La boulangère se lâche

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

La boulangère se lâche

Messagepar Simone » Dim 16 Mai 2021 17:46

On dit que souvent la réalité dépasse la fiction, mais dans nos aventures, cela nous est parfois arrivé.
Ce que nous redoutons par-dessus tout c’est de rencontrer un mec frustré qui veut tirer son coup et c’est tout.
Cela nous est arrivé une fois que nous n’avions pas beaucoup discuté avec notre hôte ni préparé notre rencontre.
Aussitôt arrivés chez lui, il m’a sauté dessus, prise sans ménagement et nous a dit merci et au revoir.
Nous sommes partis de chez lui piteusement, jurant de ne plus jamais recommencer cette stupidité.

Heureusement il y a aussi les belles rencontres, pleines de surprises, pas toujours anticipées d’ailleurs.
Avec l’expérience, nous privilégions les partenaires courtois et plein d’imagination qui nous parlent de leurs expériences.
En prenant un minimum de précautions dans ces échanges, et aussi en prenant tout notre temps, nous ne nous sommes jamais plus trompés.
Dans ce récit, pour une fois, je ne suis pas la seule héroïne, et je joue même un peu les seconds rôles.
Je vous raconte la première partie et je passe la plume à mon mari pour la suite.
Inutile de dire que nous nous relisons mutuellement.

Le récit de Simone

Comme nous l’avons déjà dit, la hantise des couples candaulistes c’est le mec qui veut juste tirer son coup,
mais c’est aussi le lapin du partenaire
ou la boite libertine désespérément vide ce qui arrive plus souvent qu’on ne le croit.

Pour éviter ces deux fléaux, nous avions à l’époque un stratagème qui a marché pas mal : un partenaire fiable à qui on propose un rendez-vous en boite permet de minimiser les deux risques et de multiplier les situations amusantes.

S’il vient c’est tout bon et s’il ne vient pas on peut espérer trouver notre bonheur dans la boite.
La probabilité que le mec ne vienne pas et que la boite soit vide est donc très faible.
Nous n’allions pas être déçus de cette stratégie ce jour-là !

Mon mari était depuis plusieurs semaines en contact avec Gérard, un représentant de commerce en textile qui travaillait sur le Sud-Ouest.
Un jour où nous étions libres, nous lui donnons donc rendez-vous dans une boite de Saint Jean d’Angély.
Gérard, est récemment divorcé et avec son ancienne épouse, il lui arrivait de fréquenter des boites comme l’Angely’s club que nous connaissions aussi.

Son souhait était de me considérer ce jour-là comme son épouse pour toute l’après-midi (il a un rendez-vous en soirée).
On sent la nostalgie chez le récent divorcé !

Michel, avec mon feu vert, lui avait donné son accord pour ce scénario.
La route depuis Nantes est assez longue, mais nous ne nous ennuyons rarement dans ces longs trajets dont l’objectif est assez ciblé.
Nous aimons surtout les aires d’autoroutes où on peut prendre une petite avance,
parfois discrètement observés par des voyeurs ou des chauffeurs dans leur cabine de camion surélevées.

En arrivant nous passons à un hôtel du quartier de Fossemagne, réservé à l’avance,
pour ne pas à avoir à rentrer directement sur Nantes au retour,
et nous prenons la direction de la boite dès que Simone s'est rafraichie et parfumée.

L’un des avantages de cette boite de Saint Jean d’Angély est son énorme parking discret situé à l’arrière de l’établissement.

Au moment prévu, nous venions d’arriver dans le fond du parking quand une belle Mercédès se gare à coté et que Gérard, un bel homme, grand et élégant en sort.

Il me fait la bise, salue Michel pour me demander si on est toujours d’accord sur le scénario, et me prend la taille pour m’entrainer vers le sas d’entrée de la boite où nous sommes accueillis par le patron.

C’est journée trio et Gérard dit au patron que lui et sa femme ont invité un ami, en désignant mon mari. Amusant !

Il insiste pour régler nos entrées.

Un mot de ma tenue.
Pour une fois j’ai oublié le tailleur et laissé tomber la jupe classique pour une robe blanche longue et un bustier blanc, classique et bien convenable.
Dessous j’ai des sous-vêtements blancs assortis avec une jolie porte-jarretelle brodé et des bas également blancs.
Bref la journée du blanc.

