ma fiancée Anne et moi (pas de copyright)

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

ma fiancée Anne et moi (pas de copyright)

Messagepar Gros seins de grosse » Ven 13 Avr 2018 11:19

une jolie histoire (pas de moi)

Ma fiancée Anne et moi, nous nous connaissons depuis la classe de seconde ; nous avons à peu près le même âge (j’ai huit mois de plus qu’elle). Au début, nous nous tenions par la main, puis nous avons échangé des caresses qui au fil du temps sont devenues plus osées et puis des baisers encore très sages.
Pendant un stage en colo, elle avait alors dix-sept ans, un garçon lui apprit à embrasser avec la langue. Elle me fit profiter de ses progrès à son retour et nos sessions amoureuses en devinrent d’autant plus chaudes mais nous n’avions jamais été « jusqu’au bout ».
C’est au mois de juin, peu après les dix-neuf ans d’Anne, que Vincent, un de mes amis, bien moins timide que moi et surtout beaucoup plus expérimenté, lui prit sa virginité.

Dans nos discussions, j’avais eu la faiblesse de lui dire que nous n’avions encore jamais franchi le pas, Anne et moi, et qu’elle était toujours vierge. Il comprit très vite que j’étais moi-même puceau et il me dit avec beaucoup d’aplomb qu’il la trouvait très belle et qu’il allait l’initier lui-même. J’en ai eu d’abord le souffle coupé puis je me suis dit qu’il plaisantait, mais son regard planté dans le mien et son demi-sourire montraient que sa déclaration était tout à fait sérieuse. Peut-être voulait-il me tester ; j’aurais dû protester, me fâcher, menacer. Au lieu de ça, j’en éprouvai une excitation incroyable ; je détournai les yeux et ne répondit rien, humilié et mal à l’aise. Á son sourire moqueur, je sus qu’il avait vu mon trouble et qu’il prenait mon silence pour une acceptation.

Quelques semaines plus tard, nous étions invités à une méga-boum dans une immense maison au milieu d’un vaste et superbe parc. Les parents de notre hôte lui laissaient la maison pour tout le week-end. L’ambiance fut très animée, musicale et sexy…
Le samedi, Anne et Vincent flirtèrent tout l’après-midi allant meme jusqu’à s’embrasser comme des amoureux. Ils ne se cachaient pas du tout. De temps à autre, Anne me jetait des regards à la fois provocateurs et interrogateurs et je m’efforçais de paraître le plus naturel possible et de garder le sourire. Vers la fin de l’après-midi, des petits groupes se formèrent dans la grande salle pour écouter la musique ou discuter. L’un des garçons se leva et discrètement entraîna une des filles vers l’étage où se trouvaient une dizaine de chambres. Ce fut le signal et deux autres couples partirent ainsi, main dans la main, dans les escaliers, accompagnés par les remarques amusées et les sourires entendus des autres membres du groupe.
Et c’est là que mon cœur s’arrêta de battre. Vincent prit Anne par la main. Elle se leva sans hésitation, souriante et ravie et le suivit sans même un regard pour moi. Main dans la main, ils rejoignirent une chambre à l’étage. Personne ne disait rien, tous savaient qu’Anne et moi étions fiancés. Je sentais leurs regards sur moi, je devinais aisément leurs sourires.
Ne pouvant contenir mon émotion, je me levai et sortis dans le parc, les larmes aux yeux, en proie à un terrible sentiment de jalousie. Le plus difficile à accepter, ce fut le plaisir que j’éprouvai à imaginer ce qui était en train de se passer dans la chambre, à quelques mètres de là. Et comble de l’humiliation, une énorme érection me mettait à l’étroit dans mon pantalon.

Une minute plus tard, Sarah me rejoignit dans le parc et me fit asseoir sur le banc. Sarah était la meilleure amie de ma fiancée. Très libre, dégourdie, c’était une fille franche mais affectueuse. Je l’aimais bien, même si son aisance et sa beauté m’intimidaient beaucoup. Gentiment, elle mit son bras sur mon épaule et me dit.

— C’est pas grave. Elle t’aime et ce qui est en train de se passer, c’est uniquement sexuel.
— C’est pas grave ! C’est sa première fois et tu dis que ce n’est pas grave ? Il va la déflorer…
— Pierre, tu l’aimes ! Est-ce que tu crois que tu l’aimeras moins, simplement parce qu’elle n’est plus vierge ?
— …
— Tu l’aimeras moins à cause de ça ?
— Non, évidemment. Mais pourquoi est-ce qu’elle a choisi Vincent ? Pourquoi me fait-elle ça à moi ?
— Pierre, Vincent est un tombeur, il a eu des dizaines de filles, et parmi elles, pas mal de vierges. Tu ne crois pas que Vincent est plus qualifié que toi pour ça ? D’ailleurs je dois t’avouer quelque chose. Nous en avons beaucoup parlé, Anne et moi. Elle hésitait, elle ne voulait pas te faire de peine, mais elle se sentait attirée par Vincent, par son assurance, sa virilité. C’est moi qui lui ai conseillé de choisir Vincent pour faire ses premiers pas plutot qu'avec toi. Je lui ai dit que Vincent saurait l’initier et qu’avec lui, elle connaîtrait le plaisir dès la première fois. C’est important, la première fois. C’est important qu’elle soit réussie. Tu ne crois pas ? Tu n’es pas heureux de savoir qu’il la fera jouir ?
— Oui, peut-être, mais pourquoi ce soir, pourquoi devant tout le monde ?

