ma doudou couleur café (suite)

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

ma doudou couleur café (suite)

Messagepar rachou » Sam 30 Juin 2012 20:52

Après la soirée d’hier, j’ai passé une mauvaise nuit, me réveillant plusieurs fois, regardant le plafond les yeux ouverts ou me tournant vers ma compagne pour humer son odeur épicée et me blottir au plus chaud de sa peau.
Je ne parviens pas à trouver le repos, je repasse en revue les évènements de la veille et je suis bien obligé d’admettre que je me sens vaguement inquiet. Ce n’est pas tant l’attitude de Raffaela qui m’inquiète, que mon propre comportement. Je ressens le désir lancinant d’aller plus loin, d’en savoir davantage sur ce qu’elle serait prête à accepter. Je ne comprends pas ce qui m’a poussé à la faire s’exhiber ainsi, puis à lui avoir donné la possibilité d’écouter la voix de cet homme, et enfin pour ce qui me concerne personnellement, ce qui m’a amené à suivre les directives de cet inconnu, c’est-à-dire à me masturber devant eux, jusqu’à l’orgasme, jusqu’à asperger le corps de ma femme. J’ignore dans quel état d’esprit Raffaela va se lever demain, ni quel souvenir elle va garder de tout çà. Est-ce que cela va changer son regard sur moi ? Est-ce que cela va compromettre notre relation, lui faire changer son comportement.

Le réveil vient de sonner. Raffaela toute ensommeillée, se retourne et viens se blottir contre moi. Son corps est brulant et sa peau exhale une odeur poivrée et musquée. Je sens sa main chercher mon sexe et en éprouver la dureté. Je suis déjà raide et très excité, Raffaela embrasse mon torse, mon ventre, je la sens qui descend vers le pied du lit et je sens sa bouche se refermer sur ma queue durcie. La sensation est délicieuse, Raffaela me suce avec une vigueur et une énergie inhabituelle, comme si elle voulait avaler mon sexe et me faire jouir rapidement sans chercher particulièrement à batifoler. De temps en temps elle s’interrompt pour s’adresser à moi tout en gardant mon sexe à moitié dans la bouche.
-Je suis excitée salaud…tu m’as mise dans un état pas possible hier soir…..j’ai envie de ta queue, tu n’as pas joui en moi hier pourquoi ? ….
-Je ne sais pas dis-je, j’étais excité aussi de te voir t’exhiber sur le canapé les jambes écartées.
-M’exhiber moi ? Salaud ! C’est toi qui a voulu que je montre à la cam à ce connard….hmmm j’aime ta queue tu sais ? hummm
Pendant que les lèvres et la langue de Raffaela font merveille, elle me malaxe les boules, augmentant puis libérant la pression des doigts pour m’amener au bord de la douleur, avant de relâcher l’emprise. Je sens les cheveux de ma compagne courir sur mon ventre, ses doigts glisser entre mes fesses pour y chercher l’orifice, je perçois un son guttural sortir de sa gorge au même rythme que les mouvements de sa tête, je jouis enfin dans sa gorge, dans sa bouche, libérant toute la tension de la nuit. Alors que je reprends peu à peu mes esprits j’entends la voix de ma compagne toujours affairée à recueillir mon sperme de la langue et des lèvres :
-J’adore….j’adore faire çà…. Je t’ai bien sucé dis ?…..je suis une bonne putain, dis-moi ?
-Heu.. oui chérie, j’ai adoré tu sais bien, tu le fais si bien.
-C’est pas ce que je te demande chérie….Est-ce que je suis une bonne putain ?
Au même moment je sens ses lèvres et ses dents se refermer sur mon sexe, avec juste la bonne pression pour m’obliger à lui dire ce qu’elle veut entendre : « oui, oui ! Tu es une bonne putain ! »

