soirée maison

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

soirée maison

Messagepar marjul35 » Sam 6 Juin 2020 12:48

Mon épouse travaillait dans une société multinationale. Elle était en contact avec de nombreux représentants au téléphone, et parfois en recevait certains à la maison mère. L’ambiance avec eux était toujours sympa. Ils n’étaient pas avares de compliments, et éloignés de leur habitat et famille, se positionnaient toujours en dragueurs invétérés. Evidemment, ma femme ne pouvant qu’être flattée de se faire séduire, ne se privait pas de rentrer dans leur jeu. Par ailleurs, ils n’étaient que de passage et une attitude fermée et repoussante aurait été anti-commerciale et peu empathique.
Elle me rapportait leurs échanges, leurs attitudes, leurs sous-entendus, souvent tournant autour du sexe, également leur solitude et frustration. En parler, c’est bien, le faire c’est mieux. Elle semblait compatir.
Ces collaborateurs, passaient leur semaine le plus souvent au restaurant et à l’hôtel. Elle avait ses favoris et en parlait souvent, certainement trop pour être totalement neutre ou indifférente.
Et puis un jour où elle me parla un peu plus d’un certain Alain, qui n’arrivait pas à trouver d’hôtel dans notre ville le jeudi soir suivant. Une manifestation sportive avait raflée toutes les chambres disponibles et il allait lui falloir passer la nuit dans sa voiture.
Elle m’annonça cela avec une moue interrogative, « le pauvre, tu imagines mon chéri ? »
Ce que j’imaginais, c’est qu’elle avait inconsciemment, une envie profonde de le connaître un peu mieux… et pourquoi pas, réaliser des fantasmes évoqués pendant nos rapports pour augmenter notre libido.
Etais-je prêt ?
C’était une occasion de se tester. Je doutais. En avait-elle réellement envie ?
Banco :
Ecoute, on ne peut pas le laisser dehors, ne serait-ce que pour les besoins d’hygiène, salle de bain, WC. De plus, tous les jeudis, c’est soirée représentants à la guinguette, tu pourras l’emmener. Comme c’est le lieu idéal pour les rencontres de cul où les femmes infidèles vont s’encanailler, çà pourra lui servir pour meubler les soirs de ses prochaines venues.
Donc, tu l’invites dans la chambre d’ami et après diner, je me replonge dans mes dossiers et tu lui fais la visite du dancing du coin.
Elle me sourit, avec un regard plein de sous-entendu. « Tu es sûr de ne pas vouloir nous accompagner ? J’ai la permission de minuit, et plus… ?»
Là tout était dit. Elle ne me laissait aucun doute sur ses intentions. J’allais être cocu ! Seulement, je voulais tout savoir. Permission : oui, mais avec les détails.
Je sentis la pression monter toute la journée du jeudi. Impossible de travailler, d’aligner trois lignes sur un dossier. A 17 heures 30, ils arrivèrent en pleine discussion euphorique, mais pas de gestes ambigües, juste une bonne ambiance décontractée. Béa n’avait pas une tenue sexy, juste correct pour le travail, lui chic, cravate costume très cliché de son job.
Je préparais l’apéro sur la terrasse et Béa montrait sa chambre à Alain. Il revint me proposer de l’aide pour le barbecue, ce que je ne refusais pas, pour faciliter la relation et le copinage. Il me venta les qualités de mon épouse, sympa, disponible, prête à rendre service, pas « bégueule » suivant l’expression. J’en remettais une couche, la présentant comme très câline et très tactile, pas jalouse si je m’extasiais devant une autre femme canon, la situant comme une femme très libre. J’étais fier qu’elle suscite des regards envieux des autres hommes et qu’au contraire, çà entrainait chez moi un réel plaisir.
« Alors les gars, on parle dans mon dos »
Béa apparue. Alain et moi étions en arrêt. L’image de la femme responsable dans une entreprise, pantalon chemisier, se trouvait devant nous, robe à mi-cuisse fendue sur le côté, corsage transparent, laissant voir son soutien-gorge blanc, chaussures à lacet remontant à mi mollet.
« Je sais, on voit mon soutien-gorge, et ça n’est pas très beau, mais je l’enlèverai tout à l’heure pour aller danser. Je ne voulais pas vous exciter pendant le repas. »
Alain sembla gêné, Béa l’avait déstabilisé, moi aussi d’ailleurs. L’alcool aidant, les conversations reprirent un ton plus banal, remplies d’anecdotes. Béa était près de lui sur le canapé, lui posant négligemment la main sur la cuisse, en discutant. Moi je m’affairais à cuisiner, observant discrètement. Elle glissait du genou, vers le haut, s’égarant vers l’intérieur, toujours mine de rien. Il n’en pouvait plus, il prétexta un besoin urgent dû à la bière et s’enfuit vers les toilettes.
Béa le rejoignit, visiblement contrariée d’avoir été trop vite. Au bout de 10 minutes, ils revinrent, un peu plus relâchés.
Béa me raconta qu’elle l’avait retrouvée à sa sortie des toilettes et qu’elle l’avait poussée sans résistance dans la chambre. Là il lui expliqua qu’il avait envie d’elle mais qu’il se sentait gêné par rapport à moi. Elle lui avoua qu’elle fantasmait sur lui, qu’ils auraient la soirée pour eux et quand attendant elle promit d’être discrète. Elle lui demanda de faire la même chose au travail.
A leur retour, le diner était prêt. Béa restait à distance. Alain était moins avenant, et il fallait que je fasse quelque chose.
En rigolant, « Eh les amoureux, faite pas la gueule, allez embrassez-vous et faite la paix. Et je veux du sensuel, sinon, je croirai Alain que ma femme ne te plaît pas. Je ne suis pas jaloux et je serai contrarié. »
Béa saisit l’occasion et Alain rendit les armes. Je me retournai pour ne pas déranger, observant malgré tout dans un miroir sur le côté. La bise glissa des joues sur les lèvres, les langues s’emmêlant.
