Le train.............

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Le train.............

Messagepar lecoquin71 » Mar 10 Déc 2013 19:43

J’ai toujours eu une attirance pour les voyages en trains…
Les nombreuses heures que le voyageur y passait, il y a encore quelques années, pour peu que son voyage fut « longue distance », lui imposait de se trouver « coincé » dans un compartiment de la SNCF en compagnie d’autres migrants des deux sexes…
Cette situation, à la base, contraignante pouvait, néanmoins, se transformer en aventure mémorable La promiscuités résultant de l’étroitesse des lieux, l’éventuelle monotonie du trajet…étaient autant d’éléments propices à établir entre certains, une complicité que favorisait encore le fait que la rencontre se trouvait, de fait, « temporaire et anonyme ». Une complicité faîtes de confidences, de regards, de frôlements, de caresses cachées voire, parfois, de corps à corps sauvages…
On ne savait des autres que ce qu’ils voulaient bien raconter ou inventer, de même, ils ne connaissaient de nous que l’image que nous voulions bien leur apporter. Au cœur du compartiment clos, se jouait alors une pièce. Chacun y tenait un rôle…Une pièce qui se finissait, toutefois, inévitablement à l’entrée en gare…
Pour réussir donc ces moments privilégiés, encore fallait-il bien choisir ses compagnons…
Ce soir là, devant me rendre dans le sud de la France pour des raisons professionnelles, j’avais renoncé aux « couchettes » pour y préférer un compartiment des premières. J’avais bien volontairement omis de réserver, cet oubli me permettant de choisir mon emplacement en fonction des occupants déjà installés. Par habitude, je savais qu’il était préférable d’attendre ,avant de choisir un compartiment, que la grande majorité des voyageurs soient déjà présents…Je traînais donc sur le quai portant en bandoulière le maigre bagage que j’emportais.
Ce n’est que quelques minutes avant le départ du « Phocéen » que je les vis arriver. Elle, vingt-cinq tout au plus, lui pas loin de la soixantaine…Elle, en tailleur plutôt court, foulard Hermès et bottes de luxe, portant le sac Vuitton au creux du bras, lui, essoufflé dans un manteau de marque en poil de …, tirant, avec peine, une valise du même maroquinier…Un couple très probablement illégitime, plus sûrement composé d’un riche patron et de sa jeune secrétaire « maîtresse ». La fille était jolie, elle le savait et devait en jouer à merveille pour mettre à ses pieds la gente masculine.
Il ne m’en fallait pas plus. Alors qu’ils montaient à un bout du wagon, je me glissais par l’autre….

Le wagon était quasiment vide, le couloir désert. A l’autre bout, la jeune femme avançait totalement accaparée par la lecture de son billet très probablement à la recherche du numéro des places qu’ils avaient réservées… Derrière elle son mentor peinait à pousser l’énorme bagage dans ce passage si étroit. Il faut dire qu’ un tel équipement laissait présager, pour le couple, quelques vacances sur la côte en ce mois de novembre déjà si gris et si froid. Je me glissais dans un compartiment libre pour ne pas être aperçu de mes futurs compagnons de voyage. Quitte à voyager seul, autant le faire en bonne compagnie !!!!! C’était l’option que je venais de choisir. La jeune femme était sexy, élégante très certainement enveloppée d’un parfum enivrant à forte valeur ajoutée, des arguments qui m’incitaient à les rejoindre dans leur compartiment confortable et bien chauffé..
Je regardais ma montre, jetais un regard sur le quai. Aucun importun de dernières minutes ne semblait devoir arriver pour prendre place aux côtés de mes « futurs » amis. Il était temps, je sortis mon billet de mon blouson et avançait dans le couloir en direction du compartiment occupé par le couple. La porte était encore ouverte, la femme était debout penchée sur la valise posée sur les sièges, son compagnon assis face à elle, le manteau encore sur les épaules.
« Bonjour ! Place 52 » annonçais je à moi-même, un numéro de réservation tout à fait fictif mais néanmoins existant.
« Excusez moi monsieur, Je crois que je suis assis à votre place » me glissa l’homme en manteau. « Je vous libère la place… »
« Prenez votre temps, nous ne sommes pas encore à Marseille » plaisantai-je
« je vous la cède, d’ailleurs je ne pars pas… »
Mon sang ne fit qu’un tour, la belle voyageait seule…Elle se retourna et me sourit. La première chose que j’aperçus d'elle fut ses yeux, des yeux clairs qui pétillaient, la seconde émotion, c’est son parfum qui me la déclencha, un parfum suave et envoutant, comme je l’avais pressenti…
Une annonce dans les haut-parleurs invita les accompagnateurs a quitté le train.
« Chéri, ma valise ! »
« Ne vous en faîtes pas, madame. Je m’en occupe »
« Oh c’est gentil »
« très aimable à vous cher monsieur »
La jeune blonde aux yeux clairs accompagna l’homme à l’extrémité du wagon. Celui-ci lui donna un petit baiser sur la bouche, un petit baiser de collégien. Je cru entendre des « Tu m’appelles dès que tu arrive à Marseille , ma biche », « oui, oui ne t’en fait pas » une réponse avec quelques accents agacés me sembla-t-il.
Déjà le coup de sifflet déchirant du chef de gare, donna le signe du départ.
La jeune femme regagna le compartiment après avoir envoyé quelques baisers à son compagnon resté sur le quai.
« Je vous monte votre bagage ? »
« S’il vous plaît ! »
« je vous en prie, madame »
« Appelez moi Sabine » me lança l’adorable blonde.
« Moi c’est Marc… Alors comme ça vous allez aussi à Marseille et vous n’avez pas préféré prendre un wagon-lit? »
« Non, j’ai horreur des trains couchettes… » me lance a t' elle en me regardant dans les yeux...


