Quelques jours dans le midi.(1ere partie)

Bonjour à tous.
Sophie ne vit mon texto que le lendemain matin, elle attendit d'être dans la voiture pour m'appeler.
Je l'avais couper, je voulais qu'elle me cherche, voir si elle tenait vraiment à moi.
Comme j'étais parti vers 22 heures, j'étais dans le sud de la France vers 9 heures du matin.
Je louais un mobil home pour la semaine du coté de Perpignan, allait faire quelques courses et retournais me reposer dans le mobil home avec des questions plein la tête.
N'ayant pas dormi de la nuit, le sommeil eut raison de moi.
Je me réveillais vers 16 heures et allumais mon téléphone.
Sophie avait ameuté tous nos amis de Mimi à Gérard en passant par Patrick, Pascal et compagnie.
J'écoutais les messages et comme je n'avais pas envie de parler, je ne rappelais personne. Quand mon tel sonnait de nouveau, je répondais car c'était Gérard, je ne pouvais pas faire autrement, il m'a toujours aidé dans ma vie.
Gégé -t'es ou Olive ?
Moi -dans le midi, j'ai loué un mobil home pour la semaine.
Gégé -Sophie te cherche partout, que s'est t-il passé.
J'expliquais en gros la situation et lui dis que au départ, cela me plaisait, mais que cela prenait des proportions trop importante pour moi.
Gégé -je te comprend, mais tu ne peux pas disparaitre comme ça, tu es marié, tu es responsable de ta femme tu sais, elle m'a déjà appelé 5 ou 6 fois, que vais je lui dire ?
Moi -la vérité, dis lui pourquoi je suis parti et les raisons que je viens de t'expliquer, je préfère être malheureux tout seul ici que de morfondre à Paris.
Gégé -je vais la rassurer déjà en lui disant que j'ai réussi à te joindre.
Moi -tu ne lui dis pas ou je suis, je ne veux voir personne, et dis lui que personne ne m'appelle, je ne répondrais pas.
Gégé -ok mon Olive, je descendrais te voir ce week-end, tu veux bien ?
Moi -toi, oui mais seul et fais tout de même un bisou à Sophie.

Une fois qu'il eut raccroché, Gégé appelait Sophie.
Gégé -Soso, je l'ai eu au téléphone, t'inquiètes pas, il va bien, il veut être seul c'est tout.
Sophie se mit à pleurer.
Gégé -ne pleures pas, il va bien, il a besoin de réfléchir, c'est tout.
Sophie -c'est ma vie Gégé, je ne veux pas qu'il me quitte.
Gégé -d'après ce qu'il m'a dit, tu as poussé le bouchon assez loin quand même.
Sophie -oui, je sais mais il était consentant, en plus Colette m'en a parlé hier et je lui ai dit aucun risque.
Gégé -j'espère que tu vas pouvoir le récupérer, je te le dis, cela va être très compliqué, faudra que tu l'as joue serrée, tu vois toujours ton guignol de foire ou pas ?
Sophie -pas depuis hier, juste par tel, j'y vais tout à l'heure.
Gégé -tu crois que c'est raisonnable ?
Sophie -je me sens seule, je ne vais pas rester à me morfondre et passer la nuit à pleurer.
Gégé -tu sais, je connais mon ami puisque je le connaissais avant toi, je vais t'expliquer, ce soir, il va boire, quand il sera saoul, il va t'appeler, comme tu seras avec ton zouave, tu ne répondras pas et donc il appellera ici sur le fixe et verras que tu n'est pas là. Il tirera comme conclusion que t'en à rien à foutre de lui.
Sophie -comprends aussi que j'ai besoin de voir Seb.
Gégé -alors, ne viens pas me dire que Mon Olive ,c'est ta vie, restes avec ton gugusse, je pense aussi qu'on a plus rien à se dire.
Gégé raccrochait.

