Mon beau-père Omar 1

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
Répondre
Avatar du membre
lailatvx007
Messages : 78
Enregistré le : lun. 6 mai 2024 07:39
Situation : Homme
Département : Autre
Ville :

Mon beau-père Omar 1

Message par lailatvx007 »

Je m’appelle Karim et j’ai 19 ans.

Quand je suis seul, j’éprouve un réel plaisir à me maquiller et à porter les sous-vêtements de ma mère Fatima.
Le matin, quand je m’habille, je mets toujours ses sous-vêtements féminins, culottes, strings ou tangas ainsi qu’un soutien-gorge mais dont je laisse les bonnets vides pour voir mes petits seins naissants.

Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est le contact de la matière sur mon corps et la finesse des détails, des broderies ou tout simplement la coupe.
J’adore porter des strings et sentir mon petit zizi compressé dedans. Il n’est d’ailleurs pas rare que j’aie une érection qui survienne dès que j’enlève le string ! Quand je me masturbe, c’est avec ces sous-vêtements. Je commence à me masturber à travers eux. J’aime sentir ce contact de la matière sur ma peau !
Je joue même parfois avec le soutien-gorge en le nouant autour de mon zizi et ou en éjaculant dans les bonnets. Et à force de me goder, mon plaisir anal s’est intensifié à tel point que je parviens à éjaculer sans même toucher mon zizi, ni me masturber !
Je considère ma petite bite comme un clitoris et mon anus comme un vagin !
Personne ne connaît mes tendances.


Un jour, je suis rentré à la maison parentale en vue des vacances de Noël. J’appris que ma mère Fatima était partie pour passer les fêtes avec une vieille tante malade.
Mon beau-père Omar me serra fort dans ses bras :
- Hum !!! Karim, ça fait du bien de te voir de retour à la maison ! Cette année, nous serons en tête à tête pour les fêtes ! Ça ne te dérange pas de les passer avec moi ? Me dit-il en souriant.
- Ben, je me ferais une raison !
J’adorais le taquiner.

En fait, de vieux, mon beau-père Omar n’a rien d’un vieux. Il a 45 ans. Il est brun, yeux noirs, plutôt musclé ! J’ai toujours fantasmé sur lui. Depuis qu’à 15 ans, je l’avais vu en train de sauter bestialement ma mère, pensant que j’étais sorti avec des amis. Je l’avais vu la sodomiser et j’en avais été très excité !
Mais les conventions sociales font qu’on s’interdit ce genre de pensées. C’est donc dans un état d’esprit tout à fait tourné vers les vacances que j’entamais mon séjour.

Je déposais mes affaires dans ma chambre et descendis dans la cuisine où il cuisinait le repas du soir. Sur la surface de travail, se trouvait un flacon de médicament. Intrigué, je lus l’étiquette : « somnifère ».
- Omar ?!
- Oui mon chéri ?
- Tu prends des somnifères ?
- Ah…euh…oui ! Ces derniers temps, j’ai le sommeil trop agité, sans doute l’absence de ta mère. Alors, le docteur m’a prescrit ces petits cachets !
- Oh ! Et ça marche ?!
- Superbement ! Moins de 15 min après ingestion, je dors comme un bébé pendant au moins 8 heures !
Et c’est avec une tranquille nonchalance que le reste de la soirée s’est déroulée. Jusqu’au moment où il vint m’embrasser :
- Bon, chéri, tu ne restes pas trop tard sur le net, hein ? Moi, je vais me coucher, bonne nuit !
- Bonne nuit beau-papa !
Il prit ses cachets et se dirigea vers sa chambre

A la fois excité et embarrassé, j’attendis au moins 45 min. Là, je m’approchai de sa chambre et tendis l’oreille, un vague ronflement me parvint. Il dort. J’ai toqué à la porte en appellent :
- Omar Tu dors ?
Un alibi au cas où il se réveillerait. Mais rien. Il dormait comme une bûche !
Je le pris par les épaules et le secouai un peu pour voir s’il se réveillait mais rien ne se passa.
Si ce n’est sa couette qui se décala un peu, me laissant voir qu’il ne dormait qu’avec un simple caleçon. Je pouvais encore faire marche arrière mais je savais que dès que cette idée avait germé dans mon esprit, je n’aurais plus pu faire marche arrière.

Je soulevais la couette d’un geste preste et posai une main maladroite sur son torse. Sa peau eut une légère chair de poule mais rien ne m’indiqua un état de conscience.
Je me mis à califourchon sur lui, et commençai à l’embrasser. Timidement au début et puis de plus en plus passionnément. J’aurais voulu sentir sa langue sur la mienne mais son état ne le laissait pas faire. Mes mains descendirent sur le torse tandis que, sur lui, mon bassin faisait de petites ondulations.
La rigidité que je sentis poindre au travers de ma culotte ne me laissa aucun doute quant à l’état de sa bite. Je coulissais vers ses pieds, abasourdi de ma vulgarité, et je tirais sur son caleçon.

Quand je vis sa belle queue claquer sur son ventre, je ne pus m’empêcher de passer une langue gourmande ses mes lèvres avides de happer cette colonne de chair.
J’enserrais la verge à sa base, et d’un coup, je l’engloutis entière. De bonne taille, elle semblait pouvoir prendre encore plus d’envergure.
Je montais et descendais sur cette queue, ma langue jouant avec son gland, j’en voulais plus. Je posais mes lèvres sur le bout et me mis à suçoter. Sentant son énorme queue tressaillir, je savais que sa semence serait bientôt dans ma bouche.
Et d’un coup, ma bouche se trouva remplie de ce liquide, chaud et épais, un peu amer, mais si délicieux !
Je n’en perdis pas une goutte, comme une vraie chienne et j’adorais ça !

Mon beau-père n’avait peu ou pas fait de bruit sauf quand il avait éjaculé dans la bouche de son beau-fils chéri. J’avais décidé de ne pas en rester là mais je devais d’abord lui laisser le temps de récupérer…
Répondre

Retourner vers « Récits candaulistes »