corps entremêlés me passaient devant les yeux. Je revoyais leurs caresses, le sexe de Chloé cédant à la possession du gode et s'offrant à la domination de Virginie. Et puis ce goût, le goût de la chatte de Chloé, le contact de ses poils sur ma langue... Le regain de ma vie sexuelle avec Virginie se poursuivait. Nos passions des heures à baiser. Parfois, un frôlement de corps le matin suffisait à ce que je me retrouve en elle, même quelques instants.
De leur côté, les deux amantes se voyaient presque tous les jours et continuaient leur idylle, sous les yeux aveugles de leurs collègues. Quand le mari de Chloé s'absentait, elles investissait le lit conjugal. Virginie me confessa d'un air gourmant, qu'elle avait pris Chloé dans chacune des pièces de leur appartement.
Ce fut elle qui, quelques semaines après, me dit "Chloé a beaucoup aimé la soirée de la dernière fois. Veux-tu recommencer demain? Chloé viendrait à 19h, pour une soirée sushis et champagne. Bien sûr, c'est toi qui offre le champagne".
C'était inespéré. je passais la journée du lendemain à rêver à la soirée et traversais les heures de bureau sans même adresser la parole à un seul de mes collègues, eux qui étaient engoncés dans l'inanité de leurs préoccupations quotidiennes alors que ma vie prenait un tour d'une intensité que je ne soupçonnais pas.
Chloé fut ponctuelle. Elle embrassa Virginie à pleine bouche en arrivant et me laissa lui déposer un baiser sur le front. Le début de la soirée fut cordial et presque naturel.
Elles ne voulaient rien précipiter. La seule chose était que Chloé s'était vite pelotonnée contre Virginie ronronnant presque sous des caresses presque conjugales. Pour un peu, j'avais le sentiment qu'elles étaient chez elles et que c'était moi qui était leur invité pour la soirée; qu'elles formaient le couple légitime.
A mesure que le niveau de la bouteille de Ruinart blanc de blancs baissait, la conversation s'espaçait pour faire place à des murmures et quelques soupirs.
Je vis la main de Chloé disparaître sous le jean de Virginie qui laissa aller sa tête en arrière, pour mieux jouir de l'intrusion, les yeux mi-clos. Elles s'embrassaient profondément.
La tension sexuelle était déjà à la limite du supportable, d'autant que je comprenais bien que je n'étais pas invité à participer à ces premiers attouchements.
Puis Chloé fixa Virginie avec un sourire entendu. Virginie acquiesça d'un mouvement de tête, et toutes deux se levèrent pour se diriger vers notre chambre, main dans la main. Sur le pas de la porte, Chloé me regarda, moqueuse et me jeta "alors? tu viens?"
Je pris place sur la chaise qui m'avait servi de poste d'observation la première fois. Très vite, le corps fin et hâlé de Chloé disparut sous celui, plus voluptueux et plus laiteux de Virginie. J'admirais la souplesse de Chloé, mais redécouvrait surtout les beautés de Virginie, dont le corps semblait aussi juvénile que celui de son amante. Le spectacle fut long, bouleversant et frustrant. Nu et m'offrant à leurs regards, je restais sur ma chaise, le sexe à la main. Bouche contre bouche, les deux nymphes se parcouraient mutuellement de leurs langues et de leurs mains. Comme dans une chorégraphie déjà réglée, Virginie enfila le harnais de son gode, avant d'embrocher Chloé dont le regard mouillé et les lèvres entrouvertes semblaient demander grâce. Virginie dominait vraiment son amante, en imprimant le rythme et en maniant son corps si frêle. On sentait dans son regard la satisfaction de la possession au moins autant que l'extase physique. Je n'existais plus. Elles étaient seules dans ce corps à corps brûlant. Chloé fut foudroyée par un orgasme et partit se doucher, pantelante, laissant virginie, désormais allongée sur le dos, humide de sueur et de leurs mouilles mêlées. Jamais je ne l'avais tant désirée. Le triangle odorant de ses poils pubiens était comme un bijou vénéneux sur sa peau blanche. "Prends moi", ordonna-t-elle sans me regarder. Je m'enfonçais en elle et commençait alors un va et vient désespéré et frénétique, comme si j'avais cherché à disparaître au creux de son sexe. Je ne l'avais jamais sentie si humide et si large, bien qu'elle n'ait pas été pénétrée. Sous mes coups de boutoirs, elle commença à pousser des gémissements d'une voix chaude et grave.