J’aperçu la main d’Alain s’insinuer sous la jupe et caresser l’entrecuisse. Béa soulevait les fesses pour qu’il puisse progresser. Je m’éclipsai aux toilettes, toujours la bière…
Je revins quelques minutes après. Le scénario était posé. Il n’y avait plus qu’à laisser aller.
Le dessert englouti, je les ai mis dehors, pour pouvoir travailler. Il était 22 heures et la boîte était ouverte. Alain me demanda si j’étais sûr de ne pas venir. Béa lui répondit que j’avais réellement des dossiers urgents. Avant de partir, ils montèrent à la salle de bain pour se rafraîchir. Quand Béa descendit, ses seins pointaient sous son corsage. Elle ria en me précisant qu’elle serait plus à l’aise pour danser et ils me souhaitèrent bon courage.
Vers 1 heure du matin, je sombrai dans un sommeil profond. J’avais essayé de les imaginer mais couche tôt, je n’ai pas pu les attendre.
A 3 heures, la porte d’entrée grinça. Je les entendais murmurer dans le salon. En me penchant sur le palier, je pouvais les observer.
Béa avait le corsage ouvert, la jupe retroussée lui servait de ceinture, la culotte avait disparu, mais quand ? Etait-elle partie le cul nu ? Alain retira son pantalon, le slip baissé Béa le caressa, le mit en forme, approcha sa bouche, glissa ses lèvres sur son membre décalotté, excita du bout de la langue son gland violacé, puis lui fit une gorge profonde. Il lui saisit les cheveux, accentua la pression de la bouche, la traitant de salope, d’esclave du cul. Béa subissait sans broncher. Il se retira, et la mit à genou sur le canapé, le cul en l’air, la tête dans les bras. Il commença à lui mettre une fessée. Elle lui dit d’arrêter, que j’allais me réveiller. Il lui répondit « et alors ! Tu n’as qu’à pas gueuler ». Positionné comme il était, il avait pu me voir dans le miroir et comme je n’étais pas intervenu, il ne se donnait pas d’interdit. Pour Béa, cette situation augmentée par la peur d’être découverte, ne fit qu’amplifier sa jouissance qu’elle devait contrôler. Les claques pleuvaient, le cul rougissait. Alain entre chaque volée, caressait sa fente doucement, amoureusement, puis glissait sur son anus qu’elle contractait, refusant l’introduction.
Je m’approchai discrètement, puisque j’avais été repéré. Béa n’en pouvait plus, elle allait au-devant des doigts inquisiteurs, cherchant la pénétration. Elle ne s’était pas aperçue de ma présence. Alain lui introduisit deux phalanges, puis trois, lubrifiant le conduit qui dégorgeait de mouille. Le doigt fut suivi d’un deuxième puis vint le troisième. Elle balançait la tête, criant des non inaudibles. Un quatrième doigt pénétra son vagin. Je n’en revenais pas, elle allait se faire fister pour la première fois. Alain avait son idée, persuadé qu’elle devait être fontaine. Moi je n’avais jamais réussi. Sa position à quatre pattes favorisait l’introduction. Elle perdait connaissance, orgasmes après orgasme. En insérant son pouce entre les quatre doigts, la main entière fut aspirée dans le conduit. On bandait tous les deux comme des sauvages. Doucement il entrait, ressortait, elle se redressait et s’effondrait à chaque dilatation du vagin. Et puis tout à coup, une rivière de flotte sortie en même temps que la main. Son ventre était secoué de soubresauts. Elle s’effondra. Alain avait un sourire dominateur et satisfait. Il la retourna sur le dos. Elle avait les yeux clos. Il lui souleva le bassin, mouilla sa verge dans le trou béant et présenta son gland sur l’anus. Sa rondelle était sans ressource, le périnée étant un muscle en forme de huit reliant anus et vagin, se trouvait complètement inerte. Il s’enfonça donc sans résistance et sans qu’elle ne s’en rende compte. Première sodomie, en douceur. Je regardais la scène en m’astiquant. Elle entrouvrit les yeux, me regarda, surprise. Alain continuait son introduction. Elle essaya de me parler entre chaque secousse. « Chéri, je n’ai pas été sage. Ce salaud me viole le cul. J’ai la chatte en feu, il faut me l’arroser » Je n’ai pas résisté, je lui ai balancé mon sperme dessus. Quant à lui, il se retira et s’approcha de sa bouche. Il n’était plus dans la condescendance. Lèche. Nettoie. Elle obéit, consciencieusement, s’appliquant à lui redonner toute sa vigueur. Il se tendit, se crispa et éjacula. Il bloquait sa tête pour la forcer à avaler. Il lui fit ouvrir la bouche pour constater qu’elle avait bien dégluti.
Il s’adressa à moi et me dit : « on boit un coup, et je l’emmène dans mon lit. Il reste plus beaucoup de temps, elle va me faire un bon câlin récupérateur. Cà ne pose pas de problème ? »
Visiblement, Béa n’avait pas vu la suite comme cela. Elle aurait voulu se blottir dans mes bras. Elle me dévisageait interrogative.
J’étais dans un débat cornélien. Ou je jouais le complice avec ma femme et je la récupérai pour la nuit, ou j’assumais un statut de cocu dominé et je laissais à Alain la pleine possession de ma femme.
Nous avions été très loin dans notre fantasme et lui donner la main sans le connaître réellement, me semblait quelque peu dangereux.
Je l’ai remercié d’avoir été un excellent partenaire, mais que j’avais l’habitude de finir mes nuits avec ma femme. Pour montrer que c’était moi qui orchestrait, j’ai un peu menti, disant qu’à chaque fois que nous organisions une soirée trio, c’était sans lendemain et que Béa et moi nous racontions tout.
J’attendais avec impatience qu’elle me parle de sa soirée au dancing.
Bon joueur, il dit « Alors, reste plus qu’à dormir, c’était super. J’ai juste cru que vous cherchiez un maître de jeu. Enfin si vous changez d’avis, j’ai pas mal de plan. Rassure-toi, Béa çà reste entre nous. »

