Le photographe

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Le photographe

Messagepar Simone » Mar 11 Mai 2021 20:36

Soirée de novembre, à Nantes. Pour nous exciter nous regardons ensemble un site d’annonces coquines. L’une d’entre elles nous amuse :

Photographe amateur cherche modèle de femme mature présentée par son mari, en tout bien tout honneur.

Contrairement à nos habitudes, cette fois c’est Simone qui veut contacter l’auteur de l’annonce, pour en savoir plus dit-elle. Je suis trop heureux de son initiative.

Quelques jours plus tard, elle me dit qu’elle a entamé une discussion avec Pierre, notre internaute et photographe amateur. Elle me montre ses échanges de messages. Il a 45 ans, divorcé récent, sans enfants, d’un très bon milieu et ses textes sont très courtois, bien écrits et on voit bien qu’il sait ce qu’il cherche. Il a envoyé une photo de lui où apparait un bel homme, bien bâti et souriant. Simone me demande si elle peut envoyer une photo d’elle et si elle doit continuer les discussions. Nous nous mettons d’accord sur une photo un peu dénudée où on voit bien ses formes, mais où ses cheveux empêchent que l’on puisse distinguer son visage. Elle a carte blanche pour mener la discussion, y compris celle de l’interrompre si elle le juge nécessaire.

Mais quelques jours plus tard les choses ont bien avancé et mon épouse me demande mon accord après m’avoir fait un résumé de toutes les questions et réponses. Pierre habite seul dans une grande maison isolée de Pornic avec un local aménagé qu’il appelle son studio photo. Il propose de faire des photos artistiques de Simone, érotiques ou non, dans ce studio et dans une ambiance décontractée et en ma présence. Il est convenu qu’elle aura toujours le visage masqué, et que nous aurons la propriété mutuelle des photos. Il insiste sur la démarche artistique de son projet, faisant un peu sourire mon épouse.

Etonné, je demande à Simone si elle trouve le marché équilibré. Un peu gênée, elle me répond qu’il y a effectivement un arrangement supplémentaire. Avant chaque rendez-vous, elle se rendra dans un magasin connu de lingerie de la galerie nantaise Atlantis, choisir une parure de sous-vêtements qu’elle laissera au magasin. Pierre passera prendre le paquet, régler la note, et déposer le tout dans son studio. Simone rajoute que son correspondant ne met aucune limite sur le montant des achats et lui suggère même de passer aussi dans le magasin voisin de chaussures pour assortir sa tenue. Je rajoute que les photos en sous-vêtements risquent d’être plus érotiques que non, mais elle ne me répond pas.

Pas folle la guêpe. Elle a trouvé un moyen de renouveler sa garde-robe pour pas cher ! Mais le photographe aussi est bien astucieux de l’avoir motivée, donc il n’y a pas de raison que je m’oppose à ces arrangements entre personnes consentantes qui y voient leur intérêt mutuel. Le jeudi suivant Simone ne travaillant pas, je comprends qu’elle en a profité pour passer à Atlantis, mais le soir elle refuse de me donner le moindre détail sur ses choix. Elle m’indique seulement que la séance de photos aura lieu le dimanche suivant.

Dès le repas du imanche terminé, nous voilà sur la route de Pornic, et nous arrivons dans une belle propriété où nous sommes accueillis chaleureusement par l’ami Pierre, dans son grand salon. Simone porte un ample imperméable gris, qui lui descend aux chevilles, bien assorti à son grand sac à main Vuitton. Notre hôte la débarrasse avec galanterie. Un café et quelques discussions plus tard, il nous propose de descendre visiter son studio. Il est très vaste avec un élégant matelas au sol, plusieurs projecteurs et diffuseurs, une grande fenêtre donnant sur le jardin et occultable par un grand rideau blanc, de nombreux spots d’éclairage continu, des appareils photos sur pied, etc. Mais dans une autre une partie de la salle il y a un paravent de style japonais, un canapé, deux fauteuils assortis, et un bar avec des tabourets. Derrière le paravent on aperçoit l’entrée d’une vaste salle de bain avec une grande douche à l’italienne et des miroirs sur tous les murs. C’est effectivement assez luxueux et Pierre a l’air très fier de nous montrer son installation. Après un tour du propriétaire, notre hôte nous invite à nous asseoir dans le canapé et nous sert une boisson en rappelant le marché passé avec Simone, en insistant sur son coté gentleman et sur le fait que nos rendez-vous, toujours en ma présence, seront essentiellement artistiques insiste-t-il. Je regarde Simone qui ne semble pas avoir remarqué l’utilisation de ce mot essentiellement, qui me semble pourtant plein d’ambiguïtés, mais qui réagit assez rapidement quand Pierre lui propose de passer derrière le paravent essayer les chaussures et vêtements qui s’y trouvent dans leur emballage du magasin.

