6) Raffaela ma doudou couleur café

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

6) Raffaela ma doudou couleur café

Messagepar rachou » Mar 3 Juil 2012 15:34

Raffaela ma doudou couleur café

Ce matin c’est le grand jour, l’épreuve de vérité, j’ai appelé Stéphane vers dix heures et il m’a tout expliqué. Comme il le pressentait, Raffaela s’était à nouveau connecté sur la chat au milieu de l anuit et notre senario avait parfaitement fonctionné. J’ai quand même voulu savoir ce qu’il avait bine pu lui dire pour obtenir d’elle son numéro et le principe d’un rendez-vous. Je l’acout em’expliquer d’une voix posée :
-D’abord Marco, ta femme m’a paru contente de me croiser à nouveau. Elle me cherchait, j’ia l’impression que dans sa tête, j’ai déclenché quelque chose d’inédit à moins que ce soit toi qui ait réveillé je ne sais quoi. Je lui ai parlé tranquillement en lui disant combien j’étais content de la voir moi aussi, que je la trouvais super belle et qu’aucune femme ne s’était montrée à moi avec autant d’impudeur. Et puis je lui ai parlé de moi, je lui ai dit que je suis dans les affaires, que j’ai une boîte de communication mais que je n’ai plus tellement besoin de travailler, que la boîte tourne toute seule.
Je lui ai proposé de la rencontrer aujourd’hui dans un endroit chic et sans risque pour elle. Elle ne m’a pas paru hésiter beaucoup surtout quand je lui ai dis qu’on pourrait se retrouver dans l’hôtel quatre étoiles où je reçois mes clients important. Et puis je l’ai allumé un maximum, je lui ai dit qu’il était tard, que je n’avais pas beaucoup de temps, que je voulais voir son corps etc. Alors j’ai allumé ma cam et je me suis entièrement déshabillé. Je lui ai montré mon visage en pleine lumière, elle m’a dit qu’elle me trouvait pas mal du tout et quand son image est apparue sur mon écran, j’ai commencé à bander dès que je l’ai vu à poil avec sa peau ferme et chocolatée. Je lui ai demandé si elle aimait ma queue et elle a répondu que oui, bien sûr. Je lui ai demandé si c’était pas trop gros pour elle et elle m’a répondu, « non, pas du tout, j’ai même envie de te la sucer ». Voilà excuse moi, mais je t’ai promis de rien te cacher.
-Est-ce que vous avez parlé de moi ?
-Non pas du tout, juste ce que je t’ai dit et des modalités de notre rendez-vous.
-Ok, alors çà va se passer où ?
-On a rendez-vous à l’hotel Scribe, rue Scribe près de l’opéra vers 14 heures. Nous deux, on se voit une demi heure avant pour que je t’équipe.
-Comment çà, explique. De quoi veux-tu m’équiper ?
-Je vais te donner un mini récepteur qui te permettra de suivre notre conversation. En plus, surveille bien ton portable, au cas où je t’enverrais des messages.
-Ok j’ai compris, à plus.

13h30, rue Scribe. Je fais le pied de grue devant l’hôtel. Bientôt je vois Stéphane arriver dans un costume de marque bien coupé. Il ne porte pas de cravate mais arbore un sourire détendu. Nous rentrons dans le lobby de l’hôtel. C’est vaste, haut de plafond et çà sent le fric et l’aisance d’une clientèle fortunée. Nous nous installons à l’écart dans de profonds fauteuils. Un serveur se présente. Stéphane commande deux scotchs et ouvre une sacoche élégante dont il extrait un petit objet couleur chair.
-Cà, c’est ton oreillette. Tu vas la mettre et rester dans ce coin tranquille pendant que je discuterai avec Raffaela. Nous on va monter sur cette mezzanine que tu vois là-bas. C’est réservé aux habitués et c’est là que je vais l’emmener. Tu la verras de dos, enfin de trois quart, c’est mieux car elle ne doit absolument pas te repérer.
-Mais d’où tu sors tous ces trucs toi lui dis-je ?
-Mon vieux, dans les affaires, certains procédés sont tout à fait banalisés. Relax et écoute, çà va peu être te secouer un peu, mais tu es venu pour savoir, alors profite de ton privilège.
Sur ces mots il se lève et quitte prestement le hall pour attendre Raffaela à l’extérieur.