Les derniers aiguillages passés, le wagon s’est enfin stabilisé. Le « tagada » des roues tapant les rails marque le tempo. La banlieue grise et noyée dans un brouillard humide a laissé la place à une campagne obscure.
Sabine puisque c’est comme cela qu’elle s’est présentée, s’est installée confortablement contre la fenêtre. Elle a croisée ses longues jambes bottées d’un cuir fauve et élégant . La jupe de son tailleur, déjà courte d’ordinaire s’est retroussée légèrement et laisse apparaître une cuisse bien dessinée. Sa veste, elle l’a retirée et délicatement pendue à la patère fixée au-dessus d’elle. Son chemisier d’un blanc parfait laisse deviner deux petits seins que nul tissu ne retient. Par moment même, un étirement de la belle marque l’empreinte de ses tétons sur le fin coton. Les yeux mi-clos je dévore déjà la belle, imagine ses formes, goute par avance au velouté de sa peau. Je souris en moi-même en me souvenant de Félix Faure, ce fameux président de la IIIème république, grand amateur de femmes. Un jour lors d’une réception, il répliqua à une jeune donzelle qui lui reprochait hypocritement de la dévisager sans cesse, « je ne vous dévisage pas mademoiselle, je vous envisage… » . J’en suis là moi-aussi…
Sabine s’est plongée dans la lecture d’une revue féminine mais sans doute lassée par les écrits sur les régimes alimentaires elle referme le revue …
« Vous descendez à Marseille pour des vacances ? » je me lance.
« Oui, une quinzaine de jours chez une vieille tante, près de Cannes. Je ne fais qu’un stop à Marseille »
« Vous avez bien raison de laisser Paris en cette saison… »
« Paris, vous n’y êtes pas. Je réside en Belgique. Nous avons fait une halte à Paris avec mon ami, juste le temps du weekend … »
Je profite de la conversation pour lui demander l’autorisation de m’assoir à ses côtés
« Ce train, quel bruit… » Faisant d’une pierre deux coups je referme la porte du compartiment.
Je suis près d’elle, son parfum est envoûtant. Je me permets de lui en glisser deux mots à l’oreille. Elle sourit et minaude
« Vous les hommes, tous les mêmes… »
« Si jeune, qu’est-ce que vous en savez des hommes… » ma remarque un peu brusque la fait rire de bon cœur…
Et la voilà, en mal de confidence, qui commence à me parler de sa vie. …
Il fait bon dans ce compartiment, chaud même, les lumières sont réduites à des veilleuses, la jeune femme à mes côtés est désirable. J’ouvre grand mes oreilles…


