Bonjour,
nous sommes un couple belge et candauliste depuis quelques années et je vous raconte ici nos tous débuts.
Ma femme a une soeur tout aussi jolie qu'elle et, déjà avant notre mariage, mon meilleur ami et moi nous sortions avec l'une puis avec l'autre.
D'aussi loin que je me souvienne j'ai toujours apprécié les regards des hommes sur ma femme, faut dire que ses jupes et robes courtes ne pouvaient que les provoquer même si ce n'était pas vraiment ce qu'elle recherchait (à moins que inconsciemment peut-être).
Moi je les remarquais ces regards, ça flattait mon égo.
Elle est châtain clair, 169 cm pour 64 kgs, poitrine 95c, bouche pulpeuse naturelle.
Jusqu'au jour où, rentrant du travail, elle m'a dit s'être faite draguée et légèrement touchée par son patron, un homme de 63 ans, donc 40 de plus qu'elle !
Je lui ai demandé de me raconter ce qui c'était passé et elle m'a tout dit: "J'étais dans le comptoir (boulangerie) et il est passé plusieurs fois derrière moi. Tout était normal jusqu'au moment où il s'est arrêté derrière et a commencé à me dire que je suis la plus belle vendeuse qu'il aie eu. Je l'ai remercié, mais à ce moment-là il a posé ses mains sur ma taille en me disant que je suis également la plus gentille. Je lui ai dis que je suis toujours gentille, que c'est ma plus grande qualité".
"Toujours ?"
"Oui, c'est ce que tout le monde dit".
"Et c'est là qu'une de ses mains est descendue sur mes fesses ! Je suis restée scotchée et muette, je ne m'attendais pas à ça de sa part lui qui est toujours très correct avec moi. J'ai pensé qu'il avait eu une impulsion incontrôlée, qu'il allait retourner dans son atelier car sa femme pouvait revenir d'un instant à l'autre, mais non ! La main qui était sur mes fesses est partie sous ma jupe et a pénétré ma culotte. Je n'est pas osé bouger, pourquoi? Je ne sais pas. Et lui a continué à me caresser durant quelques minutes lorsque sa femme est entrée. Aussi vite il m'a laissée là et est retourné travailler".
Ce récit m'a laissé sans voix, je trouvais ça honteux mais ne pouvais m'empêcher d'imaginer la scène en y prenant un certain plaisir.
Le soir, alors que nous regardions un film, j'ai éteins la télé et suis revenu sur le sujet en lui demandant quel était son état d'esprit après ce qui s'était passé avec son patron.
"Je ne sais pas, je crois que je ne vais pas retourner y travailler".
"Pourquoi ?".
"Ben c'est un vieux porc".
"C'est le fait qu'il est vieux qui te dégoute ? Ou ce qu'il a fait".
"Je me fous qu'il soit vieux, mais je ne suis pas payée pour me faire tripoter".
J'ai laissé un blanc, réfléchissant au désir éveillé en moi et la manière de lui en parler, puis je me suis lancé:
"Ce que tu m'as dis m'a excité, ne le prends pas mal mais je regrette presque que tout n'a pas été un peu plus loin".
"T'es fou ! Tu aurais voulu qu'il fasse quoi ? Mettre ses doigts ? M'embrasser ? Et peut-être que je le suce tant qu'à faire !"
"Ne te fâche pas, juste que je trouve tout ça vraiment excitant".
"Toi peut-être, mais si il recommence je le remets à sa place".
"Comme tu veux, c'est toi qui vois".
Une demie heure plus tard c'est elle qui est revenue sur le sujet:
"Franchement, ça te plairait que je le laisse encore me toucher ?".
"J'avoue que oui, mais je ne t'oblige pas".
Elle s'est retournée et s'est endormie en me laissant seul avec mes pensées graveleuses.
Le lendemain matin je l'ai vue sortir de la salle de bain vêtue de sa jupe la plus sexy, celle qui s'envole au moindre souffle de vent. Je l'ai regardée et elle m'a dit:
"Je vais te faire plaisir, avec cette jupe il pourra, si il en a encore envie, me toucher comme hier. Mais ne rêve pas, je ne vais pas coucher avec lui".
"Je ne te le demande pas, d'ailleurs c'est toi qui décides de ce que tu vas lui permettre du moment que tu me le racontes".
Lorsqu'elle est rentrée le soir j'étais en ébullition car j'avais pensé à ça toute la journée. Elle s'est assise face à moi et m'a dit:
"J'ai des choses à te dire, mais quand nous aurons mangé".
Nous avons mangé et ensuite elle a pris tout son temps pour prendre sa douche. J'étais nerveux, à quoi devais-je m'attendre ?
Elle est redescendue de la salle de bain et m'a demandé si j'étais sûr de vouloir tout savoir, qu'elle ne voulait pas que ça nous conduise à nous disputer, j'ai répondu que "non, bien au contraire".