Sarah eut un petit rire.

— Pour ça, tu as un peu raison. Je crois que ça lui a fait plaisir que les autres le sachent, et à Vincent aussi. C’est vrai que c’est humiliant pour toi et que c’est un peu cruel, mais pour Anne, c’était certainement très excitant alors dis-toi que ton humiliation n’a pas été inutile et qu’elle a contribué à son plaisir. Tu crois que tu l’aimes assez pour ça ? Tu lui en veux ?
— Non. Je sais que tu as raison, que c’est sans doute mieux comme ça. Je ne peux pas m’empêcher d’être content qu’elle ait du plaisir, mais c’est vraiment difficile à accepter. J’ai peur qu’elle m’aime moins, qu’elle me trouve lâche ou faible et qu’elle tombe amoureuse de Vincent.
— Je peux t’assurer que c’est toi qu’elle aime. C’est ta fiancée et c’est avec toi qu’elle veut faire sa vie. Dans les semaines qui viennent, elle va coucher avec Vincent, et même avec d’autres garçons. Elle a beaucoup de choses à apprendre, tu sais. Elle veut profiter qu’elle est belle, jeune et libre, elle veut faire des expériences, alors si tu veux la garder, montre toi compréhensif, sois tendre et rassure-la. Dis-lui que tu l’aimes quoi qu’elle fasse. Fais ce sacrifice, laisse-lui sa liberté ; ce sera la plus grande preuve d’amour. Et laisse Vincent lui faire l’amour.

Il y eut un silence. Ce qu’elle venait de dire m’avait fait battre le cœur plus vite, je bandais à nouveau. Sarah plaça sa main sur mon jean, au niveau de mon sexe puis elle reprit amusée :

— Dis-moi franchement, cette situation t’excite, non ?

Elle avait la preuve sous sa main, il aurait été difficile de nier. Pour toute réponse, je lui adressai un sourire un peu honteux.

— Tu bandes parce que Vincent est en train de dépuceler ta fiancée. C’est très bien, il ne faut pas en avoir honte. Ne combats pas ta sexualité ; accepte d’éprouver du plaisir en pensant à ta chérie prise par un autre homme puisque c’est ça qui te plaît. Et dis-le lui, honnêtement ; dis-lui ce que tu ressens, ton plaisir, ta honte, ton amour… elle ne te méprisera pas, au contraire, elle te racontera peut-être ses expériences et cela vous apportera une grande complicité et renforcera votre amour… On a souvent parlé de toi, tu sais. Je lui ai dis que je pensais que tu étais très amoureux et que tu étais le genre d’homme à accepter qu’elle soit infidèle. C’est peut-être pour ça qu’elle s’est décidée à sauter le pas. Par contre, je crois qu’elle vivrait très mal le fait que tu en fasses autant. Elle ne supporterait pas que tu t’envoies une autre fille. C’est pas très fair-play, mais elle est comme ça.
— Je ne veux pas d’une autre fille.
— Alors c’est bien. Dans trois mois, le 25 septembre vous serez mariés, elle sera ta femme. C’est elle qui te guidera dans le plaisir. Elle te fera partager tout ce qu’elle aura appris et je te promets que tu ne regretteras pas de l’avoir attendue. Allez, viens, on va rejoindre les autres, ils sont en train de danser.

Nous rentrâmes mais je n’eus pas le cœur à danser. Je restai assis à siroter des bières, répondant distraitement aux quelques personnes qui m’adressèrent la parole.
Anne et Vincent redescendirent un peu plus tard et ils dansèrent. Plusieurs fois, un convive vint taper sur l’épaule de Vincent ou lui adresser quelques mots joyeux et je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’ils venaient le féliciter de sa conquête. À plusieurs reprises, Anne lança des regards dans ma direction, mais je tournai la tête à chaque fois ; je me sentais bien incapable d’affronter son regard.
Puis il y eut le buffet. Je me tins éloigné de ma fiancée et elle ne tenta pas de me rejoindre. Sarah vint me demander plusieurs fois si tout allait bien et je la rassurai évasivement.
Puis il y eut à nouveau des danses et cette fois je participai plus activement, mais sans m’approcher de celle qui occupait toutes mes pensées. Le soir la plupart dormaient sur place.

