du changement, mais toujours du candaulisme.

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Ven 25 Mar 2022 09:30

Tu verras parl a suie que ce n'est pas une tournure gay mais une sorte de jeu entre Sophie et Olivier.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Ven 25 Mar 2022 09:38

Dans la journée, j'envoyais un texto à Ludo, voici l'ensemble de la conversation.
Moi -salut Ludo, merci pour cette soirée.
Ludo -de rien, ce fut un réel plaisir, à refaire quand vous voulez.
Moi -jeudi prochain si tu es disponible.
Ludo -oui, je ne bosse pas, les fons de moi sont dures à finir.
Moi -oui, la vie augmente tout les jours, courage à toi.
Ludo -oui, je cherche mais c'est toujours pareil, pas assez d'expérience, votre profil ne correspond pas, ils ne se doute pas qu'on doit payer le loyer, le téléphone, l'électricité etc.
Moi -tu as un appartement en plus.
Ludo -oui, mais je vais devoir le quitter, j'ai 3 mois de retard de loyer et ce n'est pas ce mois-ci que je vais rattraper mon retard.
Moi -saches que notre maison est ouverte si tu te retrouves sans logis, on peux te dépanner quelques mois.
Ludo -merci Olivier, c'est gentil, je te dirais la site des évènements.
Moi -à jeudi alors.
Ludo -oui sans problème.
Je transférais le tout à Sophie.
Sophie - la chance est avec nous on dirait.
Moi -oui, mais ne nous avançons pas trop, il suffit qu'il trouve du boulot et notre plan s'envole, croisons les doigts.
Sophie -je te laisse, je suis avec Barbara.
Moi -ça va être chaud ?
Sophie -ça l'est déjà.
Ensuite, j'eus des nouvelles de Maude qui arrivait à 18 heures gare de Lyon.
Maude -tu viens me chercher ?
Moi -oui, j'ai hâte de te voir.
Maude -comme ça, on passe chercher tes strings si tu veux ?
Moi -oui, je n'y avais pas pensé.
Je récupérais Maude à l'heures dites et allions place Pigalle, ça grouillait de monde et j'eus un mal fou à me garer.
Maude -ça va être le 1ere fois que je rentre dans sex-shop.
Moi -fais un vœu alors.
Maude -c'est fait.
Nous entrions, j'allais directement au rayon string pour hommes où Maude les trouvait tous magnifiques.
Moi -allez choisis, je te laisse le choix.
Elle en choisis 4 et je me dirigeais pour payer.
Maude -attends, je regarde les robes.
Elle était émerveillé de ce qu'elle voyait.
Maude -incroyable le choix qu'il y a .
Moi -et si tu devais en choisir une, tu prendrais laquelle ?
Maude -sans hésiter, la rouge.
Moi -joli choix.
Cette robe était courte, ouverte derrière et avait un décolleté qui descendait en dessous des seins et était brillante.
Moi -prends-la, je te l'offre.
Maude- -tu as vu le prix.
Moi -prends je t'ai dis.
Je payais ce que je devais et on rentrait chez Maude.
Maude (merci mon Amour pour ce magnifique cadeau.
Moi -tu la met quand ?
Maude -pas ce soir, surement dimanche soir.
Moi -pourtant, Jean-mi est là ce soir.
Maude -c'est toi qui décide, demain soir, je mets la robe noir plissée.
Moi -remets ta combinaison rose, j'aime te voir avec et c'est pratique pour te faire bouffer les seins.
Maude -tu veux, tu auras.
Moi -et mets un tanga en dentelle, je veux qu'on voit ce que tu portes en dessous.
Maude -oui, tout ce que tu veux Chéri.
En arrivant au pub, sur le parking, Jean-mi était là, il nous attendait.
Moi -quelque chose ne vas pas Jean-mi.
Jean-mi -tout va bien mis à part que ta femme me rend fou, je ne pense qu'à elle jour et nuit.
Moi -oui, mais c'est ma femme et je ne crois pas qu'elle va me quitter pour toi.
Maude -c'est même sur et certain.
Jean-mi -et si on faisait ménage à 3, ainsi, je te verrais tout les jours.
Maude -hors de question, le plaisir c'est de se voir une à 2 fois par semaine, je ne t'aime pas, c'est sexuel, point final.
Jean-mi -ok, j'ai compris, je vais prendre ce que tu daignes me donner, je ne vous ennuierais plus avec ça.
Moi -c'est mieux ainsi, les choses sont claires entre nous.
Nous reprenions notre table habituelle et le serveur me ramenait ma bouteille de vodka non terminée de la semaine précédente.
Jean-mi s'installait en face Maude comme s'il voulait la punir d'avoir refusé son offre de ménage à 3.
Je sirotais mon whisky et Maude sa vodka, quand Jean-mi se levait et allait saluer surement un pote à lui.
Maude -un ménage à 3, il est fou NON !
Moi -au moins, il a eu la franchise de le dire.
Maude -c'est moi qui est répondu à cette question, toi tu ne m'as pas donner ton avis.
Moi -je n'en ai pas d'avis justement.
Maude -tu as bien une petite idée de ce que tu aimerais ?
Moi -non, franchement non.
Maude -tu ne sais pas mentir, je le vois sur ton visage.
Moi -je te promet.
Maude -toute façon, je le saurais quand on fera l'amour.
Moi -non, j'en suis sur, je n'ai pas d'avis.
Jean-mi revint avec son pote qu'il nous présentait (Manu) et une bouteille de vodka.
Cette fois-ci, il se mit à coté de Maude.
Jean-mi -Manu était en voyage dans son ile(La Réunion), il est rentré avant hier, c'est un habitué du pub.
Moi -tu es vraiment de là-bas ?
Manu -oui, je suis né là-bas et exilé ici à l'âge de 5 ans, ma famille est resté au pays et j'y retourne 15 jours tous les ans, un peu plus quand mes moyens me le permettent.
Maude -votre ile doit être merveilleuse, j'aimerai y aller au moins une fois.
Manu -je vous le souhaite.
Jean-mi n'avait pas perdu de temps, il caressait les fesses de Maude qui s'était volontairement avancée dans la banquette afin qu'il puisse bien la caresser..
Moi, je pensais, j'espère qu'il n'a rien dit à Manu, je ne voulais pas que Maude passe pour une fille facile.
Un couple s'était attablé à coté de nous, elle blonde cheveux long, une robe assez courte, quand à lui, il était quelquonque, je me demandais même ce qu'il faisait ensemble, en tout cas, il y avait une bouteille de champagne et une bouteille de whisky sur la table.
Maude -arrêtes de la mater où je sors dehors avec Jean-mi.
Moi -je ne le mate pas, je me demande simplement ce qu'ils font ensemble, elle est belle et lui ne ressemble à rien.
Maude -tu l'auras voulu, tu me provoques, tu vas morfler.
Moi -je n'ai rien fais de mal, je te l'assure.
Maude -bon, je vois prendre l'air, j'étouffe ici.
Jean-mi s'écartait pour la laisser passer et elle disparut dehors.
Qu'allait faire Jean-mi maintenant, allait t-il planté son pote pour rejoindre Maude dehors ?
Il était chanceux en plus, car un pote à Manu venait d'arriver et il le rejoignit au bar.
Jean-mi, sans un mot, se levait et me laissait seul à la table.
Je ne les revis pas pendant près de 45 minutes, quand Maude revint, elle avait les joues écarlates, nul doute qu'elle avait morflé, j'en saurai plus plus tard.
Maude -sers-moi un verre Chéri stp.
Mes voisins s'étaient présenté en leur absence Maude me fit le gros yeux, elle était jalouse, je lui présentait Audrey et Sam
Maude -bonsoir, enchanté.
Audrey -de même.
J'appris au cour de la soirée que lui avait hérité d'une fortune colossale et qu'il était ensemble depuis 8 ans.
Jean-mi s'était remis à coté de Maude et continuait ses caresses.
Vers 1h30, Maude me demandait de rentrer, elle était crevée.
On saluait tout le monde et on rentrait, non sans une parole à Maude lui demandait d'attendre la série de slow, ce à quoi Maude répondit, non, pas ce soir.
J'eus droit à une scène dans la voiture bien entendu, elle me reprochait d'avoir approché les voisins en son absence(ce qui était faux).
Maude -mets-toi dans la tête que tu es à moi, je ne veux pas qu'on t'approche, elle se prend pour qui cette pétasse de blonde.
Moi -j'ai rien fait.
Maude -oui, ce soir mais la prochaine fois hein !
Une fois dans l'appart.
Moi -tu n'as rien à me dire ?
Maude -non, rien de rien.
Moi -si encore je l'avais dragué mais même pas, je ne pensais qu'à toi et me demandais ce que tu faisais avec Jean-mi, maintenant si tu ne me crois pas, bonne nuit et trouve-toi un autre pigeon pour t'emmener demain soir au resto, ne me casses pas trop les couilles, sinon je fais ma valise et tu ne me reverra plus jamais.
Je me levais et remis ma veste pour partir.
Maude -non, restes, je suis jalouse car je t'aime trop fort, je ne supporte pas qu'une femme te parle.
Moi -arrêtes alors, tu ne me connais pas, si je pars, je pars, réfléchis bien à l'avenir, je vais me coucher.
Maude -tu ne veux pas savoir ce qui s'est passé ?
Moi -non, je suis trop énervé et je n'apprécierais pas ton récit.
Je m'endormis et dormis très mal, Maude n'étais pas venu se coucher, je me levais et allais voir où elle était.
Elle dormait tout habillée dans le canapé, je pris un plaid et la couvris, je l'aimais.
Cela la réveillait.
Moi -dors, il est tôt.
Maude -non, je me lève avec toi.
Je fis du café et on se retrouvait tout les 2 devant la table de la cuisine.
Moi -pourquoi as-tu dormi là ?
Maude -je me suis endormie en pensant que la scène que je t'ai fait était nulle, que tu ne me méritais pas et si vraiment tu veux partir, pars, je ne peux pas aller contre ton gré, sache juste que ce n'est pas mon envie et que je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne avant.
Moi -si j'avais du partir, je l'aurai fait cette nuit, ma colère est passé, si tu me garde, je reste avec toi.
Elle se levait et m'enlaçait.
Maude -viens dans le canapé, je vais te raconter.
Moi -avec plaisir.
Maude -avant, enfiles un string, j'ai envie de te voir avec, mets le noir aspect mouillé.
J'obtempérais et revenais dans la tenue qu'elle voulait.
Maude -hum, super, ça te vas très bien.
Moi -merci.
Maude -donc, à peine dehors, il m'a pris par la taille et m'a emmené au même endroit que le dernière fois, il m'a roulé une pelle et m'a peloté les seins au travers de ma combinaison avant de l'ouvrir a et de les prendre dans ses mains puis dans sa bouche, qu'est ce qu'il bouffe bien, j'aime beaucoup.
Moi je bande déjà Chérie.
Maude -hum fais voir ce que ça donne dans ton string.
Je me levais et elle me caressais au travers.
Maude -restes comme ça, je vais te dire la suite en te branlant.
Moi -mais doucement, je risque de partir vite.
Maude -oui, promis, puis, il passait sa main dans ma combinaison pour accéder à ma chatte, il me dit que ce n'était pas pratique et de rester là, il allait chercher sa voiture (il avait une jaguar), une fois dedans, il me demandais d'enlever mes talons et ma combinaison, je lui obéis et je me retrouvais juste avec mon tanga sur moi.
Moi -hum, que c'est bon quand tu me branles en me parlant, j'adore ça.
Maude -il me touchait ma chatte, jouait avait mon clito, j'étais trempée de plaisir, mais je pensais à toi en même temps et c'est pour ça que j'ai orgasmé violemment.
Moi -merci mon Amour.
Maude -j'aurai aimé que tu sois là pour me voir, j'aurai aussi aimé que tu te branle devant nous.
Moi -et après ?
Maude -il a sorti sa queue et je l'ai sucé j'avais raison, il est bien membré, j'ai hâte de la sentir dans moi.
Moi -tu me fous le feu .
Maude -il m'a demandé d'enlever mon tanga et de lui donner, j'étais nue dans sa voiture, cela m'excitais, il le sentais pendant que je le suçais et le branlais jusqu'au moment d'éjaculer dans mes mains et un peu sur mon visage, son sperm était chaud et je l'aurai bien avalé mais comme on n'en a jamais parlé ensemble, je ne l'ai pas fait.
Moi -merci pour le respect mon Amour.
Maude -je me suis lavé un peu avec les lingettes qu'il avait dans sa voiture, par contre, il a refusé de me rendre mon tanga, tiens la preuve.
Elle retirât sa combinaison et elle se retrouvait à poil.
Maude -ça te plait ou pas de savoir que te femme a maintenant un amant.
Moi -oui beaucoup.
Maude -maintenant, je vais te faire jouir, je veux savoir ce que tu pense du ménage à 3, ne me mens pas surtout.
Elle allait out doucement.
Mi je n'en sais vraiment, je te l'ai dit cette nuit.
Maude -je suis sur que tu aimerais, je commence à te connaitre, tu serais obligé de me partager tout les jours avec lui, je ferais l'alternance; un coup toi et un coup lui.
Moi -hum, oui, tu voudrais toi ?
Maude -oui, je voudrais, je voudrais te voir dormie dans le canapé et moi partager mon lit avec lui, que tu m'espionne au pied de la porte que je laisserai ouverte volontairement.
Moi -ça va partir.
Maude -lui donner sexuellement autant qu'à toi, voire plus, que tu sois malade de jalousie.
J'explosais dans ses mains et dans sa bouche.
Maude -hum, quel festin ce foutre bien chaud, tu as bien donné ce matin.
Moi -toi, tu n'as rien eu.
Maude -mon amant va s'en charger demain, j'ai une idée, je te le dirai ce soir au restaurant.
Moi -toi, tu vas me faire morfler, j'ai m'impression.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Sam 26 Mar 2022 09:54

e rentrais chez moi vers 10 heures, je retrouvais Sophie en train de faire le ménage.
Moi -coucou, ça va.
Sophie -tu es déjà là, je ne t'attendais pas si tôt.
Moi -je te dérange ?
Sophie -non, j'ai du monde cet après-midi.
Moi -qui ?
Sophie -Barbara et Paul.
Moi -ça sent le trio ça.
Sophie -non, il veulent qu'on parle ensemble.
Moi -alors cette transformation de Barbara.
Sophie -un vraie découverte pour elle, elle ne jure plus que par la lingerie fine.
Moi -et Paul en dit quoi ?
Sophie -c'est pour ça qu'ils viennent cet après-midi.
Moi -et hier cela s'est passé comment avec Barbara.
Sophie -elle m'a gouiné et elle aime bien être un peu violente, du coup, je me suis laissé faire, j'ai été son esclave momentanément.
Moi -tu as aimé ?
Sophie -je ne suis pas fan de ça, mais avec Barbara, j'ai aimé, je pense que je vais devenir son jouet préféré.
Moi -donc, le mieux, c'est que je reparte maintenant.
Sophie -oui, je préfèrerai.
Moi -tu me raconteras ?
Sophie -tu sais bien que je dis tout, tu as des nouvelle de Ludo ?
Moi -non, rien depuis hier.
Sophie -ce serait bien, j'ai besoin de compagnie.
Moi je sais bien.
Sophie -je met la combinaison que tu m'a offerte cet après-midi.
Moi -tu m'enverras une photo.
Sophie -non, je la remettrai lundi soir pour toi.
Moi ok, on se fait un bisou ?
Sophie -même 2.
Elle me roulait une pelle, j'appréciais ce moment.
Moi -dommage que tu as du boulot, je t'aurai bien fait décoller ce matin.
Sophie -lundi soir, Jacques vient diner.
Bon voila, j'étais libre jusqu'à 17 heures, c'est à dire 6 heures, qu'allais-je faire ?
Je réfléchis aussi à ce que Maude m'avais dis ce matin et qu'elle me dirait ce soir au restaurant, je déambulais avec ma voiture au fil des routes, puis je décidais de me rendre dans les bois de Fred.
Pas de voiture, je décidais quand même de descendre et de me balader dans les bois.
Cela me fis un bien fous, je marchais pas loin de 2 heures avant que la faim me décide à rentrer.
Je trouvais un fast food et engloutit un kébab.
Il n'était que 15 heures, j'envoyais un texto à Maude savoir si je pouvais rentrer maintenant.
Maude -quelle question, viens vite.
Elle me fit un café et s'installait avec moi dans le canapé.
Moi -je dois attendre ce soir pour savoir ?
Maude -tu veux le savoir maintenant ?
Moi -si c'est possible.
Maude -j'ai décidé de passer le cap avec Jean-mi demain soir, et j'ai trouvé une idée qui risque de te plaire.
Moi -annonce-moi ce à quoi je dois m'attendre.
Maude -je veux que tu nous mate dans la voiture.
Moi -oui pourquoi pas, ça me plairait.
Maude -je veux que tu m'entende orgasmer pour lui, j'en ai vraiment envie, je te jure.
Moi -alors, je vais venir te regarder dans la voiture si telle est ton envie.
Maude -hum, j'ai hâte.
Moi -et ce soir ?
Maude -dans le pub, on ne se connait pas, je vais convier Yann à me rejoindre.
Moi -et quelle est la limite ce soir ?
Moi -c'est toi qui la fixe.
Moi -pour ça, j'ai besoin de savoir si tu veux Yann ou Jean-mi en 1er.
Maude -Jean-mi sans hésiter.
Moi -alors ne dépasse pas les caresses de tes seins et le roulage de pelle.
Maude -j'aimerai bien aussi que ce soit lui qui me ramène, cela va te rendre jaloux.
Moi -accordé, c'est tout ?
Maude -non, Manu me plait aussi, j'aimerai bien l'avoir aussi.
Moi -il va t'en falloir combien, comme ça ?
Maude -si tu me dis oui, je te laisse mater la blondasse.
Moi -pas besoin de ça pour te dire oui.
Maude -je met ma robe noire plissée et les beaux dessous noirs que tu m'as offert, ça te plait.
Moi -oui, même si tu ne les met pas pour moi, mais pour Yann.
Maude -oui, je vais m'habiller, me parfumer et maquiller pour lui, toi, tu auras ce que je voudrais bien te donner.
Moi -je dois m'habituer à ça, je sais que cela va empirer au fil de temps.
Maude -oui, tu m'as donner envie de faire ça, je ne peux déjà plus m'en passer et dis-moi, le ménage à 3, je ne sais toujours pas ton point de vue.
Moi -j'y ai pensé ce matin, je pense que c'est encore trop tôt pour envisager un cohabitation.
Maude -j'y ai pensé aussi mais au vu de ta réponse, je te dis dommage, je suis sure que cela m'aurai plu.
Moi -on verra plus tard.
Maude -le plus vite possible, s'il devient mon amant régulier, je ne vais pas faire ça constamment dans la voiture.
Moi -tu peux ici, mais il ne reste pas dormir.
Maude -d'accord, si je l'emmenais ici demain soir ?
Moi -je ne pourrai pas te mater si tu fais ça.
Maude -bien sur que si, tu rentre sans faire de bruit et tu nous regarde sur le pas de la porte, mais je voudrais que tu le vois me déshabiller, c'est ça qui m'excite, qu'il fasse les même gestes que toi et que toi tu subisse.
Moi -je suis prêt à tout, je veux juste savoir ce que l'on fait.
Maude -pourquoi tu ne pousse pas à faire ça, j'aimerai que cela vienne de toi que tu me force comme tu faisais avec ta femme, essayes stp.
Moi -tu sais, ce n'est pas venu dès le début, il m'as fallu du temps pour arriver à lui dire d'aller voir son amant.
Maude -parle-moi encore de tes expériences.
Moi -ce Seb m'a fait vraiment morfler, surtout la fois où il a emmené Sophie en week-end à mes frais, j'ai tout payé pour qu'elle se fasse baiser dans un hôtel où j'avais la chambre collé à la leur.
Maude -tu as fait ça.
Moi -oui, il l'a présentait comme étant sa femme et Sophie me forçait à être près d'eux quand il disait je vous présente ma femme, Sophie X.
Maude -faut vraiment aimé sa femme pour subir une telle humiliation.
Moi -je prenais mon pied comme ça et elle aussi, ainsi va la vie.
Maude -y'en a eu d'autres des amants.
Moi -oui, pas mal, mais y'en a qui ont duré plus ou moins longtemps car, ils ne jouaient pas le jeu.
Maude -tu appelles ça un jeu.
Moi -oui, un jeu sexuel, certes, car il faut quand même un minimum de feeling entre la femme et ses amants.
Maude -oui, j'en ai pas mal avec Jean-mi, par contre Yann ce ne sera que du sexe, je ne veux pas plus avec lui.
Moi -tant mieux, je ne sens pas ce garçon.
Maude -ça, faut me le dire, car je veux qu'on soit en parfaite osmose toi et moi, je ne veux en aucun cas te contrarier si tu veux, on vas diner ailleurs, je ne le laisserai plus m'approcher, je veux que tu partages mes envies.
Moi -alors, on vas diner ailleurs.
Maude -pas de souci.
Moi -où alors, on y va, mais tu ne lui dis pas qu'on va au pub, ou mieux, on va à celui du dimanche.
Maude -ça me plait, ainsi, je peux m'exhiber sans qu'il n'aie rien.
Moi -parfait dans ces cas là, de plus, tu risque de rencontrer Manu.
Maude -hum.
Moi -dis-moi, tu aimes vraiment les grosses queues ?
Maude -oui, j'aime branler et sucer une grosse queue, plus jeune, j'allais souvent avec des hommes de couleur rien que pour ça.
Moi -ah bon.
Maude -j'ai quand même vécu avant toi Chéri.
Moi -et te faire mater, cela vient d'où ?
Maude -ça, c'est depuis que je suis avec toi, avant j'étais assez prude.
Moi -je te force à te dévoiler en quelque sorte.
Maude -oui, tu as sorti de moi une face que je ne connaissais pas.
Moi -dis-moi, qu'aimerais-tu sexuellement de plus aujourd'hui.
Maude -tu veux la vérité ?
Moi -oui de préférence.
Maude -faire d'un de tes amis proches ou un bon collègue de bureau, mon amant, depuis que tu m'as raconté cette histoire avec Patrick, j'en rêve, c'est un réel fantasme.
Moi -hum, intéressant ce fantasme.
Maude -je te retourne ta question, dis-moi ce que tu aimerais de moi.
Moi -que tu continues à faire ce que tu fais et j'aimerai bien aussi que tu te trouves une femme régulière, un peu comme un amant.
Maude -je veux bien mais je veux une femme plus âgée, genre Pauline.
Moi -fais-moi ce plaisir, cherche-en une, tu feras de moi un homme heureux.
Maude -on fait un deal, je trouve une femme et toi tu me ramène un pote ou un collègue à toi.
Moi -ca marche, on refait ensemble un point dans une semaine.
Maude -impec.
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Messagepar Clahire » Dim 27 Mar 2022 08:52

Bravo et merci Fifou !
Non seulement tu nous tiens en haleine depuis maintenant plus d'un an, mais tu arrives encore à nous surprendre avec cette superbe saga !
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Messagepar fifou78250 » Dim 27 Mar 2022 09:10