"Voilà, la matinée s'est déroulée de la façon la plus normale, pas de mots orientés ni d'attouchements, mais nous n'étions pas seuls. Vers 14 heures sa femme est partie ainsi que l'ouvrier, il n'y avait plus que lui et moi et madame ne reviendrait pas avant 18 heures. Il n'a pas fallu longtemps avant qu'il ne vienne près de moi et me demande si j'étais fâchée par rapport à hier.
"Pourquoi ? Ais-je demandé bêtement.
Ma réponse l'a rassuré et il m'a entraînée à l'atelier où il m'a poussée contre la porte qu'il avait refermée. J'étais plaquée face contre la porte et il a directement passé sa main sous ma jupe en me disant:
"Pour ça, pour les caresses que je t'ai faites et où tu n'as pas crier au secours".
"Pourquoi aurais-je crier ? Vous ne m'avez pas violée".
Il a descendu ma culotte et sa main est venue sur ma chatte, je ne disais rien, il m'a pénétrée d'un doigt, masturbée, s'apprêtait sûrement à plus lorsque on a entendu quelqu'un entrer dans le magasin. J'ai vite remonté ma culotte et suis allée servir la cliente. A peine était-elle sortie qu'il est venu fermer la porte en me disant:
"Va dans l'atelier et retire ta culotte, j'arrive".
J'ai hésité, j'étais d'accord pour me laisser tripotée mais j'avais peur qu'il en veuille plus, néanmoins j'y suis allée et ai ôté ma culotte.
Dés qu'il m'a rejointe et il a voulu que je lève ma jupe pour lui montrer que j'avais obéi, il s'est approché, s'est collé à moi et, tout en m'insérant directement un doigt a voulu m'embrasser, ce que j'ai refusé.
Il a mis un deuxième doigt, me masturbait, son autre main était dans mon soutien-gorge et me malaxait un sein. Même si je n'en avais pas envie je prenais un certain plaisir et il l'a remarqué car il m'a dit:
"Je savais que tu es une petite salope sous tes airs de pucelle, on ne s'habille pas comme tu le fais si on ne cherche pas à exciter les hommes".
Je n'ai pas répondu, d'abord parce-que ça n'aurait servi à rien et de plus j'aurai pu être méchante.
Sa main s'est dégagée de ma chatte, je le sentais qui remuait et j'ai cru qu'il jouait avec son sexe, mais ce n'était pas ça !
Il s'est reculé un tout petit peu et m'a dit de me mettre à genoux, j'ai compris ce qu'il voulait et ai regardé vers le bas où j'ai vu sa queue sortie de son pantalon. Je ne bougeais pas, alors il a mis une main sur mon épaule et a appuyé. Je me suis laissée descendre et une fois à genoux l'ai sucé. J'y allais doucement, mais lui voulait que je sois plus énergique. Tout n'a duré qu'au maximum 3 minutes avant qu'il n'éjacule dans ma bouche, il m'a maintenu la tête en me disant:
"Avale ma bonne semence, ma femme dit toujours qu'elle a bon goût".
J'ai avalé, me suis relevée et ai remis ma culotte avant de retourner dans le magasin et de réouvrir.
Tout le reste de la journée, et à chaque fois qu'il passait près de moi, il n'a cessé de me toucher.
"Waou ! J'aimerais que tu me dises ce que tu as ressenti physiquement et dans ta tête ?".
"Franchement je n'ai pas pensé à grand chose, je voulais que ça n'aille pas trop loin mais ne pouvais le repousser car c'était agréable quand il me masturbait".
"Et la pipe ?".
"Je ne m'y attendais pas, j'avais pas trop envie, mais bon...".
"Son sperme t'a dégoutée ?".
"Non".
Nous sommes allés nous coucher et nous avons fait l'amour, j'étais en folie et ai remarqué que elle aussi était encore plus nerveuse sexuellement.
Nous en avons reparlé quelques jours plus tard où elle m'a dit que son patron continuait toutes ses caresses et lui avait proposé d'aller à l'hôtel le lundi suivant. Je lui ai dit que c'était à elle de décider, que de mon côté j'étais d'accord du moment qu'elle me dise tout.
Ils sont allés à l'hôtel, elle m'a tout raconté et m'a avoué y avoir prit beaucoup de plaisir. Mais 2 jours plus tard elle a téléphoné à sa femme en lui disant, sans explication, qu'elle ne viendrait plus travailler chez eux. Elle ne se voyait pas être l'objet sexuel de cet homme.
Moi je le remercie, grâce à lui la porte s'est ouverte pour une nouvelle sexualité qui nous ravi tous les 2.
Je vous raconterai encore d'autres de nos aventures, même si certaines sont banales.
Premier pas vers le bonheur
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- Enregistré le : jeu. 12 juin 2025 11:45
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Re: Premier pas vers le bonheur
Oui, depuis nous sommes devenus de vrais candaulistes. Nous recevons parfois chez nous ou allons chez eux. Mais le plus souvent ma femme les rencontre car sans moi car beaucoup ne sont pas attirés par ma présence.