Mémoires confinées de couples candauliste

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Simone » Ven 1 Jan 2021 00:47

Draguée comme une pute dans un centre commercial



Juste un autre récit d’une de nos rencontres originales.

Beaucoup vont penser qu’il s’agit d’une pure invention.
Il n’en est rien et nous n’avons pas inventé le moindre détail.

Seul Damien (nom d’emprunt) qui est maintenant responsable d’une grande agence bancaire à l’étranger, pourrait en témoigner, mais lui aussi garde pour lui ses bons souvenirs.

Nous sommes restés en très bon contact.
Il nous arrive parfois d’échanger des vœux de bonne année, sans plus.
Pour lui comme pour nous, recevoir une simple carte de vœux n’a jamais véhiculé autant de sous-entendus et de charmants souvenirs, sans qu’il soit besoin d’en dire plus.

Merci au confinement de m’avoir donnée l’occasion, avec la grande complicité de mon mari, de déterrer, avec émotion et excitation, tous ces chouettes souvenirs.

Ceux qui croiront malgré tout qu’il s’agit d’une fiction tant cette histoire est belle, eh bien tant pis pour eux.

Si ce récit réel pouvait inciter d’autres à utiliser leurs heures de confinements pour faire remonter à la surface, comme nous, leurs plus beaux souvenirs, ce serait sympa.

Nous aussi pourrions prendre beaucoup de plaisir à les lire.

Portez-vous bien et prenez soin de vous.

Voici le récit en deux parties.

Le récit de Simone

Je commence cette courte histoire et mon mari continuera.

(J'ai relu tout ce quil écrit,
ne vous inquiétez pas !
Je lui ai même rappelé quelques détals qui auraient pu lui échapper)

Je fais mes courses dans un hypermarché du quartier du Sillon à Nantes.
J’ai l’impression d’être suivie pendant mon parcours dans les rayons.

Après avoir rangé mes achats dans le coffre de ma voiture,
je retourne dans la galerie commerciale pour acheter un magazine de voyages sur le Japon et je me m’assois dans un café de la galerie pour le feuilleter après avoir commandé un chocolat.

Je ne fais pas attention à un bel homme qui vient de s’asseoir à la table voisine.
Je suis surprise quand il me demande s’il peut se mettre à ma table et comme je n’ai pas dit non, il déplace son café et s’installe.

Amusée, je l’entends me dire qu’il est cadre bancaire en région parisienne, actuellement en stage à Nantes pour un mois.
Toujours plaisant de voir venir un dragueur et de se demander quand et comment il va attaquer.
Je savais bien que cela n’irait pas plus loin et c’est toujours plaisant pour une femme de mon âge que de se faire baratiner par un homme plus jeune, surtout un beau gosse bien foutu avec un très beau visage fin et de magnifiques yeux gris.

Il me dit s’appeler Damien et comme prévu commence par me flatter sur ma belle silhouette.
Je le voyais venir.
Un moment il essaye une diversion sur le contenu du magazine que je lisais, mais cela ne dure pas.

Il semble gêné et me dit à plusieurs reprises qu’il a quelque chose à me demander.
Il tourne autour du pot pendant un certain temps, en me parlant de ses dernières copines qu’il a quittées à cause de leurs multiples défauts.
Puis il revient à la charge en me disant encore qu’il n’ose pas me dire ce qu’il désire le plus.
Il me fait promettre de ne pas me fâcher de sa demande.
En rigolant je lui dis que s’il ne s’agit pas de cambrioler une banque, je suis prête à tout entendre !

Je le vois venir avec ses gros sabots.
Mais je ne pensais pas avoir à entendre un jour ce qui allait suivre.
Il commence par me dire qu’il avait eu le coup de foudre et qu’il voulait passer une nuit entière avec moi.
J’ai fait non de la tête en souriant et je lui ai dit que je ne quittais jamais mon mari (ce qui est d’ailleurs vrai !).

J’étais bien assise quand il continue en me précisant que ce qu’il me propose c’est une rencontre vénale et que mon prix sera le sien.

Je reste sans voix pendant un long moment, scotchée à mon siège, assommée par ce que je viens d’entendre qui me choque au plus haut point.
Ne voulant pas faire un esclandre en public, je prends mes affaires, laisse la monnaie pour mon chocolat et me lève outrée, en lui disant fermement qu’il y a erreur et que je ne suis pas une pute.

Il avait prévu le coup et tandis que je pars il me répète doucement que mon prix sera le sien et il me glisse une carte de visite dans les mains que je n’ose pas refuser.

Une fois de retour à la maison, j’ai mis un certain temps à me calmer et quand mon mari est rentré je lui ai tout raconté en lui donnant la carte du Monsieur.
J’étais encore énervée de cette aventure et il s’est mis à se marrer, ce qui nous a fâchés pour la soirée.

Nous n’avons pas de besoins financiers et cette situation m’avait humiliée.

Le récit de Michel

Le lendemain, pendant le déjeuner, Simone m’a relancé sur son aventure de la veille en voulant me faire prendre parti.
Je lui ai répondu d’abord que s’il ne lui avait pas proposé de rétribution, on en serait peut-être à reprendre contact avec cet élégant Monsieur et elle acquiesça.

Mais j’ai continué à la titiller en lui demandant si elle avait une idée de ce qu’il aurait été prêt à dépenser pour passer une nuit avec elle.
Je me suis fait jeter pour cette remarque stupide, mais j’ai bien vu que la question commençait doucement à s’infiltrer insidieusement dans sa tête.
J’ai laissé la situation en cet état pendant toute la journée, sans insister.

Le soir je lui ai dit en plaisantant qu’elle me faisait penser à Catherine Deneuve dans « Belle de Jour », ce qui m’a encore valu un regard sombre et noir.

Un jour après, elle me relance, en me demandant ce que j’aurais fait à sa place et je commence par lui dire que je n’ai jamais eu la chance d’avoir de telles propositions !

Nouveau regard glacé.

Je lui dis qu’il n’y avait qu’une seule solution, c’est de lui proposer une rencontre non vénale, et d’en profiter pour savoir jusqu’où pouvait monter son intérêt pour elle. J’ai tout de suite vu qu’elle aimait cette solution, car c’était la seule permettant de ne pas perdre l’estime d’elle-même tour en satisfaisant sa curiosité féminine de savoir combien elle valait.

(je n'ai pas rajouté combien elle valait sur le marché des matures
car celà aurait été un casus belli !)


Vingt-quatre heures après, c’est elle qui me chargeait de négocier !

Le monsieur au téléphone est charmant quand je me présente comme le mari de la dame à qui il a fait une proposition un peu spéciale dans un café de la galerie commerciale du Sillon.
Il me présente ses excuses si cette proposition a choqué mon épouse.
Il me demande s’il pourrait me rencontrer pour m’expliquer et nous prenons rendez-vous dans un café beaucoup plus discret du centre de Nantes.

Damien est un homme charmant.
Il me dit qu’il est fils unique d’une famille assez aisée, qu’il a fait HEC et s’ennuie un peu pendant son stage bancaire à Nantes.
Il a un rapport assez distant avec l’argent.
Il a suivi Simone pendant qu’elle faisait ses courses et s’est mis à fantasmer sur son corps de bourgeoise mature, d’où sa proposition.

Je lui parle de notre couple et de nos rencontres candaulistes en lui disant que s’il n’y avait pas eu de référence à la vénalité tout aurait pu très bien se passer.
J’insiste en disant que nous vivons bien et que nous n’avons pas de besoins financiers.

Il comprend tout ceci, mais reste un peu déçu car il veut, pour une fois, se payer une belle femme et en faire sa chose à lui pour une nuit entière, même en présence de son mari voyeur.

Je lui demande s’il veut lui faire subir des sévices et il rigole en me disant que ce qu’il veut juste c'est une belle nuit d’amour.
Il aime bien avoir une petite cravache, mais c’est surtout pour caresser les formes.

Je respire car je connais l’aversion de Simone pour le bondage, le sado et toutes autres pratiques hard.

On avance.

J’ai ma petite idée sur la façon de résoudre le second problème que j’expose à Damien.
Il s’agit pour lui de donner à Simone un chèque au porteur avec la somme qu’il estime correcte pour la prestation.
Au moment de partir, elle détruira le chèque après en avoir lu le montant.
Ainsi tout le monde gardera sa fierté et son estime de soi.

Il me dit que cette solution lui convient et me donne alors la somme qu’il comptait inscrire sur le chèque.

Je suis sidéré par le chiffre, c’est absolument énorme.

Mais il va encore plus loin en me disant que la confiance règne et que dans notre arrangement, il va encore tripler le montant !

So rapport à l'argent lui permet ce genre de fantaisie.

Il dit aussi que, comme le chèque sera détruit, il va s’occuper de trouver un cadre idéal pour cette rencontre que nous fixons au week-end suivant et nous nous quittons en amis mais aussi un peu en complices.

Le samedi arrive.
Simone a validé le scénario.
C’est elle qui détruira le chèque devant lui, en fin de soirée après en avoir lu le chifre.

Elle aime l’idée, mais je ne lui ai pas donné le montant.
J’ai prétendu qu’il ne m’avait pas donné la somme.
Je ne lui ai pas dit que Damien est dans le secret et elle pense qu’il croira pendant toute la soirée que son chèque sera bien encaissé.
Que de pieux mensonges !

Les indications de notre ami sont claires.
On voit que c’est un bon organisateur.
Il a réservé une suite au Castel Marie-Louise à La Baule.
Il nous y attendra à 20h. Un léger repas sera disponible dans la chambre.

Le samedi Simone se lève tard et passe le reste de sa journée à se préparer : coiffure, assouplissant de corps, ongles, rouge à lèvres, taille ticket métro de sa petite toison, parfum, etc.

Nous arrivons à l’heure et passons par la réception en nous dirigeant vers la suite de luxe du second étage avec vue sur la mer.

Damien a prévenu de notre arrivée.
Le type à la réception n’est sans doute pas dupe, mais son boulot c’est d’être discret.

Nous entrons dans une suite de 40m2 avec deux balcons donnant sur la mer.
Il y a un grand lit, un grand dressoir et trois fauteuils très luxueux où Damien nous invite à nous asseoir devant un petit en-cas déjà servi avec coupes de champagne.

Une demi-heure après, les présentations étant faites, il débarrasse la table et sur un plateau, il dépose un chèque en demandant à Simone si cela lui convient.
Mon épouse jette un œil et blêmit en voyant le chiffre et me jette un regard étrange.

Il y a un grand silence.

Damien lui demande si ce sera suffisant pour une nuit de volupté.
Simone bafouille qu’elle espère être à la hauteur de la prestation et Damien sourit en lui proposant de visiter la salle de bains de la suite pour se rafraichir.

J’écarte mon fauteuil vers le fond de la suite et je me fais aussi discret que possible.

Ma femme sort de la salle de bain et se dirige vers notre ami qui l’attend.
Ils se regardent et se jaugent.
Comme d’habitude elle n’a pas beaucoup innové dans son habillement de bourgeoise mature, avec son classique tailleur gris rayé, ses escarpins noirs, son chemisier blanc et sa petite veste bleu clair pour ce qui est visible.

Ils se font face apparemment un peu gênés.
Simone a les deux mains derrière le dos es se balance d’un pied sur l’autre, signe d’une évidente nervosité.

Lui, la regarde les yeux dans les yeux sans rien dire.
Comme mon épouse a des talons assez hauts, ils sont exactement de la même taille et s’évaluent à dix centimètres l’un de l’autre.
L’homme saisit une cravache en cuir souple qui était posée à côté du plateau contenant toujours le fameux chèque et pointe vers la veste de Simone.

Il lui demande si elle est toujours d’accord pour être à lui toute la nuit, contre la « petite » compensation.

Elle répond clairement que c’est la première fois qu’elle se vend et que le prix proposé donne à Damien le droit de faire tout ce qu’il veut d’elle jusqu’au petit matin.
Elle accepte donc.

Il touche sa petite veste de sa cravache et lui dit, en signe de son accord sur le contrat, d’enlever sa veste.
Elle s’exécute et lui répète « je suis à toi maintenant ».

Elle est debout stoïque.
Il tourne autour d’elle en caressant ses formes du bout de sa cravache.
Ses yeux gris sont hypnotisants.

Il donne des tout petits coups de cravache sur ses fesses et avec le bout relève un peu le bord de sa jupe, comme le ferait un maquignon avec une jument à la foire.
Il lui dit de se tourner devant lui et rentre le bout souple de la cravache entre deux boutons du chemisier et pousse à l’intérieur.

D’une voix forte il dit alors combien il est heureux pour la première fois de sa vie de « se taper une pute ».

Ouch !

Il a choisi le mot qui fait mal, "pute".

Simone sursaute comme si elle avait reçu vrai un coup de cravache cette fois.
Elle me regarde d’un air interrogatif.
Je m’imagine ce qui se passe dans sa tête en ce moment.
Il a choisi le mot de pute volontairement pour la provoquer.
Mais finalement elle se soumet en continuant debout à tourner devant lui.

On est passé près de l’incident diplomatique !

Ils se font maintenant face et il lui demande d’ouvrir trois boutons de son chemisier, puis de sortir ses seins par-dessus les bonnets.

Les seins sortis du soutien-gorge pointent fièrement.
Il caresse les tétons du bout de sa cravache et elle se redresse d’un air provocateur, ayant retrouvé un peu de son superbe après l’épisode précédent.

Mais j’ai l’impression que la mise en condition n’est pas encore entièrement terminée.

L’homme l’invite maintenant à se mettre à genoux sur l’un des fauteuils.

Elle est penchée en avant et s'appuie sur le dossier.
Il caresse sa croupe du bout de sa cravache.
Puis il passe de l’autre côté et donne encore des petits coups de cravache sur ses seins qui pendent maintenant.

Il lui demande de remonter sa jupe.
Puis de glisser son slip tanga sur ses cuisses, au-delà du porte jarretelles.

Il a une vue splendide sur son abricot et sur son petit anus brun et étoilé.

Très fortement il dit alors clairement qu’il a envie de bien évaluer ce qu’il a acheté pour la soirée.
Elle tique encore mais un peu moins fort.
Il promène le bout de sa cravache depuis son abricot, jusqu'à son petit trou du cul.

Il veut visiblement aller encore plus loin.

Il lui demande d’écarter ses fesses de ses deux mains pour qu’il puisse mieux la voir.
Elle hésite un peu, puis s’exécute.
Il continue à promener sa cravache de sa chatte à son anus entrouvert et le frotte à cet endroit.

Il joue alors sa prochaine carte en lui demandant de dire qu’elle est une putain.
Elle refuse net.

Il lui redemande de dire qu’elle est une pute qu’il a acheté pour la nuit entière.
Elle refuse encore.

Alors il déplace un autre fauteuil et s’assoit devant ce spectacle des fesses toujours écartées.

Il lui dit qu’il comprend bien que ça la gêne d’être une prostituée, et que si elle veut interrompre la soirée, elle peut encore tout arrêter maintenant.
On se quittera bons amis rajoute-t-il.
Elle reste immobile comme sonnée dans cette position humiliante.

Un silence de quelques minutes.
Tout doit se bousculer en ce moment dans la tête de ma belle.

Elle ne sait pas que faire.

Et soudain elle se décide et se met à parler en lui disant qu’elle est une prostituée et qu’elle accepte de se vendre à lui pour toute la nuit.
Je suis ta pute, fais de moi ce que tu veux ajoute-t-elle.
Oui je fais, moi aussi, la pute pour la première fois de ma vie, fais-moi tout ce que l'on fait à une prostituée.
Tu as acheté une putain, profites-en comme tu veux pour toute la nuit.
Je suis ta chose.


Elle a complètement craqué.

Quel merveilleux joueur de poker !

Son comportement à lui change alors du tout au tout.
Il la relève et la prend dans ses bras.
Il a manipulé son smartphone qui diffuse maintenant une musique langoureuse.
Ce n’est plus le même homme.
Il l’embrasse tendrement en dansant.
Simone quitte un homme dur et cynique pour trouver un galant plein de tendresse pour elle.
Elle se laisse faire et ne doit plus savoir où elle habite !

Elle laisse maintenant sa tête aller sur son épaule et semble s’abandonner à lui dans un geste de tendresse.
La situation a complètement changé.


Sa jupe s’est rabaissée.
Ses seins sont toujours sortis mais il lui repasse sa veste et ils s’en vont tous les deux sur le balcon face à la mer.
Il fait bon même si la soirée avance.

Ce sont deux amants qui regardent les étoiles.
Ils se parlent doucement maintenant et je ne comprends pas tout ce qu’ils se disent.
Quand ils rentrent ce sont deux amoureux transis et après avoir fermé la fenêtre du balcon, ils s’allongent côte à côte sur le lit, sur le dos, en s’embrassant, encore tout habillés.

La seule trace des évènements précédents est la poitrine de Simone, toujours sortie des balconnets, sur laquelle les mains de son amant se promènent de façon caressante.

Ils s’amusent et j’entends leur conversation.
Il l’appelle ma petite pute et maintenant ça la fait rire !
Bravo !

Il lui demande ce qu’elle pourrait faire de mieux pour satisfaire son client.
Elle lui dit qu’elle fera tout ce qu’il veut.

Mais ce que je veux c’est que tu me proposes les choses les plus osées qu’une pute comme toi sache faire.
On a tout notre temps jusqu’au petit matin.
Ils continuent à s’embrasser.
Après avoir joué le cynique et le directif, il joue maintenant l’ado timide qui se laisse faire par la bourgeoise mature et initiatrice.
Quel acteur !

La soirée est pleine de rebondissements.
Je pense que Simone n’a pas encore compris qu’il veut se laisser faire et qu’il restera sur le lit à l’embrasser tant qu’elle ne prendra pas d’initiative.
Comme elle ne prend toujours pas d’initiative, il lui dit de lui faire le truc le plus excitant qu’une pute sache faire à son client.
Je crois que là elle a compris car elle lui enlève son pantalon, puis son boxer.

Il ne lui reste que sa chemise déboutonnée.
Il est maintenant plus de minuit, Simone va jouer à la pute, c’est parti.

Elle se fait entendre en lui disant que s’il veut en avoir pour son argent il va en avoir pour on argent et le bascule sur le dos, sur le lit.
Elle est comme une lionne, les seins sortis du chemisier mais autrement encore habillée et en talons.
Elle embouche son sexe tout en malaxant ses couilles.

Il se laisse faire comme une poupée.
Elle lui dit que s’il veut savoir ce qu’est une pute, il va bientôt le savoir.
Elle lui prend la bite dans la main gauche, en serrant fort, mais sans le branler.
De sa main droite elle soulève ses testicules en lui demandant s’il aime être léché là, derrière, où la peau est plus souple et elle passe sa langue sur l’arrière des couilles.

Elle lui demande s’il en veut encore et il gémit en guise d’approbation.
Elle lui lèche le périnée et lui demande si le client de la pute est satisfait ou s’il en veut encore plus pour son argent.

On entend alors la voix suppliante de Damien qui demande encore plus.
Alors la langue de Simone plonge vers son anus et, après plusieurs passages, tente de s’enfoncer un peu.

Elle lui demande s’il aime et il répond par un grand OuiOuiOuiOui, encore.

Elle lui demande si on lui a déjà fait ça et comme il répond par la négative, on voit que Simone a repris le contrôle de la situation.

Demande gentiment à ta pute de t’en faire encore plus dit-elle.
Et il dit oui, s’il te plait, continue ma petite pute, plus loin et plus longtemps.

Sa main gauche coulisse doucement sur sa verge en érection, mais doucement pour ne pas le faire gicler prématurément.
Le bout de sa langue se fait dur et lorsqu’elle le peut, elle le nargue en lui disant que sa pute va l’étonner.

Elle lui donne alors une grande claque sur les fesses et le fait basculer sur les genoux.
Il est étonnamment docile et la langue de la belle reprend du service entre ses fesses.

Sa main gauche reprend le tour de sa verge et fait de lents coulissements comme ceux d’une fermière trayant une vache.

Quand elle prend un peu de recul elle lui demande s’il est content de sa pute si bien payée.
Elle est comme une lionne, les seins sortis et s’occupant de l’arrière-train de Damien, avec une main qui écarte ses fesses et sa langue qui essaie de forcer un passage dans son anus.

Lui semble un peu paralysé et ne bouge plus en espérant que ce délice, qu’il découvre ce soir pour la première fois, continue le plus longtemps possible.

Il est plus d’une heure du matin.

Elle a gagné le set et semble vouloir conserver l’avantage pour le reste de la partie.
Elle s’adresse maintenant à moi et demande à son cher mari de lui sortir un préservatif pour son amant.
Je m’exécute mais elle garde la capote dans sa main.