J'allais me doucher et me préparer avant Maude, je m'habillais avec un jean, une chemise et une veste.
Maude -j'aime cette tenue stricte et décontractée à la fois, je vais t'attacher pour que tu n'ailles pas draguer.
Moi -pas besoin, je ne bougerais pas d'une oreille.
Maude -allez, à moi de me faire belle pour toi.
Moi -viens me voir quand tu auras mis tes dessous.
Maude -non, je ne veux pas, je veux que tu imagines.
Moi -tu deviens vraiment dure avec moi.
Maude -c'est bien ce que tu veux non !
Moi -oui, c'est vrai.
Après 20 longues minutes, elle sortait de la salle de bains avec sa robe plissée noire, quel canon, j'étais fier d'avoir une telle femme.
Maude -ça va, je ne fais pas trop salope.
Moi -non, et dis-toi que la salope comme tu dis a un homme, mets tes talons que je vois.
Maude obéis et là, pour moi c'était la femme parfaite.
Moi -allez c'est parti pour j'espère une bonne soirée.
Maude -oui, emmènes-moi me faire rêver.
Je me garais vers 20 heures devant les restaurant, Maude me prenait le bras et quand elle ôtait son manteau, je vis que pas mal de gens de retournait sur elle.
Yann -suivez-moi que je vous installe.
Il sortait la chaise de la table pour que Maude s'assied.
Yann -un apéritif ?
Moi -un whisky et une vodka .
Yann -je m'en occupe.
Moi -ça va, pas trop perturbé, toujours envie de t'exhiber pour lui.
Maude -oui, encore plus que je ne croyais.
Moi -alors quand il revient, remontes un peu ta robe.
Maude -pas besoin, on voit presque tout mes bas.
Yann avait été malin, il nous avait collé au fond du restaurant à une table pour 2 et il n'y avait encore personne autour de nous.
Moi -il nous a collé dans un coin et ce n'est pas par hasard, j'en suis certain.
Maude -je fais quoi, je montre ou pas.
Moi -montres, je le veux.
Maude -j'aime quand tu me forces à faire les choses fais-le plus souvent.
Moi -le revoila, écartes-toi un peu de la table.
Yann prit son temps pour nous servir, il matait Maude.
Yann -très mimi tes cuisses enveloppées dans ses bas, cela donne envie, très envie même.
Il repartait en disant qu'il reviendrait pour la commande.
Moi -alors, t aimes être matée ainsi.
Maude -oui, beaucoup.
Moi -ce n'est pas assez, remontes encore plus ta robe, je veux qu'il voit la dentelle de ton tanga.
Maude -oui, tout ce que tu veux.
Moi -hum, j'adore.
Avant de diner, je recommandais 2 apéritifs ce qui permis à Yann de voir cette fois-ci la couleur de son tanga.
Yann -tout en noir avec de la dentelle, hum très appétissant.
Maude -merci.
Nous commandions en même temps notre diner.
J'omis volontairement de commander du vin afin qu'il revienne, je fis part de cette remarque à Maude.
Maude -hum, tu me provoques, j'adore.
Moi -oui, je veux qu'il mate tout en sachant qu'il n'aura rien.
Quand il revint pour le vin, il ne me regardait même pas, il ne matait que Maude.
Mais, avant qu'il ne revienne avec le vin, j'avais suggéré à Maude de laisser tomber sa serviette quand il serait là pour voir ce qu'il ferait.
Maude -tu as plein d'idées, sers-toi en plus souvent, cela me plait.
Il ouvrait la bouteille toujours en matant Maude qui bien sur fis ce que je le lui avait demandé.
Non seulement, il ne lui laissait pas le temps de la ramasser, mais il lui léchât ses bas.
Heureusement qu'il n'y avait pas grand monde dans le restaurant car il n'aurait jamais pu faire ça.
Maude -il me veux, j'en suis certaine.
Moi -et toi ?
Maude -non, par apport à ce que tu m'as dit cet après-midi, il n'aura rien, par contre, je veux un autre homme et dès ce soir.
Moi -non, tu n'auras personne d'autre, même si je ne voulais pas cet après-midi, tu iras avec lui ce soir.
Maude -ah bon, tu as changer d'avis.
Moi -je vois tes yeux, tu pétilles d'envie d'aller plus loin, alors vas-y.
Maude -alors, on exécute mon plan, je lui dis où je vais et on ne se connait pas dans le pub.
Moi -je te laisse gérer, la seule chose, je veux tout savoir, on a des téléphones pour ça, ne me fais pas un plan à la con stp.
Maude -juré mon Amour, je vais aux toilettes.
Elle mit plus de 10 minutes avant de revenir.
Maude -j'ai rdv avec lui au pub.
Moi -bien Chérie.
Maude -il m'a demandé s'il pouvait m'emmener, le restaurant sera fermé d'ici une demie heure, tu me laisses aller avec lui.
Moi -je ne peux pas te refuser, tu en meurs d'envie.
Maude -il a passé sa main sous ma robe dans le couloir.
Moi -et ?
Maude -je me suis arrêtée pour qu'il continue, du coup, il a pris mes seins à deux mains et je me suis retourné pour lui rouler une pelle ,j'en avais envie.
Moi -je pense qu'il va te baiser dès ce soir.
Maude -tu veux bien mon Amour.
Moi -je vais lui dire de prendre soin de toi en lui disant que tu es ma sœur.
Maude -allez vas t'en, laisse-moi avec lui.
Je réglais l'addition et lui dis ce que comme j'avais dit à Maude.
Je partais direction le pub, là-bas, je rejoignais Audrey et Sam à leur table.
Maude me rejoignait une heure et demie plus tard mais seule, elle grimaçait en me voyant à la table d'Audrey, sachant se tenir, elle leur fis la bise et s'asseyait à coté de moi.
Moi -ça va Chérie.
Maude -non, pas quand je vois assis à coté de cette morue.
Moi -j'étais seul et Sam m'a demandé de venir à leur table, j'ai accepté, n'y vois aucun mal.
Maude -si, tu es à moi et à moi seule.
Moi -je sais et c'est ça que je veux, ne me fais pas encore une scène, tu sais très bien comment cela risque de finir.
Maude -ok, je me calme.
Moi -alors, ta soirée ?
Maude -très bien, j'ai pris du plaisir mais tu m'obsèdes quand je suis avec un autre, tu es devant mes yeux.
Moi -tu m'aimes trop.
Maude -oui, c'est certain.
Moi -tu me raconteras j'espère.
Maude -sois très gentil avec moi pour ça.
Moi -je le suis déjà.
Maude - je veux plus encore, je veux que tu arrives à me forcer à faire les choses.
Moi -c'est une obsession, j'ai été cool ce soir en te laissant avec lui.
Maude -oui, mais je veux plus, as-tu vu des connaissances ce soir ?
Moi -non, personne hélas pour toi.
Maude -dommage, je suis encore très chaude.
Audrey revint s'assoir tout sourire.
Maude me pinçait pour me faire voir son désaccord.
Puis, la soirée se passait, vers 2 heures, heure à laquelle je voulais rentrer, une surprise de taille entrait dans le pub.
C'était Marc, le voyeur.
Je me levais directement et allais le voir lui expliquant ce qui se passait avec Sophie.
Il comprit très vite, je le conviais à s'assoir avec nous et lui demandais ce qu'il voulait boire.
Marc -comme vous.
Je lui présentais Audrey, Sam et Maude et lui servais un verre.
Maude (à mon oreille) -c'est qui ce gars là ?
Je la baratinais en lui disant qu'on avait joué au foot ensemble, il y a une dizaine d'année.
Comme c'était l'heure des slows, il invitait Audrey à danser, j'avais remarqué même après seulement une demie heure qu'il ne l'avais pas quitter des yeux.
Il en dansait un avec Audrey et ensuite, il invitait Maude, là par contre, il en dansait 2 avec elle.
Alors que j'allais aux toilettes marc me rattrapait.
Marc -si tu veux que cela ne sache pas, il me faut ta salope de Maude.
Moi -pourquoi salope.
Marc -elle m'a chauffé en dansant.
Moi -sois patient, je vais te l'emmener sur un plateau, ça te va.
Marc -tu as 15 jours devant toi.
Moi -donnes-moi ton 06 que je puisse te joindre.
Nous rentrions et dans la voiture, elle m'assaillait de questions sur Marc.
Moi -vu le nombre de questions que tu me poses, il te plait.
Maude -il a quelque chose qui m'attire.
Moi -il s'est passé quoi quand tu as dansé avec lui.
Maude -je lui ai simplement dis que pour un slow, il était bien loin de moi, du coup, il m'a plaqué à lui, mettent ses mains sur mes fesses et en me disant, pas de souci, si tu me chauffe, va falloir éteindre le feu.
Moi -carrément.
Maude -hélas, 30 secondes plus tard, le slow se terminait.
Nous étions enfin chez nous, les 20 minutes de route pour rentrer m'avait semblé longues
Moi -alors avec Yann ?
Maude -il m'a déçu, franchement, je le pensais plus sensuel, il n'a pas eu cette douceur que j'aime tant, de plus comme on aavait pas de préservatif, on a pas eu de rapport, donc, je suis toujours fidèle à toi.
Moi -pour combien de temps?
Maude -demain soir, ce devrait être fini pour ma fidélité, enfin, je l'espère et je n'irai plus avec Yann, j'ai très peu jouie et je n'ai pas orgasmé, même quand il m'a bouffé la chatte le long du bar assise sur un tabouret, pourtant le cadre me plaisait, mais trop de brutalité pour la 1ere fois, je n'ai pas aimé du tout, de plus, il n'est pas très bien monté et n'est pas résistant.
Moi -écoutes ce que je t'ai dit, je le sentais pas ce mec.
Maude -oui, je le ferai à l'avenir.
Moi -tu vois sans le faire exprès, j'ai trouvé ce que tu m'avais demandé via Marc.
Maude -viens me faire l'amour et parles-moi de lui, je veux tout savoir.
Elle fit l'amour comme une tigresse, elle en voulait toujours plus.
Maude après être repue d'amour me demandait de lui trouver des bas rouge pour demain, que cela irait bien avec sa robe.
Moi -vas-y toi, je ne veux pas courir demain.
Maude -je ne peux pas, mes finances sont à sec.
moi -je te laisserai ma CB;
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Lun 28 Mar 2022 07:36

Bravo Fifou, tu fais vraiment preuve d'une sacrée imagination.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Lun 28 Mar 2022 08:27

En me levant le lendemain, je m'aperçus que j'avais une envie folle de voir Sophie, elle me manquait finalement, donc dès 10 heures, je partais en disant à Maude que je ne reviendrais pas tard prétextant une course urgente, car le dimanche, c'était réservé à Maude.
J'appelais Sophie pour lui demandé de me faire un café, que j'arrivais.
Sophie -on t'attend.
Ce "on" m'interloquait, avec qui était t-elle ?
Je rentrais dans la maison et Sophie était avec Barbara.
Moi -salut les filles, ça va ?
Sophie -impeccable, on s'apprêtait à partir.
Moi -je vois ça, vous êtes à croquer toutes le 2.
Barbara -merci Olivier.
Moi -vous allez où ?
Sophie -on part à l'aventure, Barbara ne veux pas me croire quand je lui dis qu'une femme en bas attire les hommes.
Moi -je te confirme, Barbara, et même des fois les femmes.
Barbara -cela m'intéresse déjà plus qu'un homme.
Moi -emmènes-là sur les bords de la Marne, il y a des guinguettes le dimanche après-midi.
Sophie -tu vois qu'on se connait par cœur, c'est là que je comptais aller.
Moi -profitez bien de cette journée.
Sophie -attends un peu, je vais te faire un café.
Barbara nous laissait quelques minutes ensemble, elle avait compris que je voulais voir seul à seul Sophie.
Moi -tu me manques, je te l'avoues, tu me manques beaucoup.
Sophie -toi aussi, 2 nuits et une demi journée par semaine, ce n'est pas assez.
Moi -j'ai envie de t'embrasser.
Sophie -viens, moi aussi.
On se roulait une pelle et mes mains parcoururent son corps avec envie.
Sophie -arrêtes, tu me mets le feu.
Moi -non, c'est toi qui m'excite avec ta tenue sexy.
Sophie -je ne l'ai pas mise pour toi, j'espérais ne pas rentrer seule ce soir.
Moi -au pire, tu auras Barbara.
Sophie cela fait 3 jours qu'elle me bouffe partout, j'aime bien mais à petite dose.
Moi -pourquoi n'as tu pas appeler Martine pour vous accompagner.
Sophie -je n'y ai même pas pensé.
Moi -appelle-la.
Sophie -oui, tout à l'heure.
Moi -pourquoi tout à l'heure ?
Sophie -je veux profiter de toi le temps que tu boives ton café.
Moi -cool tes paroles, elle me touchent
Sophie -embrasses-moi encore et caresses-moi.
Moi -y'a Barbara.
Sophie -elle comprendra, allez.
Je ne me fis pas prier, je l'embrassais, lui caressais les seins, elle avait mis un dresse seins, je sentais ses tétons pointés au travers de son robe, que je relevais derrière pour caresser son string en dentelle.
Puis elle enlevait sa robe, se calait sur la table de la cuisine et m'offrait son corps.
Sophie -viens et fais-moi donné, je le veux sinon, je prends le 1er homme qui me tombe sous la main.
Moi -pas la peine, je suis là.
Je profitais de ce qu'elle me donnait, j'adorais son corps depuis toujours quand d'un seul coup.
Sophie -viens Barbara, 4 mains et 2 langues valent mieux que 2 mains et une langue, invite la à se joindre à nous, j'en ai envie.
Moi -viens Barbara.
Elle embrassait directement Sophie et ses mains firent rouler ses tétons, ensuite, on prit chacun un sein et on lui arrachait des gémissements.
Sophie -encore, j'adore.
Tout en bouffant ses seins, ma langue et celle de Barbara se croisèrent, je ne fis rien pour arrêter cela, bien au contraire.
Je me mis à genoux et entrepris de la faire orgasmer avec ma langue.
J'écartais son bout de dentelle et je trouvais sa chatte bien lisse toute inondée de plaisir.
Sophie -hum, oui, bouffe-moi, Barbara continue avec mes tétons, vous allez me faire décoller.
J'avais remarqué aussi que Sophie baladait sa main sous la jupe de Barbara.
Je lançais.
Moi -allez-y gouinez-vous, je voudrais vous voir.
Sophie -dégages et laisse la place à Barbara, branles-toi et regarde-la faire.
Je ne bougeais pas et je les regardais, que c'était beau j'aimais beaucoup.
Sophie -tu es sourd, branle-toi, je veux te voir.
Je baissais mon pantalon et me retrouvais en string devant elles.
Sophie -regardes Barbara si ce n'est pas beau un homme en string.
Barbara -waouh, j'adore, branles-le Sophie pendant que je te fais orgasmer.
Sophie -non, j'aime bien le regarder mais vas-y toi si tu en a envie.
Barbara -non, je préfère ta chatte inondée.
Sophie nous donnait un gros orgasme puis elle se mit à genoux et me suçait.
Sophie -regarde, il va gicler sur moi, j'adore ça.
Effectivement, je giclais sur elle.
Sophie -viens m'embrasser, Barbara, viens gouter le foutre de mon mari.
Barbara -certainement pas.
Sophie -tu n'as pas le choix sinon, je ne te donne plus ma chatte.
Barbara obéis et malgré sa réticence du départ, elle finit par tout lécher avec Sophie.
Barbara -c'est la 1ere fois que je fais ça.
Sophie -et alors ?
Barbara -c'est fort agréable de se mélanger nos langue pleines de sperm.
Sophie -tu vois Olivier, tu lui a fait découvrir quelque chose, toute façon, faut qu'elle se débride.
Moi -je ne suis pas inquiet, tu vas tout lui apprendre.
Sophie -oui, c'est sur, as-tu reçu des nouvelles de Ludo ?
Moi -oui, cela ne s'arrange pas, il m'a demandé si notre proposition tenait toujours.
Sophie -tu as répondu oui, j'espère.
Moi -bien entendu.
Je bus un 2eme café et rentrais chez Maude.
Maude -ah, voila mon Chéri, ça va ?
Moi -oui, très bien et toi, tu as fait tes emplettes ?
Maude -oui, j'ai trouvé les bas que je voulais mais j'ai aussi pris un ensemble string, soutif et porte jarretelle rouge même si le soutif ne me servira pas ce soir, je te rembourserais à la fin du mois.
Moi -n'importe quoi Amour.
Maude -si j'y tiens.
Moi -rembourse-moi autrement.
Maude -de quelle manière ?
Moi -sexuellement, en continuant à me faire plaisir.
Maude -je ne compte pas m'arrêter.
On ne fit rien de l'après-midi mis à part parler de Jean-mi.
Maude -on fait quoi finalement, il me baise dans sa voiture ou dans notre lit.
Moi -tu vas faire ce que moi j'ai envie.
Maude -explique-moi.
Moi -tu vas le laisser te caresser dans le pub, vers 9 heures, tu vas prendre l'air, tu lui donne un orgasme dans sa voiture puis tu rentre dans le pub et vers23 heures, tu simules une migraine et tu lui demande de te ramener, tu lui offre un verre à la maison, à ce moment là, un texto et je quitte le pub pour vous rejoindre et vous mater sans que vous me voyez.
Maude -ton plan me plait et m'excite beaucoup, mais une fois qu'il m''a baisé, je fais quoi ?
Moi -ce que tu ressentiras à ce moment là.
Maude -je ne te comprend pas.
Moi -tu verras si tu veux passer la nuit avec lui et si après avoir baisé avec lui, tu as besoin de moi.
Maude -donc, tu me laisse dormir avec lui.
Moi -si c'est le cas, je rentrerai chez mi, mais ça, tu ne le sauras que ce soir.
Maude -je comprend mieux, tu vas savoir si tu m'es vraiment indispensable.
Moi -non, c'est toi qui ressentiras ça, pas moi.
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Messagepar fifou78250 » Mar 29 Mar 2022 08:42

Maude était superbe tout en rouge, son décolleté en V descendant en dessous de ses seins me plaisait, sa robe était courte à souhait, elle mit tout de même un petit gilet par-dessus.
Maude -je te plais ?
Moi -oui, beaucoup, mais je ne vais pas être le seul ce soir à qui tu vas plaire.
Maude -oui, mais c'est toi que j'aime.
Moi -je t'aime aussi.
Jean-mi était de nouveau là avant nous et toujours à la même table, il nous fit des grands gestes quand nous arrivions.
On saluait pas mal de gens, on commençait à nous connaitre et rejoignions Jean-mi.
Il se levait, fis la bise à Maude et la priait de s'assoir à coté de lui, ce qui faisait que pour une fois, il me faisait face.
Je la matais car je voyais bien son entre cuisse, je devinais la main de Jean-mi dans son dos, il n'avait pas trainer.
Jean-mi -tu es magnifique ce soir, encore plus que d'habitude.
Maude -oui, encore un cadeau de mon Chéri.
Jean-mi -encore, bah dis donc, il t'aime ton homme, mais dis-moi, si moi je t'offre un cadeau, tu le prendrais.
Maude -tout dépend de ce que c'est.
Jean-mi -j'ai dans la tête une tenue et j'aimerai bien te voir avec.
Maude -achète et je la mettrai.
Jean-mi -mais je ne peux pas te l'offrir ici, il faut que tu m'invite à l'apéro un soir.
Maude -si y'a que ça, ce n'est pas un souci, il y a toujours de la vodka à la maison.
Jean-mi -alors, je te dirai quand je l'aurai acheté, donne-moi juste la taille.
Maude lui donnait ses mensurations et il les notait dans un coin de sa tête.
Tout en les écoutant, je reçus un texto de Ludo me disant qu'il devait débarrasser le plancher la semaine prochaine.
Moi -pas de souci, Sophie va te préparer la chambre d'amis, tu seras comme chez toi.
Ludo -merci, on se voit toujours jeudi.
Moi -oui, commences à ramener tes affaires.
Ludo -je n'ai que mes fringues, rien d'autre.
Maude -c'est qui ?
Moi -un pote à moi qui a un souci, mais rien de grave, profites de ta soirée Chérie.
Jean-mi caressait le bas de son dos.
Jean-mi -tu as mis un string, j'adore.
Maude -oui, je suis toute en rouge et en dentelle.
Jean-mi -pour moi ?
Maude -oui et pour mon Chéri.
Jean-mi -ton Chéri s'en fout un peu non !
Maude -pas du tout, il aime que je sois belle et désirable.
Jean-mi -n'empêche qu'il me laisse te caresser.
Maude -oui, il aime me voir avec un autre homme et moi j'aime le rendre jaloux, cela prouve qu'il m'aime plus que tout.
Jean-mi -oui, c'est une belle preuve d'amour.
L'heure passait et on approchait des 21 heures, discrètement, je fis montrer ma montre à Maude.
10 minutes plus tard, Maude disparaissait et ne revint qu'une heure plus tard.
Cette fois-ci, le temps m'avait paru interminable, je devais le dire à Maude.
Je profitais du fait que Jean-mi partait au bar chercher une autre bouteille de vodka.
Moi -cela m'a paru interminable, je me suis senti jaloux comme jamais.
Maude -hum, j'adore, mais tu me connais, j'aime prendre mon temps, le seul truc, c'est que je pense beaucoup à toi dans ces moments là.
Moi -tu as eu un orgasme.
Maude -oui, très fort et il a jouis dans ma bouche, j'ai tout avalé, tu veux que je t'embrasse pour que tu sentes son foutre sur ma langue.
Moi -seule toi décide de ces choses là, ne compte pas sur moi pour te le demander.
Maude -viens m'embrasser.
J'obéis.
Maude -ça m'excite à un point, je ne pensais pas que ça me ferai autant d'effet.
Moi -notre plan marche à merveille, on continue ?
Maude -ah que oui, j'en veux plus, je veux que tu le vois me déshabiller, c'est vraiment mon envie.
Moi -alors, fais ce qu'il faut.
Jean-mi revint et servait une grosse dose de vodka à Maude qui ne l'empêchât pas de le faire et elle l'avalait en moins de 10 minutes, je sentais qu'elle voulait se saouler.
23 heures, Maude avait bien bue.
Maude -j'ai trop bu, j'ai une migraine pas possible, on rentre Chéri ?
Moi -déjà, encore un peu, je veux profiter de la bonne soirée que je passe ici.
Maude -stp Chéri.
Moi -faut toujours que je cède.
Jean-mi -tu veux que je la ramène ?
Moi -tu veux bien, cela ne te dérange et toi Amour.
Maude -peu importe, je veux rentrer.
Et 5 minutes plus tard, ils partaient.
Je savais qu'il leur fallait 20 minutes pour rentrer, Maude m'avais promis un texto quand il garerait la voiture.
C 'est ce qu'elle fit et j'en avais un autre qui me disait qu'il montait avec elle.
J'étais déjà parti quand je le reçus et je la prévenais.
Maude -ne traines pas, il est très pressant.
Moi -je suis en bas, je monte.
J'ouvris la porte avec mille précautions, elle avait mis de la musique à cet effet, elle en avait dans la tête, d'ailleurs ils dansaient quand je me planquais dans le hall, Maude m'avait vu et avait levé son pouce.
Jean-mi la collait contre elle et levait sa robe pour lui caresser les fesses, quelle vue j'avais, je bandais
Jean-mi -tu devrais enlever cette robe, tu seras beaucoup mieux.
Maude -fais-le toi-même.
Jean-mi fis glisser le zip et Maude se retrouvait les seins à l'air en string porte jarretelle, bas et talons.
Il lui pris les seins et jouât longtemps avec, puis il l'installait dans le canapé et là je ne voyais plus rien, Maude vint à mon secours.
Maude -je serais mieux dans le fauteuil et toi à genoux devant moi.
Le fauteuil était face à moi.
Jean-mi -tu as raison, mais laisse-moi t'enlever ce petit bout de tissu rouge.
Maude -oui à la seule condition que tu le sente et le lèche.
Jean-mi -c'est bien ce que je comptais faire, celui-là aussi, je l'emmène avec moi.
Maude -non, je n'ai qu'un rouge et je le garde pour ma robe qui va avec.
Jean-mi -hum, regardes comment je le lèche, ça te plait.
Maude -hum oui, j'adore.
Maude qui me voyait, me provoquait en prenant ses seins à 2 mains en lui disant.
Maude -bouffes-moi encore les seins, tu fais ça si bien.
La garce, elle savait que je réagirais à ces paroles.
Jean-mi -oui, je vais te combler, je vais te faire oublier ton mari, tu ne voudras plus que moi pour te faire l'amour.
Maude -oui, fais-moi l'amour.
Elle continuait son petit jeu.
Quand Jean-mi s'attaquait à sa chatte, Maude me fis signe des 2 pouces qu'il la bouffait bien, elle commençait à gémir sous ses coups de langue et malgré son orgasme du début de soirée, elle lui en donnait un autre le suppliant de lui faire l'amour maintenant.
Jean-mi -oui tout, de suite.
Maude -viens dans ma chambre, on sera mieux.
Je me décalais pour pas qu'ils me voient et Maude laissait la porte ouverte, elle voulait que je ne manque rien.
Jean-mi enfilait un préservatif et la prit à la missionnaire, ce qui fait que je ne voyais rien de Maude et de ses réactions, elle devait s'en douter et se mit à parler.
Maude -hum, vas-y, lime-moi plus fort et plus profond.
Jean-mi ne tint pas longtemps et enlevant son préservatif éjaculait sur son ventre.
Ensuite, Maude le priait de partir en lui disant que j'allais rentrer et qu'elle ne voulait qu'il le trouve ici.
Jean-mi -ah bon, moi je m'en fous qu'il me trouve ici, en nous laissant partir ensemble, il doit se douter ce ce que l'on fait.
Maude -s'il te plait, va t'en.
Jean-mi -ok, on se revoit quand ?
Maude -pas avant que tu m'offre ma tenue sexy.
Jean-mi -je m'en occupe dès demain.
Et Jean-mi partait.
Je sortais de ma planque et Maude m'enlaçait et me roulait une pelle avec beaucoup de tendresse.
Maude -ça y est, je t'ai fait cocu mon Amour, tu te sens comment ?
Moi -très très excité.
Maude -pas trop jaloux ?
Moi -énormément, y'a des choses plus dures à supporter que d'autres.
Maude -dis-moi tout que je ne le refasse plus.
Moi -oui, mais tu feras ce qui te plait, cela fait parti de notre jeu.
Maude -je ne veux pas te perdre en te blessant, alors dis-moi.
Moi -tes seins, j'ai du mal quand je vois un autre en profiter, c'est ce qui me fait le plus de mal mais qui m'excite le plus.
Maude -je suis obligé de les donner, j'aime qu'on les caresse.
Moi -je le sais, mais cela me rend jaloux comme un fou.
Maude -je vais continuer, je veux que tu morfles à cause de ça, je pense même que je vais en abuser de mon 100E et quoi d'autre ?
Moi -quand tu lui as dis fais-moi l'amour.
Maude -je l'ai fait exprès mais il m'a baisé c'est tout, seul toi me fait l'amour.
Moi -et puis bien sur quand il a fais glisser ta robe, je me suis senti comme humilié, c'est la 1ere fois que ce sentiment m'arrive.
Maude -tu vois, je sentais que le fait qu'il me déshabille te ferais quelque chose.
Moi -tu es trop forte mon Amour.
Maude -viens maintenant me faire l'amour, viens abuser de ta petite garce qui veux absolument continuer à faire ce que son futur mari a envie.
Moi -oui, j'en veux encore plus.
Maude -le prochain que je veux, c'est Marc.
Moi -tu l'auras, je te le promet.
Maude -invite-le vite à diner, je m'offre à lui dès le 1er soir.
Moi -attention, étant jeune, il était très chaud et de mémoire, il est très bien monté, tout le monde l'avait remarqué sous la douche après les matches(encore un mensonge).
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Mer 30 Mar 2022 08:03