Sophie ne s'attendait pas à cette prise de position de Gégé, elle se mit à réfléchir sérieusement.
Elle appelait colette et lui dit ce que Gégé venait de lui dire.
Colette -Gégé a raison, maintenant c'est ta vie, tu en disposes comme tu en as envie.
Sophie -une nouvelle fois, je suis perdue dans ma vie, pourquoi, cela marchait si bien tout les 3 ensemble.
Colette -tu lui as tout prit et ne lui à rien donné, je le comprend ton mari.
Sophie -je pensais réellement que cela lui plaisait tout ce que je complotait avec Seb contre lui.
Colette -faut croire que non, tu comptes faire quoi maintenant.
Sophie -je vais aller voir Seb, il va m'aider, j'en suis sur.
Colette -appelles le avant, tu risques d'entendre des choses qui pourraient ne pas te plaire.
Sophie -tu crois, il va bien comprendre que je suis perdue.
Colette -à mon avis, il va enterrer ton mari, pour lui, la voix est libre.
Sophie -merci Colette, je t'appelle si ça ne vas pas.
Colette -t'as intérêt, tiens moi au jus.

Sophie ne savait que faire car malgré tout ça, elle était tout de même très bien sapée. (mini jupe rouge, pull en V blanc, dessous noir et ses jambes gainées par des bas auto fixant noir avec une couture rouge).
Elle décidait d'appeler Seb.Sophie -allo, c'est moi.
Seb -tu l'as retrouvé ?
Sophie -oui, il a répondu à son ami qui m'a contacté ensuite.
Seb -impec alors, tu viens je t'attend, j'ai très envie de toi .
Sophie -je ne sais pas, j'aimerais bien l'avoir au téléphone avant.
Seb -tu rêvais de vivre avec moi, maintenant qu'on peut, tu hésites.
Sophie -je ne peux pas la quitter, il n'est même pas là pour que je lui dise.
Seb -on s'en fout, je viens te déménager demain et tu t'installes dans mes ateliers.
Sophie -non, cela ne se fera pas comme ça, je respecte mon mari.
Seb -je ne te comprend plus, désolé mais là, au moment ou l'on peut vivre ensemble, tu as des scrupules vis à vis de ton mari, jusqu'à maintenant tu aimais bien découcher pour venir dans mon lit, maintenant tu n'auras plus besoin de découcher.
Sophie -c'est parce qu'il était à la maison que j'aimais découcher, cela n'aura pas la même saveur.
Seb -de plus, j'avais accepté dans ma tête de te partager avec des hommes, je te laisse faire comme tu fais avec lui, t'auras la même liberté qu'avec lui.
Sophie -dommage que tu n'est pas prise cette décision plus vite.
Seb -je sais, tu vois si tu viens ce soir, je t'offre François, si ça c'est pas un gros cadeau, j'y connais rien.
Sophie -hum, tu m'appâtes comme tu es là, tu lui as dis.
Seb -c'était ta surprise pour ce soir.
Sophie -je viens mais s'il m'appelle, je lui répond que vous soyez là ou pas.
Seb -oui, on te laisseras même seule pour lui parler, ca te va.
Sophie -et tu sais, je n'ai pas spécialement envie de sexe, si on peux s'abstenir ce soir, ce serait bien.
Seb -on va pas te violer, n'aies crainte.
Sophie réfléchit encore près de 20 minutes, les paroles à Gégé résonnaient dans sa tête.
Sophie -allo Namour, je ne viens pas, je vais chez une amie, je serai mieux qu'au milieu de vous deux.
Seb -si tu veux, on viens nous si c'est la route qui t'embête.
Sophie -non, c'est mieux comme ça.
Seb -même quand il n'est plus là, il me pourrit la vie.
Sophie -respectes-le quand même, merci.
Seb -voila, on y est, tu veux pas le quitter.
Sophie -je t'ai dis ça, non que je sache.
Seb -je lâche l'affaire pour ce soir, bonne nuit, gros bisous Bébé.
Sophie -bisous.