Je sentis alors un mouvement à mes côté. Chloé, sortie de la douche et nous trouvant à l'ouvrage, s'était glissée contre nous, bien décidée à ne pas m'abandonner le corps de ma compagne. Très vite, nos lèvres se rencontrèrent. Je quittais le trou de Virginie l'abandonner encore aux doigts experts de Chloé, puis à sa langue. De mon côté, j'entrepris de titiller le clitoris de Chloé qui rugissait de plaisir sous mon attaque. La scène dura plusieurs minutes avant que je ne me dégage. Je vis alors Virginie, sur le dis, recevant le soins de Chloé, qui, à quatre pattes, me présentait son cul. J'introduisis un doigt dans sa chatte largement ouverte. Virginie grogna, voyant que j'avais distrait sa maîtresse de sa tâche et plaqua autoritairement son sexe sur la bouche de Chloé qui repris son ouvrage. Enhardit, je poursuivais le doigtage de cette jeune femme que je connaissais finalement si peu. Mon sexe me faisait mal à force d'être gonflé. Je fus surpris quand Chloé s'en saisit pour le branler, aussi adroitement que la position le permettait. Elle ne le lacha que pour introduire à son tour un doigt dans la chatte de Virginie.
C'est alors que je plaçais ma queue tout contre le sexe de Chloé qui ne protesta pas, absorbée par la chatte de Virginie qui finit par se contracter sous les spasmes de l'orgasme. N'y tenant plus, à la recherche de mon plaisir, je pénétrais Chloé d'un vigoureux coup de bassin. Je la pris ainsi, en levrette, sa tête vautrée sans le sexe gluant de Virginie, les yeux perdus. Je ne sais combien de temps dura ce moment. C'est la voix de Virginie qui y mis fin : "bon, ça suffit, on va dormir". Je quittais, piteux, la chatte de Chloé, qui s'écroula dans les bras de son amie.
Elles se serrèrent l'une contre l'autre sans rien dire. Je me sentis de trop et eu le sentiment d'un malaise. M'excusant maladroitement et souhaitant bonne nuit, je me retirais dans la chambre d'ami où je me donnais, enfin, la jouissance que j'avais retenue toute la soirée. Mon sommeil fut lourd.
La soirée avec Virginie est Chloé m'avais durablement marqué. Pendant plusieurs jours, des images merveilleuses de leurs corps entremêlés me passaient devant les yeux. Je revoyais leurs caresses, le sexe de Chloé cédant à la possession du gode et s'offrant à la domination de Virginie. Et puis ce goût, le goût de la chatte de Chloé, le contact de ses poils sur ma langue... Le regain de ma vie sexuelle avec Virginie se poursuivait. Nos passions des heures à baiser. Parfois, un frôlement de corps le matin suffisait à ce que je me retrouve en elle, même quelques instants.
De leur côté, les deux amantes se voyaient presque tous les jours et continuaient leur idylle, sous les yeux aveugles de leurs collègues. Quand le mari de Chloé s'absentait, elles investissait le lit conjugal. Virginie me confessa d'un air gourmant, qu'elle avait pris Chloé dans chacune des pièces de leur appartement.
Ce fut elle qui, quelques semaines après, me dit "Chloé a beaucoup aimé la soirée de la dernière fois. Veux-tu recommencer demain? Chloé viendrait à 19h, pour une soirée sushis et champagne. Bien sûr, c'est toi qui offre le champagne".
C'était inespéré. je passais la journée du lendemain à rêver à la soirée et traversais les heures de bureau sans même adresser la parole à un seul de mes collègues, eux qui étaient engoncés dans l'inanité de leurs préoccupations quotidiennes alors que ma vie prenait un tour d'une intensité que je ne soupçonnais pas.
Chloé fut ponctuelle. Elle embrassa Virginie à pleine bouche en arrivant et me laissa lui déposer un baiser sur le front. Le début de la soirée fut cordial et presque naturel.
