J'ai eu quelques aventures avec des femmes infidèles, mais une seule avec une femme au mari consentant. Pour plus de commodité sans dévoiler leur identité, je vais les appeler ici Natasha et Arthur. Eux couple de la fin quarantaine, début cinquantaine, et moi 28 ans à l'époque.
Je fréquentais il y a quelques temps un forum dédié au X: un forum d'échanges autour de sujets pornographiques et d'autres laissant une belle part à l'exhib. C'est après avoir posté des photos plus ou moins intimes de ma personne que Natasha, participante elle aussi de ce forum, m'a approché. Après de simples échanges cordiaux et amicaux sur le site, nous sommes passés aux messages privés plus chaud sur le site avant de nous échanger nos mails où nous attisions notre excitation commune par l'échange de photos osées spécialement dédiées de l'un pour l'autre ou par des caresses mutuelles en cam. C'est à cette époque que j'ai pu apprécier son corps pulpeux. Ses quelques kilos de trop lui donnaient des formes généreuses, une poitrine opulente, des fesses bien remplies, une chatte accueillante au mont de vénus bien bombé et intégralement épilé. Une réelle invitation au plaisir.
Je savais puisqu'elle me l'avait déjà annoncé qu'elle était mariée, mais son mari l'autorisait à se montrer à d'autres hommes, jouant d'ailleurs lui-même de temps à autres le rôle du photographe pour son grand plaisir. Tout devait en rester virtuellement là lorsqu'à l'approche de l'été, Natasha m'annonça qu'elle et Arthur étaient désireux de passer à la vitesse supérieure. Et profiter des vacances arrivantes lors desquelles ils devaient descendre dans leur appartement du sud, situé à une trentaine de kilomètres de chez moi. L'initiative venait plus de Natasha, c'est elle qui a convaincu son mari de franchir le cap du virtuel, le feeling passant bien entre nous, et notre désir étant sur une pente régulièrement ascendante.
L'été venu, nous nous sommes donnés rendez-vous pour un premier contact visuel. En effet, à part un bref salut en cam, Arthur et moi ne nous étions jamais vus et n'avions jamais discuté ensemble. Nous nous sommes donc retrouvés après ma journée de travail pour boire un verre au soleil. Avec interdiction de se masturber chacun de notre côté durant une semaine pour que le jour J nous soyons brûlants d'envie et de désir. Et c'est autour de cocktails que j'ai fait la connaissance d'Arthur, simple et élégant, souriant et avenant, et que j'ai pu apprécier d'enfin découvrir Natasha en vrai. Discussion cordiale, sur tout et rien, sur nos boulots respectifs, avant d'entamer sur le sujet de notre rencontre. Ce n'était pas leur première expérience dans le domaine, bien avant un ami d'Arthur était devenu l'amant officiel de madame jusqu'à ce qu'il déménage. Mais c'était la première fois qu'ils allaient faire celà avec un presque inconnu.
Une fois la nuit tombée, nous avons pris place dans le monospace d'Arthur et sommes partis à la recherche d'un petit parking tranquille sur une route de l'arrière-pays afin de poursuivre nos échanges sur un autre ton. Une fois le havre trouvé, Natasha est venue me rejoindre sur la banquette arrière. Après échanges de tests HIV préparés au cas où le feeling passerait bien entre nous trois (Natasha voulait sentir mon sperme), Natasha a commencé à déboutonner mon jean, baisser mon caleçon afin d'en dégager ma queue. Bite en main, elle me branlait pendant que son mari tournait la tête pour nous observer. Un peu intimidé par cette situation nouvelle, mon inhibition a disparue lorsqu'elle s'est baissée pour enfourner mon sexe dans sa bouche. Sa tête allait et venait sur ma bite. A la demande d'Arthur, je dégageais bien la chevelure blonde de Natasha de son visage pour qu'il puisse bien voir sa femme me pomper. Elle s'est ensuite relevée pour faire tomber son petit haut et me dévoiler ainsi ses seins que j'ai léché goulument. Ne voulant en rester sur cette fellation, Natasha a demandé à Arthur la permission de se faire prendre par mes soins. Joignant le geste à son approbation Arthur, nous a aidé à faire basculer la banquette où Natasha s'est allongée, jambes écartées, prête à m'accueillir en elle. J'ai simplement écarté son string afin de pointer ma bite à l'entrée de son orifice. Nul besoin de la lécher ou de la doigter avant, Natasha était on ne peut plus ouverte, mouillée et chaude. Un peu intimidé, j'ai commencé à la prendre comme un gentil garçon jusqu'à ce qu'elle m'enjoigne de la baiser plus fort, de bien la défoncer, de l'enfiler comme une chienne. Chose faite à grands coups de reins jusqu'à ce que je décharge mon foutre chaud en elle.