Maude -si c'est ça, je le veux très vite, j'aime les grosses queues, tu le sais maintenant.
On fis l'amour, Maude se donnait moins qu'avec Jean-mi, je lui fis la remarque.
Maude -c'est comme ça, mon mant m'a fait donné, tu prend ce qu'il reste.
Moi -parle-moi encore comme ça, je vais partir.
Maude -oui, il ne te reste que les miettes, tu ne mérite que ça,
J'éjaculais et Maude prit tout sur le visage, elle en avalait une partie.
Moi -c'était bon, hum, j'ai aimé.
Maude -désolé de t'avoir parlé comme ça.
Moi -au contraire, cela m'as fait jouir plus fort.
Maude -tu es unique, je te garde.
On dormit comme des loirs.
Une fois parti au boulot, je reçus plusieurs textos, le 1er de Sophie
Sophie -Barbara veux recommencer ce que l'on a fait hier, elle a trop aimé.
Moi -à toi de voir, à toi de savoir si tu veux encore me partager.
Sophie -je te partage bien avec ta pute.
Moi -je serai là ce soir.
Sophie -j'annule Jacques dans ces cas là.
Moi -comme tu veux, Ludo emménage samedi et risque de passer déposer quelques fringues.
Sophie -oui, j'ai commencé à lui préparer sa chambre.
Moi -parfait, on en parle ce soir.
Puis un autre texto de Marc.
Marc -salut, j'ai hâte de m'occuper de ta nouvelle compagne, elle a l'air vicieuse, ça me plait.
Moi -oui, par contre, on évite de parler de notre passé, on jouait au foot ensemble, point final.
Marc -pas de souci et tu vas faire comment pour me l'offrir, tu me l'as promis.
Moi -j'aimerai une soirée quelque part où l'on se croise encore fortuitement, ça te dis ?
Marc -oui, très bien, pour moi le top serait en forêt.
Moi -oui, mais elle va se douter que je t'ai donné rendez-vous, non il faut trouver autre chose, on y réfléchis et on se recontacte.
Marc -je vais trouver, t'inquiètes pas.
Le 3eme texto était de Ludo.
Ludo -slt Olivier, dis-moi, j'aimerai encore m'amuser avec vous jeudi soir, si j'invente un jeu à base de sexualité, cela te tente t-il?
Moi -bien sur, je te laisse chercher et nous conter ça à ton arrivée.
Ludo -parfait, j'aime jouer sexuellement.
Moi -nous le jeu de piste nous a plu, on en a reparlé avec Sophie.
Ludo -vous me plaisez tout les 2, je veux vous emmener plus loin encore.
Moi -essayons.
Ludo -Sophie suivra ?
Moi -oui, pour elle mis à part le crade, elle n'a pas de tabou.
Puis un dernier venant de Maude après que je sois parti.
Maude -tu me comble de bonheur, continues à m'offrir des hommes, tu ne seras pas déçus, je vais te surprendre à chaque fois un peu plus, je t'aime mon amour.
Je ne répondis pas et me consacrais à mon boulot toute la journée.
Vers 18 heures, je rentrais à la maison et texto de Marc.
Marc -j'ai trouvé, on se croise tout les 3 dans une grande surface et on papote avant que tu m'invites, on parle de balade en forêt et tu me la ramènes le lendemain, je veux la baiser dans les bois.
Moi -pas mal, mais tu n'invite pas un autre mec à cette rencontre dans les bois, on est bien d'accord là-dessus.
Marc -oui, tu feras le voyeur en restant loin de nous.
Moi -tu as envie de ça ?
Marc -oui, je bande plus fort et plus dure quand on me mate.
Moi -oui, je le ferai mais je dois trouver une astuce pour m'éloigner de vous.
Marc -tu as oublieras quelque chose dans ta voiture, et tu retourneras le chercher.
Moi -très bon plan, donc rdv demain soir vers 18h30 à tel endroit, rayon légumes.
Marc -parfait.
J'arrivais chez Sophie, elle était seule.
Moi -ça va ?
Sophie -je m'ennuie.
Moi -pourquoi tu ne vas pas te balader ou faire les magasins.
Sophie -je n'ai pas envie de ça, je veux que tu sois là, je veux que tu me mate baiser ou me faire draguer par des hommes, je suis en manque de ça.
Moi -tu veux qu'on aille à Paris vers la porte Dauphine, il n'est pas tard, on se fait un resto et on tourne jusqu'au moment ou l'on trouve.
Sophie -superbe idée, je te dis oui de suite, je vais me préparer, me doucher, choisis comment tu veux voir ta petite femme ce soir.
Bien sur, je choisis une tenue qui me plaisait, la 1ere chose fut l'ensemble noir et rouge, string, bas porte jarretelle puis je choisis une robe noire très moulante et surtout très courte.
Dans la voiture.
Moi -alors, hier cette balade dans les guinguettes ?
Sophie -c'est simple, on s'est fait draguer par des hommes, mais Barbara n'a pas voulu aller plus loin.
Moi -Martine est venu avec vous ?
Sophie -tu penses bien que oui
Moi -tu avais trouver un beau male ?
Sophie -oui, un âgé, mais quel danseur, c'était un ancien militaire.
Moi -tu aurais aimé aller plus loin ?
Sophie -vas-tu finir par comprendre que ce que je veux, c 'est que tu me vois me faire draguer.
Moi -je le sais, tu veux qu'on aille là-bas, voir s'il est là ?
Sophie -j'ai son numéro, il suffit que je lui envois un texto.
Moi -décides-toi avant que je prenne l'autoroute.
Sophie -non, tu m'emmèneras là-bas samedi après-midi, emmènes-moi à Paris.
Moi -et vous êtes rentrées tard .
Sophie -19 heures, je les aies invité à diner et cela s'est fini en un trio lesbien, c'est Martine qui a morflé le plus.
Moi -et toi ?
Sophie -moi, Barbara n'a pas arrêté de me bouffer que ce soit mes seins ou ma chatte.
Moi -tu veux que je te dise une chose, je pense qu'elle est amoureuse de toi.
Sophie -je le sais.
Je trouvais un restaurant porte des Ternes, à coté de la place Dauphine, je me garais et Sophie me prit la main comme 2 amoureux.
Le serveur nous installait, on était lundi et il n'y avait pas grand monde.
Nous discutions et je lui parlais de l'idée de Ludo.
Sophie -hum, un jeu avec des gages ma plairait beaucoup.
Moi -tu parles, c'est tout le temps moi qui morflerait.
Sophie -tu aimes ça.
Moi -ce n'est pas faux, par contre, vu qu'il va être là dans la journée, j'espère que tu ne vas pas te faire baiser à tout bout de champs.
Sophie -je te le répète pour la unième fois, je veux que tu sois là et qu'il ne rêve pas, il va chercher du boulot, on ne va pas le loger et le nourrir gratos.
Moi -oui, d'accord avec toi, je vais lui réclamer une pension que tu garderas pour toi.
Sophie -j'achèterai de la lingerie avec.
Moi -comme tu veux.
Sophie -ce 'est pas ce soir que je vais me faire draguer, y'a pas un chat dans ce resto.
Moi -désolé, je n'y peux rien.
Je réglais l'addition et on ressortait du resto main dans la main.
Sophie -est ce que cet endroit te rappelle quelque chose ?
Moi -franchement non, mis à part les 2 ou 3 fois où nous sommes venus ensemble.
Sophie -c'est vrai, tu n''y est pas venu souvent, et bien en haut de la rue, c'est là qu'habitait Seb.
Moi -tu m'a fait souffrir celui-là.
Sophie -oses dire que tu n'aimais pas.
Moi -je n'ai pas dis ça.
Sophie -prends la contre allée, je veux voir s'il habite toujours là.
Moi -tu vas faire comment.
Sophie -attendre que quelqu'un sorte ou rentre et j'irai voir sur la boite aux lettres.
Je me garais et attendais, il était 21 heures.
10 minutes plus tard, Sophie revint.
Moi -alors ?
Sophie -toujours, je suis monté pour me rappeler de l'ascenseur, le nombre de fois où il m'a baisé dedans.
Moi -t'avais qu'a sonner aussi pendant que tu étais.
Sophie -j'ai failli figure-toi, ce qui m'a freiné c'est que tu n'aurais pas été avec moi.
Moi -tu as vraiment envie de le revoir ?
Sophie -franchement oui, j'aimerai bien.
Moi -alors, vas sonner, je t'attendrais ici.
Sophie -non, je ne peux pas te faire ça, poireauter pendant que je baise, pas question.
Moi -c'est un ordre, t'as compris,.
Sophie -dans ces cas là, mais je ne te dis rien mais si je ne suis pas revenu dans 10 minutes, tu en as pour au moins pour 2 à 3 heures
après 20 minutes, pas de Sophie, 1 heure plus tard, voici son texto.
Sophie -tu peux rentrer, je vais baiser avec lui et dormir nue à coté de lui, cela t'apprendras à me pousser vers lui, tu aura le compte rendu de ma soirée en texto demain matin, autre chose, je lui plait toujours autant et on va baiser dans l'ascenseur après ce texto.
Moi -tu as raison, je n'aurai pas du, je regrette à présent.
Sophie -trop tard, on est dans l'ascenseur.
Je rentrais seul, la route fut longue tant je pensais à Sophie.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar brions » Mer 30 Mar 2022 08:20

Saga toujours aussi "captivante". :twisted: Quelles belles aventures candaulistes !
Merci Fifou pour tous ces épisodes !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar valbeleix » Mer 30 Mar 2022 10:57

C'est à qui sera la plus cocufieuse entre Sophie et Maud...
Bravo pour cette idée !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar servons » Mer 30 Mar 2022 13:42

La plus cocufieuse des deux, ça va être difficile à dire... Mais le plus cocu de tous les cocus, c'est sans conteste Olivier !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Jeu 31 Mar 2022 07:26

"tu peux rentrer, je vais baiser avec lui et dormir nue à coté de lui, cela t'apprendras à me pousser vers lui"
Génial !
Voilà très exactement ce que tout bon cocu rêve d'entendre...

Merci Fifou !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Jeu 31 Mar 2022 11:28

Sophie m'envoyait un texto le lendemain que finalement, je saurais ce qui s'est passé cette nuit que jeudi soir quand je viendrai dormir chez moi.
Maude me rejoignait pour faire les courses, je n'eus aucun mal à la faire venir étant donné l'état de son compte en banque.
Nous prenions ce dont on avait besoin.
Moi -on prend quelques fruits et légumes aussi
Maude -oui, il faut bien qu'on accompagne nos repas avec.
Marc faisait semblant de prendre de la salade, je passais à coté sans l'apostropher, je voulais vraiment que Maude ne se soupçonne de rien.
Ce fut elle qui reconnut Marc et qui m'en informait.
Moi -slt Marc, ça va ?
Maude-bonsoir.
Marc -oui, super, je fais mes courses comme vous.
Moi -tout va bien ?
Marc -oui à peu près, on boit un coup après nos courses i vous avec le temps.
Moi -Chérie, tu en dis quoi ?
Maude -avec plaisir.
On se retrouvait dans un bistrot à coté de la grande surface.
Moi -alors, l'autre soir, on a pas vraiment eu le temps de discuter, tu deviens quoi ?
Marc -je bosse et le soir et le week-end, je vais marcher dans les bois.
Moi -ah bon.
Marc -oui, c'est très bon pour le cœur et les artères de marcher.
Maude -tu devrais en faire autant, cela te déstresserais un peu.
Moi -je ne suis pas contre, bien au contraire.
Marc -rejoins-moi demain soir si tu veux.
Moi pourquoi pas.
Marc -Maude, tu es la bienvenue aussi.
Maude -si mon Chéri y va, moi aussi.
On parlait ensuite de banalités et on se quittait en se disant à demain.
En rentrant
Maude -cela va nous faire du bien et si ça nous plait, on y retournera.
Moi -tout ce que tu veux.
La journée du lendemain me semblait longue, j'avais hâte d'être dans les bois avec Maude et Marc sachant ce qu'il allait se passer, Maude devait l'espérer, mais moi j'en étais sur vu le plan qu'on avait préparé
Je ramassais Maude à 18 heures, je me changeais et on était sur place 15 minutes plus tard.
Marc était déjà la, il était en short blanc et portait un maillot de foot.
Moi, j'étais en jogging et Maude en jogging blanc, le zip largement ouvert et bine entendu.
Bien sur, des dessous noirs en dentelle, tanga et soutif, ce qui fait qu'on ne voyait que ça.
Après 10 minutes de marche.
Moi -je ne suis pas sur d'avoir fermé la voiture, j'y vais en courant, je vous rejoint après.
Marc -ne cours pas, cela ne sert à rien, on t'attend ici.
Maude -quelle tête en l'air.
Marc -de ce coté là, il n'a pas changé.
Maude se sentait un peu gêné d'être seule avec lui.
Marc -je vais te dire quelque chose.
Maude -je t'écoute.
Marc -ce bois est un endroit d'exhibe et de drague pour les gays et bi, on y voit que rarement des femmes.
Maude -tu es gay ?
Marc -non, plutôt voyeur et exhibe.
Maude -ne me dis pas que tu t'exhibe devant des hommes.
Marc -si, cela fait 3 ans que je viens ici.
Maude -j'en reviens pas, donc, si on était pas là, tu chercherais à te montrer.
Marc -pas forcément, je marche aussi.
Maude -tu marches comment, à poil ?
Marc -ça arrive, mais c'est plus souvent en string.
Maude -genre là, tu portes un string sous ton short.
Marc -tu veux voir ce que ça donne en vrai.
Maude -pourquoi pas, mais si Olivier arrive, cela va faire désordre.
Marc -entrons dans les bois, il y a une petite allée plus loin.
Maude -à une condition.
Marc -laquelle ?
Maude -tu marches en string devant moi.
Marc se mit en string et marchât devant elle.
Maude -super, j'aime beaucoup et ton string léopard est très provoquant.
Ils prirent la petite allée et c'était maintenant Marc qui la suivait.
Marc -belle dentelle, je vois que tu ne déteste pas non plus faire voir ce que tu portes.
Maude répondit en baissant son bas de jogging.
Maude -tu préfères comme ça ?
Marc -et de loin.
Ils arrivèrent dans une éclaircie.
Marc -2 minutes, je dois satisfaire à un besoin naturel.
Baliverne, il s'écartait à 10 mètres de Maude et sortit sa bite de façon à ce que Maude puisse la voir.
Il bandait déjà, il se branlait lentement devant Maude qui n'en loupait pas une miette.
Maude qui ne voulait pas être en reste descendit le zip de sa veste de jogging.
Marc -viens, j'ai envie de toi.
Maude -moi aussi.
Maude s'approchait de lui.
Marc -viens t'occuper de ma grosse queue.
Maude -hum, quel engin, j'adore les grosses bites.
En plus, il avait mis un cockring ce qui tendait sa queue encore plus.
Maude -j'aime ton corps imberbe, tu me plais beaucoup.
Marc -toi aussi, enlèves tout ce qui risque de me gêner, je veux voir ton corps, je veux bander encore plus fort pour toi.
Maude -tiens regardes.
Elle avait tout enlevé sauf son tanga et ses tennis.
Marc -quel délice, tu me plais aussi beaucoup, suces-moi, prends ma grosse bite dans ta bouche.
Maude ne se fit pas prier, elle, la fervente de grosses bites, elle essayait de l'englober entièrement mais elle ne réussit pas
Marc -en plus tu es très douée avec ma queue, elle bande dure pour toi.
Un bruit de branche cassée fit que Maude se relevait et se cachait avec sa veste.
Marc -t'inquiètes pas, c'est peut être un voyeur ou peut être Olivier.
Maude -je ne suis pas habituée à m'exhiber devant des étrangers.
Marc -j'aimerai bien que tu t'y habitues, j'espère te faire découvrir le bonheur de l'exhibe en plus, cela me motive réellement.
Maude -pas aujourd'hui, je veux profiter de toi toute seule.
Marc -et Olivier ?
Maude -j'aimerai qu'il se montre discret et qu'il nous mate sans qu'on le voit.
Marc -il va nous chercher, j'en suis sure.
Maude -je le connais, s'il nous voit, il va faire le voyeur, il adore me voir avec un autre homme.
Maude ne se trompait pas, je les voyais mais pas eux, cela m'excitait.
Marc -il devrait déjà être là, tu as sans doute raison, il est planqué et nous mate, continues ce que tu faisais.
Maude reprenait sa queue à pleines mains et sachant surement que je les matais, roulait une pelle à Marc qui chopait ses seins.
Maude -oui, pelotes-moi les seins.
Elle savait que cela me rendait fou de jalousie.
Marc -ils sont énormes, je les adore, je vais les lécher et jouer avec tes tétons.
Maude -oui, vas-, occupes-toi en bien, ils sont très réceptif aux caresses.
Marc -je vois ça.
Il avait l'air d'aimer ses seins, il passait un bon bout de temps dessus arrachant des gémissements à Maude.
D'où j'étais, j'entendais et voyais tout, mais je n'étais pas le seul, en face de moi, 2 voyeurs se branlaient sans vraiment se cacher.
Quand Maude s'aperçut qu'on les regardait, elle se rhabillait.
Maude -je pars, je te veux toi, pas tes potes qui nous mate.
Marc -en quoi ça te dérange, ils ne te touchent pas et ils ne s'approchent même pas.
Maude -ça ne m''intéresse pas, je pars.
Je quittais ma planque et retrouvait le chemin.
Maude m'aperçus de loin et courut vers moi.
Maude -ramènes-moi à la maison.
Moi -qu'est ce qu'il y a, tu as vu un montre ou quoi ?
Maude -je te dirais dans la voiture.
On remontait le chemin vers la voiture, elle blottit contre moi, on aurait dit quelle avait peur.
Moi -vas-y dis-moi.
Maude me racontait ce qu'il arrivait.
Moi -dans ces cas là, moi aussi, j'étais voyeur.
Maude -tu as tout vu ?
Moi -oui et tout entendu, mais tu devais t'en douter pour me provoquer avec tes seins.
Maude -oui, mais toi, tu as droit de tout avec moi, les autres, je m'en fous.
Moi - cela ne m'as pas choqué, je dirais même que cela m'as excité encore un peu plus.
Maude -tu veux aussi que j'y retourne pendant que tu y es.
Moi - oui, j'aimerai que tu finisses ce que tu as commencé et qui avait l'air de te plaire d'ailleurs si je touche ta belle petite chatte, je suis sur que tu es trempée.
Maude -si j'y retourne, je me donne à lui entièrement et si les voyeurs s'approchent, je m'en occuperais aussi, tu veux toujours que j'y retourne ?
Moi -oui, sans hésiter.
Maude -alors demi tour.
On remontait le chemin et Marc lui redescendait cers sa voiture, dès que Maude le vit, elle entrait dans les obis en me tirant par la main.
Elle trouvait une endroit adéquate, me dit de me planquer et de bien regarder et écouter.
J'obéis et le temps de trouver ma planque, elle se retrouvait pratiquement à poil, seul son tanga cachait encore quelque chose.
Marc arrivait 2 minutes plus tard à poil lui aussi.
Maude -viens Marc, viens prendre mes seins, viens prendre mon corps, vite, j'ai envie.
Marc prit possession de ses seins et vite, très vite, Maude gémissait de plaisir.
Maude -hum, quel bouffeur de seins, continues, j'adore ça.
D'où j'étais, j'étais encore mieux placé que la 1ere fois je voyais et entendais tout.
Marc -suces-moi, Maude -ma queue est très dure.
Maude -tes amis sont dans le coin ?
Marc -je n'en sais rien et puis on s'en fout, c'est juste toi et moi.
Maude -finalement, j'aimerai bien qu'il nous mate, cela excite aussi Olivier.
Marc -on ne les entend pas arriver, par contre, ils ne se cacheront pas, ils aiment mater et se branler, que ce soit devant des mecs ou des couples même si cela arrive très rarement.
Maude -s'il viennent, gâtons-les.
Marc -si tu veux, allez suces-moi.
Maude obéis et englobait sa queue, elle faisait de lent va et vient, lui caressait les couilles aussi.
Maude -quelle agréable queue à sucer et à branler.
Marc -attend de la l'avoir en toi, tu ne pourra plus t'en passer
Maude -je n'attend que ça, ne plus pouvoir me passer de ta bite.
Des voyeurs, les mêmes que la 1ere fois étaient arrivés, nus eux aussi.
Marc -mes potes comme tu dis sont là.
Maude -dans ce cas là, occupe-toi de ma chatte.
Marc -tout de suite.
Maude se relevait et Marc l'enlaçait en lui roulant une pelle, ses mains se collaient sur ses fesses, il devait aimer la dentelle.
Puis, surement pour satisfaire ses potes, il se collait derrière elle, exhibant Maude et lui prenant les seins.
Maude -je sens bien ta queue sur mes fesses
Marc -oui, elle est bien dure en plus comme tes tétons, je sens qu'on a pas fini de faire des trucs ensemble, ça te plairait ?
Maude -oui, je te veux souvent, tes potes se rapprochent on dirait.
Marc -laisse-les faire, ils ne te toucheront pas, ils sont très respectueux mais avant tout voyeur.
Maude -prends-moi maintenant, je veux te sentir dans moi.
Marc prit un préservatif dans sa poche de son short, lui fit mettre Maude les 2 mains le long d'un arbre et l'enfilait facilement, elle devait être inondée.
Les voyeurs étaient maintenant à quelque mètres d'eux et se branlaient.
Maude réclamait plus fort et plus vite, Marc accélérait la cadence, les voyeurs aussi sur leurs queues.
Puis, Marc se sentant venir demandait à Maude de le finir avec sa bouche.
Maude se remit à genoux, le branlait et le suçait à la différence que les voyeurs étaient à coté d'eux.
Marc -profitez les potes, c'est tellement rare qu'on aie une femme ici.
Les voyeurs se branlaient mutuellement maintenant.
Marc -tu as vu Maude, tu aimes voir cela ?
Maude -très agréable de te branler en les regardant, j'apprécie ce moment, plus que ce que je ne croyais, mais maintenant tu vas jouir sur moi.
Maude le branlait de plus en plus vite et Marc jouit sur elle, Maude avalait son foutre, Marc aimait ça et le lui dit.
Marc -en plus, tu avales mon foutre, on a plein de choses à faire ensemble, je te l'assure continues à mater mes potes, ils vont eux aussi bientôt gicler.
L'un deux -un petit coup de mains Madame.
Maude -non, pas aujourd'hui, peut être une prochaine fois.
L'autre -tant pis.
Maude se rhabillait et repartait sans s'occuper de moi, les voyeurs arrêtèrent leur branlette et je me retrouvais seul derrière mon arbre, je pensais, est ce que l'on va pas trop vite ?
Quand j'arrivais à la voiture, Maude m'attendais.
Moi -merci de m'avoir planté comme un con tout seul.
Maude -tu le sauras si tu me fais orgasmer en rentrant.
Moi -pas de souci.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Jeu 31 Mar 2022 17:17

Encore un superbe épisode signé Fifou !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Barent » Ven 1 Avr 2022 08:28

C'est toujours un plaisir de lire ces suites...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Ven 1 Avr 2022 08:31

Dans la voiture.
Moi -cela t'a plu, je me demandais tout à l'heure si on allait pas trop vite ?
Maude -peut être, je n'en sais rien, en tout cas, je vis des moments exceptionnels et ça me plait beaucoup.
Moi -tant mieux alors.
Maude -je veux surtout que tu sois heureux, c'est primordial pour moi.
So téléphone vibrait.
Moi -encore un admirateur.
Maude -oui, c'est Jean-mi, il veux passer, il m'a acheté le tenue qu'il m'avais promis.
Moi -il est déjà tard, dis-lui demain soir, j'ai quelque chose à faire en rentrant.
Maude -pour ça, il peut te remplacer.
Moi -oui, mais je n'en ai pas envie, je veux te faire donner.
Maude -je prend, je lui dis vendredi soir.
Moi impec.
Maude -et si tu nous épiait encore vendredi, un réunion de dernière minute au bureau alors que tu seras planqué a la maison.
Moi -tu as envie de ça Amour.
Maude -franchement oui, j'adore que tu me regarde baiser avec mes amants.
Moi -accordé alors.
Une fois rentré, Maude se passait sous la douche et moi ensuite.
Maude -mets un string, j'ai envie de te voir comme ça.
J'obéis en revenais dans le salon, Maude était juste en string et soutif assise dans le canapé.
Moi -alors, il t'as dis quoi Marc ?
Maude -il m'a demandé si cela était possible de venir le rejoindre une ou 2 fois par semaine dans les bois, soit avec toi, soit sans toi.
Moi -tu as répondu quoi ?
Maude -que cela était possible mais que je ne ferai rien sans ton accord.
Moi -et tu aimerais ?
Maude -oui, j'ai finalement beaucoup aimé grâce à toi qui m'as poussé à y retourné, du coup, je veux réessayer.
Moi -je ne sais pas quoi penser, j'ai peur que tu me glisses entre les mains et de te perdre.
Maude -tu as raison, on va trop vite, mais j'ai aimé me faire prendre par un ancien pote à toi, c'est excitant.
Moi -tu as aimé sa queue ?
Maude -oui, une des plus belle que j'ai jamais vu et son corps sans poil me plait aussi.
Moi -va falloir que je m'accroche pour ne pas te perdre j'ai l'impression.
Maude -il ne me donnera jamais ce que toi tu me donne mis à part le coté sexuel.
Moi -merci Chérie.
Maude -mais, je veux réessayer, de ça, j'en suis certaine.
Moi -je te ramènerai et t'attendrai dans la voiture si tu veux.
Maude -autant que j'y aille seule, si tu viens c'est pour nous mater non !
Moi -tu as raison.
Maude -et une fois pour voir, j'irai toute seule.
Moi -pas tout de suite, attends encore un peu.
Maude -oui, c'est ce que je viens de te dire.
Je l'embrassais et lui enlevais son soutif, ses seins étaient à moi, j'en profitais un maximum, et Maude me le fit remarquer.
Maude -tu souffres quand je les donne à mes amants ?
Moi -oui, beaucoup.
Maude -je vais continuer même si tu souffres, moi, j'aime.
Moi -petite garce.
Je m'étais mis à genoux entre ses cuisses, jouant avec ses tétons et la léchant en même temps.
Maude -fais-moi l'amour, fais-moi donner, je veux que tu m'aimes encore plus fort qu'en ce moment.
Elle me donnait un orgasme où elle se lâchait complètement, parlant de Marc et de Jean-mi en même temps.
Puis, je la pris en levrette et je jouis dans elle.
Maude -hum, quel bon moment, j'aime quand tu me fais l'amour comme ça.
Moi -c'est toi qui me provoque cette envie avec tes amants.
Maude -je le sais, je vais continuer dès vendredi.
Le jeudi, je partais au boulot, Maude souhaitant que ce jeudi passe vite pour me retrouver vendredi.
Au cours de la journée, Marc m'envoyait un texto disant.
Marc -slt Olivier, désolé cela ne vas pas te plaire mais je veux Maude dans les bois samedi après-midi mais sans toi et tu n'as pas le choix, sinon Maude sera ravie d'apprendre ce que tu fais encore avec Sophie, je sais, ce n'est pas beau le chantage, mais Maude me plait beaucoup.
Moi -non, ce n'est pas beau mais en même temps, tu ne me laisse pas le choix, encore fait t-il que Maude soit d'accord.
Marc -ça, c'est à toi de la forcer à venir et si elle pouvait mettre une tenue suggestive, ce serait top.
Moi -je te redis ça rapidement.
Marc -oui, cela vaut mieux pour toi.
Quelle ordure, il me faisait chanter, il voulait Maude, j'en était certain, et en plus, je savais que Marc plaisait beaucoup à Maude, comment me sortir de ce guêpier ?
J'étais contrarié et Sophie s'en rendis compte immédiatement.
Sophie -toi, ça ne va pas.
Moi -non, t'inquiètes pas, ça va passer.
Sophie -c'est ta pute qui te fais souffrir ?
Moi -mais non.
Sophie -viens avec moi dans notre canapé, j'ai des révélations à te faire, tu vas bander, je te le promet.
Moi -Ludo n'est pas là ?
Sophie -non, il est sorti avec des potes, il rentrera tard.
Moi je voulais le voir pour le loyer.
Sophie -c'est fait, je lu ai réclamé 150 euros pour le logis et le repas du soir, c'est bon.
Moi -oui, cela te fera un peu d'argent même si tu n'en manque pas.
Sophie -oui, bon, j'ai passé une nuit de folie avec Seb.
Moi -racontes.
Sophie -quand j'ai sonné et dis que c'était Sophie, il m'a répondu pas ma Sophie et j'ai dis oui ta Sophie, il m'a ouvert et quand je suis arrivé sur son palier , il m'attendait et m'a prise dans ses bras avant de me rouler une pelle.
Seb -viens, rentres.
Sophie -rien n'avait changé, toujours les mêmes meubles aux mêmes endroits, il sortait une bouteille de champagne et nous trinquions, c'est à ce moment là que je t'ai envoyé le texto, je voulais vivre cette soirée à fond.
Moi -tu as bien fait, cela t'as fait du bien, ton bonheur contraste avec le mien.
Sophie -on a parlé de nos vies respective puis il est venu s'assoir à coté de mi, me complimentant sur ma tenue, que j'étais toujours sexy et qu'il me ferai bien l'amour, j'ai accepté mais je voulais qu'il me prenne dans l'ascenseur comme avant.
Seb -pas de problème, j'ai aussi envie dans l'ascenseur.
Sophie -emmènes-moi vite, j'en meurs d'envie, j'ai une tenue pratique, tu as juste à relever ma robe, écarter mon string et me pénétrer.
Seb -oui viens.
Il m'a limer pendant 20 minutes, j'ai adoré, mais vraiment adoré, dommage que tu n'étais pas là pour me voir et m'entendre gémir.
Moi -oui hélas, j'aurai bien aimé et ensuite.
Sophie -je l'ai sucé et il m'a éjaculé dans la bouche, j'ai tout avalé.
Moi -super.
Sophie -j'ai voulu qu'il m'appelle un taxi, mais il a refusé que je parte, il voulait que dorme avec lui.
Moi -ce que tu as fait.
Sophie -oui, cela me rappelait quand il était mon amant régulier, j'ai dormi nue à coté de lui.
Moi -et l'avenir, il a du t'en toucher 2 mots quand même.
Sophie -regardes sur le meuble, j'ai son trousseau de clefs, j'y vais quand je veux.
Moi -donc, il redevient ton amant régulier.
Sophie -non, pas encore, il est prêt à céder à tout mes caprices et j'en ai beaucoup des caprices pour que je vienne passer quelques nuits avec lui, je vais donc attendre et voir quelle tournure cela va prendre.
Moi -tu ne m'abandonnes pas j'espère.
Sophie -je me bat pour te récupérer, ce n'est pas pour abandonner maintenant, je ne vais pas te laisser à ta pute, elle serais trop heureuse.
Moi -il y a quand même un truc qui m'étonne, finalement aucun de tes amants ne te fait orgasmer.
Sophie -tant mieux car c'est toi qui dois me donner ça, d'ailleurs ma chatte t'attend, viens la bouffer.
Et Sophie me donnait un gros orgasme.
Dans le lit.
Sophie -tu m'emmènes toujours à la guinguette samedi après-midi.
Moi -ah, toi tu as envie de revoir ton militaire.
Sophie -oui, je veux surtout qu'il me drague devant toi, on n'entrera pas ensemble, je ne veux pas qu'il sache que tu es mon mari.
Moi -ce plan me plait beaucoup.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Jeu 7 Avr 2022 07:11

