Le complice de monsieur s’approcha de la jeune femme

Jeune homme pour femme mure ou jeune épouse avec un vieux monsieur

Le complice de monsieur s’approcha de la jeune femme

Messagepar jeanman » Mer 11 Nov 2020 11:51

Madame et Monsieur étaient mariés depuis de nombreuses années. Ils s’aimaient passionnément, mais la routine avait envahi leur couple. Elle, tempérament de feu, rêvait de relations épicées, tandis que lui, caractère plus renfermé, semblait se satisfaire de leur quotidien. De nombreuses fois, Madame avait essayé d’attirer l’attention de son mari, en pure perte. S’il comprenait ses désirs, il semblait peu enclin à les réaliser avec elle. Pas par désintérêt, plutôt par méconnaissance. Répondre à ses fantasmes serait ne pas la respecter, pensait-il. Mais que savait-il vraiment des envies profondes de Madame ?

Le mari les découvrit par hasard, en procédant à la maintenance de l’ordinateur. Un fichier ouvert par mégarde, contenant des mails sauvegardés, lui donna à réfléchir. Un mystérieux correspondant, Jean, échangeait avec Madame depuis des semaines ; il lui avait fait avouer ses fantasmes les plus secrets. Surpris, Monsieur prit le temps de la réflexion, puis sans rien dire, contacta cet homme. Il ne pouvait plus ignorer les attentes de sa femme, et si quelqu’un pouvait l’aider à comprendre, c’était bien le correspondant qui connaissait Madame plus intimement que personne...

Madame, elle, poursuivait ses intermèdes virtuels. Après tout, elle ne faisait rien de mal, puisqu’il ne se passait rien ! Aussi, quelle fut sa surprise quand Jean lui proposa une rencontre ! Elle n’était pas prête du tout, mais d’un autre côté, en y pensant, elle avait les jambes en coton, le cœur battant, le ventre en feu !

Qu’avait-il fait d’elle en l’espace de quelques semaines ? Elle avait bien cherché secours auprès de Monsieur, mais une fois de plus, son mari n’avait pas eu les mots qui auraient pu la retenir ! Désespérée mais décidée, elle envoya le mail que Jean attendait avec impatience : « J’attends tes instructions, je serai à toi quand tu le décideras. »

Ce matin là, c’est avec fébrilité qu’elle ouvrit ses emails. Au premier coup d’œil, elle reconnut le nom de Jean. Ses doigts tremblaient à la relecture de son message, qui ne comportait que quelques lignes : « Je suis disponible, retrouve-moi à 20 heures à cet hôtel. Tu y trouveras mes instructions ! »

Madame sentit une vague de chaleur monter de son ventre, gagner ses seins, dont les pointes saillaient. Une douce moiteur baignait son entrejambe. Ce soir, elle serait à lui, enfin ! Que lui réservait ce mystérieux Jean ? Il connaissait ses moindres envies, ses fantasmes les plus inavouables. Que lui réserverait-il ? Il lui avait promis de l’exceptionnel...

La séance promettait d’être torride. Elle n’était pas fière d’elle : la soirée entre copines qu’elle avait prise comme alibi n’avait pas eu l’air de convaincre Monsieur. Il l’avait regardée partir avec un regard étrange, après l’avoir embrassée comme si c’était la dernière fois !

Il était presque 20 heures quand elle se gara devant l’hôtel. Un regard à son rétroviseur pour vérifier son maquillage, sa coiffure... Nerveusement, elle gagna la réception, où elle récupéra la clé qui allait lui ouvrir la porte du paradis. Enfin, elle pénétra dans une chambre confortable, qu’un chandelier éclairait. Une enveloppe était posée sur la table.

« Déshabille-toi. Garde uniquement ta lingerie, tes bas et tes chaussures ! Tu te placeras face au mur, à côté du lit, jambes écartées. Je veux que tu t’offres à mon regard en toute impudeur ! »

La lecture de ces mots provoqua une décharge électrique le long de sa colonne vertébrale. Elle retira son tailleur-jupe, laissant apparaître un corset noir brodé, lacé très serré, et des jarretelles. Une fine culotte noire voilait son sexe. Ses longues jambes gainées de soie noire étaient mises en valeur par des chaussures aux talons vertigineux, dont les brides enserraient ses chevilles comme des liens de cuir. Le cœur battant, elle s’installa face au mur... Son sexe ruisselait !

Un claquement de porte, des pas lourds, puis le silence ! Elle sentait un regard la détailler ; ça la rendait folle. Un souffle se rapprochait. Elle entendit la voix de Jean lui intimer l’ordre de se caresser.

Du bout de l’index, elle effleura sa bouche, pour descendre sur son menton, puis son cou. La situation inhabituelle la troublait. Sa main descendait maintenant sur son sein, en contournait l’aréole, au centre de laquelle s’érigeait le téton durci. Son corps était parcouru de frissons. Elle ne savait si c’étaient ses caresses ou l’immobilité de son amant qui provoquait en elle tant de sensations.

D’une voix calme, autoritaire, Jean lui demanda de se tourner face à lui. Elle allait enfin savoir à quoi il ressemblait. Elle l’avait si souvent imaginé ! Aussi, quelle fut sa déception en se retrouvant face à un homme masqué d’un loup qui empêchait toute identification ! Pourquoi Monsieur n’était-il pas capable d’imaginer des scénarios pareils ? Madame aurait tout donné à ce moment précis pour que ce soit lui qui soit dissimulé sous le masque.