C’est donc elle qui est au service et elle prend toutes les initiatives.

Il se lève et elle le tient par la verge toujours raide en l’entrainant vers la salle de bains, devant le lavabo.

Ouvrant le robinet, elle fait en même temps couler du savon liquide en lui disant que la pute va maintenant laver la quéquette de son client pour respecter les conventions classiques d’hygiène.

Elle se venge en se moquant de lui.

Elle savonne sa verge, ses couilles et d’un geste assez brusque plonge son index dans son anus en lui disant que le massage de prostate est un extra offert par la maison qui ne lui sera pas facturé !

Il est tellement ébahi qu’il ne dit rien car elle lui renvoie maintenant la monnaie de sa pièce.
Je suis fier de mon épouse.

Elle lui a enfilé la capote et l’a poussé assez brutalement sur le lit.
Elle enlève son slip tanga (qu’elle avait remis), soulève sa jupe et vient s’empaler en lui faisant face.
Elle continue à le narguer en lui disant de ne pas bouger, que c’est elle qui va faire tout le travail et que ça aussi c’est compris dans la prestation.

Elle a les seins à l’air qui ballotent et ses mouvements coulissants de bassin ne lui laissent pas longtemps avant qu’il ne décharge.

Elle triomphe.

Il est battu et tandis qu’ils sont allongés côte à côte sur le lit, un petit baiser de Damien sur sa joue vaut reconnaissance de partie perdue pour lui.

Il a trouvé finalement à qui parler.

La paix des braves s’en suit et ils restent allongés sur le lit à parler de tout et de rien pendant ce qui me semble durer des heures.
Le petit matin arrive et je commence à m’ennuyer.

C’est à ce moment que Simone lui demande, s’il lui reste quelques forces, un « dernier coup pour la route ».

Dernier remerciement ou vengeance de femme ?

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire elle est à genoux et lui murmure que sa pute lui demande de lui rendre les mêmes caresses qu’elle lui a offertes.

Il se met à la lécher, de sa vulve humide à son anus et je viens discrètement poser un préservatif sur le lit.

Damien a repris de la vigueur, plonge sa verge revigorée et enveloppée dans sa chatte, et cette folle levrette lui donne le sentiment de reprendre le contrôle de la situation.

Il la domine et la chevauche comme un forcené qui se venge et au bout d’un moment on entend un grand cri de jouissance de Simone qui provoque l’éjaculation de son amant.

Simone se retourne et lui dit d’un air coquin que la pute attendait une sodomisation comme bouquet final.
C'était prévu dans la prestation dit-elle !

Damien a définitivement perdu la partie.
Il n'a plus la forme pour profiter de la dernière prestation et cette diablesse de Simone le savait évidemment !

Tout le monde se rafraîchit et s’habille.
Damien appelle le 'room service' pour un petit déjeuner matinal que l’on prend sur la terrasse.
On y a poussé les trois fauteuils.

Simone a pris le chèque qu’elle a mis dans son sac sous les yeux de Damien, qui se demande quoi en penser avec un peu d'inquiétude.

Damien nous dit que nous pourrons partir maintenant parce qu’il restera pour le 'check out' avec la réception.
Nous sommes debout sur la terrasse et nous nous sommes fait la bise.

C’est alors que Simone prend un briquet dans son sac, sort le chèque de Damien, y met le feu, le fait entièrement brûler et ne laisse partir au vent du large que quelques cendres.

Ce fut un moment très fort.

En rentrant de La Baule à Nantes je demande à Simone si elle ne regrette pas sa soirée.

Elle me dit que c’est la meilleurs soirée qu’elle n’a jamais vécue et que de savoir combien elle vaut pour un inconnu lui a donné une belle confiance en elle.

Je lui fais quand même remarquer qu’elle vient de brûler un chèque qui lui aurait permis d’acheter une belle petite bagnole pour frimer.

Elle me répond en me demandant si je la vois conduire une bagnole qu’elle aurait gagnée avec son cul.

Tout est dit.

Je n’ai jamais été aussi fier de ma petite femme que ce matin-là.
Dernière édition par Simone le Mer 6 Jan 2021 18:10, édité 29 fois.
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar bview69 » Ven 1 Jan 2021 07:34

Très beau récit et très excitant.
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar olival26 » Ven 1 Jan 2021 10:52

Un somptueux récit, beaucoup de femmes aimeraient connaître une telle situation, ça donne des idées et de envies. Merci à vous
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar Maxou501 » Ven 1 Jan 2021 10:56

Beau récit, merci d'avoir pris le temps de l'écrire si bien .
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar ladiablotine » Ven 1 Jan 2021 14:20

Bravo super recit mme de plus en plus coquine
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Messagepar Simone » Ven 1 Jan 2021 21:06

Court récit sans prétention, mais aussi véridique que les autres.

Nous avions loué un gite dans l’arrière-pays niçois pour une escapade de quelques jours au début de l’été.
Sur un site de rencontre mon mari avait auparavant dialogué avec un mec sympa de la région de La Gaude, dans le sud.
Il se nommait Bernard et était motard.

En soirée, seuls et s’ennuyant nous décidons de le contacter.
Il fait justement une ballade à une cinquantaine de kilomètres de notre gite et propose de passer nous voir.
On sort un petit rosé et Simone se pomponne un peu, se maquille légèrement et se parfume.

Il arrive et gare sa moto devant le gite.
C’est un mec sympa, la trentaine, bien foutu, et assez directif.

Deux verres de rosé plus tard il n’arrête pas de me mater sans aucune gêne.
Il nous demande s’il serait possible de prendre une douche car il est en excursion moto depuis le matin.
Je lui montre la salle de bains et je lui donne une grande serviette.

En entendant la douche couler, Michel me dit qu’à son avis il ne va pas tarder à me faire des avances.
C’est ce que nous attendions d’ailleurs et je me dis qu’il est plutôt beau gosse.

Quand il reparait lavé et séché, il est en boxer et sans demander la permission à Michel il vient alors s’asseoir à côté de moi, sur la banquette un peu rustique du gite.

Il faut dire que c’est un beau mec, baraqué mais soigné, musclé et bronzé.

Il est quasiment à poil à côté de moi.
Même si je m’attendais à la suite des évènements, je suis un peu gênée.

Je suis toujours habillée. J’ai une robe noire avec un joli décolleté.
Je n’ai pas de bas car mes jambes étaient bien bronzées à l’époque.
Dessous je porte une petite tenue sexy (soutien-gorge en dentelle ajouré mauve et tanga assorti).

Lui n’est pas gêné du tout !

Il me reluque sans retenue, de bas en haut, des jambes au décolleté et dit à Michel qu’il a une femme non seulement ravissante mais bandante.
Je n’ose pas regarder le boxer pour vérifier ses déclaration mais je le remercie, toujours habillée à côté d’un homme presque nu, toujours aussi mal à l’aise.

Il demande à Michel s’il peut me toucher.
Mon mari répond qu’il faut me poser la question car je suis la première intéressée.
Le mec me regarde et je soutiens son regard.
Il me roule alors soudainement un patin et enlève ma robe par le haut.

Sans autre forme d’introduction, il demande à Michel où se trouve la chambre et nous nous dirigeons tous trois vers le lit, sans autre préliminaire.

C’est apparemment son style.

Il m’allonge sur le lit, enlève mon slip et se met à me sucer.

Il enlève son boxer et il est complètement à poil sur le lit allongé à côté de moi.
J’ai toujours mon soutien-gorge.
Lui bande comme un cerf.

C’est là qu’il nous surprend en disant qu’il veut nous voir faire l’amour devant lui.
C’est la première fois que cela nous arrive.

Bizarre, mais pourquoi pas.

Michel me prend en missionnaire.

Je suis sur le dos et Bernard est à genoux derrière moi, observant les coups de boutoir de mon mari.
Il avance et me met sa verge sur les lèvres.

Je suce.
Il continue à avancer et j’ai maintenant ses couilles au-dessus de la bouche.

Je continue à sucer.
Il sent bon notre savon parfumé qu’il a utilisé pour sa douche.

Michel apprécie de me voir sucer ses couilles et m’encourage à le lécher.

Mais bientôt j’ai la tête complètement sous lui et je comprends qu’il veut se faire lécher l’anus.

C’est quelque chose que j’ai fait parfois, même assez souvent, mais je trouve qu’il aurait pu me demander plus poliment et y mettre les formes.

Je m’exécute cependant et il s’assoit de plus en plus sur moi, ce qui fait que je n’ai plus d’autre choix que de continuer mes jeux de langue entre ses fesses pendant que la verge de mon mari rentre et sort de mon vagin.

Les deux hommes se répondent.
Tout en se branlant, Bernard encourage Michel à me pilonner plus fort.
Celui-ci, voyant le traitement spécial que je suis en train de prodiguer à notre ami, m’encourage à l’exciter avec ma langue.

Cela ne dure pas longtemps, vu l’état d’excitation où nous sommes tous les trois.

Michel décharge dans ma chatte pendant que Bernard lâche sa semence sur mes seins toujours enveloppés du soutien-gorge.

Lorsque je regarde, je suis effrayée de la quantité de sperme déversée sur le tissu de mon soutien-gorge.
Il y a des traces blanchatres de partout sur la dentelle.

Il n’avait pas dû se vider les couilles depuis longtemps.

En fait c’est tout ce qu’il voulait.

Il s’est rhabillé et nous a remercié très chaleureusement pour ce moment de plaisir avant d’enfourcher sa moto et de repartir dans la nuit.

Etrange personnage que l’on n‘a jamais revu.

Comme un trophée, mon mari a laissé le slip tanga souillé
et plein de sperme sur un crochet de la salle de bains jusqu'au lendemain !

Le lendemain le slip était tout raide, car le sperme avait séché.
Je l'ai mis à laver dans le lavabo et j'ai pris plaisir à bien le rincer !

Un autre souvenir agréable même si ce fut bref.
Dernière édition par Simone le Dim 3 Jan 2021 22:10, édité 4 fois.
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Réorganisation de nos récits

Messagepar Simone » Ven 1 Jan 2021 22:27

Comme le confinement dure,
ceci nous donne de plus en plus de temps pour nous souvenir de nos aventures
et pour en rédiger les récits.

Ce qui ne devait durer qu'un mois ou deux
va probablement durer encore un an ou deux.

Les récits de nos aventures libertines
sont dispersés un peu partout.

Nous allons donc progressivement les rapatrier ici,
ce qui en pourra en faciliter la lecture.

Par contre nous ne les effacerons pas de leurs emplacements d'origine
où ils restent associés à des commentaires aussi sympathiques.

Merci à celui qui nous a suggéré ici cette réorganisation.

Qu'en pensez vous ?
Dernière édition par Simone le Lun 11 Jan 2021 15:40, édité 1 fois.
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar jimmy7896 » Sam 2 Jan 2021 09:21

Merci à vous deux pour ces beaux récits. L'idée du regroupement ravira vos fans aussi... En attendant le retour de rencontres sans danger ;-)
Bonne année 2021 en passant
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar Moby » Sam 2 Jan 2021 11:14

Toujours aussi beau l’es récit et oui sympa de tout rassembler
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Le début d'une rencontre sympa

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 13:50

Je m'appelle Simone et mon mari Michel.
Nous avons la cinquantaine tous deux et une petite expérience du libertinage,
sans être des enragés. Nous habitons la région nantaise.

Actuellement confinés, nous nous ennuyons un peu
et c'est pourquoi nous nous sommes tournés vers le virtuel.
Nous aimons bien nous souvenir des belles rencontres.
(Rassurez vous, il y en a eu aussi que nous préférons oublier!)

Pendant le Covid on ne fait plus de rencontres,
mais on cherche de nouveaux amis libertins pour après.

Une de nos rencontres c'était un ami de 25 ans à Angers.

Contacté sur internet.
Mon mari avait répondu à une annonce qui disait je m’en souviens :

"Raffole de couples candaulistes et de femmes au style très BCBG mais dévergondées surtout sous le regard du mari.
J’aime chez une femme le côté « mère de famille » chic et insoupçonnable … pour mieux la dévergonder devant son mari."

Après avoir discuté ensemble on décide de passer le voir.

Arrivés chez lui.
Il y avait de la musique douce.
Il nous a offert à boire.
Mon mari s'est assis sur le canapé et il m'a invité à danser dans son salon.
Cela a duré très longtemps (une heure environ)
Il me pelotait par-dessus mes habits.
Il me caressait surtout les fesses sur ma jupe.

Il a commencé à m’embrasser assez rapidement.
J’avais une jupe noire rayée et un chemisier blanc.
Lui jean et chemise blanche.
Il a ouvert plusieurs boutons de mon chemisier et a passé sa main sur mon soutien-gorge.
Il embrassait bien en mettant sa langue très profond.
Au bout d’un certain temps sa main est passée sous ma jupe par devant.
J’avais mis un string et un porte-jarretelle noir comme le soustif.

Il me caressait par-dessus le slip.
Il m’a demandé de le caresser aussi, ce que j’ai fait par-dessus son jean.
Mon mari sur le canapé a commencé à se branler en nous regardant.
Tout ça a duré très longtemps.
J’ai ouvert sa braguette et j’ai mis ma main dedans.
Lui il a commencé à me caresser le clito sous le slip.
De temps en temps on s’arrêtait pour boire du jus d’orange et discuter avec mon mari, puis on reprenait la danse.

Il m’a fait jouir plusieurs fois et j’ai crié.
Je le branlais en même temps.
Il m’a demandé d’arrêter de le branler sinon il allait jouir et avec ma main qui était dans sa braguette j’ai caressé ses couilles.
Il m’embrassait toujours et me demandait de bien serrer ses couilles.
C’était très excitant.

Il me dirigeait complètement.
Il m’a fait faire des choses que je n’avais jamais faites à mon mari.
(depuis il s’est bien rattrapé !)

On était toujours habillés et on dansait serrés en s'embrassant.
J'avais ma main dans sa braguette et je le branlais en même temps.
Il m’a demandé d’arrêter de le branler sinon il allait jouir
et alors j’ai caressé ses couilles doucement mais fermement
à l'intérieur de son pantalon.

Il m’embrassait toujours et me demandait de bien serrer ses couilles.
Je sentais qu'elles étaient bien pleines.
C’était très excitant.

Donc on a continué à danser assez longtemps dans son salon.
Température agréable.
Ambiance sympa.
Musique douce.
Mon mari nous matait depuis le fauteuil où il s'était installé.

Il m’a d’abord demandé de lui caresser l’arrière des couilles,
tout en continuant à danser.

(Il avait une super playlist de musique douce qui enchaînait les morceaux les plus voluptueux,
dont des chanteurs italiens que j'adore)

Pendant un certain temps il m'a laissé lui caresser l'arrière des testicules
en me disant que c'est là que la peau est la plus douce !

Et puis quand je l’ai fait pendant un certain temps, il m’a dit doucement :
« tu peux pousser un peu plus loin maintenant ? »

Je ne suis pas idiote, et j’ai compris mais la bourgeoise mère de famille que je suis n’avait jamais fait cela auparavant,
ni à son mari ni à quelqu'un d'autre.

Je me souviens il m'a dit à l'oreille tout en dansant,
au cas où je n'aurais pas bien compris :
"maintenant laisse ton index partir en exploration"

C'était très explicite et demandé d'une voix douce mais ferme.

Il m'a donc fait lui mettre un doigt dans le cul et lui masser l'anus pendant qu'il me branlait et ça a duré longtemps. On a dansé comme cela pendant au moins un quart d’heure, sinon plus.

Il m’encourageait quand mon mouvement s’arrêtait !
Je sentais des contractions dans son canal.
Quand je sortais mon doigt, il me disait de caresser l'entrée,
puis de le remettre encore plus profond tout en lui faisant faire des petites rotations.

J'étais étonnée qu'il me demande tout celà que je n'avais jamais fait,
mais encore plus étonnée de lui obéir sans discuter.

Le reste de la soirée fut plus classique
On est passés dans la chambre et il m’a demandé de me mettre à genoux.

Il avait ouvert complètement mon chemisier blanc
et sorti mes seins du soutien-gorge par dessus, tout en laissant le soutien gorge en place.

J'étais à genoux sur le lit avec les seins sortis qui ballottaient.

Par contre il n'a pas dézippée ma jupe, mais l'a juste retroussée.

Il a pris mon string et l'a fait glisser à mi-cuisses
et a fait claquer plusieurs fois mon porte-jarretelle noir sur mes fesses.

Il a mis une capote sur une verge très dure et redressée qui bandait très fort vers le ciel.
Il m’a prise très longtemps et m’a fait hurler de plaisir.
La seule originalité est qu’il avait un doigt planté dans mon petit trou pendant tout le pilonnage.

Voilà l'histoire de cette soirée telle qu'elle s'est véritablement passée.
C'est l'un de nos beaux souvenirs, mais on en a d'autres.
Dernière édition par Simone le Jeu 7 Jan 2021 12:42, édité 1 fois.
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 13:51



Merci, nous allons progressivement rapatrier les textes ici.
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 13:56



Et merci aussi de tous vos encouragements.

C'est un plaisir de partager les moments forts de la vie d'un couple libertin
et de recevoir ces commentaires très sympas.

Mais nous trouvons aussi beaucoup de plaisir à les écrire
en rassemblant nos souvenirs.

Parfois le simple fait d'écrire ces récits de nos aventures réelles passées
nous met dans un tel état d'excitation
que vous pouvez en imaginer les conséquences !
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Re: Mémoires candaulistes d’épouses confinées.

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 14:10

ah oui, juste une autre remarque.

Si d'autres couples candaulistes veulent ajouter leurs propres récits écrits en confinement ici
ce serait avec un grand plaisir.

Le partage de souvenirs peut être plaisant.

Et pourquoi pas des messieurs qui veulent partager des expériences similaires ?

Notre rêve c'est un jour d'avoir un ancien partenaire qui lise l'un de nos récits
et qui décide de rédiger son propre souvenir.

Faut pas rêver, mais on peut toujours espérer !
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L'amant du couple de La Baule

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 14:18

Ce récit, à la différence des autres, est en deux parties pour des raisons qui deviendront claires par la suite. Une expérience qui nous a permis de comprendre qu’il y a plusieurs formes de candaulisme et que chacun peut y trouver son bonheur.

Un de nos amis ici nous a fait remarquer que toutes nos aventures se ressemblaient un peu, et c’est vrai. Nous lui avons répondu à peu près ceci :

« Oui, c'est un peu toujours les mêmes préparatifs.
Désolée si les récits se ressemblent un peu, mais comme ce sont des récits assez fidèles, on ne change pas le passé !

Je m'habille d'ailleurs un peu toujours de la même façon.
C'est pourquoi on change souvent de partenaires, pour ne pas les décevoir ;)

On revoit rarement la même personne plus de deux fois.
Ceci ajoute du piquant à chaque rencontre.

C'est excitant de se trouver avec un nouveau partenaire qui a des envies et des expériences différentes.

Par contre on prend aussi un risque de tomber sur des lapins ou des tocards.
Mais finalement, en prenant quelques précautions, ça ne nous est pas arrivé trop souvent.

Vivement la fin du Covid que nous puissions à nouveau faire des rencontres IRL.

En attendant nous profitons de la situation pour nous faire de nouveaux amis et les échanges que nous avons avec eux sont d'un érotisme torride que nous n'aurions pas imaginé.

Parfois à la fin de la lecture d'un mail je me trouve dans un état presque similaire à celui précédant une nouvelle rencontre, c'est dire !

Vos souvenirs libertins sont fantastiques.
Merci de les partager, même en privé.
Merci pour tous ces échanges tellement érotiques

Nous avons rencontré beaucoup de mecs class et sympas au cours des années passées et nous avons apprécié la majorité de ces aventures. Il y a de belles âmes chez les libertins.

Apparemment les hommes rencontrés ne se sont jamais plaints.
Certains ont voulu établir une relation durable, mais ce n'est pas trop notre truc. Désolée.

Une fois nous avions rencontré un couple sympa à La Baule qui voulait changer pour une fois :
Ils recevaient toutes les semaines depuis trois ans un bel homme de la région dont la femme était frigide.

Ceci se faisait avec l'accord tacite de l'épouse du Monsieur, peu portée sur la chose.

Ils nous ont dit qu'au bout de quelques rencontres, le "cérémonial" étant toujours le même, il leur arrivait parfois d’avoir envie de changement. Puis ils retournaient à une confortable routine, même en sachant bien qu’ils perdaient un peu le plaisir piquant de l’inconnu et de l'aventure.

