par stef2606 » Ven 11 Aoû 2017 18:00
La porte s’ouvre aussitôt, c’est le serveur du resto que l’on voit en 1er, il est en short, torse nu. Il s’écarte afin que nous puissions entrer. La chambre est assez grande, sympa d’ailleurs pour y loger des saisonniers.
Je tiens ma douce par la main, et la guide de façon à ce qu’elle avance un peu. Nous y découvrons le serveur, mais aussi, et c’est une surprise pour ma femme, son frère. Elle est étonnée, me lance un regard, auquel je réponds par un petit sourire, mais ne dit rien. Les deux sont vêtus uniquement de leur boxer.
Les regards se braquent sur elle, comme des enfants qui attendaient l’arrivée de leur cadeau.
Nous sommes dans l’espace libre, devant les lits, je décide alors de retirer la blouse de Sylvie, pour leur offrir ma femme totalement nue. Elle me laisse agir lorsque je remonte le tissu, sa chatte et son cul sont d’ores et déjà visibles, elle relève les bras afin de m’aider pour lui passer par la tête.
La voilà intégralement nue devant ces 3 quasi inconnus, gênée de se retrouver ainsi.
Moi : « Give he of the pleasure » (donnez lui du plaisir)
Je me retire légérement en signe d’autorisation pour commencer leurs approches, ce qu’ils comprennent très vite.
Rapidement des mains se déposent sur son corps, ses seins sont vite caressés, son dos, ses hanches, le frère du serveur, qui la découvre, s’occupe déjà de ses fesses. Sylvie est immobile, tendue, stressée même et c’est bien normal. Il n’aura pas fallu bien longtemps avant que son intimité soit visitée par des doigts grecs. Des doigts qui glissent dans sa fente et écartent comme ils peuvent ses cuisses. Des baisers sur son corps sont mêlés aux caresses, le plaisir est entrain de monter.
Elle est bien entourée par ces 3 mâles, je me délecte à la voir ainsi entreprise. Ses fesses sont malaxées, pelotées, écartées, serrées par les mains du grand frère, qui visiblement apprécie ses jolies rondeurs.
J’aperçois le barman ôter son boxer, il bande déjà bien fort, ses 2 compères doivent être dans le même état, il s’installe sur l’un des lits et indique dans sa langue mais aussi par le geste qu’il souhaite que ma femme vienne le rejoindre. Elle est conviée à grimper sur le lit.
Les voyants discuter, je comprends ce qu’ils veulent.
Moi : « il veut un 69 ». Elle ne dit rien.
Moi : « installe toi sur lui et suce le ». Bien obéissante, elle le chevauche dans le sens qu’il faut pour pratiquer cette position.
Il agrippe ses cuisses, la tire un peu vers lui, il a sa tête en dessous du sexe de Sylvie, puis commence à lui lécher la chatte. De son côté ma petite salope a pris sa queue, qu’elle masturbe lentement, puis y dépose ses lèvres et commence à le sucer. Je vois bien qu’elle n’est pas insensible à ce qu’il lui fait, car elle dandine un peu les fesses sous les coups de langue habile du gars.
D’abord observateur, le grand frère est de nouveau à s’occuper des fesses bien offertes de ma femme, il les caresses, écartent, titille son petit trou je suppose, puis décide de lui lécher son cul. Ce n’est pas une bouche qu’elle a entre les cuisses, mais 2 puisqu’elle se fait également bouffer le cul, en écartant au maximum ses fesses pour lui favoriser l’accès.
Quant au 3ème laron, il est légèrement sur le côté, il a passé ses mains sous le corps de Sylvie et s’amuse avec ses seins qui pendouillent, en les malaxant à pleines mains.
Ils sont entrain de l’exciter énormément, elle gémit de plus en plus, pousse de petits cris, suce goulument, agrippe quand elle peut la queue du 3ème pour le masturber, saisi leurs couilles aussi, j’adore la voir ainsi, toute proche de l’orgasme.
Elle va se faire enculer, le gars a cessé de lui lécher son petit trou, jugeant sans doute qu’il était prêt. Je le vois enfiler une capote, puis se rapprocher de nouveau des fesses de ma femme, la bite en avant. Pas de doute, elle va la prendre dans le cul, le frérot lui dévoirant toujours la moule.
Ça y est, il la pénètre, ceci sans difficultés. Elle n’a pas réagi particulièrement au passage de cette bite dans son cul. Il a commencé ses va et vient, lentement d’abord puis plus rapidement désormais.
Le serveur s’extirpe en glissant sous elle comme il peut, elle reste avec la bite du frère dans ses fesses, il lui pilonne le cul, appuyant sur le bas de son dos pour l’avoir le plus cambré possible, elle a la tête dans les draps, les fesses qui claquent à chaque coup de reins, le salaud en profite à mort.
Quelques mots sont échangés entre eux, avant que les positions ne changent. Le barman s’allonge à son tour, mais sur l’autre lit. Je n’ai pas besoin d’expliquer à ma femme ce qui veulent, par les gestes ils y parviennent facilement.
Elle le chevauche, il a la bite bien raide, couverte d’une capote, et va s’empaler dessus. C’est elle d’ailleurs qui guide ce sexe au niveau de ses lèvres, puis le gobe aussitôt. Excitée comme une folle, elle monte et descend sur cette bite inconnue, le gars est aux anges. Je m’aperçois qu’elle va jouir, elle pousse un assez long cri qui ne laisse aucun doute.
Aucun répit ne lui est laissé, je vois le barman qui lui a bouffé la chatte durant un long moment, enfiler à son tour une capote, et alors qu’elle est toujours à califourchon sur son serveur, il se glisse derrière, se positionnant comme il le peut entre les jambes pour accéder à ses fesses.
Je comprends aussitôt ses intentions, elle va avoir droit à une double, et ne parait pas plus affolée que cela lorsqu’il l’incite à se plaquer sur son gus afin d’avoir un accès facilité.
Immobile tout les 2, il appuie et s’enfonce en elle, sans difficulté, elle a une bite dans chacun de ses trous, prise en sandwich, quel pieds de voir cela.
Les 2 mâles coordonnent leurs mouvements et baissent ma femme simultanément. Le 3ème s’est délesté de sa capote et se masturbe devant ce spectacle, n’hésitant pas à la caresser comme il peut et en fonction des accès qui lui sont laissés.
Après quelques minutes dans cette position, ma femme sera basculée sur le côté, puis installée sur le dos, les jambes écartées et relevées. A tour de rôle, il vont la sauter de façon plus traditionnelle, se relayant lorsqu’ils ont besoin de souffler un peu. Elle prend cher, se fait baiser comme une pute, ils se soulagent.
Elle les sucera encore lorsqu’ils se désireront, jouira une fois encore, avec le barman en elle il me semble, et tous déchargeront dans leur capote mais en elle.
Epuisée, on a regagné notre chambre, il était passé 2h30.