Un dysfonctionnement du site ces derniers jours et il nous manque les épisodes du 2 et du 4 avril...
Et peut-être d'autres que Fifou aurait mis en ligne sans que nous puissions les voir !
Fifou, on compte sur toi pour les remettre ! ;) ;) ;)
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Jeu 7 Avr 2022 11:05

Je reçus un texto de Marc me demandant si j'avais réussi à convaincre Maude à le rejoindre le samedi après-midi.
Avant de lui répondre, je sortais du bureau et appelait Maude.
Moi -bonjour Chérie
Maude -bonjour mon Amour.
Moi -j'ai une question, Marc veux absolument que tu le rejoigne au bois demain après-midi, cela te tente ?
Maude -sans toi, bof, je ne suis pas encore prête dans ma tête pour me donner entièrement à lui, surtout sans toi, mais si toi, tu veux, j'irai.
Moi -cela peux nous mettre le feu pour sortir le soir.
Maude -j'irai alors.
Je raccrochais et répondais à Marc.
Marc -merci vieux.
Moi -facile quand on fait chanter les gens donc ne me remercies pas, je n'en ai pas besoin.
Ma colère était grande, j'avais horreur de ça, qu'on force les choses.
Je me mettais au travail, cela m'évitais de cogiter.
Sophie aussi me textotait.
Sophie -Seb veux que je passe le samedi avec lui.
Moi -tu ne veux plus aller à la guinguette.
Sophie -si mais, j'aimerai aussi voir sa réaction en me voyant me faire draguer.
Moi -vas-y le dimanche.
Sophie -non, j'ai Barbara et Martine à l a maison.
Moi -j'ai compris, je dois m'éclipser pour lui laisser la place, ça recommence.
Sophie -j'y vais avec lui et toi tu seras déjà là-bas.
Moi -il me connait, cela va partir en sucette.
Sophie -on reste comme on a décidé, je vais trouver une excuse, je veux que tu sois là, je veux te voir jaloux.
Moi -oui, il n'a qu'a trouver lui-même les sorties qu'il veux faire avec toi ton connard.
Sophie -toi, tu es toujours en colère, je ne sais pas ce qui se passe, mais cela doit être grave.
Moi -tout va bien.
Je me remis au boulot mais il était dis que je ne serai pas tranquille pour bosser aujourd'hui.
Maude -Jean-mi vient ce soir, il m'emmène mon cadeau, on fiat le plan que je t'ai expliqué hier ?
Moi -oui, je te l'ai dis, je rentrerai pas trop tard et on l'attendra ensemble.
Maude -hum, j'ai hâte.
Je quittais mon boulot de bonne heure, je n'avais plus la tête à bosser, en rentrant Maude m'attendait, excitée comme une puce.
Maude -enfin là, tu m'as manqué.
Moi -je n'avais plus la tête au boulot, j'ai préféré partir.
Maude -tu as une sale tête, tu as l'air très contrarié.
Moi -non, ça va.
Maude -donc, Marc veux que j'aille le rejoindre dans les bois ?
Moi -oui, avec de préférence une tenue suggestive.
Maude -c'est à dire ?
Moi -une tenue sexy.
Maude -hum, je vais le faire alors.
Moi -tu ne me quitteras pas, votre attirance mutuelle me faire craindre le pire.
Maude -si tu penses ça, je n'y vais pas, ce n''est que sexuel.
Moi -si si, vas-y.
Maude -tu choisiras ce que tu veux que je mette ,ainsi, il n'y aura pas d'histoire.
Moi -d'accord, à quelle heure viens Jean-mi ?
Maude -il m'a dis pas trop tard, vers 18h30.
Moi -tu mets quoi pour l'accueillir, n'oublies pas que je suis censé être au bureau.
Maude -toute façon, faudra que je l'enlève pour essayer ce qu'il m'a acheté.
Moi -oui, surement, mais moi, je te veux belle et désirable.
Maude -j'aime quand tu es amoureux comme ça, je vais me doucher, m'habiller et tu me diras.
Moi -vas, Amour.
Maude s'était surpassé, elle était très belle.
Moi -et c'est pour qui toute cette beauté ?
Maude -pour toi tant qu'il n'est pas là, après, je ne suis plus à toi.
Moi -garce.
Maude -tu aimes entendre ça.
Moi -oui, c'est vrai mais demain, je ne te veux pas aussi belle pour aller au bois, on fera du classique.
Maude -je sens que cela t'ennuie que j'aille là-bas, je te le redis, si tu veux, je n'y vais pas.
Moi -si, je te l'ai dis, vas-y.
Maude -je t'aime si fort que tu n'as vraiment rien à craindre.
Moi -autre chose, tu en est où pour trouver une femme, moi, j'ai tenu mon engagement.
Maude -je ne m'en suis pas occuper, je m'y met dès lundi, je te promet.
Moi -oui, sinon, je t'envoie chez Pauline, j'ai envie que tu te fasse gouiner.
Maude -et si je draguais Audrey, tu aimerais ?
Moi -n'importe qui, peu importe.
Maude -je vais y réfléchir.
Moi -il ne vas pas tarder, je pense.
A peine, j'eus fini ma phrase que la sonnerie retentissait.
Maude -allez, va te cacher, laisse-moi profiter de mon amant.
Maude allait ouvrir et Jean entrait, il enlevait sa veste qu'il tendait à Maude qui l'accrochait au porte manteau.
Elle le priait d'entre dans le salon.
Maude -vodka, Jean-mi ?
Jean-mi -oui volontiers.
Maude ramenait la vodka, les glaçons et 2 verres
Jean-mi -tiens, c'est pour toi comme promis, j'espère que cela va te plaire, vas-y ouvres.
Maude -merci, voyons ce que c'est.
Maude découvrit une robe de soirée longue, blanche écrue, décolleté très profond en dessous de ses seins, dos nue et ouverte sur un coté d'en bas jusqu'en haut de la cuisse.
Maude -c'est magnifique, tu m'as gâté.
Jean-mi -essayes-là que je sois le 1er à te voir avec.
Maude -il y a un petit sac avec.
Jean-mi -oui, cela accompagne le robe.
Maude ouvrit le sac et découvrait un tanga blanc plein de dentelle et qui faisait un beau triangle derrière, cela devrait rentrer dans ses fesses..
Jean-mi -voila.
Maude -je vais essayer tout ça, sers-nous 2 verres et mets un peu de musique.
Je rejoignais Maude dans la chambre.
Moi -quel magnifique cadeau, tu vas devoir lui faire plaisir ce soir.
Maude -j'y compte bien, je vais mettre des bas blancs avec, cela va encore plus t'exciter.
Une fois qu'elle avait tout sur elle, elle me plaisait beaucoup, je ne pus pas m'empêcher de caresser ses seins.
Maude -bas les pattes, ce soir, ils ne sont pas pour toi, regarde bien Jean-mi va très bien s'en occuper, c'est le meilleur bouffeur de seins que je connaisse, je vais en abuser pour te rendre fou de jalousie et j'ai envie que tu me surprenne au lit avec lui ce soir, donc fais mine de rentrer quand je serai dans la chambre, fais-moi ce plaisir.
Moi -tu es vraiment une vraie garce.
Maude -je vais le charmer comme jamais.
Elle me fis un smack avant de retourner au salon.
Jean-mi -magnifique, cela te vas très très bien, tu me donnes envie.
Il prit les 2 verres et se levait pour trinquer avec elle, la prenant par la taille et lui roulât une pelle.
Maude était face à moi, j'étais jaloux comme jamais.
Maude -tu as l'air en forme ce soir.
Jean-mi -oui très, on va s'éclater je pense.
Maude -je ne pourrai surement pas sortir en pub habillée comme ça.
Jean-mi -je n'ai jamais abordé ce sujet mais j'aimerai bien t'emmener dans une boite échangiste.
Maude -j'ai un mari pour ça, je crois que je suis obligé de te dire non.
Jean-mi -dommage, mais je ne désespère pas, peut être avec le temps, tu me diras oui.
Maude -cela m'étonnerai, Olivier ne voudra jamais.
Jean-mi -tu n'es pas obligé de lui dire.
Maude -c'est vrai aussi, oh une musique que j'adore, fais-moi danser.
Jean-mi, l'enlaçait et baladait ses mains partout sur elle, s'arrêtant principalement sue ses seins.
Jean-mi -bien pratique cette robe, elle dévoile tes seins au travers.
Maude -pas que mes seins, on voit aussi mon tanga comme si je n'avais rien par-dessus mais ne te gênes pas, profites-en, mes seins et mes fesses ont très envie que tu t'en occupe et pour ton info, Olivier peut arriver n'importe quand, surtout, ne t'arrêtes pas à ce moment là.
Jean-mi -si tu veux, je préfèrerais qu'il ne rentre pas.
Maude -on verra en attendant, je suis à toi.
Jean-mi se mit face à elle et prit ses seins, il tortillait les bouts, Maude appréciait ce moment puis il les sortit de la robe et les englobait à tour de rôle, Maude s'était mise de coté pour que je vois ce qu'il faisait à ses seins.
Maude -caresses-moi les fesses en même temps.
Jean-mi tu as l'air très excité, c'est à l'idée que ton mari nous surprenne que tu es comme ça.
Maude -oui, surement.
Jean-mi -je vais en abuser si tu me le permet.
Maude -vas-y, mon corps t'appartient et il n'attend que tes caresses.
Jean-mi fit glisser la robe par terre et de voir Maude en talons, bas et tangas me rendis encore plus accroc d'elle.
Elle s'était mise dans le fauteuil comme la dernière fois, elle voulait que je ne rate rien de ses ébats avec son amant.
Après lui avoir bien bouffer les seins, il s'attaqua à sa chatte toute lisse, Maude gémissait à chaque coup de langue qui lui prodiguait et malin comme un singe il commençait à lui parler.
Jean-mi -tu aimes ce cunnilingus.
Maude -oh que oui, lèches-moi encore.
Jean-mi -laisses-moi profiter avant que tu ne décolles.
Maude -je ne vais tarder si tu continues à ce rythme là.
Il jouait avec son clito.
Jean-mi imagines-nous dans un boite échangiste, je te boufferai les seins pendant qu'un autre homme bouffera ta chatte, imagines un peu.
Maude -hum, oui, ce devrait être le paradis.
Jean-mi -allez, dis-moi oui.
Maude décollait à ce moment là et lui dis
Maude -oui emmènes-moi, défoncez -moi à 2, j'en ai envie maintenant que tu m'as dis ça.
Quel orgasme venait-elle de lui donner, elle en perdait la tête.
Maude -tu me rend folle avec tes idées.
Jean-mi tu as vu, cela t'as fait décoller très fort.
Maude -fous-toi à poil, je veux ta queue.
Maude, dès qu'il fut nu, s'emparait de sa queue, le suçait et le branlait, sa queue, d'où j'étais paraissait bien dure et bien raide.
Maude -ta queue est bien raide, quel bonheur de sucer ton engin.
Jean-mi -j'ai envie de te prendre en levrette sur le bord de la table, que tu sentes bien ma bite au fond de toi.
Maude -oui, viens, donnes-moi ton foutre.
Jean-mi -et je veux éjaculer sur tes seins pour que l'étale bien sur tes tétons, qu'ils deviennent bien dure t tu lècheras tes doigts.
Maude -oui, vas-y.
Jean-mi la limait un peu puis lui demandait de se mettre à genoux devant lui, il se branlât et envoyât plusieurs giclées sur ses seins, Maude fit exactement ce qu'il lui avait demandé.
Jean-mi, j'ai pris mon pied, mais vraiment.
Maude -moi aussi, j'ai bien donné.
Jean-mi -vous sortez ce soir ?
Maude -oui, on va au pub boire un verre.
jean-mi, laisse-moi t'emmener là-bas, envoies un texto pour qu'il nous rejoigne, accordes-moi cette faveur.
Maude fit semblant de réfléchir et me regardait attendant ma réponse qui fut un oui.
Maude -je lui envoie un texto et je vais avec toi.
Jean-mi -génial.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Ven 8 Avr 2022 09:06

Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner, la question de Maude ne me surprenait pas.
Maude -n'oublies pas que tu dois choisir ce que je dois mettre cet après-midi.
Moi -Marc m'a demandé à ce que tu portes, string, soutif, porte jarretelle, bas et talons hauts avec juste par-dessus un manteau.
Maude -et toi, tu as dis oui.
Moi -pourquoi, j'aurai du refuser ?
Maude -oui, je ne suis pas sa pute et je ne suis pas à sa disposition, je suis à toi, il n'a pas à te dire, je veux qu'elle porte ça, donc, je n'irai pas là-bas dans cette tenue.
J'étais dans la merde, j'aurai mieux fait de ne rien dire.
Moi -tu ne vas pas y aller en jogging quand même.
Maude -et pourquoi pas, je suis sexy dans mon jogging blanc, en plus, je peux ne pas mettre de soutif avec et mettre un tanga noir à dentelle.
Moi -comme tu veux, je te laisse choisir.
Maude -j'ai l'impression que tu veux vraiment que je m'accroche à lui, que tu me pousse vers lui.
Moi -pas du tout.
Maude -ouais.
Moi -crois-moi pour une fois.
Maude -alors, décides de ma tenue tout seul, décides comment tu veux voir ta garce cet après-midi.
Moi -une chose est sure, je veux string, bas, soutif et talons
Maude -moi, je préfère un tanga en dentelle qui rentre dans mes fesses.
Moi -d'accord, après bas auto fixant ou avec porte jarretelle.
Maude -auto fixant, plus pratique.
Moi -avec ou sans soutif, pour moi avec.
Maude -pour moi sans, encore une question de simplicité et je mettrai mes sandales à semelle compensées.
Moi -oui, très bien, ensuite, il faut une pratique et facile à enlever.
Maude -je n'ai pas de robe comme ça.
Moi -merde, c'est con.
Maude -tu vois avec mon jogging, je pouvais mettre tout ça, j'avais juste à enlever le bas et le haut.
Moi -si tu veux, mais je veux que tu portes un soutif.
Maude -c'est non, c'est ta jalousie qui veux que je mette un soutif.
Moi -oui, j'aime trop tes seins, il me rende fou.
Maude -justement, c'est pour ça que je ne vais pas en mettre, je vais me doucher et m'habiller pour que tu me vois avant de partir.
Moi -fais vite, il est déjà 10h30.
Maude -un quart d'heure, tu as bien ce temps à m'accorder quand même.
Moi -oui, je te refait un café.
Maude -merci mon Amour.
elle revint comme elle avait dis, j'ouvrait son zip pour voir ses énormes seins.
Maude -c'est plus fort que toi, tu ne peux pas t'en passer de les regarder.
Moi -tu devrais en être fière.
Maude -j'en suis, mais tu les auras que ce soir, cet après-midi, c'est pour Marc.
Moi -allez, j'y vais, à ce soir et ne lui donnes pas trop, gardes en pour moi, ah oui, il t'attendra à 14 à l'orée des bois.
Maude -jaloux, j'y serai.
Je partais avec regrets même si je savais que Sophie allait me faire donner aussi, j'aurai aimé accompagné Maude dans les bois.
Sophie était déjà prête quand j'arrivais.
Sophie -je t'invite au resto ce midi.
Moi -bonne surprise, tu sais où ?
Sophie -bien sur, à coté de la guinguette.
Moi -avec tes 2 lascars je présume.
Sophie -non, mais je sais qu'il mangent là-bas ce midi.
Moi -et tu me présente comme étant ton mari.
Sophie -non, un très bon ami.
Moi -d'accord, j'ai droit à quoi aujourd'hui, juste te mater te faire draguer ou plus.
Sophie -à voir sur place, je voulais mettre ma combinaison noire, mais c'est moins provoquant que cette robe.
Moi -oui' tu as mis des bas nylons couture ce qui veut dire porte jarretelle.
Sophie -oui c'est ça et j'ai aussi mis un dresse seins.
Moi -la couleur ?
Sophie -mauve.
Moi -hum, j'aime quand tu portes cet ensemble.
Sophie -je sais, je te connais par cœur.
Nous partions dans la foulée, Sophie, bien sur, faisait tout pour que je mate ses bas.
3 quarts d'heures de route et nous y étions et comme nous étions un peu en avance, nous allions boire un café en terrasse.
Je ne cessais de peser à Maude, qu'allait t-il lui faire faire, c'est cela qui me gênait, s'il était seul, il la baiserait et point final, mais comme il connaissait tout le monde là-bas, il était capable de tout.
Puis, nous nous rendions au restaurant, très classe et le menu laissait à penser qu'on mangerait bien.
Sophie -j'ai réserver pour 4 au nom d'Olivier.
Le serveur -par ici Madame, Monsieur.
Je commandais une bouteille de champagne que je payais de suite.
Nous trinquions et ses 2 messieurs arrivèrent, une fois les présentation faites (Michel et Xavier), ils s'asseyaient, Xavier à gauche de Sophie et Michel en face, moi j'étais à sa droite.
L'ambiance était bon enfant et nous mangions plus que correctement, Sophie riait beaucoup et vous connaissez le proverbe, femme qui rit est à moitié dans ton lit, je le saurai assez vite car c'était Xavier qu'elle avait en point de mire.
Sophie ne payait rien du tout, ce fut Xavier qui régalait, malgré ma protestation.
Nous faisions un kilomètre et nous étions à la guinguette.
La musique battait déjà son plein et l'orchestre y allait bon train.
Nous trouvions une table et cette fois-ci, je devançais tout le monde et offrait le champagne.
Michel -la prochaine est pour moi.
Directement, Xavier faisait danser Sophie qui adorait ça, ce n'était pas mon cas, Michel quand à lui se rabattait sur une femme seule assise sur une chaise, pas très jolie mais bon.
L'après-midi allait être longue, de plus je ne pensais qu'à Maude en regardant ma montre, il était presque 15 heures.
Pendant que Xavier s'absentait.
Sophie -il me le faut absolument, je pense que tu vas rentrer seul, désolé de t'avoir fait faire la route.
Moi -je peux partir d'ici une heure, si je part maintenant, je trouve que cela fait petit.
Sophie -très bien ainsi, je t'enverrai un texto pour te dire.
Je patientais plus d'une heure et pris congé d'eux.
La route pour rentrer était interminable, des bouchons partout, j'avais envoyé un texto a Maude, mais sans réponse.
Vers 17h30, je voyais enfin l'enfer se terminer, j'arriverai bientôt et Maude m'annonçait qu'elle était rentrée.
J'étais soulagé, ma boule au ventre disparaissait.
Je me garais et me précipitai chez Maude.
Elle était sous la douche, je lui criais que j'étais rentré.
En sortant, elle se précipitait dans mes bras et m'embrassait comme une folle.
Moi -ça va Chérie ?
Maude -oui, j'ai plein de choses à te raconter.
Moi -1ere chose, tu m'aimes toujours aussi fort ?
Maude -pourquoi voudrais-tu que ça change.
Moi -j'ai peur de te perdre, peur de ne pas te donner assez
Maude -ne crains rien Chéri, fais-moi confiance, je t'aime comme une folle, mais après des après-midi comme celle-ci, j'ai besoin de te retrouver, on boit un petit apéro le temps que je te raconte tout ça.
Moi -assieds-toi, je te sers.
Maude -merci mon Amour.
Je préparais sa vodka et mon whisky et m'asseyais à coté d'elle.
Moi -je t'écoute.
Maude -à 14 heures pétante, je me garais, Marc était déjà là, il fit la grimace en me voyant surement à cause de la tenue qu'on avait choisie mais ne dis rien.
Moi -tant mieux.
Maude -il me fit la bise ce qui me surpris un peu mais bon puis.
Marc -bon, maintenant que tu es là, on va se balader tout les 2 mais au fil de notre balade, tu verras surement au détour des chemins, soit des hommes seuls, soit des binômes, tu es libre de mater, du sucer, de branler, de réclamer des caresses, tu as le choix, tout est permis, mais rien n'est obligatoire, à part me faire éjaculer en fin de parcours, ça te plait.
Maude -je n'en sais rien, je dois me balader dans quelle tenue ?
Marc -j'avais demander à Olivier une certaine tenue mais il ne m'a pas écouté.
Maude -si, c'est moi qui n'as pas voulu, je suis libre de me vêtir comme je le sens personne ne me forcera à mettre quelque chose dont je n'ai pas envie.
Marc -d'accord, tu fais ce que tu as envie, moi, je serai en string comme d'habitude.
Moi -tu l'as bien mouché, bravo mon Amour.
Maude -on attaquait le chemin, Marc me parlait, mais je ne l'écoutais qu'à moitié trop absorbé à savoir ce qui m'attendait réellement, après 100 mètres, un 1er homme sur ma droite, le long d'un arbre, la bite à la main, il me dit bonjour, je répondais bonjour aussi, sa bite était d'un bon calibre, elle me plaisait, et là je posais une question à Marc, seront t-il toujours là quand on refera le chemin à l'envers
Marc -il doit y avoir environ une douzaine d'hommes sur notre route et il ne bougeront pas tant que tu ne seras pas partie.
Moi -mais non, il a du rapatrier tout les voyeurs du coin.
Maude -celui-là, s'appelait André, je laissais de coté pour le moment et continuait à marcher, Marc ne me touchait même pas les fesses, aucun geste déplacés, j'ai apprécié.
Moi -tant mieux?
Maude -par contre, il se sentait sur de lui, il était sur que je succomberais à la vue de toutes ses queues.
Moi -il s'est trompé ?
Maude -je ne vais pas te le dire maintenant, sinon, il n'y a plus de charme.
Moi -tu as raison.
Maude -plus loin de l'autre coté du chemin, il y avait 2 hommes, aussi bizarre que cela puisse paraître, l'un des 2 portait des bas et un string de femme en dentelle noire, je m'arrêtais pour toucher la dentelle qui cachait à peine sa queue.
Marc -lui c'est Bruno et à coté de lui Jean François dit JF, ils sont inséparables, si tu en touche un, faut toucher l'autre.
Maude -pas de souci, ils sont aussi bien membré l'un que l'autre, du coup, je les branlais ensemble, une queue dans chaque main, ils se roulaient des pelles pendant ce temps là et JF tirait les tétons de Bruno.
Marc -ça leur plait pour qu'ils réagissent ainsi.
Maude -Marc s'étaient mis derrière moi et frottait sa queue sur mes fesses au travers du jogging, il me dis, tu serais mieux si tu l'enlevais.
Moi -et alors ?
Maude -enlèves-le toi-même, j'ai les mains occupées, il ne s'est pas gêné et je me suis retrouvé en tanga avec mes bas noirs, mes sandales et toujours ma veste qui était quand même largement ouverte, Marc me remerciait d'avoir mis des bas sous mon jogging, je branlais toujours mes 2 lascars sauf que maintenant, je sentais la grosse queue de Marc se balader sur mes fesses.
Moi -ça me plait beaucoup ton histoire Chérie, tu veux une autre vodka, mais dis moi, tes 2 lascars ne t'ont pas touché ?
Maude -oui, ressers-moi, non, c'est Marc qui ouvert ma veste et délivré mes gros seins face aux 2 lascars qui ont eu un sifflement d'admiration.
Marc -on ne touche pas sauf si la dame vos demande.
Maude -mes tétons étaient durs, Marc jouait avec, pis je li ai enlevé ses mains et demandé aux 2 lascars de me les bouffer, un sein dans chaque bouche.
Moi -tu as aimé, dis-moi ?
Maude -oui, même s'ils bouffaient pas très bien, c'était très agréable, je le referai dans un proche avenir.
Moi -avec qui ?
Maude -mon rêve c'est avec Jean-mi et toi mon Amour.
Moi -hum, le plus vite possible.
Maude -oui, oui, puis, je voulais voir autre chose, je n'avais vu que 3 hommes sur la douzaine qu'il m'avait promis, donc j'avançais juste avec mes dessous et sans veste de jogging à présent.
Marc -quand on est derrière toi, ça donne vraiment envie.
Maude je le sais que je te fait envie, la preuve, tu te réserve pour la fin, plus loin dans le chemin, j'eus une surprise.
Moi -ah bon, laquelle ?
Made -il y avait un black enfoncé légèrement dans les bois mais je ne le voyais pas bien, je demandais à Marc pourquoi il était à moitié caché.
Marc -il n'aime pas être au bord du chemin, il a peur d'être reconnu.
Maude -dis-lui d'avancer, je veux voir.
Marc -Doudou, viens par là.
Maude -il s'avançait et de suite, je savais que c'était le black d'hier au soir quand j'étais avec Jean-mi, je ne fis aucune allusion mais m'emparait de sa bite directement, je me mis à genoux et le pompait avec une grosse envie, sa queue faisait pas loin de deux fois mes mains, tu sais que j'adore les énormes queues, j'étais gâté.
Moi -quelle coïncidence tout de même.
Maude -j'ai passé au moins 40 minutes avec lui.
Moi -tu l'as fait éjaculé au moins ?
Maude -oh que oui, il m'a envoyé je ne sais pas combien de giclées sur mes seins et ma figure, j'en ai même avalé une partie, Chéri, je veux absolument le revoir, je veux encore son énorme queue.
Moi -on ira où Jean-mi t'as emmené.
Maude -oui oui, je me suis essuyé avec les lingettes qu'il avait au pied d'un arbre et je continuait mon chemin, plus loin c'était homme âgé, mais lui aussi, quel engin il avait, de toute façon, je crois que je n'ai pas vu une queue en dessous de 20 cm de toute l'après-midi .
Marc -lui, c'est Maurice dit Papy ici, c'est l'ancien, mais tu vois, il bande aussi.
Maude -je vais le sucer, il le mérite, mais avant, je veux qu'il pelote mes seins et qu'il les bouffe.
Papy -vos désirs sont des ordres étant donné vos superbes seins.
Moi -tu le fais exprès pour me rendre jaloux, c'est ça.
Maude -non, il n'ont été que 4 plus Marc à y toucher.
Moi -donc, il en reste encore un après.
Maude -oui, pour plus tard, par contre, ce Papy quel bouffeur, il était doué et prenait son temps, du coup, je décidais de le faire éjaculer lui aussi, je ne mis pas longtemps et prenais une 2eme salve, mais que sur mes seins cette fois-ci.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Ven 8 Avr 2022 11:36