Elle est la secrétaire particulière d’un grand armateur bruxellois…
Je m’abstiens de rajouter, et « maîtresse »... J’ai bien aperçu leur petit manège, le petit baiser de son compagnon, son regard amoureux presque pathétique,même son inquiétude à la laisser voyager seule..
Son histoire est toute simple…
Étudiante à Bruxelles, elle cherche un emploi pour l’été. Rendez-vous est pris dans une société de navigation qui arme une grande flotte de navires marchands. Mais à l’heure prévue, le DRH est absent, retenu ailleurs. Alors qu’elle s’apprête à quitter les lieux sous les réflexions peu amènes des secrétaires, du type « Vous savez mademoiselle, si vous n’êtes pas contente, on ne vous retient pas… », le « Président » la croise, s’étonne de sa présence et l’entraîne vers son bureau. Il cherche justement une secrétaire particulière. Ses compétences correspondent bien à ce qu’il cherche. Elle est embauchée sur le champ…
Je ne peux m’empêcher de penser que c’est plus l’élégante silhouette de la jeune femme, ses yeux de chat, ses petits seins arrogants que le vieux grigou a repéré de suite. Quand à ses compétences, avec des jambes si bien dessinées, son air angélique, et son sourire éclatant, elle n’avait rien à craindre des fautes d’orthographe ou de son « allemand » quelque peu hésitant… Pour tout dire j’aurai agi de même…Mettre un peu de jeunesse au sein de collaborateurs, on peut l’imaginer, un peu ternes, fouette le sang. C’est même probablement bon pour les affaires.
Maurice, le PDG, elle l’appelle par son prénom, lui a offert trois semaines de vacances sur la côte…Il doit d'ailleurs s’y rendre également quand il aura finit de régler ses affaires sur Paris.
Séminaire? Lune de miel ? Le mentor sait allier travail et plaisir semble-t-il…
En attendant, la voix de ma voisine est mélodieuse, suave et teintée d’un léger accent qui lui donne un charme fou. Je pourrai passer des heures à l'écouter. Elle a décroisé les jambes et par plusieurs fois son genou touche le mien, sa jambe bottée frôle à la mienne. Je ne bouge pas.
« J’aurai besoin de prendre quelque chose dans ma valise.. »
Je me lève et empoigne le bagage et le pose sur les fauteuils devant nous. Elle en sort un joli pull en angora, cette laine si douce et si chaude… et referme la valise. Alors que je vais pour la remonter, un brusque écart du train nous déséquilibre et je sens les mains de ma jeune compagne s’agripper à mon bras… Un frison me traverse l’échine...
« Non attendez, je reviens… »
La jolie blonde se saisit de son sac à main et quitte le compartiment . Je ne peux m’empêcher de rouvrir le bagage et de noter les dessous de qualité que j’ai aperçus à son ouverture. Hummmm, le vieux ne doit pas s’embêter…
Ma belle voyageuse revient vêtue de son pull, tenant dans ses mains le corsage blanc qu’elle portait jusqu’à présent… La valise remontée, elle se cale à nouveau bien au fond de son fauteuil, les jambes à quelques millimètres des miennes. Son parfum est encore plus fort. Elle a profité de son passage aux toilettes pour se refaire une beauté… Je suis sûre qu'elle n'a rien sous le pull...


Au cœur de la nuit noire et froide, dans ce wagon désert qui file vers le sud, notre compartiment est plongé dans une chaude et douce pénombre. Une ambiance propice à cette rencontre aux accents de sensualité et d’érotisme…La proie y est belle et racée et ne semble pas si farouche…
« J’adore !… » ai-je tout juste susurré à l’oreille de ma voisine, d’ une voix que j’ai voulue suave et grave.
Ma voix, justement, j’adore en jouer. C’est d’ailleurs, pour moi, un outil de séduction auquel je fais souvent appel et pour lequel je suis très attentif. Je m’applique donc, naturellement, à en contrôler les différents paramètres, son intensité, sa fréquence, son timbre. Je suis aussi très soucieux du choix des mots, à leurs musiques et au rythme avec lequel ils s’enchaînent…
« Et vous adorez quoi ?» me sourit-elle avec ce léger accent aux origines indéfinissable qui en fait tout le charme.
« Votre parfum, J’adore, de Christian Dior »
« Bravo ! Vous êtes connaisseurs »
« Tout juste amateur…En tout cas, il vous va très bien »
« Merci… »
La porte s’ouvre brutalement et rompt le charme de l'instant.
« Bonsoir, messieurs dames…Billets s’il vous plaît ! »
Le contrôleur, un homme entre deux âges, un peu fort, récupère un à un nos titres de transport et les poinçonnent
« Bon voyage…Bonne nuit ! » L’homme appuie sur ce dernier mot en me regardant d’un sourire que je soupçonne d’un rien de complicité…Au cours d’une carrière, ils doivent en voir, ces contrôleurs, des vertes et des pas mures…
Il referme la porte et nous voilà à nouveau seuls au monde pour mon plus grand plaisir et qui sait, peut-être le sien.
Sabine semble vouloir s’assoupir. Comme un petit chat, elle se détend et allonge ses belles jambes. Au bout de quelques instants, la mienne repart à la recherche de la sienne. Le balancement du train favorise cet échange. A mon grand étonnement, le genou de ma voisine se colle au mien, sa cuisse s’appuie sur la mienne.
Un long contact, en silence, que je prends pour un encouragement. Ma main s’avance alors vers la sienne sur l’accoudoir qui nous sépare, une belle main manucurée aux ongles rouges. Mes doigts cherchent les siens, elle ne bouge pas…Ils se glissent entre les siens et les caressent doucement. C’est notre premier vrai contact physique, épiderme contre épiderme. La belle tente une esquive, minaude et me lance du « Voulez vous bien vous tenir » qui pourrait en dire long sur un tacite rapprochement.
J’hésite encore. Dans la pénombre discrète de compartiment, je cherche son visage, son regard se veut encourageant, un rien mutin, même. Comment pourrait-il en être, d’ailleurs, autrement alors que ses adorables yeux clairs me sourient…
Je prends sa main et l’amène à mes lèvres…