Pendant qu’elle se change, Pierre se fait plus familier en me disant qu’il tient avant tout que nous nous sentions à l’aise et me donne son téléphone personnel pour l’appeler au moindre problème. Derrière le paravent Simone demande si elle doit sortir en sous-vêtement ou se rhabiller et je lui réponds que j’aimerais bien voir directement ses nouveaux achats. Pierre lui indique qu’elle trouvera un masque brodé sur le guéridon.

Elle est somptueuse dans une splendide guêpière noire, avec quelques broderies violettes, ses escarpins noirs et ses bas brodés noirs. Une tenue qui a du couter assez cher à Pierre qui ne la quitte plus des yeux quand il se lève et prend un superbe appareil reflex pour commencer à mitrailler la belle qui vient s’asseoir sur le bras d’un fauteuil en croisant ses longues jambes gainées des bas brodés (elle ne s'est rien refusé !).

Ma femme semble à l’aise en finissant sa boisson et en se laissant photographier sous tous les angles. Elle pousse même la décontraction jusqu’à croiser et décroiser les jambes devant son photographe qui, en se rapprochant du fauteuil, a mis un genou à terre. Il semble hypnotisé par le spectacle de la belle mature qui a l'air de s’amuser. Maintenant elle semble même le provoquer en ouvrant le compas de ses jambes et en offrant la chair du haut des bas et le renflement du petit slip assorti à l’objectif qui s’en rapproche comme attiré. Quelques légers poils s’échappent et maintenant il ne peut donc plus ignorer que Simone n’est pas épilée.

Au jeu du chat et de la souris, c’est surement elle qui joue le rôle du félin. Notre photographe se répand en compliments sur les courbes et formes de madame et elle s’en amuse. Les superlatifs la font rire, mais elle mène le jeu pour le moment, prenant toutes les initiatives, y compris celle de se retourner et de se mettre à genoux sur le fauteuil en lui offrant le spectacle de ses fesses et de ses cuisses gainées de noir, avec les chaussures à talons qui lui allongent les chevilles. Le tanga est assez minimum; mais le large fessier bronzé de Simone opérer un effet d’attraction pour l’œil et l’objectif du photographe qui cadre, prend un cliché, se déplace, et recommence encore et encore. Le cul de Simone est splendide, mais mis en valeur par cette lingerie, ça en devient splendide.

La scène est maintenant d’un érotisme torride et je pense que notre ami est très excité. Sur le trajet Simone m’avait prévenu : « S’il doit se passer quelque chose il se passera quelque chose, sinon on en restera aux photos. Je laisserai les choses se faire … ». J’ai approuvé ! Pour le moment tout reste dans le domaine raisonnable de la photo.

Pierre lui demande, si cela ne la dérangerait pas, de se mettre à quatre pattes sur le matelas qui est au sol, ce qu’elle accepte. Il prend des clichés de côté et d’avant, mais surtout de derrière car ce bel arrière-train très ferme surplombant ces cuisses gainées et se terminant sur de très fines chaussures à talons lui fait apparemment de l’effet. Il lui demande si elle accepterait de sortir ses seins, mais elle avait presque anticipé sa demande.

Les seins qui sortent des balconnets avec les tétons en érection ont un effet dévastateur sur le photographe qui ne semble plus capable de cacher son excitation extrême et qui semble même perdre le contrôle. Au bout d’une dizaine de minutes, il me regarde et me dit d’une voix troublée :
- j’ai un petit problème
- lequel ?
- mon état de trouble devant la beauté de Simone ne va pas me permettre de continuer la séance
- c’est à vous de décider
- je ne voudrais pas que vous me jugiez mal, mais si on continue je vais avoir de plus en plus de mal à ne pas me jeter sur Madame.
- en ce qui nous concerne, nous pouvons rester encore un peu ou partir et nous revoir à une autre occasion
- je voudrais que l’on reste bons amis et que vous ne pensiez pas que j’avais une idée fixe derrière la tête, et je vous propose donc que l’on continue de se revoir, mais pour aujourd’hui je vais avoir du mal à me contrôler.
- c’est comme vous voulez
- merci, je ne voudrais pas que vous me jugiez mal en dérapant dès la première séance

C’est donc de façon un peu abrupte que Simone se rhabille et que nous nous quittons en nous promettant de nous revoir très rapidement. Elle a gardé ses sous-vêtements et cache le tout sous son imperméable gris, très bien fermé.