14h10. J’entends le bruit de la rue retransmis de l’extérieur pas l’émetteur de Stéphane. La qualité sonore est impressionnante. Soudain j’entends sa voix dans mon oreille :
-La voilà qui arrive, elle s’est mise sur son trente et un, quel canon. Je te laisse.
J’entends la voix familière de Raffaela :
-Hello bonjour Stéphane, je ne suis pas trop en retard ?
-Pas du tout, je suis ravi de te voir en chair et en os, tu es très élégante.
Puis je les vois déboucher dans le hall, Stéphane lui désigne du doigt l’escalier qui mène à la mezzanine. Galant, il la laisse monter la première me permettant d’admirer ses jambes magnifiques et le mouvement chaloupé de ses hanches. Stéphane aussi regarde son corps voluptueux gravir lentement l’escalier en colimaçon. Elle porte une robe bicolore noire et blanche. La partie noire commençant juste au dessous des seins, épouse comme un gant sa taille et ses hanches bien galbées. La partie blanche, sans manche, épouse sa poitrine au plus près, révélant des bras charnus d’une exquise carnation. Elle porte aux pieds une paire d’escarpins noirs qui laissent apparaitre le bout de ses orteils dénudés. C’est Stéphane qui commence en premier :
-Prends ce fauteuil Raffaela, c’est la meilleure place, elle t’attendait. Tu es encore plus merveilleuse qu’à l’écran. J’adore les femmes élégantes et soignées.
-Oh merci, c’est trop de compliments mais tu es très élégant toi aussi.
-J’aime qu’une femme soit fière de m’accompagner, surtout quand elle s’est montrée aussi généreuse comme tu l’as fait. Je me sens redevable d’ailleurs.
-Comment çà ?
Je ne peux que constater l’habileté de Stéphane qui ne cesse de flatter ma compagne tout en lui rappelant subtilement qu’elle s’est montrée à lui sans pudeur et dans des poses obscènes. Nous sommes dans un endroit prestigieux mais tous deux ont à l’esprit les délires et les excès de la nuit, la nudité, la jouissance et l’impudeur. Mais Stéphane n’en a pas fini :
-Raffaela, je vis seul, je n’ai pas d’enfant. Je suis disons, très aisé et j’aimerais m’occuper d’une femme comme toi, j’aimerais te gâter, t’offrir ce que tu veux en échange de ta beauté, de ton corps. As-tu quelque chose contre cette idée ?
Ma compagne est assise en face de lui. En s’asseyant dans le fauteuil, sa robe est remontée dévoilant ses jambes jusqu’en haut des cuisses. Habilement, je vois qu’elle a pris une position légèrement oblique et croisé les pieds pour maintenir ses cuisses fermées. Stéphane lui parle et la fixe, détaillant tantôt ces cuisses fuselées, tantôt ce visage délicieux et cette bouche pulpeuse aux lèvres généreuses.
-Raffaela reprend-t-il, j’aimerais t’offrir des choses que tu n’as jamais porté, je pense notamment à un ensemble très élégant, taillé dans le cuir le plus souple que j’ai repéré dans une boutique spécialisée. Cela se porte naturellement avec un porte-jarretelles, des bas-résille. Il te faudrait aussi des bottes, les plus chères, les plus exclusives et quelques accessoires.
-Tout çà pour moi, vraiment ? Et pourquoi accepterais-je, je ne vous connais pas et je vis avec quelqu’un je vous rappelle.
-Lui ? Il n’est rien. Tu es à la recherche Raffaela d’émotions inédites n’est-ce pas ? Puis après un long silence. Réponds moi franchement Raffaela.
-Oui que voulez-vous savoir ?
-Tu es exhibitionniste n’est-ce pas ? Tu aimes jouir devant un écran, te branler les cuisses écartées, te savoir désirée. Ouvre les cuisses maintenant ma chérie, montre-moi l’intérieur de tes cuisses, jusqu’à ta culotte.
-Elle : c’est çà que vous voulez ?
De mon poste d’observation je la vois baisser la tête pour contempler ses cuisses fuselées.
Lui : ouvre chérie, montre-moi maintenant.
Lentement je la vois décroiser les pieds, puis ajuster sa position pour faire face à Stéphane, d’abord les genoux serrés. Puis, fixant son regard dans celui de Stéphane, elle ouvre lentement les cuisses.
Lui : écarte plus largement, ne pense à rien d’autre qu’à me montrer tes cuisses et ton slip.
Pendant de longues secondes, je n’entends plus rien. Puis, Stéphane reprends :
-Je veux que tu te touches la chatte. Dis moi Raffaela, est-ce que c’est mouillé ?
Encore un silence qui pèse des tonnes.
-Elle : oui c’est mouillé.
-Lui : montre-moi.
Elle tend son bras vers lui. Stéphane lui prends la main, l’approche discrètement de son visage, pour en saisir le parfum, puis imperceptiblement, il lui embrasse le bout des doigts.
-Lui détache une de tes chaussures. Ne demande pas pourquoi, je veux sentir ton pied dans la paume de ma main.
Raffaela se baisse, défait la bride de son escarpin, libérant la cambrure de son pied et, tendant la jambe, elle offre ses orteils orné de vernis rose. Stéphane la prends par le talon étirant la cuisse au maximum.
Lui : pose ton pied là bien au milieu. Tu sens comme je suis dur ? Tu sens comme je suis épais ? Tu as envie de la toucher n’est-ce pas, tu es excitée je le vois. Répète moi ce que tu m’as dit la nuit dernière..