Elles ne voulaient rien précipiter. La seule chose était que Chloé s'était vite pelotonnée contre Virginie ronronnant presque sous des caresses presque conjugales. Pour un peu, j'avais le sentiment qu'elles étaient chez elles et que c'était moi qui était leur invité pour la soirée; qu'elles formaient le couple légitime.
A mesure que le niveau de la bouteille de Ruinart blanc de blancs baissait, la conversation s'espaçait pour faire place à des murmures et quelques soupirs.
Je vis la main de Chloé disparaître sous le jean de Virginie qui laissa aller sa tête en arrière, pour mieux jouir de l'intrusion, les yeux mi-clos. Elles s'embrassaient profondément.
La tension sexuelle était déjà à la limite du supportable, d'autant que je comprenais bien que je n'étais pas invité à participer à ces premiers attouchements.
Puis Chloé fixa Virginie avec un sourire entendu. Virginie acquiesça d'un mouvement de tête, et toutes deux se levèrent pour se diriger vers notre chambre, main dans la main. Sur le pas de la porte, Chloé me regarda, moqueuse et me jeta "alors? tu viens?"
Je pris place sur la chaise qui m'avait servi de poste d'observation la première fois. Très vite, le corps fin et hâlé de Chloé disparut sous celui, plus voluptueux et plus laiteux de Virginie. J'admirais la souplesse de Chloé, mais redécouvrait surtout les beautés de Virginie, dont le corps semblait aussi juvénile que celui de son amante. Le spectacle fut long, bouleversant et frustrant. Nu et m'offrant à leurs regards, je restais sur ma chaise, le sexe à la main. Bouche contre bouche, les deux nymphes se parcouraient mutuellement de leurs langues et de leurs mains. Comme dans une chorégraphie déjà réglée, Virginie enfila le harnais de son gode, avant d'embrocher Chloé dont le regard mouillé et les lèvres entrouvertes semblaient demander grâce. Virginie dominait vraiment son amante, en imprimant le rythme et en maniant son corps si frêle. On sentait dans son regard la satisfaction de la possession au moins autant que l'extase physique. Je n'existais plus. Elles étaient seules dans ce corps à corps brûlant. Chloé fut foudroyée par un orgasme et partit se doucher, pantelante, laissant virginie, désormais allongée sur le dos, humide de sueur et de leurs mouilles mêlées. Jamais je ne l'avais tant désirée. Le triangle odorant de ses poils pubiens était comme un bijou vénéneux sur sa peau blanche. "Prends moi", ordonna-t-elle sans me regarder. Je m'enfonçais en elle et commençait alors un va et vient désespéré et frénétique, comme si j'avais cherché à disparaître au creux de son sexe. Je ne l'avais jamais sentie si humide et si large, bien qu'elle n'ait pas été pénétrée. Sous mes coups de boutoirs, elle commença à pousser des gémissements d'une voix chaude et grave.
Je sentis alors un mouvement à mes côté. Chloé, sortie de la douche et nous trouvant à l'ouvrage, s'était glissée contre nous, bien décidée à ne pas m'abandonner le corps de ma compagne. Très vite, nos lèvres se rencontrèrent. Je quittais le trou de Virginie l'abandonner encore aux doigts experts de Chloé, puis à sa langue. De mon côté, j'entrepris de titiller le clitoris de Chloé qui rugissait de plaisir sous mon attaque. La scène dura plusieurs minutes avant que je ne me dégage. Je vis alors Virginie, sur le dis, recevant le soins de Chloé, qui, à quatre pattes, me présentait son cul. J'introduisis un doigt dans sa chatte largement ouverte. Virginie grogna, voyant que j'avais distrait sa maîtresse de sa tâche et plaqua autoritairement son sexe sur la bouche de Chloé qui repris son ouvrage. Enhardit, je poursuivais le doigtage de cette jeune femme que je connaissais finalement si peu. Mon sexe me faisait mal à force d'être gonflé. Je fus surpris quand Chloé s'en saisit pour le branler, aussi adroitement que la position le permettait. Elle ne le lacha que pour introduire à son tour un doigt dans la chatte de Virginie.