Merci d'avoir remis ces épisodes.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar brions » Sam 9 Avr 2022 08:48

Oui, merci, cela aurait été dommage de rater cela...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Sam 9 Avr 2022 11:25

Je pensais que ce Papy pouvait être celui qu'on côtoyait à l'époque avec Sophie, je pensais aussi, si ça se trouve, il a rameuté Fred, Ludo et tout les autres voyeurs de l'époque, j'attendais la suite pour savoir.
Maude -je continuais ma route avec Marc toujours derrière moi, mais je décidait que qui que ce soit, je ferai une pause sur les 2 suivant, je les materais en train de se branler, ce sera bien.
Moi -et tu l'as fait ?
Maude -en plus c'était les 2 voyeurs que j'avais vu avec toi, je les matais un peu et poursuivais, plus loin, un homme seul au milieu de chemin, sa bite bien tendue à la main.
Marc -lui, c'est Fred, très résistant, c'est un peu le chef de file des voyeurs et il a bien voulu se prêter au jeu d'aujourd'hui.
Je pensais, quelle ordure ce Marc, il me prenait en tenaille, comment allais-je faire pour ensuite pour jongler entre Sophie et Maude.
Maude - si c'est le chef de file, je me dois de le branler alors !
Marc -oui, cela va de soit.
Maude -alors franchement mon Amour, je peux dire que lui bandait vraiment dur, c'était un réel bonheur une queue pareille et plus je le branlais et le suçais, plus cela devenait dur, bine sur, il n'éjaculait pas.
Marc -il sera là quand je te prendrai tout à l'heure, il adore mater.
Maude -pas de problème, bien au contraire, 20 mètres plus loin, un autre homme, il n'était pas loin de Fred.
Marc -lui, c'est Ludo, toujours dans les bons plans de voyeurs, il va nous ramener lui aussi une femme pour se prêter au même jeu que toi.
Maude -une chanceuse comme moi, il ne doit pas y en avoir beaucoup qui de prête à ce jeu de queues.
Marc -hélas non.
Moi -il a eu droit à quoi celui-là ?
Maude -à tout, il était beau, je lui ai dis de me bouffer les seins, ce qu'il fit sans violence avec une douceur extrême et quand ses mains n'était pas sur mes seins, elles me caressaient les fesses.
Moi -c'est donc lui le 4eme à t'avoir bouffer les seins ?
Maude -oui, et je l'ai laissé faire, j'avais en même temps sa queue entre mes mains, franchement, j'étais aux anges, tant de douceur sur moi me rendait fébrile, au fond de moi, j'aurai 100 fois préféré me faire prendre par lui, hélas, je savais que ce n'étais pas possible, Marc me voulait.
Il l'avait vraiment joué fine, il avait même convié Ludo, j'espérais au fond de moi qu'il ne lui avait pas dit que c'était ma maitresse.
Maude -j'arrivais au dernier homme.
Marc -voila le dernier homme avant que je m'occupe de toi et vu que tu as joué le jeu à fond, tu as droit à 3 hommes en plus de moi pour nous mater voir plus si tu en as envie.
Maude -hum, charmant cadeau, j'adore.
Marc -choisis.
Maude -Doudou, Ludo et Fred.
Marc -eux seront prêt de nous, mais les autres vont nous mater d'un peu plus loin.
Maude -pas de souci vu qu'ils sont tous respectueux envers moi, Marc me ramenait dans la même éclaircie que le 1ere fois;
Marc -tu peux faire intervenir n'importe lequel des 3 hommes que tu as choisis et à n'importe quel moment.
Moi -quel scénario, incroyable, je présume que tu as d'entrée demander à ce que Ludo te bouffe les seins.
Maude -oui, direct, Ludo se précipitait dessus et le fit avec la même douceur, en même temps, je réclamais une queue dans chaque main, j'eus celle à Marc et Fred, Doudou restant un peu en retrait.
Moi -as-tu pensé un peu à moi au cours de périple ?
Maude oui, beaucoup, j'aurai aimé que ce soit toi qui m'offre toutes ces queues.
Moi -je ne connais pas assez ce monde de voyeurs, hélas, mais finis ton histoire.
Maude -je branlais 2 queues mais j'appréciait surtout la douceur des caresses de Ludo, il relavait même la tête et je lui donnait ma langue, c'était une réel envie, puis je me mis à genoux et m'occupait des bites de ces messieurs, une fois qu'elle furent bien dures, Marc m'ordonnait de mettre mes mains le long de l'arbre, il voulait me prendre en levrette.
Marc -on va s'enchainer dans toi les uns derrière les autres, tu vas morfler
Maude -en effet, ils me pénétraient à tour de rôle et à un moment j'ai dis stop.
Marc -ok, par contre, tu vas nous branler et on vas te jouir dessus, j'ai reçu une douche de sperm, mais je n'ai rien dit, je n'ai rien avalé non plus.
Moi -et ensuite ?
Maude -Marc m'a raccompagné à ma voiture et je suis rentré.
Moi -il ne t'as pas posé de questions ?
Maude -si une, à savoir quand je reviendrais, ce à quoi j'ai répondu, pas sure que je revienne.
Moi -cela t'as plu moyennement, j'ai l'impression.
Maude -oui, Doudou et Ludo m'aurait suffit et si peut être Fred en plus.
Moi -et Marc ?
Maude -il m'as déçu, très déçu ne serait-ce que par sa volonté de me forcer à mettre ce qu'il voulait, je n'aime pas ça.
Moi -on reboit un verre, j'en ai envie comme j'ai très envie de toi.
Maude -hum, je t'aime Chéri, on sort ou pas ?
Moi -à toi de décider, moi, je m'en fous.
En allant dans la cuisine pour chercher des glaçons, je vérifiais mon téléphone, un texto de Sophie m'indiquait qu'elle resterait sur Paris et qu'elle ne rentrerait que le dimanche après-midi.
Je ne répondais pas.
Maude -on sort, j'ai dis hier à Audrey qu'on serait là ce soir.
Moi -d'accord, on grignote un morceau et on y va?
Maude -je met ma combinaison, je veux que tu craques pour moi.
Moi -je craque tout le temps pour toi.
Maude avait mis sa combinaison et avait bien ouvert le zip.
Moi -c'est pour moi ce zip bien ouvert.
Maude -c'est pour ceux qui materont, j'aime bien ta jalousie quand cela concerne mes seins.
En arrivant au pub, on reconnut la voiture de Jean-mi, on se garait à coté, et entrions dans le pub déjà bien chargé malgré l'heure précoce.
Jean-mi était au bar, il nous dis bonjour en bégayant beaucoup, il était ivre, je prit Maude par la main et allions à notre table.
Moi -il va nous pourrir la soirée, tu verras.
Maude -tu crois ?
Moi -sur à 90%
Maude -on va ailleurs Chéri, je n'ai vraiment pas envie de me prendre la tête ce soir.
Jean-mi se pointait à notre table avec son seau et sa bouteille de vodka.
Jean-mi -ça va les amoureux.
Maude -très bien, toi, ça n'a pas l'air.
Jean-mi -si ça va, je suis bourré à cause de toi.
Maude -tu savais que j'étais pas libre au départ, ne viens pas me faire une scène maintenant, j'aime Olivier, point final.
Jean-mi -le cocu de service.
Maude lui assénait une gifle, me prit par la main et me demandait de partir immédiatement.
Je me levais et étions prêt à partir quand une nouvelle fois, le patron de la boite avec la sécurité se pointait, demandant des explications.
Maude -y'a rien à explique, on s'en va, c'est tout.
Le patron -tu es vraiment un sale con quand tu as bu Jean-mi, allez, lève-toi et retourne au bar, laisses ma clientèle fidèle tranquille.
Jean-mi -j'irais nulle part, je reste à cette table, c'est tout.
Le garçon de la sécurité sur un geste du patron, l'attrapait au col et le trainait au bar.
Le patron -encore désolé.
Moi -il ne s'est jamais comporté comme ça avec nous.
Maude -je ne veux pas rester, dès que je vais bouger, il va être après moi, Chéri, on rentre.
Je me levais, m'excusais auprès du patron en lui disant qu'il devait comprendre, et que nos reviendrons.
Une fois dehors, on croisait Audrey, je lui expliquait le situation.
Audrey -et moi qui me suis engueulé avec Sam pour venir, il ne voulait pas, du coup, je suis sortie sans lui.
Maude -on va à l'autre pub, montes avec nous, on te ramène à ta voiture en rentrant.
Audrey -d'accord, mais pas à 5 heures du matin, sinon, c'est le divorce.
Moi -non, t'inquiètes pas, on ne rentre jamais à cette heure là.
Audrey montait avec nous et foncions à l'autre pub.
Une fois à l'intérieur, je me sentais beaucoup mieux.
Audrey -qu'est ce qui lui a pris, il a toujours été correct avec nous.
Moi -tu sais l'alcool, des fois te fait faire n'importe quoi.
Après avoir passé une heure à discuter, Audrey et Maude rejoignait la piste de danse, tout en dansant Maude questionnait Audrey pourquoi voulait-elle absolument sortir ce soir.
Audrey -c'est toi qui m'as demandé hier soir d'essayer de revenir ce soir.
Maude -ce n'est pas une réponse ça.
Audrey -bah si.
Maude -si quelque chose ou quelqu'un ne t'attirait pas, tu ne serais pas venu
Audrey -si, je me sens bien avec vous 2.
Maude -à ce point là ?
Audrey -oui, pas de prise de tête, ton mari est charmant et toi tu es croquer.
Maude -croquer ou lécher ?
Audrey -les deux.
Maude -je t'attire tant que ça ?
Audrey -disons que tu as quelque chose d'attirant même si je ne suis pas lesbienne.
Maude -tu as déjà eu des aventures lesbiennes ?
Audrey - oui quelques unes et toi ?
Maude -oui, moi aussi dont une torride.
Audrey -faudra me raconter ça.
Maude -c'est donnant donnant, je te dis, tu me dis.
Audrey -on essaye de se voir un soir de la semaine si tu veux.
Maude -Sam est au courant ?
Audrey -t'es folle, il est coincé du cul et toi ?
Maude -Olivier sait tout de moi, je ne lui cache rien.
Audrey -chanceuse et ta dernière histoire remonte à quand ?
Maude -15 jours environ.
Audrey -c'est récent moi, cela fait pratiquement un an et tu trompes Olivier ?
Maude -je ne le trompe pas, disons que nous sommes assez libertin, enfin pour moi, pas pour lui.
Audrey -ça existe des hommes comme ça ?
Maude -oui, le mien.
Audrey -je veux passer une après-midi avec toi, on a plein de choses à se dire et dis-moi, c'est quoi ton atout majeur pour séduire les hommes ou les femmes ?
Maude -toi, c'est quoi qui te plait quand tu me regardes ?
Audrey -tes seins.
Maude -voila, tu as gagné.
Audrey -et toi qu'est ce qui t'attire quand tu me regardes ?
Maude -ne te vexes pas, je vais être franche, c'est la différence d'âge entre nous.
Audrey -je n'ai que 46 ans.
Maude -et moi 31, c'est ça qui m'attire même une jeune bien fagotée ne m'intéresse pas, toi par contre, hum.
Audrey -tu vas me prendre pour une cougar.
Maude -justement, c'est ça ce que je veux.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Sam 9 Avr 2022 13:40

Encore un bien bel épisode, merci !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Mar 12 Avr 2022 08:28

Leur discussion prit fin et elle revinrent à table.
Moi -ça vous a fait du bien de vous remuer un peu sur la piste.
Audrey -oui, super.
On passait une soirée, les filles alternaient la danse et les pauses à table et 2 heures du matin, je les conviais à rentrer.
En sortant, un jeune homme nous demandait si on pouvait le déposer à telle endroit, J'acceptais et les filles montaient à l'arrière.
Il me remerciait mille fois tout au long de la route, je le déposais et puis ramenait Audrey à sa voiture, il nous fit la bise et Maude montait devant
Moi -ça va ma Chérie ?
Maude -très bien, bonne nouvelle, je crois qu'Audrey va finir dans mon lit.
Moi -hum, intéressant comme programme.
Maude -tu n'as rien vu sur la route ?
Moi -non, il faisait nuit Chérie.
Maude -dommage pour toi.
Moi -explique ?
Maude -elle a pris ma main pour que je lui caresse la cuisse.
Moi -tu as découvert quoi ?
Maude -elle porte elle aussi des bas, ceux la tenait par un porte jarretelle.
Moi -hum, tu vas être gâtée, j'ai l'impression.
Maude -oui, on se voit jeudi.
Moi -évidemment le jour où je ne suis pas là.
Maude -c'est elle qui m'a imposé jeudi, je n'y peux rien.
Moi -quand je pense à la scène que tu m'as fais le 1er soir où tu as vu Audrey, c'est tout de même incroyable.
Maude -c'est toi qui m'ouvre les yeux par moment, je suis aveuglé par ma jalousie tellement je t'aime.
Moi -je -t'aime aussi, elle ne vient pas ce soir ?
Maude -elle m'a dis que non, mais sait-on jamais.
En rentrant, dodo direct, on avait besoin de dormir.
Le dimanche matin, bien sur, j'étais levé le 1er, je regardais ma messagerie et des textos de Sophie.
Sophie -bon, on a fini dans un l'hôtel de classe sur Paris, il baise très bien, je vais le garder au chaud celui-là,.
Sophie -je vais aussi passer la journée avec Seb, il a des choses à me dire soi-disant, je te dirai par texto si c'est important..
Sophie -donc, je ne rentrerai surement que demain matin.
Je répondais.
Moi -si tu es heureuse, profites ma petite femme mais surtout, j'ai besoin de savoir tout ce que tu fais.
La réponse ne tardait pas.
Sophie -moi aussi, j'aimerai bien savoir ce que tu fais avec ta pute.
Moi -il ne se passe rien d'important, rassure-toi.
Maude sortait du lit à plus de 11 heures.
Maude -coucou Chéri.
Moi -hello Amour.
Maude -aujourd'hui, repos, je ne fais rien jusqu'à ce soir.
Moi -oui, repose-toi, tu as les yeux cernés ce matin.
Maude -tu iras chercher le pain, j'ai vraiment la flemme.
Moi -oui, j'irai tout à l'heure.
Je sortais vers midi, à pied, tranquillement, peut être un peu trop.
Je m'arrêtais boire un café au bistrot du coin quand j'entendis un salut Olivier.
Ludo -ça va, tu m'offre un café ?
Moi -assied-toi et commandes, que fais-tu par là ?
Ludo -rien, je me balade comme toi.
Moi -oui, cela fais du bien le dimanche matin.
Ludo -je n'ai pas vu Sophie depuis vendredi.
Moi -elle vit sa vie de femme, faut la laisser, as-tu trouver du boulot ?
Ludo -j'ai un rdv mardi matin, pourvu que ça marche.
Moi -je te le souhaite et sinon, quoi de neuf ?
Ludo -rien, à part hier, Marc a emmené une femme dans les bois de toute beauté.
Moi -raconte-moi ça.
Ludo me racontait en gros la même histoire que Maude.
Moi -donc, elle te plait.
Ludo -oui, beaucoup, j'aimerai bien la revoir, aller plus loin avec elle, je ne pense qu'à elle depuis hier, j'espère que Marc va la ramener au bois.
Moi -bah dis donc, Ludo amoureux, cela n'a pas du arriver souvent.
Ludo -ce n'est pas de l'amour, mais cette Maude à quelque chose qui me donne envie d'essayer quelque chose avec elle.
A fond de moi, j'étais malade d'entendre ça, il fallait absolument que j'empêche Marc de la ramener là-bas.
Ludo -cela te laisse pensif, on dirait.
Moi -non, je pense à autre chose, c'est tout.
Ludo -merci pour le café, à bientôt.
Je restais assis, détruit par ce que je venais d'entendre, je décidais de rentrer, il fallait aussi que je cache mon inquiétude.
Maude -tu en a mis du temps.
Moi -oui, je me suis arrêté boire un café et j'ai rencontré un pote à moi.
Maude -si j'avais su, j'aurais été avec toi, cela aurais pu m'intéresser un pote à toi.
Moi -pas celui-là, il est marié et très fidèle.
Maude -j'ai des arguments pour ce genre d'hommes.
Moi -ah bon, lesquels ?
Maude prit ses 2 seins dans les mains en me disant ceux-là.
Moi -garce.
Maude -ils sont à toi mais j'aime de plus en plus les offrir à un autre.
On déjeunait vite fait, et nous dirigions vers un après-midi canapé.
On sonnait à l a porte.
Maude -qui cela peut- il être, je n'attend personne, tu vas ouvrir, je vais mettre un peignoir.
Maude était juste en nuisette noire en dentelle avec un string en dessous
J'ouvrais et tombais nez à nez avec Jean-mi qui avait un bouquet de fleurs à la main et une bouteille de vodka dans l'autre.
Jean-mi -je suis venu pour m'excuser auprès de vous sur ma conduite d'hier soir.
Moi -rentres.
Moi -Chéri, c'est Jean-mi.
Maude -il veux quoi ?
Moi -viens.
Maude me rejoint à l'entrée.
Jean-mi -désolé pour hier soir, j'étais saoul, j'ai fait n'importe quoi, excusez-moi.
Il tendait le bouquet à Maude qui le prit.
Maude -pas grave, ta démarche d'aujourd'hui prouve que tu es un bon mec, tu veux boire un café avec nous ?
Jean-mi -oui, volontiers.
Maude -je te prépare ça, va dans le salon.
Dans la cuisine en chuchotant.
Maude -si j'avais su, je n'aurai pas mis mon peignoir.
Moi -trop tard maintenant Chérie.
Maude -j'aurai bien aimé qu'il me mate devant toi, j'adore ça.
Moi -tu vas bien trouver une astuce.
Maude -je vais trouver, n'aies criante.
Je pris le fauteuil et Maude ne s'asseyait pas à coté de lui.
Jean-mi merci de me redonner votre confiance.
Maude -1ere et dernière fois, je te prévient et dis-moi pourquoi tu t'es mis dans cet état là.
Jean-mi -puisque je suis là pour m'expliquer, je vais tout vous dire.
Moi -on t'écoute.
Jean-mi -le jour où je t'ai offert la robe, je pensais que l'on irai faire un tour dehors comme on faisait depuis3 ou 4 fois, mais le soir, tu m'as snobé complètement, tu as passé la soirée avec Audrey ne me calculant même pas, je l'ai très mal pris, d'ailleurs, ce soir-là, je suis parti et hier j'étais décidé à te faire payer les pots cassés, j'ai merdé, encore désolé
Maude -tu sais, seul Olivier peut dire quelque chose sur ma façon de me conduire, toi, tu ne compte pas, tu étais un de mes amant, point final, je ne te dois rien et je ne suis redevable de rien, c'est compris.
Jean-mi bien compris.
Maude -et surtout n'oublies jamais, j'aime Olivier plus que tout, c'est mon bonheur, ma vie, enfin tu me comprends.
Jean-mi -oui et tu as un mari en or qui te laisse faire ce que tu as envie, moi à sa palace, je ne supporterais pas ce que tu fais.
Moi -on trouve notre bonheur comme ça et on aime vivre comme ça au rythme des aventures de Maude.
Jean-mi -on bois la vodka de réconciliation.
Maude -oui, bien sue maintenant que les chose sont claires entre nous, je vais chercher des verres et des glaçons.
Ce qui m'étonnais, c'est que Maude prit son portable pour aller chercher les verres et les glaçons, je compris vite pourquoi le mien vibrait dans ma poche.
Maude -je vais réaliser mon fantasme cet après-midi, on va faire un trio, j'en ai envie.
Moi -je te laisse gérer, à toi de jouer.
Maude revint avec ce qu'elle avait été chercher.
Maude -je te laisse nous servir Jean-mi.
Jean-mi -oui, tu verras cette vodka est terrible, un peu chère mais cela vaut la peine.
Maude, maligne, sachant ce qu'elle voulait vint s'assoir sur moi.
Maude -hum, très bonne, j'adore.
Maude me caressait les cheveux et moi son dos, surtout le bas de son dos, je sentais son string, j'aimais ça.
Puis Maude m'embrassât tendrement devant les yeux de Jean-mi stupéfait, je continuais à lui caresser le dos avec un peu plus d'insistance.
Jean-mi ne bougeait pas, le silence s'était fait.
Ma main passait maintenant sue ses seins, Maude m'embrassait toujours, ses tétons s'étaient raidis sous mes caresses.
Puis, elle se levait et enlevait son peignoir.
Maude -je serais mieux ainsi.
Elle se remit sur moi mais pas de la même manière, elle se mit de dos et faisait face à Jean-mi maintenant, elle savait ce qu'elle voulait.
Maude -Chéri, pelote-moi les seins, je veux que Jean-mi salive devant nous comme une sorte de punition pour ce qu'il à fait.
Jean-mi la punition est sévère je trouve.
Maude -tais-toi et regarde-nous.
Maude appréciait cette situation, c'était à son tour de faire le voyeur, je les pelotais ses seins, j'aimais que ce soit moi qui les ai pour une fois.
Puis Maude se levât, enlevât sa nuisette et repris la position.
Maude -vas-y Chéri, joues avec mes seins, pince-moi les tétons, regardes, Jean-mi bave devant eux, il aime lui aussi jouer avec.
Moi -invite-le à venir.
Maude -non, s'il vient, tu vas devoir prendre sa place et nous mater, pour l'instant, je ne veux pas.
Moi -je lui tend et lui les bouffe, cela te plairait pas.
Maude -hum, oui bonne idée, viens ici me bouffer, mais avant, je veux te voir complètement nu.
Jean-mi ne se fit pas prier, il se pointait devant Maude à poil qui attrapait sa queue et le branlait un peu, avant qu'elle le pousse vers ses seins.
Maude -c'est merveilleux, Chéri, vas-y, offre-lui mes seins pour qu'il me les bouffe, j'espère que cela te rend jaloux d'offrir ce que tu aimes le plus..
Moi -tu ne m'as pas laisser le choix.
Maude -c'est vrai mais tu aimes ça.
Moi -oui, aussi, même si je souffre en silence.
Maude -regarde lui aussi les aime presque autant que toi, pas vrai Jean-mi ?
Jean-mi -oh que oui, si je pouvais, je les boufferais tout les jours que Dieu fait.
Maude -tu dois partager mon Amour, pour le bonheur de ta garce.
Moi -c'est ce que je fais.
Maude -oui mais tu devrais l'encourager, je voudrais que tu lui dise des choses qui te font mal.
Moi -non, je ne peux pas.
Maude -fais-le, sinon, je m'isole avec Jean-mi.
Jean-mi -oui, viens avec moi, rien que tout les 2, j'aimerai bien.
Maude -allez Chéri, fais-moi ce plaisir, dis-lui.
Moi -vas-y bouffe-les, elle dis que tu es le meilleur bouffeur qu'elle n'aie jamais eu.
Maude -hum, tu m'excites Chéri, mes tétons durcissent encore plus quand tu lui dis ça, bouffes Jean-mi.
Cela durât 20 bonne minutes, puis Maude se levait.
Maude -allez, à poil toi aussi Chéri.
Le temps que je me déshabille, elle s'était mise à sucer Jean-mi, c'est vrai qu'il était bien monté.
Sophie nous suçait à tour de rôle, j'aimais c petit jeu, ensuite elle s'assit sur le haur du fauteuil, m'ardonnant de lui bouffer sa chatte et ordonnait à Jean-mi de lui bouffer les seins.
Moi -j'aurai préféré le contraire.
Maude -je sais, mais Jean-mi s'en occupe mieux que toi,.
J'écartais le petit bout de tissu et me mis à jouer avec son clito, je levais la tête et je voyais qu'ils se roulaient des pelle sans discontinuité, j'étais jaloux.
Cela me poussait à la faire orgasmer le plus vite possible mais elle me fit ralentir la cadence.
Elle nous donnait quand même un gros orgasme, demandant non pas à moi, mais à Jean-mi de lui faire l'amour, j'étais vexé et elle s'en aperçut.
Maude -apprends à partager, sinon, je ne me donne qu'à lui, Jean-mi, prends-moi, vite, j'ai envie.
Il ma pénétrait et elle me suçait en même temps, Jean-mi résistât moins longtemps que moi.
Maude -à toi maintenant, tu as vu, tu passes après mon amant, bien fait pour toi, vas-y baise-moi maintenant.
Sa manière de me parler me vexait mais me donnait encore plus envie d'elle, j'éjaculais dans elle .
Maude -parfait, vous avez été parfait, on recommencera, je vous le promet.
Jean-mi -je préfère quand quand on est que tout les 2.
Maude -tu feras ce que je te dis.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Mer 13 Avr 2022 12:07

Je suis décidément complétement fan de cette histoire.
Je ne sais pas qui est ma cocufieuse préférée entre Sophie et Maude.