Gérard ironiquement souhaite un bel après-midi à mon mari qui s’est installé sur un tabouret au bar et il m’entraîne sur la piste pour un premier slow de prise de contact qui nous permet aussi de découvrir la salle.

Pas la foule en effet car seules deux alcôves sont occupées.

Un couple de 40-50 ans que l’on sent un peu tendu dans la première, surement pas des habitués.
Par contre il y a plus d’ambiance dans la seconde alcôve occupée par quatre jeunes gaillards de type sportif qui sont certainement venus draguer la bourgeoise, une activité de plus en plus populaire chez beaucoup de jeunes hommes célibataires en ce moment.

Gérard m’embrasse sans attendre et me dit qu’il est ravi d’avoir une femme comme moi.
Maintenant divorcé, il me parle de sa précédente épouse qu’il adorait offrir à d’autres hommes en club, mais ce n’est pas cela qui a entrainé leur rupture.
Il me dit que le plaisir d’avoir une belle femme c’est aussi de pouvoir la montrer et de voir des regards d’envie se porter sur ses formes.

Tout en parlant il se rapproche du couple dans le box, jusqu’à le toucher en dansant.
L’homme ainsi provoqué réagit en glissant une main sous ma robe et en opérant une longue caresse remontante du mollet jusqu’à la cuisse.
Sa femme ne bouge pas et semble un peu coincée.

Toujours au rythme de la musique langoureuse, il vient alors devant l’autre alcôve où les quatre jeunes font maintenant silence.
Même manège, sauf que je sens maintenant plus de mains qui me caressent
et qui partent en exploration sous ma robe,
beaucoup plus hardies que celles du Monsieur précédent.
Il y a une main qui pelote mes fesses,
une autre qui me caresse l’intérieur des cuisses au niveau du porte-jarretelles
et une autre qui commence à s’attaquer à mon entre-jambe, par-dessus le slip.

Visiblement mon cavalier ne veut pas pour le moment aller plus loin et en reste à ces opérations de teasing.
Nous retournons au centre de la piste et je fais un petit geste amical à mon mari, toujours tristement assis sur son tabouret, en discussion avec le barman.

Mon cavalier a remonté ma robe et la maintient à ma taille, laissant mon postérieur encadré des porte-jarretelles à la vision publique.
Il retourne vers le couple dont le monsieur me caresse doucement les fesses devant sa femme qui ne désapprouve pas mais qui reste apparemment impassible.
Je crois que mon cavalier aurait voulu me faire caresser par une femme, mais ce ne sera pas pour aujourd’hui.

L’ambiance n’est pas la même quand nous arrivons au groupe des vigoureux jeunes
et je sens immédiatement la différence avec toutes ces mains qui me caressent et m’explorent.
L’une d’entre elles remonte les cuisses de l’intérieur et une autre écarte le slip par derrière
et vient doucement et effrontément caresser ma petite rondelle.
Mais le plus hardi a fait passer un doigt par devant et vient délicatement s’introduire dans mon sexe déjà bien humide.

Tout en m’embrassant à pleine bouche,
mon cavalier me laisse un peu à la disposition de ces quatre mâles qui sont aux anges,
mais soudainement il décide encore que l’on a été assez loin et nous revenons au centre de la piste.
Les garçons sont déçus.

Je m’aperçois alors que mon mari a rejoint le couple avec son verre.
Je vois avec plaisir qu’il est assis à côté de la dame qui est épanouie et plantureuse, avec un décolleté des plus accueillants.
Gérard quitte alors mes lèvres pour ouvrir mon bustier et sortir mes seins des balconnets.
Puis tout en dansant, il repère l’agrafe et fait tomber ma robe si bien que je suis maintenant en porte-jarretelles et seins nus au milieu de la piste.
J’ai déjà été dans cette situation et cela ne me gêne pas plus que cela.

Très galant Michel vient ramasser ma robe et retourne vers son couple.
Mais mon cavalier n’a pas l’intention de s’arrêter là.
Il me retourne et nous dansons dans cette position inversée, lui collé dans mon dos, les mains sur mes seins et présentant mon avant à la salle.
Une première pour moi. Je trouve cela excitant car je sens son engin de belle dimension bien calé entre mes fesses.

Il joue avec mes seins en les encapuchonnant, en les remontant, en les écartant,
en leur donnant des petites claques, en les faisant se balancer de bas en haut et de gauche à droite.

