nouvelle saga candauliste
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Re: nouvelle saga candauliste
Lundi 3 octobre(18h00)
Bien sur, nous avions proposé un café ou autre chose à Claude avant de le ramener, il avait choisi un café que je lui préparais pendant que Martine se douchait.
Claude- alors dis-moi, si je te prends Martine une après-midi pour la prendre avec Valentin, cela te dérangerait.
Moi- je ne sais pas, on va en parler ensemble.
Claude- ok, en tout cas, je reviens quand vous voulez.
Moi- Martine à ton 06, on t'appellera assez vite je pense.
Martine revint habillée toujours de son legging blanc et de son débardeur mais avait changer son string, il était rouge à présent, elle vint se mettre à côté de moi.
Moi- tu veux un café chéri ?
Martine- oui s'il te plait.
J'allais lui préparer et en revenant, Martine avait changer de place, elle s'était collé à Claude.
Martine- ne sois pas jaloux, Claude voulait que je sois à côté de lui.
Moi- il t'as eu pendant plus de 2 heures, j'ai ai le droit de t'avoir un peu à moi chérie.
Martine- oh le vilain jaloux, tu attendras que Claude soit parti pour ça.
Moi- bien évidemment.
Je lui donnais son café et me remis à ma place.
Claude- désolé de profiter et d'abuser de ma beauté.
Martine- tu le ramèneras amour.
Claude- je préfèrerais que ce soit toi.
Martine- tu en dis quoi bébé.
Moi- fais comme tu veux.
Martine- alors, j'irai.
Je ressentais les mêmes symptômes qu'avec Claudia quand elle m'avait quitté, j'espérais me tromper.
Lundi 3 octobre(18h45)
Martine- je serai de retour d'ici 3 quarts d'heure bébé.
Moi j'espère.
Claude- sauf si on tombe en panne.
Martine éclatait de rire mais pas moi.
A peine parti, je reçus un texto de Claudia qui me demandait de passer la voir.
Je filais au studio, frappait à la porte et Claudia m'ouvrait juste revêtu d'un string et d'un soutif blanc.
Elle me proposait un verre que je refusais.
Moi- tu as un problème ?
Claudia non, juste te dire que ta Martine a pris chère cet après-midi.
Moi- ah oui, c'est vrai, le micro est toujours en place, tu as aimé au moins.
Claudia- j'ai adoré, je me suis même branlé en vous écoutant, elle m'a bien remplacé.
Moi- tu es irremplaçable.
Claudia- mais non, la preuve, tu as pris ton pied tout en étant attaché à une chaise.
Moi- oui c'est vrai.
Claudia- je me ferai bien prendre par ce Claude, parles-moi de lui s'il te plait.
Je lui décris l'homme en question.
Claudia- peut être qu'un jour, tu me l'offrira.
Moi- va savoir.
Claudia- en tout cas, j'ai bien aimé votre après-midi, j'ai hâte de ragouter à ça.
Moi pas avec moi.
Claudia- tu ne saura pas résister à l'appel de sexe.
Moi- non, mais ce sera avec Martine.
Claudia- un mot, un geste et elle est dans mon lit.
Moi- j'en suis conscient, sinon, l'autre connard te fout la paix ?
Claudia- je l'ai bloqué sur mon téléphone.
Moi- bien, je te laisse, elle va revenir d'un moment à l'autre.
Claudia- pas avant une heure et demie, elle va se faire prendre encore une fois dans la voiture.
Moi mais non.
Claudia- ne paris pas, tu vas perdre.
Moi- je tiens le pari.
Claudia- si elle est rentré avant 20h30, plus jamais je ne te parle de sexe, sinon, tu va être obligé de m'envoyer Martine ce soir que je la gouine comme elle le mérite.
Moi- pari tenu.
Claudia- et bien entendu, tu me l'envoie en tenue de salope
Moi- bien entendu.
Je rentrais et préparais le diner, 19h30, 19h45, 20h00, toujours pas de Martine.
Je ne m'inquiétais pas outre mesure mais Claudia allait gagné son pari et j'allais me retrouver seul dans mon lit ce soir.