Deux heures plus tard, je suis au volant de ma voiture. J’ai dans ma poche le numéro de téléphone de Stéphane, cet inconnu qui la veille a bouleversé notre train-train quotidien par une séance d’exhibition en cam. Ma compagne Raffaela est tout aussi perturbée que moi je le sens bien. Quelque chose de mystérieux est à l’œuvre, quelque chose auquel je ne cesse de penser et qui se manifeste par le désir d’aller plus loin, d’en savoir davantage sur notre couple, sur moi-même, et sur Raffaela. Qu’est-ce qui lui passe par la tête en ce moment même ?
N’y tenant plus, je me décide à garer la voiture, serre le frein à main et je sors le bout de papier sur lequel j’avais griffonné le numéro de Stéphane la veille au soir.
-Allo ? Une voix calme et assurée se fait entendre.
-Bonjour, je suis Marco, on a chaté hier soir, dis-je…on a chaté un bon moment.
-Oui bien sûr je sais, je m’appelle Stéphane. C’est bien d’avoir eu le courage de m’appeler, d’ailleurs je suis content de pouvoir te remercier.
J’avoue être un peu désarçonné, je m’attendais à autre chose, enfin je ne sais pas quoi au fond.
-Excuse-moi mais de quel courage tu parles ? Tu m’as donné ton numéro, c’est normal que j’appelle.
-Quel courage ? reprend Stéphane. Et bien, le courage d’avoir exhibé ta nana à un inconnu, de me l’avoir montré à poil, d’avoir juté sur elle à ma demande, et le courage de m’appeler le lendemain comme tu le fais. Tu aurais pu jeter mon numéro et on en parlait plus.
-C’est vrai, je n’avais pas besoin de vous appeler, dis-je.
-Tu n’avais pas besoin de m’appeler mais tu dois te poser des questions sur toi et aussi sur ta femme maintenant pas vrai ?
-Bien sûr que je pose des questions.
-Ecoute me dit Stéphane, ta femme est bandante, très désirable, en plus j’ai un faible pour les corps exotiques, les peaux caramel-chocolat et les belles cambrures. Donc merci encore pour hier soir mais ta femme a quelque chose de particulier que j’ai reconnu et crois-moi je me trompe rarement. Je sais que tu es troublé, tu vas te poser des questions sans fin si tu n’en a pas le cœur net. Je peux t’aider à y voir plus clair, je peux te montrer le dessous des cartes, te montrer de quoi ta femme est capable.
-Pourquoi vous feriez-çà ? Dis-je.
-Parce que j’y prends une plaisir immense et que je sais que tu meurs d’envie de savoir. J’en suis sûr.
Est-ce que tu veux faire connaissance ?