Le moment est venu de raconter cette aventure, si cela intéresse certains. »


Partie 1.

Cette fois-là mon mari n’a pas trouvé de partenaire homme pour notre sortie. Il me dit que tout ce qu’il a en vue c’est un couple de nos âges qui pourraient nous recevoir sur La Baule. Bien que ce ne soit pas trop dans nos habitudes, je lui dis qu’après tout ce sera l’occasion aussi pour moi de le voir s’amuser avec une belle dame.

La route de Nantes à La Baule nous mène en début de soirée à un joli pavillon isolé dont le portail est ouvert comme convenu pour nous permettre de nous garer discrètement dans la cour arrière.

Michelle et Robert, nos hôtes sont charmants. Lui très sympa même s’il est un peu plus effacé. Elle belle femme, grande, forte et bien foutue, habillée de façon très élégante.

Apparemment c’est elle qui domine dans le ménage et elle est assez volubile. Mais il y a aussi chez elle une certaine forme de timidité que cache son flot de paroles.

On sent que sur le plan sexuel, c’est bien le mari qui décide et madame qui s’exécute pour lui faire plaisir. Ce n’est pas la première fois que nous remarquons cette forme de consentement apparent.

Beaucoup de femmes adorent obéir, car elles ont l’impression de ne pas transgresser les lois de la morale si elles se contentent d’obéir à leur mari. Mais finalement ce sont souvent elles qui prennent et qui donnent le plus de plaisir en se révélant les plus gourmandes et les plus imaginatives dans l’action.

On sympathise rapidement autour d’un mini-buffet et d’une bouteille de champagne. Chacun de notre côté nous nous observons et les femmes croisent toutes les deux de belles jambes gainées de bas noirs. Excitant. La conversation commence.

On se trouve beaucoup de points communs. Nos enfants sont grands et ont quitté le foyer.

Comme eux nous avons adopté sur le tard un mode de vie un peu épicurien.

Curieusement, comme nous, ils ne rencontrent pas beaucoup de couples, mais surtout des hommes seuls.

Ils préfèrent la qualité des rencontres à la quantité et pour eux le sexe est un jeu qu’ils veulent maitriser. Ils détestent la vulgarité et adorent le tact et la sensibilité.

Mais la comparaison s’arrête là.

Robert nous demande si nous entretenons des relations stables avec quelques relations et Michel lui répond que nous préférons au contraire diversifier les expériences.

Ils sont un peu étonnés car depuis plus de trois ans ils reçoivent régulièrement un homme marié qui vient discrètement se garer à l’endroit où nous sommes garés et qui passe la soirée avec eux.

Michelle nous parle avec affection de son gentil visiteur du vendredi soir.

Je suis curieuse de savoir comment se passent leurs soirées, et tous deux se mettent à nous raconter par le détail.

On leur pose parfois des questions indiscrètes auxquelles ils répondent avec beaucoup de gentillesse et de spontanéité.

Cette conversation dure longtemps, très longtemps et nous la relaterons dans la seconde partie, aussi fidèlement que possible.

Je crois qu’ils avaient envie et besoin de se raconter et qu’en trouvant un couple libertin avec lequel ils sympathisaient, ils se sont lâchés.

Il était près de minuit quand on a fini de parler !

Par contre, tous ces détails de leurs aventures nous avaient bien échauffés les uns et les autres.

Nous étions assis autour de la table basse dans deux petits canapés, chaque femme croisant les jambes et chaque homme essayant de mater le haut des cuisses de nos belles.

Je ne sais plus qui a proposé le premier, mais je sais qu’à un certain moment les hommes ont changé de place et que Robert est venu s’installer à côté de moi tandis que je voyais mon mari en face qui passait son bras autour des épaules de Michelle.

Ce fut très amusant et assez symétrique.

Les hommes s’attaquent d’abord au haut et, sans doute par mimétisme mâle, sortent nos seins des bonnets et se mettent à en sucer les tétons.

Je suis assez fière de ma poitrine, mais je dois dire que j’ai été impressionnée par la beauté des seins de Michelle., volumineux mais fermes, superbement bronzés beaucoup plus que les miens.

Plus tard elle me dira fréquenter régulièrement la crique des Jaunais, à Saint-Nazaire, petite plage naturiste discrète.

Une fois fatigués de nous embrasser et de caresser nos mamelles, ils soulèvent nos jupes et font glisser nos culottes.

Sans nous concerter, nous avons Michelle et moi des sous-vêtements noirs avec porte-jarretelles, sous des jupes assez classiques.

On dirait qu’ils se sont donnés le mot, puisqu’ils s’agenouillent tous deux devant nous et se mettent à nous sucer.

Nous nous laissons faire avec un plaisir évident et cela dure un temps assez long.

Même s’il n’avait pas l’air très hardi, Robert sait bien manœuvrer sa langue de ma chatte à mon anus et on entend bientôt des petits clapotis qui ne trompent pas.

Mon mari ne doit pas être mauvais non plus car j’entends bientôt un grand cri de jouissance de Michelle.

Bien qu’en retard, je suis fière de lui.

Il y a ensuite des jeux de doigts qui explorent nos orifices.

En ce qui me concerne, c’est l’agilité des doigts de Robert sur mon clito d’abord qui me font jouir.

Ensuite je me souviens de son index dans mon vagin et de son pouce dans mon anus ; les deux doigts coulissant en cadence. Deuxième jouissance à quelques minutes d’intervalle.

Michel nous propose alors de nous agenouiller cote à cote sue le canapé et de nous montrer notre côté pile, c’est-à-dire nos fessiers.

Je prends mon temps et ici encore je regarde avec envie le beau cul de Michelle, plus large que le mien, ferme et lisse mais surtout uniformément bronzé.

Au-dessus de son abricot bien dessiné, on voit les plis bruns de son petit trou, un plaisir à regarder, du grand art, comme un tableau de Courbet.

Je vois que Michel apprécie autant que moi et que sa virilité enveloppée du nécessaire préservatif se prépare à honorer ce splendide fessier. Je me mets moi aussi à coté de Michelle, en position d’offrande.

Nos hommes nous besognent dans des cris partagés de jouissance. Le pavillon est isolé entre La Baule et Saint Nazaire. Pas de danger d’incommoder les voisins par nos cris jouissifs.

La verge de Robert n’est pas très épaisse, mais je la sens bien longue rentrer et sortir en cadence.

En levant la tête je vois mon mari qui pilonne la chatte de ma voisine, mais je remarque qu’il lui met un doigt dans le cul.

Je sais qu’il aime ça, mais la belle aussi a l’air aussi d’apprécier.

On se fait limer assez longtemps comme cela jusqu’à s’écrouler de fatigue et de jouissance quand les hommes déchargent leur sperme en nous.

Dans la voiture, sur la route du retour de La Baule à Nantes, comme d’habitude nous « débriefons » la soirée avec mon mari.

Mot pédant pour dire que l’on se raconte comment chacun l’a vécue.

Ce sont ces moments d’amour et de partage qui font aussi le plaisir des encontre candaulistes.

J’avoue à Michel que mon amant de ce soir sait très bien se servir de ses doigts.

En retour et à mon étonnement, il me dit qu’il a pris Michelle par son petit trou, mais qu’ensuite elle avait préféré qu’il la prenne plus normalement. Je n’avais rien vu.

Ce fut donc une soirée sympa, sans rien d’extraordinaire mais d’où chacun est sorti satisfait.

Nous parlons beaucoup de la relation de nos hôtes avec le mari de la femme frigide, que nous allons détailler dans la partie suivante.

Nous avions été à deux à suivre leurs commentaires et en combinant nos souvenirs, nous avons à peu près reconstitué notre conversation.


Partie 2.

Robert est cadre administratif dans l’administration.

Michelle occupe les fonctions de responsable du service du personnel dans un grand hôtel de La Baule.

Quand il y a des VIP qui viennent, ce qui arrive assez souvent, c’est elle qui choisit le personnel qui va s’occuper des suites et leur aménagement pour satisfaire aux souhaits des clients.

La direction de l’hôtel lui fait entièrement confiance et c’est dans ces circonstances qu’elle a rencontré le dirigeant très connu d’une grande société locale qui invitait souvent à La Baule des personnalités françaises et étrangères.

Ce bon client nommé Charles venait assez souvent et passait du temps avec Michelle au bar de l’hôtel pour lui expliquer les désidératas spécifiques de ses clients VIP qui séjournaient parfois une semaine entière à La Baule.

Comme ils s’estimaient mutuellement, un jour, pour la remercier, il l’invita le midi dans un restaurant proche, en tout bien tout honneur.

Mais le repas tourna bientôt à la confidence et le Monsieur lui parla de sa vie personnelle.

Directeur technique de la boite et homme de confiance il avait épousé la fille du propriétaire, femme très riche, mais qui ne considérait le sexe que comme le moyen de faire des enfants.

Une fois les enfants faits, la femme ne supportait plus aucun contact physique avec lui, faisait chambre à part, s’occupait exclusivement de l’éducation de ses deux enfants, et était devenue totalement frigide.

Pourtant il restait de l’affection entre eux, et elle regrettait cette situation pour lui.

Le soir Michelle parla de cette histoire à son mari.

Ils avaient commencé à cette époque à fréquenter des boites libertines de la région depuis le départ de leurs enfants, mais n’y trouvaient pas leur compte.

Robert lui demanda s’il l’avait draguée ou fait des propositions et elle répondit que non.

Il lui demanda s’il lui plaisait et elle répondit que oui car c’était un très bel homme mais qu’elle était intimidée par la distance sociale entre eux et que cela bloquait leur relation.

La conversation s’arrêta là.

Quelques jours après, après avoir fait l’amour, Robert demande à sa femme si cela lui plairait de se faire courtiser par Charles et comme elle ne dit pas non il lui suggére de l’inviter à diner la semaine suivante.

Inutile de dire que Michelle a mis les petits plats dans les grands et pas seulement au niveau de la cuisine.

Elle est habillée en grande bourgeoise et a soigné ses dessous.

La discussion porte sur les VIP qui viennent à La Baule, artistes, politiques, industriels, etc.

Charles a apporté du grand vin.

Ils ont tous un peu bu et sont euphoriques quand, au dessert, Robert propose de prendre une photo souvenir avec une petite caméra de poche Sanyo qui était sans doute préparée.

Il demande à Michelle de s’asseoir sur les genoux de Charles pour les avoir tous deux dans l’objectif. En faisant la mise au point il leur demande encore de se rapprocher.

Elle a la main sur son épaule et lui la main sur la taille. Mais ce sont deux grands timides qui n’osent pas.

Alors Robert dit qu’il veut une autre photo où ils feraient mine de danser.

Ils se lèvent et se mettent en position de danseurs, mais ils commencent à comprendre où le mari veut les amener.

Du coup il suffit qu’il leur demande de se faire la bise pour que la situation bascule : ils s’embrassent.

Dès ce moment Robert prend le contrôle de la situation parce qu’il sait que son épouse est trop timide pour prendre des initiatives et que leur invité ne va pas oser.

Alors il se propose de faire un petit film et joue le cameraman en demandant un geste, un mouvement, un déplacement de main, un retournement, etc.

Personne n’est plus dupe mais le couple filmé fait semblant d’obéir par jeu au mari complaisant, en plaisantant entre eux.

Et c’est comme cela que l’homme caresse ses fesses, ouvre son chemisier, retrousse sa jupe, met sa main entre ses cuisses, au-dessus des bas, caresse son entre-jambe tout en continuant à l’embrasser.

Sur un ton assez directif, le mari leur demande alors de passer dans la chambre.

Il a abandonné la caméra qui n’était qu’un prétexte.

Il ordonne à Simone de s’allonger sur le lit sur le dos. Elle a gardé ses chaussures à talons et son chemisier est ouvert.

Il dit à Charles qu’il veut rester le mari qui commande chez lui mais qu’il accepte un aide si celui-ci est d’accord, ce que l’heureux homme confirme évidemment.

La suite n’est qu’une séquence d’ordres de Robert (assis sur un fauteuil, la verge entre les mains) à Charles.

Il le tutoie, comme on demande à un aide d’exécuter des tâches domestiques.

Chaque ordre est suivi du temps nécessaire à l’exécution fidèle de la demande :

- Embrasse la sur la bouche ;
- Retrousse sa jupe et enlève son slip ;
- Caresse son clito avec ta bite ;
- Maintenant mettez-vous en position de 69 et sucez-vous ;
- Enfile une capote ;
- Prend la en levrette, à fond, et pistonne bien ma petite femme ;
- etc. ;

Le ton est donné.
Le mari veut rester maitre chez lui.
La femme est trop contente de ne faire qu’obéir à son mari, ce qui reste somme toutes assez moral !
Elle se contente de jouir et de couiner.
L’amant, trop content de cette situation, ne voudrait pour rien au monde renoncer à ce scénario qui lui convient parfaitement.

Michelle rencontre la semaine suivante Charles à l’hôtel.
Ils font comme si rien ne s’était passé, mais au dernier moment il lui demande discrètement s’il peut à nouveau passer le vendredi soir.
Comme elle en a déjà parlé à son mari, la femme répond positivement et c’est le début d‘une relation suivie qui dure maintenant depuis plus de trois ans.

Cette histoire est assez typique.

Lors de la seconde rencontre, l’amant avoue qu’il a tout dit à sa propre épouse et qu’elle l’a encouragé à poursuivre.

Chaque vendredi soir il quitte donc le foyer conjugal après le repas, officiellement pour une partie de bridge chez des amis.

Il arrive parois avec un petit cadeau pour Michelle et souvent une bouteille de champagne.

C’est toujours Robert qui est le maitre de cérémonie, et comme il change un peu le scénario chaque semaine, les deux amants ont la surprise de découvrir et d’obéir.

Une routine s’est établie.
Au bout d’un mois, ils ont décidé de ne plus utiliser de préservatif car il n’y a plus vraiment de changement de partenaires.

Une fois son amant lui a demandé de passer choisir une belle parure complète de sous-vêtements dans un magasin de luxe à Nantes.

Il est passé la chercher (et la payer !) dans la semaine et le vendredi suivant ce fut une séance d’essayage à la maison qui se termina comme on l’imagine.
Depuis il lui a encore fait beaucoup de petits cadeaux, souvent des beaux vêtements de luxe qu’elle porte avec fierté dans de nombreuses occasions.

Elle a une garde-robe de grande bourgeoise qu’elle nous a montrée, presque totalement offerte par son amant régulier.

Il y a parfois quelques petits changements mais le cérémonial est toujours à peu près le même.

Le mari tient à rester le maître chez lui, et c’est lui qui suggère, qui permet, qui ordonne et qui orchestre toutes les soirées, du début à la fin.

Le couple d’amants est soumis à son bon vouloir et curieusement tous les deux ont parfaitement accepté les règles du jeu.

Le ménage à trois s’est bien installé et ils ont trouvé un bel équilibre.

Nous avons beaucoup appris d’eux ce soir-là, même si finalement notre rencontre de ce couple si original de La Baule n’avait servi qu’à rompre un peu la régularité de leurs relations.
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La garçonnière

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 14:22

On ne se souvient plus exactement de la date de toutes ces belles rencontres.

Celle-ci devait avoir lieu quelque temps après notre ballade en Vendée :
belle-journee-en-vendee-t42589.html

Certainement assez longtemps après notre rencontre à Angers qui est une des plus anciennes:
le-debut-d-une-rencontre-sympa-t42527.html

Mais c'était certainement aussi après l'épisode du parking de la Beaujoire :
parking-de-la-beaujoire-nantes-t42576.html

L'épisode Ingrandes se passait après si notre mémoire est bonne:
ingrandes-t42569.htm



Dans le récit de cette rencontre nous avons comme d'habitude changé le prénom de notre ami
et s’il se reconnait, il n’y trouvera rien à redire car tout a été raconté sans trahir la vérité.
Tout le reste est vrai, même (et surtout) les détails.

J’avais demandé à mon mari de nous chercher un contact sympa pour la fin de la semaine.

En général je le laisse faire et je ne fais que valider à la fin.

Mais je sais que ce n’est pas facile et s’il lui est arrivé parfois de se tromper, je ne lui en veux pas.

Là il avait une semaine entière pour trouver la perle rare.

Il a déniché un trentenaire, chef d’entreprise en Vendée, qui en plus de ses usines en région a ses bureaux d’études et services commerciaux sur Nantes.

Il habite avec sa famille sur la côte vendéenne, mais possède un petit studio quartier Canclaux à Nantes qui lui sert lors de ses déplacements professionnels.

Le vendredi soir vers 21h, je monte dans notre voiture avec le manteau long qui me sert à cacher ma tenue coquine aux voisins toujours trop curieux.

Dessous j’ai une robe moulante gris sombre, d’un tissu assez doux, qui s’arrête au-dessus des genoux, mais avec un beau décolleté.

J’ai mis mes dessous habituels, sg pushup, tanga, pj et bas noirs.

Tout ceci avec des escarpins noirs à talons assez hauts, ma tenue classique de sortie.

La voiture garée, mon mari rentre le code d’une entrée et nous entrons dans un bel immeuble avec ascenseur.

Le studio est le seul appartement au dernier étage et notre hôte nous attend sur le palier.

Je ne suis pas déçue car c’est un très bel homme, brun aux yeux gris-bleus, grand, class, élégant et courtois qui me débarrasse de mon manteau tout en jetant un petit œil appréciateur dans mon décolleté.

Bienvenue dans ma modeste garçonnière enchaîne-t-il.

En fait de studio, c’est un bel appartement assez luxueux et le salon a été préparé pour nous accueillir avec des petits en-cas de traiteur et une douce musique d’ambiance.

Nous nous installons de chaque côté d’une table basse et parlons de choses et d’autres.

Les couples candaulistes, même les plus habitués, connaissent tous ce moment magique et stressant où l’on vient d’arriver, l’on se découvre, l’on s’observe, l’on se demande quel comportement adopter.

Chacun sait très bien comment cela va se terminer, mais personne n’ose prendre la première initiative de peur d’avoir l’air d’un affamé sexuel.

Parfois ce ‘round d’observation’ raffiné peut durer très longtemps et on parle de choses sans importance, en s’observant à la dérobée.

Finalement ces moments d’observation initiale sont souvent parmi les plus excitants d’une rencontre.

Lui, appelons le Roland, nous parle de la société familiale dont il a repris la direction il y dix ans et qui maintenant fait plus de la moitié de son chiffre d’affaires à l’international.

C’est un habitué de l’aéroport de Nantes-Atlantique et il visite souvent une filiale dans un parc industriel près de Shanghai.

Tout en l’interrogeant sur la Chine, je croise et décroise mes jambes et je vois son regard qui est furtivement attiré par la partie de mes cuisses qui est un peu apparente.

Je le regarde dans les yeux mais je vois que pendant que je lui parle de la grande muraille de Chine, il est de plus en plus troublé par mes jambes.
Personne n’est dupe.

Roland réagit en me complimentant sur mes chevilles.

Il me demande si j’accepterais de me lever pour qu’il puisse mieux me voir.

C’est parti, la glace est dégelée et je m’aperçois qu’il maitrise la situation.

Il me demande de me tourner au milieu du salon et me félicite cette fois sur ma silhouette.

En me tournant, je me dis que je suis tombée sur un sacré mâle dominateur, et cela ne me déplait pas plus que cela.

Cela se confirme quand il demande à mon mari l’autorisation de mater sa femme, autorisation qui est immédiatement et chaleureusement donnée.

Je suis maintenant une chose, seule au milieu du salon devant ces deux regards d’hommes lubriques, tournant doucement sur moi-même au rythme de la musique pour répondre à la demande de Roland.

Il devient clair qu’il veut s’amuser avec moi et me tester.

Le jeu commence.

Ses premières demandes sont raisonnables.

Tout en dansant seule devant lui et sans me déshabiller, il me fait me caresser les hanches, les fesses, les seins.

Ensuite il me demande de caresser mon pubis par-dessus ma robe.

Il me demande de venir vers lui.

Je lui fais face, mais il ne me touche pas.

Il me dit de relever ma robe sur les hanches.

Il me fait me retourner et me pencher en avant pour voir mes fesses.

Puis à nouveau devant lui, en lui faisant face, il me dit de descendre mon slip sur mes cuisses.

Il me demande alors de me caresser.

Sa voix et devenue autoritaire, un peu métallique et son regard est magnétique.

J’obéis au quart de tour, sans réfléchir.

Il me guide et j’obéis aussi quand il me demande de mettre deux doigts dans ma bouche, de prendre de la salive et de les rentrer dans ma chatte.

Ma robe me gêne en redescendant et il me dit de l’enlever et de continuer plus fort.