La vaste salle était organisée en dortoir et la plupart des convives se couchèrent sur les matelas qu’on avait jetés par terre. Seuls les couples rejoignirent les chambres à l’étage ; Anne et Vincent en firent partie. Pour moi, seul sur mon matelas, Je ne dormais pas. Anne passait la nuit avec Vincent et cette idée me torturait et en même temps me procurait une intense excitation. Au bout d une heure, il me fut impossible de résister. Je me levais et montais sans bruit à l’étage. J’écoutais au porte les gémissements des couples qui faisaient l’amour. A la 3ième porte je reconnu le son de la voie de ma fiancée, j’essayais d’ouvrir doucement la porte mais le verrou était tiré. Mais je pouvais apercevoir ma fiancée par le trou de la serrure. Ni tenant plus, je baissais mon caleçon et me masturbai et pendant que je me branlais , Anne, elle, donnait son corps à Vincent. Très vite, j’éjaculai. Jamais un orgasme ne m’avait donné autant de plaisir. Alors, seulement je pus aller dormir.

Je me levai tôt, ce matin là, parmi les premiers. Pour pouvoir disposer facilement de la salle de bains et pour déjeuner en petit comité. Seuls trois invités se montrèrent aussi matinaux. Puis je sortis me balader dans le parc en profitant de ce petit matin ensoleillé et brumeux. De retour de ma promenade, vers les dix heures, j’aperçus Anne devant le grand escalier en pierre. Elle me regardait approcher et semblait m’attendre. Je l’ai rejointe.
Elle n’eut qu’un mot :

— Pierre !

Son regard semblait implorer, attendre une réponse. Alors je la pris dans mes bras et l’embrassai ; sa langue rallumait un brasier en moi. Doucement je suis descendu le long de son corps, en baisant son cou, ses seins, son ventre puis à genoux, la tête entre ses cuisses, je baisai l’endroit où elle avait péché tandis que sa main caressait mes cheveux. Alors elle se pencha vers moi pour me relever et dans un souffle, elle murmura :

— Viens !

Main dans sa main, je la suivis dans l’escalier, jusqu’à la chambre. Le lit était à moitié défait et les draps étaient tachés ; il y avait eu du sang. Elle se coucha sur le dos et m’attira vers elle. Alors d’instinct, je fis ce que tout homme amoureux et cocu fait à la femme de sa vie. Je défis mon pantalon et agenouillé au pied du lit, je relevai sa robe et j’enfouis ma tête entre ses cuisses ; l’odeur de son sexe et sa culotte trempée agirent comme un coup de fouet sur mon désir. J’enlevai sa culotte et me précipitai dans ce paradis ruisselant, fouillant furieusement de ma langue les plis de son sexe, léchant son clitoris à la recherche de son foutre et du sperme de son amant. Elle criait et semblait perdre son souffle et soudain, ce fut comme un choc, violent et des spasmes qui m’envoyèrent en pleine figure un mélange de son jus d’amour et de sperme. Vincent l’avait pénétrée, déflorée, souillée et cette pensée me fit jouir à mon tour ; le sperme jaillit dans mon slip.
Tout se mêlait dans ma tête ; c’était un mélange de bonheur, de honte et d’orgueil. Pour la première fois, en quelques minutes à peine, je venais de donner un orgasme à ma chérie, tout en acceptant d’être son amoureux sans être son amant.

Nous redescendîmes ensemble, toujours main dans la main. Dans le hall du rez-de-chaussée, quatre de nos amis étaient là, discutant et buvant. En nous voyant, ils se mirent à crier et à applaudir. Sarah était là. Elle sembla ravie.

La fin du week-end approchait. Il était prévu que nous prenions le train vers 15 h pour rentrer à Paris. Des petits groupes s’étaient formés pour le pique-nique de midi. Le nôtre était composé d’Anne, Vincent, Sarah, moi et d’un autre couple qui connaissait Sarah. La conversation était détendue, Anne était souriante, espiègle même. Elle semblait se sentir proche de moi comme de Vincent. Puis la conversation vint sur le retour et la fin de ce beau week-end de juin. Anne dit qu’elle ne rentrerait pas tout de suite. Elle voulait rester avec Vincent cette nuit ; il la ramènerait directement à la fac lundi matin. En disant cela, Anne me caressait la main. J’essayai de faire bonne figure en affichant un sourire mais le sourire de Vincent se planta dans mon cœur.

Au moment du départ, ceux qui restaient accompagnèrent ceux qui partait. Anne me fit un bisou furtif puis elle pris vincent par la taille et ce fut un long baiser mouillé devant tout le monde.
En partant Vincent me regardait. Il devait savourer sa victoire.
Gros seins de grosse
 


Re: ma fiancée Anne et moi (pas de copyright)

Messagepar didso77 » Ven 13 Avr 2018 12:13

ouah quel texte et quelle aventure ... j'ai adoré !!
merci à toi pour nous avoir permis de la lire
Avatar par defaut homme
didso77
 
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Département: Seine-et-Marne

Re: ma fiancée Anne et moi (pas de copyright)

Messagepar Nostra31 » Lun 16 Avr 2018 08:10

Super texte excitant... vivement la suite
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Nostra31
 
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