C'est alors que je plaçais ma queue tout contre le sexe de Chloé qui ne protesta pas, absorbée par la chatte de Virginie qui finit par se contracter sous les spasmes de l'orgasme. N'y tenant plus, à la recherche de mon plaisir, je pénétrais Chloé d'un vigoureux coup de bassin. Je la pris ainsi, en levrette, sa tête vautrée sans le sexe gluant de Virginie, les yeux perdus. Je ne sais combien de temps dura ce moment. C'est la voix de Virginie qui y mis fin : "bon, ça suffit, on va dormir". Je quittais, piteux, la chatte de Chloé, qui s'écroula dans les bras de son amie.
Elles se serrèrent l'une contre l'autre sans rien dire. Je me sentis de trop et eu le sentiment d'un malaise. M'excusant maladroitement et souhaitant bonne nuit, je me retirais dans la chambre d'ami où je me donnais, enfin, la jouissance que j'avais retenue toute la soirée. Mon sommeil fut lourd.
Modifié en dernier par futurcocu75 le lun. 25 sept. 2017 23:21, modifié 2 fois.
- meldem59
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Re: Ma compagne et son amante
Encore une soirée d'une belle intensité, soirée délicieusement racontée. merci
- meldem59
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Re: Ma compagne et son amante
Vous en avez reparlé avec Virginie ? Reproche sur la pénétration de Chloé ?
Tu l'as prise en no capote ? Si Virginie n'avait rien dit, tu terminais dedans ?
Tu l'as prise en no capote ? Si Virginie n'avait rien dit, tu terminais dedans ?
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Re: Ma compagne et son amante
Histoire troublante et passionnante ! Comment Chloe a t-elle appréciée cette pénétration a cru ?
Re: Ma compagne et son amante
très excitante cette histoire, dommage que les photos ne soient plus là...
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Re: Ma compagne et son amante
Bonjour à tous,
La suite a beaucoup tardé, la voici.
Le lendemain matin, je me levais le premier pour préparer le petit-déjeuner. Virginie émergea la première et plongea dans son café sans m'adresser la parole. Chloé nous rejoint peu après et semblait gênée. Je les vis ainsi partir au travail avec un certain désarroi sans savoir à quoi m'en tenir.
Inutile de dire que je fus distrait toute la journée. Aussi me trouvais-je surpris en rentrant, de trouver Virginie détendue et enjouée, comme à son habitude.
Elle éludait toutes mes tentatives de parler de la veille. Après le dîner, alors qu'elle se démaquillait devant sa glace, je me glissai derrière elle et introduisis mes mains sous le peignoir qu'elle avait passé au sortir de la douche. Elle était douce, ses seins fermes et j'aimais sentir le contraste entre la peau si fine de son bas-ventre et la rudesse de ses poils. Elle se laissa faire sans rien dire. Je plongeais ma main dans son entrecuisse : elle mouillait. Elle se pencha elle même en avant pour me présenter sa croupe. Je la pris ainsi, le peignoir relevé, sans préliminaires. Les bruits humides provoqués par mes va-et-vient rapides contribuaient à mon excitation ainsi que ses feulements de plaisir graves et étouffés, presque animaux. Après quelques minutes, nous nous dirigeâmes vers le lit. Enfin nue, elle ouvrit ses cuisses et me découvrit sa vulve sans pudeur. Notre étreinte fut longue, ferme et à la limite de la violence, comme si nous y cherchions tous les deux un exutoire à des sentiments trop puissants pour être dits sans brûler.
Ses spasmes de jouissances me semblèrent se prolonger infiniment plus longtemps qu'à l'accoutumée et quand elle reçu ma semence au fond de sa matrice.
Quelques instants après, quand nous eûmes repris notre souffle elle me glissa : "je n'ai pas aimé te voir baiser Chloé. Mais elle a eu beaucoup de plaisir. Je te répète qu'elle est à moi. Mais nous pouvons envisager de nous voir à trois de temps en temps".
Ces mots sonnèrent comme une délivrance et ouvrirent une nouvelle phase de notre relation.
A suivre...
La suite a beaucoup tardé, la voici.
Le lendemain matin, je me levais le premier pour préparer le petit-déjeuner. Virginie émergea la première et plongea dans son café sans m'adresser la parole. Chloé nous rejoint peu après et semblait gênée. Je les vis ainsi partir au travail avec un certain désarroi sans savoir à quoi m'en tenir.