Je suis en sous-vêtements devant lui, mon slip écarté en me caressant de deux doigts qui rentrent et sortent.

Il me demande d’écarter un peu les jambes et je me sens dans une situation un peu humiliante mais tellement excitante en m’offrant à son regard dans cette position.

Nous sommes tombées sur un mâle dominateur qui prend son temps et qui sait qu’il pourra me faire « passer à la casserole » au moment où il le décidera.

Mon mari lui avait dit que j’étais une bonne épouse et mère de famille avec de grands enfants, sans beaucoup d’expérience dans la première partie de sa vie conjugale mais qui depuis quelque temps commençait à apprécier le libertinage, sur le tard.

Il est visiblement dans la position de celui qui essaye de dévergonder une femme mature qui n’a pas encore tout vu.

Il est sûr de lui et jette de temps en temps un coup d’œil complice à mon mari pour avoir son approbation d’aller un peu plus loin.

Je n’aime pas la SM ni le bondage, mais je dois dire qu’ici il avait une emprise sur moi qui lui permettait de disposer de mon corps à sa disposition totale.

Il me demande d’enlever mon string tout doucement en le faisant glisser et de le jeter à mon mari, puis il me dit à nouveau de me retourner et de me pencher en avant devant lui.

Je présentais mon postérieur à quelques dizaines de centimètres de lui quand il me demanda d’écarter mes fesses de mes deux mains pour mieux me voir encore.
La situation était étrange.

Les hommes étaient assis sur un canapé et encore entièrement habillés.

Mais mon mari avait sorti sa verge de son pantalon et se branlait doucement, ce qui donnait un accord tacite aux initiatives de Roland.

Je mouillais de plus en plus et notre ami me suggéra d’humidifier mon index et de commencer à masser mon petit trou, ce que je fis.

Il poussa l’humiliation jusqu’à guider même le rythme du mouvement de mon doigt : rentre, sors, rentres, sors, etc.

Je me relevais à sa demande et lui fit face pour l’entendre me dire combien il adorait voir une bonne épouse et mère de famille se montrer sous toutes ses faces à un homme qu’elle ne connaissait pas encore la veille.

J’ai ensuite du aller au centre de la pièce, sortir mes seins des balconnets du soutien-gorge, pincer les tétons et me promener de long en large dans le salon comme pour un défilé de mode, mais en prenant les poses les plus lascives que je pouvais.

J’étais livrée à moi-même devant son regard lubrique et ironique.

Il attendait que je l’excite et que je l’étonne.

Mon mari était aux anges et se branlait en silence.

J’ai tout fait, du moins tout ce que je savais faire, devant lui, comme si c’était une évaluation.

J’ai tiré sur la pointe des seins, je les relevés pour pouvoir sucer les tétons devant lui, en passant de l’un à l’autre.

Les aréoles étaient luisantes de ma salive et les pointes rouges en érection de mes suçons.

Il m’encourageait et me flattait sur mes courbes et mes positions.

Il disait apprécier mes grosses cuisses musclées dans mes bas, mes fesses fermes et lisses, mes seins qui sortaient bien du soutien-gorge, etc.

Il m’avait mise au défi.

Je voulais l’épater.

Je voulais l’exciter.

Je voulais lui montrer que la bonne épouse et mère de famille n’était pas une petite niaise.

Je viens alors me planter juste devant lui et de mes deux mains j’écarte ma chatte pour lui montrer combien je suis humide.

Les lèvres tirées des deux côtés, il doit bien voir l’entrée du vagin et mon petit clitoris bien dressé.

Son visage est à moins de vingt centimètres de ce spectacle que je lui offre.

Je rentre deux doigts dans la petite grotte humide et je les sort pour caresser mon clito.

Il a l’air subjugué par cette vue et cela m’incite à continuer encore plus fort.

Provoquante je pousse mon bassin en avant pour mieux lui montrer mon intimité et lui indiquer ma soumission.

Je crois ne jamais avoir été aussi impudique devant un inconnu.

Il voit la cyprine qui baigne ma chatte et qui humidifie les poils de ma petite toison brune (je l’avais pourtant bien taillée cette petite foufoune dans la semaine pour avoir l’air présentable !).

Il me parle pendant que je me caresse.

Il n’est pas vulgaire et ne me traite pas de chienne ni de pute, mais ses mots sont encore plus forts.

Il me dit que je suis sa petite poularde de Bresse qu’il a envie d’embrocher et de déguster, mais qu’il veut encore attendre avant de mettre le couvert.

Il me dit que je ne perdrai rien pour attendre mais que peu de femmes l’ont excité comme moi.

C’est la première fois que j’ai plaisir à être comparée à une volaille, mais je ne sais plus très bien où je suis !

Mes deux doigts enfoncés dans mon vagin, je couine sous ses encouragements.

Branle toi ma belle bourgeoise me dit-il, branle toi fort et laisse monter ton plaisir.

Crie ta jouissance, mon appart est bien insonorisé et personne ne pourra t’entendre.

Lâche-toi devant tes mecs.

Montre-nous comme tu es une belle femelle sensuelle sans pudeur et sans tabous.

J’éclate alors dans un grand cri de jouissance à la satisfaction apparente des deux hommes.

Je m’assois entre eux.

Roland me félicite.

Je lui avais dit mon métier et il me demande si mes collègues de boulot savent ou du moins se doutent de mon libertinage.

Je lui réponds avec horreur que non et qu’ils me croient très prude, une mère de famille irréprochable et une épouse fidèle.

Au boulot je suis toujours habillée de façon très stricte, en pantalon généralement.

Il se marre et me dit qu’il s’en doutait un peu.

Une coupe de champagne après, il m’invite à faire quelques pas de danse, lui toujours habillé et moi en sous-vêtements.

En dansant il me flatte les cuisses, la croupe, les hanches, les seins en me complimentant sur la fermeté de mon corps.

Il me dit qu’il a connu beaucoup de femmes plus jeunes que moi et qui avaient des corps beaucoup moins fermes, sinon flasques.

Il me demande comment je fais.

C’est vrai que je suis assez contente de fréquenter depuis longtemps et assez régulièrement une salle de gym et aussi de ne jamais avoir renoncé à mes parties hebdomadaires de tennis avec mon amie d'enfance.

Mais il semble avoir une idée et tout en dansant il m’entraîne progressivement dans le fond du salon vers une grande salle de bains en laissant la porte ouverte de façon à ce que mon mari puisse toujours nous voir.

Devant un grand lavabo, il me demande de me regarder dans le miroir et me fait me pencher en avant.

Je prends appui sur le lavabo et je le vois derrière moi, toujours habillé, mais il semble ouvrir sa braguette.

Il me dit de regarder dans la glace comme je suis belle avec les seins qui pendent et qui balancent et je vois que lui aussi, derrière moi, regarde le grand miroir.

Je vois qu’il enfile un préservatif sorti je ne sais d’où et qu’il pose sa verge à l’entrée de mon vagin encore humide, où il entre doucement.

Avec une voix très douce il me dit qu’il va passer un bon petit moment à embrocher doucement sa poularde préférée.

Il entame alors une lente série de mouvements de pénétration et de sortie et je m’aperçois que sa verge est très longue.

Il insiste pour que je continue à regarder mon visage dans le miroir et me dit qu’il veut voir le plaisir arriver doucement.

Il me dit alors que c’est moi qui possède la télécommande et que lui va obéir.

Je ne comprends pas immédiatement.

Il s’immobilise à l’entrée de ma chatte pendant un moment assez long.

Je lui dis alors rentre et il rentre, sans bouger.

Je lui dis sors et il sort, sans plus. J’ai compris.

Alors commence un petit jeu assez pervers.

C’est moi qui joue.

Rentre doucement, sors, rentre vite, plus vite, plus fort, plus profond, juste au bord, tout au fond, en saccade, n’arrête pas, plus calme, tout doux, maintenant vite, plus vite, très vite.

Il ne parle pas et obéit à mes demandes.

J’ai donc appris à utiliser la télécommande.

Mon mari s’approche de la salle de bains et s’amuse en voyant notre manège.

Je ne sais pas combien de temps à duré ce jeu, peut-être une demi-heure, mais je n’ai pas vu le temps passer.

Il est resté maître de lui et n’a pas déchargé.

Il a à peine, de temps en temps, caressé mon anus de son pouce humecté de salive, très doucement.

J’ai utilisé toutes les cadences, et à la fin j’ai appuyé sur le bouton ‘saccades’ et il m’a fait jouir pour la seconde fois de la soirée.

J’étais subjuguée par la classe de ce type, avec son regard gris-bleu hypnotisant, toujours en plein contrôle de lui.

Il se servait de moi comme d’un jouet pour la soirée, et moi j’appréciais énormément.

Je n’avais pas encore tout vu !

On se rafraîchit dans la salle de bains.

Passage par le salon pour une autre petite coupe de champagne.

Je crois que je suis un peu grisée et je parle beaucoup de quelques rencontre et aventures, trop sans doute.

C’est alors qu’il nous propose de visiter sa chambre.

Je suis sur le lit allongée sur le dos maintenant.

Mon mari, assis dans un fauteuil nous observe.

Roland est agenouillé sur la moquette et me suce.

Le champagne fait de l’effet.

Je suis bien.

Il prend un oreiller pour mettre sous ses genoux et présente sa bite enveloppée d’un préservatif tout neuf à l’entrée de ma chatte.

Je me prépare à le recevoir.

Mais il me donne des petits coups de verge sur le clito.

C’est bon.

Il continue.

J’apprécie et je lui demande d’aller plus loin mais il continue ses petits coups de bite sur le clito.

Je le supplie.

Il me dit d’écarter les lèvres de ma chatte de mes deux mains.

Je m’exécute.

Mais il ne rentre toujours pas.

Je le supplie à nouveau de rentrer.

C’est alors qu’il se dévoile, machiavélique.

Il me dit qu’il ne rentrera que si je lui raconte des choses érotiques qui l’excitent assez.

Sinon il restera au bord.

Il me dit de lui dire quel homme m’a le plus excité.

Je ne veux pas mais il tient bon.

Alors je finis par lui parler d’un jeune étudiant de 20 ans, qui m’avait prise en levrette sur une plage près de Guérande devant mon mari.

Il me dit alors d’écarter encore plus grande ma chatte avec mes deux mains et il plonge brutalement son long sexe en moi avec un grand cri de jouissance et décharge après une dizaine de mouvements très forts et très puissants.

Quand il ressort, je vois une capote pleine à craquer.

Depuis Roland est devenu un ami.

On l’a revu à plusieurs reprises dans sa garçonnière.

En général c’est nous qui lui proposons de le rejoindre quand il est libre.

Mais il lui est arrivé une fois de me téléphoner tard en soirée pour me demander de vite venir éteindre un incendie si je le pouvais.

Là je me suis vengée et c’est moi qui ai imposé mes conditions vu l’heure tardive et l’urgence.

Moins d’une heure plus tard nous arrivions au studio.

Il a du se déshabiller entièrement devant moi à ma demande exprès et s’allonger sur le lit sur le dos.

Sans discussions !

Il bandait comme un taureau.

J’étais en tailleur et j’ai juste enlevé mon slip avant de chevaucher sa longue bite rapidement enveloppée du préservatif.

Il m’a à peine ouvert le chemisier et s’est déchargé presque immédiatement en me remerciant d’avoir éteint l’incendie aussi rapidement.
Nous sommes un couple candauliste complice actuellement confinés.
Plus de rencontres donc, mais nous essayons de nous faire de nouveaux amis pour "après".
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar micmac23 » Sam 2 Jan 2021 16:17

Très belle idée de rassembler vos récits, je les découvre, et je les trouve très excitants
Félicitations à madame de nous faire vivre ces moments intimes de jouissance.
Meilleurs vœux pour 2021 et surtout une bonne santé
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 19:47

Merci MicMac,

On va continuer à les rapatrier ici.
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Belle journée en Vendée

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 20:10

_____________________________

Que faire en confinement sinon ranger ses vieux papiers ?

_____________________________

Au fond d’un tiroir, je trouve une chemise classée « perso » et à l’intérieur une liasse de choses sans intérêt mais quelques feuillets un peu jaunis qui commencent par ces mots : « Très chère Simone ».

Il y a une carte de visite agrafée. Nous en reparlerons plus tard. Nostalgiquement j’appelle mon mari pour lire ces feuillets et nous décidons de rédiger à deux mains cette belle histoire que je vais vous raconter maintenant.

C’était un lundi matin de décembre, entre Noel et le jour de l’an, il y a déjà plusieurs années.

Nous avions reçu la famille quelques jours avant et un peu reposés des festivités nous attendions le prochain réveillon chez de vieux amis d’enfance qui nous avaient invités. Cette perspective me plaisait car nous adorons ces vieux copains.

Oui, mais mon mari me dit qu’il aurait aussi bien voulu un peu de coquinage pendant les congés.

Je ne suis pas contre l’idée, je lui rappelle que l’on nous avait dit que certaines boites étaient ouvertes le lundi car beaucoup de commerçants fermaient ce jour-là et beaucoup de couples de commerçants étaient disponibles.

Il n’en faut pas plus et dès le début de l’après-midi Simone a mis son grand manteau long sur ses vêtements coquins et me rejoins discrètement dans notre voiture garée devant le pavillon.

Un petit tour sur le périph nantais et nous nous dirigeons vers La Roche sur Yon, où il y a une boite libertine que l’on nous a recommandée.

Il est environ 15h quand nous arrivons.
La boite est effectivement ouverte, mais quelle déception en pénétrant dans la salle : il n’y a personne !
Pas un chat !

Les deux cauchemars des couples candaulistes sont les lapins et les boites vides. Pas de chance pour nous.

Nous nous asseyons tristement sur une banquette qui se trouve à droite du bar.
Encourageant, le patron nous apporte nos consommations en nous disant d’attendre un peu car il y a souvent du monde en fin d’après-midi.

Effectivement un peu de temps après, un jeune couple rentre et s’assied au bar.
Nous saurons après qu’il s’agit bien de commerçants, le patron d’un salon de coiffure et l’une de ses employées.

Nous nous observons à la dérobée, mais visiblement le courant ne passe pas, ni d’un côté ni de l’autre.
De plus en ce qui nous concerne, nous aimons toujours avoir un choix.

Le couple quitte le bar avec ses consommations et va s’installer tout au fond de la salle, dans une alcôve surélevée.

Mais à ce moment un évènement change la soirée.
Un homme élégant vient de rentrer.
Un beau gosse trentenaire élégamment habillé, bref le prince charmant !
Trop beau pour être vrai.

Nous saurons après qu’il s’agit du responsable d’une grande agence bancaire du centre de Nantes qui, divorcé il y a quelques mois, a sans doute décidé ce lundi de chercher une petite aventure fugitive.

L’homme, appelons le Julien, semble lui aussi un peu déçu par le manque d’affluence.
Il s’ennuie visiblement au bar en discutant avec le patron. Il ne nous jette même pas un regard.

Au bout d’une vingtaine de minutes, personne n’arrivant, il vient quand même s’asseoir à coté de nous pour engager la conversation.
Par contre l’ambiance reste froide, pas de rapprochement en vue, un simple échange de banalités pour partager notre ennui.

C’est alors que mon mari prend une initiative qui va aussi changer le cours des événements.
Ostensiblement il se lève avec son verre, me fait une bise et, sans rien dire, va rejoindre l’autre couple en traversant tranquillement toute la salle.

Le geste est fort et symbolique.
Il signifie qu’il me laisse à la disposition du beau Julien, si du moins celui-ci est intéressé.

Un silence gêné s’installe entre nous.
Banalement il me complimente sur ma petite robe noire.
Je le remercie et il continue ses compliments sur mes belles jambes.

Il me parle de lui et me pose aussi des questions sur mon boulot.
Notre relation reste un peu tendue et distante.

J’ai les jambes croisées, sagement assise sur la banquette en gardant mes distances.
Il me dit d’une façon assez convenue qu’il me trouve séduisante.

Je le remercie en lui disant que lui aussi est très bel homme et que si j’avais quinze ans de moins, j’essayerais de l’intéresser.
Il rit franchement et puis, très paternellement, il pose une main sur mon genou.

La soirée bascule encore à partir de ce moment-là, même s’il retire sa main assez rapidement.

La conversation devient alors plus intime et il me parle de son divorce et de son ancienne épouse, très belle mais décevante au lit.
Nous nous regardons et sa main reprend sa place sur mon genou.

Comme je ne réagis pas, je la sens qui se déplace sous ma robe pour caresser le dessus de ma cuisse.

Tout en discutant avec l’autre couple au fond de la salle, je vois bien que mon mari nous observe du coin de l’œil en se demandant si la mayonnaise va prendre (désolée pour cette très mauvaise comparaison culinaire !).

Sa main remonte depuis mon genou sur mon bas, sur le dessus de ma cuisse, et arrive sur la chair nue de ma cuisse.
En me regardant dans les yeux, il me demande alors si ce sont des bas autocollants ou des porte-jarretelles.
Je luis répond que c’est mon petit secret.

La glace est rompue et il me fait quelques bisous dans le cou en me disant qu’il adore mon parfum.
Un plaisir d’être dans la compagnie de ce bel homme.

La piste de danse est déserte.
Il me propose alors de danser, ce que j’accepte immédiatement.

Dès le début il me serre de près et reprend les petits bisous dans le cou.

Il me dit qu’il va essayer de percer tous mes secrets et pose sa main sur le coté de ma cuisse en disant que c’est bien un porte-jarretelle qu’il sent et qu’il adore.

Il continue et pose sa main sur ma fesse en me demandant si je ne porte pas de slip puisqu’il ne sent rien sous le tissu de ma petite robe.

Là je lui réponds qu’il a perdu parce que j’ai un string mini. Il rit et pose ses lèvres sur les miennes.

On se serre plus fort.
Suit une longue séquence où il me pelote sous toutes les coutures et quand je dis toutes les coutures c'st toutes les coutures.
Exploration complète.

J’adore et ça dure très longtemps, vraiment très longtemps.

Il me relève ma robe et me caresse ouvertement les fesses d’abord, puis l’entrecuisse en passant son pouce sur le slip et son index s’infiltre doucement sous mon string.

Il me demande alors si ça ne me choquerais pas d’enlever ma robe entièrement.
Un de ses fantasmes est de danser avec une femme en soutien-gorge et en porte-jarretelles.

Sans rien dire je repars vers notre banquette, j’enlève ma robe et je sors mes seins du soutien-gorge sans l’enlever.
Il est resté au centre de la piste et je reviens en lui demandant avec une petite courbette si c’est bien ce que monsieur désire.
Il rit.

Nous recommençons à danser.
Il est entièrement habillé.
Avec mes talons hauts, je suis à peu près à sa hauteur car c’est un homme assez grand.
Il me caresse et continue son exploration.

Je l’interromps encore pour enlever mon string en lui disant qu’au point où on en est, il ne faut pas se gêner.
Je jette le petit morceau d'étoffe sur la banquette, avec ma robe noire.
Il semble étonné de mon audace et reprend son pelotage tout en dansant.

Je jette un œil de l’autre côté et je vois mon mari qui nous observe d’un air admiratif.
La femme s’est approchée de lui et semble s’occuper de son membre, sorti du pantalon.
Il s’occupe de son côté, donc pas de souci pour lui, j’ai donc quartier libre !

Mon cavalier ne laisse aucune partie de mon corps inexplorée.
C’est jouissif cette impression d’être pratiquement nue dans les bras d’un homme viril qui reste entièrement habillé.
Je mouille et il me le fait remarquer quand il passe et repasse son index sur ma petite fente.
Il caresse doucement mon petit clito.

Nous nous embrassons à pleine bouche et nos langues se croisent et se caressent.
Je suis devenue sa chose, lui encore habillé et moi quasiment nue.

C’est tellement fort que je finis par jouir en criant.

Le patron au bar ne perd pas une miette du spectacle.

Julien me propose alors d’aller poursuivre avec les autres.
Il n’est arrivé personne dans la boite depuis le début contrairement à ce que nous avait dit le patron.

Sur l’estrade il y a un confortable matelas surélevé et nous nous installons.
Je vois avec plaisir que la jeune femme est à genoux en train de sucer mon mari pendant l’homme la prend en levrette.

Julien allongé sur le dos sur le matelas a enfilé un préservatif.
Il me place à genoux devant lui mais en lui tournant le dos et il me demande de me laisser faire.

En me baissant je sens sa longue bite qui s’enfonce doucement en moi quand je m’abaisse.
Il voit mes fesses et me tiens par les hanches.
Il me dit de commencer à bouger.

Je suis empalée sur lui, il est derrière moi, Il a ses mains sur mes hanches et décide du rythme..