Stéphane m’a proposé de venir directement chez lui. Voilà pourquoi je me retrouve dans l’ascenseur d’un immeuble bourgeois du quinzième arrondissement. Porte grillagée, cabine en bois vermoulu, odeur de détergent et de cire à l’ancienne, l’ascenseur se hisse péniblement vers le sixième étage.
Je sonne, j’entends les pas de quelqu’un derrière la porte d’entrée, elle s’ouvre. Un homme d’une cinquantaine d’année m’accueille, belle présence, poignée de main ferme et agréable. Il me conduit au salon et me propose de m’assoir, m’offrant même quelque chose à boire, au choix. J’opte pour un alcool fort avec glace, je pense que je risque d’en avoir besoin.
Je découvre le visage de Stéphane puisqu’il s’agit de lui. Nous trinquons. C’est un homme affable, agréable, très à l’aise, je me fais la remarque qu’il plairait sans doute à Raffaela mais je me reprends tout de suite car ce n’est vraiment pas la question.
-Je t’ai proposé de me rencontrer parce que j’ai envie de faire connaissance avec ta femme. Elle est superbe mais ne conclue pas trop vite. Davantage que son physique c’est son caractère, sa nature profonde qui m’intéresse, son potentie,l dit-il en observant le contenu de son verre. Son corps est irrésistible mais c’est son esprit qui m’interroge. D’ailleurs toi non plus, ce n’est pas son corps qui t’intrigue depuis hier. Son corps tu le connais à fond n’est-ce pas ? Combien de fois l’as-tu baisé depuis que vous vous connaissez ? Cent fois, deux cent fois ? C’est sans importance n’est-ce pas ? Ce que tu veux savoir c’est si ta femme est capable ou non de te tromper. Et si elle en est capable, c’est de savoir et de voir, comment elle s’y prendrait et jusqu’où elle pourrait aller dans la dissimulation.
Est-ce que c’est bien çà ?
Stéphane m’observe calmement en guettant ma réaction. Il a raison, la vraie question est de savoir qui est vraiment Raffaela, cette femme dont je partage le quotidien, à qui je n’ai rien à reprocher et dont je doute soudain depuis cette folle soirée. J’ai l’impression d’être au bord d’un précipice. Je peux choisir de renoncer en devant accepter de ne jamais connaitre la réponse. Je peux au contraire saisir l’occasion que m’offre et tester la fidélité de ma femme. Au moins en aurais-je le cœur net.
-C’est difficile, je sais, me dit Séphane en se levant. Laisse moi te montrer quelque-chose et faisons une expérience. Il revient quelques instant plus tard avec une épaisse enveloppe de papier kraft dont il extrait une laisse de documents.
-Est-ce que tu sais ce que c’est me dit-il ?
-Comment le saurais-je ?
Stephane jette alors le contenu de l’enveloppe qui tombe sur la table dans un bruit mat. Là au milieu des verres s’étalent les photos obscènes d’une femme à la peau couleur de miel. Je reconnait Raffaela dans les poses de l’autre nuit, cuisses ouvertes. Raffaela en train de se caresser de la main un sourire de Joconde aux lèvres, Raffaela dans la même pose mais les seins emprisonnés dans ses mains, Raffaela enfin se faisant jouir avec un concombre.
-Mon cher Marco, il est normal d’être un peu choqué de voir sa femme de cette façon. Je peux comprendre que tu me désapprouves d’avoir pris ces clichés. Rappelle toi seulement que c’est toi et toi seulement qui a exhibé ta femme par internet pour commencer. Voilà pourquoi je t’ai remercié tout à l’heure au café, et comme tu le vois j’apprécie la valeur d’un tel cadeau. Aussi je n’ai pas pu m’empêcher de faire quelques clichés et de les imprimer.
Je suis sans voix. L’envie me prend de lui casser la gueule mais une fois encore il a parfaitement raison. Il n’a fait que photographier son écran de pc, il n’a fait que prendre des clichés de ce que je lui ai montré.
Stéphane me ressert un verre de Scotch sans omettre d’y placer deux glaçons. Puis toujours aussi calmement il reprend :
-Voyons les choses sous un autre angle veux-tu ? Tu as proposé un truc à ta femme d’accord. Mais nous sommes aussi d’accord qu’elle aurait très bien pu refuser n’est-ce pas ? Je crois que tu devrais y réfléchir. Ma proposition ne se représentera pas de si tôt. Je te propose ni plus ni moins de découvrir qui elle est, de quoi elle est capable ou non, mais comme je te l’ai suggéré, je crois que ta petite Raffaela est capable de choses étonnantes.
-Oui Stéphane, c’est tout fait exact. C’est pour cette raison que j’ai voulu vous rencontrer. Je ne peux tout simplement pas continuer à vivre avec elle en y pensant nuit et jour. J’accepte par avance ce que vous me proposerez pour la prendre en défaut.
-Bien Marco, c’est la bonne décision et pour t’en convaincre encore davantage, je vais te montrer à nouveau quelque chose de très intéressant. Ce matin dit-i,l au moment où tu m’appelais de ton véhicule, j’étais en communication avec une certaine..Raffaela.
-Quoi, ce matin même ? Mais ce n’est pas possible !
Je pense alors à ce que nous avons fait ce matin, à ses caresses, à sa passion, au plaisir incroyable qu’elle m’a donné…
-Si, si, Marco, je me suis connecté ce matin sur le chat et vois-tu, il semblerait qu’elle m’y attendait déjà car c’est elle qui m’a contacté en premier et je pense aussi Marco que tu ne t’es pas bien occupé d’elle ce matin. Tu ne m’en voudras pas d’avoir, comment dire, voulu conserver la preuve de ce que j’avance.