Inutile de dire que je fus distrait toute la journée. Aussi me trouvais-je surpris en rentrant, de trouver Virginie détendue et enjouée, comme à son habitude.
Elle éludait toutes mes tentatives de parler de la veille. Après le dîner, alors qu'elle se démaquillait devant sa glace, je me glissai derrière elle et introduisis mes mains sous le peignoir qu'elle avait passé au sortir de la douche. Elle était douce, ses seins fermes et j'aimais sentir le contraste entre la peau si fine de son bas-ventre et la rudesse de ses poils. Elle se laissa faire sans rien dire. Je plongeais ma main dans son entrecuisse : elle mouillait. Elle se pencha elle même en avant pour me présenter sa croupe. Je la pris ainsi, le peignoir relevé, sans préliminaires. Les bruits humides provoqués par mes va-et-vient rapides contribuaient à mon excitation ainsi que ses feulements de plaisir graves et étouffés, presque animaux. Après quelques minutes, nous nous dirigeâmes vers le lit. Enfin nue, elle ouvrit ses cuisses et me découvrit sa vulve sans pudeur. Notre étreinte fut longue, ferme et à la limite de la violence, comme si nous y cherchions tous les deux un exutoire à des sentiments trop puissants pour être dits sans brûler.
Ses spasmes de jouissances me semblèrent se prolonger infiniment plus longtemps qu'à l'accoutumée et quand elle reçu ma semence au fond de sa matrice.
Quelques instants après, quand nous eûmes repris notre souffle elle me glissa : "je n'ai pas aimé te voir baiser Chloé. Mais elle a eu beaucoup de plaisir. Je te répète qu'elle est à moi. Mais nous pouvons envisager de nous voir à trois de temps en temps".
Ces mots sonnèrent comme une délivrance et ouvrirent une nouvelle phase de notre relation.
A suivre...
- meldem59
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Re: Ma compagne et son amante
Merci beaucoup pour cette suite.
Il fallait s'attendre à cette réaction mais l'avantage est que la volonté de Chloé s'impose. De bons trios en perspective.
Il fallait s'attendre à cette réaction mais l'avantage est que la volonté de Chloé s'impose. De bons trios en perspective.
- triathletetrio
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Re: Ma compagne et son amante
merci pour la suite !
V.I.P. qui passe quotidiennement saluer le travail de Chriscool !
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Re: Ma compagne et son amante
La suite fut longue à venir. J'en suis désolé, mais la voici.
A partir de ce moment là, une grande complicité s'installa entre nous trois. Chloé et Virginie se voyaient presque tous les jours au boulot. Et tous les soirs, j'interrogeais Virginie sur ce qu'elles avaient fait. Parfois, j'aimais la lécher avant qu'elle ne se douche pour profiter de leurs odeurs à toutes les deux. Jamais notre libido n'avait été poussée si haut.
Elle me racontait les choses par bribes, lentement, avec un brin de sadisme pendant que je la léchais:
"On a été dans les toilettes. Elle je lui ai touché les seins. Elle a couiné de plaisir. Je l'ai doigtée en l'embrassant pendant qu'elle me malaxait le cul. Puis je l'ai prise avec notre gode rose, tu sais? Le plus gros... Elle était en levrette, la tête au dessus de la cuvette des toilettes".
Imaginer Chloé, si apprêtée, si réservée dans la vie de tous les jours, se livrer ainsi, jusqu'à se révéler la chienne soumise de ma femme m'excitait au-delà de ce que je peux décrire.
En général, je finissais par pénétrer Chloé à la fin de son récit en l"insultant : "pute, salope, tu me fais cocu tous les jours sans même te sentir coupable... Je te détruirai la chatte..."
Dans ces moments là, elle me regardait intensément, sans sourire, savourant le pouvoir que son aventure lui donnait sur moi et la vanité que je pouvais avoir de penser que mon étreinte pourrait y changer quoi que ce soit. Elle était la maîtresse du jeu et le savait. Je sentais confusément que cela augmentait son plaisir quand nous baisions... Ma vigueur, mes coups de boutoirs en elle n'étaient que des révélateurs de mon impuissance.