20h45, j'entendis la voiture.
Martine rentrait.
Moi- tu t'es perdu chérie.
Martine- non, attends, je te raconte.
Moi- je t'écoute.
Martine- pour le ramener, on est obligé de passer par l'étang, sa main n'avait cessé de caresser mes cuisses et en passant, une voiture était garé, il m'a demandé de faire demi-tour et de me garer, ce que j'ai fait car j'avais encore le feu chéri.
Moi- je peux aussi l'éteindre ton feu amour, essayes aussi de penser à mo.
Martine-tout ce que je fais c'est pour nous chéri, je ne cesse de penser à toi, tu es dans ma peau et dans mon cœur.
Moi- je t'aime.
Martine- je t'aime aussi, donc il me fait garer à une dizaine de mètre de la voiture, baisse son siège et sors sa queue en érection.
Claude- si tu me suce, dans 5 minutes, ils viennent mater.
Martine- tu les connais ?
Claude- oui, c'est un couple d'une cinquantaine d'année qui vient que le soir à la tombée de la nuit, ce sont des voyeurs, je me suis déjà branlé devant eux.
Martine -et tu veux faire quoi exactement ce soir ,
Claude- tu es partante ou pas ?
Martine- oui à priori
Claude- alors, suces-moi, ils vont venir vite, tu verras.
Martine- je me suis mise à le sucer et le branler, elle était encore bien dure bébé, j'aime sa queue et 2 minutes plus tard, je vis en 1er l'homme se mettre à la vitre du côté passager.
Claude- ouvres la vitre, je veux qu'il te voit à l'œuvre ma beauté.
Martine- tu penses bien que j'a ouvert la vitre en grand amour, trop fière d'attirer un couple.
Moi- on ira ensemble un soir bébé.
Martine- oui, bébé, ça me plairait qu'on me mate faire l'amour avec toi.
Moi- la suite du coup et on peux diner si tu veux, c'est prêt chérie.
Martine- oui passons à table, j'ai faim bébé, donc l'homme nous a maté avant que sa femme nous rejoigne mais qui elle s'était mis de mon côté.
Moi- intéressant bébé.
Martine- oui, elle matait plus mon cul que le reste vu que j'avais baissé mon dossier et m'étais agenouillé pour le sucer, Claude avait mis ses mains derrière la tête et subissait mes assauts, il était aux anges et ne se gênait pas pour le dire.
Claude- ça vous plait de nous regarder car nous on prend du plaisir à nous exhiber.
L'homme(Julien)- oui beaucoup, la dame a l'air d'aimer ça.
Claude- c'est une championne, j'adore ça.
Moi- il te complimente un peu trop à mon gout.
Martine- jaloux, j'adore, mais c'est toi que j'aime chéri, la femme ne parlait pas, et du coup je lu demandais.
Martine- ça vous plait aussi Madame ?
La femme(Natacha)- oui, vos fesses surtout me plaisent.
Martine- matez-les, ne vous privez pas, j'aime qu'on les mate, la preuve, je porte un legging blanc qui laisse le plaisir de les mater.
Natacha- avec un string rouge en dentelle.
Martine- oui.
Claude- vous pouvez toucher, Martine appréciera, j'en suis certain.
Natacha- non, je regarde, c'est tout.
Martine- Julien matait plus mes seins que le fait que je suce Claude qui l'avait remarquer.
Claude- elle a des beaux seins, ils vous plaisent au moins ?
Julien- oui, ils sont gros, j'adore les gros seins.
Martine- dans ce cas là, je vais enlever mon débardeur que vous les regardiez encore mieux.
Martine- j'ai enlevé mon débardeur chéri, ils a fait un waouh en les voyant mais sa femme lui a dit pas touche, tu regardes c'esttout.
Moi dommage- tu n'attendais Que ça je paris.
Martine- oui, j'aurai bien aimé mais attends, ce n'est pas fini.
A SUIVRE.
Bien sur, nous avions proposé un café ou autre chose à Claude avant de le ramener, il avait choisi un café que je lui préparais pendant que Martine se douchait.