Les garçons dans leur box ne perdent pas une miette du spectacle.
Nouveau tour de piste et je repasse devant le couple.
Cette fois le monsieur ose me toucher la chatte et mon mari, amusé, me titille les tétons qu’il sait très sensibles.

La femme ne bouge toujours pas, insensible à la scène, même si elle a croisé les jambes et si son mari a agrandi l’ouverture de son corsage et y a glissé une main.
Par contre, on sent une attente fébrile chez les jeunes dès qu’ils nous voient revenir vers eux.
Avec excitation ils se lèvent maintenant de leur siège.

Gérard est toujours derrière moi et me présente à eux comme une épouse que l’on offre.
L’un m’embrasse sur la bouche et l’autre me suce les seins.
Les deux autres sont à genoux devant moi et ont fait glisser mon slip à mi-cuisses. Je sens deux langues qui me lèchent, l’un le haut des cuisses et l’autre la chatte.

L’un des jeunes s’est maintenant assis et a sorti une belle verge de sa braguette et se branle doucement en me matant.
Toujours derrière moi, Gérard me fait pencher en avant jusqu’à ce que mes lèvres arrivent en contact avec cette jeune bite longue et bien dure.

Je suce et mes seins ballotent, parfois enveloppés de mains baladeuses.
Je sens derrière moi mon cavalier qui enveloppe son sexe de latex et qui me pénètre sans prévenir.

L’un des jeunes pressemes seins jusqu'à me faire mal pendant que Gérard me besogne énergiquement et vigoureusement, son chibre de belle taille bien planté dans ma chatte bien lubrifiée.

Il encourage les jeunes en leur disant de « bien peloter sa femme, car elle aime ça », de surtout de bien lui peloter la poitrine.
Ils ne se contentent pas de me peloter les seins, ils pressent très fort, ils tirent sur les pointes, ils les claquent.
Ils malaxent durement ces mamelles qui pendent, jusqu’à me faire mal.

Gérard les excite en leur disant de bien profiter de son épouse, une mère de famille qui veut s’encanailler ce soir.

Il me lime en profondeur et les jeunes aussi l’encouragent des mains et de la parole,
ce qui fait qu’il finit par décharger longuement, en long jets successifs et en criant.

J’ai une bite enfoncée profond dans la gorge, ce qui assourdit mon propre cri de jouissance.
Gérard montre la capote pleine de sperme comme un défi aux quatre jeunes qui l’envient, la bite encore raide.
Il se relève et me prend dans ses bras en m’enlaçant tendrement et en me conduisant vers mon mari.

Il s’adresse alors à Michel en lui disant qu’il doit partir pour une obligation professionnelle urgente
et qu’il lui confie son épouse pour le reste de la soirée, avec un clin d’œil complice.
Il a remarqué comme moi que la dame a maintenant les cuisses écartées,
la jupe relevée montrant un porte-jarretelle noir,
et la main de Michel fouraillant sous la jupe et explorant des espaces encore cachés.

Mais la belle bourgeoise du couple n’a pas l’air troublée, ce qui m’étonne.
Elle regarde ces gestes comme si elle était au spectacle, dans une pièce de théâtre ennuyeuse.

Je reprends ma robe et je me rhabille pendant que mon amant quitte l’établissement.
Je viens m’assoir du côté du monsieur du couple et j’observe que Michel n’arrive pas à faire basculer sa voisine dans une grande volupté.
La soirée n’est pas terminée, mais je laisse Michel raconter la suite qui elle aussi fut assez surprenante.


Le récit de Michel

Simone a raconté fidèlement le début de la soirée.
Ce qu’elle ne savait pas c’est la discussion que j’avais avec ce couple de commerçants bordelais.
La dame très BCBG était assez peu loquace, mais j’ai bien sympathisé avec son mari qui m’a raconté leur histoire.
Mariés très tôt à 18 ans, ils ont repris une boulangerie familiale d’un gros village du Bordelais.
Leurs deux enfants sont partis et il ne leur reste que leur commerce qui marche très bien,
surtout depuis qu’ils approvisionnent de nombreux dépôts de pain de la région.

Mais sexuellement il ne se passe plus rien entre eux depuis plusieurs années.
Lui vit mal cette situation et elle aussi, mais malgré quelques efforts d’habillement, elle semble « bloquée » sur ce plan (c’est son terme à elle)
et c’est ce qui les a incités d’un commun accord à venir aujourd’hui dans cette boite,
essayer de trouver quelqu’un qui les aide à « débloquer » la situation.