D'autres fois, chaque fois, en fait, que le mari de Chloé s'absentait, Virginie dormait chez sa maîtresse dans le lit conjugal. Elle prétendait ne pas y prendre une jouissance particulière, mais mentionnait dans un sourire un peu pervers son plaisir à prendre Chloé méthodiquement, dans quelque pièce, à boire le whisky du mari absent, à la faire jouir comme son mari n'était jamais parvenu à le faire.
Elle me dit aussi que Chloé avait commencé à affirmer sa domination sur le mari en lui interdisant de la pénétrer sans préservatif. Elle lui signifiant maintenant son incapacité à lui donner un réel plaisir. Pour autant, elle ne lui souffla pas un mot de l'existence de Virginie, se contentant de se donner à elle chaque jour. Nous correspondions maintenant par sms, Chloé et moi. Elle m'avoua son plaisir à faire de moi un cocu, un homme dominé par sa femme mais aussi son désir permanent de Virginie.
Au travail, elles ne manquaient jamais une occasion de contact charnel. Chloé, trouvait tous les prétextes pour se rendre dans le bureau de Virginie. Il arriva même à plusieurs reprises qu'elles manquent de se faire surprendre par un collègue.
Une fois par mois environ, Chloé venant passer une soirée à la maison. A chaque fois le scénario est à peu près le même. Nous dînons ensemble joyeusement au champagne. Sous la table les pieds se cherchent, les mains se promènent.
Puis nous passons dans la chambre. Elles aiment que je les regarde baiser. Une fois, Chloé, proposa même de m'attacher afin que je ne lés dérange pas. Mais dans une seconde partie de soirée, elles m'accueillaient avec elles et m'intégraient à leurs jeux. Chloé aime beaucoup me sucer longuement pendant que Virginie la doigte. Et de mon côté, ma récompense suprême et de la baiser et de jouir dans son ventre, ce que son mari n'a plus le droit de faire. Je les laisse ensuite finir la nuit dans les bras l'une de l'autre et les réveille le lendemain avec un petit déjeuner soigneusement confectionné.
Voilà notre vie d'aujourd'hui... QU'en pensez-vous?
A partir de ce moment là, une grande complicité s'installa entre nous trois. Chloé et Virginie se voyaient presque tous les jours au boulot. Et tous les soirs, j'interrogeais Virginie sur ce qu'elles avaient fait. Parfois, j'aimais la lécher avant qu'elle ne se douche pour profiter de leurs odeurs à toutes les deux. Jamais notre libido n'avait été poussée si haut.
Elle me racontait les choses par bribes, lentement, avec un brin de sadisme pendant que je la léchais:
"On a été dans les toilettes. Elle je lui ai touché les seins. Elle a couiné de plaisir. Je l'ai doigtée en l'embrassant pendant qu'elle me malaxait le cul. Puis je l'ai prise avec notre gode rose, tu sais? Le plus gros... Elle était en levrette, la tête au dessus de la cuvette des toilettes".
Imaginer Chloé, si apprêtée, si réservée dans la vie de tous les jours, se livrer ainsi, jusqu'à se révéler la chienne soumise de ma femme m'excitait au-delà de ce que je peux décrire.
En général, je finissais par pénétrer Chloé à la fin de son récit en l"insultant : "pute, salope, tu me fais cocu tous les jours sans même te sentir coupable... Je te détruirai la chatte..."
Dans ces moments là, elle me regardait intensément, sans sourire, savourant le pouvoir que son aventure lui donnait sur moi et la vanité que je pouvais avoir de penser que mon étreinte pourrait y changer quoi que ce soit. Elle était la maîtresse du jeu et le savait. Je sentais confusément que cela augmentait son plaisir quand nous baisions... Ma vigueur, mes coups de boutoirs en elle n'étaient que des révélateurs de mon impuissance.
D'autres fois, chaque fois, en fait, que le mari de Chloé s'absentait, Virginie dormait chez sa maîtresse dans le lit conjugal. Elle prétendait ne pas y prendre une jouissance particulière, mais mentionnait dans un sourire un peu pervers son plaisir à prendre Chloé méthodiquement, dans quelque pièce, à boire le whisky du mari absent, à la faire jouir comme son mari n'était jamais parvenu à le faire.
