Cherche à devenir l'ami d'un couple

Venant de quelqu'un qui a un tel surnom, un maître sûrement, un tel remerciement me touche d'autant plus. Même si je suis un époux très fidèle, l'érotisme, c'est toute ma vie. Mon rêve est de le faire passer au moins par l'écriture... Mais pour moi, ce désir n'a rien de pervers. C'est quelque chose d'innocent et pur... Du pur amour...

Pour moi, la perversité, ce n'est pas ça. Avec cette définition, je ne suis pas sûr que celle dont tu te prévaux en soit réellement. Pour moi, la perversité, c'est de forcer les autres, de se servir de son pouvoir, de son argent ou de ses charmes pour asservir, de contraindre, de faire commerce du corps d'autrui, de manipuler, de profiter de la faiblesse ou de la misère d'autrui, de mépriser les hommes et les femmes, de parler mal d'eux, de fouler aux pieds leur désir, d'attenter à la pureté de leurs sentiments, de ne pas agir avec amour, d'attenter à leur pudeur s'ils y tiennent, de ne pas respecter l'autre et en premier lieu de l'innocence des enfants, de sombrer dans la débauche et dans la vulgarité, sauf si elle sert à pimenter un jeu sexuel, d'agresser, de violer, de violenter. De rendre moche et laid ce qu'il y a de plus beau au monde, la rencontre amoureuse de deux êtres, ou plus si affinités. Ici, trois...

Je précise ma pensée. Chacun voit les choses comme il veut, mais si c'est pour traiter une femme de "salope", ça ne m'intéresse pas. Une femme n'est pas une outre à foutre. Ce n'est pas un cloaque. Nous ne devons pas nous vautrer dans la fange, comme des pourceaux. Je respecte trop, je vénère trop la femme pour ça.

Je recherche le candaulisme, pour les plaisirs extraordinaires qu'il procure.
Juste pour la fierté immense, le plaisir intense, de l'épouse sublimée, rayonnante, débordante, débordante d'amour, débordante de joie, débordante de sperme, la vulve mal refermée immaculée, généreuse, généreusement emplie des couilles vidées de l'autre, de l'amant. L'épouse à la vulve blanchie de l'homme qui n'est pas son mari, elle, le rayon de soleil du foyer, avec entre les cuisses ouvertes et offertes cet éclat de lune venu de l'extérieur, heureuse de s'exposer, de s'exhiber aux regards chaleureux et aimants de deux hommes, le mari et l'amant. L'épouse aux yeux toujours aussi innocents et aimants; s'offrant en toute simplicité, dans toute sa nudité, telle que la nature l'a faite, montrant entre ses cuisses, arborant, ce joyau, ce cadeau de la nature et de la vie, le sperme de l'amant, entre ses cuisses, cette blancheur virginale. L'épouse, la femme, éternellement vierge, qu'elle soit adolescente avec son hymen clos, prostituée ou mère de famille avec une flopée d'enfants.
La femme qui accorde à son mari cet incroyable privilège, qui l'accepte dans son intimité la plus secrète, plus secrète encore que leur intimité quotidienne de couple, elle se montre à lui faisant l'amour. Elle l'accepte, elle lui montre cette autre facette, elle se montre à lui dans toute sa vérité de femme, épouse amante mais aussi maîtresse, d'elle-même, de cet amant, de cet autre homme qu'elle a choisi pour elle et pour son mari et de ce destin qu'elle s'est choisi. Puis, avant qu'elle ne lui ouvre à son tour ses bras et les jambes, elle accorde à son mari cet autre privilège immense, elle le rétablit dans ses droits et devoirs sur elle, il doit procéder de sa langue à sa toilette intime d'épouse volage, cette toilette sensuelle entre toutes et superficielle, car l'amant, le sperme de l'amant, reste là, occupe bien la place à l'intérieur. L'amant n'est pas occulté. A son époux, elle offre son plus beau cadeau de femme mariée peut-être, elle lui offre le spectacle de son propre plaisir pris avec un autre et le lui fait goûter, à même sa vulve étoilée de lune. Puis après cette récréation, cette re-création, le couple originel se referme, ce monde chaleureux du foyer et de la famille, en un délicieux huis-clos.
J'aurais dû parler aussi du retour, des jours après. L'épouse est telle qu'elle a toujours été, un peu plus amoureuse, un peu plus gaie, un peu plus épanouie peut-être. Elle évolue au milieu de sa maisonnée rhabillée, mais son époux sait, elle sait et elle en jouit, qu'elle porte dans son intimité la plus secrète le sperme de l'amant, qui vit en elle pendant trois jours. Trois jours, c'est court, et il y a l'inévitable question qui se pose, l'envie de recommencer. Il n'y a qu'une façon de prolonger ces trois jours pour toujours, et c'est ce que je préconise, qu'au moment venu la jeune femme soit enceinte de son amant, et que le couple s'organise, tienne le temps le temps nécessaire le mari à l'écart, pour que l'épouse soit sûre de porter l'enfant de l'amant. Et même après la naissance, la magie se poursuit. L'enfant est toujours là, il grandit entouré de ses parents, de l'amour de ses parents, et l'amant est toujours là, qui en est naturellement le parrain.