C’est elle qui a utilisé ce terme de blocage et en plus d’être charmante avec ses formes rebondies,
elle a pourtant une voix très féminine et très sensuelle pour le dire.
Elle confirme ce que m’a dit son mari.
Elle y a mis pourtant beaucoup de bonne volonté,
jusqu’à se passer souvent les vidéos de Jacquie et Michel ou de xHamster sur sa tablette au lit,
hélas sans effet.

L’épouse du monsieur se nomme Denise est loin d’être laide,
bien en chair et très coquette, et même féminine,
mais un peu sur la défensive.

Je la vois très bien dans sa boulangerie servir les clients du village qui en prenant leur baguette
jettent discrètement un œil dans le corsage bien garni de la boulangère.

Je lui caresse la cuisse, elle n’enlève pas ma main mais ne bouge pas.
Alors, avec l’approbation implicite du mari, je passe ma main sous sa jupe,
au-dessus de son porte-jarretelles mais toujours aucune réaction.

Voulant en avoir le cœur net, je pousse l’index au cœur de la chatte de la dame, et je le fait coulisser.
Elle est un peu humide, mais par contre pas un trait de son visage ne bouge.
On dirait que la boulangère est à son comptoir, une statue !
Pas gagné !
J’insiste en titillant son clito.
Elle me regarde d’un sourire un peu triste,
mais qui semble me suggérer de continuer.

C’est alors que Gérard, l’amant de Simone, est parti et on s’est détendus
quand je leur ai raconté toute l’histoire du faux mari et de la femme prêtée.
Pour la première fois j’ai vu Denise sourire et même éclater de rire.

Simone nous avait rejoints et le boulanger nous a proposé de commander une bouteille de champagne.
Je lui ai suggéré de faire porter la bouteille dans un petit espace semi-fermé à l’étage, avec un lit rond au milieu, et d’inviter aussi les quatre jeunes car il n'y avait que nous dans l'établissement.

Aussitôt dit, aussitôt fait.
Nous sommes tous montés, installés, et bientôt le barman arrivait avec des coupes et une commande de trois bouteilles offerte par le mari,
ce qui nous a permis de sympathiser.
J’ai rapidement mis mon épouse au courant de la situation du couple de boulangers et donc du challenge.

Le champagne a dégelé un peu tout le monde.
Les quatre garçons étaient chauffés à mort par l’épisode précédent où ils avaient aidé son amant à prendre Simone, mais n’avaient pas pu finaliser.
J’avais bien vu leur état quand j’ai proposé à Denise de s’allonger sur le lit,
pour faire un jeu et je lui ai demandé de choisir celui des jeunes qui lui plaisait le plus.

Gros silence. Je lui répète qu’elle doit choisir, même en montrant du doigt.
Comme tout le monde la regarde, elle finit par désigner Luc, le plus jeune de la bande, et celui-ci la rejoint sur le lit.
Commence alors un petit jeu de « Jacques a dit ».
Je ne donne que les directives effectives, pas les fausses commandes :

Denise, Jacques a dit de t’allonger sur le dos.
Luc, Jacques a dit d’embrasser Denise sur la bouche.
Denise, Jacques a dit de t’allonger sur le ventre.
Luc, Jacques a dit de caresser les fesses de Denise sur sa jupe.
Denise, Jacques a dit de te mettre à genoux et de retrousser ta jupe.
Luc, Jacques a dit de baisser le slip de Denise sur ses cuisses.
Denise, Jacques a dit de te remettre sur le dos.

Pour le moment nos deux joueurs répondent parfaitement et immédiatement aux suggestions devant l’assistance
et je joue le maître de cérémonie car je crois que Denise a confiance en moi, même si je n’ai pas réussi à l’émouvoir à ce stade.

Quelques petits applaudissements encouragent les mouvements de Denise qui se laisse aller au jeu,
mais que ça n’a pas l’air de l’émoustiller le moins du monde.
Devant ce public elle n’ose pas refuser, pour ne pas avoir à faire machine arrière et décevoir son mari qui est aux anges et qui l’encourage.

Elle est belle cette femme mariée, cette mère de famille maintenant allongée impudiquement avec ses cuisses grosses mais fermes,
gainées de bas noirs, avec sa jupe retroussée sur une belle toison brune encadrée des porte-jarretelles.
Visiblement elle n’a pas compris comment elle s’est trouvée dans cette situation où son intimité est exposée à des inconnus,
probablement pour la première fois de sa vie.
Elle donne l’impression de vivre dans un monde irréel.