Elle me dit aussi que Chloé avait commencé à affirmer sa domination sur le mari en lui interdisant de la pénétrer sans préservatif. Elle lui signifiant maintenant son incapacité à lui donner un réel plaisir. Pour autant, elle ne lui souffla pas un mot de l'existence de Virginie, se contentant de se donner à elle chaque jour. Nous correspondions maintenant par sms, Chloé et moi. Elle m'avoua son plaisir à faire de moi un cocu, un homme dominé par sa femme mais aussi son désir permanent de Virginie.
Au travail, elles ne manquaient jamais une occasion de contact charnel. Chloé, trouvait tous les prétextes pour se rendre dans le bureau de Virginie. Il arriva même à plusieurs reprises qu'elles manquent de se faire surprendre par un collègue.
Une fois par mois environ, Chloé venant passer une soirée à la maison. A chaque fois le scénario est à peu près le même. Nous dînons ensemble joyeusement au champagne. Sous la table les pieds se cherchent, les mains se promènent.
Puis nous passons dans la chambre. Elles aiment que je les regarde baiser. Une fois, Chloé, proposa même de m'attacher afin que je ne lés dérange pas. Mais dans une seconde partie de soirée, elles m'accueillaient avec elles et m'intégraient à leurs jeux. Chloé aime beaucoup me sucer longuement pendant que Virginie la doigte. Et de mon côté, ma récompense suprême et de la baiser et de jouir dans son ventre, ce que son mari n'a plus le droit de faire. Je les laisse ensuite finir la nuit dans les bras l'une de l'autre et les réveille le lendemain avec un petit déjeuner soigneusement confectionné.
Voilà notre vie d'aujourd'hui... QU'en pensez-vous?
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Re: Ma compagne et son amante
Le plus important est que vous soyez tous les trois heureux. Donc pour ma part rien de choquant.
Re: Ma compagne et son amante
Je dirais pas mieux... C'est l'essentiel!!ad16 a écrit : Le plus important est que vous soyez tous les trois heureux. Donc pour ma part rien de choquant.
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Re: Ma compagne et son amante
tout cci est tres excitant, troublant aussi. Je ne sais pas si je serais capable de tenir sur la longueur. Mais histoire tres excitante. merci a toi
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Re: Ma compagne et son amante
Merveilleuse histoire ! Je suis très heureux pour vous. Cela me rappelle une histoire à 3 que j'ai vécu avec une copine parfaitement bi. Il y a 2 ans elle a rencontré une femme qui a partagé nos soirées dans une parfaite symbiose. Malheureusement elle a du repartir dans sa région d'origine.
Re: Ma compagne et son amante
Le récit est très excitant, j'adorerais qu'il soit imagé...futurcocu75 a écrit : La suite fut longue à venir. J'en suis désolé, mais la voici.
A partir de ce moment là, une grande complicité s'installa entre nous trois. Chloé et Virginie se voyaient presque tous les jours au boulot. Et tous les soirs, j'interrogeais Virginie sur ce qu'elles avaient fait. Parfois, j'aimais la lécher avant qu'elle ne se douche pour profiter de leurs odeurs à toutes les deux. Jamais notre libido n'avait été poussée si haut.
Elle me racontait les choses par bribes, lentement, avec un brin de sadisme pendant que je la léchais:
"On a été dans les toilettes. Elle je lui ai touché les seins. Elle a couiné de plaisir. Je l'ai doigtée en l'embrassant pendant qu'elle me malaxait le cul. Puis je l'ai prise avec notre gode rose, tu sais? Le plus gros... Elle était en levrette, la tête au dessus de la cuvette des toilettes".
Imaginer Chloé, si apprêtée, si réservée dans la vie de tous les jours, se livrer ainsi, jusqu'à se révéler la chienne soumise de ma femme m'excitait au-delà de ce que je peux décrire.
En général, je finissais par pénétrer Chloé à la fin de son récit en l"insultant : "pute, salope, tu me fais cocu tous les jours sans même te sentir coupable... Je te détruirai la chatte..."
Dans ces moments là, elle me regardait intensément, sans sourire, savourant le pouvoir que son aventure lui donnait sur moi et la vanité que je pouvais avoir de penser que mon étreinte pourrait y changer quoi que ce soit. Elle était la maîtresse du jeu et le savait. Je sentais confusément que cela augmentait son plaisir quand nous baisions... Ma vigueur, mes coups de boutoirs en elle n'étaient que des révélateurs de mon impuissance.