Nous nous sommes retrouvés deux semaines après ce premier rendez-vous. Natasha avait demandé à Arthur la permission d'être juste tous les deux pendant un moment. Je les attendais donc devant un hôtel où nous devons passer deux heures avec Natasha. Alors que la première fois j'avais vu un couple simple et smart, j'ai eu la joie de voir Natasha s'être transformée en belle allumeuse, jouant la petite pute avec sa jupe trop courte, son haut trop moulant, trop décolleté. Nous sommes montés tous deux dans la chambre reservée pendant qu'Arthur allait se promener sur la promenade des Anglais. Sa seule recommandation: faire ce que je veux de sa femme à l'unique réserve de l'enculer afin que le petit trou de sa femme reste son domaine privé. A peine arrivée dans la chambre, Natasha s'est assise sur le lit, m'a ordonné de se placer debout devant elle, m'a déshabillé pour me sucer gloutonnement. Avant de me jeter sur elle pour la baiser cette fois-ci sans aucune retenue. Et de la remercier par de grandes giclées en son con. Nous avons encore remis celà avant de rejoindre son mari, à la différence qu'elle m'a proposé cette fois-ci de venir dans sa bouche. C'est donc au-dessus de son joli visage de garce que je me suis branlé pour me vider dans sa bouche ouverte. A la fin de notre temps autorisé, nous sommes retournés rejoindre Arthur pour manger ensemble et prendre un verre. Nous en avons profité pour raconter à Arthur par le menu détail ce que nous avons fait, sa femme et moi. Allant jusqu'à râler avec amusement quand il sut que j'ai giclé dans sa bouche, sa femme le lui refusant d'ordinaire. Tout celà en doigtant mutuellement Natasha sous la table qui avait pris soin de ne pas remettre sa culotte.
A la fin de leur séjour estival, Arthur, contraint par son travail, est reparti avec leurs enfants pour rentrer à la maison. Laissant juste Natasha trois jours supplémentaires pour qu'elle puisse ranger l'appartement en toute quiétude tout en profitant d’un peu de soleil supplémentaire et d'une journée seule avec moi. C'est donc une Natasha toujours aussi sexy qui est venu me chercher à la gare. En route vers chez elle, elle a appelé son mari pour le prévenir qu'elle m'a bien récupéré avant de me le passer pour se dire bonjour. Toujours aussi aimable, il m'a souhaité une belle journée avec sa femme, que nous en profitions bien, et qu'il appellerait pendant ses pauses pour qu'on le tienne au courant de nos ébats. Et nous passâmes alors la journée entière à baiser dans le lit conjugal, à nous lécher, nous embrasser, à mélanger nos corps et nos peaux, notre sueur, à mêler sa mouille et mon foutre. Giclant tantôt en elle, tantôt sur elle, la maculant de mon sperme chaud. Natasha était sans aucune pudeur, même lorsque sur sa terrasse, le voisinage pouvait nous voir manger ou fumer nos cigarettes nus, sans arrêter de se branler et de se caresser mutuellement, sans peur et sans gêne de les laisser interrogateurs sur la belle, l’amant et le mari cocufié. Arthur nous appelait régulièrement, et prenait plaisir à entendre sa femme gémir ou gueuler lorsque je la pénétrais.
Chacun rentré chez soi, nous nous sommes bien évidemment promis de nous retrouver à leur prochain séjour. Avec l'envie mutuelle d'un plan à trois, nous réunissant ainsi Natasha, Arthur et moi. Ce qui ne s'est hélas jamais fait. Etant devenu l'amant officiel de Natasha, celle-ci prenait mal le fait que je puisse aller voir ailleurs entre-temps, nous considérant son mari et moi comme sa propriété exclusive. Joueuse mais pas prêteuse, l'aventure en est donc restée là. Une fin un peu malheureuse pour une histoire qui reste cependant, pour ma part, merveilleuse.
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