Claude- alors dis-moi, si je te prends Martine une après-midi pour la prendre avec Valentin, cela te dérangerait.
Moi- je ne sais pas, on va en parler ensemble.
Claude- ok, en tout cas, je reviens quand vous voulez.
Moi- Martine à ton 06, on t'appellera assez vite je pense.
Martine revint habillée toujours de son legging blanc et de son débardeur mais avait changer son string, il était rouge à présent, elle vint se mettre à côté de moi.
Moi- tu veux un café chéri ?
Martine- oui s'il te plait.
J'allais lui préparer et en revenant, Martine avait changer de place, elle s'était collé à Claude.
Martine- ne sois pas jaloux, Claude voulait que je sois à côté de lui.
Moi- il t'as eu pendant plus de 2 heures, j'ai ai le droit de t'avoir un peu à moi chérie.
Martine- oh le vilain jaloux, tu attendras que Claude soit parti pour ça.
Moi- bien évidemment.
Je lui donnais son café et me remis à ma place.
Claude- désolé de profiter et d'abuser de ma beauté.
Martine- tu le ramèneras amour.
Claude- je préfèrerais que ce soit toi.
Martine- tu en dis quoi bébé.
Moi- fais comme tu veux.
Martine- alors, j'irai.
Je ressentais les mêmes symptômes qu'avec Claudia quand elle m'avait quitté, j'espérais me tromper.
Lundi 3 octobre(18h45)
Martine- je serai de retour d'ici 3 quarts d'heure bébé.
Moi j'espère.
Claude- sauf si on tombe en panne.
Martine éclatait de rire mais pas moi.
A peine parti, je reçus un texto de Claudia qui me demandait de passer la voir.
Je filais au studio, frappait à la porte et Claudia m'ouvrait juste revêtu d'un string et d'un soutif blanc.
Elle me proposait un verre que je refusais.
Moi- tu as un problème ?
Claudia non, juste te dire que ta Martine a pris chère cet après-midi.
Moi- ah oui, c'est vrai, le micro est toujours en place, tu as aimé au moins.
Claudia- j'ai adoré, je me suis même branlé en vous écoutant, elle m'a bien remplacé.
Moi- tu es irremplaçable.
Claudia- mais non, la preuve, tu as pris ton pied tout en étant attaché à une chaise.
Moi- oui c'est vrai.
Claudia- je me ferai bien prendre par ce Claude, parles-moi de lui s'il te plait.
Je lui décris l'homme en question.
Claudia- peut être qu'un jour, tu me l'offrira.
Moi- va savoir.
Claudia- en tout cas, j'ai bien aimé votre après-midi, j'ai hâte de ragouter à ça.
Moi pas avec moi.
Claudia- tu ne saura pas résister à l'appel de sexe.
Moi- non, mais ce sera avec Martine.
Claudia- un mot, un geste et elle est dans mon lit.
Moi- j'en suis conscient, sinon, l'autre connard te fout la paix ?
Claudia- je l'ai bloqué sur mon téléphone.
Moi- bien, je te laisse, elle va revenir d'un moment à l'autre.
Claudia- pas avant une heure et demie, elle va se faire prendre encore une fois dans la voiture.
Moi mais non.
Claudia- ne paris pas, tu vas perdre.
Moi- je tiens le pari.
Claudia- si elle est rentré avant 20h30, plus jamais je ne te parle de sexe, sinon, tu va être obligé de m'envoyer Martine ce soir que je la gouine comme elle le mérite.
Moi- pari tenu.
Claudia- et bien entendu, tu me l'envoie en tenue de salope
Moi- bien entendu.
Je rentrais et préparais le diner, 19h30, 19h45, 20h00, toujours pas de Martine.
Je ne m'inquiétais pas outre mesure mais Claudia allait gagné son pari et j'allais me retrouver seul dans mon lit ce soir.
20h45, j'entendis la voiture.
Martine rentrait.
Moi- tu t'es perdu chérie.
Martine- non, attends, je te raconte.
Moi- je t'écoute.
