Forum de candaulisme pour les cocus libertins et couples échangistes

L’air brûlant de Marseille vibrait encore, même à la tombée de la nuit.
Dans la maison qu’ils avaient louée pour l’été, l’ambiance était paresseuse, moite, presque électrique.

Maïssa se croyait tranquille, allongée sur le canapé de la terrasse, les jambes nues sous son petit short, un livre à la main.
Mais à l’intérieur, les garçons avaient décidé de la taquiner.

Tom monta la musique dans le salon, un vieux morceau de rap marseillais, à un volume infernal.
La basse faisait trembler les vitres.

Maïssa grimaça, jeta un regard agacé vers la maison, puis se leva, résignée.
Elle entra dans le salon, où Tom, torse nu et en short, dansait vaguement au milieu de la pièce.

— Tom, baisse un peu, les voisins vont râler ! dit-elle en fronçant les sourcils.

Il rit, la regarda de haut en bas avec un air très peu innocent, et s’approcha.
Ses mains se posèrent sur ses hanches, sans douceur excessive, juste ce qu’il fallait pour faire comprendre qu’il avait autre chose en tête.

— T'inquiète… viens danser avec moi, ça ira mieux.

Sans vraiment lui laisser le choix, il la fit tourner sous la musique.
Son corps se pressait contre le sien, la chaleur de sa peau nue contre le tissu léger de son débardeur.
Le rythme les collait l’un à l’autre, et sous ses doigts, Maïssa sentit l’évidence : Tom était déjà dur, et il ne cherchait pas à le cacher.

À bout d’un moment, elle réussit à s’écarter en riant, les joues rouges.
Elle allait lui répondre quand la musique se coupa brusquement... pour résonner cette fois à l’étage.

Léo venait de prendre le relais.

Un son encore plus fort, plus électro cette fois, faisait vibrer les murs.

Tom lui lança un clin d'œil complice.
— Il paraît que Léo a besoin d'aide aussi...

Amusée malgré elle, Maïssa grimpa les escaliers.
En haut, elle trouva Léo dans sa chambre, debout devant la chaîne hi-fi, l’air faussement innocent.

— Tu veux qu’on se fasse virer ? lança-t-elle en riant.

Il haussa les épaules, puis s’approcha, son regard plus insistant que d’habitude.
Léo tendit la main, effleura son bras, fit glisser doucement ses doigts le long de sa peau échauffée.

— Je voulais juste que tu viennes... murmura-t-il, tout près d’elle.

Sans attendre de réponse, il captura ses lèvres.
Le baiser était tendre au début, puis rapidement plus pressant, plus avide.
Ses mains glissèrent sous le short de Maïssa, découvrant ses fesses nues, la caressant avec lenteur.

Elle gémit doucement contre sa bouche, surprise par l’intensité qui montait en elle, sans qu’elle puisse la contrôler.
Mais avant qu’elle ne perde complètement pied, la musique retentit à nouveau en bas, plus forte encore.

Tom rappelait son tour.

Léo la relâcha avec un sourire mutin, comme s’il savait que ce n’était que partie remise.

Déroulée par la tension, tremblante d’excitation, Maïssa redescendit au salon.
Tom l’attendait, assis sur le canapé, jambes écartées, le short bâillé sur une érection évidente.

— T'as mis du temps... Viens t’excuser, non ? lança-t-il avec un sourire carnassier.

Rougissante, vibrante d’un désir mal contenu, Maïssa s’agenouilla entre ses jambes.
Elle posa une main hésitante sur son sexe tendu, le caressant par-dessus le tissu.
Tom grogna légèrement, la tête basculée en arrière.

Encouragée, elle fit glisser le short, libérant son sexe dur, avant de le prendre lentement en bouche.
Le goût salé de sa peau, la chaleur qui émanait de lui, tout l'enivrait.
Elle suçait doucement, savourant chaque réaction, chaque soupir qu’il laissait échapper.

Mais alors qu’elle était absorbée dans son geste, Léo descendit discrètement, torse nu lui aussi, le regard brûlant.

Il s’agenouilla derrière elle, passa ses mains sous son débardeur, caressa sa poitrine gonflée de désir.

Maïssa gémit autour du sexe de Tom, excitée par la sensation d’être prise en main, dirigée, désirée par deux garçons en même temps.

Léo embrassa son cou, mordilla doucement sa peau, puis glissa une main entre ses cuisses, découvrant son sexe déjà trempé.

— Elle est prête... murmura-t-il à Tom.

Sans qu’elle ne proteste, sans qu’elle ne le veuille vraiment d’ailleurs, ils la firent pivoter, la déshabillant entièrement.
Tom la guida sur lui, la faisant s’asseoir lentement sur sa verge tendue, pendant que Léo, derrière, continuait à la caresser partout, murmurant des mots crus à son oreille.

Elle se sentit envahie, comblée, entre les deux.
Chaque mouvement la faisait haleter, chaque caresse la rapprochait d’un plaisir interdit.

Quand Léo vint à son tour réclamer sa part, Maïssa, dans un abandon total, prit son sexe en bouche pendant que Tom la possédait, profondément.

Les deux garçons se partageaient son corps, doux, exigeants, la poussant à se donner sans retenue, sans pudeur.

Maïssa ne savait plus qui elle caressait, qui la comblait.
Elle n’était plus qu’un feu vivant entre eux, portée par le désir brut, libre et heureuse d’enfin se laisser aller complètement.

Le final fut sauvage, intense, un maelstrom de gémissements, de corps emmêlés, de plaisir partagé sans limites.

Et cette nuit-là, à Marseille, elle sut qu’elle ne serait plus jamais vraiment innocente

OUI effectivement Marseille la nuit permet de belles rencontres,nous sortons souvent avec ma femme la nuit pour des aventures sexe comme dans ton récit.