Sophie -allo, allo.
Sophie avait rappelé Gégé mais il ne répondait pas.
Sophie ne savait plus quoi faire, elle était complètement perdue, elle aurait du aller chez Seb, mais elle ne voulait pas baiser ce soir, elle pensait qu'elle aurait du dire à Seb de venir seul.
Sophie ensuite pensait, sil était venu, j'aurai d partager mon lit avec lui, cela lui aurait plus avant qu'Olivier parte, mais maintenant, elle n'en avait plus envie.
Plus elle pensait et plus l'évidence se faisait, elle avait besoin de lui pour assouvir ces fantasmes là. Sans Olivier, plus rien ne se tenait, elle se rendait compte que finalement c'était Olivier qu'elle aimait réellement.
Sophie m'appelait mais je ne répondais pas.
Sophie (sur mon répondeur) -réponds moi Chérie, j'ai plein de choses à te dire, stp allez.
Je restais de marbre.

La nuit fut interminable, plus je pensais et plus mon esprit se bouchait avec en toile de fond, les ''je t'aime'' de Sophie à Seb, cela ne passait pas, même si je retournais avec, j'aurais toujours ce doute.
Je savais que pour elle, c'était simplement vouloir m'humilier et me rendre malheureux, je ne détestais pas ça, mais il me semblait qu'à la fin, elle ne jouait plus, c'était la réalité.
Je lui donnait tout, je ne l'empêchais de rien, elle baisait, gouinait et sortait quand elle voulait, je lui achetait ses robes, ses jupes, ses dessous et elle offrait tout à l'autre, j'aurai aimé quelle me laisse aussi en profiter.
Maintenant que faire ?

Le lendemain, je me réveillais vers 11 heures vu le peu que j'avais dormi, mon tel qui était en silencieux avait déjà sonné une dizaine de fois, dont 8 de Sophie. Elle voulait parler, parler et encore parler avec moi et me demandais ou j'étais pour qu'elle me rejoigne (Gégé n'avait rien dit).
Je lui envoyait un texto.
Moi -laisses-moi tranquille, cesses de m'appeler, je ne veux pas parler.
Sophie -ok, ne viens pas te plaide si je fous le camp avec Seb.
Moi -fais ta vie, t'occupes pas de moi.
Sophie -même mes menaces ne te touchent pas, tu dois vraiment être au plus bas, je t'attendrais le temps qu'il faut, je ne partirais jamais, j'ai compris une fois.
Moi -pars, je t'ai dit, je ne me suiciderai pas, n'aies crainte, des femmes, y'en a partout, pas des comme toi car tu es irremplaçable pour moi, mais je suis encore assez beau gosse, je trouverais.
Sophie -ne fais pas ça, tu connais ma jalousie, fais attention.
Moi -ce n'est pas pour de suite, faut que j'essaye de t'oublier et après je verrais quelle voie donner à ma vie.
Sophie -donc, tu me quitte ?
Je ne répondis pas, je voulais qu'elle aussi réfléchisse et tournes en rond dans son lit, s'il n'était pas déjà occupé pensais-je.

Gégé rappelait Sophie.
Gégé -tu m'a appelé, tu sais, on n'a plus grand chose à se dire, on s'est tout dit hier.
Sophie -je suis restée seule finalement hier soir, je t'en prie Gégé, dis-moi ou il est, je veux le voir, lui parler, le toucher, il me manque.
Gégé -je ne peux pas, je lui ai juré de ne rien dire et de toute façon, le seul qu'il veux voir c'est moi, je vais le rejoindre vendredi soir.
Sophie -emmènes moi avec toi, je me cacherai et s'il veux me voir, j'irai, sinon il ne saura même pas que je suis là.
Gégé -je ne sais pas, je te redirai ça, continues à bien te tenir et un dernier conseil, ne restes pas chez toi, ton gorille va à mon avis débouler chez toi.
Sophie -je suis bien chez moi Gégé, il y a tout ce qui me rattache à lui.
Gégé -fais comme tu veux, tu sais que je me trompe rarement.
Sophie -je reste chez moi.
Gégé -fais venir du monde alors.
Sophie -je veux être seule aussi.
Gégé -ok bisous.
Sophie -rappelle moi, bisous.