Au fait Fifou, tu viens d'écrire dans les dernières ligne du récit d'hier :
"Sophie nous suçait à tour de rôle, j'aimais c petit jeu..."
C'était plutôt "Maude" non ?... ;)
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Jeu 14 Avr 2022 13:00

désolé Clahire, des fois, je m'emmêle les crayons, le principal c'est que tu ais corrigé de toi-même.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Ven 15 Avr 2022 06:42

Jean-mi partait vers 16heures et nous donnait rdv le soir même au pub.
Maude -ça m'a plu, mais je suis plus excité quand tu ne participes pas, je ne t'ai pas trop vexé avec mes paroles.
Moi -si, mais tu dois être comme ça avec moi, je veux que tu me dise des choses qui me vexe et me font mal, ensuite, je jouis plus fort.
Maude -je peux être encore plus dure avec toi si c'est que tu veux.
Moi -à toi de voir, moi, la seule chose que je veux, c'est de ne pas te perdre.
Maude -moi non plus, c'est pourquoi j'hésite à faire des choses de peur que tu n'aimes pas ça, tu vois tout à l'heure, si je m'étais écouté, je t'aurai viré, j'aurai voulu que tu me vois avec lui que tu subisse sans rien dire et même que tu te branle en nous regardant.
Moi -c'est toi qui décide Chérie.
Maude -d'accord et tu accepteras quoiqu'il arrive.
Moi -oui Chérie.
Maude -alors ce soir, je vais me farcir Jean-mi une nouvelle fois, je ne sais pas encore où, mais j'en suis certaine, je vais devenir une vraie garce avec toi, d'ailleurs, je vais mettre ma robe rouge sans soutif, je veux qu'il me mate d'abord.
Je ne répondais pas.
Maude allait se préparer et pendant ce temps là, je regardais mon portable.
Sophie -je suis chez Seb, il m'as dis plein de choses qui vont t'intéresser, vivement demain soir.
Moi -hum, j'ai hâte.
Sophie -ne te réjouis pas trop vite, tu verras.
Puis un autre de Marc.
Marc -tu me ramène quand ma maitresse.
Moi -je n'en sais rien encore, c'est elle qui décide, tu l'as bien vu samedi.
Marc -oui, elle a du caractère la petite mais ne tardes pas trop quand même, pense à l'épée de Damoclès au dessus de ta tête.
Moi -j'y pense tout le temps.
Maude revenait dans sa robe rouge, elle était encore une fois à croquer.
Maude -je n'ai même pas penser à lui dire de venir me chercher, cela m'aurait bien plu, quelle conne.
Moi -la prochaine fois, tu lui demanderas.
Maude -mais il peut me ramener au pire.
Moi -à toi de voir.
Maude -c'est tout vu, tu rentreras seul.
Vers 18 heures, on partait, Maude me dit qu'elle avait hâte de le retrouver.
Moi -tu n'as qu'a le faire venir tout les soirs tant que tu y es.
Maude -s'il n'y avait que moi, on cohabiterait avec lui.
Moi -tu as remarqué qu'il ne nous a jamais invité chez lui, si tu le questionnais là-dessus.
Maude -oui, j'y ai pensé l'autre jour, je vais lui demander.
On était dans le pub mais pas de Jean-mi, je commandais 2 verres et prenions note table habituelle.
Jean-mi arrivait une demie heure plus tard.
Jean-mi -hum cette tenue te vas à ravir, tu l'as mise pour moi, j'espère.
Maude -pour qui d'autres sinon.
J'allais lui chercher un verre, pendant ce temps là.
Jean-mi -on s'éclipse tout à l'heure, j'a envie qu'on aille mater les grosses bites, ça te dis ?
Maude -oui, pas un mot à Olivier.
Je revenais à la table sans me douter de rien bien entendu, vers 22 heures, Maude me dit qu'elle allait prendre l'air, je savais que Jean-mi allait la rejoindre, mais quand au bout d'une heure et demi , ils n'étaient toujours pas là, je m'inquiétais un peu quand même.
Minuit, elle revenait seule, que s'était -il passé ?
Moi -ça va ma chérie ?
Maude -oui, impec.
Moi -où est Jean-mi ?
Maude -il est rentré, il en avait mare d'être ici.
Moi -il t'as baisé une 2eme fois aujourd'hui ?
Maude -non, tu le sauras quand je serais décidé à te le dire.
Moi -je veux bien tout supporter, mais ne me parle pas comme ça, t'as compris.
Maude -désolé, j'étais resté dans mon monde de garce.
Moi -change-le ton monde de garce, tu disparais 2 heures avec lui et tu reviens seule, je peux me poser des questions non !
Maude -viens, on rentre, je vais t'expliquer.
Moi -cela vaut mieux pour toi, je veux bien tout te donner mais je veux savoir ou tu es, c'est la moindre des choses.
Maude -tu as 100 fois raison, je me crois tout permise et si je te perds, je perds tout.
Moi -alors réfléchis avant de t'engager dans des plans cul avec des hommes que tu ne connais pas plus que ça et puis après tout, fais ce que tu veux, quand je ne serais plus là, tu seras libre.
Maude -ne parles pas comme ça, je ne veux pas que tu me quittes.
Moi -tu sais avant toi, j'ai vécu beaucoup de choses avec Sophie, mais jamais elle ne m'a fais ça, si une fois, je l'ai quitté, être candauliste, ça veux dire accepter plein de choses mais pas la traitrise ni les coups en douce, je ne supporte pas cela.
Maude ne répondait et pas et le retour à la maison se fit sans un mot.
Elle mit sa tenue de nuit, m'embrassât et allât se coucher.
C'était trop pour moi, je remis ma veste et disparus de chez elle.
Je ne rentrais pas chez moi, je prenais un hôtel et ne dormis pas de la nuit, je souffrais car j'aimais Maude comme un fou.
Vers 7 heures, j'appelais mon collègue et lui dis de ne pas m'attendre aujourd'hui, je ne me sentais pas bien.
Je décidais aussi d'aller boire un café dans un bistrot? je voulais être tranquille.
Puis mon portable sonnait, c'était Maude, je ne répondis pas, elle m'appelât 5 fois et me laissait un message vocal.
Maude -j'ai fais la conne, je n'aurai pas du, désolée, reviens mon Amour, reviens, je suis anéantie, ne me laisse pas seule, tout le monde à droit à un 2eme chance.
Je répondais par texto.
Moi -ta 2eme chance demande-la à ton bouffeur de nichons, tu verras bien ce qu'il fait de toi.
Maude -tu es dure avec moi, mais je le mérite, je suis prête à tout pour toi, redonne-moi une chance.
Moi -Jean-mi s'occupera très bien de toi, tu verras, tu seras heureuse, moi, je vais survivre, ne t'inquiètes pas pour moi.
Maude -je pensais que notre amour était indestructible, je me suis trompée, sache quand même que j'étais au courant de tes virée avec ta femme et que tellement je t'aime, je n'ai jamais rien dit, voila, sache que ma porte sera toujours ouverte pour toi et que je t'aime.
Je restais sans réponse, pour ne rien me dire, c'est vrai qu'elle devait m'aimer vraiment, ce devait être cette ordure de Marc qui lui avait dit, il ne perdait rien pour attendre celui-là.
Maintenant, que faire ?
J'étais complètement perdu avec cette révélation.
Texto.
Moi -c'est Marc qui te l'a dit, de toute façon, ce ne peut être que lui.
Maude -oui et je sais que Ludo vit chez toi, j'ai essayé de te faire comprendre que moi aussi je voulais le partager avec toi, mais tu as fait la sourde oreille pensant que tu ne pouvais le partager qu'avec ta femme, maintenant, je vais conjuguer tout ça au passé, je vais rester sage jusqu'à la fin de ma vie, personne ne te remplacera, tu entends PERSONNE.
Je restais encore médusé, comment faisait t-elle pour supporter tout ça.
Moi -tu as tout gâché, n'essayes pas de me faire culpabiliser, tu n'y arrivera pas.
Maude -je ne cherche rien, si que tu reviennes.
Moi -pourquoi tu ne m'as pas dit ce que tu as fait avec Jean-mi hier soir en rentrant, c'était si dérangeant pour que tu fasses la morte.
Maude -pas du tout, j'ai fait ce que tu m'as dit et il m'a emmené chez lui, mais il voulait un trio, on s'est arrêté où il m'a emmené la semaine dernière et on a embarqué un mec avec nous, ensuite, je me suis offerte au 2, comme tu aimes ou plutôt tu aimais.
Moi -j'aime toujours et j'aimerais toujours ça, rien ne m'en empêchera, mais en revenant, tu n'étais pas comme d'habitude, il s'est passé quelque chose, tu ne m'enlèveras pas ça de la tête.
Maude -oui, c'est vrai, tu me connais.
Moi -dis-moi le alors au lieu de te réfugier dans ton mutisme.
Maude -non, pas par texto, je te le dirai en face si on se revoit un jour.
Moi -maintenant, je suis à tel endroit, si tu veux t'expliquer.
Maude -j'arrive.
Moi -même si c'est la dernière fois que l'on se voit, fais-toi belle quand même
Maude -j'en avais bien l'intention.
Elle arrivait une demie heure plus tard, très belle et très désirable, je craquais toujours pour elle.
Maude -bonjour, je peux te faire la bise ?
Moi -bonjour oui.
Elle me tendait ses joues et je sentis ce parfum que j'aimais tant.
Moi -explique-toi.
Maude -je peux avoir un café crème avant.
Moi -bien sur.
Je commandais son café crème.
Moi 6alors, il me tarde d'entendre ton explication.
Maude 6tu vas l'avoir.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Sam 16 Avr 2022 08:53

Bien dit "valbeleix", nous avons effectivement très hâte d'entendre le récit de Maude.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Dim 17 Avr 2022 10:44

Maude -tu sais que j'aime les hommes de couleur, donc pour faire ce trio, j'ai choisis celui qui avait la plus grosse bite dans le paquet d'exhibitionnistes qu'il y avait.
Moi -je ne suis pas étonné.
Elle avait ouvert son manteau et portait un mini mini jupe qui cachait pratiquement rien, mes yeux glissaient dessus bien entendu, de plus, elle portait un pull blanc col en V sans soutif.
Moi tu t'es habillé en conséquence, tu as un rdv après moi ?
Maude -certainement pas, c'est pour toi, pour te plaire et te donner envie de moi, donc en arrivant chez Jean-mi qui habite à 3 kilomètres du pub dans un petite maison charmante, Jean-mi sortait une bouteille de vodka et des glaçons et mit une musique à base de slows.
Moi - tu était toujours habillée ?
Maude -oui, même si dans la voiture entre les mains baladeuses de Jean-mi et Edouard qui me prenait les seins, j'était déjà à moitié nue, bien sur, Jean-mi m'invitait à danser et Edouard était assis dans le fauteuil, à poil, la queue à la main et se branlait en nous regardant car c'est ce que voulait Jean -mi, un mec qui se branle devant nos sans rien faire.
Moi -je pouvais être là pour ça.
Maude -non, Jean-mi n'avait que modérément apprécié de me partager avec toi l'après-midi.
Moi -et toi, t ne lui as rien dis, tu n'as pas essayé de me défendre.
Maude -non, je voulais aussi ce plan à 3 avec un voyeur pour ensuite le réaliser avec toi.
Moi -merci pour l'intention.
Maude -tout ce que je faisais, c'était toujours en pensant à toi, je te le jure.
Moi -après.
Maude -Jean-mi a fait glisser ma robe, il me demandait aussi de mater sa grosse queue, cela l'excitait et il m'a prise devant lui en éjaculant sur mes seins.
Moi -y'a rien de spécial jusqu'à maintenant.
Maude -Jean-mi ne voulant pas ressortir demandât à Edouard de me ramener au pub.
Moi -oui.
Maude -c'est compliqué à dire.
Moi -vas-y.
Maude -il a essayé de me prendre de force dans sa voiture.
Moi -mais non.
Maude -si, je me suis débattue et suis sortie de la voiture, après, je me suis retrouvé à 2 kilomètres du pub et j'avais plus de batterie, donc j'ai marché d'où mon arrivée tardive.
Moi -et tu ne pouvais pas me le dire cette nuit ?
Maude -vu ta colère, j'ai préféré me taire.
Moi -tu aurais du quand même me le dire, une chose est sure, je ne veux entendre parler de ce Jean-mi, on va changer d'endroits pour sortir.
Maude -excuse-moi.
Moi -tu es pardonnée.
Maude -viens dormir à l'appart, tu as un sale mine, je veux que tu te repose.
Moi -si tu veux.
En montant chez elle, dans l'escalier.
Moi -quelle vue sublime !
Maude -cela mérite peut être une main baladeuse.
Moi -arrête-toi.
Je passais ma main sous sa mini mini jupe, elle se retournait et me roulait une pelle.
Maude -je me ferai bien prendre tout de suite, dans l'escalier.
Moi- je t'offrirai cela un soir en rentrant de notre sorite, vers 2 heures du matin, on ne devrait pas être dérangé.
Maude -en attendant, j'ai le feu, viens me calmer avant de dormir.
Nous fîmes l'amour et je m'endormais rapidement.
Vers 16h30, Maude me réveillait, j'avais dormi comme un loir.
Maude -bien reposé mon Amor ?
Moi -oh que oui, une douche et je rentre chez moi.
Maude -hélas, je t'aurai bien gardé avec moi ce soir.
Moi -je serai là demain soir Chérie
J'arrivais à la maison vers 18 heures, Sophie était sur le canapé en train de lire un magasine.
Sophie -coucou, content de te voir, cela me fait du bien.
Moi -cela me ravis aussi, on bois un petit quelque chose ?
Sophie -oui, le champagne est au frais, faudrait que tu en fasse rentrer, il ne reste que 4 ou 5 bouteilles.
Moi- je vais m'en occuper.
Je servais 2 coupes.
Moi -alors raconte-moi ton périple du week-end.
Sophie -samedi, on est parti juste après toi, il tenait à m'emmener dans un grand restaurant parisien, ensuite il m'a emmené dans un grand hôtel où il m'a baisé 2 fois dans la nuit, mais il a beaucoup parlé, je n'ai pas beaucoup dormi.
Moi -ah bon, et de quoi t'a t-il parlé.
Sophie -un peu de tout, de sa vie de son boulot de militaire, je l'ai écouté patiemment mais arrivé un moment, je lui ai demandé si on pouvais parlé un peu de sexe pour changer, s'il avait des fantasmes inavoués ?
Moi- c'est déjà plus intéressant.
Sophie -plus que tu ne penses, en fait, il en a 2 qui lui tiennent à cœur.
Moi- expliques.
Sophie -ayant commandé toute sa vie, il aimerait être le temps d'une soirée, être de nouveau le chef, c'est à dire trouver un homme qu'il pourrait fouetté, gifler, lui cracher dessus, enfin tu vois le genre et que moi je sois sa partenaire à ce jeu là.
Moi -oui, il vous faut trouver un homme pour ça.
Sophie -oui, toi.
Moi -non, surement pas.
Sophie -y'a que toi qui peut être dans un plan comme ça.
Moi pourquoi toujours moi, tu as des amants qui feraient très bien l'affaire.
Sophie -oui, mais c'est toi que je veux.
Moi- je te redirai ça.
Sophie -oui, mais vite, parce que ce plan me plait.
Moi -quoi d'autre ?
Sophie -son 2eme fantasme est un peu irréelle.
Moi dis-moi.
Sophie -il voudrait que je drague sa femme et que je l'attire dans mon lit pour qu'ensuite, on fasse une partie fine tout les 3.
Moi -pas facile, tu ne la connais pas.
Sophie -il va me donner des détails sur sa vie de tout les jours, à moi ensuite de provoquer une rencontre fortuite.
Moi -joli programme.
Sophie -ouais, le seul hic, elle a 55ans.
De suite, je pensais à Maude, elle qui rêve de ça et si je me servais des informations à Sophie pour que Maude la drague aussi, hum, cela pourrait être intéressant.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Barent » Dim 17 Avr 2022 19:57

Merci pour cette suite !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Lun 18 Avr 2022 09:48

Moi -Ludo est là ?
Sophie -pourquoi, tu as envie d'un bon trio ?
Moi -pourquoi pas, mais j'ai un truc à voir avec lui.
Sophie -donc, je me prépare et vous venez me prendre tout les deux, non, toi tu me regarde, je préfère.
Je toquais à la porte de sa chambre, Ludo venait m'ouvrir, il portait un string noir en tulle transparent, bien sur, mes yeux se portait sur sa queue.
Moi -salut, alors, ce rendez-vous ?
Ludo -réponse demain matin.
Moi -croisons les doigts, autre chose, je voudrais que tu me rejoigne demain soir vers 18 heures au bistrot où l'on s'est croisé dimanche matin, c'est possible pour toi ?
Ludo -oui, je ne bosse pas pour le moment.
Moi -parfait, je t'attendrai là-bas.
Ludo -d'accord.
Moi -je pense que Sophie aimerait bien voir ce petit bout de tissu qui cache ta belle queue.
Ludo -hum, une invitation, j'arrive de suite, par contre, je veux te voir complètement à poil et Sophie en tenue hyper sexy.
Moi -dans un quart d'heure.
Sophie s'était changé et avait mis sa guêpière et ses cuissardes.
Moi- tenue parfaite, il arrive dans une dizaine de minutes.
Sophie -hum, en plus, j'avais très envie de baiser ce soir.
Moi- tu vas être servie.
Sophie -tu ne vas pas rester habillé quand même ?
Moi -non, il veux que je sois complètement nu.
Sophie -alors dépêche-toi de lui obéir.
J'exécutais ce qu'il m'avait demandé et je trinquais avec Sophie, le connaissant, j'allais aussi lui chercher une bière.
Dès qu'il entrait dans la pièce, il prit Sophie par la main et ils se roulèrent une pelle, je voyais déjà sa queue se tendre.
Ludo -assied-toi là et tu ne bouges pas tant qu'on ne te demande rien, regarde ce que je vais faire de ta femme.
Sophie -vas-y Ludo, je suis à toi.
Cela arrive d'avoir des pressentiments, là, je sentais que Sophie allait commencer mon apprentissage pour quand on sera avec son militaire.
Ludo commençait par se faire sucer, elle à genoux et lui debout juste à coté de moi.
Sophie le pompait à fond, lui léchant même ses couilles.
Ludo -tu aimes la voir comme ça.
Moi -oui, j'adore ça.
Ludo -Sophie, parle-lui un peu, j'aime quand tu le maltraite en paroles, cela m'excite encore plus.
Sophie -regarde-moi avec sa queue dans ma bouche et dans mes mains, vas-y bave d'envie, tu n'auras rien de moi ce soir, je vais tout donner à Ludo.
Ludo -oui, tu nous sers à rien mis à part regarder ta femme se faire baiser.
Sophie -tu mériterais qu'on te maltraite encore plus.
Je ne m'étais pas trompé, Sophie commençait à s'entrainer, ce que je ne comprenais pas, c'est comment Ludo rentrait dans son jeu, l'avait t-elle mit au courant ?
Toujours est-il que Ludo avait commencer à lui bouffer les seins qu'elle lui tendait des 2 mains et tout ça, à genoux à coté de moi.
Sophie -bouffe mes seins, fais les durcir encore plus, j'ai la chatte en feu.
Ludo -oui, c'est parce que celui qui te sert de mari nous regarde, cela t'excite encore plus.
Sophie -oui, on devrait l'attacher à une chaise.
Ludo -on devrait aussi lui mettre une laisse comme à un chien.
Ils étaient de mèche, j'en étais persuadé à présent.
Sophie se levait, s'asseyait sur le dossier du canapé et demandait à Ludo de s'occuper de sa chatte, elle avait écarté son string en dentelle rouge et se caressait le temps qu'il arrive jusqu'à elle.
Sophie -fais-moi orgasmer, j'en ai très envie, dis à l'autre l'esclave de se rapprocher, je veux qu'il voit ça de près.
Ludo -va le chercher toi, ramène-le ici.
Sophie s'approchait de moi, me prit par les cheveux et me trainait sur le canapé.
Sophie -j'aime quand tu es docile comme ça.
Ludo -oui, on dirait une lopette qui craint sa femme, j'adore quand ça se passe comme ça.
Sophie reprit sa position et Ludo bouffait sa chatte.
Ludo -pendant que je fais orgasmer ta femme, branle-toi.
Je ne bougeais pas.
Sophie -tu es sourd ou quoi, branle-toi.
Je ne bougeais toujours pas.
Ludo -je crois qu'il n'a pas compris.
Sophie -non, on dirait qu'il cherche à être puni.
Ludo -punis-le alors.
Sophie ne se fit pas prier, elle me prit par l'oreille et me donnait une gifle.
Sophie -branle-toi.
Cette fois, j'obéis, la gifle m'avait humilié.
Ludo -écoutes ta femme, elle va décoller.
Sophie lui donnait un orgasme et elle m'insultait en même temps, me traitant de bon à rien au lit, de petite bite inutile, que je ne lui servait à rien dans la vie.
Sophie -tout ce que je viens de te dire, c'est la pure vérité, tu ne me sers à rien, viens Ludo, défonce-moi maintenant.
Ludo le prit en levrette, puis décidait de la sodomiser, Sophie gémissait sans arrêt jusqu'à éjaculation sur ses fesses.
Sophie -viens nettoyer sa queue et mes fesses maintenant et obéis sinon, tu vas encore morfler.
J'obéis et Sophie me demandait de partager avec elle le foutre de son amant.
Ludo-parfait, c'était parfait, n'hésites pas à m'appeler quand tu veux baiser Sophie -même quand il n'est pas là, après ce soir, il ne plus rien te dire.
Sophie -oui, juste à la fermer, bonne nuit mon Ludo
Ludo retournait dans sa chambre.
Sophie -j'ai bien aimé ce petit moment, tu n'as même pas joui toi.
Moi -non, j'aime pas la violence que tu pratique sur moi.
Sophie -vas falloir t'habituer, ce n'est que le début, je compte faire de toi un esclave parfait.
Moi -donc, tu acceptes de réaliser son fantasme ?
Sophie -oui, les 2 même, je vais draguer sa femme même si c'est une vieille, je sais pas mal de chose sur elle, il m'a envoyé un texto dans ce sens.
Moi -je peux savoir.
Sophie -oui, elle court un jour sur deux dans les bois de X, elle fais ses courses dans tel grande surface, elle va chez le coiffeur tout le 15 jours et elle déjeune avec son frère tout les mercredis, donc mis à part le fait de courir, je peux la croiser ou je veux.
Je pensais que Maude allait commencer à courir, je voulais qu'elle devance Sophie dans son entreprise.
Moi -je vais me coucher.
Sophie -j'aimerai bien que tu te branle devant moi.
Moi -dans le lit si tu veux, pas ici.
Sophie -oui, stp.
Bien sur, je ne mis pas longtemps à éjaculer, Sophie me parlant de ce qu'elle ferait avec son militaire.
Le mardi matin, j'appelais Maude.
Moi -dis-moi, je t'offre un verre ce soir au bistrot où on a parlé dimanche, ça te dis ?
Maude -bien sur que oui, pour toi, j'irai au bout du monde.
Moi -je te veux belle et sexy à la fois.
Maude -toujours pour toi.
Moi -j'ai une surprise de taille pour toi.
Maude -allez dis-moi ce que c'est.
Moi- non sinon le charme est rompu, si, juste un indice, sois sexy
Maude -tu veux que je me rhabille comme dimanche ?
Moi -oui, le manteau en moins, il fera bon ce soir.
Maude -je vais repasser ça cet après-midi pour te plaire.
La journée fut relativement longue, je renvoyais un texto à Maude pour lui dire l'heure vu que j'avais oublié.
A 17heures pile, je quittais mon bureau et à 17h20, j'étais sur place, Maude me rejoignant 10 minutes plus tard.
Moi -maintenant qu'on peux tout se dire, j'ai une proposition à te faire, j'aimerai que tu y réponde favorablement.
Maude -tout dépend de ta demande.
Moi -Sophie a rencontré un homme qui à le fantasme que sa maitresse drague sa femme, elle a 55 ans et je voudrais que tu devances Sophie dans cette démarche.
Maude -pourquoi pas, tu sais que j'aime les femmes plus âgées que moi, mais comment faire ?
Moi -elle court un jour sur deux dans les bois, faudrait que tu te mette au jogging.
Maude -accepté, cela me feras du bien de faire un peu de sport et comment je le reconnaitrais.
Moi -apparemment, elle a une mini noire et se gare toujours au même endroit.
Maude -j'accepte ton défi, j'ai droit à quoi en retour ?
Moi -tu verras bien.
Maude -je te fais confiance.
Moi -j'aime cette tenue, tu devrai en acheter un autre jupe courte comme celle-ci.
Maude -offre-la moi comme cadeau pour ce que je vais essayer de faire dans les bois pour toi.
Moi -ok, mais avant, je t'offre ça ce soir, retourne-toi.
Maude se retournait, aperçut Ludo.
Maude -tu as fait ça rien que pour moi ?
Moi -oui, fais gaffe parce qu'il en pince pour toi, il est presque amoureux.
Maude -t'inquiète pas, c'est toi que j'aime.
Quand Ludo vit Maude, il me demandait des explications, je lui dis la vérité.
Ludo -incroyable, du coup, tu as répété à Maude ce que je t'ai dit dimanche.
Moi -non, pas du tout.
Ludo -tant mieux, cela m'évite de passer pour un con.
Maude -je peux savoir de quoi vous parlez ?
Moi -de rien Chérie.
Ludo s'était installé en face de moi et à gauche de Maude, je savais qu'il ne tiendrai pas longtemps devant le charme de Maude, donc, je m'empressais de l'inviter à manger.
Ludo -avec plaisir.
A SUIVRE.
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Messagepar courgoul » Mar 19 Avr 2022 06:57

Toujours aussi bon...
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Messagepar fifou78250 » Mar 19 Avr 2022 08:02

Vers 19h30, nous rentrions chez Maude, j'aimais vraiment la tenue qu'elle avait, bien sur malin comme on était avec Ludo, nous la laissions nous précéder fdans l'escalier.
Maude -la vue vous convient ?
Ludo -faudrait être aveugle pour dire non.
Je forçais sans le forcer Ludo a passer sa main sur ses fesses.
Maude -ça, ce n'est pas la main de mon Chéri, je la reconnaitrai entre mille, mais elle est est très caressante, d'aillaurs, je vais m'arrêter pour en profiter plus longtemps si mon Chéri me l'autorise.
Moi -ne te t'en prive pas, cela me chagrinerai.
Ludo s'enhardissait et passais à présent ses 2 mains sous sa jupe dévoilant un tanga noir en dentelle qui rentrait dans ses fesses.
Maude -cela te plait que Ludo me pelote les fesses ?
Moi -oui, j'adore.
Maude -alors dis-toi que tout à l'heure, je vais lui donner mes seins à bouffer.
Ludo -pas que ça j'espère.
Maude -non, tout ce dont tu auras envie.
Ludo -je prend tout.
Maude -Chéri, je reste dans l'escalier tant que je n'entend pas une porte claquée, je peux ?
Moi -fais comme tu veux, Amour.
Ludo -moi, ça me plait de commencer ici, tourne-toi Maude.
A peine retournée, Ludo s'attaquait à ses seins, il levait son pull over afin de les voir et de les peloter, en un rien de temps, ses tétons durcirent sous ses caresses.
Ludo -déjà, dans les bois, j'avais kiffé tes seins mais alors là, c'est encore plus fort, ils me plaisent beaucoup.
Maude -bouffe-les, j'en ai envie.
Maude savait que cela me rendait fou, elle en profitait, car en disant ça, ses yeux croisèrent les miens et cela trahissait son envie de me rendre jaloux plus que jamais.
Maude -hum, tu es doué avec ta langue, je te vois déjà en train de titiller mon clito avec.
Ludo -oui, je vais prendre mon temps, tu ne vas pas le regretter, je te le promet.
Maude -fais-moi monter au 7eme ciel.
La porte d'entrée claquait et nous quittions notre poste pour rejoindre l'appart de Maude.
Maude -tu nous sers un verre Chéri ?
Moi -oui, bien sur, as t-on de la bière, Ludo ne boit pratiquement que ça.
Maude -oui, dans le bas du frigo, moi je veux une vodka bien tassée avec de la glace stp Chéri.
Moi -je prépare tout ça.
Le temps que je prépare tout ça, quand je revins dans le salon, Maude n'avait plus que sur elle son tanga noir en dentelle, elle était debout, lui assis et elle était en train de tendre ses seins à Ludo qui ne rechignait pas à la besogne.
Maude -regarde-le bouffer mes seins, cela me met le feu, allez approche-toi de moi.
Je me rapprochais d'elle, elle me tendait sa langue, elle voulait un baiser langue dehors, je ne fis pas prier et lui donnait ce qu'elle avait envie, en même temps, je caressais ses fesses par dessus son tanga en dentelle.
Maude -hum, je me sens très bien entre vous 2, je prend un réel plaisir, mais mon Chéri, va falloir maintenant que tu nous laisse Ludo et moi profiter d'un bon moment, vas t'assoir et regarde-nous, je vais me donner à lui totalement.
Ludo -Maude a raison, laisse-nous.
Il me prit un moment de jalousie intense sachant ce que Ludo m'avait dit à propos de Maude.
Il prirent leur pied mutuellement, Maude se régalant de sa grosse queue et lui abusant sans arrêt de ses seins.
Il éjaculait dessus et Maude étalait son foutre sur ses tétons encore tout durs de ses caresses.
Maude -super Ludo, tu m'as bien prise, on recommencera, je te le promet.
Ludo -quand tu veux ma belle, allez, je m'en vais, je suis attendu, bonne soirée à vous 2.
Il fit la bise à Maude et nous quittait.
Maude -merci mon Amour de m'avoir offert Ludo, c'est un super amant.
Moi- je le sais.
Maude -ah oui, c'est vrai, il a baisé ta femme, tu les regardais aussi.
Moi -moi, oui Sophie aimait ça comme toi.
Maude -dès samedi, je m'occupe de la fameuse femme dont tu m'as parlé, je vais aller courir dans ces bois là, je les connais bien, j'y allais avant.
Moi- hum, j'ai hâte de savoir comment tu vas t'y prendre, tu me diras tout ?
Maude -tout dépend de ta gentillesse et des hommes que tu vas m'offrir.
Moi -déjà, Ludo ce n'est pas mal non !
Maude -j'avoue qu'il a quelque chose d'attirant.
Moi -tu ne quitte pas ?
Maude -surement pas, je me bat pour te garder, ce n'est pas pour filer avec le 1er homme qui traine.
Moi -tu me rassure.
Maude -je suis arrivé à un point où il me faut de plus en plus de sexe, que ce soit avec des hommes ou des femmes.
Moi- ne te prive pas alors.
Maude -je n'en ai pas l'intention, d'ailleurs, jeudi, j'ai Audrey qui vient à la maison.
Moi- ça sent la séance de lesbiennes ça.
Maude -oui, elle va finir dans mon lit, je vais la faire hurler de plaisir,.
Moi -hum, dommage, je ne pourrai pas voir.
Maude -je te raconterai en détails, à ce propos, toi, si tu étais à ma place, tu la recevrais dans quelle tenue ?
Moi- je ne sais pas, je vais y réfléchir et je te dirais.
Maude -je te jure que je mettrais la tenue que tu me diras de mettre.
Moi- alors, je vais encore plus y réfléchir, je te dirai ça demain soir.
Maude -allez, on grignote un bout et on va au lit, je veux que tu me fasse l'amour.
Moi- hum, avec grand plaisir.
Maude -je t'annonce de suite que je jouirai et orgasmerai pour Ludo, tu n'auras rien de moi ce soir mis à part mon corps.
Moi -je prend.
Je lui fis l'amour et elle tint sa promesse, elle ne parlait que de Ludo tout le temps, fallait quand même que je fasse gaffe à ne pas la perdre.
J'éjaculais dans sa bouche, elle avalait tout.
Maude -ça va Chéri, tu ne m'en veux pas d'avoir parlé de lui pendant qu'on faisait l'amour.
Moi -non, tu me l'avais dit, tu as eu un gros orgasme et tu as joui plusieurs fois, même si c'était pour lui, c'est moi qui t'ai procuré ce plaisir.
Maude -oui, tu as raison, allez dodo maintenant.
Elle se collait conte moi et s'endormit.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Mer 20 Avr 2022 08:33

