par luielleeteux » Ven 16 Avr 2021 07:54
Gorges profondes : Absolument : j’adore le côté domination douce d’une fellation appuyée. Me savoir et me voir agenouillée entre les cuisses d’un mâle viril, sa queue enfoncée calmement mais assurément jusque dans ma gorge et sentir sa ou ses mains appuyer fermement sur ma tête pour m’aider ou m’imposer leur calibre devant mon cocu me confère un vraie statut de salope que j’aime ressentir.
Dress code: hélas, après quelques essais j’avoue ne pas être très à l’aise avec les “tenues”. je sais que vous aimez cela messieurs mais pour ma part, je me sens déguisée. MAl à l’aise.
Je ne porte généralement que des petites robes, des chaussures sexy que je ne garde jamais très longtemps par la fougue des mâles en rut, (le noir me va bien), et évidement, très rarement de culotte en dessous. La surprise les rend dingues lorsqu’ils découvrent au détour d’une caresse appuyée de mon cul ou de mon ventre, l’état de mon intimité, trempée et déjà pleinement dilatée par l’envie.
Je n’ai vécu que 3 rencontres en extérieur.
- La première en 2011 : à la sortie d’une discothèque, accompagnée depuis peu par nous nouveau compagnon et désormais cocu YANN, mais aussi cette nuit là de mon meilleur ami. Débauche totale sur le parking entre deux voiture lorsque Yann m’a pour la première fois proposé de sucer un autre que lui devant lui. J’ai fini 10 min plus tard, le visage et mes seins arrosés par le foutre de Yann et celui de mon copain d’enfance.
- la seconde en 2013 : il après-midi ennuyeux, inscrite sur wyylde, je tombe sur la fiche d’un jeune mâle superbe. Après quelques échanges il m’annonce qu’ils sont en fait deux derrière écran et me proposent de venir s’occuper de moi immédiatement.
J’hésite et après réflexion je décide de leur proposer plutôt une rencontre en extérieur sur terrain neutre, dans un bois à quelques kilomètres de la. Rendez-vous pris avec les deux mâles, j’en informe Yann, en lui faisant la surprise à son retour de bureau, lui demandant de se dépêcher de m’em’er me faire baiser par deux type en forêt. J’ai vu l’état de Yann surexcité. Exactement ce que je voulais. Quelques minutes plus tard, et après une courte masturbation de Yann au volant durant le trajet, nous nous garons près d’une moto en sous-bois, marchons quelques mètres et j’aperçois à la nuit tombée deux silhouettes assises sur une table de picnic, et me sifflant. Mélange de peur et d’excitation, je prends Yann par la main mais il préfère rester sur le chemin pour faire le gué. A peine 5 min plus tard, Yann m’entendait retenir mes gémissement tandis que, m'ayant allongée sur la table avec force et sans scrupule, les deux mâles profitaient de ma bouche et ma petite chatte à tour de rôle.
Je ne sais par combien de positions je suis passée, quelque peu malmenée par les deux types en rut mais je me souviens parfaitement du moment où l’un a commencé à gicler très fort sur mon cul, entrainant immédiatement le plaisir de l’autre, qui capitulait rapidement dans ma bouche dans un déluge de foutre.
Le retour fut légendaire : revenant vers mon cocu après que les deux mâles aient terminé de se réajuster et de quitter les lieux précipitamment sur leur moto, et tandis qu’il attendait patiemment mon retour pour que je lui explique ce qu’il n’avait pu qu’apercevoir et entendre de loin, je me saisis de sa main et la pose sur mon cul maltraité et encore maculé de sperme tiède et l’embrasse à pleine bouche.
Stupéfait, il ne pu se retenir longtemps et explosait en quelques minutes dans ma main qui venait d’empoigner sa queue entre deux pans de son pantalon. Puis il installa une serviette sur le siège passager pour éviter les stigmates et les souillures du plaisir des deux mâles, qui avaient décidément littéralement inondé mes reins, mes fesses et mes seins, et nous nous mirent en route our rejoindre l’appartement.
- La 3ème 2017 : se déroule le lendemain d’une soirée avec un étalon fougueux à la maison. Impressionnée par la virilité exacerbée de ce mâle, j’accepte le lendemain un petit jeu orchestré pour la première fois par Yann : rencontrer seule un autre. Je m’y étais toujours opposée mais cela semblait obsessionnel.
J’accède finalement, retissante mais aussi très excitée par le type qui venait de me baiser toute la nuit à la perfection.
Le scénario proposé par Yann consistait à attendre le type à la sortie de mon boulot qui passerait me prendre avant de m’emmener dans un endroit discret pour le sucer.
En pleine ville de Nice, je me suis retrouver agenouillée de force entre 2 voitures, au dernier étage souterrain d’un parking de la ville, face à une caméra de surveillance.
Non contant d’être très dominateur, le type était assez pervers et me forçait à avaler sa queue épaisse jusqu’en fond de gorge en exposant mes petits seins sortis de ma robe et en tournant mon visage vers la caméra.
Le spectacle pour les vigiles a du être terrible, surtout lorsque, sentant qu’il allait jouir et me demandant où je voulais recevoir son foutre, je me relève prestement, lui souriant, me retourne en lui indiquant mon cul tout en soulevant ma robe.
Le pauvre a été prit si soudainement de cours qu’au lieu de venir exploser sur mes reins et mes fesses, il crache, en direct à la caméra, l’intégralité de sa semence entre mes cuisses et sur ma chatte et me demande de me caresser avec son sperme encore chaud pendant qu’il film l’apothéose de son plaisir sur mon intimité pour envoyer un souvenir à mon cocu reste à la maison et attendant le récit de ma rencontre.
Puis il m’impose de remettre ma robe noir sur mes fesses sans nettoyage afin de garder les trace de son foutre comme preuve à mon cocu, et afin que je ne tâche pas les sièges de la voiture empruntée à sa mère, puis quelques 15 min plus tard, me dépose devant le domicile conjugal et me demandant une dernière fellation.
J’ai adore et me suis exécutée sans hésiter tant le type m’avait rendue folle par son comportement de mâle dominant et pervers et je recevais rapidement dans la gorge de jolies giclées, maintenue par la tete par l’étalon alpha.
N’attendant même pas que je finisse de déglutir ses dernières salves de sperme, il se penche et ouvre ma portière : -« allez, dégage petite salope. Vas rejoindre ton cocu et surtout, montre lui mes trace sur ta robe et ta chatte poisseuse, sinon il pensera que je n’ai pas tenu ma parole de te baiser comme une chienne... »
J’entends encore ses rires lorsqu’il a démarré en trombe. Je titube, droguée par la dose de plaisir et de sperme du type et rejoins Yann chez nous.
J’ai retrouvé mon pauvre cocu bandant comme un âne et, lui racontant tous les détails et lui montrant quelques photos sombre du parking, le fit gicler à son tour dans ma main douce .
Clara