Lui voit mes fesses et sans doute mon petit trou.
Moi je suis face au groupe de trois où je vois la jeune femme qui se fait prendre par on patron et qui suce mon mari.
Mon mari me regarde me faire prendre au-dessus de Julien, en montant et en descendant.

Cette position est excitante.
Je me caresse le clito en me balançant de bas en haut.
Tout à coup je jouis très fort et le trio de devant s’arrête.

Julien se dégage en gardant sa capote sur son sexe tendu.
Il me prend par la taille, comme si j’étais à lui alors que mon mari est devant.
Je suis sa chose.

Il appelle alors la jeune femme du trio, lui prend la main et vient poser cette main sur mon sexe.
La fille joue le jeu à fond.
C’est doux et très agréable.
C’est la première fois que je me fais caresser par une femme et mon mari étonné ouvre de grands yeux.

Le copain de la fille lui dit de me prendre en mains, car il a remarqué mon manque d’expérience dans ce domaine et par contre pour elle ce n’est visiblement pas la première fois qu’elle caresse une femme.
La meufse met à me rouler un patin, une grande première pour moi qui ne suis pas du tout lesbienne et pas attirée par les femmes.
Première fois qu’une femme m’embrasse sur la bouche.

Voilà la situation, on se fait face.
La fille est complètement nue et à genoux devant moi.
Moi je suis aussi à genoux, mais en sous-vêtements avec les seins sortis des balconnets.
Elle m’embrasse et sa main me caresse le clito.
Les trois mecs autour de nous sont aux anges.
La fille est fraiche et sent bon.

Je m’étonne moi-même mais ce n’est pas encore fini.

Julien joue le chef d’orchestre et me prend maintenant par les épaules pour me faire basculer sur le lit, sur le dos.
Il saisit alors la fille et la dirige avec douceur au-dessus de moi en 69.
Elle n’est pas surprise et sa bouche trouve le chemin de mon clito.

Je vois son entrejambe au-dessus de moi et elle est entièrement épilée elle.
Je ne bouge pas et elle me suce.
C’est agréable.

Julien pose maintenant sa main sous ma tête et la soulève jusqu’à ce que ma bouche arrive au niveau de la vulve épilée de la meuf.
Et là il me demande gentiment de la sucer un peu.

Je n’ai jamais fait cela et c’est bien pour lui faire plaisir que je sors ma langue pour lui lécher la chatte, mais sans beaucoup d’enthousiasme.
Il m’encourage, toujours sa main sous ma tête et peu à peu j’y prends gout.
Je sens son petit clito qui durcit sous ma langue et pendant ce temps je sens sa langue à elle qui me fouille délicieusment.

Julien enlève alors sa main, mais comme la nana a abaissé son bassin, je peux continuer à lui donner du plaisir.
Je vous laisse imaginer les cris de jouissance.
J’ai le temps de voir Julien qui rajuste la capote sur son sexe encore bien rigide et qui passe de l’autre côté.

Il prend la place de la fille qui me suçait et s’enfonce dans ma chatte.
Et là il se met à me pilonner en me demandant assez autoritairement de continuer à sucer la meuf.

Mon mari et le pote de la meuf se branlaient devant ce spectacle torride.
Je crois qu'ils ont éjaulé sur nous.
On a à peu près tous joui en même temps.
Et on s’est affalés les uns sur les autres, en tas.

Quelques instants après on se retrouve tous sous la douche collective de l’établissement.
Personne d’autre n’est arrivé dans le club !

Finalement on a eu beaucoup de chance.

La nana qui se nomme Laure me dit qu’elle a bien aimé ce que je lui ai fait et que pour une débutante je me débrouille trop bien.
J’apprécie son compliment.
On se rhabille.
Au moment de sortir, Julien donne sa carte à mon mari en lui disant que nos discrétions mutuelles nous permettent d’échanger mails et téléphones.
Michel fait de même et on se dit que l’on reste en contact avant de se séparer.



Voici donc le long mail que nous avons reçu une dizaine de jours après, et que nous avons retrouvé dans nos archives.
Je recopie ici mot pour mot.

« Très chère Simone,

Permet moi de te tutoyer.

Je profite d’une pause dans mon travail pour te dire combien j’ai apprécié notre rencontre de la semaine dernière à La Roche sur Yon.

Je ne sais pas pourquoi je suis passé dans cet établissement, car depuis mon divorce je n’ai pas de véritable faim sexuelle.

Je vis seul dans mon grand appartement et parfois l’une ou l’autre de mes deux jeunes chargées d’affaires vient m’y rencontrer pour une soirée un peu coquine avec le prétexte d’un dossier à terminer.

Quand je t’ai vue avec ton mari sur la banquette, j’ai imaginé une belle ménagère de 45 ans environ et qui venait pour la première fois se défouler.

Je t’ai perçue comme une belle bourgeoise sans beaucoup d’expérience.

Ce n’était pas tout à fait le cas, mais c’est ce qui m’a émoustillé et qui m’a décidé à venir te parler sur la banquette.

Pour tout te dire c’est en te voyant que je me suis décidé à rester.
Sinon j’aurais quitté l’établissement car les aventures, j’en trouve assez quand je veux, et comme je l’ai dit je ne suis pas du tout un affamé sexuel.

Ce qui m’attire dans les boites libertines, c’est de trouver des belles plantes matures, souvent des mères de famille, qui se réveillent à la quarantaine et qui veulent s’encanailler une fois leurs enfants élevés.
J’ai compris que c’était un peu ton cas.

J’aime accompagner les belles bourgeoises épanouies dans la découverte de nouveaux plaisirs.

Quel plaisir de te mettre au défi de te déshabiller sur la piste de danse.
Je ne pensais pas que tu allais accepter et pourtant tu as laissé un homme habillé te palper longtemps de partout et aux yeux de tous introduire ses doigts dans tous tes orifices.

Le patron accoudé au bar, pourtant un peu blasé, attendait chacun de nos passages pour me voir écarter tes fesses devant lui, et caresser ton petit trou.

Quand je t’ai demandé si tu avais déjà pratiqué la sodomie, tu m’as répondu que oui mais rarement et c’est ce qui m’a incité à t’introduire en dansant deux doigts mouillés dans ton petit anus, en les faisant tourner doucement en vrille.
Ton mari ne le voyait pas d’où il était, mais ta surprise a rapidement laissé la place à une soumission docile surtout que tu semblais prendre du plaisir à cette intrusion anale.

Tu m’as aussi raconté ta vie en dansant et je t’ai demandé si tu avais déjà fait l’amour à une femme.
Cela t’a choquée et tu m’as dit n’éprouver aucune attirance pour les femmes, et même ne pas comprendre le plaisir de certaines femmes à coucher ensemble.

Belle remarque de mère de famille vertueuse.

C’est alors que j’ai voulu te tester encore davantage.
La petite Laure me semblait posséder les meilleures qualités pour être ma complice involontaire et nous nous sommes déplacés vers eux.

En te prenant face à elle, je savais qu’elle allait apprécier ton anatomie parfaite de femme mûre, avec des cuisses musclées, un ventre plat, une poitrine splendide et des tétons dressés de plaisir sortant des balconnets.

J’ai vu son regard quand je te prenais et que ton plaisir éclatait sur ton visage.
J’ai su alors que nous pourrions aller un pas plus loin.

Entre son patron et ton mari, elle a choisi de te donner du plaisir en te caressant et à ma demande tu as accepté.
Le défi était pratiquement gagné.

Ensuite, comme tu es intelligente et que tu sais très bien t’adapter, tu t’es allongée et elle s'est mise sur toi en position de 69.

Tu l’as léchée comme tu aimes qu’on te lèche.
Je voyais sa surprise à elle quand elle a pris son plaisir, de voir tes progrès rapides.

J’espère que ce long mail ne t’a pas ennuyée ma chère Simone.

Ne t’y trompe pas, notre rencontre m’a apporté beaucoup plus de plaisir que les fades et multiples rendez-vous avec de nombreuses midinettes plates et sans imagination.

Tu resteras dans ma mémoire, tout comme la première fille que j’ai dépucelée il y a très longtemps.

J’ai pensé à toi en me branlant deux fois déjà depuis notre rencontre.

Donne mon meilleur souvenir à ton mari Michel.
Dis-lui la chance qu’il a d’avoir une femme comme toi.
Je quitte Nantes pour Paris pour une promotion professionnelle et si un jour l’envie te prend de passer me voir, ce serait un gros plaisir pour moi.
Je t’embrasse goulument sur la bouche »

Postcript

Comme les autres récits, celui-ci est strictement authentique
et relate une aventure qui s'est réellement passée
dans les conditions racontées.
Tous les détails sont véridiques.
Nous avons uniquement changé les prénoms.
Si des personnes se reconnaissent,
nous leur envoyons notre souvenir amical.

Simone et Michel
Nous sommes un couple candauliste complice actuellement confinés.
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Le moulin d'Ingrandes

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 20:11

Avec mon mari, nous nous sommes amusés pendant le confinement à rédiger quelques récits de nos anciennes rencontres.
Parfois c’est moi qui rédige et lui qui corrige et parfois c’est l’inverse.

Episode du Moulin’s club

Nous avions décidé ce jour-là d’aller au Moulin’s club à Ingrandes.
Comme souvent, ma femme portait une jupe noire rayée et un chemisier blanc grège avec ses escarpins noirs.
Dessous elle avait des bas, soutien-gorge, slip et porte-jarretelles noirs assortis.
La tenue d’une bonne bourgeoise mature en fait.
Avant de sortir de la voiture, comme elle le fait d’habitude, Simone prend son vaporisateur de parfum italien, remonte un peu sa jupe et parfume le haut de ses cuisses. Elle rabat sa jupe en sortant sur le parking et nous entrons dans la boite après avoir traversé la route Nantes-Angers.

Nous sommes assez déçus en arrivant, car il n’y a pas grand monde.
Nous nous installons avec nos consommations dans un box face à l’entrée.
Il y a un seul couple qui danse sur la piste et ce sont visiblement des habitués.
Puis il y a un peu de mouvement.
Un jeune couple arrive et s’installe au bar.
Puis deux jeunes étudiants qui visiblement venaient dans cet endroit pour la première fois.
Ils ont l’air d’avoir à peine plus de vingt ans. Ma femme me dit qu’ils sont mignons.
Ils font le tour de la salle et finissent par s’installer dans un autre box.

Comme il n’y a pas beaucoup de monde, j’invite mon épouse à danser.
On passe plusieurs fois devant le box où sont les deux jeunes, mais ils ne nous regardent pas.
Ils ont l’air de s’embêter comme nous. Personne n’arrive dans le club.
Nous rejoignons notre box.

L’un des jeunes va au bar pour commander une autre consommation.
Ma femme me suggère d’aller discuter avec lui et c’est ce que je fais.
Ce sont deux étudiants d’une école d’ingénieurs.
Mon interlocuteur me confirme qu’ils se sont donné comme défi de venir dans une boite libertine pour draguer une meuf à deux.
Je lui demande s’ils ont vu une quelque chose d’intéressant et il me dit que non pour le moment.
En prenant ma conso je lui dis en souriant que si ça les intéresse, et s’ils ne trouvent pas mieux,
ils pourront toujours inviter ma femme à danser pour passer le temps parce qu’elle aussi s’ennuie.

Une dizaine de minutes se passent et rien.
Ma femme me dit, tu vois bien que je ne les intéresse pas, ils cherchent une plus jeune.
Mais dix minutes plus tard, l’un des gars vient dans notre box et demande à Simone si elle accepterait de danser.
Elle dit bien sûr, avec plaisir, et le suit immédiatement sur la piste de danse.

Le gars est assez timide au début.
On dirait qu’il n’ose pas la toucher.
Son ami quitte son box avec sa consommation et vient s’asseoir à côté de moi dans notre box.
Il me confirme que son pote est un grand timide et me dit en riant qu’il n’y a pas de danger et qu’il ne va pas lui faire beaucoup de mal à mon épouse.
Je lui dis que c’est dommage car elle n’attendait que cela.
Effectivement ils ont l’air gênés, raides et dansent en gardant leurs distances.
Le morceau de musique s’arrête et ils reviennent vers notre box.

Une fois assis l’autre me fait un clin d’œil et invite à son tour Simone à danser.
Elle accepte à nouveau.
Mais là les choses ne se passent pas du tout de la même façon.
Il la serre beaucoup plus dès le début.
Il lui caresse la taille.
Je vois une de ses mains qui s’infiltre entre la jupe et le chemisier et qui a l’air de lui caresser le flanc, directement sur la chair, sous le chemisier.

L’autre main est sur son épaule mais je vois bientôt que cette seconde main remonte et caresse la nuque de Simone.
Bientôt il vient poser ses lèvres sur le cou de mon épouse qui se laisse faire.
Son ami qui est à côté de moi me dit que lui aussi en avait envie, mais qu’il n’a pas osé.
Il me raconte qu’ils se sont donné le défi de séduire une femme à deux.
Son ami a maintenant posé sa main sur la cuisse de Simone et la caresse au niveau du porte-jarretelles.
Par contre ses lèvres ont quitté le cou de ma femme et s’avancent vers ses joues et vers bouche.
Elle se laisse faire et bientôt ils sont en train de s’embrasser. Les choses avancent vite.

Ses deux mains sont descendues sur la jupe et lui pétrissent maintenant les fesses.
Je sais qu’elle adore se faire peloter comme cela et je le dit à son ami qui me répond qu’il aimerait bien être à sa place.
Je lui suggère d’oser le faire et d’interrompre son pote pour prendre sa place.

Il me regarde, se lève et va sur la piste.
Il tape sur l’épaule de son pote et lui dit que j’ai quelque chose à lui dire.
Profitant de la surprise, il enlace Simone et se met à l’embrasser en continuant à danser.
La belle ne s’est presque pas aperçue du changement de cavalier et qu’elle est passée des mains d’Olivier à celles de Benoit.
Alors Olivier qui s’est fait avoir vient me rejoindre en rigolant.

Il me dit que Benoit vient de se déchainer et qu’il veut rattraper le temps perdu.
Effectivement, ce n’est plus le même cavalier que tout à l’heure.
Il embrasse fougueusement ma femme comme s’il voulait regagner le temps perdu.
Une de ses mains est en train de se glisser dans le chemisier dont il a déboutonné les boutons du haut.
On voit bien sous le chemisier que sa main enveloppe un sein, mais on ne sait pas si c’est par-dessus ou par-dessous le soutien-gorge.
Pendant ce temps l’autre main descend sur la cuisse et remonte le bas de la jupe.
On voit maintenant le haut des bas et le porte–jarretelles.
Je dis à Olivier que son copain Benoit va un peu vite en besogne.
Il m’approuve et me dit en rigolant qu’il va le calmer et lui rendre la monnaie de la pièce.

Il va alors sur la piste et se substitue autoritairement à son ami comme cavalier.
Benoit vient me rejoindre pendant que son ami enlace Simone qui a maintenant le chemiser entrouvert et la jupe encore un peu retroussée.
Ils se remettent à danser plus calmement.
C’est une véritable partie de ping-pong.
Simone n’est jamais passée aussi rapidement des bras d’un homme aux bras d’un autre, et j’ai comme l’impression que ce n’est que le début.

Benoit me dit qu’il pense s’être un peu emballé mais il dit que Simone l’a pas mal allumé en frottant son pubis contre son sexe.
Je pense qu’il a raison.
Mais il me dit que c’est exactement le jeu qu’ils voulaient jouer : se passer une femme de l’un à l’autre pour l’exciter.
Je lui dis qu’apparemment ils ont bien réussi le début de l’opération.
Il me dit qu’au départ ils cherchaient une meuf un peu plus jeune, mais que de dévergonder une belle bourgeoise, épouse et mère de famille, bien balancée, leur plait beaucoup et correspond aussi à leurs fantasmes.

Olivier semble calmer le jeu et serre encore Simone mais de façon convenable.
Par contre il lui parle beaucoup plus à l’oreille et à les voir s’amuser comme des ados, on se dit qu’ils sont en train de préparer un coup.
Ils profitent d’ailleurs d’un changement de musique pour quitter la piste et revenir vers nous.
Simone annonce qu’elle va passer se rafraichir un peu et part seule vers les sanitaires.
Nous sommes tous les trois dans le même box et les garçons me disent qu’ils sont aux anges car c’est exactement le genre de soirée qu’ils recherchaient et ils trouvent ma femme splendide.
Ils me demandent si je suis d’accord de la leur prêter jusqu’à la fin de la journée.
Comme souvent je leur réponds que je suis d’accord s’ils me la rendent intacte et en bon état !

On plaisante un peu.
Olivier me dit qu’il lui a demandé juste un petit truc.
Quand Simone revient des toilettes, je comprends de quoi il s’agit car elle vient de mettre son petit slip dans la poche de ma chemise.
Je vais prendre des consommations au bar pour tout le monde et on se relaxe un peu.
Pas très longtemps car Benoit fait remarquer que c’est maintenant son tour et que dès que Simone le désire, il se fera un plaisir de l’inviter à danser.
Elle ne le fait pas attendre très longtemps et après avoir terminé sa consommation, c’est elle qui le prend par la main pour l’emmener sur la piste.

Olivier me regarde en souriant et se cale dans son fauteuil en me disant que l’on devrait avoir du beau spectacle.
Il m’explique qu’ils ont préparé quelque chose de sympa.
En effet je vois Simone qui parle à l’oreille de son cavalier.
Tout en conservant une attitude correcte, je vois la main de Benoit qui remonte par devant sur les cuisses de sa cavalière, vers son entre-jambe.
Pendant ce temps, la même cavalière s’affaire sur la braguette de Benoit et glisse sa main à l’intérieur du pantalon.

Une fois ces opérations terminées, ils se balancent enlacés au rythme de la musique, en s’embrassant à pleine bouche.
Il commence à y avoir un peu de monde dans la boite, surtout des couples et je vois des regards qui suivent avec attention ce qui se passe.
Apparemment nos tourtereaux sont en train de se branler mutuellement devant tout le monde.
On voit les avant-bras qui s’activent et la jupe de Madame s’est un peu relevée.
Olivier qui est devenu un peu l’organisateur m’explique que le premier défi consiste pour Benoit à faire jouir Simone en la masturbant.
Mais apparemment cela prend un peu de temps.
Les cavaliers sont approximativement de la même taille, quand on prend en compte les talons hauts de Simone.
Leurs mains sont bien occupées et tout à coup on voit Simone qui se raidit, pousse un petit cri et s’accroche à son cavalier : elle vient de jouir !

Olivier triomphe en me disant premier défi réussi.
Maintenant on passe au deuxième défi, plus difficile.
Je lui demande de quoi il s’agit et il me montre que Simone lui fait un clin d’œil en mettant son index dans sa bouche.
Je commence à comprendre quand je vois sa main reprendre la direction de la braguette de Benoit et son avant-bras qui s’avance assez loin.

Olivier sort sa montre et m’explique alors que le deuxième challenge consiste à danser avec chacun un doigt dans le petit trou de l’autre pendant 10 minutes chrono. Pour Simone c’est fait et je vois qu’elle a expliqué le challenge à Benoit, puisqu’il glisse une main sous sa jupe par derrière et au moment où il fait un mouvement sec, ma femme ferme les yeux : il a dû planter son index à l’endroit prévu, tout est en place et ils dansent enlacés.

Je ne sais pas si les spectateurs savent ce qui se passe, mais nous on les regarde comme au spectacle.
Plus tard ma femme me dira qu’il n’arrêtait pas de faire coulisser son index pendant qu’ils dansaient jusqu’à ce qu’Olivier, après une dizaine de minutes, lève la main et donne le signal du défi gagné.
Ils viennent alors nous rejoindre et Simone me fait un gros bisou baveux en me disant que c’était super.

Dans le box ils occupent le banc tous les trois, Simone au milieu et moi je suis dans le fauteuil devant.
Comme nous sommes un peu isolés, ils la pelotent et l’embrassent.
Elle a maintenant le chemisier complètement ouvert avec un sein sorti du bonnet du soutien-gorge et l’un des compères suce le téton.
L’autre lui a retroussé la jupe presque jusqu’à la taille et comme elle n’a plus de slip, on voit sa petite toison brune bien encadrée par le porte-jarretelles.
Le second compère glisse alors à ses pieds et se met à la sucer.
La belle est aux anges et soupire très fort, les jambes gainées de ses bas noirs bien écartées, avec toujours ses escarpins aux pieds.
Il se forme maintenant un groupe de voyeurs à l’entrée du box, des hommes seuls, mais aussi des couples.