Après avoir quitté Pornic, sans nous concerter, nous nous arrêtons sur le parking d’une station-service où nous nous garons discrètement. Il commence à se faire tard, et il y a un seul camion irlandais en attente sur le parking. Pas de paroles échangées, mais tous les deux nous ressentons le besoin de nous soulager, et nous sortons de la voiture rentrant dans un petit bosquet de hêtres attenant au parking. J’ai compris qu’elle est bien excitée et qu’elle me propose un petit extra en extérieur comme il ne fait pas très froid. Simone enlève son imperméable, le pose sur une branche et s’appuie à un arbre. Comme elle ne porte en dessous que les sous-vêtements qu’elle avait dans le studio, ce n’est pas la peine de faire un dessin. Elle est humide d’excitation et je la prends par derrière, sans cérémonie.

J’entends alors un bruit de feuilles mortes et en retournant la tête, je vois le chauffeur du camion, un jeune blond assez fin et élancé, qui s’approche de nous. Il a un jeans bien propre et une chemise blanche aussi impeccable. Evidemment il aurait allu s'en douter. Il était dans sa cabine et a vu un couple s'engager dans le petit bois, avec une dame en ecarpins à talons haut. Il vient donc aux nouvelles, quoi de plus naturel ? Je préviens Simone que nous avons de la visite et que nous pouvons arrêter. Elle interrompt son activité pour observer notre voyeur, déclare à ma surprise qu'il est mignon ce voyeur, puis décide de continuer mais en se retournant et en faisant face au jeune homme. Il ouvre sa braguette et sort un engin d’une taille que nous n’avions jamais encore rencontrée. Il se branle devant elle mais c’est une véritable verge de cheval qu’il présente, un énorme braquemard d’une longueur et d’une épaisseur étonnante chez un jeune homme si fin.

Je jouis dans la chatte de Simone. Impressionné, j’ai un peu peur et je lui propose de le laisser se branler. Mais elle a accumulé de l’excitation et me dit qu’elle en veut plus. Dans un mélange anglais approximatif, je demande au garçon s’il a un préservatif et au mot condom il habille sa verge d’une capote XXL de couleur verte. Simone étale son imper sur l’herbe, enlève son slip et se met à genoux en lui présentant son postérieur qui semble bien lui plaire.

Je suis quand même un peu inquiet et effectivement l’énorme sexe habillé de vert se positionne à l’entrée du vagin de la belle d’où s’écoule encore un peu de mon sperme, mais ne semble pas pouvoir rentrer aussi facilement. Le diamètre de la verge enveloppée semble plus important que l’entrée qu’il veut pénétrer. Je suis aux premières loges pour observer le nœud qui semble s’aplatir à l’entrée mais le gland n’arrive pas à la pénétrer. Alors elle prend ses fesses des deux mains, les écarte, et trouve même son meilleur anglais pour entamer une discussion un peu irréelle :

- and now fuck me !
- merci madam
- doucement please
- vous êtes so beautiful
- …

Il faut dire que la séance de photos l’a laissée bien lubrifiée et ceci rajouté à mon sperme facilite une entrée difficile, mais progressive. Et petit à petit le renflement du gland entre dans le vagin et entraine le reste de la verge. Elle crie, dit qu’elle n’a jamais été aussi bien remplie et je vois avec surprise l’engin qui rentre totalement, et commence à faire des va et vient, sans que la belle ne s’en plaigne, bien au contraire.

Ma première surprise c‘est de voir comment son sexe avale toute la longueur de l’engin qui pistonne. Mais ma deuxième surprise, c’est qu’ils prennent tout leur temps et les cris de jouissance de mon épouse sont si forts, que j’espère que le gérant de la station-service n’entendra rien. Le jeune chauffeur se contrôle et elle jouit pendant une bonne vingtaine de minutes sous ses vigoureux coups de boutoir.

Il finit par lâcher la sauce et le préservatif sorti montre aussi un volume de foutre impressionnant. Simone ramasse son imperméable un peu sali en disant en souriant qu’il est bon pour le pressing, mais que cela en valait le coup ! Une bise au jeune chauffeur qui rejoint sa cabine, apparemment satisfait et soulagé et nous prenons la direction de Nantes.