Bien sur, Seb voulait absolument voir Sophie.
Seb -allo Bébé.
Sophie oui, ça va ?
Seb -non, je suis en manque de toi, tu peux pas savoir donc si tu viens pas, moi je viens.
Sophie -non, je veux être seule chez moi pour le moment.
Seb -pourquoi ?
Sophie -tu ne comprend pas que tout ce que l'on faisait ensemble me plaisait parce que Olivier était là, sans lui, ça n'a pas des sens, on a besoin de lui, même toi, tu ne t'en rend pas compte, mais si on vit ensemble, la vie va être insipide.
Seb voila des mots auxquels je ne m'attendaient pas, tu es sure de ça ?
Sophie -oui, notre relation n'a du gout que si lui participe.
Seb -tu as surement raison, mais moi j'ai envie de toi, de sentir ton corps vibrer sous ma caresses.
Sophie -tu comprends ce que je viens de te dire, sans li, il n'y aura pas de piment, nous jouirons et orgasmerons, c'est sur mais il manquera ce piment de savoir qu'il m'attend.
Seb -donc on attend qu'il rentre, c'est ça.
Sophie -s'il revient, ce n'est pas sur, je le connait.
Seb -décides-le à revenir dans ces cas là.
Sophie -il ne répond pas à mes appels.
Seb -tu veux que j'essayes ?
Sophie -surtout pas, restes tranquille pour le moment.

Sophie m'envoyait un texto le soir.
Coucou Chéri, je sais que tu ne répondras pas mais je veux que tu saches que tu me manques énormément, ma vie sans toi est sans relief, tu es unique, je te l'ai souvent dis, réfléchis et reviens moi vite.
Effectivement, je ne répondis pas, je n'en avais pas envie. je commençais à m'en vouloir d'avoir céder à tout ses caprices, mais malgré tout j'aimais qu'elle se fasse baiser par d'autres hommes, je pensais que cela faisait parti de moi.
Même si je retournais avec elle, elle devait continuer, je ne pouvais pas m'en passer.
Je tenais le coup, je ne buvais pas une goutte d'alcool, par contre, je m'étais remis à fumer.
Le lendemain c'était vendredi et mon ami Gégé arrivait, je tenais absolument à ne pas trop parler de Sophie avec lui même si cela s'avérait impossible.

21 heures, le texto de Sophie arrivait.
Hello mon Amour, si tu savait comme les journée et les nuits sont longues, je ne pense qu'à toi, je veux que tu revienne vivre avec moi, je ferai ce que tu voudras et je ne te ferai plus souffrir même si tu aimais cela au fond de toi. Tu as toujours aimé me voir baiser, c'est vrai avec Seb, j'ai vraiment exagérer, mais pour moi, c'était un jeu qui me plaisait beaucoup, j'arrêtes tout ça et ne me consacrerai qu'a ton bonheur.
Gros bisous, je t'aime.
Je répondis.
Moi -mon bonheur c'est toi.
Sophie -je le sais, je vais changer, je te promet.