Le cavalierqui s’occupait de sa poitrine a maintenant sorti une verge de belle taille de son pantalon et la présente devant les lèvres de Simone qui s’entrouvrent.
Elle gémit.
Plus elle pousse des cris de plaisir, plus il vient de curieux à l’entrée du box.
Comme c’est un peu trop la foule et la pagaille, Simone demande si on peut passer dans un espace privé.

Elle se lève et se rajuste.
On se dirige tous les quatre vers une grande alcôve fermée où il y a un grand lit avec une un couvre-lit rouge.
On s’assied et on se marre en respirant un peu.
Olivier ne perd pas de temps et parle déjà du troisième et dernier défi.
Simone lui demande s’il peut lui en dire plus et il lui répond en lui demandant si elle a déjà fait un double.
Elle répond que non et elle a un peu peur d’avoir mal.
Ils la rassurent en lui disant qu’ils sont très doux et qu’ils vont prendre tout leur temps.

Benoit prend alors la parole pour lui expliquer qu’une fois, au cours de leurs délires de folles soirées, ils avaient rêvé de dévergonder une belle bourgeoise mère famille devant son mari.
Ils voulaient lui faire faire quelque chose qu’elle n’avait encore jamais fait et leur fantasme semblait en cours de réalisation.
Ils ont l’air sincères et prennent place chacun d’un côté de la belle qui s’est allongée sur le lit sur le dos.
Elle a remis de l’ordre dans ses habits et garde ses escarpins à talons.
Leurs mains la caressent sur son chemisier et sur sa jupe.
Effectivement ils sont en train de la mettre en confiance.

J’ai oublié de dire qu’ils ont tous les deux une large chemise blanche et un jeans délavé avec des baskets, on dirait des jumeaux même si l’un est blond et l’autre châtain.
J’ai aussi oublié de dire qu’ils sont très beaux tous les deux et que Simone est très fière de parader avec ces deux beaux mâles et cela se voit.

Ils sont aussi très doux.
Elle s’est rhabillée, mais n’a pas remis son slip qui est toujours dans ma poche.
Olivier a soulevé le bas de sa jupe et on voir sa petite touffe bien taillée en haut de ses bas tendus par le porte-jarretelles.
Il crache sur sa chatte et malaxe maintenant son petit clito.
Elle recommence à gémir.
Benoit ouvre son chemisier et sort ses seins du soutien-gorge sans enlever celui-ci.
Les tétons sont bien durs et bien dressés.
Il pose son sexe sur la bouche de Simone qui le lèche.

Olivier s’active sur la chatte de Simone.
Il enfonce son doigt et elle mouille mais il continue à cracher sur son sexe.
Je commence à comprendre sa stratégie quand je vois le filet de salive qui envahit progressivement le sillon fessier.
Il la rassure en lui disant qu’il va maintenant prendre tout son temps pour la préparer.
L’index d’Olivier fait des va et viens depuis la chatte jusqu’à l’anus de mon épouse qui gémit de plus en plus fort.
Il enfonce son index dans son vagin, prend de la mouille et vient caresser son petit trou.

Je sais qu’en général elle appréhende toujours un peu cette pratique, mais là elle a l’air complètement détendue.
L’index tourne maintenant autour de sa petite rosette et elle ronronne.
Pendant qu’elle suce l’un l’autre vient de lui enfoncer complètement son index dans le petit œillet et fait des mouvements coulissants.
Tout est bien humide autour de son anus et la miss continue à ronronner.

Olivier lui demande alors de changer de position et de se mettre à genoux.
Elle le fait en continuant à sucer Benoit qui est allongé sur le dos devant elle.
Elle enfonce complètement sa verge dans sa gorge, mais maintenant je la vois qui lèche ses couilles.
Il l’encourage et lui dit de continuer, et je le vois qui prend ses bourses, les soulève et lui dit de l’écher l’arrière, là où la peau plus souple.
Je vois la tête de Simone qui s’enfonce entre ses fesses, sans savoir exactement ce que sa langue est en train de lécher.
C’est un très beau spectacle, surtout qu’ils lui parlent tous les deux très doucement en lui disant que faire.

A genoux, les fesses bien encadrées par les bas noirs et le porte-jarretelles sont splendides et elle a toujours ses escarpins aux pieds pendant que très délicatement notre ami a repris ce qu’il avait interrompu en faisant délicatement coulisser un doigt dans son petit cul encore étroit.

Il est au-dessus d’elle et on voit un filet de bave qu’il dirige vers le centre de son beau fessier.
Je vois Benoit qui étend le bras pour saisir une capote dans la boite qui se trouve sur le lit puis l’enfile pendant que Simone continue à lui lécher l’arrière des couilles et l’intérieur des cuisses.
C’est alors que son pote la pousse un peu en avant et elle vient s’empaler sur le sexe long et dur et maintenant protégé de Benoit.
Elle commence à danser sur lui, mais Olivier a maintenant deux doigts, le majeur et l’index, qui coulissent dans son petit trou bien humidifié, avec des petits mouvements de rotation.
Elle ronronne toujours en faisant des mouvements de bascule sur le sexe de Benoit qui rentre et qui sort de sa chatte.
En même temps je vois que son pote est en train aussi de passer une capote extraite de la même boîte de préservatifs et je crois que les choses sérieuses vont commencer.

Il s’occupe apparemment de la rondelle de Simone et lui dit de bien s’affaler sur son ami et d’écarter les fesses de ses deux mains.
Ma femme est apparemment en grande confiance et elle obéit en tirant au maximum sur ses deux fesses ce qui permet de voir le filet de salive qui coule de la bouche d’Olivier sur son anus entrouvert et qui le remplit bien.
Je ne vois pas trop bien ce qu’il fait, mais apparemment il pousse encore une fois son index pour mieux lubrifier le canal.

La bite bien positionnée vient alors se poser et s’appuyer sur la rosette humide.
Je ne sais pas si elle appréhende, mais ils la rassurent tous les deux en lui disant de ne plus bouger, de se relaxer et d’écarter ses fesses au maximum de ses deux mains, ce qui fait que le long sexe rentre dans son anus bien lubrifié et bien préparé, progressivement, sans a coups ni brutalité, et avec une facilité impressionnante.

Une fois bien planté en elle, Olivier dit à son pote qui est en dessous de ne pas bouger pendant que lui commence un mouvement de piston.
Simone crie plus fort, mais ce ne sont pas des cris de douleur, mais de plaisir et demande qu’on l’encule, ce qui est déjà fait comme le fait remarquer Olivier avec humour.

Au bout d’une dizaine de mouvements complets, les deux compères se synchronisent et quand l’un se retire un peu de sa chatte, l’autre s’enfonce dans son cul et le mouvement s’inverse et recommence.

Puis petit à petit les entrées et les sorties des font plus rapides et les cris d’encouragement de Simone sont de plus en plus fort dès lors que le mouvement s’accélère.
Ce sont de hurlements de plaisir et toute la salle du Moulin’s club résonne des cris de jouissance.
Il y a un petit hublot sur le salon privé et on aperçoit tous les voyeurs qui se pressent pour s’offrir un morceau du spectacle.
Les deux amis pilonnent Simone en cadence, l’un dessus l’autre dessous et ses cris correspondent aux coups de boutoir de ces deux vigoureux jeune gens.
Je prends un peu pitié des spectateurs qui s’écrasent au hublot et je pousse le loquet pour que tout le monde puisse profiter du spectacle.
Il y a bientôt une vingtaine de personnes autour du trio dans le salon privé.
Je crois que toute l’assistance du club a convergé vers ce centre d’intérêt.

Ce qui me paraissait fantastique c’est le coulissement naturel et fluide du sexe d’Olivier dans le cul bien huilé de Simone, comme un piston dans un mécanisme de précision.
Il m’a avoué après que tout en enfilant son préservatif, il avait aussi utilisé le contenu d’un sachet de gel lubrifiant qu’il avait discrètement poussé du doigt dans son anus avant de commencer à y introduire son sexe long, rigide mais finalement assez mince.
J’ai effectivement retrouvé l’emballage sur le lit à côté de celui des capotes par la suite.

Le spectacle a bien duré une demi-heure, avec quelques pauses puis des reprises, sans que les trois protagonistes ne semblent fatigués.
Mais finalement les deux étudiants déchargent à peu près en même temps dans ses deux trous en criant très fort, et Simone semble jouir en entendant le cri des deux mâles qui viennent de lâcher leur semence.
Ils s’affalent tous trois sur le lit sur le dos et les deux cavaliers viennent en hommage déposer leurs capotes bien remplies de sperme sur le ventre de Simone.

Ils mettent plusieurs minutes à récupérer et, dès que le public a quitté la salle, ils vont tous les trois vers la douche.
Quand ils reviennent au box ils se sont refait une beauté.
Simone me redemande son slip et devant le regard goguenard des jeunes étudiants, elle relève fièrement sa jupe et enfile le tanga.

On s’assied tous quatre quand le patron du club vient nous apporter une bouteille de champagne dans un seau à glace, cadeau de la maison pour avoir assuré le spectacle.
Il reste avec nous et je lève mon verre au premier double de Simone.
On boit une coupe.
Les deux étudiants protestent en disant que c’est aussi leur première double.
On reprend une coupe et ils en reprennent une dernière en buvant à leur premier dévergondage d’une bourgeoise insoupçonnable, bonne épouse et mère de famille respectable sous tous rapports.

Ce récit est totalement véridique.
Ce sont parmi nos meilleurs souvenirs.
Nous n’avons jamais revu nos deux amis.
Ils se reconnaitront peut-être en lisant ce récit.
Dernière édition par Simone le Sam 2 Jan 2021 21:38, édité 2 fois.
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Rendez-vous au Parking de La Beaujoire

Messagepar Simone » Sam 2 Jan 2021 20:16

épisode du parking de la Beaujoire à Nantes

Un récit encore garanti 100% vrai, même les détails.
Raconté par mon mari, validé par moi, pendant le confinement.
Ceci se passait avant l’épisode Ingrandes.

ingrandes-t42569.htm


Ce samedi du mois d’avril nous étions seuls à la maison et nous avions en projet de faire une rencontre originale.
Un peu marre des clubs libertins, madame veut innover.
Je trouve un mec avec qui on avait été en contact mais sans jamais le rencontrer et je lui envoie un mail.
Il répond en disant qu’il est dispo en soirée et d’accord de nous rencontrer.
Simone prend le relai au clavier et discute avec lui.

Il a la quarantaine, se présente comme un chef d’entreprise nantais, mais dit qu’il est marié et ne peux pas recevoir.
Il propose de nous rencontrer sur le parking de la Beaujoire vers 21h, et de nous accompagner à un hôtel voisin qu’il connait et où il va réserver une belle suite.
On se met d’accord sur le lieu de rencontre précis et il nous décrit son véhicule.

Nous mangeons rapidement vers 19h et Simone part s’habiller.

Je me souviens très bien de cette soirée pour une raison précise.

D'habitude mon épouse porte des sous-vêtements sexys noirs et des bas noirs.
Ce jour-là elle avait décidément décidé d’innover et portait un ensemble blanc (soutien-gorge, porte-jarretelles et slip blanc) avec des bas de couleur chair.

Elle me demande de passer pour lui donner mon avis pendant qu’elle se prépare. Comme elle a des cuisses assez musclées l'effet est très érotique.

J'ai regretté qu'elle ne porte pas plus souvent cet ensemble.
Pour compléter cette tenue, elle prend en petit tailleur rose et une veste assortie sur un chemisier blanc.
Elle me fait la surprise de mettre des escarpins assortis rose que je voyais pour la première fois.

Elle se parfume et passe un discret manteau long sur son ensemble et nous partons.
Arrivés au lieu convenu, nous attendons dans la voiture.
Le lieu est assez sombre mais il y a heureusement un lampadaire qui éclaire un peu le parking.
L’heure du rendez-vous arrive et il n’y a personne.
Nous attendons et il y a un peu de mouvement autour de nous.
J’ouvre ma vitre, mais c’est un voyeur qui se présente en me demandant s’il peut mater.
Je lui explique qu’il y a erreur et que nous attendons quelqu’un.
Mais il reste devant la vitre du passager et est bientôt rejoint par deux autres compères.
Je suppose que notre contact a eu un problème et est un peu retard.
Vitres fermées, nous décidons avec Simone de passer le temps en amusant un peu la galerie.

Elle ouvre son manteau et déboutonne un peu son chemisier pendant que j’allume le plafonnier.
Nos trois voyeurs se mettent en action croyant que l’on est venu pour cela.
Par geste ils demandent que l’on ouvre la vitre, mais telle n’est pas notre intention.
Par contre Simone remonte son tailleur pour montrer ses bas couleur chair et son porte-jarretelles ce qui semble les exciter.

Elle pousse même la provocation en posant un pied sur le tableau de bord avant tout en passant la main sur son petit slip.
Les voyeurs sont en pleine action et l’un d’entre eux vient de décorer la vitre d’un filet de sperme, ce qui amuse mon épouse.

Mais il est maintenant près de 22h et il faut bien constater que notre contact nous a posé un beau lapin.
C’était à l’époque où les smartphones n’étaient pas répandus et nous n’avions aucun moyen de le contacter car il ne nous avait pas donné son numéro de téléphone.
(Le lendemain on recevra un mail avec des plates excuses minables.).

L’endroit est assez glauque et il y a maintenant un attroupement de six à huit voyeurs devant la voiture.
En plus ils n’ont pas l’air très avenant.

Simone n’a pas du tout l’envie de faire un gang-bang, surtout dans cet endroit et avec ces partenaires. La décision est vite prise.
Dans un geste amical, pour les calmer, elle écarte son slip en montrant sa petite touffe de poils, ce qui nous vaut une seconde trainée blanchâtre sur la vitre et je démarre la voiture et quitte le parking au grand dam de la petite troupe de voyeurs frustrés.

Très déçus nous avons maintenant deux solutions.
Soit rentrer immédiatement, soit essayer de sauver la situation en passant le reste de soirée en amoureux en discothèque.
Le choix est vite fait pour cette seconde solution et nous nous dirigeons vers le centre-ville de Nantes.

Je me gare au hasard dans une rue où il y a une enseigne clignotante de discothèque.
Je crois que c’était le Fox Trot ou quelque chose comme cela, mais je ne suis pas certain et de toute façon nous ne connaissions pas ce dancing.
Il a d’ailleurs dû fermer depuis cette époque.

Simone a bien refermé son manteau et nous marchons vers le sas d’entrée où l’on nous dirige vers le vestiaire quand nous avons réglé l’entrée.
Il n’y a pas grand monde car il n’est pas encore minuit, donc nous n’avons pas de difficulté à trouver un coin discret dans le fond de la grande salle.
Les consommations sont comprises et pendant que je vais les chercher, je vois que le public n’est pas très jeune ce qui confirme l’idée que nous sommes bien dans un dancing de style rétro.

J’invite Simone à danser à plusieurs reprises et nous essayons de positiver.
Je la trouve d’ailleurs assez câline, résultat peut-être de l’épisode de voyeurisme sur le parking de la Beaujoire qui l’aurait malgré tout un peu excitée.
Une séquence de slows se termine et nous revenons sur la banquette de skaï assez peu confortable du fond de la salle.

Le disc-jockey a mis un rock des plus classiques et Simone me demande si je veux danser.
Je n’aime pas trop et je décline en lui disant d’aller se défouler sur la piste, ce qu’elle fait.
Elle a laissé sa veste sur le fauteuil et d’où je suis je vois son chemisier blanc qui flash sous les projecteurs du dancing et qui a du mal à cacher les ballotements de sa belle poitrine tant elle se démène.

Un homme, pas mal foutu, la trentaine, semble danser seul et je trouve qu’il la reluque très souvent, mine de rien, mais elle ne s’en rend apparemment pas compte.
La séquence rock se termine et une séquence slow commence.
Simone vient me rejoindre dans notre coin reculé.
Je lui dis de garder la place pendant que je passe aux toilettes.
Mais quand je reviens, il n’y a plus personne.

Je vérifie que notre place est bien réservée avec la veste de Simone et je vais m’asseoir au bar.
J’aperçois alors mon épouse qui danse avec le mec qui la reluquait tout à l’heure. Ils sont très sages et semblent discuter en gardant leurs distances.
Très correct.
Rassuré, je rejoins notre banquette.
Mais apparemment le cavalier ne lâche pas mon épouse pendant toute la séquence de slow.
Ce n’est que lorsque la musique change qu’elle quitte son cavalier et vient me rejoindre.

Elle me raconte en riant qu’il n’a pas vu quelle était accompagnée.
Il la pense seule et elle n’a pas voulu le détromper.
Leur conversation a commencé par la banale phrase « Vous venez souvent ici ? » et le reste de la discussion a été du même niveau.
Simone me dit qu’elle le trouve séduisant, mais qu’elle ne voulait pas prendre d’initiative sans m’en parler.
Il n’a d’ailleurs rien tenté.
C’est un informaticien célibataire très pris par son boulot.
Il ‘appelle Valentin.
Je lui demande ses intentions et Simone me répond qu’il est mignon.
J’ai compris à demi-mot !

Elle me dit que s’il veut la draguer, elle ne lui parlera de moi qu’au dernier moment.
Je ne m’en formalise pas et comprend qu’elle a envie de se trouver elle aussi ce soir dans cette situation de femme seule.

Lorsque la séquence suivante de slow commence, je m’esquive pour m’installer au bar, d’où j’ai une bonne vue sur toute la salle.
Comme je l’avais prévu, je vois notre Valentin qui fait le tour de la salle en cherchant quelqu’un.
Et bientôt évidemment il apparait sur la piste en enlaçant la belle Simone.

La glace semble bien être rompue.
Elle le tient plus serré contre elle et il doit le sentir.
Lui a posé sa main sur ses hanches et jette de temps en temps un petit regard dans l’ouverture du chemisier.
Sa main quitte alors ses hanches pour descendre sur sa cuisse et la caresser sur le côté.
Classique !
Il a vu ses bas couleurs chair et il veut vérifier si ce sont des collants ou des bas.
Quand il rencontre l’épaisseur du porte-jarretelles, il a compris et j’ai l’impression que ça le renseigne sur les intentions de madame.

Il semble alors prendre confiance en lui et réagit en lui faisant un petit baiser dans le cou pour voir comment elle réagit.
Il doit penser que ses affaires avancent bien car elle accepte et du coup sa main remonte de la cuisse de Simone vers son postérieur, sur le tailleur rose.
Sa paume fait maintenant des rotations sur le fessier de la belle tandis que sa bouche s’approche de ses lèvres.
Il l’embrasse et comme elle lui rend le baiser, je vois que la suite de la soirée se précise clairement.

Ils s’embrassent maintenant à pleine bouche.
C’est toujours la même chose, mais cette situation est toujours aussi érotique et me fait bander très fort. La main malaxe la fesse avec force comme si elle voulait évaluer sa fermeté. Mais là-dessus Simone n’a pas de souci à se faire car ses fesses et ses cuisses sont bien musclées.
Elle fait beaucoup de vélo l’été et a toujours pris grand soin de son corps.

Tiens voilà maintenant qu’il veut vérifier la fermeté de ses abdominaux ?
Je vois la main qui caresse son ventre, sur le devant et le haut de sa jupe.
Même sils dansent serré, on voit bien les mouvements de la main qui caressent les abdos.
Mais là aussi, rien à craindre, car elle est aussi ferme devant que derrière.
Pas de souci.
Après cet épisode d’évaluation, les mains de notre ami Valentin remontent vers la nuque de sa cavalière et lui massent les épaules.

J’ai aussi l’impression que ce mouvement a pour effet d’ouvrir un peu plus grand l’ouverture du chemisier.
Je ne vois pas très bien mais j’ai l’impression que l’on perçoit les bretelles du soustif, mais comme le soutif est blanc comme le chemisier, on a du mal a bien distinguer même si les projecteurs de la discothèque donnent une lueur un peu phosphorescente à toute cette belle lingerie.

Par contre son initiative d’évaluation des fesses et du ventre de la cougar semble appeler une réplique.
En réponse Simone est visiblement maintenant elle aussi en train de caresser à pleine mains les fesses de son cavalier sur son pantalon Dockers.
C’est la réponse de la bergère au berger !
Les deux fesses sont pelotées et malaxée par ses mains.
Je la soupçonne en plus de profiter de ce palpage pour bien presser son pubis à elle contre le sexe de Valentin qui doit être bien dur en ce moment.
Elle adore sentir une virilité pleine de promesses sur son pubis tout en dansant. Elle pourrait rester ainsi pendant des heures en frottant son ventre et en ronronnant.
Quel beau spectacle.

