GUINGUETTE

C’est une partie d’un texte intitulé « soirée à la maison » diffusé sur le site.
En résumé, Béa, directrice commerciale dans une très grande entreprise, invita un de ses agents commercial à venir diner et dormir à la maison. Etant très occupé ce soir-là, je restais chez moi et envoyais Béa et son invité faire un tour découverte d’un dancing local réputé pour son jeudi soir spécial représentants ou amateur d’un coup sans lendemain.
Ils me quittèrent, légers, vers une soirée qui promettait beaucoup. Béa était habillée très sexy, sans soutien-gorge sous un corsage transparent laissant en évidence sa poitrine, et sans culotte sous une jupe courte fendue sur le côté.
Pendant le parcours, Alain lui caressait le genou, remontait sur la cuisse, effleurait doucement son entrejambe comme par inadvertance. Arrivé sur le parking, il aurait voulu la posséder sur place, la tension commençait à être très forte. Elle s’esquiva gentiment lui promettant qu’il aurait ce qu’il désire, mais pas tout de suite.
La boîte se remplissait. Béa observait, craignait des connaissances qui auraient avorté ses envies publiques, mais non, personne connue. Il y avait trois salles, trois ambiances. La première diffusait des danses de salon, la seconde musique romantique se prêtant au flirt et la troisième, axée jeunes peu propice aux rencontres et très bruyante.
Ils se dirigèrent vers la deuxième. C’était rock and roll. Béa entraîna Alain sur la piste. Il s’appliquait à la faire tourner, dévoilant aux mateurs environnant, la vision de ses fesses et de son petit triangle. Ses seins bougeaient au rythme de la musique et sortaient régulièrement du corsage. Alain se régalait de l’exposer. Il se sentait dominateur. Au bout de quelques danses, ils allèrent s’affaler sur un fauteuil. Alain l’attira sur ses genoux. Elle sentait son sexe dur contre elle, ses mains qui se baladaient sur ses cuisses. Elle se pencha et lui pris les lèvres, les langues se mêlèrent tendrement. La salle n’était pas très éclairée, ce qui la rassurait et lui permettait de s’assumer pleinement. Une série de slows les ramena sur la piste. D’autres couples adultères évoluaient autour d’eux. Elle oubliait le temps et se laissait bercer. Elle senti qu’Alain en dansant soulevait sa jupe et qu’elle avait les fesses à l’air, mais peu importe, il l’embrassait et son autre main ouvrait son corsage. Mais que dire, elle l’avait cherché. Derrière elle, deux gars n’en perdaient pas une miette. Ils étaient venus s’assoir sur leur banquette en sirotant un Whisky. Alain visiblement les connaissait et s’amusait de leur exposer sa conquête. Les deux mâles espéraient bien en croquer.
A leur retour, Alain, la tenant dans ses bras, plaça Béa du côté des garçons. Elle tira sur sa jupe qui d’entrée s’était retrouvée au-delà du raisonnable. Les deux compères les invitèrent à prendre un verre et entamèrent la conversation. L’alcool aidant, ma femme se décontractait et ne faisait plus guerre attention à sa tenue. L’un des deux demanda à Alain la permission d’inviter son « épouse » à danser. Il emmena Béa sur la piste. C’était le quart d’heure zouk et comme il était antillais, il ondulait du bassin, frottant son sexe impunément contre le pubis de Béa. Il était grand et elle avait les bras autour de son cou. Elle était suspendue, sur la pointe des pieds, la jambe du cavalier entre les siennes sur laquelle son sexe glissait de gauche à droite. Elle se faisait masturber innocemment. Ses défenses étaient anéanties. Quand il la sentit vaincu, comme un serpent qui hypnotise sa proie, il se dirigea dans le fond de la salle ou se trouvaient des recoins câlins. Il l’allongea sur le canapé, sortie son membre et s’introduit sans difficulté dans son nid d’amour. L’endroit n’étant pas propice aux longs échanges, il déchargea très vite. Et puis un coup vite fait, c’est quand même un coup.
Allain et l’autre larron ayant repéré le manège, vinrent aussi pour se soulager, mais le videur ayant été prévenu, les a viré en leur disant de faire leur saloperies dehors. Béa, Allain et les deux autres se retrouvèrent sur le parking. La fraîcheur de la nuit les ayant réveillés, ils entrainèrent ma femme dans la camionnette pour finir leur besoin. Elle se retrouva à poil, allongé sur une vielle couverture. Elle fit mine de se débattre, ce qui pour effet d’augmenter leur libido et de la défoncer un peu plus chacun leur tour.
Allain la récupéra, reprit sa voiture pour rentrer et pour enfin en profiter.
La suite dans l’autre texte « soirée à la maison »
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