Sa peau est douce, mes lèvres la caressent et y déposent, par petites touches, plusieurs petits baisers.
Je me penche vers elle, mes yeux cherchent les siens mais en vain. La belle garde les paupières closes comme en signe d’abandon. Ma bouche quitte, alors,la délicate peau claire de ses mains et gagne le creux de son cou, juste sous l’oreille, pour y déposer une autre baiser sur une peau au grain délicat qu’un léger duvet rend pareille à du velours. Mon nez, plongé dans la soie de ses cheveux, y détecte une odeur sublime et troublante, un parfum qui mettrait immédiatement en éveil tous mes sens si tant est qu’ils ne le soient pas déjà. C’est un subtile mélange troublant de l’odeur naturelle du corps et des fragrances précieuses qui font le succès de son parfum…J’adore !!! Le nom est admirablement choisi…Elle ronronne, tente de se dérober puis se fait chatte… Elle m’offre son cou puis sa bouche, mes lèvres se collent aux siennes et c’est sa langue qui force le passage et pénètre ma bouche. Nos langues se découvrent, s’enroulent, font l’amour…
J’ai pris sa tête dans mes mains. Nos lèvres sont soudées, nous respirons d’un même souffle.
J’en profite pour glisser une main sous le pull, j’y découvre un adorable petit sein dont je m’empare sans combat. Mes doigts emprisonnent le téton qui se dresse en ultime défenseur.
Nous reprenons notre souffle, les yeux dans les yeux.
« Dîtes donc monsieur, vous allez vite en besogne !!! »
Je lui souris
« La victime est si belle… »
Sabine se colle à ma bouche pour un nouveau baiser...


Mon cœur bat la chamade, mon sexe est tendu…Mes mains s’affolent et se font plus entreprenantes encore, mais si j’ai follement envie de ce corps, de l’explorer, de le caresser, de me l’approprier et de le prendre, je ne le veux pas à n’importe quel prix…
Au-delà de ces seins, petits mais arrogants, de ce ventre plat à la peau satinée, de ces yeux de chat qui pétillent de malice, de cette bouche charnue que je mange avec appétit, il y a cette sublime jeune femme. Notre rencontre aussi brève soit-elle ne doit pas se contenter d’un coup mal tiré, vite fait…J’en veux plus pour elle et pour moi…
Il y a plus à prendre chez cette fille, son envie, ses retenues, son désir aussi. Nous devons jouir de plus que cela encore. Du lieu, des circonstances, de la peur d’être surpris.. Pour être tout à fait honnête le fait de la voler à cet homme riche et influent m’excite aussi…
Il me faut retenir encore ce flirt intense, presque sauvage…
Ma langue cherche la sienne, joue avec elle…Ma main, sous le pull si doux, continue à exciter le jeune téton…Ma bouche retourne à son cou et la couvre de baisers.
Sabine semble en parfaite harmonie avec moi. Si elle tempère timidement certaines de mes avances, elle sait aussi faire preuve d’initiative. Ses soupirs, sa respiration un peu forte, les contractions de son ventre, le cou qu’elle m’offre sont autant d’appels auxquels je ne peux résister…
Un grincement sur aigu de freins nous stoppe brutalement dans nos élans, nous arrivons en gare. Les aiguillages balancent le wagon de gauche à droite dans des claquements de métal. De l’autre côté de la vitre, des lampadaires sinistres diffusent une lumière « sodium » sur l’alignement des voies. Le quai glisse le long de notre wagon qui s’arrête dans un dernier hoquet. Rares sont les voyageurs qui, au cœur de la nuit et dans le froid humide, attendent l’ouverture des portes. Un bruit m’inquiète toutefois, la porte de notre wagon s’est ouverte et des voix se font entendrent dans le couloir.
Il ne manquerait plus que…
Mon sang se glace
La porte s’ouvre sur une femme d’une quarantaine d’années qui,d'emblée, allume le plafonnier…
"place 52!" annonce-t-elle...