En dansant il descend maintenant sa main sur une cuisse et discrètement elle remonte sous la petite jupe rose. Apparemment sa main se trouve actuellement au niveau du porte-jarretelles, mais directement maintenant sous la jupe et fait des mouvements caressants.

Il ne faut pas oublier que nous ne sommes pas dans un club libertin, mais dans une discothèque respectable du centre de Nantes.
Ils font donc attention de ne pas choquer les autres danseurs.
Mais pour ce qui est de s’embrasser, ils ne se gênent pas, à pleine bouche et avec passion.
La seule chose que Valentin se permet, c’est de continuer à caresser la cuisse de Simone, sous la jupe, au niveau du porte-jarretelle.
J’insiste parce que ça a l’air de bien lui plaire.

Juste avant que la séquence de slows ne se termine, je retourne vers notre banquette du coin de la salle, mais je me suis isolé sur l’extrémité, en laissant bien deux places libres à côté de moi.
Je m’assois bien au fond et j’attends car je pense qu’ils vont revenir ici, sans en être tout à fait certain.

Bingo, j’ai gagné et je vois Simone tenir son cavalier par la main et l’attirer vers la banquette.
Quand elle me voit bien caché dans le coin, elle comprend que je la laisse continuer son jeu et elle me fait un clin d’œil complice.
Elle est assise de l’autre côté de la banquette et lui dans l’autre coin a certainement la certitude d’avoir draguée une meuf seule qui sortait en boite avec la même intention.
Je pense que cette situation va être amusante et j’attends avec impatience.
Très chevaleresque il se lève pour aller chercher une conso pour lui et Simone et quand il revient il ne me jette même pas un regard.
Il faut dire que je me fais tout petit dans mon coin.

Assez rapidement son bras enveloppe Simone et il l’attire vers lui en reprenant son bouche à bouche.
Quel souffle !
Il profite maintenant de la zone de pénombre pour passer une main dans le chemisier.
J’ai l’impression qu’il enveloppe un sein dans le soutien-gorge, mais je ne vois pas bien.

Par contre malgré la musique, on l’entend lui dire qu’il adore les femmes avec des bas, mais ça on le savait déjà !
Il a posé sa deuxième main sur le genou de Simone et on voit les rotations caressantes.
La petite jupe rose est un peu relevée et laisse apparaitre un morceau de cuisse en plus du genou, mais on ne voit pas la lisière des bas.
Tout ceci reste très convenable dans un dancing grand public, un dancing tout à fait standard et connu dans le centre de Nantes.
Mais bientôt la main glisse doucement du genou à l’intérieur des cuisses et Simone semble approuver le mouvement en ouvrant légèrement le compas de ses jambes.
Discrètement, mine de rien, on voit la main qui remonte doucement sous la jupe. Je suis aux premières loges pour estimer le moment où elle va atteindre la cuisse au-dessus des bas et puis ensuite la petite culotte à l’intérieur des cuisses.
Je joue au voyeur alors que c’est ma femme qui se fait peloter de partout. Sublime.

Simone me jette un coup d’œil sans qu’il s’en aperçoive.
Je la connais bien et je sais ce que ce regard signifie.
Elle me dit par ce regard qu’il vient d’écarter son petit slip blanc et qu’il est en train de la doigter.
Depuis qu’on est ensemble, on a appris à décoder les moindres regards.
Elle confirme cette opération en fermant les yeux, il n’y a plus aucun doute, Valentin a discrètement introduit son index dans le vagin de Simone et je peux même voir les petits mouvements de son avant-bras sous la jupe rose.

Je connais ma femme et je sais que depuis qu’elle se fait lutiner sur la piste de danse ce soir, elle a largement eu le temps de lubrifier. L’index doit coulisser sans difficultés dans un environnement humide.

Les yeux fermés, Simone pousse maintenant des petits soupirs, mais comme elle sait qu’elle est dans un endroit sélect, je vois bien qu’elle se retient.
Valentin quitte la bouche de la belle et descend.
Je comprends maintenant ce que je n’arrivais pas à voir tout à l’heure.
L’autre main s’est bien glissée dans le soustif et a délicatement extrait le sein droit dont on voit bien pointer le téton.
Plus pour longtemps d’ailleurs parce que les lèvres de Valentin viennent rapidement couvrir ce téton en le léchant.

Je crois que nos tourtereaux se sont bien installés et je me demande combien de temps ça va durer.
Ils sont partis dans un autre monde et se pelotent mutuellement sans aucune notion du temps qui passe.
Je commence d’ailleurs à trouver le temps un peu long puisqu’il est déjà une heure du matin mais je prends plaisir à écouter les soupirs étouffés de ma femme.

C’est à ce moment qu’un serveur en veste blanche vient demander si l’on veut renouveler les consommations avant la fermeture de la discothèque et qu’il découvre le spectacle.

Mais c’est un peu pire puisque la jupe rose est maintenant relevée pratiquement à la taille et le chemisier est complètement ouvert.
Le serveur me regarde et je mets un doigt sur la bouche en lui disant chutt.
Il se marre, prend les verres vides sur son plateau, essuie la table et s’en va. Mais il ne fait que poser son plateau plus loin et à ma surprise, il revient immédiatement et s’assied sur la table basse, juste en face de nos amis plongés dans leur délire qui ne voient plus rien.

Voilà donc que j’ai maintenant un complice voyeur qui en plus est très proche d’eux, mais ils ne l’ont pas encore aperçu, tout occupés qu’ils sont.
Le serveur me regarde, complice et au bout d’un moment, il passe sa main sur l’intérieur de la cuisse de Simone.
Celle-ci pousse un petit cri d’effroi, voit le serveur en veste blanche et se met en toute hâte à se rajuster fébrilement, du haut et du bas.
J’ai le droit à un regard noir de reproche qui semble me dire que j’aurais pu les avertir.
Je hausse les bras en riant.
Le serveur lui fait une bise sur chaque joue et s’en va.
Ils sont cool dans cette boite.

C’est un véritable vaudeville.
Simone s’est levée comme réveillée en sursaut et se rajuste autant qu’elle peut. Valentin s’est aussi levé, ferme sa braguette et lui présente sa veste pour qu’elle l’enfile.
Ma femme est pommée.
Elle ne sait plus où elle habite car elle met ensuite son manteau et dit qu’il est tard et qu’il faut rentrer.
Et dans la foulée elle dit à son amant, «ah oui, j’avais oublié de te présenter mon mari »
Celui-ci qui tombe des nues ne sait plus où se mettre, et nous nous dirigeons tous trois vers la sortie.

Sur le trottoir, ils ont l’air perdus tous les deux et j’ai pitié d’eux.
Je propose donc à Valentin de passer à la maison pendre un dernier verre.
On prend notre voiture, Simone à la place du passager et Valentin derrière.
On démarre mais comme on passe au niveau de la patinoire de Nantes, Valentin qui a repris ses esprits et compris la situation nous propose de prendre plutôt ce dernier verre chez lui, pour éviter que j’aie à le raccompagner après.
Comme il habite un immeuble à côté de l’hippodrome, nous somme bientôt chez lui, dans un bel appartement assez luxueux.

Chacun reprend ses esprits.
Simone enlève son manteau et le donne à Valentin qui nous apporte boissons et biscuits pour faire passer les émotions dit-il.
On se marre et la tension retombe.
Je suis dans un fauteuil et Simone en face, rejointe par Valentin dans un profond canapé vert en cuir bronze.
Mais la magie est brisée et personne ne sait comment renouer les fils de la soirée interrompue.

C’est dans ces moments que j’ai beaucoup d’admiration pour ma femme.
Elle pose énergiquement son verre de jus d’orange et déclare qu’elle a encore une petite faim.
Valentin prend ça au premier degré et se lève pour prendre un autre paquet de biscuits dans le placard.
Mais Simone lui dit « idiot, j’ai faim de mâle, tu n’as pas compris ».
Elle se lève, l’empoigne par le col de sa chemise et lui roule un gros patin baveux qui l’empêche de répondre.
Avec une énergie impressionnante, elle déboutonne complètement sa chemise, la lui enlève et suce ses tétons.


Il est comme paralysé.
En plus ses mains débouclent sa ceinture et bientôt il est en boxer, le pantalon à ses pieds.
Elle ne lui laisse même pas son boxer.
Et lui enlève même ses chaussettes !
Il est complètement à poil et Simone reste habillée devant lui.
Comme une furie, elle le pousse sur le canapé et se met à le sucer énergiquement en lui malaxant les couilles.
Elle lui dit que c’est lui qu’elle va bouffer en entier et il se laisse faire.
Une demi-heure plus tard ils n’ont pas encore fini.
Valentin est assis sur le canapé et Simone est à genoux.

Elle est toujours habillée, mais son amant a quand même réussi à mettre un peu de désordre dans sa tenue.
Sa veste rose et son chemisier sont ouverts, ses seins gros et fermes sont sortis du soutien-gorge blanc et pendent en se balançant.
Sa petite jupe rose relevée sur ses hanches laisse voir le porte-jarretelle blanc et les bas couleur chair.
Par contre le petit slip est par terre sans qu’on sache qui l’a enlevé.

L’arrière train de Simone, bien musclé, laisse voir sa petite rosette marron et un peu plus loin sous elle, on distingue sa petite toison brune.
Le spectacle est torride surtout que Simone suce à fond la belle bite puis passe aux couilles et les lèche en les soulevant de temps en temps pour atteindre l’arrière à l’intérieur des cuisses.
En fait cette caresse de la langue sur l’arrière des bourses est une grande spécialité de Simone qu’elle a apprise de l’uns de ses premiers amants.

Et pendant ce temps, Valentin se laisse faire, mais son bras assez long remonte sous le ventre de Simone et son doigt passe du vagin à l’anus.
Tout est trempé.
Il réagit soudain et se lève.
Il passe dans sa chambre, prend une boite de préservatifs et me demande de m’asseoir sur le canapé.
Il veut la prendre mais il veut qu’elle me suce en même temps.
Simone se positionne à genoux, débraillée avec tous ses vêtements en vrac qui pendouillent et se met à me sucer.
Valentin se positionne derrière elle et commence une belle et longue cavalcade qui fait hurler la miss.
Les voisins de Valentin doivent s’amuser.
Il se venge de la soirée en la prenant de façon sauvage.

Il semble se défouler de tous les stress de la soirée et finalement … il se retire.

Simone étonnée le regarde et lui dit « encore un peu ? ».
Il lui dit mais bien sûr ma chérie, et il lui plonge son dard dans le cul, très profond, sans l’avertir.
Elle crie.
Il fait une dizaine de mouvements très profonds et décharge dans sa capote. Quant à moi je décharge entièrement dans la bouche pulpeuse de Simone qui avale proprement tout ce que je lui envoie.

La salle de bains de Valentin est énorme et nous y passons tous les trois pour nous rafraichir.
On en profite pour raconter à Valentin le début de la soirée sur le parking de la Beaujoire et il nous dit qu’il comprend mieux le stress de la journée et que nous méritons une bonne grasse matinée de récupération le lendemain.

Nous avons revu Valentin une fois depuis, dans des circonstances plus calmes, et nous avons parlé de cette soirée un peu spéciale.
Nous sommes un couple candauliste complice actuellement confinés.
Plus de rencontres donc, mais nous essayons de nous faire de nouveaux amis pour "après".
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Maxou501 » Dim 3 Jan 2021 09:11

Super tous ces récits d'expériences vécues, même si je n'ai pas encore eu le temps de tout terminer !
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar jimmy7896 » Lun 4 Jan 2021 09:07

De belles histoires bien agréables à lire... En attendant d'en vivre à nouveau ?
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La femme du boulanger

Messagepar Simone » Jeu 7 Jan 2021 00:03

Désolée pour le titre, on a pas résisté !

On dit que souvent la réalité dépasse la fiction, mais dans nos aventures, cela nous est parfois arrivé.

Ce que nous redoutons par-dessus tout c’est de rencontrer un mec frustré qui veut tirer son coup et c’est tout.
Cela nous est arrivé une fois que nous n’avions pas beaucoup discuté avec notre hôte ni préparé notre rencontre.
Aussitôt arrivés chez lui, il m’a sauté dessus, prise sans ménagement et nous a dit merci et au revoir.
Nous sommes partis de chez lui piteusement, jurant de ne plus jamais recommencer cette stupidité.

Heureusement il y a aussi les belles rencontres, pleines de surprises, pas toujours anticipées d’ailleurs. Avec l’expérience, nous privilégions les partenaires courtois et plein d’imagination qui nous parlent de leurs expériences. En prenant un minimum de précautions dans ces échanges, et aussi en prenant tout notre temps, nous ne nous sommes jamais plus trompés.

Dans ce récit, pour une fois, je ne suis pas la seule héroïne, et je joue même un peu les seconds rôles.

Je vous raconte la première partie et je passe la plume à mon mari pour le reste.
Inutile de dire que nous nous relisons mutuellement.

Le récit de Simone

Comme nous l’avons déjà dit, la hantise des couples candaulistes c’est le mec qui veut juste tirer son coup, mais c’est aussi le lapin du partenaire ou la boite libertine désespérément vide ce qui arrive plus souvent qu’on ne le croit. Pour éviter ces deux fléaux, nous avions à l’époque un stratagème qui a marché pas mal : un partenaire fiable à qui on propose un rendez-vous en boite permet de minimiser les deux risques et de multiplier les situations amusantes. S’il vient c’est tout bon et s’il ne vient pas on peut espérer trouver notre bonheur dans la boite. La probabilité que le mec ne vienne pas et que la boite soit vide est donc très faible.

Nous n’allions pas être déçus de cette stratégie ce jour-là!

Mon mari était depuis plusieurs semaines en contact avec Gérard, un représentant de commerce en textile qui travaillait sur le Sud-Ouest. Un jour où nous étions libres, nous lui donnons donc rendez-vous dans une boite de Saint Jean d’Angély.

Gérard, est récemment divorcé et avec son ancienne épouse, il lui arrivait de fréquenter des boites comme l’Angely’s club que nous connaissions aussi. Son souhait était de me considérer ce jour-là comme son épouse pour toute l’après-midi (il a un rendez-vous en soirée).

On sent la nostalgie chez le récent divorcé ! Michel, avec mon feu vert, lui avait donné son accord pour ce scénario.

La route depuis Nantes est assez longue, mais nous ne nous ennuyons rarement dans ces longs trajets dont l’objectif est assez ciblé. Nous aimons surtout les aires d’autoroutes où on peut prendre une petite avance, parfois discrètement observés par des voyeurs ou des chauffeurs dans leur cabine de camion surélevées.

En arrivant nous passons à un hôtel du quartier de Fossemagne, réservé à l’avance, pour ne pas à avoir à rentrer directement sur Nantes au retour, et nous prenons la direction de la boite dès que Simone s'est rafraichie et parfumée.

L’un des avantages de cette boite de Saint Jean d’Angély est son énorme parking discret situé à l’arrière de l’établissement. Au moment prévu, nous venions d’arriver dans le fond du parking quand une belle Mercédès se gare à coté et qu’un bel homme, grand et élégant en sort.

Il me fait la bise, salue Michel pour me demander si on est toujours d’accord sur le scénario, et me prend la taille pour m’entrainer vers le sas d’entrée de la boite où nous sommes accueillis par le patron. C’est journée trio et Gérard dit au patron que lui et sa femme ont invité un ami, en désignant mon mari. Amusant ! Il insiste pour régler nos entrées.

Un mot de ma tenue.

Pour une fois j’ai oublié le tailleur et laissé tomber la jupe classique pour une robe blanche longue et un bustier blanc, classique et bien convenable. Dessous j’ai des sous-vêtements blancs assortis avec une jolie porte-jarretelle brodé et des bas également blancs. Bref la journée du blanc.

Gérard ironiquement souhaite un bel après-midi à mon mari qui s’est installé sur un tabouret au bar et il m’entraîne sur la piste pour un premier slow de prise de contact qui nous permet aussi de découvrir la salle. Pas la foule en effet car seules deux alcôves sont occupées.

Un couple de 40-50 ans que l’on sent un peu tendu dans la première, surement pas des habitués. Par contre il y a plus d’ambiance dans la seconde alcôve occupée par quatre jeunes gaillards type sportifs qui sont certainement venus draguer la bourgeoise, une activité de plus en plus populaire chez beaucoup de jeunes hommes célibataires en ce moment.

Gérard m’embrasse sans attendre et me dit qu’il est ravi d’avoir une femme comme moi. Maintenant divorcé, il me parle de sa précédente épouse qu’il adorait offrir à d’autres hommes en club, mais ce n’est pas cela qui a entrainé leur rupture. Il me dit que le plaisir d’avoir une belle femme c’est aussi de pouvoir la montrer et de voir des regards d’envie se porter sur ses formes.

Tout en parlant il se rapproche du couple dans le box, jusqu’à le toucher en dansant. L’homme ainsi provoqué réagit en glissant une main sous ma robe et en opérant une longue caresse remontante du mollet jusqu’à la cuisse. Sa femme ne bouge pas et semble un peu coincée.

Toujours au rythme de la musique langoureuse, il vient alors devant l’autre alcôve où les quatre jeunes font maintenant silence. Même manège, sauf que je sens maintenant plus de mains qui me caressent et qui partent en exploration sous ma robe, beaucoup plus hardies que celles du Monsieur précédent. Il y a une main qui pelote mes fesses, une autre qui me caresse l’intérieur des cuisses au niveau du porte-jarretelles et une autre qui commence à s’attaquer à mon entre-jambe, par-dessus le slip.

Visiblement mon cavalier ne veut pas pour le moment aller plus loin et en reste à ces opérations de « teasing ». Nous retournons au centre de la piste et je fais un petit geste amical à mon mari, toujours tristement assis sur son tabouret, en discussion avec le barman.

Mon cavalier a remonté ma robe et la maintient à ma taille, laissant mon postérieur encadré des porte-jarretelles à la vision publique.

Il retourne vers le couple dont le monsieur me caresse doucement les fesses devant sa femme qui ne désapprouve pas mais qui reste apparemment impassible. Je crois que mon cavalier aurait voulu me faire caresser par une femme, mais ce ne sera pas pour aujourd’hui.

L’ambiance n’est pas la même quand nous arrivons au groupe des vigoureux jeunes et je sens immédiatement la différence avec toutes ces mains qui me caressent et m’explorent. L’une d’entre elles remonte les cuisses de l’intérieur et une autre écarte le slip par derrière et vient doucement et effrontément caresser ma petite rondelle. Mais le plus hardi a fait passer un doigt par devant et vient délicatement s’introduire dans mon sexe déjà bien humide. Tout en m’embrassant à pleine bouche, mon cavalier me laisse un peu à la disposition de ces quatre mâles qui sont aux anges, mais soudainement il décide encore que l’on a été assez loin et nous revenons au centre de la piste.

Les garçons sont déçus.

Je m’aperçois alors que mon mari a rejoint le couple avec son verre. Je vois avec plaisir qu’il est assis à côté de la femme qui est épanouie et plantureuse, avec un décolleté des plus accueillants.

Gérard quitte alors mes lèvres pour ouvrir mon bustier et sortir mes seins des balconnets. Puis tout en dansant, il repère l’agrafe et fait tomber ma robe si bien que je suis maintenant en porte-jarretelles et seins nus au milieu de la piste. J’ai déjà été dans cette situation et cela ne me gêne pas plus que cela. Très galant Michel vient ramasser ma robe et retourne vers son couple.

Mais mon cavalier n’a pas l’intention de s’arrêter là. Il me retourne et nous dansons dans cette position inversée, lui collé dans mon dos, les mains sur mes seins et présentant mon avant à la salle. Une première pour moi. Je trouve cela excitant car je sens son engin de belle dimension bien calé entre mes fesses. Il joue avec mes seins en les encapuchonnant, en les remontant, en les écartant, en leur donnant des petites claques, en les faisant se balancer de bas en haut et de gauche à droite. Les garçons dans leur box ne perdent pas une miette du spectacle.

Nouveau tour de piste et je repasse devant le couple. Cette fois le monsieur ose me toucher la chatte et mon mari, amusé, me titille les tétons qu’il sait très sensibles. La femme ne bouge toujours pas, insensible à la scène, même si elle a croisé les jambes et si son mari a agrandi l’ouverture de son corsage et y a glissé une main.

Par contre, on sent une attente fébrile chez les jeunes dès qu’ils nous voient revenir vers eux. Avec excitation ils se lèvent maintenant de leur siège dès notre arrivée. Gérard est toujours derrière moi et me présente à eux comme une épouse que l’on offre. Il leur demande si sa petite femme leur plait.