J’oublie le jeu de Jacques a dit et suggère à un autre des jeunes de venir sucer la belle femme,
et un volontaire se propose immédiatement.
On entend des grands ‘slurp’ et autres bruits de léchouille et la boulangère se laisse faire,
mais pas un seul gémissement de plaisir ne sort de sa bouche pour le moment.

Je fais alors entrer un autre des amis sur la scène en lui demandant d’ouvrir le corsage de la femme et de sortir ses seins.

Ils sont magnifiques ses beaux seins lourds de nourrice, très fermes, qui ont sans doute nourri plusieurs enfants
et qui sont maintenant offerts à ces jeunes voyeurs.

Le gars malaxe cette poitrine de rêve et suce des tétons si généreux que l’on a presque l’impression d’en voir sortir du lait.
La boulangère sent qu’elle glisse pour la première fois dans le libertinage et se laisse fouiller par le regard de plusieurs inconnus dont l’un a même pris le contrôle de son clitoris avec sa langue et la suce avec vigueur.
De temps en temps elle regarde son mari avec un léger sourire qui en dit long.
Le plus dur est fait, mais ce n’est pas encore gagné.

Elle semble aimer mais est encore loi de basculer dans l’extase.
Le dernier des garçons monte alors sur le lit, sort sa verge et la passe et la repasse sur les lèvres de la dame.
Elle garde la bouche fermée.
Alors il appuie sur ses joues et fait rentrer de force sa bite dans la bouche de la mère de famille.
Sans doute la première pipe de sa vie à un inconnu.

Il commence à coulisser et d’une main soulève la tête de la femme pour pouvoir rentrer plus profond.
Elle déglutit, semble à deux doigts de vomir, mais finalement accepte les va et vient.

Celui qui suçait sa chatte laisse sa place à son pote qui a enfilé une capote
et qui laisse son engin de belle taille à l’entrée de la grotte cachée dans la toison.
Le bout agace le petit clito de la dame qui a l’air d’aimer mais qui se refuse toujours au moindre signe extérieur de jouissance,
au moindre petit gémissement de plaisir.

Le mari demande à sa femme si elle veut qu’il entre et pour la première fois on entend sa douce voix qui dit « Je ne sais pas ».

Le mari lui demande de dire au gars de la prendre mais elle répète « Je ne sais pas » une seconde fois.

Il lui demande alors si elle veut tout arrêter.

Un grand silence puis elle dit très fort « Non allez-y, prenez moi tous, défoncez moi ».

Alors c’est le feu vert, le déchaînement.
Celui qui était au bord rentre brusquement et elle crie de surprise.
Il la pistonne en écho à son collègue qui maintenant fait rentrer sa bite au fond de la gorge de la boulangère,
en cadence, même quand elle proteste.
Mais elle est maintenant déchainée et leur répète de la prendre, de jouer avec elle comme ils le veulent.
Comme elle le dit, elle semble ‘débloquée’ !
Ils la retournent et la mettent en position de levrette. Ils se passent le relai.
L’un se couche sous sa tête et lui remet sa bite en bouche tandis qu’un autre la pistonne comme un forcené.

Simone a bien compris la situation et pour les encourager leur dit que le premier qui fait jouir la dame,
elle lui fait une turlute dont il se souviendra toute sa vie.

Ils sont excités tous le quatre et ils s’acharnent sur ce beau corps de mère de famille mature comme des chiens en rut,
en la retournant et la déplaçant au gré de leur plaisir, en la prenant chacun à son tour,
en explorant de leurs doigts tous les orifices non occupés par leurs potes, en ne laissant aucun pli de son corps inexploré.

Ce qui est surprenant c’est que maintenant elle se laisse faire et on dirait même qu’elle anticipe leurs souhaits
dans des petits cris plaintifs et jouissifs.
Ils lui demandent de s’agenouiller et elle s’agenouille,
ils lui demandent de lécher leurs couilles et elle passe sa langue sur leurs testicules, de l’arrière à l’avant.

Comme elle n’avait sans doute jamais fait cela elle-même, on peut imaginer qu’elle reproduit ce qu’elle a souvent vu dans des vidéos de cul.