Collés l’un à l’autre dans cette lumière qui nous éblouit brutalement, nous nous surprenons à réagir tous les deux comme deux collégiens pris en faute. Sabine et moi, nous feignons de nous réveiller. La visiteuse s’en aperçoit et se sent d’un coup gênée…
« j’éteins tout de suite, excusez-moi… »
« il n’y a pas de mal, je vous en prie… Prenez tout votre temps…» Je ne peux m’empêcher de me montrer aimable même si cette subite intrusion ne fait pas mon affaire…
Je sens alors les doigts de ma charmante compagne chercher la peau de mon avant bras et la pincer. Je me retiens d’exprimer cette douleur aiguë…
« Tu n’as qu’à aller la rejoindre pendant que tu y es… » me souffle Sabine à l’oreille. La peste ! Une jalousie à ce point, je n’en ai pas encore rencontrée d’un tel niveau…
Je lui souris mais ne réponds rien.
Mais il faut dire qu’elle a des raisons de se méfier, la belle, parce que la nouvelle arrivante n’est pas mal non plus…
Les yeux mi-clos, je l’observe. Physiquement notre nouvelle compagne est aux antipodes de l’adorable petite Belge.
C’est une belle brune d’une quarantaine d’années, plutôt petite, assez fine avec une paire de seins qu’un manteau au col de fourrure n’arrive toutefois pas à dissimuler. Un rouge à lèvres des plus rouges donnent à cette "fille du sud" une touche supplémentaire de sensualité s’il en était encore nécessaire.
Elle retire son manteau, se déchausse et grimpe sur le siège pour glisser ses bagages dans le râtelier situé au-dessus des fauteuils. Cette gymnastique me permet de noter le galbe parfait de ses jambes nylonnées que surmonte une jupe en cuir assez courte et de noter le rebondi de ces fesses…
« Demande lui une photo » me souffle encore la perfide qui a suivi mon regard.
« Idiote va, tu vas voir… » Je m’empare de sa main.
La brunette éteint le plafonnier et s’installe confortablement sur le fauteuil qui est censé être celui que j’avais réservé. Ironie du sort !!!!!
J’ai recouvert mes genoux de mon blouson. J’attire la main de Sabine en dessous du cuir et la pose à l’endroit de mon sexe durci par les prémices de notre flirt. Elle se laisse faire et conserve sa main en place sans que la mienne soit obligée de l’y maintenir. Ces doigts, même, se mettent délicatement à détailler l’objet du délit…
Cette exploration inattendue conforte encore mon désir, ma main se fait exploratrice et se glisse centimètre par centimètre vers l’intérieur des cuisses de la belle blonde…
Bien que notre voisine, assise juste en face de nous, ne puisse certainement pas apercevoir ce manège, Sabine est mal à l’aise.
Elle serre les cuisses pour m'empêcher d'aller plus loin. C'est mal connaître la souplesse de mes doigts…


Nouveau coup de sifflet, le train s’ébranle…lui aussi….
Les lumières du quai défilent de plus en plus vite et disparaissent bientôt, laissant notre compartiment se replonger dans une douce pénombre…
Profitant de l’obscurité retrouvée, ma main se relance à l’assaut de la jeune Belge.
En haut de sa jambe, au-dessus de la limite de ses « Dim-Up » sa peau est en satin, mes doigts glissent encore plus profondément. Surprise ! Nul tissu, là non plus, ne protège la vulve de la Blonde. Un frisson d’excitation me parcourt l’échine. Et dire qu’elle joue les mijaurées…
Mon sexe grossit encore protégé qu’il est par la main de l’innocente jeune femme qui m’accompagne…
« Il est passé où ? » Je chuchote à l’oreille de ma voisine.
« Quoi donc ? »
« Tu veux que je répète ma question à voix haute ? » Je taquine la jeune femme.
« Dans mon sac à main… » Avoue alors l’adorable perfide, peut-être un peu inquiète, quand même, à l’idée que notre vis-à-vis soit mise au courant de ses frasques.
En se rendant aux toilettes, elle devait déjà avoir une drôle d’idée en tête. La coquine ! Et si elle était pire que moi encore ?
Retirer sa culotte, rabattre sa jupe, dégrafer son corsage, enfiler un pull à même la peau…sur ses petits seins libres comme l’air…. Et revenir comme si de rien n’était…Je suis tout excité
D’une façon imperceptible mes doigts avancent encore, écartent les lèvres de ce sexe brûlant et s’enfoncent sans effort dans cette merveille ruisselante. Mon index remonte le long de la fente à la recherche du petit bouton. L’ayant enfin trouvé, dressé comme un minuscule pénis, il commence à le branler. Les muscles des cuisses de la Belle frémissent et se tendent. Son ventre se contracte et son bassin roule sous les effets de ce doigt trempé…
Je fais mine de dormir, elle aussi d’ailleurs.
La présence de cette femme, face à nous, m’excite encore plus. Pour être tout à fait honnête, si j’aime voir, j’aime aussi être vu et cette situation rocambolesque attise encore mon désir…
Je retire doucement ma main de l’entre jambe de ma compagne et lui porte mon index à la bouche. Elle retient à peine un soupir et suce le doigt trempé de sa liqueur…