Deux jours après arrive un long mail d’excuse de Pierre :

« Chers amis,
Je me suis conduit comme un gamin, un véritable collégien.
Je vous demande de me pardonner et de me donner une nouvelle chance.
Je n’ai comme excuse que la grande beauté de Simone.
Sa sensualité m’a fait craquer alors que je pensais garder le contrôle de mes émotions.
etc. »

Nous lui répondons poliment de ne pas s’en faire et que nous comprenons. Il réagit en proposant une nouvelle rencontre. Il contacte Simone pour lui demander de refaire les mêmes démarches, mais pour se faire pardonner, il lui demande en plus de s’acheter dans un autre magasin de la galerie Atlantis, des vêtements à sa convenance (veste, jupe, chemisier ou l’équivalent). Il passera comme la première fois prendre les achats en les réglant avant notre venue.

Simone n’est pas trop à l’aise depuis notre ballade. Elle se demande si nous avons bien fait de partir. Elle trouvait notre ami à son goût et n’aurait pas été contre poursuivre la visite de façon un peu plus sentimentaleou plus. Elle s’en veut surtout d’avoir pu le blesser involontairement par notre départ précipité alors que lui a été tout à fait correct. Je la rassure en lui rappelant que c’est lui qui nous a proposé de partir, et que l’on pouvait difficilement refuser. Elle me répond qu’elle espère pouvoir lever l’ambiguïté lors de notre prochaine rencontre. J’imagine ce que cela peut bien vouloir dire dans sa tête, mais son sourire coquin m’en dit déjà beaucoup. Une semaine après, lors de notre nouvelle visite photographique du dimanche, je la trouve bien déterminée.

Elle a remis son imperméable long, de retour du pressing. Je sais qu’elle a suivi la même procédure de la fois précédente, mais ses achats lui ont pris toute une après-midi et je n’ai pas été autorisé à en savoir plus. Je sais aussi qu’elle a téléphoné à notre ami pour lui confirmer notre venue. Je n’en saurai pas plus pendant tout le trajet de Nantes à Pornic sauf que je suis convaincu que cela ne se passera pas comme la dernière fois.

L’accueil est chaleureux nous passons immédiatement au studio. Pendant que Pierre nous prépare un café, Simone passe à côté et trouve ses paquets qui l’attendent. Elle a maintenant l’air d’être chez elle. Quand elle sort un moment plus tard, nous restons sans voix. Maquillée, perchée sur ses chaussures rouges à talons, elle est en tailleur rose avec une veste assortie et un chemisier légèrement entrouvert. Elle porte des bas blancs. Elle n’a pas oublié son masque qui l’attendait et se déclare immédiatement prête pour les clichés. Visiblement elle veut rester maitresse du jeu. Pendant une dizaine de minutes on entend le bruit du déclencheur de l’appareil réflex et elle se place et se déplace selon les suggestions de Pierre. Timidement il lui demande d’enlever sa veste, puis d’ouvrir son chemisier. On voit apparaitre un soutien-gorge blanc à balconnets, qui fait ressortir sa poitrine avantageuse, mais elle se tourne alors vers lui et lui demande s’il voudrait lui faire un petit plaisir. Il a à peine répondu positivement qu’elle lui dit que, comme elle va se trouver en sous-vêtements, elle aimerait que lui aussi fasse de même. Je commence à comprendre sa stratégie quand je vois son sourire à la vue de notre photographe qui est maintenant pieds nus et en slip, ses appareils sur son torse nu. Il est bien foutu notre ami. Elle commence par se débarrasser de son chemisier pendant qu’il prend de nouvelles photos, puis lui fait face et ostensiblement dézippe la fermeture éclair de sa jupe rose et la fait glisser.

Le spectacle est encore une fois torride. Répondant au soutien-gorge pigeonnant, un porte-jarretelles assorti accroche les bas et laisse voir un petit slip tanga des plus coquins. Tout est blanc sauf le loup noir brodé qui lui sert de masque. Pierre essaye de continuer à mitrailler, mais on voit son émoi qui grandit. Clic-clac. L’appareil crépite. Les deux protagonistes ne se parlent pas mais tournent l’un autour de l’autre en se comprenant très bien, lui cherchant à trouver les meilleures poses et elle prenant les positions les plus aguichantes. Elle a sorti ses seins des bonnets et en joue en redressant le buste, puis en se penchant ce qui semble le rendre fou si l’on en croit le crépitement de la prise de photos. Visiblement ils jouent à s’exciter mutuellement. Allons-nous arriver au même point de rupture que la fois précédente ? En tous cas ils semblent en prendre le chemin. Ma femme m’avait pourtant dit qu’elle voulait éviter cette situation et pourtant elle le provoque de plus en plus, jusqu’à faire doucement glisser son petit slip blanc le long de ses cuisses. Sa petite toison brune apparait et semble attirer l’objectif. Clic-clac. Ils jouent avec le feu. Mais tout à coup elle semble estimer qu’il est prudent de siffler la fin de la partie et se rapproche de lui en posant sa main sur son slip tendu par une raideur qu’il n’arrive pas à cacher :