Elle semble rapidement ’échauffer et commencer à prendre du plaisir.
Le plus grand des quatre prend sa place derrière Denise toujours à genoux. Il vient de remettre un nouveau préservatif.
Derrière lui, au pied du lit, Simone lui caresse les fesses et l’encourage en lui disant « Alors mon étalon, va-z-y, fais jouir la dame ».
Brutalement il s’enfonce à fond dans la chatte de la boulangère et commence une folle chevauchée.

Et le miracle se produit alors.
Elle commence à bramer et crie « plus fort, plus fort ».

Elle sort tout ce qu’elle a entendu dans les vidéos pornos vues le soir, et l’encourage à aller plus vite, plus fort et plus profond.

Ce soir la bonne mère de famille est devenue une femme, une chienne,
une amante prise comme une putain par des inconnus.
Son mari est aux anges.

Le garçon décharge alors, enfoncé à fond dans sa chatte et se retire.
Mais, surprenant tout le monde, la boulangère dit qu’elle en veut encore.

Toujours à genoux, elle nous présente son large fessier de femme honnête et attend sans bouger le prochain mec.
Alors ils vont tous y passer, la prenant en salope, en la faisant couiner et crier comme elle ne l’avait jamais encore fait, devant son mari tétanisé.
Défoncée par les quatre beaux mâles, elle est maintenant allongée sur le dos comme une poupée désarticulée,
le corsage ouvert, les seins qui sortent, les cuisses grandes ouvertes,
la toison souillée par des traces de semence comme l’herbe qui a reçu la gelée du matin.

Elle me regarde d’un petit air coquin et me dit qu’elle prendrait bien une dernière saillie,
en utilisant volontairement ce terme cru et campagnard pour bien me montrer qu’elle assume en femme libérée.

Plus rien à voir avec la ménagère de 50 ans que j’avais essayé de chauffer sans succès en début de soirée.
Je sors mon sexe, le protège et la besogne à un rythme plus cool que les garçons, en lui tirant cette fois quelques beaux gémissements.
Elle se caresse le clito pendant que je la prends et m’encourage à la pilonner plus fort.
Je lui enone mon idex dns l'anus pendant que je la besogne et ça semble lui plire puiquelle a crié "oui".

Un plaisir de voir la mère de famille devenue femelle libertine.
Sur le point de venir, je sors, enlève la capote et déverse mon sperme sur sa toison brune.
Le pantin désarticulé ressemble au tableau de Gustave Courbet l’Origine du Monde, souillé de semence en plus.

Je crois que s’il y avait eu une équipe de rugby de disponible,
elle leur aurait demandé de tous l’honorer sur le champ.
Son mari a un air à la fois heureux et fier et l’embrasse tendrement.
Un moment de repos passe, la belle femme libérée impudique et toujours avachie sur le lit, les cuisses écartées avec quelques traces de sperme sur ses bas noirs, se demandant ce qui a bien pu lui arriver.

On entend alors nos quatre gaillards qui, revenant de la douche et la taille entourée de serviettes de l’établissement arrivent dans la salle un peu goguenards en demandant à Simone si elle n’aurait pas oublié une petite promesse.

En rigolant elle leur dit, « Pas du tout. Messieurs, je suis à votre disposition, si du moins il vous reste encore un tant soit peu de vigueur ».
Elle est habillée comme lors de son arrivée dans la boite.
Ils l’entourent et commencent à la peloter.

Leurs serviettes tombent et ils ont l’air d’enlever les habits de mon épouse comme on épluche un beau fruit.
Son bustier est ouvert puis enlevé et jeté sur le lit.
Sa robe est enlevée et suit le même chemin.
Ils n’en restent pas là et dégrafent aussi son soutien-gorge, puis font glisser son slip.
Tous ces vêtements finissent en tas sur le lit pendant que huit mains caressent la belle
à qui il ne reste que ses bas et son porte-jarretelles blanc,
puisqu’elle a aussi quitté ses chaussures à talons.

C’est alors qu’ils empoignent Simone et la portent sur leurs épaules
comme un trophée en se dirigeant vers le Spa du club situé à l’autre extrémité de l’établissement.
Elle gigote et crie, ne sachant pas ce qu’ils veulent faire d’elle.

Mais leurs intentions sont pacifiques et le groupe descend dans le spa par l’escalier de carrelage,
en prenant le plus grand soir de leur précieuse proie.