Il est bon aussi de temps en temps, quand elle le souhaite, que la femme voit l'amant seule, aime sans se sentir observer, sans avoir sur elle le poids d'un regard même aimant. Il arrive qu'elle raconte à l'époux et parfois pas. Il arrive qu'elle fasse à son mari la surprise, ce délicieux cadeau, de l'aimer à son tour fraîchement aimée, mouillée d'amour, qu'il jouisse au travers elle de l'amour fait de l'amant.

L'amant parfois très présent, parfois lointain, mais qui toujours revient, suivant les besoins, les évolutions de chacun, pilier qui conforte le couple et garant de son amour, ciment de son union qu'il scelle de son sperme, spectre toujours là, en filigrane, en surimpression du couple originel.
Je suis électrisé à l'idée d'un monde où, contrairement à la polygamie, une femme pourrait avoir un mari et un amant, et surtout ne pas s'en cacher. Une femme est profonde. Elle a le giron large et la capacité d'aimer et d'être aimée par deux hommes.

Bien sûr, il y a des risques. Le sperme, nutriment céleste, peut être la meilleure et la pire des choses. C'est pourquoi l'idéal vers lequel il faut tendre est la stabilité, la double fidélité, au sein d'un couple à trois.

Ce qui compte, c'est la douceur, le respect et l'amour.

Le mari doit enlever lui-même la culotte de sa femme, comme on ouvre un rideau de théâtre. Puis le mari doit s'effacer. Il doit s'éloigner de l'épouse. Il peut rester, mais il ne doit plus intervenir. Même pas lui embrasser le front, même pas prendre sa main, surtout pas quand elle aura la verge de l'amant en elle. L'autre homme planté en elle.
Le mari doit se tenir à bonne distance, bienheureux qu'on lui permette de rester, que son épouse l'accepte dans son intimité, autorise cette présence extérieure du mari, dans ce moment le plus intime qui soit pour elle, au moment où en elle, dans le secret de son vagin, elle reçoit son amant.
Le mari doit se contenter d'être au spectacle. Il doit jouir de ce merveilleux spectacle, le plus intense qui soit, savoir et voir son épouse, sa compagne de vie, la mère de ses enfants, en train de faire l'amour avec un autre homme.
Le mari doit laisser l'épouse et l'amant aller, faire l'amour à leur guise, de toutes les façons qu'ils souhaitent et dont ils ont besoin.
Le mari doit laisser l'amant, l'invité, prendre en main l'épouse et prendre son pied avec elle.
Le cœur du mari bat plus fort, il ravale sa salive et une vague d'amour le parcourt pour son épouse, au moment où il voit la bouche de l'épouse se tordre, le corps de l'épouse se crisper, lorsqu'elle est parcourue par l'onde du plaisir, que secouée par les contractions de l'orgasme, elle reçoit la jouissance de l'amant.
Au moment où l'amant à son tour crispé éjacule, au moment où il la remplit, là seulement, l'épouse cherche et trouve le regard de son mari, un flux intense de regards amoureux les relient, au moment où le flux du sperme s'opère, au moment où le sperme exogène au couple afflue au plus profond de l'épouse. Ce sperme de l'amant dont l'épouse et le mari jouiront ensemble, plus tard, dans leur intimité de couple retrouvée, après le départ de l'amant, jusqu'à cet instant où le mari à son tour éjaculera, où la rencontre des deux spermes se fera.
Porteuse de deux spermes, fertilisée, contentée et apaisée, la femme de ces deux vies d'homme sera une femme complète, maîtresse et épouse parfaite.
Faire l'amour n'est pas un jeu, n'est pas qu'un jeu. Il s'agit pour l'épouse de recevoir, de recueillir le sperme, un myriade de spermatozoïdes en elle, qui symbolisent la vie, les messagers de la vie en elle; le germe d'une nouvelle vie peut-être, si elle, le mari et l'amant en ont décidé ainsi.
Pour moi, le candaulisme est une sorte de cérémonie sacrée, un ode rendue à l'épouse, placée sur un piédestal, déifiée, celle qui met au monde, dont naît l'humanité nouvelle, dont la jouissance compte plus que tout.

j aimerais te voir pour parller de mon epouse

our pierro

si je peut t'aider ce serai avrc plaisir

je suis grand 1m80 pour 75 kgs yeux noisette et bien membrer si cela t'interresse