Béa avait pris sa matinée, moi je travaillais à la maison. Je me suis levé de bonne heure, Béa resta au lit jusqu’à 11 heures, Alain dormait encore. Elle me rejoint dans la cuisine pour un petit déjeuner.
Après s’être lavée, habillée, comme il était toujours au lit, j’ai demandé à Béa de jouer son rôle d’hôtesse et d’aller gentiment le faire sortir des bras de Morphée. Je lui ai précisé que ce serait dommage qu’il finisse sur une frustration. Elle me regarda souriante. « Comme je veux ? » Je lui répondis non comme moi je veux.
Emmène le café et les croissants, tu as une heure devant toi. Je ne veux pas te revoir avant. Elle m’embrassa, souleva sa robe, me montra qu’elle n’avait pas de culotte et me dit « J’avais prévu ».
La salope.
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Re: soirée maison

Messagepar pascaljean_fr » Sam 6 Juin 2020 19:51

Une histoire bien agréable à lire riche en image on pourrait s’y croire !
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Re: soirée maison

Messagepar marjul35 » Sam 6 Juin 2020 21:37

cette histoire est tirée de fait réel. Les lieux existent, la guinguette se trouve à Chavagne dans le 35, elle à trois salles : pour les jeunes, les matures et les séniors. La soirée du jeudi soir est connue, les autres soirs sont plus grand public. Je raconterai la partie dancing en un texte unique, dans quelques jours, dont le titre sera guinguette.
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Re: soirée maison

Messagepar kusu03 » Dim 7 Juin 2020 00:24

Superbe récit, j'ai adoré. je vais suivre les autres ;)
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Re: soirée maison