- ça te dirait de faire une petite pause lui dit-elle d’un air provocateur et en passant au tutoiement ?
- avec plaisir lui répond-t-il en la prenant par la main et en l’entrainant vers le canapé après avoir posé ses appareils.

La tension est tombée et ils s’embrassent à pleine bouche sur le canapé. La main de Simone est dans le slip du photographe et coulisse sur le mandrin. Pierre explore toutes les formes de ma femme avec avidité mais elle se met à genoux sur le canapé, et lui demande de trouver un préservatif et de la prendre vite, là et maintenant. Il quitte son slip et on voit un sexe impressionnant, long et puissant, bien à l’horizontale, qui traduit bien son état.

Il enfile une capote que je lui tends et, attiré par le fessier large, bien ferme et encore bronzé de celle qui était son modèle il y encore un moment, entre dans la chatte déjà bien lubrifiée et commence à la pistonner. Elle l’encourage avec les mots classiques : prends-moi, oui, bien profond, comme cela, plus fort, continue, encore, je veux te sentir en moi, très loin, bien au fond, je suis à toi, fais-moi ce que tu veux, etc. Il l’embroche avec vigueur, et leurs cris d’excitation se mêlent. Heureusement que le studio est bien isolé. Rarement j’ai vu Simone réclamer comme cela d’être prise comme une chienne, d’avouer sa soumission, rarement je l’ai vue aussi femelle déchainée demander la saillie du mâle, les seins sortis du soutif et balançant au rythme des estocades. Ils ont pris leur plaisir pendant un temps qui m’a semblé interminable, sans se fatiguer et en continuant leur cris d’excitation mutuelle. Puis Simone a fait glisser sa main sous elle, a saisi les testicules de notre ami (elle a un bras assez long, et c’est ce qu’elle fait souvent), les a caressés puis pressés en lui demandant d’envoyer son jus, juste avant de jouir en extase.

Les deux amants se sont affalés sur le canapé. Pierre a enlevé sa capote pleine à craquer, puis ils se sont mis à se peloter tendrement. Ils n’ont pas repris de séance de photos ce jour-là. Avant de partir nous avons passé un bon moment à raconter notre retour de la dernière fois et la rencontre du jeune routier irlandais lors de notre retour. Pierre en a bien ri.

Nous avons encore fait trois visites à notre ami photographe dans les mois qui ont suivi, toujours en suivant le même protocole. Mais la partie prise de photo se réduisait de plus en plus. Lors de chaque visite, Pierre en profitait pour explorer un peu mieux le corps et les fantasmes de Simone, et rapidement il avait fait le tour de tous ses orifices, pour son plaisir et celui de la dame, avec tact et douceur. Ayant fait le tour du sujet, nous avons d’un commun accord arrêté ces visites, même si nous restons très bons amis. De temps en temps Simone admire le coin du placard ou elle a rangé tous les cadeaux de vêtements et de lingerie offerts par Pierre, et il lui arrive même assez souvent de les utiliser dans des circonstances diverses, avec toujours un petit souvenir pour notre ami photographe. Dans le fond de ce placard il y a aussi une petite boite contenant une demi-douzaine de clefs USB. Elles contiennent les photos prises par notre ami et il nous arrive de les regarder de temps en temps. D’après ce que nous avons compris, lui aussi se les visionne souvent sur son grand écran !

Un jour peut-être nous ferons appel à Pierre pour une sex-tape, c'est dans nos projets.
Dernière édition par Simone le Mer 12 Mai 2021 20:04, édité 9 fois.
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Re: Le photographe

Messagepar Cplenatacha » Mar 11 Mai 2021 21:55

Hummm, très excitant ce récit
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Re: Le photographe

Messagepar Cplenatacha » Mer 12 Mai 2021 04:04


Hum quel cul. Elle doit être bonne à prendre
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