Quand Gégé arrivait vers 16 heures, je ne le sentais pas serein comme d'habitude, il regardais partout et ne semblait pas dans son assiette.
Moi -merci d'être là encore une fois pour moi, je ne te remercierais jamais assez de tout ce que tu as fais pour moi dans ta vie.
Gégé -de rien, c'est normal, alors que vas tu faire, est-ce que ces 5 jours tout seul t'ont permis de faire le point dans ta tête ?
Moi -j'ai réussi à mettre de l'ordre mais, il y a encore des gros points d'ombre.
Gégé -tu refumes, pas bon ça, alors tes sentiments envers Soso ?
Moi -tu les connais, je suis raide dingue d'elle, c'est ma femme et je l'aime.
Gégé -donc le souci, c'est son guignol alors ?
Moi -même pas, mais ils vont trop loin dans le candaulisme, même si je sais qu'il n'y a pas de limite dans cet espèces de jeu de couple.
Gégé -je te rassure, y'en a qui prenne leur mari pour des lopettes et les font souffrir à en mourir.
Moi -je sais, ce 'est pas mon désir.
Gégé -je sais, il faut que tu rentres et que tu t'expliques avec Sophie, tu ne vas pas gâcher ta vie, elle va se reprendre, j'en suis sur et certain, il va falloir fixer des règles bien définies et vous en tenir à ça.
Moi -ce n'est pas facile, crois-moi, j'ai envie de plein de choses avec elle, mais elle me prend tout et je ne reçois rien en retour, j'ai aussi besoin de bonheur.
Gégé -elle se croyait autoriser à tout à force que tu lui refuses rien;
Moi -si je ne voulais pas, cela lui donnait encore plus envie de le faire.
Gégé -elle a pris l'ascendant sur toi, faut que tu remettes les choses en place.
Moi -je ne sais pas lui dire non, je veux qu'elle soit heureuse tout le temps.
Gégé -va aussi falloir apprendre à dire non, la 1ere chose à faire, c'est qu'elle arrête avec son mec.
Moi -est-ce que j'ai envie de ça, je me pose la question tous les jours.
Gégé -effectivement, cela est un problème, mais tu peux restreindre certaines choses que tu ne pourra décider qu'avec elle, et pour ça faut lui parler, es tu préparé pour ça.
Moi -je pense que oui après devant elle, je perd mes moyens, je craque, je bégaye et ne dis pas la moitié des choses que j'ai à lui dire.
Gégé -pourquoi es tu si compliqué mon Olive.
Moi -je ne sais pas, je l'aime si fort, mais dis moi, je ne te sens pas dans ton assiette mon Gégé.
Gégé -surement un peu de fatigue.
Moi -non, il y a autre chose, je te connais mon vieux.
Gégé -oui as raison, je vais te le dire alors
Moi -tu as couché avec elle cette semaine, c'est ça ?
Gégé -t'es fou, je fais cela quand vous êtes tout les deux d'accord, non voila, Sophie est venu avec moi.
Moi mais non, t ne m'as pas fait ça.
Gégé -elle voulait être là et m'as dis que si tu ne voulais pas la voir, tu ne la verras pas et que si tu voulais parler, elle t'écouterai.
Moi -je ne sais plus, j'ai envie sans avoir envie, une chose est sure, j'ai envie de la serrer dans mes bras.
Gégé -alors, je m'éclipse et je te l'envoie, elle attend dans la voiture.
Moi -on déjeune ensemble demain midi, promet-le moi et que tout les deux, je te raconterai comme ça.
Gégé -oui, et après je prendrai la route avec ou sans Soso.
Moi ok mon Gégé, encore merci.