L’un m’embrasse sur la bouche et l’autre me suce les seins. Les deux autres sont à genoux devant moi et ont fait glisser mon slip à mi-cuisses. Je sens deux langues qui me lèchent, l’un le haut des cuisses et l’autre la chatte.L’un des jeunes s’est maintenant assis et a sorti une belle verge de sa braguette et se branle doucement en me matant.Toujours derrière moi, Gérard me fait pencher en avant jusqu’à ce que mes lèvres arrivent en contact avec cette jeune bite longue et bien dure, fraiche comme une carotte de printemps. Je suce et mes seins ballotent, parfois enveloppés de mains baladeuses.

Je sens derrière moi mon cavalier qui enveloppe son sexe de latex et qui me pénètre sans prévenir. L’un des jeunes écarte mes fesses et caresse mon petit trou pendant que Gérard me besogne énergiquement et vigoureusement, son chibre de belle taille bien planté dans ma chatte bien lubrifiée. Il encourage les jeunes en leur disant de « bien peloter sa femme, car elle aime ça », de surtout de bien lui peloter la poitrine. Ils ne se contentent pas de me peloter les seins, ils pressent très fort, ils tirent sur les pointes, ils les claquent. Ils malaxent durement ces mamelles qui pendent, jusqu’à me faire mal.

Gérard les excite en leur disant de bien profiter de son épouse, une mère de famille qui veut s’encanailler ce soir. Il me lime en profondeur et les jeunes aussi l’encouragent des mains et de la parole, ce qui fait qu’il finit par décharger longuement, en long jets successifs et en criant. J’ai une bite enfoncée profond dans la gorge, ce qui assourdit mon propre cri de jouissance. Gérard montre la capote pleine de sperme comme un défi aux quatre jeunes qui l’envient, la bite encore raide.

Il se relève et me prend dans ses bras en m’enlaçant tendrement et en me conduisant vers mon mari. Il s’adresse alors à Michel en lui disant qu’il doit partit pour une obligation professionnelle urgente et qu’il lui confie son épouse pour le reste de la soirée, avec un clin d’œil complice.

Il a remarqué comme moi que la dame a maintenant les cuisses écartées, la jupe relevée montrant un porte-jarretelle noir, et la main de Michel fouraillant sous la jupe et explorant des espaces encore cachés. Mais la belle bourgeoise du couple n’a pas l’air troublée, ce qui m’étonne. Elle regarde ces gestes comme si elle était au spectacle, dans une pièce de théâtre ennuyeuse.

Je reprends ma robe et je me rhabille pendant que mon amant d'un soir quitte l’établissement. Je viens m’assoir du côté du monsieur du couple et j’observe que Michel n’arrive pas à faire basculer sa voisine dans une grande volupté.

La soirée n’est pas terminée, mais je laisse Michel raconter la suite qui elle aussi fut assez surprenante.

Le récit de Michel

Simone a raconté fidèlement le début de la soirée. Ce qu’elle ne savait pas c’est la discussion que j’avais avec ce couple de commerçants bordelais.

La dame très BCBG était assez peu loquace, mais j’ai bien sympathisé avec son mari qui m’a raconté leur histoire. Mariés très tôt à 18 ans, ils ont repris une boulangerie familiale d’un gros village du Bordelais. Leurs deux enfants sont partis et il ne leur reste que leur commerce qui marche très bien, surtout depuis qu’ils approvisionnent de nombreux dépôts de pain de la région.

Mais sexuellement il ne se passe plus rien entre eux depuis plusieurs années. Lui vit très mal cette situation et elle aussi, mais malgré quelques efforts d’habillement, elle semble « bloquée » sur ce plan (c’est son terme à elle) et c’est ce qui les a incités d’un commun accord à venir aujourd’hui dans cette boite, essayer de trouver quelqu’un qui les aide à « débloquer » la situation. C’est elle qui a utilisé ce terme de blocage et en plus d’être charmante avec ses formes rebondies, elle a pourtant une voix très féminine et très sensuelle pour le dire. Elle confirme ce que m’a dit son mari. Elle y a mis pourtant beaucoup de bonne volonté, jusqu’à se passer souvent les vidéos de Jacquie et Michel sur sa tablette au lit, hélas sans effet.

L’épouse du monsieur nommée Denise est loin d’être laide, bien en chair et coquette, et très féminine, mais un peu sur la défensive. Je la vois très bien dans sa boulangerie servir des clients qui en prenant leur baguette jettent discrètement un œil dans le corsage bien garni de la boulangère. Je lui caresse la cuisse, elle n’enlève pas ma main mais ne bouge pas. Alors, avec l’approbation implicite du mari, je passe ma main sous sa jupe, au-dessus de son porte-jarretelles mais toujours aucune réaction.

Voulant en avoir le cœur net, je pousse l’index au cœur de la chatte de la dame, et je le fait coulisser. Elle est un peu humide, mais par contre pas un trait de son visage ne bouge. On dirait que la boulangère est à son comptoir, une statue ! Pas gagné ! J’insiste en titillant son clito. Elle me regarde d’un sourire un peu triste, mais qui semble me suggérer, et même de me demander de continuer.

C’est alors que Gérard, l’amant de Simone, est parti et on s’est détendus quand je leur ai raconté toute l’histoire du faux mari et de la femme prêtée. Pour la première fois j’ai vu Denise sourire et même éclater de rire.

Simone nous avait rejoints et le boulanger nous a proposé de commander une bouteille de champagne. Je lui ai suggéré de faire porter la bouteille dans un petit espace semi-fermé à l’étage, avec un lit rond au milieu, et d’inviter aussi les quatre jeunes. Aussitôt dit, aussitôt fait.

Nous sommes tous montés, installés, et bientôt le barman arrivait avec des coupes et une commande de trois bouteilles offerte par le mari, ce qui nous a permis de sympathiser. J’ai rapidement mis mon épouse au courant de la situation du couple de boulangers et donc du challenge de la soirée pour eux. Le champagne a dégelé un peu tout le monde.

Les quatre garçons étaient chauffés à mort par l’épisode précédent où ils avaient aidé son amant à prendre Simone, mais n’avaient pas pu finaliser pour leur propre compte. J’avais bien vu leur état quand j’ai proposé à Denise de s’allonger sur le lit, pour faire un jeu et je lui ai demandé de choisir celui des jeunes qui lui plaisait le plus.

Gros silence.

Je lui répète qu’elle doit choisir, même en montrant du doigt. Comme tout le monde la regarde, elle finit par désigner Luc, le plus jeune de la bande, et celui-ci la rejoint sur le lit. Commence alors un petit jeu de « Jacques a dit ». Je ne donne que les directives effectives, pas les fausses commandes :

    Denise, Jacques a dit de t’allonger sur le dos.
    Luc, Jacques a dit d’embrasser Denise sur la bouche.
    Denise, Jacques a dit de t’allonger sur le ventre.
    Luc, Jacques a dit de caresser les fesses de Denise sur sa jupe.
    Denise, Jacques a dit de te mettre à genoux et de retrousser ta jupe.
    Luc, Jacques a dit de baisser le slip de Denise sur ses cuisses.
    Denise, Jacques a dit de te remettre sur le dos.

Pour le moment nos deux joueurs répondent parfaitement et immédiatement aux suggestions devant l’assistance et je joue le maître de cérémonie car je crois que Denise a confiance en moi, même si je n’ai pas réussi à l’émouvoir à ce stade. Quelques petits applaudissements encouragent les mouvements de Denise qui se laisse aller au jeu, mais ça n’a pas l’air de l’émoustiller le moins du monde. Devant ce public elle n’ose pas refuser, pour ne pas avoir à faire machine arrière et décevoir son mari qui est aux anges et qui l’encourage.

Elle est belle cette femme mariée, cette mère de famille maintenant allongée impudiquement avec ses cuisses grosses mais fermes, gainées de bas noirs, avec sa jupe retroussée sur une belle toison brune encadrée des porte-jarretelles. Visiblement elle n’a pas compris comment elle s’est trouvée dans cette situation où son intimité est exposée à des inconnus, probablement pour la première fois de sa vie. Elle donne l’impression de vivre dans un monde irréel.

J’oublie le jeu de « Jacques a dit » et suggère à un autre des jeunes de venir sucer la belle femme, et un volontaire se propose immédiatement. On entend des grands ‘slurp’ et autres bruits de léchouille et la boulangère se laisse faire, mais pas un seul gémissement de plaisir ne sort de sa bouche pour le moment. Je fais alors entrer un autre des amis sur la scène en lui demandant d’ouvrir le corsage de la femme et de sortir ses seins.

Ils sont magnifiques ces beaux nichons lourds de nourrice, très fermes, qui ont sans doute nourri plusieurs enfants et qui sont maintenant offerts à ces jeunes voyeurs. Le gars malaxe cette poitrine de rêve et suce des tétons si généreux que l’on a presque l’impression qu'il va en sortir du lait. La boulangère sent qu’elle glisse pour la première fois dans le libertinage et se laisse fouiller par le regard de plusieurs inconnus dont l’un a même pris le contrôle de son clitoris avec sa langue et la suce avec vigueur.

De temps en temps elle regarde son mari avec un léger sourire qui en dit long. Le plus dur est fait, mais ce n’est pas encore gagné. Elle semble aimer mais est encore loi de basculer dans l’extase.

Le dernier des garçons monte alors sur le lit, sort sa verge et la passe et la repasse sur les lèvres de la dame. Elle garde la bouche fermée. Alors il appuie sur ses joues et fait rentrer de force sa bite dans la bouche de la mère de famille. Sans doute la première pipe de sa vie à un inconnu. Il commence à coulisser et d’une main soulève la tête de la femme pour pouvoir rentrer plus profond. Elle proteste, déglutit, semble à deux doigts de vomir, mais finalement accepte les va et vient.

Celui qui suçait sa chatte laisse sa place à son pote qui a enfilé une capote et qui laisse son engin de belle taille à l’entrée de la grotte cachée dans la toison. Le bout agace le petit clito de la dame qui a l’air d’aimer mais qui se refuse toujours au moindre signe extérieur de jouissance, au moindre petit gémissement de plaisir.

Le mari demande à sa femme si elle veut qu’il entre et pour la première fois on entend sa voix qui dit « Je ne sais pas ». Le mari lui demande de dire au gars de la prendre mais elle répète « Je ne sais pas » une seconde fois. Il lui demande alors si elle veut tout arrêter. Un grand silence s'établit.

Puis elle ferme les yeux et dit très fort « Non allez-y, prenez moi tous, défoncez moi, je suis venue pour ça, prenez moi et amusez vous avec moi comme vous le voulez, je suis à vous ». Alors c’est le feu vert, le déchaînement.

Celui qui était au bord rentre brusquement et elle crie de surprise. Il la pistonne en écho à son collègue qui maintenant fait rentrer sa bite au fond de la gorge de la boulangère, en cadence, même quand elle proteste. Mais elle est maintenant déchainée et leur répète de la prendre, de jouer avec elle, de faire de son corps tout ce qu'ils veulent, de la prendre de partout. Comme elle le dit, elle semble ‘débloquée’ !

Simone a bien compris la situation et pour les encourager leur dit que le premier qui fait jouir la dame, elle lui fait une turlute dont il se souviendra toute sa vie.

Ils la retournent et la mettent en position de levrette. Ils se passent le relai. L’un se couche sous sa tête et lui remet sa bite en bouche tandis qu’un autre la pistonne comme un forcené. Ils sont excités tous le quatre et ils s’acharnent sur ce beau corps de mère de famille mature comme des chiens en rut, en la retournant et la déplaçant au gré de leur plaisir, en la prenant chacun à son tour, en explorant de leurs doigts les orifices non occupés par leurs potes, en ne laissant aucun pli de son corps inexploré.

Ce qui est surprenant c’est que maintenant elle se laisse faire et on dirait même qu’elle anticipe leurs souhaits dans des petits cris plaintifs et jouissifs. Ils lui demandent de s’agenouiller et elle s’agenouille, ils lui demandent de lécher leurs couilles et elle passe sa langue sur leurs testicules, de l’arrière à l’avant. Comme elle n’avait sans doute jamais fait cela elle-même, on peut imaginer qu’elle reproduit ce qu’elle a souvent vu dans des vidéos de cul. Elle semble rapidement s’échauffer et commencer à prendre du plaisir.

Le plus grand des quatre prend sa place derrière Denise toujours à genoux. Il vient de remettre un nouveau préservatif. Derrière lui, au pied du lit, Simone lui flatte les fesses et l’encourage en lui disant « Alors mon étalon, va-z-y, fais bien jouir la dame ».

Brutalement il s’enfonce à fond dans la chatte de la boulangère et commence une folle chevauchée. Et le miracle se produit alors. Elle commence à bramer et crie « plus fort, plus fort ». Elle sort tout ce qu’elle a entendu dans les vidéos pornos vues le soir, et l’encourage à aller plus vite, plus fort et plus profond. Ce soir la bonne mère de famille un peu prude est devenue une vraie femme libertine, une chienne, une amante prise comme une putain par des inconnus.

Son mari est aux anges. Le garçon décharge alors, enfoncé à fond dans sa chatte et se retire. Mais, surprenant tout le monde, la boulangère dit qu’elle en veut encore. Toujours à genoux, elle nous présente son large fessier de femme honnête et attend sans bouger le prochain mec. Alors ceux qui restent vont tous y passer, la prenant en salope, en la faisant couiner et crier comme elle ne l’avait jamais encore fait, devant son mari tétanisé.

Défoncée par les quatre beaux mâles, elle est maintenant allongée sur le dos comme une poupée désarticulée, le corsage ouvert, les seins qui sortent, les cuisses grandes ouvertes, la toison souillée par des traces de semence comme l’herbe qui a reçu la gelée du matin. Elle me regarde alors d’un petit air coquin et me dit qu’elle prendrait bien une dernière saillie, en utilisant volontairement ce terme cru et campagnard pour bien me montrer qu’elle s'assume maintenant en femme libérée.

Plus rien à voir avec la ménagère de 50 ans que j’avais essayé de chauffer sans succès en début de soirée. Je sors mon sexe, le protège et la besogne à un rythme plus cool que les garçons, en lui tirant quand même quelques beaux gémissements. Elle se caresse le clito pendant que je la prends et m’encourage à la pilonner plus fort. Un plaisir de voir la mère de famille devenant en direct femme libre, libérée et libertine. Sur le point de venir, je sors, enlève ma capote et déverse tout mon sperme sur sa toison brune.

Le pantin désarticulé ressemble au tableau de Gustave Courbet l’Origine du Monde, souillé de semence en plus. Je crois que s’il y avait eu une équipe de rugby de disponible, elle leur aurait demandé de tous l’honorer sur le champ. Son mari a un air à la fois heureux et fier et l’embrasse tendrement. Un moment de repos passe, la belle femme libérée impudique et toujours avachie sur le lit, les cuisses écartées avec quelques traces de sperme sur ses bas noirs, se demandant ce qui a bien pu lui arriver.

On entend alors nos quatre gaillards qui, revenant de la douche et la taille entourée de serviettes de l’établissement arrivent dans la salle un peu goguenards en demandant à Simone si elle n’a pas oublié une petite promesse. En rigolant elle leur dit, « Pas du tout. Messieurs, je suis à votre disposition, si du moins il vous reste encore un tant soit peu de vigueur ».

Elle est habillée comme lors de son arrivée dans la boite. Ils l’entourent et commencent à la peloter. Leurs serviettes tombent et ils ont l’air d’enlever les habits de mon épouse comme on épluche un beau fruit. Son bustier est ouvert puis enlevé et jeté sur le lit. Sa robe est enlevée et suit le même chemin. Ils n’en restent pas là et dégrafent aussi son soutien-gorge, puis font glisser son slip. Tous ces vêtements finissent en tas sur le lit pendant que huit mains caressent la belle à qui il ne reste que ses bas et son porte-jarretelles blanc, puisqu’elle a aussi quitté ses chaussures à talons.

C’est alors qu’ils empoignent Simone et la portent sur leurs épaules comme un trophée en se dirigeant vers le Spa du club situé à l’autre extrémité de l’établissement. Elle gigote et crie, ne sachant pas ce qu’ils veulent faire d’elle. Mais leurs intentions sont pacifiques et le groupe descend dans le spa par l’escalier de carrelage, en prenant le plus grand soir de leur précieuse proie.

Chaque bras et chaque jambe tenus par l’un des solides gaillards, ils la font descendre dans l’eau du Spa comme dans un jeu de tape-cul. Le tissu des bas et du porte-jarretelles est trempé et donne une impression d’abandon à mon épouse. Ils la laissent tremper dans le Spa et viennent s’asseoir sur le rebord en carrelage. Spectacle fantastique car le déshabillage, l’enlèvement et le trempage de la belle les ont tellement excités qu’ils bandent à nouveau comme des faunes.

Simone se lève dans l’eau bouillonnante et commence à sucer le premier des garçons. Elle fait feu de tout bois en jouant avec ses seins dont elle frotte les pointes sur le sexe long et dur. Ses mains ne restent pas inactives et enveloppent les couilles pendant qu’elle suce. Le premier garçon gicle et elle avale tout avant de passer au second.

Elle lui fait une cravate de notaire avec sa poitrine généreuse et reçoit sans s’y attendre la décharge sur ses seins. C’est agréable avec les jeunes dit-elle car ils rechargent vite comme les téléphones portables neufs !

Elle passe au troisième et lui fait une gorge profonde. Il appuie sur l’arrière de sa tête pour lui imprimer la cadence et au bout d’un moment il crie en déchargeant aussi tout au fond de sa bouche. Et de trois.

Elle passe alors au ‘dernier des mousquetaires’ comme elle dit ! Il est sous pression ce dernier mousquetaire car ses amis encouragent Simone. Elle essaye le même traitement mais pour le moment sans effet. Elle le regarde dans les yeux comme pour lui demander ce qu’il préfère, mais rien ne vient.

Elle lui caresse les couilles et il grogne. Elle continue à le sucer et lui soulève les couilles et il grogne encore plus. Elle masse l’arrière des testicules et le périnée. Il a l’air d’approuver et grogne de plus en plus. Alors elle se décide et lui plante son index dans le trou du cul en le faisant coulisser. Elle a trouvé son point faible. Dans un grand cri de jouissance il lui envoie tout son jus dans la bouche.

Fière elle se redresse, les seins pointants, la bouche pleine, les bas et le porte-jarretelle dégoulinant d’eau, un jet de sperme restant sur la joue, et les regarde fièrement en disant « Contrat rempli messieurs, je vous souhaite une bonne soirée». Simone se rince le visage dans le Spa pour enlever les traces de foutre qui restent, se sépare de ses sous-vêtements trempés et retourne dans le box où j’ai déposé ses habits, ne mettant que sa robe son bustier et ses chaussures.

Elle est à poil en dessous, mais la soirée est maintenant à nous deux et je n’en parlerai pas car sans surprise elle ira jusqu’à l’hôtel dans cette tenue. Le couple de boulangers est déjà sorti discrètement, vers une nouvelle vie plus épanouie. Je prends le reste des fringues et nous les suivons avant de rejoindre notre hôtel pour une bonne nuit de repos.

Ce fut l’une de nos soirées les plus mémorables.
Dernière édition par Simone le Jeu 7 Jan 2021 23:54, édité 3 fois.
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar couple gourmand » Jeu 7 Jan 2021 00:03

très jolie histoire
couple gourmand
 

Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Simone » Dim 10 Jan 2021 14:24

Merci.

Profitant de cette période assez austère, nous avons rédigé nos premiers souvenirs de couples libertin.

Ils sont maintenant sur ce site :

metamorphoses-ou-l-evolution-d-une-honnete-epouse-t42738.html

metamorphoses-ou-l-evolution-d-une-honnete-epouse

C'est un peu long, mais nous espérons que certains couples pourront y retrouver des émotions similaires aux nôtres.

Si vous avez des commentaires, ce sera un plaisir de les lire.

Merci.
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Simone » Jeu 14 Jan 2021 21:09

Sur l'édredon dans la journée !
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Simone » Dim 17 Jan 2021 18:26

Temps pourri, Confinement de malheur
Que faire d'autre que de se faire plaisir à deux
en attendant d'être à trois à nouveau
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Simone » Lun 18 Jan 2021 00:30

Il devrait y en avoir un nouveau dans quelques jours.
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Simone » Lun 18 Jan 2021 14:10

Le nouveau récit est prêt, enfin presque,
encore une relecture et on le poste demain sans doute.
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar Pow-mla » Lun 18 Jan 2021 14:16


Hummm belle position à 4pattes, on cul mature offert
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Re: Mémoires confinées de couples candauliste

Messagepar menthe » Lun 18 Jan 2021 16:10

Très jolie posture et superbe formes de Madame !
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