Chaque bras et chaque jambe tenus par l’un des solides gaillards,
ils la font descendre dans l’eau du Spa comme dans un jeu de tape-cul.
Le tissu des bas et du porte-jarretelles est trempé et donne une impression d’abandon à la belle.

Ils la laissent tremper dans le Spa et viennent s’asseoir sur le bord en carrelage.
Spectacle fantastique car le déshabillage, l’enlèvement et le trempage de la belle les ont tellement excités qu’ils bandent à nouveau comme des faunes.
Simone se lève dans l’eau bouillonnante et commence à sucer le premier des garçons.
Elle fait feu de tout bois en jouant avec ses seins dont elle frotte les pointes sur le sexe long et dur.
Ses mains ne restent pas inactives et enveloppent les couilles pendant qu’elle suce.
Le premier garçon gicle et elle avale tout avant de passer au second.

Elle lui fait une cravate de notaire avec sa poitrine généreuse et reçoit sans s’y attendre la décharge sur ses seins.

C’est agréable avec les jeunes dit-elle car ils rechargent vite comme les téléphones portables neufs !

Elle passe au troisième et lui fait une gorge profonde.
Il appuie sur l’arrière de sa tête pour lui imprimer la cadence et au bout d’un moment
il crie en déchargeant aussi tout au fond de sa bouche.
Et de trois.

Elle passe alors au ‘dernier des mousquetaires’ comme elle dit !
Il est sous pression ce dernier mousquetaire car ses amis encouragent Simone.

Elle essaye le même traitement mais pour le moment sans effet.
Elle le regarde dans les yeux comme pour lui demander ce qu’il préfère, mais rien ne vient.
Elle lui caresse les couilles et il grogne.
Elle continue à le sucer et lui soulève les couilles et il grogne encore plus.
Elle masse l’arrière des testicules et le périnée.
Il a l’air d’approuver et grogne de plus en plus.

Alors elle se décide et lui plante son index dans le trou du cul en le faisant coulisser.
Elle a trouvé son point faible.
Dans un grand cri de jouissance il lui envoie tout son foutre dans la bouche.
Fière elle se redresse, la bouche pleine, les bas et le porte-jarretelle dégoulinant d’eau, un jet de sperme restant sur la joue,
et les regarde fièrement en disant « Contrat rempli, je vous souhaite une bonne soirée messieurs ».

Simone se rince le visage dans le Spa pour enlever les traces de foutre qui restent,
se sépare de ses sous-vêtements trempés et retourne dans le box où j’ai déposé ses habits,
ne mettant que sa robe, son bustier et ses chaussures.

Elle est à poil en dessous, mais la soirée est à nous deux et je n’en parlerai pas car sans surprise elle ira jusqu’à l’hôtel dans cette tenue.

Le couple de boulangers est déjà sorti discrètement.

Je prends le reste des fringues et nous les suivons avant de rejoindre notre hôtel pour une bonne nuit de repos.

Ce fut l’une de nos soirées les plus mémorables.
Nous sommes un couple candauliste complice actuellement confinés.
Plus de rencontres donc, mais nous essayons de nous faire de nouveaux amis pour "après".
Pas VIP, donc laissez des réponses dans les forums et on essayera de répondre.
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Re: La boulangère se lâche

Messagepar cuckoldmaster » Mer 26 Mai 2021 17:41

très belle histoire...
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Re: La boulangère se lâche

Messagepar Sewpicky » Jeu 24 Juin 2021 20:40

Superbe souvenir !

Les photos sont inutiles tellement les détails mettent l'eau à la bouche, la cyprine aux lèvres, le liquide seminal au gland!
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Re: La boulangère se lâche

Messagepar pascaljean_fr » Jeu 24 Juin 2021 23:28

Incroyable cette femme plutôt discrete et coinsée qui se déchaine ainsi avec ces 4 jeunes hommes! as tu eu le loisir de la conduire à nouveau vers d'autres plaisirs libertins ?
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Re: La boulangère se lâche

Messagepar Bobby77410 » Dim 11 Juil 2021 10:26

Très belle histoire, on en redemande…
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Re: La boulangère se lâche

Messagepar Juliendes » Jeu 22 Juil 2021 17:30

Superbe récit divinement bien raco.te très excitant
Cocufieur, oui mais en presence du Cocu!
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Re: La boulangère se lâche

Messagepar elle et moi » Dim 22 Aoû 2021 10:39

Une belle histoire qui me donne envie de vous confier ma femme :D ;)
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elle et moi
 
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