Je suspend mon souffle, mais je sais intuitivement ce qu’elle va répondre.
-Elle : j’ai envie de le sucer, j’ai envie de te sucer.
Je peux voir Stéphane sortir son téléphone et tripoter son clavier. Je reçois un SMS quelque secondes plus tard. « Je l’emmène tout de suite dans les toilettes des hommes près de l’ascenseur. Il y a quatre cabines, prend celle de droite ».
Je bondis hors de mon fauteuil, me dirige vers l’accueil à grandes enjambées, rejoins l’ascenseur principal et pousse la porte des toilettes pour hommes.
Dans l’oreillette Stéphane continue sa conversation avec Raffaela que j’entends glousser. Finalement, des bruits de pas dans l’escalier métallique m’informent qu’ils redescendent de la mezzanine et qu’ils ne vont pas tarder. Je pousse la porte de droite comme indiqué et ferme le loquet. Je lève la tête et découvre un miroir convexe panoramique dont un tiers à été peint en noir de sorte qu’il m’est possible d’observer l’intérieur de la cabine d’à côté sans que ma présence ne se laisse deviner. Sans doute encore un petit aménagement de Stéphane.
J’entends la voix de Raffaela qui tente de réprimer un fou rire, je les entends pousser la porte d’à côté . Je monte sur la cuvette pour me rapprocher du miroir. Stéphane a déjà saisi Raffaela par le cou pour l’embrasser. Il lui lèche la bouche plus qu’il ne m’embrasse tout en défaisant la ceinture de son pantalon.
-Lui : Tu veux me sucer ma salope ? Tu veux mettre ma grosse queue dans ta bouche, c’est çà ?
Je suis abasourdi par la vulgarité soudaine de Stéphane, le gentleman a disparu. Ma compagne est dans la même énergie que lui, elle lui réponds sans hésitaion :
-Elle : Oui, donne moi ta queue chéri, je la veux dans ma bouche.
Alors elle s’agenouille pour l’aider à se déshabiller, et faire jaillir du pantalon la queue épaisse et brune, déjà à moitié dure. Aussitôt elle la prends dans sa bouche, et commence à pomper en lui glissant une main sous les couilles.
Lui : Humm avale-moi salope, suce-moi, je suis dur maintenant. Je vais te jouir dans la bouche, tu vas bouffer ma crème, salope..
A chaque fois que ma compagne reprend son souffle et laisse échapper le sexe d’entre ses lèvres, je peux en admirer l’épaisseur et la vigueur. Raffaela fait de son mieux pour le prendre en bouche mais Stéphane ne lui laisse aucun répit, projetant son bassin vers avant, l’obligeant à accueillir en elle cette énorme queue qui lui déforme la bouche. Soudain, il la saisit par les cheveux pour la relever, lui soulève sa robe pour se saisir du slip et lui arracher ; puis il la retourne et la plaquant contre la cloison qui nous sépare, il la prend par les hanches. Sa voix jaillit dans un souffle à son oreille :
« Est-ce que tu veux que je rentre en toi maintenant ? »
-Elle : Ouii , viens chéri. En même temps je la vois retrousser sa robe, se cambrer pour présenter ses fesses, Stéphane cherche un passage pour entrer en elle. Il la bourrine ainsi pendant quelques instants puis la retourne à nouveau. « Agenouille toi, ouvre la bouche, tu es ma déesse, je t’adore, je t’aime, je vais m’occuper de toi, je vais te gâter ma salope. »
Enfin le plaisir le prend par surprise, j’entends Raffaela geindre et miauler de l’autre côté. Elle est à quelques centimètres de moi juste derrière la cloison, elle pourrait être dans mes bras mais elle vient de se donner comme une trainée dans des toilettes. Je les entends reprendre leur souffle, j’ai l’impression d’être avec eux tant ils sont proches. Quelqu’un vient de pousser la porte des toilettes, sûrement un client qui vient se soulager. Je ne perçois plus aucun son de l’autre côté. Je jette encore un coup d’œil au miroir là-haut. Stéphane est en train d’agiter sa main entre les cuisses de Raffaela qui se mord les lèvres pour ne pas crier. Il lui baratte consciencieusement l’entre jambe, sa bouche cherchant sa bouche affamée, s’interrompant seulement pour lui lécher le cou et les épaules. De temps à autre elle laisse échapper un petit gémissement qu’il réprime dans l’instant. « Tais-toi, je n’ai pas envie qu’on t’entende…prends ton pied en silence, serre les dents pendant que je branle la chatte ».
Je ne tiens plus, je soulève le loquet de la porte. Raffaela s’est figée en m’entendant sortir. Elle doit se demander qui a bien pu l’entendre prendre son pied depuis dix minutes. Je sors, le brouhaha de l’hôtel me fait du bien, j’aimerais commander un alcool fort au bar mais je préfère sortir au plus vite, je n’ai pas envie de me trouver nez à nez avec ces deux là. Dehors il fait beau. Je hèle un taxi et je taille la route sans savoir où je vais.
rachou
 


Re: 6) Raffaela ma doudou couleur café

Messagepar erival » Mer 4 Juil 2012 17:01

OUI vivemenet la suie de ces aventures c'est clair, adorable.On en redemande et il y en a qui ont de la chance.
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