Ses mains couraient sur sa poitrine, jouaient avec ses pointes. Elle était là, adossée au mur de la chambre, en train d’effectuer un numéro d’exhibition dont elle ne se serait pas crue capable. Et tout cela, sous les yeux d’un parfait inconnu ! Ses longs doigts fins arrivaient sur son sexe partiellement épilé. Elle frôlait ses lèvres voilées, prenait soin d’éviter son jardin secret. le corps tout parcouru de frissons de plaisir.

Mais c’était de ses mains à lui dont elle avait besoin. Son regard devenait suppliant tant son envie était forte ; c’est d’un œil amusé qu’il la contemplait ! Sans la quitter des yeux, il ouvrit un sac à ses pieds, en sortit un vibromasseur.

Le complice de monsieur s’approcha de la jeune femme, caressa son visage avec le gode, jusqu’à l’amener à sa bouche. Elle comprit ce qu’il attendait d’elle, aussi lécha-t-elle l’engin avec gourmandise. Elle sentait la chaleur de l’homme sur sa peau nue, ce qui augmentait encore son excitation. La langue sur sa poitrine lui arracha des gémissements de plaisir. Jean délaissa le jouet, empoigna les mains de Madame, la plaqua violemment au mur, sa bouche mordillant, aspirant les tétons, lui arrachant des cris ininterrompus. Le corps de la jeune femme n’était plus que spasmes.

Jean descendit vers le sexe ruisselant, qui réclamait. Le souffle chaud de Jean sur son jardin secret, au travers de la mince culotte, lui déclencha un orgasme qui la fit crier.

Jean la releva, l’aida à s’asseoir sur le lit. De sa voix chaude, il lui demanda de s’allonger, jambes écartées, pieds au sol. L’indécence de cette posture leur était chère à tous deux. Comme il aimait pouvoir la contempler ainsi ! Ses mains trop longues remontaient des chevilles vers l’intérieur des cuisses, ne se lassaient pas de la douceur de la chair et de la soie. Les lèvres, extraordinairement mobiles, suivaient de près, provoquant un déferlement de sensations en arrivant enfin à leur destination finale : la magnifique chatte en attente.

La langue s’infiltra en elle, la fouillant, la buvant, alors qu’un doigt inquisiteur forçait son œillet. Le plaisir l’envahissait ; tout en elle devenait jouissance. Ses mains agrippaient la chevelure de son amant. Dans un râle, elle le supplia d’abréger son attente. Elle le voulait en elle, maintenant !

C’est à sa bouche que se présenta la longue queue dure épaisse. La langue gourmande s’enroula telle une liane à un arbre. Puisqu’il voulait jouer, ils seraient deux... elle jubilait à l’idée de lui faire frôler des sommets qu’elle rendrait inaccessibles ! Elle aspirait avec gourmandise le pieu palpitant, l’enduisait de salive. Entre deux caresses, son doigt s’arrêta, massa, puis pénétra la cavité secrète qui s’offrait à sa curiosité.

À ce rythme-là, il ne tiendrait pas longtemps ; il le savait. S’arrachant aux caresses de sa maîtresse, il l’installa confortablement et enfila un préservatif ; sa virilité prit possession d’elle rageusement. Jean voulait l’entendre hurler son plaisir sous ses assauts que ça décuplait sa puissance ! C’est avec un bonheur aigu qu’il venait buter au fond d’elle, lui arrachait des gémissements rauques.

Jean aimait entendre les femmes exprimer leur plaisir de cette manière, sans retenue ni pudeur ! Il ne s’en lassait pas. Il se retira du fourreau de braise qui l’enserrait ; le gland ruisselant caressa les globes blancs que séparait la raie sombre. Elle cambra les reins, offrant son cul à la queue tant espérée.

Tout en se frottant à la croupe accueillante, il reprit le vibreur délaissé pour investir le sexe détrempé. Son gland força l’anneau souple, qui l’aspira goulûment jusqu’à la racine. C’est elle qui imprimait son mouvement au gode qui la fouissait, tout en s’empalant sur le pénis vivant. Des ondes de plaisir déferlaient dans tout son corps ; les va-et-vient devenaient plus puissants.

À ce moment seulement, le gentleman enclencha les vibrations. Tout le corps de Madame fut secoué de spasmes ; en hurlant, elle se tendit pour recevoir au plus profond le plaisir du mâle. Ils retombèrent enlacés, fourbus de tant d’émotions, heureux d’avoir partagé un tel moment.

La dernière chose qu’elle entendit fut un claquement de porte. En reprenant conscience, quelle fut sa surprise de constater qu’elle était en croix sur le lit, poignets et chevilles entravés.

Ses yeux fouillèrent la pièce sombre, pour trouver, installé dans un fauteuil... Monsieur. Il la contemplait. Monsieur, qu’elle croyait sans imagination, avait conçu le scénario dans le seul but de lui permettre de satisfaire ses fantasmes ! Jamais elle ne l’aurait cru capable de ça. Fallait-il qu’il l’aime par-dessus tout pour passer outre à ses réticences. Elle se sentait débordante d’amour pour cet homme qui partageait sa vie depuis huit années déjà. Elle le découvrait dans toute sa générosité.

La dernière pensée de Madame, en cette soirée très particulière, fut un sentiment de reconnaissance. Elle avait toute la vie pour rendre au centuple le merveilleux cadeau que Monsieur lui avait fait. Son offrande sublime.

Contactez moi pour vivre cette histoire.
Jean

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