Martine- pour le ramener, on est obligé de passer par l'étang, sa main n'avait cessé de caresser mes cuisses et en passant, une voiture était garé, il m'a demandé de faire demi-tour et de me garer, ce que j'ai fait car j'avais encore le feu chéri.
Moi- je peux aussi l'éteindre ton feu amour, essayes aussi de penser à mo.
Martine-tout ce que je fais c'est pour nous chéri, je ne cesse de penser à toi, tu es dans ma peau et dans mon cœur.
Moi- je t'aime.
Martine- je t'aime aussi, donc il me fait garer à une dizaine de mètre de la voiture, baisse son siège et sors sa queue en érection.
Claude- si tu me suce, dans 5 minutes, ils viennent mater.
Martine- tu les connais ?
Claude- oui, c'est un couple d'une cinquantaine d'année qui vient que le soir à la tombée de la nuit, ce sont des voyeurs, je me suis déjà branlé devant eux.
Martine -et tu veux faire quoi exactement ce soir ,
Claude- tu es partante ou pas ?
Martine- oui à priori
Claude- alors, suces-moi, ils vont venir vite, tu verras.
Martine- je me suis mise à le sucer et le branler, elle était encore bien dure bébé, j'aime sa queue et 2 minutes plus tard, je vis en 1er l'homme se mettre à la vitre du côté passager.
Claude- ouvres la vitre, je veux qu'il te voit à l'œuvre ma beauté.
Martine- tu penses bien que j'a ouvert la vitre en grand amour, trop fière d'attirer un couple.
Moi- on ira ensemble un soir bébé.
Martine- oui, bébé, ça me plairait qu'on me mate faire l'amour avec toi.
Moi- la suite du coup et on peux diner si tu veux, c'est prêt chérie.
Martine- oui passons à table, j'ai faim bébé, donc l'homme nous a maté avant que sa femme nous rejoigne mais qui elle s'était mis de mon côté.
Moi- intéressant bébé.
Martine- oui, elle matait plus mon cul que le reste vu que j'avais baissé mon dossier et m'étais agenouillé pour le sucer, Claude avait mis ses mains derrière la tête et subissait mes assauts, il était aux anges et ne se gênait pas pour le dire.
Claude- ça vous plait de nous regarder car nous on prend du plaisir à nous exhiber.
L'homme(Julien)- oui beaucoup, la dame a l'air d'aimer ça.
Claude- c'est une championne, j'adore ça.
Moi- il te complimente un peu trop à mon gout.
Martine- jaloux, j'adore, mais c'est toi que j'aime chéri, la femme ne parlait pas, et du coup je lu demandais.
Martine- ça vous plait aussi Madame ?
La femme(Natacha)- oui, vos fesses surtout me plaisent.
Martine- matez-les, ne vous privez pas, j'aime qu'on les mate, la preuve, je porte un legging blanc qui laisse le plaisir de les mater.
Natacha- avec un string rouge en dentelle.
Martine- oui.
Claude- vous pouvez toucher, Martine appréciera, j'en suis certain.
Natacha- non, je regarde, c'est tout.
Martine- Julien matait plus mes seins que le fait que je suce Claude qui l'avait remarquer.
Claude- elle a des beaux seins, ils vous plaisent au moins ?
Julien- oui, ils sont gros, j'adore les gros seins.
Martine- dans ce cas là, je vais enlever mon débardeur que vous les regardiez encore mieux.
Martine- j'ai enlevé mon débardeur chéri, ils a fait un waouh en les voyant mais sa femme lui a dit pas touche, tu regardes c'esttout.
Moi dommage- tu n'attendais Que ça je paris.
Martine- oui, j'aurai bien aimé mais attends, ce n'est pas fini.
A SUIVRE.
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Re: nouvelle saga candauliste
MERCI DECOUVERTE350, J'EN AI QUELQUES UNS EN COURS D'ECRITURE ET QUI DEVRAIT TE PLAIRE, N'HESITE PAS A ME DIRE CE QUE TU AIMES, CELA PEUX M'AIDER QUAND J'ECRIS.