A cet instant je sens mon cœur battre la chamade, et je suis pris d’un léger mal de tête en découvrant une nouvelle série de clichés de Raffaela qui n’ont en effet rien à voir avec ceux de la veille au soir. Cette fois-ci, elle porte un porte-jartelles orné de dentelle noire qui maintient une paire de bas résille à grosses mailles. Elle porte également sur ce premier cliché un ensemble mini slip, soutien-gorge de couleur mauve, ma couleur préférée pour mettre sa peau caramel en valeur. Touche finale, une fleur d’Hibiscus qu’elle a dû aller chercher sur le balcon orne son oreille pour la touche exotique finale.
Stéphane se lève, « ne te gêne pas pour moi, prends ton temps, tu as tout le temps pour décider ».
Sur le deuxième cliché, elle a enlevé son soutien gorge, sur le quatrième, elle se titille le bout des seins, le cinquième la montre cuisses ouvertes en train d’écarter son slip mauve pour exhiber son sexe rasé, sur la sixième on la voit à quatre pattes sur le canapé en train de tester sa cambrure, enfin le septième la montre toujours à quatre pattes mais face à l’écran, avec le concombre de la veille dans la chatte. Je n’en crois pas mes yeux.
Derrière moi la voix de Stéphane me ramène ici et maintenant, dans ce salon.
-Vois-tu, Raffaela est pleine de surprise. Cette jeune femme mérite une exploration poussée. Il est naturel que tu saches avec qui tu vis, que tu découvres qui elle est. Je te garantis de te montrer de quoi elle est capable. Bientôt, tu sauras. Peu d’hommes ont ce privilège et je t’offre cette occasion à une seule condition.
-Laquelle dis-je en me tournant vers lui.
Il se tient debout à deux pas de moi. Il s’est déshabillé pendant que je détaillais les photos de Raffaela, nue. Je regarde son corps massif, musclé, entretenu par la pratique du sport. Son sexe est épais et plus long que le mien, son bas-ventre rasé.
-Ma condition est un pacte que nous devons passer ensemble. Il me regarde droit dans les yeux et ajoute :
-Je suis bisexuel, les femmes ne me suffisent plus, elles m’ont beaucoup déçu. Marco je ne t’aiderai à percer à jour le mystère de ta compagne que si tu me donnes avec ta bouche le plaisir auquel j’aspire. Ta femme est excitante avec sa peau gorgée de soleil, mais rassure-toi, tu n’es pas mal non plus. J’ai envie que tu me donnes du plaisir car contrairement à toi, je n’aime pas me soulager seul et ta femme m’a chauffé à blanc ce matin. Marco j’ai vu ta petite pute sous presque toutes les coutures grâce à toi. Nous la partageons déjà au moins virtuellement comme le montre ces clichés. Elle est très belle et tu meurs d’envie de savoir, tout savoir n’est-ce pas ? Il y a des merveilleux gadjets que l’on peut aussi glisser sous un casque audio pour ne rien perdre d’une conversation. Veux –tu écouter ce que ta pute et moi avons échangé ce matin ?
Je n’ai jamais sucé un homme auparavant, que dire d’un homme qui ne cesse d’insulter ma femme devant moi. Je m’agenouille devant Stéphane. Je l’entends me dire « ouvre la bouche maintenant». Il sent bon, une bonne eau de toilette et une hygiène parfaite me dis-je.
Oui, c’est ce que je veux, je veux savoir tout sur Raffaela, je ne veux plus rien ignorer d’elle. Je me saisi du sexe de Stéphane et le porte à ma bouche, suce l’extrémité de la tige doucement, je sens que cela gonfle, très rapidement..
Encore, sa voix calme, comme dans un songe, mes pensées se bousculent, ma jouissance dans la bouche de Raffaela ce matin, les dessous mauves que je lui ai offerts, ce sexe qui gonfle dans ma bouche, Stéphane reprends :
-Oui, continue, tu sauras bientôt tout de ta petite pute, continue, tu me fais du bien..Tiens, tu as bien mérité de savoir ce qu’elle m’a dit ce matin..Ecoute bien !
Ce faisant, il pose sur mes oreilles un casque audio pour me faire écouter le dialogue qu’il a échangé avec ma beauté, mon amour, Raffaela. J’ai des flashs de son corps de femme, son corps somptueux de gazelle, de ses parties secrètes, de ses seins. Soudain après quelques grésillements, la voix de Raffaela résonne à mes oreilles, j’entends son rire cristallin. La voix de Stéphane lui réponds, ils évoquent la soirée d’hier…je déboutonne mon jean et commence à me caresser au même rythme que celui que j’imprime à ma bouche mais sur une verge d’homme.
:P
rachou
 


Re: ma doudou couleur café (suite)

Messagepar cocufieur du 87 » Sam 30 Juin 2012 23:12

humm quelle beau récit, on peut avoir la suite .....
cocufieur du 87
 

Re: ma doudou couleur café (suite)

Messagepar rachou » Dim 1 Juil 2012 00:48

oui bien sûr, vous pouvez lire la suite, restez à l'écoute.
rachou
 

Re: ma doudou couleur café (suite)

Messagepar peine à bander » Dim 1 Juil 2012 01:18

voila coment on devien bi alors qo depart c'eter pour exiter sa femme j'atend la suite
peine à bander
 

Re: ma doudou couleur café (suite)

Messagepar rachou » Dim 1 Juil 2012 19:22

l'épisode n°4 est en ligne. Bonne lecture. Commentez...Qu'est-ce que vous faites pendant que vous lisez?
rachou
 


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