Elle suce mon index comme elle doit le faire d’un sexe. Sa bouche aspire la tige, la noie de salive et sa langue l’enroule, la lape, agaçant l’extrémité à petits coups réguliers…Mon autre main, la gauche, se glisse sous le blouson aussi doucement que possible, repousse délicatement celle de sabine et fait glisser la fermeture Éclair de mon jean. Je ne porte que très rarement de sous-vêtement aussi mon sexe bandé jaillit de sa prison de toile comme un diable d’une boîte. Pas besoin de donner des conseils à la jeune femme excitée pour qu’elle s’empare de cette colonne de chair congestionnée. Elle l’emprisonne à nouveau autour de ses doigts et commence un lent va et vient, tirant bien en arrière sur le prépuce. C’est à mon tour de sentir mes muscles se tétaniser, mon ventre frémir sous la caresse…Mon doigt libéré de la bouche de la belle, s’en retourne à ses premières amours et se glisse à nouveau dans le ventre de la jeune femme…
Avant d’aller plus avant j’observe ma voisine d’en face, elle semble dormir dans la confortable pénombre de ce compartiment, bercée par les mouvements du train et le claquement des rails. Ses yeux sont fermés et son souffle régulier…
J’en profite pour pousser encore plus loin mon introduction…
Mes doigts entament un massage interne de la vulve de la jeune Belge, ce qui a pour effet de la faire gémir un peu plus …Sa main sert plus fort mon sexe mais ne ralentit pas pour autant son mouvement de branle…Les battements de mon cœur s’accélèrent.
J’écrase ma bouche contre la sienne et étouffe ainsi ses soupirs. Nous ne faisons plus qu’un…
Un couple enlacé pour la nuit…
Je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. Sabine me malaxe maintenant les couilles…Elle sait drôlement s’y prendre la petite. C’est sûrement son vieil amant qui lui a appris tout ça…Je l’imagine bien l’armateur jouant de son pouvoir pour séduire la jeunette, l’emmenant dans de grands restaurants avant de la jeter dans son lit et d’en faire sa « secrétaire tout à fait particulière »…
Il la loge, il la nourrit, il l’habille, il la baise…


Mes doigts sont plus forts que sa retenue, elle geint dans ma bouche…Quelques contractions de son vagin sont le signe précurseur du plaisir qui l’envahit. J’intensifie encore le jeu de mes doigts sur le clito de la jeune femme…Sa main si prodigue en caresses s’est relâchée…La petite se met à jouir…Mes doigts en profitent pour fouailler encore plus profondément cette petite chatte qui s’abandonne, s’ouvre et mouille abondamment…Mon plaisir n’est plus très loin non plus…
C’est alors que je sens la jambe de ma voisine d’en face se coller à la mienne…
Son genou se fait insistant et ne laisse aucun doute sur la nature de l’appel. La belle brune est tout à fait au courant de ce qui se passe sous le blouson…et semble vouloir en réclamer sa part…Excité par cette découverte, je branle alors la petite sans plus de retenue. Mon blouson qui servait jusqu’alors de couverture, glisse au sol au moment où, surgissant de nulle part, un train de nuit nous croise dans un bruit de tonnerre. La lumière du monstre balaye notre compartiment…J’aperçois alors les yeux de braise de notre vis-à-vis qui nous observe, fascinée. Ma queue dressée fièrement en sa direction entourée de la main de la jeune blonde, la jupe de celle-ci remontée très haut sur ses hanches laissant apercevoir son sexe lisse pénétré par mes doigts qui s’activent de plus en plus rapidement…Une vision qui ne semble pas la laisser indifférente…Elle remonte sa jambe et la pose sur mes genoux. Son pied déchaussé s’applique à remplacer la main de Sabine…Délicatement, avec la plante de son pied, elle vient caresser mon sexe abandonné, des glissements sur le frein et le gland…Ma queue se dresse encore….
Sabine se lâche totalement, elle ne tient plus compte de la présence de sa « rivale ». En est-elle consciente où le fait-elle volontairement ?
Elle jouit à petit cris, des râles que je ne peux, ni ne veux empêcher... autant que notre belle voyeuse en profite…La tête plongée dans les cheveux de la blonde, je ne peux voir la bouche de la brune remplacer son pied et s’emparer de mon sexe qu’elle absorbe tout entier…alors que sa main rejoint la mienne pour pénétrer le sexe offert de mon adorable petite Belge…