De nouveau un grand merci pour tous ces épisodes Fifou !
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Messagepar servons » Jeu 21 Avr 2022 06:57

Une bonne baise pendant que Mme parle de son amant, c'est sans doute le top du candaulisme.
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Messagepar Clahire » Ven 22 Avr 2022 07:11

Oui, cette saga est au top !
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Messagepar valbeleix » Sam 23 Avr 2022 08:19

Quel veinard cet Olivier ! :D
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Messagepar Clahire » Sam 23 Avr 2022 08:26

Je suis bien d'accord avec toi Valbeleix !
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Messagepar fifou78250 » Dim 24 Avr 2022 06:39

Le jeudi de savoir que Maude voyait Audrey me mettait en rut toute le journée, j'en venais à espérer que Sophie serais chaude ce soir et à ce propos, elle m'avait envoyer un texto le midi même.
Sophie -surprise pour toi ce soir.
Je quittais donc le boulot vers 17h30 et me pointais à la maison où Sophie était de toute beauté, robe blanche avec un zip devant, des bas blancs et des talons hauts.
Moi -hum, tu es bien belle ce soir, serait-ce pour moi ?
Sophie -tu rêves, rien pour toi ce soir.
Moi -qui est l'heureux élu alors.
Sophie -tu le verras bientôt.
Moi -tu passes la soirée ici ?
Sophie -non, je sors et ne rentre pas, tu auras une surprise avant que je parte.
Moi -j'en déduis que ce n'est pas le militaire.
Sophie -non, ce n'est pas lui, lui, il vient samedi midi, tu nous prépareras à manger d'ailleurs.
Moi ah bon, en quel honneur.
Sophie -en l'honneur que tu vas être notre esclave jusqu'au soir.
Moi -pourquoi tu n'as pas demandé à un de tes amants pour faire ça.
Sophie -c'est toi que je veux, pas un autre.
Moi- quelle journée galère cela va être.
Sophie -mais non, il va me baiser devant toi, tu vas aimer ça.
Moi -et avec sa femme , ça avance.
Sophie -oui, j'ai été en repérage hier après-midi, c'est vrai qu'elle a l'air très bien conservée, je vais en faire mon gouter.
Moi -tu ne vas pas courir avec elle dans le bois.
Sophie -non, j'aime pas courir.
Très bien, cela laissait le champs libre à Maude.
Maude, où en était t-elle avec Audrey, je me posais la question.
Le portable de Sophie bipait.
Sophie -ta surprise arrive.
Moi -il rentre dans la maison.
Sophie -surement pas, toi par contre tu restes dans la maison, fais un tour à la fenêtre du salon dans 2 minutes, je t 'ai ouvert les rideaux exprès.
Moi -ok.
J'allais dans le salon et à ma surprise, car je ne m'y attendais pas du tout, je vis Sophie face à moi avec derrière elle Seb, le long de la haie pour que personne ne les voit, cela me rappelait le temps où il était son amant et m'avait fais tant souffrir, Sophie voulait encore que je morfle et c'était le cas.
Bien sur, il s'empressait de faire glisser le zip de sa robe laissant apparaitre ses seins et son string en dentelle blanche Sophie garce comme elle était, lui roulait une pelle, je bandais et étais aussi jaloux qu'à l'époque.
Sophie me fit signe d'ouvrir la fenêtre.
Sophie -ta surprise te plait au moins.
Moi -garce.
Sophie -oui, attends, ce n'est pas fini.
Sophie avait tout préparer, une chaise de jardin était à coté d'eux et elle s'asseyait, Seb se mit à genoux, lui bouffait les seins, puis Sophie se laissait glisser sur la chaise offrant sa chatte à Seb.
Seb écartait le bout de tissu blanc et l'envoyait au 7eme ciel en un rien de temps.
Ensuite, Sophie se rhabillait.
Sophie -tu es libre maintenant, je vais avec Seb chercher un autre homme pour me faire prendre en trio, tu auras des photos et des vidéos, tu vas souffrir.
Seb -oui, elle est de nouveau à moi.
Moi -jamais.
Sophie -ce soir, en tout cas, c'est sur, je suis à lui.
Je me retrouvais seul dans ma maison, qu'allais-je faire maintenant, elle avait 2 soirs à me consacrer et ele se barrait avec son amant, il fallait que je lui dise, cela m'énervait.
J'envoyais un texto à Maude savoir ce qu'elle faisait, elle mit un bon bout de temps à me répondre.
Maude (désolé, j'étais occupé.
Moi à quoi ?
Maude -à bouffer une chatte toute lisse qui réclamait ma langue.
Moi -tu es toujours avec Audrey ?
Maude -oui, elle dort avec moi cette nuit, je la veux encore, elle m'excite.
Moi -bonne nuit alors.
Maude -fais-moi confiance pour ça.
Du coup, je me préparais un plateau télé et passais la soirée tranquille dans mon canapé et je m'accordais une bonne nuit de sommeil.
Quand je partais au boulot le lendemain, Sophie n'était pas rentrée, pas non plus de nouvelle de Maude, la journée commençait mal pour moi.
Maude fut la 1ere à ma donner des nouvelles vers midi.
Maude -coucou mon Chéri.
Moi -hello Amour, ça va ?
Maude -oui, j'ai passé une très bonne nuit avec Audrey, elle vient juste de partir.
Moi -tu l'as prise combien de fois ?
Maude -j'ai pas compté, mais souvent, très souvent, elle est insatiable.
Moi -comme toi.
Maude -oui, elle m'a fait orgasmé au moins 3 ou 4 fois, ma tenue lui a plu, elle m'a presque violée quand elle est arrivée.
Moi -ce n'était pas un viol, tu était d'accord.
Maude -oui, elle veux revenir plus souvent.
Moi- à toi de voir, n'oublies pas que tu as une mission, j'ai du nouveau, elle a une mini comme voiture.
Maude -je n'oublie pas, je vais courir demain matin.
Moi- hum, ça me plait ça.
Maude -on sort ce soir ?
Moi si tu veux.
Maude -oui, j'ai envie de te rendre jaloux avec un homme.
Moi -je le suis aussi avec une femme mais ce n'est pas pareil.
Maude -j'adore ta jalousie, elle m'excite.
Moi -un rien te met le feu de toute façon.
Maude -tu ne vas pas t'en plaindre quand même.
Moi -jamais.
Puis, plus rien jusqu'au soir, comme si elle avait disparu.
Je l'appelais en sortant du bureau, mais répondeur, je lui laissais un message.
Elle me rappelait un peu plus tard me disant qu'elle avait dormi toute l'après-midi.
En rentrant, elle m'enlaçait et m'embrassais tendrement comme si elle avait quelque chose à se faire pardonner.
Moi -c'est sur que tu as dormi tantôt.
Maude -oui, promis, juré.
Moi -d'accord Amour, allez une douche pour moi, je me sens tout moite.
Maude -tu veux que je vienne te laver le dos mon Amour.
Moi -oui, juste le dos.
Maude -j'espérais plus, dommage.
Moi -gourmande.
Après la douche, Maude me demandait quelle tenue elle voulait que je porte ce soir.
Moi -peu importe mais je veux du court, voir du très court.
Maude -ça tombe bien, je me suis acheté un jupe très courte et très serrée.
Moi- mets-la que je vois ça.
Maude -je vais t'avouer, quand je l'ai acheté, j'ai pensé à Ludo et Jean-mi, pas à toi, tu répond quoi à ça.
Moi -que tu deviens une vraie garce.
Maude -oui, pour toi, j'ai aussi acheté un legging blanc pour aller courir, je veux qu'elle me remarque, je mettrai des dessous noirs avec.
Moi- tu penses à tout, tu es remarquable Chérie alors, cette jupe.
Maude -2 minutes encore.
Elle se plantait devant moi, waouh, elle ne pouvait pas faire plus court, de plus, elle était ouverte sur le coté.
Moi -superbe, cela te va très très bien.
Maude -tu crois que je vais plaire ce soir ?
Moi- j'en suis certain.
Maude -si Jean-mi est là, tu m'autorise à m'absenter avec lui ?
Moi -oui, mais pas de plan foireux stp.
Maude -une fois, cela m'a servi de leçon, non, j'irai dans sa voiture, j'ai envie qu'il me prenne dedans.
Moi- je viendrai faire le voyeur, cela te plairais ?
Maude -oui, bien sur quelle question.
Je vous précise qu'elle avait mis avec sa jupe, un haut noir avec 2 petites bretelles, bien sur sans soutif et sa petite chatte était juste caché par un string ficelle noir.
Tu mets quoi comme chaussure ?
Maude -j'avais pensé à mes cuissardes.
Moi -met des talons hauts, tu seras encore plus sexy.
Maude -accordé, Chéri.
Nous partions vers 21h30 pour être à l'ouverture du pub, nous prenions notre table habituelle.
Maude -je me sens regardé par tout le monde.
Moi -hum, j'adore ça, je suis fier d'être avec toi.
Maude -moi aussi, je suis fière d'être avec un homme comme toi.
Une heure plus tard, Jean-mi était là, assis avec nous, juste à coté de Maude.
Je remarquais qu'il n'avait pas trainé pour caresser Maude dans le dos en levant son haut pour avoir sa peau sur ses mains, ce sont des détails comme ça qui me rendait fou de jalousie, et Maude le lassait faire.
Je lui dis à l'oreille que cela me faisait mal de la voir se faire caresser le dos devant moi par Jean-mi
Sa réponse claquait dans mon oreille.
Maude -tu n'as rien à dire, quand on sort, je ne suis plus à toi, ça me plait qu'il me caresse le dos, d'autant plus que cela te rend jaloux.
Moi- tu aime que je souffre.
Maude -oui, imagines quand je vais lui donner mes seins à bouffer tout à l'heure.
Je ne répondais pas a sa remarque.
Puis je vis Jean-mi lui susurrer quelque chose à l'oreille.
Maude à son tour me murmurait à l'oreille.
Maude -il a très envie de moi, il veut qu'on sorte du pub maintenant et il veux m'emmener chez lui.
Moi -hors de question, Chérie, tu restes dans les parages, je ne veux pas revivre un calvaire.
Maude -ok Amour.
Elle donnait sa réponse à Jean-mi qui lui répondait immédiatement.
Maude -il tient absolument à m'emmener chez lui.
Moi- dans ces cas là, je vous accompagne pour voir où il habite et j'irai te rechercher en cas de souci.
Maude -oui, comme ça, ça me plait.
Moi -attention aux coups foireux, s'il te veux chez lui, pour moi, y'a anguille sous roche.
Maude -tu crois ?
Moi -j'en suis persuadé
Maude -alors, je n'y vais pas, je ne veux risquer de te perdre une 2eme fois.
Moi- tu peux mais on fait comme j'ai dit.
Maude lui répétait ce que je venais de dire et il acceptait ma proposition.
10 minutes plus tard, nous partions, bien sur Maude montait avec lui et je les suivais.
Quand il garait sa voiture, je m'aperçut qu'il y avait de la lumière dans la maison, bizarre non !!
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Lun 25 Avr 2022 07:59

Merci pour tout ce travail Fifou !
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Messagepar Clahire » Jeu 28 Avr 2022 07:35

Alors, cette lumière ??? ;)
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar courgoul » Sam 30 Avr 2022 07:32

Excellente histoire avec beaucoup de rebondissements... Bravo à son auteur !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Dim 1 Mai 2022 09:36

Maude sortait de la voiture en 1ere, je lui fis un appel de phare comme quoi j'avais vu où il habitait.
Elle vint vers la voiture.
Moi -tu as vu, la maison est éclairée, tu ne trouve pas cela bizarre ?
Maude -je n 'ai pas fait gaffe, dis-moi, tu veux une petite exhibe avant que je rentre chez lui.
Moi -vas-y, je sais que tu en meurs d'envie, par contre retour au pub vers 1h, 1h30 du matin, pas plus tard.
Maude -oui, mon Amour, promis.
Jean-mi l'attendait au portail et finalement, je n'eus droit à rien, même pas l'exhibe que Maude voulait.
De retour au pub, je retournais m'assoir à notre table, il était 23 heures et j'allais me ronger les ongles pendant 2 heures voir plus, j'aimais le candaulisme, mais par moment, vous prenez cher, voir très cher de laisser votre compagne dans les bras d'un autre.
Heureusement, Audrey et Sam arrivaient et s'installèrent avec moi.
La 1ere question d'Audrey fut de savoir où était Maude.
Je racontais des balivernes en lui disant qu'elle arriverait un peu plus tard.
Moi -elle va arriver, attends un peu.
Audrey -je suis venu exprès pour la voir, je suis un peu déçu.
Moi -elle va arriver, je te le promet.
Il était à peine 23h30, elle n'était pas prête d'arriver ma Maude.
Nous discutions de tout et de rien, Audrey allait se trémousser sur la piste de danse et vers minuit et demi, Maude arrivât et nous rejoignit à la table.
Elle me fit un clin d'œil comme pour me dire tout s'est bien passé.
Audrey revint de suite à la table et enlaçait Maude.
Pour qu'elles soient tranquilles, je branchais Sam sur le foot, cela leur laisseraient le temps de papoter.
A 1h30, je dis à Maude qu'il était temps qu'on rentre, elle me répondit par un ok Amour un peu désapprobateur de ma décision.
Moi -tu veux encore rester un peu ?
Maude -oui, j'aimerai bien.
Moi -encore 3 quart d'heure, ça te va ?
Maude -merci mon Chéri.
Du coup, elle filèrent sur la piste de danse s'éclater un peu.
Elle réussit à me faire trainer au pub jusqu'à 3 heures, mais elle avait l'air heureuse, cela suffisait à mon bonheur.
Bien sur, dès que l'on fut dans la voiture, je lui demandais comment cela s'était passé chez Jean-mi.
Maude -très bien, mais déjà dans la voiture entre le pub et chez lui, il m'a mis le feu, il a caressé mes seins tout en conduisant, il a fait pointer mes tétons et les a tordus dans tout les sens, c'est pour ça que je voulais un exhibe avec toi avant de rentrer chez lui.
Moi -pourquoi cela ne s'est pas fait ?
Maude -il me veux à lui, il ne veux pas me partager avec toi.
Moi- je n'aime pas ça du tout.
Maude -moi, j'aime beaucoup te priver de mes rencontres avec mes amants, et te raconter après, de plus, je note tout les détails dans ma tête pour ne rien oublier.
Moi -donc, je dois subir sans rien dire, tu sais que j'aime te voir baiser.
Maude -oui, je sais, j'aime aussi quand tu fais le voyeur caché, car je ressens ta présence et cela me pousse à aller encore plus loin, mais Jean-mi ne veux pas.
Moi -alors raconte-moi.
Maude -une fois devant la porte d'entrée, il me dit que il y a une surprise dans la maison, je lui dis pas de plan foireux sinon j'appelle Olivier et il vient me chercher.
Jean-mi -aucun danger, j'ai fait ce qu'il fallait pour ça.
Maude -d'accord, Jean-mi passait par la cuisine pour prendre de la vodka et des glaçons qu'il ramenait sur un plateau.
Maude -je ne vois pas de surprise.
Jean-mi -ne sois pas si pressée, on a le temps, tiens, trinques avec moi.
Maude -il m'avait servi une bonne dose de vodka et je lui ai dis que j'en boirai qu'une vu la dose.
Moi -tu as bien fait.
Maude -en fait, j'en ai bu 4, mais je ne les ai très bien supporté et il me fallait ça, tu vas comprendre, il mit de le musique douce et me demandait de venir se coller à lui le temps du slow, je ne m'en privais pas, il me pelotait les fesses en remontant ma jupe, y avait pas besoin, car elle était déjà extracourte. Je ne fis pas le rapprochement de tout de suite parce qu'il dansait sur place, ne tournait jamais, je me demandais bien pourquoi, puis il me contournait et me chopait les seins en remontant mon polo, mes tétons étaient très durs et il jouait bien avec, j aimais ça.
Moi -tu le exprès de jouer avec ma jalousie et tes seins.
Maude -il me les bouffe bien, je ne vais pas te mentir Amour, donc, j'avais fermé les yeux pour profiter au max de ses caresses quand d'un seul coup à la porte fenêtre, j'aperçus 2 mecs en train de se branler.
Moi -il a recommencé ?
Maude -il m'as dit, ne crains rien, il restent dehors, ils veulent nous mater, je lui ai demandé depuis combien de temps ils étaient là et il m'a répondu depuis le début, tu comprends maintenant pourquoi il dansait sans bouger, c'était pour exhiber mon string ficelle.
Moi -il est malin ce Jean-mi et après.
Maude -il m'a emmené au pied de la porte fenêtre et a commencé à me bouffer les seins devant ses potes, je le laissais faire mais je voyais qu'il n'était pas comme d'habitude.
Maude -qu'est ce qu'il y a qui ne va pas ce soir, tu n'es pas comme d'habitude.
Jean-mi -mes potes veulent rentrer pour voir de plus près.
Maude -non, sinon, je m'en vais.
Jean-mi -regardes un peu les grosses queue qu'ils ont et qui bandent pour toi, laisse-les nous mater de près.
Maude -non, qu'ils restent ou ils sont, pas besoin d'eux, mais toi c'est que des mecs nous mate qui te fait bander comme ça.
Jean-mi -oui, cela m'excite encore plus, si tu dis oui, tu ne le regretteras pas, ils ne te toucheront pas.
Maude -il ne manquerait plus que ça.
Moi -tu as cédé, j'en suis sur.
Maude -oui, il m'a promis qu'ils ne bougeraient pas et il a continuer à me bouffer pendant que ses potes s'installèrent dans le canapé, il prit le fauteuil, m'attirât et m'asseyait sur lui face à eux, il me tordait les tétons dans tout les sens, hum que c'était bon.
Moi -et les 2 mecs.
Maude -ils se branlaient, c'est vrai que c'était des monstres de bites, je te le promet, dis-moi, tu me fais un café en rentrant, j'en ai envie.
Moi -bien sur ma Chérie on arrive dans 5 minutes, dis-moi la suite.
Maude -quand on sera à l'appart.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Dim 1 Mai 2022 18:41

"Maude -il me veux à lui, il ne veux pas me partager avec toi."

Et oui, Olivier se retrouve de nouveau supplanté...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Sam 7 Mai 2022 09:42

En rentrant, Maude passait sous la douche et revenait en petite nuisette noire sans rien en dessous.
J'avais préparé son café comme promis et on s'installait dans le canapé, je voulais savoir la suite de sa soirée.
Moi -donc, ils t'ont juste maté ,
Maude -déjà, Jean-mi s'est montré déjà plus tendre, il m'a bouffé les seins à merveille comme d'habitude et il avait décodé de m'exhiber toute la soirée devant ses potes, il me mettait toujours en position de façon à ce qu'ils voient le mieux possible, il m'a fait décoller en jouant avec mon clito, puis je l'ai sucé juste à coté de ses potes et ensuite, il m'a fait mettre les mains sur l'accoudoir du canapé et m'a prise en levrette, cela a duré longtemps, je croyais qu'il n'éjaculerait jamais.
Moi -il a éjaculé où ?
Maude -sur mes seins, à sa demande, il voulait que ses potes voit son sperme sur mes seins.
Moi- tu a léché ?
Maude -bien sur que oui.
Mi -et les mecs.
Maude -toujours pareil, ils n'ont pas bougé du canapé.
Moi -bien, ça me plait.
Maude -pas forcément car Jean-mi m'a demandé de les faire jouir avec mes mains.
Moi -tu as dis oui ?
Maude -tu connais ma passion pour les gros engins et j'en avais 2 à portée de mains donc oui, je l'ai fait et je les ai aussi sucé à tour de rôle.
Moi -garce.
Maude -ils ont éjaculé presque en même temps, j'avais du sperme partout sur moi.
Moi -tu y prend gout à ses facéties de ce Jean-mi.
Maude -oui, c'est vrai, mais c'est toi que j'aime, bon, on va au lit, demain, j'ai une mission à accomplir.
Moi -oui, et tu t'occupes quand de moi, j'aimerai aussi t'avoir de temps en temps.
Maude -ah bon, tu es demandeur, j'adore ça, maintenant si tu en as envie, je suis à toi.
On fit l'amour mais elle ne me parlait que de ses amants et au moment d'éjaculer elle me demandait de la laisser une nuit avec Jean-mi, elle était maligne car j'étais très excité et j'ai dis oui.
Maude -tu as dis oui, trop tard maintenant.
Moi- tu as profité de mon excitation pour me demander ça, ce n'est pas juste.
Maude -j'en ai envie, j'ai envie que tu dorme mal en sachant que je dors avec lui, ça m'excite beaucoup, on en reparlera, tu veux bien.
moi -oui, dors bien, je t'aime.
Maude -moi aussi, très très fort.
Je sortais de ma léthargie car j'entendais Maude faire le café, je me levais et la trouvais dans son jogging blanc avec des dessous noirs, elle savait provoquer quand elle le voulait.
Maude -coucou mon Chéri, bien dormi ?
Moi- oui, tu me plais dans ton jogging blanc.
Je passais mes mains sur ses fesses pour sentir son string au travers.
Maude -tu as les mains baladeuses ce matin.
Moi -oui, tu m'excites vêtue comme ça.
Maude -je sais mais là, je suis en mission et limite en retard.
Moi -allez files.
Je ne saurai que le soir si elle avait réussi à l'approcher, Sophie m'attendais avec Xavier pour un repas et une après-midi spéciale qui ne me tentais pas plus que cela mais je n'avais pas le choix.
En arrivant, je vis la mine déconfite de Sophie, en effet, Xavier avait annulé le repas de ce midi soit disant pour des raisons familiales, Sophie boudait.
Moi -je n'y suis pour rien.
Sophie -je sais, mais je suis déçue, c'est tout.
Moi- cela se fera une prochaine fois, je ne suis pas inquiet, tu arrives toujours à tes fins.
Sophie -mais, j'y ai pensé toute la semaine à ce repas, j'ai le droit d'être déçue non !!
Moi -tu pourras aller chez Seb ce soir, cela peut être bien aussi.
Sophie -non, je n'en ai pas envie.
Moi- je ne sais plus quoi te dire et avec la femme du militaire, tu avances un peu ?
Sophie -non, pas vraiment, elle est inaccessible.
Moi -tout va mal alors.
Sophie -oui, comme tu dis.
Moi- tu veux qu'on se fasse un plan cul ?
Sophie -comment ça ?
Moi- habille-toi sexy et je t'emmène faire des courses, cela te permettra de t'exhiber et de me rendre jaloux.
Sophie -hum, bonne idée, je vais me préparer pour ça.
20 minutes plus tard, elle revenait dans la cuisine où je buvais un café dans une tenue qui en disait long sur son envie.
Une robe rose moulante très courte, des bas auto fixant noir et rouge, des talons hauts et des dessous rouge et noirs assortis à ses bas.
Sophie -je te plais ?
Moi -oh que oui, je te violerais si je pouvais.
Sophie -non, par contre une main baladeuse ne me déplairait pas, même dans le magasin.
Moi -d'accord, tu auras ce que tu demandes.
Sophie -surtout quand il y aura des hommes autour de nous.
Moi- c'est bien ce que je comptais faire.
Et on partait dans la foulée.
Moi -on s'arrête boire un café ?
Sophie -oui, pourquoi pas.
On s'installait en terrasse et franchement pas un seul homme qi passait ne jetait un coup d'œil sur Sophie.
Moi- ils se retournent tous pour te mater.
Sophie -oui, je vois ça, vivement qu'on soit dans les rayons, je vais faire tourner la tête à plus d'un homme.
Moi- hum, j'ai hâte de voir ça.
On entrait dans le supermarché, Sophie poussait le caddy et moi, j'avais une main sur ses fesses sentant les formes de son tanga en dentelle, j'adorais ça.
On mettait quand même quelques denrées dans le caddy et Sophie bien entendu, s'arrêtait un rayon lingerie.
Pas mal d'hommes la matait, mais pas un seul nous avait suivis.
Moi- personne pour te peloter un peu, c'est con.
Sophie -ça va venir, j'en suis quasiment certaine.
Moi -j'aime ton optimiste.
Arrivés dans le rayon des conserves, nous étions tout les 2 mais cette fois, un jeune voir très jeune homme nous suivait depuis quelques minutes.
Moi- on est suivi.
Sophie -j'ai vu mais il est trop jeune pour nous.
Moi- on s'en fout, laisse-le faire, je veux voir ce qu'il va faire.
Sophie -si tu veux.
Je m'écartais un peu de Sophie qui maligne comme elle est, essayait de prendre une conserve dans le haut de l'étalage.
Le jeune homme s'empressait de venir l'aider comme Sophie le présumait
Sophie -merci jeune homme.
Lui -de rien Madame, c 'est un plaisir d'aider une belle femme comme vous.
Sophie -merci pour le compliment.
Voyant que cela n'irai pas plus loin, je décidais d'y mettre mon grain de sel.
Moi -Chérie, c'est bon pour les conserves.
Sophie -oui, heureusement que ce charmant jeune homme m'a aidé.
Moi- je ne peux pas être partout, donne-lui une récompense.
Sophie -tu crois.
Moi -oui.
Lui -je ne veux rien, j'ai juste aidé Madame.
Moi -vas-y, touches ses fesses, tu ne meurs d'envie.
Lui -oui, c'est vrai.
Moi -allez, tu verras, elle va aimer.
Lui -pas ici, dehors dans un endroit plus calme, je veux bien.
Moi- d'accord, rendez-vous dans 20 minutes dehors, tu n'as qu'a nous suivre.
Nous sortions, allions à notre voiture et chargions les courses
Moi- après, on s'isole au bout du parking.
Sophie -oui, tu m'as mis le feu.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Lun 9 Mai 2022 07:48

Et toujours rien pour Olivier, si ce n'est le bonheur d'être cocu !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Barent » Mar 10 Mai 2022 07:27

Tout à fait d'accord Clahire, c'est ce qui est génial. Et puis, c'est déjà une énorme chance, non ?