Je patientais sur la terrasse en fumant une clope.
J'entendais Sophie arriver et mon cœur battait plus vite, elle montait les 3 marches qui menait à la terrasse et je tombais dans ses bras en larmes, elle me serrait fort et pleurait aussi.
Moi -je t'aime Sophie.
Sophie -je t'aime Olivier.
Puis il y eu un gros blanc, on s'asseyait et je lui proposait un verre (soda ou eau, je n'avais que ça)
Sophie -tu as du café ?
Moi -oui, c'est du soluble amis c'est du café.
Sophie -alors j'en veux bien.
Sophie s'était fais belle, elle portait les affaires que je préférais, robe fuchsia, surement des bas et des petits talons, la connaissant, elle avait du mettre les dessous assortis à la robe.
Moi, je ne portait qu'un short à pince et une chemise.
Sophie -j''aime quand tu es habillé comme ça, cette tenue te vas bien.
Moi -tu es très belle aussi, tu n'as pas mis cette robe au hasard, rassures-moi.
Sophie -je n'ai pas changé, je veux toujours te plaire.
Moi -vu les dernières chose qu'on a vécu ensemble, je me suis posé la question, tu ne vivais que pour lui, je n'existais plus.
Sophie -je sais, j'ai trop abusé de toi, je pensais que cela te plaisait beaucoup, je me suis trompée, excuse-moi Chéri, je peux toujours t'appeler Chéri ?
Moi -si tu veux que je rentre, c'est même conseillé
Sophie -je veux que tu rentre, je suis à la rue sans toi.
Moi -pourtant, j'étais là tout les jours mais tu ne me voyais pas, aveuglée par ton désir de me faire souffrir et me rendre malheureux, cela m'a plu au départ, mais j'ai vite déchanté, je ne comptais plus et vous avez eu des mots que je n'ai pas pu supporter, d'où mon départ.
Sophie -pourquoi tu ne m'en à pas parlé ?
Moi -tu ne voyais pas ma souffrance, tu ne voyais que lui et ton fantasme fou.
Sophie -tu as raison, je ne le vois plus depuis que tu es parti, il fait parti de mon jeu avec toi, si tu n'est pas là, il n'y a plus de jeu.
Moi -tu ne l'as jamais aimé ?
Sophie -non, jamais, je jouais avec toi et tes sentiments, cela me plaisait et me plait toujours.
Moi -toi, tu es prête à continuer, ma souffrance t'importe peu.
Sophie -oh que si elle m'importe, la preuve, je suis là, si je m'en foutais de toi, je ne serais pas là, j'ai du implorer Gégé pour qu'il m'emmène ici.
Moi -mais tu veux continuer à jouer avec moi c'est ça ?
Sophie -oui, mais autrement, c'est toi qui décideras ce que je dois faire.
Moi -comment ça ?
Sophie -tu deviens le meneur de ma vie, tu me diras ce que je dois faire et j'obéirais, on ne peut pas se passer de sexe dans notre vie, tu aimes me partager, je veux continuer.
Moi -avec Seb, bien sur.
Sophie -il est en place, sinon, faut tout recommencer depuis le début.
Moi -si je reviens, je préfère recommencer avec un autre, cela amèneras encore plus de piment à notre vie.
Sophie -tu décides, j'obéis, espérons seulement qu'il continue à me faire travailler.
Moi -je ne t'ai pas dis de ne plus le voir, je veux le faire avec un autre ou je mènerais la barque.
Sophie -donc, je vais te le dire, il veux me partouzer avec son frère, tu dis quoi maintenant.
Moi -je suis ok, mais à la maison et je serai là.
Sophie -hum, j'ai hâte alors, donc tu rentres avec moi, tu fais de moi la femme la plus heureuse du monde, je t'aime Mon ANGE.
Moi -j'aimerai passer quelques jours ici avec toi, rien que tout les deux.
Sophie -oh oui oui mais je n'ai emmener que deux tenues hélas Chéri.
Moi -on ira acheter ce qu'il faut, t'inquiètes pas.
Sophie -tu refumes Chéri ?
Moi -oui, pour le moment, ça passera quand j'irai mieux.
Sophie -je vais vite te guérir, j'aimerai qu'on fasse l'amour tous les jours aussi, je suis en manque.
Moi -oui, moi aussi.
Sophie -offres moi Gégé avant qu'il ne reparte stp.
Moi -j'ai eu la même idée figures toi.
Sophie -toi et moi, on ne fait qu'un.
A SUIVRE.