Alors que nos deux mains réunies se découvrent en masturbant ensemble l’adorable chatte de Sabine, la bouche de notre nouvelle amie s’active sur mon pénis dressé.
Certainement des années d’expérience pour en arriver là…Si j’arrivai à me sucer moi-même, je ne pourrai faire mieux.
Ma voisine pince ses lèvres de velours, arrondit ses joues pour absorber mon dard au plus profond. Alors que mon gland, baigné de sa salive, touche le fond de sa gorge, elle aspire ma queue toute en la laissant ressortir. Sa langue s’active sur ma hampe. Des mouvements d’une fréquence élevée mais de faible amplitude qui ont le don d’agacer la partie la plus sensible de mon être…Une onde électrique me parcourt le dos…Une fois dehors, le membre est dûment léché de haut en bas, à grands coups de langue cette fois-ci, sa main me palpant les testicules et fouillant dans mes poils…
Pendant ce temps nous envahissons le ventre de la petite, ma main branle frénétiquement son bouton dressé. Notre amie brune, a enfoncé plusieurs doigts dans sa chatte complétement offerte. D’un mouvement tournoyant elle excite les muqueuses de cette jeune vulve. Sa main est trempée de mouille et un de ses doigts en profite pour forcer l’étroit passage de son anus…
Je sens ma compagne frémir à cette introduction, il est temps que je la prenne…
Sans un mot ma suceuse s’est reculée comprenant bien mes intentions…C’est même elle qui retire de son sac un préservatif et me le présente. J’accepte son aide et bientôt mon sexe se trouve enfermé dans ce fin gant de protection. C’est encore elle qui guide Sabine et la fait mettre à quatre pattes sur le fauteuil, le cul en l’air.
Je me saisis de ma verge et l’enfonce d’un coup dans les entrailles de la petite, au plus profond possible…
Ma maitresse, sous l’assaut, essaie bien de se dégager mais je la tiens fermement par les hanches. Quelques coups de reins et elle se laisse enfin pénétrer plus profondément, tendant même ses fesses en arrière pour mieux recevoir mes hommages.
Mon amie brune n’est pas en reste, d’une main elle branle la jeune femme et de l’autre, elle me malaxe les couilles. Je la remercie d’un baiser profond et baveux…
Le monde peut s’écrouler, le train dérailler, on s’en fout…

Au cœur de la nuit, dans ce train de folie, le sexe est roi et notre destination première est devenue le plaisir.
Faisant fi de toute retenue, de toute prudence même, nous ne pensons plus, tous les trois qu’à jouir de l’instant présent…
Sabine s’offre sans retenue à mon sexe qui la pilonne profondément et aux doigts qui la branlent. C’est elle qui génère le mouvement qui l’empale sur ma verge, je ne fais que l’assister en contrôlant le rythme des pénétrations d’une main sur son épaule. Son magnifique cul claque en cadence sur mon bas ventre. Un bruit de succion accompagne ses mouvements, sa chatte est trempée et sa mouille coule le long de mes cuisses. C’est maintenant notre nouvelle venue qui s’occupe de sa bouche. D’abord réticente, la jeune Belge s’est laissée embrasser. Goûtant avec plaisir au fruit défendu, elle n’a pas pu résister longtemps aux caresses expertes de notre brune. Conquise, c’est elle, désormais, qui prend le dessus sur sa tourmenteuse. Leurs baisers est torride, faute de bien les voir, je les entends geindre bouche contre bouche.
J’ai du mal à me retenir, ma queue est en feu. Un long frisson me transperce le bas du dos. Il faut que je tienne encore, encore et encore…
Ma main s’est enfoncée dans le sexe de ma voisine. Sa vulve est grande ouverte, elle aussi, et trempée comme celle de Sabine. J’y recueille son jus et porte mes doigts à ma bouche. Je goûte avec volupté aux parfums intimes de la belle et suis excité encore plus. Je veux caresser ses seins…Ils sont gros avec des tétons charnus que je pince entre mes doigts. Les pointes érigées sont longues et je les roule entre le pouce et l’index. Un petit cri jaillit des bouches soudées des deux filles. Le ventre de sabine est alors parcouru de frissons, sa chatte se contracte, écrase ma queue et ma jeune maîtresse se met à jouir hurlant dans la bouche de ma voisine. Ses mouvements se font plus violents, le rythme se casse et elle s’effondre sur la banquette. J’extrais doucement mon sexe de sa chatte, retire le préservatif. Ma belle brune s’en empare et enfourne ma colonne de chair dans sa bouche encore pleine de la salive de Sabine. Juste quelques mouvements de va et vient et j’éclate en long jets de sperme épais qu’elle reçoit dans sa bouche et sur son joli visage. Son ventre est alors secoué de spasmes incontrôlables. Tout en me vidant, j’ai continué à jouer avec son clito dressé et elle jouit, elle aussi sans retenue, les joues ruisselante de mon jus. Mon sexe apaisé commence à débander. Comme elle deux, j’en suis sûr, je suis au paradis. Il m’importe, alors, peu de mourir…


