par stef2606 » Lun 5 Juin 2017 14:48
Avec le bruit de la pluie, nous n’avons pas entendu sa voiture arriver, c’est lorsqu’il a tambouriné dans la porte que nous sommes dit qu’il était là. Je dis à ma femme d’aller l’accueillir, pensant qu’elle ne voudrait pas se rendre à la porte dans cette tenue légère, mais il n’en fut rien, certainement le fait qu’elle était impatiente que son amant arrive.
Je suis emboite le pas, pour ne rien louper des retrouvailles, elle ouvre, Guillaume entre immédiatement, un large sourire sur son visage en voyant ma femme, ils se font la bise comme s’il s’agissait de l’arrivée d’un ami. Quelques mots échangés, des banalités, notamment liées à l’orage qui sévit, ainsi que sur la raison de son léger retard, puis après un passage aux toilettes, il nous dit « on monte… », « on va te faire l’amour ».
Ma femme devant, moi fermant la marche, je constate que nous avons une vue bien agréable du fessier de Sylvie en grimpant les escaliers. On entre dans la chambre, G se déshabille, très vite il est en boxer. Ma coquine dénoue son kimono, je m’aperçois que finalement elle est nue dessous, le retire puis attend sagement que cette soirée si prometteuse démarre.
Guillaume se place devant ma femme et l’enlace en la prenant dans ses bras et commence à la caresser au niveau des épaules, du cou, de son visage. Très vite, il rapproche sa bouche des lèvres de mon épouse, qui sans aucune retenue, l’embrasse délicieusement. Leurs baisers durent un petit moment, leurs langues se mélangent, ils ont l’air d’apprécier.
Puis Guillaume décide que nous nous installions sur le lit, il nous dit de nous allonger, ma femme au centre, et je vois qu’il fait en sorte que ses cuisses soit bien ouvertes en lui écartant, il ne va pas tarder à s’occuper de sa chatte, bien lisse d’ailleurs.
Je commence à caresser le haut du corps de ma femme, son poitrail, ses épaules, puis ses seins, passant de l’un à l’autre régulièrement. Elle a déjà les têtons durs. Guillaume a plongé la tête sur son sexe, il lui bouffe la chatte, titillant son clitoris du bout de sa langue.
La bouche de son amant sur son sexe la fait réagir, je m’aperçois qu’elle est chaude, elle se dandine, sa respiration a changée, elle m’embrasse langoureusement alors que je poursuis les caresses sur ses seins, elle s’est saisi de ma bite qu’elle masturbe de sa main droite. Je bande fortement.
Les cuisses ouvertes au maximum, Guillaume la prépare magnifiquement, il lèche, suce, aspire, mais aussi doigte le sexe de ma femme, qui se dilate et couine sous ses mouvements. Elle mouille abondamment la salope.
G : « elle est prête cette chatte » ; « elle a envie d’une bonne bite ? »
Elle : « oh oui ! »
G : « grimpe sur ton mari » ; « montre-moi comment tu lui fais l’amour »
Je m’installe, allongé sur le dos, ma femme m’enjambe, guide mon sexe au niveau du sien, puis s’abaisse afin d’être pénétrée. Cela rentre comme dans du beurre, on y est bien, elle commence aussitôt ses va et viens, faisant coulisser ma bite dans sa chatte.
Guillaume nous regarde, c’est la toute 1ère fois qu’il nous voit en action ma femme et moi, il semble apprécier, et ne tarde pas à venir au niveau du visage de Sylvie, debout sur le lit, ceci pour se faire sucer.
Elle ne se fait pas prier et prend en bouche son imposant sexe, lui pratiquant une bonne fellation, sans oublier de lui caresser les couilles avec sa main, ce qu’elle aime beaucoup faire.
C’est délicieux, j’adore pratiquer de la sorte, n’hésitant pas à lui peloter les fesses, profitant de ses galbes si excitant, il me faut me concentrer et me maitriser pour ne pas jouir à cet instant, ce serait trop bête. Je suis d’ailleurs obligé de stopper à 2 reprises mes va et vient, tant mon excitation est à son comble, ceci pour ne pas éjaculer si rapidement.
Guillaume voit bien que je suis très proche de la jouissance, et pour remédier à cela, décide qu’il va à son tour enfiler ma femme. Il s’allonge également sur le lit, juste à mes côté, sa belle bite joliment dressée.
G : « allez, à moi », indiquant ainsi à ma femme de venir s’empaler sur sa queue.
Elle ne se fait pas prier la salope, se détachant de moi, avec toutefois une petite hésitation, puis prononçant ces mots « sans capote ? »
G : « oui », « tu verras c’est encore meilleur ». Ce dont, elle comme moi, ne doutons pas.
Moment important, je la vois se positionner au-dessus de son amant, celui-ci la laissant s’installer correctement, souhaitant certainement, s’agissant d’une 1ère sans capote, qu’elle manœuvre son bel engin en se l’enfonçant dans sa chatte dégoulinante.