Messagepar tendrelyonnais » Lun 8 Juin 2020 10:06

c'était il y a combien de temps cette histoire?
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Re: soirée maison

Messagepar tendrelyonnais » Lun 8 Juin 2020 10:07

votre charmante épouse est elle toujours aussi joueuse?
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Re: soirée maison

Messagepar marjul35 » Lun 8 Juin 2020 12:54

J'ai publié le texte "guinguette", qui est la partie cachée de ce récit en le complétant.
C'était dans nos débuts, en arrivant dans la région Bretagne. Aux alentours des années 90.
Nous ne sommes plus très jeune, mais l'esprit est resté. Elle est malheureusement moins joueuse, mais j'en ai bien profité. A l'occasion, je pense pouvoir malgré tout la faire redémarrer. Le problème dans ces situations, est de pouvoir rester anonyme lorsqu'on est très connu.
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Re: soirée maison

Messagepar marpat13 » Lun 8 Juin 2020 13:49

Très belle histoire, vous avez l'air très complices. Vivement la suite
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Re: soirée maison

Messagepar marjul35 » Lun 8 Juin 2020 19:14

Sur mon ordi, en phase travail, j’avais cependant l’oreille attentive. J’entendis la voix d’Alain qui se réveillait, et Béa qui minaudait avec son plateau petit déj. Je percevais les brides de leur conversation, portant bien entendu sur l’épisode guinguette et puis progressivement, quelques rires étouffés, suivi de murmures, de bruit de froissement d’habit, d’un peignoir qu’on enlève, de clapotis, que dis-je de succion, de soupirs inconscients, d’halètements légers s’accélérant. J’imaginais bien la scène. Ils n’avaient pas pris le temps de la pause-café. Il baisait Béa comme un mort de faim. Je ressentais une certaine pression dans mon slip, et j’essayais de contrôler mes envies. C’était leur moment à eux en binôme, plus dans la sensualité, l’amour, que dans la baise. Ils se comportaient comme deux amants.
Une sensation de cocu m’envahissait, subtile, complice sans vouloir être soumis. Je sentais que pour garder le contrôle, il faudrait tenir compte de cet Alain et provoquer moi-même leur rencontre, car j’imaginais bien que l’un et l’autre n’allait pas vouloir en rester là.
Avoir une femme trop belle, nécessite de savoir pour la garder, lui laisser une certaine latitude et maintenir le jeu de la complicité. L’envoyer à la saillie était le meilleur moyen de la garder. S’y opposer, le meilleur moyen de la perdre.
J’entrevoyais l’avenir en imaginant des scénarios avec d’autres partenaires, diluant le rôle d’Alain de l’amant attitré au rôle d’un plan cul comme les autres. L’amour est un jeu d’échec, il faut avoir plusieurs coups d’avance.
Je les entendis redescendre. Il la tenait par la taille, et comme je l’avais anticipé, il s’affichait comme si elle était sa propriété.
M’adressant à Alain :
« Bonjours, la nuit a été bonne ? et je vois que le réveil aussi. J’ai poussé Béa à te sortir du lit parce que moi ça n’aurait pas été aussi agréable. Je pense maintenant que la récréation est terminée »
Je crois Béa que tu reprends à 14 heures, et toi Alain, j’ai l’impression que ton portable sur le bureau n’arrête pas de biper.
Alain dit Oua hou, j’ai rendez-vous dans 15 mn. Ok, grand merci pour « tout » avec un sourire complice. On se rappelle et la prochaine fois, je vous invite.
Il partit rapidement.
Béa vint se blottir dans mes bras, me câlinant tendrement avec des « je t’aime » et je te remercie pour tout le plaisir que tu m’as donné. J’aimerai bien qu’on le revoit, de temps en temps, si tu veux bien.
Je ne m’étais pas tromper.
Bien sûr ma Chérie, mais je voudrais que tu le revois quand je te le dirai. En attendant, j’aurai d’autres surprises sexy pour te faire patienter…. On ne doit pas s’arrêter sur le premier venu ce serait dommage…
Pendant que je lui parlais, mes doigts s’étaient égarés sur sa petite fente, qui comme je l’avais bien supposé étais bien ouverte et mouillée.
En la regardant dans les yeux, « cochonne », qu’est-ce que tu as faite en haut. »
Elle m’a répondu, « j’ai juste fait ce que tu as voulu, mon amour, mais là, j’aimerai bien que tu m’aimes. J’ai trop besoin de toi pour me rassurer.»

Voilà les Amis, fin du chapitre. Faut aller bosser.
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