Merci Fifou78250 pour cette saga !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Mer 11 Mai 2022 07:55

Fifou, tu nous fais languir !... ;)
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Messagepar servons » Mer 11 Mai 2022 12:19

Excellente suites, comme d'habitude
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Messagepar courgoul » Jeu 12 Mai 2022 07:02

Toujours aussi bon ce topic
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Messagepar Clahire » Mer 18 Mai 2022 21:55

Toujours pas de nouvelle suite `?...
Fifou, que t'arrive-y-il ?
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Messagepar valbeleix » Lun 30 Mai 2022 06:53

Quel dommage qu'il n'y ait plus d'épisode... J'espère que cela va reprendre.
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Messagepar fifou78250 » Mar 31 Mai 2022 08:50

bonjour a tous, j'étais en vacances dans le sud, je viens de rentrer, je vous promet quelques épisodes pour bientôt
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Messagepar Clahire » Ven 3 Juin 2022 07:03

Nous voilà rassurés Fifou ! ;)
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Ven 3 Juin 2022 10:21

Une fois garé au bout de parking, je descendais de la voiture mais Sophie ne bougeait pas.
Sophie -laisse-moi seule avec lui vas faire un tour.
Moi -non, c'est moi qui ai eu l'idée, tu ne vas pas me priver de te mater.
Sophie -je n'ai pas envie que tu me mates, je veux être seul avec lui.
Moi -ok, je pars avec la voiture, il n'aura qu'a te ramener puisque tu ne veux pas de moi.
Sophie -hum, très bonne idée, je n'y avais pas penser, allez oust, pars maintenant.
Plus ça allait, plus elle me privait de mon plaisir, j'étais dégouté et énervé.
Je ne revis pas Sophie de la journée, pourtant, je l'attendais pour qu'elle me raconte mais à 17 heures, pas de Sophie, je rentrais voir Maude.
Maude -ah, voila mon Chéri, j'avais hâte que tu sois là.
Moi -hello Amour, pourquoi cette impatience.
Maude -j'ai du nouveau.
Moi -hum, raconte-moi, mais avant, je nous sert un petit apéro, ca te tente ?
Maude -oui, avec plaisir, tu me sors ce soir, j'ai envie de me faire draguer devant toi.
Moi -tes désirs sont des ordres.
Je servais l'apéro pendant que Maude n'arrêtait pas de parler de choses et d'autres, elle ne portait qu'une petite nuisette noire en dentelle et un string, elle m'excitais beaucoup.
Nous trinquions puis Maude commandait à me raconter son périple du matin.
Maude -quand je suis arrivé, il n'y avais que moi, je décidais de faire quelques étirements en attendant qu'elle arrive, elle était environ 10 minutes plus tard, mais pas seule, elle étais avec une autre femme, un peu plus âgée qu'elle je pense.
Moi- ce qui n'est pas pour te déplaire, je crois.
Maude -oui, les deux me plaisent même si j'ai une petite préférence pour sa copine, mais ce n'était pas ma mission.
Moi -c'est clair.
Maude -elle me saluèrent en passant et je leur demandais si je pouvais me joindre à elles pour courir, elle dire oui sans hésiter et je fis connaissance avec Christine et Laurence, ce qui me rassurais, c'est que leur foulée n'étais pas soutenue et heureusement, sinon, je n'aurai pas pu suivre, on s'arrêtait au bout de 20 minutes devant un appareil d'assouplissements et j'en profitais pour mater leur corps, franchement, pour leur âge, bien conservées les filles.
Moi- hum, j'adore.
Maude -Laurence était en jogging blanc et Christine en noir, elles avaient toutes les deux un belles paires de seins et j'ai réussi à voir que Laurence portait un tanga au travers de son jogging blanc, pour Christine, pas vu grand chose, elle a l'air assez pudique,
Moi -et toi, tu as fait des assouplissements aussi.
Maude -j'allais pas me gêné avec mon string noir qu'on voyait au travers, je voulais qu'elle me mate, je voulais leur donner envie.
Moi -et ?
Maude -Laurence a maté, j'en suis sure, mais Christine, rien, je pense que cela va être compliqué pour la mettre dans mon lit.
Moi- j'ai confiance en toi, tu vas réussir.
Maude -j'espère bien, du coup, on a rdv mardi pour remettre ça au même endroit.
Moi -super Amour.
Maude -et j'ai leur 06 à toutes les 2.
Moi -bien, habille-toi, je t'emmène au resto, j'en ai envie.
Maude -hum, oui, robe ou combinaison ?
Moi- je te laisse le choix, mais je te veux belle et désirable.
Maude -je vais te gâter alors, tu le mérite.
Elle revenais un peu plus tard dans un robe noire que je ne connaissais pas, très courte, fendue derrière et un large décolleté laissant apparaitre l'orée de ses seins.
Moi -d'où sort cette superbe robe ?
Maude -je l'ai acheté cet après-midi rien que pour toi.
Moi -menteuse, je comprend mieux maintenant ton "j'ai envie de me faire draguer devant toi".
Maude -oui, c'est vrai, mais je l'ai mise pour toi maintenant, après, on ne sait pas ce qui va se passer ce soir.
Moi- merci, allez, je me douche, me change et on part.
Maude -pas trop beau, n'oublies pas que tu es à moi, je ne veux pas qu'on t'approche ce soir.
Moi- jalouse.
Maude -oui, mais pas autant que tu vas l'être ce soir, je te le promet.
Le resto se passait à merveille, Maude étant très attentionné envers moi, j'avais très envie d'elle mais est ce que je l'aurai ce soir, rien n'était moins sur, elle voulait se faire draguer.
Arrivés dans notre pub habituel, nous prenions place à notre table et je commandais à boire pour nous 2.
Moi -alors, à 1ere vue, vois-tu un home pouvant te plaire ce soir, tu as le choix, il n' y a pratiquement pas de femmes.
Maude -laisse-moi le temps de regarder autour de moi.
Assise à coté de moi, je ne quittais pas de vue ses cuisses et son décolleté, elle n'avais pas mis de soutif et par moments ses tétons pointaient durs.
Une heure plus tard environ, quand je vis Jean-mi entrer dans le pub, je savais que Maude allait le laisser faire devant moi.
Jean-mi nous saluait et se fit servir à table une bouteille de vodka.
Jean-mi -tu trinques avec moi Maude.
Maude -oui, volontiers.
Il lui servit une dose de vodka, fallait voir, Maude vit que cela ne me plaisait pas du tout mais elle me rassurait en me faisant un clin d'œil.
La soirée avançait, Maude était radieuse; Jean-mi était assis à coté d'elle et lui pelotait les dos et les fesses.
Puis d'un seul coup, il se levait prétextant qu'il faisait trop chaud, qu'il fallait qu'il prenne l'air dehors.
Moi -tu ne rejoins pas ton peloteur dehors.
Maude -non, je le laisse mariner un peu.
Moi -et pourquoi ?
Maude -comme ça, pour le faire chier.
Moi -pourtant, je suis persuadé que tu ne meurt d'envie.
Maude -bien sur que j'en ai envie, mais j'aimerai que tu me mate, mais lui ne veux pas de toi.
Moi -allez, vas-y, éclate-toi, et je te ferai l'amour en rentrant, ça te va ?
Maude -hum, oui, je prends.
Quand elle se leva et que je la vit partir avec ses talons hauts, j'eus un regret de lui avoir dis vas-y, j'étais jaloux mais jaloux.
Cela faisait presqu'une heure qu'ils étaient partis, je décidais d'aller voir dehors, mais pas de voiture à Jean-mi, j'envoyais un texto à Maude pour savoir su tout allait bien.
Elle répondit une demie heure plus tard par un oui ne t'inquiète pas.
Bien sur que je m'inquiétais, je commençais à connaitre l'animal et ses plans foireux.
Moi (en texto) -je m'inquiète quand même, tu es chez lui ?
Pas de réponse, il était presque 2 heures du matin et la fatigue commençait à se faire sentir, je renvoyait un texto.
Moi -tu reviens à quelle heure ?
Pas de réponse à nouveau.
3h30.
Moi -je rentre et sache que je ne suis pas content que tu me laisse sans nouvelle, tu dois être bien ou tu es, bonne nuit, démerde-toi pour rentrer et je vais chez moi.
Je réglais mes consommations et allais à ma voiture.
A SUIVRE.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Sam 4 Juin 2022 08:00

Ravi de te savoir de retour Fifou et de retrouver un nouvel épisode !!!
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Sam 4 Juin 2022 11:59

J'étais en colère, Maude m'avait une nouvelle fois montré qu'elle ne savait me respecter, vous me direz, c est l'ABC du candaulisme d'attendre sans savoir ce que sa femme fait avec son amant.
Je montais donc dans ma voiture et démarrai, puis j'entendis.
Maude -hou hou, attend-moi
Elle montait dans la voiture.
Moi- t'étais où, tu répond jamais au messages, à quoi te sers ton portable si c'est pour qu'il reste muet.
Elle m'interrompis en m'embrassant et en me murmurant.
Maude -on rentre, j'ai envie que tu me fasse l'amour comme jamais, j'ai la chatte en feu.
Moi -jean-mi t'as mal baisé ou quoi ?
Maude -non, bien au contraire, ça me donne envie de toi encore plus.
Moi -qu'est ce que t'as foutu pendant plus de 3 heures, ce n'est pas un surhomme.
Maude -je te dis tout quand tu me feras l'amour, je veux orgasmer fort, j'en ai très envie.
J'accélérais un peu, j'avais hâte de savoir dans quel guêpier l'avais fourré l'autre imbécile.
A peine la porte d'entrée franchie, elle me roulait une pelle langoureuse en passant ses bras autour de mon cou.
Moi- toi, tu as des choses à te faire pardonner pour que tu sois aussi amoureuse que ça.
Maude -non, mais j'ai bien morflé mais je n'ai pas orgasmer et ça me manque.
En passant mes mains sur son corps, je me rendis compte qu'elle n'avait plus de string.
Moi- tu as perdu ton string ?
Maude -attend, je vais te raconter, mais fais-moi un café avant et apporte le moi dans le salon, je te veux nu aussi.
J'obéis à sa demande et me pointais dans le salon, elle aussi était nue et se caressait les seins.
Moi- tu as vraiment le feu pour être comme ça, je ne t'ai jamais vu autant excitée.
Maude -bouffe-moi les seins.
Je ne me fis pas prier bien sur et j'englobais un tétons et pinçais l'autre, Maude gémissait déja.
Moi- il a jouit sur tes seins, ils sentent le sperme
Maude -oui, mais pas que lui.
Moi comment ça.
Maude -il m'a emmené chez lui et ses 2 potes étaient encore là comme le fois d'avant derrière la porte fenêtre, il les a fait rentrer et m'a demandé s'ils pouvaient éjaculer sur mes seins.
Moi -et tu as dis oui.
Maude -oui et le pire c'est que j'ai aimé ça, 3 hommes autour de toi qui se branlent, c'st très excitant.
Moi- d'accord, mais ça ne dure pas 3 heures.
Maude -après, on a bu un verre et on a remis ça, je les ai fait bander tout les 3, j'allais d'une queue à l'autre, hum, quand j'y pense.
Moi - et ton string ?
Maude -un de ses pote le voulait pour s'exciter encore plus avec en le léchant et je n'ai pas pensé à le remettre.
Moi -tu aimes ça quand même la queue.
Maude -oui, mais mon rêve aurait été que tu sois là à me regarder avec ses 3 queues, allez fais-moi donner mon Amour, fais-moi orgasmer, je vais donner pour eux, pas pour toi, je ne veux rien te donner ce soir.
Je commençais à jouer avec son clito, sa chatte était inondée, j'aimais ça.
Elle ne mit pas longtemps à orgasmer, elle me parlait de leurs queues et voulait les emmener ici pour que je la mate avec une queue dans la bouche et les 2 autres dans chaque main.
Maude -que c'était bon, viens ici maintenant que je te fasse éjaculer sur mes seins comme mes amants.
Moi- suce-moi espèce de salope.
Maude -hum des mots crus, vas-y continue si cela t'excite encore plus, je suis prête à tout pour toi.
Elle me suçait et me branlait doucement, elle me parlait aussi de Jean-mi, elle avait toujours cette envie de passer une nuit avec et elle m'en reparlait.
Maude -allez dis oui encore une fois, tu vas décoller encore plus fort de savoir qu'il me baisera 2 ou 3 fois dans la nuit et que toi tu seras ici à te morfondre, jaloux comme jamais.
Moi- j'aime pas trop.
et Là subitement elle accélérait la cadence prenant ma queue dans ses mains.
Maude -dis oui.
Moi -non
Maude -j'irai sans te le demander sinon, allez dis oui.
Je sentais que j'allais jouir.
Maude -tu vois et après tu dis que tu m'aime, moi, je ne crois pas si tu m'aimais, tu me laisserais y aller.
Moi- oh que si je t'aime, plus que ce que tu crois.
Maude alors dis oui.
J'éjaculais tellement fort que:
Moi -vas-y, vas te faire défoncer toute la nuit par lui et ses potes.
Maude -oui, je vis y aller mais j'irai quand tu dormiras ici, je ne veux pas que tu te console dans les bras de ta femme.
Elle avait du sperme plein ses seins qu'elle ramassait d'un doigt et l'avalait.
Moi- tu as aussi avalé leur sperme.
Maude -bien sur que oui, tu crois quoi que j'allais aller me doucher, surement pas et ça me plait que tu bouffes mes seins qui ont été plein de sperme.
Moi- tu deviens vraiment une belle garce.
Maude -oui, grâce à toi, toute façon si un jour tu me quittes, je deviens pute de luxe, les gens me paieront pour m'avoir avec eux.
Moi -jamais je ne te quitterais.
Maude -on va se coucher Chéri ?
Moi- allez viens, on va dormir à poil tout les 2.
Le lendemain, Maude était réveillée avant moi, je me levais et me préparais un café.
Maude bonjour mon Amour.
Moi- hello Chérie.
Maude avait juste mis un string et un polo, dès le réveil, elle m'excitait.
Moi- j'ai envie de toi ce matin.
Maude -hum, j'adore, mais non, tu n'auras pas mon corps ce matin.
Moi -et pourquoi ?
Maude -c'est moi qui décide quand on fait l'amour.
Moi -c'est nouveau ça, et si je te viole.
Maude -essayes pour voir.
Moi- non, je plaisante, je ne peux pas te faire de mal.
Maude -je préfère ça.
Moi- je pars dans 1 heure, quel est ton programme aujourd'hui ?
Maude -je ne sais pas, je sais juste que j'ai envie d'une femme ce matin, une femme pulpeuse avec de beaux seins.
Moi -à qui tu penses en disant ça.
Maude -à Laurence, je pense que si j'arrive à la choper, je choperais Christine aussi.
Moi -bon plan, essayes, tu verras bien.
Maude -oui, je vais lui envoyer un texto anodin pour commencer.
Moi- allez Chérie.
Maude -coucou Laurence, dis-moi, j'ai un trou de mémoire, on court à quelle heure mardi ?
Laurence - coucou Maude, 9 heures
Maude -merci, désolé de t'avoir déranger
Laurence -tu ne me dérange pas, je suis seule, mon mari est à un congrès tout le week-end.
Maude -moi aussi, il part ce matin et ne rentre que ce soir, tu veux qu'on se voit cet après-midi.
Laurence -avec plaisir.
Maude -14 heures ou on a couru ou tu préfère un café en terrasse en ville ?
Laurence -on peux faire les 2 si tu veux.
Maude -ok, on va marcher et on ira boire un café après.
Laurence super.
Maude -demande à Christine si elle veux nous accompagner.
Laurence -elle n'est pas là ce week-end.
Maude -tant pis pour elle.
Laurence -a toute à l'heure
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Barent » Sam 4 Juin 2022 14:20

merci d'avoir repris les episodes
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Dim 5 Juin 2022 11:11

Et même deux épisodes coup sur coup, trop bien !!!
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Lun 6 Juin 2022 10:52

Maude -voila, mon après-midi est faite, ne rentre pas trop tôt ce soir, des fois qu'elle finisse dans mon lit.
Moi -ou toi dans le sien.
Maude -oui, possible aussi.
Je partais voir Sophie bien excité quand même.
En entrant dans la maison, pas un bruit, où était-elle passé encore ?
Je fis le tour de la maison mais personne, j'envoyais un texto pour savoir.
Moi -hello, tu n'es pas à la maison.
La réponse fusait 30 secondes plus tard.
Sophie -non, je serai là dans un demie heure, prépare-moi un bon petit déjeuner s'il te plait.
Moi- ok à tout de suite.
J'allais lui chercher des croissants et lui préparais ce qu'elle avait demandé.
Elle était bien là une demie heure plus tard, habillé très sexy.
Moi- d'arrive d'où ?
Sophie -de chez un mec.
Moi -je le connais.
Sophie -oui, un peu.
Moi -je peux savoir qui c'est ?
Sophie -oui, c'est le jeune Sergio, celui que tu as branché dans le magasin.
Moi- mais non, tu en un fait un amant régulier.
Sophie -oui, quel baiseur, il n'a pas de cesse, c'est minimum 4 à 5 fois par jour.
Moi- tu dois kifé ça, alors.
Sophie -oui, j'adore, mais devant toi ce serai encore plus kifant.
Moi- on pouvait l'autre jour mais tu n'as pas voulu, ne t'en prends qu'a toi-même, allez manges, tu dois avoir faim.
Sophie -et j'ai bien fait, on a passé l'après-midi et la nuit ensemble et depuis, on se voit tout les jours.
Moi -tant mieux pour toi et ton militaire.
Sophie -j'ai des nouvelles mais sa femme se méfie de lui à ce qu'il m'a dit.
Moi- tu as abandonné avec elle ?
Sophie -jamais, j'aime pas les échecs, tu le sais, je vais prendre rdv en même temps qu'elle chez le coiffeur.
Moi- parfait, donc tu n'es pas là cet après-midi si j'ai bien compris.
Sophie -si, on se voit vers 18 heures ce soir.
Moi- donc, on passe la journée ensemble.
Sophie -oui si tu veux, mais on fait quoi, trouve-moi un programme intéressant.
Moi- je vais y réfléchir le temps que tu te douche.
Sophie -oui, tu viendras me laver le dos, c'est un ordre.
Moi- si tel est ton désir.
On prit notre petit déjeuner et Sophie allait à la douche, bien sur, elle se déshabillait devant moi.
Sophie -tu ramasseras mes fringues et tu les mettras au linge sale.
Moi- tu as des des envies de domination ?
Sophie -oui, de grosses envie même.
Moi et depuis quand ?
Sophie -depuis que je suis avec Sergio.
Moi -et qu'est ce qui te donne ses envies.
Sophie -de savoir qu'il va me baiser devant toi et que je t'attacherai au lit.
Moi -oui, tu as raiment des envies de femme dominante.
Sophie -et tu feras ce que j'ai envie, sans discuter, tu dois m'obéir.
Moi -oui.
Sophie -bien, déshabille toi, met un string à moi, une paire de bas auto fixant et viens me laver le dos.
Moi -ah bon, tu veux me travestir maintenant.
Sophie -obéis et tais-toi, quand tu as mis ça, tu me rejoins dans la salle de bains.
Je fis ce qu'elle demandait et je reconnais que le contact des bas sur mes jambes était fort agréable.
J e rejoignait Sophie qui se douchait et quand elle me vis apparaitre ouvris les yeux en grand.
Sophie -hum, tu me plais comme ça, tiens lave mon dos.
Je pris le gant de toilette et commençais à lui laver le dos.
Sophie -tu m'excite comme ça, je pense que dans la semaine, tu vas aller t'acheter une robe et des dessous féminins à ta taille et que la prochaine fois que tu viendras, tu t'habilleras en femme rien que pour moi.
Moi -est-ce bien nécessaire ?
Sophie -j'ai envie de ça, tu peux bien m'offrir ce plaisir, essuies mon dos et mes fesses.
J'obéis à son ordre une nouvelle fois.
Sophie -attend-moi dans le salon maintenant, je reviens.
Elle revint 10 minutes plus tard en string, bas, porte jarretelle, dresse seins rouge et noir et avec ses cuissardes.
Sophie -voila, ainsi je suis ta maitresse, tu me dis vous et t'obéis à mes moindre caprices.
Moi -si tu veux.
Elle me giflait.
Sophie -tu me dis vous, t'as compris ou tu veux encore une gifle.
Moi -oui maitresse.
Sophie -lève-toi et tourne toi que je vois tes fesses dans mon beau string noir en dentelle.
Je me levais et me tournais.
Sophie -tu me plais comme ça, je pense qu'avec une robe par-dessus, tu seras comme j'ai envie que tu sois, branle-toi un peu que je vois ta queue au travers de la dentelle.
Je bandais déjà et ma queue était déjà bien raide.
Sophie -oui comme ça, caresse la lentement.
Puis elle me poussait dans le canapé et m'ordonnait de bouffer ses seins et de caresser ses fesses en même temps.
Ensuite, elle m'entrainait dans la chambre en me tirant par les cheveux.
Sophie -allonge-toi et regardes.
Elle ouvrit son armoire, sortit un jupe à carreaux ultra courte et chemisier blanc qu'elle passait sur elle.
Sophie -tu vois, je sors comme ça ce soir avec Sergio, il veux que je sois une vraie pute, il veux que j'excite les hommes pour mieux me baiser après.
Moi -et vous aimez ça je présume.
Sophie -oui, j'adore ça, je ferai ce qu'il veux.
Elle m'enfourchait et collait sa chatte sur ma bouche.
Sophie -bouffe-moi jusqu'à l'orgasme.
J'exécutais son ordre et elle ne me parlait que de Sergio jusqu'à son orgasme violent.
Sophie -très bien, maintenant que tu m'as fait orgasmer, ne crois que tu vas me pénétrer, c'est réservé aux autres, je vais me goder pendant que tu vas te branler.
Moi -oui maitresse.
Je ne mis pas longtemps à éjaculer, elle m'avais bien chauffer ma Sophie.
Sophie -maintenant tu as intérêt à acheter ce que je t'ai dis pour la prochaine fois qu'on se voit.
Moi- oui promis.
Sophie -et tu restes dans cette tenue jusqu'au moment ou tu partiras rejoindre ta pute et tu es à ma disposition.
Moi -oui maitresse.
Je tint bon jusqu'au moment de partir et quand je voulus lui dire au revoir elle me giflait.
Sophie -ça, c'est pour que tu retiennes que tu es à moi et pas à cette pute, maintenant, tu peux m'embrasser.
Une fois dehors, je pris un bon bol d'air et direction Maude.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Mer 8 Juin 2022 07:43

C'est super de trouver de nouveau régulièrement de nouveaux épisodes, merci Fifou !

Une petite question, il ne manquerai pas qq chose dans la phrase de Sophie :
Sophie -très bien, maintenant que tu m'as fait orgasmer, ne crois que tu vas me pénétrer, c'est réservé aux autres, je vais me goder pendant que tu vas te branler.
Ce ne serait pas plutôt "tu NE vas PAS me pénétrer" ?... ;)

En tout cas ce serait plus dans l'esprit, non ?..
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar fifou78250 » Mer 8 Juin 2022 07:49

Oui, c'est exactement ce que je voulais dire, j'ai juste oublier un mot ,ce qui modifie le sens de la phrase, merci clahire.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar valbeleix » Jeu 9 Juin 2022 06:10

Ca devient très chaud entre Sophie et Olivier...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Ven 10 Juin 2022 08:49

Je t'en prie Fifou, c'est avec plaisir !
Et c'était évident car je crois que j'ai assez bien compris la "philosophie" générale de ta saga... ;)
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar servons » Jeu 16 Juin 2022 06:59

Superbe saga.
Olivier a bien de la chance...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Ven 17 Juin 2022 07:45

Voilà, Fifou nous fait de nouveau languir... Sniff !
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar courgoul » Jeu 23 Juin 2022 07:26

Dommage qu'il n'y ait plus de nouveaux épisodes, c'était vraiment super.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar valbeleix » Mer 29 Juin 2022 07:28

plus rien depuis trois semaines...
Sniff...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Jeu 7 Juil 2022 08:07

Plus aucun épisode. Fifou, que t'arrive-t- il ?
J'espère que tu n'as pas un vrai problème...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Barent » Mar 12 Juil 2022 21:04

Plus rien depuis des semaines, c''est vraiment dommage.
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Messagepar compains » Dim 31 Juil 2022 14:11

Un petit up en espérant une nouvelle suite...
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar Clahire » Dim 4 Sep 2022 09:40

Plus rien depuis bientôt 3 mois. Comme c'est dommage...
J'espère Fifou que tu n'as pas de problème.
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Messagepar Barent » Sam 17 Sep 2022 08:52

Un petit up dans l'espoir de voir apparaitre une suite
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Messagepar valbeleix » Jeu 29 Sep 2022 08:47

Quel dommage que cette saga soit arrêtée.
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Messagepar Clahire » Dim 16 Oct 2022 09:26

Toujours rien, quel dommage.
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Re: du changement, mais toujours du candaulisme.

Messagepar cocu excité » Lun 19 Fév 2024 09:44

super fan de tous ces récits, merci !
Avatar par defaut homme
cocu excité
 
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