D'autres fois, chaque fois, en fait, que le mari de Chloé s'absentait, Virginie dormait chez sa maîtresse dans le lit conjugal. Elle prétendait ne pas y prendre une jouissance particulière, mais mentionnait dans un sourire un peu pervers son plaisir à prendre Chloé méthodiquement, dans quelque pièce, à boire le whisky du mari absent, à la faire jouir comme son mari n'était jamais parvenu à le faire.
Elle me dit aussi que Chloé avait commencé à affirmer sa domination sur le mari en lui interdisant de la pénétrer sans préservatif. Elle lui signifiant maintenant son incapacité à lui donner un réel plaisir. Pour autant, elle ne lui souffla pas un mot de l'existence de Virginie, se contentant de se donner à elle chaque jour. Nous correspondions maintenant par sms, Chloé et moi. Elle m'avoua son plaisir à faire de moi un cocu, un homme dominé par sa femme mais aussi son désir permanent de Virginie.
Au travail, elles ne manquaient jamais une occasion de contact charnel. Chloé, trouvait tous les prétextes pour se rendre dans le bureau de Virginie. Il arriva même à plusieurs reprises qu'elles manquent de se faire surprendre par un collègue.
Une fois par mois environ, Chloé venant passer une soirée à la maison. A chaque fois le scénario est à peu près le même. Nous dînons ensemble joyeusement au champagne. Sous la table les pieds se cherchent, les mains se promènent.
Puis nous passons dans la chambre. Elles aiment que je les regarde baiser. Une fois, Chloé, proposa même de m'attacher afin que je ne lés dérange pas. Mais dans une seconde partie de soirée, elles m'accueillaient avec elles et m'intégraient à leurs jeux. Chloé aime beaucoup me sucer longuement pendant que Virginie la doigte. Et de mon côté, ma récompense suprême et de la baiser et de jouir dans son ventre, ce que son mari n'a plus le droit de faire. Je les laisse ensuite finir la nuit dans les bras l'une de l'autre et les réveille le lendemain avec un petit déjeuner soigneusement confectionné.
Voilà notre vie d'aujourd'hui... QU'en pensez-vous?
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- Enregistré le : ven. 15 févr. 2013 14:30
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Re: Ma compagne et son amante
Je viens de découvrir votre histoire, j'avais loupé le début l'an dernier. C'est très excitant de lire ta prose, tu nous racontes avec un joli style votre histoire originale et pleine d'amour et de sexe.
Si de ton coté les choses sont claires et acceptées, il faut sans doute redouter le jour où le mari de Chloé va découvrir son aventure avec ta femme et le fait qu'elle le cocufie aussi avec toi pendant vos trios. J'espère qu'elle saura lui faire accepter cette situation et pourquoi pas envisager ensuite une relation de couple?
Si de ton coté les choses sont claires et acceptées, il faut sans doute redouter le jour où le mari de Chloé va découvrir son aventure avec ta femme et le fait qu'elle le cocufie aussi avec toi pendant vos trios. J'espère qu'elle saura lui faire accepter cette situation et pourquoi pas envisager ensuite une relation de couple?
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Re: Ma compagne et son amante
Superbe récit. Tes écrits sont d'un haut niveau. C'est prenant, excitant, bandant. J'espère que tu continueras à nous faire vivre vos chassés croisés.
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- Messages : 44
- Enregistré le : jeu. 19 mai 2011 17:50
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Re: Ma compagne et son amante
bravo pour ton récit donc on peux dire que tu et un cocu heureux et qui à plus de chance que le mari de chloé car du coup tu en baise deux 

- cocu87
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- Enregistré le : lun. 19 mars 2018 18:03
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Re: Ma compagne et son amante
Un récit très bien écrit, un vrai plaisir à lire, merci !
Et une histoire bien menée, qui mêle habilement la frustration, la tristesse, la jalousie, l'excitation... Bref, le candaulisme dans toute sa splendeur.
Merci encore !
Et une histoire bien menée, qui mêle habilement la frustration, la tristesse, la jalousie, l'excitation... Bref, le candaulisme dans toute sa splendeur.
Merci encore !
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