Je remets un peu d’ordre dans ma tenue. Mon sexe vidé retrouve l’abri du pantalon. Je m’enfonce dans le fauteuil en face d’elle, contre la fenêtre. Je savoure l’instant, complètement repus…Sabine est toujours effondrée sur la banquette. Délicatement, je rabats sa jupe sur son cul divin. Elle ne réagit pas. Notre visiteuse repose à ses côtés, elle aussi dans un état second…
Un bruit ! Un grincement!
En me retournant, j’aperçois une silhouette en ombre chinoise. Mon sang ne fait qu’un tour…Un homme nous observe depuis le couloir…
Sans un bruit, il a réussi à glisser la portière du compartiment d’un petit centimètre ce qui lui a permis de suivre nos ébats…Trop occupés à jouir ensemble nous n’avons même pas constaté sa présence. Pas très frais, je ne sais comment réagir…
Chose incroyable, l’homme tire sur la poignée de la porte et se glisse dans le compartiment qu’il referme derrière lui. Il s’assoit dans le fauteuil le plus près du couloir. J’observe avec méfiance ce sans-gêne, hésitant encore à lui à lui sauter dessus et à lui balancer mon poing dans la figure. Délicatement, l’homme repousse le rideau épais qui nous abrite de la lumière du couloir, son visage apparaît en pleine lumière. Un sourire naît alors sur ses lèvres…Je suis complètement abasourdi, il ne m’est pas du tout inconnu, il s’agit du mentor de Sabine…. Maurice, l’armateur… Ces deux là m’ont bien eu. J’ai cru être le meneur de jeu, je n’en ai été que le jouet.
Maurice est descendu du wagon à Paris juste avant le départ mais pour mieux remonter dans le suivant. Les deux complices avaient bien combiné leur coup. J’imagine que l’armateur s’est établi dans le compartiment voisin très peu de temps après le départ de l’express. Sabine a joué la fille abandonnée pour mieux me séduire et …elle a gagné !
L’homme se penche vers moi. « Merci pour elle, vous l’avez très bien honorée…. Vous savez, à mon âge on n’est plus très…comment dire ? Très performant…. »
C’est à mon tour de sourire à ce compliment...............
Dernière édition par lecoquin71 le Mer 11 Déc 2013 01:01, édité 1 fois.
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Re: Le train.............

Messagepar Moby » Mar 10 Déc 2013 21:17

Superbe histoire et écris d une main de maître .... Merci
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Re: Le train.............

Messagepar cocufieur sensuel » Mer 11 Déc 2013 11:25

magnifique histoire...réellement vécue?
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Re: Le train.............

Messagepar toreroespagne » Mer 11 Déc 2013 12:13

superbe histoire franchement ca m'a fait bander j'avais l'impression que la scène se jouait devant moi :)
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Re: Le train.............

Messagepar onlyfs » Mer 11 Déc 2013 17:38

La qualité de la rédaction est exceptionnelle, ça fait plaisir de te lire.
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Re: Le train.............

Messagepar lecoquin71 » Jeu 12 Déc 2013 21:13

Bonjour à tous.

J'ai écris ce récit, il y a 3ans à peut près, suite a un roman que j'ai lu et qui m'as donné l'idée d’écrire une rencontre coquine dans un train de nuit.
C'est toujours un des mes fantasmes préférés.

Mais j'en ai écris d'autre...

un-train-tres-coquin-t6168.html

petit-delire-pour-les-fiottes-t6231.html

le-parking-t5169.html

un-orage-en-foret-t4859.html
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Re: Le train.............

Messagepar a25 » Ven 13 Déc 2013 22:38

merci pour ce récit...j'ai adoré!
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Re: Le train.............

Messagepar monsieurplus » Sam 14 Déc 2013 16:28

Très interessant. Et excitant
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